Vendredi 24 février 2017 5 24 /02 /Fév /2017 10:17

  gay stamp

 

Ville de province au ciel tout gris
Où j'ai envie de faire pipi
J'entre dans cette grande brasserie
Me commande vite fait un demi
Me dirige vers les toilettes
Pour aller faire ma pissette.
Des urinoirs il y en a deux.
Devant l'un d'eux, je sors ma queue
Mais voici qu'un importun voisin
S'installe à l'endroit mitoyen
Costume, cravate et belle prestance
J'ignore ce qu'il manigance
Quand il exhibe sa pine puis l'astique ?
De la voir si belle me fout la trique
L'inconnu ose une main vers ma bite
Nous allons dans une cabine bien vite
A la barbare on se débraille
On se pelote vaille que vaille
Me voici entre ses cuisses à genoux
Sa queue dans ma bouche a très bon gout
Il s'intéresse à mon joli derrière
Introduit un doigt sans en avoir l'air
Et voilà qu'on frappe à la porte
- Jean-Pierre, il faut que tu sortes
Dit une voix de femme déterminée
- Un instant je ne l'ai pas encore enculé !
- On nous attend, nous sommes en retard
On se rhabille, on remonte vers le bar.
- Mon mari n'est pas sérieux
Il aime trop les queues.
Désolée qu'il n'ait pas été jusqu'au bout
Mais voici ma carte, venez chez nous
Il vous enculera devant moi sans aucune hâte
Pendant que je me branlerais la chatte !
Et je vous offrirais ma pisse.
Qu'il vous faudra boire avec malice…

Et voilà que je me réveille, la tête sur l'édredon
Quand aurais-je fini de faire des rêves à la con ?

Tiroir172

 

JST 24/2/17

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Jeudi 1 décembre 2016 4 01 /12 /Déc /2016 15:14

J’suis cocu mais content 2 – Partie presque carrée par Nicolas Solovionni

 

Petit rappel pour ceux qui n'ont pas lu la première partie (il vaudrait mieux la lire quand même …) Je me prénomme Gaétan, ma femme Christelle. J'ai appris qu'elle me trompait, étant mal placé pour le lui rapprocher (j'avais une liaison avec une collègue) je ne lui en ai pas fait reproche, mais j'ai trouvé excitante l'idée de l'épier pendant qu'elle faisait l'amour avec son amant.

 

En fait d'amant, elle en avait deux qu'elle recevait simultanément. Mais comme la discrétion n'est pas ma qualité première elle a découvert que je l'observais. D'où explications. Christelle me proposa de rompre avec ma collègue, en contrepartie je pourrais assister à ses ébats sans être obligé de me cacher et je pourrais même participer. Elle me précise même que l'un de ces amants manifeste de fortes tendances bisexuelles et que… enfin vous avez compris…

BiteFlag

 

La partouze eut lieu, cela tourna au fiasco avec l'un des deux amants de ma femme, en revanche avec l'autre, Philippe, cela se passa de la meilleure façon du monde. Fin du résumé

 

Philippe parti, je m'attendais à un commentaire de Christelle, elle n'en fit pas et s'en alla prendre une douche. Quand elle en sortit elle m'indiqua simplement que je pouvais y aller à mon tour.

 

Elle est ensuite allé préparer le repas du soir.

 

Son silence m'énerve, je n'aime pas ça ! Je me douche vite fait, enfile un peignoir, et la rejoint en cuisine.

 

- Ça va ? Demandais-je bêtement.

- Super ! Répond-elle tout sourire.

 

Elle ne me demande pas si moi, ça va !

 

- J'ai mal au cul ! Lâchais-je.

- Je n'ai plus de tomates, tu veux que j'ouvre une boite de maïs pour la salade ?

 

Elle rien à rien à foutre de mon cul !

 

- Tu fais la gueule ?

- Mais pas du tout, mon amour !

- Ah, bon, je croyais.

- Qu'est-ce qui te fais penser à une chose pareille ?

- Je sais pas, on vient de vivre une expérience, comment dire…

- Amusante ?

- Ce n'est pas le mot que je cherchais, mais bon… et toi, tu fais comme ci il ne s'était rien passé.

- Et que voudrais tu qu'on fasse ? Que nous dissertions ?

- Non, je pensais simplement qu'on en parlerait.

- On en parlera à table si tu veux ?

 

Bon, je ne cherche pas trop à comprendre mais je me dis que quelque chose cloche, elle veut sans doute me dire un truc mais doit réfléchir à la façon de le faire ! C'est compliqué les femmes, parfois !

 

On passe à table, je ne me suis pas rhabillé, j'ai troqué mon peignoir contre une robe de chambre. On se sert, Christelle est souriante, elle ne donne pas du tout l'impression de faire la gueule, mais elle ne dit rien.

 

- Tu voulais me dire quelque chose ? Lançais-je.

- Y'a pas le feu !

- Tu m'avais dit qu'on parlerait à table…

-  C'est-ce qu'on fait, on parle !

- T'es bizarre ce soir !

- Mais non, et ton cul, tu as toujours mal ?

- Un tout petit peu !

- C'est bizarre, ça, quand je te mets un gode, ça ne te fait pas mal.

- Une gode et une bite, c'est pas la même chose !

- Ah tu as remarqué aussi ? Se moque-t-elle. On va dire que c'était une expérience ! Donc tu ne la renouvelleras pas ?

- J'ai pas dit ça !

 

J'ai répondu par réflexe !

 

- Tu voudrais recommencer ? Minaude-t-elle.

 

Mais bon sang, à quoi joue-t-elle ? Du coup je ne sais plus quoi répondre.

 

- La femme de Philippe, tu la connais ? Reprend-elle.

- Pas plus que toi, bonjour, bonsoir, je ne connais même pas son prénom.

- Mais si l'occasion se présentait, tu ferais des trucs avec elle ?

- En fait d'occasion, il me semble justement que le voisin nous a tendu une perche !

- Ah oui une perche, elle est jolie sa perche, tu as bien aimé la sucer sa perche ?

 

Elle m'énerve, elle m'énerve !

 

- Ben oui, j'ai bien aimé le sucer ! Voilà, t'es contente ?

- Et t'as bien aimé qu'il t'encule, aussi ! C'était très amusant, tu frétillais d'impatience, tu te demandais s'il allait le faire ou pas !

- Et alors ? Tu ne vas pas me le reprocher ! C'est bien toi qui a tout organisé ? Non ?

- En fait, tu es un suceur de bites et un enculé !

- Et toi tu es quoi ?

- Une salope ! Me répondit-elle le plus calmement du monde. Mais tu n'as pas répondu à ma question.

- Quelle question ? Sa femme ? Ben oui, si elle se pointe pour une partouze, je ne vais pas aller coucher dans la baignoire !

- Je m'en doute bien, tu es un gros cochon.

- Un gros cochon et une salope, on est sans doute fait pour s'entendre.

- Nous y voilà !

 

Qu'est-ce qu'elle va encore me sortir ?

 

- C’est-à-dire ?

- J'aurais préféré qu'on attende demain, la nuit porte conseil et on n'est pas pressé...

- Mais enfin, où veut-tu en venir, tu joues au chat et la souris depuis tout à l'heure.

- Il y a que j'aurais préféré réfléchir un peu plus, mais après tout on peut défricher le terrain ensemble, n'est-ce pas mon gros biquet ?

 

Si je suis son gros biquet, c'est qu'il ne doit rien y avoir de grave !

 

- Bon, alors explique-moi le souci !

- Il n'y a pas de souci, mais il faut qu'on mette les choses sur la table !

 

Et c'est à ce moment que le téléphone portable de Christelle sonna.

 

- Ah ! Bonsoir Vincent ! Tu vas mieux ?

 

Elle me fait signe que c'est le plombier (voir le chapitre précédent) elle branche le haut-parleur.

 

- Oui ça va mieux, je voulais m'excuser pour tout à l'heure, j'ai eu comme un coup de chaud ! Raconte la voix dans le téléphone.

- Mais ce sont des choses qui arrivent…

- Je ne voudrais pas que tu sois fâchée !

- Fâché, non pas du tout, pourquoi est-ce que je serais fâchée ?

- Parce que tu sais, il y a des choses que je n'ai jamais fait.

- Oui, et alors ?

- Je ne voudrais pas que tu penses que je me suis défilé à cause de ça !

- Mais je sais bien, Vincent, tu as les idées larges, et puis tu n'es pas un dégonflé.

 

Christelle me fait un signe me faisant comprendre qu'elle le manipule. Ça va, j'avais compris.

 

- O.K, je suis content que tu ne sois pas fâchée, on se revoit quand ? Demande l'importun.

- Mais quand tu veux, ta jolie bite est toujours la bienvenue. Je parie que t'es en train de bander en ce moment.

- Euh…

- Tu sais comment je suis habillée ce soir, j'ai juste un petit déshabillé transparent en soie, j'ai mes tétons qui frottent contre le tissu, ça les rend tout dur.

 

Je me marre parce qu'en fait elle a une espèce de pyjama d'intérieur qui n'a vraiment rien de sexy.

 

- Arrête, tu m'excites. Répond l'autre anduille.

- Je descends ma main vers ma petite chatte et je me tripote en pendant à ta grosse bite.

- Euh !

- Tu es où là ?

- Dans ma camionnette, je me suis garé, je vais rentrer chez moi.

- Alors préviens ta femme que tu as une urgence, tu peux être là dans combien de temps ?

- Mais ton mari ?

- Mon mari, il est là ! Pourquoi ?

- Euh !

- Il nous regardera, il adore mater, c'est mon petit cocu !

- On ne peut pas remettre ça à un autre jour ?

- Babababa ! Tu as envie, moi aussi, alors tu radines ! Tu ne voudrais quand même pas me décevoir ?

- Ton mari, il regarde et c'est tout ?

- Mais on verra sur place, t'es là dans combien de temps ?

- Oh, vingt minutes.

 

Je n'en crois pas mes oreilles, la situation à l'air d'amuser Christelle.

 

- Bon on se dépêche de manger ce poulet, après faut je retrouve ma nuisette.

- Tu lui dis de venir à ce type et tu ne me demandes même pas mon avis ?

- Non, parce que ce soir, c'est moi qui commande !

- Comment ça ?

- Tu ne veux pas jouer ?

- A parce que c'est un jeu ?

- Oui !

- Et il va se passer quoi d'après toi ?

- On va baiser devant toi, mais avant tu vas lui sucer la bite.

- Et s'il se dégonfle ?

- Je le vire !

 

Un quart d'heure plus tard, Vincent était là.

 

- Tu veux boire quelque chose, une bière ! Lui propose Christelle.

 

Le gars n'arrête pas de reluquer le très beau déshabillé de Christelle, et histoire de le déstabiliser davantage, elle lui met la main à la braguette. Par contre il est gêné par ma présence… mais difficile de reculer maintenant pour lui sous peine de perdre la face.

 

Christelle lui a servi une bière, mais ne lui laisse pas la boire, elle l'enlace, ils s'embrassent se pelotent, très rapidement le pantalon de l'homme dégringole sur ses chevilles, le caleçon ne tarde pas à suivre le même chemin, et le voilà la bite à l'air.

 

Flexion du genou et Christelle se retrouve avec la queue de l'homme dans la bouche. Vincent est aux anges.

 

- On va te sucer à deux ! Lui dit alors ma femme en me faisant signe de m'approcher.

- Euh…

Niko_161204.jpg  

Il est embarrassé, mais ne sait pas comment l'exprimer. Me voilà à genoux aux côtés de mon épouse, elle me refile gentiment le membre gluant de salive et hop le voilà dans ma bouche. Il est 19 heures 30 et la bite du plombier ne sent pas précisément la savonnette, malgré le fait que la bouche de Christelle soit passée avant la mienne. Pas bien grave ! Je lèche le gland, lui titille le méat, donne des grands coups de langues sur la verge, néglige les testicules qui sentent la transpiration. Je ne sais pas comment faire des gorges profondes, j'engloutis donc tout son paquet en le calant au fond de ma joue, puis je pratique une fellation avec mles lèvres en sangsue en faisant avancer et reculer le membre dans ma bouche. Toute une technique ! Ça sert d'avoir vu des films pornos !

 

N'ayant pas l'intention de gâcher le plan de ma compagne, je lui retends la chose. Elle me fait signe de me reculer un peu, puis se relève !

 

- Alors il t'a bien sucé ?

- Ça va ! Répond le plombier, un peu confus.

- T'en es pas mort !

- Non !

- Et moi, ça m'a fait plaisir !

- On va sur le canapé ?

 

Christelle ne répond pas, mais s'y installe en levrette. J'ai une vue imprenable sur son joli cul que je connais par cœur, mais ce doit être l'ambiance, je bande comme un cerf et ne sait pas quoi faire de ma bite.

 

Me sucerait-elle pendant que l'autre la pine ? Je n'ose pas lui demander, elle est trop bizarre ce soir, mais j'attends qu'elle me sollicite.

 

L'autre s'est encapoté et se déchaine dans une série d'impressionnants allers et retours. Christelle lui demande de changer de trou. Le plombier n'attendait que ça, et le voici qu'il encule ma moitié en poussant des cris d'haltérophile sur le retour.

 

Christelle prend son pied en gueulant comme une forcenée. L'autre encouragé force le mouvement et finit par éjaculer en soufflant comme un bœuf.

 

Le gars n'a rien d'un romantique, il décule, se recule, s'éponge le front, vire sa capote et va enfin écluser sa bière.

 

- C'était super, mais maintenant faut que j'y aille. Je vais faire pipi avant.

- Pisse sur mon mari, il aime bien ! Propose Christelle.

- N'importe quoi ! Répond le plombier qui ne comprend pas que la proposition était sérieuse.

 

Christelle n'insiste pas, le gars prend congé, il a le tact de ne pas rouler une pelle à ma femme devant moi, juste un petit bisou comme entre cousins et pour moi une poignée de main avec un petit sourire gêné..

 

En attendant, moi, je n’ai pas joui et je bande toujours. D’un geste de la main je demande à mon épouse de constater l’état de mon membre.

 

- Je me remets en levrette ? Me propose-t-elle.

 

Elle n'attend pas ma réponse et me voilà avec une vue imprenable sur son cul que l'autre andouille vient de labourer et qui est encore tout humide.

 

J'y vais à la hussarde ! Directo dans le trou de balle.

 

- Quelle fougue, ce soir ! Dis-moi, ça ne te gêne pas de passer après le plombier.

 

Je ne réponds pas ! Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Ça t'excite d'être mon cocu ? Reprend-elle.

 

Je ne réponds toujours pas, elle m'énerve un peu avec ses réflexions idiotes.

 

- Si tu ne réponds pas, on arrête.

 

Elle en est capable ! Alors elle l'aura voulu !

 

- Et toi ça t'excite de t'envoyer tous les mecs qui passent.

- Bien sûr que ça m'excite, mon petit cocu !

- Je suis peut-être cocu, mais toi t'es une salope !

- Cocu et pédé en plus !

- Si ça peut te faire plaisir, grosse pute !

- Non, je ne me fais pas payer… mais il faudra que j'y réfléchisse, ça arrondirait nos fins de mois.

- Tais-toi, je viens !

- On pourrait passer une annonce : couple vicieux et bisexuel pour assouvir vos fantasmes les plus secrets, oh, ooooh, oh, c'est boooooon !

 

Madame a joui, du coup, elle ne raconte plus de conneries. Encore un effort je ne vais pas tarder à venir…. Ça y est !

 

Grand élan de tendresse, nous nous enlaçons tendrement pendant quelques longues et délicieuses minutes.

 

- J'ai envie de pisser, ça t'intéresse ? Me demande-t-elle au bout d'un moment.

- Non pas maintenant, je suis crevé !

- C'est comme tu veux ! Au fait tu as vu ta bite ?

- Ben quoi ma bite ? Je vais aller me la rincer, t'es pas obligé de regarder.

 

C'est vrai qu'elle n'est pas ressortie intacte de ce petit pilonnage dans le cul de ma belle.

 

- Reste là, je vais te la nettoyer !

- Pas cap !

- Tu vas voir si je suis pas cap !

 

Et avant que j'ai pu dire ou faire quoi que ce soit, elle me prend la queue en bouche et me nettoie du sperme gluant et des choses brunâtres qui s'y étaient agglutinés.

 

Elle me regarde ensuite, tout sourire, pas dégoûtée pour un rond.

 

- C'est la première fois que tu fais ça avec moi…

- C'est la première fois que je fais ça tout court ! Mais je recommencerais !

- Mais enfin, qu'est-ce qu'il t'arrive ?

- Bon assis-toi, on va causer.

 

On s'assoit de part et d'autre de la table de la salle à manger. Christelle allume une cigarette. Elle semble hésiter à se lancer.

 

- Bon, j'ai un peu de mal à faire le tri dans mes idées. J'aime le sexe et aimer le sexe, ça veut dire aimer le changement. Il n'est pas question en ce qui me concerne de remettre en cause notre vie en couple, mais toi t'en pense quoi ?

- Il est où le problème, on tolérait nos écarts, aujourd'hui on a été un peu plus loin, j'ai trouvé ça comment dire…

- Excitant ?

- Oui, et puis ça change !

- Hummm, disons que jusqu'à présent je gardais quelques-uns de mes fantasmes sans t'en parler. Maintenant je ne vois pas pourquoi on se gênerait

- Oui mais alors il est où le problème ?

- Le problème c'est que si tu te figures que je vais renoncer à m'envoyer en l'air quand tu es au travail tu te fous le doigt dans l'œil.

- Tu m'as bien demandé de rompre avec Julie (voir la première partie)

- C'est pas pareil, Julie, c'est une liaison, et avoir une liaison c'est prendre le risque de provoquer une rupture. Je n'ai aucune envie de ne plus vivre avec toi ! Mais bon, je ne suis pas derrière toi et je ne vais pas aller te surveiller, mais ce serait con qu'on se quitte d'autant que maintenant on va partouzer ensemble.

- Mwais…

- Pas convaincu ?

- Faut que je prenne du recul.

- Aujourd'hui tu as sucé deux bites et tu t'es fait enculer, t'as eu besoin de prendre du recul pour ça ?

 

Touché !

 

- C'était un fantasme !

- N'empêche que tu recommencerais bien ?

- Oui !

- Alors je te propose ceci : A l'extérieur on fait comme avant, sauf que si on se racontait nos petits écarts ce serait encore mieux. Ici c'est moi la chef, c'est moi qui organise tout.

 

Si ça peut lui faire plaisir.

 

- Parce que moi je ne peux rien organiser ?

- Non, parce que je n'ai pas envie que tu me ramènes des mecs qui ne me disent rien... Et puis je préfère, comme ça, tu seras mon petit cocu ! Tu te rends compte la chance que tu as, je m'envoie des tas de mecs…

- Des tas ?

- C'est une expression, donc je m'envoie des mecs, mais c'est avec toi que je partage ma vie !

- Bon, et bien on n'a qu'à essayer de faire comme ça quelque temps et on verra bien si ça nous convient ! Répondis-je mettant un terme à cette discussion surréaliste.

 

Et je me lève pour aller pisser. Mais voilà que Christelle recommence à parler. Une vraie pie, ce soir !

 

- Il faut que je te dise, j'ai eu une liaison !

- Ah !

- Oui avec une femme !

- Je la connais ?

- Peut-être, c'était Mylène, la petite blackette qui travaillait à la pharmacie, elle a déménagé depuis…

- Celle avec les cheveux bouclés ?

- Oui !

- C'est vrai qu'elle était mignonne !

- Oui et une belle cochonne ! Elle m'a fait faire de ces trucs !

- Ah !

 

Ça y est, je vais avoir droit au détail de ses galipettes…

 

- Quand je lui léchais la chatte, elle partait au quart de tour. Et je ne te dis pas la fontaine, la première fois elle m'avait demandé une serviette, je me demandais pourquoi après j'ai compris.

- Ah ?

- Et puis, fallait voir comment elle me léchait, une artiste !

- Et elle t'a dragué comment ?

- C'était pas de la drague, en fait, un jour je lui ai demandé conseil pour une crème épilatoire non allergique, on s'est mise à délirer et puis de fil en aiguille…

- Je vois !

- Oui une sacrée cochonne !

 

Mais non, elle n'insiste pas, c'est une idée !

 

- Bon alors tu meurs d'envie de me raconter ce qu'elle faisait comme cochonneries, alors vas-y, je t'écoute.

- Mais non, tu vas être choqué !

- Choqué, moi ?

- Oui !

- Raconte !

- On jouait souvent à des jeux de pipi, un jour elle était à califourchon sur la cuvette, et elle m'a dit qu'elle voulait faire caca et que si ça me gênait de voir ça, il faudrait mieux que j'aille l'attendre à côté.

- Et alors t'es restée ?

- Oui, et ça m'a excité ! Alors je ne sais pas ce qui m'a pris, mais elle m'a proposé sans que je sache si elle plaisantait ou pas, de l'essuyer avec ma langue, ben je l'ai fait.

- Et ben ! Mais ne compte pas sur moi pour jouer à ces trucs-là !

- Je ne te le demande pas !

 

Et voilà qu'elle me met la main sur la braguette.

 

- N'empêche que ça t'a fait bander ma petite histoire.

- Je bande facilement ! Mais pas touche, j'ai un peu mal à la bite après toutes ces excitations.

- Ma pauvre bibiche.

 

Samedi soir

 

Christelle avait organisé "le coup" avec Philippe. Il viendrait avec sa femme pour prendre l'apéritif, elle serait prévenue de la tournure que pourrait prendre les événements, mais il avait été convenu que si des réticences apparaissaient, on en resterait là.

 

- Je vous présente Sophie ! Nous dit Philippe

 

Sophie est une jolie brune, elle a soigneusement soigné son maquillage pour venir chez nous s'est probablement rendue chez le coiffeur dans la journée. C'est en tout cas la première fois que je la vois de si près.

 

Pas coincée la Sophie qui nous fait la bise avec un joli sourire.

 

Elle enlève son manteau et là où je pensais découvrir une tenue sexy, je n'ai droit qu'à un gros pullover nordique et à un jean.

 

On s'assoit, je sers l'apéritif. On ne sait pas comment commencer, alors on fait comme tout le monde, on parle du temps qu'il fait. C'est d'une originalité !

 

Sophie ne me regarde pas, je ne dois pas être son genre, en revanche elle dévisage Christelle avec une insistance non dissimulée.

 

Un ange passe, les considérations météorologiques ne sont pas inépuisables. En principe après on passe à l'évocation des vacances…

 

Pas cette fois puisque Sophie prend la parole.

 

- Bon autant entrer dans le vif du sujet, Philippe m'a expliqué ce qu'il souhaitait. Moi je ne souhaite rien, mais je ne suis pas contre.

 

Nous répondons Christelle et moi d'un sourire entendu.

 

- Disons que je ne suis pas contre le fait d'essayer ! Tient-elle à préciser.

 

Un blanc, personne ne dit plus rien ! Dois-je proposer à ces braves gens que nous déshabillions tous ?

 

Sophie reprend :

 

- Philippe m'a raconté que vous vous étiez enculé, j'avoue que j'aimerais assez voir ça !

- Vous ne l'avez jamais vu faire ? Demande Christelle.

- Tutoyons nous ! Si je l'ai vu, mais c'était il y a assez longtemps, les circonstances conduisant à ce genre de choses ne sont pas si fréquentes.

- Tu voudrais qu'on commence par faire un petit spectacle ? Propose Philippe.

- Oui, mais ça me plairait assez d'en être l'organisatrice. Ça vous dit ?

 

Pas d'objection.

 

- Alors voilà, les garçons mettez-vous debout l'un en face de l'autre, Christelle, vient à côté de moi !

 

Le programme ne me déplaît pas, mais j'ai comme l'impression que je ne baiserais pas Sophie ce soir. Je me bois une rasade de Martini et j'obtempère.

 

Me voilà en face du Philippe.

 

- Embrassez-vous sur la bouche en vous touchant la braguette, vous faites ça jusqu'à ce vous bandiez tous les deux.

 

Ça commence mal, j'ai déjà eu des réticences à embrasser l'autre zouave l'autre jour, qu'est- ce que vous voulez, ce n'est pas mon truc, mais je ne vais pas commencer à casser l'ambiance alors que les choses commencent à peine !

 

Je me laisse embrasser mollement, son visage pique, il aurait pu se raser avant de venir, ce con !

 

Ce qui se passe plus bas est plus intéressant, la main de Philippe qui me touche la bite à travers le tissu de mon pantalon, parvient à la faire bander assez rapidement. La mienne ne chôme pas et je sens bientôt sa quéquette grossir et se raidir.

 

Sur le canapé, Sophie commence à se faire entreprenante, elle a sa cuisse collée contre celle de Christelle, laquelle accepte cette timide approche avec un large sourire...

 

- Baissez vos pantalons et le reste, on veut vous voir la bite à l'air tous les deux.

 

Ce n'est pas un problème, je retire tous le bas, m'en vais précautionneusement déposer tout cela sur un dossier de chaise, Philippe fait de même, et nous reprenons nos places l'un devant l'autre attendant les instructions de ces dames.

 

Ces dames justement en sont aux caresses sur les cuisses et sur les bras, leurs visages se rapprochent et les voilà qu'elle se roulent un patin.

 

Ne voulant pas rester à ne rien faire, j'avance ma main vers la bite de mon partenaire et commence à la tripoter. Ce contact me plait décidemment beaucoup, c'est doux, c'est chaud, c'est attendrissant. Evidemment il me rend la politesse, c'est un homme bien élevé.

 

- Mais qu'est-ce qu'ils font ces deux-là, se moque Sophie ! Je ne vous ais pas donné l'autorisation de vous tripatouiller. Bon, vous allez vous sucer ! Mais qui suce l'autre en premier ? Tu en penses quoi Christelle.

- Je te laisse décider !

- Alors, vas-y Philippe, suce la bonne bite de Gaëtan. Mais avant finissez de vous mettre à poil.

 

Et voilà le Philippe à genoux devant moi, ma queue dans sa bouche en train de s'appliquer. Il suce bien, mais il se trouve que je préfère sucer qu'être sucé, mais mon tour viendra ensuite, du moins je l'espère.

 

Un coup d'œil sur la banquette où ces dames sont de plus en plus débraillées, Sophie à le pantalon et la culotte sur les cuisses et par conséquent la chatte à l'air, tandis qu'un sein s'est échappé du soutien-gorge de Christelle.

 

- On ne voit rien ! Proteste Sophie. Non ne bougez pas, j'arrive.

 

La voilà qui se lève au grand dam de Christelle qui n'a plus personne à peloter. Elle se colle derrière mon dos et m'attrape mes bouts de seins qu'elle entreprend de tournicoter dans tous les sens. Du coup ma bandaison activée par la langue agile de Philippe est à son maximum.

 

Ce délicieux moment ne dure, malheureusement pas très longtemps car Sophie toujours en maîtresse de cérémonie, nous fait intervertir les rôles.

 

Me revoilà avec une bite dans la bouche, je vais devenir un spécialiste, si ça continue ! Mais j'adore ça, je le confesse, c'est doux, c'est délicieux, c'est follement pervers.

 

Il faut croire que regarder son mari se faire sucer n'intéresse pas Sophie qui est retournée sur le canapé aux côtés de Christelle, Les deux femmes se déchainent maintenant. A moitié nues, elles s'embrassent, se caressent, se lèchent et se tripotent la chatte. Joli spectacle !

 

- Si on se mettait en 69 ? Propose Philippe.

 

Pourquoi pas ? Je n'ai jamais pratiqué ce genre de chose avec un homme, mais je me dis que sucé et être sucé en même temps, ça ne peut-être que tout bon, n'est-ce pas ?

 

On se met en position, non pas l'un sur l'autre mais un peu de côté, et on commence

 

- Eh ? vous faites quoi les deux pédés ? Intervient Sophie !

- Ben ça se voit non ? Rigole Philippe.

- Relevez-vous !

 

Il ne discute pas ! A mon avis il aime bien jouer les soumis, je fais pareil, je ne vais pas rester tout seul par terre.

 

- Face à nous, qu'on voie bien vos bites ! Oh ! Mais dites-moi, ça bande bien tout ça ! Ça vous a bien excité de vous sucer la bite, bande de tarlouzes ! Branlez-vous un peu qu'on voie comment vous faîtes. Mais non pas chacun de son côté, branlez-vous mutuellement voyons !

 

C'est vrai que ce n'est pas désagréable du tout de branler une bite qui n'est pas la sienne, c'est agréable, c'est vivant et puis c'est tellement pervers !

 

- Lequel va enculer l'autre ? Demande Sophie avec un air faussement innocent.

- Soit tu choisis, soit on tire à pile ou face ! Répond Christelle.

- Si tu me laisses choisir, je voudrais que ce soit Philippe qui se fasse enculer.

 

Et moi qui espérait le contraire. Pas de bol ! Tant pis ce sera pour une autre fois, s'il y a une autre fois, ou tout à l'heure si je suis encore motivé.

 

Je prends une capote dans la boite que j'avais placé intentionnellement sur la bibliothèque, et je me l'enfile, j'ouvre aussi une dosette de gel.

 

Philippe est déjà en position. En levrette, le cul cambré, les fesses écartées, je l'ai déjà dit : mes fantasmes en matière de bisexualité vont essentiellement du côté passif, et ce cul, s'il ne me laisse pas complétement indifférent ne m'excite pas tant que ça. Je m'approche, j'aurais pu doigter, lécher, mais je n'ai pas envie, ça ne se commande pas. Je lui tartine le cul avec un peu de gel ! Et vas-y Léon, je rentre là-dedans et commence à m'activer, je rentre, je sors, je fais ressort ! C'est mon zizi qui fait du sport !

 

J'ai un peu peur de débander, ça m'embête un peu, je ne voudrais pas que cette affaire tourne au fiasco. J'essaie d'invoquer mes fantasmes mais ça ne le fait pas trop bien, je lorgne du côté de Sophie mais elle est tellement emmêlée avec Christelle que je ne vois pratiquement rien.

 

- On peut peut-être intervertir les rôles ? Proposais-je à la cantonade.

- Continue, j'arrive ! Me répond Sophie.

 

Elle arrive pour quoi faire ?

 

Sophie est maintenant quasiment à poil si l'on excepte ses chaussettes. C'est vraiment une jolie femme, pas un canon, mais mignonne comme un cœur, elle a une jolie poitrine juste un peu lourde avec de jolis tétons bruns et arrogants. Bandante la fille !

 

Elle passe derrière moi et comme tout à l'heure me pince les tétons, du coup mon érection s'optimise de nouveau, d'autant qu'elle colle les siens (de tétons) contre mon dos, je ne vous dis pas l'effet que ça me fait.

 

Je redouble d'ardeur et ce qui devait arriver arriva, je ne peux plus me contrôler, je pilonne comme un dingue, je m'excite, je pilonne de plus en plus vite et finit par jouir comme un charretier dans le trou de balle de Philippe.

 

Je décule, me débarrasse de la capote dans un kleenex et vais pour me diriger vers la salle de bain pour me faire une rincette, mais Philippe veut me sucer la bite pour en lécher le sperme. Philippe est un cochon.

 

- Tu l'as bien enculé, ce pédé ! Me félicite Sophie.

 

Et la voilà qui se vautre sur le canapé, les jambes en l'air en demandant à Christelle de venir la lécher.

 

Je m'assois dans un fauteuil, je regarde, c'est beau ! Philippe vient debout près de moi, je ne sais pas ce qu'il veut, il ne dit rien, alors on regarde tous les deux. Sophie ne tarde pas à jouir dans un vacarme épouvantable.

 

Heureuses femmes qui peuvent jouir sans presque discontinuer. Elles ont interverti les rôles, Christelle qui se fait maintenant lécher la chatte par Sophie fait signe à Philippe de s'approcher et lui suce la bite.

 

Tout ce petit monde finit par prendre son pied.

 

- Je vais pisser ! Ça intéresse quelqu'un ? Demande Sophie.

 

Bien sûr que ça m'intéresse, mais Christelle m'a devancé. On ne rentrera pas à trois dans la salle de bains qui n'est pas bien grande. Mais l'image de Sophie pissant d'abord sur les seins de ma compagne, puis dans sa bouche hanta longtemps mes nuits d'insomnies.

 

Philippe et Christelle devaient déménager en province, on devait se revoir avant, ça ne s'est pas fait. On devait rester en contact, on s'est envoyé quelques mails… et puis comme on dit loin des yeux loin du cœur.

 

Mais, Christelle est restée la même, pas facile de trouver des amants qui acceptent qu'on les regarde, et encore moins qu'on participe. Je lui ai donc suggéré de passer une annonce. Ça ne marche pas si mal que ça et en ce moment elle voit régulièrement Fredo, il baise ma femme devant moi, il aime bien que je le suce et parfois il m'encule.

 

Je suis cocu mais content !

 

Nicolas Solovionni, novembre 2016

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Niko
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Jeudi 1 décembre 2016 4 01 /12 /Déc /2016 07:22

J'suis cocu mais content

1 Partage de bite

par Nicolas Solovionni

 

BiteFlag

 

Quand je me suis mis en ménage avec Christelle, une collègue de bureau, nous étions conscients que, très portés sur le sexe et la recherche de nouveaux partenaires, l'un et l'autre, la vie commune n'y mettrait pas un frein absolu. Nous avions donc convenu que nous tolérerions nos écarts mutuels à la double condition qu'il ne s'agisse pas de liaisons durables et que ça ne perturbe pas notre vie de couple.

 

C'est très beau la théorie ! Et c'est ainsi que pendant 7 ans, nous avons mené une vie de couple sans problème majeur. Ayant obtenu rapidement une intéressante promotion professionnelle, je suggérais à Christelle de rester à la maison, ce qu'elle accepta volontiers. Je trompais régulièrement ma femme, mais j'étais persuadé qu'elle n'en savait rien, J'étais également persuadé, allez donc savoir pourquoi, qu'elle, de son côté ne me trompait pas…

 

Qui a dit "Un homme intelligent ne rentre jamais chez lui en avance sans prévenir" ? Pour avoir oublié ce sage précepte, j'ai failli commettre une belle erreur.

 

Ce jour-là, j'en avais fini plus tôt que prévu avec un client et n'ayant rien de spécial à faire je décidais de rentrer à la maison. Il était 17 heures. Je rentrai, je cherchai ma femme, ne la trouvai pas !

 

- Christelle !

 

Pas de réponse, mais j'entends le bruit de la douche, je vais vers la salle de bain, j'ouvre, elle pousse un cri !

 

- Christelle, qu'est ce qui se passe ?

- Ben, rien j'avais envie d'une douche, tu m'as fait peur.

 

Je la laisse terminer et rejoins le salon, un verre et une canette de bière vide traînent sur la table. Bizarre, Christelle ne boit jamais de bière. Quelqu'un est venu ! Christelle me dira qui !

 

Justement la voilà qui revient emmitouflée dans son peignoir.

 

- Comment ça ce fait que tu es déjà là ?

- Tu n'es pas contente de me voir ?

- Si bien sûr, mais je demande ça comme ça.

 

Je lui explique.

 

- Et toi rien de neuf ?

- Ben non rien ! Répond-elle

 

Je ne comprends pas, si quelqu'un est venu, elle devrait me le dire ! Je n'avais jusqu'à présent aucun soupçon et c'est en toute innocence que j'en ajoute une couche :

 

- La routine quoi ? T'as vu personne ?

- Non, pas un chat…

 

Et soudain son visage rougit, elle vient de réaliser la présence de la canette et du verre sur la table.

 

- Enfin, si… il y a un représentant qui s'est pointé, il m'a cassé les pieds, il voulait me vendre des encyclopédies. Je l'ai foutu à la porte.

 

Elle ment, je le sais, bien sûr on peut toujours offrir à boire à un vendeur à domicile, puis le virer après, mais je n'y crois pas. J'ai le choix entre deux stratégies : ou bien je lui mets le nez dans ses contradictions, et ça va tourner en crise conjugale, ou bien j'écrase le coup. J'opte pour la deuxième solution après avoir respiré un grand coup.

 

- Tous des cons les représentants, moi je ne lui aurais même pas offert à boire !

- Il avait soif !

- Bon qu'est-ce qu'on mange ?

- Attends il n'est pas l'heure ! Me répond-elle toute étonnée de s'en sortir si bien.

- Je mangerais bien des pâtes !

- Pourquoi pas ?

 

Dès que je peux, je me faufile dans la salle de bain. J'ouvre la poubelle, je fais l'inspection des kleenex qui y sont déposés, et c'est ainsi que très rapidement j'en trouve un, enveloppant un préservatif usagé ! La salope !

 

J'encaisse le coup me disant que le jour où elle me reprochera mes écarts si elle arrive à être au courant, j'aurais un argument en or. Je te trompe, tu me trompes, on est quitte, et d'ailleurs n'est pas ce qu'on avait convenu plus ou moins au départ ?

 

Ça c'est la théorie ! Parce qu'en fait les jours suivants je me suis demandé qui pouvait bien être le salopard qui tronchait ma femme pendant que je bossais pour ramener l'argent du ménage.

 

Je me suis pris la tête pendant plusieurs jours, je voulais absolument savoir s'il s'agissait d'une toquade ou d'une liaison. Comment savoir ? Partant du faux postulat selon lequel les liaisons adultérines se font à jours fixes, je décidais de me mettre en faction le jeudi suivant, en milieu d'après-midi. Après avoir garé ma voiture dans la commune voisine, je louais un véhicule et me postais non loin de l'entrée de mon pavillon. Je n'avais plus qu'à attendre. Vers 16 heures une camionnette se gare devant la grille. C'est le plombier ! Zut alors il y aurait donc une fuite à la maison ? Christelle a appelé le plombier alors que j'aurais peut-être pu faire moi-même la réparation. Une envie folle de l'appeler sous un prétexte quelconque afin de savoir ce qui se passe. Mais j'hésite, je lui téléphone très rarement quand je suis au travail et elle risque de trouver ça bizarre. J'attends donc, le plombier repart au bout d'une heure… A 18 heures n'ayant rien observé de particulier, je m'en vais rendre la voiture et sans me presser me voici à la maison à 19 heures.

 

- Bonsoir Chérie, en forme ?

- Ça va !

- Rien de spécial ? Il y a du courrier !

- Pas de courrier et rien de spécial ! Me répond-elle.

 

Mais pourquoi ne me parle-t-elle pas du plombier ? Elle aurait fait une bêtise qu'elle n'a pas su réparer et ne veut pas m'en parler ? A moins que ce soit lui l'amant ? Je me faufile discrètement dans la salle de bain et refait la même inspection poubelle que l'autre fois. Quand je trouve la capote, je deviens blême ! Je fais quoi ? Je fais quoi ?

 

- Tu n'as pas l'air bien Gaétan ?

- C'est la fatigue.

 

J'eus du mal à trouver le sommeil le soir, le salopard étant identifié je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer en train de tripoter les seins et les fesses de ma femme. Je m'imaginais aussi Christelle occupée à lui sucer la queue, en train de se faire prendre dans toutes les positions, en train de se faire sodomiser… et voilà que la chose me faisait bander. Ne pouvant rester comme ça, je sollicitais madame qui manifesta le désir de dormir tranquille. Je me levais donc et allais me masturber dans la salle de bain.

 

Le lendemain vendredi, je devais coucher avec Julie, une collègue, pendant la pause de midi. Alors que d'habitude je prends mille précautions afin de ne pas être repéré, sans doute est-ce mon inconscient qui me poussa à lui rouler une galoche à la sortie du bureau.

 

- Tu es fou ! Tout le monde va nous voir !

- Je m'en fous !

- Oui, mais pas moi, me précisa la jeune femme.

 

Mais le mal était fait, dans les gens qui nous avait vu, il y avait Marie, une vielle peau… qui avait été la collègue de Christelle quand celle-ci travaillait encore… mais n'anticipons pas.

 

Je baisais ce jour-là Julie avec une frénésie inhabituelle, plus préoccupé par les images de mon épouse en train de se faire prendre comme une chienne par cet abruti de plombier, que par le corps de ma jolie partenaire. Elle m'en fit le reproche.

 

- Décidément aujourd'hui tu es bizarre !

- Ce doit être le surmenage.

 

Je me réveillais le samedi matin avec une drôle d'idée : J'avais envie de regarder ma femme faire l'amour avec son amant. Le bas de la fenêtre de la chambre étant à deux mètres de hauteur, je commençais à installer négligemment une vieille chaise de jardin au pied du mur, puis pendant que madame fut parti faire une course, je pratiquais un trou gros comme une pièce de deux euros dans une lame du volet.

 

Le jeudi suivant j'avais hâte de me libérer, je ne pus le faire aussi tôt que souhaité, je choisis donc de garer ma voiture dans une rue adjacente et arrivait à pied à la maison. La camionnette de ce salaud de plombier était bien là. J'entrais discrètement, contournais le pavillon, constatait que les volets de la chambre avait été fermés et montait sur la chaise de jardin. Je m'approchais de l'ouverture et…

 

Il n'y avait pas que le plombier, il y avait aussi le voisin ! Quel salaud celui-là aussi. Et il était en train de sauter ma femme tandis qu'elle suçait la bite du plombier. Le voisin n'y allait pas de main morte faisant trembler le plumard. Ma femme était en sueur, belle, épanouie, bandante, et d'ailleurs je bandais…

 

C'est alors que je ne sais ce qui m'a pris, je veux décoincer mon sexe, prisonnier de ma braguette, je recule un peu, perd l'équilibre, tente de me rattraper au rebord, fait bouger le volet et me retrouve sur la pelouse les quatre fers en l'air. Je me précipite comme je peux sur le côté de la maison alors que j'entends les volets qui s'ouvrent. J'ignore si elle m'a vu, mais elle a dû remarquer la chaise renversée… Je me cache, espérant qu'elle ne va pas entamer une battue, j'attends cinq minutes, personne ne sort à l'extérieur. Je détale, rejoins ma voiture et vais faire un tour. En voulant me rattraper au rebord, je me suis écorché l'intérieur de l'avant-bras. Ça saigne, ma chemise est déchirée et toute tachée. Et en plus j'ai le cul de mon pantalon plein de terre. Qu'est-ce que je vais raconter à Christelle ?

 

- J'ai glissé en sortant de la voiture, j'ai le bras tout abîmé !

- Oh, mon pauvre biquet, je vais t'arranger ça !

 

Un peu plus tard, je fais un tour sur la pelouse, la chaise de jardin a été retirée, Christelle n'est pas complètement folle. Mais sait-elle que c'est moi qui en suis tombé ?

 

Pas de plan pour le jeudi suivant, remplacer la chaise par des parpaings, pourquoi pas, ce sera plus stable ? Mais j'ai une meilleure idée : celle d'installer une micro caméra… mais bon il faut que j'aille acheter tout ça, que j'installe, ça me prend un peu la tête.

 

Et puis le vendredi suivant les choses se sont précipitées. Après avoir passé une heure de galipettes érotiques en compagnie de la pulpeuse Julie, je rentrais… Christelle vient à ma rencontre, et au lieu du petit bisou habituel, elle me roule un patin. Voilà qui est déjà surprenant, mais ce qu'il l'est encore davantage, c'est qu'elle n'est vêtue que d'une petite nuisette rose transparente que je lui avais offert il y a deux ans et qu'elle n'avait pratiquement jamais portée. Ses tétons dardent à travers le tissu, c'est très joli.

 

- Gaétan, je veux que tu me prennes comme une chienne !

- Christelle, tu es sûre que ça va ?

- Ça va très bien, je n'ai pas bu une goutte d'alcool, je n'ai rien fumé, je m'ai pris aucune médicament. Je suis simplement excitée comme une puce et je t'attendais avec impatience…

- Mais…

- Alors il faut que je fasse quoi, pour que tu viennes dans la chambre ?

- On ne peut pas attendre un peu, je suis un peu fatigué…

- Fatigué ? Ah, oui, mais ce n'est pas un problème, c'est moi qui ferait tout le boulot.

 

J'avoue ne pas comprendre son attitude. Une crise de nymphomanie ? Un fantasme de "revenez-y" après m'avoir trompé à tour de bras ? Je finis par céder d'autant plus que sa main sur ma braguette finit par produire l'effet voulu. Je me déshabille et elle me demande de me coucher sur le dos.

 

Elle attaque par une pipe classique. Christelle a toujours très bien sucé, elle suce mieux que Julie… assez vite elle s'empale sur moi et me chevauche avec frénésie. Elle monte un peu trop haut, ma bite sort de son sexe, elle la reprend avec la main, je crois alors qu'elle va la replacer… non pas tout à fait, elle la dirige vers son anus, me demande de ne pas bouger et très lentement s'empale. Bon, ce n'est certes pas la première fois que l'on pratique ce genre de choses ça mais c'est très rare, et ça a toujours été à ma demande ! Qu'est-ce qu'il lui arrive ?

 

Ma queue introduite, elle commence à coulisser !

 

- Alors t'aime ça, avoir ta bite dans mon cul, hein salaud ?

- Tu m'a l'air en pleine forme !

 

C'est à ce moment qu'est venu le trait assassin :

 

- Et Julie, est-ce que tu l'encules aussi ?

- Pardon ?

- Je te demandais si tu enculais Julie ?

 

Je ne réponds pas, hésitant sur la tactique à adopter. Elle est quand même gonflée de me reprocher mes écarts après ce qu'elle fait de son côté.

 

- Tu ne réponds pas, hein salaud ! Reprend-elle en freinant le rythme de ses va-et-vient.

- Qu'est-ce que tu veux que je te réponde ?

- Tu l'encules ou pas Julie ?

- Ben, non ! Mentis-je

- Et tes autres penchants dégoûtants, tu lui en as parlé à Julie, ou tu t'es dégonflé ?

- Je n'ai pas de penchant dégoûtant !

- Ah, non et quand on se pisse dessus, c'est pas dégoûtant ?

- Non, c'est un jeu.

- Et quand tu me nettoie le trou du cul, c'est pas dégoûtant, peut-être ?

- Il n'y rien de dégoûtant entre deux personnes qui s'aiment !

- Et quand je te fous un gode dans le cul, c'est pas dégoûtant ?

- Non, et d'ailleurs à ce propos…

- T'en a envie, hein, tu aimerais ça en ce moment un gros gode dans ton cul de salope ?

- Pourquoi pas ? Temporisais-je.

- Et après je te le ferais lécher ?

- Si tu veux !

- Et c'est pas dégoûtant ça peut-être ?

- Mais, non, c'est rigolo !

- Elle le sait Julie que tu te fais mettre des trucs dans le cul.

- Mais non !

- Ben alors pourquoi tu vas avec elle, si c'est pour lui faire l'amour à la papa-maman ?

- Christelle, arrête avec ça !

- Non j'arrête pas, tu n'oses pas lui dire ? Hein ? Tu as peur pour ta réputation de macho ! Mais finalement ce que tu aimerais bien c'est une vraie bite dans le cul ? Si ça se trouve, tu me trompes aussi avec les hommes, je te verrais bien en train de sucer des grosses bites…

- Arrête Christelle, je vais jouir !

- C'est pas un problème, avec moi tu peux faire tout ce que tu as envie, il suffit de me le dire et il suffit que je sois d'accord.

 

Elle accélère, je vais éclater, j'éclate ! Elle se retire, je vais pour l'enlacer, mais elle se dégage, puis me balance une énorme provocation :

 

- Quand je pense que moi, je ne t'ai jamais trompé !

 

Trop c'est trop, et c'est presque par réflexe que je réponds :

 

- Sauf avec le plombier et avec le voisin !

- Ben oui, sauf avec le plombier et le voisin… Qu'est-ce que tu veux, ils ont des belles queues, elles te plairaient. Et d'ailleurs tu as du les voir, dommage que tu sois tombé, tu les aurais encore mieux vu.

- Bon, Christelle il faut qu'on cause !

- Ben c'est ce qu'on est en train de faire, non ? Je constate simplement que tu n'as pas respecté nos accords, moi je baise mais je n'ai pas de liaison, toi tu en a une.

- Mais non !

- Tais-toi, je sais tout… alors, juste une question, ça t'intéresse que je demande le divorce ?

- Mais pas du tout, pourquoi cette question, c'est dans tes intentions ?

- Pas pour l'instant. Mais je vais te demander deux choses : La première c'est de prendre tes distances avec Julie, c'est possible ça ?

- C'est possible, oui, mais toi tu vas prendre tes distances avec tes deux zigotos.

- Non parce que je te le répète, ce n'est pas une liaison et d'ailleurs pour te le prouver, je vais te demander la deuxième chose…

 

Sa parole reste un moment suspendue…

 

- C'est de te joindre à nous !

- Tu es folle ?

- Non, je leur en ai parlé, le voisin serait ravi que tu lui suces la bite, le plombier est un peu plus réticent mais il n'a pas dit non.

- Tu es vraiment atteinte !

- Je te laisse réfléchir.

 

A table, nous avons parlé d'autre chose, et j'avais du bricolage à faire le week-end, ce qui fait que nous n'avons ni l'un ni l'autre abordé de nouveau le sujet. J'étais partagé, laisser tomber Julie qui commençait par être collante n'était pas une mauvaise idée, d'autant que je pourrais facilement trouver à la remplacer… Mais c'est bien sûr la seconde proposition qui me préoccupait. D'un côté accepter me plaçait dans le rôle du cocu qu'on humilie. De l'autre la perspective de voir ma femme se faire baiser à quelques centimètres de mes yeux, et avoir la possibilité d'assouvir mes fantasmes bisexuels ne me laissait pas indifférent. Le dimanche soir, Christelle me demanda :

 

- Alors on fait ça jeudi après-midi ou tu préfères un autre jour ?

- On va dire Jeudi, mais je ne suis pas encore bien sûr !

- Je vais t'aider, le voisin est quelqu'un de très bien, l'autre on fera avec. Je saurais faire… Compte sur moi, ce sera moi qui dirigera les opérations en cas de cafouillage.

- Mouais…

- Mais attention, rien avec Julie en attendant Jeudi, je serais au courant…

 

Cette dernière condition ne fut pas trop difficile à remplir, Julie ayant pris une semaine de vacances.

 

Le jeudi suivant, je pris donc mon après-midi. Christelle m'avait demandé de n'arriver que vers 16 heures, après que les deux autres soient arrivés, afin qu'elle puisse mettre un dernier pli à "l'organisation de la chose."

 

Le voisin, Philippe travaille dans la restauration d'entreprise, il est donc libre assez tôt dans l'après-midi et rentre avant son épouse… Voilà une situation qui peut être pratique ! Je ne l'ai jamais fréquenté, juste bonjour bonsoir, mais il a un abord sympathique, la quarantaine petite barbiche, bonne bouille. Gilbert, le plombier approche la soixantaine, cheveux (du moins ce qui lui reste) blancs et grosse moustache assortie, une bonne figure de bon vivant.

 

Christelle m'accueille, radieuse, elle a remis la nuisette de l'autre jour, sauf qu'aujourd'hui elle n'est pas nue en dessous.

 

- Bonjour mon chéri ! Me dit-elle avant de m'embrasser.

 

Et elle fait les présentations.

 

- Voici donc Gaétan, mon petit cocu ! Philippe et Gilbert, avec qui j'ai fait des choses un peu coquines.

 

Je serre la main des deux zouaves, le plombier est mal à l'aise, mais mal à l'aise, ce n'est rien de le dire, par contre, le voisin lui, il assume :

 

- Je voudrais vous féliciter, ainsi que Madame pour votre ouverture d'esprit ! Si seulement tout le monde était comme vous il y aurait moins de problème.

- Ce n'est pas toujours facile de faire évoluer les mentalités ! Répondis-je histoire de dire quelque chose d'un peu profond.

- Alors dites-moi, Christelle m'a dit que vous étiez un peu bisexuel ? Reprend-il.

- Bisexuel, c'est un grand mot, mais disons que je n'ai rien contre le fait de faire des trucs avec des messieurs, si l'ambiance s'y prête.

- Tout à fait d'accord avec vous ! Mais l'ambiance, on peut la créer, non ?

- On peut essayer, Oui ! Répondis-je.

- Alors d'accord, on va essayer ! Intervient Christelle.

 

Elle vient alors s'intercaler entre Philippe et moi, et pose chacune de ses mains de façon ostensible sur nos braguettes respectives. Je ne tarde pas à bander. Les fermetures éclair se défont sous ses mains expertes, Elle farfouille dans les caleçons, c'est la bite du voisin qui jaillit de sa cachette la première. Joli engin. Christelle la branlotte un petit peu, puis s'occupe de moi. Nous voici tous les deux la bite à l'air, elle nous fait signe de nous rapprocher. Et voilà que de façon presque naturelle, nous nous mettons à nous masturber mutuellement.

 

Christelle nous laisse et se dirige vers le plombier, blanc comme une craie, elle lui touche la braguette à son tour, mais il ne réagit pas, ou du moins pas comme prévu.

 

- Je vais peut-être vous laisser, je ne suis pas très bien. Objecte-t-il.

- C'est vrai que t'es tout pâle, constate ma femme.

- Oui, je vais rentrer m'allonger…

 

Il s'en va en grommelant un au revoir à peine audible.

 

- Et oui ça s'appelle la différence entre la théorie et la pratique ! Commente Philippe.

- Continuez donc messieurs, nous encourage Christelle.

 

Spontanément nous reprenons chacun la bite de l'autre dans notre main.

 

- Ton charmant cocu a une très belle bite, me donnes-tu l'autorisation de la sucer ?

- Je crois que vous seriez contrarié tous les deux si je t'en empêchais, non. Allez suce lui sa bonne queue.

 

J'aurais préféré le contraire, mais dans une party il faut faire des concessions, me faire sucer par un homme ne me dérange pas, d'autant que la plupart du temps ils font ça très bien, mais le plaisir est purement physique, pas cérébral.

 

- On va peut-être aller dans la chambre, on sera plus à l'aise ? Propose Christelle.

 

Christelle_party01.jpgOn y va, on se met à poil tous les trois, et Philippe attaque de nouveau ma queue tandis que Christelle pompe la sienne.

 

Je suis dans une disposition un peu contradictoire, d'un côté je suis excité comme un pou, de l'autre, j'aimerais bien inverser le rôle que je tiens actuellement.

 

- Arrêtes un petit peu ! Demandais-je à Philippe qui obtempère.

- Pourquoi, tu veux déjà jouir ? S'étonne Christelle, un grand sourire aux lèvres et la bite de son amant dans sa main.

- Non, mais…

- Tu veux qu'on change un peu ?

- Ben oui !

 

Du coup c'est Christelle qui vient me sucer, Philippe lui prodiguant pendant ce temps un cunnilingus. Le sexe de l'amant de ma femme est trop loin, je ne peux y accéder… Pas grave on attendra.

 

Ce salopard arrive à faire jouir ma femme en moins de cinq minutes, elle ne cherche pas à le cacher et pousse des cris de lionne en chaleur ! Il la caresse avec tendresse, et sollicite un french kiss qu'il obtient sans problèmes… Je me sens de plus en plus cocu…

 

De nouveau Philippe s'intéresse à ma bite dont il vérifie la bandaison d'une douce caresse manuelle.

 

- Tu me la mets dans le cul ? Me demande-t-il.

- J'aurais préféré le contraire… répondis-je.

- Et bien on fera le contraire après, on a le temps ! Intervient Christelle. Pour l'instant prépare-lui bien son petit cul.

 

Bon, cette séance ne se passe pas du tout comme je l'avais imaginé… Et l'autre, pas gêné, qui me présente son troufignon en écartant ses fesses.

 

- Lèche-lui le cul ! Me dit Christelle.

 

Ce n'est pas le cul que je veux lui lécher, c'est la queue… mais bon "quand faut y aller, faut y aller !" et après quelques secondes d'hésitations puis d'accoutumance, je prends plaisir à lui pratiquer une jolie feuille de rose. Quand son anus est devenu bien baveux, ma femme me demande de lui mettre un doigt. Allons-y pour le doigt, c'est qu'il a l'air d'aimer ça le voisin, le voilà en train de pousser des petits cris de satisfaction. Christelle me passe la capote, je l'enfile, j'approche mon sexe de sa cible, je force un peu, ça commence à entrer, je force encore, ça y est je l'encule, ce salopard ! Et j'y vais de mes va-et-vient !

 

- Ça va, il t'encule bien, mon petit cocu ? Lui demande ma femme tout en lui branlant la bite.

- Oui c'est bon !

- T'aimes ça, hein, gros cochon ?

- Ah, oui, j'adore me faire enculer !

- Vas-y chéri, encule-le bien ! Hummm… qu'est-ce ça m'excite de vous voir faire des trucs de pédés ! Vas-y bourre le bien, enfonce lui bien ta bite dans le cul !

 

Je fais ce que je peux, mais je me prends au jeu… Je suis de plus en plus excité, et si je ne me contrôle pas, je vais jouir de suite, ce qui est peut-être embêtant pour la suite… Je préviens Christelle.

 

- Calme-toi et retire toi, on n'est pas pressé.

 

Je fais comme ça, Philippe est aux anges, il me regarde avec l'œil coquin. Son visage se rapproche du mien. J'ai l'impression qu'il a envie de me rouler une pelle… Au secours ! Ça va pas, non ! Je veux bien sucer des bites, je veux bien me faire enculer, mais embrasser un mec sur la bouche ! Jamais !

 

- Tu m'as bien baisé ! Me complimente le zigoto.

 

Surpris de cette réflexion que je n'attendais pas, je ne réagis pas quand son visage s'approche davantage, sa langue cherche ma bouche. J'entrouvre la mienne. Nos langues se mêlent, je viens d'embrasser un mec. J'aurais pourtant juré que jamais… mais il ne faut jamais dire jamais… mais bon dieu, pourquoi j'ai accepté ? Pour lui faire plaisir ? Pour faire plaisir à l'amant de ma femme ? Quelque chose ne tourne pas rond… mais qu'est-ce que ça peut foutre.

 

- A ton tour de le sucer ! Me propose Christelle.

 

Ben, tiens, je vais me gêner… Cette queue qui me nargue depuis tout à l'heure, je la prends délicatement dans ma main, lui imprime une légère caresse, puis devant les yeux étonnés de ma femme, la prend en bouche. Une éternité que je n'avais pas fait ça… Avant notre mariage dans un sauna… je la suce des lèvres et de la langue, je tente de l'entrer complètement dans la bouche, mais ce n'est pas si facile, je goûte un peu aux testicules, mais j'apprécie modérément et revient lui astiquer le gland comme j'ai vu le faire dans les films X.

 

- Tu suces bien ! Commente l'énergumène.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi, je t'offre la bite de mon amant… tu en trouveras des comme moi !

 

Christelle a toujours eut une pratique de la plaisanterie très spéciale. Elle s'est placée derrière moi et tandis que je continue ma fellation, elle me prodigue une magnifique feuille de rose sur mon anus qui s'ouvre de plaisir.

 

- Son cul est prêt, tu peux y aller ! Confie-t-elle à Philippe… il a l'habitude, je lui fous régulièrement des godes dans le cul, n'est-ce pas, mon petit cocu ?

- Et même que j'adore ça !

 

Les choses vont vite, je me mets en position, l'autre aussi, le morceau est de bonne taille, mais mon anus finit par l'absorber. Putain que c'est bon ! Déjà j'espère que cette petite séance ne sera pas sans lendemain. Je frissonne de plaisir, c'est trop bon.

 

- Vous êtes deux beaux enculés ! Constate Christelle.

- Ben, oui ! Répond Philippe, il y en a qui ne savent pas ce qu'ils perdent.

- Occupe-toi de mon cul, maintenant ! Demande ma femme.

 

Le voisin décule, moment pas trop top, avec cet impression de l'anus qui ne veut plus se refermer… Il est déjà dans le cul de ma femme et s'active comme un damné. Christelle m'a pris en bouche… Je sens que je vais éclater. J'éclate… une jouissance intense, longue et profonde. Ma femme hurle, le voisin décharge à son tour. Nous voici tous les trois sur le plumard, épuisés. Un silence un peu lourd s'installe, que Christelle rompra :

 

- Ça va, les mecs ?

- Bien sûr ! Avoua Philippe, je ne vous remercierais jamais assez, tous les deux pour cette séance.

- Tout le plaisir était pour moi ! Répondis-je à mon tour, m'efforçant d'être aussi diplomate que mon inhabituel partenaire.

- On se découche une bouteille de champ ? Propose Christelle.

- Non, il faut que je rentre, reprend le voisin, ma femme ne va pas tarder à rentrer.

- Si elle savait ! Sourie ma femme.

- Oh, c'est quelqu'un d'assez ouvert… je ne vais pas lui raconter ce qu'on a fait cet après-midi, mais je peux toujours lui raconter que vous n'avez rien contre l'échangisme… Vous n'avez rien contre les femmes, Christelle ?

- Non, non.

- Alors, si on se programmait un petit truc à quatre prochainement ?

 

FIN

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être 3ème prix de la meilleure nouvelle pour 2008 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Mercredi 28 septembre 2016 3 28 /09 /Sep /2016 16:48

Drôles de nurses par Marie-France Vivier

 

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Thémes abordés : bisex masculine, domination hard, médical, transsexuelles, uro.

Je m’appelle Placido Bahamontes. Je ne sais plus quel âge j’ai, entre
soixante et soixante dix peut-être. Je dormais tranquillement devant la
petite piscine quand le bruit m’a réveillé.

- C’était quoi ce bruit, d’abord ? Ca n’a duré que quelques secondes, de la
musique, sans doute un essai de sonorisation, mais pourquoi faire ? Je n’ai
pas commandé de spectacle  » sons et lumières  » à ce que je sache !

Il y a des jours ou je me rappelle les choses mieux que d’autres. Tout
allait bien, les affaires, la famille, le sexe aussi. Une vie heureuse sans
difficultés majeures. Bien sûr, certains convoitaient mes richesses, mais de
là à dire que ces jalousies me causaient réellement des problèmes, il y a un
pas que je ne franchirais pas !
Et puis tout a basculé, le jour de cette réception, c’était mon anniversaire
(lequel ?). Tout le gratin local était réuni et même un peu plus, puisque
certains ambassadeurs m’avaient fait l’honneur de se déplacer. Et celui du
Guatemala avait emmené sa fille. Et j’avais flashé sur elle, sur sa beauté,
sur l’éclat de sa jeunesse ! Je me souviens lui avoir fait des avances. Je
me souviens qu’elle les avait repoussé ! Je me souviens avoir insisté, je me
souviens la gifle publique. Mais, je ne me rappelle pas l’avoir violé !
C’est pourtant ce que l’on m’a reproché !
On ne jette pas en prison Placido Bahamontes pour viol ! Ce serait une
aberration dans mon pays. Par contre dire que Placido Bahamontes est devenu
subitement fou, cela fait fort civil !

Et on poussa même les dites civilités jusqu’à me permettre d’organiser
moi-même une partie des conditions de mon enfermement. (Les braves gens !)

Mais ces quoi tous ces papelards que l’on m’a fait signer ce matin ?
C’étaient qui ces gens qui anxieux me tendait un stylo, qui attendaient,
dubitatif que je signe ? Et que faisaient mes deux gendres au milieu de ces
inconnus ?

J’avais décidé, de m’installer dans une de mes résidences secondaires, un
petit manoir avec une jolie petite piscine. On avait médicalisé au mieux la
modeste demeure, trois nurses s’occupaient de moi, deux la journée et une la
nuit. Un médecin passait au moins une fois par jour.

Je ne manquais de rien, la musique, les films, les livres, la bonne chère et
le bon vin ! De quoi devrais-je me plaindre ! J’étais chouchouté comme pas
deux !

- Ah, oui le sexe ! Comment voulez-vous que je bande avec tous les trucs et
les machins qu’on me fait avaler ? Mais j’ai une devise : « Je ne peux plus
mais ça m’intéresse encore ! »

Et oui, on naît obsédé, on meurt obsédé ! Et je vais vous dire, je n’ai même
pas honte, mais je ne suis pas un violeur ! Je n’ai pas violé la fille de
l’ambassadeur !

- Vous vous en foutez de mon passé, hein ? Je le sais bien ! Tiens je vais
vous parler d’autre chose, je vais vous décrire mes deux nurses de la
journée.

La première est brune, elle s’appelle Soledad, elle est grande, la peau
mate, le regard de braise et la peau lisse comme de la soie. Elle a un joli
visage ovale, les lèvres ourlées magnifiquement et le nez joliment dessiné.
Son sourire m’enchante, sa voie me berce. C’est une magicienne. Ses formes
sont parfaites. Je lui ai offert une fortune rien que pour apercevoir sa
poitrine, elle n’a pas dit non, mais elle ne l’a pas fait, elle me dit qu’on
a le temps ! Elle peut-être ? Pas moi !

L’autre est blonde, c’est une anglaise, paraît-il, plus petite que Soledad,
elle se prénomme Ingrid. Le visage est moins joli, mais elle n’est pas sans
charme. Ses formes valent celle de sa collègue et surtout elle est moins
farouche. Elle me l’a montré, elle, sa poitrine. Oh ! Pas longtemps ! Mais
assez pour me charmer !

- Je crois que je vais me rendormir. Je suis bien sur ma chaise longue
devant la piscine, sous le soleil radieux de septembre.

La musique reprend !

- Non, mais ce n’est pas fini ce cirque, je voudrais bien ronfler
tranquille, je suis chez moi après tout !
En plus c’est quoi cette musique ? De la disco répétitive à souhait avec des
basses impossibles et une voix féminine qui anone je ne sais quoi en anglais
!
Mais ! Qu’est ce que c’est ? C’est quoi, ça ?

Ca, il faut que je vous raconte :

A l’autre extrémité de la piscine, donc à 25 mètres devant mes yeux qui n’y
croient pas, devinez un peu ce que je vois ?

Mes deux infirmières, Soledad à droite, Ingrid à gauche, elles sont debout,
séparée l’une de l’autre de quelques mètres à peine, les jambes légèrement
écartées, le regard droit vers moi. Elles sont en blouse blanche de travail,
légèrement entr’ouvertes, (quoique depuis quand les blouses de travail
sont-elles aussi courtes ?) La tenue ne serait pas complète sans le
stéthoscope autour du cou, mais il faut y ajouter ces impossibles bottines
qui les rendent plus grandes d’environ dix centimètres. Si leur coiffure
fait faussement négligé, leur maquillage paraît impeccable et leur yeux sont
masqués derrière d’épaisses lunettes de soleil. Et puis ce détail
invraisemblable : au rythme de la musique et de façon parfaitement
synchrone, elles rythment la cadence en se tapant (mollement) la main gauche
avec l’extrémité d’une longue cravache qu’elles tiennent de leur main
droite.

- Mais que faites-vous ?

Pas de réponse ! Il se passe des choses bizarres ici. Ca dure, ça dure… Ca
dure en fait tant que le morceau de musique n’est pas terminé. Ca devient
lancinant ce truc !
Enfin la musique cesse, un peu de calme à présent ! Même pas ! Un autre
morceau succède à la folie disco, il s’agit cette fois du chœur des esclaves
de Nabucco. C’est quand même moins dingue…
Et voilà que les deux créatures se placent dos à dos et démarrent très
lentement, chacune de leur côte, la cravache battant toujours la mesure dans
la paume de leur main.
Elles finissent par se rejoindre devant ma chaise avant que le chant soit
achevé. Alors elles se plantent là et continuent leur petit manège comme des
automates. Elles me regardent droit dans les yeux m’obligeant à baisser les
miens. Mais si mon regard est gêné, ma libido se réveille doucement à la vue
de ces si belles femmes. Je prends le parti de n’intervenir d’aucune façon
!. On verra bien, pour l’instant je suis au spectacle
Le chœur cesse à son tour ! Je vais avoir droit à quoi à présent ? A du rock
and roll ? A du rap new-yorkais. Non il s’agit d’une musique baroque que je
n’identifie pas, mais dont la mélodie est apaisante.Salma Hayek02b

Ces demoiselles posent alors leur cravache à terre, avec une délicatesse
exagérée (elles ne vont pas se briser, leur cravache !)
Puis, toujours droite comme des poteaux, elles déboutonnent leur blouse.
Dessous, Ingrid a une petite jupe en velours dont les motifs imitent la peau
d’un improbable fauve taché de brun. Ses seins sont gardés par un soutien
gorge en vinyle noir.
Soledad à un ensemble noir en tissu pailleté, un bustier pour le haut, une
courte jupe à pans pour le bas.
Elles commencent par se caresser chacune de leur côté, d’abord les cuisses,
puis les seins, les attrapant à pleines mains par dessus le vêtement et les
faisant gigoter.
Les deux femmes se sont maintenant rapprochées et ont quitté leur lunettes
de soleil. Ingrid saisit alors Soledad par la nuque avec infiniment de
douceur, lui place la cravache sur le cou, tapote pour jouer, puis fait
traîner l’instrument sur sa chair comme délivrer une caresse. Soledad ouvre
la bouche, sa gorge se sèche, sans doute est-ce l’excitation qui naît ?
Voici une expression qui lui va très bien ! Avez-vous remarqué combien les
femmes étaient belles, la bouche légèrement entr’ouverte ?

 

Ingrid fait alors semblant de cravacher le sein de sa partenaire, abandonne
ensuite l’objet et les lui malaxe avec les mains. Visiblement elle doit
faire un effort pour se reprendre afin de ne pas précipiter les choses, et
se calme en jouant avec le stéthoscope sur la base du cou de Soledad. C’est
alors que celle-ci sans doute frustré de voir l’action se diluer se libère
brutalement le sein gauche !

Il est magnifique ce sein qu’aucune trace de non-bronzage ne vient enlaidir.
L’aréole est très brune et le téton s’érige fièrement. Du coup Ingrid
déplace son stéthoscope et vient se le coller sur cet appendice offert à son
désir.
Puis Ingrid s’éloigne d’un pas, elle s’assoit par terre de façon très
chaste, multipliant les gestes qui me permettraient de voir en dessous de sa
jupe. Soledad n’a pas ce genre de pudeur, elle s’accroupit quelques
instants, puis retire cette jupe qui la gêne, Je peux voir alors son petit
slip en vinyle dont le tissu lui rentre dans la fente de sa chatte rasée.
Prestement, elle se débarrasse du slip. Je m’étais trompé, le sexe est bien
glabre, mais pas le pubis orné d’une touffe brune toute symbolique. Elle
regarde Ingrid d’un œil coquin, comme si elle se préparait à passer à
l’attaque !
- Viens ! Lui dit l’autre, faisant entendre pour la première fois le son de
sa voix.
- Peut-être ! Répond-elle, n’en faisant rien et se pelotant son sein gauche,
le caressant d’abord du plat de la main, puis d’un geste nerveux pinçant le
bout, le tirant, le tournant jusqu’à s’arracher un cri de douleur !

Soledad se met à quatre pattes, elle relève son fessier m’offrant une vue
magnifique de ses deux globes fessiers au grain de peau parfait se reflétant
au soleil et au milieu desquels trônent ses magnifiques orifices d’amour.
Mon trouble grandit, mais je n’étais pas au bout de mes émotions, continuez
à lire ce récit, continuez…

Soledad me regarde comme tout à l’heure, et j’ai toujours du mal à le
soutenir. Par contre l’effet est garantie et je sens mon sexe qui maintenant
bien réveillé se tend doucement, appâté par la probable érection qui va s’en
suivre. Ah ! Cette délicieuse bouche ouverte comme j’y placerais bien ma
propre langue ! Comme j’y placerais bien mon sexe ! Comme elle saurait le
faire durcir !
Un bref signe à sa compagne. Un ordre sec :
- Ecarte !

C’est alors que l’irréel se produit. Ingrid oubliant sa récente pudeur, sans
quitter sa position assise au sol, écarte les deux jambes relevant du même
coup sa jupe. Il n’y avait aucune culotte en dessous. Mais, ce n’était pas
cela la surprise ! La surprise c’est ce magnifique sexe masculin a demi
bandé, rasé de tous poils et doté d’une paire de testicules authentiques.
Ainsi Ingrid était un transsexuel. Me voici qui tombe des nues. Et non
seulement je n’en reviens pas, mais la situation m’excite et miracle de la
nature, mon pénis est à présent complètement bandé.

Je ne vais pas me refuser ce plaisir, ni laisser cette érection
m’abandonner, je me débraguette prestement, libère mon membre et entame une
lente masturbation.

C’est alors que Soledad s’apercevant de la chose se redresse tel un diable
d’une boite à surprise et tend un doigt accusateur vers mon membre viril !
- Tu n’as pas l’autorisation de te masturber !

De quoi ? Qu’est ce qu’elle me dit, je fais ce que je veux chez moi, jusqu’à
présent ! Ce n’est pas une nurse, qu’elle soit en chaleur ou pas qui va me
donner des ordres ! Et en me tutoyant en plus ! Je vais la rabrouer comme il
convient !
- Je n’ai pas besoin d’autorisation…
- Alors d’accord ! Coupe Soledad, continue ta branlette, mais nous on s’en
va !

Et là voilà qui commence à ramasser ses affaires…
- Non, je vous en prie, continuez, je vous promets d’être sage !
- O.K ! Tu vas être bien sage, et après tu auras peut-être ta récompense,
d’accord !
Et sans attendre ma réponse, Soledad reprend sa position, redresse à nouveau
son cul et se dirige vers l’entre jambe d’Ingrid ou l’attend sa verge à demi
tendu..

[Note de l'auteur : Nous savons donc, cher lecteur qu'Ingrid est un
transsexuel. Doit-on dire il ou elle ? Nous avons décidé de respecter ce qui
semble être la tradition du récit érotique, c'est à dire continuer de la
conjuguer au féminin.]

Elle lui met une main sur le sexe, le masturbe quelques instants, en dégage
bien le gland, puis approche sa bouche, sort sa langue, en enrobe
l’extrémité, l’humecte bien, puis se fourre tout ce qu’elle peut de cette
jolie quéquette dans sa bouche gourmande.

Ingrid se laisse faire, et je trouve incongrue que pendant qu’elle se fait
si bien sucer, elle ne trouve rien de mieux à faire que de se mettre à jouer
avec son stéthoscope sur le dos de sa copine. Bon, mais après tout chacun
son truc ! Soledad s’applique alternant les gestes de masturbation sèche,
pendant lesquelles elle se redresse légèrement le torse et ceux de la
fellation où on ne voit plus grand chose tellement le pénis du transsexuel
est enfoncé dans sa bouche.

Ce qui est assez fabuleux c’est le plaisir avec lequel ces deux créatures
sont en train de s’occuper. Elles sont certes en « services commandés » mais
cela n’a pas l’air de leur coûter de trop ! D’ailleurs les voici qui
croisent leur regard, c’est magique d’observer le débordement de tendresse
et de passion qu’elles ont l’une pour l’autre. Soudain leur visage se
rapproche, leur bouche se soude et leur langue s’acoquine.
Mon érection s’était maintenue malgré le rabrouement dont j’ai été l’objet,
avec des hauts et des bas, si j’ose dire, mais ce spectacle a pour effet de
remettre tout cela au top.
Pendant qu’elles s’embrassent, Ingrid a aventuré ses doigts dans la chatte
de sa complice, qui se laisse faire en se trémoussant légèrement. Le baiser
fini, notre travesti aura ce geste inouïe de donner ses doigts imprégnés de
mouille à sucer. Soledad loin de refuser l’offrande s’en régala, traitant
les doigts comme elle l’aurait fait de petites bites et leur imposant une
simili fellation.

Enfin, Ingrid dégage un sein, il est ma foi, fort réussi et n’a pas cet
aspect toc qu’ont parfois les organes siliconés. Soledad, pour sa part s’est
débarrassée du soutien gorge qui depuis tout à l’heure n’accomplissait plus
que la moitié de sa fonction, et la voilà complètement nue. Non, il reste
les chaussures, mais elle les quitte aussi. Elle est à plat ventre tout au
bord de la piscine, tellement désirable… elle se tripote ses seins,
s’acharnant encore sur ses tétons turgescents.
Ingrid s’avance, l’enjambe, se met sur elle, attend la caresse de sa
partenaire, se laisse cajoler les jambes tandis que Soledad trempe ses pieds
dans l’eau toute proche provoquant des clapotis incongrus qui me font
échapper un sourire.
J’ignore si c’est mon sourire qu’elle a capté, mais une nouvelle fois encore
la brune Soledad me regarde, alors je la piège, au lieu de fixer ses yeux,
je fixe sa bouche, elle est magnifique. Elle voit bien que je triche, elle
rigole, c’est la première fois, je lui rends son rire, nous rions tous les
deux, ça fait du bien, ça détend l’atmosphère. Quant à Ingrid, elle n’a pas
capté l’affaire et nous regarde avec de grands yeux étonnés et histoire de
se replacer dans le trip redonne ses doigts à sucer à Soledad avant de
l’embrasser avidement de sa bouche friande.

Soledad s’est à présent allongée derrière Ingrid. Elles sont sur le côté, le
corps légèrement courbe, rangée l’une derrière l’autre. Il me revient en
mémoire la réponse d’une amie à qui je demandais quel nom pouvait avoir une
telle position et qui m’avait répondu sans se départir de son sérieux
habituel, que cela s’appelait « les petites cuillères » !
Elles se font de tendres caresses, sur les bras, sur les jambes, sur les
seins et sur les tétons, puis elles s’embrassent les épaules et le haut des
bras Ingrid caresse le cou de la brune, lui fait se relever la tête, et de
l’autre main lui pelote la cuisse. Soledad finit par s’allonger sur le dos,
écartant ses jambes, elle offre sa chatte à Ingrid qui vient la laper, la
langue lui nettoie le sexe, la ramasse de sa mouille accumulée dont les
filets visqueux restent accrochés quelques instants mélangés à la salive.
Soledad va jouir, je le sais, elle me regarde à nouveau, et je souris
encore, je ne me lasse pas de son visage, et ma raideur est à nouveau
maximale. Ingrid a abandonné un instant le travail de sa langue, elle la
remplace par un doigt fureteur tandis que ses lèvres vont titiller la pointe
du sein offert à son envie. Le plaisir de Soledad monte… monte.
Brusquement Ingrid se retourne complètement adoptant une position de 69,
voulant que sa bouche soit contre cette chatte au moment de sa jouissance.
Et la brune explose !

J’attends qu’elle se calme, j’attends son regard. Il fut long à venir, mais
il vint. Soledad sans cesser de me fixer s’accroupit, semble se concentrer
sur je ne sais pas quoi, je crois comprendre, elle ne va tout de même pas ?
Oh, si ! Elle va le faire ! Quelques gouttes dorées s’échappent de sa chatte
pour aller former une petite flaque. Sur le carrelage du bord de la piscine.
Que cette pluie dorée m’excite ! Si j’osais… si j’osais…
- S’il vous plait !
- Tu n’aurais pas du demander !
- Je suis désolé !
- Je vais te laisser une chance, je m’en garde un peu !

Je ne dis rien, j’attends. C’est quoi, cette deuxième chance ?
- Viens-là ! Déshabille-toi, et en vitesse !
J’obéis, je suis dans un rêve, je pose mes vêtements délicatement sur la
chaise longue !
- Si tu ne te dépêche pas un petit peu, on te largue !
- Je me dépêche, je me dépêche, j’arrive !

Elles rigolent !
- Maintenant à quatre pattes et relève ton croupion !
Aussitôt fait, le premier coup tombe, il fallait bien que la cravache
finisse par servir, un deuxième coup, un troisième, j’ai un peu peur je n’ai
rien contre les flagellations, mais je préfère le martinet ou les mains
nues. Le danger de la cravache c’est les impacts superposés, mais Soledad
doit être une professionnelle. Au dixième coup elle arrête !
- Et maintenant tu vas sucer Ingrid !

J’ouvre la bouche, y enfourne la verge du travesti. Savent-elles que cela
n’a rien pour moi d’une épreuve et qu’au contraire je me délecte de cette
absolue perversion qui est celle de sucer une « femme à bite » ? J’espère
simplement qu’elles vont m’épargner la sodomie que j’apprécie bien moins.

- Attend ! Me dit simplement Ingrid.
Et tandis que je desserre mon étreinte, elle change de place et comme je le
craignais viens se placer derrière moi ! Je décide de jouer le jeu et
m’écarte mes globes fessiers au maximum, je sens le gland revêtu de latex
qui cogne pour entrer dans mon anus. Je m’ouvre un peu plus. Et les coups de
boutoir commencent. Elle me laboure ! Je voudrais contempler le corps ou le
visage de Soledad pendant cette épreuve, mais elle est hors de mon champ de
vision. La sodomie prend fin, c’est presque dommage, je commençais à m’y
habituer. A nouveau Ingrid me fait face. C’est d’un geste quasi théâtral
qu’elle ôte et jette son préservatif, et qu’elle me remet pratiquement de
force son pénis en bouche. Je recommence ma fellation, quelques instants
plus tard, je sens son membre atteint de soubresauts, sa semence me remplit
le palais.
- – Viens te rincer ! Met-toi à plat ventre !
Soledad s’accroupit alors sur ma bouche et tandis qu’elle me signifie enfin
l’autorisation de me masturber, je reçois sa douche dorée dans les
profondeurs de ma gorge. Il y en a une quantité, j’avale tout ce que je
peux, mais je ne vais pas m’étouffer non plus, et puis tout cela s’arrête.
Je sens la jouissance qui monte, je jouis, je suis à moitié inconscient, je
ferais bien un roupillon !

EPILOGUE

Je me suis rhabillé, Ingrid est restée nue, Soledad a hélas recouverte sa
magnifique poitrine, Maîtresse Marie France nous a rejoins, une petite table
ainsi que des chaises ont été installée sur le bord de la piscine avec
quatre flûtes.

 

< /center>
- Allez André, à toi l’honneur de le déboucher !
- O.K !
- Ca t’as plu ?
- C’était divin, j’ai adoré cette mise en scène ! Tu t’es surpassée… mais
ou vas-tu chercher tout cela ? Me faire appeler Placido Bahamontés, quelle
drôle d’idée ! Mais j’étais vraiment dans la peau du personnage !
- Ah ! Ah ! Ce n’est pas trop difficile quand on a des assistantes aussi
douées !
Je servis les coupes et nous avons trinqués. Je le porte à mes lèvres,
Marie-France m’interrompt
- Tu es sûr que tu le veux comme ça !
- C’est à dire ? Le jeu est terminé, non ?
Pas tout à fait pour Ingrid, qui trempe son zizi dans le champagne et qui
s’approche de moi !
- Tu suceras bien un petit boudoir ?

 

FIN

Maitresse_Marie_France@hotmail.com
Pour une fois, ce texte n’est pas une traduction, il est de moi toute seule,
enfin presque, car il n’aurait pas vu le jour sans les précieux conseils de
Boris V.

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 27 septembre 2016 2 27 /09 /Sep /2016 18:58

Chaude baby-sitter
une histoire adaptée pour Vassilia par Marie-France Vivier

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Thémes abordés :  bisex féminine, domination soft, spermophilie, uro, voyeurisme, exhibion, domination soft, uro

Bonjour ! Pour cette histoire je me prénommerais Rachel, et on va dire que
j’ai 25 ans ; que je mesure 1 m 75, que je fais du 95 D, que je suis rousse
avec plein de tâches de rousseurs ! Ça vous ira ? Oui bien sûr, et puis
évidemment je suis très coquine ! Ce récit commence une nuit de vendredi par
un chaud mois de juillet. Sylvain, mon compagnon, et moi avions réservé une
table dans un bateau-restaurant flottant au milieu d’un magnifique lac de la
région. Nous avions aussi prévu une baby-sitter pour garder notre fils
durant toute la soirée. L’agence nous avait envoyé Alexia, nous ne la
connaissions pas, une fille d’une vingtaine d’année, étudiante en histoire.
Nous n’étions plus sortis depuis longtemps et en vérité Sylvain ne m’avait
précisé que ce matin qu’il allait s’agir en fait d’une sorte de petite
croisière au cours de laquelle nous pourrions rencontrer des couples aussi
sympathiques que le nôtre car nous avions depuis fort longtemps le désir
secret de vivre l’expérience de l’échangisme avec des inconnus. Nous
pratiquions jusqu’ici cette pratique mais uniquement avec un nombre limité
de personnes. Cette petite croisière, organisée par un club privé était pour
nous l’occasion à ne pas rater.

Pour l’occasion, il m’avait aussi offert des dessous affriolants, aussi sexy
et osés que ceux vendus dans les sex-shops. Je pense que bon nombre de
lecteurs aimeraient me voir dans cette tenue. Ma jupe, tout en latex rouge,
recouvrait juste mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment au
ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Sylvain m’avait conseillé
de ne pas porter de culotte. Le fait de me sentir presque toute nue sous le
regard des hommes m’excitait à l’avance ! Un petit corsage blanc retenait
difficilement mes deux globes qui pointaient, supportés par un minuscule
soutien-gorge. Les regards, autour de moi, pensais-je, se feraient de moins
en moins discrets…. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée
en tête : me bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me
dandinais un peu devant lui, ce qui le faisais bander très dur.

Intérieurement, j’étais très satisfaite de l’avoir mis dans cet état. Il
commençait à me peloter. Je protestai que la baby-sitter allait arriver d’un
instant à l’autre et refusai qu’il me touche, mais il ne voulait rien
entendre : il voulait me baiser tout de suite ! Réellement, je voulais avoir
sa grosse bite dans ma bouche, mais plus tard, pendant la croisière. Je
persistai dans mon refus et il se calma un peu.
Alexia arriva à 19 h 15. Elle eut une expression un peu bizarre en
remarquant ma tenue mais m’avoua qu’elle me trouvait réellement très belle.
Ce compliment, venu d’une jeune fille de 20 ans, me rendit toute fière.

Elle rajouta que mon compagnon avait beaucoup de chance d’avoir une femme
aussi excitante. Je lui dis alors comment il avait eu envie de me sauter
dessus il y avait juste cinq minutes. Elle émit un petit gloussement tout en
rougissant. Alexia était une fille très douce, blonde avec la peau très
claire… Je lui donnais les instructions pour la nuit : la télévision pour
notre fils, l’heure à laquelle elle devait le coucher, etc… Et puis
Sylvain nous ayant rejoint, nous sommes sortis de la maison.

Nous étions à la porte du garage quand une voiture s’arrêta à hauteur de
notre portail. La portière s’ouvrit côté chauffeur et quelqu’un vint vers
nous. C’était Bob un voisin qui habitait un peu plus bas. Quand il me vit,
il restât bouche bée. Il ne m’avait jamais vue, vêtue de cette façon. Je
ressentis une sorte de gêne. Personne ne m’avait encore vu habillée comme
ça. Je lui souris et lui demandai ce que je pouvais faire pour lui. Il me
répondit avec un grand sourire et tout en me regardant il préféra ne pas me
dire « comment je pourrais lui être utile ». Il me complimenta sur ma tenue
tout en regrettant que sa femme n’ait pas un  » look  » aussi sexy et sans
être du tout gêné par la présence de mon compagnon…. Je le remerciai du
compliment, mais lui expliquai que je devais partir tout de suite. Il resta
un moment silencieux en ne cessant de me dévorer des yeux, tandis que
j’entrais dans notre voiture. C’est alors que je sus ce qu’il venait faire
ici, il nous dit être à la recherche de son chien qui s’était échappé. Pour
cela il se pencha et je devins toute rouge quand je compris que Bob avait
ainsi obtenu une bonne vue de mon minou tout lisse. Je fermai ma portière et
descendis ma vitre alors que Bob s’approchait de plus en plus. Il était
debout devant moi, mon visage à hauteur de sa braguette. Je ne pouvais voir
son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon,
devant moi, commençait à se gonfler. Mes seins, serrés dans le corsage
débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles.
Je mis tout à coup ma tête au dehors. Il recula juste à temps. J’avais
presque collé ma joue droite contre son entrejambe. Je lui répondis que je
n’avais pas vu son chien et que nous devions réellement y aller. Il me
remercia et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée
qu’il allait se masturber….

Nous roulions depuis un bon moment, mais la circulation en plein week-end
était très difficile. A quelques kilomètres du lac, l’intensité de nos
phares baissa exagérément, si bien que nous avions dû pousser la voiture sur
le bas-côté de la route. Un dépanneur de l’autoroute qui passait au même
moment avertit sa station et voulut bien nous aider. Sylvain et lui
trifouillèrent quelques temps sous le capot et au bout de 10 minutes la
voiture redémarra. Mais, déjà nous savions que le bateau ne nous avait pas
attendu. Nous avons remercié le mécanicien après l’avoir payé. Avec Sylvain
nous nous sommes posé la question, essayer d’aller ailleurs ? Mais nous
étions tellement déçus d’avoir raté la croisière que finalement nous avons
opté pour un retour vers la maison…

Alexia ne nous avait manifestement pas entendu rentrer. Sylvain gagna la
cuisine et je me dirigeais vers les toilettes afin de calmer une envie de
pipi qui commençait à se faire pressante. Et c’est une fois dans le couloir,
que je commençais à entendre des bruits étranges venir de la chambre.
J’entendais les gémissements de plus d’une personne. Il était certain que
ces bruits provenaient de gens faisant l’amour. Plus curieuse qu’effrayée,
je me dirigeais à pas lent vers la porte. Je ne savais pas si je devais
continuer où retourner vers la cuisine. J’imaginais déjà Alexia se faisant
bourrer par un de ces copains, je m’apprêtais à faire un scandale, mais d’un
autre côté l’idée de la surprendre en de train de pomper une bonne bite
m’excitait. Je retournais vers la cuisine où je racontais tout à Sylvain. On
pensa qu’il serait amusant de se diriger doucement vers eux pour en savoir
plus.

- Mais faisons vite, je n’ai pas fais pipi, pour ne pas qu’ils puissent
entendre le bruit de la chasse !
- Et bien pisse ici ! Me répondit Sylvain, imperturbable !

Je reconnaissais bien là l’esprit délicieusement pervers de mon coquin de
compagnon.

- Je ne vais quand même pas faire par terre ? Rétorquais-je

Jamais à court d’idée il sortit du buffet de cuisine un joli compotier en
verre, en me précisant que cela devrait faire parfaitement l’affaire ! Je
plaçais donc l’objet entre mes cuisses et entreprit de le remplir de mon
urine tiède sous le regard émoustillé de Sylvain qui ne ratait pas un
instant de cet insolite spectacle. Lorsque je voulu m’emparer d’une feuille
d’essuie tout afin d’éponger les dernières gouttes, il me précisa que sa
langue ferait bien mieux l’affaire, et avant que j’ai eu le temps de
protester, il avait son visage entre mes cuisses. Je le laissais faire
quelques instants puis le repoussais, lui rappelant qu’il nous fallait aller
voir ce qui se passait à l’autre bout du couloir !

Une fois prés de la porte de la chambre il nous sembla entendre celui que
nous supposions être le partenaire d’Alexia lui dire plein de mots cochons.
Nous pouvions l’entendre gémir à travers le mur. Mais tout à coup, une autre
voix se fit entendre, celle d’une autre fille. Mais combien étaient-ils là
dedans ? Sylvain m’adressa un petit sourire et poussa doucement la porte :

Surprise ! Notre petite baby-sitter était absolument seule, mais regardait
tout simplement une de nos cassettes vidéos érotiques ! On pouvait de
l’endroit où nous étions placés, distinguer l’écran, et là la situation
devenait un peu embarrassante, car Alexia ne regardait pas une cassette du
commerce, mais une vidéo personnelle prise au cours de nos soirées coquines,
elle était assise sur le parquet, son pantalon, son t-shirt, son soutien
gorge et sa culotte à côté d’elle. Elle regardait attentivement la
télévision, une main glissée dans son entrejambe, frottant furieusement son
sexe.

Sur l’écran, on pouvait voir ma grande sœur, Gina, se faire défoncer comme
une vraie chienne par Sylvain. Tandis que Désirée, le petit ami de celle-ci,
un grand noir, me clouait sur le plancher avec sa grosse bite dans ma
chatte.
Avec Sylvain, stupéfait, debout prés de la porte, on ne savait que faire.
Alexia n’allait-elle pas raconter à tout le quartier nos aventures filmées ?

- On fait quoi ? chuchotais-je
- On va lui donner un petit spectacle, excitée comme elle est, elle devrait
se joindre à nous. Et comme ça elle ne pourra rien répéter…

Ce plan me paraissait bien hasardeux, mais comme je n’avais rien d’autre à
proposer, je pris la décision de pénétrer dans la chambre, précédant mon
compagnon… Alexia avait deux doigts dans son minou qu’elle portait souvent
à sa bouche. Elle ne remarqua pas notre présence, emportée par la
jouissance. Sylvain, à l’entrée de la chambre, commença à me malaxer les
seins, émoustillé par le spectacle. Il avait atteint le devant de mon
corsage et tirait mes seins dehors, massant un des mamelons en érection. Je
sentais sa bite toute raide à travers son pantalon.

Au moment où Sylvain sortit sa bite et releva ma jupe, Alexia se retourna et
s’écria paniquée :

- Oh, mon Dieu !

Faisant comme s’il n’avait rien entendu, Sylvain continua à relever ma jupe,
me fit écarter les jambes et m’encula aussi sec, sous les yeux effarés de la
baby-sitter. Cette dernière restait pétrifiée, n’osant dire un seul mot, les
yeux fixés sur notre couple lubrique. Au moment où Sylvain déchargea dans
mon cul et se retira exténué, Alexia se mit à parler.

- Excusez-moi « , dit-elle,  » Je suis désolée… Mais le petit est couché, il
dort, je voulais regarder une cassette, et je suis tombé sur celle-ci…

Elle était réellement troublée. Elle s’efforçait de cacher son corps avec
son tee-shirt ramassé à la hâte

- Rhabille-toi ! Ordonnais-je bien hypocritement car je n’avais pas du tout
l’intention qu’elle le fasse.

Comme je l’avais plus ou moins prévu, elle se retourna pour commencer à
s’habiller, nous offrant alors le spectacle d’une jolie paire de fesses !

- Quel joli cul ! On devrait de punir, te donner une fessée pour avoir osé
fouiller dans nos cassettes personnelles.

Je lui dis ça avec un ton, laissant présumer que ce genre de jeu
m’intéresserait beaucoup ! Malgré tout Alexia n’entra pas dans notre jeu, et
avait déjà remis son tee-shirt mais en oubliant le soutien gorge. Sylvain en
rajouta alors une « couche » :

- D’accord Alexia, on te donne une fessée, et on ne parle plus de cette
affaire, rassure-toi ce sera juste une fessée symbolique, on ne va pas te
brutaliser, nous avons horreur de la violence gratuite l’un comme l’autre.
- Alors je suis d’accord ! répondit-elle

Je m’assis alors sur le bord du lit, demandais à la baby-sitter de se
remettre nue et de venir s’étaler en travers de mes genoux, puis je
commençais à la fesser du plat de la main. Son cul devint rapidement très
rouge, elle gueulait, mais elle mouillait autant qu’elle gueulait, si bien
qu’après une vingtaine de coup, je décidais d’arrêter de taper, et
humidifiai mon index avec sa mouille, puis lui en pénétrais le trou du cul.
Alexia poussa de petits gémissements.

- T’aime ça qu’on te foute un doigt dans le cul, hein petite salope ?
- Ah ! oui, j’aime ça , encore, encore !
- Dis le que tu es une petite salope !
- Je suis une petite salope !

Du coup et vu ses bonnes disposition je la pénétrais d’un doigt
supplémentaire, et pendant ce temps là, Sylvain se masturbait en jouissant
du spectacle. Puis il s’approcha de la fille, prit sa bite à pleine main et
la dirigea vers la bouche de la baby-sitter. Il est poli mon compagnon, il
demande toujours, d’autant que sa bite sortant fraîchement de mon petit cul
de salope n’était pas vraiment nettoyée, encore pleine de sperme et de jus de caca…

- Tu veux me sucer ?

Pour toute réponse, elle ouvrit une large bouche invitant la bite à venir
lui remplir le palais.Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement.
Elle commença tout de suite à sucer comme l’aurait fait une vraie
professionnelle. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes.

- Si vous voulez me prendre, je me laisse faire ! Précisa-t-elle !

Mon compagnon, ne se le fit pas dire deux fois, il se retira, s’empara d’un
des préservatifs qu’il avait emportés précautionneusement dans ses poches
avant notre tentative d’escapade, s’en revêtit la bite et l’approcha de sa
chatte. Puis il la pénétra. Elle en redemandait déjà, et réclamait de
Sylvain qu’il la bourre plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier.
Au bout de deux petites minutes, il commença à la ramoner sérieusement, si
bien qu’elle finit par se tordre dans tous les sens. Sylvain, excité comme
jamais, criait qu’il allait arriver.

Alexia lui supplia alors de venir s’éclater dans sa bouche. Elle venait de
voir ma sœur Gina sur l’écran, pomper et avaler le foutre de Sylvain et elle
voulait en faire autant

- Je veux bien, mais il faudra que tu suces ma femme après, elle a aussi le
droit de jouir, non ?
- D’accord, d’accord !

oral24b

Aussitôt une douche de sperme coula au fond de sa gorge. La
petite coquine avala la totalité et se passa la langue sur les lèvres en
prenant soin de nous regarder, comme pour nous demander de porter une
appréciation sur sa performance. Sur l’écran de la télévision restée
allumée, on me voyait en gros plan me faire prendre des deux côtés par mon
beau frère accompagné de Sylvain pendant que Gina tenait la caméra.

Je me couchais sur la moquette !

- Allez viens !

Alexia vient placer sa langue entre mes cuisses, et commença à me lécher
autour de mon sexe, puis s’attarda sur mes grandes lèvres qu’elle pompait de
sa bouche, elle fit ensuite de longs mouvements de langue sur ma vulve. Elle
mit ses mains en avant pour m’attraper les bouts de mes seins qu’elle pressa
alors, tandis qu’elle attaquait mon clitoris, à ce régime là je ne résiste
pas bien longtemps et je finis par hurler mon plaisir. Puis sans trop savoir
comment on s’est retrouvée toutes les deux, bouche contre bouche à se rouler
un patin long, sensuel, reposant, relaxant.

Puis ce fut le calme, on s’est désaltéré, on s’est douché, on s’est
rhabillé, on a causé de choses et d’autres puis. Alexia a pris congé de nous
! Sur le pas de la porte, Sylvain lui a tout de même demandé :

- La prochaine fois qu’on refera une partie avec Gina et Désirée, ça te
dirait de venir avec nous ?
- Bien sûr, obsédé ! Répondit-elle en lui mettant la main sur la braguette.

Texte adapté par Marie-France V.

 

———————————
Note : Il existe une version de ce texte (probablement québécois)
intitulé « Mon mari, la baby-sitter et moi », on en trouve la première trace
sur l’Internet en 1997 sur un site de confidences érotiques (sans signature)
puis sur SophieXXX, toujours sans signature, et enfin sur Revebebe (signé
Rachel, avec des modifications mineures) et qui a été retiré. Ce texte
qui a connu un certain succès était pourtant bourré d’invraisemblances. Je
l’ai donc repris et rendu plus proche de l’esprit de Vassilia. Que le
véritable auteur (qui ne s’est pas manifesté depuis plus de 20 ans) ne nous en porte
pas rigueur !

 

Par Marie-France Vivier - Publié dans : Marie-France V
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