Dimanche 2 juillet 2017 7 02 /07 /Juil /2017 18:53

De sodo à scato
Par Sarahd

 

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Je suis vraiment une femme. Mon histoire n’est pas tout à fait vraie. Je suis une dingue de sodomie et de feuilles de roses, mais pour la scato, je ne suis jamais passée à l’acte. Alors voici un de mes fantasmes.

 

J’ai toujours aimé le sexe anal, et quand j’ai rencontré mon homme, c’est tout naturellement que nous avons commencé à le pratiquer avec énormément de plaisir. J’aime la sodomie, longue et profonde, mais j’aime aussi quand il explore mon anus avec sa langue où qu’il y enfonce ses doigts. (Nous en sommes à trois mais j’espère qu’on ne s’arrêtera pas là !) Il est très rare que nous fassions l’amour sans qu’il pénètre mon anus et finisse par y éjaculer .Je n’ y ai jamais trouvé que du plaisir et il m’arrive de jouir du cul sans autre stimulation.
Pour des raisons qui n’ont rien à voir avec mon récit, nous ne nous voyons qu’une ou deux fois par semaine. Quand j’attends sa visite, je prends toujours soin de me préparer par un mini lavement afin d’être parfaitement propre.

Un jour pourtant… il est arrivé à l’improviste.

Comme nous sommes très amoureux, il me serre contre lui, m’embrasse et ses mains commencent à caresser mes fesses à travers ma jupe.

- Je vais te bouffer le cul ! Annonce-t-il.
- Impossible, je viens d’aller aux toilettes et je ne me suis pas lavée.
- Je m’en fous, je veux ton cul maintenant !
- D’accord, mais je t’aurai prévenu !

Il me retourne, s’accroupit, remonte ma jupe, descend mon slip. Je me laisse faire, terriblement excitée à l’idée que mon fantasme le plus secret va se réaliser.

- Penche-toi, mon amour, donne-moi ton trou du cul.

J’obéis, m’écarte les fesses à deux mains.

- Je vois ton trou de balle. Ca sent la merde !

Il plonge son visage entre mes fesses ouvertes et je sursaute au moment où sa langue commence à parcourir mon périnée, remontant jusqu’à mon anus qu’elle force fermement pour mieux recueillir les traces de ma défécation.

- Mets-toi à quatre pattes ! Ordonne-t-il.

Cette fois, ce sont ses doigts qui s’enfoncent dans mon trou palpitant, pendant qu’il me murmure des mots cochons et excitants.

- Ah ma belle salope, tu te fais fouiller le cul, ton cul merdeux ! Cochonne ! Chie sur mes doigts, vas-y, donne m’en plus !

Je pousse, mais sans succès. Tout ce que je réussis à produire est un pet odorant.

- Oh, mon amour, tu me rends fou, je vais t’enculer ! Mais d’abord, je veux que tu me regardes lécher mes doigts.

Je tourne la tête en arrière, il me montre sa main. Trois de ses doigts sont maculés de longues traînées brunes. Lentement, il les porte à sa bouche et les lèche en me regardant dans les yeux. Puis il les suce longuement et me les montre tout propres. Je n’en peux plus, je veux jouir. Je reprends ma position et le supplie.

- Encule-moi, maintenant ! Défonce-moi le cul !
- Oui, ma belle salope, tu vas te faire ramoner le fion, jusqu’à ce que je trouve ta merde !

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Et c’est ce qu’il fait, pilonnant un peu brutalement mon trou bien ouvert.

- Tu me graisses la bite, tu sens comme elle te perfore l’intestin ?

Il entre et sort de mon cul, provoquant des bruits évocateurs. Cette fois, j’ai envie de chier et je ne me retiens pas. Une crotte molle sort d’un coup au moment où il décule.

- Salope, ah salope. Tu es en train de chier. Je t’aime !

Il plonge de nouveau sa queue dans mon anus et jouit dans un cri, m’entraînant dans son plaisir.
Il n’y a plus qu’à nettoyer … en attendant de nouvelles cochonneries.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 24 avril 2017 1 24 /04 /Avr /2017 12:00

Vie de château – 3 – Nouveaux voisins par Boris Vasslan

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attention, texte contenant des passages scatos explicites

Dans ma propriété cossue, quelque part près d’Alençon, (Orne), un mardi vers 17 heures, Loan, ma nouvelle soubrette, interrompit ma lecture :

– Monsieur Boris, ce sont nos nouveaux voisins, ils demandent s’ils peuvent s’entretenir avec vous, ils m’ont précisé que ce n’était ni grave, ni urgent et que ça ne prendrait que dix minutes.
– Ils auraient pu téléphoner, non ?
– Mais sans doute n’ont-ils pas votre numéro ?
– Et ils veulent me voir quand ?
– Maintenant ou plus tard, à la convenance de Monsieur !.

Elle est vraiment mignonne la petite Loan, c’est une jolie jeune femme d’origine asiatique que j’ai embauchée pour remplacer Mirabelle qui est désormais ma conjointe quasi officielle. (voir le chapitre précédent)

– Ça me gonfle, mais, bon, si ça ne dure que dix minutes, installez-les dans le grand bureau et dites-leur que j’arrive.
– Bien monsieur !
– Loan ?
– Oui monsieur !
– Vous croyez qu’il faut que je me mette une cravate pour les recevoir ?
– Euh, ce serait en effet plus solennel, une cravate un peu sobre et une veste.

Solennel ! N’importe quoi ! Et d’abord qu’est-ce qu’il m’a pris de lui poser une question pareille ? N’empêche que je troque mon ensemble jeans et pull-over contre un pantalon de flanelle grise, une chemise blanche, une cravate grenat en tricot qui est sûrement archi démodée et un blazer bleu marine, et je m’en vais rejoindre les deux emmerdeurs.

Donc j’arrive. Le couple installé dans les fauteuils se lève, on se présente.

Ils doivent avoir la quarantaine, Philippe très dégarni, visage poupin, en costume de ville mais sans cravate, Virginie est une grande brune au visage carnassier portant de fort belles lunettes en écailles, je l’imagine en train de me sucer la bite et cela m’amuse, elle est vêtue d’un chemisier blanc assez simple et d’un jean, la silhouette est assez fine. Elle voudrait se donner un air décontracté, mais il y a décidemment trop de laque dans sa coiffure.

Comme j’ignore le but de leur visite, je décide de ne leur offrir un verre que quand j’en aurais éventuellement envie.

– C’est au sujet de cette petite allée qui sépare nos deux propriétés… commence Philippe.

Ah ! C’est donc ça ! Il s’agit d’une petite allée mitoyenne en impasse de moins de deux mètres de large. Elle appartient à la commune et ne sert à rien, sauf que des types y ont déposé des carcasses d’objets ménagers et autres saloperies. Moi je m’en fous, l’allée je ne la vois pas, elle est derrière mes thuyas. Mon ancien voisin, que je n’ai jamais pu saquer, avait fait des démarches pour faire fermer le passage, la municipalité avait donc posé un bout de ferraille pas trop cher qui a tenu un mois avant de s’écrouler. Le voisin avait alors proposé de racheter le chemin à la commune. Le maire ayant eu la bonté de me prévenir de cette démarche, j’ai alors par pure méchanceté, graissé la patte de l’édile en lui demandant de refuser la vente…

– Quand nous avons acheté la propriété, nous avions remarqué cette allée qui faisait désordre, mais le notaire nous avait affirmé que la commune lui avait assurée qu’elle ferait le nécessaire. Cela n’avait rien de fondamental, mais dès que nous avons eu un moment, j’ai voulu me renseigner, la mairie n’a pas été très coopérative, mais m’a proposé de trouver un éventuel arrangement avec vous pour que je puisse acheter ce morceau de terrain… Mais bon, on n’en fait pas un problème, si vous acceptez tant mieux, si vous refusez on ne sera pas fâché pour autant…
– Quel arrangement ? Si vous voulez l’acheter, achetez-le, ça ne me dérange pas du tout. Répondis-je.
– Ah, bon ? Fait le Philippe qui ne s’attendait pas une négociation aussi facile.
– Tenez, comme j’ai horreur des démarches, je vais vous signer un papelard sur lequel je vais déclarer que je ne vois aucun inconvénient…
– Et, bien ça alors ! Je vous en remercie. Heu, consentiriez-vous à venir prendre tout à l’heure, un petit apéritif dans notre demeure ?
– Pourquoi pas ? Mais je viendrais avec ma compagne, et je ne pourrais rester longtemps.
– Votre compagne sera bien sûr, la bienvenue. Voyez-vous, on m’avait affirmé que vous étiez célibataire, les gens disent n’importe quoi ? Donc, un peu avant 19 heures ?
– D’accord, à tout à l’heure.

Mais qu’est-ce qu’il m’a pris d’accepter cette invitation, moi qui a horreur des relations de voisinages ? Le visage de Virginie ? Une intuition ? De quoi on va parler ? J’ai horreur du sport et n’entend pas dévoiler mes opinions politiques (qui sont d’ailleurs de plus en plus confuses) Reste la nature, les petits oiseaux, les étoiles, la bouffe…. Bon je préviens Mirabelle, ça la gonfle.

– Toi, aller à un apéro chez les voisins !
– J’ai flashé sur la nana, pas vraiment un canon, mais un petit quelque chose.
– C’est gentil pour moi !
– Tu ne vas pas te mettre à être jalouse, non ! Tu verras, elle te plaira !
– Mais enfin, tu crois vraiment que ça va finir en partouze ?
– Cette histoire de chemin, ce n’est qu’un prétexte, je ne dis pas que ça ne les intéressait pas, mais il n’y avait pas que ça…, j’ai une réputation ici, on leur a parlé de moi, et s’ils m’ont invité c’est qu’ils veulent en savoir plus et qu’ils sont probablement intéressés.
– Je m’habille comment ?
– On va dire simple, mais décolleté ! Moi je vais me mettre en polo.

Avant de partir je passe à l’office, Betty, ma plantureuse cuisinière mature est en train d’y faire du rangement. Je lui explique qu’on s’en va, et qu’on ne sait pas à quelle heure on rentrera.

– Préparez-nous un en-cas, au cas où nous rentrerions après votre service.
– Mais, je peux attendre le retour de Monsieur, si Monsieur le désire.
– C’est pas la peine, je sais me servir du micro-onde, Betty.
– Oui, et puis Madame Mirabelle saura faire, n’est-ce pas ?

Je sens comme une pointe d’ironie dans sa voix. Betty n’a jamais digéré la promotion sociale de ma compagne.

– Il reste du collier d’agneau, je vous préparerai les assiettes, vous n’aurez plus qu’à les réchauffer.

Tout en disant ça, elle ouvre le frigo, farfouille dedans tout en remuant son popotin, et comme elle n’a pas de culotte (à ma demande) le spectacle ne m’est pas insensible. Sans le vouloir je lui mets la main aux fesses.

– Oh, Monsieur !
– Quoi « Oh, Monsieur » ! Tu me provoques et tu fais ta mijaurée.
– Je ne fais pas ma mijaurée, je suis contente que Monsieur me pelote le cul, il y a si longtemps…

« Si longtemps », faut peut-être pas exagérer, mais c’est vrai que ça fait un petit bout de temps, je mouille mon index et le lui introduit dans le cul, elle se pâme.

– Humm, c’est bon, Monsieur, je sens bien votre doigt !

Me voilà, en train de bander, ce n’est pas vraiment le moment, il va être temps que nous partions pour cet apéritif. Je retire donc mon doigt.

– Monsieur désire-t-il que je le suce ?
– Non, Betty, je n’ai pas le temps.
– Décidemment, ce n’est plus comme avant ! Me dit-elle avec dépit.
– Hein, que voulez-vous dire ?
– Vous voulez vraiment savoir ? Et bien depuis que Mirabelle est avec vous, ce n’était déjà plus pareil, et maintenant avec la nouvelle, la chinoise, c’est encore pire… moi je compte vraiment pour du beurre…

Là, elle m’énerve !

– Betty, vous n’est pas malheureuse ici, vous êtes très grassement payée. Pour le reste je fais ce que je veux avec mon personnel, y compris rien du tout si j’en ai envie. Vous demanderez à Arnaud de vous infligez vingt coups de martinet sur les fesses, ça vous apprendra ! Je vérifierais demain matin.

Et je la plante, là.

Et nous voici chez les voisins. Je leur présente Mirabelle, le courant passe bien y compris entre les deux femmes. Nous apprenons qu’ils travaillent dans le design et gagnent très bien leur vie. En semaine ils habitent à Paris et ils recherchaient une maison de campagne, genre vieux manoir, celui-ci étant proposé à un prix inférieur à celui du marché, ils l’ont acheté, quitte à le revendre assez vite, mais leurs premières impressions sur la région sont plutôt favorables. La conversation est bien sûr d’abord météorologique, puis on parle des balades à faire dans le coin, des restaurants, de la bouffe… et puis ça ne rate pas, le Philippe intervient.

– Pour parler franchement, je ne vous voyais pas comme ça, les gens d’ici vous ont fait une réputation assez sulfureuse.
– Dites !
– Non je n’oserais jamais !
– Disons, reprend Virginie avec un large sourire, qu’on vous considère comme un obsédé sexuel assez compulsif.
– Obsédé sexuel, oui je n’en ai aucune honte, compulsif, je n’en sais rien, mais je n’ai jamais violé ni même forcé personne, et le respect de la personne humaine fait partie de mes valeurs. Je crois aussi que ce que font des êtres humains adultes et responsables entre eux ne regardent qu’eux, mais que voulez-vous tout le monde ne pense pas comme moi et il faut toujours qu’il y ait des gens qui causent…
– Soyez rassuré, je partage entièrement votre point de vue ! Me confie Philippe.

Je l’aurais parié et donne un coup de genou complice à Mirabelle.

– Et bien, voilà qui fait plaisir ! A la vôtre, répondis-je en levant mon verre.

Je me demandais comment ils allaient amener la suite, ce fut très simple.

– Nous allons vous faire une confidence, nous sommes aussi très libertins ! Confesse Philippe.
– Nous avons pratiqué un peu l’échangisme, nous avons eu quelques ratages, mais surtout quelques belles expériences ! Renchérit Virginie.

Le coup suivant, c’est pour eux ou c’est pour moi ? Allez, on ne va pas être vache, on va les aider :

– L’échangisme c’est bien quand personne n’a de tabou. Lançais-je.
– Oui, vous avez raison, si la femme n’est pas bi, ça ne m’intéresse pas ! Répond Virginie.
– Et quand l’homme est bi ? Demandais-je innocemment.
– Cela peut-être un plus… commence prudemment Philippe.
– Un plus ! Un sacré plus, oui, vous verriez mon homme comment il se régale dans ces cas-là ? Ajoute sa compagne.
– Virginie ! Feint de s’offusquer l’intéressé.
– Ben quoi, au point où on en est, on peut le dire, c’est vrai que tu adores sucer des bites…
– Et bien confidence pour confidence, moi aussi, j’adore parfois faire ce genre de chose ! Répliquais-je afin de tirer le Philippe de son embarras.
– Quels cochons ! Plaisante Mirabelle.
– Oui, c’est vrai, mais c’est pour cela qu’on les aime ! Répond Virginie.

Je me demande si on va en rester là, ou si les deux zouaves vont essayer de faire tourner cet apéritif en partouze…

Un ange passe, manifestement nos hôtes cherchent le petit déclic qui fera basculer la soirée… ce sera Virginie qui se lancera :

– Savez-vous, Mirabelle, que je vous trouve vraiment très belle. Goûter à vos lèvres doit être un plaisir de fin gourmet.
– Les vôtres sont aussi très belles, et je pense que nous aurons un jour cette occasion ! Fait semblant de temporiser ma belle.
– Et pourquoi pas tout de suite ?
– Oui pourquoi pas en effet !

Et voilà nos deux femmes qui se roulent une pelle à ne plus en finir. Elles ne se contentent pas de s’embrasser mais se pelotent sans retenue et sortent de ce contact à moitié débraillées, Mirabelle a un sein à l’air et Virginie ne va pas tarder à se retrouver dans le même état.

– J’ai une idée, dit Virginie à Mirabelle, si nous allumions les hommes ?
– Chiche !

Et voilà que j’ai la Virginie sur mes genoux, tandis que Mirabelle entreprend Philippe. Virginie se frotte l’entre-jambe contre mon sexe. Je me mets évidemment à bander. Elle se retire, ôte son jeans et recommence son manège en petite culotte. Et comme si ça ne suffisait pas, la voilà qui retire son haut à vingt centimètres de mon visage. J’ai maintenant ses jolis seins sous le nez, elle me dirige carrément ses tétons vers ma bouche et je les tète avec gourmandise. Elle voulait me chauffer, c’est réussi, j’ai maintenant la bite toute dure. Elle le sait et me tripote la braguette, l’ouvre, va chercher mon sexe, l’extrait, puis se met entre mes cuisses et commence à me sucer.

Je jette un coup d’œil à côté, Mirabelle quasiment à poil est en train de branler Philippe tout en l’embrassant sur la bouche.

Virginie me fait comprendre qu’elle aimerait que j’enlève mon pantalon. Du coup je retire tout… Elle reprend un peu sa fellation, puis se recule.

– Viens Mirabelle, on va faire une pause.

C’est donc elle qui s’est improvisée la maîtresse du jeu. Pourquoi pas ? Elle est chez elle !

– Venez messieurs, venez vous mettre l’un à côté de l’autre. Voilà, touchez-vous la bite, maintenant. Non, pas la vôtre, chacun doit toucher la bite de l’autre.

Ça commence fort, cette affaire !

– Regarde comme ils sont mignons, Mirabelle, nos hommes avec une bite dans la main… on va leur faire faire plein de trucs coquins… Alors qui est-ce qui suce l’autre ?

J’aime bien qu’on me suce, mais j’adore surtout sucer. Philippe me laisse choisir, je me baisse donc et me voilà avec sa bite dans la bouche. Ça me fait plaisir, voilà un moment que je n’avais pas sucé une nouvelle queue et celle-ci est bien agréable.

Je n’arrête que parce que ma position n’est pas trop confortable et que ma bouche fatigue.

– Vous sucez divinement, mon cher ! Permettez que je tente à mon tour de faire aussi bien que vous ?
– Mais je vous en prie.

Philippe se baisse afin de me sucer à son tour. Et c’est qu’il suce super bien le zigoto ! Pendant ce temps sur les conseils de Mirabelle, Virginie est venue derrière moi et me tortille les tétons, je suis aux anges, mais je ne voudrais pas jouir trop vite. Je fais signe à Philippe de me lâcher le gland. Il se relève, je lui flatte la bite.

– Elle est vraiment très jolie… Si vous en étiez d’accord, mon cul l’accueillerait bien volontiers.
– Vous souhaiteriez donc que je vous encule, mon cher Baron ?
– Enculez, moi, Philippe, mais je vous en prie, appelez-moi donc Boris.
– Permettez que vous prépare ? Intervient, Virginie, j’adore préparer un petit cul à la sodomie.
– Mais avec grand plaisir !

Et la voilà qui me débarbouille l’anus et ses environs de sa langue agile.

– Il a fort bon goût, votre trou ! Se croit-elle obligée de commenter.
– Tant mieux, car ma dernière douche remonte tout de même à ce matin.
– J’ai les mêmes goûts en matière de culs qu’en matière de fromage, je les aime très légèrement avancés.

On ne me l’avait jamais sortie celle-là, mais comme elle ne sait pas parler et lécher en même temps, la voilà qui m’introduit un doigt, puis deux, délicieuse sensation.

Elle les ressort, les regarde !

– Dites, moi, cher monsieur, vous n’avez pas le cul bien propre, regardez l’état de mes doigts !
– Désirez-vous un kleenex ?
– Ne vous donnez pas cette peine, je vais lécher tout ça !

Et c’est ce qu’elle fait avec une facilité déconcertante, si elle voulait me lancer un message m’indiquant qu’elle était branchée scato, c’est réussi.

– Vous m’avez l’air d’une sacrée coquine ! Rétorquais-je, ne trouvant rien de plus intelligent à répondre
– Votre merde est délicieuse, Monsieur Boris !

De si vilains mots dans une aussi jolie bouche !

– Je pense que tu peux y aller ! Indique-t-elle à son mari. Vas-y encule le bien !

Je me positionne en levrette sur le tapis, en relevant bien mon cul, Philippe arrive, me met un peu de gel, et me pénètre sans difficulté, il commence par de timides va-et-vient, puis s’excite et augmente tellement la cadence qu’il m’oblige à avancer… s’il continue je vais me foutre la tête contre un mur… je pourrais lui dire de ralentir, mais finalement ça me plait bien. Il finit par jouir en faisant un drôle de bruit, une sorte de grognement chuchoté.

Ça m’a fait du bien ! Le Philippe, lui, semble exténué, il est en nage, pas très sportif, le mec, mais vous me direz, moi non plus.

– J’espérais vous voir échanger les rôles, mais je crois bien que mon mari est « out » pour le moment ! Se désole Virginie. Boris à défaut du cul de Philippe, accepteriez-vous le mien ?
– Mais avec grand plaisir, chère Virginie. Voyez-vous je suis sans doute bisexuel, mais je préfère néanmoins les femmes. Donc, vous enculer me ravira… j’ai simplement peur d’être un peu bref, toutes ces émotions m’ont rendu une bite de jeune homme.
– Allons venez, et faites pour le mieux…

Virginie279Quelle belle croupe ! Je m’encapote, lui passe un peu de gel et la sodomise, tandis que Mirabelle s’est accroupie devant elle afin de pouvoir l’embrasser. Je ne sais pas comment faire pour me retenir de jouir trop vite, penser à des choses tristes, à ma déclaration d’impôts, à la tronche de types que je n’aime pas…

Pour l’instant ça va, la belle fait des « Hummmpf » et des « Arghhhh » et s’en prend plein le croupion.

– Vous m’enculez trop bien, cher Boris !

Le compliment fait plaisir mais précipite l’action, j’éjacule donc et décule, puis m’apprête à retirer la capote qui n’est pas d’une netteté irréprochable, mais Philippe m’en empêche !

– Attendez un instant, Virginie va vous nettoyer tout ça ! N’est-ce pas Virginie ?

Il se passe alors quelque chose de bizarre, ce genre de choses doit faire partie de leurs petits jeux privés, ça je l’avais compris. Mais elle regarde son époux avec des yeux de braise, le toise, semblant lui dire « alors c’est un défi ? »

– Ça t’excite de me donner des ordres dégoûtants devant nos voisins, hein mon salaud ?
– Ce n’est pas un ordre, c’est juste une suggestion !
– Et pourquoi tu ne le fais pas toi ?
– Parce que c’est moi qui a eu l’idée le premier !
– OK, ça ne vous gêne pas Boris ?
– Mais pas du tout, faites comme chez vous !
– Alors d’accord ? Mais que dois-je faire exactement, j’ai des trous de mémoire parfois ! S’amuse-t-elle.
– Tu vas nettoyer la merde que tu as foutue sur la capote.
– Bon, bon, je vais chercher un gant de toilette et du savon ! Plaisante-t-elle.
– Virginie, tu nettoies avec ta langue !
– Bon, bon, quand on m’explique gentiment et en détail ce que je dois faire, j’arrive à tout comprendre ! Rigole-t-elle.

Et elle se met à nettoyer la capote, en donnant de grands coups de langues sensuels et en lançant des œillades provocatrices à la compagnie comme si elle se régalait du meilleur de tous les gâteaux chocolatés.

– Humm, c’était délicieux… un goût de trop peu peut-être…

Philippe devient soudain quelque peu mal à l’aise.

– Euh, j’ai peut-être été un peu loin, là, j’espère que je ne vous ai pas choqué… vous savez parfois dans le feu de l’action on se laisse un peu aller.
– Mais non, nous ne sommes pas choqués du tout, moi aussi j’adore sucer les bites qui sortent de mon trou ! Le rassure Mirabelle.
– Me ferez-vous cet honneur ?
– Quand vous voudrez, Philippe !

On se ressert à boire, on trinque, on échange quelques plaisanteries, toutes ces galipettes nous ont donné soif.

Un bruit sur la porte, un grattement sourd.

– C’est Caramel, il est réveillé ! Précise Virginie.

Merde, un gosse ! Quelle drôle d’idée de l’appeler Caramel mais ce doit être un surnom, vite mes fringues… mais le voilà qu’il entre en remuant la queue : Caramel est un magnifique labrador.

– C’est l’odeur de sperme qui l’attire ! Reprend la maîtresse de maison.

Oups ! J’ai comme un pressentiment qu’on va assister à quelque chose qui va ressembler à de la zoophilie. Mais pour l’instant la bestiole fait la fête à Mirabelle qui le caresse gentiment, elle adore les bêtes, elle a quand même pris soin de croiser les jambes et de se mettre une serviette en papier sur le sexe, au cas où…

– Vous ne possédez pas de chien ? demande Virginie.
– Non, juste des chats !
– Il est très affectueux, pas méchant du tout, un peu vicelard aussi.
– Je vois ! Répond Mirabelle, qui a de plus en en plus de mal à s’en dépêtrer.
– Viens, ici, Caramel, viens voir ta maitresse.

Le chien se dirige vers elle, elle écarte alors les jambes et la bête se met à lui lécher le pubis à grands coups de langue. Mirabelle est fascinée.

– Tu n’as pas peur qu’il te morde ?
– Mais, non il est vicieux, mais intelligent et bien dressé… Ah ! Cette langue, c’est divin.

Mirabelle a décroisé les jambes, elle a porté la main à son sexe et se masturbe en observant le spectacle.

– Tu aimerais essayer ? Propose Virginie.
– Je ne sais pas, peut-être ! Répond-elle dans un souffle.
– Appelle-le.
– Viens, Caramel, viens me lécher la foufoune.

Virginie se relève et pousse le chien vers Mirabelle, il déboule en remuant la queue, et se met à lécher. Le spectacle est fascinant, ma compagne a les joues toutes rouges et elle se pince ses bouts de seins. L’affaire dure bien cinq bonnes minutes avant qu’elle se mette à jouir bruyamment.

– Je suis vraiment une salope, je me suis fait jouir par un chien ! Conclut-elle.
– Et alors, tu ne fais de mal à personne, et en plus le chien est ravi, regarde sa bite !

En fait Virginie a passé sa main entre les pattes arrière du chien et a ramené son sexe vers elle.

– Hum, elle est mignonne sa bite ! Commente-t-elle.
– Mignonne, je ne sais pas, mais c’est impressionnant !
– Regarde je vais lui faire un petit bisou !

Et joignant le geste à la parole, Virginie effleure de ses lèvres le membre canin. Puis après avoir lancé un sourire complice à l’adresse de Mirabelle, elle donne quelques coups de langue.

– Je vais arrêter, je ne voudrais pas te choquer.
– Je ne suis pas choquée ! Répond Isabelle. Mais disons qu’on ne voit pas ça tous les jours.
– Alors, attention les yeux !

Et Virginie embouche la bite du chien, dégoulinante d’un liquide visqueux.

– Hum, c’est bon, tout ça ! Tu veux essayer, ma chérie ?
– Je ne sais pas… peut-être.

Et devant mes yeux incrédules, ma douce Mirabelle s’en va rejoindre l’autre « dépravée » qui lui tend la bite du chien afin qu’elle l’embouche à son tour.

Les deux femmes jouent de leur langue et de leur bouche pendant quelques instants avant de se rouler un patin magistral.

Oh ! Oh ! Aurons-nous droit à un troisième acte, encore plus hard ? Ben non, du moins pas de suite, Caramel a profité de ce petit répit, pour aller voir ailleurs

– Pauvre bête, il n’a même pas pris son pied ! Se lamente Virginie.
– Nous vous aurions bien gardé à diner, mais notre frigo est quasiment vide, dit alors Philippe. Mais accepteriez-vous que l’on vous offre le restau ?
– Pour aller au restau, il faut prendre la voiture, objecte Virginie, et prendre la voiture après trois apéros ce n’est pas sérieux du tout.
– Je roulerais doucement.
– Ce n’est pas un problème de vitesse, c’est un problème de reflexe.
– Mais je me sens très bien !

Ils ne vont pas s’engueuler quand même ? Mais j’ai ma petite idée pour désamorcer cette mini crise.

– Venez donc chez moi, ma cuisinière va nous préparer un petit truc, ce sera à la bonne franquette !
– D’accord, on fait comme ça ! Répond Virginie. Et nous vous rendrons la politesse la prochaine fois.

Philippe est d’accord également, je demande la permission de passer un coup de fil que je m’amuse à donner publiquement.

– Betty ! Etes-vous encore en heures de service ?
– Oui monsieur !
– Il vous faut combien de temps pour nous préparer un petit repas tout simple pour quatre personnes.
– Euh ! Il n’y aura pas assez de collier d’agneau pour quatre… je peux vous faire des spaghettis bolognaises et avant une assiette de charcuterie, et en dessert une salade de fruits… Disons une demi-heure,
– Ce sera parfait ! Tous vos collègues ont quitté leur service !
– Oui, monsieur !
– Dommage, j’aurais aimé leur présenter Loan.
– Loan dort, Monsieur, mais si vous voulez, je peux la réveiller, je pense qu’elle serait contente de faire des heures supplémentaires pour Monsieur !

Je sens comme de l’ironie dans sa voix, je le sais bien que Loan n’est plus en heure de service, mon allusion n’avait pas d’autres but que de la provoquer.

– Laissez-la se reposer ! Par contre vous ferez le service en tenue d’esclave, collier de chien autour du cou, nichons et cul à l’air, et puis vous ajouterez des poids à vos piercings, ça vous apprendra à me faire des crises de jalousie.
– Bien, monsieur !
– Au fait, votre punition a-t-elle été administrée ?
– Oui, monsieur !

Je raccroche, elle m’énerve. Je m’amuse de la mine de Philippe et de Virginie. C’était le but du jeu. Moi aussi, je sais épater les gens, et je n’ai pas besoin d’un labrador.

– Vous avez des domestiques très particuliers ! Commente Philippe.
– Je ne vous le fait pas dire !
– Heu… le chien ?
– Vous l’emmenez bien sûr !

Le temps de se rhabiller, de redevenir présentables, de ranger un peu le fouillis, et que ces dames se rincent la foufounette, et nous voilà de retour au château.

– Ces messieurs dames prendront-ils un apéritif ? Demande Betty qui n’a pas encore revêtue (si l’on peut dire) la tenue demandée.

Devant le refus de Philippe et Virginie, nous passons directement à table, le couvert est dressé, et chaque assiette comprend un assortiment de charcuterie italienne avec des tranches de melons.

– Si vous en êtes d’accord, nous ferons le traditionnel tour du propriétaire plus tard, je meurs de faim.
– Malgré tout, j’irais bien aux toilettes, je voulais y aller avant d’arriver et ça m’est sorti de l’esprit, nous dit Virginie.
– Comme vous voulez, mais si vous pouviez vous retenir cinq ou dix minutes, j’ai une petite idée un peu perverse en tête…
– Oh, vous, je vous vois venir, petit cochon, mais d’accord je vais essayer de me retenir.

On s’assied, et Betty réapparait provoquant un masque de surprise de mes invités, ils avaient pourtant été prévenus, mais la voir en réel, c’est autre chose. Il faut dire que le spectacle ne manque pas d’insolite, elle n’a rien en haut, et ses gros seins sont tirés vers le bas par les poids attachés aux piercings de ses tétons, elle a à la ceinture une caricature de jupe noire qui ne descend pas plus bas que le haut du pubis, et elle est chaussée d’impossibles godasses à très haut talons en matière transparente. Un collier d’esclave complète la tenue.

– Je vous propose un excellent Tavel, bien frais, mais si vous préférez autre-chose… Décline-t-elle

Cela convient à tout le monde, elle fait goûter Virginie, c’est bon ! Elle nous sert.

– Votre cul est bien rouge, il a tapé fort, Cyril ?
– Il s’est surtout trompé sur le nombre ! Répond Betty.
– Cyril ne se trompe jamais, j’ai l’impression que vous cherchez toutes les occasions pour que l’on vous punisse.
– Pardon, Monsieur ?
– Et après vous avoir fouetté, je suppose qu’il était excité ?
– Très excité !
– Et qu’est-ce qu’il vous a fait ?
– Je n’ose le dire devant ces messieurs-dames.
– Dites-nous, Betty, ces messieurs-dames comme vous dites, sont impatients de savoir.
– Il m’a sodomisé, Monsieur !
– Il vous a quoi ? Nous ne sommes pas chez votre sexologue, ici !
– Il m’a enculé, Monsieur !
– Ah ! Je comprends mieux ! Et ensuite ?
– Et bien Arnaud qui était avec lui m’a enculé également.
– Et ça vous a plu ?
– Oui, Monsieur, c’était bien agréable ! Monsieur sait bien que j’adore qu’on m’encule.
– Dites-moi, Betty, avez-vous dîné ?
– Oui, monsieur !
– Dommage, mais vous n’êtes pas contre le fait de partager un petit verre de Tavel avec nous.
– Non, Monsieur !
– Alors allez donc chercher la gamelle des chats, vous ne pensiez pas que j’allais vous permettre de le boire dans un verre en cristal, non ?

Philippe et Virginie semblent fascinés par ce qui se passe sous leurs yeux. Betty revient avec une écuelle.

– Mais j’y pense, Betty, je sais que vous n’êtes pas trop amateur de rosé, sans doute préfériez-vous du champagne ?
– C’est comme Monsieur voudra !
– Virginie, vous aviez une petite envie de pipi, si vous pouviez faire dans cette écuelle.
– Non, non c’est du gâchis, proteste Mirabelle, le pipi de Virginie mérite mieux que ça. Je propose que nous le buvions dans des coupes après avoir trinqué.

Virginie enlève son pantalon et sa culotte, puis pisse dans les coupes de champagne que Betty est allée chercher, on trinque, on boit, c’est délicieux.

– Maintenant indiquez moi les toilettes, j’ai une autre envie… plus consistante. Demande Virginie
– A moins que ton caca n’intéresse ces messieurs dames ! Intervient Philippe
– Pourquoi pas ? J’aime bien regarder une belle merde sortir d’un joli cul ! Répond Mirabelle.
– J’y vais alors ! Attention les yeux

Virginie s’empare d’une assiette et va pour s’installer à quelques mètres de la table.

– Monte sur la table pour chier ! Lui dit Mirabelle, on verra mieux.

Le spectacle est fascinant, l’anus s’ouvre lentement, un bout d’étron quémande la sortie, puis s’agrandit en un long boudin qui se détache et dégringole dans l’assiette en s’enroulant sur lui-même et en dégageant un parfum subtil. Un deuxième étron vient ensuite rejoindre le premier. Elle porte ensuite sa main sur son trou, constate qu’il y reste un petit peu de matière, et l’étale sur ses fesses.

– Quelqu’un veut me lécher le cul ? Demande-t-elle innocemment.

Je bande comme un sapeur et me suis porté volontaire, j’ai tout nettoyé en peu de temps m’enivrant de cette saveur si particulière.

– Votre cul est délicieux ! Commentais-je
– Mon cul ou ma merde ?
– Les deux bien sûr !

Virginie se rassoit, personne ne prend l’initiative de retirer l’assiette. Betty reste là comme une andouille se demandant si elle doit le faire ou pas. Et puis il y a l’écuelle des chats qu’elle a apporté pour rien.

– Ben Betty, vous faites quoi ?
– J’attends vos ordres, Monsieur.
– Dépêchez-vous d’aller en cuisine, vous avez la cuisson des spaghettis à surveiller.

Et j’en profite pour lui donner quelques fessées sur le cul afin de l’encourager.

– Ça m’embête d’être la seule à rester la chatte à l’air, on pourrait tous se mettre à poil, non ? Propose Virginie.

Tout le monde approuve, et tout le monde s’exécute.

Il est évident que la partouze ne demande qu’à redémarrer de plus belle. Problème : on a tous un peu faim.

– Qu’est-ce qu’on fait avec ce boudin ? On le laisse là ? Demande Virginie, qui accompagne ces mots d’un mouvement de la main venant caresser la chose.

Elle se regarde les doigts, évidemment tout merdeux, se les porte à la bouche et se les lèche en regardant Mirabelle droit dans les yeux.

Celle-ci répond à la « provocation » en l’imitant. Je bande comme un sapeur et Philippe qui s’en est aperçu me tripote la bite.

Les doigts de Virginie ne sont pas complétement nettoyés, et elle se les essuie sur sa joue, laissant une insolite et large trainé brune.

– Je suis belle comme ça ? Demande-t-elle.
– Bien sûr que tu es belle ! Répond Mirabelle qui se lève.

Elle vient l’embrasser d’abord chastement sur les traces de merde étalées sur sa joue, avant de se mettre à lécher.

– Attend je vais m’en mettre sur les seins ! Décide Virginie.

Mirabelle l’imite, puis les deux femmes se lèchent les tétons à tour de rôle, puis finissent par se rouler un patin baveux.

– Humm !

Qu’est-ce que c’est ?

C’est Betty qui apporte les pâtes. Elle nous sert. Du coup chacun se place gentiment derrière son assiette.

Un ange passe. Et puis une idée farfelue me passe par la tête.

– Dites-moi Betty, est-ce que vous vous êtes déjà fait baiser par un chien ? Lui demandais-je
– Monsieur plaisante !
– Non, monsieur ne plaisante pas et il attend une réponse.
– Ma foi, non !
– Voici une lacune qu’il convient de combler ! Virginie puis-je vous demander de présenter Caramel à ma cuisinière.

Cette dernière va chercher le chien dans le coin où il roupillait et l’emmène en laisse au côté de Betty, qui tétanisé se demande ce qu’elle doit faire.

Comme tout à l’heure, Virginie s’est emparé de la bite du chien et la fait ressortir par l’arrière. Betty devient rouge comme une tomate.

– Allez Betty, sucez-moi cette bite !
– Non, monsieur, je ne peux pas !
– Ça n’a rien de difficile, pourtant ! Rétorque Virginie qui joignant le geste à la parole engloutit le sexe de Caramel dans sa jolie bouche pulpeuse.
– Allez Betty !
– Non !
– Je l’ai bien fait moi, Intervient Mirabelle. Et c’était bon !
– Madame est décidemment une salope !

J’ai compris le jeu de Betty, en critiquant sa maîtresse, elle veut créer une diversion. Mais ça ne prend pas !

– Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ! Tu cherche une punition ! Ben justement ta punition ce sera de sucer le chien. En attendant mets-toi à quatre pattes.

Je récupère ma ceinture sur mon pantalon et lui cingle plusieurs fois les fesses..

– Alors tu vas le faire ?
– Je le ferais si Madame Mirabelle le fait avant moi !

J’allais protester contre cette revendication inouïe, mais Mirabelle se lève de table.

– C’est bon, on va faire comme ça ! Me dit-elle
Avant de rejoindre Virginie et de l’accompagner dans sa fellation canine.

Du coup Betty est décontenancé et s’approche timidement des deux femmes.

– Allez, Betty, soit aussi cochonne que nous ! Lui dit Virginie.

Betty ferme les yeux, donne un petit coup de langue timide, puis un deuxième, reprend son souffle et englouti la bite. On l’encourage, on l’applaudit.

– Remets-toi en levrette, maintenant ! Lui dit Virginie, le chien va te prendre.
– Non !

Je lui envoie un nouveau coup de ceinture sur son gros cul. Elle ne proteste plus. Virginie attire le chine vers la chatte de ma cuisinière, il se précipite et se et à s’agiter frénétiquement.

– Il ne va pas la griffer ! M’inquiétais-je.
– Non, ses pattes avant sont limées.

Mirabelle saisie alors d’une irrésistible pulsion se place à côté de Betty.

– Moi aussi, je veux qu’il me prenne. Clame-t-elle.

Virginie se débrouille pour que le chien change de partenaire et j’ai le plaisir de voir ma douce se faire sauter comme une chienne et jouir comme une damnée. Quel spectacle !

Betty se relève !

– J’espère que Monsieur est satisfait ! Est-ce que j’ai été assez salope !
– Tu recommenceras ?
– Oui, monsieur !
– Parfait vient m’embrasser ! Non pas comme ça, sur la bouche !
– Oh ! Quel honneur, monsieur.

Toutes ces péripéties m’ont excité et voilà que je rebande… mais je finis d’abord mes pâtes avant l’interpeller mon invité du soir :

– Dites-moi, Philippe, j’ai comme une envie de vous mettre ma bite dans le cul, là tout de suite, ça vous tente ?
– Je ne refuse jamais une bonne queue, cher Boris, si vous avez envie de m’enculez, ne vous gênez surtout pas.
– Alors mon cher, si vous voulez bien vous déshabiller et vous mettre en position, je vais me faire un plaisir de vous prendre le cul.

Les filles viennent près de nous, je donne ma bite à sucer à Philippe afin de lui donner davantage de vigueur.

– Betty, pendant que Monsieur Philippe me suce la queue, passez derrière lui et léchez-lui donc le fion, un peu de lubrifiant naturel ne fait jamais de mal.

Et pendant que j’encule Philippe, mon regard croise celui de Mirabelle, et nous nous échangeons le plus beau des sourires

C’est pas bien, la vie de château ?.

Vasslan@hotmail.com
Alençon, Septembre 2009

Par Boris - Publié dans : Boris
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Lundi 24 avril 2017 1 24 /04 /Avr /2017 11:27

Vie de château 2 – Test d’embauche par Boris Vasslan

scat
attention, texte contenant des passages scatos explicites

Il me fallait remplacer Mirabelle. Je veux dire la remplacer dans mon effectif domestique. Elle, de son côté aurait bien continué à communier sous les deux espèces, soubrette préférée et concubine officieuse… mais nous nous sommes vite rendu compte que cette confusion était une source de problèmes.

Je téléphone donc à « l’agence », en fait un placeur qui recrute (en prélevant sa « petite » commission) des filles dans des spectacles érotiques, des salons de massages et d’autres endroits de ce genre pour leur proposer des postes de gens de maison ou de secrétaire avec option sexe explicite. Il me rappelle quelques heures plus tard :

– J’ai une jeune femme d’origine vietnamienne en ce moment, ça vous dirait ?
– Pourquoi pas ? C’est son premier poste comme domestique ?
– Non, elle travaillait chez des gens qui sont partis à l’étranger. Ils en étaient très contents. Je lui ai expliqué ce que vous attendez d’elle, ça ne lui pose aucun problème. Elle est très gentille, très mignonne et très soumise. Je vous envoie sa photo ?

Ben oui, pourquoi pas ?

La nana arrive en fin de matinée, Mirabelle est allée la chercher à la gare d’Alençon, et je l’accueille dans le salon

– Bonjour Loan, le voyage s’est bien passé ?
– Oui, Monsieur, avec le TGV, ça va assez vite, j’ai changé de train au Mans.
– Bien, je ne vais pas procéder à un entretien d’embauche, mais on va faire une journée d’essai, si au bout de cette journée, nous nous apercevons que nous ne sommes pas faits pour nous entendre, je vous indemniserais en conséquence et nous en resterons là.
– Bien Monsieur.
– Voici vos futurs collègues : Betty qui s’occupe plus particulièrement de la cuisine, Arnaud qui est un peu mon majordome, et Cyril qui coordonne tous les travaux de l’extérieur, un sacré boulot, n’est-ce pas Cyril ?
– Oui Monsieur, mais ça me plait bien ! Répond mon jardinier antillais.
– Ah, au fait, Cyril a une très belle bite, voulez-vous bien la montrer à cette charmante personne !

Les yeux de la Loan, qui ne pensait pas que les fantaisies sexuelles arriveraient si tôt, quand Cyril sortit son engin !

– Vous pouvez toucher, ça ne mord pas ! Précisais-je.

Loan obéit, caresse d’abord timidement la queue avant de lui imprimer un vrai mouvement de masturbation.

– Sucez-là, voyons, ne soyez pas timide !

La bite de Cyril est maintenant bien bandée. Loan la prend dans sa bouche et entame une petite fellation, que je fais finalement stopper assez rapidement.

– Voilà, c’était juste un petit aperçu des bonnes choses de la maison. Betty va vous montrer votre chambre, reposez-vous un peu, prenez une douche si vous le souhaitez, et si vous avez faim arrangez-vous avec elle. Je vous veux dans mon bureau à 14 heures précises en tenue de soubrette, mais sans culotte.
– Bien Monsieur !

Tout ce petit monde quitte la pièce, à l’exception de Cyril à qui j’ai fait discrètement signe de rester.

– Alors, elle suce bien ?
– A mon avis, elle n’a pas voulu se dévoiler à fond, mais elle a du savoir-faire et de l’expérience, c’est sûr !
– Elle suce mieux que moi, alors ?
– Vous c’est le patron, mais c’est vrai que vous sucez bien !
– Fayot ! Ressors-moi ta queue, j’ai comme une envie !

Et me voilà en train de lécher la bite de mon jardinier… Il y avait longtemps que je ne l’avais pas fait, il est vrai que mon coup de foudre avec Mirabelle m’avait tellement accaparé que j’en avais oublié les aspects les plus débridés de ma sexualité. Humm, mais c’est qu’elle est bonne sa bite… Je la connais par cœur, mais je ne m’en lasse pas… Je lui lèche le gland du bout de la langue, fait de grands lapements sur la verge, joue avec la couronne, engloutit tout, la fait se cogner contre l’intérieur de mes joues, avant de pratiquer des allers et retours plus classiques. Je suis terriblement excité et n’ai pas l’intention d’attendre 14 heures pour jouir.

– Vous allez m’enculer, Cyril !
– Avec plaisir, Monsieur !
– Allez, on se fout à poil…

Nous voici nus comme des vers, à l’exception de nos chaussettes. Je le suce encore un petit peu, lui passe une capote que je lui laisse enfiler, puis je rejoins le canapé sur lequel je me positionne en levrette, le cul levé et offert. Je ne lui donne pas d’instruction, je lui laisse l’initiative : ou il va me prendre sauvagement, ou alors il va me préparer, ça dépend de son humeur à Cyril.

Je sens sa langue sur mon cul ! Ce sera donc la version préparée. Il a l’organe diabolique, ça virevolte sur mon œillet qui sous cette pression subtile ne peut que s’ouvrir ! Et hop, voilà qu’il me met un doigt et commence à me ramoner le fion… et un deuxième… ça devient bon… j’ai oublié de lui donner du gel, mais il m’a tellement bavé dessus que ça devrait bien rentrer. Effectivement ça entre. Presque tout d’un coup… et allons-y pour les allers et retours en cadence.

– Alors mon chéri, on se fait enculer comme une vieille tante ?

Ça c’est Mirabelle qui se pointe, pas gênée du tout.

– Parfaitement, et il me fait ça très bien, ce garçon !
– Ça je n’en doute pas une seconde…
– Mais tu ne nous gênes pas du tout, Mirabelle, viens donc nous rejoindre !
– Non, je regarde, ça m’excite !
– D’accord !

Cyril s’énerve un peu, augmente la cadence…

– Je vais venir, Monsieur !
– Allez-y Cyril !

Il décharge avec un grognement étouffé, puis décule. Il va pour retirer la capote de son sexe quand Mirabelle l’en empêche, surgit et se le prend en bouche. Je n’ai pas eu le temps de voir dans quel état elle était ressortie de mon cul. Elle suçote tout ça quelques instants, puis se retire avec un sourire provocateur :

– Hum… j’adore sucer une bite qui sort d’un trou du cul !
– Cochonne !
– Parfaitement !

Puis tandis que Cyril récupère, elle s’empare de ma propre bite (si j’ose dire !) et commence à la sucer avec application.

La cochonne, mais j’ai compris le message, elle veut me signifier qu’elle aussi peut être capable des pires perversités quand cela lui passe par la tête, mais que cela ne remet pas en cause notre liaison.

– Monsieur n’a plus besoin de moi ? Demande Cyril en s’apprêtant à se rhabiller.
– Moi, non… à moins que Mirabelle…
– Hummmm, non, on va rester tous les deux, merci Cyril, vous pouvez remballez votre quéquette.

Mirabelle enlève prestement son jean et sa culotte, mais garde le haut, se tourne et me présente son cul.

– Allez, moi aussi j’ai envie de me faire enculer !
– Comme ça, direct ?
– Ouais, à la barbare, fais-moi crier !

C’est comme, elle veut ! Je m’introduis subito presto dans son anus, elle gueule.

– Ça va ?
– Continue ! Défonce-moi !

Allez ! J’y vais, je la ramone quelques minutes, (sans capote puisque nous avons fait des tests tous les deux). Elle pousse d’impossibles gémissements et profère d’intraduisibles onomatopées.

– Vas-y, jouis dans mon cul, salaud, pédé, enculé, morue !

Elle est déchaînée, mais ça tombe bien, j’allais jouir ! Ça fait du bien. Je me retire, Mirabelle se retourne et me gobe la bite, la nettoyant de son sperme et de son caca… Puis me roule un patin… On reste affalé tous les deux dans le canapé un bon moment, moi à poil, elle la chatte à l’air.

– Monsieur et Madame prendront leur déjeuner dans la petite salle à manger ? Demande Betty, ma grassouillette cuisinière mature, qui vient de faire irruption et nous contemple d’un air amusé.
– Il y a quoi ? Demande Mirabelle.
– Poisson grillée et purée maison.
– Ça peut se garder ?
– Bien sûr !
– Alors nous ne mangerons pas là, reprend ma douce, j’invite Monsieur au restaurant.

Voilà, elle ne m’a même pas demandé si j’étais d’accord, elle est comme ça Mirabelle, moi qui ne sortais jamais, elle m’emmène parfois au restaurant, parfois au cinéma, ou tout simplement faire une grande balade dans la campagne environnante. Parfois nous nous échappons à Deauville ou à Honfleur qui ne sont qu’à une centaine de kilomètres.

Nous avons donc été déguster quelques huîtres à Alençon, nous avons parlé de tout et de rien comme de jeunes amoureux, nous n’avons pas évoqué nos excentricités de la matinée, il n’y a pas que le sexe dans la vie !

– Bon, on a le temps de prendre un dessert, mais faut qu’on soit revenu pour 14 heures, pour affranchir Loan ! Me dit Mirabelle.
– Une crème brulée ?
– Pour moi aussi… Tu as une idée de la façon dont ça va se passer ?
– Pas du tout… je vais improviser, et si tu veux intervenir, surtout te gênes pas…

A 14 heures je suis assis derrière mon bureau (ben oui j’ai un bureau, deux même, un grand et un petit, ils ne me servent pas à grand-chose puisque je n’ai aucune activité professionnelle, mais le petit bureau, c’est mon coin privé, avec mon ordinateur et une partie de mon fouillis) J’ai apporté quelques petits instruments de domination, au cas où j’en aurais besoin, que je laisse négligemment sur le meuble, ainsi qu’une poignée de préservatifs et du gel intime. Mirabelle est assise à côté de moi. Arnaud, Cyril et Betty sont debout dans le fond. On frappe, c’est Loan.

– Non, non, ne refermez pas la porte ! Humm vous êtes très belle dans cette tenue, qu’en penses-tu Mirabelle ?
– Charmante… charmante.
– Montrez-nous vos fesses, Loan.

Elle ne se fait pas prier, se retourne et retrousse sa jupette.

– Voilà, Monsieur.
– Humm ! C’est mignon, venez donc près de moi que j’y mette la main.

Je lui caresse ses fesses qui sont très douces.

– Penchez-vous que je puisse voir votre trou de balle. Humm ravissant… mais nous y reviendrons tout à l’heure. Dites-moi, chez vos anciens patrons, vous faisiez souvent du sexe ?
– Assez souvent, oui, avec Monsieur, avec Madame, leurs grand enfants et parfois avec leurs invités aussi.
– Ils vous punissaient ?
– Oui aussi !
– Et vous aimez qu’on vous punisse ?
– Je suis un peu soumise, ça ne me gêne pas du moment qu’on respecte mes limites.
– Vous avez donc des tabous ?
– En fait, non, mais il a des choses que je n’aime pas tellement ou alors juste à toutes petites doses.
– Par exemple ?
– Le SM quand ça va trop loin…
– Comment ça ?
– Rester attachée et bâillonnée pendant des heures, ça ne me plait pas trop…
– Vos maîtres vous ont imposé ce genre de choses. Racontez-nous.
– Ils ne m’ont jamais obligé à quoi que ce soit ! J’avais un mot de sécurité, d’ailleurs à ce propos, ce sera ici ma seule exigence… je vous demanderais la même faveur.
– Vous n’en aurez sans doute pas besoin, mais je vous l’accorde néanmoins, ce sera « Orchidée », avez-vous fait des choses un peu extrêmes ?
– Oui, un jour, des invités sont arrivés avec un labrador, quand on en est arrivé aux galipettes, j’avais récolté une punition suite à une faute imaginaire, ils ont fait venir le chien, je pensais que le gage serait de me faire lécher par le chien, ce qui ne me posait aucun problème particulier, mais ce n’était pas ça, il fallait que ce soit moi qui suce le chien. J’ai failli refuser mais quand j’ai vu ma patronne mettre la bite du chien dans sa bouche, cela m’a tellement excité que je n’ai plus hésité.
– Je vois ! Et si vous aviez refusé ?
– Ils n’auraient pas insisté. Mes patrons étaient parfois durs avec moi, mais ils me respectaient.
– Et vous avez recommencé ?
– Oui, à deux occasions avec le même chien, j’ai pris plaisir le sucer et ensuite il m’a baisé.
– Et l’uro, la scato ?
– L’uro, pas de problème, la scato non plus s’il n’y a pas d’exagération, la merde ne me dégoute pas. Le tout c’est qu’on me respecte.

On va finir par le savoir, mais je crois comprendre qu’elle n’est pas si rassurée que ça de changer de patron et qu’elle se demande où elle est tombée.

– Rassurez-vous Loan, je crois qu’ici mes domestiques sont heureux, et tout à l’heure vous pourrez vous entretenir avec eux et leur poser toutes les questions qui vous viendront à l’esprit.
– Merci Monsieur.
– Et puis sachez que Mirabelle avant d’être ma compagne tenait ici le rôle que vous allez tenir….

Idée subite ! J’ai une idée ! Mais alors une idée perverse de chez perverse.

– Bon, Loan, que diriez-vous de quelques petits tests coquins ?
– Je suis à votre disposition, Monsieur.
– Ah Mirabelle, pour ces tests, j’ai besoin que tu sois ma soumise, tu n’y vois pas d’inconvénient ?
– Non, je suis très joueuse, mais je me demande bien ce que tu as encore été inventer.
– Silence, et mets-toi à poil !
– A poil, moi ? Répète Mirabelle incrédule.
– Oui, toi, tu veux bien jouer, n’est-ce pas ?
– OK.

Mirabelle se déshabille donc. La situation m’excite, car personne ne peut deviner ce qui va se passer.

– Alors, Loan, comment trouvez-vous votre patronne ?
– Elle est très belle !

C’est vrai qu’elle est belle, mince, un 85 C qui tient bien, des fesses de rêve et surtout ce visage toujours souriant qui la fait ressembler un peu à Julia Roberts, jeune..

– Bien sûr qu’elle est belle ! Messieurs dans le fond, sortez donc vos bites et masturbez-vous ! Et vous Betty, tripotez-vous la chatte ! C’est quand même la moindre des choses à faire quand votre maîtresse est comme ça nue devant vous !

Arnaud et Cyril en valets bien obéissants se débraguettent et se branlent mollement. Allez, c’est parti pour le délire :

– Loan, vous allez vous approcher de Mirabelle et vous allez la gifler !
– Je…
– C’est un ordre, Loan !

SixNeuf09mJe ne sais pas qui est la plus étonnée des deux, Loan à qui on demande de gifler sa maîtresse, ou Mirabelle qui se demande où je veux en venir. C’est un jeu, elles peuvent l’arrêter l’une ou l’autre… La gifle atterrit sur la joue de Mirabelle qui a un petit mouvement de recul.

– Ce n’est pas assez fort ! Donnez-lui-en une autre.
– Aïe !
– Allez encore une, et crachez-lui dessus, allez n’hésitez pas. Et toi, Mirabelle ouvre la bouche !

Cette fois, elle encaisse sans broncher.

– Giflez-lui les seins, maintenant… non plus vite à la volée, voilà comme ça, pincez-lui les bouts, plus fort, tordez-les, voilà comme ça. N’ayez pas peur de lui faire mal, elle est complètement maso !

Je me saisis du martinet que j’avais posé sur le bureau.

– Prenez ça, Loan, nous allons continuer la punition, vous allez lui cingler les fesses… Oh, mais j’y pense, vous aimeriez sans doute savoir le pourquoi de cette punition…

Les yeux des deux filles !

– Alors je vais vous expliquez, lorsque vous êtes arrivée ce matin, Loan, j’ai tenu à vous montrer la bite de Cyril, et après votre départ, comme j’étais un peu excité, je lui ai demandé de rester afin que je puisse le sucer un peu…
– Oh ! Fait Loan, ne pouvant cacher sa surprise.
– Quoi « Oh ! » ? Quelque chose vous choque, Loan ?
– Choquée, non ? Mais j’ignorais que Monsieur avait des… des… des penchants…
– Est-ce un problème, Loan ? Soyez franche !
– Non, Monsieur pas du tout…
– Donc je continue, après l’avoir bien sucé, je lui ai demandé de m’enculer, c’est logique, vous êtes bien d’accord avec moi, Loan ?
– Euh, sans doute, Monsieur, si Monsieur le dit, il faudra que je m’habitue à ces choses…
– Donc Cyril m’encule vigoureusement, quand cette pétasse de Mirabelle intervient et m’impose sa présence. Voilà qui est d’un sans gêne absolu et qui mérite une punition ! Vous êtes bien d’accord, Loan ?

Mirabelle a du mal à retenir son sérieux, quant à Loan elle est carrément paumée.

– Je vous ai posé une question, Loan !

Elle finit par réaliser que tout cela n’est qu’un jeu et murmure :

– Oui, oui, je comprends que Monsieur ne souhaitait pas être dérangé pendant un tel moment.
– Ben, tu vois, Mirabelle, tout le monde est contre toi !
– Le monde est injuste ! Ironise cette dernière.
– Et puis, ce n’est pas tout, Loan, figurez-vous que cette salope, qui était bien consciente de sa faute, a fait encore pire, elle m’a offert son trou du cul et ensuite elle m’a payé le restaurant. Comme si une sodomie et un plateau de fruits de mer pouvaient effacer une faute pareille ! Vous allez donc me cingler cette pétasse… mais j’y pense, nous ne sommes pas pressés, si je vous ai bien compris Loan, vous n’avez jamais eu l’occasion de voir deux hommes s’enculer ?
– Non, Monsieur !
– Il faut absolument que vous puissiez voir ça !
– Comme vous voulez, Monsieur.
– C’est en effet comme je le veux. Arnaud déshabillez-vous, c’est vous qui allez avoir l’honneur de me prendre afin de faire une démonstration à cette jeune personne.

Je me déshabille également. Arnaud se met à côté de moi.

– Loan, vous allez commencer par nous sucer la bite afin que nous soyons bien en forme.

Loan se baisse.

– Loan, relevez-vous !

Je la gifle, pas trop fort bien sûr, mais elle est surprise.

– Loan, sauf si je vous le demande expressément, vous ne devez pas rester habillée quand vos partenaires sexuels sont le sexe à l’air !
– D’accord, Monsieur, désormais, je le saurais.

Je la vois donc enfin à poil, vraiment pas mal, j’aurais préféré des seins plus gros, mais ils sont mignons, tiennent bien, et leurs gros tétons sont tout à fait émoustillants.

– Vous êtes bandante, Loan !
– Je suis ravie d’exciter Monsieur !

Elle attend que je lui dise quelque chose, mais comme ça ne vient pas, elle se baisse de nouveau, prend la bite d’Arnaud dans la main gauche la mienne dans la droite, commence à masturber tout ça, puis finit par engloutir la mienne ! Humm mais c’est qu’elle suce drôlement bien la petite asiatique… mais elle m’abandonne pour faire la même chose à Arnaud qui est aux anges.

– Bon, ça devrait aller, Loan, préparez-moi mon trou du cul, s’il vous plait.
– Que dois-je faire exactement, Monsieur ? Je ne voudrais pas commettre d’impair !
– Et bien léchez moi le trou de mon cul, Loan, donnez-moi des grands coups de langues et essayez de me pénétrer l’anus avec…
– Avec grand plaisir, Monsieur !

« Avec grand plaisir ! » elle a dit ! Moi qui pensais qu’elle serait réticente. Sa langue virevolte sur ma rosette avec un bonheur rare, elle fait ça vraiment très bien.

– Entrez un doigt !
– Je dois vous entrer un doigt… dans le…
– Dans le cul, oui…

Bien sûr que c’est dans le cul, sinon, elle va le rentrer où le doigt ? Je me contente de quelques allers et retours, puis lui demande d’arrêter.

– Vous m’avez superbement léché et doigté le cul, Loan, je suppose que vos anciens patrons vous le demandaient souvent.
– Assez-souvent, oui, c’était l’une de leur punition préférée.
– Ah, bon ? C’est une punition de lécher un cul ?
– Quand il n’est pas très propre, oui ! Au début c’était une vraie punition, après je me suis habituée. Quand ça les prenait, je leur servais de papier toilette en quelque sorte.
– Humm… Sais-tu que tu me donnes des idées, là ?
– Si Monsieur ou Madame désire que je leur serve occasionnellement de papier à cul, ce sera avec grand plaisir.
– Tu es une cochonne ! Loan ! D’abord on ne dit pas papier à cul, mais papier toilette.
– Bien Monsieur !
– Dis-moi Loan, le doigt que tu m’as mis dans le cul, il est ressorti comment ?
– Comme ça, Monsieur ! Me dit-elle en me montrant son état.

Je la gifle une nouvelle fois.

– Je ne t’ai pas demandé de me le montrer, je t’ai demandé de me le décrire
– Pardon Monsieur, alors disons que mon doigt est ressorti avec quelques traces de merde.
– Et bien suce-le, jusqu’à ce qu’il soit parfaitement nettoyé.
– Avec grand plaisir, Monsieur.

Ce doit être son leitmotiv !

Bon avec toutes ces digressions, la bite d’Arnaud a perdu un peu de sa vigueur. Je la suce quelques instants afin qu’elle redevienne bien raide, puis je me positionne en levrette, attendant que mon valet me sodomise devant toute l’assistance.

Cela devait faire un moment qu’il n’avait pas joui, le pauvre, il tient une forme olympique et me chevauche à la hussarde pendant plusieurs belles minutes.

– M’autorisez-vous à jouir ! Me demande mon enculeur.
– Allez-y Arnaud, c’est la fête !

On s’écroule tous les deux sur le plancher, complètement épuisés et en nage.

– Bravo Arnaud, vous avez été très bien !
– Merci Monsieur !
– Et vous Loan, le spectacle vous a plus ?
– C’est, c’est… nouveau, ça change…

Bon, ce n’est pas la réponse que j’attendais, mais je ne vais pas passer mon temps à la gifler non plus…

– Bon, il est peut-être temps de cravacher Mirabelle ! Dis-je en tendant l’instrument à la petite asiatique.

Le premier coup tombe sur les fesses de Mirabelle, ça ne lui fait pas grand-chose.

– Loan, je vous ai dit de la fouetter, pas de la caresser avec les lanières.

Elle n’hésite plus, prend du recul, ajuste le coup et zèbre les fesses de la pauvre Mirabelle de belles trainées rouges.

– Pas mal, continuez un peu comme ça !

Je connais parfaitement les résistances de Mirabelle, je sais donc quand il faudra arrêter. Pour l’instant elle encaisse bien, le coin de ses yeux se remplit de larmes, mais je sais qu’elle aime ça ! Ses fesses virent maintenant au rouge sombre, le but du jeu n’est pas non plus de la marquer pour plusieurs jours.

– Stop !

Je m’approche de Mirabelle, lui touche la chatte !

– Tu es trempée, salope, ça t’a fait mouiller mon petit scénario !
– Et oui…
– En ce qui te concerne, le jeu est fini ! Lui précisais-je.
– Tu aurais pu continuer…
– Je n’ai plus d’idée.
– Alors embrasse-moi !

On se roule un patin, pendant un instant on est seuls au monde, heureux, elle me chuchote un « je t’aime » que je suis seul à entendre, je lui réponds la même chose.

Loan fait encore des yeux tous ronds, elle ne comprend pas bien quels sont exactement nos rapports, mais ce n’est pas grave, ça viendra.

– Dis donc Mirabelle, tu as vu dans quel état elle a mis tes fesses ! Tu vas te venger j’espère.
– Un peu que je vais me venger ! Mais je vais faire ça en deux temps, pour le moment je vais m’occuper d’elle. Et en ce qui te concerne, ce sera plus tard !
– J’en tremble à l’avance ! Plaisantais-je.
– Tu peux, mon salaud !
– Bon, je te laisse diriger la suite !
– On va changer d’endroit, descendez tous au donjon, prenez vos affaires, on vous rejoint dans deux minutes : Déclare Mirabelle

Le donjon ! C’est vrai que je possède un donjon ! J’espère que quelqu’un y a fait le ménage, parce que ça fait des mois que je n’y ai pas mis les pieds. Et puis « donjon » est un bien grand mot, Il y a deux croix de Saint André, quelques chaines au plafond, une cage, un chevalet, un pilori et quelques autres bricoles… tout cela dans mon sous-sol.

Je descends avec Mirabelle, nous ne nous sommes pas rhabillés.

– Bon, il y en a qui ne sont pas encore à poil, c’est quoi ce cirque ? Proteste Mirabelle en s’approchant de Betty.
– Nous n’en avions pas reçu l’ordre ! Tente de répondre cette dernière.

Mirabelle la gifle !

– Ta gueule, toi, toujours à discutailler, tu m’énerves, Arnaud et Cyril, attachez-moi cette truie sur la croix, tournée vers moi. Mais attendez qu’elle finisse de se déshabiller… Tu vas te dépêcher, conasse, je n’ai pas que ça à faire…

Ça y est Betty est attachée, Mirabelle fait cingler le martinet qui atterrit sur son ventre, sur ses cuisses, sur ses seins. La pauvre Betty pousse des petits cris tout en acceptant le jeu avec courage et soumission.

– Allez, ouvre ta gueule de salope !

Betty a compris, elle obéit et ne bronche pas quand sa tortionnaire lui crache dessus. Mirabelle lui fixe ensuite des pinces, une à chaque téton et une sur chaque lèvre vaginale, elle joue un petit peu avec, puis y ajoute des poids. Elle reprend le martinet, vise les seins et force le coup. Betty fait une affreuse grimace. Le coup suivant fait s’envoler la pince fixée sur son téton gauche. Elle hurle. Mirabelle attend un instant, sa victime connait la suite, elle peut toujours employer le mot de sécurité, mais elle ne le fait pas. Nouveau coup ! Nouveau cri, l’autre pince a voltigé à son tour. Mirabelle ramasse les pinces, les lui remet, et la laisse ainsi, les yeux embués de larmes.

J’ai compris le but de la manœuvre, tout cela n’avait pour unique but que de « terroriser » Loan. Et ça marche, elle n’est vraiment pas rassurée, la pauvre petite vietnamienne.

Sadiquement, Mirabelle s’approche d’elle.

– Vous… vous allez me faire pareil ? Tente de demander la petite vietnamienne.

Mirabelle la gifle

– Ta gueule ! On ne t’a pas autorisé à poser des questions ! Ouvre ta bouche que je te crache bien dedans.

Elle se laisse faire, elle se laisse faire également quand Mirabelle donne l’ordre à Arnaud et à Cyril d’aller l’attacher sur la seconde croix.

Mirabelle s’avance menaçante, Loan est véritablement angoissée. Si elle panique de trop, elle peut dire le mot de sécurité, à ce moment-là tout s’arrêtera, et je ne l’embaucherais pas… ou alors je l’embaucherais quand même, après tout je fais ce que je veux ! Mais là n’est pas le but de l’opération et ma compagne le sait bien. Elle fait semblant d’ajuster le martinet, mais le laisse retomber, puis elle s’approche du corps de l’asiatique et commence le caresser.

– Humm, tu as la peau douce, toi !
– Merci Madame.
– Tu aimes les femmes ?
– Oui Madame

Elle lui caresse les seins, tandis que de son autre main, elle tend un doigt pour lui pénétrer la chatte. Sa bouche s’approche du téton, elle le mordille, doucement d’abord, puis plus fort !

– Aïe !
– Tu n’aurais pas dû crier !

Mirabelle se saisit de nouveau du martinet et cette fois, elle ne fait pas semblant, les lanières font de jolies stries sur le corps de la pauvre asiatique. Une dizaine de coups se succèdent, elle encaisse. Elle comprend maintenant que le scénario sera le même que pour Betty. Mirabelle doit lui rappeler que c’est un jeu. Elle approche son visage de sa bouche et quémande un baiser. Loan est surprise mais ne défile pas. Et puis tout va très vite, Mirabelle fixe les pinces, en regardant sa victime dans les yeux, puis les poids. Elle ajuste le martinet. Loan serre ses lèvres, tremble un peu. Le coup arrive sec. Elle hurle, puis reprend sa respiration. Nouvel échange de regards. La vietnamienne semble dire qu’elle est prête, Mirabelle ajuste le coup, c’est raté, mais la pince s’est un peu déplacée provoquant un nouveau cri de douleur, elle recingle dans la foulée, cette fois c’est le bon. Un sourire sadique chez la tortionnaire, des yeux humides chez la victime. Mirabelle retire à la main les pinces de ses lèvres.

– Détachez-là !

Loan n’en revient pas d’avoir réussi à passer l’épreuve.

– Je peux poser une question ! Demande-t-elle
– Oui, mais tout à l’heure ! Parce que pour l’instant ce n’est pas fini. Figure-toi que j’ai une envie de pisser pas possible et que j’ai l’intention de te faire boire tout ça !

Alors là, ça n’a pas l’air de l’affoler du tout !

– Vous désirez que je m’allonge sur le sol ?
– Tout à fait.

Mirabelle s’accroupit au-dessus du visage de Loan qui ouvre la bouche. Quelques moments d’attente puis le geyser doré de ma compagne dégringole de sa chatte. L’autre engloutit ce qu’elle peut sans aucun dégoût.

– T’aimes ça, on dirait !
– Ça ne me dérange pas, votre urine est très bonne..
– Et si je faisais caca ?
– Faites comme vous le voulez, Madame, je m’efforcerais d’être à la hauteur.

Mirabelle change légèrement sa position, de façon à ce que son sphincter soit au-dessus de la bouche de sa soumise. Elle s’ouvre, pousse, mais rien ne vient pour l’instant.

– Lèche ! Mieux que ça ! Dis-moi si tu aimes l’odeur de mon cul !
– Oui, madame, j’aime bien votre odeur.

Loan lèche le trou de balle de ma compagne quelques instants, puis cette dernière pousse de nouveau. Un petit étron finit par sortir, puis par se décrocher et tomber sur le menton de la petite vietnamienne. Un second ne tarde pas à suivre. Mirabelle se relève, ramasse l’un des étrons.

– Lèche !

Elle le fait sans problème

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse, Madame !

Mirabelle prend l’autre étron et l’étale sur la poitrine mouillée de pisse de la jeune asiatique.

– Redresse-toi ! A ton tour de me badigeonner avec ma merde, Passes-en bien sur mes seins, comme ça, oui.

Les deux femmes se font face, Mirabelle se penche sur le sein pollué de Loan et se régale en lui léchant le téton.

– A toi !

La soubrette ne se fait pas prier et rend la pareille à sa future patronne.

– Ah, Cyril, tu n’as pas joui ! Tu ne va pas rester comme ça, Branle-toi ! Et toi Loan, tu va te baisser, Cyril va t’envoyer son foutre sur le visage et sur tes nichons.

Ça n’a pas duré bien longtemps, Cyril a toujours eu le sperme abondant.

Loan reste immobile ne sachant que faire.

– Tu ramasses avec tes doigts et tu lèche ! Lui ordonnais-je
– Bon, dit Mirabelle, on va en rester là, Loan, tu vas pouvoir prendre une douche et tu nous retrouveras dans le bureau de Boris dans une demi-heure !
– Bien Madame.
– Ah ! Arnaud, libérez Betty et passez-moi donc deux paires de menottes de cuir, je vais en avoir besoin. Reprend-elle

On ramasse nos affaires et je suis Mirabelle dans notre chambre !

– Allonge-toi, les bras en croix, je vais t’attacher me dit-elle.

Je me laisse faire, je lui dois bien ça. Ce que je n’avais pas prévu c’est qu’elle avait remonté des pinces, elle m’en fixe deux aux tétons, deux autres aux couilles ! Ouille Ouille ! Ça fait mal, mais ça fait bander.

Elle ne me suce même pas, s’empale carrément la chatte sur mon pieu et se met à jouer les walkyries. Au bout de cinq minutes de ce régime, elle change d’orifice et nous joue la suite. Elle pousse des petits cris, elle adore jouir du cul. Je ne tarde de pas à éjaculer. Mirabelle se penche sur moi et me roule une pelle.

– Je t’aime, salopard !
– Ben, moi aussi, hein !

Loan est à l’heure. Nue puisque personne ne lui a demandé de se rhabiller. Mirabelle inspecte ses fesses.

– Ça va, c’est un peu marqué, mais pas trop, demain on n’y verra plus rien. Commente-t-elle.

– Loan, nous sommes d’accord pour vous embaucher.
– Merci Monsieur ! Mais je voulais vous poser une question tout à l’heure….
– Et bien, posez-là !
– Euh, ça se passe tous les jours comme ça ?
– Non, non parfois c’est pire ! Répond Mirabelle, se moquant gentiment.

Loan nous refait ses grands yeux étonnés, elle se demande si c’est du lard ou du cochon.

– Mais la personne qui était avant moi… demande-t-elle
– C’était moi, répond Mirabelle. Et tu vois j’ai eu une promotion, je ne suis plus soubrette, je suis devenue la compagne de Monsieur.
– Alors ce doit être une bonne place !

ce récit se situe chronologiquement après les épisodes intitulés « En attendant Edwige. »

 

© Boris Vasslan et Vassilia.net Mai 2009, Mai 2017

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Lundi 24 avril 2017 1 24 /04 /Avr /2017 09:18

Vie de château - 1 - Le cul de Betty par Boris Vasslan

scat
attention, texte contenant des passages scatos explicites

Je ne me souviens plus pourquoi je me suis dirigé ce matin-là vers la cuisine. Je suis une grosse faignasse et quand j’ai besoin de quelque chose, je sonne mes domestiques (voir en attendant Edwige 1)

Toujours est-il qu’un charmant spectacle m’attendait, Betty ma cuisinière, était agenouillée sur le sol en train de rechercher je ne sais trop quoi. Son tablier était remonté sur ses fesses qui se trouvaient à moitié dégagées, et comme je le préconise, elle ne portait pas de culotte.

Rappelons que Betty est la plus ancienne de mes domestiques, la cinquantaine, un peu grassouillette, cheveux blonds coupés au carré, grosse lunettes… et vicieuse de chez vicieuse.

– Betty que faites-vous donc dans cette position ? L’interpellais-je, goguenard.
– Oh, Monsieur, je ne vous ai pas entendu entrer, j’ai fait tomber le bouchon d’un flacon d’épices et pas moyen de le retrouver. ! Dit-elle ; se relevant
– Dis donc, Betty je ne t’ai pas demandé de te relever…

Je passe derrière elle et commence à lui malaxer ses grosses fesses bien dodues.

– Humm, j’aime bien quand vous me tripotez le cul !

Je me baisse, lui embrasse le postérieur, puis j’ai soudain une idée !

– Monte sur la table, je vais te lécher, bien comme il faut.

Elle n’y va pas, elle s’y précipite ! Quelle est belle Betty dans cette position qui tend bien la peau des fesses, j’approche ma langue de son petit œillet brun et commence à la lécher !

– Hum quel doux parfum !

Car le moins qu’on puisse dire c’est que ça sent vraiment le cul ! Je lèche comme un forcené, le sphincter finit par s’ouvrir timidement, et je peux y pénétrer mon bout de langue, c’est assez âcre mais j’aime bien… je me mouille l’index et l’introduit dans son anus… Elle miaule de plaisir, tandis que mon doigt rencontre de la matière molle et chaude. Tant mieux… je ressors mon doigt, il est tout pollué.

– Tu as le cul plein de merde, Betty !

BettyJe lui présente mon index, elle rigole ! Je suce alors mon doigt, comme d’habitude ce genre de geste est d’abord exaspérant de banalité (alors qu’il dégoûte ceux qui n’ont pas franchi ce pas) puis vient le petit côté enivrant, excitant qui fait qu’on a envie d’en faire un peu plus. Alors du coup je replonge mon doigt, et le suce de nouveau.

– Voulez-vous que je vous fasse un joli caca ? Propose alors Betty.

Un rire derrière nous m’empêcha de répondre à cette insolite proposition. Mirabelle toute souriante entrait dans la cuisine.

Mirabelle, une petite brune frisée, mignonne comme un cœur avec un cheveu sur la langue fut longtemps ma soubrette préférée, j’en suis tombé amoureux, c’est désormais ma compagne.

– Bonjour Betty, je ne vous dérange pas au moins ? Je vois que Monsieur se régale !
– Teins Mirabelle, je ne voudrais pas t’en priver ! Répondis-je en lui tendant mon doigt qu’elle suça avec gourmandise et application.
– Hum… j’adore, il y a longtemps qu’on n’avait pas fait des trucs comme ça, je croyais que tu t’en étais lassé !
– On ne se lasse jamais des bonnes choses, mais ce n’est pas une raison pour les faire tous les jours !
– J’en reprendrais bien, juste une petite fois !

Je replongeais mon index dans les entrailles de la cuisinière.

– Encore, encore, j’aime ça qu’on me tripote le trou du cul ! S’exclamait cette dernière !

Je me débrouillais pour ramener davantage de matière et tendis mon doigt à Mirabelle qui une nouvelle fois le nettoya sans aucun problème.

– Betty va nous faire un petit caca. Il faudrait sans doute mieux nous déshabiller, Mirabelle !

Et tout en enlevant ses vêtements, ma soubrette préférée n’arrêtait pas de lorgner le cul de sa collègue !

– Elle a un de ces culs, tout de même !
– Il est superbe ! Approuvais-je !
– J’aimerais bien le taper !
– Mais je t’en prie Mirabelle !
– Hé, pourquoi, voulez-vous me tapez ? Demanda Betty, se prenant au jeu. Je n’ai rien fait moi !
– Comment ça tu n’as rien fait ? Explosa Mirabelle ! Tu montres ton gros cul plein de merde à tout le monde… et même qu’on se salit les doigts quand on te les fout dedans…
– Ça n’a pourtant pas trop l’air de vous gêner ! Ricana alors la cuisinière.
– Mais c’est qu’elle deviendrait impertinente, je peux la gifler, Boris ?
– Bien sûr Mirabelle, gifle-moi cette salope !

Betty reçu ainsi deux beaux aller et retour qu’elle encaissa sans broncher. Ma compagne lui donna l’ordre de se déshabiller complètement et accrocha deux belles pinces à torchons sur les pointes de ses grosses mamelles. Puis la cuisinière dû se remettre en position tandis que Mirabelle faisait le tour de la cuisine à la recherche d’un objet frappeur. La situation était quand même surréaliste, la cuisinière son gros cul exposé sur la table, prête à chier à notre demande, Mirabelle à poil en train de chercher de quoi la taper, et moi dans le même appareil, la bite raide en train de contempler tout ça. Finalement ma copine opta pour une belle cuillère en bois assez longue.

– Tu crois que ça va le faire ? Me demanda-t-elle en me montrant l’objet.
– Fais donc voir ?

Et me saisissant de la cuillère, je la testais en m’en frappant la paume, puis alors qu’elle ne s’y attendait absolument pas, j’assénais un coup sur la fesse droite de Mirabelle.

– Aïe !

Puis enchaînant, la fesse gauche, la droite, la gauche !

– Tiens ça t’apprendras, petite peste, à vouloir frapper ma cuisinière qui n’a rien fait de mal !

Et je continuais à taper atteint d’une frénésie inavouable, je prenais un réel plaisir à rougir les petits globes charnues de ma complice préférée.

– Aïe ! Aïe ! Mon pauvre cul !
– Tu vas te taire, oui !
– Pardon, pardon, continue à me taper, je l’ai bien mérité…. Oh là là, ça chauffe !

J’arrêtais quand je jugeais que les fesses étaient suffisamment rouges comme ça ! Coquinement je lui tendis le bout de mes lèvres.

– Alors ça t’as plus ma petite fessée ?
– Hum… t’es un monstre, mais je t’adore. Bon, maintenant, je peux la taper ou pas ? Demanda Mirabelle
– Mais bien sûr que tu peux, mais ne l’abîme pas !

Betty qui se croyait sortie d’affaire encaissa donc une cinquantaine de coups de cuillère en bois, la chair de ses fesses tressautait à chaque contact rendant la scène irrésistiblement hot.

– Bon maintenant tu pousses ! Ordonna la soubrette

L’anus s’ouvre au rythme de ses efforts, on l’encourage !

– Allez Betty, fait-nous un joli boudin !
– Je le sens qui vient, vous n’allez pas être déçus !

Ça y est, un étron très brun parvient à trouver le chemin de la sortie. Betty reste comme ça un moment. Mirabelle tente un coup de langue, puis l’étron grossit, je tends la main, un morceau se détache et je le recueille. Elle continue, le reste tombe sur la table. Betty a fini de chier, elle veut se dégager ! On l’en empêche et elle n’insiste pas. Mirabelle se penche sur le contenu de ma main et se met à lécher, je l’imite, nous voilà tous les deux en train de régaler nos langues de ce joli boudin merdeux. J’en détache un morceau plus petit et le porte entre mes lèvres, le suçant légèrement, le goût est un peu acre mais pas franchement mauvais. Je m’approche du visage de Mirabelle qui ouvre sa bouche recueillant l’étron à son tour. Puis avec un autre morceau nous commençons à tartiner le fessier de Betty !

– Ça a du mal à s’étaler, c’est trop solide, il faudrait pisser dessus !

Je suis trop bandé pour le faire, c’est Mirabelle qui se dévoue, son jet atterrit sur les fesses, que je peux ainsi lui barbouiller plus efficacement.

– Qui c’est qui va se taper le ménage après ? Rigole Betty.

On se met à lécher, les fesses et le trou du cul de la cuisinière. On est complètement parti dans notre trip. Un moment nous nous roulons un patin, mélangeant nos goûts pleins d’âcreté. Je bande de trop.

– Betty je vais t’enculer !

Ce n’est pas une suggestion, même pas une proposition, c’est une constatation, je suis déjà dans son anus, je la ramone quelques minutes. C’est qu’elle aime ça se faire enculer, la cuisinière … Et tandis que je la besogne elle se tripote le clito avec une énergie assez remarquable. Mais je n’arrive pas à me contrôler… Dommage j’aurais bien conclu l’affaire avec Mirabelle. Mais que voulez-vous on ne fait pas toujours ce que l’on veut. J’en ressors la bite un peu merdeuse. La bouche de ma chérie m’attendait à la sortie et me nettoya tout !

– Je suis comme une conne, dans cette affaire, je n’ai pas joui, moi… M’avertit Mirabelle dont la voix était couverte par les cris de l’orgasme de la cuisinière.
– Mirabelle et moi allons prendre notre douche ensemble au premier, nous vous laissons celle du rez-de-chaussée, cela ne vous gêne pas, Betty ?
– Pas du tout Monsieur
– Et merci pour tout Betty, vous êtes formidable.

Je pris alors la main de Mirabelle et une fois dans le couloir, je la regardais dans les yeux, elle me répondit par le plus beau des sourires. Elle comprit que la journée ne faisait que commencer et nous partîmes vers la salle de bain…

© vassilia.net et Boris Vasslan 2014,2017

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Lundi 17 avril 2017 1 17 /04 /Avr /2017 18:10

En attendant Edwige 3 - La grange aux dames par Boris Vasslan

cupidon

 

<i>Résumé des chapitres précédents : Edwige ma maîtresse, qui est partie trois ans en Angleterre m'a prévenu de son retour au château. Emu par cette bonne nouvelle je l'annonce à Mirabelle, l'une de mes femmes de chambres qui m'avoue alors qu'elle m'aimait depuis longtemps. S'ensuit une dispute, puis la fuite de Mirabelle que je ne parviens à rattraper que dans le TGV dans lequel nous nous réconcilions (ben oui, ce n'est qu'un résumé)</i>

 

Nous avons passé le reste de la journée à Paris, ballade, shopping… Un moment elle fut attirée par une petite jupe rouge exposée à l'extérieur d'un petit magasin

 

- Regarde comme elle est mignonne, elle n'est pas trop chère, j'ai bien envie de me la payer… Comment tu la trouves, toi ?

 

J'adore ce genre de situation ! Pour moi une jupe, c'est une jupe, mais je ne vais quand même pas lui dire ça :

 

- Comme ça, je me rends pas compte, faudrait que tu l'essayes !

- Oui, j'ai bien envie de l'essayer…

 

Elle m'entraîne dans la petite boutique, demande où sont les cabines. Il y en a qu'une, on y va. J'hésite, je cherche du côté de la vendeuse si son regard est approbateur ou désapprobateur, mais manifestement elle s'en fiche. Donc je rentre…. Mirabelle a d'ores et déjà retiré son pantalon, le fait de la voir comme ainsi en petite culotte, me réveille le bitomètre. Je ne peux m'empêcher de lui coller la main aux fesses, la surface de tissu de son joli petit string jaune ne gênant en rien la manœuvre…

 

- Mais veux-tu être sage, petit coquin !

- Je ne peux pas, tu m'excites !

- Oui, mais ici c'est une cabine d'essayage.

- Il n'y a personne dans le magasin, et regarde un peu comme je bande…

 

Je lui prends alors la main et la colle contre ma braguette

 

- Oui, bon ben d'accord tu bandes, mais on réglera ça plus tard, passe-moi la jupe !

 

Je décide subitement de péter complètement les plombs, je dézipe ma fermeture éclair et je sors mon sexe fièrement dressé :

 

- Suce !

- Tu es fou !

- Juste un peu, ça nous fera un souvenir !

mira11.jpg

Je n'y croyais pas, mais Mirabelle se penche et m'engloutit mon membre viril, puis donne quelques petits coups de langue là où il le faut. Mon dieu que c'est bon, je ferme les yeux, tout à notre folie… Un raclement de gorge qui n'avait sans doute rien à voir avec nos fantaisies nous fait instinctivement cesser notre petit numéro. Je remballe la marchandise, et Mirabelle essaie la petite robe, elle a l'air de lui plaire, c'est vrai qu'elle ne lui va pas si mal. Elle sort de la cabine, virevolte devant la glace, faisant soulever le fin tissu, elle rigole, elle est contente, elle la prend… retourne se changer… Et je lui en fais cadeau de sa jupe, ça me paraît la moindre des choses, même si cette pipe n'a pas été menée à son terme.

 

- Tu es un chou, mais tu es complètement fou !

- Un chou fou ?

- On fait quoi ? Demanda Mirabelle de sa voix la plus suave, alors que l'après-midi touchait à sa fin

 

Je lui propose un plan restaurant, puis cinéma, puis hôtel ayant bien conscience de l'absence totale d'originalité du projet. Mais cela lui convient très bien... On récupère sa valise à la consigne de la gare Montparnasse, on se choisit un hôtel, un bon hôtel, pas le grand luxe, mais quand même le confort. Pour le restau elle souhaite quelque chose de simple :

 

- Pas un machin avec trente-six larbins, un petit truc romantique au quartier latin...

 

Super ça m'arrange, je n'étais jamais très à l'aise quand Edwige me demandait de la sortir. Nous avons donc opté pour une pizzeria, une éternité que je n'avais pas mis les pieds dans de genre d'endroit, du coup j'étais aussi content qu'elle de retrouver cette ambiance qui avait connu ma jeunesse. Je pensais la circonstance propice aux grandes déclarations, c'était mal connaître Mirabelle, pétillante de bonheur, et multipliant les innocentes coquineries, elle n'en monopolisait pas moins la parole en me racontant un tas de trucs sans aucun rapport avec nous. J'aurais pourtant voulu qu'elle me parle d'elle, il faut croire que le moment n'était pas venu, au lieu et place j'eus donc droite aux aventures et aux mésaventures de sa copine parisienne que j'écoutais avec amusement, elle raconte bien, Mirabelle...

 

On est resté très longtemps au restaurant, on décide donc de passer le cinéma.

 

A l'hôtel, nous nous sommes fait monter du champagne dans la chambre, et nous apprêtions à vivre une mémorable nuit d'amour, mais les choses ne se passent que rarement comme on les espère. Nous étions crevés par toutes ces péripéties et nous avons passé notre nuit à ronfler comme des bienheureux.

 

Je me suis réveillé le premier aux premières lueurs de l'aube, et mon membre viril affichait une érection pleine de vaillance ! J'hésitais entre réveiller Mirabelle afin de lui sauter dessus, ou la laisser dormir. Me disant qu'il n'y a pas de meilleur plaisir qu'un plaisir retardé, j'optais pour cette deuxième solution, et entrepris de me lever pour satisfaire un besoin bien naturel. (Comme disent les pisse-froids). C'est toujours une gageure que d'essayer de pisser quand vous êtes bandé à bloc ! Comme quoi la nature n'est pas si bien faite que ça ! L'opération menée à son terme je me recouchais. Curieuse sensation car si je ne bandais (provisoirement) plus, j'avais toujours autant envie de faire l'amour et me sentais saisi de rares élans de tendresse envers ma Mirabelle préférée.

 

Très doucement je dégageais les draps ! Que c'est beau le spectacle d'une femme qui dort ! Et tandis que ma bite reprenait le chemin du ciel, je ne me lassais pas de contempler ses rondeurs accueillantes, ses longues cuisses, sa peau de satin et ses tétons fripés par le sommeil.

 

J'osais alors un doigt fureteur sur la chair de son bras, avec pour seul résultat un grognement à la limite du compréhensible mais qui semblait néanmoins signifier sa ferme intention de continuer à roupiller. Seconde tentative, second grognement, je n'insistais donc pas !

 

Que faire alors dans la chambre vide d'un hôtel un matin alors que la fille dort et que je n'ai aucun bagage ? J'ai le choix entre bailler aux corneilles ou prendre une douche. Je prends donc une douche. Et une fois celle-ci consommée, la demoiselle ronfle toujours, une vraie marmotte ! Je décide donc de m'habiller et d'aller faire un petit tour.

 

Je ne sais pas trop quoi faire, et je ne pense pas trop m'éloigner non plus. Puis l'idée de lui offrir un petit cadeau surgit dans mon esprit fatigué, j'opte pour un élégant petit bracelet qui me tape dans l'œil à la vitrine d'un bijoutier qui venait juste d'ouvrir, et puis comme j'ai un petit creux à l'estomac j'y ajoute deux gros croissants bien chauds. Et hop, je reviens, si elle dort encore elle aura le paquet cadeau dans la main, si elle prend sa douche elle l'aura en sortant...

 

Je pousse la porte, fébrile, content déjà d'offrir mon (mes) présent(s) Elle est déjà habillée ! Les femmes ça ne fait jamais rien comme on se l'imagine

 

- Ben alors tu disparais ? M'apostrophe-t-elle, mutine !

- Tu étais inquiète ?

- Inquiète, c'est beaucoup dire, mais tu aurais pu laisser un petit mot !

- Tiens, on va manger ça, je vais faire monter des cafés !

- Ah ! Ils n'ont pas de croissant dans cet hôtel ?

- Si, mais ceux-là sont meilleurs, c'est moi qui les ait choisis…

- Et ça c'est quoi ? Demande-t-elle en regardant amusé mon petit paquet cadeau !

- Un souvenir de Paris, c'est pour ma vieille tante !

- Ça m'a l'air bien plat pour être une tour Eiffel !

- C'est une tour Eiffel après une chute de météorite, c'est tout nouveau, ça vient de sortir !

- Elle a quel âge ta vielle tante !

- L'âge de la Tour Eiffel ! Tiens ma chérie, c'est pour toi !

- Non, c'est quoi ?

- Une bricole !

 

Elle ouvre, elle regarde, elle sourit, ça lui plaît, elle l'essaye, se regarde le bras, je suis content que ça lui plaise, elle me fait un gros bisou !

 

- Mieux que chaaaaa

 

Elle m'a devancé, on se roule un patin, la fièvre monte, on dégringole sur le plumard, on s'embrasse, on se pelote, on chahute, on se débraille, on se caresse. Je lui tripote les seins, elle m'agrippe le sexe. Deux fauves en furies. Je lui lèche le bout des seins, elle se laisse faire, se pâme, puis je glisse vers l'entre jambe, tout cela est déjà gonflé de plaisir, je tête, je lèche, c'est tout humide, je me délecte, je me régale, je bois son jus avec une incroyable frénésie tandis que ma queue bande comme un obélisque. Mirabelle gigote, gémit, puis finit par se tétaniser bizarrement en soulevant ses fesses du lit en criant comme pas possible, je suis obligé de la bâillonner de la main, afin qu'elle n'ameute pas le quartier

 

- Enléche ta main

 

La partie commencée en bafouillage, finira donc en bafouillage, elle me regarde avec de drôles de z'yeux, des yeux coquins plein d'amour... Je suis fou de joie, je suis content, j'ai envie de pleurer, j'ai envie de rire, je ne sais plus mais je suis bougrement bien dans ma peau. Quant à ma queue, elle bande comme un sceptre royal. Mon corps glisse contre celui de Mirabelle. Et puis comme si c'était naturellement inéluctable, mon sexe cherche le chemin du sien, s'introduit en elle. Elle m'enlace et nous voici partis tous les deux pour quelques trop courts instants de tendresses et de fougues amoureuses qui nous laisseront pantelants mais repus de bonheur.

 

On s'est remis à roupiller. C'est la femme de ménage qui vient nous réveiller.

 

- Excusez-moi, Messieurs dames, mais normalement il faut libérer les chambres !

 

On se redresse, Mirabelle et moi, incrédule, le temps passe vite quand on s'aime.

 

- Je reviens dans une demi-heure, mais il faut partir, sinon il faudra repayer une journée.

 

Je dévisage la soubrette, une beurette dans la trentaine un peu forte en hanches, le regard noir et le sourire conquérant. Une belle femme que j'aurais sans doute draguée en d'autres circonstances, mais là ce n'est pas possible, d'une part je ne suis pas tout seul et en plus il se trouve que je suis en pleine période amoureuse.

 

Mirabelle se lève, n'attendant même pas le départ de la soubrette qui lui jette un regard assez ambigu avant de disparaître sans trop se presser. Ma complice se dirige vers la petite salle de bain, elle laisse la porte ouverte, je peux ainsi l'apercevoir en train de pisser sur la toilette.

 

- Tu veux voir mon pipi ? Finit-elle par demander, une fois que la porte de la chambre se soit refermée.

 

Comment refuser une telle proposition ? J'ai regardé pisser Mirabelle un nombre incalculable de fois, mais je ne m'en lasse pas. Elle se soulève un peu, pour que j'observe la fin de sa miction, puis elle se rassoit, j'ai cru un moment que c'était pour mieux me sucer mon sexe qui recommençait à bander. Mais non, la voilà qui pousse, j'entends un gros floc quand ce qui sort de son intestin tombe dans l'eau dormante. Elle éclate de rire ! Elle est irrésistible !

 

- Hum, ça fait du bien de faire un gros caca !

 

Elle se relève. Se retourne m'expose ses fesses.

 

- Ça me ferait plaisir que tu me torches le cul ! Je n'aime pas le papier de cet hôtel

- Que ce soit moi ou toi, ce sera le même papier ! Crûs-je bon de lui faire remarquer !

- Avec, ta langue, idiot !

- Mais vos désirs sont des ordres, princesse !

- Allez nettoie moi bien le cul !

 

Je léchais donc les quelques traces marron entourant son anus, cela ne me dérangeait pas le moins du monde...

 

- Il est bon, mon caca ?

- Délicieux ! 

- On n'avait jamais fait ça !

- Non mais je recommencerais volontiers !

- Ah ? Je vais pousser un peu, peut-être que…

 

Elle pousse, mais en vain !

 

- Non, ça vient pas, mais mets ton doigt, comme ça tu pourras le sucer !

 

Mais qu'est-ce qu'on est en train de faire tous les deux ? La passion doit nous rendre fous ! Je rentre le doigt dans son cul, je la fouille, je le ressors, vais pour le porte à ma bouche…

 

- Non, laisse-le sorti, on va le lécher tous les deux !

 

On le fait, ça ne dure pas longtemps, on s'embrasse, on rigole, on est complétement givré…

 

Ça passe vite une demi-heure, voilà la femme de ménage qui se repointe, nous sommes quasiment prêts à partir mais nous sommes encore là !

 

- Alors, ça y est c'est le départ ? S'enquerre-t-elle

- On y va ! On y va !

- J'ai envie de vous dire un truc ! Reprend-elle.

- Dites !

- Ça fait plaisir de voir le visage de mademoiselle, il est resplendissant de bonheur, si seulement tous les gens étaient comme ça, le monde irait mieux...

 

Ça lui fait plaisir à Mirabelle, elle aborde un sourire genre "à la Julia Roberts" !

 

- C'est gentil, ce que vous me dites, je peux vous faire un bisou pour vous remercier ?

 

Pour toute réponse la soubrette approche son visage. Les deux femmes se font un petit bisou.

 

- Hum, tu as la peau douce toi ! Remarque Mirabelle.

- Je sais, toi aussi !

- Tu dois aimer les caresses, alors ?

- J'adore ?

 

Mirabelle est en train de lui caresser les bras ! Non, mais je rêve ou pas, en pleine histoire d'amour elle ne va pas se draguer la femme de chambre, quand même ? Et elle continue...

 

- Tu ne serais pas un peu coquine, toi ? Lui demande Mirabelle de sa voix la plus suave.

- Un petit peu !

 

Interprétant cela comme un encouragement, ma dulcinée approche de nouveau son visage de la beurette, mais cette fois cela n'a plus rien d'un baiser de politesse. C'est bel et bien un joyeux patin que les deux femmes s'échangent ! Les mains de Mirabelle se déchaînent, l'une capte une fesse, l'autre teste un sein. Son corps se colle contre l'autre femme, la fait se reculer, deux ou trois mètres, et les voici au bord du lit. Une poussée, elles basculent sur le lit, la soubrette sur le dos et l'autre sur elle. Et ça s'embrasse, ça se pelote... Et moi je fais quoi, je vais prendre le frais ? Je m'immisce ? Je rouspète ? Je mate ? Allons-y pour cette dernière et sage proposition, car je sais d'expérience que quand deux femmes sont enlacées, elles ne souhaitent pas forcément l'une et l'autre qu'un mâle vienne imposer sa présence.

 

Les deux nanas sont prises d'une frénésie que rien ne semble vouloir arrêter. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, la femme de ménage se retrouve avec la blouse ouverte, le pull-over remonté, le soutien-gorge déplacé et donc la poitrine à l'air, de gros bouts bien sombres que Mirabelle suce avec avidité. Puis le visage de mon amante disparaît dans le fouillis de l'entre jambe de l'autre femme. Je m'approche discrètement pour mieux regarder. Mira suce sa partenaire, sans lui retirer sa culotte, juste en l'écartant. L'autre se pâme, se caresse les seins. Que c'est beau ! Et puis l'amorce d'un cri qu'on étouffe, la femme de ménage se retourne, la bouche dans les draps, reste un moment dans cette position, puis se relève, se refagote.

 

- Et, ben je m'en rappellerais de ce truc-là ! Dit-elle.

- J'ai une langue magique ! Plaisante Mirabelle.

- Je suis désolée, faut que j'y aille, et vous aussi, il va falloir partir... bredouille-t-elle.

- J'aurais bien aimé jouir aussi ! Reprend Mira.

 

La petite femme de ménage la regarde avec une certaine gêne.

 

- Je suis désolée, j'ai eu un coup de folie, je ne regrette rien mais faut que j'y aille ! Répète-t-elle.

- Allez, ma bibiche, ne te mets pas en retard, un dernier bisou pour la route !

 

A nouveau les deux femmes s'embrassent, c'est sur la bouche mais c'est assez bref. On croit qu'elle va alors quitter la chambre, non, elle se dirige vers la salle de bain pour y faire le ménage. On lui dit une dernière fois au revoir et on s'en va !

 

J'ai du mal à suivre Mirabelle, psychologiquement je veux dire ! C'est quoi ce truc d'avoir sauté sur la femme de ménage ! J'ai envie de lui demander " et alors je ne te suffis pas ? " mais je suis bien conscient de tout ce qu'il y a de macho dans ce genre de réflexion ? Mais enfin je voudrais comprendre. Alors comme je n'ose rien lui dire, je fais comme les gosses, je fais semblant de faire la gueule, espérant qu'elle va réagir. Mais ça ne marche pas… Tant pis, je lui poserais carrément la question quand les circonstances s'y prêterons. A tout hasard, je propose à Mirabelle de rester un jour de plus.

 

- Non, c'est ailleurs que j'ai envie de m'éclater avec toi !

- Alors on rentre ?

- On rentre !

 

Le train roule à présent en direction du Mans, nous sommes face à face sans voisins. Mirabelle est muette depuis un moment, elle n'est pas fâchée, car elle répond à mes sourires, non elle est ailleurs. Je décide alors de lui mettre une main sur son genou que je masse délicatement. Bizarrement, elle fait comme si elle n'avait pas senti ma main, faisant un grand geste du bras droit, au poignet duquel elle a passé le petit bracelet que je lui ai offert.

 

- T'as vu, il me va bien !

 

J'apprécie bien sûr, je lui souris, et marque de façon plus pressante la pression de ma main sur son genou.

 

- Je suis une drôle de fille tu sais...

 

Pas la peine à cet instant d'être un expert en communication pour deviner qu'elle avait envie de parler. Moment stratégique, car si la vie ne m'a pas appris grand-chose, je sais néanmoins que dans ces circonstances, il convient surtout de laisser parler, et d'éviter d'interrompre, sauf pour demander des précisions.

 

- Je suis orpheline, à 16 ans, la DDAS m'a placé dans une famille de péquenots, ils avaient une grande propriété, et ils cultivaient surtout des pommes et des poires, ils n'étaient pas méchants mais je leur servais quand même un peu de bonniche gratuite. Je suis restée près de deux ans chez eux, puis je me suis tirée à cause d'un scandale. J'avais presque 18 ans, il me suffisait d'attendre de les avoir complètement...

- Un scandale, tu dis ?

- Oui, mais ça, je ne t'en reparlerais qu'après. Donc j'ai vécu trois semaines d'enfer, je n'ai appris qu'ensuite que mes "tuteurs" m'avaient fait rechercher par la gendarmerie, j'ai fait du stop, je me suis retrouvée à Nice, j'ai pas aimé, c'est là que les gendarmes m'ont retrouvé, mais il était trop tard, mes 18 ans, je les avais. Après j'ai galéré pas mal, j'ai "fait" pas mal dans le sexe, du peep-show, du téléphone rose, et même un peu de prostitution, j'en ai gardé beaucoup de souvenirs, mais pas que des mauvais, ça m'a beaucoup appris sur les gens, sur les hommes surtout, et puis j'ai découvert que j'avais des relations très simples avec le sexe, je n'avais pas toujours l'occasion de m'envoyer en l'air, mais je me sentais bien dans ma peau.

- Tu veux dire que...

- J'adore le sexe, j'ai toujours aimé ça, mais dans le business, c'est autre chose, c'est sexuel pour le mec que t'as en face, ce ne l'est pas forcement pour toi. Et un jour un type m'a demandé si je serais intéressé par un poste de "bonne à tout faire avec option érotique", je reprends ses mots. J'ai éclaté de rire, je lui ai fait préciser, et j'ai accepté, il faut dire que le bonhomme me paraissait hyper sympa, ça s'est d'ailleurs super bien passé, et puis un jour il m'a dit qu'il ne pouvait plus me garder, je n'ai jamais su pourquoi, on a fêté notre dernière soirée en amoureux, on s'est fait un petit dîner aux chandelles avec du champagne...

 

A ce moment de son récit, je vis des larmes couler sur les joues de ma Mirabelle.

 

- Je ne veux pas que tu pleures !

- Ce n'est pas facile à empêcher, tu sais. Que veux-tu je suis comme ça, je suis conne, je suis trop sentimentale.

- Mais non...

- Mais si ! Donc mon patron m'a donné les coordonnées d'une agence, appelons ça comme ça, qui gérait ce genre d'offres d'emplois, j'ai fait plusieurs patrons, un peu tous les genres, et puis je me suis retrouvé chez toi. Voilà c'est ma vie !

- Ça t'a fait du bien de parler ?

- Je ne sais pas encore ! Je n'ai pas fini de parler, Boris !

- Vas-y !

- Tu vois, j'ai choisi un drôle de métier, les mecs en face, ils ne réagissent pas tous pareil, le job est bien payé et pour certains cela leur donne tous les droits y compris de me mépriser. Je ne demandais pas la lune, mais à part le premier, personne ne me considérait comme un véritable être humain, j'étais le niveau juste au-dessus de la poupée gonflable...

 

Je blêmis à ces propos, elle avait bien dit "à part le premier", elle me mettait donc dans le même sac que les patrons sans âmes qu'elle évoquait, ça n'avait aucun sens.

 

- Tu me juges si mal, Mirabelle ?

- Je n'ai pas encore parlé de toi...

 

Ouf !

 

- J'ai tout de suite vu que ce serait différent ici, d'abord il y avait plein de monde, au moins je pouvais communiquer, et puis tu étais gentil, gentil mais parfois incompréhensible, j'aimais bien quand tu me glissais une petite enveloppe quand je faisais des extras, tu n'y étais pas obligé, après tout j'étais là aussi pour ça, mais j'aurais préféré que tu m'offres un bouquet de violettes. Sinon tu m'as toujours respecté, je ne peux pas dire le contraire, et puis aussi tu m'amusais. Et puis c'est arrivé comme ça sans prévenir, je suis devenu amoureuse de toi, mais comme tu ne paraissais pas répondre à mes signaux, et bien mon amour, je me suis résigné à le vivre sans retour. Et puis je crois aussi qu'on peut aimer plusieurs personnes en même temps, alors je me suis trouvé un copain au village. Par contre quand je t'ai vu fanfaronner comme tu l'as fait pour m'annoncer le retour de ta pétasse, j'ai pété les plombs. Voilà je voudrais te dire une dernière chose encore, ça va je ne t'ennuie pas trop avec mes états d'âmes ?

- Non pas du tout !

 

Je pensais alors avoir droit au récit de fameux scandale qu'elle s'était contentée d'évoquer... Mais il ne s'agissait pas de cela.

 

- Je voulais juste te dire un truc, le bracelet que tu m'as offert, tu ne peux pas savoir comme ça m'a fait plaisir, quelque part ça a remplacé tous les bouquets de violettes que tu as oublié de m'offrir.

 

La fin fut inaudible perdu dans les sanglots, je n'en menais pas large non plus. Nous nous sommes alors enlacés, nous nous sommes alors embrassé comme deux vieux amants trop longtemps séparés.

 

On a grignoté dans le train, et nous sommes arrivés à Alençon en début d'après-midi. Nous avons retrouvé la voiture stationnée n'importe comment (voir chapitre précédent) décorée de deux petits papiers sur l'essuie-glace, l'un manuscrit se voulait humoristique se demandait où et comment j'avais obtenus mon permis et concluais que je ne pouvais pas être autre chose qu'une blonde, l'autre était un P.V. en bonne et due forme pour stationnement dangereux. Il fallut aussi qu'un beauf local nous invective genre : "C'est vous qui vous garez comme des enculés ?" Je me forçais à ne pas lui répondre qu'en ce qui me concerne, je n'avais pas grand-chose contre les enculés, mais estimant ce genre de joute oratoire inutile, nous avons dégagé les lieux, Mirabelle au volant bien sûr.

 

- J'ai envie de quelque chose ! Me dit soudain Mirabelle.

- Ça se mange ?

- Manger, non, mais peut-être que ça se consomme !

- Alors c'est pas un problème !

- Je voudrais te demander quelque chose, tu vas me prendre pour une dingue.

- Je t'écoutes, répondis-je, circonspect.

- Je voudrais que tu me prennes dans la grange.

- Dans la grange ? Mais pourquoi dans la grange, il n'est pas bien mon lit ?

- C'est pas ça, c'est un vieux fantasme, quand j'étais adolescente, je ne savais pas tout, je voyais l'amour, l'amour physique, j'entends, de façon simplifiée, dans mes rêves, je me mettais toute nue, puis le mec jouait avec mes seins, puis il me pénétrait rapidement, il n'y avait rien d'autre.

- Et tu ne l'as jamais fait pour de vrai ?

- Non, j'ai failli deux fois, la première c'était avec Jean-Pierre, quand j'étais placée à la campagne, il y avait une grange, on s'est déshabillé, il s'est jeté sur moi, on devait être tranquille, il y avait une chance sur mille pour qu'on soit découvert, on l'a été, mon tuteur était là, par hasard ou alors il se doutait de quelque chose, je ne le saurais jamais, ce con de Jean-Pierre a détalé comme un lapin, moi j'ai été me rhabiller derrière une botte de paille. Mon tuteur m'attendait, manifestement, il se retenait de m'engueuler, il m'a demandé de l'attendre dans la cuisine, j'y suis allé. Il a commencé par me faire la morale, il était passablement énervé et me répétait sans arrêt la même chose. J'ai fini par lui rétorquer que je n'avais rien fait de mal, et puis il est sorti de ses gonds, il m'a traité de salope, m'a dit qu'il allait me remettre à la disposition de la DDAS, et moi je m'acharnais à répéter que je ne voyais pas où était le mal, un dialogue de sourds, mais le pire qu'il m'a sorti c'est quand il m'a dit "quand je pense que tu as fait ça dans MA grange !". J'avais vraiment l'impression qu'il considérait que j'avais souillé son territoire. Le ton est encore monté, et comme, il n'admettait pas que je réplique, il a fini par me gifler.

- Et ensuite

- Je lui ai rendu sa gifle. Oui j'ai fait ça ! Le temps qu'il réalise ce qui venait de lui arriver, je m'étais déjà précipitée dans ma chambre, j'ai ramassé "à la volée" mes papiers et quelques affaires et mes économies…

- T'avais un peu d'argent ?

- J'en piquais régulièrement dans la cagnotte leur cagnotte ! Je reprends : Comme j'entendais l'autre qui arrivait par l'escalier, j'ai sauté du premier étage et je me suis retrouvée dans la rue. J'ai couru, mais personne ne me suivait, je suis resté planquée dans la nature un moment, puis j'ai voulu récupérer d'autres bricoles. Le soir j'ai téléphoné à Jean-Pierre, mais il ne voulait plus me parler, j'ai essayé de contacter les enfants du tuteur avec qui je n'avais jamais eu de problèmes, je savais qu'en téléphonant à cette heure-là je tomberais sur eux, mais on m'a raccroché au nez, j'ai laissé tomber, j'ai vécu comme une clocharde pendant trois semaines, le peu d'argent que j'avais je voulais le garder pour mes 18 ans. Et ce jour-là, j'ai claqué ce qui me restait mon argent de poche, j'ai acheté des fringues pas trop chères, pris une douche dans un hôtel miteux, et je me suis présentée dans un peep-show, ils cherchaient justement une danseuse.

- C'était ça le scandale dont tu parlais ?

- Oui, ça a été surtout un scandale pour mon tuteur, je me suis rappelé un jour qu'un de ses voisins était fâché avec eux, du coup je lui ai téléphoné, et je lui ai raconté l'histoire. Une semaine après j'avais retrouvé le numéro d'une copine, elle ne voyait pas comment faire pour m'aider à récupérer mes affaires, mais elle m'a raconté l'ambiance dans le village, l'affaire s'était ébruitée, déformée, et on avait trouvé bizarre que mon tuteur soit dans la grange juste à ce moment-là, bref sa réputation en avait pris un sale coup, et il jurait devant tout le monde qu'un jour il me retrouverait, il peut toujours courir.

- Tu crois qu'il te cherche encore ?

- Bien sûr que non, s'il me trouvait, il ferait quoi ? Quoi que je devrais peut-être me méfier, si ça se trouve, il est devenu dangereux... Mais bon parlons d'autre chose.

- Tu m'avais dit que tu avais fait un deuxième essai ?

- Oui, avec mon copain d'Alençon, il s'est dégonflé, il a trouvé que l'endroit n'était pas assez discret...

- Pourtant...

- Détrompe-toi... Le midi, ou alors en fin d'après-midi, il y a des couples qui viennent se retrouver, il y a aussi parfois des voyeurs, et même pendant un moment, il y avait une nana qui proposait ses services...

- Dans ma grange ! Dans la Grange aux dames !

- Ben oui dans ta grange, tu ne vas pas te sentir déshonoré non plus ?

- C'est pas ça, mais ça pose des problèmes de sécurité !

- Mais, non personne ne fait le rapprochement avec le château, et les deux terrains ne sont pas mitoyens, laisse donc les gens baiser tranquille, bon on arrive !

- Il faut que tu tournes à droite, si je me souviens bien, mais il y a tellement longtemps que je ne suis pas venu ici

- Mais non, on ne va pas se dévoiler, tiens on va se garer au bord de la route, il y a déjà une bagnole, on ne sera pas tout seul !

 

Je n'en revenais pas, une partie de mon domaine reconverti en baisodrome sauvage, et personne ne m'en avait parlé ! On sort de la bagnole, on se dirige à pied vers la bâtisse de bois, en entrant on entend des paroles qui s'échangent, on s'approche à pas feutrés, trois personnes barrent le passage, ce sont deux hommes en costume de ville et une femme dont on pourrait dire qu'elle se porte bien. L'un des hommes nous salue :

 

- Si vous voulez assister à un petit spectacle, vous êtes les bienvenus, on s'apprête à donner une bonne punition à cette pétasse.

- Je l'ai mérité, j'ai été très vilaine, rajoute la future victime

 

J'avoue mon embarras, en plein élan romantique, nous voici stoppés sur la route de l'amour fou par un trio lubrique, j'hésite sur la conduite à tenir, mais les choses vont très vite, la rousse s'est déjà déshabillée et tendait son gros fessier devant nos yeux, j'avoue ne pas rester indifférent et je le suis encore moins quand l'un des mecs, la queue sortie de la braguette commence à lui fesser le croupion du plat de la main. Je sens une main à l'emplacement de mon sexe, c'est celle de Mirabelle.

 

- Ça t'excite, hein mon salaud ?

 

Elle, je ne sais pas si ça l'excite mais au moins ça l'amuse. La grosse blonde tout en continuant à se faire fesser suce maintenant le deuxième homme. Ce qui est impressionnant, c'est que la fille est trempée d'excitation, à ce point qu'à un moment le donneur de fessées ramassera du plat de sa main sa mouille dégoulinante pour lui en enduire les fesses, celles-ci devenant luisantes faisaient encore mieux ressortir leur magnifique rotondité. Au bout d'un moment cette coquine personne dont le cul avait maintenant une belle couleur tomate réclama qu'on la frappe à coups de ceinture, l'autre ne se fit pas prier et entrepris de la cingler vaillamment. Inutile de vous dire dans qu'elle état je me trouvais, je n'ai aucun instinct sadique, c'est le volontarisme avec lequel cette femme encaissait les coups qui m'excitait. Le type de devant finit par jouir dans la bouche de la donzelle, celui de derrière cessa alors sa flagellation, se revêtit sa pine d'un préservatif et sans autres préliminaires lui pénétra l'anus, provoquant chez sa partenaire l'émission de curieux ânonnements de plaisir.

 

- Allez viens, me dit alors Mirabelle, m'entraînant un peu plus loin, puis me faisant grimper sur une petite échelle afin de gagner une sorte de pallier improvisé parmi les ballots de foin. Je jetais un coup d'œil alentour, la présence d'un voyeur en ces circonstances m'aurait gêné.

 

Tout de suite, Mirabelle entreprit de se déshabiller, elle fit très vite, à ce moment-là son visage s'irradiait de bonheur. Un malicieux filet de lumière jaillit de deux planches mal juxtaposées éclairant le corps de mon amante. Non, elle n'avait sans doute rien d'une star, mais je me régalais de cette peau très blanche, de ses petits poils frisottant sur son pubis, de ses cuisses accueillantes, et puis de ses seins bien sûr, ses jolis seins en forme de poires et d'une bonne tenue que terminaient d'arrogants tétons couleur de chocolats au lait. Elle se les tripotaient sans décroiser le regard coquin qu'elle m'adressait depuis que nous étions rendus sur ce pallier de foin. Je me déshabillais à mon tour, nous fûmes rapidement nus, debout, l'un devant l'autre. Mirabelle porta alors son index à la bouche, puis ainsi imprégné de salive, elle se le passa sur le téton, le faisant pichenetter plusieurs fois de suite, avant de passer à l'autre. Je m'avançais alors vers se sein que la présence de sa salive rendait encore plus désirable, mais elle m'en empêcha se débrouillant pour coller son corps contre le mien. Nos langues attirées l'une vers l'autre se mélangèrent alors jusqu'à plus soif, puis elle se coucha dans la paille semblant s'abandonner, puis passant la paume de ses mains sous ses seins et les faisant ainsi légèrement remonter, elle me les offrit. J'acceptais bien sûr cette offrande, et après les avoir légèrement caressés, je déposais mes lèvres sur son téton gauche, puis jouait avec ma langue à le faire vibrer. Cette petite fantaisie eut le don de faire pousser d'encourageants petits cris à ma Mirabelle préférée. J'insistais alors et aspirais la petite excroissance de chair dans ma bouche, puis ne souhaitant pas que l'autre sein me fasse une crise de jalousie, j'en changeais. J'aurais volontiers prolongé ce butinage, si ma complice n'y avait elle-même pas mis fin en me suppliant de la "prendre". Je chapeautais donc mon sexe et la pénétrais sans efforts, la lubrification naturelle ayant été particulièrement efficace. Dans cette position dite du missionnaire, où l'homme domine et que je pratique assez rarement, je me collais contre ma maîtresse, plaçant nos corps en symbiose. Mirabelle s'abandonnait toute à la réalisation de son vieux fantasme. Je dû un moment freiner mes ardeurs, je risquais de jouir alors qu'elle n'était pas encore prête.

 

- Ne freine pas, viens !

- Je vais jouir si je ne freine pas.

- Vas-y joui, Boris, joui pour moi !

 

Puisqu'elle voulait qu'il en soit ainsi, je me laissais aller et éjaculais ma semence quelques minutes plus tard en la serrant tendrement dans mes bras. J'ignore si c'est ma propre jouissance qui provoqua alors la sienne, mais toujours est-il qu'un spasme accompagné d'un cri à moitié étranglé la gagna, oui ce fut des larmes, des larmes de joie, de bonheur, ce devait être contagieux, mes yeux s'embuèrent à leur tour.

 

Nous sommes restés collés plusieurs minutes, souhaitant prolonger la vie de cet instant trop rare avant qu'il ne soit plus qu'un souvenir.

 

C'est prosaïquement l'envie de pisser qui décolla Mirabelle.

 

- Je t'arrose ? Demanda-t-elle.

- Moi d'abord ! Protestais-je par pur esprit de contradiction.

 

Je visais d'abord sa poitrine sur laquelle les jets dégoulinants d'urine rendaient un aspect doré du plus bel effet, puis la voyant ouvrir la bouche et se passer une langue gourmande sur ses lèvres, je visais son palais, la laissant se régaler d'une bonne rasade. Je m'allongeais ensuite, comprenant le message, Mirabelle s'accroupit sur mon visage, sexe contre bouche et me gratifia de son délicieux nectar que je dégustais sans retenue.

 

Nous sommes restés quelques instants à rêvasser, récupérant nos moments de folie.

 

- À quoi tu penses ? Me demande Mira

- Une question qui trotte dans ma tête, une question idiote !

- Dis-moi !

- Je me demandais comment tu pouvais être autant au courant des habitudes du lieu, puisque tu m'as dit que tu n'étais venue qu'une seule fois

 

Alors, Mirabelle me regarda droit dans les yeux et sans hésiter une seconde elle me dit dans un seul souffle :

 

- Je ne suis venue qu'une seule fois avec un homme, mais quand j'avais le cafard, je venais seule, je ne venais pas pour observer les gens, mais pour m'imprégner du lieu et je me disais dans ma petite tête " tu vois, Mirabelle, un jour Boris te prendras ici ! "

 

Fin de l'épisode

 

Boris Vasslan © Mars 2004

 

Vasslan@hotmail.com

 

 

 

 

Par Boris - Publié dans : Boris
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