Mardi 5 juin 2018 2 05 /06 /Juin /2018 19:04

Chanette 22- Soirées Bunga-bunga
1 – Mystérieux visiteurs par Chanette

 

Chanette

      Thémes abordés : bisex masculine, domination hard, domination soft, donjon, fétichisme du pied, party.

1 Mystérieux visiteurs

Jeudi 8 Janvier

Il va être 14 heures, un coup de fil de mon client de 15 heures m’informe qu’il a un empêchement. Ce sont des choses qui arrivent et au moins a-t-il la correction de me prévenir. A 14 heures pile, on sonne. Je ne connais pas ce mec, mais il est ponctuel, c’est une qualité que j’apprécie. J’ouvre la porte.

- Nous avons rendez-vous ! M’annonce un grand black avec un accent très prononcé.
- Vous faites erreur…
- Je suis Théo, vous m’aviez noté pour 14 heures.
- Ah ! Alors rentrez ! C’est étrange au téléphone vous n’aviez pas d’accent…
- Je n’ai pas d’accent ! Me répond-il avec une mauvaise foi évidente et un ton agressif.

Oh ! Que ça m’énerve !

- Ecoutez, on ne se connaît pas, mais si vous commencez sur ce ton-là, autant en rester là ! Je ne vous retiens pas. Au revoir, monsieur !
- Autant me dire que vous êtes raciste, ce sera moins hypocrite.
- A quoi bon discuter : je vais vous dire que je ne suis pas raciste et vous n’aurez pas envie de me croire ! Par contre les gens qui ramènent tous les problèmes au racisme, je crois bien qu’ils en ont un… de problème !

Le mec hésite

- La sortie, c’est bien par-là ! Insistais-je.
- Ecoutez, j’ai été maladroit, je vous présente mes excuses.

J’ai été serveuse dans un restau dans ma jeunesse, on en apprend beaucoup en observant les clients et il me revint en mémoire cette anecdote : Un jour un couple qui venait juste de s’installer s’engueule avec une serveuse pour une futilité, cette dernière au lieu de s’aplatir leur a alors vertement conseillé d’aller voir ailleurs. M’étonnant au près d’elle de cette attitude, elle me répondit : »quand ça commence comme ça, il y aura forcément des suites, alors moi, je vire même s’ils s’excusent, et comme ça on est plus emmerdé ».

- Vous dégagez sinon j’appelle la sécurité ! Ordonnais-je fermement.

La « sécurité » n’existe pas mais en parler fait toujours son petit effet, le type s’en va en grognant des choses que je ne cherche même pas à comprendre.

Je n’ai rien avant 16 heures, je m’installe gentiment dans mon fauteuil préféré avec un bon polar.

Et vers 14 h 15 voilà que ça sonne de nouveau. J’y vais, mais cette fois je regarde par l’œilleton. Scrogneugneu, un autre black ! Ce n’est pas possible, le Théo a fait venir un cousin.

- Occupé ! Que je crie à travers la porte.

L’autre s’en fout et continue de sonner comme un damné. Je crains qu’il fasse un scandale dans l’immeuble. Ici les gens (pas tous) me tolèrent à condition que mes activités restent discrètes. Donc, changement de tactique : je m’empare d’une mini bombe de lacrymo afin de parer à toutes éventualité et j’ouvre.

- Bonjour Madame, je suis Isidore Soumayé, je peux entrer ?

Difficile de faire autrement !

- Je suppose que vous venez de la part de votre petit camarade que je viens d’éconduire ?
- Ce n’est pas tout à fait ça, disons que nous avons un employeur commun.
- ?
- La personne qui m’a précédé a probablement été très malhabile, vous n’aurez plus affaire à elle.
- Bon, écoutez, je ne comprends rien à ce qui se passe, un mec téléphone pour prendre rendez-vous, un autre viens à sa place, je le vire et maintenant en voilà un troisième. C’est quoi ce cirque ?
- Mais c’est très simple : Notre secrétariat a appelé pour prendre rendez-vous, mon collègue a été désigné pour la mission.
- La mission, quelle mission ?
- Celle de vous rencontrer, et comme l’attitude de mon collègue a posé problème et que je l’accompagnais, on m’a demandé de le remplacer au pied levé.
- Moi je crois que vous vous trompez d’adresse, vous croyez être chez qui au juste ?
- Ben chez vous !

Je vais m’énerver !

- Et vous venez faire quoi chez moi ?
- D’abord profiter de vos services…
- Vous savez ce que je propose comme services ?
- Hi, hi !
- Non répondez-moi, je ne rigole pas.

Du coup le mec semble moins sûr de lui.

- Euh, on m’avait dit que vous proposiez des… Comment dire… Des moments de détente intime ?
- Hum, on peut éventuellement appeler ça comme ça ! Mais c’est quoi cette histoire de secrétariat, je n’ai jamais vu ça !
- C’est le secrétariat de l’ambassade !
- De l’ambassade ?
- L’ambassade du Bunga
- Ah ! Je crois comprendre, pour récompenser votre collègue de je ne sais pas trop quoi l’ambassade lui a offert une heure chez moi, et comme je l’ai viré, vous venez à sa place, c’est ça ? J’ai bon ?
- En gros…
- Vous savez au moins que je ne fais que de la domination.
- C’est quoi ça ?
- Un jeu, je suis une maîtresse très sévère et les clients sont mes esclaves. Alors je les punis, je les attache, je les fouette, je les sodomise, je leur fait plein de petites misères, ça vous intéresse ? C’est ça que vous voulez ?
- Non, non, moi je fais l’amour de façon normale.
- Je ne pense pas faire des choses anormales, mais si vous souhaitez de la baise classique, ce n’est pas la bonne adresse. Moi je ne baise pas et je ne suce pas non plus !

Ce qui n’est pas rigoureusement exact, mais je me garde bien de le dire.

- J’ai quelques arguments… Reprend Isidore.
- Bon, on va en rester là !
- J’en ai une grosse !
- Qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ?
- Et cet argument, il est… supérieur ? Demande-t-il en ouvrant son attaché-case de façon théâtrale.

Dingue ! Il y a combien là-dedans ? Que des coupures de 50 € rassemblées en liasses. 100 000 € ? Peut-être plus.

- Vous les avez fabriqués cette nuit ?
- Ils sont authentiques ! Tient-il à me préciser. Je présume que vous savez reconnaître les faux billets. Vous pouvez vérifier.
- Non, merci, je vous crois sur parole, mais vous allez me refermer cette mallette et me débarrasser le plancher.
- Vous ne voulez pas de cet argent ?

C’est à cet instant que mon téléphone sonna.

- Alexis ? Euh, Ah, oui Alexis ! Comment vas-tu… Oui bien sûr, tu peux venir à 15 heures si tu veux. Plus tôt ? Ah, oui si tu veux, je suis libre jusqu’à 16 heures, tu es loin ? Ah d’accord, et bien viens pour 14 h 30. Bisous à tout de suite !

Isidore est toujours là

- Je croyais vous avoir dit de partir !
- Ne me faites pas croire que vous refusez une telle somme ?
- Si c’est juste pour baiser, je peux faire un effort, mais ce n’est pas que ça, n’est-ce pas ?
- Juste un petit service !
- Dites un peu pour voir ?
- Guillaume Moussa est le leader de l’opposition au Bunga, il va se présenter à l’élection présidentielle, nous souhaiterions seulement le compromettre un petit peu lors de son passage à Paris. Vous voyez ce n’est pas bien méchant.
- Je connais ce genre de chanson. J’accepte et après c’est l’engrenage, soit on m’éliminera parce que je serais un témoin gênant soit on construira une machination qui me retombera sur la gueule. Alors pour la dernière fois, vous allez me foutre le camp, sinon j’appelle la sécurité, à moins que vous ayez envie de prendre un coup de poing américain dans la tronche.
- Réfléchissez, je repasserai demain.
- A votre place je n’y penserais même pas.

Ouf ! Mais qu’est-ce que c’est que ces andouilles ? Bon je n’ai pas besoin de me préparer, je suis prête. Alexis ne devrait plus tarder.

Effectivement

J’ouvre à Alexis ! Ce n’est pas spécialement un habitué, j’ai dû le voir une fois ou deux. Il me tend la joue pour m’embrasser, je me laisse faire, la séance n’est pas commencée.

Alexis est plutôt bel homme, grand, mince, sportif, le cheveu court et dégarni, souriant, belle allure et belle prestance.

Quelques échanges de banalités, et voilà qu’il devient grave.

- J’ai vu un black assez bizarre qui sortait de l’immeuble, il est venu chez toi ?

Je n’ai pas habitude de raconter à mes clients qui sont mes autres clients, et je m’apprête à faire une réponse évasive mais je me dis qu’après tout ce gars-là (le black) n’a jamais été mon client.

- Oui, un emmerdeur ! Je l’ai viré.
- Tu ne fais pas les blacks ?
- Je « fais » tout le monde, je ne suis pas raciste, les seuls que je ne fais pas ce sont les cons et les emmerdeurs.

Non, mais, il ne va pas se mettre à m’énerver non plus celui-ci ?

- Je ne voudrais pas t’affoler mais un autre l’attendait en bas et j’ai surpris leur conversation…

Et il me raconte tout ça.

Le récit d’Alexis

Je suis au pied de l’immeuble de Chanette quelques minutes avant l’heure dite pour monter à son studio. En attendant je lis le journal tout en jetant un coup d’œil distrait sur l’environnement. Et c’est ainsi que j’aperçois un homme black, bien habillé sortir de l’immeuble, il est accueilli par un « collègue » qui lui demande peu discrètement :

- T’en fais une tronche, ça n’a pas marché ?
- Non ! Elle a les jetons !
- T’a pas eu les bons arguments !
- J’ai été obligé de partir, elle allait appeler son mac.
- Elle est raciste, je te dis ! T’as rien dis de compromettant, j’espère ?.
- J’ai bien été obligé de lui dire ce qu’on attendait d’elle, mais je suis resté dans le vague.
- Embêtant quand même ! Tu ne lui as pas dit qui on était ?
- Je lui ai juste dis qu’on travaillait pour l’ambassade.
- Mais t’es con ou quoi ? Ah, j’ai bien fait de t’emmener, si j’avais su !
- C’est si grave que ça ?
- Quand le coup sera fait, il y a combien de chances pour qu’elle aille à la police et dire « Ben moi quelques jours avant, il y a deux mecs qui m’ont proposé un truc… » Hein, il y a combien de chances ?
- Pas beaucoup ! 10% peut-être !
- Ben 10 % c’est trop. Bon il nous faut une autre adresse maintenant.

Et ils s’engouffrent dans une voiture immatriculée en corps diplomatique dont j’ai relevé le numéro.

- Ben voilà autre chose ! Tu crois vraiment que je risque quelque chose.
- J’en sais rien, mais je peux me renseigner !
- Te renseigner ? Comment tu vas faire pour me renseigner.
- Je suis fonctionnaire de police, disons à un certain niveau, donc je peux me renseigner.
- Tu m’avais jamais dit ça !
- On n’avait jamais eu l’occasion d’en parler… Tu sais je crois qu’il ne faut pas perdre de temps, Je connais un type qui est susceptible d’intervenir dans ce genre d’affaire, je vais le contacter de suite. Je te tiendrais au courant, je peux repasser demain ?
- Oui, je vais te dire… 11 heures ça fait trop tôt ?
- 10 h 30, je préférerais. Bon on se fait une petite séance ?
- Bien sûr !

Alexis n’est pas vraiment maso et il est à peine soumis. Son truc c’est les odeurs corporelles, les pieds, le cul… un jour il a voulu me lécher les aisselles, ça n’a pas duré longtemps, je suis trop chatouilleuse.

- Tu ne bandes pas, aujourd’hui ? C’est à cause de cette histoire ?
- Mais non ! Vous allez bien m’exciter… Comme d’habitude !
- On commence par quoi ?
- Vos pieds, maîtresse ! Chanette22a1

Je m’installe dans le fauteuil après avoir retiré mes bottes. Il se met à genoux à mes pieds (c’est le cas de le dire). Je lui tends le droit.

Et c’est parti !

- Pas de chatouilles, hein ?

Il ne répond pas, il a mon gros orteil dans la bouche, il le suce comme il le ferait d’une petite bite. Je le lui ai fait remarquer une fois, mais il a ignoré mon allusion. Sa bisexualité est sans doute latente comme chez beaucoup d’hommes mais bien refoulée.

Il me suce ensuite l’ensemble des doigts de pieds et comme je commence à avoir des crampes, je lui tends l’autre jambe. Ça le fait bien bander, l’animal, il a d’ailleurs un bien belle bite, je l’avais déjà remarqué. Je n’ai pas par principe de relations sexuelles avec mes clients, mais toutes règles possède ses exceptions, et puis il n’est pas interdit de s’amuser, je me dis alors que peut-être…

Bon c’est que j’ai les pieds tout baveux désormais. Il serait peut-être temps de passer à d’autres distractions.

- Stop ! Mets-toi à plat ventre !

Pendant qu’il obtempère, j’enlève ma petite culotte, je la lui fous sous le nez. Il est aux anges le bonhomme !

Je m’assois sur son visage, pas trop fortement quand même, le but de l’opération n’étant pas de l’écrabouiller. Mon trou du cul juste au-dessus de son nez…

Je pousse très légèrement afin de mieux dégager l’odeur. L’autre s’en fout plein les narines. L’opération comporte un petit risque, il m’est arrivé pendant ce genre de chose de lancer une flatulence. L’expérience a un côté intéressant car un soumis reste toujours un soumis, il ne protestera pas vraiment mais me fera savoir de façon indirecte si l’incident lui a déplu ou non.

- T’as le droit de lécher un peu !

Il n’attendait que ça et me lèche la rondelle avec avidité, du coup ce que je voulais éviter arriva, je lui pète en pleine poire, il n’en a cure et continue, mais moi j’ai des crampes, je me redresse.

- L’odeur de votre cul est divin !
- Divine !
- Bien sûr, où avais-je la tête ?
- Sous mon cul !

Du coup on rigole, qui a dit que les dominations étaient toujours morgues ?

- Tu bandes comme un cochon !
- C’est grâce à vous !

Putain sa bite, elle me nargue ! J’en ai envie ! Je suis sur le point de craquer.

- Tu veux jouir comment !
- Comme d’habitude ! Je vais me branler ! Euh, sur vos seins ?

Je me dépoitraille, ça ne m’engage à rien. J’ai failli prendre sa bite dans la bouche mais au dernier moment j’ai réalisé que si je faisais ça une fois avec lui, il me le demanderait systématiquement. Je l’ai donc laissé se masturber et éjaculer sur ma poitrine.

Du coup cela m’a permis de me réfugier dans la salle de bain pour mes passer une lingette non seulement sur les seins, mais entre mes cuisses où je me suis toute mouillée. Il est rarissime que ce genre de chose m’arrive au travail…

Quand il se rhabille, Alexis à l’air préoccupé, il me répond à peine, mais tient quand même à me confirmer qu’il va faire tout ce qui est en son pouvoir pour étouffer l’espèce d’arnaque à laquelle j’ai failli être mêlé, sans que cela ne me pose le moindre préjudice. Il est bien brave cet Alexis, un peu bizarre, mais bien brave !

Vendredi 9 Janvier

J’attends Alexis avec une certaine impatience, cette salade m’a beaucoup plus perturbé que je ne l’aurais cru et m’a fait passer une assez mauvaise nuit.

Encore une histoire de fous ? Probablement !

- Je ne fais que passer, mais rassurez-vous, tout est arrangé. Le Quai d’Orsay a demandé l’expulsion des deux diplomates.
- Ah, bon comme ça ?
- Ils étaient plus ou moins repérés, et catalogués indésirables, en fait ce sont des tueurs.
- Carrément !
- Oui, vous avez eu une sacrée chance !
- Je ne risquais pas grand-chose puisque je n’ai pas accepté leur combine.
- Ne croyez pas ça ! C’est le genre de bonhommes à éliminer les témoins, Comme en plus ils bénéficient d’une immunité de fait, ces types-là sont une véritable calamité.
- Ils l’auraient fait, vous êtes sûr ?
- Sûr non ! Mais disons qu’on a écarté un risque énorme !
- Et bien, je vous voudrais une reconnaissance éternelle.
- Vous savez, je n’ai pas fait grand-chose, j’ai juste donné un coup de fil.
- Oui mais vous ne l’auriez pas donné…
- Je n’ose y penser !
- Si je peux à mon tour vous rendre service, n’hésitez surtout pas.
- Je note ! Répondit-il avec un grand sourire.

Il s’en va. A 11 heures, j’ai fait un client, après je suis sortie manger un morceau.

L’histoire d’Alexis continue de me turlupiner. Après coup, j’ai quand même bien l’impression qu’il me mène en bateau. Il a peut-être entendu les deux prétendus diplomates parler de moi, mais le reste me parait peu crédible, il l’a probablement inventé pour se donner le beau rôle. Mais que faire, je n’allais quand même pas lui demander sa carte de flic à Alexis ! Tiens au fait, l’Isidore Machin qui devait me recontacter par téléphone ce matin ne l’a pas fait. Je ne comprends de moins en moins cette histoire !

Et d’abord c’est où le Bunga ? Le consulte mon smartphone, qui ne connaît aucun pays de ce nom, mais me raconte des choses sur de mystérieuses soirées bunga-bunga en Italie qui n’ont pas l’air tristes. J’ai peut-être mal orthographié le nom ou alors je n’ai pas bien compris.

J’attends Nœud-pap à 14 h 30. Nœud-pap (voir les épisodes précédents) fait partie des clients que j’aime bien. C’est un petit bonhomme d’une cinquantaine d’année toujours bien mis, correct, respectueux et intéressant. Il est le patron d’une boite qui vend et installe des salles de bains, Et d’ailleurs il m’a installé la mienne.

- Comment va mon petit suceur de bites ? Lui dis-je en l’accueillant.
- Ça va, ça va !
- Dis donc, toi qui est calé en géographie, le Bunga, ça te dit quelque chose ?
- Le Bunga ? Ma foi, non !
- Ce serait en Afrique !
- Non, il n’y a aucun pays de ce nom.
- Bizarre !

Il ne me demande pas pourquoi je lui pose cette question, il est d’une discrétion rare, Nœud-pap ! N’empêche que cette affaire de Bunga est de plus en plus étrange.

- J’ai un client à 16 heures, il ne sera peut-être pas contre faire des trucs avec toi, tu attends ou tu repasses.
- Je vais repasser, je sonnerai vers 16 h 15, tu me diras si c’est possible, sinon, je passerais mardi.

Et me revoilà toute seule.

Bon, ça me travaille, ça me travaille, cette histoire d’Alexis et de son pays Bunga qui n’existe même pas. Mais comment démêler ça ? Je dois avoir le numéro de téléphone d’Alexis sur mon portable, mais je ne vais pas l’appeler, ce n’est pas mon genre. Sauf s’il m’en donne explicitement l’autorisation je respecte l’intimité du client. Il me faudra donc attendre que ce cornichon m’appelle si je veux espérer en savoir plus… S’il m’appelle…

A 16 heures je reçois Thomas, ce doit être la troisième ou quatrième fois qu’il vient. Grand amateur de gode anal, je lui ai proposé d’essayer une vraie bite. Il n’a dit ni oui ni non, mais aujourd’hui je vais peut-être pouvoir essayer de lui faire franchir le pas, si toutefois Nœud-pap se décide à arriver. Qu’est-ce qu’il fabrique celui-ci, il devrait être là !

Je le laisse se déshabiller ; quand je réapparais j’ai les seins à l’air et la taille ornée d’un joli gode ceinture bien réaliste.

- A genoux, salope !
- Oui, maîtresse !
- Suce-moi la bite !

Il se jette dessus comme la pauvreté sur le monde, l’engloutissant comme un sauvage.

- Non pas comme ça, je t’ai montré l’autrefois comment il fallait sucer ! Tu n’as pas de mémoire ?

Et tout en lui parlant je lui tords les tétons, du coup le voilà qui bande comme un sapeur.

- Je voulais te punir, mais apparemment ça te ferait plutôt l’effet inverse. Tourne-toi, je vais te rougir le cul.

Au premier coup de cravache, il sursaute comme un cabri, je n’en ai cure et lui en assène neuf autres. Il encaisse, mais il a « dégusté ».

- Maintenant, tu suces correctement, petite salope !

La punition a porté ses fruits et il s’applique

On sonne. Je fais entrer Nœud-pap.

- Je suis un peu en retard, j’ai voulu vous prévenir, mais votre portable ne répond pas.
- Tu sais bien que je ne réponds jamais quand je suis en séance.

Thomas fait une drôle de tête et tente de cacher sa nudité.

- Enlève tes mains de là, on ne va pas te la voler ta bite !

Nœud-pap va pour se déshabiller, je l’en dissuade.

- Non, pose juste ton chapeau et ton manteau.

Je tords les tétons de Thomas, sachant que cela va redonner de la vigueur à sa bite.

Il est rigolo Nœud-pap il lorgne sur la bite de Thomas avec concupiscence.

- Comment tu la trouves ?
- Elle est belle !
- T’aimerais bien la sucer, hein ?
- Oui, maîtresse !
- Vas-y, suce là !

Il se baisse pour le faire, Thomas recule instinctivement.

- Toi tu restes tranquille, il va te sucer, il ne va pas te mordre.
Chanette22a2
Nœud-pap a pris la bite dans sa bouche, je lui ai appris à sucer correctement et il bien retenu la leçon, ne se contentant pas de faire aller et venir le sexe dans sa bouche, mais sollicitant simultanément les lèvres et la langue, celle-ci s’attardant longuement sur la base du gland et sur le méat.

- Stop ! Ça suffit pour le moment ! Déshabille-toi ?
- Oui, maîtresse !
- Alors ? Il t’a bien sucé demandais-je à Thomas.
- Oui, oui, murmure-t-il en baissant les yeux.
- Et ben dis donc ce n’est pas le grand enthousiasme. S’il ne t’a pas bien sucé, je vais être obligé de le punir.
- Ce n’est pas ça, maîtresse, je suis un peu… un peu…
- Un peu quoi ?
- Je veux dire c’est nouveau, faut que je réalise…
- Eh ben, tu n’es pas au bout de tes surprises.

Nœud-pap est à présent complètement nu, mais il bande plutôt mou, je lui martyrise un peu les tétons pour remédier à la chose, mais je réalise que Thomas se met à débander.

C’est que je n’ai pas quatre mains, moi ! Je fais donc mettre mes deux bonhommes face à face et je leur demande de s’occuper respectivement de leurs pointes de seins. Ça ne gêne pas outre mesure Nœud-pap à qui j’ai déjà demandé ce genre de fantaisie, mais il faut voir la tronche de Thomas qui a l’air de se demander où il est tombé.

- Serrez-vous plus fort, mais sans les ongles !

A présent me deux soumis rebandent correctement. C’est le moment décisif ! Je fais mettre Thomas à genoux. Il attend l’ordre, fébrile, il n’a d’ailleurs pas à attendre longtemps :

- Suce ! Suce-lui sa bonne bite !

Un très court instant d’hésitation, il doit se demander comment il peut encore temporiser. Mais c’est trop tard, à moins d’une grosse crise subite qui le ferait s’enfuir en courant et en laissant tout tomber, mais je n’y crois pas.

Sa langue s’approche, fait sa timide, les lèvres se resserrent, et ça y est, il suce sa première bite (à moins qu’il m’ait menti !)

- Tu t’appliques, tu fais comme je t’ai montré avec le gode.

Il le fait, il est complètement dans son fantasme, son propre sexe est bandé comme un arc. J’ai alors l’idée de faire se coucher par terre et légèrement de côté mes deux soumis afin qu’ils accomplissent un soixante-neuf. Je les laisse ainsi environ cinq minutes.

- Stop ! Tout le monde debout. Alors ça t’a plu ? Demandais-je à Thomas.
- Oui, maîtresse !
- Dis-moi ça mieux
- J’ai bien aimé sucer cette bite maîtresse.
- Tu recommenceras ?
- Oui, maîtresse ! Répond-il sans l’ombre d’une hésitation.
- Bon tournez-vous tous les deux, je vais un peu m’occuper de vos fesses, ce n’est pas une boite gay ici, c’est un donjon.

Je prends une cravache et je leur fouette le cul alternativement pendant quelques minutes, leurs fesses virent rapidement au rouge rosé.

- Bon, allez, demi-tour, on passe à autre chose, remettez-vous en face l’un de l’autre et pincez-vous les tétons comme tout à l’heure !

J’attends donc que ces deux sympathiques soumis soient de nouveau bandés au maximum, je n’ai d’ailleurs pas à attendre bien longtemps.

- Et maintenant, tu sais ce qui va t’arriver ! Narguais-je Thomas.
- Euh, la prochaine fois, maîtresse !

Il n’a pas vu venir la gifle.

- Tu en veux une autre ?
- Non maîtresse !
- Qui c’est qui commande ici ?
- C’est vous, maîtresse !
- Alors dis-moi ce qui va t’arriver ! Et ce ne sera pas la prochaine fois, ça va être maintenant !

J’adore ces moments-là ! Je ne l’oblige à rien, il n’est pas prisonnier, et peut partir quand il veut. Je ne le domine que par jeu, il peut le faire cesser… mais je sais qu’il n’osera pas !

- On va peut-être juste essayer ? Murmure-t-il.
- On va essayer quoi ?
- De me la mettre.
- Te la mettre où ça ?
- Dans mon cul, maîtresse !
- Et il va te mettre quoi dans son cul ?
- Son sexe !
- Eh, oh, on n’est pas chez le sexologue, ici, alors tu vas me redire tout ça avec les mots que je veux entendre.
- Il va m’enculer, maîtresse ! Dit-il en baissant la tête.
- Ah, ben quand même !

Je tends une capote et un carré de gel à Nœud-pap :

- Allez, tu lui tartine le cul et tu l’encules, cette salope !
- Oui Maitresse !

J’ai confiance en Nœud-pap, ça va bien se passer, ce type est charmant et très correct. Et puis il y a autre chose, il sait que si tout se déroule correctement, on invertira les rôles… Et pour lui ce sera la fête.

Ça a un peu de mal à entrer, le sexe de Nœud-pap n’a rien de monstrueux mais le cul de Thomas est vraiment étroit, n’ayant connu que quelques rares godemichets.

Je passe derrière Nœud-pap et lui serre fortement les tétons de façon à ce que sa queue reste bien raide.

- Toi, ouvre-toi bien, ça va rentrer !
- Humpf ! Aaah ! Humpf

C’est donc rentré, et Nœud-pap se livre à des allers et retour bien saccadés.

- C’est bon, on arrête ! Proteste Thomas.
- Continue de l’enculer, ne t’occupe pas de ce qu’il raconte !
- Non, non…

Mais les protestations s’estompent et finissent par disparaître, Thomas fait désormais entendre un tout autre son :

- Han, han, c’est bon !
- C’est bon de se faire enculer ?
- Oui maitresse ! Aaaah ! Ayawawaaah !

Qu’est-ce qu’il raconte ?

Nœud-pap ralentit, me fait un signe de la main. J’ai compris que s’il continue, il va jouir. Je pourrais bien sûr passer outre et lui dire de continuer, après tout, c’est moi, la maîtresse, non ? Mais j’aime bien faire plaisir à Nœud-pap, je sais qu’il souhaite autre chose. Je lui fais donc signe de s’arrêter.

Thomas reprend ses esprits, manifestement, il est satisfait de cette expérience. Encore un à ajouter à la longue liste de ceux qui se sont fait dépuceler le trou du cul dans mon studio !

- Alors ça t’a plus ? Demandais-je à Thomas.
- Oui, ça fait mal au début, mais après c’est bien.
- Tu recommenceras !
- Oui, à l’occasion.
- Maintenant on inverse les rôles !

C’est effectivement ce que Nœud-pap attendait, Thomas n’a pas trop l’air emballé par cette perspective, mais je m’empare de sa bite et la masturbe vigoureusement pour la faire rebander. Ça le fait mais ça pourrait le faire mieux, alors je fais quelque chose d’assez rare dans mes pratiques professionnelles, je lui fous sa bite dans ma bouche. Effet quasi immédiat, le voilà qui bande comme un âne, une capote, il est prêt à l’emploi.

Thomas qui doit quand même se demander dans quel traquenard il est tombé cet après-midi ne tarde pas à sodomiser Nœud-pap. Je me glisse en dessous de ce dernier et le suce pendant qu’il reçoit les assauts de son partenaire. (Comme ça il n’y aura pas de jaloux)

Quand je sens qu’il va jouir, je stoppe ma fellation et je reçois tout sur mes seins, tandis que Thomas toujours dans le cul de Nœud-pap se met à prendre son pied en râlant bizarrement.

- Et bien voilà ! Messieurs, c’était chouette, non ?

Ils approuvent, Nœud-pap avec un certain enthousiasme, Thomas, lui est un peu plus confus.

- Vous pourriez peut-être vous embrassez après tout ça, ça se fait entre gentleman.

Thomas me regarde bizarrement, mais les deux hommes s’embrassent chastement et rapidement, les lèvres dans le vide.

- Non pas comme ça, sur la bouche voyons !

Ils hésitent mais se prêtent au jeu ! C’est quand même très rapide.

- Tu piques ! proteste Thomas.

Tout le monde se marre.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 16 septembre 2017 6 16 /09 /Sep /2017 18:21

Ma femme me trompe d'une manière bien crade
par Roger01

scat
Attention texte contenant de la scato explicite

Bonjour, je m'appelle Roger, j'ai 41 ans et je suis marié à une femme prénommée Anne qui a 36 ans. Je suis un adepte des sites de cul sur internet et en particulier l'extrême (uro, scato…), tout le contraire de mon épouse qui malgré qu'elle soit chaude et qu'elle aime le cul, trouve cela dégueulasse et me le répète assez souvent.

Sauf qu'un jour l'histoire qui va suivre va nous démontrer le contraire et vous prouver que ma femme cachait bien son jeu et qu'elle était en réalité une véritable cochonne adepte du hard-crade.

C'était un mardi…

Tout d'abord, je plante le décor : nous habitons un petit village de 1200 habitants au centre de la France, je suis grand (1 m 77), brun, les yeux verts et une queue pas bien grosse. Mon épouse elle, est châtain, mesure 1 m 72, un peu forte (trois grossesses l'y ont aidées), a les yeux bleus, de gros seins qui pendent avec des gros bouts, un cul bien large et une chatte vachement velue.

Dans ce village, elle a une amie d'une cinquantaine d'année qui se prénomme Karine, elle-même mariée à un chauffeur routier répondant au doux nom de Max.

Voilà le décor est planté !!! Donc ce jour-là, en rentrant du boulot assez crevé, j'étais monté dans notre chambre faire une petite sieste, puis réflexion faite, j'étais parti dans notre bureau pour surfer un peu, ma femme qui préparait le diner pour la famille croyait que je dormais. Lorsque je suis redescendu du bureau, elle me dit :

- Chéri, Karine vient juste d'appeler au téléphone, il n'y a pas 5 minutes, et elle voudrait que je passe ce soir vers 20 h 30 chez elle pour l'aider à préparer sa réunion Tupperware.

Jusque-là pas de problèmes, sauf que 5 minutes avant j'étais sur internet et donc la ligne était occupée, (c'était avant l'ADSL !) alors impossible que Karine ait pu appeler. C'est là que j'ai eu la puce à l'oreille et que je me suis dit qu'Anne allait sans doute autre part que chez Karine et Max. J'ai fait O.K., mine de rien et on est passé à table. Une fois les gosses couchés, elle s'est préparée, et m'a dit de ne pas l'attendre car elle rentrerait surement très tard, peut être vers les 1 ou 2 heures du matin.

Je ne suis pas chiant, je la laisse faire ce qu'elle veut, mais j'aime bien savoir…

La voilà partie, je lui laisse 2 minutes d'avance et je sors à mon tour, la suivant de loin, je m'aperçois, à mon grand étonnement, qu'elle se dirige tout droit vers la maison de sa copine et sonne à la porte.

Je replante un deuxième décor, ses amis habitent à 500 mètres de chez nous, dans une maison de bourg à étage avec une petite cour fermée sur le derrière de la maison. Sur cette cour à l'abri des regards, donne une partie du salon, les fenêtres des WC et de la salle de bain et une fenêtre de chambre qui est la leur.

En escaladant un peu je me retrouve dans leur cour et me dirige vers la seule fenêtre éclairée : la baie du salon. Les rideaux sont tirés, mais pas les doubles rideaux donc je vois tout ce qui se passe à l'intérieur du salon. Il y a Karine assise sur une chaise d'un côté de la table, Anne assise de l'autre côté, et Max est debout entre les deux. Tous trois discutent, je ne peux pas entendre car la fenêtre est fermée, mais cette conversation a l'air d'être normale jusqu'au moment où je vois Max trifouiller dans sa braguette et sortir devant les deux femmes qui le regardent, une pine énorme, noueuse, avec un très gros gland à moitié décalotté, d'où suinte une goutte de liquide blanc. Les couilles en dessous, pendent monstrueusement grosses et lourdes.

Je suis estomaqué, surtout par l'air bizarre qu'a pris ma femme en voyant cet énorme gourdin, elle a la bouche entrouverte, les yeux exorbités et sa langue passe doucement sur ses lèvres sans s'arrêter. Max dit quelque chose que je n'entends pas et Anne approche sa main de la bite du routier, commence à la caresser, elle est vraiment énorme car la main de mon épouse n'en fait pas le tour et quand elle passe son autre main au-dessous des couilles pour les soupeser, les deux roupettes débordent littéralement de sa paume. Karine pour sa part, n'a pas bougé et les regarde avec un sourire vicieux.

Moi je n'en mène pas large et j'ai très mal, mais cette situation me noue l'intérieur des tripes et je sens ma petite bite réagir à ce qui se passe devant mes yeux. Anne se penche doucement vers la grosse bite et commence à lécher le très gros gland, l'enduisant rapidement de salive, passant de plus en plus vite de la tige noueuse au gland et aux couilles, elle la branle en même temps et masse les grosses burnes, qu'elle gobe même à un moment.

Max lui a la tête rejetée en arrière et ferme les yeux sous le plaisir de la caresse de mon épouse surtout lorsque cette salope se met à le pomper goulument. Avec une de ses mains, il soulevé le pull de ma femme et masse ses gros nichons lourds et laiteux. Il les sort du soutien-gorge et les pelote sans ménagement. Ma femme a l'air d'apprécier car elle interrompt sa pipe pour gémir de plaisir.

Karine finit par se lever et entreprend de se dessaper, elle est plus ronde que mon épouse, et ses nibards son énormes (facile 120 cm) sa chatte est très poilue comme celle de ma femme, le genre de cramouille si velue qu'elle déborde de chaque côté de la culotte, elle a également un gros cul blanc.

Une fois déshabillée, elle se positionne à côté d'Anne pour l'aider à pomper la grosse trique de son mari. Lui, entretemps a viré son haut et viré aussi son falzar, bref il est à poil comme sa femme. Anne lâche à regret la bite pour se dévêtir elle aussi et moins d'une minute après la voilà à poil, nichons, chatte et cul a l'air. Elle se remet à bouffer la grosse pine de concert avec sa copine qui lui caresse son gros cul en même temps, je vois même ces deux salopes se rouler un patin tellement baveux que la salive leur coule sur le menton, ces cochonnes se crachent et se bavent littéralement sur la tronche. Max en profite pour passer derrière ma pute de femme et lui carre direct sa grosse bite tendue dans sa chatte ouverte et baveuse. Elle est en levrette et Max l'attrape par sa grosse croupe laiteuse et se met à la bourrer avec frénésie. Ma femme se met direct à couiner comme une truie qu'on égorge, elle crie, la bouche grande ouverte, pendant que Karine au-dessus, lui crache dans la bouche.je suis saisi par cette scène d'une extrême vulgarité car maintenant j'entends mieux vu que tous les trois ont largement haussé le ton.

- Oh putain ma grosse chienne tu es vraiment bonne de la moule salope !!!! Ta grosse chagatte m'aspire le gland !! T'est qu'une salle morue, un garage à bite, comme Karine, oooohh oui c'est trop bon ta cramouille poilue !!! Pérore Max.
- Aah ouiie défonce moi avec ta grosse bite salaud !!! Humm ourhhglups gloups Répond Anne en avalant les crachats de Karine) c'est trop bon ouiiiiiiii !!!!
- Alors salope, trainasse, lopette, t'aime ça te faire bourrer le trou qui pisse par mon mari pendant que je te crache dans le bec ! Allez, grosse truie avale mes crachats, tu préfèrerais peut-être mon urine bien jaune ? Hein ? Répond pétasse ! Intervient Karine
- Oh oui, mais je voudrais que Max me casse mon gros cul, qu'il me prenne dans ma merde, pendant que je boirais ta bonne pisse. Répond ma charmante épouse.

Je peux vous dire que ma petite bite faisait des bonds dans mon slip mais je ne voulais pas me toucher trop car j'aurais juté direct.

Max sort sa grosse matraque du con gluant d'Anne et présente son gros gland mauve à l'entrée du trou à merde de ma femme. Elle avec ses deux mains elle écarte au maximum sa large croupe et Max fait pénétrer sa pine à l'intérieur du trou du cul de mon épouse, ce qui a pour effet à nouveau de la faire couiner. Max entreprend son va-et-vient, d'abord doucement puis plus rapidement, la salope gueule littéralement sans retenue, ses meules laiteuses ballottent lourdement sous elle et Karine approche sa chatte poilue de la bouche de ma femme.

Cette salope ouvre grand sa bouche, sort sa langue et se met à dévorer cet énorme barbu gluant en grognant comme une chienne, très vite la mouille abondante et mousseuse de Karine lui inonde le visage et remplit sa bouche. Karine ondule son énorme derrière pour bien frotter sa chatte sur la bouche d'Anne. Max lui besogne toujours ardemment le conduit merdeux de ma femme, il va tellement profond, il l'encule tellement fort que lorsque parfois son gland ressort, il est couvert de la merde d'Anne. C'est très crade, mais très excitant.

De l'autre côté, Karine commence doucement à pisser et Anne gobe voracement les premières giclées de pisse jaunes et odorantes qui sortent de la chatte poilue de son amie.ma femme boit et avale tout ce qu'elle peut de la pisse qui lui dégouline dans sa bouche grande ouverte, et il y en a bon sang, on dirait que Karine ne va jamais s'arrêter de pisser
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Max finit par jouir et sort sa bite couverte de merde, il la donne à lécher à ma femme qui nettoie tout bien consciencieusement. Je n'en reviens pas. Mais le festival crade n'était pas terminé, Karine revient s'accroupir de nouveau au-dessus de ma femme et se met à pousser. Un gros étron ne tarde pas à sortir de son gros cul pour aller atterrir sur le visage de ma femme. Les deux femmes s'amusent ensuite à s'étaler toute cette merde partout sur le corps en se masturbant la moule.

Après je n'ai plus rien vu puisque ces messieurs dames ont gagné la salle de bain.

Je rentre à la maison, je n'ai pas sommeil et ne sais comment gérer la suite. Je pense à me branler mais je préfère attendre qu'Anne revienne pour que je l'encule ! Ça lui apprendra !

A 1 heure du matin Anne débarque comme une fleur.
- Alors c'était bien cette réunion Tupperware ?
- Quelle réunion Tupperware ? Tu crois qu'on ne t'a pas vu t'exciter derrière la fenêtre !
- Mais quoi ?
- Tu sais ce que tu vas faire ? Karine et Max sont là derrière la porte, tu vas te déshabiller et Max va t'enculer devant moi et ma copine, d'accord ?
- Comme tu voudras ma Chérie !

Post face de l'expéditeur.
Cette histoire a été publié en 2010 sur ce site. Je ne sais d'où ça sort mais elle n'est pas récente puisque datant d'avant l'ADSL. La publication d'origine a été fait sans aucune correction. J'ai donc remanié ce texte, corrigé les fautes de toutes sortes, enlevé les lourdeurs (du moins les plus grosses) et ajouté la conclusion manquante.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 18 août 2017 5 18 /08 /Août /2017 18:54

Le cadeau de Bettina par Cosi-cosa

scat

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS
EXPLICITES

Bettina et moi sommes ensembles depuis quelques mois et nous entendons plutôt bien surtout sur le plan sexuel puisque nous avons beaucoup de fantasme en commun. Bettina est une belle jeune femme, une vraie blonde de mère allemande avec et des beaux yeux bleus.

Je ne m’attendais pas qu’elle m’offre ce cadeau dont je vais vous parler.

Le 24 juin jour de la Saint Jean est également celui de mon anniversaire, ma copine avait invité à la maison l’une de ces collègues qui se prénomme Rachida. Rachida est grande beurette, elle m’en avait souvent parlé mais on ne me l’avait jamais présenté

- Quand Rachida arrivera, me dit Bettina, tu nous filmera toutes les deux avec la caméra !
- Mais mon ange je ne sais comment filmer ?
- C’est pas grave, fait de ton mieux : Me rassura-t-elle.

A 19 heures Rachida sonne, elle a apporté des fleurs pour Bettina et une bonne bouteille de Morgon pour le repas du soir que nous devions prendre ensemble

- On va faire ce qu’on avait dit, on mangera à 20 heures,

Je pris la caméra et les deux femmes commencèrent à s’embrasser. Les voir ainsi se bécoter profondément avec la salive qui leur dégoulinait du menton me donna envie de me branler.

Puis Rachida enleva son petit haut, puis son soutien-gorge rouge et demanda à Bettina de lui sucer ses seins. Sans hésiter cette dernière commença lentement, puis plus rapidement à lui lécher sa jolie poitrine. Elle finit ensuite de se déshabiller afin que ma copine puisse accéder à sa chatte poilue

- Ça vous dérange si je me branle en vous regardant !
- Non ! Mais ce serait dommage ! Retiens-toi, tu auras peut-être une surprise tout à l’heure !

Elle rentra le majeur dans la chatte de Rachida qui criait comme une damnée et suppliait Bettina de continuer.

Les filles décidèrent de continuer dans la chambre, elles étendirent une grande serviette de bain sur le lit, puis Bettina se déshabilla à son tour avant de sortir le godemichet de la table de nuit. Elle le fit pénétrer délicatement dans la chatte de Rachida.

Celle-ci se mit à jouir bruyamment en mouillant abondamment ses cuisses, elle se laissa ensuite aller complétement et se mit à pisser (heureusement qu’elles avaenit pensé à la serviette de bain).

Bettina en bonne gourmande ouvrit la bouche et avala plusieurs lampées de la bonne pisse de son amie. J’en aurai bien gouté un petit peu mais on ne me le proposa pas.

Rachida mouillait les seins de Bettina avec ses mains pleine de pisse et ensuite les léchait comme des friandises.

Bettina reprit le gode mais l’introduisit cette fois dans le trou du cul de Rachida et le fit aller et venir jusqu’à ce que la beurette hurle de plaisir.

Le gode ressortit maculé de merde et les deux femmes s’amusèrent à le lécher ensemble afin qu’il redevienne propre.

Bettina se coucha ensuite sur le dos et Rachida l’enjamba, le cul tourné vers le visage de sa complice de jeu, offrant à ma vue un fessier somptueux.

Je la vis pousser, puis un gros boudin sortit de son anus embaumant la chambre d’une odeur subtile. Le caca de Rachida tomba sur la poitrine de Bettina et les deux femmes s’amusèrent à s’en étaler partout sur le corps et même sur le visage. Bettina tartina ainsi les seins de Rachida avant d’en nettoyer le téton de sa langue.
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Ce petit jeu dura quelques minutes, puis Rachida se mit en levrette. C’est à ce moment que Bettina, me dit :

- Maintenant tu peux l’enculer !

Je me déshabillais très vite et approchait ma queue tendue de ce trou du cul que personne n’avait nettoyé et la pilonnait comme un sauvage.

- Vas-y encule la bien ! m’encourageait ma douce !

Quand j’eu pris mon plaisir les deux cochonnes se bousculèrent en rigolant, chacune voulant me nettoyer ma bite maculée de sperme et de merde.

On a mis la serviette au sale, on s’est douché, on s’est rhabillé et on a été boire l’apéro en attendant le traiteur.

Merci Bettina pour ce beau cadeau !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Vendredi 18 août 2017 5 18 /08 /Août /2017 17:02

Claudine, la secrétaire de mon père par Boris Vasslan

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Cette histoire est une commande de « Pit », un de nos lecteurs qui m’a demandé de lui écrire une histoire sur la base de trois lignes de scénario. Cela m’a formidablement amusé de l’écrire, mais il est vrai qu’on est ici un peu loin de mes préoccupations habituelles

Voilà, je suis Pit, je travaille dans le bâtiment, je suis grand (1 m 80 pour 80 kg) j’ai les cheveux bruns et suis modérément musclé.

Ce jour-là je revenais d’un chantier, je gare mon camion dans la cour, il est près de 18 heures 30, j’ai été retardé, et à cette heure il n’y a normalement plus personne dans les bureaux. J’étais donc très étonné de constater que la lumière du secrétariat était allumée. Du coup j’eu envie d’aller y jeter un coup d’œil, Claudine est là ! Mon dieu qu’elle est belle !

Depuis quelques temps je fantasme pas mal sur la secrétaire de mon père, elle se prénomme Claudine, c’est une très jolie femme souvent en tailleur, les cheveux noirs, assez grande (1,75 m pour 60 kg) la poitrine est plutôt moyenne (du 90 B si je ne me trompe pas) mais le fessier est assez large (j’adore de toute façon)

- Bonjour Claudine !

J’ai soudain conscience que nous sommes seuls tous les deux dans la boite, oh, je ne me fais aucune illusion, mais si elle acceptait de me faire juste un peu la conversation cela suffirait à mon bonheur.

- Bonsoir Pitt ! Vous aussi vous faites des heures sup !
- Oui un truc à finir, et on a eu des petits problèmes.
- Il y a des jours comme, ça, moi c’est pareil, toute ma saisie comptable de la journée s’est envolée, il a fallu que je me retape tout et puis après c’est le disque qui….

Elle me saoule, je n’entends rien de ce qu’elle me raconte, je préfère m’attarder sur son visage, sur ses yeux, sur sa bouche ! Tout en me racontant ses malheurs je la vois fermer son PC… Je comprends qu’elle se prépare à partir !

- Bon c’est pas tout ça, il faut se rentrer !
- Je vais y aller aussi ! Répondis-je un peu contrarié que l’on se sépare déjà.

Et puis soudain, le miracle !

- Au fait Pitt, vous êtes pressé ?

Je ne sais pas si vous vous imaginez ce que ça fait, une femme qui vous demande si vous être pressé, déjà mille idées viennent trotter dans ma pauvre petite tête, que va-t-elle me proposer, un pot au bistrot du coin, mieux peut-être, j’en suis déjà tout chose.

- Non, non j’ai tout mon temps !
- Parce que voilà, je vous demanderais bien un service, j’ai acheté un tableau pour ma chambre, et j’ai mal pris les mesures, il faudrait que je déplace un peu mon armoire, oh, juste cinquante centimètres mais je ne peux pas faire ça toute seule !

Oups !

Me voici partagé, le petit côté qui m’embête c’est que sa proposition se résume à une demande de service… mais d’un autre côté, j’ai oublié d’être idiot, si elle me demande ça à moi, c’est qu’elle n’a pas de petit copain d’attitré, et puis surtout je vais aller chez elle… et qui sait ce qui pourrait arriver.

Affaire conclue, et nous y allons dans nos deux voitures respectives, elle n’habite pas du tout dans mon coin, mais qu’importe. Des tas de questions se précipitent dans ma tête tandis que je suis au volant. A-t-elle été la maîtresse de mon père ? Et en me proposant de venir l’aider à déplacer ce meuble a-t-elle ou non des arrières pensés ? Parce que si je n’étais pas rentré si tard du chantier, qui c’est qui lui aurais déplacé son meuble ? Bref ! On entre dans une petite résidence, et il y a de la place pour nous garer.

On pénètre dans son hall, elle fait comme tout un chacun, et ouvre sa boite aux lettres, d’où elle extrait un petit paquet, elle a l’air contente !

- Une livraison des Trois Cuisses ! Me dit-elle. Pas vraiment pressés ces mecs-là !

Je rigole car j’ai bien cru entendre les trois  » Cuisses « , mais je ne relève pas, parfois on ne sait pas trop quoi dire …
Elle pose le paquet négligemment sur la table basse du salon, puis me fait très rapidement le tour du propriétaire. Du linge sèche sur le balcon, ce ne sont que des vêtements féminins, voici qui me conforte dans ma certitude qu’elle est bien célibataire. Mais arrivé à la chambre, je suis surpris d’apercevoir que le lit fait à la hâte, comporte deux oreillers ! Voici qui est bien mystérieux… Je suppose donc que son copain doit venir de temps en temps sans habiter ici… Mais pourquoi ne lui a-t-elle pas demandé à lui de le pousser ce meuble, voilà que je deviens jaloux à présent ! Ou alors, il a un petit souci, il ne peut peut-être pas faire d’efforts physiques, aller savoir ? Mais alors au lit ça doit poser des problèmes…

- Bon, voilà, il faudrait pousser cette armoire, là !

Et là voilà qui retire sa veste de tailleur et ses chaussures, comme si elle s’apprêtait à m’aider. C’est dommage pour les chaussures, je trouve que les escarpins ça fait des jolies jambes. Allons-y, je pousse l’armoire, assez difficilement. Qu’est-ce qu’elle collectionne là-dedans pour que ce soit aussi lourd ?

- Super ! Du coup, on va peut-être accrocher le tableau, je vais chercher un marteau et la boite à clou !

Me voici seul un court instant, je prends le tableau, le retourne, c’est un nu, superbe, un joli jeu de lumière sur un modèle magnifique avec des formes là où il en faut… Alors, récapitulons une nana, qui vit avec un mec qui n’est pas foutu de déplacer une armoire et qui me demande d’accrocher un tableau de nu féminin dans sa chambre ! J’ai du mal à suivre, vraiment !

- Il est pas mal, hein ? Comment vous le trouvez ?
- Très joli !
- Forcément, vous les mecs, à chaque fois que vous voyez un corps de femme, vous vous imaginez en train de vous la faire, ce n’est pas un peu vrai ?

Elle m’embarrasse avec ses réflexions, si elle trouve que c’est un truc de macho pourquoi l’accroche-t-elle dans sa chambre ? Ah je crois avoir compris, ce doit être pour faire plaisir à son jules ! Mais qu’est-ce que je suis venu foutre ici moi ?

- Vous savez ! Répondis-je. Je suis un homme, alors quand je vois une belle femme, en vrai ou pas, ça me fait une réaction, mais ce n’est pas pour ça que je ne respecte pas les femmes.
- Vous allez pouvoir le mettre là-haut, le clou ? Ou vous avez besoin d’une chaise ?
- Avec une chaise ce sera plus facile, oui.

Quelque part, ça me chagrine qu’elle n’ait pas continué cette discussion sur le sexe… La voici qui revient avec un tabouret, je monte dessus, je plante son clou, je fixe le machin, je redescends, ça rend bien !

- Superbe ! Dit-elle.

Et puis ça m’est venu comme ça d’une traite :

- Vous savez, Mademoiselle Claudine, ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne puisse jamais parler de sexe entre homme et femme, je veux dire en parler de façon décontractée, comme on parlerait de restaurant ou de cinéma…

Je n’en reviens pas de ma réplique, du coup je suis un peu confus et je prépare déjà la petite phrase de prélude à mon départ…

- Mais Pit, rien ne nous en empêche ! Voyez-vous il y a deux façons de parler sexe, la première consiste à ne pas en parler et à tout suggérer. C’est le cas par exemple du mec qui m’emmène au restaurant, il me propose un dernier verre, il me fait un cérémonial alors qu’il a envie de me baiser depuis le départ, cette façon-là je n’aime pas trop… Par contre si vous me parlez de vos goûts, je vous peux vous parler des miens, c’est bien plus cool…

Ciel ! Ais-je bien entendu ! C’est de la provocation ou quoi ?

- Vous voulez que je vous parle de mes goûts en matière de sexe ?
- C’est juste une proposition, honnête en plus, à vous de voir, et tiens je vais vous en faire deux autres de propositions, on va se boire un apéritif et on va arrêter de se vouvoyer, d’accord !

Elle me fait asseoir devant la table basse, et s’en va chercher l’apéro. Machinalement je regarde le paquet de la poste qui est resté là, sur la table. Je suis surpris de ne pas retrouver le sigle rouge du célèbre catalogue de vente par correspondance, je regarde mieux, c’est écrit assez petit mais des lettres capitales se détachent néanmoins, et il y a bien indiqué  » les Trois Cuisses  » ! Voilà qui est bizarre ! Claudine me surprend avec le paquet dans les mains.

- Alors, on est intrigué ! Je vais satisfaire ta curiosité, on va l’ouvrir mais avant on va trinquer, je n’ai plus que du Martini, ça ira !

Bien sûr que ça va ! Tchin, tchin et la voici qui défait son paquet, il y une boite rectangulaire et dedans un gode assez réaliste ! Je reste bouche bée !

- Ah ! Je voyais ça un peu plus grand, mais il est pas mal, qu’est-ce que vous en dites ? Pardon, qu’est-ce que tu en dis ?

Comment voulez-vous que je réponde ? Je bégaie, je balbutie, je bafouille.

- Pit, je vais te faire un aveu, je te trouve beaucoup de charme, mais je ne suis pas du genre à tomber comme ça dans les bras d’un homme. Veux-tu-vous jouer avec moi ? Tu ne le regretteras pas !
- Jouer à quel jeu ?
- Au jeu de  » c’est moi qui décide  »
- Et ça consiste en quoi !
- Ça veut dire que c’est moi qui décide de tout et que tu acceptes ce que je décide !
- On peut toujours essayer ! Répondis-je piqué par la curiosité.
- Pit, parle-moi de ce que tu aimes dans le sexe.

Elle m’embête, je ne vais pas tout lui raconter non plus, et puis ce n’est qu’un jeu, je peux très bien ne lui parler que ce que j’ai envie de lui dire.

- Je suis hétéro, j’aime bien les films x à la télé, j’aime bien quand il y a deux filles ensemble.
- C’est tout ? répliqua-t-elle en posant son regard sur le gode

La perche était un peu grosse mais je la saisis.

- J’aime bien aussi quand une femme joue avec un gode !
- Tu aimerais me voir jouer, Pit ?
- Je ne vais pas dire non !

Mais jusqu’à ce moment je ne pensais pas qu’elle parlait sérieusement

- Alors regarde ! Me dit-elle alors

Je n’en reviens pas, ce doit être mon jour de chance, cette secrétaire sur qui j’ai fantasmé des jours et des jours va se goder devant moi ! Mais qu’on me pince, ce n’est pas possible, je dois être en plein rêve !

Claudine se lève, retire sa jupe et se rassoit. Elle est devant moi, comme ça, ses jolies jambes gainées de bas autofixants, mais ce que je regarde surtout fasciné, c’est son string, un petit string de rien du tout, couleur prune, aucun poil n’en dépasse. Je suppose que tout est rasé en dessous, déjà l’érection me gagne !

- Toujours d’accord, pour jouer avec moi, Pit, c’est un jeu spécial, mais puisque tu m’as dit que tu aimais le sexe et que tu respectais les femmes, ça devrait te plaire. Surtout, tu ne bouges pas de ta place, tu regardes et c’est tout, d’accord Pit !
- D’a… d’a… d’accord !

Des gouttelettes de sueur viennent perler mon front !
Carola90.jpg- Tu préfères que je fasse ça en écartant mon string ou tu préfères que je l’enlève ?
- Je ne sais pas !

Et puis soudain je me ravise, si seulement elle voulait bien…

- Euh ! Enlève-le !
- T’as raison, c’est plus pratique !

Et sans autre cérémonie, la voici qui se soulève les fesses et fait glisser le string jusqu’à ses pieds. J’ose lui réclamer :

- Ça me ferait plaisir de le sentir !
- Petit vicieux !
- S’il te plait !
- Alors juste un coup ! Répondit-elle en me le fourrant sous le nez. Je te le redonnerais si tu es sage !

Odeur délicieuse ! Je bande comme ce n’est pas possible. Jusqu’où m’entraînera-t-elle dans ce délicieux supplice ?

Claudine se saisit du gode, se contente de le regarder en se passant la langue sur les lèvres, puis mime quelques mouvements de masturbation. Ma bouche est toute sèche, je ne peux m’empêcher de passer mes doigts sur le renflement de ma braguette. Elle porte ensuite le gode devant sa bouche, et en embrasse le gland avant de le lécher de brefs coups de langues, puis elle se l’introduit dans la bouche, lui fait une presque vraie fellation.

- Je vais craquer, Claudine !
- Je sais bien, mais pour l’instant essaie de résister, plus tu te retiendras plus ce sera bon !

Pfff ! Facile à dire ! Elle pose un moment le gode sur la table, et s’écarte les lèvres de sa petite chatte ! Que c’est beau ! C’est tout lisse, sans l’ombre d’un poil, c’est tout rose… Une envie folle de sucer tout ça, mais ça viendra peut-être…

- Elle te plait, ma petite chatte ?
- C’est une merveille !
- N’exagérons rien, mais c’est vrai qu’on la trouve mignonne !

Elle reprend le gode, le reporte rapidement sa bouche afin de l’humecter d’un peu de salive, puis se le pénètre dans la chatte, elle l’enfonce encore, puis commence des allers et retour, le spectacle est fabuleux, elle ne me regarde plus. Le gode entame des va-et-vient de plus en plus frénétiques, de la mouille coule de son sexe venant inonder ses cuisses… Encore une fois elle accélère le mouvement, puis s’arrête un moment les yeux hagards.

- Tu peux te masturber, maintenant, mais contrôle-toi, je ne veux pas que tu jouisses !

En d’autres circonstances jamais je n’aurais osé monter ma queue à une personne avec laquelle je ne fais pas l’amour, mais à ce point d’excitation je ne réfléchis même plus, je sors mon sexe et me le masturbe en essayant de me contrôler au maximum

Claudine déboutonne à toute vitesse son chemisier qu’elle envoie valser sur le canapé, elle ne prend même pas la peine d’enlever vraiment son soutien-gorge, elle se contente d’en ôter les bretelles et de faire passer les bonnets par-dessus ses seins. Elle s’attrape un téton de sa main droite et se le pince, se le tortille tandis que sa main gauche conduit les pénétrations effrénées du gode dans son vagin. Elle mouille tellement que l’action finit par produire une sorte de clapotis complètement insolite. Sa respiration devient saccadée, elle pousse des petits cris, entrecoupé de  » c’est bon, c’est bon  » ! Je n’en doute pas un seul instant mais j’ai tendance à penser que ce serait encore meilleur pour elle si je me faisais plus actif. Ce n’est vraiment pas l’envie qui m’en manque, mais je me force à continuer à jouer ce jeu que j’ai choisi d’accepter. Et donc je reste  » sage  »

Elle est de plus en plus bruyante, de plus en plus agitée, un moment elle inverse ses mains, puis reprend la position initiale, elle crie de plus en plus, et finit par jouir dans un hurlement inouï, elle s’affale pantelante ! Soupire, sourie !

- Et ben, dis donc, quel pied !
- Claudine je ne peux pas rester comme ça !
- Ben non, viens t’approcher de moi, on va goûter à ton sucre d’orge !

Alors, là je me précipite, elle caresse ma verge quelques instants, la masturbe un petit peu, puis exactement comme elle l’a fait pour le gode, m’embrasse le gland avant de le chatouiller de sa langue humide, puis tout d’un coup elle engouffre tout, et commence une série d’allers et retours, je pense que je ne vais pas durer longtemps à ce régime-là, c’est dommage je lui aurais bien fait l’amour, mais bon, je ne vais pas être trop exigeant non plus ! Ce qui m’arrive est déjà inespéré !

La voici qui me défait ma ceinture, puis qui me baisse légèrement mon pantalon et mon caleçon. Elle suce trop bien, s’arrêtant de temps en temps pour ne pas que je jouisse trop tôt et s’attardant sur mes couilles qu’elle m’aspire de ses lèvres !

- Dommage que ce soit si poilu ! On devrait raser tout ça ! Tiens ça me donne une idée, tu voudrais que je te rase ?
- Je ne sais pas, je n’ai pas trop envie !
- Si tu ne veux pas que je te rase, je ne te fais pas jouir !

Je n’ai jamais su si à cet instant elle bluffait, mais me souvenant que nous étions toujours en train de jouer, je donnais mon accord en espérant fermement qu’elle oublierait cette proposition incongrue dans quelques instants. Elle reprend sa fellation, elle est vraiment douée, on ne m’a jamais sucé comme ça, sa langue s’agite comme une véritable anguille tandis que ses lèvres maintiennent la pression sur ma verge juste ce qu’il faut, en insistant comme il se doit au passage du prépuce. Ça vient, je le lui dis, elle ne veut peut-être pas de mon sperme, mais elle continue et je décharge dans son palais à grosses giclées, elle en avale un peu et recrache le reste.

- Ça va ?
- Oh, oui ! Ça va, j’ai l’impression de rêver ! Répondis-je.
- On rebois un petit coup ?
- Volontiers !
- Mais avant tu vas te mettre à poil !

Chic, elle n’est pas rassasiée, ça veut dire que dès que j’aurais repris mes forces, on va peut-être pouvoir s’envoyer en l’air. Je vous dis c’est mon jour de chance ! Je me déshabille donc, j’espère ne pas la recevoir !

- Mwais ! Dit-elle ! Déjà un homme à poil ce n’est pas terrible, mais avec tous ces poils…

Déception !

- Bon on trinque ! Propose-t-elle
- Tchin !
- Tu sais, j’ai un autre gode, plus petit, celui-là c’est pour l’anus ! Tu veux le voir ?

Mais ce n’est pas vrai, elle est déchaînée, je lui dis que je veux bien voir, et la voilà qui se dirige vers la chambre et pour la première fois je peux vraiment contempler son magnifique fessier. Elle revient et me tend l’objet !

- Il est joli, hein je l’ai acheté en Hollande ! Tiens, regarde !

Elle me le fout dans les mains, me voilà bien embarrassé !

- Suce-le si tu veux !
- Non merci !
- Pourquoi ? Ça ne va pas te tuer !
- Ça ne me dit rien.
- Je te rappelle que nous sommes toujours en train de jouer, je ne t’ai jamais dit que le jeu était terminé !
- Tu es une sacrée fille, Claudine ! Répondis-je, essayant par-là de détourner la conversation.
- Dis-moi Pit, tu préfères le sucer maintenant, ou après que je me le sois enfoncé dans mon petit trou ?

Par réflexe sans doute, je suçotais quelques instants le bout de ce gode sans que cela ne me procure ni honte ni plaisir…

- Et si je te le mettais dans ton petit cul à toi ? Hein Pit qu’est-ce que tu en dis ?

Je n’ai pas répondu tout de suite, un vieux fantasme… elle a dû s’apercevoir de mon trouble !

- On verra ! Répondis-je simplement, ne fermant ainsi aucune éventualité.
- Tiens, regarde ! Dit-elle, reprenant l’instrument.

Elle se lève alors, s’appuie de sa main droite sur le dossier de sa chaise et de l’autre s’introduit le gode dans le cul. Elle se masturbe ainsi l’anus quelques instants. Cela a pour effet de me faire rebander presque instantanément. Une envie folle de venir lui embrasser les fesses, je me lève pour le faire.

- Stop ! Je t’avais dit de rester à ta place ! Désolé mais j’arrête !

Je le demande si elle bluffe ou pas ! Mais déjà, elle a enlevé le gode, s’amuse de l’état légérement merdeux dans lequel il ressort et l’introduit dans sa bouche afin de le nettoyer, et tout cela avec un naturel saisissant. Quelle cochonne quand même !

- Bon, alors c’est fini ? Tentais-je !
- Ben, oui ! Mais tu es gentil, je me suis bien amusé, je ne te remercie pas pour le meuble tu as déjà été assez remercié, je crois ! Me dit-elle en souriant.
- Sacrée Claudine !
- Ben, oui ! Sacrée Claudine !

Je vais pour me rhabiller !

- Tout de même, tous ces poils, ce n’est pas terrible !

Je ne réponds pas, je ne sais plus quoi lui dire.

- Tu ne veux vraiment pas que je te les rase ?
- Là tout de suite ?

Je suis trop content, ça veut dire qu’on va pouvoir prolonger ce curieux tête-à-tête…

- Oui ! Tout de suite !

Et nous voici dans la salle de bain, elle me demande de prendre une douche, puis m’enduit le torse de gel de rasage avant de passer le rasoir. Drôle d’impression de voir ma peau devenue glabre apparaître dans le miroir, elle continue par le ventre, les jambes, puis le pubis, les testicules, l’anus.

- Arrête de bander, tu vas me faire bouger, et je vais te couper !
- Ça ne se commande pas, tu as des mains de fée, Claudine !

Elle m’applique ensuite une serviette chaude sur les parties fraîchement dégagées et finit par une lotion très légèrement alcoolisée, ça pique un tout petit peu. Je me regarde, ça fait drôle… Quand je pense qu’au départ j’étais juste venu pour déplacer un meuble, me voici maintenant plus nu que nu ! J’aime l’image que me renvoie le miroir et la situation continue de me faire bander.

- Mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de t’enculer avec le gode !
- Non !
- Arrête ! Tu en meurs d’envie !

Je me mets dans la position indiquée tandis que Claudine désinfecte d’abord l’instrument avant de l’enduire de gel. Je sens quelque chose de froid tenter de forcer mon anus !

- Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes, hein Pit ?

Voilà une question à laquelle je ne sais pas répondre, mais c’est aussi à ce moment que j’entends un bruit de clé dans la serrure !

Horreur !

Des images défilent dans ma tête, son copain qui arrive qui va nous surprendre, ça va être la bagarre, le drame. Vite je me redresse, je vais pour retirer le gode, me rendant compte que toute fuite est de toute façon impossible !

- Pas de panique tu n’as rien à craindre ! Reste comme tu es !
- Ce n’est pas possible, voyons !
- Fais-moi confiance !
- Non, on arrête passe-moi une robe de chambre ! Insistais-je
- Pit, fais-moi plaisir, reste comme tu es, je te répète que tu n’as rien à craindre ! Allez, en position !

J’entends une voix féminine.

- Claudine, c’est moi ! Tu es cachée où ?
- Dans la salle de bain ! Répond cette dernière !

Le flash ! Tout s’explique. Claudine vit donc avec une copine, du coup me voici rassuré et je reprends la position, prêt à exhiber à une inconnue mes fesses rasées, et mon gode dans le cul.

- C’est un collègue ! Me présente Claudine. Il m’a aidé à pousser l’armoire

Elle a eu le tact de ne pas dire  » c’est le fils de mon patron  »

- Et c’est comme ça que tu le remercies ? Rigole la nouvelle venue.
- Original non !
- Et bien bonjour Monsieur, moi c’est Véronique ! Me dit-elle en m’assenant une grande claque sur les fesses.
- Euh, bonjour, enchanté, drôle de situation pour se présenter !

Véronique ne répond pas, je vois son reflet dans le miroir, c’est une blonde très légèrement enrobée, plus de seins que Claudine, le teint pâle, peut-être une vraie blonde, elle a pris le gode à pleines mains et entreprend de me le faire aller et venir dans le rectum. Cette sensation est trop bonne. Un plaisir trouble finit par m’envahir. Véro passe le relais à Claudine afin qu’elle puisse se déshabiller. Imaginez-moi au milieu de la salle de bain à quatre pattes, un gode dans le cul avec une brune et une blonde qui s’occupe de moi, je vous le dis, c’est Noël !

Une fois nue, la blonde reprend le gode et continue de s’occuper de moi, tandis que Claudine en passant derrière elle lui caresse les seins. De temps à autre, leurs visages se rapprochent et elles s’échangent des baisers aussi humides que fougueux. Je n’en peux plus, mon cul est devenu un puits de plaisir, je suis au bout d’un moment assailli par un curieux soubresaut qui me fait jouir de façon intense, la tête me tourne, je suis crevé, ma journée de travail, deux martinis et cette double séance, je suis à moitié dans les vapes. On m’aide à me relever, on m’accompagne au salon, je me retrouve sur un fauteuil, je suis mieux, je ferme les yeux m’abandonnant quelques instants.

- Ça va ?
- Oui, ça va mais j’ai besoin de me reposer cinq minutes !

On me met un linge sur le front, on m’humecte les lèvres, je me laisse faire, finalement j’adore qu’on s’occupe de moi.
J’ai dû dormir juste quelques minutes, j’ai dû rêvé, non je n’ai pas rêvé, sur le canapé, s’ébattent maintenant tête bêche Claudine et Véronique. Je les regarde, elles se caressent, s’embrassent les seins, se font des baisers sur la bouche, il y a infiniment de tendresses entre ces deux femmes, et puis tout d’un coup Claudine change de sens, positionnant son visage entre les cuisses de son amie, les voici en position de 69. Ce n’est pas uniquement la position qui a changé, mais le rythme, elles se déchaînent, s’agitent, leurs corps transpirent faisant jouer des reflets de lumière sous l’halogène du salon. Que c’est beau ! Et les fesses de Claudine, les jolies fesses bien rebondies qui n’arrêtent pas de remuer. Cette fois c’est décidé je vais les embrasser, je me lève pour le faire. Est-ce que ça va mieux ? Est-ce que je tiens debout ? Oui, ça a l’air d’aller !

Je m’approche mais stoppe, Claudine vient de jouir toujours aussi bruyamment que tout à l’heure, elle s’affale sur sa copine mais continue de lui sucer la chatte. Je m’approche pour regarder, elle ne me voit pas, et Véronique prend son pied à son tour. Les voici enlacées, amoureuses. Je réalise que je n’ai rien à espérer de Claudine, elle est prise, même si elle n’est pas exclusive, je ne suis rien d’autre pour elle qu’un jeu, qu’une tocade, mais je ne lui en veux pas, j’ai bien profité de cette soirée et puis il n’y a pas de mal à se faire du bien,

Je m’approche du cul de Claudine et y dépose un chaste baiser, puis vais pour me rhabiller !

- Dis donc coquin !
- Au revoir, Claudine. Merci pour tout !
- Au revoir Pit ! Au fait Véro je ne t’ai pas montré, j’ai reçu le gode que j’avais commandé aux Trois Cuisses !
- Non !
- Si ! Attends ! Ne t’en va pas Pit, on va encore jouer encore un peu…

FIN
Boris Vasslan © 2003
vasslan@hotmail.com

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Boris
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Mardi 11 juillet 2017 2 11 /07 /Juil /2017 19:37

Fin de dîner scato à trois par Cosi-cosa

 

scat

Ce soir-là, Carole, ma femme avait invité à dîner Josy, sa meilleure amie, une belle rousse, les cheveux coupés courts, et bien conservé malgré qu’elle ait dépassé la quarantaine. Josy habite aujourd’hui en province mais nous l’invitons chaque année lorsqu’elle monte à Paris

 

Nous nous connaissons depuis longtemps, et nous avons souvent passé des soirées et des week-ends ensemble. Il nous était arrivé de partouzer ensemble, mais la chose n’avait rien de systématique et nous ne n’avions plus fait depuis longtemps. Dommage d’ailleurs.

Nous avons beaucoup mangé et pas mal bu et bien sûr discuté en refaisant le monde.

Au bout d’un moment la discussion s’orienta sur le sexe. Comme nous sommes très libres et notre amie également, la discussion s’est éternisé et nous avons abordé le sujet des pratiques un peu spéciales.

Là, après avoir passé un moment à décrire nos vécus respectifs, Josy nous a avouée qu’elle avait eu des expériences uro et même scato avec un de ses mecs et que cela ne lui avait pas déplut.

Fort de cette confidence ma femme lui avoua à son tour que nous avions des « périodes » où elle aimait me pisser et même me chier dessus.

Notre amie nous raconta notamment comment elle adorait nettoyer une bite qui sortait de son cul

La discussion aurait pu en rester là, mais soudain, ma femme s’exclama :

- Eh bien, justement il va falloir que j’aille aux toilettes !
- Tu vas chier ? Lui demanda Josy
- Oui, tu veux regarder ?
- Bien sûr ma chérie.
- Viens !
- Je crois bien que moi aussi j’ai envie ! ! Ajouta Josy
- Hummm, super !

Mais à cet instant, au lieu de se lever, ma femme se pencha vers son amie, lui glissa quelques mots à l’oreille et j’entendis Josy répondre :

- S’il est d’accord, pourquoi pas ?

Et là, ma femme me dévisagea et le plus sérieusement me dit en me regardant bien en face :

- On aimerait bien toutes les deux te chier sur le visage, moi d’abord et Josy ensuite, tu veux bien ?
- Ma foi, pourquoi pas ?

On se déshabilla tous les trois et je pu admirer ainsi les courbes sensuelles de Josy et son bronzage intégrale

- Mais c’est qu’il bande joliment ! S’amusa Josy en voyant l’état de ma bite.

Ma femme m’entraina vers les toilettes, me fit m’allonger devant la cuvette en laissant la porte ouverte. Elle s’accroupit au-dessus de moi, me demanda d’ouvrir la bouche et commença par m’envoyer un flot d’urine, j’avalais ce que je pouvais, puis elle vint plaquer ses fesses contre mon visage.

Je n’eus pas à attendre longtemps. Elle lâcha d’abord un pet puis je sentis un long étron mou s’écraser sur mes lèvres. Un second ne tarda pas à suivre, elle se souleva légèrement et je vis l’énormité chancelante s’effondrer sur ma joue recouvrant partiellement mes narines.

Enfin, un troisième tomba sur mon front et s’échoua lentement me recouvrant un œil que j’avais déjà fermé.

Elle se leva, et céda sa place à Josy qui postée dans le couloir n’avait rien raté de ce spectacle insolite.

Les yeux toujours clos, je sentis Josy se placer au-dessus de moi tout en restant à bonne distance. Après avoir vidée sa vessie en long flot, je sentis soudain une chose lourde et molle s’échouer sur mon menton, puis ce fut le tour d’une joue et d’une autre et enfin une pâte molle s’écrasa sur on front, j’avais les yeux fermés heureusement car ils furent recouverts.

Josy me dégagea les yeux, je la vis ramasser deux des étrons.

- On te laisse enlever tout ça, on est à côté !

Je me débarrassais des étrons que je jetais dans la cuvette. Evidemment je m’en mettais plein la main et me les léchais avec gourmandise

Néanmoins, quelque chose m’échappait, il me semblait que la suite logique cette fantaisie aurait été que ces dames me donnassent leurs culs à nettoyer, ce que j’aurais volontiers fais de ma langue. Mais sans doute avait-elle d’autres projets.

Effectivement quand je rejoins le salon, je ne trouvais personne, mais je perçus des bruits dans la cuisine.

Les deux femmes après s’être léché le cul réciproquement s’étaient barbouillées le corps de merde et s’amusaient à se lécher le corps qui mieux mieux. Je me postais dans le chambranle de la porte, la bite à la main, me masturbant.
Fin_diner.jpg
Un moment, Josy prit ce qui restait d’un des étrons et se le fourra dans la bouche, elle approcha son visage de ma femme et elles s’amusèrent à se l’échanger. Puis Carole s’étendit sur le sol en écartant les cuisses afin que son amie vienne lui butiner la minette. Elle jouit assez rapidement et plutôt bruyamment

Et pendant que mon épouse récupérait ses esprits, Josy se positionna en levrette. Je pensais que ma femme finirait alors de lui nettoyer le cul. Non ce n’était pas ça !

- Viens m’enculer me dit l’amie de ma femme.

Vous devinez bien que je n’hésitais pas un seul instant, et pénétrait dans ce cul magnifique lubrifié à la merde, j’eu du mal à me contrôler afin que cela ne soit pas trop rapide. Quand Josy eut joui, je sorti une bite merdeuse et spermeuse que les deux femmes eurent tôt fait de me nettoyer.

Après une douche, nous sommes revenus au salon, enroulés dans nos serviettes.

- On va manger le dessert maintenant, j’ai fait de la mousse au chocolat, de la vraie ! Annonça Carole.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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