Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:02

L’Odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 13 – Aréna par Nicolas Solovionni-

 

 

Thèmes abordés :  bisex féminine, doigtage masculin, science fiction, trio, uro. 

Quelques jours plus tard Zarouny brancha Aréna :

- Pourquoi t’es entrée dans la résistance ?
- Par hasard ! J’ai un jour fait part de mon écœurement devant ce qu’était devenue Dini à une copine. Elle m’a dit qu’elle essayait avec d’autres de voir si on ne pouvait pas organiser quelque chose pour essayer de la déloger. Alors j’ai proposé mes services.
- Et t’as fait des trucs intéressants ?
- Non, j’ai juste participé à un assaut contre un bâtiment de police, ça à foiré lamentablement et j’ai eu la chance de m’en être sortie, sinon, on m’a fait faire des trucs, je ne savais même pas à quoi ça servait, porter des trucs à droite à gauche, transporter des gens, transmettre des messages…
- Tu peux peut-être me le dire maintenant, tu aurais vraiment tué Morgan.
- On m’avait demandé de l’assommer, mais en même temps j’ai bien vu ce que Vuella a essayé de te faire, j’étais prise dans l’engrenage. Mais bon c’est le passé. Et toi c’était quoi ton vrai projet ?
- Bof ! Au départ je voulais juste profiter du succès de la mission…
- Le succès de la mission ?
- Oui, puisque le but était de larguer Malvina. Donc je pensais d’abord en profiter pour m’élever dans la hiérarchie, puis j’avoue que ça m’est monté à la tête, Je suis allé sur Simac3 voir la sainte.
- La sainte ? Mais elle n’existe pas la sainte !
- Oui mais ça, vois-tu, je ne l’ai pas compris tout de suite. Je me suis fait abuser par une mise en scène, mais sur le coup je me voyais déjà papesse.
- Avec quel programme ?
- J’en n’avais pas, enfin rien de précis, je trouvais juste qu’il y avait trop de bureaucratie, trop de règlements, trop de rigidité, trop de corruption… Et puis il y a eu lui ! Continua-t-elle en désignant Morgan.
- J’aimerais bien savoir, mais t’es pas obligé…
- Au départ je voulais juste le manipuler, j’ai joué un jeu dangereux, de plus en plus dangereux, en me cherchant des excuses, des bonnes raisons. Je n’ai compris qu’un peu tard qu’en fait il m’excitait.
- Et tu as été jusqu’à le ramener ici, c’était un peu de l’inconscience, non ?
- Non, il ne se serait pas dévoilé tout de suite, tout aurait dépendu de ce qu’Artémise me proposait comme poste… mais j’aurais pu commencer par lui suggérer l’autorisation d’avoir des esclaves mâles personnels. La brèche aurait été ouverte…
- Dis-moi, tu n’as plus besoin de moi, maintenant, si tu me laisse filer, je ne vous dénoncerais pas.
- Encore, c’est une obsession ! On t’a déjà dit non !
- Qu’est-ce que tu vas faire, tu vas recommencer à m’attacher.
- Non, je te demande de rester encore un peu.
- Donne-moi une bonne raison !
- T’aimerais t’amuser avec Morgan ?
- Oui j’essaierais bien.

Morgan avait assisté à toute la conversation sans intervenir. Il restait assez stupéfait de la façon dont Zarouny disposait de sa personne. Il se promit de recadrer tout ça dès qu’il en aurait l’opportunité. Mais pour ce qui était de la situation présente, il ne pouvait se défiler, d’abord parce que la présence d’Aréna était quelque part une garantie dans leur cavale, dans la mesure où elle connaissait mieux le terrain que Zarouny, et puis aussi parce qu’Aréna ne lui déplaisait pas.

- Quand tu veux ! Répondit Zarouny
- Maintenant, on peut ?

Morgan fit un signe de tête indiquant par là qu’il n’était pas contre.

- On fait ça à deux ou à trois ? Demanda Aréna.
- A trois, c’est mieux, non ? Réplica Zarouny.

Ils ne tardèrent pas à être nus tous les trois tandis que le soleil local éclairait un ciel sans nuage.

- Oh, ce soleil, cette chaleur, ce calme, finalement on est bien ici !

Et tout en proférant ses paroles, Zarouny se mit à exécuter une sorte de danse sauvage en sautillant, en levant les jambes et faisant des moulinets avec les bras.

- Ça va, t’as la forme, toi railla Aréna.
- Faut voir le bon côté des choses, sinon on va déprimer ! Allez viens, on va s’occuper de la bite de Morgan.

Les deux femmes s’accroupirent auprès de l’homme, elles ne se concertaient pas, mais c’est Zarouny qui dirigeait les opérations, Aréna se contentant de lécher et de sucer là où l’autre lui laissait le faire.

Mais quand Zarouny passa derrière Morgan afin de lui flatter l’anus ave sa langue agile, Aréna put enfin profiter de sa bite pour elle toute seule, elle se précipita dessus comme un chat sur une souris, s’efforçant d’en mettre le maximum dans sa bouche, puis se régalant de sa texture et de son odeur.

- Suce le gland ! Lui demanda Morgan

Elle le fit, ne tardant pas à deviner que l’endroit était ultra-sensible.

- Euh doucement les filles, sinon je vais partir trop vite.

D’instinct Aréna se recula.

- Tu veux qu’il t’encule ? Demanda Zarouny.
- Ça fait pas mal ?
- Tu t’es déjà pris des godes ?
- Oui, mais c’est pas pareil !
- T’as raison, c’est pas pareil, c’est beaucoup mieux. Allez, mets-toi en position, il va te faire ça comme un artiste !

Avec une certaine appréhension, Aréna se mit en levrette.

- Cambre ton cul, écarte tes jambes ! Lui demanda Morgan.

La femme s’exécuta !

- Oh, quel spectacle ! Que c’est beau ! S’exclama-t-il !
- Ben quoi ! Intervint Zarouny, qu’est-ce qu’il a de plus que le mien ?
- Il n’a rien de plus, vous avez toutes les deux un beau cul.
- Le mien est forcément plus beau, je suis plus jeune.
- Tu ne serais pas un peu jalouse, toi par hasard ?
- Personne n’est jaloux sur Novassa, la jalousie est une notion débile. Et d’ailleurs si j’étais jalouse, je n’aurais pas proposé à Aréna qu’elle fasse des trucs avec toi.

Que voulez-vous répondre à ça ?

- Si ça me fait mal tu arrêtes, d’accord ? Le prévint Aréna.
- Ne t’inquiète pas !

Du jus de mouille avait dégouliné de sa chatte jusqu’à son cul, mais Morgan tint à enfoncer préalablement un doigt, puis deux afin d’assurer convenablement la pénétration. Mais déjà la présence de ces doigts la faisait gémir.

- Ah, oui, c’est bon tes doigts, continue…
- On te l’a déjà fait, ça !
- Oui vas-y, fous-moi ta bite !
- On y va, on y va !

La gland force l’entrée, ripe, mais pénètre dès la seconde tentative.

- Attention, je m’enfonce.
- Olala, doucement, aïe !
- Je vais doucement ! Là, je suis à fond.
- Doucement, mouvement !
- Ne t’inquiète pas

Morgan recula tout doucement, puis se renfonça.

- Attention, je vais aller plus vite !
- Ooooh !
- Ça va ?
- Oui, c’est bon ! Ouuuiiii !

Et tandis que Morgan pilonnait maintenant Aréna comme un sauvage, Zarouny cherchait comment s’intégrer dans ce jeu érotique. Elle eut d’abord l’idée d’offrir sa chatte à sucer à la femme mais celle-ci gigotait décidément de trop sous les coups de butoir de son partenaire. Elle passa alors derrière Morgan, se mouilla deux doigts et les lui enfonça dans le cul…

Maintenant Aréna criait de plaisir et tenait des propos incompréhensibles. Morgan accéléra et finit par jouir dans les entrailles de sa camarade de jeu. D’instinct, Zarouny retira ses doigts encore enfoncés dans son fondement, décuplant ainsi sans qu’elle en eut conscience le plaisir de l’homme.

- Ça va ? Demanda Morgan ?
- J’ai un peu mal au cul, mais ça va ! C’était bien. Répondit Aréna en se redressant.
- On y prend goût, hein ? S’amusa Zarouny.
- Il faut que j’aille pisser !
- Moi aussi et après j’aimerais bien que tu me lèches !
- Pisse-moi dessus !
- Te pisser dessus ?
- Ben, oui, tu ne vas pas me dire que tu ne l’as jamais fait, et puis perverse pour perverse, hein !

Aréna s’entendit sur le sol.

- Sur le ventre, sur les seins ? demanda Zarouny.
- Comme tu veux, mais je veux bien en boire aussi.

Le jet ne semblait jamais vouloir se tarir, après avoir aspergé, les cuisses et l’entrejambe de la femme. Zarouny était remontée jusqu’aux seins et visait à présent le visage. Aréna bouche ouverte avalait tout ce qu’elle pouvait.

Lorsque Zarouny eut terminé sa miction, elle proposa à sa partenaire d’inverser les rôles.

Morgan regardait tout cela avec étonnement et excitation, se disant que décidément les femmes de Novassa avaient de bien curieux passe-temps.

- Et toi tu ne veux pas nous pisser dessus, demanda Aréna.
- Je n’ai pas envie ! Mentit-il

Il regretta son mensonge, se demandant pourquoi il l’avait prononcé.

- Vous venez vous occuper de moi ! Demanda Zarouny en s’allongeant de tout son long sur le sol.

D’autorité Morgan vint se placer entre ses cuisses et commença à la lécher. Elle ne s’était pas essuyée la foufoune après avoir pissé sur Aréna, mais Morgan fut surpris de ne pas être gêné par ce gout d’urine mélangé à celui de sa mouille.

Histoire de varier les plaisirs, Morgan la doigtait de deux doigts : son index et de son majeur placés en crochet et pendant ce temps-là Aréna lui gobait les tétons.

Quand Morgan retira ses doigts, il attaque de nouveau avec la langue mais visa de suite le petit clitoris érigé. Bientôt Zarouny cria son plaisir puis vint étreindre son amant.

- Bon faut que j’aille pisser ! Finit-il par dire au bout d’un moment
- Je croyais que tu n’avais pas envie !
- Maintenant si !
- Pisse-nous dessus ! Demanda Aréna.

Morgan aurait pu refuser, personne ne l’obligeait. Il n’avait jamais pratiqué les jeux uro, on lui avait déjà proposé de l’initier mais sans qu’il ne donne suite. Mais aujourd’hui les circonstances étaient différentes. Il ferma les yeux et se concentra et quand il sentit le jet se libérer il arrosa les deux femmes comme s’il avait fait ça toute sa vie.

Un jour, l’une ou l’autre lui demanderait d’inverser les rôles, il était déjà prêt à accepter, après tout la chatte de Zarouny qui sentait l’urine n’avait pas eu un mauvais goût !

Le jeune homme avait désormais conscient qu’il avait profondément changé. En voulant déniaiser Zarouny, il se rendait compte qu’il se déniaisait aussi. On lui aurait dit un jour au départ de la Terre qu’un jour il jouerait à des jeux de pipi ou qu’on lui flanquerait un gode dans le derrière sans qu’il n’y trouve à redire, il ne l’aurait jamais cru !

Le quinzième jour, ils arrivèrent enfin aux abords de la ferme abandonnée.

- Il y a de la lumière ! C’est ça ta ferme abandonnée ! Eructa Morgan.
- Elle est abandonnée, je sais de quoi je parle ! Intervint Aréna.
- Ça sent le piège !
- Arrêtez, si j’avais voulu vous piéger, je n’aurais pas choisi un truc aussi éloigné.
- Et la lumière ?
- Ce ne peut être que des proscrits qui ont eu la même idée que nous.
- Mais ils la produisent comment l’électricité ?
- Avec un générateur, quant au pétrole il y des nappes un peu partout.
- Comment être sûr ?
- Venez par-là !

Ils bifurquèrent vers les terrains en pente.

- Regardez les plans de vignes, tout est pourri, vous voyez bien que la ferme ne fonctionne pas.

- Faut qu’on essaie d’aller voir ! Dit Zarouny. Qui c’est qui s’y colle ?
- Je vais y aller, proposa Morgan.
- Ben, non tu ne ressembles plus à une femme avec ta barbiche, je vais y aller avec Aréna. Tu nous couvres en cas de problème.
- Attendez, il faut qu’on se mettent d’accord tous les trois sur ce qu’on va raconter si on rencontre du monde.

Ce fut rapide, Zarouny fit taire les réticences d’Aréna et les deux femmes s’avancèrent.

- Y’a quelqu’un ?
- Les mains en l’air et ne bougez plus ! Répondit une voix d’homme.

« Une voix d’homme ? »

- On n’a pas d’armes !
- Ne bougez surtout pas, je viens voir.

Un homme sortit du bâtiment, armé… d’un arc et d’une flèche.

- Vous êtes combien ?
- Deux ! Mais on a un homme armé en couverture, nous n’avons pas de mauvaises intentions.
- Vous êtes dans un sale état, vous venez d’où ?
- On va vous raconter.
- On vous suit ?
- Non !

- Asseyez-vous à la table qui est là dehors et faite signe à votre ange gardien de venir, je range mon arc mais on vous surveille de l’intérieur.

Morgan vint les rejoindre.

- Je suis Kiffer, vous sortez d’où ?
- Crime passionnel, on me recherche ! Mentit Zarouny. Elle, c’est Aréna, elle n’a rien fait, je lui ai piqué son camion, c’est elle qui m’a expliqué que cet endroit était abandonné.
- Vos puces ?
- On les a retirés ! On peut vous montrer les cicatrices !
- S’il vous plait, oui !

Du coup Kiffer se fit plus aimable.

- Et lui ?
- Un cosmonaute en galère.
- Habillé en femme ?
- Un pari stupide, au bistrot de l’astroport on m’a dit qu’on pouvait visiter la ville en se déguisant en femme, je n’ai pas été bien loin, je me suis fait rapidement repéré et j’ai été obligé de me cacher dans un camion, je me suis endormi et quand je me suis réveillé on roulait avec ces deux dames.
- En voilà une histoire !
- Incroyable n’est-ce pas ?
- Et je suppose que votre vaisseau ne vous pas attendu ?
- Ça fait quinze jours…
- Et vous n’avez pas eu peur de lui ? Demanda Kiffer aux femmes.
- Au début si, mais on a eu le temps de s’habituer.
- Et vous espériez quoi en venant ici ?
- On n’espère rien, dans un premier temps on voudrait se reposer, prendre une douche, dormir dans un vrai lit et manger autre chose que des saloperies.
- On peut vous accordez ça ! Mais après ?
- J’n'en sais rien, mais si vous nous parliez de vous ?

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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