Pr Martinov

Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:19

Martinov 21 – Sex-machines – 9 – Réglages mécaniques par Maud-Anne Amaro

 

Ninotchka

Revenons un peu vers Duplessis, qui se retrouve avec un tas de problèmes à gérer : faire ouvrir sa voiture, soigner son nez, mais aussi se racheter un téléphone, signaler la perte du précèdent, se faire refaire ses clés de voiture, quant à essayer de comprendre ce que lui veut cet agent secret à la manque, il renonce à saisir, mais se dit qu’il n’a vraiment pas eu de bol d’avoir booké une fille qui fricote avec la « sécurité du territoire ».

 

Mardi 19 février

 

Le nez de Duplessis ne sera plus jamais le même ! Gérard Petit-Couture l’ayant définitivement écrabouillé.

 

Il s’est racheté un téléphone mais comme il n’a procédé à aucune précaution particulière afin de sauvegarder son carnet d’adresse et qu’il n’y connait pas grand-chose, il se retrouve gros jean comme devant. Il ne peut donc téléphoner à Sonia pour lui demander comment s’est déroulée sa mission auprès de Rondeval.

 

Se refusant à aller chez ce dernier sans savoir, il se résigne à se déplacer jusqu’à l’atelier de Laviron en espérant qu’elle y soit…

 

Ce jour-là le professeur Martinov avait convenu de se rendre au hangar de Laviron afin de remplacer les moteurs et de procéder aux réglages de ses machines.

 

Il récupère Béatrice au passage laquelle a insisté pour être présente :

 

– Je ne le sens pas ce mec, on ne sait jamais autant, qu’on soit deux ! Lui répéta-t-elle.

– T’as l’air fatiguée !

– J’ai eu une soirée un peu compliquée hier soir avec Gérard, mais on a bien rigolé et ça s’est terminé en partouze.

– Tu me racontes !

– Bien sûr !

 

Ce qu’elle fit et avec force détails !

 

– C’est malin de me raconter ça, maintenant je bande comme un âne !

– Mon pauvre petit professeur !

 

Sur place, ils saluèrent chastement Sonia, Laviron n’ayant nul besoin de savoir qu’ils la connaissaient désormais très intimement.

 

– Ça va être long ? s’enquit Laviron.

– Non, on a prévu la matinée, ça devrait le faire, mais on ne sait jamais.

– Bon, eh bien, allez-y, je vous laisse opérer !

– On va commencer par la machine à piston, ce sera la plus facile.

 

Le professeur Martinov se mit donc à bricoler la « fuck-machine » sous les yeux attentifs de Béatrice qui n’y connaissait pas grand-chose en mécanique. Laviron observait d’un œil, plus loin tandis que Sonia assise sur une chaise tripotait son téléphone portable en attendant qu’on ait besoin d’elle.

 

Un quart d’heure plus tard on sonnait à la porte du hangar. Agacé, Laviron s’en alla ouvrir.

 

– Bonjour, est-ce que je pourrais parler à Sonia ?

– Elle travaille !

– J’en aurais pour trois minutes chrono, j’aurais dû l’appeler mais j’ai un petit problème de téléphone.

– Entrez, je vais l’appeler !

 

– Sonia, il y a un type qui veut vous causer, restez dans l’entrée, je ne veux pas qu’on voit les machines, et ne vous éternisez pas.

 

Sonia réfléchit rapidement, personne ne savait qu’elle travaillait ici à part Rondeval-Blanquart, mais puisque ce dernier était censé être neutralisé…

 

– Dites que je suis pas là et demandez qui c’est ?

– Je ne suis pas là pour faire vos commissions.

– Toujours aussi charmant, Monsieur Laviron !

 

Un raclement de gorge, Duplessis vient de pénétrer dans l’atelier !

 

– Je ne vous ai pas autorisé à entrer ici ! Vocifère Laviron.

– Trois minutes j’en ai pour trois minutes !

– Allez discuter dans l’entrée, vous n’avez rien à faire ici !

 

Sonia un peu déboussolée se sent obligé d’y aller !

 

– Bonjour, mon téléphone est cassé je voulais juste savoir comment ça c’était passé ?

– Ça s’est passé sans problème !

– Vous pouvez me donner un détail de sa déco ?

– Une tête de cerf au-dessus d’un miroir en losange, pas un vrai losange mais je ne sais pas comment…

– C’est parfait ! Bonne journée mademoiselle, et merci pour le service !

 

Il disparaît laissant Sonia perplexe et en sueur.

 

– C’est qui cet emmerdeur ? Demande Laviron.

– Peu importe, le problème est réglé !

– Vous ne voulez pas me dire ?

– Ça ne vous regarde pas !

 

Béatrice est inquiète, elle a aperçu Duplessis et sa visite ne lui dit rien que vaille, de plus Sonia semble anxieuse.

 

Il faut qu’elle sache ! Mais comment faire dans ce hangar sans dévoiler leur complicité ?

 

Heureusement il y a le téléphone, elle envoie discrètement un message à Sonia.

 

– Il te voulait quoi ?

– Vérifier qu’on était bien allé chez son jules !

– C’est tout ?

– Oui, mais Gérard nous avait dit, qu’il n’y aurait pas de suite…

– Je l’appelle !

 

Béatrice prétexte une envie de pisser afin de s’isoler et rend compte à Gérard.

 

– Tout va bien ! Répond-il

– Comment ça « Tout va bien » ?

– Qu’est-ce qui va se passer ? Duplessis va se pointer chez Rondeval comme une fleur et il va se faire jeter. Comment veux-tu qu’en l’état actuel des choses il puisse deviner que vous lui avez raconté autre chose que ce qu’il avait prévu ?

– Certes, mais…

– Donc il va mettre la réaction de Rondeval sur le compte de sa psychorigidité et basta.

– Rondeval ne peut pas se douter qu’il a été manipulé ?

– Non, quatre personnes sont venues le voir en invoquant le lien entre Duplessis et les services secrets, et il a vu ma carte ! Non, on est bordé.

 

« Puisqu’il le dit ! »

 

Effectivement, c’est tout fringuant que Duplessis compose le digicode de l’immeuble de Rondeval et vient sonner à sa porte.

 

Mais Rondeval n’est pas là, il est allé dans une agence de voyage acheter un vol vers la Nouvelle-Calédonie ! C’est extra la Nouvelle-Calédonie, pas besoin de visa puisque c’est la France.

 

Quand il revient, son billet en poche, il aperçoit Duplessis qui fait le pied de grue devant son immeuble.

 

« Qu’est-ce qu’il fout là, ce con ? »

 

Duplessis s’avance vers lui, tout sourire, Rondeval le laisse approcher, puis avant qu’il n’ait pu ouvrit la bouche le gifle deux fois de suite.

 

– Je t’ai dit que je ne voulais plus voir ta sale gueule, vas te faire enculer chez les saoudiens !

– Mais…

 

Le dialogue est impossible, Rondeval a déjà franchi la porte d’entrée.

 

« Si on a été suivi, ces connards vont comprendre qu’on a un gros désaccord, ce qui est en soi plutôt une bonne nouvelle ! »

 

Il monta terminer de remplir ses valises, puis il prit un taxi jusqu’à l’aéroport de Roissy. On ne le suivait pas, mais cela ne le rassurait pas pour autant. Il y avait un vol dans trois heures en direction des Iles Saint Pierre et Miquelon, il se renseigna afin de savoir s’il restait des places, il paya en liquide, fier de son coup, si les barbouzes l’attendaient en Nouvelle Calédonie, ils risquaient de l’attendre longtemps

 

Duplessis marchait le long du canal Saint-Martin en regardant l’eau, il savait qu’il n’aurait pas le courage de s’y jeter. Alors il fit comme les loosers américains déprimés dans les films hollywoodiens, il commanda un whisky, puis un deuxième. Ne tenant pas trop bien l’alcool, il revint chez lui en titubant. Le lendemain il reprendrait sa petite vie de garçon de courses au Crédit Général, la petite vie quoi.

 

– Voilà c’est prêt ! Indiqua Martinov après avoir fait fonctionner à vide la fuck-machine. On peut maintenant procéder aux essais en réels.

– Allez Sonia, en position s’il vous plaît ! Ordonne Laviron, on commence par la fuck machine.

– On y va, on y va ! Vous avez enfilé un préservatif sur le piston ?

– Oui, mais c’est idiot, la machine n’a pas le sida.

– C’est peut-être idiot mais ça glissera mieux !

 

Sonia après avoir enlevé le bas, s’installe dans le fauteuil et relève les jambes.

 

– Quand même avec des étriers, ça aurait été plus confortable.

– Vous me l’avez déjà dit ! Bon Monsieur Martinov, je vous laisse introduire le piston dans l’intimité de mademoiselle.

– Béatrice va le faire, moi je reste près de la machine.

– Comme vous voulez !

 

Béatrice rapproche alors le fauteuil où est installée Sonia afin que l’extrémité du piston puise lui entrer dans la chatte, mais juste au bord.

 

– C’est bon ! Moteur !

 

Le professeur fait démarrer la machine en vitesse minimum, le piston ressort de la chatte de Sonia.

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– Il faut encore rapprocher le fauteuil.

 

On le fait, cette fois, le piston fait correctement son boulot, Martinov augmente progressivement la vitesse.

 

Le piston se met à faire des va-et-vient qui n’ont pas l’air de laisser Sonia indifférente puisqu’elle commence à se mettre à miauler d’aise.

 

– Bon, c’est O.K, on va pouvoir tester la seconde machine.

– Non, non proteste Laviron, la représentation durera dix minutes, donc on fait dix minutes, Et puis il faut qu’on teste l’introduction anale, Sonia, rectifier un peu la position de façon à ce que… à ce que…

– A ce que le machin me rentre dans le trou du cul, ça va j’ai compris.

– Ce n’est pas une raison pour être vulgaire

– Ce n’est pas de la vulgarité c’est de l’anatomie.

– Vous vous mettez en position, oui ou non ?

– On y va, on y va… Mais mettez un peu de gel.

– C’est tout, oui ?

– Ce sera tout, oui !

 

Laviron prend un carré de gel, ouvre l’étui et s’approche des intimités de Sonia.

 

– Non ! Vous ne touchez pas à mon cul ! Le gel c’est sur le piston.

– Chochotte !

 

Laviron fit signe a Martinov de faire redémarrer la machine. Le piston se mit alors à entrer et à sortir lentement de l’anus de la belle.

 

– Faut bien que je justifie mes appointements ! Commenta Sonia en nage.

 

Au bout de dix minutes, Laviron, fait signe au professeur qu’il peut arrêter la machine.

 

– Oh ! Proteste Sonia, on aurait pu continuer cinq minutes, j’ai la chatte et le cul en feu, moi !

– Mademoiselle Sonia, soyez correcte !

– J’ai dit quelque chose d’incorrect ?

– Bon on essaie la machine à fouetter… Hé, Sonia vous allez où comme ça, la machine elle est là sur la gauche !

– Je vais pisser, j’ai le droit, non ?

 

Et tandis que Sonia s’éloigne, Béatrice entreprend Laviron, le but étant de lui faire une proposition qui facilitera le plan que Gérard Petit-Couture à soumis à Sonia.

 

– Monsieur Laviron, il me vient une idée…

– Oui, je sais les étriers, je vais y réfléchir…

– Mais non ce n’est pas ça du tout, vous avez trois machines, la démonstration serait bien plus intéressante si vous aviez trois filles en même temps.

– J’y ai bien pensé, mais je suis pris par le temps, et puis c’est cher tout ça.

– Mais non, vous vous y retrouverez, au lieu de faire trois prestations avec une fille, vous aurez trois prestations avec trois filles.

– Vous croyez que ça se passe comme ça, vous ?

– Et puis c’est une garantie ! Si Sonia vous faisait faux bon, vous auriez ce qu’il faut pour la remplacez.

– C’est vrai que la Sonia, elle est un peu compliquée à gérer. Qu’est-ce qu’elle fout d’abord ? Trois heures pour pisser ! C’est pas possible !

– Alors, vous en pensez quoi de mon idée ?

– Je vais réfléchir, mais je n’aurais pas le temps de trouver des filles et de les briefer.

– Je peux vous en trouver, des filles, moi ! Et rapidement.

– Ah, oui, ou ça ? Quand ça ?

– Moi, je vous conviendrais ?

– Vous mais pourquoi ? Ce n’est pas votre métier !

– J’ai bien le droit d’avoir des fantasmes !

– Ah, pourquoi pas ? Mais vous m’embarrassez, je n’avais pas prévu ça !

– Réfléchissez, Monsieur Laviron ! Et pensez à la sécurité.

– Oui bon, ça marche ! Et la troisième personne.

– Une copine, je reviendrais avec demain pour les essais, si vous voulez ?

– Bon je suis obligé de vous demander de vous déshabiller, ne prenez pas ça pour du harcèlement, mais pour ce genre de spectacle, je suis obligé…

– Oui, bon ce n’est pas un problème, mais il faut qu’on discute du prix.

– 200 balles par soirée, 200 balles chacune

– Un peu plus quand même !

– 250 ?

 

Et quand Sonia réapparût elle feint la surprise en voyant Béatrice à poil à côté de la machine à fouetter.

 

– Qu’est ce qui se passe ?

– On ne sait jamais, tu peux avoir un empêchement, alors Mademoiselle Clerc-Fontaine s’est proposé comme back-up !

– Ah, bon !

– Bon, mademoiselle si vous voulez bien prendre place sur ce socle, non, pas comme ça, il faut présenter votre postérieur à la machine, voilà, cambrez-vous bien, ça risque de fouetter un tout petit peu, ça ne vous pose pas de problèmes, j’espère ?

– Je ne suis pas en sucre !

 

On déplace le socle de façon à ce que les lanières de la machine soient bien en contact avec les fesses de Béatrice, et le professeur règle la vitesse. Pas évident, il faut que la lanière claque, mais sans blesser, mais quelques traces seront néanmoins inévitables.

 

– Voilà on a trouvé la bonne vitesse, il faudra mettre le bouton sur 15, je vais faire un repère.

– Pas la peine je m’en souviendrais ! Répond Laviron.

– On est jamais trop prudent.

 

L’air de rien les fesses de Béatrice commencent à chauffer.

 

– Euh, ce machin-là, ça ne va pas durer dix minutes, tout de même ? Proteste Béatrice.

– Non, on va faire fonctionner la machine trois minutes, on l’arrête quatre minutes et on reprend trois minutes.

– Génial.

 

Il restait une machine à tester, le lèche-cul rotatif.

 

Sonia se met en place et offre son cul aux langues de latex. En fait la machine est nulle et ne provoque aucune sensation sinon un spectacle visuel… mais un joli spectacle.

 

Il ne restait plus qu’à demander à Anne-Lise de passer le lendemain pour postuler comme troisième figurante.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:15

Martinov 21 – Sex-machines – 8 – Quatre femmes pour Gérard par Maud-Anne Amaro

 

Gode stamp

Tout le monde se présente et Gérard en joyeux obsédé qu’il est ne manque pas de flasher sur la jolie Sonia !

– Nous ferons les présentations complètes plus tard, je suis Gérard et voici Florentine, nous sommes de vieux amis du professeur Martinov et de Béatrice, j’ai été agent secret puis ministre, maintenant je peins des conneries qui ne se vendent pas trop mal, j’ai conservé quelques rares contacts par ci, par-là, bref je pense que vous pouvez avoir confiance en moi.

– Sonia, modèle pour peintres, sculpteurs et photographes et activités collatérales.

– Joliment dit ! Mais nous parlerons éventuellement de nous un peu plus tard,

– Du coup, est-ce bien nécessaire qu’on aille chez ce Rondeval ? Demanda Béatrice.

– Ben oui, on va enfoncer le clou, mais avec une petite variante, je vais vous expliquer, voici le petit scénario que je vous propose…

– Donc le but de l’opération c’est d’obtenir exactement le contraire de ce qu’espère ce Duplessis.

– Oui !

– Il risque de réagir violemment !

– Non, il va encore s’écraser, une fois la chose faite. Faites-moi confiance !

 

Il est 19 h 30 quand Béatrice et Sonia sonnent chez Rondeval-Blanquart.

 

Celui-ci est interloqué, il reconnaît les deux femmes qu’il a rencontré furtivement et séparément et se demande bien ce qu’elles font ensemble sur le pas de sa porte.

 

– Nous sommes est porteuse d’un message de la part de monsieur Amaury Duplessis.

– Dans ce cas, je suis désolé, mais je ne veux plus rien savoir au sujet de cette personne…

– Même si vous êtes directement concerné ? Insiste Béatrice

– Concerné en quoi ?

– On va vous expliquer, ce ne sera pas long, on peut entrer cinq minutes ?

– Alors vite fait, j’attends quelqu’un ! Mentit Rondeval

 

Ce dernier les fit entrer et les invita à s’asseoir sur un joli canapé en cuir qui avait dû coûter bonbon !

 

– Alors voilà, commence Sonia, vendredi matin Duplessis m’a bookée pour la soirée…

– Bookée ?

– Disons qu’il a loué mes services et mes charmes, je joue parfois les call-girls…

– Qu’est-ce que vous me racontez-là ? C’est impossible !

– Attendez, il a été très correct, et m’a indiqué qu’on ne ferait rien et que je lui servirais uniquement d’alibi. Il m’avait donné rendez-vous dans un hôtel près de la Gare de Lyon !

 

La tête de Rondeval !

 

– J’ai trouvé ça un peu bizarre et j’ai demandé à Béatrice ici présente de le suivre quand il sortirait de l’hôtel ! Vas-y Béa raconte la suite !

– Il a quitté l’hôtel avec une mallette et il s’est dirigé vers le hall de la Gare de Lyon, il a retrouvé un mec et ils ont échangé leurs mallettes, il a ensuite pris le métro jusqu’à Courcelles et s’est pointé devant l’ambassade d’Arabie Saoudite, le planton a appelé un bonhomme qui est sorti, le type avait l’air furieux et un moment il a secoué assez durement Duplessis, ils ont été à deux doigts de se battre, puis le type a pris la mallette et est rentré dans l’ambassade. Duplessis a appelé un taxi et je l’ai perdu de vue ! A toi Sonia !

– Quand il est revenu à l’hôtel, il était très énervé, il s’est envoyé plusieurs whiskies, moi je n’ai pas voulu boire, je ne bois jamais pendant le boulot, il m’a demandé d’attendre une heure avant de partir, c’est ce que j’ai fait.

– Et pourquoi venez-vous me raconter ça ? Demande Rondeval.

– C’est Duplessis qui m’a demandé de vous le raconter !

– Hein ?

– Oui, on s’est engueulé tout à l’heure au téléphone, je me demandais pourquoi il me rappelait, il m’a dit qu’il s’était disputé avec vous et que c’était un malentendu ! Il m’a alors proposé de témoigner en votre faveur contre un peu d’argent. Je lui ai répondu qu’il aille se faire foutre, que je n’avais aucune confiance en lui et que je savais pertinemment que quand il avait quitté l’hôtel, c’est pour se livrer à des activités louches et dangereuses, je lui ai expliqué comment je savais ça. Bizarrement, ça a eu l’air de l’arranger et du coup il m’a demandé de convaincre Béatrice de venir témoigner avec moi.

– Et c’est tout ? Parce que la coupe est pleine, là !

– Non, il nous a dit de vous dire qu’il se savait repéré par la Sécurité du Territoire et qu’il avait la trouille de se prendre une balle, ce sont ses propres termes ! Il s’inquiétait aussi pour ses proches !

– Ses proches ? Quels proches ?

– Je l’ignore.

– Et cette fois c’est tout ?

– Oui !

 

Rondeval, blanc comme un linge se leva de son siège, signifiant par-là que l’entretien étant terminé, il ne retenait pas ses visiteuses. Voilà qui tombait bien ces demoiselles n’ayant aucunement l’intention de s’éterniser.

 

Rondeval-Blanquart se servit un Porto et tenta de mettre de l’ordre dans ses pensées.

 

Ainsi, se dit-il, ce con de Duplessis avait accepté, dieu sait à la suite de quelles circonstances, de jouer au porteur de valises au profit de gens surveillés par les services du contre-espionnage ! Sans doute des dangereux terroristes. Il s’était évidemment fait repérer, et par réaction en chaine, ses proches devenaient suspects, ce qui expliquait la visite de ce couple de flicaillons chez lui ! Il aurait aimé savoir ce que Duplessis fabriquait réellement, qui était ses contacts ? Pourquoi avoir besoin d’un alibi ? Pourquoi cette engueulade avec un type de l’ambassade ? Qui était cette Anne-Lise que les filles n’avaient pas évoquées ? Que de questions dont certaines réponses pouvaient être des bombes à retardement. Dans certaines circonstances il faut mieux ne pas trop chercher à savoir !

 

Rétrospectivement, les silences téléphoniques d’Amaury pendant cette soirée trouvaient leur explication toute simple : il voulait éviter qu’on le trace. Il ne l’avait donc pas trompé, du moins sexuellement parlant, il avait fait pire, il avait trahi sa confiance et l’avait mis en danger de par ses actes dénués de tout sens des responsabilités l

 

« Et il voudrait que je passe l’éponge ? Qu’il aille se faire foutre ! »

 

Il se dit qu’il a peut-être intérêt à disparaître de la circulation. Demain il descendra dans une agence de voyage et se prendra un vol pour il ne sait pas encore où !

 

Puis en ayant assez de ruminer et de tourner en rond dans son appartement il s’en va faire un tour dans les rues de Paris mais toujours en ruminant.

 

Sonia et Béatrice ont attendu d’être hors de portée des fenêtres de Rondeval pour se laisser aller à un fou rire nerveux

 

– Oh, la tronche qu’il nous a fait !

– Il a tout gobé ce con, même pas posé une question !

 

Elles rejoignent ensuite Gérard et Florentine qui d’emblée les invitent au restaurant. Et après avoir bien rigolé du récit des deux filles, Gérard change de sujet :

 

– Ainsi, m’avez-vous dit, vous posez !

– Je pose ! Répond Sonia.

– Poseriez-vous pour moi ?

– Oui !

– Vous dites oui, comme ça, sans demander de précision !

– J’ai confiance !

– Et si je vous propose une activité collatérale pour reprendre vos propos ?

– Vous pouvez toujours, mais cela me surprendrait que Madame soit d’accord ! Répond Sonia

– Madame a les idées larges ! Répond Florentine avec un grand sourire

– Ah ? Alors d’accord ! Rapports protégés, je n’ai pas de tabous, je refuse uniquement d’être attachée.

– Et en plus, ajoute Florentine, sachez que je suis un peu bisexuelle sur les bords.

– Autrement dit : vous me proposez une partouze !

– Si vous y consentez !

– J’y consens ! On sera trois, alors ! répond Sonia en jetant un regard complice sur Béatrice.

– Béatrice est la bienvenue, si elle le désire !

– Ben voyons, répond l’intéressée, mais c’est vrai que je me lasse pas de te lécher la moule, Florentine.

– Ce sera un plaisir, j’en mouille déjà d’avance !

– Ah, il y aura peut-être aussi Anne-Lise à moins qu’elle soit partie faire un tour ! Tient à préciser Gérard.

– Vous êtes sûr de n’avoir oublié personnes ? Il n’y a pas d’autres invités-surprise ? Je ne sais pas moi : les trois petits cochons ou alors Blanche Neige et les sept nains ?

– Non, on ne sera que quatre ou cinq, quelque chose d’intime, quoi !

– Vous ne me demandez pas mes tarifs ? Intervient Sonia

– Votre prix sera le mien !

– Sauf que je ne veux pas d’argent !

– Alors ?

– J’aimerais que vous me rendiez un petit service…

 

Et là Sonia explique ses relations difficiles et conflictuelles avec Laviron, son désir de lui faire une vacherie, son intervention avortée auprès de Martinov… Tout ça !

 

– C’est délicat, j’ai cassé bien comme il faut Duplessis parce qu’il avait chié dans mes bottes, mais Laviron ne m’a rien fait, il est con, c’est un fait, mais s’il fallait s’en prendre à tous les cons on ne serait jamais couché !

– Je ne vous demande pas de le casser, j’aimeras juste qu’on lui fasse une vacherie, le ridiculiser par exemple !

– Sonia serait si contente ! Renchérit Béatrice.

– Oui, mais là j’ai pas d’idée !

– Ça va venir, tu es un homme imaginatif, au besoin on se mettra à plusieurs pour trouver ! Intervient Florentine.

– Je suis au pied du mur alors ! Bon on ne prend pas de café ici, on file à la maison et on va s’amuser un peu.

 

Anne-Lise était là et regardait la télévision en baillant, elle ne connaissait pas Sonia, elles se présentent

 

– Anne-Lise, escort girl ! Mais ce soir je ne suis pas en mode business.

– Sonia ! A peu près la même activité et mêmes dispositions

 

Le courant passe bien, bisous, bisous entre la brune et la blonde.

 

– Quatre femmes pour un seul homme ! Je crois que je n’ai jamais connu une telle situation ! Remarque Gérard.

– T’as peur qu’on te viole ? Lui demande Florentine

– Si c’est son fantasme on peut éventuellement s’arranger ! Propose Anne-Lise.

– Je suis à votre disposition, les filles, je me laisse faire ! Répondit l’homme.

– Hum, et si on lui faisait une petite domination. J’aime bien les petits esclaves, bien soumis ! D’accord Gérard ?

– Dominé par quatre femmes ! Je veux bien, mais ne me brutalisez pas, j’ai des tendances masos, mais juste des petites tendances.

– Non, non pas quatre femmes, ça risque c’être un peu compliqué, seulement trois !

 

Tout le monde s’interroge sur ce qu’Anne-Lise entend par là.

 

– Il y en a une qui va faire banquette ? Demande Florentine.

– Non, pas banquette, tu vas faire l’esclave toi aussi ! Répond Anne-Lise. Tu veux bien ?

– Ah, oui ? Pourquoi pas ?

– Bon, vous-voulez bien que ce soit moi qui dirige un peu les opérations ? Reprend l’escort-girl.

 

Pas d’objection et elle demande donc au couple de se déshabiller.

 

– On se met tous à poil alors ? Intervient Gérard

– Non vous d’abord, nous ce sera quand on voudra !

 

C’est que Gérard piaffe d’impatience de voir Sonia dans le plus simple appareil. Mais bon puisque c’est le jeu, il patientera. Le sage n’a-t-il pas dit qu’il n’est pas de meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !

 

– On aura peut-être besoin de quelques accessoires ! Suggère Béatrice.

– T’as raison, je vais chercher ma boite à malices.

 

La boite en question est un grand carton que Florentine s’empresse d’ouvrir. Curieuses comme des chattes, Béatrice, Anne-Lise et Sonia l’inventorise : un martinet, des pinces à seins, des poids pour accrocher aux pinces, des menottes, trois godes de différentes dimensions, un anus-picket, des boules de geisha… et bien évidemment les capotes et le gel lubrifiant. On ne s’embête pas chez les Petit-Couture !

 

– Vous êtes vraiment un couple de gros pervers ! Se moque Anne-Lise

– Oui, mais on assume ! Répond crânement Florentine.

– Impertinente avec ça ! Mettez-vous en levrette tous les deux que je vous fasse rougir les fesses.

 

Anne Lise distribue au couple quelques coups de martinets bien ajustés, puis les fait remettre debout et accroche des pinces à leurs tétons. Ces messieurs dames font la grimace, mais ils grimacent encore davantage quand elle leur accroche des poids.

 

– Et maintenant à quatre pattes et vous allez nous faire une petite balade.

 

– Attends, j’ai une idée ! dit Béatrice qui se débarrasse prestement de ses vêtements et monte à cheval sur le dos de Florentine.

 

Du coup Sonia qu’on n’avait pas trop entendu jusqu’ici se déshabille, à son tour et grimpe sur le dos de Gérard.

 

Et c’est parti pour un quart d’heure de folie, les filles font avancer leur monture, des montures peu rapides d’autant que chacun de leurs mouvements fait douloureusement bouger les poids accrochés aux tétons.

 

Anne-Lise a beau flageller tout ce petit monde, ça n’avance pas assez vite.

 

Le jeu trouve vite ses limites, Anna leur retire les pinces et en récompense, se déshabille et leur offre ses jolis seins à sucer.

 

– Ma chatte ! Ma chatte ! Léchez-moi la chatte !

 

On ne sait si cette invective s’adresse à Gérard ou à Florentine, mais c’est cette dernière qui s’en acquitte et qui lui procure un orgasme aussi rapide que fulgurant !

 

On fait une petite pause, boissons fraiches et cigarettes.

 

Gérard s’est approché de Sonia.

 

– Aurais-je le plaisir de te baiser ?

– Au moins, voilà une demande qui ne s’embarrasse pas de protocole !

– N’est-ce pas ! Mais je n’ai pas entendu la réponse ?

– Ça a l’air de vous faire tellement envie, et pour moi ce ne sera pas une corvée.

– Maintenant ?

– Le canapé est occupé !

– Il y a une chambre à côté !

– Alors allons-y

 

Et les voilà qui sortent de la pièce !

 

– Ben, on fait bande à part ! S’étonne Florentine.

– Ben quoi, on ne va tout de même pas baiser par terre ! Répond Sonia.

 

Anne-Lise à l’air épuisée et somnole à moitié, tandis que Florentine vient aux renseignements auprès de Béatrice :

 

– Elle est bien jolie cette Sonia, tu sais si elle est bi ?

– Oui, elle est bi, douce et coquine !

– Alors je vais patienter, en attendant ma chatte est à toi ! Reprend Florentine en écartant les cuisses.

– Je vais te la bouffer ! Répond Béa en y plongeant son visage.

 

Sa langue vint aussitôt butiner la chatte trempée de la belle mature, tandis que ses doigts titillaient ses gros tétons érigés.

 

– Oh, là ! Mais qu’est-ce que tu me fais !

 

Béatrice qui avait la bouche occupée ne répondit que par un borborygme inaudible, mais les miaulements que Florentine commençait à emmètre sortirent Anne-Lise de sa torpeur.

 

Celle-ci se lève, se dirige vers la mallette de sex-toys et s’empare un joli gode tout rose qu’elle amène sous le nez de la mature !

 

– Tiens suce, ma salope, suce la bonne bite !

 

Florentine se prend au jeu et se met à lécher l’olisbos tout en continuant de gémir.

 

Béatrice lui porte l’estocade en suçotant le clitoris qui ne demandait que ça. La mature explose en criant et en déchargeant une quantité impressionnante de mouille.

 

– Ben, dis donc, quand tu jouis, toi… Commente Anne-Lise.

– Le gode, le gode !

– Quoi, « le gode »

– Fous le moi dans le cul !

 

Puisque c’est demandé si gentiment, Anne-Lise s’exécute et lui introduit la bite en latex dans le trou du cul non sans avoir activé le vibreur, puis le fait aller et venir en cadence. Et pendant qu’on lui pilonne l’anus, Florentine s’est emparé de la bouche de Béatrice afin d’échanger un baiser aussi profond que baveux, tandis que quelques doigts coquins lui pénètrent la chatte.

 

Que voilà donc un joli trio ! Florentine ne tarde pas à jouir pour la seconde fois, tandis que Béatrice n’en pouvant plus de se faire doigter, part à son tour.

 

Les deux femmes sont épuisées, mais Anne-Lise qui a donc bien retrouvée la forme ne peux s’empêcher d’aller gouter ce qui a coulé sur les cuisses des deux coquines et leur chatte trempée, ceci tout en se paluchant allégrement.

 

Et sur ces entrefaites, Gérard réapparaît dans la pièce, suivi de Sonia complétement hilare qui apostrophe Florentine.

 

– Dis donc ! Il est terrible ton mec, il m’a superbement enculé, c’était géant !.

– T’as pas honte ? Vieux cochon ! Rétorque Florentine à l’intéressé.

– Pas du tout !

– Tu sais Sonia, que Gérard est à moitié pédé, il aime bien sucer des bites !

– Oh ! J’aimerais bien voir ça ! Répond la belle. Ça doit être génial !

– Il se fait même enculer !

– W?h !

 

Si Florentine essayait de choquer Sonia, c’était raté ! Et celle-ci se saisissant d’un gode très réaliste le met sous le nez de Gérard.

 

– Montre-nous comment tu suces des bites !

 

Gérard ne se dérobe pas et mime une fellation sur le gode, en le faisant aller et venir dans sa bouche après avoir bien léché le gland.

 

– Hum ! Impressionnant ! Et si je te le mettais dans le cul ?

– Pourquoi pas ?

– Alors tourne-toi ! Oh les jolies fesses ! Tu as vraiment un cul d’enculé !

 

Elle lui écarte les globes.

 

– Je vais te préparer, j’adore préparer un petit cul pour la sodo.

 

La langue de Sonia vient alors titiller l’œillet fripé de Gerard Petit-Couture qui en en gémit de bonheur. Quand l’anus fut convenablement imprégné de salive, elle enfonça deux doigts dans l’accueillant orifice et les fit aller et venir avec frénésie. Quand elle les ressortit, ils étaient très légèrement pollués.

 

– Mais dis donc, gros cochon, tu m’as saligoté mes jolis petits doigts. Je devrais te le faire lécher pour la peine ?

– Pourquoi pas ?

– T’es vraiment un gros cochon !

Martinov21H

Gérard s’acquitta de cette tâche sans réticence, puis Sonia après avoir encapoté le gode et enduit l’extrémité d’une noisette de gel intime, en actionna le vibrateur puis l’introduisit dans le foncement de l’homme, avant de le faire aller et venir en cadence.

 

Pendant ce temps sur le canapé, les trois femmes ne restaient pas inactives : Florentine au centre se faisait tripoter la chatte par Anne-Lise tandis que Béatrice lui suçait les tétons., tout cela en se régalant du spectacle.

 

– C’était bon ? Demanda Sonia en retirant le gode au bout de quelques minutes.

 

Demande de pure politesse car elle savait la réponse !

 

– Si tu es sage, on te donnera l’occasion d’en voir plus ! Tu savais que ce bon professeur Martinov était un peu à voile et à vapeur ? Intervint Florentine

– Il me l’a laisser entendre !

– Au fait tu as un gage ! Déclara Gérard en se relevant.

– Un gage, un gage de quoi ?

– Je ne me souviens plus, mais je sais que tu as droit à un gage.

– Et ce serait quoi le gage ?

– Te faire sauter par ces trois coquines !

– Et toi tu vas mater ? Ta femme a raison, t’es un vieux cochon !

– Bien sûr que je vais mater ! Mesdames, elle est à vous !

– Hé ! J’ai pas dit oui !

– Tu ne veux pas ?

– Mais si, je veux bien ! Venez les filles, ce sera la première fois que je fais des trucs avec trois filles !

 

Béatrice et Anne-Lise se précipitent, la première vient l’embrasser et lui tripoter les nichons, la seconde s’intéresse à ses fesses.

 

Florentine se pointe à son tour, un peu déçue qu’elle ne puisse pas profiter seule de Sonia comme elle l’avait projeté.

 

Sonia est caressée, pelotée, doigtée, godée et léchée de partout et commence à vibrer d’aise.

 

Spontanément ces dames ont pensé qu’elles seraient plus à l’aise sur le canapé, elles en dégagèrent donc Gérard qui venait de s’y assoir en se branlant la bite, et s’y installent un peu n’importe comment.

 

Mais très vite chacune trouve sa place, Béatrice lui lèche la chatte avec énergie, tandis que Florentine lui titille le trou du cul de sa langue, Anne-Lise s’occupe de sa bouche qu’elle embrasse goulument et de ses nichons dont elle agace les pointes.

 

A ce régime, Sonia ne résiste pas longtemps et se met à crier et à dégouliner son plaisir.

 

On se décolle, on souffle un peu, on boit un peu, les fumeuses allument une clope.

 

Mais revoilà Gérard qui se pointe, égrillard en se tenant sa bite demi molle.

 

– Attention , les filles je vais pisser !

 

Béatrice qui est toujours partante pour ce genre de chose ouvre la bouche en signe d’assentiment, et c’est elle qui reçoit le premier jet et l’avale avec gourmandise. Sonia réclame sa part et l’obtient à son tour. Quant à Anne-Lise elle est en la matière plus donneuse que receveuse, mais étant donné l’ambiance, elle ne refuse pas de gouter au bon pipi de Gérard.

 

– Humm, ce n’est pas mauvais, j’en reprendrais bien une goutte ! Commente-t-elle

– C’est que j’ai fini ! Déplora Gérard.

– Tu veux gouter au mien ? Proposa alors Florentine.

 

Elle accepta et apprécia, mais ce fut comme un signal, la chose devait être contagieuse, Sonia et Béatrice eurent à leur tour envie de pipi, et on se pissa allégrement dessus, on s’aspergea et on s’en donna à boire, tout cela dans une ambiance de franche rigolade.

 

– Putain le carrelage, il va falloir éponger tout ça ! Déplora Gérard.

– T’énerve pas je vais le faire ! Proposa Florentine.

– J’ai une idée, intervint Anne-Lise, on tire à la courte-paille pour savoir qui c’est qui s’en charge, et si elle ne fait pas ça comme il faut, on la fouette !

 

L’idée est acceptée avec enthousiasme par le petit groupe… mais Anne-Lise n’aurait pas dû faire cette proposition, c’est elle qui tira la mauvaise paille !

 

Pas bien grave, elle est très joueuse !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:12

Martinov 21 – Sex-machines – 7 – Les toilettes des dames par Maud-Anne Amaro

 

stamp ronde

Gérard a récupéré les adresses de Rondeval-Blancard et de Duplessis, il ignore si ce dernier habite chez lui ou chez son amant. Il lui faut pourtant choisir et accompagné de Florentine, il se rend chez Amaury et trouve porte close !

 

– On n’est pas venu à la bonne heure ! On attend dans la bagnole ou on fait un tour chez son copain ? Demande Florentine.

– On risque d’attendre longtemps ! On va aller voir chez son gros, à tous les coups on va le trouver.

 

Rondeval-Blancard tombe du placard quand Gérard Petit- Couture exhibe se carte (périmée mais ça ne se voit pas) de la DSGE.

 

– C’est à quel sujet ? Crane-t-il.

– C’est au sujet que c’est nous qui posons les questions : Il est où Duplessis ?

– Connais pas !

– On va s’en assurer ! Lieutenant vous tenez cette crapule en respect, je vais faire le tour du propriétaire !

– Mais enfin, c’est ridicule, vous vous trompez d’adresse ! Tente de protester Rondeval-Blancard.

– Héberger un espion ! C’est intéressant comme activité ?

– Mais quel espion ?

– Ta gueule !

 

Gérard effectue un premier tour et revient rapidement.

 

– Ce que vous faites est illégal, vous n’avez pas de mandat ! S’énerve Rondeval-Blancard

– T’aurais dit la vérité, j’aurais pas eu besoin de fouiller.

– Je connais des gens bien placés…

– Oui, on connaît la chanson, dis-moi, tu utilises deux lotions après-rasage différentes ?

– Et alors, c’est interdit ?

– Et il y a deux pyjamas différents sous les oreillers, l’un pour les jours pairs, l’autre pour les jours impairs je suppose !

– J’ai une amie qui couche à la maison de temps en temps, c’est interdit ?

– Et la lotion, c’est pour quand elle se rase la foufoune ? Tu te foutrais pas un peu de notre gueule, là ?

– Bon, vous avez fini ?

– Non ! La question est toujours la même : Où est Duplessis ?

– Je vous ai déjà répondu !

 

Pendant cet échange Florentine contrôlait les poubelles.

 

– C’est quoi ces trucs que t’as jetés ?

– Je faisais du ménage, des conneries que je gardais pour la brocante, mais c’est invendable.

– Et la ceinture en cuir toute neuve, elle aussi, elle est invendable ?

– Ah ? C’est une erreur !

– Bon, puisque t’as décidé de jouer au con on va faire deux choses : déjà donne-moi ton portable !

– Vous outrepassez vos droits !

 

Gérard sort son pistolet et y incorpore un silencieux.

 

– Non, je ne vais pas te tuer, mais je peux te tirer une balle dans les jambes.

– C’est ça, bluffez bien !

– Et ça c’est du bluff ?

 

La balle vient de fracasser le magnifique compotier en porcelaine qui trônait au milieu de la table.

 

– Salaud !

– La prochaine, c’est pour la vitrine là-bas ! Donne-moi ton portable !

 

A contre cœur, Rondeval-Blancard pose son portable sur la table !

 

– L’autre !

– L’autre ?

– Oui, t’en as deux !

– Mais enfin c’est quoi cette salade ? S’énerve le bonhomme en sortant le second portable de la poche de son pantalon.

 

Gérard parcourt rapidement la liste des correspondants téléphoniques :

 

– Amaury, ce ne serait pas Duplessis, dès fois.

– Une ancienne connaissance dont je ne veux plus entendre parler.

 

Manque de chance, un téléphone c’est très bavard, l’historique des communications montre que Rondeval l’a appelé plusieurs fois la veille.

 

– T’en as pas marre de mentir ?

– Dites-moi ce que vous cherchez et je collaborerais peut-être !

– On cherche Duplessis !

– Je vais vous donner l’adresse mais rendez-moi mes téléphones !

– On ne te demande pas l’adresse, on la connaît, on te demande où il est ?

– J’en sais rien, qu’est-ce qu’il a fait, d’abord ?

– Secret défense !

 

Gérard continue de consulter la liste des correspondants et le journal des appels, il est surpris de ne trouver aucune trace d’Anne-Lise ! Peut-être l’a-t-il répertorié sous un nom d’emprunt, mais il devrait trouver le numéro de téléphone ! Il se dit qu’il a dû effacer toute trace de la fille sur son téléphone, mais pourquoi ? Voilà qui ne manque pas d’inquiéter l’ancien agent de la DGSE.

 

– On peut savoir pour quelle raison tu as effacé toutes les données concernant Anne-Lise ?

– Je ne connais pas d’Anne-Lise !

 

Et cette fois Gérard s’énerve et envoie un pain au visage de Rondeval qui se met à saigner du nez d’abondance !

 

– Bon, on a assez perdu de temps avec ta gueule de con ! Alors juste un truc avant de partir, on n’est pas la police, on est la Sécurité du Territoire, quoiqu’on fasse on est couvert, on sait très bien tuer quelqu’un et faire croire à un accident ou à un suicide, on sait très bien aussi se débarrasser d’un cadavre. Alors un conseil Anne-Lise tu l’oublies complètement, tu fais comme si elle n’avait jamais existé, sinon ta mère, elle n’a pas fini de te chercher.

 

Rondeval-Blanquart n’en peut plus, il est choqué, hébété, tente de dire quelque chose mais n’y parvient pas, se demande qui est cette Anne-Lise ? Et dans quelle affaire louche aurait trempé Amaury ?

 

Gérard et Florentine s’en vont embarquant les téléphones ainsi que l’ordinateur portable.

 

De son côté, Amaury a soudain une idée : puisqu’il ne pourra pas demander à Anne-Lise de témoigner, pourquoi ne pas rechercher une fille pour tenir ce rôle ? Il s’assoit à la terrasse d’un café et liste ce qu’elle devrait dire et ce qu’elle devra répondre aux inévitables questions qu’on ne manquera pas de lui poser.

 

« Recrutée dans une agence d’escorts, expérience de l’espionnage industriel, tentative très poussée de séduction auprès du professeur Martinov, mais échec final de l’opération ! » Pas bien compliqué ! Maintenant, il fallait trouver la fille !

 

Pourquoi pas cette Sonia qui contre quelques billets avait fourni des renseignements à Rondeval ? D’autant que ce dernier lui en avait confié son numéro de téléphone « au cas où ».

 

En plus en la choisissant, le scénario se simplifiait, plus besoin d’invoquer l’agence d’escorts, ce qui évitait à Rondeval de se lancer dans une éventuelle vérification.

 

– C’est très facile, juste un jeu de rôle, il s’agit de témoigner en ma faveur auprès de Rondeval-Blancard, vous le connaissez je crois ?

– Non, ça ne me dit rien…

– Le monsieur qui vous a demandé des renseignements sur les machines de Laviron !

– Ah, Monsieur Pierre-Jean !

– C’est ça, Monsieur Pierre-Jean ! C’est bien payé, c’est sans risque et ça ne va pas durer longtemps ! On peut se rencontrer ?

– Quand vous voulez ! Aujourd’hui je ne travaille pas.

 

Bref il se rencontrent et Duplessis lui apprit son rôle ! Effectivement, ça paraissait très facile. Le seul problème était la tronche de Duplessis qui ne lui disait rien du tout, mais alors, vraiment rien du tout !

 

Par précaution, elfe téléphona à Béatrice :

 

– J’ai accepté parce que c’est facile et bien payé, mais je me demande si ça ne cache pas un coup fourré ?

– Tu dois dire quoi ?

 

Elle lui expliqua

 

– Effectivement, ça semble cacher quelque chose ! Mais quoi ? Et si je venais avec toi ?

– Ben…

– Ben oui, ça appuierait ton témoignage, je confirmerais que tu as bien couché avec Martinov…

– Faudra que je te donne un bout de ma prime !

– Non pas du tout, voilà ce que tu vas faire…

 

Sonia trouve l’idée intéressante et appelle Duplessis.

 

– J’ai pensé à une amélioration de votre petit plan…

– Il est très bien comme ça…

– Je peux peut-être en parler quand même, il se trouve qu’après la visite de Martinov et de son assistante, nous avons sympathisés.

– Ah bon ? Comment ça ?

– Peu importe les détails, mais, si on demandait à Béatrice de venir avec moi, ça renforcerait mon témoignage !

– C’est qui Béatrice ?

– L’assistante de Martinov !

– Et vous croyez qu’elle serait d’accord ?

– Si vous la payez, oui, elle est assez vénale !

– Quel monde pourri ! D’accord ça marche, mais je voudrais quand même voir la personne, j’apporterais l’argent !

 

Amaury se rend bien compte qu’après avoir payé les filles, son compte en banque sera à zéro, et qu’il en sera réduit à vivoter jusqu’au prochain versement de l’aide sociale. Mais si le stratagème fonctionne, et pourquoi ne fonctionnerait-il pas, son retour en grâce auprès de Rondeval devrait régler tout ça !

 

Lundi 18 février

 

Et rendez-vous fut pris au Café des Mésanges, dans le quartier Saint-Lazare en fin d’après-midi après que Beatrice soit revenue de Louveciennes.

 

Gérard et Florentine ont en vain été sonner de nouveau chez Duplessis !

 

– Où il est ce con ? On va attendre en bas, il ne faudrait pas que Rondeval-Machin le prévienne…

 

Et peu de temps après, ils recevaient un coup de fil de Béatrice qui lui exposait les derniers évènements.

 

– Super ! Je vous laisse négocier avec cette crapule, j’interviendrai quand vous en aurez terminé.

 

A 18 heures trente, Sonia, Béatrice et Duplessis assis autour d’une table en terrasse ont tôt fait de se mettre d’accord. L’homme n’en revient pas de la chance qu’il a avec le renfort inespéré de Béatrice ! Si tout se passe bien, Pierre-Jean Rondeval-Blancard devra faire amende honorable et l’accueillir de nouveau dans son lit !

 

– J’espère pouvoir avoir confiance en vous, dans le cas que j’espère improbable où vous vous défileriez, vous me seriez redevable de cet argent, bien évidemment.

– Ne vous inquiétez pas !

– Quand ce sera fait vous m’appellerez à ce numéro, vous me donnerez juste un ou deux détails sur la déco de son appartement, pour que je sois certain que vous y êtes allé… et on en restera là !

 

Tout étant au point, le trio se sépare, Béatrice et Sonia s’en vont bras dessus bras dessous… pas très loin ! Puis reviennent au bistrot dès que Duplessis est hors de vue.

 

– Viens, on va se laver les mains ! Dit Béatrice

– Je t’attends là…

– C’est dommage, on aurait pu se faire un gros bisou !

– Alors je viens !

 

Il n’y a personne dans ces toilettes pour dames assez exiguës comprenant un petit lavabo et une cabine. Béatrice se jette au cou de Sonia et les deux femmes se roulent une galoche d’enfer tout en se pelotant un peu partout.

 

La suite éventuelle aurait dû se passer dans la cabine, mais parfois les impondérables…

 

– Ne vous dérangez pas pour moi, c’est très mignon ce que vous faites ! Prononça une voix féminine un peu rocailleuse.

 

Du coup Béa et Sonia, stupéfaites, cessent leur étreinte. Elles dévisagent l’intruse, brune à lunettes, autour de la quarantaine, très joli visage mais corps assez enveloppé.

 

– Mais continuez donc, c’est très agréable de voir deux charmantes jeunes femmes se donner un peu de plaisir.

 

Les deux blondinettes ne savent quoi rétorquer d’autant que la « dodue » n’est absolument pas agressive et affiche un sourire désarmant.

 

– Je suppose continue celle-ci, que vous venez juste de vous rencontrer, un coup de foudre, quoi ? Je m’en voudrais de vous perturber, mais je me disais juste que parfois quand il y en a pour deux, il peut y en avoir pour trois.

– Mais…

– Juste deux minutes et après je disparaitrai, promis, juré !

– Vous êtes drôle vous ! Lui dit Sonia.

– Disons que je tente juste ma chance.

– Et vous voudriez quoi ? Que je vous embrasse ? Alors qu’on ne se connait même pas !

– Ce serait plutôt sympa, non ?

– Alors vous, vous êtes trop !

– N’est-ce pas ?

– Vous pensez que je vais me dégonfler ? Lui lance Sonia

– Viens me roulez un patin, ma jolie, viens gouter à ma bonne langue.

 

Et l’instant d’après devant les yeux incrédules de Béatrice, Sonia enlaçait l’inconnue en échangeant un baiser profond, tandis que ses mains pelotait ses énormes mamelles à travers le tissus de son haut.

 

L’affaire dura bien une minute et quand elle fut terminée, la brune se tourna vers Béatrice.

 

– Et vous, ça vous tente ?

– Non merci !

– Fais-le lui dit Sonia, c’est amusant et en plus elle embrasse bien.

 

Du coup Béatrice se laissa faire, après tout elle avait déjà fait ce genre de choses pas mal de fois en boite de nuit.

 

– Humm, vous m’avez bien excité, les poulettes ! Je vais vous laissez… à moins qu’on se fasse cinq minutes de cabine.

 

Sans se concerter les trois femmes entrèrent dans cette cabine agrandie suivant les nouvelles normes permettant l’accès aux handicapés. Au moins ne se cogneraient-elles pas les os !

 

– Je vais vous montrer mes gros nichons, j’aime bien qu’on me lèche les pointes, ça m’excite ! Oh la la !

Martinov21G

La nana semble complètement partie dans son trip, soulève son haut, puis fait sauter les bonnets de son soutien-gorge dégageant d’énormes loches. Béa et Sonia après s’être concertées du regard acceptent d’entrer dans son délire et viennent lui téter les tétons, l’une à droite, l’autre à gauche.

 

– Oh, là là, qu’est-ce que c’est bon ce que vous me faites, les filles !.

 

Mais au bout d’un moment, le rouge aux joues, les yeux convulsés, elle se dégage, baisse pantalon et culotte et s’en va s’assoir sur la cuvette en écartant les cuisse et en exhibant sa chatte baveuse. Elle se tripote aussitôt en gémissant.

 

– C’est bon, c’est bon… aidez-moi à jouir, les poulettes.

 

Sonia n’hésite pas et vient s’accroupir entre ses cuisses, tandis que Béatrice s’occupe de ses seins. Quelques secondes plus tard l’inconnue à lunettes jouissait dans un geyser de mouille. Sonia maintient la position et la boit à la source.

 

– Attends, je vais pisser ! Préviens la dodue !

– Et bien pisse, ma grande, j’adore ça !

– T’es une vraie cochonne, toi !

– Oui parfois ! Alors tu pisses ou t’attends le retour des hirondelles ?

– Hi ! Hi ! Une seconde je me concentre.

 

Le jet doré fuse. Sonia en avale une bonne rasade.

 

– Humm, elle est délicieuse sa pisse ! Tu veux gouter, Béatrice ?

– Oui !

 

Elle allait se baisser pour prendre la place de sa complice, mais cette dernière à une autre idée, elle en absorbe une nouvelle rasade mais la conserve en bouche, puis sollicite les lèvres de Béatrice afin de lui en reverser le contenu.

 

La brune semble pressée d’en finir, elle s’essuie la chatte, remet de l’ordre dans ses habits et se dirige vers la porte.

 

– Merci les filles, c’était génial ! Dit-elle en disparaissant

 

Béatrice et Sonia éclatent de rire.

 

– On s’en souviendra de celle-là !

– Oui mais maintenant je suis excitée comme un acarien au salon de la moquette ! Répond Béatrice

– Moi aussi, mais on n’a plus le temps de faire grand-chose !

– La journée n’est pas fini, on devrait avoir l’occasion de s’amuser…

 

Gérard jusque-là planqué pas très loin en compagnie de Florentine, suit Duplessis qui s’engouffre dans l’entrée piéton du parking souterrain du coin. Après avoir dévalé pas mal d’escaliers, il rejoint son véhicule

 

– Monsieur Duplessis ?

– Oui, mais…

– On s’est déjà rencontré furtivement, hier soir…

– Attendez…

– Le souci, c’est que j’ai pas eu le temps de te casser la gueule.

 

Et alors que Duplessis se demande comment se tirer de mauvais pas, Gérard lui envoie un coup de poing dans l’estomac qui le fait se plier en deux. Et alors qu’il reprend à peine son souffle un second coup lui éclate le nez !

 

Gérard sort alors sa carte :

 

– Sécurité du Territoire, c’est juste un avertissement la prochaine fois que tu t’en prends à l’agent R312, je te tire une balle dans les couilles.

– C’est une erreur !

– Non, elle se fait parfois appeler Anne-Lise !

– Mais…

– Maintenant donne-moi ton téléphone et les clés de ta bagnole ! Et ne prends pas mes menaces à la légère, je suis comme James Bond, j’ai un permis de tuer.

 

Gérard et Florentine laissèrent le bonhomme complètement anéanti, puis rejoignirent Béatrice et Sonia qui étaient revenues s’asseoir à la terrasse après leur aventure aux toilettes.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:09

Martinov 21 – Sex-machines – 6 – Les errances de Duplessis par Maud-Anne Amaro

Trio2

 

Le professeur Martinov attend un certain temps que tout le monde soit prêt, puis les pizzas étant livrées, pose la question qui lui brûle les lèvres !

 

– Tu me conseillerais quoi, Gérard ?

– Rien !

– Mais, je croyais que tu avais une idée ? S’étonne Béatrice.

– Je vais essayer de résumer la situation : Laviron vous demande un truc et légalement vous ne pouvez pas vous rétracter, alors il faut honorer le contrat, mais sans fignoler, sans faire de zèle, juste le minimum syndical. Maintenant voyons les personnes qui auraient aimé voir saboter le machin : d’abord cette Sonia que je n’ai pas le plaisir de connaître, mais que vous avez l’air d’avoir en grande sympathie…

– N’exagérons rien ! Bredouille Martinov.

– Faux cul ! Le vanne Béatrice

– Disons alors simplement qu’elle vous est sympathique ! Or Béa nous a dit qu’elle comprenait parfaitement que vous ne puissiez accéder à sa demande, donc de ce côté, plus de problèmes. En fait elle voudrait se venger de la conduite de Laviron, je suis sûr qu’il y a d’autres moyens de le faire que de saboter ses machines. Si j’ai une idée, je vous la soufflerais.

– C’est indiscret si je vous demande qui est cette Sonia ? Demande Anne-Lise.

 

On lui explique donc la chose !

 

– Reste Rondeval-Machin et son zèbre ! Reprit Gérard. De ce côté-là le danger est bien moindre que ce que je supposais : ce ne sont jamais que deux aigris, je me fais fort de leur foutre la trouille de leur vie et ils ne viendront plus vous emmerder ! Je suppose que tu aimerais que je te rende ce petit service ?

– Ben ma foi…

– Quant à toi chère Anne-Lise, ils ne t’emmerderont pas non plus, je ferais d’une pierre deux coups.

– Je ne te demande pas comment tu vas opérer ? Intervient candidement Anne-Lise.

– Non, non ne me le demande pas ! Répond Gérard, hilare.

 

Celui-ci n’allait tout de même pas dévoiler ses petits secrets à cette quasi-inconnue !

 

– Je vais juste perdre mon fric ! Se lamente un peu Anne-Lise.

– Tu n’as pas été payée ?

– La moitié !

– Je suppose que la seconde moitié était liée à une obligation de résultat ?

– Tu supposes très bien !

– Et tu crois qu’en cas de résultat il te l’aurait donné ?

– Je me suis effectivement posé la question, mais seulement après !

– Donc, t’as rien perdu !

– J’avais quand même un petit espoir !

– T’es trop gentille, toi !

– Je lui dis quoi au mec ?

– Le minimum, déjà tu refuses de le rencontrer. Au téléphone tu lui dis que tu pensais y arriver et que Martinov s’est finalement déballonné, et qu’en ce qui te concernes, tu lâches l’affaire. Tu ne réponds à aucune question et tu ne prends plus ses appels. Je te laisse ma carte, si t’as besoin, je serais là.

 

Et après avoir bien grignoté, Gérard et Florentine prirent congé, emmenant Anne-Lise avec eux comme convenu.

 

Amaury Duplessis est un anxieux, après que son amant lui ai fait part de son entrevue orageuse avec le professeur Martinov, il s’est fait fort de redresser la situation, il a tout de suite pensé que ce vieux barbichu pouvait être corrompu avec une bonne dose de sexe et de chantage aux sentiments. S’il réussissait, comme son amant serait fier de lui ! Seulement, il ne fallait pas que ça foire !

 

Il avait donc tout misé sur cette Anne-Lise dégotée dans une agence spécialisée.

 

Amaury Duplessis

 

Petit flash-back (13 février)

 

Amaury est un impulsif, le genre à agir d’abord et à réfléchir après et c’est exactement ce qui s’était passé quand il avait engagé la fille.

 

L’esprit d’escalier avait fait son œuvre et après l’entretien, il s’était demandé si vraiment elle avait la capacité d’obtenir le résultat espéré !

 

L’entretien téléphonique après la première rencontre entre Anne-Lise et le professeur Martinov ne l’avait guère rassuré. Quand il lui avait expliqué ce qu’il attendait d’elle, il ne l’avait pas « senti » !

 

« Elle ne va pas y arriver, je n’ai plus le budget pour la remplacer ! Si ça foire, Pierre-Jean sera trop déçu, il faut que je trouve un moyen de faire pression sur elle ! Lui foutre la trouille ? Non, elle n’a déjà pas trop l’air rassurée et c’est le meilleur moyen de lui faire jouer double jeu. Bon peut-être que ça va marcher quand même, mais comment m’en assurer ? La suivre ? Et il me viendra peut-être une idée ! »

 

Alors il enfourcha sa moto et se mit en planque devant chez elle. Pas vraiment devant chez elle mais devant l’immeuble où elle possédait une boite aux lettres ! Il l’a vit arriver, ressortir presque aussitôt, entrer dans une chocolaterie, puis se rendre Gare Saint-Lazare, il comprit qu’elle se rendait chez le professeur Martinov !

 

« C’est bon signe, mais je peux aller jeter un coup d’œil. En moto je serais sur place avant elle. »

 

Il la vit arriver, il vit aussi Béatrice s’en aller.

 

« Ça se présente bien, ils vont pouvoir draguer ! »

 

Il attendit une heure puis repartit partiellement rassuré.

 

14 février de nouveau

 

Le lendemain il l’appela, quand elle lui annonça que l’affaire était en bonne voie mais qu’elle n’avait aucune certitude sur la suite, il se remit à baliser.

 

Comme la veille, il l’a suivi et la vit arriver chez Martinov. Ne sachant que faire, il attendit un peu. Vers 11 heures, Béatrice sortit !

 

« Ah, c’est bon signe ! Je reste encore un quart d’heure et je file : »

 

Mais alors qu’il s’apprêtait à démarrer, il vit Béatrice rentrer avec un sac de courses !

 

– C’est quoi ce bordel, ils ne vont pas rester à trois, ils vont faire quoi ?

 

Du coup il resta perché sur sa moto jusqu’en fin d’après-midi. Quand il vit débarquer Gérard et Florentine, il se dit qu’Anne-Lise allait sortir ! Sauf qu’elle ne sortit pas !

 

« Ça m’énerve, ça m’énerve ! Je veux savoir ce qui se passe ? »

 

C’est à 22 heures bien tassées, que Gérard et Florentine ressortirent… accompagnés d’Anne-Lise !

 

« Qu’est-ce que ça veut dire ? A quoi joue cette garce ? »

 

Il fait démarrer sa moto et décide de suivre la voiture sans plan précis mais fort énervé.

 

Arrivés à la mairie du 18ème, Anne-Lise prévient :

 

– Laissez-moi là, j’habite à 200 mètres.

 

La voiture s’arrête, bisous, bisous, la jeune femme descend. Amaury stoppe sa moto et va au-devant d’elle.

 

Gérard, sentant la fatigue le gagner demande à sa compagne de prendre le volant. Ils permutent donc leur place et c’est à ce moment que Florentine aperçoit la scène dans le rétroviseur :

 

– Putain ! Anne-Lise est en train de se faire agresser !

 

Se prenant pour un super héros, Gérard se précipite :

 

– Fais attention ! Lui crie Florentine.

 

Mais Gérard est déjà sur place :

 

– Tu vas lui foutre la paix, connard !

– Mêlez-vous de vos affaires ! Répond Amaury en reculant d’un pas.

– Tu dégages ou je t’en colle une !

– Mais enfin !

 

Gérard se fait menaçant, l’autre détale, mais ne va pas bien loin, allant se camoufler au coin de la première rue.

 

« Je vais attendre que cet imbécile s’en aille et je vais coincer la fille chez elle, il faudra bien qu’elle me dise à quel jeu elle est en train de jouer ! »

 

– Ça va aller ? Pas de bobos ? Demande Gérard.

– Il m’a quand mémé foutu une baffe ! Il paraissait excité comme un pou ! J’ai rien compris de ce qu’il me racontait.

– Il ne t’as rien pris ?

– Non, c’est pas ça…

– Bin, il doit être loin maintenant.

– S’il trouve mon adresse je suis mal !

– Mais il s’en fout de ton adresse, c’est juste une petite frappe !

– Tu ne comprends pas ! Ce mec, c’est celui qui m’a demandé de soudoyer Martinov.

– Quoi ? C’est Amaury ?

– Oui.

– Mais il voulait quoi ?

– J’en sais rien !

– Bon alors dans ce cas, on t’emmène, tu coucheras chez nous.

 

Amaury voyant la jeune femme réintégrer la voiture devient fou de rage, il peste, il tempête, il éructe. Sans trop réfléchir il se met à suivre le véhicule conduit par Florentine.

 

Gérard et sa compagne habitent dans la Somme, mais possèdent une « garçonnière » à Paris, en fait un grand studio. Il n’y a pas de parking et la voiture se gare le long du trottoir.

 

Le trio sort du véhicule, se dirige vers l’entrée de l’immeuble et y pénètre.

 

Amaury, à l’affût ne peut rien faire d’autre que de noter l’adresse. Fou de rage et ne se contrôlant plus, il revient vers sa moto et s’empare d’une énorme clé anglaise qu’il conservait dans l’une des pochettes de sa bécane, puis il se rue à bras raccourcis sur la voiture de Gérard qu’il commence à massacrer !

 

A peine rentré dans le studio, le trio entend des bruits étranges venant de la rue.

 

On se précipite aux fenêtres :

 

– C’est un taré qui est en train de démolir la bagnole ! Appelle la police ! S’énerve Gérard.

– C’est le même que tout à l’heure ! Précise Anne-Lise !

 

Gérard enregistre l’information, sort du studio, mais n’a pas la patience d’attendre l’ascenseur et dévale les escaliers quatre à quatre.

 

Il y a du monde aux fenêtres qui invective le sacripant, Amaury en a cure et continue à bastonner la pauvre automobile.

 

Une voiture de police patrouillait non loin de là, elle déboule toutes sirènes hurlantes, les flics ont tôt fait de maîtriser l’individu et de le menotter.

 

– Le propriétaire du véhicule est là ? Demande un policier.

– Oui c’est moi ! Répond Gérard.

– Vois connaissez cet individu ?

– Pas du tout.

– Je suppose que vous allez porter plainte, passez au commissariat demain matin.

 

– Bon demain, je vais avoir du boulot, prévenir un garagiste, allez chez les poulets… Mais l’Amaury il va se souvenir de moi ! Ça va chauffer !

– T’énerve pas mon biquet ! Lui dit Florentine, je te sers un whisky.

– Oui !

– Toi aussi, Anne-Lise ?

– Oui ça me fera peut-être du bien ! Quel dommage, la soirée avait été géniale, ce con est venu tout gâcher.

– Tu voudrais quelque chose pour te détendre ? Un petit massage ?

 

Anne-Lise qui est loin d’être folle a parfaitement compris le message, sous prétexte de détente, Florentine, décidemment insatiable ne serait pas contre encore un peu de sexe. Bien sûr, l’escort-girl pourrait refuser, prétexter une migraine, mais elle préfère se montrer gentille avec ce couple qui ce soir lui a évité d’être brutalisée par un cinglé.

 

« Et ça va encore être du sexe à l’œil ! Mais je ne me vois pas leur réclamer des sous ! »

 

– Un petit massage ou un petit câlin ? Répond-elle alors.

– C’est comme tu veux ! Viens donc m’embrasser !

 

Le baiser, comme on s’en doute, fut profond et baveux et les mains se firent baladeuses.

 

Gérard, à la vue de ce spectacle se mit à frétiller de la braguette. Mais pour le moment Anne-Lise préférait rester en tête à tête (pardonnez-moi l’expression) avec Florentine.

 

– Finalement je veux bien un massage ! Déclara-t-elle.

– O.K. je vais chercher ce qu’il faut !

 

Florentine revint avec une serviette de bain qu’elle étala sur le canapé, puis demanda à l’escort-girl se s’y coucher nue sur le ventre.

 

Gérard se leva et alla pour s’approcher

 

– Non, non ! Lui dit Florentine, toi tu restes assis et tu ne bouges pas, tu as juste le droit de te branler.

 

Très joueur, l’homme accepta ce rôle tandis que sa compagne disparut une nouvelle fois pendant quelques instants.

 

Quand elle réapparût, elle s’était affublée d’une blouse blanche non boutonnée avec rien en dessous.

 

– Et voilà, j’ai l’air d’une vraie masseuse, maintenant on y va ! Humm quel cul d’enfer tu te paies !

– T’as vu ça !

– Humm !

 

Et Florentine accompagna son appréciation en claquant le fessier de la belle, une claque plus symbolique que méchante.

 

– Si tu as envie de me donner la fessée, ne te gêne pas !

– Ah, oui ? Tu aimes plein de choses, toi ?

– Plein !

– Tiens ça t’apprendra à vouloir des fessées ! Lui dit-elle en claquant « pour de vrai » cette fois ci !

– Vas-y ! Fais-moi un cul tout rouge !

– C’est ce que je fais ! Tiens salope !

– Continue, tape-moi sur les fesses, insulte-moi, ça m’excite !

– Tiens, morue, tiens chiennasse !

– Continue ! Aïe ! Mais fais gaffe, tout à l’heure je me vengerais peut-être.

– T’as le droit, ma biche !

 

Au bout d’un moment Florentine cessa sa série de fessées, non pas parce que le jeu ne lui plaisait plus, mais parce qu’à force de taper ses mains devenaient douloureuses.

 

– Qu’est-ce que tu fais, toi, là-bas ! Demanda-t-elle en, interpellant Gérard.

– Ben, tu m’as dit de me branler, alors je me branle ! N’hésitez pas à m’appeler si vous avez besoin de moi !

 

Florentine écarte maintenant les fesses d’Anne-Lise afin d’avoir accès à son mignon petit trou.

 

– Après la douleur, la douceur ! Commenta-t-elle en y appliquant sa langue.

– Hum !

– Quel endroit délicieux !

– D’autant que je ne me suis pas bien essuyé le derrière… Plaisanta l’escort.

– Menteuse, on a pris une douche ensemble. Regarde donc ce que je sors de ma poche !

– Oh ! Maman ! Un gode ! J’ai peur qu’on me le mette dans le cul ! Sa gausse Anne-Lise

– Hi, hi, je vais t’enculer, petite vicieuse !

– Tant qu’à faire j’aurais préféré que ce soit Gérard qui le fasse.

– Chiche !

– Je parlais sérieusement !

 

Alors Florentine appela son compagnon à la rescousse, celui-ci ne put décemment refuser ce qu’on lui demandait de faire. Il s’approcha de la belle qui se mit en position afin de faciliter l’introduction et lui pénétra l’anus de sa bite bien bandée.

 

Martino21F

 

Florentine se retrouvait donc momentanément hors-jeu avec un gode dans la main, devenu inutile. Inutile, c’est bien mal la connaître, le gode, elle l’enfonça dans le cul de Gérard. L’enculeur se retrouvant ainsi enculé à son tour.

 

Anne-Lise bien chauffée ne tarda pas à crier sa jouissance, ce qui excita notre Gérard qui du coup redoubla d’effort et finit par cracher son sperme tandis qu’au même moment Florentine lui retirait brusquement le gode qu’elle lui avait planté dans le cul.

 

– Bon, quelqu’un s’occupe de moi, où je me termine toute seule ? Demanda cette dernière.

 

– Tu voudrais un peu de mon pipi ? Lui demande Anne-Lise.

– Oh, oui, s’il est aussi bon que tout à l’heure, je vais me régaler !

 

Elle ne put lui offrir que quelques petites gouttes, mais la jolie mature s’en pourlécha les babines.

 

Puis, bon prince, Gérard vint la doigter avec énergie tandis qu’Anne Lise lui suçaillait les nichons.

 

Vendredi 15 février

 

Le lendemain Gérard téléphonait au professeur Martinov, lui narrait sa mésaventure et concluait en ces termes :

 

– Désormais entre Amaury Machin-chose et moi, c’est maintenant une affaire personnelle !

 

Amaury est placé en garde à vue, il a droit à une communication téléphonique, il joint donc son mentor qui était fou d’inquiétude.

 

– Je suis au poste, j’ai un peu pété les plombs avec un automobiliste…

 

Mais il se demande ce qu’il va lui raconter quand il sera libéré ! Il en est malade !

 

On ne lui trouve ni alcool, ni substance dans le sang, mais son casier judiciaire fait mention de plusieurs délits liés à des manifestations d’éléments factieux.

 

Interrogé il prétend s’être énervé après « un chauffard qui lui a refusé la priorité ». Les flics ne creusent pas davantage, ils ont d’autres choses à faire !

 

Samedi 16 février

 

Après vingt-quatre heures de garde à vue, on libère Amaury Duplessis, non sans l’avoir inculpé comme il se doit.

 

– Qu’est-ce t’as foutu ? Lui demande Pierre-Jean Rondeval-Blancard

– Je te l’ai dit !

– Je trouve ça bizarre ! C’est pas vraiment ton truc de te coltiner un chauffard !

– Oui, mais celui-là il m’avait trop énervé !

– Et qu’est-ce que tu foutais en bagnole dans les rues de Paris à cette heure-là, j’ai essayé de te joindre et ça ne répondait jamais.

– La batterie de mon téléphone était déchargée !

– Ben voyons ! Tu sais ce que je crois ?

– Non ! Répondit Amaury peu rassuré.

– T’as voulu draguer un minet et ça s’est mal passé, alors tu t’es vengé sur la bagnole du mec.

– N’importe quoi !

 

Et là Amaury est effondré, lui qui s’était démené comme un bon diable pour essayer de satisfaire son amant, voilà que celui-ci ne trouvait rien de mieux que de lui faire une crise de jalousie.

 

– T’es trop injuste ! Pleurnicha Amaury

– C’est moi qui suis injuste ? Avec tout ce que j’ai fait pour toi, tu ne trouves rien de mieux à faire que d’aller sucer la bite de n’importe qui et de me mentir comme le dernier des salopards !

– C’est toi le salopard ! Tu m’accuses sans savoir !

– Et le respect tu connais, pédale ! Répliqua Rondeval-Blancard en lui adressant une double paire de gifles.

– Ouin !

– Tu prends tes affaires, tu me rends mes clés et tu te casses.

– Si tu me laissais juste le temps de m’expliquer cinq minutes !

– Tu fermes ta gueule et tu te casses !

 

Des affaires, il n’en avait pas tant que ça, Duplessis n’habite pas là, il ressemble les vêtements de rechange et le nécessaire de toilette entreposé ici, il ne sait même pas comment les emporter.

 

– T’aurais pas un sac en plastique ? Bredouille-t-il.

– Démerde-toi.

– Je vais voir dans la cuisine.

 

Il y va ! Quand il revient, son désormais ex-amant l’interpelle :

 

– Tu prends aussi les merdes que j’ai posé sur la table, sinon ça va partir à la poubelle.

 

Sur la table il y a un coffret C.D. des œuvres complètes de Didier Barbevilain, un ouvrage in-folio illustré sur la division Charlemagne et une ceinture en cuir de grande marque.

 

« Le salaud, il me rend mes cadeaux ! »

 

L’humiliation est à son comble. Duplessis est au bord des larmes, il laisse les objets sur la table et gagne la porte.

 

– Les clés !

 

Il les jette à terre, dévale l’escalier, s’arrête au premier pallier et se met à chialer comme une madeleine.

 

Il erre dans les rues, brisé, humilié, désespéré.

 

« C’est de quel côté la Seine ? »

 

Son envie de se suicider est soudainement contrariée par une immarcescible envie de pisser. Evidement il ne trouve aucune sanisette de libre, alors il va dans un bistrot, et s’assoit en attendant qu’on prenne sa commande.

 

Choqué, il tente tant bien que mal de clarifier la situation dans son esprit. Il sait la rupture irréversible, Rondeval-Blancard est un de ces hommes qui se figure qu’être entier est une qualité alors que ce n’est qu’une des facettes de la suffisance et de la psychorigidité. A la rigueur, une seule chose pourrait le faire changer d’avis : que cette Anne-Lise lui apporte elle-même sa version des faits ! Mais comment faire ? Comment lui demander cela après l’avoir giflé et insulté ? L’argent bien sûr puisque c’est une pute ! Encore faut-il qu’elle accepte de l’écouter !

 

Il l’appelle, elle décroche mais c’est pour raccrocher aussitôt dès qu’elle reconnait sa voix.

 

Alors il lui envoie un long message dans lequel il s’excuse platement mais maladroitement n’ayant guère l’habitude de ce genre de situation. Et il termine en ces termes :

 

« Je passe donc sur l’échec de votre mission, je peux comprendre que ce sont des choses qui peuvent arriver, je vous en propose une autre plus simple et au même prix, je rappellerai dans une heure pour connaître votre réponse. »

 

– Ça sent le piège à plein nez ! Dit Anne-Lise en montrant le message à Gérard Petit-Couture.

– Il commence à nous emmerder, mais il va pas nous emmerder longtemps !

 

Une heure plus tard, Anne-Lise raccrochait de nouveau au nez de Duplessis.

 

Ce dernier eut alors l’idée de se faire aider par l’agence d’escorts dans laquelle il avait dénichée la fille.

 

– J’ai été très mécontent des prestations de cette Anne-Lise que vous m’aviez pourtant fortement recommandé !

– D’habitude on ne s’en plaint pas ! Que voulez-vous on ne peut pas plaire à tout le monde !

– Vous prenez bien ça à la légère, vous m’aviez pourtant affirmé que cette fille excellait dans les missions d’espionnage !

– N’importe quoi, c’est une agence d’escorts ici, c’est pas la C.I.A.

– Mais…

– Laissez-moi parler. Je me souviens de notre conversation : vous m’aviez dit que vous souhaitiez une fille capable de tirer les vers du nez à un tiers, je vous ai simplement répondu que j’avais une escort qui avait déjà pratiqué ce genre de choses et ç’est tout !

– C’est pareil !

– Non, ce n’est pas pareil et je vous fais remarquer que ce qui se passe entre l’escort et le client ne me regarde pas, sinon il y a des lustres que je serais tombée pour proxénétisme ! Vous voulez quoi ? Que je vous rembourse ? Il n’en est pas question ! Porter plainte ? Je vous souhaite bien du plaisir ? Non ? Autre chose ?

– Oui, que vous intercédiez afin qu’elle accepte un nouveau rendez-vous avec moi !

– Vous êtes mécontent de ses services et vous désirez avoir un nouveau rendez-vous avec elle ?

– Je me suis mal expliqué…

– Bon, vous dégagez s’il vous plait !

– Je ne vous demande pas la lune !

– Si vous n’êtes pas dehors dans trente secondes, j’appelle l’agent de sécurité !

– Salope !

 

Madame Louise se tourna alors vers son associée et amante :

 

– Règle numéro un : On ne négocie pas avec les râleurs, on les vire !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:05

Martinov 21 – Sex-machines – 5 – Partouze à Louveciennes par Maud-Anne Amaro

Stamp secretaire

 

Jeudi 14 février

 

Comme la veille, Anne-Lise avait demandé à Martinov de l’héberger pour la journée afin de donner le change.

 

– Mais je m’en irais ce soir, il faut que je passe chez moi me changer…

 

En arrivant Béatrice avisait le professeur de sa rencontre avec Gérard Petit-Couture

 

– S’il nous trouve une idée, c’est qu’il est plus fort qu’Hercule Poirot ! Commente Martinov.

– Moi, j’ai tendance à lui faire confiance.

– On verra bien ! Répondit le professeur, fataliste.

 

En fin d’après-midi, alors que Béatrice vient juste de partir, et qu’Anne Lise se prépare à son tour, Gérard téléphone :

 

– Bonjour mon vieux Martinov ! J’ai du nouveau dans cette affaire Laviron, une idée que je ne trouve pas si mal ! On peut passer pour en parler ? Je peux être chez vous dans une demi-heure !

– Mais avec grand plaisir !

– Je suis avec Florentine !

– Super !

 

Martinov appelle Béatrice sur son téléphone portable :

 

– Gérard et Florentine se pointent, tu peux revenir ?

– Ça va encore tourner en partouze cette affaire-là !

– C’est comme tu veux !

– J’arrive !

 

Le professeur demande alors à Anne-Lise de rester un peu.

 

– Ce sont des amis, ils disent qu’ils ont une idée pour démêler cette sombre histoire.

– Ah ! Des amis comment ?

– Ils sont sympas comme tout, ne t’inquiètes pas !

– Je reste juste cinq minutes pour faire connaissance alors !

 

Un peu plus tard que prévu, Gérard Petit-Couture et sa compagne sonnait au domicile du professeur Martinov.

 

Il nous faut décrire Florentine à l’attention de ceux qui n’ont pas lu les épisodes la concernant ou qui ont tout oublié.

 

1,75 mètre, un visage ravissant, presque la cinquantaine mais remarquablement entretenue et conservée, brune aux cheveux longs, des formes, du sourire, de la grâce et même des lunettes !

 

– Voilà je vous présente Anne-Lise dont Béatrice a dû vous parler, voici Gérard et Florentine.

 

Les gens s’embrassent, vont pour s’installer autour d’une table basse et le professeur Martinov propose l’apéro puisque c’est l’heure de la chose !

 

« Tu parles ! » se dit Béatrice « dans un quart d’heure, l’apéritif va devenir horizontal ! Et pour le moment, j’ai pas trop envie ! »

 

– Je vais vous laisser, il faut que j’y aille ! Prévient Anne-Lise.

– Mais restez donc, nous sommes ravis de vous avoir avec nous ! Objecte Gérard.

– Non, je suis désolée, j’ai du chemin à faire, je suis venu par les transports en commun, ma voiture est au garage…

– Vous habitez Paris ?

– Oui !

– Alors nous vous raccompagnerons !

– Ça nous fera plaisir ! Ajoute Florentine avec un sourire assez peu innocent.

 

Elle se laisse donc convaincre.

 

– Bon alors voilà, y’a du nouveau, j’ai quelques contacts dans le milieu du marché de l’art, et je suis de suite tombé sur le bon zigue. D’abord « Retours », le canard dont se réclame Rondeval-Blancard, n’existe plus depuis plus d’un an, c’est lui qui l’a lancé avec ses fonds propres et ça n’a pas marché, il n’y a jamais eu de numéro 2 ! Ce type n’appartient selon ma source à aucune organisation et se tape une réputation de fouteur de merde, c’est d’ailleurs pour ça qu’il s’est fait virer de « Plaisir des arts ». Donc déjà ça change tout…

– Comment ça ?

– Ben il est tout seul, tu n’as plus à craindre de réaction violente de ses amis, puisqu’ils n’existent pas ! Et puis s’il déconne, je peux lui foutre la trouille, j’ai toujours ma carte de la DGSE.

– Il doit tout de même avoir des complices ! Objecte Béatrice. Anne Lise nous a parlé d’un jeune homme brun…

– Ce doit être Duplessis, son nouvel amant, un petit pète sec, fort en gueule…

– Ça doit être ça ! Approuve Anne Lise.

– Mais j’ai gardé le meilleur pour la fin : Rondeval-Blancard a été l’amant de Laviron…

– Quoi ?

– Ils se sont brouillés il y a environ un an. Une rupture assez violente, parait-il, avec échanges de coups, menaces diverses et tout le tremblement. Les voisins ont été obligés d’appeler la police. Depuis il n’a plus qu’une idée en tête : pourrir la vie de son ancien amant !

– Eh ben !

– Comme tu dis ! Donc voilà qui permet de poser le problème complètement différemment ! Bon, ça m’a donné soif de parler, tu me ressers un petit Campari ?

 

Et pendant que Martinov lui ressert à boire, Gérard Petit-Couture lui pelote carrément les fesses

 

– Mais enfin, monsieur ! Fait mine de s’offusquer le professeur !

– Ben quoi, c’est à moi tout ça !

– Ne vous offusquez pas ! Intervient Florentine à l’attention d’Anne-Lise, mon mari est un peu à voile et à vapeur !

– Je ne m’offusque pas, j’en ai vu d’autres !

 

Gérard s’approche d’Anne-Lise :

 

– Je peux vous dire un truc discrètement ?

 

Elle fait signe que oui et les voilà qu’ils s’éloignent tous deux au fond de la pièce.

 

– Euh, il n’est pas impossible que la soirée dégénère en partouze, autant que vous soyez prévenue, ces gens sont tous très corrects, mais comment dire, en ce qui vous concerne… euh !

– Oui, j’ai compris, ne bafouillez pas, vous êtes en train de me demander si ça me gêne de participer ? C’est ça ?

– C’est ça !

– Vous connaissez mon métier, je suis vénale, si on me paye, je veux bien faire des choses du moment que les rapports soient protégés et qu’il n’y ait ni violence, ni contrainte…

– Aucun souci de ce côté-là !

– Ce genre de prestation n’est pas donné…

– Dites-moi votre prix !

– Si vous me promettez de me sortir du pétrin dans lequel je me suis fourrée, ce sera gratuit ! On marche comme ça ?

– Ça me paraît un bon deal !

 

Un raclement de gorge ! C’est Florentine :

 

– Qu’est-ce que vous mijotez tous les deux ?

– C’est une surprise ! Répond Gérard.

 

Le problème « Anne-Lise » n’en étant plus un, il suffit désormais d’une étincelle pour que le sexe s’en mêle. Gérard n’a aucun scrupule à se faire provocateur.

 

– Hé, les filles, ça vous dirait si Martinov et moi on vous offrait un petit spectacle un peu cochon ?

 

Béatrice et Florentine se sentent un peu gênées mais quand Anne-Lise répond d’enthousiasme « Oh oui, oh, oui ! », elles approuvent à leur tour.

 

– On pourrait me demander mon avis ! Rétorque Martinov.

– Absolument ! Répond Gérard ! Donne-nous ton avis !

– Mon avis, c’est qu’on ne peut pas refuser ce que réclament ces dames !

– Voici une sage décision ! Martinov me sucerais-tu la bite ?

– Avec grand plaisir !

 

Et sans attendre davantage, Gérard Petit-Couture sort son instrument reproducteur de sa braguette.

 

– Mais non pas comme ça ! Proteste Béatrice

– Un problème ?

– Baisse donc ton pantalon se sera quand même plus sympa.

– Alors d’accord comme ça tout le monde verra mon cul !

– Justement quand on a des belles fesses de pédé on les montre ! Renchérit Béatrice

 

Et Gérard fait donc tomber son pantalon sur ses chevilles.

 

– Il faudrait mieux l’enlever carrément, non ? Suggère Martinov.

– O.K. je le retire et on y va !

 

Gerard s’exécute et exhibe son cul devant ces dames en en écartant les globes. Le professeur vient s’accroupir devant lui, s’empare de sa bite demi-molle et se la met en bouche. Il adore faire ce genre de chose et ne le fait pas aussi souvent qu’il le désirerait.

 

– Hum, qu’est ce que c’est on de sucer une bonne bite !

 

Les filles sont au spectacle, Anne-Lise se demande comment interagir d’autant qu’elle ignore si Béatrice et Florentine ont des tendances bisexuelles.

 

C’est Florentine qui débloque la situation en laissant vagabonder sa main entre les cuisses de Béatrice.

 

– Ils m’excitent ces deux cochons ! T’avais déjà vu deux hommes faire ça, Anne-Lise ?

– Oui, une fois, ça m’avait fait drôle !

– Ça t’avais excité ?

– Troublée, oui ! Excitée je ne sais plus trop, les circonstances n’étaient pas les mêmes…

– Je comprends ! Répond Florentine qui ne cherche pas à en savoir davantage, mais Béatrice, ça a l’air de bien l’exciter, baisse-moi ton pantalon, que je te caresse la chatte.

 

La jeune chimiste s’exécuta sans problème, elle déposa le pantalon sur le dossier d’une chaise, la petite culotte également.

 

– Ben voilà ! Mais je ne voudrais pas être la seule à être la chatte à l’air.

– T’inquiète pas, on va se mettre à l’aise ! Mais voyons d’abord l’état des lieux…

 

Et cette fois Florentine après une innocente caresse sur le pubis, lui introduit carrément les doigts.

 

C’est tout mouillé, ça fait floc-floc !

 

– Je peux ? Demande Anne-Lise.

– Toi aussi t’es un peu bi ? Demande Florentine.

– A mes heures !

 

La main de l’escort-girl remplace l’autre, mais elle ne contente pas de ça, elle approche son visage de celui de Béatrice qui ne refuse pas le baiser, et les voilà en train de se rouler un patin magistral et baveux.

 

– Allez on enlève tout ! Propose Anne-Lise qui se retrouve à poil en deux temps, trois mouvements, les deux autres femmes suivent et l’imitent aussitôt.

 

Anne-Lise fait une pirouette faisant admirer son corps aux participants.

 

– Ça vous plait ?

– Quel joli cul ! Commente Béatrice.

– Tiens tu verras mieux ! Répond la brune en écartant les fesses de façon à exhiber son joli petit œillet brun.

– Oh le joli petit trou, je le lécherais bien !

– Vas-y ma chérie, lèche-moi le trou, j’adore qu’on me le lèche.

 

Ce sont des propos qu’il n’est point nécessaire de répéter deux fois à Béatrice, qui s’empresse d’aller faire frétiller sa langue agile sur cette délicieuse rondelle.

 

– Tu peux me mettre un doigt, si tu veux !

– On y va.

– Même deux, si tu veux !

– Un d’abord, l’autre après !

 

Après quelques mouvements de pilonnage digital, le doigt fatigué ressorti, et Béatrice s’empressa de le porter en bouche, elle adorait ce petit goût si particulier.

 

– Cochonne ! Lui murmura Anne-Lise en lui faisant un clin d’œil

– Eh, oui !

 

Cette fois la partouze générale est bel et bien lancée d’autant que leurs côtés, ces messieurs se sont également dévêtus et que le professeur Martinov est déjà en position prêt à recevoir l’assaut de son partenaire dans son conduit anal.

 

Mais Gérard prend son temps, il s’encapote, puis après avoir écarté les globes fessiers du professeur, il vient lui lécher le troufignon avec une telle application qu’il finit par s’entrouvrir.

 

Puis il approche sa bite, un coup sec et ça entre, il s’enfonce profondément, puis commence une série de va-et vient.

 

– T’aimes ça qu’on t’encule ? Hein Martinov ?

– Surtout quand c’est bien fait !

– Tout à l’heure on inversera les rôles, c’est toi qui me mettras ta bite dans le cul !

– Pas de problème ! Oh ! C’est trop bon ! Continue !

 

Florentine s’est approché pour mieux voir !

 

– Ça m’excite de trop, deux mecs qui s’enculent ! Commente-t-elle.

– Tu m’as l’air d’une belle cochonne, toi ! Lui répond Anne-Lise en ce moment en train de se faire lécher les seins par Béatrice.

– Oui, mais j’assume !

 

Florentine s’accroupit à la hauteur de la chatte d’Anne-Lise et l’attaque de sa langue.

 

L’escort girl, jusqu’ici en mode « pro », ne mouillait quasiment pas, même si les doux baisers de Béatrice sur ses tétons commençaient à faire leur effet, mais la langue diabolique de Florentine vint changer la donne, et Anne-Lise commença à s’abandonner, et quand la belle mature attaqua son clitoris elle ne put faire autrement que de jouir peu discrètement.

 

– Ben dit-donc, toi, alors !

– Eh oui ! C’est la première fois que tu fais des trucs avec une femme mûre ?

– Non pas vraiment ! Il y a environ deux mois, je devais me rendre, chez un couple de retraités de province qui étaient montés à Paris, j’y suis allé en compagnie d’un escort boy. Comme d’habitude, tout ce qui est sexuel est censé être ignoré par l’agence. On nous avait indiqué qu’il s’agissait d’accompagnement, je ferais donc du shopping avec madame, pendant que Bob, l’escort-boy, irait au musée ou ailleurs avec monsieur. Evidemment arrivés sur place on nous a chanté une tout autre chanson, le couple était parisien et nous attendait dans un appartement, un truc très bourge dans le 16ème. On a sonné, la bonne nous a fait entrer et nous a déclaré tout de go : « monsieur et madame vous attendent, ils sont nus dans le salon, ils souhaitent que vous vous vous déshabilliez ici, ensuite monsieur s’occupera de monsieur et mademoiselle s’occupera de madame.

– Carrément ?

– Carrément ! La bonne nous a filé nos enveloppes, on a vérifié, on s’est dessapé et on y est allé. A peine bonjour, on aurait été des robots, ça aurait été pareil, Bob qui avait plus d’expérience que moi, s’est pointé vers le vieux et s’est fait sucer la queue, et comme mémère avait les jambes écartées sur son fauteuil, j’en ai conclu qu’il fallait que je la suce, mais ce n’était pas ça, du moins elle ne voulait pas que les choses se passent dans cet ordre, elle m’a fait allonger sur une petit canapé et m’a tripoté, m’a léché, sans essayer de me faire jouir, elle n’était pas folle non plus ! Et pendant ce temps-là, Bob enculait le vieux. Quand mémère en a eu marre de me tripoter elle m’a offert sa chatte, je l’ai fait jouir en m’appliquant mais en pensant à autre chose. Une fois l’affaire terminée les deux vieux sont partis dans la pièce à côté. Pas un mot, pas merci, rien ! La bonne nous a rejoint pour nous dire qu’on pouvait se rhabiller… comme si on allait partir à poil ! Par provocation Bob a dit qu’il avait soif ! On a eu droit à un verre d’eau du robinet, j’ai rarement vécu un truc aussi peu convivial.

– Hum elle est curieuse ton histoire !

– Oui je ne sais pas pourquoi je te raconte ça ?

– On parlait de femmes mures…

– Ah ! Oui !

– Et si tu me léchais la chatte ! Lui proposa Florentine.

 

Anne-Lise proposa à Béatrice et à Florentine de s’assoir l’une à côté de l’autre ce qui lui permettrait de les lécher alternativement.

 

– Regarde-moi ces deux bonhommes ! Ils sont déchainés. Ah, cette bite qui lui pilonne le cul ! Quel spectacle ! Commenta Florentine avant de rouler un patin à sa voisine tout en lui pelotant les seins.

 

La langue d’Anne-Lise attaque tout d’abord la chatte baveuse de Florentine, tandis que deux de ses doigts viennent fouiner dans celle de Béatrice. Au bout d’un moment, elle alterne, : la langue pour Béa, les doigts pour la mature. Les deux femmes se pincent les tétons mutuellement et commencent à japper de plaisir.

 

Nouvelle permutation, et cette fois l’escort-girl attaque le clito de Florentine.

 

– Ahh ! Non ! Oui, Ouiii, continue ! Je jouis ! Oh, tu m’as fait bien jouir, ma petite salope.

 

Dans la foulée, Anne-Lise se précipite sur la chatte de Béatrice qui ne tarde pas à rejoindre son ainée dans l’orgasme.

 

Elle se caressent, s’embrasent, se cajolent, se resservent à boire, tout va bien !

 

Gérard commence à fatiguer et sort du cul du professeur sans avoir joui. Il se place devant son partenaire et entreprend de lui pincer et de lui tortiller les tétons, ce qui fait que notre bon professeur Martinov bande comme un sapeur.

 

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Gérard peut alors prendre la bite en bouche et la sucer goulument pendant quelques minutes avant de se mettre à quatre pattes et d’offrir à son tour son cul au professeur.

 

Ce dernier est plus passif qu’actif dans ce genre de relation, mais la partouse a aussi ses règles, si l’on veut recevoir, il faut aussi savoir donner.

 

– Sont trop cochons, quand même ! Fait mine de s’offusquer Florentine.

– Oui mais bon, les hommes d’un côté, les femmes de l’autre, c’est un peu gênant, on se croirait à la messe en Sicile ! Fait remarquer Anne-Lise.

– T’as raison ! Approuve Béatrice. Venez les nanas, on va les rejoindre.

 

Les trois filles s’approchent du couple sodomite :

 

– Alors les pédés, on aime plus les femmes ! Raille Florentine.

– Oh ! Proteste Gérard ! On ne peut pas se faire enculer tranquille ?

– Ben, non, pas quand on est là !

 

Et la situation tourne vite au grand n’importe quoi : Anne-Lise offre sa chatte à Gérard qui ne va tout de même pas refuser un tel cadeau, Florentine vient doigter le cul du professeur et Béatrice…

 

Elle est où Béatrice ?

 

En fait elle était montée dans la chambre du professeur d’où elle redescend très vite en tenant un godemichet dans la main.

 

– Sors de son cul, mon petit professeur, je prends le relais !

– Je ne suis pas d’accord, je veux une vraie bite, pas un machin en latex ! Proteste mollement Gérard.

– Laisse-moi faire, c’est moi la reine des godes !

 

Et tandis que Béatrice pilonne Gérard avec son godemiché, Florentine s’est emparé de la bite du professeur Martinov et se met à la sucer avec frénésie, avant de déclarer tout de go :

 

– Maintenant, encule-moi, prend moi comme une chienne !

 

Overdosé d’excitation le professeur accéda bien volontiers à cette requête et se mit à sodomiser la belle en cadence jusqu’à ce qu’il prenne son pied, tandis que la belle mature orgasmait à répétition. Et quand il retira sa capote, la belle mature vint lui nettoyer la bite de son sperme avec gourmandise.

 

Pendant ce temps, Gérard se régalait de la chatte d’Anne-Lise tandis que les coups de butoir de Béatrice dans son trou du cul le faisaient miauler de plaisir.

 

– Je peux te baiser ? Demanda Gérard à l’escort-girl.

– Mais certainement mon cher ! Tu en meurs d’envie, n’est-ce pas ?

– J’avoue !

– Tu n’es donc pas si pédé que ça !

– Je ne suis pas pédé, je suis bisexuel ! Nuance !

– Tu ne serais pas un peu soumis, en plus ?

– Non pas vraiment, mais c’est un rôle que je peux jouer parfois…

– Dommage que je n’ai pas un martinet, je t’aurais bien fouetté un peu tes fesses de pédé.

 

Elle se mit alors à demander à la cantonade :

 

– Personne n’aurait une cravache ou un machin qui fouette, on a envie de jouer à panpan-cucul !

 

Et quelques instants plus tard Béatrice revenait de la cuisine avec une jolie spatule en bois.

 

– Tiens ! Prend ça sur son cul, gros pervers !

– Je ne suis pas gros !

– Non, mais t’es pervers !

– Toi aussi !

– C’est pas une raison ! Tiens, morue, salope, suceur de bite, enculé.

– Oui, je suis tout ça, et je n’ai même pas honte !

– Pas moyen de faire de la domination sérieuse avec toi !

– Pourquoi faudrait-il que le sexe soit sérieux ? Moi j’aime bien la déconnade !

 

Pour toute réponse Anne-Lise augmenta l’intensité de ces coups.

 

– Ne l’abime pas trop quand même ! Intervint Florentine.

– Mais non, et puis d’abord il aime ça ! Et toi t’aimes bien les coups sur les fesses ?

– Juste un peu alors !

– Ben voilà il suffisait de demander !

 

Du coup Florentine présenta son cul à l’escort-girl et reçut à son tour sa ration de coups de spatule.

 

– Oh, là, là ça m’a mis dans un état tout ça ! Commenta-t-elle. Gérard tu vas pouvoir me baiser, mais avant il faut que je me soulage, j’ai une envie pressante.

– Pisse-moi dans la bouche ! Demanda Florentine.

– T’es vraiment une salope ! Viens, on va faire ça !

– Attendez, vous allez en mettre partout ! Intervient Béatrice, allez faire ça dans la salle de bain, ou plutôt attendez je vais chercher une serpillère.

– Vite, j’ai trop envie !

– Je me suis trouvé un nouveau job ! Préposée aux accessoires pour parties fines, je devrais passer une annonce.

 

Anne-Lise libéra ses sphincters et déversa son joli pipi dans la bouche gourmande de Florentine.

 

– Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !

– Bien sûr que je suis une putain, et fier de l’être en plus.

– Il en reste un petite goutte pour moi ? Intervient Béatrice qui adore ce genre de choses

– Mais bien sûr !

 

Dès qu’elle eut terminé, Anne-Lise s’étala de tout son long dans le canapé, jambes écartées.

 

– Viens mon Gérard, viens baiser ta pute ! T’as même le droit de m’enculer

 

Il la sodomisa donc, et plutôt rapidement, ce qui termina cette partouze de folie.

 

– Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais déchaînée, j’espère que je n’ai choqué personne.

– Mais non, tu as été parfaite, ma bibiche, la rassura Florentine. Je vais prendre une douche, tu viens ?

– Quand même, je dois passer pour la reine des putes !

– Et alors, tu ne vas pas te mettre à culpabiliser, moi, aussi j’ai été pute, c’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré Gérard ! Et crois-moi je ne regrette rien !

– T’es gentille, toi ?

– J’essaie !

 

Et les deux femmes se roulèrent un patin baveux en se caressant le nichons.

 

Après toutes ces réjouissances, Gérard souhaite emmener tout le monde au restaurant. Béatrice objecte qu’elle ne sera pas prête de suite, qu’il faut qu’elle prenne une douche, qu’elle se remaquille… Les deux autres femmes la rejoigne dans cette objection.

 

– Vous n’avez pas un livreur de pizza dans le coin ? Demande Florentine en remettant sa culotte.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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