Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 07:16

Racolage Balnéaire 3 – Les grandes folles par Boris VasslanFetish

Thèmes abordée :  bisex féminine, doigtage masculin, engodage masculin, feuille de rose, jeux érotiques, party, scato, sex and food, shaving, spermophilie, transsexuelles, travestis, uro. 
Attention, âmes sensibles, ce texte contient un passage scato explicite !

C’est Soraya, le travesti présentateur qui m’accompagna jusqu’à une grande chambre, il me demanda si j’avais faim, et devant ma réponse négative me souhaita une bonne nuit, m’expliquant qu’il serait à ma disposition demain dès 9 heures et que je pourrais l’appeler par l’interphone pour le petit déjeuner. Epuisé, fourbu, je me demandais néanmoins ce que je fabriquais ici, et surtout quelle folie m’avait poussé « sans un instant réfléchir » à accepter cette étrange proposition. J’eus malgré la fatigue, certaines difficultés à m’endormir. Je m’étais malgré tout résolu à ne pas m’attarder ici et à trouver le moyen de partir, dès mon réveil. Après tout je n’étais pas prisonnier !

Je me réveillais d’assez bonne heure, mais je musardais au lit, n’arrivant pas à me décider à me lever. Commençant à avoir faim, j’avais donc le choix entre deux attitudes, appeler la soubrette pour le déjeuner ou me faufiler vers la sortie de cette demeure, puis aviser. C’est poussé par je ne sais quel démon que je choisissais le petit déjeuner sur place et activait l’interphone.

Un quart d’heure après Soraya était là avec tout ce qu’il fallait…

– Voilà, il y a du café, du lait, du jus d’orange, des tartines beurrées et de la confiture. Hum ! Le pain est tout chaud ! Désirez-vous autre chose ?

Je dévisageais un instant Soraya, il s’agissait d’un travesti et non pas d’une transsexuelle. Le type s’était savamment maquillé, une longue perruque blonde lui tombait en cascade sur ses épaules, mais peut-être étaient-ce ses cheveux naturels ? Son corps était apparemment entièrement épilé. Il n’avait pour unique vêtement qu’une nuisette rose à moitié transparente qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse. Déjà, troublé par le personnage, la vue de son sexe sous le tissu diaphane me provoqua un début d’érection. Il se rendit compte de mon trouble et innocemment réitéra sa question :

– Désirez-vous autre chose ?
– Je ne sais pas ! Que me proposez-vous ?
– Je peux par exemple prendre mon petit déjeuner en votre compagnie, mais si vous souhaitez rester seul, ou si vous avez besoin de quoique ce soit…

Je le coupais :

– Non ! Non restez, c’est une très bonne idée !
– On va se partager tout cela, normalement c’est pour une seule personne, mais si nous n’avons pas assez, j’irais en rechercher !
– D’accord ! Mais il n’y a qu’une tasse !
– Bon alors je reviens !

Et le voici qui s’en va en tortillant du cul, je me surpris à fantasmer sur ses belles petites fesses toutes rondes. Décidément quelque chose ne tournait pas trop rond dans ma pauvre tête en ce moment. Et puis le voilà qui revient déjà, comme s’il avait oublié quelque chose !

– Au fait qu’est-ce que vous avez emporté comme chaussures ?
– Pardon ?

Il reformula son insolite requête.

– Pourquoi, me demandez-vous ça ?
– Ah ! Ah ! C’est une surprise !
– Je n’ai rien ramené du tout, j’étais en tongs quand vos copines m’ont racolé !
– Ah ! Et vous chaussez du combien ?
– Du 42 ! Si je n’ai pas pris une pointure en dormant !
– A tout de suite !

Et nouveau départ du zèbre qui retortille le cul comme pas possible, et mon zizi qui a l’air d’apprécier…

Le voici qui revient, avec un second plateau de petit déjeuner ! Il fait le service et me sert un café au lait fumant. Etant toujours dans le lit, j’ai pratiquement sa quéquette sous le nez. J’essaie de regarder ailleurs, mais je me rends compte du ridicule de la situation et changeant complètement de comportement, je l’apostrophe :

– Elle est ravissante cette nuisette !
– C’est la nuisette que tu regardes ou bien ce qu’il y a en dessous ? Oh ! Pardon ? Je vous ai tutoyé ?
– Ce ne me gêne pas du tout !
– Alors répond donc à ma question, petit coquin !
– Ce qui est très joli c’est le mélange des deux !
– Bonne réponse ! Et comme ceci ?

Et voici que Soraya soulève sa nuisette dévoilant complètement à ma vue ses attributs. Ils n’ont d’ailleurs rien d’exceptionnels, sa bite est de taille moyenne, ses couilles sont bien banales, mais il y a deux choses qui font sortir tout cela du lot commun, d’abord il n’y a plus un seul poil, et puis ce contexte, cette bite incongrue sur un corps qui se voudrait féminisé. Tout cela m’excite, je bande à présent comme un gode.

– Superbe ! M’entendis-je répondre.
– Tu peux toucher si tu veux ?

Il m’apparut néanmoins assez rapidement que Soraya était aussi là, pour me satisfaire sexuellement. Il n’était donc pas utile d’en rajouter en inutiles prémices protocolaires. Soraya s’empare soudain de deux tartines beurrées et y place sa verge entre les deux. Il rigole !

– Tu as vu ? C’est un hot-dog !

Je me demande si le moment n’est pas venu d’attraper tout cela, mais la présence des plateaux me gêne. L’autre continue de délirer :

– Un hot-dog à géométrie variable !

Il se masturbe entre les deux tartines beurrées et sa queue ne tarde pas à adopter un bel aspect, bien raide.

– On pourrait continuer, ça ferait un hot dog à la crème !

Mais il ne poursuit pas ! Il dépose les tartines sur le plateau, prend une cuillerée de gelée de groseille qu’il se répand sur la verge. Il se fait donneur de conseil :

– Si tu mets directement la confiture, ça finit par couler, avec un peu de beurre, ça tient bien mieux et plus longtemps.

Il reprend ensuite l’une des tartines dont il s’est servi pour se sandwicher le zizi et en découpe une bouchée qu’il me tend :

– Voilà : Tu te mets ça dans la bouche, et tu lèches un peu de confiture

Et ce disant, il s’approche de moi, afin que la manœuvre devienne réalisable. Le petit bout de pain n’a pas pris d’odeur particulière malgré son contact avec le pénis du travesti. Je le mâchouille un petit peu, puis pointant ma langue vers sa verge, je viens y laper un peu de confiture. Je n’ai jamais fait cela ! Je suis excité comme un pou. Déjà, j’ai envie de jouir ! Je vais éclater ! Je continue, néanmoins cet étrange petit déjeuner, un petit bout de tartine, une lichette de gelée de groseilles sur la bibitte du travelo !

A force de lécher, il ne reste bientôt plus rien, mais tout cela reste un petit peu visqueux, personne ne m’a demandé de faire le ménage, mais il n’y a pas de raison, il faut que cela soit propre. Alors je lèche, je suce, et je relèche et je resuce. Tant et si bien, que soudain je sens ce membre tressauter à l’intérieur de mon palais. Cette grande folle est en train de jouir dans ma bouche. Ce n’était pas vraiment prévu ! Et n’étant pas un fanatique de l’avalage de sperme, je porte à ma bouche une pleine cuillerée de gelée de groseille avant d’avaler d’un coup ce mélange insolite…

C’est bien joli, tout cela, mais je ne suis pas calmé et d’un geste je lui indique ma queue dressée comme la lettre I dans l’alphabet.

– On s’en occupe !

Il me masturbe un tout petit peu, du bout de ses longs doigts. Ce type m’électrise, il a des mains d’artiste, des doigts de fées.

– Tu connais la pipe café au lait ?
– Non ! C’est quoi ?
– Je vais te montrer !

Soraya avala alors une bonne goulée de liquide chaud et la garda quelques instants en bouche afin d’augmenter la température de sa langue, de ses lèvres et de son palais. Il avale ensuite le café, puis plonge vers mon sexe.

Curieuse sensation que cette pipe chaude. Au plaisir de cette fellation experte s’ajoute un contact trouble, celui que l’on retrouve par exemple lorsqu’on se douche le sexe avec de l’eau plus que tiède. Les deux sensations ne s’ajoutent pas, elles se multiplient. Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de Soraya, qui lui n’aura pas besoin, lui, de confiture pour avaler.

Je mets quelques minutes à reprendre mes esprits, puis nous finissons notre petit déjeuner comme si de rien n’était. Soraya me fait la conversation, (j’ai du mal à en placer une), et me parle des fantaisies de son patron, Frédérique, de quoi écrire un roman à épisodes. J’ai une fringale pas possible, il est vrai que je n’ai rien avalé depuis hier midi et il ne restera rien du tout sur les plateaux.

– Bon je vais peut-être me rentrer !
– Allons, allons ! Tu es invité, nous mangerons tous ensemble en fin d’après-midi, ce sont les habitudes de la maison. Mais auparavant nous avons prévu quelques petites fantaisies histoire de se distraire. En attendant tout cela, tu as la salle de jeux à ta disposition, il y a tout ce qu’il faut pour passer le temps, un billard, des flippers, un micro avec des jeux, une chaîne, une bibliothèque… Mais avant je vais te raser.

– Merci, ça je peux le faire tout seul !
– Ne dis pas de bêtises, tu crois que c’est facile, toi, de se raser tout seul les poils du trou du cul ?
– Non mais attends ! Tu veux faire quoi au juste ?
– Te raser partout ! Partout, partout !
– Non ! Pas question, le trou du cul à la limite, mais c’est tout !
– Oh ! Comme c’est dommage !
– C’est dommage, mais c’est comme ça !
– Tu as peur que ta femme s’en aperçoive ?
– Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas s’en apercevoir ?
– T’invente une histoire !
– Trouve m’en une et je me laisse faire !
– Voyons, voyons ! Tu t’es réveillé avec des fortes démangeaisons sur la poitrine, tu n’as pas eu le temps d’aller consulter, mais tu en as parlé au pharmacien qui t’a dit qu’il y avait plusieurs cas en ce moment, que cela était provoqué par un petit parasite genre morpion, mais que ce ne sont pas des morpions, il t’a donné une crème, mais il t’a précisé que le moyen le plus efficace serait de te raser tous les poils. Ça te va ?
– Quelle imagination ! C’est un peu tiré par les poils, justement mais ça devrait aller !
– De toute façon, une crème on t’en donnera une, quand ça commence à repousser ce n’est pas toujours évident ! On y va ?

Je suivis donc Soraya dans la salle de bain !

– On va commencer par la poitrine, heureusement il n’y a pas grand-chose !

Et hop ! Le voilà qui me colle une tartine de gel moussant qu’il m’étale sur mon torse, il ratisse ensuite avec le rasoir en de petits gestes précis. Je me laisse faire. Je commence à comprendre le ravissement qu’ont certaines femmes à passer de longues séances chez l’esthéticienne. Il est un plaisir certain de se faire occuper de son corps tout en ne faisant rien. Il m’essuie ensuite avec une serviette chaude, contrôle si rien n’a été oublié, en profite pour passer une main sur la pointe de mon téton gauche.

– Dis donc ! Tu as le bout des tétons bien développé, toi ?
– C’est à force de mes les faire pincer !
– Comme ceci ?

Et le voilà qui me serre le bout, c’est ma caresse préférée, celle qui me refait toujours bander. Et là en plus, il y a les doigts de fée de ce diable de travesti ! Ma quéquette s’en redresse de satisfaction !

– T’aime ça, hein, petite salope ? Minaude Soraya
– Continue !
– Dis le moi que tu es une petite salope !
– Et toi ? répliquais-je.
– Moi aussi je suis une petite salope, on est toutes les deux des petites salopes, mais soyons sérieux ! On a toute la journée !

Il s’occupe ensuite de mes jambes, de mes bras, il ne reste plus que mon sexe et mon anus. Quand il commence à s’emparer de ma bite pour m’ôter la mousse et les poils, je me remets de nouveau à bander comme un cerf.

– Branle-moi !
– Non, il te faut garder des forces pour tout à l’heure ?
– On va faire quoi tout à l’heure ?
– On va s’amuser !

Je n’en saurais pas plus !

Restait mon anus, il me fit mettre en cheval d’arçon sur le tabouret pendant qu’il opérait.

– T’as un vrai petit cul de gonzesse ! Hum ! Le genre de cul à attirer les coups de martinet et les bites bien dressées !
– J’ai eu ma dose hier !
– Oui, mais pas aujourd’hui ! Et d’ailleurs tu n’as aucune marque !

Mais, il faut croire qu’il n’était pas dans ses intentions immédiates, ni de me flageller, ni de me sodomiser. Il reprit son rasage et j’eus l’impression que l’affaire s’expédiait assez vite, quand profitant du passage de la serviette chaude, il s’enhardit subitement à passer son doigt à l’entrée de mon trou. Je crus deviner qu’il mourrait d’envie de me doigter et ne voulant pas prendre le risque de contrarier un aussi délicieux personnage, je m’ouvrais, il y pénétra donc le doigt, comme je l’avais supposé, mais sans toutefois insister outre mesure.

– Pendant qu’on y est, je vais te faire la barbe.
– Ça ! Je peux le faire tout seul !
– Tss ! Tss ! Je m’occupe de tout !

C’est bien la première fois qu’on me rasait le visage, mais il fit cela aussi très bien. A la fin il me caressait mes joues, sans doute pour en tester la douceur, toujours est-il que son visage était à ce moment-là à 30 centimètres du mien et que c’est poussé d’une impulsion subite et réciproque que nous nous embrasâmes sur la bouche en un long baiser fougueux. Puis il me laissa.

Je pris une douche avant de m’assoupir une bonne heure. Puis, je rejoignis la salle de jeux dans laquelle je dénichais une magnifique collection de bandes dessinées érotiques dont la lecture attentive me fit efficacement tuer le temps.

L’après-midi commençait quand Soraya vint à nouveau me rejoindre. Il (je ne sais jamais s’il faut dire « il ou elle », avec les transsexuelles, je mets « elle », ici c’est moins évident !) Elle avait un paquet cadeau dans une main, des sacs en plastique dans l’autre.

– Tiens ! De la part de Frédérique !

Voilà qu’on me faisait des cadeaux à présent ! C’est quoi encore cette histoire de fou ! Je déballais le machin, ça ressemblait vaguement à une boite à chaussures ! C’était une boite à chaussures ! Dedans une super paire de baskets. Je suis loin de partager cet incompréhensible culte enthousiasme qu’ont nos jeunes contemporains pour les godasses de marque. Mais je n’étais pas ignorant au point de ne pas savoir que celles qui m’étaient ici destinées devaient valoir leur pesant de cacahuètes. On avait poussé la délicatesse jusqu’à accompagner la chose d’une paire de chaussettes qui sans être spécialement dans mes goûts, affichait néanmoins une grande griffe.

– Et c’est en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, mais les jeux de plein air sur la pelouse avec des tongs, ça craint un peu ? Non ?

J’avais gardé mes habits de la veille, tee-shirt bon marché et bermuda tout simple, spécial vacances. J’enfilais chaussettes et chaussures, sur instruction de Soraya. J’avais l’impression d’être un peu dépareillé.

– Maintenant séance de maquillage !
– Pardon ?
– Allez, viens, dans cinq minutes on va te souhaiter la bienvenue au club des grandes folles.

Je ne protestais même pas ! A quoi bon ? Tout cela était sans conséquence. Alors Soraya me mit du fond de teint, me maquilla les yeux, me coloria les lèvres, m’apposa du vernis à ongles et pour couronner le tout me coiffa d’une perruque blonde.

Je contemplais mon visage dans le miroir ! Etait-ce bien moi ? Que dirais ma femme si elle me voyait, là maintenant ? Mais quelque part une pensée se fit forte dans mon esprit, et cette pensée, ce devait être un petit diable qui me la chuchotait à l’oreille :

– C’est la première fois ! Mais ce n’est sûrement pas la dernière !
– Bon on va aller rejoindre les autres, retire tes fringues et enfile ça, ce sera beaucoup plus sexy !

Ça, c’était une ravissante petite nuisette vert pâle ! Il fallait que je m’y fasse ! Cet après-midi j’avais franchi un pas, j’étais devenu un travesti ! Et cela ne me gênait pas le moins du monde !

– Je ne mets pas de culotte ?
– Non, pas de culotte ! Allez viens !

Autour d’une table de jardin papotaient les personnages que j’avais rencontrés la veille : Nicole la grande blonde était entièrement nue. (quel délicieux spectacle que cette grande bringue, à la chair pulpeuse et à la peau hâlée par le soleil !) mais s’était coiffée de son grand chapeau vert à large bord. Jackie, la brune dominatrice n’avait en guise d’habit qu’une fine chaîne de taille en or et s’était couvert le chef d’une sorte de casquette de marine qui lui donnait un petit air mutin. (Mutin ! J’ai dit !) Chloé, la sculpturale transsexuelle avait conservé une petite culotte rouge en dentelles. Il y avait aussi une blackette aux seins de déesse qui je crois faisait partie des spectateurs d’hier soir, elle aussi avait conservé sa culotte, un machin de luxe, couleur dorée magnifiquement assortie à sa peau noire. Enfin, notre hôte, Frédérique s’était vêtue d’une sorte de pyjama en soie beige semi-transparente. C’est ce dernier qui m’accueillit :

– Bonjour mon biquet !

Voilà que je suis son biquet à présent !

– Mais c’est toi qui l’as transformé comme cela ? Soraya ! Mais tu es merveilleuse, viens que je t’embrasse !

Et il roule un patin à ladite Soraya, très fière de sa prestation ! Frédérique se retourne vers moi !

– Cet après-midi sera en ton honneur !
– Y fallait pas !
– Si ! Si ! Vous avez été tous si formidables hier soir ! Tu sais, certaines de ces soirées sont parfois à moitié ratées, il faut improviser sévère pour tout rattraper, et dès fois on y arrive même pas ! Alors que là, c’était fantastique ! Tout était parfait ! Il fallait bien marquer le coup ! Comme je ne pouvais pas vous retenir tous les trois (Quoi que j’aurais peut-être dû, mais bon !) On a gardé le plus mignon !

Il va me faire rougir ce con !

– C’est la première fois que l’on te travestit ?
– Oui !
– Et qu’est-ce que tu en penses ?
– C’est très troublant, ça ne me déplait pas, finalement !
– Je vous disais bien qu’il ne nous décevrait pas ! Comment on va l’appeler ? C’est quoi ton vrai prénom ?
– Euh, Boris !
– Boris ! Ça donne quoi, ça : Borisette, Borissa, pas terrible !
– Doris ! proposa Jackie
– Doris ! En voilà une idée qu’elle est bonne ! Ça te plait ?
– Pourquoi pas ?
– Et bien tu seras donc Doris, désormais ! Donc tu connais tout le monde, Ah non ! Tu ne connais pas Amanda, elle est belle, hein ? Me dit-il en me désignant la jolie blackette.
– Toutes mes félicitations vous êtes superbe !
– Et attend, tu n’as pas vu ma queue ! Me répond l’intéressée !

Encore une transsexuelle ! J’aurais dû m’en douter. Je ne vais pas me démonter, puisqu’il paraît qu’aujourd’hui c’est ma fête !

– Mais je ne demande qu’à la voir !
– Qu’est-ce que je fais ? Je lui montre ou pas ?
– Mais, non, il aura bien l’occasion de la voir pendant le jeu !
– Le jeu ?
– Oui ! On va jouer à Chat-Bite !
– Chat-Bite ?
– Tu ne connais pas ?
– Non !
– Tu ne jouais pas à chat quand t’étais gosse ?
– Si ! Mais pas à chat-bite !
– C’est la même chose, on va tirer au sort un chronomètre et on va t’expliquer !

On tire rapidement à la courte paille, tout le monde n’y participe pas, ni moi, ni Frédérique. C’est Soraya qui perd !

Aùmanda

– Soraya sera donc le chronomètre ! Donc au départ il y a un chat, il faut qu’il courre après quelqu’un de son choix qui devient à son tour le chat. Mais pour l’attraper, il faut qu’il lui touche la bite, (enfin le sexe, pardon Mesdames !) L’ancien chat peut alors faire ce qu’il veut au nouveau chat mais pendant seulement une minute. Et pour qu’il n’y ait pas de triche Soraya chronométrera ! Allez ! C’est parti !
– Oui, mais c’est qui le chat ?
– On va pouffer !
– Qui c’est qui connaît une comptine ?
– Moi ! dit Nicole !
– Une cochonne j’espère !
– Bien sûr !
– Allons-y ! : Une bi-te dans les frites, une couille dans les nouilles, un ni-chon dans les cor-ni-chons !
– C’est Chloé le chat !

Et c’est parti ! C’est qu’elle court vite, Chloé ! Mais je ne me débrouille pas trop mal, elle me prend pour cible, je l’aurais parié, mais j’esquive, et ne la laisse pas me rattraper. En désespoir de cause Chloé touche Nicole, et du coup lui suçote la chatte pendant une minute. Et Voilà donc notre Nicole dans le rôle du chat ! C’est qu’elle a de grandes jambes, Nicole, une vraie gazelle, la voir courir comme ça avec ses seins qui ballottent est un spectacle très excitant. Voilà que je me remets à bander. C’est encore moi la cible, c’est une conspiration, mais je tiens le coup. Elle finit par passer le relais à Jackie, non sans avoir roulé un patin pendant 60 secondes à cette dernière.

Jackie court moins vite que les deux précédents, mais c’est moi qui commence à manquer de souffle ! Je comprends que tôt ou tard, on finira par me rattraper. Puisque c’est un jeu acceptons en les arcanes. Etre le chat a après tout, quelques beaux avantages, je me laisse donc toucher la zigounette par la douce Jackie, qui ne trouve rien de mieux que de m’infliger une fellation « à la cannibale », c’est à dire que tout en me suçant, elle me mordille sans cesse ! C’est avouons-le fort agréable, même si on est toujours en train de se demander si on ne va pas se faire mordre. Et c’est moi le chat ! Et ma cible sera la noire Amanda, c’est beaucoup plus facile que je croyais, ses gros seins la gêne pour courir. Je la rattrape, lui touche le slip. Elle s’immobilise. Vite ! Une minute c’est vite passé : Je lui baisse le slip et lui dégage l’engin. Il est moins impressionnant que prévu, mais néanmoins de fort belle facture ! De toute façon, je ne fantasme pas sur les grosses bites, et sa taille me permettra au moins de l’avoir en bouche sans attraper un déhanchement de la mâchoire. Je suce tant que je peux. Mais notre travesti-chronomètre me signale la fin du temps réglementaire. Et c’est reparti. Nous avons joué à chat bite pendant plus de deux heures, riant comme des gosses, s’amusant comme des fous à nous sucer, nous tripoter, nous embrasser, nous caresser. Tout cela dans une ambiance assez saine et très excitante alors que j’aurais cru qu’elle serait glauque !

A un moment ce fut Frédérique qui fut le chat, elle s’élança sur moi (allons-y pour le féminin), assez épuisé, je luttais assez peu, en me rattrapant, elle se jeta à terre et m’entraîna avec elle dans sa chute pour me rouler un patin majestueux. Au bout de la minute réglementaire, Soraya-Chronomètre fut renvoyée dans ses cordes par le maître de séant qui lui signifia que le jeu arrivait dans sa période de conclusion. Frédérique tout en continuant à m’embrasser fougueusement me serrait les tétons entres ses pouces et ses index, me faisant pousser des petits gémissements de plaisir et de douleur contenue. Je lui rendis bien sur la pareille. Mon partenaire se retourna soudain, m’offrant son sexe dans ma bouche, tandis que ce dernier cherchait le mien, nous commençâmes alors un 69 torride, sous les regards excités des autres participants qui s’étaient placés en cercle autour de nous. Je sentis bientôt le goût acre du sperme sur ma langue. Je n’avais pas à ce moment-là de gelée de groseille à ma disposition pour en faire passer le goût. Je l’avalais donc, brut de brut, et je dois avouer que je ne trouvais pas cela mauvais. Assez épuisé par toutes ces émotions j’avais pour ma part un certain mal à éjaculer, mais Frédérique me donna gentiment un petit coup de main très efficace pour ensuite me reprendre en bouche dès qu’il sut la jouissance imminente.

Frédérique se releva pantelant(e) et s’adressa à ses compagnons !

– Personne n’a envie de pisser cet après-midi ?
– Si ! Si ! Répondirent les quatre voyeurs.
– Alors allez-y, ça va nous rafraîchir !

A ces mots, Chloé et Amanda les deux transsexuelles, ainsi que Soraya se mirent à uriner dirigeant leur jet vers nos corps encore couchés sur le gazon. Elles nous aspergèrent avec méthode, la bite, le torse et bien sur le visage !

– Les filles maintenant !

Jackie se mit à califourchon sur le visage de Frédérique et j’eus l’honneur de recevoir celui de Nicole. Son urine avait un bon goût de bière sans alcool, je m’enivrais de cette odeur et de cette sensation perverse, regrettant qu’il y en ait pas plus !

– J’ai envie de chier ! Me dit-elle, ça ne te dérange pas ?
– Non, non ! répondis-je en me relevant.
– Reste comme tu es, je vais te chier dessus, tu vas aimer ça !

Bon, ça ne va me tuer, d’autant que je n’ai rien contre un peu de scato de temps en temps, quand l’ambiance s’y prête et que l’excitation est de la partie. alors je ne bouge pas d’autant que toute cette bande de joyeux obsédés commence à faire cercle autour de nous.

Nicole pousse et un petit étron sort difficilement de son trou du cul, il est bien joli cet étron, il est même attendrissant. Et puis c’est si beau une femme qui chie, ça me fait bander. Elle pousse encore, cette fois, ça sort en un long boudin qui vient me dégringoler sur la tronche et la parfumer.

J’écarte cette chose de la main et bien sûr je m’en mets plein les doigts.

– Lèche ! Me demande-t-elle avec un tel sourire que je ne peux refuser

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Humm ! Délicieuse !
– Tu vas me nettoyer le cul, maintenant !

Je le fais, je me régale… et m’en étonne.

Nicole ramasse l’étron qu’elle a chié et de ses mains pleine de merde, elle se badigeonne les seins, les cuisses, le ventre, les joues. c’est dégueulasse mais ça me fascine. Josy vient devant elle et se met à lui lécher ses seins merdeux. Quel spectacle. Josy à son tour se badigeonne et c’est au tour de Nicole de lui sucer les tétons. Les deux femmes s’embrassent ensuite. Je suis complétement bluffé par ce que je vois et je bande comme un cerf. Nicole vient vers moi et m’offre ses lèvres.je ne me serais pas cru capable d’accepter ce baiser. Comme quoi l’excitation…

Chloé récupère un peu de matière et s’en badigeonne la bite, je crois un moment qu’il va me la faire sucer, mais le cadeau ne m’était pas destiné. C’est Amanda qui vint lui prodiguer cette étrange fellation au terme de laquelle sa belle queue ressortit toute propre, toute jolie, toute récurée.

Chloé s'aperçoit de mon trouble :

- T'es jaloux, toi ? Ça t'aurais plus de me nettoyer la bite ?
- J'avoue !
- On va arranger ça !

Chloé propose à Nicole de l'enculer, ce qu'elle accepte volontiers en cambrant son joli cul. Quelques instant après la bite du trans ressortait légèrement maculée.

Je m'empressais alors lui nettoyer tout ça !

– Passons à table le traiteur ne devrait plus tarder ! prévint Soraya !

Nous fîmes une petite pause, histoire d’être présentables, puis nous nous sommes retrouvés autour d’une grande table sur laquelle sept couverts avaient été préparés autour d’un gigantesque plateau de fruits de mer où se chevauchaient langoustes, homards et tourteaux, huîtres et oursins, crevettes et bulots. Et alors que les convives se dirigeaient vers leur place, j’eus la surprise de voir Frédérique s’éclipser à l’intérieur. Soraya me prit la main et me demanda de la suivre quelques instants dans la villa. Quelle ultime folie ces zigomars avaient donc encore préparé ?

Soraya me fit enlever ma nuisette trempée de sueur, et il me demanda de me vêtir d’un haut de smoking et d’un nœud papillon. Rien d’autre, rien en bas, je restais la bite à l’air.

– Attend quelques instants sur le perron !

En fait d’attendre, je m’attendais au pire : Effectivement tout d’un coup la sono se mit à cracher la marche nuptiale de Félix Mendelssohn, tandis que Frédérique en tenue blanche de mariée me rejoignait et me tenait tendrement la main pour ensuite m’accompagner jusqu’à la table, où les autres convives nous applaudirent, nous félicitèrent, en jetant sur nos costumes flambant propres, pognées de riz et contenus des verres de champagne !

Je pensais en avoir fini avec toutes ses singeries, quand je remarquais que la place que l’on m’avait réservée avait une étrange particularité : Un godemiché était en effet soudé verticalement au milieu du siège, il avait été recouvert d’un préservatif bien lubrifié. Je fis ce qu’on attendait de moi et sous les applaudissements de mes camarades de jeux je m’empalais sur l’objet, tandis que le chœur des convives entamait une chanson idiote :

« Il est de nôtres…. il en a pris plein le cul comme les autres »

Après toutes ces péripéties, le repas fut relativement tranquille. Il y eut plus tard la « nuit de noces ». J’ai promis de ne pas la raconter. Sachez simplement qu’elle reste gravée dans mon souvenir comme le point fort de ces 48 heures de folies furieuses.

Epilogue de l’épisode

Ça m’est venu comme ça en préparant mes valises pour le retour. En plus de l’explication vaseuse sur mon épilation il faudra que je justifie auprès de mon épouse la présence des basquets et des chaussettes. Ma première idée était de dire qu’ils avaient été gagnés à un concours de plage ! Mais à quoi bon raconter des salades ? Notre couple ne va plus très bien. Nous avons d’ores et déjà envisagé une séparation à l’amiable mais sans pour autant entamer de procédure. Ma femme me dit m’aimer encore (sans doute vrai) et ne pas avoir d’amant, (sans doute faux) je pense être dans des dispositions parallèles. Alors pourquoi ne pas tenter un banco et tout raconter à mon épouse ? Tout ! Lui révéler ainsi des pans insoupçonnés de ma sexualité. Des pans que j’ai sans nul doute eu grand tort ne pas savoir les faire partager. Il me faudra pour cela user de trésors de tact ! Ou bien ce sera le déclic pour un départ sur de nouvelles bases, ou bien la séparation se précipitera, et pas forcément à l’amiable… Mais allez donc savoir pourquoi, cette drôle d’aventure m’a rendu très optimiste !

FIN (de l’épisode)

BORIS
© 2000 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 15/11/2000

Par Boris - Publié dans : Boris
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Lundi 13 août 2018 1 13 /08 /Août /2018 06:38

Racolage balnéaire 2 – Le petit théâtre par Boris Vasslannicole

 

C’est après 15 minutes de route que nous arrivâmes dans une petite ville de l’arrière-pays. Celle-ci abritait un certain nombre de propriétés cossues (C’est le moins que l’on puisse dire !) Et nous pénétrâmes dans l’une d’elle. Après m’avoir imposé de prendre une douche, on me conduisit dans une espèce de réduit où étaient installées des cages d’esclaves. Ces trucs inhospitaliers en diable avaient la dimension d’un parfait mètre cube. Il y en avait au moins quatre, mais leur disposition en cercle et le peu de lumière m’empêchait de savoir si elles étaient ou non occupées. On me demanda de me déshabiller complètement et on me plaça des bracelets autour des chevilles et des poignets. Un collier d’esclave vint compléter la panoplie. Jackie me poussa dans la cage. Elle réunît mes deux poignets avec un clip, fit de même avec mes chevilles, puis réunit le tout ! Position super pratique ! J’espérais simplement que je n’aurais pas à endurer ce genre de truc trop longtemps, la situation ne m’excitant que moyennement.

– Bon ! On va te laisser comme ça un certain temps ! Dans le coin en haut, tu as une petite sonnette ! Tu peux l’actionner avec le bout de ton nez ! A réserver aux situations difficiles ! J’ai bien dit aux situations difficiles ! L’envie de pisser n’en est pas une ! En cas d’abus, on te vire ! Et tu passeras à côté d’une soirée merveilleuse ! Compris ? M’expliqua Jackie
– Oui ! Maîtresse !
– On va te laisser ! Avant, profites-en ! Si tu as soif on peut t’amener un verre d’eau, si tu as mal à la tête on peut t’amener un cachet…
– Je veux bien un verre d’eau !
– C’est comme ça qu’on demande ?
– Oh ! Pardon Maîtresse !
– Chloé ! Vas-y rafraîchit-le !

Chloé, comme tout à l’heure ressortit sa belle queue de transsexuelle et la dirigea vers ma bouche, j’acceptais la punition, mais il n’avait plus très envie, malgré tout j’avalais sans rechigner les quelques gouttes de sa mini douche dorée. Après cela j’eus quand même droit au verre d’eau, et on me laissa.

Mais qu’est-ce que je fous ici ?

La situation était bien sûr inconfortable, le fait de ne pouvoir vraiment changer de position est pénible, mais le plus agaçant est sans doute celui de ne pas pouvoir se gratter. On ne s’en rend pas compte tellement c’est machinal, mais c’est vrai on se gratte tout le temps, et ne pas pouvoir le faire est beaucoup plus cruel qu’on pourrait le penser. Je finis par m’endormir !

Le bruit d’un cadenas que l’on active me réveilla. Combien de temps s’était-il écoulé ? On m’avait retiré ma montre et ne pouvais savoir l’heure. Tandis que j’émergeais de mon inconscience, on me tira à l’extérieur et on me déclipa mes attaches. Ces braves gens eurent l’intelligence d’attendre quelques instants, le temps que je me « déplie ». Ils étaient trois, Jackie, négligemment habillée d’une sorte d’ensemble très « pyjama » et une autre femme plutôt grande, des jambes immenses, le type slave, yeux bleus, pommettes relevées et longue queue de cheval blonde, simplement habillée d’une minuscule culotte et d’un tee-shirt (Nicole). Le troisième était un homme, enfin je veux dire qu’il était du sexe masculin. Plutôt grand, assez fin, très peu musclé, une trentaine d’année. Des cheveux longs qui étaient peut-être une perruque, le visage fardé et maquillé, il était uniquement vêtu d’une sorte de peignoir en soie mauve et d’une petite culotte rose. Son corps était entièrement épilé, et ses tétons très développés étaient percés de jolis petits anneaux d’or ! Une véritable collection de bagues, de bracelets, de colliers et de chaînes de toutes formes venait compléter le tableau. Une créature à mi-chemin entre « la folle » et le travesti. J’appris un peu plus tard qu’il se faisait appeler Frédérique (au féminin, donc) et qu’il s’agissait du maître des lieux. Sans être une beauté fatale (rien à voir avec Chloé) il se dégageait une sorte de trouble du personnage qui ne me laissait pas indifférent.

Il m’observa, me détailla. J’eus soudain l’impression d’être un veau au marché aux bestiaux. Puis il finit par lancer un signe approbateur à Nicole, qui me conduisit alors auprès de deux autres compagnons d’aventures. Je n’ai jamais su leurs noms, mais pour la commodité du récit nous appellerons Brice, cet antillais au visage poupin et David l’autre, une sorte de petit gros aux moustaches trop fines et à la coupe de cheveux impeccable, un physique finalement très beauf. Je me demandais par quelle ironie du sort celui-ci avait bien pu atterrir en ces lieux !

Une quatrième cage s’ouvrit ! Son occupant ne nous rejoignit pas. Sans doute n’avait-il pas l’heur de plaire à Frédérique ? J’entendis ce dernier donner des ordres afin qu’on le raccompagne. En voilà un qui probablement devait être fort déçu ! A moins qu’il ait de la chance d’échapper à ce que j’ignorais encore… allez savoir ? Frédérique s’adressa aux filles :

– C’est bon, vous les remettez en cage, mais inutile de les attacher, je vous préviendrais un peu avant le spectacle !

Le spectacle ? Quel spectacle ? Je commençais à me demander ce que je faisais ici ! Après avoir bu un généreux verre d’eau on me remit donc en cage. Une sérieuse envie d’uriner commençait à me travailler, je n’avais pas osé demander, il ne me restait que deux solutions, m’efforcer de me retenir, mais jusqu’à quand ? Ou alors faire dans la cage ? Ce que je finis par faire au bout d’un quart d’heure, et ainsi apaisé, je me rendormis !

A nouveau le cadenas, la porte s’ouvre, elles ne sont que deux cette fois, Jackie et Nicole, la grande folle n’est plus là, on me fait sortir !

Nicole s’est coiffée d’un très large chapeau vert dont le port lui durcit les traits, elle est revêtue d’une sorte de long ciré en latex, qui ne laisse pas deviner ses formes, seule la cravache attachée à sa ceinture montre qu’il s’agit d’une dominatrice. Jackie, elle, est revêtue d’une minijupe en cuir et d’une sorte de gilet laissant apercevoir la naissance de sa belle poitrine. Apparemment j’ai l’honneur de sortir le premier. Soudain, Nicole retourne une mini gifle à Jackie :

– Mais tu nous as ramené quoi comme esclave ? Tu as vu les cochonneries qu’il a faites ?
– Je vais arranger cela !

C’est à mon tour de recevoir une superbe paire de gifle, mais c’est Jackie qui me l’administre, et ce n’est pas de la  » mini « .

– Tu ne pouvais pas te retenir ! Je devrais te faire tout lécher, mais on n’a plus le temps !

Elle va chercher une serpillière et me fait nettoyer, et elles ouvrent aux deux autres esclaves. On nous attache à la queue leu-leu à l’aide de chaînettes reliant nos colliers et ainsi entravés, nous suivîmes nos maîtresses. Nous voilà maintenant à l’extérieur, complètement à poil, mais personne d’étranger ne peut nous voir, semble-t-il ! On se dirige vers une sorte de petite dépendance et nous pénétrons dans une petite pièce où s’amoncelle un invraisemblable bric-à-brac, parmi lequel je crois reconnaître plusieurs accessoires de théâtre !

– Bon ! Voici ce qui va se passer à présent ! Vous allez être dominé en public…
– Ah ! Non !

C’est David qui rouspète !

– Ecoute pépère ! Tu as eu je ne sais combien d’occasions de te rétracter ! Maintenant il est trop tard ! Et si tu ne la fermes pas je vais te réserver un traitement spécial !
– Je…
– Je quoi ? T’as encore quelque chose à dire ! Prend ça, dit merci et tais-toi ! Pédale !

Joignant le geste à la parole, Nicole gifle le pauvre type qui du coup devient très sage !

– Merci maîtresse !
– Je disais donc avant que cet enculé me coupe la parole, que vous allez être dominé en public. Il n’y a pas grand monde, une trentaine de personne, et c’est une soirée sur invitation complètement privée. Ceci dit si vous le souhaitez, on peut vous fournir des loups ou des cagoules si vous craignez d’être reconnu ! Quelqu’un en veut ?

Personne ne bronche.

– Encore une fois, vos limites seront respectées, mais c’est quand même du SM, on n’est pas en train de vous faire jouer « Le petit prince » ! Maintenant si vous avez des remarques intelligentes, je vous autorise à les faire maintenant !
– C’est que voilà, Maîtresse, j’aurais bien fait pipi !

C’est Brice qui timidement formule sa requête

– T’inquiète pas, patiente encore un quart d’heure, tu pourras te soulager !
– Ah, bon ! Merci Maîtresse !
– Pas de quoi, allez en piste !

Nicole nous guide à présent vers la scène de ce petit théâtre privé, un rideau rouge dans la grande tradition nous empêche de voir les spectateurs. Un portique a été disposé et nos maîtresses nous y attachent en y rejoignant les clips de nos poignets.

Chloé, la superbe transsexuelle brésilienne nous rejoindra sur scène quelques secondes plus tard. Elle n’est vêtue que d’un petit string noir, et d’un soutien-gorge qui laisse en fait la poitrine complètement découverte, ses tétons percés ont été décorés d’anneaux dorés. J’ai en la regardant un début d’érection, ce doit être un réflexe !

Nous sommes donc six sur la scène quand simultanément la musique remplit l’espace (du Mike Oldfield, ça aurait pu être pire, mais on y a eu droit toute la soirée), la lumière des spots jaillit et après que les trois coups eurent été frappés, le rideau rouge se leva sous les applaudissements du public.

Il y avait là effectivement vingt-cinq à trente personnes, beaucoup sont d’âge murs, pas mal de couples et aussi quelques travestis. Trônait au premier rang, Frédérique dans la même tenue que tout à l’heure. Qui pouvait bien être ce zigoto pour organiser des pareilles soirées ?

Soraya, un très séduisant travesti déguisé en soubrette monta alors sur scène.

– Mesdames, messieurs, au nom de notre ami Frédérique, je vous souhaite la bienvenue et aussi une bonne soirée. Cette soirée aura trois parties. La première qui va commencer maintenant, ce sera une petite séance pendant laquelle trois charmantes dominatrices que je vous demande d’applaudir…
– Clap clap clap !
– …vont faire subir les derniers outrages à trois esclaves ! Ce sont des amateurs, je vous demande votre indulgence, mais si vous trouvez qu’ils ne sont pas assez sages, vous pourrez toujours leur balancer des tomates…
– Ah ! Ah ! Ah ! (Rires gras du public !)
– …Il y aura ensuite une seconde partie où notre ami Frédérique vous réservera une surprise, il pourra se faire accompagner d’amateurs s’il y en a dans la salle. Quant à la troisième partie, ce sera hors scène, chacun fera ce qu’il veut, nous avons préparé une autre salle avec un buffet et… un baisodrome…
– Clap clap clap
– Et maintenant tout de suite, le premier tableau qui est intitulé : « L’adoration des esclaves pour leur maîtresse »

On nous détache, Chloé et Jackie posent leur cul sur des tabourets de bar que l’on vient d’amener, et Nicole nous positionne à leurs pieds avant de prendre elle-même la pose. Le léchage des bottes ! S’il y a un truc qui ne me fait pas bander, c’est bien celui-là ! Mais bon, il en faut pour tous les goûts, et ça dure, et ça dure, et on tourne et on lèche les bottes de la voisine, ça n’en finit pas, et que je te lèche la semelle, et que je te lèche la pointe. Mes deux comparses ont par contre l’air d’apprécier et bandent comme des cerfs. Ils ont de bien belles bites dans des genres fort différents…

– A genoux !

Ah ! On va changer de jeu, c’est Nicole qui est devant moi, elle descend du tabouret, puis elle se retourne, et enlève son ciré, baisse sa culotte, et des deux mains écarte ses fesses pour dégager le trou de son cul.

– Lèche !

Voilà qui change tout, je ne me le fais pas dire deux fois, ma langue lèche aussitôt ce petit trou qui dégage un goût un peu acre, mais si excitant, j’essaie de pénétrer le plus profond possible dans son intimité, mais voici que l’on tourne, c’est au tour de Jackie, c’est la première fois que je vais sucer deux trous du cul à la suite, et ce dernier dégage un parfum beaucoup plus capiteux. Je m’enivre de mon léchage, ma queue est maintenant complètement raide, et on tourne à nouveau. Une pointe d’appréhension quand même en suçant le trou de Chloé, qui a pourtant eu l’honneur de ma langue pendant le petit essai préalable, parce qu’après tout c’est un cul d’homme ! Mais qu’importe, un cul est un cul et la sensation est la même, me voici en train de me surprendre à me régaler de faire un anulingus à une transsexuelle. Mais le tableau est déjà (hélas) terminé !

– Mesdames messieurs, regardez un peu dans quel état nos maîtresses ont mis leurs esclaves !
– Clap Clap Clap !
– Et vous croyez qu’ils ont vraiment le droit de bander comme cela ?
– Non ! Non ! Non !
– C’est bien ce que je pensais, on va donc les punir…et voici le second tableau au cours duquel vous verrez comment les esclaves en pincent pour leurs maîtresses !

On nous attache à nouveau au portique, Chaque maîtresse s’occupe à présent d’un esclave. C’est Nicole qui va s’occuper de moi ! Elle n’est plus à présent vêtue que de son seul soutien-gorge ! J’ai hâte de découvrir les merveilles qu’elle y cache. Nicole saisit alors mes bouts de seins entre le pouce et l’index et elle tourne, j’adore cette caresse, elle la prolonge, elle a énormément de savoir-faire, je jette un coup d’œil à mes compagnons qui subissent le même sort, tout cela est synchronisé à merveille ! Elle m’accroche ensuite une pince sur mon téton droit, ça chauffe un peu, mais c’est supportable. A côté ça crie un petit peu, c’est David, du coup il se ramasse une nouvelle baffe ! Et pourquoi pas moi après tout ? Je fais semblant de crier.

– Ça ne marche pas ! Me répond Nicole en s’esclaffant.

Une autre pince au téton gauche, puis les couilles à présent, là ça fait plus mal, très mal, et je crie pour de vrai, et cette fois ci j’y ai droit à la gifle !

– Là maintenant, tu l’as mérité !
– Merci maîtresse !

Les maîtresses permutent encore, C’est maintenant Jackie qui s’amuse à me retirer les pinces et à me les remettre aussi sec, puis Chloé qui viendra y rajouter des poids. Si ça continue comme ça on va exploser. Et puis soudain, Nicole nous interpelle :

– Mais au fait vous n’aviez pas envie de pisser tout à l’heure ?

Elle n’attend même pas de réponse, la soubrette dépose sur le plancher trois petits pots de chambre, Jackie nous libère et nous demande d’en prendre un chacun. Je ne vois pas trop l’intérêt.

– Venez !

Elle nous fait descendre de la scène, et nous fait approcher très près du public !

– Maintenant, posez les pots par terre, vous aller pouvoir pisser, mais attention pas debout, vous aller vous asseoir comme des bébés !

Allez faire ça avec des pinces aux couilles, vous ! Non seulement la position est humiliante à souhait, mais les essais font très mal, jusqu’à ce que l’on comprenne qu’il faut en fait tricher en ne s’essayant pas et en restant accroupis cinq centimètres au-dessus du pot. La salle rigole ! Je suis rouge de honte ! On remonte sur scène avec les pots remplis de pipi. Nous les rendons aux maîtresses qui nous rattachent au portique. Elles se saisissent alors l’une après l’autre des pots de chambre et nous en jette le contenu à la figure déclenchant des applaudissements frénétiques du public. Pour ma part, je n’apprécie que fort modérément. L’uro, oui mais pas comme ça !

– Et maintenant Mesdames et Messieurs, le moment tant attendu où ces enculés d’esclaves vont se faire flageller comme ils le méritent !
– Ahhhhhh !

C’est le moment que je redoute le plus, mais on a affaire à des gens intelligents, ce tableau n’est pas collectif, on se fera flageller l’un après l’autre et par une unique maîtresse. C’est donc Jackie qui m’ayant testé s’occupera de moi. Elle commence par quelques fessées pour me chauffer, vite remplacées par des raquettes de jokari, un miroir disposé dans le fond de la scène permet d’apercevoir mon cul tout rouge et pas seulement de confusion ! Et voici enfin le martinet ! Le premier coup est trop fort, le second est ajusté, elle a vite retrouvé la puissance adaptée mes limites, elle continue, ça fait mal quand même, à 10 je pense qu’elle va s’arrêter, mais non, elle ira jusqu’à 20 ! Je pense en avoir terminé ! Mais non elle me tourne face à elle, et là horreur absolue, elle entreprend de me fouetter la poitrine afin de faire se détacher les pinces ! Je hurle, je reçois une gifle. Les pinces finissent par tomber, je n’en puis plus. Elle aura le tact de ne pas m’infliger le même supplice aux testicules !

– Et maintenant ça va chauffer, voici le quatrième tableau « quelques numéros de bougies »
– Non !

C’est Frédérique, qui intervient à la surprise générale.

– Je préfère qu’on ne le fasse pas, les bougies, c’est comme les orties, c’est rigolo à faire et à subir mais pas à voir, on passe !
– Les désirs de notre hôte sont des ordres, et maintenant l’avant dernier tableau au cours duquel tous ces gros machos ramassés sur la plage et qui se moquent des pédés, vont tous se sucer et s’enculer. Quelle chance ils ont !

Nos maîtresses nous détachent, et nous retirent les pinces. L’enlèvement de celles fixés à mes testicules me provoque un cri de douleur que Jackie entreprend de calmer en me retournant un énième paire de gifle. (J’aurais dû les compter !) Il y a un petit moment de répit pendant lequel la soubrette s’en va chercher des godes qu’elle dispose sur une petite table. J’en profite pour regarder un peu la salle où la plus grande frénésie règne à présent. Frédérique à la bite à l’air ainsi que ses deux voisins immédiats, certains se branlent, d’autres se pelotent, se caressent, s’embrassent, se sucent ! Finalement ce sont ceux qui ne font rien qui m’étonnent le plus !

Nicole nous fait mettre les uns à côté des autres, (légèrement de biais pour que la salle voie bien) David, Brice, moi-même et Chloé, puis elle fait sortir David du groupe et le fait mettre à genoux devant Brice. Il lui suce la bite sans problème apparent, et y prend même de plus en plus goût.

– Attention, pas le droit de jouir !

Tout cela dure assez brièvement, David viendra me sucer à mon tour ! J’aime bien comme tout le monde me faire sucer, le fait que ce soit un homme m’indiffère complètement, ça ne me gêne pas, mais ça ne m’excite pas trop non plus. Il finira bien sûr par Chloé. Après que Brice aura à son tour sucé ses trois queues, ce sera enfin à moi, l’ordre a été un peu chamboulé et je commence par celle de Chloé que j’avais déjà eu le plaisir d’apprécier ! Si être sucé par un mec ne me fait pas grand-chose, sucer une belle bite, (et je n’en avais pas sucé beaucoup dans ma vie) me plonge dans l’extase ! On doit m’arracher à la queue de Chloé, qu’importe il y a maintenant celle de David, plus petite, mais aussi agréable et pour le dessert : la queue noire de Brice que j’ai du mal à emboucher tellement elle est grosse.

Chaque dominatrice prend maintenant un gode, le recouvre d’un préservatif lubrifié et après nous avoir fait mettre à quatre pattes, nous l’enfonce sans trop de ménagement dans le cul. Je crie, Nicole m’a introduit ce truc trop rapidement et sans vraie « préparation », mais peu à peu la douleur cesse. Mais ce n’est qu’une entrée en matière (sans jeu de mots) Nicole et Jackie s’harnachent chacune d’un bon gros gode ceinture, évidement Chloé n’en a pas besoin. La soubrette a apporté trois petites tables pour nous permettre de nous arc-bouter. On va chacun avoir une bite dans le cul ! Je prie Satan de tomber sur Chloé et sa rosse bite, mais non c’est Jackie ! Elle est quand même plus délicate que sa copine et ne me pénètre qu’après une bonne lubrification ! Elle commence alors des mouvements de va-et-vient aidée par le public qui se met à scander : « Enculés, enculés ». ! Du jamais vu !

Enfin elles se retirent sous les acclamations du public.

– Ils ont été bien sages, Non ? Tous ces esclaves, La maison va maintenant leur offrir le champagne, directement à la source !

shem09On nous fait allonger par terre ! Nicole a enfin libéré ses seins et je peux admirer sa poitrine de rêve dotée d’arrogants tétons turgescents. J’ai maintenant sa chatte à vingt centimètres de ma bouche, ma bite n’en peut plus, et me fait mal de ne pas avoir joui. Jackie est accroupie au-dessus de Brice et Chloé s’apprête à arroser David ! Quelques gouttes tombent dans mon gosier, puis un petit filet qui grossit de plus en plus, j’avale maintenant à grosses goulées. A côté de moi Brice s’étouffe à moitié, ayant avalé de travers et provoquant la risée de la salle.

– Debout ! Branlez-vous maintenant et jouissez devant les spectateurs !

Comme ça devant tout le monde ? Mais Brice lui ne s’est pas posé de question et en quelques mouvements il crache son foutre, puis s’assoit par terre, complètement épuisé. Et tandis que je me branle à mon tour je sens la main de David qui cherche ma queue, je lui rends la politesse et c’est presque simultanément que nous nous faisons jouir, voici qui n’était pas prévu au programme mais qui déclenche les applaudissements enthousiastes de ces messieurs dames !

– Je vous demande d’applaudir encore une fois tout ce petit monde, ils ont tous été formidables !

Et voici que comme dans un vrai théâtre, nous nous tenons tous les six par la main et que nous venons de saluer le public.

Il se passa alors ensuite cette chose assez extraordinaire, le rideau se baissa et les applaudissements ne stoppaient pas. Fallait-il rejoindre les coulisses ou rester pour un deuxième salut au public ? Jackie ne se posa pas ce genre de question et se jeta littéralement dans les bras de Nicole.

– J’ai envie de toi ! Je suis trop excitée !

L’autre fille ne bouda pas cet élan spontané et leurs lèvres se collèrent en un baiser fougueux, tandis que leurs mains caressaient, pelotaient, furetaient…

– Bouffe-moi la chatte ! Supplia Jackie
– Tu peux peut-être attendre un tout petit peu !
– Non, j’ai envie tout de suite !

A ces mots Jackie se coucha sur le sol, les jambes écartées, mais sans lâcher la main de Nicole qui se retrouva donc du coup en position et qui commença à lui lécher le clito. C’est ce moment que choisit le facétieux présentateur pour relever le rideau. Cela, vous vous en doutez bien, provoqua l’enthousiasme d’un public qui n’en pouvait décidément plus.

Et que firent nos deux filoutes ? Excitées encore un peu plus qu’elles ne l’étaient déjà par ce parterre de voyeurs pervers, elles continuèrent leurs ébats en se plaçant en 69. L’affaire ne dura pas très longtemps, c’est Nicole qui paradoxalement jouit la première en poussant de petits râles aigus, bientôt rejointe par Jackie qui se trémoussait en ânonnant un nombre incalculable de fois de suite la première lettre de notre alphabet.

Elles finirent par se relever, un peu pantelantes malgré tout. Il était temps de conclure cette première partie, les organisateurs craignant une invasion de la scène. Malgré tout avant que le rideau ne tombe, cette fois définitivement, tous les acteurs s’embrassèrent dans une ambiance décidément bon enfant.

– Messieurs dames, 15 minutes d’entracte, vous pouvez profiter de la petite buvette là-bas sur la gauche ! Annonce Soraya.

Nous nous dirigeons vers les coulisses. Nos effets personnels nous y attendent, cela veut dire que pour nous la soirée est terminée. Dommage, nous n’étions donc que des attractions ! Ceci dit : tout cela s’est passé divinement, je ne regrette pas ma soirée, mais j’ai un de ces coups de pompe. Mes deux acolytes ont l’air d’être dans le même état d’esprit que moi.

– Je vais vous faire raccompagner de suite, ce sera plus pratique ! Propose Nicole, en nous tendant un petit carton. Vous pourrez retirer une caisse de champagne (du vrai cette fois) à cette adresse pour vous remercier de votre bonne participation !
– Merci maîtresse murmure David
– Je t’en prie ! Il n’y a plus de Maîtresse, le jeu est fini, mais tu vois ça s’est très bien passé !

Il est marrant, David, il a l’air tout content de la répartie de Nicole. Je fais mes adieux à Chloé qui me roule carrément une pelle et m’apprête à prendre congé de Jackie quand la porte s’ouvre. C’est Frédérique qui surgit, toujours la bite à l’air et qui ne s’adressant qu’à moi :

– Euh ! Je vous demande de rester 5 minutes de plus ! Jackie pourra vous raccompagner ensuite…
– ?

Je suis un peu étonné de ce contretemps. Et après que Jackie eut fait signe au chauffeur de démarrer sans moi, Frédérique me fit cette étrange proposition :

– Tu me plais bien, j’ai envie de te découvrir davantage ! Ce serait un honneur si tu acceptais de coucher ici et de partager ma journée de demain ! Tu acceptes bien entendu ? Demanda-t-il avec un sourire charmeur. Et tout en disant ça, il me fout la main à la braguette.
– Avec très grand plaisir ! M’entendis-je répondre.
– Je t’ai fait préparer une chambre, tu veux aller t’y reposer maintenant, ou tu préfères regarder la seconde partie ?
– Je suis un peu fatigué…
– Tu n’es pas à une demi-heure près, c’est un peu spécial, mais ça devrai te plaire, va prendre place dans le public.
– Euh, mes affaires ?
– Tu en as pas besoin, on va les monter dans ta chambre.

J’y ai donc été vêtu de mon seul caleçon de bain et me suis installé me retrouvant entre un petit vieux, et une bourgeoise mature.

Le rideau se lève, on a disposé sur la scène trois fauteuils où prenne place Nicole, Jackie et Chloé. Toutes trois entièrement nue et les jambes écartées.

Un coup de gong et voilà Frédéric qui arrive sur scène en tenant en laisse un gros labrador noir.

Il dirige le chien vers Nicole. On ne voit pas grand-chose d’où je suis placé mais on peut deviner aisément que le chien est en train de lui lécher la chatte. Après quelques courtes minutes le chien est dirigé vers Jackie. Puis c’est au tour de Chloé, celle-ci se lève et se met de profil afin que le public puisse mieux voir.

Spectacle fabuleux de cette belle transsexuelle qui se fait lécher sa belle queue bandé par un chien vicieux ! Le public applaudit.

Soraya reprend la parole.

– Bien sûr, ce n’est pas terminée, et la suite va être encore plus hard. Oh mais que vois-je, un fauteuil s’est libéré ! Feint-elle de s’étonner, ça ne va pas du tout ! Y’a-t-il une salope dans la salle qui voudrait venir l’occuper ? Allez, on lève la main !

Je n’en reviens pas, trois mains se lèvent, trois femmes.

– Hum que faire, on va donner la priorité à la plus ancienne, venez madame.

La dame en question à au moins soixante ans, cheveux court argentés, lunettes, bien conservée.

– Bon, à poil Mamie, on se va pas faire ça habillée, comment tu t’appelles ?
– Denise ! Répond la dame en ôtant ses fringues.
– Tu es donc une salope, Denise !
– Un peu, oui !
– Tu as des beaux tétons, dis-donc ! La nargue Soraya en lui tirant dessus.
– Aïe !
– Oh, je t’ai fait bobo, ma petite biche !
– Pas grave ,j’aime ça ! Hi ! Hi !
– Alors tout va bien ! Je vous demande d’applaudir cette salope !
– Clap, clap, clap
– Et maintenant je vais demander à la salope de sucer la bite du chien, d’accord Denise ?
– Oui !

Nicole prépare le chien et dégage sa bite de son fourreau, quand il est prêt se met à la sucer avec gourmandise avant d’appeler Denise à l’accompagner dans cette fellation contre-nature mais tellement excitante.

– Les deux autres salopes qui s’étaient portée volontaires sont invités à monter sur scène.

Il s’agit d’une belle brune d’une quarantaine d’année et une vraie blonde plus jeune et un peu boulotte.

– Voilà, vous allez pouvoir sucer le chine mais avant, roulez-vous un patin et pelotez vous devant tout le monde.

Et pendant que les deux femmes s’exécutent, Soraya fait se relever Denise.

– Alors c’était bon la bite du chien ?
– Hum j’aime ça !
– Ça se voit et maintenant il va te grimper, mais avant ces deux poufiasses vont le lécher à leur tour.

Quel spectacle, mes amis ! Mais dans la salle ça tourne à l’orgie, mon voisin de droite se fait proprement enculer par un grand moustachu. Ma voisine de gauche fouille dans mon slip et me branle la queue.

– J’aurais dû y aller, je me demande ce que ça fait de sucer la bite d’un chien me confie-t-elle.
– Ah ben, je ne peux pas vous dire…
– Doigtez moi la chatte pendant que je vous branle la bite.
– Bien sûr, madame !

Sur la scène, Soraya fait cesser la séance de suçage et remercie les deux dames.

– Et maintenant, en levrette, la salope !
– S’il pouvait me prendre par l’anus, je préférerais.
– On va arranger ça

Le chien accoure, Soraya se débrouille pour que l’introduction se fasse analement et le chien surexcité entame une série de va-et-vient encouragé par la partie du public qui n’est pas occupée à autre choses

Et tandis que Denis hurle son plaisir, la main de ma voisine le fait éjaculer un geyser de sperme. La dame vient alors me nettoyer la bite. Et comme elle n’a pas joui et que je cesse d’être opérationnelle s’en va draguer son voisin de gauche.

Le spectacle est terminé, je me renseigne pour savoir où se trouve cette fameuse chambre que l’on m’a réservé. Il est temps d’aller dormir
.
A suivre

Boris Vasslan © 2000 vasslan@hotmail.com
Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 2ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000

Le personnage de Madame Nicole m’a été inspiré par la photo du haut, une vraie Madame Nicole sévissant à l’Other Word Kingdom. J’espère que ni elle ni sa souveraine ne m’en voudront de cet emprunt qui est aussi un hommage à sa beauté

Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 15:21

Racolage balnéaire 1 – Jackie et Chloé par Boris Vasslan

Fetish2

Thémes abordés : domination hard, feuille de rose, transsexuelles, uro.

Cet été-là, nous passions de paisibles vacances sur le littoral languedocien. Sans histoire. Il n’arrive jamais d’histoires en vacances. Et puis ! Voilà ! De graves problèmes familiaux au niveau de ma belle-famille. Mon épouse est obligée de rentrer précipitamment. Nous convenons, qu’ayant quelques trucs à régler sur place, je resterais jusqu’à la fin de la location. Quant aux enfants ils choisissent de rentrer avec leur mère !

La vie de célibataire a ses inconvénients mais aussi ses avantages. Et après avoir raccompagné tout ce petit monde à la gare, je me précipite prendre mes affaires de plage et m’installe dans un coin où je pourrais tranquillement profiter du spectacle et mater toutes ces belles femmes et toutes ces belles poitrines dénudées offertes à mes yeux.

Certaines sont magnifiques, une grande blonde un petit peu sur ma gauche à l’air d’être seule. L’envie de draguer me tenaille, mais je me retiens. Toujours mes vieux démons ! La vue d’une jolie femme m’émoustille ! Je suis un véritable obsédé du sexe, et suis très curieux et très large d’esprit en ce domaine. Un peu (oh ! juste un peu !) maso et toujours friand de découvertes. Mon épouse a un peu (beaucoup) de mal à me suivre dans mes folies. Qu’importe ! Je rencontre une ou deux fois par mois une charmante personne qui sans être réellement ma maîtresse, aime à partager mes fantasmes, et cela dans la plus grande décontraction.

C’est environ un quart d’heure plus tard que je remarquais ces deux étranges femmes qui déambulaient sur la plage, manifestement à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose. La première est relativement grande, elle n’est vêtue que d’un petit slip noir muni de boucles dorées sur les côtés, le genre de machin plus tape à l’œil que pratique. Ses seins ne sont pas très gros, mais quand même agréables à regarder d’autant qu’ils sont pourvus de gros tétons bien sombres. Ses cheveux bruns sont coupés assez courts. Je ne vois pas d’ici si elle est maquillée d’autant qu’elle porte une grosse paire de lunettes, mais elle s’est néanmoins mis un rouge à lèvres véritablement rouge et vraiment très voyant. Son bronzage a l’air parfait et sent les séances d’U.V. Le genre de fille qui ne vient vraiment pas à la plage pour se baigner, ça m’amuse un peu. Sa copine est encore plus grande, elle est en deux pièces léopard, et paraît beaucoup plus potelée, probablement métissé, Elle est coiffée à la lionne, châtain clair avec des reflets blonds. Si seulement celle-ci pouvait se « poser » dans le coin que je puisse voir ses seins, si toutefois elle daigne les montrer… Elles sont maintenant un peu plus près de moi, elles s’arrêtent devant un type, mais la conversation s’engage à peine, elles repartent. J’espère que le hasard de leur déambulation va les rapprocher encore plus de ma place…

…Mais justement les voici devant moi ! Je n’en crois pas mes yeux ! Ces nanas sont terriblement excitantes. La brune me toise ! J’ai du mal à comprendre, j’esquisse un sourire, mais rien en retour.

– Vous êtes seul ?

Qu’est-ce que ça peut lui foutre ? Et pourquoi cette question ? Je ne suis pas encore assez naïf pour croire qu’elles se sont arrêtées pour mon physique. Je suis loin d’être un play-boy et n’ai rien d’exceptionnel.

– Oui, je suis seul !
– Ça vous embête, si on se met à côté de vous ? Mais ne vous méprenez pas, c’est juste pour éloigner les dragueurs !

C’était donc cela ! Je suis malgré tout déçu de servir d’alibi, mais j’accepte.

– Je suis Jackie ! Me dit la brune. Et ma copine c’est Chloé.

Elles s’installent donc à mes côtés, Chloé est à peine assise qu’elle quitte son haut de maillot, libérant une poitrine magnifique, quoique probablement refaite !

– Vous faites quoi sur la plage ?

Bon, il va falloir que je fasse la conversation maintenant…

– Je nage un peu, je me repose !
– Vous ne matez pas, vous ?
– Si comme tout le monde !
– Ah ! Je me disais aussi ! Vous pourriez me mettre de la crème sur le dos !

Le classique absolu ! Le cliché de la plage ! Néanmoins je ne vais pas refuser, mais elles vont me rendre dingues ces nanas, je lui passe de la crème en la massant légèrement, elle a la peau douce, je suis en train de me taper une érection du tonnerre ! Et bien sûr elle s’en aperçoit…

– Ça te fait de l’effet ! On dirait ?

J’ignorais que la vision d’une érection était de nature à faciliter le tutoiement !

– Normal ? Non ?
– Tu peux en mettre un peu plus bas ?

Plus bas, c’est carrément ses fesses, j’hésite un peu, et puis j’y vais. Ma bite va éclater à ce régime-là !

– Chloé tu devrais te mettre de la crème aussi !
– Bien sûr !

J’entends le son de sa voix pour la première fois, Elle a un accent que je n’identifie pas tout de suite… Je vais pour lui passer de la crème et j’attends donc qu’elle se retourne, mais elle ne le fait pas.

– Euh ! Vous voulez que je vous en mette ?
– Oui vas-y !
– D’accord, mais il faudrait vous tourner !
– Tu m’en mets d’abord sur le devant !
– Sur le devant ?

C’est Jackie qui vient à mon secours :

– N’ai pas peur de lui toucher les seins, en fait, elle adore se les faire tripoter.

Il y a des choses que je ne me fais pas dire deux fois, mais j’ai quand même l’impression de tomber petit à petit dans un curieux traquenard. Je lui masse la poitrine, excité comme pas possible. Cette poitrine est un peu trop ferme, elle a probablement été refaite. On dirait une poitrine de travelo. En y songeant, je regarde instinctivement vers le slip et j’aperçois un renflement suspect ! Je voudrais quand même être sûr ! Jackie intervient.

– Ben oui, c’est une transsexuelle, qu’est-ce que tu veux, personne n’est parfait ! Mais faut pas que ça t’empêche de continuer à faire ce que tu faisais…

Elle va me donner des ordres maintenant, n’importe quoi ! Il est temps d’arrêter ce cirque !

– Si vous me disiez à quoi vous jouer toutes les deux ?
– Ça te choque que ma copine soit une transsexuelle ?
– Ça ne répond pas à ma question !
– Réponds à la mienne et je te répondrais après !
– Non, ça ne me choque pas, et même que j’en ai rien à foutre…
– Non tu n’en as pas rien à foutre, ça t’excite !
– Vous allez me dire ce que vous manigancez, sinon je me tire ailleurs ?
– On cherche un gars qui soit un peu maso pour s’amuser un peu !
– Hein ?
– Alors tu veux t’amuser avec nous ?
– Et c’est combien ?
– C’est zéro euro ! Tu n’as rien compris, on n’est pas des putes, on est payé par une personne qui cherche des masos pour une soirée !
– Et qu’est-ce qui vous fait dire que je suis maso ?
– Tu l’es non ?
– Un petit peu ! Mais comment…
– On est très fortes, mais on ne te le dira que si tu acceptes…

Je ne réponds pas, je ne sais pas quoi répondre !

– Je croyais t’avoir dit de continuer à masser les seins de ma copine !

C’est l’instant ou jamais, si j’accepte, je suis pris dans leur filet. Me rebiffer ! Refuser, il en est encore temps ! Un instant je ne bouge pas et mon regard croise celui de Jackie, un regard sensuel, un regard plein de promesses… Je craque, lui rend son sourire et reprend mon massage interrompu.

– Alors ?
– Alors c’est d’accord !
– Bon je t’explique ! Il s’agit d’un type bourré aux as, qui organise des soirées à tendances S.M. Son truc c’est d’avoir des gens qui viennent là pour la première fois. Ça se passe entre gens de bonne compagnie. A ton arrivée tu seras mis en cage, en attendant que l’on ait besoin de toi ! La séance peut durer toute la nuit. Le lendemain matin on te raccompagnera. D’autre part… d’autre part…

Et en disant cela elle sort une double feuille de son sac de plage.

– D’autre part, disais-je, il ne s’agit pas d’imposer à des gens des trucs qu’ils ne peuvent pas supporter. D’un autre côté, on ne va pas non plus faire une soirée avec des types qui piquent une crise à la première fessée. Donc tu vas remplir ce petit questionnaire, c’est une liste de pratiques, tu réponds à chaque fois si tu aimes cela, si tu détestes, enfin tu remplis, quoi ?

Et elle me tend un stylo, je remplis son truc, il y a là-dedans des trucs assez abracadabrants mais j’essaie de ne pas tricher, je le lui rends 5 minutes après. Elle le consulte, me demande deux ou trois précisions.

– OK ! C’est bon, on t’embarque ! On fera un petit test dans un coin, il y toujours des types qui présume de leur fantasmes… Tu peux encore refuser, mais sinon, tu es notre esclave jusqu’à demain matin !

J’accepte, il me reste me semble-t-il une porte de sortie, si je change d’avis, j’ai toujours la possibilité de faire en sorte de rater ce fameux test ! Je demande à passer à la location avant pour déposer quelques affaires mais elles refusent, et m’embarquent donc en tenue de plage. Jackie conduit, elle m’a demandé de me placer à l’arrière et Chloé est à côté de moi. Nous allons vers l’arrière-pays et nous traversons une espèce de forêt ou il n’y a pas un chat. Jackie engage la voiture dans une contre-allée et stoppe. On ouvre les portières, la chaleur devient insupportable, mais pour l’instant on ne descend pas.

– Bon ! On va faire le test ! Si c’est pas bon, ou si tu veux tout arrêter, on te redéposera dans le centre-ville ! Sinon à partir de maintenant je suis ta maîtresse et tu me dois obéissance ! OK ?
– Ok !
– On dit « oui maîtresse ! »
– Oui maîtresse !
– Tu vas prendre la queue de Chloé et la sucer !
– Oui maîtresse !

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Si elle s’imagine que c’est pour moi une corvée, elle se plante complètement. Au contraire, il y a si longtemps que je voulais concrétiser ce fantasme que je n’hésite pas un instant. Je soulève la jupette de Chloé pour atteindre le slip ! Je tâte, et je suis d’abord surpris de ne pas sentir en dessous la forme de sa verge. Je baisse donc le vêtement et m’aperçois qu’elle a en fait enfermé son sexe dans une sorte de coquille en tissus, sans doute pour que cela soit moins voyant à la plage ! Rapidement je lui ôte ce machin et découvre une superbe queue. Je pensais naïvement qu’a part celles qu’on voit sur Internet, les transsexuelles avaient tous des petites bites, mais celle-ci est plus grosse que la mienne. J’effectue sur son membre quelques mouvements de masturbation qui le raidisse très vite. Je ne me lasse pas d’admirer ce bel engin tout bronzé terminé par un gland bien luisant et qui me met l’eau à la bouche. J’ouvre mes lèvres et m’approche. Ça y est pour la première fois de ma vie, je suce la queue d’une trans, et j’en suis heureux.

– Bon je vois qu’il n’y a pas de problème de ce côté-là !

Elle ne m’a pas dit d’arrêter, donc je continue, essayant de profiter au maximum de ces courts instants privilégiés. Mais Jackie ne me laisse pas continuer et me tire en arrière par les cheveux !

– Sortez tous les deux ! Je ne vais pas t’attacher, mais on va faire comme si ! Tu t’enroules à cet arbre, tu baisses ton slip et tu ne bouges plus. On va te faire rougir le cul !

Je fais ce qu’elle m’a dit, Jackie s’est saisie d’une cravache et s’amuse à en fouetter l’air, et tout d’un coup un premier coup atterrit sur mes fesses

– Aie !

Le coup est assez fort pour un premier, il m’a bien cinglé les fesses. C’est un vrai test, si elle continue plus fort j’e décide de tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard !

– Aie !

Celui-là est légèrement plus fort ! Mais ça reste supportable, je ne dis rien, je me déciderais au prochain

– Aie ! Non c’est trop fort !

Je m’apprêtais à quitter ma place et à dire que dans ces conditions, je ne continuerais pas, mais je n’en eus pas le temps, un quatrième coup vint me cingler les fesses, beaucoup plus ajusté. Je ne dis rien et corrigeais ma position autour de l’arbre un instant décalé.

Les cinq suivants se succédèrent rapidement avec la même force, me claquant joliment les fesses. Je commençais à prendre sérieusement goût à cette flagellation champêtre et me surpris à bander. Le dixième coup fut plus fort, mais je ne dis rien, je savais maintenant que Jackie savait magnifiquement doser ses coups et je repris ma position.

– Parfait ! Dit-elle.

Je me souviens de ce sourire en coin quand elle m’a dit cela, un sourire plein de promesse. Cette fille était une ensorceleuse.

– Merci maîtresse
– encore un petit truc ! Mets-toi à genoux et ouvre la bouche.

J’obéis sans comprendre de suite ce qu’elle avait l’intention de me faire subir.

– Vas-y Chloé, arrose-le !

Chloé se plaça devant moi et ressorti sa bite ! Je pensais à ce moment-là qu’elle allait m’arroser de son sperme, ce qui ne me disait pas grand-chose, mais non, ce n’était pas cela, elle ne se masturbait pas, et tout d’un coup je réalisais, cette grande folle allait me pisser dessus !

– Ça ne va pas la tête ?
– Mais dit donc ! Toi ! Tu as bien répondu dans le questionnaire que tu n’avais rien contre l’uro !
– C’est vrai mais je pensais à des trucs avec des femmes !
– Ah ! Oui ! Tu es un petit vicelard, mais ça ne t’empêche pas d’avoir des inhibitions ! Alors écoute, ma puce ! Tu vas gentiment reprendre la position, et tu vas accepter gentiment de boire la bonne pisse qui va sortir de la grosse bite de Chloé… sinon tu vas perdre une belle occasion de t’amuser avec moi !
– Oui maîtresse !

J’ouvrais la bouche et me rapprochais de Chloé pour recueillir le jet tiède qui maintenant s’échappait à flot de sa queue. Il allait trop vite et j’étais obligé de m’arrêter pour déglutir. Quand elle eut fini, je me léchais les lèvres avec la langue.

– C’est délicieux !
– Bien sûr que c’est délicieux ! Dit-elle en se retournant, maintenant lèche-moi un peu la rondelle.

Oups ! Dans mes fantasmes avec les trans je leur suce la bite, je me fais même enculer, mais jamais au grand jamais je ne leur lèche le cul, ça ne m’est même jamais venu à l’idée !

– Alors ? S’impatiente Chloé.
– C’était pas sur votre liste, ça !
– Si ! T’as répondu que t’aimais bien lécher les culs !
– Ben oui mais je pensais pas…
– Bon, tu lèches ou pas ?

Je me fait violence et avance mon visage vers sa rondelle, ça sent le cul, j’approche ma langue, finalement c’est délicieusement pervers ce que je fais, il suffit de se mettre en condition.

– Hum ! Quel langue ! S’exclame Chloé, il va me faire bander, ce petit vicieux ! Tu veux l’essayer, Jacky ?
– Pas le temps, on a encore du boulot ! Allez ! On l’embarque…

Je me pince, je dois être en train de faire un rêve érotique ! Ben, non !

A suivre…

Boris Vasslan © 2000
Vasslan@hotmail.com

Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 11:16

Initiation scato pour couple
une aventure (hors série) de Maîtresse Kriss
par Boris Vasslan

scat

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES 
Thèmes abordés : bisex féminine, domination hard, feuille de rose, scato, sex and food, soubrette, uro.

Un lecteur m'avait demandé d'écrire "l'initiation très scato d'un couple". Il souhaitait aussi que l'initiatrice soit Kriss, la Kriss de la série "Maîtresse Kriss", Pourquoi pas ? Je l'ai donc fait sans pratiquer aucune auto censure et en me laissant aller. Mais j'ai tenu à ce que mes personnages restent humains et respectueux. Ce qui ne me paraît nullement incompatible avec le thème proposé. Bonne lecture.

Je serais la narratrice de cette courte histoire, je suis Angélique, j'ai 25 ans et suis d'origine antillaise, je suis la soubrette particulière de Madame Kriss, enfin soubrette, c'est mon titre officiel, parce qu'en réalité je serais plutôt bonne à tout faire, assistante de plaisir et même papier à chiotte.

Ma maîtresse a hérité d'une riche fortune, elle ne travaille pas, mais passe parfois de forts curieuses petites annonces afin d'agrémenter ses journées.

Sa spécialité ce sont les séances sado-maso, elle aime ainsi diriger de longues séquences où plusieurs soumis vont être fouettés, pincés, ligotés, humiliés... Mais elle ne fait pas que cela, voulant un peu varier son registre, elle a un jour passé une annonce comme ceci :

"Belle jeune femme autoritaire, mais compétente, se propose d'initier couples, femmes, hommes aux fantasmes les plus extrêmes, avec ou sans domination..."

Ces séances étaient souvent très excitantes, surtout quand c'étaient des couples qui répondaient. Certains voulaient s'initier à la bisexualité, d'autre à la domination, à l'uro, les demandes en scato n'étaient pas si rares et je vais ici vous en narrer l'une d'entre elles...

- Ah voici nos invités, Angélique, va donc ouvrir !

Il se présente, Fabrice un grand frisé, moustachu, l'allure sympathique, sa compagne Florence, rousse et joli visage souriant, parait un peu réservée.

- Bonjour, entrez ne soyez pas intimidé, Voilà c'est donc moi Kriss, rassurez-vous on va faire ça en douceur, j'ai l'habitude.
- En douceur, mais il faudra peut-être nous forcer un petit peu ! Intervient l'homme.
- Ne t'inquiète pas ! On va se tutoyer d'accord ? Je suppose que vous avez essayé plein de trucs, vous pouvez m'en parler ?
- On a fait un peu d'échangisme, on est un peu bi tous les deux, j'ai déjà sucé des bites, on a essayé le SM mais faut pas que ça aille trop loin, par contre pour l'uro, on est vraiment accro...
- Et donc vous souhaitez que je vous initie à la scato, c'est ça ?
- Pas. vraiment une initiation, on a déjà fait des trucs, se regarder faire caca par exemple. J'ai déjà léché des traces sur les doigts ou autour de l'anus... Ou aussi un gode qui sortait de mon cul. Mais Florence ne l'a jamais fait… Et quand on a essayé d'aller plus loin, on bloque....
- Et quand tu l'encules, tu ne lui a jamais demandé de te nettoyer la bite ?
- Non, je voudrais bien mais je bloque ! Répond l'intéressée.
- On va essayer de voir ce qu'on peut faire... D'ailleurs vous ne pouviez pas tomber mieux, j'ai un gros caca en préparation. Je vais vous faire un joli boudin rien que pour vous ! Elle n'est pas belle la vie ?

Le couple sourit, mais on sent un peu d'appréhension.

- Bon on va pas se précipiter comme des bêtes non plus, on n'est pas à cinq minutes, je vous propose deux choses on va prendre l'apéro gentiment, et puis on va tous se mettre à poil, ce sera super sympa.

Kriss ôte son kimono, elle est en sous-vêtements en dessous, un bel ensemble rouge. Bien sûr elle aurait pu s'en dispenser, et rester nue sous le vêtement de soie, mais elle sait aussi combien le fait pour une femme de se déshabiller devant un homme peut être excitant.

- Ça va, je vous plais ? S'inquiète-t-elle avec le sourire.
- Bien sûr ! Vous êtes très belle ! Répond Florence avec une spontanéité qui l'étonne elle-même.
- OK ! Allez, on enlève tout ça !

Un petit regard complice entre l'homme et la femme, un petit mouvement de sourcil qui doit signifier quelque chose comme "quand faut y aller, faut y aller..." et ils commencent à se déshabiller.

- Vous retirez tout ! Précise Maîtresse Kriss. Moi, j'enlèverais le reste quand vous serez à poil !

L'homme est déjà nu, rien de spécial une musculature très moyenne, un sexe très moyen, rien de spécial donc hormis le fait que son torse soit entièrement épilé. Le genre de détail que ma maîtresse remarque tout de suite, celui-là doit être un jouisseur prêt à essayer plein de choses. C'est plutôt bon signe. Florence a enlevé sa culotte, il ne lui reste plus que le soutif, elle ne se presse pas rangeant consciencieusement ses affaires sur une chaise. Il faudra qu'on m'explique pourquoi tant de femmes qui se déshabillent finissent par le soutien-gorge et non pas par la culotte comme on le croit généralement. Ça y est, ses seins sont à l'air, plutôt petits, en forme de poire, mais adorables, vraiment adorables.

- Ben dis donc toi, tu ne crois pas que tu vas rester habillée, non ! M'apostrophe-t-elle

Je me déshabille à mon tour tandis que maîtresse Kriss dévoile ses secrets à ses invités. Coquinement elle se pince et se tire les bouts de ses seins,

- Venez les sucer, vous en mourrez d'envie !

C'est Fabrice qui se précipite sur le sein droit et qui gobe le téton comme s'il n'avait pas mangé depuis huit jours. Sa femme, elle, prend son temps, elle avance à pas de chatte, tout sourire, approche doucement sa bouche et enduit de salive le délicieux bourgeon.

J'ai sorti trois flûtes que j'ai disposé sur la table, parfois ma maîtresse me fait trinquer avec ses invités, d'autre fois non, ça dépend...

- Quel champagne boirez-vous ? Demandais-je.
- Le tien ! On se réservera le mien pour la fin !

Nos invités ne sont pas fous et commencent à se douter que ce champagne risque d'être un peu particulier. En effet je prends la première flûte et me la place sous le sexe, j'ai l'habitude désormais, quelques instants de concentration suffisent et le liquide, un beau liquide jaunâtre s'y écoule, je rempli ainsi les trois verres et déverse le trop plein dans une cruche en cristal.

- Dois-je aller chercher des olives, Madame ?
- Non, nous ferons peut-être ça à la fin, si tout se passe bien il est peut-être un peu tôt, apporte-nous plutôt des bretzels.

Tout le monde s'assoit. Maîtresse Kriss lève son verre et trinque avec le couple qui goûte du bout des lèvres.

- C'est la première fois que vous goûtez à un pipi qui n'est pas le vôtre ?
- Non, on l'a fait une fois avec un couple échangiste... Mais je dois dire que celui-ci est vraiment fameux ! Apprécie Florence.
- Trempez un bretzel dedans, vous allez voir comme c'est délicieux.

Ils essaient les bretzels, sans enthousiasme particulier mais sans réticences.

- C'est quoi les olives ? Excusez-moi d'être curieuse ! Demande Florence
- Vous ne préférez pas les surprises ?
- C'est comme vous voulez, mais j'avais envie de savoir.
- Et bien, Angélique va s'introduire une vingtaine d'olives dans le trou du cul, puis les chier une à une. Evidemment il faudra tout manger...
- Ça alors ! Se contente de répondre Florence...

Mais on voit bien que cette perspective ne la rend pas indifférente.

- On peut soit tout mettre dans une assiette, sinon on peut aussi les recueillir à la source, vous collez votre bouche sur son anus, elle vous chie l'olive dedans, et vous n'avez plus qu'à recracher le noyau.
- Il faudra absolument qu'on essaie ! Hein, Fabrice ?

Le Fabrice parait en ce moment beaucoup moins enthousiasme que son épouse.

- Nous allons passer aux choses sérieuses ! Prévient maintenant Maîtresse Kriss. ! On fait ça "décontract", où alors vous préférez que je vous domine. Ce serait peut-être plus facile, non ?
- On va essayer comme ça, et si vous voyez qu'on hésite, vous nous dominerez ! Répond Florence.
- Si je vous domine, ça veut dire que vous acceptez les insultes...
- Oui bien sûr !
- Les coups aussi ? Mais rassurez-vous, on ne va pas vous abîmer !
- S'il le faut : oui !
- Ok ! Angélique, va nous chercher une grande assiette et des pinces.

Maîtresse Kriss se lève alors de son siège et vient se positionner derrière Florence, elle lui attrape les tétons et les serre.

- Tu aimes ?
- Oui !
- Ça t'excite ?
- Oh, oui !

Du coup elle lui fixe une pince sur chaque téton, provoquant chez notre invitée des soupirs assez ambigus où se mélange la douleur et le plaisir. Elle vient ensuite derrière le mari et lui fait connaître le même sort. Elle monte ensuite alors sur la table, tourne le dos au couple, l'assiette est sous ses fesses.

- Regardez-moi bien chier ! Je vais vous pondre une jolie merde !

Elle pousse, ouvre son anus !

- Mais avant, Florence tu vas m'introduire un doigt !

Elle le fait sans discuter.

- Est-ce que tu sens mon caca ?
- Oui !
- OK, tourne alors ton doigt, puis tu vas le ressortir, le sentir, puis le lécher et le sucer.

La femme fait ce qu'on lui dit de faire, elle regarde son doigt maculé de merde de façon dubitative. L'approche de son nez, le hume…

- Alors ?
- Ça sent la merde. Répond-elle d'une voix peu assurée.
- Et elle sent bon, ma merde ?
- Ben… c'est spécial… mais ça me gêne pas trop.
- A la bonne heure, maintenant tu le mets dans ta bouche !

Elle hésite, reprend sa respiration, essaie de nouveau.

- Je... je... je n'y arrive pas !
- Donne ton doigt à Fabrice, alors !

Le Fabrice, lui n'hésite presque pas et lèche tout cela à grands coups de langue.

- Hum c'est bon ! Dira-t-il en conclusion.
- On refait un essai ? Remets-moi ton doigt dans mon cul, Florence ! Propose Kriss.

De nouveau, un doigt fureteur s'introduit dans le fondement de ma maîtresse, de nouveau il ressort. Florence ferme les yeux, son doigt s'approche très vite de sa bouche. Elle va le faire ? Non au dernier moment elle rouvre les paupières.

- Il fait m'aider... j'ai envie de le faire, mais je bloque.
- Bon, on va arranger ça ! Répond Kriss redescendant de la table.

Elle passe alors derrière Florence, lui agrippe les cheveux :

- A genoux pétasse !

Kriss la toise !

- Alors comme ça on ne veut pas goûter à la bonne merde de sa maîtresse !
- Si ! Si ! Mais, il faut m'aider !
- En te punissant ?
- Si vous voulez !

Clac, clac !

Elle ne s'attendait pas à la gifle !

- Tu en veux une autre, ou tu te décides à te foutre ce doigt dans ta bouche ?

Pour la troisième fois, Florence se force, les yeux fermés elle dirige son doigt vers ses lèvres. Nouvel échec, nouvelle paire de gifles. Cette fois Kriss saisit le poignet de la jeune femme.

- Tends ton index et garde la bouche ouverte

Florence obéit, tandis que la dominatrice dirige sa main vers son visage. Ça y est le doigt est entre ses lèvres.

- Maintenant tu suces et tu lèches !

Elle le fait, d'abord timidement puis se prend au jeu, et finalement lèche comme une forcenée.

- Tu as vu, Fabrice, je l'ai fait ! J'en suis pas morte !
- Bravo ma chérie !
- Humm ! Finalement c'est bon, ça a un bon arrière-goût !
- Brave fille ! Ça va, je ne t'ai pas fait trop mal ?
- On va dire que ça fait partie du jeu !
- Bon reprend ta place, on va continuer !

Kriss se repositionne comme avant.

- Je vais pousser, mais avant, Florence, je veux que tu refasses le même geste que tout à l'heure, mais toute seule cette fois-ci.

Quatrième doigtage de la part de cette charmante personne, cette fois elle met le doigt, le ressort, garde les yeux ouverts. Oh ! Elle a bien hésité quelques instants, mais quelques instants seulement, le porte à sa bouche, marque un très léger temps d'arrêt, reprend sa respiration et l'introduit entre ses lèvres pour finir par le lécher goulûment.

- Délicieux ! Qu'est-ce qu'elle est bonne ta merde ! Dira-t-elle.
- Ben tu vois... Bon, le spectacle commence...

Effectivement, le rectum s'ouvre de nouveau et l'extrémité d'un bel étron brun ne tarde pas à apparaître, puis il grossit, se faufile en tortillant, et finit pas chuter dans l'assiette !

- Que c'est beau une femme qui chie ! S'exclame Fabrice.
- N'est-ce pas ?! Et toi Florence qu'est ce tu en penses ?

Florence ne répond pas, prise d'une envie irrésistible elle se met à embrasser les fesses de la chieuse avec tendresse. Elle semble vouloir aller plus loin, mais se reprend.

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Voilà ! Ça vous a plus j'espère, mais maintenant j'ai le trou du cul dégueulasse, vous allez me le lécher, tous les deux !

C'est Fabrice qui s'approche le premier et qui commence à donner de grands coups de langue sur les endroits pollués. Florence le rejoint quelques secondes plus tard !

- Allez ! Et que ça soit bien nettoyé, sinon je vous fous le nez dans la merde.

Mais il n'y avait finalement pas grand-chose à nettoyer et l'opération lèche-cul se termine rapidement. Kriss revient à sa place, mais avant de s'asseoir elle demande au couple :

- Embrassez-vous sur la bouche, maintenant, vous allez voir comme c'est très excitant avec ce petit arrière-goût qui persiste.

Après que les deux invités se soient roulés cette surprenante pelle, Kriss s'assoit entre eux. Etrange spectacle que ces trois-là assis l'un à côté de l'autre, trois flûtes de pisse entamées, et une assiette contenant un étron enroulé sur la table... Ma maîtresse lève son verre !

- A la vôtre, on va reprendre un petit coup !

Tout le monde lève son verre, puis Kriss se saisit d'un bretzel et le plonge dans l'étron qu'elle vient de chier.

- Faites comme-moi, vous allez voir, c'est super, mais il faut faire doucement, il ne faut pas que le bretzel se casse, sinon vous avez un gage !

Fabrice essaie, il tournoie un peu son bretzel, afin de le polluer d'un peu de matière, il goûte tout cela sous le regard amusé de son épouse.

- Ça n'a pas beaucoup de goût, on ne sent que le bretzel.
- C'est normal, répond, Kriss, le goût de la merde est assez neutre sauf pour la partie de la langue qui repère l'âcreté. Comme le bretzel est très salé, c'est son goût qui domine...
- Par contre l'arrière-goût reste dans la gorge ! Précise Florence
- C'est normal ! Mais franchement est-ce que c'est désagréable ? Demande Kriss
- Non pas du tout, on s'y habitue très bien je crois, et puis c'est si excitant, Répond Florence enthousiaste.

Je jette un coup d'œil sur Fabrice, il bande comme ce n'est pas possible. Je lui sucerais volontiers sa bite. Maîtresse Kriss rapproche l'assiette où elle a déposé son étron tout à l'heure et entreprend d'en découper de la main un petit morceau d'environ dix centimètres. Elle le dépose ensuite dans le creux de sa main, l'approche de sa bouche et le lèche de son bout de langue. Pendant qu'elle le fait son regard va de l'homme à la femme. Ils sourient, ils ont compris qu'il leur faudra faire pareil. Kriss tend la main vers Florence. Celle-ci n'hésite plus, sa langue lape l'étron comme un chat qui se régalerait d'une écuelle de lait. Elle parait complètement excitée par cette action, son visage vire au rose bonbon. Quant à son mari c'est avec la même fougue qu'il l'imite, n'y tenant plus il en profite pour simultanément se toucher la bite ce qui provoque un ordre sec de la part de maîtresse Kriss :

- On ne se branle pas tant que je ne l'ai pas autorisé !

Fabrice stoppe immédiatement sans un mot.

- Je n'ai rien entendu, tu as perdu ta langue ?
- Oh ! Pardon Maîtresse, balbutie l'homme se rendant compte alors qu'il est l'objet d'un jeu.
- Et tu crois que tu vas t'en tirer comme ça ?
- Je, je...
- Angélique, donne donc vingt coups de fouet à cet enculé !

Voilà tout à fait le genre d'ordre que j'aime bien exécuter. Sa masturbation n'est qu'un prétexte, il fallait bien une diversion, pour ne pas faire que de la scato... Je demande à l'homme de s'arc-bouter sur un fauteuil et de me tendre son cul. Il le fait sans problèmes. C'est qu'il a des belles fesses, l'animal, et je frappe. J'aime fouetter. Un jour sans doute je serais une dominatrice comme ma maîtresse, il serait dommage que je ne me serve pas de tout ce qu'elle m'a enseigné. J'aime taper fort, j'aime faire mal, mais en me mesurant, en frappant de tel façon que le puni puisse recevoir et continuer à recevoir. Et là je me régale, le type n'est pas vraiment habitué et manifestement il se force à ne pas protester, s'il savait que je peux frapper encore plus fort... Maîtresse m'a demandé de lui administrer vingt coups, je lui en donne deux de plus, comme ça par pure gratuité et parce que c'est un habitude de la maison...

- Et ben dis donc ! Dit-il en regagnant sa place. Elle ne m'a pas loupé !
- Mon pauvre chéri ! Fait semblant de consentir son épouse ! J'espère que tu vas pouvoir t'asseoir !

Kriss a repris son léchage d'étron, elle tend de nouveau la main aux deux invités qui en lèchent de nouveau le contenu. Elle coupe encore un morceau de l'étron, en conserve une partie et le porte à ses lèvres, le maintenant à la façon d'un gros cigare. Florence la regarde d'un air trouble. La maîtresse lui tend l'autre morceau, elle le prend dans ses mains, l'approche de sa bouche, hésite un instant, recule, puis se décide, elle nargue maintenant son mari, son étron entre les lèvres, puis lui tend l'objet afin qu'il fasse de même. Et puis Kriss regarde ses deux élèves leur fait un clin d'œil et soudain engouffre l'étron à l'intérieur de sa bouche !

- Mon dieu ! Chuchote Florence soudain affolée !

Sans doute cette dernière s'inquiétait-elle, croyant que ma maîtresse entreprenait de dévorer l'étron, aussi fut elle rassurée quand elle la vit se contenter de le lécher à pleine bouche à la façon d'un gros bonbon, pour le ressortir après.

- On essaie ? Propose Florence à son compagnon.

Mais il ne l'a pas attendu, Fabrice balade à son tour son étron dans son palais !

- Passe le à Florence, sans mettre les mains ! Ordonne à présent Kriss.

Fabrice ressort le morceau, le maintien entre ses lèvres et s'approche du visage de Florence. Cette dernière s'en empare avec ses lèvres. Elle semble faire un effort pour tout mettre dans sa bouche, mais y parvient, suce un peu le petit étron puis le ressort avec un large sourire.

Kriss a repris de nouveau de la merde dans le plat elle en a dans chaque main, elle se lève passe derrière Florence, et lui en badigeonne la poitrine. Cette dernière se laisse faire sans rien dire. La matière est assez sèche et adhère assez mal, elle rajoute donc un peu du contenu de son verre d'urine pour la fluidifier, elle barbouille aussi le visage, le ventre, les épaules, les cuisses, puis c'est au tour de Fabrice, elle lui enduit le torse, mais aussi le sexe tendu de façon dramatique. Ma maîtresse me fait un signal, j'ai compris et vais chercher une bâche plastique.

- Allez-y ! Installez-vous sur la bâche, léchez-vous partout et faites-vous jouir !

Ils s'y précipitent tous les deux. Fabrice commence à lécher les seins pollués de sa compagne. Puis de façon quasi instinctive ils se positionnent en soixante-neuf, la femme engobant la bite pleine de merde de son mari. L'affaire ne dure pas longtemps. Fabrice finit par éclater de son excitation trop longtemps contenu, mais continue néanmoins à lécher le clitoris de Florence qui explose à son tour quelques minutes après.

Ils se relèvent pantelants.

- C'était super ! Dira Florence. On va prendre une douche maintenant, euh la salle de bain... ?
- Je ne suis pas à cinq minutes, cela a été un vrai plaisir de faire votre connaissance, je vous propose de reprendre un peu de champagne, ce sera le mien cette fois-ci.

Florence regarde alors Kriss d'un air mutin :

- Euh ! On va peut-être boire un grand verre d'eau avant, de la vraie flotte, sinon d'accord pour votre champagne... Surtout s'il y a des olives…
- Mais c'était prévu mon cher !

J'ai donc été cherché le bocal d'olives et après m'être entièrement déshabillée je suis montée sur la table et en position accroupie me suis introduit une bonne dizaine d'olives dans mon petit cul. Au bout d'un moment je n'en pouvais plus, tout cela ne demandait qu'à être évacué, mon regard croise celui de Kriss.

- Encore une ! M'ordonne-t-elle
- Je ne sais pas si je vais pouvoir…
- Mais si !

Cette fois il faut que je me soulage, j'ouvre mon anus, les premières olives dégringolent, puis les autres bien crasseuses et accompagnée de matière.

Maîtresse Kriss tend l'assiette à Florence.

- Je vous en prie, prenez la plus merdeuse !
- Merci beaucoup.

Et Florence introduisit l'olive dans sa bouche pour n'en ressortir que le noyau.

Fin

Alençon - (c) Boris Vasslan
Première publication sur Vassilia, en 8/2003 revue en 3/2017
vasslan@hotmail.fr

Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 10:51

Maîtresse Kriss 5 – L’ambassadeur par Boris Vassla

Fetish2

texte contenant des passages scato explicites

Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, domination hard, donjon, engodage masculin, feuille de rose, party, prostitution, scato, spermophilie, spitting, uro.

Résumé des chapitres précédents : Après plusieurs séances de domination j’ai été embauché comme comptable chez Maîtresse Kriss afin notamment de gérer ses quelques affaires provinciales. De retour d’un contrôle qui a tourné en partouze dans une de ses librairies, nous avons ramené la patronne Sylvia pour un petit stage de « perfectionnement ». Sylvia est une grande blonde (fausse) coiffée en carré et dotée d’une généreuse poitrine. Maîtresse Kriss est une belle femme d’allure sportive, elle a les yeux bleus et de longs cheveux blonds décoloré légèrement bouclés, la peau assez claire, elle fait un joli 90D, et… elle est un peu myope.

Kriss s’était emballé en proposant à Sylvia de l’emmener une quinzaine à Paris. Elle d’ordinaire si réfléchie, avait perdu la tête avec cette femme qu’elle était néanmoins sensée dominer. Mais non, c’était fait, il fallait gérer la situation. Et histoire de faire pratique, Angélique fut envoyée en province aider le libraire. Sylvia fut donc affectée aux tâches domestiques en attendant…

Comme beaucoup de dominatrices, Kriss acceptait que l’on lui soumette un petit scénario. L’un de ceux-ci devait se jouer cet après-midi. Elle vint me chercher alors que j’étais en pleine comptabilité. Elle s’était habillée en tenue de combat (ce qu’elle ne faisait pas systématiquement), tout de cuir vêtue et avait chaussé ses lunettes.

Je fis de grand yeux étonnés en la voyant arriver.

– Eh, oui, c’est ma tenue de pute ! Ça ne me déplait pas de temps en temps, surtout quand on me paie bien. J’ai besoin de toi. Au boulot ! Esclave !
– C’est que… c’est si urgent que ça, parce que ?
– Parce que quoi ? Tu te crois où ? Tu n’es qu’un esclave ici, il faudrait peut-être que tu le comprennes !
– Oui Maîtresse !
– Bon je t’explique, je reçois l’ambassadeur d’un pays africain, il est venu une fois avec sa secrétaire, mais aujourd’hui il a emmené sa femme, du moins il m’a dit que c’était sa femme ! Dans un premier temps, je vais vous enchaîner, toi et Sylvia, dans un coin, quand je vous libèrerais, il faudra aller les sucer !
– Oui maîtresse !
– Bon, alors tu te mets à poil, et en vitesse, ils ne devraient plus tarder.

Kriss me passa un collier d’esclave autour du cou, me fit agenouiller et m’accrocha avec une chaîne dans un coin du donjon. Deux splendides fauteuils avaient été descendus du salon. Sylvia vint me rejoindre quelques instants plus tard, ce qui me permit d’admirer de nouveau ses belles formes généreuses.

Le petit groupe arriva quelques minutes plus tard, ils étaient quatre, l’ambassadeur, son épouse Barbara, belle femme au visage agréable, grande noire à la peau très sombre tout comme son mari. La secrétaire, Evelyne était une métis habillée d’un tailleur pied de poule assez strict et chaussée d’énormes lunettes, elle avait un bloc et un stylo à la main et nous avisa qu’elle prendrait en notes toute la scène qui allait maintenant se dérouler, car Monsieur l’ambassadeur aimait beaucoup relire les détails de ses péripéties sexuelles, le quatrième personnage n’était pas prévu. Evelyne nous expliqua.

– Son excellence ne parle pas bien français, c’est donc moi qui vous aiderais à organiser tout cela ! Puis désignant le quatrième larron, Celui-là, c’est le chauffeur de son excellence, enfin quand on dit chauffeur… Ce minable a failli provoquer un accident. Je veux que vous le punissiez, nous allons commencer par cela, par le spectacle de cette punition, cela devrait faire bander son excellence.

– Et vous avez une idée du châtiment ? demanda Kriss
– Absolument, vous allez lui administrer 20 coups de martinet, et après je veux qu’il se fasse enculer !

Carrément ! Ces scénarios à deux ou à plusieurs ont un avantage certain, car cela permet de varier un peu la monotonie des séances SM. D’un autre côté, on n’arrive jamais à savoir vraiment quel est le degré de volontarisme des participants. Ainsi ce pauvre chauffeur n’avait-il peut-être rien demandé ? Mais il n’était pas non plus question d’aller contrarier un ambassadeur qui savait se montrer si généreux.

Une dominatrice doit parfois gérer de curieuses contradictions. Mais Kriss se disait qu’après tout, tant qu’elle se posait ce genre de questions c’est qu’elle restait humaine. Et qu’il valait mieux cela que tout accepter et finir complètement déphasée…

Elle s’approcha du chauffeur :

– Comment tu t’appelles !
– Abdou ! Madame.
– On ne dit pas Madame, on dit Maîtresse !
– Bien Maîtresse !
– Tu sais que tu vas être puni ?
– Oui Maîtresse !
– Et tu crois que tu l’as mérité ta punition ?
– Je ne sais pas !
– Je ne sais pas, qui ?
– Je ne sais pas, Maîtresse !

Comme s’il ne pouvait pas dire oui ou non ? Voilà qui compliquait la tâche !

– Tu as envie d’être puni ou pas ?
– Je ne sais pas maîtresse ?
– Tu aimes quand on te punit ?
– Ça dépend, Maîtresse !
– Ça dépend de quoi ?
– Ça dépend si c’est bien fait ou pas !

Ouf ! Ce n’était que cela !

– Et là comme c’est moi qui vais te punir, tu ne sais pas si tu vas aimer ou pas ! C’est cela ?
– Oui Maîtresse !

Du coup Kriss retrouvait sa superbe, être craint par le soumis ne la dérangeait pas le moins du monde, au contraire, elle en jouissait. Elle pouvait donc y aller sans scrupules, ni remords.

– A poil et à genoux ! Et dépêche-toi, je n’ai pas que toi à m’occuper !
– Bien maîtresse !

Le type se déshabilla, il était assez bel homme, musclé sans exagération, son sexe d’une longueur au-dessus de la moyenne n’était pas pour autant démesuré.

– Tu ne crois pas que tu es un peu ridicule, à poil comme ça devant tout ce monde ?
– Si Maîtresse, je suis ridicule !
– Attachez-moi cet esclave !

Mais il n’y avait plus personne pour exécuter ses ordres, j’étais enchaîné avec Sylvia, et le trio de l’ambassadeur n’était pas venu pour jouer les supplétifs. Kriss attacha donc le bougre aux quatre extrémités d’une planche inclinée. La secrétaire remplissait son bloc de notes. Elle était vraiment pas mal la secrétaire ! Kriss avait toujours fantasmé sur les femmes noires. Aujourd’hui elle pouvait en avoir deux à sa disposition, mais elle se dit que ce serait probablement plus facile avec la secrétaire qu’avec l’ambassadrice. Bref on verrait tout à l’heure !

Les hommes noirs ne la laissaient pas non plus indifférentes. Mais c’est la texture de leur peau qui lui plaisait, une peau douce et sans poils. Par contre le fantasme de la grosse bite lui était complètement étranger. Elle était là derrière Abdou, et au lieu de faire son boulot, elle lui pelotait les fesses, se rendant compte que ce simple contact lui humidifiait l’entre-jambes, elle se ressaisit ! La faire mouiller, elle maîtresse Kriss, en lui exhibant son cul de pédé ! N’importe quoi ?

Abdou préparait son corps à la punition, il se contractait prêt à sublimer la douleur comme il avait appris à le faire. Mais ça ne venait pas, il se relâcha. Kriss connaissait ce phénomène, un simple relâchement des muscles qui ne se tendent plus ! Et shlack ! Le coup tomba ! Assez fort ! Il encaissa ! Elle ne le laissa pas reprendre ses esprits et asséna le suivant, encore plus fort, encore encaissé, le type avait une résistance remarquable. Elle ne détestait pas frapper fort quand le soumis suivait ! Le troisième coup fut aussi encaissé, elle savait que le quatrième serait trop fort. Il cria, mais sans lui laisser le temps de protester, expédia le cinquième, juste au niveau qu’il fallait, surfant sur les limites de la victime. La force de frappe étant trouvée, elle pouvait passer à autre chose. Par exemple varier les fréquences, choisir le coin de chair où atterriraient les lainières. Traditionnellement le 20ème fut plus fort, le type cria à nouveau, et traditionnellement le 20ème ne fut pas le dernier. Trois autres coups de frappes moyennes vinrent conclurent cette flagellation.

Kriss mouillait de plus en plus et commençait à se demander comment elle allait gérer cette situation. D’autant qu’il fallait à présent sodomiser l’individu. Je priais le démon de la lubricité que ce ne fut point moi, étant d’ordinaire plus à l’aise dans ce genre d’exercice dans la passivité que dans l’activité.

Ouf, non ! Kriss avait prévu un joli gode ceinture avec lequel elle s’harnachât. Un bel objet, véritablement ! Elle avait fière allure comme cela, ma maîtresse adorée, avec sa fausse bite bien bandée dressée hardiment. Elle s’amusait à y simuler des lents et suggestifs mouvements de masturbation qui était loin de me rendre insensible ! En prenant tout son temps elle revêtit l’olisbos d’un préservatif, puis après quelques nouvelles feintes masturbatoires, enduit tout cela de gel intime, non sans en avoir conservé une bonne quantité dans ses paumes.

Celle-ci était destinée à l’orifice anal de ce pauvre Abdou, elle le tartina quelques instants, sans se presser, puis approcha le gode de son but. Une sorte de sourire sadique éclaira un moment le visage de la dominatrice. Je n’en compris la raison que quelques instants plus tard quand celle-ci sans aucune progressivité pénétra d’un coup l’anus du soumis qui poussa un cri où se mêlaient la douleur et la stupéfaction. Sans transition et sans laisser la victime s’habituer à la présence de ce corps étranger elle entama une série de pistonnage assez rapides, et contrairement à la flagellation qui avait été silencieuse, elle ponctuait ses mouvements d’interpellations injurieuses et humiliantes, tandis que l’autre râlait !

– Ça te plait de te faire enculer, hein, sale chien ?
– Aïe, oui maîtresse, aïe, aïe !
– Tu en n’as pas encore assez ? Tu en veux encore, hein, pédé ?
– Je ne sais pas maîtresse !

De toute façon, elle se moquait de ses réponses, satisfaite de voir notre homme prendre son parti de la punition qui lui était infligée, elle y allait de bon cœur. Il fallut bien quand même qu’elle finisse par s’arrêter. Elle détacha le chauffeur, le fit mettre à genoux devant elle, et lui asséna une série de double gifles avant de le remettre à la disposition de ses maîtres

– On en fait quoi ?
– Qu’il se rhabille et qu’il nous attende dans la voiture ! Répondit Evelyne.

Dommage, je l’aurais bien sucé !

Son excellence, l’ambassadeur était lui particulièrement excité et avait sorti de sa braguette une queue de bonne taille magnifiquement dressée qu’il masturbait avec vigueur. Quant à madame l’ambassadrice, elle ne faisait rien sinon une drôle de tête, et jetait des regards implorants à son digne époux. Celui-ci un moment distrait de sa masturbation finit par s’en rendre compte et murmura quelques paroles incompréhensibles à sa tendre et chère.

Mais, c’est qu’elle n’attendait que cela, la Barbara, d’un geste rageur, elle déboutonna son corsage de façon si violente que je me demandais si elle n’allait pas l’arracher, elle extirpa ses seins de son soutien-gorge, précipitant les doigts de sa main gauche autour d’un téton afin de le presser, de le pincer, de le tournicoter, tandis que la main droite retroussait la jupe, passait sous la culotte et attaquait un sexe sans doute en ébullition. Le spectacle de ces deux diplomates se masturbant de concert avait quelque chose de grandiose.

C’est à ce moment-là qu’Evelyne intervint en nous désignant :

– Je crois que c’est maintenant le moment de lâcher vos « chiens », détachez-les, et qu’ils aillent sucer son excellence et son épouse !

Il fut donc fait ainsi, et c’est donc à quatre pattes, que je rejoignis Barbara tandis que Sylvia s’avançait entre les cuisses de notre ambassadeur lubrique. Mais ne voilà-t-il pas que ma langue à peine posée sur la délicieuse chatte humide de cette sculpturale africaine, que j’entendis Evelyne ricaner et protester.

– Mais ils sont débiles, vos esclaves !

J’ignore ce que répondit Kriss, peu habituée à se faire interpeller de la sorte, mais l’autre de s’approcher d’elle et de lui susurrer quelque chose dans le creux de l’oreille. Bon, ne nous laissons plus distraire et reprenons cet agréable petit cunnilingus bêtement interrompu !

Mais voici que Kriss s’avance vers moi, le martinet à la main et m’en assène un coup sur les fesses.

– Tu n’as rien compris, connard, c’est pas elle que tu dois sucer, mais Monsieur l’ambassadeur !

Et la voici tandis que j’essaie péniblement de changer de position qu’elle frappe à son tour le joli derrière de Sylvia.

– Et toi, c’est pareil, conasse ! Qui t’as donné l’autorisation de sucer des bites ? Va donc lécher la chatte de cette charmante personne !

Bon, bon il fallait le dire ! On se dirige donc tous deux vers les cibles qui nous ont été attribuées, on se gêne au passage, on se cogne, on reçoit encore quelques coups de martinet parce qu’on ne va pas assez vite.

– Mais putain, qui c’est qui m’a foutu des esclaves aussi nuls ?

Je la sens énervée, Kriss, elle frappe plus fort que d’habitude, mais enfin tout ce contretemps n’est pas si triste… Il est malgré tout dommage que l’on m’inflige cette permutation. Ceux qui ont lu mes premières « aventures » savent que je ne répugne pas (pas du tout, diront-nous) à sucer une bonne bite, mais n’empêche, si j’ai le choix, c’est encore les chattes que je préfère et celle-ci était parfaitement à mon goût.

Bon, ceci-dit ; je ne vais pas me plaindre, je suis loin d’être malheureux chez Kriss, je vis ma sexualité comme je l’entends, et j’y trouve mes avantages, même si parfois certains actes me contrarient quelque peu.

Attaquons donc cette grosse bite noire ! Pas si facile de sucer un aussi gros morceau, mais bon je me débrouille, à défaut de pouvoir tout mettre dans la bouche, je donne des grands coups de langue sur son gland, je descends sur la hampe, je remonte, je redescends jusqu’aux couilles que j’aspire dans ma bouche, je m’amuse, je m’excite aussi. Son excellence est aux anges, il en profite pour se déshabiller complètement, il retire même ses chaussettes, je me demande bien pourquoi, n’ayant pas vraiment l’intention de lui lécher les doigts de pieds… Il pousse de petits cris, se tripote les tétons, geste très courant chez les bi et les homosexuels. Je le sens partir, je mets tout en bouche, hésite un instant sachant qu’il risque de décharger ainsi, mais me motive en me disant que ma maîtresse sera satisfaite de moi. Un hurlement m’interrompt un instant dans mes efforts appliqués, c’est madame l’ambassadrice qui jouit comme une malade, et qui apparemment non rassasiée s’est littéralement jetée sur Sylvia, l’entraînant au sol avec elle, la faisant rouler, tandis qu’elles s’embrassent enlacées. Ce petit plus a ajouté le sel d’excitation qu’il fallait à notre ambassadeur qui éjacule à présent, avant de s’affaler groggy dans son fauteuil.

Une pause dans cette orgie, je regarde autour de moi, l’ambassadeur à poil, sa femme complètement débraillée, Sylvia et moi à poil, Kriss en tenue de dominatrice très suggestive. Il n’y a qu’Evelyne qui n’a strictement rien ôté de sa tenue et qui, imperturbable continue de prendre des notes… Kriss demande à Sylvia d’aller chercher de quoi se désaltérer. La partie serait donc terminée ?

C’est sans compter avec la fringale sexuelle de l’ambassadeur.

Le voici qui se met à discourir dans ce qui doit être sa langue maternelle, il montre du doigt sa femme, comme si (mais par jeu) il était très en colère après elle. Laquelle épouse aborde un joli sourire très coquin ! Evelyne nous traduit donc tout cela :

– Son excellence, vous remercie tous de votre prestation, mais il dit qu’il y a quand même quelque chose qui le chagrine. Il trouve inadmissible la conduite de son épouse. Avoir eu des contacts sexuels avec quelqu’un du même sexe devant ses yeux est intolérable. Et cela réclame une punition exemplaire !
– Mais voilà une excellente idée ! Répond Kriss, mais qu’en pense Madame ?

La madame se lance à son tour dans une assez longue diatribe auquel nous ne comprenons bien sûr rien du tout, elle fait beaucoup de gestes, nous montre du doigt à tour de rôle, le tout en rigolant à chaque phrase.

– Traduisez-nous, Evelyne !
– Euh ! Madame dit que Monsieur l’ambassadeur est drôlement gonflé de juger sa conduite, alors que lui-même s’est comporté comme un pédé en se faisant sucer la bite, et qu’il ne lui déplairait pas de le voir se faire enculer comme le chauffeur tout à l’heure !
– Bien, Evelyne, vous êtes le porte-parole de son excellence, que devons-nous faire ?

La secrétaire échange alors quelques mots avec l’ambassadeur, puis propose :

– Il dit que son épouse vient d’aggraver son cas, nous seulement c’est une gouine lubrique, mais en plus elle se permet de porter des jugements sur la sexualité de son mari, alors qu’elle n’y comprend rien. Elle doit donc être punie, mais son excellence vous laisse libre dans le choix des châtiments que vous lui infligerez !
– C’est très bien, heu… elle ne parle pas français, je crois ?
– Mais si ! Et en tout cas elle le comprend parfaitement !

C’est à ce moment-là que j’ai senti quelque chose de particulier dans l’attitude de Kriss, la connaissant un peu maintenant, je savais que cette espèce de court silence, marqué d’un très léger sourire en coin signifiait la mise au point de plan ultérieur, un peu à la façon d’un joueur d’échec qui se projette déjà plusieurs coups en avant. Son regard balayait le corps d’Evelyne, puis elle eut un petit mouvement de paupières, un autre de la bouche qui s’entrouvrit légèrement pour faire passer la langue sur ses lèvres soudain sèches. Et puis tout d’un coup la question, insidieuse…

– Et vous, vous n’intervenez que comme secrétaire dans tout ce truc ?

J’étais à ce moment-là très près de Kriss et pu entendre la réponse.

– Ça vous embête, hein ?
– Un peu, oui !
– Alors soyez patiente…

Ce fut tout ! Entre temps Sylvia qui était descendue avec les bouteilles de champagne fut priée d’aller remettre tout cela au frais.

Emoustillée par la perspective de pouvoir faire des galipettes très spéciales avec la petite secrétaire, Maîtresse Kriss reprit d’autorité la séance de domination.

– Toi la pétasse, tu vas finir de te déshabiller !
– Oui, mistress ! Répondit Barbara.
– Maîtresse, pas mistress, on n’est pas en Angleterre, ici !
– Yes !
– Non mais tu te fous de moi ? Puis s’adressant à Evelyne : « Tu es sûre qu’elle comprend le Français ? »
– Je crois surtout qu’elle se moque carrément de vous ! Répondit cette dernière, rigolarde.
– Ah oui ?

Shlack ! La gifle atterrit sans crier gare sur son visage, elle eut à peine le temps de reprendre ses esprits que la seconde arrivait de l’autre côté accompagnée de quelques crachats bien appuyés. Une larme perla à ses yeux. Kriss la toisa, dédaigneuse !

– Tu es mon esclave en ce moment, tu le comprends ça ?

En fait, Barbara n’était pas encore rentrée dans la domination, quelque chose l’empêchait pour l’instant d’intégrer ce jeu. Cependant elle ne s’en échappait pas non plus.

– Tu ne réponds pas, tu as perdu ta langue ?
– Je ne sais pas !
– Est-ce que je dois comprendre qu’il faut que je continue à te battre ?
– Ce n’est pas cela !
– C’est quoi alors ?
– Ce n’était pas prévu !
– Qu’est ce qui n’était pas prévu ? Que ton mari te fasse punir, c’est ça ?
– Oui ! Il est en train de me forcer la main, et ça ne me plait pas !
– Ok relève-toi ! Je ne vais pas dominer quelqu’un qui n’est pas d’accord ! Ce n’est pas le genre de la maison !

Déjà, elle se relevait…

– Mais attend, juste une seconde ! Tu es un petit peu maso ou alors pas du tout ?
– Un petit peu, et même plus que ça !
– Qu’est ce qui te chagrine alors ?
– J’ai peur !
– Humm ! Le SM c’est une relation de confiance… regarde-moi dans les yeux, non reste à genoux, n’ai pas peur ! Est-ce que tu crois vraiment que je pourrais te faire quelque chose que tu ne puisses pas supporter ?
– Je ne sais pas !
– Alors souris-moi comme je te souris ! Nous sommes entre femmes, oublie tous les autres à côté, on s’en fout, je vais te donner du plaisir, du plaisir dans la douleur, mais du plaisir, je sais le faire, je sais très bien le faire, d’accord Barbara ?

Alors dans un souffle, l’ambassadrice répondit simplement :

– Oui Maîtresse !

Kriss lui ordonna alors de finir de se déshabiller, puisqu’elle ne l’avait pas encore fait, et demanda à Sylvia d’aller lui chercher quelques pinces.

– Non, ne te remets pas à genoux, reste debout, devant moi !
– Oui Maîtresse !
– Tu as une poitrine magnifique, on te l’avait déjà dit ?

Du coup l’autre se détend et son visage s’éclaire d’un magnifique sourire :

– Ils sont à vous, maîtresse, j’adore qu’on me les pince !
– C’est du SM, Barbara, je ne suis pas seulement là pour te faire uniquement ce qui te plait !
– J’ai compris !
– J’ai compris qui ?

Et shlack, la gifle ! Au moment psychologique, comme elle sait si bien le faire, et après la gifle ce regard dans les yeux, ce regard pétillant de malice, ce regard qui veut dire : « c’est moi qui fait, c’est moi qui domine, c’est moi qui fait ce que je veux, et quand je veux ! Et ensuite un crachat. L’autre est domptée !

– Pardon maîtresse !

FS1060Son excellence n’a pas l’air de bien saisir toutes les nuances de ces contretemps, et baragouine quelque chose à la secrétaire qui ne lui répond que par monosyllabes. Un instant, juste un instant, Kriss lui balance un regard excédé, le genre « je sais ce que j’ai à faire », mais ça ne dure pas, et je ne saurais jamais si l’autre à compris le message.

On est là tous, autour des deux femmes, on est au spectacle on n’en perd pas une miette, Evelyne n’en finit pas de noircir ses feuilles, Sylvia s’est improvisée assistante accessoiriste, et moi je regarde aussi, fasciné par ce don, par ce pouvoir étrange que possède ma maîtresse !

– Ecarte un peu tes jambes, c’est uniquement pour la stabilité !
– Oui maîtresse !
– … enfin la stabilité, mais l’esthétique aussi !
– Voilà maîtresse !

Kriss lui prend les seins à pleines mains, elle les caresse d’abord tendrement, puis se met à les malaxer, avec de moins en moins de ménagement. Barbara transpire à grosses gouttes, complètement hypnotisé par le travail de la dominatrice. Laquelle dominatrice se met à présent à gifler les seins de sa soumise, de petites tapes d’abord, puis de plus en plus fort, à ce point que les seins se cognent l’un contre l’autre.

– Ah ! Ah !

Après, quelques minutes de ce traitement, Kriss s’empara des pointes des seins de l’africaine, qui ne demandait que ça, et elle se mit à les tortiller, à les étirer, à les pincer très fort. L’autre hurlait en grimaçant et en fermant les yeux, alors Kriss continuait accentuant son sourire, puis baissait doucement la pression, provoquant l’arrêt des cris, la regardait dans les yeux, guettait une réaction, puis reprenait de plus belle, ce manège se répéta une dizaine de fois, puis :

– Maintenant dis quelque chose !
– Merci maîtresse !
– De rien, c’est bien naturel, mais ce n’est pas cela que je veux entendre !
– Je ne sais pas, maîtresse
– Tu veux peut-être que je te rafraîchisse la mémoire, répondit-elle la menaçant de l’éminence d’une gifle !
– Euh… encore, maîtresse !
– Tu vois quand tu veux, hein ! Tu aimes ça qu’on te torture les seins ?
– Oui maîtresse !

Kriss approcha alors sa bouche du téton droit de la soumise, elle le suça quelques instants, uniquement par gourmandise, car ce n’était pas le but de l’opération, elle ouvrit ses dents et les resserra sur le fragile organe, le mordillant progressivement sous les soupirs d’extase de Barbara. Quand elle eut fini de jouer avec ce téton, il restait l’autre.

– Alors ?
– C’est bon, maîtresse !
– Alors, c’est très bien, on va jouer avec les petits outils maintenant !

Les yeux de Barbara à ce moment-là ! Amusé, Kriss se tourne alors vers Sylvia et tel un chirurgien opérant un cas difficile devant les yeux ébahis de ses assistants, demande d’un air solennel :

– Pinces !

C’est alors que Sylvia le plus naturellement du monde tendit à notre dominatrice préférée, un magnifique cintre à pinces coulissantes !

– Non, mais je rêve ou quoi ? Il doit y avoir plus de cent pinces différentes dans mon fourbi, et tout ce que tu trouves à m’apporter c’est un cintre ?
– Excuse-moi, je croyais avoir eu une bonne idée !
– Pfuit, ah la la tout fout le camp, excusez-moi, ma chère, mais nous avons des problèmes d’intendance, le personnel n’est plus ce qu’il était… Bon toi, Sylvia tu vas aller au coin, à genoux et les mains sur la tête, je m’occuperais de ton cas plus tard, quant à toi cher esclave, je vais faire avec les moyens du bord et te faire des misères… avec ce cintre ! Après tout pourquoi pas, ça change un peu, non ?
– Oui maîtresse !
– Tu vois ce qui est embêtant, c’est qu’avec ce truc là on ne peut pas tout faire, comme par exemple tourner les pinces, ou faire des pichenettes ! Et en plus il faut bien régler l’écartement des pinces, sinon ça va t’écarter les tétons ou au contraire te les rapprocher ! Ah ! Ce n’est pas simple tout cela !

La pauvre Barbara balisait un maximum, mais ne protestait pas, une expression de terreur contenue apparue néanmoins dans ses yeux quand Kriss accrocha la première pince, celle-ci attendit qu’elle s’habitue à la douleur pour fixer la seconde.

– Ah !
– Ah, ben oui ça fait mal, on n’est pas en train de jouer à la marelle, hein ?
– Oui maîtresse !
– Et maintenant attention pour le méga trip ! Reprit Kriss en tirant progressivement sur le crochet du cintre, le téton se déformait, s’allongeait démesurément sous l’effet de cette traction.
– Non, aïe, non aïe ! Ça fait mal !
– Non, mais tu vas te taire un petit peu ?
– Pardon maîtresse, aïe, non !

Shlick ! Brutalement une pince se détacha provoquant un cri de douleur de la soumise. Faisant fi des protestations de sa victime, Kriss raccrocha immédiatement la pince et recommença à tirer
.
– Non, pitié maîtresse, je n’en peux plus !
– Pardon ? J’ai du mal entendre ?
– Non, je n’ai rien dit, pardon maîtresse !

Kriss continua à tirer mais sans exagération, semblant ainsi prendre en compte les protestations de sa victime, puis changeant de méthode se mit à procéder par brèves secousses. Encore une fois, la pince, la même se détacha, encore une fois Barbara hurla, et encore une fois, Kriss raccrocha le diabolique ustensile puis le retira définitivement.

– Martinet !

Je ramassais promptement le martinet qui traînait dans un coin et le lui apportait.

– Tourne-toi, je vais te chauffer les fesses.

L’ambassadrice s’exécuta, pas mécontente de ce changement de réjouissance, et sans plus de préambule Kriss lui asséna sans les compter une bonne dizaine de coups sur le cul. Comme elle n’était ni attachée, ni maintenue, chaque coup la faisait avancer d’un petit pas, et elle finit par perdre l’équilibre et se retrouver par terre. Elle tenta alors de se relever.

– Reste à terre, et tends-moi bien tes fesses, sinon je frappe ce que tu me présentes !
– Fouettez moi les seins, Maîtresse !
– Ah bon, pourquoi pas, mais ne viens pas te plaindre ensuite ! Répondit Kriss en lui zébrant les nichons.

Malgré tout, Kriss sentit que le jeu tirait à sa fin, Barbara avait encaissé beaucoup, il fallait la laisser au stade où la perspective d’une séance ultérieure ne soit pas ressentie comme une corvée.

– Ça va ?
– Je suis épuisée, mais ça va !
– Alors écarte les jambes, je vais te faire un bisou !

Kriss s’installa entre les cuisses de notre belle africaine

– Mais c’est que tu mouilles comme une salope ! Finalement ça t’a plu ?
– Ça va !

Et tandis que l’ambassadeur se branlait énergiquement, Kriss d’une langue experte explosa sa victime qui gueulant sa jouissance retomba pantelante au sol, trempée comme une soupe.

L’ambassadeur appelle Evelyne et lui chuchote quelque chose à l’oreille.

– Son excellence a soif, il voudrait boire quelque chose de spécial.
– Mais avec plaisir, si monsieur l’ambassadeur veut bien s’allonger par terre, je me ferais un plaisir de lui offrir ma bonne pisse.

Kriss s’accroupit de façon à présenter sa jolie chatte à quelques petits centimètres de la bouche de l’homme et lui pisse dans le gosier, elle n’avait pas une grosse envie, mais il apprécia sans toutefois être rassasié.

– Son excellence apprécierait aussi la pisse de Monsieur, intervient encore Evelyne ne me désignant.

Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas non plus une grosse envie, mais je m’accroupi et lui pisse quelques gouttes dans la bouche. Il me fait alors signe de m’approcher davantage.

– C’est fini, il n’y a plus rien !
– Il va vous nettoyer la bite ! Me précise Evelyne.

Ben voilà quand on m’explique les choses bien gentiment, je comprends tout ! Je lui donne donc ma bite à lécher, mais vous vous imaginez bien qu’à ce régime, je ne tarde pas à bander comme un âne en rut, c’est qu’il suce bien l’animal ! Tellement bien que je sens que je vais partir.

– Je, je…
– Ne bougez pas, M’indique Evelyne, son excellence va avaler votre sperme.

Monsieur l’ambassadeur est un cochon. Mais le voilà qui baragouine encore quelque chose qu’Evelyne s’empresse de traduire le plus sérieusement du monde

– Son excellence à beaucoup apprécié, il aimerait maintenant finir sur quelque chose de plus consistant.
– Je crains que je ne puisse ! Feint de se désoler Kriss qui regarde Sylvia au cas où…

Sylvia fait signe qu’elle peut et vient à son tour s’accroupir au- dessus du visage de l’ambassadeur, elle pousse et un petit étron finit par sortir de son joli cul, l’homme s’empresse de le lécher avec gourmandise. Mais voilà que l’étron s’allonge et devient un boudin qui vient s’échouer sur la bouche et le menton de l’ambassadeur. Il fait signe à Sylvia de ne pas bouger et lui nettoie consciencieusement le trou du cul.

– Son excellence me fait dire qu’il s’est régalé et que… hum merci.

A ce moment-là l’ambassadeur a tendu un petit étron à Evelyne qui s’en empare comme s’il s’était agi d’une truffe au chocolat et la met sans sa bouche.

– Il a raison, cette merde est délicieuse ! Ajoute-t-elle.

L’ambassadeur n’en peut plus de ces émotions, de ses mains toutes cacateuses il se branle maintenant avec frénésie laissant échapper d’abondantes giclés de sperme.

– Si ces messieurs dames veulent prendre une douche… Leur propose Kriss.

Nous avons ensuite pris congés de nos visiteurs, non sans avoir sablé le champagne.

– C’est l’ambassadeur de quel pays ? Demandais-je par curiosité
– Du Golo !
– Du Togo ?
– Non du Golo ?
– Mais attends, ça n’existe pas !
– Je le sais bien, il n’est pas plus ambassadeur que toi et moi, c’est en fait un mec qui a fait fortune dans l’import des arachides, ça lui a un peu monté à la tête, mais qu’importe, chacun ses petites manies… et puis il paie bien !
– Et puis on s’en fout, l’essentiel c’est que c’était super excitant ! Intervint Sylvia !
– Oh, toi avec ton cintre, je te retiens ! Et puis, je vais vous dire, moi je trouve qu’il a manqué quelque chose à cette séance !
– Ah oui !
– Ouais, j’aurais aimé me farcir la secrétaire ! Mais j’ai maintenant très envie de me l’envoyer, et vous savez comment je vais faire ?
– ???
– Ah ! Vous ne savez pas ! Ben justement moi non plus, mais il faudra chercher, parce que c’est toi Sylvia qui va-t’en occuper !
– Mais…
– Je la veux, dans huit jours dans mon lit, débrouille-toi !
– Bien maîtresse !

Alençon – (c) 7/2001 Boris Vasslan
Première publication sur Vassilia, le 08/07/2001
vasslan@hotmail.fr

 

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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