Mardi 11 juillet 2017 2 11 /07 /Juil /2017 10:25

Chaud le Libraire ! par Claire_N

 

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Depuis que je ne travaille plus, je passe de plus en plus de temps à me donner du plaisir !

J’ai 32 ans, je suis mariée et mon mari est tout à fait adorable avec moi. Le seul problème est qu’il travaille beaucoup, qu’il rentre toujours assez tard (quand il n’est pas en déplacement) et qu’il est souvent fatigué. Seul le dimanche nous permet de nous aimer et de rester au lit pour faire l’amour quand nous ne sommes pas dérangés par la famille ou les visites.

Ne travaillant plus depuis six mois, je me suis mis petit à petit à « sombrer » dans un érotisme solitaire à base de longues masturbations qui me rappellent mon enfance.

Sur mon lit ou dans mon bain, j’aime bien me caresser, me pénétrer d’objets divers, me masturber jusqu’au bord de l’orgasme, m’arrêter lorsque je suis près de jouir, puis recommencer.

J’ai remarqué que plus j’attendais, plus ça durait, plus fort j’explosais, jusqu’à gémir, toute tremblotante, la main entre les cuisses serrées. Sans vouloir réellement tromper mon mari, j’avoue que je fantasme souvent sur une main étrangère qui me caresserait, ou d’un autre sexe dans ma bouche, sur un élégant visiteur qui passerait chez-moi et me demanderait de le sucer en m’enfonçant ses doigts entre mes cuisses.

L’été dernier il m’est arrivé une aventure qui m’a complètement troublée. C’était la dernière semaine de vacances et j’étais seule, mon mari ayant dû rentrer précipitamment pour des raisons professionnelles. J’allais à la librairie du village. Il était environ 14 heures et la librairie était fermée, pourtant je poussai la porte machinalement et le libraire vint m’ouvrir. La cinquantaine, très courtois, il m’expliqua qu’il était en train de faire son inventaire, puis il m’invita à entrer et referma la porte derrière nous.

Je me dirigeai vers le rayon des magazines et y trouvas ma revue, puis je décidai de chercher une bande dessinée érotique. Pendant que je feuilletais l’une d’entre elles, j’aperçu dans le miroir mon libraire qui louchait sur mes charmes : j’étais en jupe courte et toute bronzée. Par jeu je me baissai vers le rayon du bas, tournant mes cuisses découvertes vers lui. Je restais quelques instants comme cela, puis me hissais sur la pointe des pieds, bien cambrée, pour atteindre le rayon du haut. Je le sentis plus que je ne le vis s’approcher de moi.

« Il a 60 ans ! Ais-je pensé, tu ne crains rien mais n’insiste pas trop…  »

Mais le fait de sentir son regard sur mes cuisses commençait à faire accélérer les battements de mon cœur. Sur mon magazine, une jeune femme nue, couchée sur les genoux d’une dame mature se faisait tripoter les fesses par un vieux cochon barbu (drôle de coïncidence non ?)

« J’aime bien cette BD, me dit libraire. Pas vous ?  »

Ses yeux fixaient mes seins, il se lécha les lèvres et introduisit doucement mais peu discrètement sa main dans son bermuda., guettant ma réaction

« Je ne l’ai jamais lu, mais ça m’a l’air pas mal, répondis-je simplement »
- Vous êtes très belle ! » me dit-il encore, et je ne pus m’empêcher de suivre sa main qui se mouvait dans son pantalon.

« Vous pouvez vous branlez, ça ne me dérange pas ! »

Gênée et excitée à la fois, je fixais cette main qui petit à petit dégageait vers l’extérieur un sexe gonfle de désir. Attendant une protestation de ma part qui ne venait pas, il s’enhardit, baisa son bermuda et son boxer et me dit :

« Regardez l’effet que vous me faites ! » en entamant devant moi une lente masturbation.
« Vous avez une belle bite ! » Répondis-je afin de l’encourager

Puis il tomba à genoux et ses mains, remontant doucement vers mes fesses, tirèrent mon ventre vers sa bouche. Je sentis son souffle à travers ma jupe et me mis à trembler mais j’ouvris petit à petit mes cuisses. Je fermais les yeux et m’appuyais sur le rayon situé derrière moi. Il me lécha à travers ma culotte puis me souleva une cuisse pour mieux m’ouvrir. Sa langue s’introduisit dans mon sexe. Il me lécha en me maintenant écartée.

Lorsqu’il introduisit un doigt dans mon anus je ne pus m’empêcher de me masturber et je jouis rapidement dans sa bouche. J’avais failli m’évanouir tellement c’était bon. Gênée, je quittais le magasin assez brusquement et rentrai chez-moi pour me toucher de nouveau et jouir plusieurs fois de suite.

Ma fille tu es folle ! Me dis-je…. Mais quelle excitation.

Je mis trois jours avant de décider à retourner à la librairie à la même heure.

« Je suis revenue, si ça vous tente, je suis à vous ! »

En silence, il me déculotta et me lécha devant et derrière pendant que je le branlais. Il me demanda aussi de lui introduire un doigt dans son trou du cul, ce que je fis volontiers
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« J’adore tes odeurs » dit-il, si tu veux revenir, ne t’essuies nulle part, je m’en chargerais » Me dit-il quand il eut joui.
« Derrière aussi ? »
« Oui, s’il te plaît ! Viens à 20 heures, c’est l’heure où je ferme.

Le lendemain, je me retins d’aller aux toilettes mais fini par faire un gros caca, avant de me décider à revenir voir le libraire, non seulement je gardais mon cul sale, mais je m’étalais un peu de matière sur les fesses afin de le provoquer davantage.

J’entrais, il ferma la boutique et j’enlevais ma culotte.

« Regarde mon cul ! Il est plein de merde ! Ça te plait ?
« Je le garde pour la fin ! Me dit-il en se baissant pour me lécher la chatte.

Il se régalait de l’odeur de pisse dont était imprégnée ma chatte, et me demanda si je n’avais pas une petite envie. Je me concentrais, fermai les eux et je parvins à lui pisser dans la bouche. Il était aux anges.

Il me nettoya ensuite le cul, je ne voyais pas ce qu’il faisait, n’ayant pas miroir à ma disposition mais ce nettoyage avait l’air de le rendre heureux. Quand il eut apparemment terminé, il enfonça un doigt dans mon anus et le ressorti pour le lécher avec délectation, ce vieux cochon.

« J’ai 60 ans, je n’avais jamais rencontré une fille aussi délurée que toi ! »
« Moi j’en ai 32 et je n’avais jamais rencontré un libraire aussi coquin ! »
« Si vous voulez des revues, prenez les je vous les offre ! »
« Ah oui, et elles coûtent combien ces revues ? »
« 6 euros chacune, il y en a 5. »
« Et vous croyez vraiment que ce que je vous ai donné, ça ne faut que 30 euros ? »
« J’ignorais…. Balbutia-t-il en rougissant. »
« File moi 50 euros, c’est vraiment donné, mais c’est parce que tu as une bonne tête.
« Tenez voilà l’argent, et emportez tout de même les revues…; »

La fin des vacances mit un terme à cette aventure et il m’arrive de me toucher en repensant que trois fois de suite j’ai été la pute du libraire.

Chantal M

Rewriating d’un texte paru chez sophiexxx,

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 4 juillet 2017 2 04 /07 /Juil /2017 08:17

Bernadette est une bonne esclave par Mathilda Stenberg

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Bernadette est une bonne esclave par Mathilda Stenberg

 

 

Ce jour-là, en arrivant chez ma copine Nicole, j'ai été accueillie par une drôle de soubrette. Une femme pulpeuse, la quarantaine épanouie, habillée d'une robe noire trop courte, avec un petit tablier blanc et une ridicule coiffe posée de travers dans ses cheveux. Mais surtout, elle avait une chaîne cadenassée à la taille, un morceau descendait jusqu'à des menottes qui lui entravaient les pieds. Elle baissait la tête et paraissait très gênée. Je l'ai complimentée sur sa tenue, ce qui l'a fait rougir encore plus.


Elle nous a servi le café, juchée sur des semelles compensées, elle trottinait dans un amusant bruit de chaînes. Nicole m'a expliqué que Bernadette était sa nouvelle employée, une femme célibataire, ne trouvant pas de travail après avoir été licenciée et qui avait déposé sur le net une curieuse annonce. Dès que Nicole avait testé les tendances masochistes de Bernadette, elle l'avait réduite en esclavage, changeant son prénom, lui imposant une tenue de soumission, des entraves et des punitions corporelles. Ce n'est pas pour rien que Nicole est ma meilleure copine, nous avons les mêmes goûts, lesbiennes branchées sadomasochisme, nous adorons les nanas soumises qu'on peut remodeler à notre guise.


Jusque-là, j'étais surtout attirée par les filles de mon âge, mais Bernadette m'a tout de suite fait de l'effet. Je n'allais pas me gêner avec une esclave, j'ai caressé les cuisses de Bernadette et j'ai relevé sa jupette pour regarder son gros cul, moulé dans un collant couleur chair. Je lui ai aussi demandé de se pencher devant moi, pour admirer sa poitrine comprimée par la petite robe, elle est bien bustée, comme on dit "il y a du monde au balcon".


Seulement voilà, Bernadette s'est penchée un peu top, et hop, un de ses nichons a glissé hors du décolleté. Nicole n'attendait que ça, elle s'est mise à traiter son esclave de tous les noms. La tête basse, Bernadette a apporté une cravache, et s'est docilement mise à genoux. Nous avons donné des coups de cravache sur son gros sein blanc. Nous l'avons aussi pincé, entre deux on roulait une pelle à Bernadette, et on lui crachait dans la bouche. Son menton dégoulinait de salive.


Cette situation nous excitait, et Nicole a eu l'idée de faire venir son chien, un labrador beige, et elle a ordonné à Bernadette de lui sucer la bite. Elle s'est acquittée de cette tache sans broncher, pompant la pine du chien avec gourmandise. Du coup je l'ai viré et j'ai pris sa place, moi aussi j'aime bien sucer les bites des chiens. Nicole est venue m'aider à faire jouir le chien et ensuite nous nous sommes échangées ce que contenait nos bouches en un long baiser baveux.


J'avais envie de pisser. Pourquoi se servir des toilettes quand on a une esclave pour nous servir de chiottes ? Bernadette s'est couchée par terre, je lui ai foutu ma chatte sur la bouche et on lui a ordonné de tout boire. Après je lui ai roulé une pelle avec le gout de mon urine dans sa bouche.


En esclave bien dressée, Bernadette nous remerciait de la punir. Elle m'excitait beaucoup, son gros nichon était couvert de belles marques rouges, Nicole était dans le même état d'esprit et nous avons fait l'amour, pendant que la boniche était au coin, nez au mur. Quand je suis partie, Bernadette avait encore un sein à l'air, mais en plus on lui avait mis des pinces à linges dessus, un vrai hérisson.


Je suis retournée plusieurs fois chez Nicole, pour m'amuser avec Bernadette. Je la faisais mettre torse nu et je triturais ses gros nichons. Elle avait une honte terrible, je l'insultais, je lui crachais dessus, je lui faisait lécher son gros cul par le chien, elle devait ensuite me lécher les pieds, sous les bras, le trou du cul que je ne m'essuie jamais complétement quand je viens, et, pour finir, la chatte jusqu'à la jouissance.


Un jour, Nicole m'a dit qu'elle était en train de soumettre une pulpeuse blonde, dont elle voulait faire son amante-boniche. En conséquence, elle me proposait de lui " racheter " Bernadette. Je n'avais personne, l'idée me plaisait.


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Bernadette a passé quelques bons moments, nous la faisions mettre toute nue et nous examinions la marchandise sous toutes les coutures. On lui regardait les dents, et pour rire on discutait le prix, on la pesait. Nicole voulait la vendre au poids. L'esclave faisait mine de protester, mais elle est tellement masochiste que la mouille coulait sur ses cuisses. Finalement nous sommes tombées d'accord sur un prix. Nicole me la vendait contre 50 coups de martinet. J'ai trouvé que c'était une bonne affaire. J'ai demandé à Nicole si on pouvait payer en deux fois, pour toute réponse, elle m'a foutu une paire de claque et m'a dit que puisque c'était comme ça elle montait le prix à 100 coups de martinets. J'ai dit d'accord et je me suis laissé faire.


J'avis le cul tout rouge mais j'étais contente de mon "achat"


J'ai mis mon achat dans le coffre de la voiture et je suis rentrée avec un mal au cul pas possible. (C'est qu'elle tape fort, Nicole, je n'aimerais pas être son esclave !) Je ne regrette pas mon investissement. Bernadette est très docile, elle obéit au doigt et à l'œil, elle est très soumise et accepte les brimades et les punitions que je m'amuse à lui inventer. Et avec moi, elle est servie, je m'occupe de ses gros nichons, je pose des élastiques dessus, jusqu'à les faire ressembler à des gros boudins obscènes,


Je l'arrose de cire chaude, partout je la tape, j'adore lui rougir les fesses, lui mettre des pinces partout, l'autre jour je lui est mis une pince à linge sur le bout de la langue, ce que j'ai pu rire ! Dans le jardin j'ai conservé à son intention un petit carré d'orties. Je m'amuse parfois à la pousser dedans, ça la démange bien, mais je suis bonne fille, après je l'attache pour l'empêcher de se gratter. Puis, je la fourre avec un gode-ceinture, elle couine de plaisir, la truie ! Quand je lui fous dans le cul, le gode ressort avec de la merde, alors je l'oblige à le lécher jusqu'à ce qu'il soit propre comme un sou neuf. Je lui rappelle toujours sa condition, je lui explique qu'elle a été réduite en esclavage, et qu'elle ne retrouvera jamais sa condition antérieure. (Ce qui est complètement faux, mais nous sommes très joueuses).


Bien sûr avec moi toutes mes envies de pisser se termine dans sa bouche, elle y a pris goût la garce. Je lui ai dit qu'un jour je lui ferais bouffer ma merde. Comme ça n'avait pas l'air de la choquer plus que ça, un jour j'ai chié devant elle et je lui ai dit que dorénavant je ne me servirais plus de papier à cul, que c'est elle qui me nettoierait l'anus avec la langue. Elle m'a superbement bien nettoyée, la salope. Le lendemain, pendant que chiais, je l'ai appelé pour qu'elle puisse me contempler et je lui ai gardé pour elle mon dernier étron que je lui ai carrément chié dans la gueule. Après nous nous sommes échangées un long baiser merdeux.


Des fois, le matin, je prends mon tube de rouge à lèvres et j'écris sur son front, sur ses seins, sur ses cuisses, sur son ventre, sur ses fesses, un peu partout quoi… ce que je pense d'elle, des mots gentils comme salope, boudin, morue, garage à bites, chienne…et elle reste avec ça toute la journée. 


L'autre jour, j'ai mangé un cassoulet, j'adore ça, mais ça me fait péter. Quand j'ai senti venir le deuxième prout, j'ai baissé ma culotte et j'ai demandé à Bernadette de venir humer mon trou de balle. Comme ça je lui ai pété en plein dans la tronche ! Comme elle a oublié de me remercier j'ai été obligé de la gifler ! Qu'est-ce qu'on peut perdre comme temps en formalités avec ces esclaves mal élevés !


Une fois à la tombée de la nuit, nous sommes allées au bois avec Nicole et nos esclaves respectives, nous leur avons demandé de faire les putes. Nous les avons regardé sucer des bites pendant que nous nous tripotions tellement nous étions excitées. Elles devaient sucer dix bites chacune, c'était le tarif. On s'est amusé comme des folles et ça nous a fait de l'argent de poche.


Je l'ai emmené chez le perceur pour lui faire trouer les tétons, et je lui ai acheté deux magnifiques boucles qui s'enfilent dedans, c'est bien plus pratique quand je veux jouer avec ses nichons. Comme quoi je peux être généreuse, parce que ce n'est pas donné ! J'ai demandé au perceur de me faire demi-tarif et en compensation il pourrait enculer Bernadette. Evidemment ce gros cochon a accepté.


Voilà la vie que je fais mener à mon esclave, je suis dure, mais Bernadette y trouve largement son compte, et me prouve souvent son attachement. 


Avant de me coucher hier, j'ai proposé à Bernadette que nous inversions les rôles pendant 24 heures. Cela a eu l'air de l'amuser.


Le réveil sonne, il est 7 heures du matin, je m'étonne que Bernadette ne m'ait pas encore servi mon petit déjeuner au lit. Et puis je me souviens, aujourd'hui c'est moi l'esclave. Alors je retire mon pyjama je mets à genoux sur la moquette et je sonne ma maîtresse d'un jour.


Qu'est-ce que je vais prendre ! J'en mouille déjà !


Bernadette arrive, elle m'intime l'ordre de me coucher par terre et d'ouvrir la bouche, elle s'accroupit au-dessus de moi, son anus s'écarte, une petite crotte demande à sortir, j'ouvre la bouche.


Voilà une journée qui commence bien !

.

Fin du récit


 

Mathilda Stenberg

 

 

Mathilda Stenberg

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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:46

Ma soubrette, mon épouse par Marine et Thibault

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 Thémes abordés : scato,  soubrette,  spermophilie, uro

 

Bonjour c'est Thibault (un ti beau, deux ti beau...) à mon tour de prendre la plume, c'est chacun son tour.


J'ai toujours eu un faible pour les femmes de chambre, surtout si elles ont une tenue sexy... Rien ne m'excite davantage que lorsque Marine ma femme joue les soubrettes pour m'apporter le petit déjeuner au lit, après une semaine épuisante. Mon épouse est assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blond, un joli petit sourire.


Mon petit scénario est très au point. Dans un magasin de vêtements professionnels, j'ai acheté pour Marine une tenue de travail tout ce qu'il y a de plus classique, mais c'est dans une boutique de Pigalle que je lui ai trouvé des dessous un peu moins conventionnels. Le samedi, c'est dans cette tenue qu'elle vient m'apporter mon petit déjeuner sur un plateau. Les yeux à peine ouverts, je me mets à bander, quand elle dit de sa voix coquine


- Voici le petit déjeuner de monsieur


Et qu'elle dépose le plateau sur le bord du lit en gonflant bien les seins et en remuant des fesses, juste ce qu'il faut pour m'exciter. Je bois une gorgée de café au lait pendant qu'elle va ouvrir les rideaux. J'imagine alors ce qu'elle porte sous son ensemble bien sage. Je sais qu'elle n'a pas de culotte, juste un porte-jarretelles et des bas, je sais que son soutien-gorge est transparent on voit ses pointes dures, je sais aussi que son clito est gros et très doux surtout quand le désir le fait gonfler. Je sais aussi qu'elle ne s'est pas essuyé la chatte après avoir fait pipi… Quant au cul, ça dépend, mais si elle a fait son caca du matin, rien n'est essuyé non plus… Et puis je sais aussi que mon petit déjeuner fini, je vais la baiser !


Rien de tel que toutes ces pensées pour me mettre en appétit. Je demande d'une voix innocente :


- Est-ce que vous pourriez faire un point à mon pyjama ? Il s'est déchiré, là...


Elle s'approche, s'assoit sur bord du lit et se penche pour examiner la manche de mon pyjama. Elle me met ses seins sous le nez et là, ma bite se dresse encore un peu. Sa poitrine, gonflée à bloc effleure mon torse, j'attends encore un peu avant de saisir ses seins à pleines mains. Et là, les choses s'accélèrent, je lui arrache son chemisier et je la fais glisser jusqu'à ce qu'elle soit en position de me branler entre ses seins


- Oh monsieur, qu'est-ce que vous faites ? demande-t-elle d'une voix ingénue. 


marine2.jpg Mais cela ne l'empêche pas de commencer à s'activer. Ma bite grossit à vue d'œil entre ses deux beaux seins bien fermes. Puis, je lui fourre ma queue dans la bouche et la lui enfonce jusqu'à la gorge. Avec un petit grognement, je lui dis que pour une femme de chambre elle fait bien les pipes, mais je résiste encore à la tentation de lui balancer tout mon jus. Je me retire et je la retourne comme une crêpe pour pouvoir la prendre en levrette, mais avant je lui renifle le trou du cul :


- Votre cul sent la merde ! Marine.

- C'est pour mieux vous satisfaire monsieur, je sais que Monsieur adore ça !

- Racontez-moi, auriez-vous chié un gros boudin ce matin ?

- Gros et consistant !

- J'aurais aimé voir ça !

- J'y ai bien pensé mais Monsieur dormait…

- Evidemment…

- Mais au cas où cela intéresserait Monsieur, la prochaine fois je chierais dans une assiette, et comme ça je pourrais montrer mon boudin à Monsieur !

- Et le verre dans le plateau ? C'est quoi ?

- C'est ma pisse, Monsieur ! J'ai pensé que Monsieur aimera la boire.


J'avale d'un trait la moitié du verre, il parait que c'est bon pour la santé.


- Tournez-vous afin que je vous enculasse.

- Monsieur parle comme les poètes libertins.

- Mais je suis un poète libertin, Alors, vous vous tournez ou on attend le printemps ?

- Oh non monsieur ! Gémit-elle, ce n'est pas bien ce que vous voulez me faire.


Mais je sais parfaitement qu'au contraire elle meurt d'envie que je l'encule. Je commence à m'enfoncer doucement en lui branlant les seins, et en lui chuchotant des petits mots obscènes. Quand je la sens prête à me recevoir complètement, je la défonce encore d'un bon coup puis je gicle en elle...


- Monsieur désire-t-il encore autre chose ?

- Oui, Monsieur aimerait bien que vous lui nettoyiez la bite, elle est sortie un peu sale de votre trou du cul.

- Ce n'est qu'un peu de foutre et un peu de merde, Monsieur !

- Alors nettoyez, je vous prie !

- Mais avec plaisir, Monsieur !


Elle a pris ma bite dans la bouche et m'a tout nettoyé, elle adore ça, la cochonne !


- Ce mélange était délicieux ! 

- Je n'en doute pas un seul instant !

- Tu n'en sais rien gros cochon, tu ne l'as pas goûté ! Me rétorque Marine abandonnant le jeu de rôle.


Elle se met alors un doigt dans le cul et me le fait sucer ! Hum… pas mauvais !


- Le jeu est terminé, viens m'embrasser.


Et nous nous roulâmes un joli patin merdeux. Voilà une journée qui commençait fort bien.


Thibault


E-mail: mt_devillers@hotmail.com


Publié sur revebebe le 28/12/2000 puis passé à la trappe

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:33

Sur le balcon par Claire N

scat

Attention, texte avec scato explicite

Je m’appelle Angie, je suis une jeune femme de taille moyenne, brune, seins moyens, jolies fesses, et annonçons la couleur, j’adore les jeux lesbiens, j’adore les jeux de pipi et les jeux de caca.

Voulez-vous lire mon ce tout petit moment de ma vie ?

Oui ?

Je suis arrivée hier soir chez Cora pour passer une semaine de vacances. Crevées, on s’est couché après le diner, pas de folies, justes des petits bisous et quelques timides caresses.

Il est 7 heures du matin, je me lève, je suis à poil et j’ai une grosse envie de pisser. Je sais que Cora ne dort plus que d’un œil et j’ai envie de la provoquer.

Je vais sur la balcon terrasse, personne ne peut me voir (à moins d’avoir des jumelles), je m’accroupis et j’appuie sur ma chatte de façon à ce que mon pipi fasse un petit jet devant moi, bientôt une jolie flaque d’urine se forme sur le sol cimenté.

Comme pressentie Cora se pointe, elle aussi à poil, elle écarte les jambes et m’invite à venir au-dessous d’elle, j’ouvre ma bouche, attend quelques instants que la vanne veuille bien s’ouvrir puis j’avale tout ce que je peux.

C’est de la pisse du matin, la meilleure ! Elle avait vraiment une grosse envie, je ne peux évidemment pas tout boire et ça dégouline un peu partout.

Le flot est tari, je me relève, on se fait un petit bisou, d’abord sur le bout des lèvres, mais j’avais gardé un peu de pisse dans ma bouche que je lui restitue dans la sienne.

Long bisou baveux ensuite, je l’adore ma copine Cora, elle est trop mignonne et toujours de bonne humeur.

Elle me lèche les endroits où la pisse a dégouliné : les épaules, le cou, les seins, c’est si bon.

Elle n’arrête pas de m’embrasser partout, on est bien, on rigole.

Elle se met sous moi et viens me lécher et me doigter la chatte, puis me demande si je peux faire encore quelques gouttes de pipi.

J’essaie, et ça vient, Cora se régale de ma pisse, elle boit ce qu’elle peut et s’étale le reste sur ses petits seins.

A nouveau on s’embrasse sur la bouche et je lui tète ses nichonx imbibés de mon urine.

On intervertit les rôles une nouvelle fois et je bois encore son délicieux pipi.

Nouveau bisou pisseu, mais je sais que Cora veut maintenant passer à autre chose, moi aussi et je suis terriblement excitée.

Je me couche par terre, Cora s’accroupit par-dessus mon ventre devant moi et commence à pousser. Un magnifique étron sort de son trou du cul, se détache, roule sur mon ventre et s’en va se nicher dans le pli de mon aine

Le deuxième est plus long à sortir, quand il se détache il tombe au milieu de mon ventre.

Elle est très belle sa merde et la situation m’amuse, on rit comme des folles.

Cora fait encore deux ou trois très petites crottes et se dégage, elle ramasse la merde dans ses mains, sauf un étron que je garde pour moi et on se met à se badigeonner le corps réciproquement tout en s’embrassant et en rigolant

Cora a maintenant le téton gauche tout merdeux, je sors ma langue et me met à le lécher avec gourmandise. Elle est trop bonne la merde de Cora. Je lèche jusqu’à ce qu’il soit tout propre, puis Cora vient m’embrasser avec le gout de caca que j’ai dans ma bouche. On est des vraies cochonnes.

On continue à se badigeonner de merde et c’est maintenant Cora qui vient me nettoyer mon téton droit, puis le gauche

Un moment Cora recueille un petit étron qu’elle introduit dans sa bouche pour ensuite me le refiler, l’étron passe ainsi de bouche en bouche. On s’embrasse et on rigole comme des bossues.

A nouveau on se badigeonne, puis on se lèche les tétons l’une après l’autre.

Cora se met en levrette, écarte ses fesses et m’exhibe son si joli cul.

C’est bien sûr une invitation au nettoyage ! Ce que je fais à grand coups de langues dans son trou du cul.

On se relève et on s’amuse à se badigeonner les joues avec la merde.
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Encore des bisous et on se frotte nos corps l’une contre l’autre.

- Je vais te présenter à mon copain, me dit-elle !
- T’as un copain ? M’étonnais-je
- Oui, il va m’enculer et quand il sortira tout merdeux de mon cul tu le nettoieras.
- Mais…
- Vien, je vais te le montrer !
- Me le montrer ?
- Oui, viens !

Sans comprendre je la suis, elle ouvre alors le tiroir de son chevet et en sort un magnifique godemichet.

- Je te présente mon copain.

On s’embrasse, on est heureuse, on s’aime, on est deux belles cochonnes.

Alors ? Ça vous a plus ?

Angie

Par Angie02 - Publié dans : Claire N
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:30

Sanisette par Enzo Cagliari

scat
Texte scato explicite

Cette aventure a marqué un tournant dans ma sexualité. Je n’avais rien contre la scato mais je la limitais à mes fantasmes, ne me sentant pas motivé pour passer à l’acte et ne m’en étant non plus jamais donné l’occasion.

Et puis un soir

On rentre du cinéma avec Angie, une nana sympa que j’ai dragué dans un bistrot, on sort ensemble depuis quinze jours, et on couche tantôt chez l’un, chez l’autre, elle est sympa, une petite brune souriante pas compliquée et très délurée. Son seul défaut est d’avoir des petits seins, moi qui adore les gros, on ne peut pas tout avoir. Et voilà que…

- J’ai une grosse envie…
- Il y a une sanisette là-bas !
- J’ai horreur de ces trucs, là, je suis claustrophobe.
- Qu’est-ce que tu veux qu’il t’arrive, il y a un dispositif anti blocage…
- Non, le machin se retourne pour le nettoyage, quelle mort affreuse…

Bref elle balise la petite Angie.

- Si tu veux je rentre avec toi.

Elle finit par accepter. Elle entre dans la sanisette, baisse son futal et se met à pisser sans toucher la cuvette. Jolie spectacle auquel j’ai déjà eu droit, mais je ne m’en lasse pas, j’adore voir une fille pisser.

Je pousse même le vice jusqu’à mettre ma main sur le filet qui coule et la porter à ma bouche.

- Tu l’aimes bien ma pisse, hein, gros cochon ?
- Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.
- Et bien reprend en, c’est mon jour de bonté !

On ne refuse pas ce genre de choses quand on est branché uro comme je le suis.

Mais l’anecdote n’était pas terminé (vous vous en doutez bien)

- Je crois que je vais en profiter pour faire caca !
- Vas-y, je me tourne !
- Mais non, regarde !
- Non, je me tourne
- Pourquoi, ça te dégoutte ?
- Non, mais ça me gêne !
- Eh bien, met ta gêne au vestiaire, moi j’ai envie que tu me regardes faire.

Bon je ne vais pas la contrarier d’autant que je ne sais plus trop quoi dire pour me défiler.

Angie se met à pousser, toujours avec le cul décollé de la cuvette. J’avoue que le spectacle a quelque chose de fascinant, Un petit étron qui peine à sortir, puis qui se met à grandir, pour finalement se détacher et atterrir dans l’eau dormante avec un grand plouf.
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Un deuxième étron suit le même chemin, et un troisième. Je suis partagé entre fascination et répulsion. La fascination doit emporter ce match insolite puisque contre toute attente, je bande comme un cerf.

- C’était joli ? demande Angie, mutine
- Pas mal.

Elle tend la main vers le distributeur de papier.

- Merde, c’est vide, tu n’aurais pas un kleenex.

Je cherche dans mes poches, je trouve un paquet, je lui tends.

- Non, ça ne va pas, qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ça, c’est pas assez large.
- Tu te nettoieras à la maison, ce n’est pas une catastrophe.
- Non, mais je n’aime pas me balader avec de la merde collée aux fesses.
- Si on ne peut pas faire autrement…
- A moins que tu me nettoie le cul avec ta langue !
- Ben voyons !
- Non, je dis ça sérieusement.

Alors elle se relève, se penche en avant, écarte ses fesses et me fais voir son cul. Il reste un peu de caca autour de l’anus.

- Y’en a pas tant que ça ! tentais-je de temporiser.
- Eh bien justement ce sera plus facile, vas-y lèche !

Grand moment de solitude et de perplexité

- Bon tu ne vas pas faire ton dégoutté, tu as goutté ma pisse tu peux bien lécher ma merde !
- C’est pas pareil !
- Essaie au moins au lieu de rester là comme une andouille.

J’approche mon visage, l’odeur me fascine, je tente un coup de langue sur une zone cacateuse, pas de quoi s’enfuir en courant, second coup de langue, le pli est déjà pris, et tandis que ma braguette est sur le point d’exploser tant ma bite bande, je nettoie toute la merde qui trainait autour de son petit trou du cul..

- Alors elle est bonne ma merde ?
- Pas mauvaise.
- Embrasse moi !

On le fait alors que j’ai encore le goût du caca dans ma bouche, quelle cochonne cette Angie.

- Angie, je bande !
- Et tu voudrais que je te fasse une pipe ?
- Ben oui !

Elle n’est pas chiante, Angie, elle me l’a fait cette pipe, j’ai bien joui en repensant à son trou du cul merdeux que je venais de lécher.

On ressort. Un type semble choqué de nous voir sortir à deux.

- Ben faut pas vous gêner tous les deux ? Rouspète-t-il
- Mais cher, monsieur, quand il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir répond Angie.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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