Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 07:17

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris VasslanFetish2

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris Vasslan

Je ne m’étendrais pas outre mesure sur les circonstances qui m’ont fait rencontrer Maîtresse Kriss. Curieux des choses du sexe et attiré par de nombreuses fantaisies (notamment l’uro) je développais un masochisme assez léger se limitant la plupart du temps à quelques fessées à la main ou au martinet, ou à quelques jeux de pinces sur mes seins. Je le faisais soit seul, soit à l’occasion de quelques visites tarifées. J’ai eu envie d’aller plus loin, un jour, à l’occasion d’une semaine de congés après avoir acheté « Foufoune magazine ». La plupart des annonces de dominatrices renvoyaient sur des répondeurs, les écouter m’excitait. Il manquait un petit déclic pour me faire franchir le pas. Ce fut cette annonce publiée sans photos :

« Je domine peu car je le fais aussi pour mon plaisir, mais ce que j’aime par-dessus tout c’est initier ceux qui ne connaissent pas ce domaine »

Une nana qui ne fait pas ça à la chaîne et qui s’occupe bien des petits nouveaux ! Non, ça existe ? J’appelle ! J’ai droit à un court texte de présentation enregistré et on me demande d’appeler à un autre numéro entre telle heure et telle heure.

Je l’ai fait.

– Voilà, j’ai lu votre annonce et…
– C’est la première fois ?
– Oui !
– Tu aimerais qu’on te fasse quoi ?
– Je ne sais pas… Des fessées, des pinces…
– C’est tout :
– Du pipi si vous faites ce genre de choses !

Elle m’indique aussi que je risque de ne pas être seul, qu’elle a souvent d’autres soumis, voir des « invités ». Je ne m’attendais pas à cela mais ça ne me gênait pas plus que ça… Et alors que je pensais qu’on allait enfin prendre rendez-vous, elle me proposa une rencontre préalable dans une brasserie du centre de Paris…et m’indique ses tarifs.

C’est elle qui doit me reconnaître, j’ai l’air fin avec « Modes et Travaux » à la main. Une grande blonde, coiffée en chignon, tailleur noir et rouge aux lèvres arrogant pénètre dans le bistrot quelques minutes plus tard ! Serait-il possible que cette apparition soit la dominatrice avec laquelle j’ai rendez-vous ?

Ben, oui !

Regard circulaire, elle m’aperçoit, se dirige vers ma place et s’assoit en face de moi !

– Bonjour, je vous plais ?
– Il faudrait être difficile !
– Tu ne bois pas ton verre, tu n’as pas soif ?

Déjà le tutoiement ! Mais je ne comprenais pas le sens ce cette question.

– Pas plus que ça !
– Porte ce verre à tes lèvres, c’est un ordre !

Mécaniquement je le fis, toujours sans comprendre.

– Regarde-moi pendant que tu bois et maintenant imagine que tu es en train de boire ma pisse !

Et voilà ! Juste quelques mots, et déjà je bande comme un âne !

– Je suppose ,que tu sais comment se passe une séance de domination ?
Oui !
– Il y a des pratiques que tu ne supporte pas ?
– Je ne pense pas, en fait je suis soumis, mais je n’aime pas quand ça fait trop mal.
– Ne t’inquiètes pas pour ça, je sais m’adapter. Je fais souvent des séances collectives, c’est plus cool quand il y a plusieurs soumis, ça ouvre plein de possibilités

J’ai compris le message, ça veut dire qu’elle me demandera de sucer un autre soumis, ça ne me dérange pas plus que ça, ça aurait même tendance à m’exciter.

– Et la scato ?
– C’est pas mon truc !
– Je m’en fous que ce ne soit pas ton truc, tu sera mon esclave et c’est moi qui commande, et si j’ai envie de faire un peu de scato, personne ne m’en empêchera.
– Je sais pas…
– Tu sais pas quoi ? Encore une fois, je suis une pro, je sais dominer et m’adapter a ce que supporte mes soumis.

Je ne réponds pas, je ne sais plus trop où je m’embarque

– Il y a une dernière chose qui faut que tu saches ! J’ai le plus profond respect pour les prostituées, mais il se trouve que je n’en suis pas vraiment une. J’ai des revenus suffisants et si je domine c’est uniquement par passion, c’est mon truc ! Au départ je donnais directement mon adresse et je faisais ça gratuitement. J’ai eu quelques problèmes, j’ai changé de stratégie, maintenant c’est moi qui choisit, quant à l’argent il a une autre fonction, donne-moi les sous.

– Je ne peux pas réfléchir un peu avant ?
– Non ! Tu m’as donc fait perdre mon temps, ce sont de choses qui arrive ! Salut ! Branle-toi bien !
– Non, attendez c’est d’accord.

Et je sorti la somme demandée

Je pensais alors qu’on concluait l’affaire et qu’on allait partir ensemble chez elle ! Non, non ! Elle sortit de son sac une paire de petits ciseaux et devant mes yeux horrifiés entreprit de découper les billets par leur moitié, elle en conserva la partie droite, et me rendit la partie gauche. Difficile de me dégonfler à présent !

– Demain à 9 heures !

Elle m’indiqua une station de métro. Et disparut non sans avoir passé coquinement sa langue sur ses lèvres.

Troublé de chez troublé !

Une matinée d’esclave

Donc le lendemain j’attendais à la sortie de la station de métro convenu. Kriss n’était pas à l’heure et l’espace de quelques minutes je me demandais si elle ne m’avait pas posé un lapin. Mais non la voici qui s’arrête, qui descend de voiture, je la trouve plus belle que la dernière fois, son tailleur lui va mieux et le corsage mauve légèrement déboutonné est terriblement sexy, de plus elle est chaussée de lunettes, je n’avais jusque-là pas remarqué qu’elle en portait. Elle me toise quelques secondes :

– Alors, toujours prêt ?
– Oui !
– Oui qui ?
– Oui maîtresse
– Tu as les moitiés de billets ?
– Oui maîtresse
– Tu me les donneras en arrivant, en voiture !

Nous roulons quelques instants, puis elle s’arrête de nouveau à un carrefour,pour faire monter un deuxième homme. Ce dernier entre dans le véhicule en me disant poliment « bonjour ! », mais Kriss intervient en nous intimant le silence.

Au bout d’un quart d’heure nous voici arrivés.

– Bon vous allez prendre le petit escalier à gauche, Angélique va s’occuper de vous. Et moi je vous retrouve dans quelques minutes… pour bien vous faire souffrir.

Ah ! Cette expression du visage quand elle nous a dit cela, une vraie promesse, terriblement excitante.

– Bonjour je m’appelle Angélique, je suis la soubrette !

Angélique est une jeune antillaise au physique fort agréable, mais je n’imaginais pas une tenue pareille pour une telle fonction, jeans et chemisier à carreaux. Je me demandais quel rôle elle aurait par la suite.

Nous entrons dans la cuisine, superbement aménagée, et là surprise, un petit déjeuner très complet nous attend.

– Voilà de quoi prendre des forces ! Mais ne trainez pas trop ! Quand vous aurez fini, vous sonnerez et je viendrais vous chercher pour vous préparer. La domination commencera vers 10 heures et se terminera vers midi. Après vous pourrez prendre une douche et si vous le voulez un repas léger. Vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous soigne pas !

Je n’ai pas spécialement faim, mais je mange néanmoins une tartine avec un café au lait. Mon compagnon, lui s’empiffre, et comme il ne fait aucun effort pour entamer la conversation, je n’en fais pas non plus. Ayant donc fini avant lui, j’attends donc le moment de sonner et de passer aux choses sérieuses.

A 9 h 45 nous sonnons Angélique.

– Alors mes cocos, c’était bon ? Bon maintenant suivez-moi !

Et elle nous dirige vers un petit vestibule.

– Voilà de quoi déposer vos affaires ! Vous allez vous mettre complètement à poil, y compris les chaussettes, la montre et toute la quincaillerie ! Ah, au fait, nous aurons des invités, alors, il y a des masques et des loups à votre disposition si vous le souhaitez.

Mais nous ne le souhaitions pas… Nous voici à poil, le mec me regarde la bite, je regarde la sienne, Curieux comme situation !

Angélique nous passe autour du cou un collier d’esclave et nous demande à nouveau de la suivre dans cette tenue. Nous voici dans les sous-sols.

– Bon, dernière instruction, si vous voulez arrêtez la domination il vous faudra répéter deux fois le mots de sécurité. C’est « Tournesol ». Si vous le prononcez, tout s’arrête, il n’y pas de négociation possible, on vous fout à la porte… Sinon, vous pourrez toujours dire « arrête, stop ou pitié » on n’en tiendra pas compte. Tout le monde a bien compris ?

La pièce est très grande, les murs sont blanchis à la chaux et il y a tout un attirail pour S.M., une croix de Saint-André, un pilori, une cage et bien sûr beaucoup de chaînes. D’autres objets font insolites dans ce lieu, notamment un tableau noir, un vrai tableau noir avec son porte craie et aussi un pot de chambre en porcelaine. Angélique nous suspend les poignets en l’air et nous fixe une barre rigide entre les chevilles afin de maintenir nos jambes écartées.

Kriss entre alors, elle ne s’est pas changée et porte toujours le même tailleur, mais elle n’est pas seule, deux personnages l’accompagnent : une grande femme rousse aux cheveux assez courts, elle aussi est en tailleur celui-ci est noir, très strict; et il y a aussi un homme genre taciturne en veston cravate. Ce dernier s’assied sur une chaise sur le côté très en retrait par rapport à ma position. Les deux femmes s’installent devant nous et quittent toutes deux leur veste de tailleurs. Jenna (la rousse) en restera là et elle s’assoit tandis que Kriss retire également sa jupe.

J’apprendrais un peu plus tard qu’en fait le cravaté qui se prénomme Victor est un client, il est voyeur et bisexuel mais pas soumis.

Kriss s’approche de Jenna et lui roule une pelle.

– Ils m’ont pas l’air trop motivés tes esclaves !
– Fais moi confiance !
– Il y aura de la scato, j’espère
– Mais bien sûr ma biche !

Et voici Kriss qui s’approche de nous sans rien dire, se caressant les seins à travers son corsage maintenant à moitié déboutonné. Je sens monter une certaine excitation, ce qu’elle attendait sans doute, elle glisse deux mots à l’attention d’Angélique, qui détache le deuxième esclave, puis l’enferme dans une cage. Je vais donc avoir « l’honneur » de passer en premier.

Kriss a fini de se déboutonner; elle conserve néanmoins son corsage ouvert, en dessous un soutien-gorge noir, et en bas une petite culotte rose. On ne peut pas dire qu’elle fait des efforts d’imagination en accoutrement, mais elle m’avait prévenu que fétichisme, sous-vêtements et tout cela n’était pas trop son truc. Par contre quelle sensualité ! En dandinant, elle s’approche encore plus de moi, puis elle me saisit chaque bout de sein entre le pouce et l’index et commence à tourner. J’adore cette « caresse », elle le fait très bien, me provoquant quasi instantanément une solide érection.

– Qui t’as autorisé à bander ?
– Personne Maîtresse !

Et vlan, voilà que je reçois une gifle, pas trop fort mais c’est quand même une gifle, puis elle me crache dessus.

– Quand je te crache dessus je veux que tu ouvres la bouche, tu as compris, esclave ?

J’ouvre la bouche, elle recrache, puis recommence à me faire le bout des seins de plus en plus fort, finissant par m’arracher de petits cris de douleurs (ou plutôt de douleurs mêlées de plaisir.)

– On t’a autorisé à crier ?
– Non, Maîtresse !

J’attends la gifle, mais elle ne vient pas, me signifiant donc implicitement que c’est elle qui commande le jeu, faisant ce qu’elle veut quand elle le veut.

Elle me passe alors un lacet autour de mes couilles et le serre fortement, puis elle continue de me travailler les tétons, mais cette fois elle le fait du bout des ongles. Je délire de plaisir, ma bite est tendue au maximum. Une double paire de gifles complètement inattendue et complètement imméritée, suivit de plusieurs crachats vient me surprendre. Je n’en peux plus, je veux encore qu’elle me gifle, qu’elle me crache dessus, je veux encore qu’elle me torture les seins, Cette fois c’est ma pine qui est giflée, j’aime moins mais qu’importe, c’est elle la maîtresse, elle peut à ce moment-là me faire ce qu’elle veut. Ses ongles s’enfoncent de plus en plus dans mes seins sans toutefois les blesser, je craque, j’hurle de douleur et reçois à nouveau deux paires de gifles. Les larmes me montent aux yeux, mais je suis en extase. Je ne regrette vraiment pas d’être venue.

– Bon je vais te rougir le cul !

Elle passe derrière mois, armée d’un martinet et commence à me cingler les fesses, les premiers coups sont en fait destinés à tester ma résistance à la douleur. Quand elle pense avoir trouvé la bonne force de frappe, elle me dit :

– Tu vas compter jusqu’à vingt et chaque fois tu me diras  » merci maîtresse ! « .
– Oui maîtresse !

Le premier coup sérieux arrive, il reste très supportable

– Un ! Merci maîtresse !

Le second sera un peu plus fort !

– Aie ! Deux ! Merci maîtresse !

Quel métier ! Elle sait doser exactement ses coups, ne pas les rendre insupportables, mais à la limite quand même ! Arrivé au 19ème coup, je suis quand même content de savoir que cela va finir :

– 19 ! Merci maîtresse !
– Comment ça ? C’était le 18ème !

Que faire ? Que dire sinon s’incliner ?

– Peut-être ! Pardon Maîtresse, j’ai dû me tromper !
– Tu as voulu mentir à ta maîtresse, tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !

Le 20ème coup tombe beaucoup plus fort !

– Pitié Maîtresse !
– Pardon j’ai mal entendu !
– 19 ! Merci Maîtresse.

Le 20ème coup tombe, puis comme je le craignais elle n’arrête pas, les coups sont vraiment un peu trop forts. Aura-t-elle l’intelligence de s’en apercevoir ? Si elle continue je vais être obligé de prononcer le mot de sécurité.

– 23 ! Merci maîtresse ! Pitié maîtresse je n’en peux plus
– Ta gueule, sale pédé !

Un 24ème coup tombe puis un 25ème.

– 25 ! Maîtresse merci, je vous en supplie, arrêtez !
– J’arrête quand je veux et sûrement pas quand tu me le demandes !

Mais le 26ème est moins fort ! Nettement moins fort, je ne comprends pas bien…

– 26 ! Merci maîtresse !

A trente elle s’arrête, elle me fait face, et retire son corsage et son soutien-gorge. Ses tétons sont très sombres et très gros, de plus en ce moment ils sont bandés de plaisir. Comme j’aimerais les sucer mais je ne rêve pas, je sais que c’est probablement impossible.

– Alors, c’était bon ?
– Oui Maîtresse !
– Tu en reveux encore ?
– Pas tout de suite Maîtresse !

Elle saisit à nouveau mes bouts de seins et les serre avec ses ongles. Ça, j’aime, ça fait mal mais en même temps ma bite se remet à bander au maximum. Tout d’un coup, elle me saisit les couilles et se met à me les tordre. Je n’apprécie pas vraiment. Malheureusement dans les séances de domination, il y a des trucs qu’il faut supporter et qui ne font pas grand-chose. Puis voilà qu’elle me pince les couilles avec ses ongles, je n’aime pas trop d’habitude, mais je dois avouer qu’elle fait cela très bien.

Elle se dirige maintenait vers un petit placard et revient avec une petite cassette d’où elle extrait une série de pinces. La première pince sera pour mon sein droit. Je crie mais c’est supportable, c’est même assez bon ; la seconde pour l’autre sein, puis elle m’en placera quatre sur chaque couille.

Elle saisit tout d’un coup les pinces qui sont sur mes tétons, fait semblant de me les enlever, puis me les remet, je pousse des râles de jouissance et de douleur.

Kriss est apparemment très excitée, et de temps en temps elle se pince ses propres tétons à travers son soutien-gorge.

– Dis donc gros vicieux, qu’est-ce que tu as à mater mes seins ?

Et paf je reçois une nouvelle gifle, je tends l’autre joue, mais la deuxième ne vient pas !

– Et puis quoi encore, ça te ferait trop plaisir.

Elle cherche quelque chose dans sa cassette et reviens cette fois avec des poids en plomb, après chaque pince elle posera un plomb. Aux seins, cela reste supportable, aux couilles ça commence à faire sérieusement mal. D’autant qu’elle va maintenant doubler, puis tripler, puis quadrupler les plombs. Mais Kriss est une dominatrice experte, elle sait qu’elle n’aura du plaisir à regarder la souffrance de ses esclaves que si celle-ci reste un tout petit peu au-dessus de ce qu’ils peuvent supporter mais pas au-delà. Elle m’enlève donc les pinces aux testicules. Bon sang, le fait de les enlever fait presque aussi mal que de les mettre. Elle dit deux mots à Angélique qui (surprise !) me détache.

– A quatre pattes !

Je m’exécute, les poids aux pinces, n’ayant maintenait plus mon torse pour compenser leur action tirent violemment sur mes tétons, elle me fait ainsi faire le tour de la pièce, me fouettant quand je ne vais pas assez vite.

– Tu aimes ce que je te fais, esclave ?
– Oui maîtresse !
– Tu ferais n’importe quoi pour ta maîtresse ?

Oh là ! La question piège ! Attention à la réponse !

– Tu vas me répondre ?

Et à ces mots le martinet single à nouveau mes fesses

– Oui maîtresse !
– Allonge-toi par terre !

J’obéis et je me couche sur le dos, les poids cessent alors de me faire mal ! Kriss saisit à nouveau le martinet et me frappe la poitrine, pas trop fort mais de façon à ce que la trajectoire du coup rencontre l’endroit où les pinces sont accrochées à mes tétons. Et bien sûr, l’une des pinces se décroche m’arrachant un cri de douleur. Il faudra plusieurs coups pour que l’autre se détache à son tour sous l’action du martinet.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci Maîtresse !
– Tu veux souffrir encore ?
– C’est vous qui décidez, Maîtresse !
– On va passer à autre chose !

A ces mots Angélique me replace dans la même position qu’au début, puis se déshabille complètement. Elle non plus n’est pas mal du tout et je me la « ferais » volontiers. Kriss est revenue quelques instants auprès de Jenna (qui à part sa veste de tailleur, n’a entamé aucun déshabillage) et lui roule une pelle magistrale. Kriss revient maintenant avec un gode ceinture dans la main, elle retire sa culotte puis s’harnache avec l’objet. Angélique règle la chaîne qui retient mes poignets au plafond afin de donner du mou.

– A genoux ! Esclave !

Je m’exécute, bien sûr ! Kriss se plante devant moi :

– Suce !

obla9b. J’en étais sûr ! Encore un machin qui ne me fait rien, (et encore j’ai échappé jusqu’ici au léchage des pieds et des jambes). Je préférais mille fois lui lécher le trou du cul, mais je me dis que cela viendra peut-être ! Je lèche donc le gode-ceinture. A chaque fois que je fais mine d’arrêter, elle m’ordonne de continuer, bref cela dure des heures, et en plus ça me fait débander. Tant pis après tout cela me repose. Jusqu’ici elle avait compris mes réticences sur certaines pratiques. Là, non, en apparence ! Je présume qu’après, le gode va atterrir dans mon cul ce qui est quand même nettement plus intéressant !

Enfin, elle me fait arrêter. Kriss se tourne vers Angélique

– Tu peux ?

Je me demande de quoi il est question, puis je vois Angélique s’accroupir sur le pot de chambre, puis pisser dedans. Du coup me revoilà devant ce joli spectacle en train de rebander.

Elle positionne ensuite la cuvette au niveau du gode ceinture de Kriss qui le trempe dedans. Je crois avoir compris ce qui va se passer. Effectivement, elle s’approche à nouveau de moi et me demande de lécher le gode dégoulinant de pisse. Ça j’adore, c’est avec avidité cette fois que je lèche l’instrument ne voulant rien perdre de ce précieux liquide. Malheureusement, ça ne dure pas très longtemps. La suite fut simplement hallucinante. Angélique se saisit d’une louche, puis entreprit de puiser dans le pot de chambre, pour emplir trois coupes de champagne pour Kriss, Jenna et Victor (le type taciturne en veston cravate). Ce dernier a d’ailleurs sorti son sexe de sa braguette et bande fort joliment. Les trois complices trinquent joyeusement… puis trempent leurs lèvres dans le pipi d’Angélique. Kriss gratifie Jenna d’un nouveau patin, puis tandis que cette dernière et Victor regagnent leurs places respectives, Kriss habille le gode d’un préservatif. Angélique me détache pour m’installer sur une table. J’ai les poignets attachés à deux extrémités de la table, tandis que mes chevilles sont tirées en l’air par deux chaînes. Je suis donc là, couché sur le dos, les jambes en l’air; les fesses très proches du bord de la table.

Kriss s’approche, elle tient toujours son verre de pisse à la main, et sans doute pour me narguer, l’avale d’un trait ! La revoici soudain toute douce :

– Si tu continues à être un bon esclave tu pourras en boire plein tout à l’heure !
– Merci Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il va t’arriver maintenant ?
– Vous aller m’enculer maîtresse !
– Tu aimes ça te faire enculer ?

Je ne suis pas du genre à me faire piéger par ce genre de question.

– J’aime tout ce que tu me fais (parfois, je la tutoie, parfois je la vouvoie, elle s’en fiche apparemment)
– Je t’ai posé une question ! Tu réponds à la question.

Et pour me punir voilà qu’elle me serre les couilles. Elle me fait réellement mal. Tant pis, je lui dis ce qu’elle souhaite entendre !

– Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer !

Et le gode a déjà pénétré mon cul, me provoquant un plaisir trouble, encore une fois je ne peux que m’extasier devant son métier et sa pratique. Elle s’enfonce de plus en plus loin et commence des mouvements de va-et-vient.

– C’est bon, esclave ?
– Oui Maîtresse !
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite ?
– Je ne sais pas maîtresse !
– Tu ne t’es jamais fait enculer par un homme ?
– Non, Maîtresse !
– Tu le feras pour moi ?
– Je ne sais pas Maîtresse, (je me rends compte que je n’ai pas dit non)
– Si tu ne sais pas, moi je sais pour toi ! Mais il faudra me le demander !
– Oui Maîtresse !

Je crois avoir trouvé une porte de sortie pour échapper à cela, je n’ai pas trop envie, mais ma défense est faible.

– Vas-y ! Demande-le-moi ?

C’était donc cela !

– Je ne sais pas maîtresse !
– Fais-moi plaisir, tu es un bon esclave !

Le ton a complètement changé, je me sens craquer.

– S’il te plaît, cela me ferait tellement plaisir de te voir prendre par une bonne queue.

La maîtresse qui dit : « s’il te plait » à son esclave ! Je rêve ou quoi ? Elle me dit ça tout en ralentissant le mouvement de va-et-vient de son gode ceinture, tandis que ses doigts pétrissent à nouveau le bout de mes seins. Je résiste encore mais je sais que je ne tiendrais plus longtemps.

– Bon répète après moi : « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »

Je ne réponds pas.

– Tu sais très bien que je n’ai pas besoin de ton avis ! Simplement, ça me ferait tellement plaisir que ce soit toi qui me le demandes !

L’argument est fort et incontournable !

– D’accord Maîtresse ! Tout ce que vous voudrez !
– Donc répète après moi « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »
– Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave !

Son visage est radieux ! Je devine que pour elle cela constitue l’un des moments fort de la domination.

– Tu as droit à une récompense ! Tu préfères me lécher un bout de sein ou alors le trou de mon cul.

J’ai une envie folle de lui lécher le trou du cul mais je pense que cela viendra de toute façon, alors que lécher le sein d’une dominatrice est dans mon esprit, quelque chose d’exceptionnel :

– Votre sein, Maîtresse !

Je m’attendais à tout sauf que cela soit vrai, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Elle appelle Jenna et lui demande de lui cracher plusieurs fois sur ces seins. Jenna crache plusieurs fois enduisant ses jolis globes de sa bave.

Maîtresse Kriss, me tend le bout de son sein gauche :

– Une minute pas plus, pas plus !

Voilà une pratique que je n’aurais jamais imaginé, je lèche avec avidité ce petit bourgeon durci, mais le temps passe trop vite, je comprends aussi que maintenant je suis enchaîné à ma promesse. Tant pis, on verra bien.

Puis (surprise), Angélique, me détache, me met une laisse après mon collier de cou et me dirige vers la cage. Elle libère James, l’autre esclave et m’enferme.

Cela va donc être le tour de James de subir les caprices de Kriss. Ma visibilité n’est pas terrible puisque dans cette cage trop petite, où on ne peut guère bouger, je n’aperçois la scène qu’en regardant pardessus mon épaule. Elle domine James, préférant pour ce qui le concerne, lui travailler les couilles, plutôt que le bout des seins. Encore, une fois elle a l’intelligence de prendre en compte les fantasmes de ses patients sans pour cela négliger ce qui est le plus important pour elle : le spectacle qu’elle met en scène pour son propre plaisir (et celui de ses amis, par la même occasion)

J’ai bien sûr complètement débandé, mes couilles sont douloureuses, mes fesses toutes chaudes et mes tétons très sensibles. J’aperçois Victor dans son coin qui se masturbe et je me demande si c’est sa bite que je vais recevoir dans le cul ou celle de James, à moins qu’un autre larron… Ce sera pour moi une première, mais je ne vois pas comment j’aurais pu résister à Kriss et à ses minauderies. De toutes façons nous en avions plus ou moins parlé lors de notre rencontre préalable, et puis je suis venu ici en toute connaissance de cause.

James apprécie beaucoup moins bien que moi le gode trempé d’urine, par contre il se fait enculer par le gode avec beaucoup plus de bonne volonté que moi. Globalement, Kriss passera beaucoup moins de temps avec ce dernier qu’avec moi-même.

James est à nouveau attaché comme au début. Angélique vient me rechercher et Kriss m’ordonne à nouveau de marcher à quatre pattes, je me dirige maintenant vers James et me voilà à la hauteur de sa bite.

– Suce !

Le James bande assez mou; mécaniquement comme dans un rêve je lui lèche la verge, c’est bon, c’est doux.

– Je ne t’ai pas dit de lécher je t’ai dit de sucer.

Alors, j’introduis le gland dans ma bouche, et le suce. James à l’air d’apprécier. Son sexe grossit dans mon palais, j’ai honte de ce que je fais mais je réalise l’un de mes fantasmes secrets et ma pine réagit bien en montrant le plafond. Mais voici que survient Victor, qui s’est maintenant complément mis à poil. Kriss me fait relever. Victor suce à son tour la bite de James, il sucera aussi la mienne mais très peu de temps. Heureusement d’ailleurs parce qu’il ne fait pas ça très bien.

– Laquelle tu veux ? Demande Kriss.

Victor désigne la queue de James, nettement plus grosse que la mienne, et lui place un préservatif. Kriss ordonne alors à James d’enculer Victor. Ce dernier à l’air surpris, s’attendant plutôt au contraire, mais un coup de cravache l’oblige à obéir.

– Et interdit de jouir ! Menace Kriss ! Puis s’adressant à moi : Et pendant ce temps tu vas le sucer !

Je suce donc la bite de Victor qui s’est agrippé au bord de la table tandis que James l’encule. Kriss donne des coups de martinets assez légers à ce dernier pour maintenir son érection semble-t-il. Il s’arrête au bout de quelques minutes.

– Ben quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– Je suis obligé de m’arrêter je vais jouir.
– Alors retire-toi ! Connard !

Et Kriss ponctue son ordre d’un formidable coup de cravache. James quitte le cul de Victor et éjacule dans son préservatif.

– Bravo ! C’est malin ! Retourne dans ta cage !

Je crains que Kriss m’oblige à prendre le relais, mais pour l’instant je continue de sucer Victor, sa queue est chaude et douce, je réalise que c’est la deuxième fois de la matinée que je suce une queue. Mais je trouve cela bien agréable. Kriss lui demande :

– Tu veux qu’il te reprenne ?
– Non, j’ai envie de jouir, c’est moi qui vais l’enculer !
– Alors, c’était bon la bite ? Me demande-t-elle.
– Oui maîtresse, délicieux !
– Tu n’es qu’un pédé ! Dis-le !
– Je ne suis qu’un pédé, maîtresse !
– Et maintenait tu vas te faire enculer par la bonne bite que tu viens de sucer !
– Oui maîtresse !
– Répète tout !
– Et maintenant je vais me faire enculer par la bonne bite que je viens de sucer !

C’est Angélique qui une fois de plus me place sur la table comme tout à l’heure, et Victor après s’être posé un préservatif s’apprête à me pénétrer tandis que Kriss, de nouveau, s’amuse avec le bout de mes seins. Sa bite a un peu de mal à entrer, on me met un peu de gel, il force un peu puis entre deux centimètres avant qu’un coup de rein fasse pénétrer plus avant sa bonne queue dans mon trou. C’est loin d’être désagréable d’autant que Kriss me travaille bien les seins. Ça dure plusieurs minutes, puis il jouit et se retire, laissant mon trou du cul béant de douleur trouble.

En quelques minutes, j’aurais donc franchi deux caps, je suis devenu un suceur de bites et un enculé et cette idée m’émoustille.

Kriss m’intime l’ordre de me mettre à genoux près du tableau noir et d’attendre. Victor, soulagé quitte la pièce, je ne le reverrais pas pendant le reste de la séance. Pendant ce temps-là, Kriss s’approche de la cage où est enfermé James; ils échangent quelques paroles que je n’entends pas puis, elle fait ouvrir la porte, le libère et alors lui donne congé avec un magnifique sourire. Il veut l’embrasser, elle n’y tient pas trop mais accepte quand même un petit bisou sur la joue, puis notre homme disparaît accompagnée d’Angélique.

Pendant ce temps Kriss et Jenna se refond des patins. Puis, Kriss tout en en continuant à embrasser partout sa copine entreprend de la déshabiller, ne lui laissant que son slip. Je peux alors admirer sa poitrine opulente bien ferme terminée par de belles pointes brun foncé.

Elles se calment enfin et discutent de je ne sais quoi, en fait, elles attendent le retour d’Angélique qui finit par réapparaître toujours toute nue.

– Ils sont partis ?
– Oui madame, Victor lui a demandé s’il accepterait de l’enculer à nouveau.
– Tiens donc ? Et ensuite ?
– Je ne sais pas, l’esclave s’est rhabillé et Victor est sorti avec lui.

Voilà au moins une conversation insolite. Kriss me refait mettre debout, tripote un peu le bout de mes seins pour raffermir mon érection qui se laissait un peu aller et en prime m’envoie une paire de gifles et quelques crachats..

– Prend la craie et écris ce que je vais te dicter.
– Oui Maîtresse !
– Ecris : « J’aime beaucoup sucer des bites et me faire enculer ! »

Je trouve l’ordre débile mais je m’exécute, je n’ai aucune honte ni aucune gêne à écrire cela, si cela peut lui faire plaisir.

– Mais qu’est-ce que tu as écrit ?
– J’ai écrit ce que vous m’avez dictée, Maîtresse !
– Et menteur par-dessus le marché. Viens voir, Jenna !

Jenna s’approche de moi. C’est décidemment une très belle femme superbement foutue, mais elle est loin d’avoir le piquant de ma maîtresse.

– Je peux le punir !
– Ne te prive surtout pas !

Et, vlan Jenna me balance deux gifles, elle ne sait pas bien faire, mais heureusement elle n’a pas voulu me faire trop mal. Elle se saisit ensuite d’une règle d’écolier :

– Donne tes doigts !

Voilà des années que je n’avais pas reçu cette punition, j’en avais même oublié l’existence, je tends mes doigts de la main droite.

– Compte avec moi !
– Un, aïe, deux !

Ça fait quand même assez mal.

– Non mais dis donc, tu vas arrêter de ronchonner ?
– Pardon, maîtresse !

Je reçu ainsi dix coups de règles sur chaque main, maintenant j’ai le bout des doigts tout endolori.

– Prend la craie et écris ta punition :
1 lécher le trou du cul de Jenna
2 la bougie
3 les élastiques
4 les orties
5 cinquante coups de martinets.

Je me demande comment je vais supporter tout cela d’autant qu’il y a là-dedans des trucs qui ne me disent rien du tout. Mais c’est surtout la première punition qui m’inquiète, sucer un trou du cul n’a jamais été une punition pour moi, plutôt une récompense… à moins que… Mais, mes réflexions s’arrêtèrent là, Kriss ordonnant :

– Retire-lui sa culotte !

Je le fais, découvrant par la même occasion une très belle chatte rasée de près.

– Renifle la culotte !

C’est ce que je craignais, il y a un tas d’odeurs là-dedans et si certaines respirent l’intimité de la féminité, d’autres m’inspirent moins !

– A genoux et lèche lui le cul !

Manifestement son cul n’est pas bien propre. J’hésite et je fais une diversion en lui embrassant les fesses.

– Pas les fesses, le trou !
– Mais maîtresse, il est un peu sale !
– Ha ! Ha ! Jenna explique à l’esclave ce que je t’ai demandé de faire ce matin.
– Ce matin, j’ai fait un petit caca, et j’ai oublié de m’essuyer !
– Donc s’il est sale, c’est exprès, maintenant, nettoie-le !
– Euh…
– Bon, tu es prié de m’obéir !
– Une autre fois, Maîtresse, je ne me sens pas prêt pour ça !
– Tu as vraiment envie que je te vire ?
– Non maîtresse !
– Alors essaie, tous ceux qui ont essayé en ont redemandé ensuite ! Et dépêche-toi !

Elle me tire les cheveux et me place mon visage contre l’anus de Jenna !

– Maintenant lèche, esclave ! Lèche sa merde !

Voilà un ordre qui a le mérite d’être explicite. Je soupire un bon coup et me fais violence, puis, je m’aperçois avec surprise qu’à part une odeur un peu forte et pas franchement agréable, mais qui ne persiste pas, le fait de la lécher ne me provoque aucun dégoût. Du coup, je me mets à bander et lui lèche le cul avec application, lui nettoyant les taches brunâtres et allant même jusqu’à pénétrer ma langue dans son anus. Je me dis alors que je venais peut-être de découvrir quelque chose.

– Je vais faire une petite crotte ! Préviens Jenna.

Par reflexe, je m’écarte sur le côté, c’est Kriss qui ramasse la crotte et la porte à sa bouche pour la sucer avant de la refiler à Jeanna. Elle sont dégueulasses.

– Quel bon esclave ! Me dit Kriss, tu le referas ?
– Oui Maîtresse !
– La prochaine fois, je chierai devant toi, je ne m’essuierais pas et tu me serviras de papier à cul !
– Avec grand plaisir, Maîtresse !
– Pour le moment, j’ai envie de rester seule avec Jenna, suis-moi.

Je la suivi jusque dans une pièce qui devait lui servir de bureau, là, elle consulta son agenda :

– Bon ! Toi j’espère que tu vas revenir, Jeudi prochain, j’ai un couple qui vient pour le déjeuner, mais ce sont surtout des spectateurs qui participent un peu, ça tombe très bien, pointe-toi vers 14 heures, ou plutôt non, ça me donne une idée : je t’invite aussi à déjeuner, viens à 11 heures et demi pile !

Elle ne me demandait pas mon avis ! Je m’absente très rarement de mon travail, et trouver un prétexte dans un délai aussi court ne serait pas évident ! Et puis ce n’est pas donné tour ça… Mais bon, on ne vit qu’une fois.

– Car tu viendras n’est-ce pas ?
– Oui maîtresse ! Murmurais-je.
– Et on fera quoi quand tu reviendras ?
– Je suppose que vous me ferez sucer des bites et que je me ferais enculer !
– Et lécher ma merde !
– Oui, bien sûr !
– Maintenant, branle-toi en regardant mes seins… et n’en fous pas partout me dit-elle en me balançant un kleenex.

Je ne tardais pas à jouir, et tandis qu’Angélique allait me récupérer mes vêtements, Maitresse Kriss me gratifia d’un petit bisou sur le bord des lèvres, j’en était tout chose.

Vivement Jeudi !

FIN DE L’EPISODE

Boris Vasslan © 2000 (révisé en 2003, 2018 et 2024)
La version 2003, outre la correction de quelques fautes et lourdeurs, intègre le prologue resté jusqu’ici inédit.
vasslan@hotmail.fr

Par Boris - Publié dans : Boris
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