Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 07:16

Racolage Balnéaire 3 – Les grandes folles par Boris VasslanFetish

Thèmes abordée :  bisex féminine, doigtage masculin, engodage masculin, feuille de rose, jeux érotiques, party, scato, sex and food, shaving, spermophilie, transsexuelles, travestis, uro. 
Attention, âmes sensibles, ce texte contient un passage scato explicite !

C’est Soraya, le travesti présentateur qui m’accompagna jusqu’à une grande chambre, il me demanda si j’avais faim, et devant ma réponse négative me souhaita une bonne nuit, m’expliquant qu’il serait à ma disposition demain dès 9 heures et que je pourrais l’appeler par l’interphone pour le petit déjeuner. Epuisé, fourbu, je me demandais néanmoins ce que je fabriquais ici, et surtout quelle folie m’avait poussé « sans un instant réfléchir » à accepter cette étrange proposition. J’eus malgré la fatigue, certaines difficultés à m’endormir. Je m’étais malgré tout résolu à ne pas m’attarder ici et à trouver le moyen de partir, dès mon réveil. Après tout je n’étais pas prisonnier !

Je me réveillais d’assez bonne heure, mais je musardais au lit, n’arrivant pas à me décider à me lever. Commençant à avoir faim, j’avais donc le choix entre deux attitudes, appeler la soubrette pour le déjeuner ou me faufiler vers la sortie de cette demeure, puis aviser. C’est poussé par je ne sais quel démon que je choisissais le petit déjeuner sur place et activait l’interphone.

Un quart d’heure après Soraya était là avec tout ce qu’il fallait…

– Voilà, il y a du café, du lait, du jus d’orange, des tartines beurrées et de la confiture. Hum ! Le pain est tout chaud ! Désirez-vous autre chose ?

Je dévisageais un instant Soraya, il s’agissait d’un travesti et non pas d’une transsexuelle. Le type s’était savamment maquillé, une longue perruque blonde lui tombait en cascade sur ses épaules, mais peut-être étaient-ce ses cheveux naturels ? Son corps était apparemment entièrement épilé. Il n’avait pour unique vêtement qu’une nuisette rose à moitié transparente qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse. Déjà, troublé par le personnage, la vue de son sexe sous le tissu diaphane me provoqua un début d’érection. Il se rendit compte de mon trouble et innocemment réitéra sa question :

– Désirez-vous autre chose ?
– Je ne sais pas ! Que me proposez-vous ?
– Je peux par exemple prendre mon petit déjeuner en votre compagnie, mais si vous souhaitez rester seul, ou si vous avez besoin de quoique ce soit…

Je le coupais :

– Non ! Non restez, c’est une très bonne idée !
– On va se partager tout cela, normalement c’est pour une seule personne, mais si nous n’avons pas assez, j’irais en rechercher !
– D’accord ! Mais il n’y a qu’une tasse !
– Bon alors je reviens !

Et le voici qui s’en va en tortillant du cul, je me surpris à fantasmer sur ses belles petites fesses toutes rondes. Décidément quelque chose ne tournait pas trop rond dans ma pauvre tête en ce moment. Et puis le voilà qui revient déjà, comme s’il avait oublié quelque chose !

– Au fait qu’est-ce que vous avez emporté comme chaussures ?
– Pardon ?

Il reformula son insolite requête.

– Pourquoi, me demandez-vous ça ?
– Ah ! Ah ! C’est une surprise !
– Je n’ai rien ramené du tout, j’étais en tongs quand vos copines m’ont racolé !
– Ah ! Et vous chaussez du combien ?
– Du 42 ! Si je n’ai pas pris une pointure en dormant !
– A tout de suite !

Et nouveau départ du zèbre qui retortille le cul comme pas possible, et mon zizi qui a l’air d’apprécier…

Le voici qui revient, avec un second plateau de petit déjeuner ! Il fait le service et me sert un café au lait fumant. Etant toujours dans le lit, j’ai pratiquement sa quéquette sous le nez. J’essaie de regarder ailleurs, mais je me rends compte du ridicule de la situation et changeant complètement de comportement, je l’apostrophe :

– Elle est ravissante cette nuisette !
– C’est la nuisette que tu regardes ou bien ce qu’il y a en dessous ? Oh ! Pardon ? Je vous ai tutoyé ?
– Ce ne me gêne pas du tout !
– Alors répond donc à ma question, petit coquin !
– Ce qui est très joli c’est le mélange des deux !
– Bonne réponse ! Et comme ceci ?

Et voici que Soraya soulève sa nuisette dévoilant complètement à ma vue ses attributs. Ils n’ont d’ailleurs rien d’exceptionnels, sa bite est de taille moyenne, ses couilles sont bien banales, mais il y a deux choses qui font sortir tout cela du lot commun, d’abord il n’y a plus un seul poil, et puis ce contexte, cette bite incongrue sur un corps qui se voudrait féminisé. Tout cela m’excite, je bande à présent comme un gode.

– Superbe ! M’entendis-je répondre.
– Tu peux toucher si tu veux ?

Il m’apparut néanmoins assez rapidement que Soraya était aussi là, pour me satisfaire sexuellement. Il n’était donc pas utile d’en rajouter en inutiles prémices protocolaires. Soraya s’empare soudain de deux tartines beurrées et y place sa verge entre les deux. Il rigole !

– Tu as vu ? C’est un hot-dog !

Je me demande si le moment n’est pas venu d’attraper tout cela, mais la présence des plateaux me gêne. L’autre continue de délirer :

– Un hot-dog à géométrie variable !

Il se masturbe entre les deux tartines beurrées et sa queue ne tarde pas à adopter un bel aspect, bien raide.

– On pourrait continuer, ça ferait un hot dog à la crème !

Mais il ne poursuit pas ! Il dépose les tartines sur le plateau, prend une cuillerée de gelée de groseille qu’il se répand sur la verge. Il se fait donneur de conseil :

– Si tu mets directement la confiture, ça finit par couler, avec un peu de beurre, ça tient bien mieux et plus longtemps.

Il reprend ensuite l’une des tartines dont il s’est servi pour se sandwicher le zizi et en découpe une bouchée qu’il me tend :

– Voilà : Tu te mets ça dans la bouche, et tu lèches un peu de confiture

Et ce disant, il s’approche de moi, afin que la manœuvre devienne réalisable. Le petit bout de pain n’a pas pris d’odeur particulière malgré son contact avec le pénis du travesti. Je le mâchouille un petit peu, puis pointant ma langue vers sa verge, je viens y laper un peu de confiture. Je n’ai jamais fait cela ! Je suis excité comme un pou. Déjà, j’ai envie de jouir ! Je vais éclater ! Je continue, néanmoins cet étrange petit déjeuner, un petit bout de tartine, une lichette de gelée de groseilles sur la bibitte du travelo !

A force de lécher, il ne reste bientôt plus rien, mais tout cela reste un petit peu visqueux, personne ne m’a demandé de faire le ménage, mais il n’y a pas de raison, il faut que cela soit propre. Alors je lèche, je suce, et je relèche et je resuce. Tant et si bien, que soudain je sens ce membre tressauter à l’intérieur de mon palais. Cette grande folle est en train de jouir dans ma bouche. Ce n’était pas vraiment prévu ! Et n’étant pas un fanatique de l’avalage de sperme, je porte à ma bouche une pleine cuillerée de gelée de groseille avant d’avaler d’un coup ce mélange insolite…

C’est bien joli, tout cela, mais je ne suis pas calmé et d’un geste je lui indique ma queue dressée comme la lettre I dans l’alphabet.

– On s’en occupe !

Il me masturbe un tout petit peu, du bout de ses longs doigts. Ce type m’électrise, il a des mains d’artiste, des doigts de fées.

– Tu connais la pipe café au lait ?
– Non ! C’est quoi ?
– Je vais te montrer !

Soraya avala alors une bonne goulée de liquide chaud et la garda quelques instants en bouche afin d’augmenter la température de sa langue, de ses lèvres et de son palais. Il avale ensuite le café, puis plonge vers mon sexe.

Curieuse sensation que cette pipe chaude. Au plaisir de cette fellation experte s’ajoute un contact trouble, celui que l’on retrouve par exemple lorsqu’on se douche le sexe avec de l’eau plus que tiède. Les deux sensations ne s’ajoutent pas, elles se multiplient. Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de Soraya, qui lui n’aura pas besoin, lui, de confiture pour avaler.

Je mets quelques minutes à reprendre mes esprits, puis nous finissons notre petit déjeuner comme si de rien n’était. Soraya me fait la conversation, (j’ai du mal à en placer une), et me parle des fantaisies de son patron, Frédérique, de quoi écrire un roman à épisodes. J’ai une fringale pas possible, il est vrai que je n’ai rien avalé depuis hier midi et il ne restera rien du tout sur les plateaux.

– Bon je vais peut-être me rentrer !
– Allons, allons ! Tu es invité, nous mangerons tous ensemble en fin d’après-midi, ce sont les habitudes de la maison. Mais auparavant nous avons prévu quelques petites fantaisies histoire de se distraire. En attendant tout cela, tu as la salle de jeux à ta disposition, il y a tout ce qu’il faut pour passer le temps, un billard, des flippers, un micro avec des jeux, une chaîne, une bibliothèque… Mais avant je vais te raser.

– Merci, ça je peux le faire tout seul !
– Ne dis pas de bêtises, tu crois que c’est facile, toi, de se raser tout seul les poils du trou du cul ?
– Non mais attends ! Tu veux faire quoi au juste ?
– Te raser partout ! Partout, partout !
– Non ! Pas question, le trou du cul à la limite, mais c’est tout !
– Oh ! Comme c’est dommage !
– C’est dommage, mais c’est comme ça !
– Tu as peur que ta femme s’en aperçoive ?
– Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas s’en apercevoir ?
– T’invente une histoire !
– Trouve m’en une et je me laisse faire !
– Voyons, voyons ! Tu t’es réveillé avec des fortes démangeaisons sur la poitrine, tu n’as pas eu le temps d’aller consulter, mais tu en as parlé au pharmacien qui t’a dit qu’il y avait plusieurs cas en ce moment, que cela était provoqué par un petit parasite genre morpion, mais que ce ne sont pas des morpions, il t’a donné une crème, mais il t’a précisé que le moyen le plus efficace serait de te raser tous les poils. Ça te va ?
– Quelle imagination ! C’est un peu tiré par les poils, justement mais ça devrait aller !
– De toute façon, une crème on t’en donnera une, quand ça commence à repousser ce n’est pas toujours évident ! On y va ?

Je suivis donc Soraya dans la salle de bain !

– On va commencer par la poitrine, heureusement il n’y a pas grand-chose !

Et hop ! Le voilà qui me colle une tartine de gel moussant qu’il m’étale sur mon torse, il ratisse ensuite avec le rasoir en de petits gestes précis. Je me laisse faire. Je commence à comprendre le ravissement qu’ont certaines femmes à passer de longues séances chez l’esthéticienne. Il est un plaisir certain de se faire occuper de son corps tout en ne faisant rien. Il m’essuie ensuite avec une serviette chaude, contrôle si rien n’a été oublié, en profite pour passer une main sur la pointe de mon téton gauche.

– Dis donc ! Tu as le bout des tétons bien développé, toi ?
– C’est à force de mes les faire pincer !
– Comme ceci ?

Et le voilà qui me serre le bout, c’est ma caresse préférée, celle qui me refait toujours bander. Et là en plus, il y a les doigts de fée de ce diable de travesti ! Ma quéquette s’en redresse de satisfaction !

– T’aime ça, hein, petite salope ? Minaude Soraya
– Continue !
– Dis le moi que tu es une petite salope !
– Et toi ? répliquais-je.
– Moi aussi je suis une petite salope, on est toutes les deux des petites salopes, mais soyons sérieux ! On a toute la journée !

Il s’occupe ensuite de mes jambes, de mes bras, il ne reste plus que mon sexe et mon anus. Quand il commence à s’emparer de ma bite pour m’ôter la mousse et les poils, je me remets de nouveau à bander comme un cerf.

– Branle-moi !
– Non, il te faut garder des forces pour tout à l’heure ?
– On va faire quoi tout à l’heure ?
– On va s’amuser !

Je n’en saurais pas plus !

Restait mon anus, il me fit mettre en cheval d’arçon sur le tabouret pendant qu’il opérait.

– T’as un vrai petit cul de gonzesse ! Hum ! Le genre de cul à attirer les coups de martinet et les bites bien dressées !
– J’ai eu ma dose hier !
– Oui, mais pas aujourd’hui ! Et d’ailleurs tu n’as aucune marque !

Mais, il faut croire qu’il n’était pas dans ses intentions immédiates, ni de me flageller, ni de me sodomiser. Il reprit son rasage et j’eus l’impression que l’affaire s’expédiait assez vite, quand profitant du passage de la serviette chaude, il s’enhardit subitement à passer son doigt à l’entrée de mon trou. Je crus deviner qu’il mourrait d’envie de me doigter et ne voulant pas prendre le risque de contrarier un aussi délicieux personnage, je m’ouvrais, il y pénétra donc le doigt, comme je l’avais supposé, mais sans toutefois insister outre mesure.

– Pendant qu’on y est, je vais te faire la barbe.
– Ça ! Je peux le faire tout seul !
– Tss ! Tss ! Je m’occupe de tout !

C’est bien la première fois qu’on me rasait le visage, mais il fit cela aussi très bien. A la fin il me caressait mes joues, sans doute pour en tester la douceur, toujours est-il que son visage était à ce moment-là à 30 centimètres du mien et que c’est poussé d’une impulsion subite et réciproque que nous nous embrasâmes sur la bouche en un long baiser fougueux. Puis il me laissa.

Je pris une douche avant de m’assoupir une bonne heure. Puis, je rejoignis la salle de jeux dans laquelle je dénichais une magnifique collection de bandes dessinées érotiques dont la lecture attentive me fit efficacement tuer le temps.

L’après-midi commençait quand Soraya vint à nouveau me rejoindre. Il (je ne sais jamais s’il faut dire « il ou elle », avec les transsexuelles, je mets « elle », ici c’est moins évident !) Elle avait un paquet cadeau dans une main, des sacs en plastique dans l’autre.

– Tiens ! De la part de Frédérique !

Voilà qu’on me faisait des cadeaux à présent ! C’est quoi encore cette histoire de fou ! Je déballais le machin, ça ressemblait vaguement à une boite à chaussures ! C’était une boite à chaussures ! Dedans une super paire de baskets. Je suis loin de partager cet incompréhensible culte enthousiasme qu’ont nos jeunes contemporains pour les godasses de marque. Mais je n’étais pas ignorant au point de ne pas savoir que celles qui m’étaient ici destinées devaient valoir leur pesant de cacahuètes. On avait poussé la délicatesse jusqu’à accompagner la chose d’une paire de chaussettes qui sans être spécialement dans mes goûts, affichait néanmoins une grande griffe.

– Et c’est en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, mais les jeux de plein air sur la pelouse avec des tongs, ça craint un peu ? Non ?

J’avais gardé mes habits de la veille, tee-shirt bon marché et bermuda tout simple, spécial vacances. J’enfilais chaussettes et chaussures, sur instruction de Soraya. J’avais l’impression d’être un peu dépareillé.

– Maintenant séance de maquillage !
– Pardon ?
– Allez, viens, dans cinq minutes on va te souhaiter la bienvenue au club des grandes folles.

Je ne protestais même pas ! A quoi bon ? Tout cela était sans conséquence. Alors Soraya me mit du fond de teint, me maquilla les yeux, me coloria les lèvres, m’apposa du vernis à ongles et pour couronner le tout me coiffa d’une perruque blonde.

Je contemplais mon visage dans le miroir ! Etait-ce bien moi ? Que dirais ma femme si elle me voyait, là maintenant ? Mais quelque part une pensée se fit forte dans mon esprit, et cette pensée, ce devait être un petit diable qui me la chuchotait à l’oreille :

– C’est la première fois ! Mais ce n’est sûrement pas la dernière !
– Bon on va aller rejoindre les autres, retire tes fringues et enfile ça, ce sera beaucoup plus sexy !

Ça, c’était une ravissante petite nuisette vert pâle ! Il fallait que je m’y fasse ! Cet après-midi j’avais franchi un pas, j’étais devenu un travesti ! Et cela ne me gênait pas le moins du monde !

– Je ne mets pas de culotte ?
– Non, pas de culotte ! Allez viens !

Autour d’une table de jardin papotaient les personnages que j’avais rencontrés la veille : Nicole la grande blonde était entièrement nue. (quel délicieux spectacle que cette grande bringue, à la chair pulpeuse et à la peau hâlée par le soleil !) mais s’était coiffée de son grand chapeau vert à large bord. Jackie, la brune dominatrice n’avait en guise d’habit qu’une fine chaîne de taille en or et s’était couvert le chef d’une sorte de casquette de marine qui lui donnait un petit air mutin. (Mutin ! J’ai dit !) Chloé, la sculpturale transsexuelle avait conservé une petite culotte rouge en dentelles. Il y avait aussi une blackette aux seins de déesse qui je crois faisait partie des spectateurs d’hier soir, elle aussi avait conservé sa culotte, un machin de luxe, couleur dorée magnifiquement assortie à sa peau noire. Enfin, notre hôte, Frédérique s’était vêtue d’une sorte de pyjama en soie beige semi-transparente. C’est ce dernier qui m’accueillit :

– Bonjour mon biquet !

Voilà que je suis son biquet à présent !

– Mais c’est toi qui l’as transformé comme cela ? Soraya ! Mais tu es merveilleuse, viens que je t’embrasse !

Et il roule un patin à ladite Soraya, très fière de sa prestation ! Frédérique se retourne vers moi !

– Cet après-midi sera en ton honneur !
– Y fallait pas !
– Si ! Si ! Vous avez été tous si formidables hier soir ! Tu sais, certaines de ces soirées sont parfois à moitié ratées, il faut improviser sévère pour tout rattraper, et dès fois on y arrive même pas ! Alors que là, c’était fantastique ! Tout était parfait ! Il fallait bien marquer le coup ! Comme je ne pouvais pas vous retenir tous les trois (Quoi que j’aurais peut-être dû, mais bon !) On a gardé le plus mignon !

Il va me faire rougir ce con !

– C’est la première fois que l’on te travestit ?
– Oui !
– Et qu’est-ce que tu en penses ?
– C’est très troublant, ça ne me déplait pas, finalement !
– Je vous disais bien qu’il ne nous décevrait pas ! Comment on va l’appeler ? C’est quoi ton vrai prénom ?
– Euh, Boris !
– Boris ! Ça donne quoi, ça : Borisette, Borissa, pas terrible !
– Doris ! proposa Jackie
– Doris ! En voilà une idée qu’elle est bonne ! Ça te plait ?
– Pourquoi pas ?
– Et bien tu seras donc Doris, désormais ! Donc tu connais tout le monde, Ah non ! Tu ne connais pas Amanda, elle est belle, hein ? Me dit-il en me désignant la jolie blackette.
– Toutes mes félicitations vous êtes superbe !
– Et attend, tu n’as pas vu ma queue ! Me répond l’intéressée !

Encore une transsexuelle ! J’aurais dû m’en douter. Je ne vais pas me démonter, puisqu’il paraît qu’aujourd’hui c’est ma fête !

– Mais je ne demande qu’à la voir !
– Qu’est-ce que je fais ? Je lui montre ou pas ?
– Mais, non, il aura bien l’occasion de la voir pendant le jeu !
– Le jeu ?
– Oui ! On va jouer à Chat-Bite !
– Chat-Bite ?
– Tu ne connais pas ?
– Non !
– Tu ne jouais pas à chat quand t’étais gosse ?
– Si ! Mais pas à chat-bite !
– C’est la même chose, on va tirer au sort un chronomètre et on va t’expliquer !

On tire rapidement à la courte paille, tout le monde n’y participe pas, ni moi, ni Frédérique. C’est Soraya qui perd !

Aùmanda

– Soraya sera donc le chronomètre ! Donc au départ il y a un chat, il faut qu’il courre après quelqu’un de son choix qui devient à son tour le chat. Mais pour l’attraper, il faut qu’il lui touche la bite, (enfin le sexe, pardon Mesdames !) L’ancien chat peut alors faire ce qu’il veut au nouveau chat mais pendant seulement une minute. Et pour qu’il n’y ait pas de triche Soraya chronométrera ! Allez ! C’est parti !
– Oui, mais c’est qui le chat ?
– On va pouffer !
– Qui c’est qui connaît une comptine ?
– Moi ! dit Nicole !
– Une cochonne j’espère !
– Bien sûr !
– Allons-y ! : Une bi-te dans les frites, une couille dans les nouilles, un ni-chon dans les cor-ni-chons !
– C’est Chloé le chat !

Et c’est parti ! C’est qu’elle court vite, Chloé ! Mais je ne me débrouille pas trop mal, elle me prend pour cible, je l’aurais parié, mais j’esquive, et ne la laisse pas me rattraper. En désespoir de cause Chloé touche Nicole, et du coup lui suçote la chatte pendant une minute. Et Voilà donc notre Nicole dans le rôle du chat ! C’est qu’elle a de grandes jambes, Nicole, une vraie gazelle, la voir courir comme ça avec ses seins qui ballottent est un spectacle très excitant. Voilà que je me remets à bander. C’est encore moi la cible, c’est une conspiration, mais je tiens le coup. Elle finit par passer le relais à Jackie, non sans avoir roulé un patin pendant 60 secondes à cette dernière.

Jackie court moins vite que les deux précédents, mais c’est moi qui commence à manquer de souffle ! Je comprends que tôt ou tard, on finira par me rattraper. Puisque c’est un jeu acceptons en les arcanes. Etre le chat a après tout, quelques beaux avantages, je me laisse donc toucher la zigounette par la douce Jackie, qui ne trouve rien de mieux que de m’infliger une fellation « à la cannibale », c’est à dire que tout en me suçant, elle me mordille sans cesse ! C’est avouons-le fort agréable, même si on est toujours en train de se demander si on ne va pas se faire mordre. Et c’est moi le chat ! Et ma cible sera la noire Amanda, c’est beaucoup plus facile que je croyais, ses gros seins la gêne pour courir. Je la rattrape, lui touche le slip. Elle s’immobilise. Vite ! Une minute c’est vite passé : Je lui baisse le slip et lui dégage l’engin. Il est moins impressionnant que prévu, mais néanmoins de fort belle facture ! De toute façon, je ne fantasme pas sur les grosses bites, et sa taille me permettra au moins de l’avoir en bouche sans attraper un déhanchement de la mâchoire. Je suce tant que je peux. Mais notre travesti-chronomètre me signale la fin du temps réglementaire. Et c’est reparti. Nous avons joué à chat bite pendant plus de deux heures, riant comme des gosses, s’amusant comme des fous à nous sucer, nous tripoter, nous embrasser, nous caresser. Tout cela dans une ambiance assez saine et très excitante alors que j’aurais cru qu’elle serait glauque !

A un moment ce fut Frédérique qui fut le chat, elle s’élança sur moi (allons-y pour le féminin), assez épuisé, je luttais assez peu, en me rattrapant, elle se jeta à terre et m’entraîna avec elle dans sa chute pour me rouler un patin majestueux. Au bout de la minute réglementaire, Soraya-Chronomètre fut renvoyée dans ses cordes par le maître de séant qui lui signifia que le jeu arrivait dans sa période de conclusion. Frédérique tout en continuant à m’embrasser fougueusement me serrait les tétons entres ses pouces et ses index, me faisant pousser des petits gémissements de plaisir et de douleur contenue. Je lui rendis bien sur la pareille. Mon partenaire se retourna soudain, m’offrant son sexe dans ma bouche, tandis que ce dernier cherchait le mien, nous commençâmes alors un 69 torride, sous les regards excités des autres participants qui s’étaient placés en cercle autour de nous. Je sentis bientôt le goût acre du sperme sur ma langue. Je n’avais pas à ce moment-là de gelée de groseille à ma disposition pour en faire passer le goût. Je l’avalais donc, brut de brut, et je dois avouer que je ne trouvais pas cela mauvais. Assez épuisé par toutes ces émotions j’avais pour ma part un certain mal à éjaculer, mais Frédérique me donna gentiment un petit coup de main très efficace pour ensuite me reprendre en bouche dès qu’il sut la jouissance imminente.

Frédérique se releva pantelant(e) et s’adressa à ses compagnons !

– Personne n’a envie de pisser cet après-midi ?
– Si ! Si ! Répondirent les quatre voyeurs.
– Alors allez-y, ça va nous rafraîchir !

A ces mots, Chloé et Amanda les deux transsexuelles, ainsi que Soraya se mirent à uriner dirigeant leur jet vers nos corps encore couchés sur le gazon. Elles nous aspergèrent avec méthode, la bite, le torse et bien sur le visage !

– Les filles maintenant !

Jackie se mit à califourchon sur le visage de Frédérique et j’eus l’honneur de recevoir celui de Nicole. Son urine avait un bon goût de bière sans alcool, je m’enivrais de cette odeur et de cette sensation perverse, regrettant qu’il y en ait pas plus !

– J’ai envie de chier ! Me dit-elle, ça ne te dérange pas ?
– Non, non ! répondis-je en me relevant.
– Reste comme tu es, je vais te chier dessus, tu vas aimer ça !

Bon, ça ne va me tuer, d’autant que je n’ai rien contre un peu de scato de temps en temps, quand l’ambiance s’y prête et que l’excitation est de la partie. alors je ne bouge pas d’autant que toute cette bande de joyeux obsédés commence à faire cercle autour de nous.

Nicole pousse et un petit étron sort difficilement de son trou du cul, il est bien joli cet étron, il est même attendrissant. Et puis c’est si beau une femme qui chie, ça me fait bander. Elle pousse encore, cette fois, ça sort en un long boudin qui vient me dégringoler sur la tronche et la parfumer.

J’écarte cette chose de la main et bien sûr je m’en mets plein les doigts.

– Lèche ! Me demande-t-elle avec un tel sourire que je ne peux refuser

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Humm ! Délicieuse !
– Tu vas me nettoyer le cul, maintenant !

Je le fais, je me régale… et m’en étonne.

Nicole ramasse l’étron qu’elle a chié et de ses mains pleine de merde, elle se badigeonne les seins, les cuisses, le ventre, les joues. c’est dégueulasse mais ça me fascine. Josy vient devant elle et se met à lui lécher ses seins merdeux. Quel spectacle. Josy à son tour se badigeonne et c’est au tour de Nicole de lui sucer les tétons. Les deux femmes s’embrassent ensuite. Je suis complétement bluffé par ce que je vois et je bande comme un cerf. Nicole vient vers moi et m’offre ses lèvres.je ne me serais pas cru capable d’accepter ce baiser. Comme quoi l’excitation…

Chloé récupère un peu de matière et s’en badigeonne la bite, je crois un moment qu’il va me la faire sucer, mais le cadeau ne m’était pas destiné. C’est Amanda qui vint lui prodiguer cette étrange fellation au terme de laquelle sa belle queue ressortit toute propre, toute jolie, toute récurée.

Chloé s'aperçoit de mon trouble :

- T'es jaloux, toi ? Ça t'aurais plus de me nettoyer la bite ?
- J'avoue !
- On va arranger ça !

Chloé propose à Nicole de l'enculer, ce qu'elle accepte volontiers en cambrant son joli cul. Quelques instant après la bite du trans ressortait légèrement maculée.

Je m'empressais alors lui nettoyer tout ça !

– Passons à table le traiteur ne devrait plus tarder ! prévint Soraya !

Nous fîmes une petite pause, histoire d’être présentables, puis nous nous sommes retrouvés autour d’une grande table sur laquelle sept couverts avaient été préparés autour d’un gigantesque plateau de fruits de mer où se chevauchaient langoustes, homards et tourteaux, huîtres et oursins, crevettes et bulots. Et alors que les convives se dirigeaient vers leur place, j’eus la surprise de voir Frédérique s’éclipser à l’intérieur. Soraya me prit la main et me demanda de la suivre quelques instants dans la villa. Quelle ultime folie ces zigomars avaient donc encore préparé ?

Soraya me fit enlever ma nuisette trempée de sueur, et il me demanda de me vêtir d’un haut de smoking et d’un nœud papillon. Rien d’autre, rien en bas, je restais la bite à l’air.

– Attend quelques instants sur le perron !

En fait d’attendre, je m’attendais au pire : Effectivement tout d’un coup la sono se mit à cracher la marche nuptiale de Félix Mendelssohn, tandis que Frédérique en tenue blanche de mariée me rejoignait et me tenait tendrement la main pour ensuite m’accompagner jusqu’à la table, où les autres convives nous applaudirent, nous félicitèrent, en jetant sur nos costumes flambant propres, pognées de riz et contenus des verres de champagne !

Je pensais en avoir fini avec toutes ses singeries, quand je remarquais que la place que l’on m’avait réservée avait une étrange particularité : Un godemiché était en effet soudé verticalement au milieu du siège, il avait été recouvert d’un préservatif bien lubrifié. Je fis ce qu’on attendait de moi et sous les applaudissements de mes camarades de jeux je m’empalais sur l’objet, tandis que le chœur des convives entamait une chanson idiote :

« Il est de nôtres…. il en a pris plein le cul comme les autres »

Après toutes ces péripéties, le repas fut relativement tranquille. Il y eut plus tard la « nuit de noces ». J’ai promis de ne pas la raconter. Sachez simplement qu’elle reste gravée dans mon souvenir comme le point fort de ces 48 heures de folies furieuses.

Epilogue de l’épisode

Ça m’est venu comme ça en préparant mes valises pour le retour. En plus de l’explication vaseuse sur mon épilation il faudra que je justifie auprès de mon épouse la présence des basquets et des chaussettes. Ma première idée était de dire qu’ils avaient été gagnés à un concours de plage ! Mais à quoi bon raconter des salades ? Notre couple ne va plus très bien. Nous avons d’ores et déjà envisagé une séparation à l’amiable mais sans pour autant entamer de procédure. Ma femme me dit m’aimer encore (sans doute vrai) et ne pas avoir d’amant, (sans doute faux) je pense être dans des dispositions parallèles. Alors pourquoi ne pas tenter un banco et tout raconter à mon épouse ? Tout ! Lui révéler ainsi des pans insoupçonnés de ma sexualité. Des pans que j’ai sans nul doute eu grand tort ne pas savoir les faire partager. Il me faudra pour cela user de trésors de tact ! Ou bien ce sera le déclic pour un départ sur de nouvelles bases, ou bien la séparation se précipitera, et pas forcément à l’amiable… Mais allez donc savoir pourquoi, cette drôle d’aventure m’a rendu très optimiste !

FIN (de l’épisode)

BORIS
© 2000 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 15/11/2000

Par Boris - Publié dans : Boris
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