Muriel et Sylvain, couple coquin
5 - Bar à bites
par Sylvain
En fait ça m'amuse, je passe donc comme indiqué derrière le comptoir. Le barman me demande de me coller derrière lui, puis de faire glisser son pantalon et son caleçon. J'ai donc accès à sa bite que je branle quelques instants sans pouvoir la voir. Puis je me recule, lui pelote un peu les fesses. C'est vrai qu'il a un joli cul bien rebondi, mais ça ne m'émeut pas plus que ça, si je fantasme un peu sur les bites des mecs, leur culs me laissent plutôt indifférent.
- Baisse-toi et lèche, juste une seconde, il n'y a personne !
Et puis quoi encore ? Je lui lèche le troufignon d'abord sans grande conviction, puis je me prends au jeu, après tout un cul est un cul et lécher ce charmant anus n'est pas si différent que de lécher celui d'une femme. Quant au petit goût légèrement âcre, il n'est pas pour me déplaire. Je lui demande s'il est seulement passif ou si ça lui arrive d'être actif. Il me dit qu'il peut être aussi actif. Voilà qui me convient mieux.
Il se retourne, et sans prévenir me pince les tétons. J'adore, je me pâme et je ne tarde pas à rebander de fort belle façon. Tout en continuant à me serrer les bouts de seins il s'accroupit et engloutit ma bite. Mon Dieu qu'il suce bien, sa langue est magique !
- Il n'y a personne pour servir au bar ? Demande un inconnu.
- Une seconde j'ai la bouche pleine, répond le barman.
Mais les obligations du service sont ce qu'elles sont, il interrompt donc cette magnifique fellation pour servir l'intrus.
- On reprendra tout ça tout à l'heure ! Me précise-t-il
J'ai quand même la bite tendue et douloureuse. J'ai à peine le temps de me poser sur mon tabouret qu'une belle asiatique vient à mes côtés.
- C'est à vous tout ça ? Questionne-t-elle en me posant son index sur ma bite.
- On dirait bien !
- Et qu'est-ce qui vous a mis dans cet état ?
- L'ambiance.
- Je peux la sucer ?
- Avec plaisir ! Mais j'aimerais bien vous caresser avant.
Pas de problèmes, on se colle l'un contre l'autre, je lui pelote, puis lui embrasse ses jolis seins couleur de miel, je lui mets les mains aux fesses, curieusement très fermes. On se roule un patin, bref de la drague expresse et poussée. Puis elle me gobe le zizi. Joli pipe, même si celle du barman était mieux, elle procède par larges mouvements mettant tout ce qu'elle peut dans la bouche, me gobant les couilles, et attardant parfois son doigt à l'entrée de mon trou du cul. Puis elle exerce des petites poussées de la langue en comprimant mon gland entre ses lèvres. Ça c'est de la technique. Je jouis dans un râle. C'est ma troisième éjac depuis que je suis dans ce club. Je suis à plat.
- A votre tour, cher Monsieur ! M'invite-t-elle en s'asseyant, jambes écartées sur un tabouret.
Je ne suis pas un mufle ! Je m'accroupis entre les cuisses de cette charmante asiatique et commence à lui prodiguer un cunnilingus bien appliqué. L'affaire ne durera que deux minutes, elle jouit brillamment en m'aspergeant de ses sécrétions intimes.
- Merci et bonne fin de soirée ! Me dit-elle en disparaissant je ne sais où.
Muriel et Chantal reviennent un peu plus tard, pas vraiment ravies.
- Ils étaient bien montés mais c'est tout, rien dans la tête ! Déplore Chantal.
- Si on rentrait, Chantal va dormir chez nous, elle est venue ici avec un mec qui n'a rien trouvé de mieux que de la larguer.
- J'attends la fermeture, le barman veut faire des trucs avec moi !
- Ah ! Et bien dis donc, tu y prends goût, toi !
- C'est une soirée de folie, alors j'en profite.
- Et tu vas faire ça où ?
- Je ne sais pas.
- Tiens moi au courant que je m'inquiète pas, nous on file, on va prendre un taxi.
Une superbe femme mûre s'approche de Chantal. Elle a beau être à poil cette fausse blonde respire le fric et le fait remarquer brinquebalant bracelet, collier et chaine de taille
- Félicitations, votre copine est superbe. Je lui aurais bien fait quelques propositions, mais puisque la place est prise.
- Vous m'avez l'air d'une belle coquine, c'est dommage… une autre fois peut-être, là on rentre. Répond Muriel.
- Juste un bisou sur le téton ? Propose l'inconnue.
- Ça commence par le téton et on ne sait pas où ça s'arrête...
- Dites-moi juste oui ou non ?
- Juste dix secondes !
Les dix secondes sont vite devenues trente. Puis la femme a pris congé en leur lançant :
- Amusez-vous bien.
Je m'emmerde un peu, il ne se passe plus rien, les couples se sont formés, les trios aussi et même les groupes, l'établissement commence à se vider.
Un malabar barbu s'approche du bar en compagnie d'une femme au physique fatigué. La femme me fait un sourire auquel je réponds.
- Je me ferais bien baiser une dernière fois avant de rentrer ! me dit-elle
En fait ça ne me dit trop rien.
- Je suis un peu fatigué, j'ai peur de ne pouvoir assumer… commençais-je.
- On peut toujours essayer ! Insiste-t-elle. J'ai vu que tu étais un petit cochon je t'ai vu faire des trucs avec un homme tout à l'heure. T'aimes ça te faire sucer par des mecs, hein ?
- Oui, mais en fait, je préfère le contraire !
- Sucer des bites ?
- Oui !
- Tu veux goûter celle de Robert ?
Robert c'est donc son compagnon, il se branle mollement, la bite est assez jolie. J'acquiesce donc et me baisse pour mettre en bouche le pénis du malabar. Mais sa femme Danièle, nous arrête après deux ou trois coups de langues, et propose qu'on aille en cabine.
- Il y a deux trois mecs un peu glauques, je n'ai pas envie qu'ils s'approchent de moi, Explique-t-elle pour se justifier.
En cabine, Robert s'allonge sur le matelas, et je me mets à le sucer, Danielle me demande de le faire en me tenant accroupi.
- Je vais m'occuper de ton cul, me prévient-elle.
Pourquoi pas ? Ce doit être une spécialiste, elle a une façon de me tripoter le trou du cul qui rapidement me fait pâmer d'aise.
- Alors, il te suce bien ? Demande-t-elle à son compagnon.
- Super, c'est une bonne petite salope, elle a dû en sucer des bites !
Ça me fait drôle d'entendre parler de moi au féminin… Mais j'apprécie néanmoins le compliment… s'ils savaient qu'en fait cette bite n'est que la troisième de ma vie d'adulte.
La queue de Robert devenue très dure dans ma bouche est à présent atteinte de soubresauts.
- Je vais jouir ! Dit-il au cas où on n'aurait pas compris !
Je vais pour me dégager mais Danielle intervient :
- Laisse-le jouir dans ta bouche.
Cela n'est pas dans mes intentions, mais cette salope m'appuie sur la tête. J'aurais bien sûr pu me dégager et elle le savait très bien, mais je décide de me laisser faire. Me voici avec plein de sperme dans le gosier. Danielle se précipite alors contre moi, son visage se rapproche en un éclair, sa bouche trouve la mienne et nous voilà en train de s'échanger le sperme de Robert en un long baiser baveux. Drôle d'impression mais popaul réagit bien, me voilà de nouveau bandé comme un sapeur.
Danielle se met en levrette, me tend ses fesses et me demande :
- Allez, encule-moi bien comme il faut ! Tu as ce qu'il faut au distributeur.
Effectivement, je prends une dosette de gel intime avec laquelle je lui tartine l'anus, puis la capote protectrice. Je rentre là-dedans avec une facilité étonnante et commence à la limer. Derrière moi, Robert me pelote les fesses et me félicite, me disant que j'ai un "vrai cul de gonzesse". Décidément c'est la nuit des révélations. J'ai quand même du mal à assumer, certes, je suis excité, mais un peu crevé. Je me concentre, essaie de penser à des choses très cochonnes, mais rien n'y fait, je marque une pause, Danièle qui a compris interpelle Robert.
- Doigte-le ! Ça va le stimuler !
(à suivre)
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