Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:46

Ma soubrette, mon épouse par Marine et Thibault

soubrette stamp

 Thémes abordés : scato,  soubrette,  spermophilie, uro

 

Bonjour c'est Thibault (un ti beau, deux ti beau...) à mon tour de prendre la plume, c'est chacun son tour.


J'ai toujours eu un faible pour les femmes de chambre, surtout si elles ont une tenue sexy... Rien ne m'excite davantage que lorsque Marine ma femme joue les soubrettes pour m'apporter le petit déjeuner au lit, après une semaine épuisante. Mon épouse est assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blond, un joli petit sourire.


Mon petit scénario est très au point. Dans un magasin de vêtements professionnels, j'ai acheté pour Marine une tenue de travail tout ce qu'il y a de plus classique, mais c'est dans une boutique de Pigalle que je lui ai trouvé des dessous un peu moins conventionnels. Le samedi, c'est dans cette tenue qu'elle vient m'apporter mon petit déjeuner sur un plateau. Les yeux à peine ouverts, je me mets à bander, quand elle dit de sa voix coquine


- Voici le petit déjeuner de monsieur


Et qu'elle dépose le plateau sur le bord du lit en gonflant bien les seins et en remuant des fesses, juste ce qu'il faut pour m'exciter. Je bois une gorgée de café au lait pendant qu'elle va ouvrir les rideaux. J'imagine alors ce qu'elle porte sous son ensemble bien sage. Je sais qu'elle n'a pas de culotte, juste un porte-jarretelles et des bas, je sais que son soutien-gorge est transparent on voit ses pointes dures, je sais aussi que son clito est gros et très doux surtout quand le désir le fait gonfler. Je sais aussi qu'elle ne s'est pas essuyé la chatte après avoir fait pipi… Quant au cul, ça dépend, mais si elle a fait son caca du matin, rien n'est essuyé non plus… Et puis je sais aussi que mon petit déjeuner fini, je vais la baiser !


Rien de tel que toutes ces pensées pour me mettre en appétit. Je demande d'une voix innocente :


- Est-ce que vous pourriez faire un point à mon pyjama ? Il s'est déchiré, là...


Elle s'approche, s'assoit sur bord du lit et se penche pour examiner la manche de mon pyjama. Elle me met ses seins sous le nez et là, ma bite se dresse encore un peu. Sa poitrine, gonflée à bloc effleure mon torse, j'attends encore un peu avant de saisir ses seins à pleines mains. Et là, les choses s'accélèrent, je lui arrache son chemisier et je la fais glisser jusqu'à ce qu'elle soit en position de me branler entre ses seins


- Oh monsieur, qu'est-ce que vous faites ? demande-t-elle d'une voix ingénue. 


marine2.jpg Mais cela ne l'empêche pas de commencer à s'activer. Ma bite grossit à vue d'œil entre ses deux beaux seins bien fermes. Puis, je lui fourre ma queue dans la bouche et la lui enfonce jusqu'à la gorge. Avec un petit grognement, je lui dis que pour une femme de chambre elle fait bien les pipes, mais je résiste encore à la tentation de lui balancer tout mon jus. Je me retire et je la retourne comme une crêpe pour pouvoir la prendre en levrette, mais avant je lui renifle le trou du cul :


- Votre cul sent la merde ! Marine.

- C'est pour mieux vous satisfaire monsieur, je sais que Monsieur adore ça !

- Racontez-moi, auriez-vous chié un gros boudin ce matin ?

- Gros et consistant !

- J'aurais aimé voir ça !

- J'y ai bien pensé mais Monsieur dormait…

- Evidemment…

- Mais au cas où cela intéresserait Monsieur, la prochaine fois je chierais dans une assiette, et comme ça je pourrais montrer mon boudin à Monsieur !

- Et le verre dans le plateau ? C'est quoi ?

- C'est ma pisse, Monsieur ! J'ai pensé que Monsieur aimera la boire.


J'avale d'un trait la moitié du verre, il parait que c'est bon pour la santé.


- Tournez-vous afin que je vous enculasse.

- Monsieur parle comme les poètes libertins.

- Mais je suis un poète libertin, Alors, vous vous tournez ou on attend le printemps ?

- Oh non monsieur ! Gémit-elle, ce n'est pas bien ce que vous voulez me faire.


Mais je sais parfaitement qu'au contraire elle meurt d'envie que je l'encule. Je commence à m'enfoncer doucement en lui branlant les seins, et en lui chuchotant des petits mots obscènes. Quand je la sens prête à me recevoir complètement, je la défonce encore d'un bon coup puis je gicle en elle...


- Monsieur désire-t-il encore autre chose ?

- Oui, Monsieur aimerait bien que vous lui nettoyiez la bite, elle est sortie un peu sale de votre trou du cul.

- Ce n'est qu'un peu de foutre et un peu de merde, Monsieur !

- Alors nettoyez, je vous prie !

- Mais avec plaisir, Monsieur !


Elle a pris ma bite dans la bouche et m'a tout nettoyé, elle adore ça, la cochonne !


- Ce mélange était délicieux ! 

- Je n'en doute pas un seul instant !

- Tu n'en sais rien gros cochon, tu ne l'as pas goûté ! Me rétorque Marine abandonnant le jeu de rôle.


Elle se met alors un doigt dans le cul et me le fait sucer ! Hum… pas mauvais !


- Le jeu est terminé, viens m'embrasser.


Et nous nous roulâmes un joli patin merdeux. Voilà une journée qui commençait fort bien.


Thibault


E-mail: mt_devillers@hotmail.com


Publié sur revebebe le 28/12/2000 puis passé à la trappe

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:33

Sur le balcon par Claire N

scat

Attention, texte avec scato explicite

Je m’appelle Angie, je suis une jeune femme de taille moyenne, brune, seins moyens, jolies fesses, et annonçons la couleur, j’adore les jeux lesbiens, j’adore les jeux de pipi et les jeux de caca.

Voulez-vous lire mon ce tout petit moment de ma vie ?

Oui ?

Je suis arrivée hier soir chez Cora pour passer une semaine de vacances. Crevées, on s’est couché après le diner, pas de folies, justes des petits bisous et quelques timides caresses.

Il est 7 heures du matin, je me lève, je suis à poil et j’ai une grosse envie de pisser. Je sais que Cora ne dort plus que d’un œil et j’ai envie de la provoquer.

Je vais sur la balcon terrasse, personne ne peut me voir (à moins d’avoir des jumelles), je m’accroupis et j’appuie sur ma chatte de façon à ce que mon pipi fasse un petit jet devant moi, bientôt une jolie flaque d’urine se forme sur le sol cimenté.

Comme pressentie Cora se pointe, elle aussi à poil, elle écarte les jambes et m’invite à venir au-dessous d’elle, j’ouvre ma bouche, attend quelques instants que la vanne veuille bien s’ouvrir puis j’avale tout ce que je peux.

C’est de la pisse du matin, la meilleure ! Elle avait vraiment une grosse envie, je ne peux évidemment pas tout boire et ça dégouline un peu partout.

Le flot est tari, je me relève, on se fait un petit bisou, d’abord sur le bout des lèvres, mais j’avais gardé un peu de pisse dans ma bouche que je lui restitue dans la sienne.

Long bisou baveux ensuite, je l’adore ma copine Cora, elle est trop mignonne et toujours de bonne humeur.

Elle me lèche les endroits où la pisse a dégouliné : les épaules, le cou, les seins, c’est si bon.

Elle n’arrête pas de m’embrasser partout, on est bien, on rigole.

Elle se met sous moi et viens me lécher et me doigter la chatte, puis me demande si je peux faire encore quelques gouttes de pipi.

J’essaie, et ça vient, Cora se régale de ma pisse, elle boit ce qu’elle peut et s’étale le reste sur ses petits seins.

A nouveau on s’embrasse sur la bouche et je lui tète ses nichonx imbibés de mon urine.

On intervertit les rôles une nouvelle fois et je bois encore son délicieux pipi.

Nouveau bisou pisseu, mais je sais que Cora veut maintenant passer à autre chose, moi aussi et je suis terriblement excitée.

Je me couche par terre, Cora s’accroupit par-dessus mon ventre devant moi et commence à pousser. Un magnifique étron sort de son trou du cul, se détache, roule sur mon ventre et s’en va se nicher dans le pli de mon aine

Le deuxième est plus long à sortir, quand il se détache il tombe au milieu de mon ventre.

Elle est très belle sa merde et la situation m’amuse, on rit comme des folles.

Cora fait encore deux ou trois très petites crottes et se dégage, elle ramasse la merde dans ses mains, sauf un étron que je garde pour moi et on se met à se badigeonner le corps réciproquement tout en s’embrassant et en rigolant

Cora a maintenant le téton gauche tout merdeux, je sors ma langue et me met à le lécher avec gourmandise. Elle est trop bonne la merde de Cora. Je lèche jusqu’à ce qu’il soit tout propre, puis Cora vient m’embrasser avec le gout de caca que j’ai dans ma bouche. On est des vraies cochonnes.

On continue à se badigeonner de merde et c’est maintenant Cora qui vient me nettoyer mon téton droit, puis le gauche

Un moment Cora recueille un petit étron qu’elle introduit dans sa bouche pour ensuite me le refiler, l’étron passe ainsi de bouche en bouche. On s’embrasse et on rigole comme des bossues.

A nouveau on se badigeonne, puis on se lèche les tétons l’une après l’autre.

Cora se met en levrette, écarte ses fesses et m’exhibe son si joli cul.

C’est bien sûr une invitation au nettoyage ! Ce que je fais à grand coups de langues dans son trou du cul.

On se relève et on s’amuse à se badigeonner les joues avec la merde.
scatkisses2.jpg
Encore des bisous et on se frotte nos corps l’une contre l’autre.

- Je vais te présenter à mon copain, me dit-elle !
- T’as un copain ? M’étonnais-je
- Oui, il va m’enculer et quand il sortira tout merdeux de mon cul tu le nettoieras.
- Mais…
- Vien, je vais te le montrer !
- Me le montrer ?
- Oui, viens !

Sans comprendre je la suis, elle ouvre alors le tiroir de son chevet et en sort un magnifique godemichet.

- Je te présente mon copain.

On s’embrasse, on est heureuse, on s’aime, on est deux belles cochonnes.

Alors ? Ça vous a plus ?

Angie

Par Angie02 - Publié dans : Claire N
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:30

Sanisette par Enzo Cagliari

scat
Texte scato explicite

Cette aventure a marqué un tournant dans ma sexualité. Je n’avais rien contre la scato mais je la limitais à mes fantasmes, ne me sentant pas motivé pour passer à l’acte et ne m’en étant non plus jamais donné l’occasion.

Et puis un soir

On rentre du cinéma avec Angie, une nana sympa que j’ai dragué dans un bistrot, on sort ensemble depuis quinze jours, et on couche tantôt chez l’un, chez l’autre, elle est sympa, une petite brune souriante pas compliquée et très délurée. Son seul défaut est d’avoir des petits seins, moi qui adore les gros, on ne peut pas tout avoir. Et voilà que…

- J’ai une grosse envie…
- Il y a une sanisette là-bas !
- J’ai horreur de ces trucs, là, je suis claustrophobe.
- Qu’est-ce que tu veux qu’il t’arrive, il y a un dispositif anti blocage…
- Non, le machin se retourne pour le nettoyage, quelle mort affreuse…

Bref elle balise la petite Angie.

- Si tu veux je rentre avec toi.

Elle finit par accepter. Elle entre dans la sanisette, baisse son futal et se met à pisser sans toucher la cuvette. Jolie spectacle auquel j’ai déjà eu droit, mais je ne m’en lasse pas, j’adore voir une fille pisser.

Je pousse même le vice jusqu’à mettre ma main sur le filet qui coule et la porter à ma bouche.

- Tu l’aimes bien ma pisse, hein, gros cochon ?
- Ma foi, je ne vais pas dire le contraire.
- Et bien reprend en, c’est mon jour de bonté !

On ne refuse pas ce genre de choses quand on est branché uro comme je le suis.

Mais l’anecdote n’était pas terminé (vous vous en doutez bien)

- Je crois que je vais en profiter pour faire caca !
- Vas-y, je me tourne !
- Mais non, regarde !
- Non, je me tourne
- Pourquoi, ça te dégoutte ?
- Non, mais ça me gêne !
- Eh bien, met ta gêne au vestiaire, moi j’ai envie que tu me regardes faire.

Bon je ne vais pas la contrarier d’autant que je ne sais plus trop quoi dire pour me défiler.

Angie se met à pousser, toujours avec le cul décollé de la cuvette. J’avoue que le spectacle a quelque chose de fascinant, Un petit étron qui peine à sortir, puis qui se met à grandir, pour finalement se détacher et atterrir dans l’eau dormante avec un grand plouf.
sanisette.jpg
Un deuxième étron suit le même chemin, et un troisième. Je suis partagé entre fascination et répulsion. La fascination doit emporter ce match insolite puisque contre toute attente, je bande comme un cerf.

- C’était joli ? demande Angie, mutine
- Pas mal.

Elle tend la main vers le distributeur de papier.

- Merde, c’est vide, tu n’aurais pas un kleenex.

Je cherche dans mes poches, je trouve un paquet, je lui tends.

- Non, ça ne va pas, qu’est-ce que tu veux que je fasse avec ça, c’est pas assez large.
- Tu te nettoieras à la maison, ce n’est pas une catastrophe.
- Non, mais je n’aime pas me balader avec de la merde collée aux fesses.
- Si on ne peut pas faire autrement…
- A moins que tu me nettoie le cul avec ta langue !
- Ben voyons !
- Non, je dis ça sérieusement.

Alors elle se relève, se penche en avant, écarte ses fesses et me fais voir son cul. Il reste un peu de caca autour de l’anus.

- Y’en a pas tant que ça ! tentais-je de temporiser.
- Eh bien justement ce sera plus facile, vas-y lèche !

Grand moment de solitude et de perplexité

- Bon tu ne vas pas faire ton dégoutté, tu as goutté ma pisse tu peux bien lécher ma merde !
- C’est pas pareil !
- Essaie au moins au lieu de rester là comme une andouille.

J’approche mon visage, l’odeur me fascine, je tente un coup de langue sur une zone cacateuse, pas de quoi s’enfuir en courant, second coup de langue, le pli est déjà pris, et tandis que ma braguette est sur le point d’exploser tant ma bite bande, je nettoie toute la merde qui trainait autour de son petit trou du cul..

- Alors elle est bonne ma merde ?
- Pas mauvaise.
- Embrasse moi !

On le fait alors que j’ai encore le goût du caca dans ma bouche, quelle cochonne cette Angie.

- Angie, je bande !
- Et tu voudrais que je te fasse une pipe ?
- Ben oui !

Elle n’est pas chiante, Angie, elle me l’a fait cette pipe, j’ai bien joui en repensant à son trou du cul merdeux que je venais de lécher.

On ressort. Un type semble choqué de nous voir sortir à deux.

- Ben faut pas vous gêner tous les deux ? Rouspète-t-il
- Mais cher, monsieur, quand il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir répond Angie.

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:25

Le jour se lève par Cosi-cosa

scat
attention, texte scato explicite

Le jour se lève. J’ouvre les yeux sur un jour qui restera gravé dans ma mémoire à tout jamais. Jamais je ne me serais douté qu’aujourd’hui marquerait une étape marquante dans ma vie sexuelle.

OK, la journée est triste. Dehors il fait froid, le temps est gris. Rien à faire d’autre que de me lever, manger et me divertir sur internet. Avant de déjeuner, j’ouvre mon ordi. Je me fais un café et deux rôties. Je m’installe ensuite devant mon écran. Après avoir fait le tour des nouvelles, j’ai soudainement envie de regarder de la porno. Je me rends à mon site web préféré et commence à naviguer d’une page à l’autre. Je regarde un vidéo de lesbiennes. Déjà, ma queue est bien dure. Les filles sont assez bien roulées, mais au bout de quelques minutes de ce manège et ça devient vite redondant. Je passe d’une catégorie à l’autre, femmes matures, éjaculations, pénétration anale etc. tout en me caressant, mais sans atteindre l’orgasme.

La catégorie anale me rappelle que j’ai un gode. Il est noir, mesure quatorze centimètres et possède une ventouse afin de le placer sur une surface lisse. Je mets un peu de lubrifiant sur le bout du gland et aussi sur mon anus. Je le place sur une planche spécialement adaptée pour ça. Je le place sur mon siège et commence à me stimuler doucement. Lentement, mais sûrement, le gode pénètre dans mon rectum.

Dans l’intervalle, je tombe sur un vidéo ultra hard à caractère scatologique. On y voit deux très belles femmes, une blonde ainsi qu’une brune et un homme portant une cagoule en cuir. L’une des femmes, la brune se met à chier et pisser sur la queue du mec. Pendant que la merde s’accumule autour du pénis, la blonde étend la merde sur le corps du mec et le masturbe. Je suis très excité par leurs actions. Mon gode est presque entièrement enfoncé au fond de mon cul. Il vient de passer l’étape cruciale du sphincter. La sensation est incroyable. Le gode est maintenant entièrement entré. Pendant ce temps, sur la vidéo, la femme qui a déféqué sur le mec, lèche la peau souillée de merde et de pisse. Elle prend beaucoup de plaisir à le faire et dans ma tête, j’ai peine à croire qu’on puisse aimer ça.

Mais mes yeux ne peuvent quitter l’écran. La femme brune fait une fellation au mec. On y voit un gros plan sur ses lèvres recouvertes de jus organique. Ma queue est de plus en plus dure. Le gode, bien au fond de mon cul se sent tout à coup à l’étroit. J’aime ça, mais la pression est forte et la sensation est de plus en plus insoutenable. Je me relève afin de l’enlever de mon anus.jourseleve.jpg
A ma grande surprise, je défèque sur la planche. Un étron d’un peu plus de dix centimètres trône sur la planche. La vue de ma merde m’excite. Le bout de mon gode est également empli d’excréments. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à ce moment précis, mais je me suis mis à genoux devant le dildo et je l’ai introduit dans ma bouche. Sur le coup, j’ai pensé que ce que je venais de faire était de la pure folie, mais puisque j’y suis, je me suis dit qu’il fallait que j’y goûte, ce que je fais. Je passe ma langue sur la surface du gode et le lèche.

Contrairement à ce que je m’imaginais, ça goûte très bon. Alors, je continue. Je simule une fellation et m’imagine à la place de cette brune qui s’en donne à cœur joie elle aussi. Je suis de plus en plus excité, tellement, que je m’empare de la merde et l’étends sur mon corps. Je remets ensuite le dildo dans mon anus et exécute des mouvements de va-et-vient. Puis, je le retire pour le mettre à nouveau dans ma bouche et le lécher jusqu’à ce qu’il soit d’une propreté exemplaire. Ma queue est sur le point d’exploser, mais je me retiens et étire le plaisir. Mes fesses sont de plus en plus souillées. J’en profite pour m’essuyer avec une main et me lécher les doigts ensuite.

Pendant ce temps, sur la vidéo, les deux femmes se partagent la queue du mec. La blonde se lève ensuite et se met à uriner sur la brune. Cette dernière alterne s’emplit la bouche d’urine, pour ensuite reprendre sa fellation et recevoir la pisse de la blonde sur ses cheveux. Tout cela est très excitant. Je regarde mon pénis. Il est tout brun et mon gland est plein de préjus.

Je me lèche la main et recommence à me masturber. Je ne tiens plus en place. J’ai envie de venir. Sur la vidéo, le mec commence à cracher son jus. C’en est trop pour moi et j’explose à mon tour. Pendant que je viens, répandant ainsi ma semence sur le sol, je retire mon dildo de mon cul et le remets dans ma bouche. La sensation est indescriptible. C’est un pur bonheur.

Je viens de découvrir les joies du scato. Je comprends enfin ce que ressentent ces hommes et ces femmes qui en sont friands.

Cosi-cosa

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:18

Viviane n’est pas commode
par Firmin Dumigron

 

Gs2

Bonjour, j’ai la trentaine et suis technicien en informatique.

C’était au mois de juin, mes activités nécessitaient une mission d’une quinzaine de jours en province. Plutôt que de séjourner à l’hôtel mon entreprise m’avait proposé d’élire provisoirement domicile chez la responsable locale, qui vivant seule car divorcée et disposant d’un grand pavillon. Je n’ai pas eu mon mot à dire. La responsable en question est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, fausse blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde. Elle se prénomme Viviane, mais je n’ai pas su son prénom tout de suite.

De suite elle a mis les choses au point.

- La boite m’a proposé cette solution d’hébergement, je suppose que ça leur fait économiser des frais généraux, il n’y a pas de petites économies. Je n’ai pas pu refuser, mais bon ici ce n’est pas une pension de famille, vous prendrez donc vos repas ou vous voudrez mais pas ici, je tiens à rester chez moi…
- Même pas le petit déjeuner ?
- Il y a un café brasserie un peu plus loin ! Pour les toilettes et la douche il y a une salle de bain indépendante à l’étage. Et ne vous croyez pas obligé de me faire la conversation, on m’a imposé cette situation, pas la peine d’en rajouter.

On ne saurait être plus aimable.

Il y avait un poste de télévision dans ma chambre et je m’étais acheté un petit lecteur de DVD.

Elle ne venait jamais dans ma chambre et n’avait aucune raison d’y venir, mais on n’est jamais trop prudent. Mais ce soir-là elle m’avait prévenu qu’elle rentrerait tard et que je ne devais ouvrir à personne… bref les instructions d’usage. Me sentant libre j’avais décidé d’en profiter pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

Donc après avoir glissé dans le lecteur de DVD, un petit film porno où une belle maîtresse fouettait deux esclaves soumis à grand renfort de coups de cravaches je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, des pinces aux seins et aux testicules et un bon gode vibrant dans le trou du cul. Cette situation me mettait vraiment dans tous mes états : je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé pouvant libérer mon plaisir…

C’est alors que Viviane rentrée prématurément et trompé par le son du DVD fit irruption dans ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entrouverte. Je l’ai vu apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.

- Vous faites quoi exactement, là ? Demande-t-elle en s’approchant.

En entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Viviane. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard.

Je me suis alors aperçu que du sperme avait giclé sur son tailleur.

- Vous me devrez le nettoyage de mon tailleur, espèce de gros dégueulasse ! S’écria-t-elle en me giflant deux fois de suite.
- C’est pas la peine de vous mettre dans des états pareils…
- Vous allez faire votre valise et me foutre le camp, et tout de suite.
- Attendez, on peut discuter, si vous pouviez me libérer…
- Parce qu’en plus vous vous êtes entravé, il faut vraiment être con !
- Personne n’est parfait.

Et la voilà qui au lieu de me défaire mes liens elle les resserre davantage. C’est à ce moment-là, que l’expression de ses yeux m’a paru étrange, la colère laissant place à autre chose… mais quoi ?

Elle se recule, enlève sa veste de tailleur.

- Tu m’en a même foutu sur mon chemisier, connard !

Elle le retire, et fait de même avec la jupe, la voici en sous-vêtement ! Pas mal roulée la meuf ! Y’a du monde dans le soutien-gorge !

Elle se dirige vers mon pantalon et en extrait la ceinture, elle revient avec en faisant une curieuse mimique.

- Alors comme ça, on joue au maso ?
- Ce n’est pas interdit.

Je n’ai pas vu arriver le coup de ceinture sur mon ventre.

- Puisque t’es maso, on peut peut-être s’amuser ! On va faire comme si j’étais ta maîtresse, une maîtresse très sévère, un peu comme la pétasse sur son DVD.

En voilà une idée, mais comme je viens de jouir, ma motivation n’est pas évidente, mais comment lui dire ?

- Non, ça ne te dit rien, je ne te fais pas bander ? Et si je te montrai mes nichons ?

Elle va le faire, elle le fait ! Mais c’est qu’ils sont magnifiques ses nénés, du coup popaul commence à se redresser.

- Ah, je me disais aussi, c’est mieux une vraie femme, non ? Et puis c’est quoi ce truc ?

Elle me désigne le gode qui est ressorti de mon cul.

- En plus il est tout merdeux ! Nettoie-moi ça si tu veux qu’on s’amuse !

Elle me le porte à la bouche, je n’éprouve aucune difficulté à le lécher ayant déjà fait ce genre de choses.

- Mais c’est qu’il aime ça, ce gros dégueulasse ! Tiens je vais te foutre mes doigts tu vas voir, ce sera meilleur que ton gode !

Et la voilà qui me doigte l’anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe.

Après quelques mouvements furieux tout son corps se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui me provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme.

PissFinger12.jpg

Elle s'immobilisa alors un moment, semblant se concentrer, puis me pissa soudain dans la bouche. N'étant pas contre cette fantaisie, c'est avec grand plaisir que je m'efforçais de recueillir sa bière chaude... Mais ne pouvant tout avaler au rythme où le liquide jaillissait, le lit finit par s'imprégner. Elle manifesta alors sa réprobation en me balançant quelques gifles (pas trop fortes, rassurez-vous) et en me crachant dessus, plusieurs fois de suite

 

- Ouvre la bouche, connard !.

 

Elle semble réfléchir quelques instants.

 

- De toute façon, il faudra refaire le lit.

 

Et la voilà qui revient au niveau de mon visage.

 

- Puisque tu aimes ma merde je vais t'offrir la mienne, je vais te chier sur la gueule.

 

Elle ne me demande pas mon avis, mais je n'ai pas protesté non plus.

 

Un joli boudin chaud et odorant se tortille à la sortie de son cul avant de m'atterrir sur le menton et de glisser dans mon cou. Elle me le retire, le porte à sa bouche, le lèche un peu avec un air de défi avant de me proposer d'en faire autant.

- Maintenant nettoie -moi le cul !

Je l’ai fait, elle m’a détaché.

- Je te laisse nettoyer tout ça ! Je vais t’apporter des draps propres, quand tu auras fini rejoint moi en bas, on boira un coup.

Le temps de faire tout ça, de prendre une douche rapide, elle m’attendait au salon revêtue d’un joli kimono en fumant une cigarette dans un fauteuil.

- Champagne ?
- Volontiers !
- Votre pyjama est très moche ! me dit-elle

Elle redevient elle-même, je ne réponds pas.

- Trinquons ! il est bien évident qu’il ne s’est jamais rien passé ! J’ai mis mes affaires tachées dans un sac plastique, vous les ferez nettoyer à vos frais.
- J’y comptais bien !
- Vous ferez aussi nettoyer les draps. Au fait, vous partez quand ?
- Dans une semaine.
- Il n’est pas impossible qu’il me prenne l’envie de jouer avec vous, mais je vous le ferais savoir.
- Bien !
- Au fait votre DVD, vous pouvez me le prêter
- Bien sûr !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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