Boris

Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 11:54

Route d'Anvers par Boris Vasslan et Arnaud

Fetish

Avertissement : ce texte est "une mise en plume", c'est à dire que je l'ai écrit à partir d'un plan détaillé que m'a fourni Arnaud. J'ai accepté, retrouvant là-dedans, nombre de mes fantasmes, ainsi que d'autres...

 

On m'avait donné l'adresse de ce petit restaurant situé sur la route quelques kilomètres avant Anvers. Il faut toujours se méfier de ce que l'on raconte. Certains ayant vécu des trucs suite à des circonstances exceptionnelles ont vite tendance à généraliser. Mais bon, je passais par-là, autant aller voir !

 

Une soubrette me demande mon choix. Jolie petite poitrine, assez piquante, la tenue est assez limite pour un restaurant "tout public". Le décolleté s'arrête le plus bas possible, s'il descendait encore, on verrait les tétons... Quant à la jupette, c'est du mini de chez mini. Les yeux sont d'un bleu assez exceptionnel, tout cela relevé par un maquillage savant et sans aucune outrance. Un vrai plaisir des yeux.. Elle à la voix très suave, quoiqu'un peu rocailleuse. Encore une qui doit fumer ses trente clopes par jour, on ne peut pas être parfait ! Elle se présente, elle s'appelle Lydia.

 

Je commande une moule frite et une bonne pinte de bière.

 

Je déguste tout cela, c'est bon, c'est appétissant sans toutefois être exceptionnel. Je me demande néanmoins quand va venir le temps de la sollicitation. En attendant, je jette un regard circulaire, il y a peu de client, une quinzaine sans doute, que des hommes à l'exception de deux couples. Il y a une autre serveuse. Elle me flashe encore plus que la précédente. Faut dire que j'ai des goûts un peu spéciaux. Un grand machin d'un mètre soixante quinze, légèrement carré, blonde vénitienne bronzée. Sa tenue laissait ses épaules et une partie de son dos dénudé, je m'aperçus alors qu'il était constellé de tâches rousses. J'adore ! Quant aux formes ? Mon dieu !! Le visage est peut-être moins agréable que celui de sa camarade, mais que voulez-vous, elle m'excite davantage. J'appris un peu plus tard qu'elle se nommait Greta !

 

J'attends qu'on vienne me proposer un dessert. Cette maison n'a pas l'air d'être la reine de l'organisation. J'attends. J'attends et pour tromper mon attente, je décidais de faire un petit pipi. Les toilettes sont sur le chemin des cuisines. C'est assez mal éclairé et j'ai laissé mes lunettes sur la table. Les deux urinoirs sont occupés, aucune importance, je pisserais dans la cabine. Mais je rêve ou quoi ? Comment ais-je fait pour ne pas voir du premier coup d'œil ce qui se passait ?

 

Un type est en train de pisser et à côté de lui, il y a Greta qui lui raconte je ne sais pas quoi, et la main de cette dernière est sans ambiguïté sur le sexe du monsieur. Alors là ! Je n'en reviens pas ! Je me demande s'il est autorisé de faire le voyeur dans cet établissement, donc je ne bouge pas. J'ai alors droit à un magnifique sourire de Greta Je ne sais plus où me foutre ! J'ai dû rougir ! Elle a retiré sa main du membre de l'homme. J'espère ne pas les avoir interrompus et je me dirige vers la cabine. J'ai alors l'idée de ne pas la verrouiller, pressentant qu'il pourrait peut-être se passer quelque chose. Je me débraguette, et ça ne rate pas, la porte s'ouvre…

 

- Je peux entrer ?

 

C'est complètement surréaliste !

 

- Bien sûr !

 

Elle rentre, et me fout carrément la main à la bite. Avoir cette beauté à quelques centimètres de mes yeux me transportait dans un état second.

 

- Hum, c'est mignon, tout ça !

 

Je ne sais pas si c'est mignon, mais ça bande instantanément. Je crois alors qu'elle va me masturber, mais elle se contente de me tripoter quelques secondes.

 

- Je passe à 13 h 20 ! Tu viendras me voir ?

- Oui !

 

J'ai répondu "Oui", mais je ne sais même pas de quoi il s'agit ! Greta a disparu, je peux à présent pisser en paix puis retourner à ma place !

 

Pas étonnant que le service soit si long, ces dames ne peuvent pas être partout !

 

J'ai enfin eu droit à mon dessert. Il est tout de même extraordinaire de constater la pauvreté de la carte des desserts dans ce genre d'endroits. Même pas la possibilité de bouffer une simple poire. Je bouffe d'un air maussade une crème caramel de série Z. Il est 13 heures et des brouettes !

 

C'est alors que Lydia s'approche de moi !

 

- Ça va ? Bien mangé ?

- Ça va !!

- Vous désirez autre chose ?

- Que proposez-vous ?

- Un café, un alcool, un cigare, un câlin ?

- Un câlin ?

- Oui, un câlin avec moi ?

- Et ça consiste ?

- C'est un petit strip-tease qui dure dix minutes. Vous allez pouvoir me voir à poil !

- Juste un strip-tease ?

- Oui !

 

Je suis un peu déçu, du coup, je me demande si je vais accepter.

 

- Ce n'est pas un câlin, alors ?

- Si, c'est un câlin pour les yeux, et puis vous avez le droit de vous masturber pendant la séance. Je passe à 13 h 30. Mais si vous préférez voir Greta, elle va passer tout de suite à 13 h 20 !

 

A l'évocation du nom de Greta, je change tout de suite d'avis. Elle m'indique qu'il faut prendre un ticket à la caisse en même temps que je m'acquitterais de l'addition de mon repas.

 

Nous sommes quatre à vouloir assister au spectacle de Greta, ce n'est pas énorme, mais qu'importe ? La prestation a lieu dans une petite salle sans siège et faiblement éclairée.

 

- Bonjour les mecs, je vais vous dévoiler tous mes charmes, mais attention, je ne le ferais que si vous vous branlez devant moi. Alors je vais vous demander de baisser vos pantalons, vos slips et vos caleçons et je commence !

 

Mon voisin de gauche s'exécute, je l'imite les autres aussi. La sono nous crache une musique très piano-bar et Greta tournicote à son rythme, envoyant prestement valser le tablier, puis la jupe, puis le petit haut. Au bout de deux minutes, elle est déjà en sous-vêtements. Comme Lydia passe à 13 h 30, ça veut dire qu'il reste huit minutes. Ça me paraît bien expéditif, ce truc !

 

Viens alors le sacro-saint moment où elle va retirer ses bas. Elle met un temps infini à exécuter cette action qui ne m'émeut pas plus que ça ! Ça y est, il ne reste plus que le slip et le soutien-gorge et... 5 minutes au "grand maximum".

 

Je me masturbais jusqu'à présent que mollement, pour ne pas dire symboliquement, mais la vue de sa superbe poitrine maintenant libérée me remotiva sérieusement.

 

Il se passa alors quelque chose d'étrange, mon voisin de gauche qui bandait lui aussi joliment effectua un quart de tour sur lui-même, dirigeant son sexe vers moi. Il ne dit rien, il regarde son sexe, il regarde le mien, il me regarde. J'avoue ne pas bien comprendre. Il tend timidement une main vers ma bite. Je le laisse faire. Me voici en train de me faire branler par un mec. Ça ne me dérange pas plus que ça ! Greta s'approche alors de moi, m'attrape la main et la dirige vers le sexe du gars. Ah, bon ! On va faire dans la masturbation réciproque ! Pourquoi pas ? La situation, je l'avoue, m'excite. Il reste moins d'une minute et Greta est toujours en slip. Elle joue avec ses fesses toutes rebondies, toutes excitantes. C'est quand même super mignon une paire de fesses avec des taches de rousseurs ? Non ? Et puis... Zlouf ! Elle enlève le slip, écarte les jambes libérant devant le public ébahi une fort jolie quéquette ! Elle salue l'assistance. Nous sommes trois à applaudir, la quatrième quitte la salle en bougonnant.

 

- Voilà, merci Messieurs, ceux qui veulent assister au show de Lydia doivent reprendre un ticket à la caisse !

 

C'est ce qui s'appelle rester sur sa faim ! Je me reculotte.

 

- Attendez, tous les deux !

 

Attendre quoi ? Greta s'approche de moi et de mon voisin masturbateur :

 

- Si vous le désirez, on peut se faire quelque chose de plus sérieux tous les trois ! Ça vous dirait ?

 

Bien sûr que ça me dit, j'espère simplement qu'il ne s'agit pas d'un attrape gogo... L'autre est partant aussi. On nous explique qu'il faut aller acheter un ticket "rose" à la caisse.

 

- Un ticket rose, s'il vous plait ?

- Avec Greta ou avec Lydia ?

 

Du coup je vais satisfaire ma curiosité :

 

- Euh ! Lydia, c'est aussi un travesti ?

- Désolé, je ne vous le dirais pas, me répond la grosse gérante, il faut aller voir son show pour le savoir.

- Bon ! Alors un ticket avec Greta !

- Ok ! Ce sera pour 16 heures !

- 16 heures ! Pas avant ?

- Avant, elle est occupée !

 

Je jette un regard interrogatif à mon acolyte, ça ne le gêne pas, je donne donc mon accord.

 

- Mais qu'est-ce qu'on va faire en attendant ?

- Allez faire un tour, ou alors restez ici, il s'y passe parfois des choses amusantes l'après-midi ! Et pour Monsieur ?

- Un ticket rose également avec Greta ! Répond mon complice.

- Ce sera donc à 16 h 30 !

- Non, 16 heures, elle nous prend en même temps !

- Ah ! D'accord ! Remarquez tant que vous y êtes, Lydia est libre à 16 heures ! Vous ne voulez pas faire un truc à quatre ?

- Pourquoi-pas ? Si Monsieur est d'accord ? Répondit-il en se tournant vers moi...

 

Le type se présente, il se prénomme Vincent, il n'est pas véritablement un habitué des lieux, mais il connaît un peu, il est déjà venu...

 

- Alors, tu sais pour Lydia ?

- Non, les filles tournent pas mal ici, elles viennent d'Anvers. Souvent il y a un travesti et une fille, mais ça n'a rien de systématique.

- On fait quoi en attendant ?

 

Je jette un coup d'œil dans la salle, il reste six hommes seuls, attablés, ils ont fini de déjeuner et attendent probablement leur tour devant une choppe de bière. Il reste aussi l'un des deux couples.

 

- Il y a un billard au premier, sinon on peut jouer au flipper... mais je me demande... me répond Vincent... Viens avec moi et laisse-moi faire, je suis presque sûr de mon coup.

 

Je le suis, intrigué, il s'approche de la table du couple, ils ont la quarantaine passée tous les deux. Monsieur est plutôt quelconque, chauve et légèrement bedonnant, mais comme on dit, il a une bonne bouille. Madame est une grande blonde habillée assez classique et coiffé à la Greta Garbo ! Elle a, ma foi, de forts jolis restes.

 

- Le truc c'est de ne surtout pas passer pour des voyous ou des détraqués, il faut faire sympa ! Me chuchote Vincent.

 

On est maintenant tout près d'eux :

 

- Bonjour je m'appelle Vincent

 

Ces braves gens nous accueillent avec le sourire, mais n'en décroche pas une.

 

- Vous attendez quelque chose ?

- A vrai dire, non ! C'est bien calme cet après-midi ! On va partir, on reviendra peut-être ce soir !

 

Vincent ne répond pas, mais se place à côté de l'homme en se mettant ostensiblement la main sur la braguette et en se la frottant de façon assez suggestive. Il fallait voir le regard du type ! Tout cela ne dura que quelques instants. Et puis il effectue un petit mouvement de hanche pour rapprocher l'accès de son entre jambe de la chaise de l'homme qu'il est venu importuner. Celui-ci, les yeux troubles, la bouche sèche, se lance et touche la braguette de Vincent, lequel lui rend la politesse en touchant à son tour à son centre stratégique. Et c'est tout !

 

- On vous laisse, on va aux toilettes ! Allez viens, toi ! Me dit-il en me donnant une grande tape sur les fesses.

 

On arrive aux toilettes.

 

- Normalement, ils devraient débouler, tu prends l'homme ou la femme ?

- La femme si j'ai le choix !

- No problems ! On invertira peut-être si on a le temps, sort ta queue et branle-toi, façon décontractée, ils ne devraient plus tarder !

 

Putain, que cette situation peut être excitante, on est là tous les deux en train de se masturber devant les urinoirs de ce très curieux restaurant.

 

- On va se branler mutuellement, ça les excitera encore davantage. Ils devraient être là, je ne sais pas ce qu'ils fabriquent ?

 

C'est Madame qui arrive la première. Elle est écarlate.

 

- Charmant spectacle, n'est-ce pas Hubert ? Dit-elle à l'adresse de son mari qui la suivait immédiatement.

 

Mais déjà Vincent a collé sa main sur le pantalon du dénommé Hubert qu'il entreprend de débraguetter, le vêtement tombe par terre avec un petit bruit étouffé, suivit du caleçon.

 

- Oh ! Jolie bite ! Dira Vincent qui la masturbe quelques instants et qui se la fourre ensuite carrément dans la bouche.

 

Le manque de place se fait cruellement sentir. Madame s'en va dans la cabine, qu'elle laisse bien sûr ouverte, et comme si elle s'apprêtait à pisser, elle soulève sa jupe, baisse sa culotte et s'installe sur le siège. Elle a la chatte rasée avec un petit tatouage représentant une petite fleur. C'est trop mignon ! Je m'accroupis devant elle et commence à lécher.

 

- Vous pouvez me sucer, mais autant vous prévenir tout de suite, j'ai réellement envie de pisser !

- Ce n'est pas un problème, tout le plaisir sera pour moi !

 

Je la lèche. Sa chatte est délicieuse, une odeur un tout petit peu forte, mais bien agréable. Ma langue explore tout ce qu'elle peut explorer, je lui sucerais bien le trou du cul, mais la position n'est pas adaptée !

 

- Arrêtez un instant, s'il vous plaît !

 

Ce vouvoiement est insolite, je me recule un peu, je comprends qu'elle "pousse" afin de libérer son envie de pipi. Et puis ça y est, une goutte, un petit jet. Je plonge mon visage, j'en avale un petit peu, j'adore ça ! Je ne peux toutefois pas tout boire, je me recule pour laisser le liquide s'écouler, puis je vais pour reprendre...

 

- Donnez-moi donc votre bite, je vais m'occuper de ma chatte toute seule !

 

Ah, bon ? Ce n'est pas un problème ! Je me relève donc et viens près d'elle. Elle a ce geste qui peut paraître inopportun dans une telle situation, mais que je trouve pour ma part parfaitement normal, de vérifier l'état de salubrité de mon membre viril. Rassurée, elle me le gobe. Et tandis qu'elle me besogne, j'assiste à cet incroyable spectacle : Monsieur Hubert est plié en deux devant la cabine et se fait proprement sodomiser par Vincent qui s'excite en parlant :

 

- Ça te plait de te faire enculer par une bonne bite pendant que ta femme taille une pipe ? Hein ? Hein mon salaud ?

- Oh ! Mais c'est très excitant, une fois !

- Et toi la salope, ça te plait de sucer une queue pendant que ton pédé de mari se fait mettre une pine au cul ?

 

C'est alors que j'entends cette incroyable réplique :

 

- Ne me traitez pas de salope ! Vous pourrez le faire quand vous m'aurez sauté, et ce n'est pas demain la veille ! Continuez donc ce que vous faisiez en silence, j'ai besoin de concentration !

 

Vexé, le Vincent ! Il ne le montrera toutefois pas, et déchargera en silence dans le fondement d'Hubert. Quelques instants plus tard, j'en faisais de même dans la bouche de Madame. Elle eut alors ce geste rare, de retirer quelques gouttes de sperme de sa bouche pour de ses doigts les porter à sa chatte et finir de se masturber ainsi !

 

- Venez ! Me dit la femme en sortant de la toilette.

 

Elle ne s'adresse qu'à moi, pas à Vincent ! Elle me file sa carte.

 

- Voilà, je me prénomme Florence, si un jour vous repassez à Anvers, venez donc nous... comment dites-vous dans votre langage... nous enculer ? C'est bien ça ?

- Ce sera avec grand plaisir, Madame !

 

Il est 16 heures ! C'est Greta qui vient nous chercher, et elle nous emmène dans une petite chambre, avec (heureusement) un grand lit. Tout le monde se met à poil ce qui me permet de constater que Lydia est bel et bien une femme. Je ne me lasse pas d'admirer ces deux magnifiques créatures. Je me demande laquelle je préfère. Sans doute Greta, malgré tout. Cette ambiguïté est si troublante !

 

- Bon, ce n'est pas évident de faire un truc à quatre ! Nous prévient d'emblée Lydia. On va faire de notre mieux. Le plus simple serait sans doute de vous dominer. De la domination soft, vous êtes d'accord ?

- C'est à dire ?

- C'est à dire qu'on vous donne des ordres, des instructions si vous préférez, et vous les exécutez sans broncher, comme si c'était un jeu.

 

Ça me paraît bizarre, son truc, mais cela convient fort bien à Vincent, je m'incline donc :

C'est Greta qui commence à ordonner :

 

- On va commencer par continuer ce que vous n'aviez pu finir tout à l'heure pendant le strip. Branlez-vous mutuellement la bite ! Je veux les voir bien raides !

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C'est donc la troisième branlette réciproque de la journée. Je vais finir par devenir un spécialiste !

 

- Hum ! Faite voir ça ! Intervint Lydia. Pas mal ! C'est bien raide, mais ça ne vaut pas celle de Greta ! Allez donc la sucer !

 

Whaah ! Le pied ! On se positionne de part et d'autre de la bite du travelo et on le suce, on le lèche. Ce n'est pas forcément très pratique, alors au lieu de faire du simultané, on se la refile à tour de rôle. Elle ne tarde pas à bander magnifiquement. Tout à l'heure, pendant le strip, elle pendouillait, là elle se redresse avec fierté, elle nous nargue ! J'en veux encore, j'en redemande, j'en reprends, je ne me lasse pas de sucer une aussi belle chose !

 

- Tu es trop gourmand, me dit Lydia, laisse-en un peu pour ton copain, tu va aller maintenant le sucer derrière !

 

J'aime moins ça, c'est très clair ! Mais ça a son charme, je m'amuse à fureter de la langue dans son trou du cul au goût légèrement âcre malgré qu'il soit propre !

 

- Allez ! Caressez-le partout! Embrassez-le !

 

On ne se le fait pas dire deux fois, Vincent et moi le recouvrons littéralement de baisers, les cuisses, le ventre, les seins bien sûr, sa magnifique poitrine et ses gros tétons marrons.

On essaye diverses positions, après nous être occupés de Greta, nous nous sommes occupés de Lydia, lui léchant à tour de rôle les seins, la chatte, le cul. Hélas le temps passe bien trop vite !

 

- Mettez-vous à genoux tous les deux, relevez vos fesses et ouvrez votre trou du cul, vous allez voir ce que vous allez voir !

- C'est que... j'aurais préféré... tente d'intervenir Vincent.

- Qu'est-ce que tu as à rouspéter, toi, tu étais d'accord pour que l'on fasse ça en domination, alors tu ne discutes pas et tu ouvres ton cul mieux que ça et d'ailleurs on va commencer par toi !

 

Avant qu'il ait le temps de dire ouf, Greta lui enduit le trou du cul de gel lubrifiant, puis ayant revêtue une capote le pénétra assez brutalement provoquant un cri de Vincent que les pilonnages du travesti transformèrent bientôt en râle de satisfaction !

 

J'attends, anxieux, mon tour, il vint vite. A l'instar de Vincent, la pénétration me fit mal, puis tout se calma et je succombais au charme de cette perverse pratique.

 

La conclusion approchait, hélas ! Lydia choisit de me chevaucher - ça tombe bien, j'adore cette position, ce n'est pas vraiment fatigant - tandis que Greta faisait jouir Vincent dans sa bouche d'une fellation experte.

 

Je quitte ce restaurant, fourbu mais content. Arrivé à ma voiture, je range un peu mes affaires. Je regarde le carton que m'a refilé Florence. Pourquoi pas ?

 

- Allô, Florence !

- Oui

- C'est Arnaud, euh, une idée comme ça, si je passais ce soir ?

- Mais c'est une excellente idée, cher ami, passez donc, passez donc !

 

Quelle journée !

 

© Boris Vasslan - Alençon Août 2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 08:11

Dans l’petit bois, devinez quoi qui y a… par Boris Vasslan

 

Yeux

 

J’ai toujours été un peu voyeur, mais pas le voyeur qui se cache ou qui prend plaisir à surprendre ses « victimes », non le voyeur qui aime bien regarder des gens qui aiment s’exhiber !Très casanier et ayant peu l’occasion de me déplacer, je n’ai qu’assez peu concrétisé ce fantasme…

Et puis un jour les circonstances on fait que…

 

Récit

 

Une succession très compliquée, mon homme d’affaires m’avait prévenu qu’il ferait le maximum pour m’éviter de faire des démarches moi-même, mais on ne pouvait échapper à certaines, et cela s’étalerait sur deux ou trois jours. J’avais donc pris une chambre d’hôtel dans cette ville bourgeoise de la banlieue parisienne.

 

Je me maudis le premier soir, il n’y avait strictement rien à faire dans cette ville, les activités culturelles, théâtre ou cinéma ne me branchaient pas plus que ça, et en ce qui concerne les plaisirs plus triviaux, il n’y avait rien du tout, ou alors tout cela était très bien caché. Pourquoi, couillon que je suis n’avais-je pas pris chambre à Paris, où les choses auraient été plus simples ?

 

Je vous entends d’ici ! Il n’avait qu’à résilier sa location, il n’avait qu’à aller à Paris en taxi et revenir de la même façon… Oui certes et c’est d’ailleurs ce que j’avais décidé… mais pour le lendemain, je n’aime ni les décisions précipitées, ni les changements de plans intempestifs, je suis comme ça ! Et puis il n’y aurait pas eu ce récit…

 

Et c’est le lendemain midi en fouillant dans une bibliothèque de gare, je dégote un « Guide des endroits chauds de la France entière » ! Je l’achète, plus pour le fun que pour autre chose, mais poussé par la curiosité, je recherche malgré tout si à V… il n’y aurait pas quelque chose.

 

« Dans les bois de XXX, en fin d’après-midi vous pouvez faire des rencontres intéressantes, couples, hétéros, homos, partouzeurs, voyeurs et exhibitionnistes se donnent parfois rendez-vous… mais armez-vous de patience, parfois il ne s’y passe rien du tout »

 

 

Ça alors ! Et donc ce Jeudi, libéré de mon rendez-vous, et après avoir acheté un petit plan de la ville, me voici en route vers cet endroit intriguant.

 

L’endroit est assez loin, il faut longer d’abord un long plan d’eau au bord duquel patientent des pécheurs à la ligne, un peu plus loin dans les contre allées se sont les joueurs de pétanques qui tapent la boule.

 

Les gens me regardent et je réalise soudain qu’avec ma cravate et mon blazer démodé, ma présence doit paraître incongrue dans ces lieux, je décide donc d’enlever la cravate et de poser le veston par-dessus mon épaule, et d’avancer décontracté en sifflotant légèrement, voilà qui est du meilleur effet. Il reste mes chaussures qui ne sont pas vraiment adapté à la marche dans la nature, mais que voulez-vous, je ne vais tout de même pas revenir en arrière pour acheter des baskets !

 

Le bois est un peu plus loin, j’ignore s’il faut y entrer par la droite ou par la gauche, j’essaie la droite, je ne suis pas très optimiste, le temps vient de se couvrir.

 

J’avance dans ce fouillis incroyable, ce bois est vraiment très peu fréquenté, il y a malgré tout quelques clairières où gisent dans les coins quelques papiers gras, restes de pique-niques pratiqués par des cochons. Je farfouille, je regarde à l’extérieur de la clairière, un tas de saloperies, et puis là jonché sur le sol, quelques préservatifs qui ne serviront plus jamais… c’est bon signe !

 

Je continue à avancer, j’ai un peu peur de me perdre, un moment je reviens sur mes pas, j’ai chez moi toute une collection de jolies petites boussoles, j’aurais dû, me dis-je en emporte une !

 

Un bruit caractéristique, des branches que l’on bouge, voici donc quelqu’un ! Effectivement un type me croise, un type tout ce qui il y a de plus ordinaire, il me dit « bonjour » ! Moi quand on me salue, je réponds toujours.

 

– Pas grand monde cet après midi ! Reprend-il

 

Ignorant où il veut en venir, je reste évasif !

 

– C’est vrai que c’est un peu désert !

– Pourtant il y a trois bagnoles d’arrêtées plus haut, ils doivent bien être quelque part !

 

Je comprends alors que le type est aussi voyeur que moi, mais c’est quoi cette histoire de voiture ? Je ne sais pas trop quoi lui répondre, je m’en sors par une pirouette.

 

– Vous savez, je ne suis pas du coin, je venais à tout hasard !

– Oh ! Dés fois on n’est pas déçu, tenez la semaine dernière je suis tombé sur une nana qui étaient avec deux mecs, ils l’avaient attaché contre un arbre, et ils lui fouettaient les fesses ! Et elle aimait ça, elle en redemandait la chienne, fallait voir le joli petit cul qu’elle se payait !

 

Comme je reste plutôt impassible, le gars se reprend un peu :

 

– Euh, je ne vous choque pas, j’espère ? Après tout on ne connaît pas !

– Mais non, pas du tout !

– Vous voulez que je vous raconte la suite ?

– Mais je vous en prie, je suis tout ouïe !

– Je peux employer des mots crus ? Ça ne vous choquera pas ? C’est sûr ?

– Ecoutez, je serais le genre à me choquer, sans doute ne serais-je pas ici !

 

L’inconnu prend alors une profonde inspiration et continue son récit

 

– Quand je suis arrivé, il y avait déjà deux mateurs qui se branlaient en regardant, je les ai rejoins, j’ai fais comme eux, j’ai sorti ma bite, j’adore me montrer ! On était en retrait mais on ne se cachait pas, Alors les deux gars nous ont fait signe d’approcher L’un des types disait à la femme : « Regarde tous ces mecs qui se branlent en regardant ton cul de salope, je suis sûr que tu aimerais bien les sucer ! » Et elle qui répondait « Oh oui j’aimerai bien les sucer, j’adore ça, sucer des bites ! » Malheureusement on n’a pas eu le droit de s’approcher, ils l’ont détaché, elle s’est mise en levrette et l’un des ses copains l’a enculé pendant qu’elle suçait l’autre, c’était géant. Tiens rien que d’en parler j’en suis tout excité !

 

Ça pour être excité, il est excité, à ce point qu’il met la main à sa braguette, sans doute afin de replacer son sexe de façon plus confortable.

 

– Ça devait être terriblement émoustillant ! Répondis-je histoire de dire quelque chose

– Hum, j’ai envie de me branler ! Tu veux qu’on se branle ensemble, puisqu’il n’y a rien d’autre à voir.

 

J’étais en train de chercher comment répondre à une telle proposition que je jugeais complètement farfelue, mais l’inconnu sans attendre mon accord, sort sa queue de sa braguette et commence à se l’astiquer. Un fort bel organe ma fois et qui ne me laisse pas indifférent !

 

– Tu ne va pas me laisser me branler tout seul ?

– Je vais peut-être attendre un peu !

– Reste au moins avec moi un moment, tu auras plus de chance de faire des rencontres !

– Justement pourquoi se branler alors ?

 

Il me fout alors la main à la braguette

 

– Parce que ça fait du bien et de toute façon on n’est pas obligé de jouir.

 

Je ne sais pas trop quoi faire, la vue de cette queue me trouble, mais je ne sais pas gérer cette situation. Evidemment il s’en aperçoit !

 

– Tu l’as trouve belle ma queue ?

– Elle est pas mal !

– Tu peux la toucher si tu veux !

– Je suis hétéro… Commençais-je.

– Moi aussi je suis hétéro, mais je suis ouvert à la discussion ! Allez branle-moi juste quelques secondes, histoire de voir comment ça fait.

 

J’ignore comment ma main a atterri sur son sexe, mais elle est là, et après quelques caresses furtives sur la peau de sa verge. (Quelle douceur cette peau !) Me voici en train d’esquisser quelques mouvements de masturbation. Simultanément Victor (on va l’appeler comme ça) me dézipe ma braguette et s’en va à la recherche de ma queue, je me laisse faire et quelques instants plus tard, nous voici en train de nous branler de conserve. Et puis le voilà qui s’arrête, dommage le jeu commençait à me plaire, mais non, c’est pour dégrafer ma ceinture, je le laisse opérer, mon pantalon tombe sur mes chaussettes, mon caleçon le rejoint quelques secondes plus tard. Je me sens un peu obligé de lui rendre la pareille. Je trouve qu’on a l’air vachement fin tous les deux le cul à l’air, mais c’est vrai que mon compère a eu raison, sa bite est bien plus jolie comme cela que simplement sortie d’une braguette !

 

Victor me tripote les fesses, me les flatte, me compliment sur mon joli petit cul. Il va falloir que je me méfie, je suis entré dans le bois pour mater des couples et si ça continue, je vais en sortir en m’étant fais défoncer le cul !

 

– Cette nuit tu va peut-être fantasmer sur ma bite ? Me dit Victor !

 

Drôle de réplique, pourquoi me dit-il ça ? Je n’ai rien contre les bites, bien au contraire, mais faire des trucs avec un parfait inconnu n’était pas dans mes projets immédiats, quant à fantasmer… N’importe quoi !

 

– Non ? Insiste-il

– Je ne sais pas !

– Tu va peut-être regretter de ne pas l’avoir sucé ?

– Nous verrons bien !

– Sauf si tu le fais !

– Je ne pense pas être prêt ! Répondis-je sans conviction

– Ça te fait envie ou pas ?

– Je n’en sais rien !

– Tu n’en sais rien ou tu n’oses pas le dire ?

– Je crois qu’on va arrêter, ça va trop loin…

– Suce-moi, juste un tout petit peu, et après on arrête ! D’accord ?

 

Je suis conscient du piège ! Alors quelle force m’a fait m’agenouiller devant Victor, la bouche ouverte ? J’ai son gland dans la bouche ! Quelle sensation ! Et je bande comme un taureau ! J’enfonce tout ce que je peux dans la bouche, je me régale, puis je fais ça un peu plus dans les règles, mes lèvres vont et viennent, je suce la bite d’un inconnu… et c’est bon

 

– Tu suces bien, petite salope !

 

Non, mais comment il me parle, celui-ci ? Une crainte me traverse l’esprit, et s’il lui prenait l’envie de me sodomiser, la seule solution est sans doute de lui faire une pipe à fond et le plus vite possible afin de le calmer, du coup je m’applique, j’y mets toute mon ardeur, le Victor est ravi, le Victor est aux anges, mais le Victor n’a pas prévu de jouir tout de suite.

 

Des bruits dans la forêt ! Comme un ressort je me redresse, je remonte mon pantalon.

 

– Continue, on n’a rien à craindre !

– Quelqu’un vient !

– Je sais, j’ai entendu, c’est ça qui est excitant !

– Vous êtes fou, si se sont des gosses

– Ce ne sont pas des gosses… Continue à me sucer, tu me faisais ça très bien !

– On ne les entend plus !

– Ils doivent être planqués, ils nous observent !

 

Je reprends ma fellation.

 

Une voix féminine :

 

– Vous devriez vous mettre complètement à poil ! Ce serait plus excitant !

 

Je m’arrête, c’est un couple, la quarantaine, la femme plutôt petite, très brune mais la peau très blanche, une petite robe noire très décolleté, joli visage, lui est en survêtement.

 

Victor, à présent enlève ses vêtements du haut, puis extrait son pantalon de ses pieds, il m’invite du regard à faire pareil. Je ne contrôle plus rien du tout !

 

– Allez, reprenez ! Nous demande le mec, ça excite ma femme de voir des mecs ensemble.

 

On reprend !

 

– T’as vu ça Isabelle, comme il lui suce bien la bite, je suis sûr qu’il suce mieux que toi !

– Ça m’étonnerait ! Répond la dame

– Remarque si on veut vraiment savoir, on peut sans doute s’arranger avec ces messieurs.

 

Le mari s’approche alors de nous, et m’adresse la parole

 

– Euh messieurs… j’ai une proposition à vous faire,

– Ah ?

– Oui, je vois que vous sucez très bien, si je constate que vous sucez mieux que ma femme, je vous l’offre à tous les deux, vous pourrez lui faire ce que vous voulez, enfin presque, elle est d’accord bien entendu ! N’est pas Isabelle ?

– Mais bien sûr, René chéri !

 

Le René se met à poil, pratique quand on est en survêtement, il me vient alors l’idée saugrenue que si je suis retenté par ce genre d’aventures il faudra que j’acquière un jogging. Isabelle a retiré sa robe, cette femme est super bien roulée, elle a un ensemble culotte et soutien gorge bleu absolument ravissant, s’il faut réussir une pipe pour pouvoir la sauter, je ne vais pas passer cette occasion. Je cherche le piège, je ne vois pas bien, à la limite il va me dire que je suce moins bien que sa femme, bon, on verra bien…

 

Me voilà à genoux devant le mari ! Victor m’encourage !

 

– Fais-lui ça bien, n’oublie pas que tu concoures pour moi aussi !

 

La bite de René est différente de celle de Victor, beaucoup moins sombre, plus veineuse, et le gland est plus clair tirant vers le rose, je commence par embrasser le bout, titille un peut le méat de la langue, puis fait coulisser son membre doucement dans ma bouche avant de sucer pour de bon. Tout en suçant je jette un coup d’œil, Isabelle a sorti son sein gauche et s’en pince le téton, sa culotte est écartée et de sa seconde main elle se branle la chatte. Mais c’est que je vais craquer moi ! L’excitation me pousse à me surpasser, j’essaie de sucer au mieux ce drôle de mari.

 

– Arrête, c’était bon, mais je ne veux pas jouir tout de suite !

– Alors ? Lui demande Isabelle !

– Vraiment pas mal, mais ce n’est pas aussi bien que toi, il faut bien l’avouer !

 

Le salopard ! J’aurais dû m’en douter ! Mais à bien y réfléchir ce pari était irréalisable, des bites, je n’en ai pas sucé tant que ça, alors comment pourrais-je prétendre faire mieux que cette femme qui m’a tout l’air d’avoir des années et des années d’expérience.

 

– Je comprends que vous êtes déçu ! Vous auriez bien voulu faire des trucs avec isabelle !

– C’est le jeu, j’ai perdu, j’ai perdu !

 

Isabelle s’est à présent débarrassée de ce sous-vêtement, quelque chose m’échappe ! Elle s’approche de moi et de Victor et d’une main négligente nous tripote la queue.

 

– On ne va pas les laisser comme ça, les pauvres chéris ! Minaude Isabelle

– Bon alors puisque ma femme est d’accord, vous allez pouvoir vous amuser avec elle, mais comme vous avez perdu…

 

René laisse sa phrase en suspens… c’est Isabelle qui continue

 

– Ben oui comme vous avez perdu, ce ne sera pas gratuit, vous allez me faire mon « petit cadeau » !

 

Et vlan ! En voilà une drôle de façon de tapiner ! Mon cerveau calcule à cent à l’heure ! Je n’ai rien contre les amours tarifiés, mais faire ça devant son maquereau ! Cela dit le maquereau, je viens de le sucer ! Et puis, au diable les calculs, je suis trop excité, on « négocie le tarif », ça me semble raisonnable.

 

– J’en suce un et l’autre va me prendre en levrette ! Propose Isabelle et elle nous tend des préservatifs, puis se met en position. Sans demander mon avis Victor se place devant le visage d’Isabelle qui commence à le sucer, je me place donc derrière, son cul est magnifique, je le caresse un peu, l’embrasse puis la pénètre. Ce n’est pas évident parque ce que les genoux reposent sur un sol jonché de brindilles et autres saloperies, mais excité comme je suis l’affaire ne dure pas très longtemps, je me surprends à jouir un peu trop prématurément à mon goût dans la capote. Quant à Victor, il jouit à son tour, puis sans un mot s’en va se rhabiller, et il nous quitte avec un simple « Tchao, bonne soirée ! » je m’apprête à faire de même, mais René m’interpelle :

 

bisex40b– Je suppose que vous n’êtes pas pressé, la nuit ne va pas tomber tout de suite, restez avec nous, on vous raccompagnera

– Euh ! Autant vous prévenir tout de suite, je n’ai plus d’argent liquide, j’en ai toujours très peu sur moi !

– Hein ? Mais qui vous parle d’argent ? Répond René d’un air rigolard.

– J’ai cru comprendre que vous pourriez me proposer d’autres prestations de votre amie…

– Ah ! Mais attends, je t’explique (du coup lui aussi passe au tutoiement) le coup du « cadeau », c’est un fantasme d’Isabelle, parfois ça la prend, elle nous joue la pute !

– Ça te choque pas j’espère ? Intervient Isabelle

– Mais non vous savez j’ai les idées larges !

– Alors en route…

 

Tous les trois rhabillés, nous voici en train de cheminer, il n’y a effectivement pas grand monde… Comme le chemin est étroit, il difficile de converser. Et puis on finit par croiser deux types, un black et un blondinet. Isabelle leur fait un petit sourire, mais le contact ne se fait pas !

 

– Ils vont où, ceux là ? Je demande !

– Ils vont faire demi-tour et nous suivre, je pense, on va s’arrêter à la prochaine clairière.

 

Elle est minuscule, la clairière. Le mari demande à Isabelle de se déshabiller, puis de s’agenouiller afin qu’elle puisse nous sucer alternativement… Du bruit dans les fourrées, bien sûr nos deux zigotos sont là !

 

– Vous pouvez vous approcher ! Lance René

 

Le blondinet sort de sa cachette, le black aussi mais reste en retrait.

 

– Bon les mecs, branlez-vous, ma femme adore ça !

 

Les deux zouaves ne bronchent pas, il va falloir leur mettre les points sur les i.

 

– Si vous ne vous branlez pas, on arrête tout, c’est comme vous voulez !

 

Le biquet se tourne vers son copain, qui fait deux pas en arrière, ils n’ont pas l’air d’accord, finalement après un moment d’hésitation le blondinet sort sa queue, le black l’imite quelques secondes plus tard.

 

Le mari chuchote alors :

 

– Isa, on te laisse le black, nous on s’occupe du biquet !

 

Isa a l’air d’accord, moi il ne me demande pas mon avis, il doit me prendre pour un mec qui fréquente le coin depuis des années ! Il devrait pourtant s’étonner du fait que nous nous ne soyons jamais croisés. Je commence à me demander si j’ai bien fait de rester. Mais pour l’instant tout va bien, Isabelle a repris sa fellation.

 

– Approchez-vous davantage, demande le mari !

 

Cette fois, ils s’approchent sans hésiter, l’excitation ça aide ! Du coup Isabelle se relève, se dirige vers le black et lui fout la main à la bite, l’autre se laisse faire, elle se baisse alors s’agenouille devant lui et commence à le sucer ! Ça alors, il n’y a pas de justice, pourquoi nous avoir fait payer, moi et Victor alors que pour lui c’est gratuit ! Pendant ce temps le mari s’est approché du biquet et le provoque :

 

– Tu sais que tu es mignon, toi !

 

Il ne répond pas, se contente de sourire bêtement !

 

– Qu’est ce que tu aimes, toi ? Questionne le mari, les hommes, les femmes, les deux !

– Les femmes, mais parfois les hommes aussi !

– C’est bien ce qui me semblait ! Et tu sais, je vais te dire un truc, j’ai une envie folle de voir ton petit cul !

– Pour ça je me fais payer ! Répond Biquet

 

Décidemment tout le monde est vénal dans ce bois, mais je ne vous dis pas la tête du mari !

 

– Et ton copain, aussi ?

– C’est pas un copain, c’est un client, mais on a sympathisé !

 

Ça devient de plus en plus compliqué de draguer dans les bois, je me marre dans mon coin.

 

– Mais attend, juste pour voir ton cul, pour le voir… tu ne te fais pas payer quand même ?

– Juste pour voir, non, mais ceci dit, je ne montre pas mon cul comme ça simplement parce qu’on me le demande.

– Tu peux peut-être faire une exception !

– Pas trop envie !

– Bon alors on va se quitter ! Isabelle s’il te plait tu arrête de sucer Monsieur ou alors tu lui demande un petit cadeau !

– Ça va pas non, elle est trop bonne sa queue ! Répond Isabelle ne s’interrompant que le temps de cette brève réponse.

 

Le biquet s’approche alors de moi !

 

– Et toi, t’es intéressé par un petit truc avec moi !

– Merci !

– Bon j’y vais, tu viens Désirée ? Lance-t-il à l’adresse de son copain black.

– Attends-moi une seconde je vais bientôt jouir !

– Non, mais quel bordel, mais quel bordel ! Soupire Biquet ! Bon allez, je solde, je vais vous montrer mon cul, mais on ne touche à rien, d’accord, ça vous donnera peut-être envie d’aller plus loin !

 

Effectivement son cul est magnifique, sans un seul poil, une rondeur et une cambrure parfaite, un vrai petit cul de femme qu’on a envie de caresser, de malaxer, de pénétrer. Mais bon, en qui me concerne, j’hésite un peu ! Pas René qui craque complètement, s’en va chercher un billet dans son portefeuille, en profite pour s’enchâpeauter la bite et fonce enculer le biquet !

 

– T’aimes ça qu’on t’encule, hein espèce de pédale ?

– Je suis peut-être une pédale et une pute, mais je te fais remarquer que tu m’as payé pour m’enculer, pas pour m’insulter, ni pour me rabaisser !

– Mais c’est un jeu, cher ami, un jeu, tu la sens bien ma grosse bite ?

– Elle n’est pas si grosse que ça, et l’essentiel vu les rapports que nous avons c’est que ça te fasse du bien, t’occupes pas de moi.

 

Deux à zéro ! Le mari est sonné, il ne bande plus il abandonne l’affaire ! Le black de son côté à joui, les deux zigotos disparaissent de la clairière.

 

– Sa bite était géniale ! Nous dit Isabelle qui n’avait pas tout suivi !

– Tant mieux pour toi !

– Parce que toi ça va pas ? T’es tombé sur un con, on dirait ?

– Non c’est moi qui suis con, je lui ai manqué de respect, chez quelqu’un d’autre il aurait mis ça sur le compte de l’humour, mais tout le monde n’a pas la même hiérarchie des valeurs. Pour lui je dois être un vieux beauf ricardisé, alors que bon, il doit y avoir pire que moi, non ?

– Tu vas pas nous faire une crise, non ?

– Non, mais je ne comprendrais jamais les gens, on se juge toujours trop vite et trop définitivement, et toute la vie n’est qu’une suite de quiproquos, même avec les gens que l’on penserait à priori intéressant.

– On fait quoi, on rentre à Paris ? Propose alors Isabelle

– Ouais on rentre !

– Viens, toi, on va te déposer quelque part ! Tu vas où ?

 

Je leur explique que je suis en déplacement dans cette ville, que je n’ai pas trop de plan pour la soirée, mais qu’éventuellement j’irais bien faire un tour dans la capitale.

 

– Ça alors, nous c’est pareil, on n’est pas d’ici, on est aussi de passage, alors on t’emmène à la voiture !

– Volontiers !

– Tu sais ce que je te propose, on t’invite, je ne sais pas où d’ailleurs mais on t’invite ! Je suis sûr qu’on aura des tas de choses à se raconter.

 

Boris Vasslan – février 2003

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:46

Parent d’élève par Boris Vasslan

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Commençons par une présentation succincte : j’ai maintenant atteint la quarantaine. Divorcé, j’ai la garde de ma fille qui est en école primaire.

 

S’agissant d’une nouvelle érotique, il vous intéresserait sans doute que je vous parle aussi de ma sexualité. Je me définis comme un joyeux obsédé sexuel, bien dans ma peau, pas du tout honteux. J’adore les femmes, leur corps, leur peau, leur voix, mais je ne drague pratiquement pas.

 

L’incroyable ressource d’images que constitue l’Internet suffit à alimenter mes fantasmes. Et la masturbation reste pour moi un plaisir toujours renouvelé. J’ai beaucoup de fantasmes, je suis comme on dit « polymorphe » avec une très forte attirance pour les jeux de domination, et au moins une fois par mois, je me rends dans un quartier bien connu de la capitale et plus précisément dans un immeuble ou exerce plusieurs professionnelles de la chose.

 

Oh, n’allez surtout pas croire que je sois un « grand maso », non je me contente de quelques fessées, de quelques pincements, ainsi que de quelques humiliations de circonstances et aussi un peu de gode : des petites misères, quoi….

 

Quand je ressors de chez Maîtresse Laure, je suis extraordinairement bien. Toute la dose de stress accumulé a disparu comme par enchantement, à ce point qu’il m’arrive à ce moment là de me mettre à siffler comme un pinson !

 

Et justement, nous allons pouvoir commencer notre histoire ce jour de novembre, nous sommes en période de vacances scolaires, ma fille est partie quelques jours chez sa mère. Ce jour là donc je quitte le studio de Maîtresse Laure dans lequel je m’étais rendu après ma journée de travail.en fredonnant je ne sais plus quoi… Et là sur le trottoir d’en face, j’aperçois, je vous le donne en mille… l’institutrice de ma fille, elle déambule dans la rue le regard fixé sur l’immeuble que je viens tout juste de quitter. Je fais évidemment semblant de ne pas la reconnaître et elle a l’intelligence de faire la même chose. Je m’empresse de disparaître, mais deux questions me taraudent l’esprit : D’abord, m’a-t-elle vraiment vu sortir de l’immeuble ? J’ai beau me dire que je fais ce que je veux, que je ne fais rien de mal et que ça ne la regarde pas, n’empêche que ça m’embête ! Et puis surtout que fabrique-t-elle dans cette rue ? Dans ce genre de circonstances, un tas d’idées vous défilent dans la tête. Y compris les plus farfelues, « c’est peut-être pas elle, c’est peut-être quelqu’un qui lui ressemble, ne dit on pas que chacun d’entre nous possède son sosie. Ou alors c’est bien elle mais elle s’est simplement perdue dans le quartier… Mais je finis (avec quelques difficultés, je l’avoue) à ranger toutes ces interrogations dans mon grand livre des question sans réponses.

 

A ce stade, il nous faut la décrire, l’institutrice, parce que vous vous imaginez bien qu’elle va jouer un rôle important dans cette drôle d’histoire. Elle est jeune, probablement moins de trente ans, rousse, souvent coiffée d’une simple queue de cheval, les yeux bleus, très souriante, elle fait un peu fragile à mon avis…

 

C’est environ quinze jours plus tard, alors que les cours avaient repris que j’eus droit à cet étrange coup de téléphone :

 

– Monsieur V., c’est Emilie M, l’institutrice de votre fille, j’aimerais qu’on se voie à propos de votre fille.

– Bien sûr ! Mais ce n’est pas grave au moins ? Qu’est ce que vous me proposez comme date ?

 

Jusque là rien d’étrange, sinon qu’après m’avoir rassuré en me disant qu’il n’y avait rien de grave, elle me propose des rendez-vous à des heures impossibles ! En plus me revient en mémoire notre rencontre fortuite dans cette rue chaude…. je me sens tout d’un coup assez mal à l’aise

 

– Et samedi matin ? Propose-t-elle.

– Samedi ? L’école est ouverte ?

– Non mais passez chez moi, je vous recevrais, de toute façon c’est l’affaire de dix minutes…

 

Elle m’indiqua l’adresse. En métro ça ne faisait pas trop loin…

 

Je m’y rends donc ce samedi matin, elle m’ouvre ! Premier choc, elle est en jean et tee-shirt blanc… mais soit elle a oublié de mettre un soutien gorge ou bien celui-ci doit être « étudié pour » parce que je perçois ses tétons qui pointent insolemment à travers le tissus.

 

Elle me fait entrer et asseoir et alors que je m’attendais à des révélations déplaisantes sur l’attitude de ma fille à l’école, la voici qui me raconte une histoire de trousse oubliée. Ce n’est pas vrai qu’elle m’a convoqué pour une telle babiole !

 

– Ce n’est pas un oubli ! Balbutiais-je. Quelqu’un lui a barboté sa trousse le matin et lui a rendu le lendemain

– Ça, c’est ce qu’elle vous a raconté !

– Oui, mais bon… c’est uniquement pour ça que vous désiriez me voir ?

– Oui, parce que pour vous c’est peut-être un détail, mais ils commencent comme ça et après ils oublient tout. C’est à vous de surveiller si le matin elle a bien toutes ses affaires…

 

Elle m’énerve, elle m’énerve !

 

– Vous auriez pu me dire tout ça par téléphone, ça ne nécessitait pas de me faire perdre une heure…

– Et voilà ! Pour vous ça n’a aucune importance ! Mais vous vous rendez compte du laxisme dont vous faite preuve ?

– Bon, je crois qu’on va en rester là, vous devez être terriblement fatiguée pour prendre de tels détails aussi à cœur !

 

Et je me lève déjà… quand elle m’assène le trait assassin :

 

– Et vous croyez sans doute que c’est un exemple pour l’éducation de votre fille d’avoir un père qui fréquente les prostituées !

 

Ouch ! La salope, elle m’avait donc bien vu sortir de l’immeuble ! Je m’efforce de ne pas montrer ma gêne.

 

– Ecoutez, mademoiselle, ce que je fais de ma vie privée ne vous regarde pas, je dépense mon argent comme je le veux et je ne fais rien d’illégal.

– Et si votre fille l’apprenait ?

– Bon, on en reste là ? Manifestement vous êtes surmenée !

– Quand je pense qu’on nous dit qu’on est pas assez sévère avec les élèves… moi je trouve que c’est les parents qu’il faudrait punir !

– Bon, au revoir !

– Vous aimeriez sans doute ça, vous que je vous punisse ? Je le ferais aussi bien que vos putes !

 

Complètement givrée la fille, mais je marque un temps d’arrêt et puis, allez savoir pourquoi, je lance comme ça :

 

– C’est cela votre fantasme ? C’est de punir les parents ?

– Peut-être ! minaude-t-elle.

 

Le ton, a complètement changé, l’agressivité a pour l’instant disparu, elle se fait chatte. Je cherche la bonne réplique. Pas évident. Je me contente d’un :

 

– Et vous voudriez me punir ?

– Ça ne me déplairait pas en effet !

 

Je tente de réfléchir à toute vitesse, me demandant quel est exactement le jeu auquel elle joue !

 

– Vous me proposez quoi ? Lançais je.

– Est-ce que vous voulez jouer avec moi ?

– Je ne sais pas. Mettez-vous à ma place, c’est assez inattendu !

– Vous avez du temps, là ?

– Non pas trop !

– Mais vous pourrez revenir !

 

Je lui fais signe que je ne sais pas trop quoi répondre.

 

– Je peux vous aider à vous décider si vous voulez !

 

Oui, bon j’avais bien compris, mais que voulez-vous que je lui dise ?

 

– Dites-moi, « oui » ce sera plus simple ! Reprend-elle

– Oui ! Répondis-je alors sans trop réfléchir aux conséquences.

 

C’est à ce moment là qu’elle m’a giflé ! Je vous dis, elle est complètement malade.

 

– Vous n’êtes vraiment pas bien ! Protestais-je.

– Je suppose que tu ne te rebiffes pas comme ça quand tu vas voir les filles ! Je veux t’entendre dire que tu veux bien jouer avec moi !

– Euh, il faudrait qu’on en discute !

– Mets toi à genoux devant ta maîtresse !

– Ecoutez, on pourrait reparler de tout ça une autre fois, je suis un peu pris par le temps.

– Dans moins de cinq minutes tu seras dehors, je veux simplement que tu te mettes à genoux devant moi et que tu me promettes de revenir.

 

De la folie pure !

 

– Allez, lance-toi, il faut toujours profiter des occasions.

 

Sans doute est-ce ce dernier argument qui de façon complètement surréaliste me fit agenouiller devant l’institutrice.

 

– Bon, voilà, je suis à genoux !

– Tu reviendras quand pour recevoir ta punition ?

– On va se rappeler…

 

Nouvelle gifle !

 

– Non, on fixe une date tout de suite !

 

La première gifle m’avait choqué, la seconde m’a presque excité, suis-je déjà en train de tomber dans ses étranges filets ?

 

– Je ne sais pas, moi… Euh, samedi prochain, la petite sera chez sa mère, ben, voilà… Samedi prochain !

– A 18 heures ?

– D’accord à 18 heures !

– Maintenant tu peux y aller !

 

Les joues encore cuisantes, je descendis l’escalier, n’arrivant pas bien à réaliser la réalité de cette incroyable rencontre. Il n’était à ce moment cependant pas question que je la revoie. Cette fille était probablement folle à lier et accepter d’entrer dans ses jeux me paraissait bien imprudent. Cela dit, cette fille pouvait aussi être la reine des emmerdeuses, me relancer, me harceler…. Bof ! On verra bien !

 

Sauf que cette nuit là, je me surpris à fantasmer de façon très insistante sur Emilie l’institutrice, sur ses seins dont les pointes dardaient à travers ses hauts ! Puis, je l’imaginais en tenue de dominatrice, le bustier noir, les bas résilles, la culotte super moulante en vinyle, la cravache à la main et moi rampant à ses pieds….

 

Le lendemain matin au réveil, j’étais déjà beaucoup moins sûr de ma décision.

 

« Qu’est ce qui m’empêche d’aller voir ? » me disais-je. Et au fur et à mesure que les jours passaient, plus mon désir de me rendre à cet étrange rendez-vous grandissait en même temps que germait dans mon esprit un horrible doute « Si elle m’avait bluffé, si elle n’était pas plus dominatrice que mon ex… ? » Et puis toujours ces questions non résolues, que faisait-elle en cet fin d’après-midi dans cette rue chaude ? Pourquoi m’avoir convoqué pour une véritable futilité ?

 

Le vendredi soir en me couchant, je me mentais encore à moi-même en me disant que je ne prendrais de décision définitive que le lendemain matin…. Et le samedi je passais une partie de la matinée à me bichonner méticuleusement, puis tuait le temps attendant fébrilement l’heure de partir afin d’être à l’heure chez Emilie, maîtresse Emilie, pardon !

 

– Bonjour ! Que me vaut ce plaisir !

 

Elle est en robe de chambre ! En robe de chambre à 6 heures de l’après midi ! Si elle s’est moquée de moi la dernière fois je suis en train de finir de me ridiculiser.

 

– Vous ne m’attendiez pas ?

– Bien sûr que si ! J’étais sûre que tu viendrais ! Allez entre !

 

Facile ! Mais quelque part, me voilà rassuré !

 

– Alors on joue à quoi ? Demandais-je

– On va jouer à te punir !

– Est-ce qu’on peut discuter cinq minutes, avant de commencer ?

– Discuter de quoi ? Du sexe des anges ?

– Si c’est un jeu, il faut en fixer les règles !

– Fais moi donc confiance !

 

Et en disant cela elle retire sa robe de chambre !

 

Oups ! Une véritable transformation ! Presque, mais pas tout à fait comme dans mes rêves ! La voici qui m’apparaît dans un ensemble guêpière, soutien-gorge et culotte en dentelle noire. Ses jambes sont gainées de bas résilles et les pieds chaussés d’escarpins assez vertigineux. Elle est impressionnante !

 

– A genoux !

 

Je n’ai pas cherché à discuter, j’ai accepté l’ordre mécaniquement. Emilie s’assoit sur une chaise située à côté d’elle. Elle me lance son pied en avant après l’avoir débarrassé de son escarpin :

 

– Lèche !

 

Je balade ma langue entre les filets du bas résille, sur le dessus de son pied. Bien que cette pratique ne soit pas de celles que j’affecte le plus, je me surprends à bander.

 

– Mets toi à poil !

 

Je ne pense même plus à me dérober, je suis entièrement dans son trip. Il faut pourtant que je trouve le moyen de lui dire que je ne souhaites pas être attaché, mais estime qu’il n’y a pas pour l’instant urgence à le lui faire savoir. Et me voilà tout nu…

 

– Ben dis donc, tu m’as l’air en super forme on dirait !

 

C’est vrai que je bande comme un sapeur.

 

– Carole, vient voir mon esclave comme il est excité !

 

Hein, qu’est ce que j’entends ? On n’est pas seulement tous les deux ? Qui c’est cette Carole ? Et justement la voilà ! Blonde, les cheveux coupés au carré, un petit peu potelée mais sans exagération, vêtue simplement d’une nuisette rose dont la transparence souligne l’arrondi de se seins. Une vague impression de l’avoir déjà vue quelque part ? Mais où ?

 

– Hummm après quelques bons coups sur les fesses, il fera moins le fier ! Commente la nouvelle arrivée.

– Carole est la première personne que j’ai réellement dominée. Je l’ai rencontré à l’école, elle faisait des ménages, depuis elle a changé de métier, et puis nous sommes devenues très intimes !

 

Amusant cette façon de me présenter sa compagne ! Cette Emilie est décidément pleine de surprises, dominatrice… et bisexuelle en plus !

 

Et tandis que Carole s’en va s’asseoir dans un fauteuil m’offrant le spectacle de sa petite chatte épilée, l’institutrice me fixe une pince à chaque sein ce qui me provoque un frisson très trouble où le plaisir vient l’emporter sur la douleur.

 

– Debout !

 

Je me lève, lui fait face ! Elle se baisse et m’accroche deux autres pinces après les testicules, j’aime beaucoup moins ! Elle s’amuse ensuite à soulever chaque pince, à les faire retomber… Voilà qui commence à faire mal, mais j’aurais tendance à ne pas détester ce genre de choses.

 

Un moment elle me détache une des pinces ! Déjà fini ? Pas du tout ! C’est pour me la replacer de façon un peu différente ! Je hurle, mais je supporte !

 

Puis, Emilie sort d’une petite boite des poids, elle m’en accroche un après chaque pince, entraînant la peau martyrisée vers le bas. Elle continue à s’amuser, lève les poids, les laisse retomber ! Ça commence à devenir sérieusement douloureux … Mais le supplice n’était pas terminé…

 

– A quatre pattes !

 

Je m’exécute ! Les poids se mettent alors à osciller, réveillant les douleurs de mes chairs.

 

– Et maintenant avance !

 

J’hésite, je sais que l’épreuve risque d’être pénible, mais c’est alors que je reçois un coup de martinet sur les fesses. Du coup j’avance provoquant une multiplication de l’effet de balancement de mes pinces.

 

Carole parait excitée par la situation et une de ses mains s’est aventurée dans sa chatte, tandis que l’autre passant sous la nuisette lui excite le téton gauche.

 

– Voilà comment je conçois les rapports entre les enseignants et les parents d’élèves. ! Commente Emilie ! J’espère qu’un jour j’aurais l’occasion de dominer un couple ! Quel pied ça doit être : deux râleurs qui se pointent et qui finissent comme toi à quatre pattes ! Tiens, rien que d’y penser ça me fait mouiller !

 

Trois fois, elle me fait faire le tour de la pièce. Je réalise que maîtresse Laura, la professionnelle à qui je rends visite ne m’a jamais fais subir une domination aussi dure !

 

– Stop !

 

Je m’immobilise toujours à quatre pattes, ma tortionnaire m’applique alors des coups de martinets de plus en plus forts sur mes fesses qui commencent à me cuire. Je crie, je proteste des « pas si fort » dont elle n’a apparemment cure ! A ce point que j’en suis à envisager de me relever afin de stopper cette séance qui va finir par me devenir insupportable… Mais je n’aurais pas besoin de le faire, la flagellation cesse comme par miracle !

 

– Reste comme ça et cambre bien tes fesses !

 

Là, je crois deviner ce qui va m’arriver, effectivement je sens une matière froide sur mon anus, sans doute du gel, puis quelque chose qui veut entrer , un gode, je me laisse faire , j’adore ça !

 

– Mais c’est qu’il aime ça ce petit enculé ! Dis le que tu n’es qu’un petit enculé de parent d’élève !

 

En voici une formulation idiote, mais un jeu est un jeu.

 

– Je ne suis qu’un enculé de parent d’élève !

 

Elle fait exécuter à l’objet des allers et retour de plus en rapides. Des spasmes de plaisirs me parcourent le corps !

 

– Non, mais regarde comment elle se trémousse, cette petite pédale !

– Viens me lécher ! Je n’en peux plus ! Implore soudain Carole !

 

Emilie à qui cette requête est adressée n’a pas l‘air trop d’accord.

 

– Toi, tu te calmes, je m’occuperais peut-être de toi tout à l’heure quand j’en aurais fini avec lui !

– Alors dépêche-toi !

 

Emilie me fait ensuite allonger au sol sur le dos. Elle retire enfin son soutien gorge et la vue de ses jolis seins terminés par de belles pointes roses réveille mon érection. Elle retire aussi sa culotte, contrairement à sa compagne elle n’est pas épilée et ses poils roux assez peu fournis et frisottants lui donne un aspect tout à fait érotique.

 

– Ça te conviens ? demande-t-elle

– Tu es très belle !

– Très belle, je ne crois pas, mais faut pas se plaindre, il y a pire !

 

Elle me donne quelques coups de martinets sur la poitrine. Les coups sont assez peu appuyés mais font douloureusement bouger les pinces… qu’elle finit par enlever. Cette action est toujours extrêmement pénible, il faut avoir le coup de main, le faire très rapidement sans aucune hésitation, apparemment elle, elle sait faire, où a-t-elle donc appris tout ça ? N’empêche que j’ai les bouts de seins et les testicules congestionnés.

 

– On soignera ça tout à l’heure ! Me dit ma maîtresse qui s’accroupit alors au dessus de moi, Qu’est ce que tu crois qu’il va t’arriver, maintenant ?

 

Je l’ignore. Peut-être un face-sitting en me collant sa chatte sur le nez ? A moins qu’elle ne vienne s’empaler sur mon sexe, mais ce n’est pas là une pratique de domination ?

 

– Je ne sais pas…

– J’ai bien envie de te pisser dessus !

 

Chic alors ! Mais en fait elle ne me demande pas mon avis, déjà quelques gouttes atterrissent sur mon sexe dressé ! Pour moi cette fantaisie n’a rien d’humiliant, au contraire, j’adore ça ! J’ouvre la bouche pour la supplier qu’en boire un petit peu ne serait pas pour me déplaire

 

Emilie1204

– OK ! Tu voudrais goûter ! T’es décidément bien gourmand ! Mais ce sera pour la prochaine fois ! Car tu reviendras me voir, n’est ce pas ?

Et bien, bien sûr que je vais revenir, une prestation gratuite comme celle-ci, je serais idiot de ne pas en profiter de nouveau…

 

Emilie revient avec un préservatif. Là je ne comprends plus bien ! Puis je la vois aller se positionner à quatre pattes, se cambrer les fesses.

 

– Viens m’enculer !

 

Je rêve ! Depuis quand une dominatrice se fait-elle sodomiser par son soumis ? Mais au diable les règles, les conventions et autres convenances ! Je ne vais quand même pas faire la fine bouche et rater ça ! Je me positionne, m’étonne de la facilité avec laquelle mon pénis entre dans son anus, et après avoir assuré la pénétration, j’y vais de larges va-et-vient qui ont tôt fait de faire monter mon excitation à son paroxysme, tandis que l’institutrice se met à jouir littéralement par le cul, puis s’affaisse quelques instants sur la moquette.

 

– Et bien, quelle séance ! commente-t-elle !

– Bon, alors tu viens t’occuper de moi ? Quémande de nouveau Carole.

– J’arrive, mon esclave va me faire mon petit cadeau et après je suis à toi !

 

Oups ! Quel petit cadeau ? Jamais je n’avais envisagé le fait qu’elle se fasse payer. Mais je ne discute pas, le problème est ailleurs, bassement matériel.

 

– C’est que je n’ai pas beaucoup de liquide ?

– Tu croyais que c’était gratuit !

– Je ne croyais rien du tout ! Je voulais qu’on discute un peu avant de se lancer, et avoue que tu ne m’as pas laisser faire…

 

Je suis assez content de ma réplique !

 

– Ça fait rien, fais moi un chèque, où alors tu me paiera la prochaine fois…

– C’est avant qu’il faut demander le cadeau, pas après ! Commente alors curieusement Carole.

– Tu veux combien ?

 

J’avais un peu peur d’un prix prohibitif, mais en fait il était légèrement inférieur à ceux pratiqués par les professionnelles. Elle m’indique ensuite la salle de bain afin que je me rince un peu le zizi, et là toute gentille elle m’applique une sorte de crème sur les tétons…

 

– Quand ils ont été triturés comme ça, ils ont tendance à sécher, et quand ils sont secs ils deviennent fragiles, il suffit d’appliquer une petite crème hydratante et le tour est joué !

 

Elle est marante, elle a des côtés super sympas, drôle de fille ! Et ainsi elle joignait l’utile à l’agréable arrondissant ses fins de mois en se livrant à cette curieuse prostitution occasionnelle ? Cela ne me choquait d’ailleurs aucunement. Mais pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ?

 

Pourtant envisager sa convocation de l’autre jour que comme une tentative d’approche d’un client potentiel me paraissait tout de même tiré par les cheveux…. et puis je me demandais toujours ce qu’elle fabriquait dans cette rue chaude de la capitale…

 

En me rhabillant, ma curiosité me fit lui poser la question :

 

– Ben j’étais venu chercher Carole à son travail, on est allé ensuite voir une expo….

 

Et oui tout s’expliquait, voilà pourquoi le visage de Carole ne m’étais pas inconnue, en fait elle se prostituait dans cette rue de façon épisodique…

 

– Quand je t’ai vu sortir de l’immeuble, je me suis dis qu’il y avait un coup à tenter. Je t’ai décrit à Carole, tu n’étais pas son client. Au départ je voulais juste m’amuser, mais c’est vrai que la domination c’est mon truc et que j’ai eu rarement l’occasion de faire ça avec des hommes. C’est Carole qui m’a conseillé, qui m’a dit de te faire un vrai truc et aussi de me faire payer ! Bon aller, je te laisse, voici ma carte pour m’appeler, mais maintenant il faut que je m’occupe de Carole sinon elle va me faire une scène ! Conclu-t-elle en me faisant un petit bisou sur la joue.

 

J’ai failli lui demander de rester, pour profiter du spectacle, mais j’y ai renoncé, non pas par timidité… mais parce que je savais déjà que je reviendrais chez Emilie et Carole.

 

La porte s’est refermée, j’ai attendu quelques instants et j’ai quelques secondes collé mon oreille me permettant d’entendre de façon très étouffée les gémissements que poussait Carole sous les coups de langue de sa compagne.

 

Je ne m’attardais pas et quittais l’immeuble en sifflotant !

 

Rédigé le 9/12/04 dans le TGV entre Paris et Marseille, d’après une idée originale d’Alain H.

© Boris Vasslan

vasslan@hotmail.com

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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:42

Les escaliers de la butte. Conte de Noël par Boris Vasslan

 

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Lundi 12 Décembre 2011, vers 17 heures. Paris 18ème.

 

Des rafales de vent, une pluie épouvantable… et en plus il fait froid… Qu’est-ce que c’est que ce temps ?

 

Une accalmie ! (je n’ose pas écrire une éclaircie). L’histoire peut commencer.

 

Moi, Denis, célibataire, 35 ans, j’empruntais ce jour là les escaliers de la rue André Antoine quand mon téléphone portable se mit à sonner. Comme à mon habitude je pilais, ayant horreur de téléphoner en marchant. La communication concernait des problèmes de copropriété qui n’ont aucun intérêt ici, mais m’occupa quelques minutes. Au moment de raccrocher, une impossible et gigantesque créature blonde, dotée d’une chute de rein impressionnante moulée dans une minijupe à raz du cul me doubla ! Impressionnant de chez impressionnant ! Allez savoir pourquoi, j’en trébuche, et la stupeur me fait pousser un cri qui fait se retourner la nana, laquelle se croyant en danger ne trouve rien de mieux à faire que de me balancer son sac en pleine poire. Quelque chose de dur heurte ma joue gauche, sans doute des clés, je suis de nouveau déséquilibré et me casse la margoulette dans les escaliers.

 

Voilà donc un récit qui à défaut de commencer par la chute débute néanmoins par une chute !

 

La fille se retourne, se rend compte sans doute qu’elle y a été un peu fort et me regarde avec un air circonspect.

 

– Mais vous êtes complément folle ! Hurlais-je.

– Ça vous apprendra à vouloir photographier mes fesses, espèce de cinglé !

 

Whaa ! Le quiproquo d’enfer ! J’essaie de protester, de m’expliquer, la furie ne veut rien entendre. Je ne peux pas en placer une et quelques badauds s’arrêtent pour observer la scène.

 

On continue à s’engueuler. Dialogue de sourds de chez dialogue de sourds.

 

– Regardez donc mon téléphone ! Je ne prends jamais de photos ! Finis-je par arriver à lui placer.

– Chiche ! Montrez-le moi votre téléphone de merde.

 

Je lui passe mon « téléphone de merde » et la nana constate en effet qu’il n’y a aucune image prise avec ce téléphone, ni ses fesses ni autre chose.

 

Les badauds s’agglutinent. La fille ne comprend plus.

 

– Alors vous faisiez quoi derrière moi ?

 

Ça fait vingt fois que je lui explique, mais contrairement aux fois précédentes, cette fois, elle m’écoute.

 

– Je suis désolée, qu’est ce qu’on fait ? Finit-elle par me dire. Et vous les badauds, vous pouvez passez votre chemin, il n’y a plus rien à voir ! Se met-elle à crier.

 

Ma joue pisse le sang.

 

– Vous allez m’accompagnez aux urgences…

– Et dans trois heures on y sera encore, écoutez, j’ai un brevet de secouriste et chez moi, j’ai une trousse de secours. Mais je ne peux pas vous recevoir dans mon appartement, moi, vous habitez loin ?

– Non, j’habite à 200 mètres, rue des Abbesses…

– Donnez-moi l’adresse précise, je rentre, je me change et j’arrive.

 

Je n’ai pas confiance, et elle s’en rend bien compte.

 

– Bon venez, vous m’attendrez en bas de chez moi et après on ira chez vous, tamponnez-vous la joue avec un kleenex. Je vais vous en passer un !

 

On fait comme ça, j’avais peur de poireauter, mais elle a dû se changer à la vitesse grand V. Elle s’est mise en jeans avec un petit haut laissant ses belles épaules dénudées. Elle est ainsi bien moins provocante mais toujours aussi désirable. Et la voilà qui m’accompagne chez moi, sa petite trousse à la main.

 

Je pense à la gueule des voisins quand ils vont me voir arriver avec ce canon et ma blessure au visage !

 

Mais personne ne nous vit. Je fis entrer la bombe chez moi, mon modeste intérieur l’indifféra totalement. Elle me demanda de m’assoir et farfouilla dans sa trousse.

 

– Vous devriez retirer vos vêtements, ils sont pleins de sang.

 

C’est vrai que ça a saigné pas mal et que ça saigne encore un peu… mais bon.

 

– Un peu plus, un peu moins, vous savez…

– Non, je vais vous désinfecter la plaie, on ne sait jamais, vous pouvez ensuite frôler la plaie avec vos vêtements, autant les enlever de suite.

 

Puisqu’elle le dit.

 

Je me mets donc torse nu. Elle me regarde.

 

– Vous ne faites pas beaucoup de sport, vous ?

 

Qu’est ce que voulez que je réponde ?

 

– Ben non !

– Bon, on va déjà nettoyer tout ça, ça va piquer un tout petit peu.

 

Elle nettoie et ça saigne un peu de nouveau, une goutte de sang m’atterrit sur mon téton gauche, ça m’amuse.

 

Pendant qu’elle me soigne, je la mate, le visage est parfaitement dessiné, les lèvres sont pulpeuses, l’arrête du nez est fine, les yeux sont d’un bleu de rêve. Bref une belle frimousse, un visage à faire fantasmer un bénédictin.

 

– Vous croyez que je ne vous vois pas en train de me mater ? M’apostrophe-t-elle mais sans méchanceté.

– Que voulez-vous, je suis amateur de belles femmes, et je n’en ai pas si souvent chez moi !

– Alors continuez, mais soyez prévenu, inutile de tenter quoi que ce soit, vous n’êtes absolument pas mon type d’homme.

 

Cette fois, la voici : la méchanceté !

 

– Ce n’était pas dans mes intentions. Vous êtes trop belle pour moi et je le sais très bien !

– Voilà, c’était plus spectaculaire qu’autre chose, je vais vous mettre un pansement, il faudra le changer demain, je vais vous en laisser un de rechange. Pour après vous verrez avec votre pharmacien. J’y ai été fort avec mon sac, un horrible quiproquo, je suis vraiment désolée, vous devez m’en vouloir à mort ?

– Non, j’admets l’erreur tant qu’on ne s’enferre pas.

– Je vous en remercie, qu’est ce que je pourrais bien faire pour me faire pardonner ?

– Rien…

 

Et puis une idée comme ça :

 

– Et si vous acceptiez que je vous paye le restaurant ?

– Non, c’est moi qui vous suis redevable, ce qui vous intéresserais en fait, c’est que nous dinions en tête à tête, c’est bien ça ?

– Ben oui, c’était une idée comme ça, mais bon…

– Ecoutez, je connais un excellent traiteur chinois… on pourrait faire ça ici… euh vous avez un micro-onde

– Oui !

– Alors je m’occupe de tout, c’est moi qui paye, ça vous va ?

– Ça me convient très bien !

– Et on se boit quoi ? Du rosé ?

– J’en ai !

– Du bon ?

– Il est très correct !

– Et bien c’est parfait, on va faire comme ça ! Mettez-vous un truc qui se boutonne, une chemise… Ah il y a du sang à enlever là, là et là, oh, vous en avez sur le téton, ne bougez pas.

 

Et la voilà qui m’astique le téton avec un coton imbibé de je ne sais quoi, délicieuse sensation ! Je me pâme !

 

– Ça vous fait de l’effet, on dirait ! Dit-elle en riant.

– Oui, c’est ma zone érogène !

– Sans blague ! Vérifions !

 

Elle m’a saisi les deux tétons, me les serre, me les tord. Je me laisse faire, je suis aux anges. Je bande ! Mais à quoi joue-t-elle ?

 

– Allez, mettez vous une chemise.

 

Je me disais aussi… C’était trop beau pour que ça puisse continuer !

 

Je me lève, elle me touche alors la braguette.

 

– Et bien, vous voilà en forme !

– A quoi jouez vous ?

– J’adore jouer avec les hommes, enfin avec certains.

– Je croyais que je n’étais pas votre genre !

– Je le confirme, mais jouer et draguer, ce n’est pas la même chose.

– Je ne comprends pas bien !

– Ce n’est pas bien grave.

– Bon, je vais passer une chemise.

 

J’en prends une dans l’armoire de la chambre et reviens dans le séjour.

 

– Vous voilà remis à neuf ! Commente la déesse. Quoiqu’en y réfléchissant, approchez-vous, je vais vérifier quelque chose.

 

Et là voila qui me déboutonne la chemise que je viens juste d’enfiler.

 

– Euh, vous faites quoi, là ?

– Et bien vous voyez, je déboutonne cette chemise, je trouve que ce serait plus décontracté si vous la portiez ouverte.

– Ah, bon !

– Et puis, je vais vous faire un aveu, j’ai comme une envie de vous repincer vos tétons encore une petite fois ! Y voyez-vous un inconvénient ?

 

De toute façon, elle n’attend pas ma réponse et me les pince et me les tortille. Evidement cela me refait bander. Sans lâcher prise elle me dit alors :

 

– On pourrait s’amuser un peu avant de manger… mais j’aurais une petite question préalable :

– Dites !

– Je vais vous dire, mais avant dites-moi si vous aimez ce que je vous fais.

– Oh, oui !

– Alors dites-moi, est-ce que vous avez quelque chose contre les transexuelles ?

 

Le déclic ! Cette femme trop parfaite, trop grande, bien sûr que c’en est une…

 

– Si cela vous pose un problème, je me retire… Reprend-elle.

– Non, non vous pouvez rester, je n’ai rien contre les transexuelles.

– Je peux continuer à vous pincer les seins, alors ?

– Continuez ! Aïe !

– Dites-moi si je fais trop fort !

– Non, comme ça, c’est bien mais pas plus fort !

– Je m’appelle Samantha, et vous ?

– Denis !

– Tu as déjà fait des choses avec des transexuelles ?

– Jamais.

– Ça ne tentait pas ?

– Disons que je n’ai jamais eu l’occasion.

 

Elle me remet la main à la braguette, mais cette fois-ci elle s’attarde et finit par l’ouvrir, je me laisse faire, tétanisé. Je me laisse faire également quand elle extrait mon pénis en érection de mon pantalon.

 

– Humm, elle est jolie ta bite, mais la mienne est encore plus belle, tu veux la voir ?

 

Je ne réponds pas, me voilà entrainé dans une spirale incontrôlable. Je n’ai rien du tout contre les transexuelles, mais néanmoins, je ne me sens pas prêt pour tenter une expérience avec l’une d’entre elles.

 

– D’accord tu hésites ! Alors on va faire autrement, tu veux que je continue à te pincer ?

– Oui !

 

Elle retire ses doigts.

 

– Alors tu va me dire « Samantha je veux voir ta bite. »

 

Cette créature est diabolique.

 

– Samantha, je veux voir ta bite.

– Juste ma bite ou tu veux me voir complètement nue !

– Euh, tant qu’à faire…

– Ça va, j’ai compris !

 

Oh, elle ne me fait pas un striptease, elle se désape à la barbare en moins d’une minute, j’ai maintenant devant moi une créature impossible, une she-male, une femme à bite.

 

– Alors tu en penses quoi ?

– Vous êtes magnifique !

– Tu la trouves comment ma bite… Ah, c’est vrai, elle ne bande pas, mais tu vas la faire bander n’est ce pas ?

– Euh !

– Mets-toi à poil à ton tour, j’ai horreur des tenues débraillés. Rigole-t-elle.

 

Voila qui me donne une minute de répit !

 

– Bon allez, prend la dans tes mains, elle ne va pas te mordre.

 

Je le fais, je la branlotte un peu ! Elle grossit un peu, c’est une très belle queue un peu sombre avec le gland tout rose et tout luisant.

 

– Suce-moi !

– Non, je ne peux pas faire ça !

– Bon, ben tant pis, je vais m’en aller alors !

– Je…

– Je quoi ? Je sais ce que tu vas me dire, que tu veux bien essayer juste une seconde…

– Euh…

– Allez, vas-y ! Suce ma belle bite ! Tu vas te régaler, tu sais !

 

Je suis à genoux devant elle, j’approche mon visage de sa queue, mon plan est de lécher un tout petit peu la verge et d’en rester là. Je le fais, je suis surpris par la douceur de la texture.

 

– Encore un peu !

 

Je lèche la hampe, me surprend à l’embrasser.

 

– Mets là dans ta bouche ! Tu en meurs d’envie.

 

Je ne veux pas, il faut que je fasse cesser ce jeu.

 

– Des occasions comme celle-ci tu n’es pas prêt d’en rencontrer, laisse-toi aller, Denis. Si vraiment ça ne te plait pas tu t’arrêteras.

 

Ben oui, l’argument a porté, et me voilà avec sa bite dans la bouche, le gland est salé, le contact est agréable, ma langue s’active, mes lèvres également, je suis en train de sucer une bite et j’aime ça !

 

Elle grossit dans ma bouche, je suce désormais avec gourmandise, ce que je fais est délicieusement pervers et ça me plait ainsi.

 

– Tu veux me sucer le trou du cul ?

– Le trou du cul ? Répétais-je en abandonnant ma fellation et avec un air complètement ahuri.

– Non ça ne te dit rien ?

– Euh…

– Attend je vais te montrer, mais avant je vais te sucer ta bite à mon tour, mais ne jouis pas trop vite, on n’est pas pressé.

 

Samantha me suce ! Quelle pipe ! Personne ne m’a sucé comme ça. Sa langue virevolte et va partout, ses lèvres exercent une pression magique. Ma jouissance monte, elle s’en rend compte.

 

– Penche-toi en arrière !

 

Comme un zombi, j’obéis et lui laisse me lécher le trou de balle. On ne m’avait jamais encore prodigué cette caresse, et il faut bien dire que ça n’a rien de désagréable. Son savoir faire est grandiose, j’ai aujourd’hui, chez moi une experte de haut niveau en sexe. Autant la laisser faire !

 

Mais quand son doigt remplace ma langue, il ne m’est pas difficile de deviner quelle sera la prochaine étape. Elle me lime le fion avec un doigt puis avec deux.

 

– Tu aimes, Denis ?

– Oui, c’est bon !

– Tu voudrais que je t’encule ?

 

Je redoutais la question, mais excité comme je l’étais, je m’entendis répondre dans un souffle :

 

– Oui, encule-moi !

– Tu as des capotes ?

– Non !

– Ben moi non plus, je n’avais prévu ce scénario. Je vais aller en chercher, il y a une pharmacie dans le coin ?

– Juste en bas à gauche…

 

Elle se rhabille, j’aillais faire de même mais elle me précise que c’est inutile, qu’elle va revenir tout de suite… Et me voilà tout seul à poil au milieu de mon fouillis attendant qu’une transexuelle qui m’a balancé son sac dans la tronche vienne me sodomiser. Je rêve ou quoi ?

 

Je peux changer d’avis, lui dire que j’ai eu un coup de folie, mais que finalement, je n’ai pas envie de franchir ce pas… Je n’en sais rien, l’excitation est un peu retombée. J’hésite, je lorgne sur mon tas de vêtements, je décide de me rhabiller. Je ne sais pas ce que je vais lui dire. Elle tarde à revenir, sans doute y a-t-il du monde chez le pharmacien.

 

J’ai soif, je me sers un verre d’eau gazeuse. On sonne, c’est elle.

 

– Ah ! Tu t’es rhabillé ! Tu ne veux pas continuer ? J’ai été aux capotes pour rien, mais ce n’est pas grave.

 

Si elle le prend comme ça, c’est bon. Elle est en ce moment très près de moi, son visage est à quinze centimètres du mien, il se rapproche encore.

 

– Embrasse-moi, Denis !

 

Je ne me sens pas en situation de refuser, bientôt nos langues se mélangent dans un baiser aussi profond que baveux. Samantha m’a retroussé ma chemise et me pince de nouveau les seins. L’excitation et l’érection reviennent.

 

– Alors ? Finit-elle par dire, libérant son étreinte. On fait quoi ?

– On va reprendre où on en était ! Répondis-je en me déshabillant.

– J’ai acheté un peu de gel aussi ! M’informe-t-elle en m’imitant.

 

Elle me lubrifie l’entrée, rejoue un peu avec ses doigts, puis passe aux choses sérieuses.

 

– Ouvre-toi, pousse !

 

Samantha

 

 Elle a du s’y reprendre à trois fois, mais c’est entré. Drôle d’impression, j’ai une bite dans le cul. Ça fait un peu mal, je suis presque sur le point de lui demander de se retirer. Mais quelque chose se passe, la douleur ne disparaît pas vraiment mais passe au second plan tant des ondes de plaisirs m’envahissent l’anus. Les va-et-vient s’accélèrent. Je suppose que Samantha s’apprête à jouir. Je supposait bien, elle pousse un râle puis se retire de mon fondement, le laissant béant.

 

– C’était bon ! Commentais-je simplement.

– Toi, tu n’as pas joui, tu veux jouir comment ? Dans ma bouche, dans mon cul ?

 

J’ai opté pour sa bouche, la pipe fut géniale bien sûr, et nous voilà tous les deux avachis sur le canapé, d’une main baladeuse, je lui caresse la cuisse, elle se laisse faire.

 

– Tu as quelque chose contre les putes ? Demande-t-elle.

– Non, pas du tout, pourquoi cette question ?

– Parce que d’habitude je me fais payer !

 

J’espère qu’elle ne va pas me demander trop d’argent. C’est que j’ai un petit budget, moi !

 

– Je te dois combien ?

– Rien du tout, j’avais une dette envers toi, les circonstances ont voulu que ça se passe comme ça s’est passé. J’espère que ça te fera un joli souvenir.

 

J’avais (oh, si peu) espéré que tout ça, serait le début d’une liaison, mais elle vient de me dire sans le dire, qu’il n’y aura pas de suite, du moins pas de suite gratuite. Adieu illusions, mais je ne m’en faisais pas tant que ça, n’avait-elle pas dit au tout début que je n’étais pas son genre d’homme ?

 

Samantha se rhabille, moi aussi…

 

– Bon, on se le commande notre petit repas chinois ? Propose-t-elle.

– Bien sûr !

 

La soirée n’est donc pas finie, deux heures de tête à tête avec elle en plus de ce qui vient de se passer. Que demander de plus. Je suis ce soir le plus heureux des hommes.

 

Et en plus je me suis fait enculer ! Enculé et heureux ! Le Père Noël est passé en avance cette année !

 

© Boris Vasslan, Paris et Alençon, Décembre 2011

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Vendredi 16 juillet 2021 5 16 /07 /Juil /2021 07:38

Service d’étage 2 – Brazil Brazil

par Boris Vasslan, sur une idée proposée par Arnaud

Fetish

 

 

Prologue

Soyons franc, quand le « gentil animateur » de « Viva Cuba » (voir ce récit) m’avait parlé de cette variante transsexuelle à Rio de Janeiro, j’avais été intrigué, mais je ne comptais pas trop donner suite. Je pensais sincèrement qu’en un an de temps j’aurais le loisir de me recaser…

Et bien non ! Un an après j’étais toujours aussi célibataire et toujours aussi paumé.

Je pénètre dans l’agence de voyage. Une nana genre fausse blonde un peu grassouillette, mais le visage agréable et le sourire avenant me fait un accueil de circonstances !

– Monsieur ?
– Bonsoir, euh qu’est-ce que vous auriez à me proposer au Brésil ?
– Ben plein de choses, je vais vous montrer ce que nous avons en catalogue…
– Euh, je suis partie à Cuba par votre agence l’an dernier, et la personne qui s’occupait de nous m’a dit qu’il existait à Rio de Janeiro des hôtels un peu, un peu…
– Un peu ?
– Un peu particulier !
– A quel point de vue ?
– Euh !
– Je vous écoute !

Cette garce s’amusait de mon embarras. L’envie un moment me tenailla de tout planter là et de me rabattre sur des vacances au cap d’Agde… Mais dans un moment de bravade je lui lançais :

– A Cuba certains membres du personnel proposait des prestations un peu en marge de leurs activités habituelles, tout en étant très corrects et en n’insistant pas outre mesure…
– Quel genre d’activité ?
– Du tricot ! Au revoir mademoiselle, j’ai dû me tromper d’agence !
– Mais, arrêtez, je vous fais marcher, et vous partez au quart de tour, nous avons sans doute ce qu’il vous faut !
– Ça vous amuse d’asticoter les clients !
– Je n’asticote personne ! C’est stratégique, mais je vous expliquerais si un jour vous êtes sage…

Elle se leva, fouilla dans une armoire, et en sorti un dépliant !

– Voilà, nous ne mettons plus cet hôtel en catalogue, parce que nous avons eu des réclamations de certains clients… Qu’est-ce que vous voulez, il nous faut faire avec tout le monde. Bon !

Elle aligna quelques chiffres, me les tendit…

– Voilà les tarifs… en pleine saison pour une semaine, est ce que ça vous convient ?
– C’est dans mon budget !
– Heu, ce n’est pas une formule club, je vous vends juste le vol et la chambre d’hôtel.
– Ça ira !
– Vous souhaitez partir à quelle époque ?

On règle un certain nombre de problèmes pratiques, puis juste au moment de me faire signer, elle tient à me préciser !

– C’est à vos risques et périls, bien sûr !
– Pardon ?
– On ne peut pas exclure le fait que la direction de l’hôtel ou les autorités locales aient mis fin à ce genre de pratiques…

Ah, ben oui, je n’avais pas pensé à cela !

– Euh !
– Alors vous prenez le risque ?
– Vous en pensez quoi, vous ?
– De toute façon la destination est intéressante, il n’y a pas que le sexe dans la vie… et puis si vous chercher vraiment des travelos, vous en trouverez là-bas, ça ne doit pas être si difficile même s’il n’y en a pas dans l’hôtel !
– Mais, il ne vous est vraiment pas possible de vous renseigner, de passer un coup de fil….
– Je ne suis pas payée pour faire ce genre de choses, mais tenez… me dit-elle en me passant le combiné, je vais vous composer le numéro !
– Mais je leur dis quoi ?
– J’en sais rien, c’est une idée à vous de téléphoner, non ?

La nana s’est penchée de telle façon que j’ai une vue plongeante dans son décolleté vierge de tout soutien-gorge, elle a la poitrine plutôt modeste, mais j’aperçois tout de même un petit téton brun tout à fait coquin… Et bien sûr je suis tellement discret qu’elle s’en aperçoit.

– Vous cherchez des travelos et vous matez dans mon décolleté, j’ai un peu de mal à suivre, là !
– Je vous expliquerais…. Allô ! Vous parlez français, non ? Do you speak english ? Yes ! Je voudrais louer une chambre dans votre hôtel, mais je voudrais savoir si vous avez toujours du personnel travesti ?
– I don’t understand, will you repeat please !

Je répète en essayant de soigner mon accent, rien à faire !

– Bon tant pis, j’y vais quand même !
– O.K. ! Ben vous signez le truc et vous me faites un chèque !

Je signais tout ça !

– Bien parfait, mais vous n’avez pas répondu à ma question. Si vous aimez les travelos, pourquoi vous reluquez mon décolleté ? Je ne devrais pas vous intéresser, je suis une femme, moi.
– Parce que je suis un petit coquin.
– Vous êtes à voile et à vapeur ?

Quel romantisme !

– Disons que j’ai des goûts très éclectiques.
– Vous trouvez qu’il est trop osé, mon décolleté ?
– Non pas du tout !
– Vous voulez regarder encore ? Je vais vous faire un aveu, j’aime bien qu’on me regarde !

Qu’est ce qui lui prend à la voyagiste ? Mais quand on me fait une proposition pareille je ne refuse jamais, à moins que ce soit de la provocation et que tout ça se termine par une paire de gifle. Maintenant que j’ai signé, elle ne risque plus rien.

– Vous savez, je ne me lasse jamais d’un joli spectacle.

Elle jette un coup d’œil par la vitrine, afin de s’assurer qu’elle ne sera pas observée pendant son court délire, puis des deux mains agrandit son décolleté, j’ai devant les yeux deux petits seins bronzés aux tétons arrogants.

– Ils doivent être très doux à caresser ! Commentais-je
– Ne soyez pas trop exigeant !
– Je n’exige rien !

A nouveau, elle regarde vers la vitrine ! Puis elle reprend !

– Allez-y mais juste une seconde !

De ma main j’effleure son sein droit, je m’arrange pour faire rouler très légèrement sa pointe avec ma paume. Elle pousse un soupir. Stratégiquement je stoppe mon geste. Elle me regarde, les yeux vagues.

– Je suis toute excitée, ce doit être la chaleur, où alors c’est vous avec vos envies de travelos…
– Il sont très jolis vos tétons, ça doit être très agréable de les embrasser !
– Non, mais c’est tout oui ? Vous croyez que c’est la fête ?
– Juste un bisou, et je file ?
– D’accord dépêchez-vous !

Je lui embrasse le téton et la sens soudain moins pressée, je m’enhardis à mettre en contact le bout de ma langue avec ce petit appendice de chair si charmant. Elle soupire :

– Encore un petit peu… l’autre aussi…

Cette fois ci, je n’hésite plus, je tête, j’aspire, je sens le bout de son sein grossir sous mes lèvres.

– Arrêtez !

J’obéis.

– Sauvez-vous, sinon je vais devenir incontrôlable !

Elle dit ça mais en même temps lorgne vers ma braguette. J’ai un pantalon clair et mon érection se devine. Elle y met la main.

– Ça vous a fait de l’effet, on dirait !
– Vous êtes très excitante !

Elle remet sa main, me palpe la bite à travers mon pantalon, juste quelques instants, puis se reprend.

– Bon, disparaissez, parce que sinon vous allez me faire faire des conneries.
– Il y des bêtises bien agréables, et puis bon, on ne vit qu’une fois…
– Vous allez me prendre pour qui ?
– Pour une petite coquine !

La fille prend alors une feuille de papier, elle marque dessus à l’aide d’un gros feutre « réouverture à 11 heures » et s’en va le scotcher sur la vitre de la porte qu’elle verrouille ensuite. Ce n’est pas possible, c’est mon jour de chance !

– Allez viens, on va derrière !

Je la suis dans la minuscule arrière-boutique où s’entasse des boites, des vieux catalogues et autres bricoles. Et d’emblée elle me remet sa main sur mon pantalon, mais cette fois de façon plus assurée.

– Hum, j’ai envie d’une bonne bite ! Dit-elle.

Nos visages se rapprochent, on s’embrasse et on mélange nos langues avec frénésie comme des amants qui ne se seraient pas vu depuis six semaines…

– Allez libère-moi tout ça !

Je dégrafe ma ceinture, mon pantalon glisse sur mes chevilles, le caleçon suit, et ma bite est déjà dans ses mains.

– Hum… elle est mignonne ta bite !

Je rougis sous le compliment, mais elle ne s’en aperçoit pas, elle a déjà tout mis dans sa bouche et commence à me faire un pompage en règle. Je suis aux anges, elle a une façon de donner des petits coups de langue sur le gland qui me transporte d’aise… et puis d’un coup la voilà qui s’arrête. Elle se débarrasse de son pantalon, vire la culotte, se fout la main sur la chatte, me la tend !

– Oh, là là, je suis toute mouillée !

Et elle s’assoit sur un carton assez haut, le sexe à hauteur de mon visage ! J’ai compris l’invitation.

– Si tu enlevais le haut ? Proposais-je.

Elle enlevé son petit haut, m’exhibant ses petits seins que je me précipite de sucer.

– Hum c’est bon ce que tu me fais, espèce de gros salaud, viens me sucer la chatte, viens…

O.K., on y va ! J’adore sucer les chattes, la sienne est humide, gluante, je suppose qu’elle veut jouir vite et je m’acharne sur son clitoris !

– Tu as des préservatifs ?

Pourquoi « des » j’en ai toujours un dans mon portefeuille, je lui dis !

– OK, vas-y enfile le !

Dingue ! Je ne pensais pas qu’elle irait jusque-là ! Mais allons-y ! Elle se retourne écarte ses gros globes fessiers. Envie irrésistible d’embrasser tout ça, je m’en octroie la permission, elle se laisse faire, ma langue rencontre son petit trou ! Quelle délicieuse odeur que celle de son trou du cul ! Au moins ça sent le cul, pas le gel douche !

– Oh, oui, vas-y fous-moi ta langue dans le cul, dans mon cul de salope !

Elle est déchaînée, son anus s’est ouvert sous l’action de ma langue et j’arrive à le pénétrer un petit peu, mais je bande de trop, il va falloir que ma queue entre en action.

– Encule-moi ! Encule-moi comme une salope !

On y va, on y va ! Ma bite s’enfonce dans son arrière-boutique comme une cuillère dans un flan aux cerises.

– Vas-y c’est bon, plus vite, plus fort, oh, tu m’encules, bien mon salaud !

Le problème c’est que suis tellement excité que je ne vais pas tenir longtemps. J’ai un moment le projet de sortir et de jouir dans sa bouche, mais ça m’est impossible, je me lâche, décule. Elle se retourne.

– Lèche !

Me voici de nouveau la langue dans sa chatte, et de nouveau je virevolte sur son clitoris qui a doublé de volume. La voyagiste est en sueur, elle halète, de fines gouttelettes viennent sous la faible lumière du recoin modeler son corps. Je m’applique, la sent prête, j’accélère, elle éclate, reste groggy une petite minute. Je me rhabille, elle fait de même.

– C’était un coup de folie ! Me dit-elle comme pour s’excuser.

Je me retrouve un peu con, je me demande de quelle façon je vais lui dire au revoir. Un bisou ? On dirait qu’elle a envie de me dire quelque chose.

– Vous allez faire quoi avec les travelos au Brésil ?
– Des choses coquines !
– Dites-moi quoi !
– Les voir à poil, baiser.
– C’est tout ?
– Leur sucer la bite peut-être ?
– Hum, et vous aller vous faire enculer aussi ?
– Ce n’est pas impossible !
– Je voudrais vous demander quelque chose !
– Oui.
– Au retour, je voudrais que vous me racontiez tout ça.
– Pourquoi pas ?

Plusieurs semaines plus tard !

Me voici de nouveau en France, et j’ai repris le boulot. Mais aujourd’hui j’ai ma journée de libre… Envie d’aller faire un tour à l’agence de voyage, comme ça sans trop d’illusions.

Je mate à travers la vitrine, super c’est la même nana, et elle doit revenir de vacances, elle aborde un superbe bronzage. J’y vais !

– Monsieur ?

Quoi, monsieur, elle ne me reconnaît donc pas ? Impossible avec ce que nous avons fait ensemble !

– Vous ne vous souvenez pas de moi ?
– Non, mais il faut pas m’en vouloir je vois tellement de gens ! Qu’est-ce que vous désirez, monsieur ?

Je réalise qu’elle feint volontairement d’avoir oublié nos galipettes. C’est son droit le plus absolu, mais je n’ai plus rien à faire ici.

– J’ai dû confondre avec une autre personne, je vous laisse !

Et je poussais la porte, un peu dépité…

– Monsieur…
– Oui ?
– Juste un mot, finalement je préfère que les choses soient claires, j’ai eu un coup de folie un jour avec vous, je ne regrette rien, mais bon, c’était un coup de folie, ce n’est pas « renouvelable ». Bonne journée !
– Merci de votre franchise, j’étais juste venu vous raconter mon séjour, vous m’aviez dit que cela vous intéresserait, mais bon, je vous laisse, bonne journée aussi !
– Ok, ça vous a plu, j’espère.
– Je n’ai pas été déçu ! Concluais-je en lui adressant un sourire
– J’ai une idée ! Dit-elle alors que j’étais presque sorti !
– Ah oui ?
– En fait, j’ai peur qu’on fasse des bêtises si vous me racontez ça ici, mais pourquoi on n’irait pas au restaurant ?
– Alors d’accord je vous l’offre !

Je ne pouvais décemment faire autrement, et on s’est retrouvé vers midi dans une petite pizzeria proche.

Je ne savais pas trop comment attaquer mon récit, ni si elle désirait que je rentre dans des détails « très sexe », mais elle me mit tout de suite à l’aise :

– Alors, dites-moi, est-ce que vous avez sucé plein de belles bites ?
– Plein, c’est peut-être exagéré, mais pas mal oui !
– Et vous vous êtes fait enculer aussi ?
– Aussi !
– Humm, j’essaie de vous imaginer avec une bite dans le cul ! Gros cochon, va ! Racontez-moi, je veux tout savoir.

Flash-back (Brazil, Brazil)

Pas facile de trouver cet hôtel qui est situé dans les faubourgs de Rio. De l’extérieur il ne paie pas de mine. Je présente ma réservation au réceptionniste qui sans un mot me tend une clé « à l’ancienne ». C’est au deuxième étage avec vue sur la route où des camions passent sans cesse. Comme romantisme exotique on fait mieux. La chambre à laquelle est accolée une petite salle de bain est correcte mais pas très grande. Première impression très mitigée, donc. On verra bien la suite.

Je m’installe sans me presser, et m’apprêtais à prendre une douche, lorsque j’entends qu’on frappe à la porte. C’est une femme brune métissée aux longs cheveux raides, avec de beaux yeux bleus et un visage de « chienne ». Elle est vêtue en haut d’un haut de maillot de bain parme et en bas d’un mini short de la même couleur

– Bonjour, je suis la femme de ménage ! Me dit-elle dans un anglais approximatif. Je viens voir si tout est OK !
– Je vous en prie, faites….
– Si vous voulez quelque chose de particulier, vous me dites !
– Ben je ne sais pas encore, j’arrive !

Elle ouvre le frigo, commente :

– Oui, le mini bar est rempli… heu, vous êtes célibataire, je suppose ?
– Oui !
– Vous allez trouver plein de jolies filles ici !
– J’espère bien !
– Il y a aussi beaucoup de transsexuelles !
– On m’a dit ça !
– Et vous aimez ?
– J’avoue que ça me trouble beaucoup !
– Et à votre avis, je suis une femme oui une transsexuelle ?
– Trans, je dirais !
– Gagné ! Vous devez être fatigué de votre voyage, que diriez-vous d’un petit massage. Je vous fais ça toute nue, et à la fin, je vous suce, à moins que vous préfériez me sucer… Je m’appelle Gisèle.
Me voilà donc déjà dans le « vif du sujet ».

Courte négociation sur les tarifs, et nous voici à poil tous les deux.

Ses seins sont très réussis, terminées avec de belles aréoles marrons aux tétons pointus, quant à sa quéquette qui pour l’instant pendouille sans bander, elle a l’air très prometteuse. Je tente d’y porter la main, mais la belle proteste !

– Pas si vite ! Je te masse un peu et après tu pourras me toucher la bite…

Bon, bon, puisque c’est elle qui commande… Je me mets sur le ventre, et elle me fait un massage qui ressemble plus à une série de papouilles qu’à du massage mais j’avoue que ce n’est pas désagréable. Après avoir fait balader ses mains un peu partout, elle se concentre sur mes fesses qu’elle commence à pétrir comme de la pâte à pain, puis vint explorer la région anale ! Je sens son doigt qui s’approche de mon petit trou. Elle crache dessus pour l’humecter (on est en plein romantisme) et le doigt pénètre !

– Tu aimes ça un doigt dans le cul, hein ?
– J’adore !
– Si tu veux, la prochaine fois je t’enculerais !
– Pourquoi la prochaine fois ?
– Parce que tu m’as payé pour me sucer, pas pour que je t’encule…
– Tu veux un autre billet ?
– Pas trop le temps, mais je reviendrais, vas-y suce-moi bien la bite !

Je ne me fais pas prier… Depuis le temps que j’attendais ça… et puis je suis venu pour ça non ? Le sexe grossit rapidement dans ma bouche, et je me délecte de la douceur de sa texture. Je le ressors pour pouvoir l’admirer, il est superbe, et le gland violacé et brillant semble vouloir me narguer ! Comme j’aimerais l’avoir dans mon cul.

– Tu ne veux vraiment pas me sodomiser, juste cinq minutes…
– Non, suce…

Je reprends ma fellation, Gisèle me tripote mon propre sexe bandé au maximum et prêt à éclater… Elle me fait signe de m’installer sur le lit… Aurait-elle changé d’idée ? En fait non, je comprends ce qu’elle veut faire, nous voici en position de 69, chacun suce la bite de l’autre… Sa fellation est terrible, ses coups de langues sont magiques, je n’arrive plus à me retenir. Je le lui dis, elle me retire ma bite de sa bouche, continue à la main et j’éjacule dans un râle, l’affaire n’aura duré en tout qu’une dizaine de minutes.

– Alors, ça t’a plu ? Me demande la diablesse.
– C’était bien mais un peu court, j’aurais préféré qu’on fasse plus de choses…
– J’ai bien compris, justement j’ai un truc à te proposer, deux ou trois fois par semaine, on ouvre une annexe du restaurant dans la « petite salle », il n’y a que cinq tables, le menu est le même que dans la salle principale, mais les serveuses, comme moi, sont très cochonnes… et ça se termine toujours en orgie… Si ça te dit tu me payes juste un forfait, après il n’y a pas de suppléments.

Nouvelle discussion sur les tarifs, l’affaire n’est pas donnée, mais ça reste raisonnable si tant est que les promesses seront tenues.

– C’est à 21 heures, il faut mieux être à l’heure pour que tout le monde soit là en même temps, sinon, c’est moins intéressant, c’est le salon n°2 au premier étage. Je vais te donner un reçu.

Le soir à l’heure dite, je me rends donc dans ce fameux salon.

Je suis accueilli par Fabiola, une superbe fausse blonde très bronzée aux lèvres purpurines. Cette « demoiselle » est simplement vêtue d’un petit slip bleu, et en haut d’un gilet sans manche non fermé, ce qui fait qu’à chacun de ses mouvements sa poitrine se dévoile… Voilà qui commence bien !

Seconde surprise, moins bonne cette fois, dans la petite salle il n’y a que deux clients, ce sont deux asiatiques à lunettes et en costumes de ville… Pour faire une orgie ça risque de faire un peu juste.

Fabiola me place, je m’assois, et j’attends, pas très longtemps… Un groupe entre et prend place à une table de quatre : Je n’ai bien sûr appris leurs prénoms que plus tard, mais pour la commodité de la description on va les dévoiler de suite :

Mon regard se porta en premier sur Ingrid, une grande femme, dans doute proche de la cinquantaine, cheveux blond vénitien, et sourire carnassier, qui avait poussé la provocation jusqu’à se vêtir d’un haut en voile noir transparent qui ne cachait rien de sa poitrine bien ronde. Une autre femme plus jeune, Maria, grande bringue délurée à lunettes, avait revêtu un chemisier blanc qu’elle s’empressa de déboutonner à moitié dès qu’elle fut assise. Charlie, un homme d’une cinquantaine d’année accompagnait Ingrid, genre vieil épicurien, en chemise fantaisie semi ouverte sur une poitrine velue que barrait une énorme chaîne en or. Le quatrième personnage était un bellâtre, sorte d’imitation des vedettes masculines américaines de séries télévisées pour adolescents et accompagnait donc Maria.

Trois minutes après un autre couple, Robert et Nicole, faisait son entrée, la cinquantaine tous les deux, banals de chez banals, Madame est une fausse blonde aux cheveux courts, bien conservée, chaussée de lunettes en écailles. Robert un petit bonhomme au crâne dégarni et à l’allure joviale. Bizarre quand même ceux-là, habillés comme ils le sont, on les verrait mieux visiter le Mont Saint-Michel que de participer à une partie avec des trans. J’apprendrais qu’il viennent de Liège en Belgique.

Fabiola la transsexuelle, commença son service en proposant un apéritif maison. Elle s’approcha de la table des chinois, se penchant pour bien dévoiler sa poitrine, ce qui provoqua de leur part des gloussements amusants, puis mit carrément, un bref instant, la main sur la braguette du premier d’entre eux qui se laissa faire avec un sourire béat. Le second asiatique eut droit au même traitement, puis Fabiola, se dirigea vers la desserte, sélectionna deux des verres qu’elle avait apportés et se dirigea vers la table de Robert et Nicole, elle écarte alors son petit slip bleu et en sort sa queue qu’elle balade devant le couple.

– Vous pouvez toucher un peu si vous voulez ! Précise-t-elle.

Robert n’hésite pas et caresse un peu l’engin, son épouse, amusée finit par faire de même. Puis Fabiola avec un nouveau verre se dirige vers ma table. Je l’accueillis bien sûr avec le plus grand sourire.

– Gisèle m’a dit que tu aimais bien les bites ! Me dit-elle sans autre préalable !
– C’est vrai ! Elle sera là se soir ?
– Bien sûr ! Tu aimerais qu’elle t’encule devant tout le monde !
– Ça ne me dérange pas !
– Humm… petit coquin !

Je n’ai pas eu droit au toucher de braguette ! Elle ne me propose pas non plus de lui toucher la quéquette. Tant pis ! Elle repart sur la desserte préparer les verres de la table de quatre. Ceux-là ont l’air de bien rigoler, sauf peut-être le bellâtre qui m’a l’air un peu mal à l’aise, je tends l’oreille pour essayer de deviner leur nationalité, surprise c’est du français, mais du français avec un accent impossible, des québécois peut-être…

Fabiola s’approche de leur table, elle échange quelques propos en portugais avec Ingrid, je comprends qu’elle la félicite pour son haut transparent. Cette dernière rigole et quand la transsexuelle lui demande l’autorisation de toucher, elle ne refuse pas et se laisse peloter les seins à pleines mains, puis ne se démontant pas, Fabiola posant ses paumes sur les épaules de Maria s’apprête à lui faire subir le même sort, n’attendant plus que son approbation, qu’elle obtient de façon très naturelle. Leurs deux compagnons masculins ont alors des réactions très différentes. Charlie parait tout émoustillé par le spectacle, en revanche, le visage du bellâtre à tendance à virer vers une couleur proche de la craie… Fabiola, placée derrière lui, ne s’en aperçoit pas et quand elle tente d’approcher ses mains, il a un geste d’agacement. Elle n’insiste pas et s’en va caresser le torse poilu de Charlie qui se pâme quand elle lui pince le téton… lentement la main de la transsexuelle descend vers la braguette…

Ce doit en être trop pour le bellâtre qui quitte soudain les lieux en prononçant quelques mots définitifs en anglais… Les trois qui restent ne tentent pas de le retenir et semblent prendre ce départ avec philosophie… Fabiola se demande si elle doit continuer, mais Charlie la rassure :

– Aucune importance, faites comme si rien ne s’était passé, continuez donc ce que vous vouliez faire ! Dit-il.

Fabiola remet alors la main sur la braguette de l’homme, puis lui demande de se lever. Elle défait alors la ceinture de Charlie, puis descend son pantalon jusqu’aux chevilles, bientôt suivi par le caleçon. Notre homme se retrouve donc la quéquette à l’air. Une belle quéquette bien bandée. La transsexuelle lui fait ensuite dégager les pieds, puis va poser les vêtements ainsi retirés sur une patère proche.

Elle revient, se penche légèrement de façon à déposer un bisou sur le gland de Charlie, puis l’invite à se rasseoir dans cette tenue, avant de regagner les cuisines.

Au fond les deux asiatiques n’en reviennent pas, l’un expose un sourire béat, l’autre paraît se demander ce qu’il fait ici.

C’est alors que je vois Ingrid, la compagne de Charlie comploter à voix basse avec ce dernier puis avec Maria. Soudain, elle se lève et viens vers moi.

– Bonjour, monsieur ! Vous êtes seul où vous attendez quelqu’un ? Me demande-t-elle en anglais.
– Je suis seul ! Répondis-je en français !
– Ah ! Vous êtes de quelle ville ?
– Paris.
– Nous, nous sommes québécois. Dites-moi franchement, je trouve que mon haut est un peu trop transparent, qu’en pensez-vous ?
– Je trouve qu’il est très joli comme ça !
– Le haut ou ce qu’il y a en dessous ?
– Les deux, en fait !
– Donc, ils vous plaisent mes nichons ?

Je n’en reviens pas, la nana a carrément soulevé son haut en voile et me fourre sa poitrine sous le nez.

– Ils sont très beaux ! Confirmais-je, confus !
– Ils ne seraient pas contre un petit bisou, alors !

Qu’auriez-vous fait à ma place ? Ma bouche eut tôt fait de rencontrer le téton que je mis à lécher avec gourmandise.

– Hummm, vous êtes un bon lécheur vous ! Je suis sûre que vous devez bien aimer lécher les chattes et les culs…

J’acquiesçais de la tête.

– Et les bites aussi ? Non ?
– Aussi, oui…
– Et bien c’est super tout ça ! Ça vous dirait de venir à notre table, comme vous avez pu le constater nous avons eu une petite défection… et comme on s’amuse mieux à quatre qu’à trois….

Vous pensez bien que j’ai accepté ! Ils changent un peu leur place, afin de me permettre de m’asseoir à côté d’Ingrid. Et on fait les présentations.

– Vous avez vu comment elle est chaude ma femme !
– Je vois…
– Et notre fille, Maria n’est pas triste non plus !

Ah bon ! Je le disais bien qu’il y avait comme un petit air de ressemblance. Ainsi, monsieur et madame emmènent leur fille en partouze ? Après tout pourquoi pas ?

Je vois et je sens, car sa main est déjà en train de se balader sur ma braguette… J’ai une envie folle de lui embrasser de nouveau les seins, mais je n’ai pas non plus envie de précipiter les choses. Devant moi, Maria me raconte qu’elle avait allumé le jeune homme qui vient de s’enfuir, dans les rues de Rio, il lui avait assuré qu’il n’avait pas de tabous, mais il devait en avoir quand même…

– Il est gonflé quand même, car c’est moi qui lui ai payé la place, il aurait pu me rembourser….

Elle me dit tout ça en se caressant un sein dont un téton est sorti du chemisier… Je vais devenir fou.

– Tu préfères mes seins ou ceux de ma mère ? Me demande-t-elle.
– J’aime tous les seins répondis-je diplomatiquement.
– Quand même, ceux de ma mère, ils sont d’enfer ! J’aimerais bien en avoir des comme ça.

Et la voilà qui se met à téter les tétons de sa maman.

– Arrête, tu m’excites !
– Tu aimes quoi, toi ? demande Maria en se redressant, les chattes, les bites, les femmes, les trans…
– Un peu tout ça…
– Hum, tu me plait bien toi, tu as vu la bite de mon père comme elle est belle quand elle bande !

Elle s’en empare et se met à la branloter ! Je rêve ou pas ? Mais je n’était pas au bout de mes surprises puisque la voilà qui se penche pour prendre en bouche le chibre paternel.

– On le suce à deux ? Me propose-t-elle

Ben oui on le suce à deux, je ne vous dis pas l’érection du tonnerre que je me tape, la bite de Charlie est délicieuse, mais cette pette fantaisie est interrompue par Fabiola qui réapparaît sagement en nous apportant de la Feijoada, une sorte de cassoulet local.

– Toi aussi tu as eu la visite de la femme de chambre me demande Charlie ?
– Oui, c’était pas mal ! Un peu rapide quand même !
– Normal, le patron leur interdit de rester trop longtemps dans les chambres, parce qu’il ne peut pas contrôler ce qui se passe et que donc ça lui fait du manque à gagner. Le jeu c’est de t’allumer pour te faire venir à la soirée, ici… J’en ai parlé avec un autre couple, il paraît que certains soirs c’est génial… On verra bien.

Tout redevient relativement calme pendant que nous dégustons ce merveilleux plat. Puis voilà Honey qui fait son apparition, une transsexuelle très grande, à la peau très pâle, frisée comme un mouton et avec un très joli visage. Elle est simplement vêtue d’un ensemble culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelle bleue. Elle se dirige vers la table des deux asiatiques, échange quelques mots puis sort carrément son sexe de sa culotte en se mettant à se masturber afin de le faire bander. Elle s’approche de l’un des convives, l’invitant implicitement à toucher ce sexe magnifique… mais manifestement ça ne l’intéresse pas, sans doute est-il exclusivement actif ? Son vis-à-vis par contre, n’hésite pas une seconde et après avoir un peu caressé la queue offerte, se la met dans la bouche et commence à la sucer goulûment.

– Doucement, doucement… Tempère la jolie trans.

Fabiola revient avec Gisèle, (celle qui m’avait chauffé en chambre) et une autre trans, Carita, très noire de peau et vêtue simplement d’un paréo qu’elle retire aussitôt. Et tandis que les deux premières s’attablent, sans doute très provisoirement, la trans black se dirige vers la table de Robert et Nicole, en s’écriant :

– Ben, il y a de l’ambiance ici !

Elle s’assoie sur les genoux de Robert dont les yeux sont à présent aussi écarquillés que ceux du loup de Tex Avery.

– Les genoux de votre mari sont très confortables ! Commente-elle. Oh, mais là, je sens quelque chose ! Mais c’est qu’il bande, ce petit cochon… Dis-moi tu voudrais faire des trucs avec moi ? Mais que va dire ta femme ?
– Ne vous gênez pas pour moi ! Répond celle-ci.
– C’est vrai, vous me le prêtez ?
– Oui, oui !
– Vous me le prêtez tout entier, sa bite, son cul ?
– Pas de problème !

Du coup, Carita extrait la belle bite de Robert de son pantalon, la masturbe un petit peu et finit par la mettre dans sa bouche.

Nous, à notre table de quatre on regarde, Ingrid à la main sur mon sexe, et moi je lui fais des petits bisous furtifs sur les seins, tandis qu’en face de nous, Maria et son père se tripotent à tout va. A la table des Chinois, Honey met fin à sa fellation.

– Tu veux que je t’encule ? Propose-t-elle à l’homme d’affaire asiatique.
– Pas tout de suite ! Répond l’homme qui en fait se dégonfle.
– Et toi tu veux faire des choses avec moi ? demande-t-elle au deuxième.

Manifestement, il hésite, même quand la trans lui propose explicitement de le sucer… Du coup elle se dirige vers notre table :

– Ces deux messieurs là-bas doivent être un peu timides… Et les messieurs qui sont là, est-ce qu’ils aiment bien se faire enculer ? Demande-elle carrément.
– Bien sûr, répond Charlie.
– Et ça te plairait d’avoir ma belle bite dans ton cul ?
– Bien sûr que ça me plairait !
– Et tu me la sucerais bien avant ?
– Oui, j’adore !
– Elle, c’est ta femme ? Demande-t-elle en désignant Ingrid.
– Oui, je suis sa femme, répond cette dernière.
– Ça ne te gêne pas si j’encule ton mari ?
– Pas du tout, au contraire ça m’excite.
– Bravo, j’aime les femmes comme toi, viens que je t’embrasse. Mais avant finissez de vous déshabiller tous les quatre, ce sera plus pratique pour la suite.

Une fois qu’elle fut à poil, elle fait lever Ingrid et s’empare de sa bouche. La femme et la trans se roulent un interminable patin tout en se pelotant mutuellement. Une fois l’affaire terminée, Charlie se met à applaudir, j’en fais de même, Maria également… Carita et le couple mature nous jettent un regard amusé. Les asiatiques du fond ne bronchent pas… Gisèle et Fabiola se lèvent et s’approchent de notre table, cette dernière offrant sa bite à Charlie, tandis que Gisèle me tend la sienne afin que je m’en régale. Honey quitte notre groupe et se dirige vers Robert, bite en avant, il n’hésite pas et gobe le joli cylindre de chair…

Donc récapitulons (parce qu’avec tout ce monde on va finir par s’y perdre !) : à ce moment de la soirée, nous avons à une table Robert qui suce Honey et qui se fait sucer par Carita.

– Tu peux sucer aussi, si tu veux ! Propose Honey à Nicole qui ne demande pas mieux.

A la grande table, Charlie suce Fabiola qui roule un patin à Ingrid. Quant à moi, je suce Gisèle qui se s’est mis à doigter le cul de Maria. Cette bite est délicieuse mais j’aimerais bien goûter les autres, je la relâche au bout d’un moment, Maria en profite pour me la piquer, et du coup Gisèle me doigte à son tour :

– Je t’avais promis que je t’enculerai, je vais te préparer le cul et je vais te prendre devant tout le monde, tu veux ?
– Oui !
– Humm Regarde ce que fait Fabiola, la cochonne.

– Je vais t’enculer mais avant je vais enculer ta femme ! Propose Fabiola à Charlie.
– Pas de problème ! N’est-ce pas Ingrid ?
– Ben, on est venu pour ça, non ? Répond Ingrid qui se met à sucer quelques instant la bite de la jolie trans que son mari vient d’abandonner.

Puis elle se met par terre, en levrette, son gros cul offert, obscène, qu’elle écarte des mains. Fabiola s’encapote et la pénètre avec une facilité déconcertante.

– Oh ! Qu’est-ce qu’elle m’encule bien ! S’exclame-t-elle.
– T’aimes ça te faire enculer, hein ! Tu es une enculée et une femme d’enculé !
– Oui, oui !
– Une grosse salope !
– Oui, oui tout ce que tu veux, continue….
– Oui, mais, il faut que je garde un peu de force pour le cul de ton pédé de mari !
– Dommage.

Fabiola se retire après avoir limé la blonde mature pendant cinq bonnes minutes.

– Houh, la cochonne, elle avait le cul pas bien propre ! Regarde dans quel état je ressors de là-dedans ! Rigole-t-elle en montrant la chose à Gisèle.

Elle essuie sa bite toujours encapotée sur les fesses d’Ingrid, créant ainsi d’insolites traces brunâtres, puis change de capote et fait signe à Charlie que maintenant c’est son tour.

– Allez, toi aussi ! Me dit Gisèle.

Trans1001Ah ! Chic ! Ça y est je vais l’avoir sa bite dans le cul ! Je me positionne à mon tour, et Gisèle commence à me lécher le fion. Quelle langue, mes amis, quelle langue, j’ai l’impression qu’elle me pénètre jusque je ne sais où ! Je me trémousse comme une grande folle et cela fait rire ma partenaire.

Plus loin, Robert s’est décidé à sodomiser Honey, la jolie transsexuelle toute bouclée. Nicole s’est levée pour aller draguer Maria, ça marche, cette dernière accepte tout : le baiser baveux, le pelotage de seins, et la main dans la chatte.

Carita, un peu désœuvrée, demande à Ingrid si elle ne veut pas une nouvelle bite en la lui mettant sous nez, je n’avais pas encore vu son membre à celle-ci, c’est impressionnant. Bien sûr qu’elle en veut et elle se la met dans la bouche avec avidité, avant de se la prendre, elle aussi dans le cul.

Ça y est, Gisèle m’encule ! Quel plaisir de sentir cette belle bite s’agiter frénétiquement dans mon trou du cul.

– Dis donc, petit cochon ! Me dit-elle, Tu crois que je ne t’ai pas vu en train de reluquer la grosse bite de Carita, tu la voudrais bien aussi celle-là ?
– Ben ma fois, puisque j’en ai l’occasion !
– Hummm, ce n’est pas bien de convoiter une fille pendant qu’une autre s’occupe de toi. Tu n’auras droit à la bite de Carita que si tu accomplis un gage.
– Pourquoi pas, je suis très joueur ! Aaaaah, que c’est bon ce que tu me fais !
– Bien sûr que c’est bon !

Tandis que Maria et Nicole se gouinent comme des sauvages sur une banquette, Robert jouit dans le cul d’Honey et s’affale, épuisé sur sa chaise. Fabiola s’est retirée du cul de Charlie

– Oh ! Comme elle t’a bien enculé, Papa ! Commente Maria.
– Génial ! Ça te fait envie, c’est ça
– Oui, Papa, encule-moi !

Et pendant que Charlie sodomise sa fille, celle-ci broute le minou de sa mère venue les rejoindre fort opportunément.

Carita décule à son tour suivie de Gisèle qui me laisse le trou béant. Elle me demande de la suivre.

– Ce jeune homme voudrait bien finir avec toi ! Dit-elle à Carita, mais avant il doit accomplir un gage. Tu as une idée…
– Si tu lui faisais lécher le cul de cette salope ! Répond la transsexuelle black en désignant les fesses d’Ingrid.

En temps ordinaire, je n’aurais sans doute jamais fais une chose pareille, mais excité comme j’étais, le gros cul d’Ingrid luisant de transpiration ne me paraissait même pas enlaidie par les quelques traces brunâtres qu’avait laissé ses enculeurs. Je lui léchais donc les fesses avec application, allant même jusqu’à plonger ma langue dans son trou béant qui dégageait une odeur de merde un peu forte.

J’ai eu ma récompense : la bite de Carita dans ma bouche, mais renonçais à la prendre dans le cul… Je l’ai ensuite regretté.

Je n’avais pas trop fait attention à ce gros chien noir avachi dans un coin de la pièce. Mais le voilà qui se réveille et vient tournicoter autour des tables, il s’arrête devant Ingrid qui souffle un peu et vient lui renifler l’entre jambe.

– Mais dis donc le chien tu m’as l’air bien coquin !
– Il est très coquin et très vicieux ! Lui précise Carita.
– J’aimerais bien qu’il me lèche, ça peut se faire ?
– Vous pouvez faire tout ce que vous voulez avec le chien du moment que vous ne le maltraitez pas.
– Allez viens mon chien, viens lécher mémère !

Elle attire la bestiole entre ses cuisses, l’animal se met alors à laper le minou d’Ingrid à grand renfort de langue

– Oh que c »est bon ! Quelle langue.
– Nous n’avons pas de chien mais on s’est déjà amusé avec celui de nos voisins ! M’explique Maria. Maman, j’aimerais bien qu’il me lèche aussi !
– Vas-y je te le laisse !

Un bruit de chaises, les deux asiatiques quittent la salle, je me demande s’ils ont véritablement apprécié.

Après cette séquence de léchouille, les deux femmes ont fait en sorte de coucher le chien et de lui caresser le membre, une bite rouge et visqueuse qu’elles prennent en bouche avec une décontraction étonnante.

– Oh làlà, c’est excitant ce que vous faites ! Intervient Nicole ! Je n’ai jamais fait ça, moi !
– C’est l’occasion d’essayer ! Lui souffle Carita
– Je ne sais pas si je vais oser !
– Osez, Nicole, osez !
– Alors je vais oser !

Elle s’immisce entre Maria et sa mère et se met à sucer avec application.

– Je suis une salope, une fois ! Je suce la bite d’un chien !
– Il est complètement excité, ce pauvre chien ! Ce serait bien que l’une d’entre vous se fasse monter.
– Moi, moi ! Se propose Ingrid qui l’instant d’après se retrouvait en levrette avec le chien derrière elle la pilonnant à une cadence infernale.

Puis sans que l’on sache pourquoi le chien se retire. Caritas se met alors en position et attire le chien.

– Les filles, aidez-le à me pénétrer!

C’est Ingrid qui guide la bite du chien vers l’anus de la belle trans. Le chien peut alors reprendre ses assauts encouragés par la petite assemblé qi fait cercle autour de la scène.

Le chien après s’être soulagé a regagné son coin. Les trans se sont rhabillées et nous ont resservi un verre chacun.

– Voilà, Messieurs dames, c’est terminé, j’espère que ça vous a plus. Nous referons une autre séance mardi prochain, nous vous souhaitons une bonne nuit. Ne vous pressez pas pour quitter la salle, vous avez tout votre temps.

Et elles disparaissent. Nous ne sommes plus que six. Maria et Ingrid se font de tendres câlins. On se rhabille tous un peu mollement. Nicole tiens un conciliabule à l’oreille de son mari qui opine du chef, puis elle s’approche de nous.

– Je vois que tout le monde n’a pas joui, alors je vous propose de nous rejoindre dans notre chambre. Mon mari et moi seront à votre disposition, vous pourrez nous faire tout ce que vous voulez, dans la limite du raisonnable bien sûr ! Ça vous dit ?

Ça nous dit !

On a tous plus ou moins envie de pisser, une fois dans leur chambre, Nicole se précipite dans la salle de bain.

– Mettez-vous à l’aise ! S’il y en qui veulent me regarder pisser, n’hésitez pas ! Nous informe-t-elle.

On doit tous être entré dans la salle de bain, ça fait un peu juste quand même. Du coup, Nicole qui allait s’assoir sur la cuvette change d’idée, abandonne ses derniers vêtements et s’assoit dans le carré à douche et commence à pisser d’abondance.

– S’il y en a qui veulent me pisser dessus, ce n’est pas de refus.

Charlie prend la proposition au vol et se met à pisser sur la belle qui un moment met son visage sur la trajectoire afin de pouvoir en découvrir le goût.

Tout le monde se met à pisser un peu n’importe comment, Je m’allonge sur le sol espérant que Maria ou Ingrid comprendront le message. Ingrid le comprend et s’accroupit au-dessus de moi, m’arrosant copieusement. Hummm, il est trop bon son pipi.

On se douche assez vite, on se sèche sommairement. Nous sommes tous un peu fatigués mais nous voulons terminer en beauté !

– Allez, vous deux avec moi, les deux autres avec Robert ! Propose Nicole en me désignant ainsi qu’Ingrid.

J’encule donc Nicole tandis que celle-ci lèche le minou d’Ingrid. De l’autre côté, Charlie sodomise Robert qui a jeté son dévolu sur les nichons de Maria qu’il tête goulument.

Charlie jouit asse vite et décule, et tandis que je continue à lutiner la belle Nicole, Robert m’offre sa belle bite à sucer. Je n’ai pas refusé, elle était très bonne et je l’ai fait juter dans ma bouche tandis que je jouissais dans le cul de la jolie mature. Les trois filles se sont ensuite mélangées jusqu’à ce qu’elles jouissent à leur tour. Cette fois, on était vraiment crevé. On a refusé le dernier verre, bisous, bisous et dodo chacun dans sa chambre.

Epilogue

– Quel beau récit ! Conclue alors la voyagiste, j’en suis toute mouillée. Voyez-vous, j’avais pris des résolutions, en venant ici au restaurant je pensais éviter la tentation de refaire des bêtises avec vous. Mais après vous avoir écouté je vais vous demandez deux choses.
– Dites :
– La première c’est d’aller vite payer, nous prendrons les cafés plus tard, la seconde, c’est de m’accompagner à l’agence, et là vous allez m’enculer dans l’arrière-boutique !
– Mais avec grand plaisir !

 

Fin
©Boris Vasslan Janvier 2010 sur une idée proposée par Arnaud.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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