Les aventures de Jena
2 - Un joli petit service de table
par Hélèna
Il existait dans notre ville, une clique (appelons les choses par leur nom) qui de temps à autre, par crises, s’activait à faire signer des pétitions très « défense de la morale
bourgeoise », (ils avaient ainsi milité, en vain, pour faire fermer la seule sex-shop de la ville, officine pourtant bien paisible et discrète). Ce bataillon de pisse-vinaigre était emmené
par un quarteron de commerçants, proche de l’aile droite de l’équipe municipale. La majorité des boutiquiers signaient leurs conneries sans se poser de questions. Pas moi, je les envoyais paître,
mais j’avais appris que Véronique, invoquant la liberté du commerce avait, elle aussi, refusé de signer ! J’avais trouvé son attitude intéressante.
Et justement puisque je pense à elle, il faut que je lui téléphone :
– Allô, Véronique, êtes-vous toujours intéressée par le service de table que vous cherchiez l’autre jour ?
– En fait non, je me suis rabattue sur autre chose, je suis passée à votre magasin, mais j’ai vu que c’était fermé pour affaires de famille, ce n’était pas grave, j’espère ?
– Non, mais vous pourriez peut-être le réserver pour une autre occasion, vous aviez tellement l’air d’avoir flashé dessus ?
J’ai dit ça machinalement, à moins que ce soit mon inconscient qui s’amuse…
– Bon alors je passerais le voir demain, mais je ne vous promets rien !
Le souci c’est que demain, j’ai une livraison et que je vais avoir plein de trucs à ranger.
– Passez donc aujourd’hui !
– Mais c’est lundi ! Vous êtes ouverte le lundi ?
– Non je suis fermée, mais je vous ouvrirais !
Elle m’informa qu’elle passerait d’ici une heure.
Je ne vous ai pas décrit Véronique, qui n’avait qu’un petit rôle dans le chapitre précédent, mais ici ce sera nécessaire. Véronique et son mari tiennent une boutique de cycles. C’est elle-même
une ancienne pratiquante des courses cyclistes. Elle en a gardé ce look un peu sportif qu’elle aime à aborder. Tenue rarement féminine, cheveux blonds coupés courts, et maquillage réduit au
minimum. Le visage est agréable, jolie bouche et mignon petit nez. Je ne l’avais jamais vu qu’en pantalon et ne voyais pas bien à quoi elle pouvait ressembler en tailleur ou en robe du soir, mais
qu’importe !
Une chose me turlupinait, pourquoi quand je lui avais parlé de Bel Océan avait-elle éprouvée le besoin de me parler de ce parc, fréquenté à la tombée de la nuit par des voyeurs, des
exhibitionnistes et autres partouzeurs ? S’agissait-il d’une sorte de ballon d’essai. Elle n’avait émis aucune véritable réprobation sur ce qui s’y passait, avait bien parlé
« d’horreurs » mais sans paraître elle-même horrifiée, comme si la chose quelque part l’avait amusée. Curieuse de nature je décidais d’essayer d’en savoir davantage :
– Bon voilà le service, c’est pas tout à fait celui du catalogue, mais ça y ressemble, mais si vous le prenez pas, ça ne fait rien, vous n’êtes pas obligée, je le vendrais bien un de ces
jours.
– Non, non, c’est vrai qu’il est superbe. Je vais le prendre. Vous me faites un prix d’ami ?
– Bien sûr ! Au fait j’ai fait un saut à Bel-Océan, j’étais dans le coin et j’avais besoin de voir le fabriquant. Du coup j’ai eu l’occasion de passer voir ce fameux parc…
– Ah oui ?
Et le « Ah oui ? » me paraissait très intéressé, mais je souhaitais que ce soit elle qui se dévoile.
– Ben oui !
– Et, dites-moi, il y a toujours autant de… comment dire… ? Demande-t-elle.
– Apparemment, il y a des gens qui viennent y faire des coquineries, et pas mal d’autres qui matent !
– Mouais, ça a un petit côté marrant, non ?
Elle branche, elle branche… ce jeu est idiot, j’ai l’impression qu’en fait, on est toutes les deux dans les mêmes dispositions d’esprit, mais qu’aucune ne veut se découvrir la première… Ah, ces
conventions sociales qui empêchent les choses d’être simples ! C’est donc à moi de jouer… tant pis je fais avancer le schmilblick !
– Marrant, oui, troublant même !
– Troublant, oui c’est vrai, c’est un peu troublant…
Bon ça ne va pas durer toute la matinée comme ça, j’abats encore une carte !
– En fait, je dois être un peu spéciale, je ne déteste pas qu’on me regarde !
– Humm, je suis un peu comme vous ! Mais pas tout le temps, uniquement dans certaines circonstances. Précise Véro.
Ça y est, elle est mûre ! Je fais l’idiote.
– C’est à dire ?
– S’exhiber, euh se montrer à des inconnus peut avoir un petit côté… piquant ! Mais le faire ici par exemple, où tout le monde se connaît, non merci !
Exhibé ! Elle a dit « exhibé » ! Vite relancer le schmilblick.
– Moi, c’est exactement pareil ! J’ai bien rigolé dans ce parc !
– Tu veux dire, pardon, vous voulez dire…
– On peut se tutoyer ! L’interrompais-je.
– Tu t’es… exhibée dans ce parc ?
– Exhibée, c’est un bien grand mot, ce n’était pas volontaire, mais il y eu un peu de ça, oui !
– Et tu leur as montré quoi ? Excuse-moi, je suis indiscrète…
Je ne vais quand même pas tout lui dire…
– J’ai fait pipi ! J’avais une grosse envie, je voulais me cacher, mais je l’ai mal fait, et quand j’ai réalisé qu’on m’observait, je n’ai pas bougé, j’ai continué à pisser.
– Oh !
Elle est plus surprise que choquée !
– C’est un vieux truc de quand j’étais gosse, on me disait toujours de me cacher pour pisser, moi je ne comprenais pas, je disais toujours « pourquoi me cacher, je ne fais rien de mal
? »
Du coup Véronique éclate de rire.
– Tu sais c’est un truc que je ne pourrais pas faire, je n’arrive pas à pisser devant des inconnus.
Est-ce qu’elle réalise au moins de ce qu’elle est en train de me dire ? Elle a donc essayé ! Où ça ? Dans quelles circonstances ? Encore une fois je fais l’andouille :
– Bof, il suffit de s’entraîner un peu, et de boire beaucoup d’eau !
– Non, même, j’ai essayé et…
…Et elle se rend compte de ce qu’elle est en train de me raconter, elle devient toute rouge, elle bafouille, elle s’empêtre…
– … C’était chez le docteur pour une analyse, je n’y suis jamais arrivée !
Ben voyons ! Elle est devenue bizarre la Véronique, à la fois confuse de sa bévue, mais probablement excitée par la tournure qu’a pris la conversation. En fait, elle s’est à peine dévoilée, elle
n’a rien dit du tout, mais je décide de faire comme ci.
– Je ne te savais pas si coquine ?
– Et toi donc ?
– Parce qu’on n’a jamais eu l’occasion de parler de ça, il n’y aurait pas eu cette histoire de service de table, on n’en aurait peut-être jamais parlé ensemble !
– Ben oui, c’est la vie, qu’est-ce qu’on peut rater comme occasion des fois ?
– Pardon ?
Et hop, elle est à nouveau rouge comme une pivoine, c’est une manie !
J’enfonce le clou :
– Tu m’as l’air d’être très libérée, je le suis pas mal non plus, on peut se parler librement ?
– Bien sûr !
– T’as des tabous ?
– Très peu ! Répond-elle. Je peux te dire un secret ?
– Si tu me le dis, ce ne sera plus un secret !
– C’est pas grave ! Tu as connu les Farelle ?
– Ça ne me dit rien !
– Non tu n’as pas dû les connaître, tu es arrivée après, c’était les anciens droguistes, ils sont partis en Auvergne maintenant, Tous les dimanches soir on se voyait, on faisait de l’échangisme à
quatre, ça allait assez loin… Et puis on s’est perdu de vue, on devait se revoir, mais bon, loin des yeux, loin du cœur. Des mecs sympas et décontractés comme Eric Farelle, on peut toujours
trouver, c’est pas si difficile, mais je ne cherche pas, ce qui me manque c’est les rares moments où je pouvais caresser sa femme, une grande blonde superbe, beaucoup de classe….
Elle s’arrête pile, cette fois point de lapsus. L’aveu est volontaire, mais il a dû lui coûter, elle est là les yeux écarquillés, les lèvres sèches, elle attend. Je lui souris. Elle joue gros,
très gros, et elle le sait. J’accentue mon sourire, elle se détend.
– Je ne te choque pas j’espère ? Je ne suis pas lesbienne mais bon, c’est un truc qui me plait bien. Précise-t-elle.
– Je suis ton genre, Véro ?
– Je n’en sais rien, je ne t’ai pas encore caressé ! Mais t’es pas mal, pas mal du tout, même !
– Ben, vas-y, caresse-moi !
Un cyclone ! J’ai déclenché un cyclone ! En un instant elle est collée contre moi, sa bouche m’étouffe, m’oblige à ouvrir la mienne, sa langue passe, la mienne s’en mêle, mes mains passent sur
son corps, mais j’ai déjà un métro de retard sur elle, elle est en train de me débrailler complètement.
300 secondes de folie, il fallut bien que ça s’arrête. On reprend notre souffle, on se décolle, on s’observe, nos fringues sont à moitié (et sans doute plus) défaites. On part d’un fou rire que
rien ne semble devoir stopper…
– Ça fait du bien de faire les folles ! Finira par dire Véronique.
– Tu veux continuer ?
– Oh ! Oui ! On se met à poil ?
– Tu risques d’être déçue !
– Si c’est juste un risque, je veux bien le prendre.
Bon, OK, on se déshabille de conserve (comme les sardines). Elle n’est pas mal du tout, la Véro en tenue d’Eve, les seins sont modestes, mais elle a de gros tétons roses, le minou est rasé en
ticket de métro… sinon elle est un peu forte des cuisses et des jambes (abus de vélo ?). Je la caresse un peu, elle me dit que j’ai les mains douces, et me caresse à son tour, et nous revoilà en
train de nous bécoter.
Je ne sais pas trop comment gérer la suite, il n’y a rien dans le magasin pour être à l’aise. L’emmener chez moi, mais c’est à la sortie de la ville et ça risque de casser le charme. Je décide
donc qu’on va rester là pour le moment.
Véronique me suce les tétons comme si elle voulait en sortir du lait… elle devait avoir une grosse envie, je lui passe la main entre ses cuisses, elle est toute mouillée… Moi aussi.
Un moment je perds à moitié l’équilibre et me rattrape sur une chaise. On en rigole et du coup je reste assise. Véro est à mes pieds et se mets à s’y intéresser.
– Qu’est-ce qu’ils sont beaux !
– Oui, j’aime bien les entretenir, mes petits petons.
Elle ne me répond pas, elle a la bouche pleine, elle est en ce moment en train de me sucer le gros orteil comme s’il s’agissait d’une courte bite. Et quand elle en a assez de l’orteil gauche,
elle passe à l’orteil droit, dès fois que la sensation soit différente !
– Je peux te demander quelque chose ? Finit-elle par dire en se relevant.
– Mais bien sûr !
– Tu sais ce que j’aimerais bien ?
– Je crois que tu aimerais bien de plein de choses !
– Oui, plein de choses, mais là j’ai vraiment un gros délire à te demander :
– Dis !
– J’aimerais te regarder faire pipi ! M’annonce-t-elle.
– Humm, t’es une drôle de coquine, toi, dis donc !
– Je te demande ça comme ça, mais si tu ne veux pas, c’est pas grave…
– Si, si, je veux bien, mais je n’ai peut-être pas une grosse envie….
– C’est vrai, tu veux bien ?
– Pas de problème, je vais essayer, allez viens.
Les chiottes du magasin sont minuscules, mais on peut s’arranger en laissant la porte grande ouverte Je me dispose de façon à ce qu’elle puisse bien voir. Je me prépare. Elle entreprend pendant ce
temps de me caresser de nouveau les seins.
– Non, laisse-moi me concentrer, sinon, je ne vais pas y arriver
Alors elle se baisse pour mieux voir. Je sens que ça vient. Ça y est je me lâche… Mais c’est un petit pipi. Véronique est ravie, sa main s’avance vers le jet, comme si elle voulait le toucher.
Elle s’approche, je l’asperge… elle sourit, elle a les yeux vagues…
Echange de regard complice. Je sais ce qu’elle va faire. Elle le fait. Elle lèche sa main, puis se mouille les lèvres avec la langue.
– Voilà, c’est tout ! Ça t’a plu, on dirait ? Lui demandais-je en arrachant une feuille de papier à cul.
– Attends, ne t’essuie pas ! Me dit-elle.
– Pourquoi ? Demandais-je machinalement.
– Tu vas me prendre pour une folle, mais au point où j’en suis… je voudrais te demander autre chose.
– Dis !
– J’ose pas !
– Je crois deviner, vas-y, fais-le !
– C’est vrai, je peux ?
– Bien sûr ! Ma chatte est à ta disposition !
Et la voilà la tête entre mes cuisses en train de me lécher ma chatte toute imprégnée d’urine. Elle a la langue agile, et une fois son action de nettoyage accomplie, elle furète dans tous les
replis. Je me cramponne. Si elle se met à me lécher le clito, je risque de partir en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Et ça ne loupe pas, la sensation est électrique, je me tétanise,
mains serrées sur les bords de la cuvette, je pousse un cri de damnée, avant de m’affaisser comme une chique molle.
– Et bien dis donc, tu pars vite toi ! Commente la marchande de bicyclettes.
On s’embrasse de nouveau, on se pelote, on se caresse, ça n’arrête pas… Décidemment cette fille me plait bien.
– Et toi tu n’as pas envie de pisser ? Demandais-je.
– Si un peu ! Parce que tu voudrais me regarder ?
– Oui, mais on va faire mieux que ça, tu vas me pisser dessus ?
Son regard pétille :
– C’est vrai ? Tu aimerais ça ?
– Ben oui c’est vrai, mais après tu m’aideras à nettoyer tout ça…
– Bien sûr ! Le problème c’est que je ne peux pas quand je ne suis pas seule, je bloque.
– Ah ! T’as essayé combien de fois ?
– Deux ou trois fois, Eric Farelle aurait aimé que je lui pisse dessus, je n’y suis jamais arrivé.
– Et avec ton mec ?
– C’est pas son truc !
– Je te proposerais bien un délire ? Tu bois trois grands verres d’eau, tu vas faire un tour et tu reviens dans une heure !
– On va essayer, faut justement que je passe à la poste…
Bref, une heure plus tard, elle était de nouveau dans la boutique !
– J’ai une de ses envies ! On va faire ça tout de suite ! Me dit-elle en arrivant !
On file dans les chiottes, je me couche sur le sol, mais j’y renonce, l’endroit étant décidemment trop étroit, je vais dans la réserve et prend une grande feuille de plastique que j’étale par
terre, autant limiter les dégâts, puis me réinstalle pour de bon…
– Je fais où ? Sur tes seins ?
– Non, tu vas t’accroupir au-dessus de mon visage et je vais te boire !
– C’est pas vrai ? Tu fais ça ? C’est mon jour de chance !
– Ça doit être le mien aussi !
– J’espère que tu auras encore une petite envie, pour qu’on inverse les rôles…
– Ça devrait pouvoir se faire, allez viens !
Véro s’accroupit, sa chatte est au-dessus de ma bouche, elle ferme les yeux. Ça ne vient pas !
– Je n’y arriverais-pas, je bloque ! J’ai pourtant une grosse envie.
Je me lève, je tire une chasse d’eau et je laisse couler l’eau du petit lavabo, il paraît que ça aide !
– Ferme les yeux, oublie ma présence, imagine-toi que tu es seule dans une toilette de bistrot. Je ne suis plus là, je ne te parle pas, concentre-toi bien, on n’est pas pressée, on a tout notre
temps.
Et heureusement que je ne suis pas pressée, parce que cinq minutes plus tard on en était toujours au même point…
– Ça y est…
…et tout d’un coup, la voilà qui pisse, j’ouvre la bouche et essaie d’avaler ce que je peux, mais le débit est trop fort, ça dégouline partout, j’en bois quand même pas mal. Je me régale, il y a
si longtemps que je n’ai pas fait ce truc là…
– Humm ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !
– Je vais essayer d’en faire encore une petite goutte.
Bonne fille, elle m’en envoie encore une rasade dans le gosier.
– Donne ta chatte, maintenant !
Elle ne se fait pas prier. Une flexion des hanches et j’ai son minou sur ma bouche. Je nettoie tout ça, je lèche avec délectation, je me régale, j’adore ce goût. Je pourrais maintenant la faire
jouir de suite, mais perversion pour perversion, je décide de tester ses limites.
– Avance-toi un tout petit peu, j’ai envie de te lécher le trou du cul !
Ça n’a pas l’air de lui poser de problèmes particuliers. Je lèche cette jolie rondelle plissée. On ne peut pas dire que ça sent la savonnette, mais ça ne me dérange pas. A force de titiller
l’ouverture, voilà que ça commence à bailler, ma langue peut aller plus loin et le goût est de plus en plus âcre.
– Il sent trop bon ton trou du cul, un peu fort, mais ça sent bon !
– C’est vrai, tu aimes ? Demande Véro.
– J’adore lécher les culs, pas toi ?
– Pas fait souvent, mais l’idée me plait bien.
– Mets-toi en soixante-neuf, tu vas t’occuper du mien en même temps que je m’occupe du tien.
– Non, fait moi jouir, j’ai trop envie, et si tu veux on reprendra après, je te lécherais bien le cul, c’est promis… même s’il est un peu sale.
Voilà qui ne tombe dans l’oreille d’un sourd…
On se met un peu plus loin, le plancher du magasin étant quand même plus confortable que le carrelage des toilettes. Histoire d’avoir mes aises, je fais coucher Véro sur le dos, et viens la
butiner entre ses cuisses, je lance mes mains en avant pour lui titiller les bouts de seins et commence à faire danser ma langue. Elle a un gros clito, de la taille de la phalangette de mon
auriculaire. Je m’amuse avec. Au lieu de se laisser aller, Véro a l’air de retarder l’instant de la jouissance. Elle a raison, ne dit-on pas qu’il n’y a pas de meilleur plaisir qu’un plaisir
retardé… Elle retarde, elle retarde mais finit par exploser au bout de cinq minutes.
Nouvelle séance d’embrassades et de câlins…. Attention il va falloir gérer la suite, il ne faudrait pas qu’elle devienne collante. Mon but c’était de m’amuser, de me donner du plaisir, de lui
faire plaisir aussi, mais pas de me trouver une maîtresse.
– Soif ?
– Oui !
– J’ai de l’eau dans le frigo, viens ! Ça va ?
– Oh, oui, ça va ! Si je m’attendais à ça en venant ici !
– Tu faisais quoi avec les Farelle ?
– Des cochoncetés ! Dit-elle en rigolant.
– C’est racontable ?
– Oui, puisqu’ils ont déménagé. Eric Farelle était un peu à voile et à vapeur, un jour on n’avait encore rien fait, on buvait l’apéro avant de passer aux choses sérieuses, et il nous a avoué
avoir des tendances bisexuelles. Et là j’ai eu la surprise de ma vie quand Vincent, mon mari lui a proposé un peu par défi de venir le sucer. Je le revois encore baisser son pantalon et Eric
venant lui pomper sa grosse bite. Moi et Annette on était subjugués, on les a regardés, excitées comme des puces.
– Et vous vous êtes fait jouir toutes les deux en les regardant, je suppose ?
– Non pas tout de suite, mon mari ne souhaitait pas jouir trop vite, il a demandé à Eric de stopper sa fellation. J’ai cru qu’on allait alors se mélanger de façon classique, quand Annette a
interpellé Vincent en le mettant au défi de sucer son mari à son tour. Il n’a même pas hésité une seconde et il s’est englouti sa pine dans la bouche.
– Ça ne t’a pas choqué ?
– Oh non, c’était génial de voir ça ! Mais après on est retourné à nos habitudes, des caresses mutuelles et je me souviens ce jour-là, moi et Annette on s’est fait enculer toutes les deux en même
temps sur le canapé, moi par Eric et elle par Vincent.
– Tu m’excites avec tes histoires !
– On a filmé la scène, je dois encore avoir la vidéo, si tu veux je te la montrerais.
– Excellente idée !
– Et attends, ce n’est pas fini, en partant Eric a demandé à Vincent s’il serait d’accord pour l’enculer la prochaine fois. Il n’a pas émis d’objections. Entre temps, Annette m’a téléphoné, on a
pris le train pour Lyon et on a acheté deux godes ceintures sans le dire à nos hommes. La tête qu’ils ont fait quand ils nous ont vu avec ça. Eric était aux anges, mais Vincent n’était pas prêt à
aller jusque-là, en fait il voulait bien enculer mais pas le contraire. Il a prétexté une migraine et il est rentré, en me disant gentiment que je pouvais rester, ce que je n’ai pas fait. Du coup
nos échanges à quatre se sont terminés. Moi je continuais à voir Annette en duo, on se faisait plein de trucs et on s’enculait mutuellement avec le gode ceinture. Un jour elle m’a demandé si je
serais d’accord pour sodomiser son mari, bien sûr que j’étais d’accord et ça m’a terriblement excitée de le faire…
Tout en racontant Véro se tripotait la chatte d’une main tandis que l’autre courrait sur mes seins.
– On a continué à se voir à deux ou à trois et mon mari boudait. J’ai appris quelque temps après qu’il avait une liaison, en fait il a tout fait pour que je l’apprenne. On a discuté et il m’a mis
le marché en main, où on divorçait, avec toutes les conséquences que ça impliquait ou alors on restait comme ça, en faisant notre vie chacun de notre côté, avec un minimum de vie commune. J’ai
choisi la seconde solution, par confort, par facilité… évidemment on n’a plus de rapport et on fait chambre à part.
– Je vois…
– J’ai continué à voir Annette, et puis il y eu l’incident… un truc idiot, un jour elle m’avait enculé avec le gode ceinture, le truc est ressorti pas trop net, mais il n’y avait pas de quoi
s’affoler non plus. Et comme moi j’étais en plein trip, je lui ai proposé de le nettoyer avec ma bouche. Je ne sais pas ce qu’il lui a pris, elle a fait sa dégoutée, elle s’est énervée, m’a
traité de folle. J’ai pris mes clics et mes claques et je l’ai planté là. Elle m’a téléphoné pour s’excuser le lendemain, et m’a proposé d’aller faire du shopping ensemble à Lyon, je n’ai pas
donnée suite et je ne l’ai jamais revue. Et deux mois après ils quittaient la ville. Ils nous ont envoyé un mot, un truc très gentil d’ailleurs, en nous donnant leur nouvelle adresse et en nous
proposant de passer quand on le voudrait. Je n’ai pas répondu. Dommage que ce soit terminé comme ça, mais ça laisse des bons souvenirs, malgré tout ! Les caresses d’Annette… la bonne bite d’Eric…
qu’est-ce que j’aimais la sucer… et puis il m’enculait si bien ! J’adore qu’on m’encule !
Ses lèvres se posent sur moi, on s’embrasse. J’ai envie de la connaitre davantage, j’aime bien quand elle me raconte des trucs un peu salaces.
– Maintenant je n’ai plus de partenaire, mais heureusement, j’ai mon chien ! J’aime bien quand il me lèche la chatte.
– Tu te fais lécher par ton chien ?
– Ça te choque ?
– Il n’y a pas grand-chose qui me choque.
– T’as jamais essayé ?
– A vrai dire je n’y ai jamais pensé, et puis come je n’ai pas de chien…
– Tu sais, quand ça me prend, je lui suce la bite, c’est génial, j’adore ça !
– Ben toi alors ? Et tu te fais grimper aussi pendant que tu y est ?
– Bien sûr ! Tu voudrais que je te l’amène pour jouer avec ?
– Je ne sais pas !
– Je note que tu ne dis pas « non » ?
Ben oui, je n’ai pas dis non, allez savoir pourquoi ? Un tour de mon subconscient sans doute, mais je détourne la conversation.
– Il y a longtemps que tu joues à des jeux de pipi ? Demandais-je histoire de la brancher
– Depuis le collège, j’étais en internat, et là j’avais une copine, c’est elle qui m’a initié aux trucs entre femmes, mais aussi à l’uro, elle me faisait boire son pipi. Elle était très
dominatrice, et je jouais à être son esclave, mais ça ne me déplaisait pas, elle me flanquait des fessées, mais j’étais si bien avec elle, en fait je l’aimais, et elle aurait pu me demander
n’importe quoi… d’ailleurs elle l’a fait.
Bizarrement, elle se tait.
– Ben raconte !
– Tu seras la première personne à qui je raconte ça, tu risques de me prendre pour une dingue !
– Raconte, je ne te prends pas pour une dingue.
– Un jour, elle m’a dit, « aujourd’hui tu vas me nettoyer le cul », je n’ai pas bien compris parce que son cul je le lui léchais assez souvent et des fois il n’était pas tout à fait
propre, mais là elle s’est mise à chier devant moi et je lui ai servi de papier à cul.
– Humm… Et comment tu as réagi ?
– En fait, j’ai adoré ! Ça correspondait à un de mes fantasmes.
– Mais elle est très belle ton histoire… et c’est tout ?
– Ça ne te choque pas, c’est vrai ?
– Non, pas du tout…
– Tiens : un truc plus récent : je faisais tous les lundis, du vélo avec une copine du cyclo-club, une fille pleine de vie et de fantaisie. Elle a quitté la région il y a un mois ou deux…On avait
pris l’habitude de façon spontanée de faire nos arrêts pipi en même temps et on pissait l’une devant l’autre, ça nous amusait plus qu’autre chose. Un jour elle n’avait rien pris pour s’essuyer,
elle m’a demandé un kleenex, je lui ai proposé sur le ton de la plaisanterie de lui nettoyer la foufoune avec ma langue. L’affaire a tourné au défi, mais bien sûr, je ne me suis pas dégonflée et
je l’ai léché, elle fermait les yeux, s’abandonnait, j’ai compris qu’elle souhaitait que je la fasse jouir, et je l’ai fait. Mais la fois d’après, elle avait prévu du papier, elle m’a juste
adressé un petit sourire complice, mais il ne s’est rien passé. Puis quelques semaines après, alors qu’on venait de s’arrêter pour pisser et qu’on était comme d’habitude accroupies l’une en face
de l’autre, elle me sort « je vais faire caca, ça ne te dérange pas ? » Je lui ai répondu « Pas du tout ! » Elle me regardait d’un drôle d’air… Elle a chié devant moi un
énorme étron bien moulé, et puis elle m’a dit « j’espère que j’ai assez de papier ! ». Je me suis demandé quel jeu elle jouait, mais elle avait assez de papier pour s’essuyer… il ne
s’est rien passé d’autre, et c’est bien dommage car la voir comme ça, ça m’avait rendu dans un drôle d’état !
Ses histoires m’ont considérablement excitées, je faisais assez souvent de l’uro avec mon ex, souvent on s’amusait à se pisser dessus quand on prenait notre douche, et parfois monsieur avait très
soif, j’avoue que souvent ça m’amusait, ça m’excitait même si dans mes fantasmes c’est avec une femme que je pratiquais ce genre de divertissement. La scato c’est plus compliqué, on n’en a fait
assez peu, et cela suscitait chez moi des réactions diverses, de la répulsion jusqu’à une espèce de fascination qui pouvait m’exciter au plus haut point. Mais là encore dans mes fantasmes,
c’était avec une femme que je m’amusais…
Et aujourd’hui la femme, elle est devant moi ! Et je crois savoir désormais comment elle fonctionne :
– Véronique !
– Oui Jena !
– Fous-moi un doigt dans le cul ! Demandais-je en lui présentant mon arrière-train.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, et commença à me ramoner, je lui demandais alors d’introduire un second doigt.
– Ça va, retire-les maintenant !
Elle regarde ses doigts, légèrement souillés, semble attendre que je dise quelque chose, puis se met à les lécher, ses yeux pétillent d’excitation.
– Humm, j’adore faire ça ! Le prochain coup, c’est toi qui lèche !
– Oui !
A nouveau elle me ramone le cul, puis sort ses doigts, me le montre d’un air de défi. J’ouvre la bouche, je suis prête.
– Attends !
Elle porte ses doigts sur sa joue gauche et y imprime une large trainée brunâtre.
– C’est ma nouvelle crème de jour ! Plaisante-t-elle.
Elle me tend ses doigts, je lèche.
– Et maintenant la joue !
– Tu veux que je te lèche la joue ?
– Ben oui, tu vois je me suis mis un peu de merde sur la joue, on ne va pas laisser ça comme ça !
C’est que ce n’est pas si évident que ça, un doigt, on le met dans la bouche et on n’en parle plus, un cul, on met le nez dessus et on ne voit plus grand-chose… mais là on est bien obligé de
lécher en regardant.
Mais si on est là, cet après-midi c’est que je l’ai bien voulu, alors je serais mal venu de me dégonfler. Je respire un grand coup et je me lance.
Je lui ai nettoyé sa joue, j’aimé le faire. J’ai l’entre cuisse inondé.
Une nouvelle fois Véro me fouille le cul, mais cette fois, c’est elle qui lèche !
– Alors ? Elle est bonne ma merde ? demandais-je.
– Humm ! Délicieuse ! C’est trop pervers, c’est sans doute pour ça que j’aime ça !
– On recommence ?
Je fais oui de la tête, et cette fois c’est sur ses tétons qu’elle dépose un peu de merde. Je me précipite pour lui lécher tout ça.
– Et pourquoi tu ne me fais pas la même chose ? demande Véro
– O.K. amène ton cul !
Ce que j’aime surtout c’est sentir, ça m’enivre, alors je lèche un peu, je renifle pas mal et je finis par mettre les doigts, je sens quelque chose pas trop loin, ça me trouble. Je retire mes
doigts, et sans fermer les yeux, je les lèche…
– Pousse, tu vas nous faire quelque chose ! Murmurais-je fébrilement.
– Ça va tomber où ?
– On s’en fout ! Pousse !
Je voulais juste m’amuser tout à l’heure… Je me rends compte que je suis en train de m’amouracher de cette fille. Je veux qu’elle devienne ma maîtresse, mais pour cela il faut que je rentre dans
sa « folie », que je réussisse cette épreuve, que sa « folie » devienne notre « folie ». Et d’abord on n’est pas folle, on ne fait de mal à personne.
Je reste derrière elle, langue en avant, tandis que l’anus s’ouvre… Elle pousse, un bout d’étron commence à sortir, je le lèche plusieurs fois de suite tandis qu’il s’allonge, m’étonnant de faire
ça aussi facilement, mais peu certaine de pouvoir aller plus loin… Mais Véro me sauva la mise. Prise d’une impulsion irrésistible, elle se retourne, sa bouche cherche la mienne, on s’embrasse,
longtemps passionnément, puis elle se dégage. Les yeux de ma complice sont humides, mais me regardent fixement :
– Je t’aime ! Chuchotera-t-elle, avant que nous retombions dans les bras l’une de l’autre.
Quelques minutes de temps calme, puis :
– Tu en un de gode-ceinture, toi ? Me demande-t-elle.
– Non, il faudrait peut-être que j’aille en acheter un à Lyon.
– J’ai gardé le mien, si tu veux, je vais le chercher.
– On est folle !
– Tu me laisses une demi-heure, ça me fait revenir à 11 heures pile. A ce moment-là je veux te trouver en levrette sur le sol, le cul tendu, et moi je t’enculerais avec mon gode-ceinture… quand
je le sortirai de ton cul, tu nettoieras bien tout la merde avec ta langue et ensuite on intervertira les rôles.
– Humm.
– Ça te plait mon petit programme ?
– Je vais être ta chienne ?
– Et peut-être qu’avant de t’enculer, je te fouetterai avec un martinet.
– Pas trop fort !
– Mais, non, on joue !
Il est 11 heures moins cinq. Je me mets en positon, le cul en l’air les mains et les genoux sur la bâche des toilettes, encore maculée de notre urine et de la merde de Véro et j’attends le gode
qui va me ramoner le cul.
La poignée de la porte ! Comment ça la poignée de la porte ? Evidemment elle n’était pas verrouillée. Moment d’angoisse : si ce n’était pas Véro. Je me relève complétement paniquée et m’avance à
pas de loup pour voir ce qui se passe dans le magasin.
Ouf ! C’est Véro, elle n’est pas seul, elle est accompagnée d’un gros labrador noir. Et elle est en train de s’harnacher avec le gode-ceinture. Tout va bien, vite, reprenons la position. Pas le
temps, la voilà devant moi.
– Ben, et la position…
– J’ai cru qu’un intru rentrait…
– Je t’en fouterais des intrus, ouvre la bouche, tu vas voir ce qui va t’arriver.
Elle m’a craché plusieurs fois dedans, quelle affaire, j’ai bien léché sa merde, alors sa salive..
– Et maintenant, en position…
Je me tourne, j’offre mon cul, j’attendais que Véro me sodomise avec le gode-ceinture, mais je sens le chien me grimper, c’est lui qui m’encule…
Je me sens salope, mais si bien !
FIN
Postface : J’avais « pondu » une première suite il y a quelques temps, mais à la
relecture je me suis rendu compte qu’elle était incohérente. Celle que vous venez de lire me plait bien mieux.
© Helena – 28/9/2016 pour la présente version
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