Jeudi 30 juin 2016 4 30 /06 /Juin /2016 06:41

Muriel et Sylvain, couple coquin

15 - Encore le tapin

par Sylvain

coin102

 

15 - Encore le tapin

 

Midi sonne au clocher d'une église proche.

 

- C'est l'heure des apéritifs ! Me précise Isabelle. Des mecs qui travaillent dans les bureaux et qui profitent de l'heure du repas pour aller aux putes.

 

Ça ne loupe pas, un type en costume "La Défense", costume trop sombre, chemise trop banale, cravate sans goût, nous accoste, ou plutôt m'accoste.

 

- Vous faites la sodomie ?

 

Il demande ça de but en blanc, même pas bonjour, rien !

 

- On ne travaille qu'en duo précise Isabelle.

- Pourquoi pas, mais pour la sodo ?

- C'est un peu plus cher…

- Je vous suis.

 

Une fois dans la camionnette, le type nous paie, et se déshabille en silence, on fait de même.

 

- Je pourrais vous prendre l'une après l'autre ?

- Pas de soucis !

 

Comment ça "pas de soucis" ? Ce mec ne m'inspire pas du tout, je ne vais quand même pas me faire enculer par n'importe qui ! D'autant qu'il a vraiment une très grosse bite.

 

- Tu veux qu'on te suce d'abord ? Propose Isabelle.

- Non, non, je mets la capote moi-même ?

- Vas-y !

- Bon montrez-moi vos fesses !

 

Je le vois à travers le miroir nous mater le cul avec concupiscence.

 

- Je vais commencer par Mademoiselle.

 

Mademoiselle c'est moi ! Isabelle a la grande bonté de me tartiner préalablement le trou du cul d'une noix de gel intime.

 

Et c'est parti… Je devrais dire c'est très mal parti !

 

- Doucement, vous me faites mal !

- Ta gueule !

- Arrêtez bon sang !

 

Isabelle intervient, elle a une mini bombe lacrymo dans les mains.

 

- On t'a dit d'arrêter.

 

Le mec ne comprend plus !

 

- On t'a jamais dit que t'étais trop gros ?

- Ben si justement, c'est ça mon problème !

- Et la douceur, t'as jamais entendu parler. Et le respect tu connais ?

- Ecoutez, je vous ai demandé si vous faisiez la sodomie, je pensais que vous étiez habituées.

- Et quand elle te dit que tu lui fais mal, tu l'insulte.

- C'est la première fois…

- Bon, casse-toi !

- C'est un malentendu !

- Va sortir ta bite ailleurs !

- Ecoutez, j'ai payé…

- Reprend ton fric, je garde juste cinquante euros pour le dérangement, maintenant dehors !

 

Le type s'avoue vaincu, se rhabille prestement et disparait.

 

On reste là comme deux connes, encore à poil. Isabelle a l'air désolée.

 

- Je m'amusais bien. Ce connard à tout foutu en l'air. On va s'en aller… Rouspète-t-elle

- Le jeu est fini alors ?

- Ben, ouais ! Je vais appeler Victor ! On va aller manger…

- J'ai pas trop faim, lui avouais-je.

- Moi non plus mais l'appétit vient en mangeant.

- J'ai envie de te caresser, tu as quelque chose contre ? Proposais-je.

- Non vas-y, ça va me faire du bien !

 

Ma bouche salive en avançant vers le téton qu'elle m'offre… Et voilà qu'on frappe à la portière.

 

- Occupée ! Hurle Isabelle !

- C'est Kathy, tu passes me voir après ?

- C'est bon, entre !

 

Et voilà, mon plan câlin tombe à l'eau.

 

- Tout va bien ?, S'inquiète la nouvelle venue. J'ai entendu des éclats de voix et j'ai vu "Bitenbois" sortir.

- Bitenbois ?

- C'est comme ça qu'on l'appelle, il rode parfois dans le coin, mais plus aucune fille ne veut aller avec lui.

- On l'a viré, tout va bien, nous on va rentrer, tu veux un café ?

- Je suis avec un client, on va y aller… Remarque je peux lui demander de patienter cinq minutes.

- Faudrait pas que tu le perdes !

- Penses-tu c'est un fidèle, il est sympa, s'ils étaient tous comme lui…

- Et bien fais le entrer, on va lui faire un café !

 

Elle le fait entrer alors qu'on est encore à poil. N'importe quoi !

 

Le type entre, quelconque mais jovial. Evidemment il ne peut s'empêcher de nous mater avec des yeux plein de concupiscence, mais il reste sage.

 

- C'est Pierrot !

 

Isabelle se tourne pour faire le café, le client de Kathy scotche son regard vers ses fesses.

 

- Elles te font bander, mes copines ?

- J'avoue !

 

Faute avouée est à moitié pardonnée…

 

Isabelle sert le café et c'est maintenant vers mes nichons que le regard de Pierrot fait une fixette. C'est assez amusant la façon dont il fait ça, on dirait qu'il ne voudrait pas le faire mais qu'il ne peut pas s'en empêcher. C'est un homme après tout !

 

Kathy voyant son manège lui lance.

 

- Tu sais Pierrot, si tu veux faire un extra avec… avec… c'est comment ton nom, déjà ?

- Muriel !

- Je ne t'en voudrais pas, on n'est pas marié et tu as le droit de varier les plaisirs…reprend-elle.

- Alors je crois que je vais me laisser tenter ! Répond le Pierrot.

- O.K., on finit notre café et on vous laisse tous les deux. Conclut Kathy.

 

Et personne ne me demande mon avis dans cette affaire !

 

- C'est qu'on allait partir… Balbutiais-je

 

La situation a l'air d'amuser Isabelle qui nous regarde sans rien dire. Pierrot à l'air contrarié.

 

- Bon, ben tant pis, alors !

 

La tête qu'il nous fait, on dirait Droopy !

 

Alors je ne sais pas ce qui m'a pris, je me reprends.

 

- On allait partir, mais comme tu as l'air sympa, je vais m'occuper de toi !

 

Elle n'en revient pas, l'Isabelle, mais se rattrape bien vite.

 

- Ça ne vous dérange pas si je mate ? Demande-t-elle.

 

C'est à Pierrot qu'elle demande, pas à moi. Ça ne le dérange pas.

 

- T'es vraiment une vicelarde ! Se moque Kathy.

- Reste aussi, lui répond Isabelle

- Je te vois venir !

- Je te paierais si tu veux !

- Tu rigoles !

 

Pierrot me tend un billet, me demande s'il y a assez et se met à poil. Il a la bite fièrement dressée. Je ne sais pas trop quel comportement adopter, je ne sais s'il faut mettre la capote tout de suite, je ne sais si je dois le laisser faire, en fait je ne sais rien du tout.

 

- Tu veux quelque chose de spécial ? Bredouillais-je

- Je peux t'embraser les seins !

- Oui vas-y !

 

C'est qu'il est content le garçon ! Il lèche, il suce, il aspire, il bave, il n'arrête pas.

 

Si, il finit par s'arrêter,

 

- Je peux te lécher derrière ?

 

Je me tourne, il m'embrasse les fesses, m'écarte les globes.

 

- Je peux lécher le trou !

 

Le type a la correction de demander. Je le laisse faire avant de me rappeler que s'il veut me lécher la chatte ensuite, ce n'est pas trop hygiénique. Et le voilà qui me trifouille le trou du cul de sa langue, ça ne dure pas trop longtemps. Il se relève, je me retourne, on est debout l'un en face de l'autre. On fait quoi ?

 

- Pince moi les tétons ! Me demande-t-il.

 

Je le fais, et c''est qu'il aime ça le garçon ! Il pousse des petits gémissements et sa bite devient dure comme pas possible.

 

- Tu me suces ?

  Muriel15.jpg

Une flexion des genoux et me voilà accroupie avec sa bite dans la bouche, je m'aperçois au bout d'un moment que j'ai oublié de mettre une capote. Pourquoi Isabelle ne me dit rien ?

 

Je me relève, Evidemment qu'Isabelle n'a rien vu, elle est en train de lécher les nichons de Kathy, laquelle a l'air de trouver la situation parfaitement à sa convenance. Ils sont mignons les nénés de Kathy, j'y gouterais bien !

 

Je prends un préservatif ! L'angoisse ! Je le pose sur son gland, le déroule ! Victoire ! Ce n'était pas si difficile.

 

- Je vais m'allonger, tu vas venir sur moi ! M'indique-t-il.

 

O.K, ça va me faire faire un peu de sport, je vais pour m'enfourcher sur sa queue en lui tournant le dos.

 

- De l'autre côté, je préfère !

 

Ah, bon ! Je fais comme demandé. Et allons-y pour la chevauché fantastique, je monte et je descends, je coulisse, je pistonne. Lui en dessous il est peinard et se laisse faire.

 

- Les tétons !

 

J'ai compris et je m'agrippe après ses bouts de seins. Et voilà qu'il se met à gigoter, on bouge donc tous les deux, le sang afflue sur le haut de son torse et sur son visage, il ouvre une large bouche et jouit dans un râle. Je me retire et vais lui chercher une lingette.

 

Pendant ce temps-là Kathy trifouille à pleine main la chatte d'Isabelle. Elles ont l'air de s'amuser comme des petites folles.

 

- C'était très sympa, on recommencera à l'occasion, mais j'ai mes habitudes avec Kathy m'indique Pierrot.

- Ne me pique pas mes clients ! Intervient cette dernière qui avait une oreille qui traînait, mais elle dit cela sans aucune animosité.

 

Je me nettoie la chatte avec une lingette, je bois un coup de flotte.

 

- Attend moi Pierrot ! On va aller à la pizzeria.

 

Et voilà qu'Isabelle se met à gueuler !

 

- Et bien, toi quand tu jouis, tu ne fais pas semblant ! Passe-moi une lingette, Muriel, non deux.

 

Qu'est-ce qu'on use comme lingettes dans cette camionnette !

 

Kathy réajuste sa tenue ! Moi qui voulais m'immiscer dans ce joli duo, c'est râpé ! Et je suppose qu'Isabelle ne doit plus être partante pour le câlin que je projetais avant l'arrivée des deux intrus.

 

Me revoilà seule avec Isabelle.

 

- Toujours pas faim ?

- Non, pas du tout !

- Je te dépose quelque part, Victor ne devrait pas tarder…

- Non, j'ai envie de marcher un peu.

- Comme tu veux !

 

On se rhabille.

 

- Tiens, ton enveloppe !

 

Elle ne me l'aurait pas donné, je lui aurais réclamé ! Non, mais dès fois…

 

- J'ajoute la moitié des trois premières passes et la totalité de la dernière…

- Ah ? Oui, bien sûr !

- Et ça c'est un cadeau pour Sylvain, tu lui donneras ! Ajoute-t-elle.

- Ah bon, tu ne le vois pas ce soir ?

- Si, mais je préfère que ce soit toi qui lui donne.

 

On se fait un gros bisou, mais sans la langue.

 

Je déambule dans les rues de Paris. J'ai gagné un peu plus de 600 euros. Mon regard sur le monde la prostitution a changé, je n'imaginais pas qu'un client pouvait être sympa… le souci, c'est qu'ils ne le sont pas tous.

A suivre

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 19:04

Muriel et Sylvain, couple coquin
14 - Le tapin

par Sylvain

coin102

 

Vendredi

 

Muriel

 

Pas de nouvelles d'Isabelle, j'ai donc supposé que le rendez-vous tenait toujours. Je me suis habillée très simplement : une petite robe noire légèrement décolletée et laissant mes épaules nues et à 9 heures précises j'étais à la sortie du métro Victor Hugo, et pas moyen de se tromper, il n'y a qu'une seule sortie.

 

Je ne vois personne, mais au bout de cinq minutes, Victor, le chauffeur black en livrée m'aborde :

 

- Madame Isabelle vous attend dans sa voiture.

 

Et hop c'est parti pour l'aventure. 

 

Je m'assois à l'arrière, Isabelle m'enlace, m'embrasse, me roule une gamelle, elle a l'air complétement déchaînée. Elle me pelote, trouve le moyen de me dégager un sein et en aspire le téton comme si c'était un rail de cocaïne.

 

J'attends que j'orage se calme, je la pelote un peu à mon tour pour donner bonne mesure. Mes caresses ont l'air de lui plaire. Ma main descend entre ses jambes, c'est tout mouillé !

 

Ce n'est pas possible qu'elle soit déjà dans cet état ? Ou alors elle a une idée salace derrière la tête qui l'excite un maximum…

 

- Nous sommes arrivés ! Prévient Victor.

 

Arrivée où ? Chez elle ? Je ne vais pas tarder à le savoir !

 

On descend de voiture après avoir remis un peu d'ordre dans nos tenues… et Victor redémarre nous laissant seules, dans ce quartier quasi désert que je ne me remets pas et qui n'a rien de l'ambiance résidentielle bourgeoise que je m'imaginais.

 

Une femme entre deux âges, petite brune très dynamique aux cheveux mi-long et frisée, sortie de je ne sais où s'avance vers Isabelle en lui faisant des grands signes.

 

- Y'avait longtemps ! Commence la nouvelle arrivée.

- Salut Kathy ! Oui, faut bien varier les plaisirs ! Réponds Isabelle.

- Oh ! Excuse-moi, j'ai un client, on se verra tout à l'heure !

- Vas-y ma biche !

 

La biche est donc une tapineuse et elle a l'air de bien connaitre Isabelle. Je me pose mille questions.

 

Notre énigmatique bourgeoise m'entraine alors vers une camionnette, elle en a la clé et ouvre la porte latérale.

 

Non, mais ce n'est pas vrai ! Elle va tapiner dans la camionnette et elle veut sans doute que je lui tienne la chandelle ? Faut peut-être pas exagérer, non plus !

 

Elle referme la porte et sort une enveloppe de son sac à main et me la tend.

 

- Ce sera pour toi, si tu fais comme je te dirais…

- Tu vas me faire faire quoi ?

- Compte d'abord les sous !

 

Je le fais, il y a 10 billets de 50 euros. La somme est tentante mais j'aimerais qu'elle me dise exactement ce qu'elle attend de moi.

 

- Redonne moi les sous, tu ne les as pas encore gagnés, Victor viendra nous rechercher à treize heures, nous irons au restaurant et après je te libérerais… Mais faisons les choses dans l'ordre. Déshabille-toi !

- Je veux bien me déshabiller, mais j'aimerais savoir pour la suite…

- Tu n'as rien à craindre, fais-moi confiance.

- Tu veux que je fasse la pute, c'est ça !

- Ecoute Muriel, je suis en train de jouer, ce jeu me plait beaucoup et il me coute très cher, laisse-moi le mener à ma convenance parce que si ça devient trop compliqué, on arrête tout et j'aurais même la grande bonté de t'expliquer le chemin pour aller au métro.

 

Bon soyons intelligente ! Je vais entrer dans son jeu pour le moment et si ça devient trop trash, je me débinerais à ce moment-là, je décide, donc de ne plus poser de questions et je me fous à poil.

 

Manifestement, Isabelle attendait que je me déshabille pour en faire autant et nous voilà nue toutes les deux. Je ne vous dis pas mon trouble. J'ai soudain une envie folle de m'approcher d'elle, de la prendre dans mes bras, de la caresser, de faire mille folies. Mais je me retiens, c'est elle qui mène la barque, ne dérangeons pas le capitaine.

 

- Mets ça, ça devrait t'aller ! Me dit-elle.

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Qu'est-ce qu'elle me fait mettre ? Je n'en crois pas mes yeux. Passe encore la minijupe en vinyle noir, mais le débardeur en large mailles à travers lequel on voit tout… c'est quoi ce délire ?

 

- Et en dessous ? Demandais-je en présumant de la réponse.

- En dessous ? Je n'ai rien prévu.

- Tu veux vraiment que je porte ça ?

- Ça fait partie du jeu.

 

J'enfile tout ça, je me regarde dans le miroir, j'ai vraiment l'air d'une pute. A ce moment je me disais qu'elle voulait juste que je me déguise et que ça n'irait pas plus loin… Mais si elle a dans la tête de me faire aller plus loin ?

 

- Tiens, mets aussi cette perruque, c'est pour ne pas qu'on te reconnaisse, et puis je trouve que tu serais mieux comme ça, les cheveux un peu longs, blonds méchés…

 

Si elle le dit…

 

Isabelle pour sa part, s'est revêtue d'une longue robe rouge à fines bretelles, fendue sur les cuisses et au décolleté outrageusement plongeant. Pour faire bonne mesure elle avait passé par-dessus une jolie veste en fourrure blanche.

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Je regarde ma montre, il est 9 h 45, on revient nous chercher à 13 heures, ça fait plus de trois heures à tenir. Je ne pourrais jamais.

 

- Allez viens !

 

On descend, je dois être pâle comme une endive. Je fais comment pour me tirer, la camionnette n'est pas fermée à clé. Je peux y foncer, me change en vitesse et me carapater ? Mais bon dieu, pourquoi, je ne le fais pas, qu'est-ce que j'attends ? C'est vraiment les 500 euros qui m'en empêchent ou c'est autre chose.

 

On est là, l'une à côté de l'autre, elle ne me dit rien, alors moi non plus, on attend, on attend… et finalement…

 

- En voilà un, souris-lui !

 

Le type s'approche de moi, me regarde les nichons avec concupiscence, je ne sais plus où me foutre.

 

- C'est combien ? Demande-t-il.

- On ne travaille qu'en duo ! Intervient Isabelle.

 

Ouf !

 

- Y'a pas moyen de s'arranger ?

- Si, pour cinquante euros on te fait une exhib à deux pendant 10 minutes, tu ne nous touches pas, mais tu peux te branler en nous regardant.

- J'ai que 40.

- Et bien tu reviendras quand tu auras 50.

 

Le mec s'éloigne, puis revient.

 

- Bon on y va ! Dit-il.

 

Je suis mal, mais mal, mais bon Isabelle a parlé de 10 minutes. 10 minutes, c'est vite passé.

 

- Assis toi là, tu peux baisser ton pantalon, tu as des kleenex ici…

 

Quel romantisme !

 

On se met face à face, à genoux sur la banquette de couchage, Isabelle me retire mon haut et commence par me lécher les seins, puis elle fait glisser ses bretelles pour que je fasse de même. Le client n'en perd pas une miette, mais semble mettre peu d'ardeur à se masturber.

 

Isabelle a écarté le bas de sa robe afin que le client puisse voir sa chatte, j'y approche un doigt, mais elle me sort un gode de je ne sais où et me le tend, j'ai compris la manœuvre et je le lui introduis dans le vagin en le faisant aller et venir.

 

- Si je mets un peu plus, je peux toucher ? Demande le zigoto.

- Tu peux ajouter combien ?

- 20 euros !

- Tu aurais eu 30 on t'aurait sucé !

- D'accord 30 !

- Ce sera avec capote !

- Tant pis

- Laquelle des deux ?

- Pas les deux ?

- Non !

 

Alors il me désigne.

 

Cette fois, c'est clair, je vais vraiment faire la pute, mais bon sucer un mec encapoté pendant quelques instants, il n'y a vraiment pas de quoi se traumatiser !

 

Isabelle me passe un préservatif. J'ouvre le sachet, j'ai l'air d'une poule qui a trouvé un couteau. On met ça comment, c'est où l'envers ? C'est où l'endroit ? Bonne fille la bourgeoise comprend mon embarras et se charge d'encapoter la bite du citoyen.

 

- Elle n'a pas l'habitude, elle est en stage ! Précise-t-elle.

- Ah, bon ! Répond bêtement le client.

 

Et me voilà au pied du mur ou plutôt au ras de la bite, comme une dame zombie, me voilà entrain de sucer une bite recouverte de latex, je n'aime pas le gout du latex, c'est aussi excitant qu'un Doliprane. Mais je m'efforce de bien faire, c'est-ce que veux Isabelle, alors j'essaie d'oublier la capote, je fais de grands allers et retours dans ma bouche et je serre la base de la verge avec mes doigts. 

 

Et voilà que sa bite est atteinte de soubresauts, le mec râle et éjacule. Isabelle lui tend une lingette. Il enlève la capote, s'essuie, réajuste sa tenue sans rien dire et s'en va en disant "au revoir". Ce monsieur est bien poli !

 

On se remet en tenue, je regarde ma montre, il n'est même pas onze heures.

 

- On va faire ça jusqu'à treize heures ?

- Oui ! A moins que…

- Que quoi ?

- Que tu veuilles rester plus longtemps.

 

Je crois que je ferais mieux de la fermer.

 

Le deuxième client est un retraité bien propre sur lui, le genre à se balader en costume cravate sans doute pour que les gens pensent que jadis il a été un homme exerçant des responsabilités. Il ne marchande pas, il souhaite qu'on le suce et qu'on le branle pendant qu'il nous caresse.

 

Je vous dis c'est déjà la routine.

 

Et au bout d'un moment le client se met à parler :

 

- Le gode là ?

- Quoi, le gode ! Tu veux qu'on fasse joujou avec ?

- Oui !

- Et quel genre de jeu ?

- Le mettre dans mon cul !

 

Au moins, c'est du direct, il ne tourne pas autour du pot. Isabelle se saisit du machin et le recouvre d'une capote.

 

- Faites le moi sucer d'abord !

- Tiens, tiens, tu aimes sucer des bites toi ?

- Oui !

 

On n'en saura pas plus, mais il met beaucoup de cœur à l'ouvrage pour sucer la fausse bite. Au bout d'un moment il en a marre.

 

- L'une me le met dans le cul et l'autre me finit à la bouche.

- T'as une préférence ?

- Non !

 

C'est Isabelle qui s'occupe de sa bite tandis que j'ai fait aller et venir le gode dans son trou du cul. Il est un peu long à venir, mais il finit par jouir, il est rouge comme une tomate et semble avoir du mal à respirer, j'espère qu'il ne va pas nous faire un malaise.

 

On lui file un verre d'eau, on l'aide à se rhabiller.

 

- Merci mesdames, ce fut un plaisir, j'espère vous revoir, vous êtes là tous les jours ?

- Tous les vendredis ! Répond Isabelle.

 

Je rigole intérieurement, le pauvre, s'il se pointe vendredi prochain, il va faire chou blanc.

 

à suivre

 

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 18:55

Muriel et Sylvain, couple coquin
13 – Retour chez Gino
par Sylvain_Zerberg

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Jeudi

 

J'ai mal dormi, je ne parviens pas à faire le tri dans tous ces évènements. D'un côté nous avons, mon mari et moi connu une série d'aventures et d'expériences sexuelles sans doute uniques et inoubliables et qui auront probablement modifié notre sexualité de façon irrémédiable. De l'autre nous sommes en train de nous faire manipuler par une espèce de sorcière qui a oublié d'être bête, qui a oublié d'être moche et qui en plus nous paye…

 

J'avoue que cet argent qu'elle nous donne est le bienvenu, ce n'est pas que nous soyons fauchés, nous vivons convenablement depuis que les gosses volent de leur propres ailes, mais on est comme beaucoup de gens, l'argent on en a toujours besoin et on ne le refuse pas quand il nous tombe du "ciel".

 

Mais la contrepartie est trop indéfinie, on ne sait pas exactement où cette Isabelle souhaite nous entraîner, et malgré ses assurances j'ai l'impression que cette femme constitue un danger pour notre vie de couple.

 

Je décide donc de ne pas aller au rendez-vous de Mercredi et j'en informe Sylvain, celui-ci tergiverse quelque peu.

 

- Il faudrait savoir qui c'est exactement et ce qu'elle veut.

- On fait comment ? On n'a aucune piste, elle téléphone en numéro caché et on ne sait pas où elle habite.

- Je connais le café qu'elle fréquente, et j'ai l'adresse du peintre, je peux essayer de me renseigner…

- Tu vas faire ça quand ?

- Ce matin, je suis censé passer chez un client, on ne me cherchera pas…

- OK, moi je pars bosser.

 

Sylvain reprend le récit.

 

J'ai enfilé un pantalon blanc cassé qui me moule bien les fesses et je n'ai pas mis de caleçon. Je n'ai pas eu trop de mal à retrouver l'adresse de Gino mais il me faut un prétexte, j'y vais au flan. Je sonne, il vient m'ouvrir, semble surpris de me voir.

 

- Excuse-moi, l'autre jour quand je me suis déshabillé, j'ai posé ma montre et j'ai dû oublier de la reprendre.

- Ah, je l'ai pas vu, mais je ne fais pas souvent le ménage, c'est un peu le bordel ici, rentre ! Katia n'est pas encore arrivée, j'ai presque terminé le tableau, j'aurais sans doute fini au début de la semaine prochaine…

 

Il n'arrête pas… c'est un flot de parole…

 

On regarde à droite et à gauche, évidemment on ne trouve pas de montre, puisque je ne l'ai pas perdue.

 

- Bon, ben tant pis…

 

La politesse voudrait qu'il me propose à boire, mais ça n'a pas l'air de venir et pour le moment je fais choux blanc avec mon pantalon moulant. A moi de forcer le destin !

 

- Je vais te laisser... Euh, tu n'aurais pas un verre d'eau ?

- J'ai que de l'eau du robinet !

- Pas grave !

 

Et maintenant ça passe ou ça casse !

 

Je joue les maladroits et renverse le verre en plein sur ma braguette.

 

- Oh, zut !

 

Le Gino rigole comme un bossu !

 

- Hi, hi ! En plein sur la bite !

- Je ne sais pas comment j'ai fait.

- Tu n'as pas mis de caleçon, je vais t'en prêter un, ça cachera ta bite.

- C'est gentil, je te le rendrais, je te le mettrais dans ta boite aux lettres…

 

Je retire mon pantalon devant lui espérant captiver son regard.

 

- C'était bon l'autre fois, hein ? Dit-il.

- Super !

- Tu voudrais bien recommencer ?

- Ce ne serait pas de refus !

- Mais en ce moment comme Katia n'est pas là, ma libido est descendue à la cave.

 

J'ai le cul à l'air, je me fais provocateur.

 

- C'est dommage, mon petit cul va être déçu !

- Il s'en remettra.

 

Il reluque quand même et ne peut s'empêcher de me mettre la main aux fesses. (ce doit être un réflexe !)

 

- C'est vrai qu'un cul comme ça, c'est quelque chose !

 

Il se baisse et m'embrasse les fesses, il me caresse, il n'arrive pas à retirer sa main, il est scotché. Je prends l'initiative :

 

- Il te fait bander, mon cul ?

 

Je n'en reviens pas de tenir de tels propos.

 

- Si je te baise, je ne vais pas être bon cet après-midi pour peindre Katia.

- Bof, un bon steak au poivre avec un verre de porto… argumentais-je en lui mettant la main au paquet.

 

Il se laisse faire, je sors sa bite, d'abord demi molle mais grossissant à vue d'œil

 

Qu'est-ce qu'elle est belle ! Fièrement dressée, le gland luisant. Une petite caresse pour lui dire bonjour et hop direct dans ma bouche. Je joue de la langue sur le bout de sa queue avec une telle fougue que le Gino en frétille de plaisir.

 

Il finit par s'écarter, s'en va chercher une capote mais pas de gel, il préfère me lubrifier le troufignon ave sa salive et le faire s'entrouvrir en le pilonnant du doigt. C'est comme il veut le garçon ! Et me voici avec sa bite dans le cul. Qu'est-ce que c'est bon ! Comment ai-je pu me priver de ce plaisir divin pendant plus de vingt ans ? Je vais me le rattraper mon retard, moi je vous le dit !

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L'affaire ne dure pas très longtemps, le Gino complétement excité s'avère vite incapable de faire durer sa pénétration et c'est en s'agitant comme un diable qu'il la termine en poussant des rauquements véritablement guère discrets.

 

Dommage j'en aurais bien pris encore, d'autant que la sensation était merveilleuse. En fait j'ai l'impression de mon cul s'habitue à la sodomie et que c'est de mieux en mieux à chaque fois.

 

- Excuse-moi, j'ai eu une envie fulgurante ! dit-il

- Tout le plaisir a été pour moi !

- Bon en tout cas, ta montre, elle n'a pas l'air d'être ici !

- Oui, ce n'est pas bien grave, je vais te laisser ! Feintais-je en ramassant mes vêtements et en revêtant le caleçon qu'il m'avait sorti. Tu la connais depuis longtemps, Isabelle ?

- Deux ans !

- Ah, oui, moi ça ne fait même pas huit jours ! Je ne la connais pas assez pour me faire une opinion, je la trouve très belle, fascinante, mais comment dire… mystérieuse.

- C'est une enfant gâtée, elle est riche à millions, elle spécule sur les œuvres d'arts, elle ne sait plus quoi faire de son fric, mais je lui dois tout ! Cet atelier c'est elle qui me l'a trouvé, c'est elle qui m'en paie le loyer, c'est grâce à elle que je vends mes tableaux… alors tu dois bien t'imaginer que ses petits caprices, je les accepte sans discuter d'autant que ça ne me dérange pas plus que ça. Et toi, elle t'a rencontré comment ?

 

Je lui explique… son étrange proposition, son mari soi-disant très connu…

 

- Son mari ? S'étonne Gino ! Quel mari ? Il est mort depuis 10 ans, son mari !

- Ben alors ? Pourquoi ce mensonge ?

- Elle joue avec toi ! Elle te manipule ! Ça doit l'amuser, quand elle en aura marre elle disparaîtra de ta vie. Tu veux un conseil ? Profites-en tant qu'elle t'a à la bonne, ça ne durera pas.

 

J'allais partir quand il ajouta ces mots :

 

- Pour la montre, dis-lui que tu es passé et qu'on ne l'a pas retrouvé ! A tous les coups, elle va t'en payer une autre et une belle ! Elle est comme ça Isabelle, c'est une brave fille, pas méchante, mais elle est très fantasque et parfois elle est chiante, mais je l'aime bien.

- O.K. merci pour tout.

- De rien, tu sais, je ne suis pas con, tu n'as jamais perdu de montre, tu venais chercher des infos sur Isabelle, tu as su y faire, t'es un coquin, toi… et dis donc tu n'as même pas joui.

 

Et il me fout sa main sur ma braguette.

 

- Allez, je ne suis pas vache, je vais te faire une pipe.

 

Je ne bande plus, mais Gino trouve le moyen de me pincer les tétons à travers ma chemise et me revoilà tout excité.

 

Trente seconde après, j'avais ma queue dans sa bouche.

 

Je suis resté debout, il s'est accroupi et m'a fort bien suçé, alternant les introductions profondes avec des mouvements de langues sur le gland. Ses mains sont passées sous ma chemise et continuent à me titiller le bout de mes seins. Je suis aux anges et ne tarde pas à sentir le plaisir prêt à s'échapper de mon membre. Je vais pour le prévenir. Il en a cure et reçoit tout dans sa bouche.

 

Il se relève et approche son visage du mien. J'ai compris ce qu'il veut faire. Ça ne me branche pas vraiment, mais me disant que je lui dois bien ça, je me laisse faire et nous nous roulons une pelle parfumée au sperme frais.

 

- Tiens ! J'aimerais bien faire un tableau, tu poserais pour moi ?

- Moi ? Tu parles d'un tableau, je n'ai rien d'extraordinaire.

- C'est ton cul que je peindrais, juste ton cul, il est trop beau…

 

J'aurais tout entendu !

 

Le soir on a discuté avec Muriel.

 

- On fait quoi ? Demande-t-elle.

- On se laisse manipuler encore une fois ou deux et après on laisse tomber.

- Si on pouvait amasser assez d'argent pour se payer une super croisière.

- O.K. et quand on aura l'argent de la croisière, on laissera tomber.

 

à suivre

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 18:50

Muriel et Sylvain, couple coquin
12 – Le retour du chauffeur de Madame

par Sylvain_Zerberg

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Jeudi

 

Evidemment les événements de la matinée m'ont travaillé toute la journée. (voir chapitre précédent)

 

Il me fallait prendre une décision et j'étais en pleine confusion, d'un côté l'envie de revoir cette femme me tenaillait, de l'autre il fallait bien admettre que j'étais en train de transgresser le principe sur lequel nous nous étions mis d'accord, Sylvain et moi de ma propre initiative.

 

J'avais eu la faiblesse de communiquer mon numéro de portable à Isabelle. Quelle conne je suis ! Elle m'a appelé en fin d'après-midi.

 

- Salut ma puce, je ne te dérange pas ?

- Non.

- J'ai oublié de te demander : tu as l'intention de raconter ce qui s'est passé ce matin à ton mari ?

- Non, enfin j'en sais rien !

- Tu devrais ! Ce serait plus correct !

- Tu crois ?

- Bien sûr

- Juste ta visite, alors ! Je ne parlerais pas du chauffeur !

- Non, faut tous dire.

- Je ne vais quand même pas lui raconter que tu m'as fait faire la pute !

- Si, il faut tous dire, si vous commencez à vous cacher des trucs, c'est dangereux, il n'entre pas dans mes intentions de briser votre ménage.

- Je vais voir !

- Suis mon conseil, tu ne le regretteras pas. Je te laisse, Tchao !

 

Bien évidemment, elle n'avait rien oublié de me demander ce matin. Sa suggestion est une manipulation, me laisser mijoter puis intervenir pour forcer ma décision. Cette femme possède de véritable don d'ensorceleuse.

 

Mais elle n'avait pas tort et je décidais donc d'en parler à Sylvain. Le soir je lui racontais tout.

 

Il ne manifesta aucune colère, aucun signe d'énervement, mais manifestement l'histoire l'intriguait, il insistait pour connaître des détails qu'il n'était sans soute pas nécessaire de connaître pour prendre une décision, j'allais même jusqu'à me demander un moment si mon histoire n'était pas en train de l'exciter.

 

Je voulus en avoir le cœur net et lui ms la main sur la braguette.

 

- Mais tu bandes, mon salaud !

- Ben oui !

- Je suis en train de te raconter qu'une pétasse m'a pratiquement obligé à faire la pute avec son chauffeur et toi tu bandes !

- Obligé, obligé ! T'as bien voulu, non ?

- Disons qu'elle a su me mettre en condition.

- Hum ! Avoue qu'elle n'est pas banale ton histoire !

- Elle n'est peut-être pas banale, mais ce n'est peut-être pas la peine de bander comme une salope.

- Arrête de me traiter de salope, ça m'excite !

- Bon, c'est possible de parler sérieusement ? M'agaçais-je.

- Mais, certainement !

- Ben alors, j'y vais ou j'y vais pas à son rendez-vous ?

- T'en meurs d'envie, non ?

- Oui, j'en meurs d'envie, mais si j'y vais, ça nous libère tous les deux de notre promesse, mais je suppose que ça t'arrange, non ? Le problème c'est qu'on joue avec le feu. On avait un pare-feu, on est en train de le foutre en l'air.

 

Sylvain lève les yeux au plafond, il fait toujours ça quand il réfléchit.

 

- Voyons les choses autrement ! Finit-il par dire. On s'était dit que dorénavant quand on irait en club, on refuserait tout échange d'adresses. On peut toujours fonctionner comme ça... Plus de contacts extérieurs sauf qu'on fait une exception avec Isabelle !

 

Voilà qui me convient parfaitement, on s'embrasse, on s'enlace, je sens sa bite à travers son pantalon.

 

- Si on se faisait un petit apéritif crapuleux ? Suggère-t-il.

- O.K. On mangera après ! Si on essayait le gode ceinture que tu m'as acheté l'autre jour ?

- Bonne idée !

 

Je le sors du placard et l'emporte dans la chambre. Sylvain m'y rejoint... quand retentit la sonnette de l'entrée.

 

- J'y vais.

 

J'ouvre et découvre stupéfaite, le chauffeur d'Isabelle en tenue de plombier. C'est quoi ce délire ? Et Voilà Sylvain qui rapplique.

 

- C'est pourquoi ? Bafouillais-je

- J'ai dû oublier la montre quand j'ai remplacé votre joint, elle a dû rester dans le placard sous l'évier.

 

Et en disant cela, il me fait un imperceptible clin d'œil.

 

Je fais quoi ? Je rentre dans son jeu ou je le fous à la porte. Je suppose qu'il ne vient pas de sa propre initiative, et qu'il s'agit d'une nouvelle manigance d'Isabelle. J'entre donc dans le jeu en me promettant d'arrêter si ça prend une tournure qui me déplaît.

 

- Allez voir, je vous en prie.

- T'as appelé le plombier ? Me demande Sylvain complètement largué.

- Oui ! J'allais t'en parler !

- Ah ?

 

Il s'en va.

 

- Madame Isabelle me fait vous demander si votre mari est au courant ?

- Oui, mais...

- Vous lui avez tout dit ?

- Oui, mais...

 

Je n'arrive pas à en placer une, il file dans le salon et interpelle Sylvain.

 

- Ah Monsieur Sylvain ! En fait c'est vous que je voulais voir, je ne me suis pas présenté je me prénomme Victor, et je suis le chauffeur de Madame Isabelle.

- Attendez, j'ai du mal à suivre. Vous désirez quoi au juste ?

- Mais moi, je ne désire rien du tout, Madame Isabelle m'a simplement demandé de me mettre un moment à votre disposition, si cela vous convient.

- Et bien, vous remercierez Madame Isabelle, mais je n'ai besoin de rien et nous avons à faire… Aussi si vous pouviez nous laisser.

 

C'est à ce moment que j'interviens.

 

- C'est ce monsieur qui m'a joliment enculé ce matin !

- Oui, et alors ?

- Et bien, tu ne serais pas intéressé de voir sa bite.

- Mais, pas du tout !

- Juste une seconde ! Allez-y Victor, montrez lui votre queue.

 

Et Victor sort sa queue de sa braguette. Elle est demi-molle mais quelques judicieux mouvements de poignets parviennent à la faire bander correctement.

 

Sylvain reste bouche bée.

 

- Ben suce-là !

- Heu….

-" Heu" quoi ? Tu ne veux pas goûter à la bite qui a défoncé le cul de ta petite femme ?

- Si, mais avoue que c'est complètement dingue !

 

Et sans autre commentaire, il s'agenouille afin de prendre en bouche cette jolie queue, du moins son extrémité... Parce que vu la longueur de la chose...

 

Depuis cette fameuse sortie en club où la bisexualité de Sylvain s'est révélée au grand jour, j'ai réalisé mon fantasme de voir deux hommes se donner du plaisir sexuels entre eux. Et force est de constater que ça me fascine toujours autant et que ça m'excite de même.

 

Voir le membre viril de Victor coulisser entre les lèvres de mon mari a quelque chose de magique, et mon bas ventre ne manque pas de me le rappeler.

 

Je passe derrière Sylvain et sans déranger sa besogne, je lui ouvre le pantalon afin de dégager sa bite qui bande comme celle d'un taureau. Puis je lui soulève sa chemise et lui pince fortement ses bouts de seins...

 

Sylvain est chauffé à blanc et augmente la cadence de sa pipe. Cette affaire va se terminer plus vite que prévue. Je m'aperçois alors que mon mari ne suce pas trop bien et a tendance à confondre fellation et pompage de bite.

 

Je vais pour m'agenouiller à ses côtés afin de pratiquer une didactique turlutte à deux bouches, mais contre toute attente, Victor se dégage.

Muriel_Sylvain12.jpg

- Mets-toi à poil et à quatre pattes, je vais t'enculer.

- Elle est peut-être un peu grosse, non ? Proteste Sylvain

- Ne vous inquiétez pas, j'ai l'habitude et je suis très doux, n'est-ce pas Madame Muriel ?

- Ma fois !

- Bon on essaye, mais si je vous dis d'arrêter, vous arrêtez, d'accord ?

 

Victor acquiesce silencieusement, se déshabille prestement et s'encapote la bite.

 

Plusieurs essais d'introduction s'avèrent infructueux. Il faut se rendre à l'évidence, ça ne passe pas !

 

- On n'y arrivera pas ! Commente Sylvain sans que je puisse dire s'il s'en félicite ou s'il s'en lamente.

 

Je m'approche, c'est la première fois que j'assiste d'aussi près à une pénétration anale ! Quel spectacle troublant de voir ainsi une bite s'enfoncer ainsi entre les jolies petites fesses de mon mari. Je cherche à participer d'une façon ou une autre, mais ne sait comment me détacher de cette vision fascinante. Sylvain pousse des gémissements forts peu discrets, il est aux anges. Victor accélère, puis décule brusquement en faisant un drôle de bruit, un peu comme une bouteille qui se débouche, retire sa capote et envoie une longue giclée de sperme sur le dos de mon mari. Il s'essuie avec un kleenex et se rhabille sans dire un mot.

 

Sylvain à demi-groggy finit par se relever et va pour se diriger vers la salle de bain, à ce moment Victor sort deux billets de son portefeuille et les pose sur la table.

 

- C'est quoi ? Demande mon mari.

- C'est pour vous, c'est toujours le baiseur qui paye !

- Mais...

- Je sais normalement, on paye d'avance, je me conformerais aux règles la prochaine fois, soyez en assuré. Sur ce, messieurs-dames, je vous souhaite une bonne soirée.

 

J'ai comme une envie de rire...

 

Et le voilà parti.

 

- C'est dingue ! Balbutie Sylvain.

- Va te nettoyer le dos et rejoins-moi vite dans la chambre, je ne tiens plus, j'ai la chatte en feu !

 

Je me déshabille et m'étale sur le lit. Le gode ceinture est resté sur la table de chevet. On l'essayera un autre jour.

 

Qu'est-ce qu'il fout Sylvain ? J'entends le bruit de la douche ! Il va me faire attendre encore longtemps ce zigoto ?

 

Et si... Je prends le gode ceinture et me le fout dans la minouche. Je le fais aller et venir, je mouille tellement que ça fait des floc-floc dans ma chatte.

 

- Je suis là !

 

Ben oui, je l'ai vu et il a la bite en étendard ! Comment il fait pour tenir une telle forme ?

 

- Lèche-moi, j'en peux plus !

 

Ce n'est sans doute pas ce qu'il souhaitait faire de prime abord, mais il n'est pas chiant, et il s'exécute gentiment, léchant d'abord ma mouille pour ensuite venir (enfin !) butiner mon clitounet. Je suis partie très vite. Très vite et très fort. Houlala que ça fait du bien.

 

Sylvain semble dubitatif.

 

- J'ai compris ! Il faut que tu te soulages d'urgence, je te suce ?

- Euh... Ton cul ?

 

OK, je me mets en levrette, après tout ce n'est pas une mauvaise idée, j'aime bien jouir du cul. Sylvain a dû me sodomiser moins de trois minutes chrono avant de lâcher sa purée.

 

- Essaie de continuer un peu !

- Je peux pas, je vais te lécher encore si tu veux.

- Non laisse, ça va, on va casser la croûte.

- Quand même c'est dingue cette histoire ! Je me demande à quoi elle joue, Isabelle ?

- Ne t'inquiète pas, on ne devrait pas tarder à avoir de ses nouvelles.

- Qu'est-ce qui te fais dire ça ?

- Mon petit doigt !

- Fous le moi dans le cul.

 

C'est demandé si gentiment... mais ça ne l'a pas fait rebander !

 

 

(à suivre)

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Mercredi 29 juin 2016 3 29 /06 /Juin /2016 18:47

Muriel et Sylvain, couple coquin

11 - Le chauffeur de Madame

par Sylvain

 

BiteFlag

 

Attention, changement de narrateur, c'est aujourd'hui Muriel qui va s'exprimer.

 

Bonjour, je suis Muriel, je travaille à mi-temps dans un bureau d'import-export. Je travaille donc le mardi, le jeudi et un mercredi sur deux. Et comme aujourd'hui, c'est mercredi, je ne travaille, pas. Il est 11 heures et je m'apprête à descendre chercher du pain, lorsque la sonnette retentit.

 

J'ouvre ! Qui c'est celle-là ? Son visage me dit quelque chose. Une très belle femme en tous cas.

 

- C'est pour le recensement !

- Ah, c'est long ? J'allais partir !

- Dix minutes maximum !

- Entrez !

 

L'apparition pose son manteau sur le dossier d'une chaise. Elle ne l'a pas acheté aux puces son manteau. Elle a une espèce de haut outrageusement décolleté et le cou bariolé de collier. Qui c'est, cette nana ? Elle me regarde avec une insistance qui devient gênante.

 

- On essaie d'aller vite ! Insistais-je

- Je suis venu m'excuser pour ma conduite !

- Pardon !

- Je m'appelle Isabelle, ce nom doit vous rappeler quelque chose, J'ai voulu jouer avec votre mari, disons que j'ai mal analysé les choses.

 

Surréaliste, la situation !

 

- Bon, ben d'accord, je vous remercie de votre démarche, je trouve ça très correct, mais maintenant on va peut-être en rester là ! Répondis-je en me levant.

 

Putain le regard qu'elle a ! Qu'elle arrête, qu'elle arrête tout de suite où je vais faire des bêtises !

 

Sa langue passe sur ses lèvres.

 

- Je peux t'embrasser ? Demande-t-elle.

- Non ! Ou alors juste un bisou et après on se sépare.

 

Je suis folle de répondre ça. Juste un bisou, tu parles, la fille est une véritable sangsue, sa langue pénètre ma bouche, je me laisse faire, je suis toute moite. Une diablesse vient d'entrer dans notre appartement et de m'envouter.

 

- Déshabille-toi !

 

C'est plus une suggestion qu'un ordre, mais je m'exécute comme un zombie. Deux minutes plus tard, j'étais complétement nue devant elle.

 

- Beau spectacle ! A mon tour de me déshabiller.

 

Mais elle ne le fait pas, s'empare de mes tétons et les tortille

 

- Tu aimes ?

- Oui !

- Je le savais, je te les avais déjà tortillés un peu au club, tu te souviens ?

- Oui !

 

Elle serre plus fort.

 

- Et comme ça, tu aimes ?

- Oui, mais pas plus fort !

 

Elle en a cure et augmente sa pression.

 

- Dis-moi que c'est bon !

- Ça fait mal mais c'est bon !

 

Elle me les relâche et me met la main à la chatte.

 

- Tu mouilles comme une salope !

- C'est de votre faute.

 

Elle s'est reculée. Pourquoi ? J'ai trop envie de la caresser. Peut-être va-t-elle enfin se déshabiller ? Elle farfouille dans son sac à main. En sort une carte et me la tend.

 

- Tiens, si tu veux qu'on fasse des choses toutes les deux, tu m'appelles.

- Vous ne… Tu ne vas pas partir ?

- Si pourquoi ?

- T'es un peu salope de me laisser dans cet état-là !

- Tu vas jouir toute seule en pensant à moi… et la prochaine fois on se fera plein de choses toutes les deux.

- Je n'ai pas envie de jouir toute seule !

- J'ai bien une solution, mais faut que tu m'obéisses !

- C'est quoi ? Demandais-je

- Tu verras bien, promets-moi de m'obéir !

- J'ai l'impression que tu me tends un piège.

- Il n'est pas méchant mon piège !

- Alors d'accord !

 

Elle prend son portable :

 

- Victor, rejoignez-moi, j'ai besoin de vous, c'est au troisième à droite, le premier escalier.

- C'est qui Victor ?

- Mon chauffeur.

- Oui ben, on va peut-être arrêter les conneries.

- T'avais promis !

- Et bien, je ne tiendrais pas ma promesse.

- Tant pis !

 

Elle se rapproche de moi, je ne bouge pas, elle me tétanise, elle me reprend mes bouts de seins entre ses doigts, elle les serre. C'est trop bon, je deviens folle. On sonne.

 

- Va ouvrir !

 

J'y vais, je fais entrer Victor, c'est un grand black. Pas mal !

 

- Sors-lui la bite de sa braguette et suce-le !

 

J'hésite, me faire dominer par Isabelle ne me déplait pas, mais là ça va pas peut-être trop loin. Je ne bouge pas. Isabelle s'approche de moi, elle me toise, puis me gifle deux fois. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas été giflé. Je ressens un plaisir trouble.

 

- Fais ce que je t'ai dit !

 

La situation m'échappe, je ne sais plus où j'en suis, mais je ne bouge toujours pas.

 

- Ouvre ta bouche, salope !

 

Je le fais sans réfléchir ! Isabelle me crache dedans. Je me surprends à jouer la soumise de cette façon.

 

- Tu vas faire ce que je t'ai dit ?

- Oui !

 

Je m'approche du black, lui farfouille la braguette, en extrait une longue bite semi bandée, et sans plus de formalités j'y promène ma langue. Sa queue est douce, la texture est agréable, le seul problème c'est que j'ai du mal à mettre tout ça dans la bouche. Je fais ce que je peux : je léchouille, j'aspire le gland…

 

- Mets-toi en levrette, il va te prendre.

- Je ne sais pas…

- C'est quoi le problème ?

- Je ne sais pas, ça va trop loin !

- O.K. t'aimerais me caresser ?

- Te caresser, toi, bien sûr !

- Et bien se sera possible quand, il t'aura baisé.

- Laisse tomber !

 

Victor se branle mollement en attendant que sa patronne lui dise quoi faire. Après un moment de silence, Isabelle tend son bras et pointe son index vers le sol.

 

- Muriel ! Dit-elle d'un ton autoritaire.

- Oui !

- En levrette, vite, obéis-moi !

 

Cette nana a du magnétisme en elle. Je ne saurais jamais pourquoi j'ai obtempéré, mais je l'ai fait.

 

Victor vient derrière moi, il me pelote, puis m'écarte les fesses. Il ne va tout de même pas me sodomiser avec cette trop grosse bite ?

 

- Pas dans le cul !

- Laisse-toi faire, c'est un spécialiste ! Intervient Isabelle.

 

Un peu de gel, quelques doigts, et trois minutes après j'avais tout son paquet dans le cul. Il commence doucement, mais ensuite s'excite et se contrôle plus, il me laboure le fion, ça fait du mal et ça fait du bien. Il va de plus en plus vite. Je jouis du cul. Et tout d'un coup le voici qui décule. Ça fait un drôle de bruit, comme une bouteille qu'on débouche. J'ai le cul horriblement dilaté, ce n'est pas très agréable comme sensation.

 

- Mets-toi à genoux ! Me demande Isabelle.

 

Muriel49.jpg

 

Le Victor n'a pas joui, je constate qu'il m'a baisé sans se déshabiller ni même baisser son pantalon, il m'a enculé avec la bite juste sortie de la braguette. Il retire promptement sa capote et se masturbe comme un malade. Son sperme finit par jaillir, par réflexe, j'ai fait en sorte que ça ne vienne pas m'atterrir sur mon visage, mais j'en ai quand même…

 

Isabelle vient en recueillir quelques gouttes avec son index et me le met dans la bouche.

 

- Je peux faire pipi ? Demande Victor.

- Il va te rafraichir ! S'amuse Isabelle.

 

Je n'ai même pas eu le temps de dire si j'étais d'accord ou pas, je reçois un jet de pisse sur tout mon corps. Je n'ouvre pas la bouche, je ne suis pas assez intime avec ce monsieur pour boire son urine.

 

Et voilà, je me retrouve avec une flaque de pisse sur mon parquet flottant. Mais Victor après m'avoir demandé une serpillère a la grande bonté de nettoyer tout ça. Il a oublié de ranger sa bite. Il a l'air malin maintenant avec ce gros machin noir qui pendouille !

 

Il finit par mettre de l'ordre dans ses petites (si j'ose dire) affaires.

 

- Je vous attends dans la voiture ? demande-t-il à sa patronne.

- Tu n'as rien oublié ?

- Euh !

- Tu n'as rien oublié ? Répète Isabelle.

- Euh !

- Tu te figurais que c'était gratuit ? C'est pas Noël aujourd'hui, il s'agirait de payer la petite dame.

- Ah ? Ah, oui, pardon !

 

Il sort deux billets qu'il pose sur la table.

 

- C'est assez ?

 

Je ne réponds pas, qu'est-ce que vous voulez que je réponde ? Il s'en va. Isabelle me regarde avec un air amusé. J'en ai marre d'être à poil devant elle, j'attrape mon soutien-gorge et je le remets, puis j'attrape la culotte.

 

- Donne ! Dit Isabelle

- Donne quoi ?

- Donne ta culotte !

- Tu veux ma culotte ?

- Oui, je te la rendrai demain !

- Demain, je travaille

- Alors après-demain ! 9 heures au Métro Victor Hugo ! Bisous ?

 

Bisou ? Bien sûr bisou ! Mais un bisou sage ou…

 

On voulait la même chose, on s'est roulé une pelle bien baveuse, puis madame est partie…

 

Bon récapitulons, je me suis fait envouter par une femme que je n'aurais jamais dû rencontrer, j'ai sucé la bite d'un black qui m'a enculé, qui m'a pissé dessus, et à qui on fait croire que j'étais une pute.

 

Bon faut que je me rhabille… et l'autre qui a embarqué ma culotte… Puisque c'est ça je ne vais pas en mettre… et qu'est-ce que j'ai mal au cul… Où j'en étais ? Ah, oui, il faut que j'aille acheter du pain. Mais avant…

 

Je sors un plan du métro de Paris, et je regarde comment être vendredi à 9 heures au métro Victor Hugo sans être en retard.

 

Je vous l'ai dit, Isabelle m'a envouté.

 

 

(à suivre)

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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