Claudia
par Boris Vasslan
Souvent, les soirées sont chaudes chez Laurie
Ou ennuyeuses, d’avance on ne sait, dans ces parties
Ce soir là, Claudia, on me présente
Gigantesque créature métissée, un peu arrogante
Une amie brésilienne, se croit-on obligé de préciser
On trinque, on cause, on boit à notre santé
On mate, on se cherche, on se trouve.
Des seins jaillissent, des braguettes s’entrouvrent
Je ne vois plus Claudia, et ses jambes interminables.
Une triste poulette se fait tripoter le râble
Par un petit groupe excité et criard
Je change de salle, j’en ai un peu marre
Brouhaha, difficile de se frayer la route
Claudia est ici, nue, exhibant sa biroute
Son sourire craquant, sa peau chocolatée,
Ses seins tout ronds et joliment terminées
De larges aréoles et de tétons arrogants
Qu’on a envie de mordre à belles dents
Et puis son sexe foncé, déjà bien droit
Qu’elle se tripote négligemment du bout de ses doigts !
Puis se retourne, montre ses fesses
Les écarte, dévoile son œillet intime, les caresse
Puis s’amuse à se donner quelques fessées
Les hommes n’en peuvent plus, veulent la caresser
Mains sur les seins, mains sur le cul, tout va très vite
Mains sur les cuisses, mains sur la bite
Un intrépide ose approcher ses lèvres
Et apprête sa bouche avec fièvre
Claudia rit et prévient l’imprudent
En lui disant avec un bel accent
« Celui qui me suce, je l’encule ! »
Du coup l’autre recule
Ce doit être mon jour de chance
D’être resté, ce sera ma récompense !
De son sexe, je m’approche, joyeux
Le met dans ma bouche, il est soyeux
Sensation de velouté, de bonheur.
Je le sucerais pendant des heures
Claudia, me dit ce qu’elle me le réserve
Je suce encore, et tendue est ma verge
Je me régale
A ce plaisir sans égal
Puis n’y tenant plus, je dégrafe mon pantalon
L’envoi valser de tout son long
De mon cul, j’en écarte les globes.
Je me plie en deux et m’offre ainsi au zob
De la plus belle des grandes filles du Brésil
Qui va pouvoir me sodomiser, tranquille !
Thémes abordés : Transsexuelles, party
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