Pr Martinov

Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 18:03

Martinov 21 – Sex-machines – 4 – Petite coucherie chez Béatrice par Maud-Anne Amaro

 

StampBea

Mercredi 13 février

 

En se levant, le professeur Martinov se voulut romantique et s’en alla acheter des croissants à la boulangerie du coin avant de réveiller sa jolie visiteuse.

 

– Je suis obligé de te réveiller, j’ai du travail, tout ça…

– Je me lève, je prends une mini douche et j’arrive.

 

Evidemment la mini douche dura bien vingt minutes. Elle en sort le peignoir ouvert faisant pointer ses tétons avec malice, le professeur se demande si elle n’est pas en train de faire ce qu’il faut pour « remettre le couvert ». Mais non, elle récupère se vêtement et s’habille gentiment

 

– T’as bien dormi ?

– Come un bébé.

– Bon alors, pour la suite je te propose de faire simple : le mec va te demander si t’as couché avec moi, t’auras même pas besoin de mentir. On va voir ce qu’il va te demander, si tout se passe par téléphone, tu m’appelles de suite, si le mec te propose une rencontre, tu me préviens aussi, on essaiera de savoir qui c’est.

– Ça marche comme ça ! Bisou mon pépère !

 

« V’la que je suis son pépère, à présent ! »

 

A 9 heures, Béatrice arrive toute guillerette et le professeur s’empressa de lui rapporter cette visite insolite :

 

– En voilà une histoire ! Qu’est-ce que ça peut être ?

– Une vieille affaire qui refait surface à moins que ce soit lié aux machins de Laviron ! De toute façon on ne va pas tarder à le savoir, la fille va me téléphoner.

– Sinon, c’était bien ta petite soirée ?

– Ma foi, c’était intéressant, elle m’a parlé d’espionnage industriel, j’ai appris plein de choses, je te raconterai !

– Et vous couchâtes ?

– On peut dire ça comme ça ?

– Et c’était bien ?

– C’est une pro !

– Tu l’as enculé ?

– Mais enfin, Béatrice…

– J’ai envie que tu me racontes

– Oui, ben, tout à l’heure ! On a du travail !

– Cachottier !

 

Et cet échange intéressant fut soudain interrompu par la sonnerie du téléphone portable du professeur. Voyant l’identité de son correspondant, il mit l’ampli afin que Béa puisse entendre.

 

– Oui, allô, c’est Anne-Lise, le mec m’a appelé et m’a expliqué la suite !

– Je suis tout ouïe !

– Je suis censée être la fille d’un dénommé Laviron qui parait-il fait des sculptures cochonnes…

– On connaît !

– En gros, je dois user de mon influence sur toi, pour que tu sabordes les œuvres qu’il va exposer aux Tuileries !

– N’importe quoi ! C’est tout ?

– Presque, je dois passer à ma boite aux lettres, il y a une fausse carte d’identité qui m’attend au nom de Capucine Laviron ! Franchement j’ai une tête à m’appeler Capucine ?

– Tu leur as communiqué ton adresse ?

– Ce n’est pas mon adresse, c’est juste une boite aux lettres.

– Ah !

– Tu crois que ces gens sont dangereux ?

– Je pense qu’ils sont surtout complètement abrutis. Répondit la fille. Mais bon, dangereux et abruti ce n’est pas incompatible. Comment on fait maintenant ?

– Il faut que j’y réfléchisse, on se rappelle dans la journée.

– Je peux te demander quelque chose ? Demanda Anne-Lise

– Oui !

– Tu vas me trouver parano, mais j’ai peur que ces andouilles me géolocalise pour vérifier si je fais bien le boulot…

– J’ai compris, ramène-toi, je te présenterai Béatrice !

 

Le professeur Martinov et sa collaboratrice se regardent ébahis

 

– Mais dans quel monde vivent ces connards ? Ils se figurent que parce que tu as couché avec une fille, on ne peut plus rien lui refuser ! Tempête le professeur.

– En plus, ils ne sont pas à une contradiction près, la fille serait choquée par ce que fait son père, mais fait la pute pour faire saboter l’expo !

– Y’a pas plus crétin qu’un puritain !

– Et plus hypocrite ! Renchérit Béatrice.

– On fait quoi ?

– On réfléchit ! Mais ça me fait un peu chier de donner satisfaction à ces connards.

 

Et sans avoir trouvé de solution, le professeur Martinov et sa blonde assistante s’en allèrent vaquer à leurs occupations.

 

Sur ces entrefaites, Anne-Lise arrive tout sourire :

 

– Tiens c’est pour toi, des chocolats, des bons chocolats ! Dit-elle en lui tendant un petit paquet fermé d’un joli petit nœud rouge. Euh en fait c’est pour vous deux ! rectifia-t-elle en voyant arriver Béatrice.

 

Les deux femmes se présentent mais le courant n’y est pas.

 

– Tiens, il y avait ça dans ma boite aux lettres, qu’est-ce que tu en penses ?

 

Le professeur Martinov examine la fausse carte d’identité que lui tend la jeune femme. Une carte du « Royaume de Belgique »

 

– Du travail d’amateur, ça peut tromper quelqu’un qui a la vue basse mais c’est tout !

– Je suppose que tu n’as encore pris aucune décision ?

– Non, on en parlera à midi, on mangera ensemble, je vais t’installer dans la bibliothèque, il y a de quoi lire.

 

C’est un peu plus tard, en revenant de la poste où elle avait été déposer un paquet que Béatrice eut comme une idée. Du moins l’amorce d’une idée

 

« Je vais l’épater mon petit professeur, si j’arrive à lui apporter une solution sur un plateau ! »

 

Elle s’installe dans un bistrot, sort son téléphone portable et compose le numéro de Gérard Petit-Couture (voir les épisodes précédent). Celui-ci est manifestement tout joyeux d’avoir Béa au bout du fil.

 

– Ah ! Béatrice ! Que je suis heureux d’entendre votre voix, ça fait combien de temps que nous ne nous sommes pas parlé, un an ? deux ans ? Le temps passe si vite !

– Deux ans, je crois !

– Et quel bon vent vous amène ?

– C’est un peu complexe, je voudrais vous parler d’un truc.

– Euh vous êtes où, là ?

– A Louveciennes !

– Ecoutez je suis à Paris, j’ai un petit truc à finir de régler et je serais libre vers midi, vous pourriez me rejoindre et j’aurais tout mon temps pour vous écouter.

 

Bref, Béatrice accepta, évoqua un vague prétexte auprès de Martinov et se rendit à la fontaine Saint-Michel où elle avait rendez-vous.

 

Après les embrassades obligées, Petit-Couture conduisit Béatrice dans un « petit restaurant tranquille » à l’écart de la zone touristique.

 

– Vous êtes au courant de l’exposition d’art moderne aux Tuileries ?

– Pourquoi ? Tu veux une entrée gratuite ?

– C’est vrai qu’on se tutoyait. Non le problème est le suivant : Camille Laviron, tu connais ?

– De réputation, il s’est fait connaître à la biennale de Venise, il y a deux ou trois ans, il a exposé une pyramide de 666 chaussettes, c’était soi-disant une dénonciation de la société de consommation, il a obtenu un prix, c’est pour te dire le sérieux de ces gens-là. Son machin s’appelait « La masse à Chaussettes », il en a fait ensuite cadeau à l’état du Massachusetts qui l’a envoyé bouler. Il ne s’est même pas rendu compte que son jeu de mots à trois balles était intraduisible en anglais ! Depuis il continue de pondre des merdes, mais il est presque intouchable…

– Comment ça, intouchable ?

– C’est le frère ou le beau-frère d’un adjoint de la Mairie de Paris, il est copain avec des gens du ministère de la culture et il est bien considéré par les revues spécialisées. T’as un problème avec lui ?

 

Alors Béatrice lui narre par le détail, l’appel d’offre de Laviron, les relations détestables qu’il entretient avec Sonia, la visite de Rondeval-Blancard, puis celle de Anne-Lise.

 

– Rondeval-Blancard, je vois qui c’est, il était rédacteur à « Plaisir des arts », il s’est fait virer, j’ignore pourquoi, du coup il a offert ses services à un torchon de culs-bénis. C’est un opportuniste et un hypocrite.

– Oui, enfin notre problème c’est qu’on est coincé, on est lié par contrat avec Laviron, on aimerait donner satisfaction à Sonia, et ça nous emmerde de nous rendre complice d’une opération de censure. Comment démêler tout ça ? Je me demandais si tu pourrais avoir une idée !

– C’est pire qu’un challenge, c’est un casse-tête chinois !

 

Gérard respire fort, semble réfléchir.

 

– Tout problème a sa solution, il suffit de la trouver ! Philosophe-t-il. Mais là tout de suite je ne vois pas ! Sinon, tu es toujours aussi belle, Béatrice !

– C’est possible, mais ne changeons pas de conversation, j’attendais au moins un conseil !

– Belle et désirable !

– Gérard, je t’en prie !

– Je te propose un deal, on couche ensemble et je trouve une solution.

– N’importe quoi !

– Pas du tout, si on fait comme ça, j’aurais une dette envers toi et je paye toujours mes dettes !

– Et tu ne peux pas trouver sans baiser ?

– Si, mais il parait que l’activité sexuelle stimule très bien les neurones

– Je suis déçue, Gérard, je suis venue te demander un conseil, je ne pensais vraiment pas que tu allais me proposer de le monnayer ! Restons-en là !

– Oh Béatrice ! Je suis un mufle ! Oublie cette proposition débile ! Ou plutôt je te demande d’accepter mes excuses, cette solution je vais la trouver, j’en ai pour l’instant que l’esquisse, en réfléchissant et en discutant on va bien trouver !

 

La conversation fut interrompue par la jolie serveuse qui se crut obligée de remplir les verres.

 

– Quand j’y pense, c’est bizarre l’attitude de ces culs bénis, d’habitude ils n’agissent pas comme ça, ils font des manifs, ils gesticulent, rappelez-vous les exposants au château de Versailles ou Serrano avec le pipi de Jésus ! Reprit Béatrice.

– Ces gens-là ne constituent pas un groupe homogène, il y a de tout là-dedans. Et puis certains réfléchissent un peu plus que les autres, tout ce que tu cites n’a eu qu’une seule conséquence : une publicité inespérée pour l’artiste, je ne pense pas que c’était le but qu’ils recherchaient !

– Et cette esquisse de plan, on peut en parler ?

– L’idée c’est un contre-feu : trouver le moyen de ridiculiser Rondeval-Blancard, mais le faire en évitant qu’il y ait des conséquences par la suite.

– C’est à dire ?

– Je vais déjà me renseigner un peu sur le bonhomme, je crois savoir comment faire, ensuite on avisera, mais par exemple si on arrivait à exposer quelque chose de bien pire que les conneries de Laviron tout en empêchant Rondeval-Blancard de réagir ce serait pas si mal !

– Hum, comme tu dis c’est une esquisse.

 

Eh oui, l’idée était en l’air mais trop vague pour l’instant, ils terminèrent leur repas sans être beaucoup plus avancés.

 

– On se téléphone demain ? Propose Gérard.

– Pressé ?

– Non pourquoi ?

– Tu voulais un câlin, maintenant je ne suis plus contre !

– Toi alors !

– Ben oui, je suis comme ça !

– On va à l’hôtel ?

– Pourquoi faire, viens donc chez moi !

 

L’ascenseur était en dérangement et c’est tout essoufflé que Gérard Petit-Couture pénétra dans le modeste appartement parisien de Béatrice.

 

– C’est gentil chez toi ?

– Je fais ce que je peux, je ne suis qu’une modeste chimiste

– Béatrice, rien que te regarder, je bande !

– Non sans blague, qu’est-ce que j’ai de si particulier ? Fais-moi voir cette bite !

– Avec plaisir !

 

Et sans plus de formalités, Gérard sort son sexe de sa braguette, effectivement il bande comme un cerf !

 

– Non Gérard, pas comme ça, une bite qui sort d’une braguette, ça ressemble à un polichinelle ! Descend donc ton pantalon, ça sera bien mieux.

– Tes désirs sont des ordres, ma chère !

– J’espère bien !

– Bon je me mets carrément à poil ! Proposa Gérard !

– C’est ça, tu veux boire un truc ?

– Non, mais j’irais bien pisser avant !

– Tu veux que je te la tienne ?

– Ça pourrait être amusant, en effet !

– Alors attends-moi, je retire tout ça et on y va !

– Parce que tu parlais sérieusement ?

– Ben, oui, on a bien le droit de délirer un peu, non ?

 

Gérard Petit-Couture a déjà vu plusieurs fois Béatrice complètement nue, mais il ne se lasse pas de ce spectacle, de ses jolis seins tout ronds, et de sa petite chatte taillée en ticket de métro.

 

– T’es quand même super bien foutue !

– Merci m’sieu !

 

Arrivés devant la cuvette des toilettes, Béatrice attrape la bite de son partenaire.

 

– Ben vas-y pisse, je te la tiens !

– En bandant, c’est pas évident !

– Et bien débande !

– Je fais comment !

– Ferme les yeux et épelle « Tchaïkovski » une fois à l’endroit, une fois à l’envers.

– C’est malin !

 

Ce n’est peut-être pas malin mais ça fonctionne ! La bite débande légèrement et l’homme commence à uriner… Alors Béatrice, rapide comme l’éclair vient mettre sa bouche sur la trajectoire du jet et se régale de cette bonne urine tiède à l’arrière-gout de café.

 

– T’es une cochonne, Béatrice !

– Probablement ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta pisse !

 

Et Béatrice ne fit pas d’autres commentaires, d’ailleurs, elle n’aurait pas pu, puisqu’elle avait maintenant la bite de Gérard dans la bouche et qu’elle la suçait avec gourmandise.

 

– Ne me fais pas jouir trop vite ! Prévint l’homme.

– T’as raison, on n’est pas pressé ! Concéda Béatrice en se relevant.

– Tu suces trop bien, t’as une langue…diabolique.

– Je suis une bonne suceuse de bites, alors ?

– T’es adorable, vient que je t’embrasse.

 

Les deux amants se font alors face, et tandis que Gérard caresse avec frénésie les jolis seins de la jeune chimiste, cette dernière s’est emparé des tétons de l’homme et les tortille entre ses doigts, une caresse qui le fait se pâmer d’aise.

 

Evidemment Gérard ne tarde pas à remplacer ses mains par ses lèvres et sa langue et se délecte de la douceur des nichons de la coquine.

 

– Viens donc sur le plumard ! Finit par propose Béatrice.

 

Sur place les deux amants s’enlacent et le doigt de Béatrice vient s’égarer près du petit trou masculin et s’y enfonce.

Martinov21D

– Tu aimes ?

– J’adore !

– Je te mets un gode ?

– Oui, oui !

 

Béatrice sortit un joli sex-toy en forme de bite de son tiroir de table de chevet :

 

– C’est pour qui, ça ?

– Je crois qu’aujourd’hui, ça va être pour moi ! Répondit Gérard, mais d’habitude tu fais quoi avec ce truc ?

– Mes prières !

– Ciel !

– Ben oui, justement, allez tourne-toi que je t’encule !

 

Petite préparation, préservatif et lubrifiant puis hop, directo dans le dargeot !

 

– C’est bon ?

– Whah, bien sûr que c’est bon ! Mais ça ne vaut pas une vraie bite !

– Je sais, je t’ai vu à l’œuvre ! C’était très excitant !

– Ça t’excite de voir deux hommes s’enculer ?

– S’enculer, se sucer… surtout si à la base ils sont hétéros.

– Tiens, pourquoi ?

– Ma fois, je n’en sais rien ! Oh j’ai oublié de mettre le vibreur ! C’est mieux comme ça, non ?

– Aaaaah !

– Bon, ce n’est pas tout ça, mais j’aimerais bien que tu me baises ! Déclara la jeune femme après une bonne série d’allers et retours dans le conduit anal de Gérard.

– Mais avec grand plaisir.

 

Béatrice relâche le gode qui au lieu de rester planté le cul de l’homme à l’idée saugrenue de sortir tout seul. C’est trop con un gode !

 

Gérard se demande de quelle façon, il va opérer, mais la vue de la petite chatte de sa partenaire lui donne une idée :

 

– Je te lèche un peu avant ?

– Vas-y mon grand, régale-toi !

 

Il y va, il s’y précipite et commence à lécher avec gourmandise.

 

– Hum ! Tu aurais dû prendre un parapluie ! Déclare-t-il entre deux coups de langues.

– Pardon ?

– Ben, oui t’es toute mouillée !

 

Béatrice fit semblant de trouver très drôle cette plaisanterie et s’abandonna aux caresses buccales de son partenaire qui se débrouillait fort bien et parvint à la faire jouir bien plus rapidement qu’elle ne l’aurait cru.

 

– Prends-moi, maintenant, prend moi vite !

– Je ne t’ai pas léché derrière…

– Fais-le en vitesse…

 

C’est que notre Gérard voulait absolument goûter l’œillet brun de la belle avant de la pénétrer, mais il ne s’y attarda pas et s’encapota la bite.

 

– Dans le cul, viens dans mon cul ! L’implora Béatrice, en se positionnant en levrette, cuisses écartées et croupion relevé.

 

Un spectacle qui rendit Gérard fou de désir, à ce point qu’après l’avoir pénétré, seuls quelques allers et retour suffirent à lui faire jaillir son sperme. Bon prince, il continua néanmoins ses mouvements jusqu’à ce que Béatrice obtienne son deuxième orgasme.

 

– C’est un vrai bonheur d’être dans ton cul, Béatrice.

– Je vais me faire tatouer un petit mot juste au-dessus, ce sera marqué : « Hôtel du bon accueil ».

– Je vais me rincer la queue !

– Laisse-moi ce plaisir ! Lui proposa Béatrice en en nettoyant de sa bouche tout le sperme resté sur la bite.

 

On se fait une petite rincette, on se rhabille, on boit un petit coup, on allume une clope…

 

– Je vais réfléchir à tout ça, c’est quand même un peu complexe, je te recontacte après-demain au plus tard. Au fait comment va ce cher professeur Martinov ?

– En pleine forme !

– Il y a bien longtemps que je ne l’ai pas enculé. Tu lui passeras le bonjour !

– Je n’y manquerai pas, de ton côté, embrasse Florentine pour moi.

– Il faudra qu’on se fasse une petite partie tous les quatre, un de ce jours :

– Mais avec grand plaisir !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 17:57

Martinov 21 – Sex-machines – 3 – Mystérieuse Anne-Lise par Maud-Anne Amaro

 

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Dans le même temps, le professeur Martinov recevait une grande brune à lunettes, à peine la trentaine, peau très claire, yeux bleus et rouge à lèvres cerise. Elle se présenta : Anne-Lise Floquet. Très souriante, un sourire qu’on pouvait deviner forcé.

 

La demande était toute simple : une vieille pendule, probablement arrêtée depuis des décennies, qu’il fallait remettre en marche.

 

– Je verrais si je peux réparer, sinon il faudra changer le mécanisme.

– Faites pour le mieux !

 

Et après avoir signé un papelard et versé des arrhes elle quitta les lieux.

 

Un quart d’heure plus tard, le professeur Martinov constatait que le portable de cette Anne-Lise avait glissé de sa poche et était restée sur la chaise où elle s’était assise.

 

« Je vais l’appeler pour lui dire ! » se dit Martinov avant de réaliser qu’il est impossible d’appeler quelqu’un avec son portable oublié.

 

Il tripota néanmoins le portable par pure curiosité et se rendit compte qu’il s’était auto-bloqué.

 

« Elle reviendra bien le rechercher ! »

 

L’après-midi, Béatrice revint satisfaite de sa rencontre avec Sonia, satisfaite mais préoccupée. Elle rendit compte au professeur sans rentrer dans certains détails, mais ce dernier n’est point dupe et connais bien sa collaboratrice.

 

– Je parie que tu te l’es envoyée ?

– Oh, juste un peu… Si on pouvait faire quelque chose pour elle ? Se désola-t-elle..

– Quand on peut pas, on peut pas ! J’ai un peu réfléchi, j’ai rien trouvé !

– Elle m’a demandé le paiement de tes petites galipettes de l’autre jour et je lui ai filé 100 balles, faudra me les rendre…

– Bien sûr, ma bibiche.

 

A 17 h 30 Béatrice quittait les locaux. A 18 Heures Anne-Lise sonnait à la porte.

 

– Ah, vous venez récupérer votre portable ? Je vais vous le chercher !

– C’est gentil, je peux me permettre d’utiliser vos toilettes ?

– Je vous en prie, c’est là-bas au fond

 

Et alors que la grande brune était censée satisfaire son petit besoin naturel, le professeur entendit un cri déchirant.

 

Il fit donc ce que tout le monde eut fait en pareil cas, il accourut précipitamment, puis une fois devant la porte poussée mais non verrouillées il pose la question idiote d’usage :

 

– Vous vous êtes fait mal ?

– Oh là là ! Je me suis tordu le pied !

 

« Comment elle a fait pour se tordre un pied en pissant ? »

 

– Euh, vous avez besoin d’aide ?

– Je sais pas, je me reculotte !

 

Quelques secondes de silence, puis la voici qui ronchonne :

 

– Merde, mais c’est pas possible !

– Vous pouvez sortir ?

– Je vais essayer. Oh là ! Ça fait mal, je m’en suis foutu partout !

 

La porte s’ouvre, Anne-Lise sort en claudiquant, elle s’est pissée dessus et une belle tache humide orne son pantalon beige.

 

– Vous pouvez m’aider ?

 

Martinov l’aide à rejoindre le salon, elle ponctue sa marche d’incessants « aïe, aïe, aïe ».

 

– Installez-vous dans le fauteuil, là !

– Oh là là ! Ça fait mal !

– Comment vous vous êtes fait mal ?

– Mais j’en sais rien, j’ai dû faire un faux mouvement, aïe !

– Montrez-moi votre pied ! Enlevez votre chaussure, attendez je vais vous aider.

– Doucement, docilement !

 

Martinov libère son joli pied dont les ongles sont parfaitement vernis. Il ne voit aucune trace de choc.

 

– C’est où que vous avez mal ?

– Là !

– Ça m’a pas l’air bien grave, ce serait une entorse, ce serait déjà enflé !

– Oui, mais, j’ai mal.

– Je vais voir si j’ai un truc dans l’armoire à pharmacie.

 

Le professeur ne trouve rien, mais remplit un gant de toilette avec des glaçons et lui apporte.

 

– Gardez ça dix minutes ça va vous faire du bien, et après je vous accompagnerais à votre voiture.

– J’espère que ça sera sec ! Dit-elle en montrant sa tache de pisse.

– Sinon on attendra un peu !

 

A ce moment Anne-Lise regarde le professeur d’un air bizarre avant de déclarer.

 

– Je vous trouve vraiment très sympathique !

– Pourquoi ? Parce que je vous ai apporté de la glace ?

– Non, c’est bien plus compliqué que ça ! Je ne vais pas y arriver !

 

Et la voilà qui se met à chialer, la grosse crise de larmes. Impossible de la calmer.

 

– Mais, qu’est-ce qui vous arrive ?

– Je peux pas faire ça, pas à vous ! Et en plus vous n’êtes pas mon genre d’homme.

– Mais vous racontez quoi, là ?

– Je vais tout vous dire ! Z’avez un kleenex ?

 

La fille s’essuie le visage, le Rimmel a foutu le camp, elle est pathétique.

 

– Je n’aurais jamais dû accepter ce truc, je croyais que ce serait facile, maintenant je suis dans une belle merde.

– Ecoutez, je ne comprends rien du tout à ce que vous me dites.

– Comment voulez-vous que je vous le dise ?

– J’en sais rien, moi ! On dirait que vous avez un problème, je veux bien vous écoutez, mais tâchez d’être cohérente.

– Si au moins vous pouviez m’aider à me sortir de ce merdier.

– Ecoutez, je vais aller vous chercher un verre d’eau, vous allez le boire tranquillement et essayer de m’expliquer.

– Mais vous aller m’aider ou pas ?

– Je ne peux pas vous aider sans savoir de quoi il s’agit !

 

Et le professeur Martinov s’en alla tirer un verre d’eau au robinet en se demandant comment se débarrasser de cette folle sans trop la brusquer.

 

– Alors ?

– Alors, puisque vous voulez savoir : on m’a filé du fric pour que je couche avec vous ! Et j’ai pas envie de coucher avec vous !

 

Du coup notre brave professeur « tombe du placard » !

 

– Et coucher avec moi dans quel but ?

– Ça, on ne me l’a pas dit ! C’est justement ça le problème !

– Mais c’est quoi cette salade ?

– C’est pas une salade, je devais vous séduire, réaliser une relation de confiance comme on dit.

– Et ensuite ?

– Ensuite on devait m’expliquer la suite, pour le moment je ne la connais pas !

– C’est votre métier de faire ça ? Vous êtes call-girl ?

– Appelez ça comme vous voulez, je m’en fous.

– Et vous avez déjà accompli ce genre de mission ?

– C’est même ma spécialité, je fais surtout de l’espionnage industriel, les trucs politiques je les refuse systématiquement, c’est trop dangereux.

– Et ça ne vous a jamais posé de problèmes ?

– Non, parce qu’on me demande pas des choses trop compliquées non plus : des noms, des dates, des trucs comme ça, les mecs me donnent des renseignements qui leur semblent anodins, c’est souvent amusant et facile !

– Et vous réussissez toujours ?

– Non, parfois j’ai eu affaire à des tombes, mais c’est rare.

– Et pourquoi vous avez craqué ici, alors ! Je suis si moche que ça ?

– La question n’est pas là, vous n’êtes pas mon genre mais j’ai déjà couché avec des plus moches, j’ai même un baratin tout prêt pour ce genre de rencontres.

– Alors ?

– Alors, en fait c’est un peu compliqué, d’habitude on me dit tout de suite ce qu’il faut que j’obtienne. Là on me l’a pas dit, on m’a juste dit que ce n’était pas politique. Et puis le mec qui m’a contacté était bizarre, pas comme ceux que je vois d’habitude, un jeune peigne cul suffisant, j’ai tout de suite pensé à un truc foireux voire dangereux, mais disons que l’argent m’a motivé. On est vénale ou on ne l’est pas ! J’ai commencé à baliser quand j’ai vu où je fourrais mes pieds, d’habitude je drague des ingénieurs, des commerciaux, des jeunes loups en costard cravate. Là j’ai pas compris ce qu’on voulait vous faire. On m’a expliqué que vous étiez un vieil obsédé à moitié cinglé…

– Eh bien bravo !

– En fait j’ai découvert que vous étiez un brave pépère, j’ai pas envie qu’il vous arrive du mal !

– C’est trop d’honneur et de sollicitude ! Se gaussa le professeur.

– Mais surtout mes craintes du début sont revenues, j’ai vraiment peur de participer à un truc moche et dangereux, pas seulement pour vous mais aussi pour moi !

– Je ne comprends pas bien !

– Il y a certaines affaires comme ça, où la call-girl devient un témoin gênant, vous voulez un dessin ?

 

Le professeur réfléchit, l’hypothèse selon laquelle l’attitude de la jeune femme relèverait d’un plan machiavélique lui paraît farfelue mais non impossible. Reste à savoir comment gérer tout ça !

 

– Et vous allez le revoir quand votre commanditaire ?

– Il doit m’appeler !

– Avec un numéro caché, je suppose !

– Y’a des chances ! Mais maintenant je suis dans la merde.

– Vous n’avez qu’à dire que ça n’a pas marché ?

– On va pas me croire ! Et j’ai peur qu’on fasse monter la pression, en fait j’ai la trouille. Je repense à ce mec que j’ai rencontré, ce regard, quelle horreur…

 

Martinov trouve l’explication vaseuse, on peut toujours foirer une mission, mais sans doute la fille avait dû être payée grassement et n’avait pas envie de perdre son fric.

 

Mais quelque part la réponse d’Anne-Lise l’arrangeait, puisqu’il avait envie de savoir qui lui cherchait des noises.

 

– Admettons que je me sois laissé séduire, mais comme je suis un grand romantique, avant de conclure je vous ai payé le restaurant et après dernier verre à la maison comme le veut la tradition.

– Tu veux me payer le restau ? Répond Anne-Lise passant de ce fait au tutoiement.

– Pourquoi pas, je suppose que tu avais bloqué ta soirée, non ?

– J’ai pas trop faim !

– L’appétit vient en mangeant, tu prendras une salade ou alors des huîtres, c’est bon les huîtres et c’est très peu nourrissant, c’est de la flotte.

 

Pendant le repas, le professeur Martinov usa de la bonne vieille méthode consistant à laisser parler l’autre. Il espérait que si la fille jouait un jeu complexe, le vin aidant, elle finirait par se dévoiler. Mais Anne-Lise resta sur ces positons, c’était donc soit une comédienne exceptionnelle, soit une personne sincère, le professeur opta pour cette seconde hypothèse somme toute infiniment plus plausible.

 

– Ça va nous faire du bien de marcher un peu à pied ! Dit Anne-Lise en sortant du restaurant, ma voiture est garée devant chez vous…

– Est-ce bien raisonnable de prendre le volant… Si tu as un contrôle…

– Si tu pouvais me faire un café fort après, ça devrait aller.

– Le café ça aide à rester éveillé, mais ça ne diminuera pas le taux d’alcool !

– Tu m’en feras un quand même ?

– Oui ma biche ! Répondit Martinov, devenant familier.

 

Et c’est en sirotant son café qu’Anne-Lise lui fit cette proposition.

 

– Tu sais, si tu veux coucher avec moi, c’est possible, après tout j’ai été payé pour ça !

– Non, non !

– Pourquoi ? Je ne te plais pas ?

– Si, mais je croyais que je n’étais pas ton genre ?

– Tu n’étais pas mon genre pour que je tente de te séduire, mais pour coucher comme ça, ça n’a plus aucune importance et puis en plus t’es sympa, ça compense !

– Pourquoi le faire, puisque tu n’es pas obligée ?

– Ça te ferait plaisir ou pas ?

– Tu me tentes !

– Et puis je vais te dire, si on me demande si j’ai couché avec toi, ça m’évitera de mentir !

– Alors allons-y !

 

Et ils montèrent tous deux dans la chambre du professeur.

 

– Tu prends ton sac avec toi ! S’étonna Martinov.

– Oui, j’ai deux ou trois gadgets, si on a besoin, ça m’évitera de redescendre…

– Ah ?

– Tu sais, si tu aimes des trucs un peu particuliers, ne te gênes surtout pas, je fais un peu de tout.

– Ah, oui quoi donc ?

– Fessées, gode, pipi, tout ça…

– Humm !

– Ça t’intéresse on dirait !

– J’aime beaucoup de choses…

– Bon, mets-toi d’abord à poil et après je vais me déshabiller devant toi ! D’accord ?

 

Le professeur fit comme demandé, puis la belle se débarrassa de ses vêtements à son tour commençant par libérer une magnifique et généreuse paire de seins terminée par d’arrogants tétons.

 

– Ils te plaisent, on dirait ! Tu vas pouvoir les caresser mais attends un peu, c’est moi qui mène les débats d’accord ? Regarde les bien… Tu sais, j’en ai fait jouir des bites entre mes nichons ! Il paraît que je suis une bonne pute !

– Tu fais ça depuis longtemps ?

– Secret professionnel !

 

Et tandis que la bite de Martinov commençait à monter au ciel, l’escort-girl se débarrassa de son string et vint s’approcher de l’homme.

 

– Sens ma chatte, sens comme elle sent bon !

 

Le professeur approcha son nez et huma la chatte de la fille qui en écartait les lèvres.

 

– Non, non pas ta langue, tu me lécheras après, pour l’instant renifle.

– C’est divin !

– Je ne te le fais pas dire ! Ça doit sentir un peu la pisse, non, je ne me suis pas essuyée après mon petit accident tout à l’heure !

– C’était vraiment un accident ?

– Bien sûr que non, c’est un de mes trucs… mais ne parlons plus de ça ! Tu me lécherais bien, n’est-ce pas ?

– Ça c’est sûr !

– Est-ce que tu veux renifler mon cul ?

– Bien sûr !

 

Anne-Lise se retourne, présentant son popotin bien rebondi après en avoir écarté les globes, au professeur.

 

– Allez renifle, sans toucher, sans lécher !

– C’est divin !

 

La fille se replace face à Martinov.

 

– Ça t’as bien fait bander, tout ça, on dirait !

– Ben, oui ! répond-il bêtement

– Et ça, tu aimes ? Lui demande-t-elle en s’emparant des tétons de l’homme et en les serrant fort entre ses doigts.

– Oh, là là !

– Il paraît que j’ai des doigts de fée

– Encore !

– Gourmand ! Comme ça ?

– Oui !

– Voyons voir un peu cette queue ! Dit-elle en la prenant en main !

Martinov21c

Délicatement, Anne-Lise décalotte la bite du professeur, lui imprime quelques mouvements masturbatoires, puis vient donner un petit coup de langue sur le gland. Sa main passe ensuite vient lui flatter les couilles, mais c’était juste une étape, elle va plus loin, son doigt s’approche du petit trou et le presse, en quémandant l’entrée.

 

– Tu aimes ?

– Beaucoup !

– Tourne-toi, je vais te gâter !

– Oui bien sûr, mais j’aurais aimé te caresser un peu avant !

– Ne t’inquiètes pas, tu vas bientôt pouvoir faire tout ça, mais souviens toi, c’est moi qui mène la barque, c’est moi la chef !

 

Le professeur n’insista pas et présenta son cul à la belle aventurière qui mouilla son doigt avant de l’introduire délicatement dans le trou du cul professoral et de le faire aller et venir.

 

– Tu aimes ça, on dirait ,

– Oui, j’adore !

– T’aimerais un petit gode ?

– Oui !

 

La belle sortit alors de son sac à malice un joli gode très réaliste.

 

– Ça va la taille ? Sinon, j’ai plus gros ou plus petit !

– Non c’est bien !

– Comment tu le trouves ?

– Il est bien !

– Tu veux le sucer un peu avant que je te le foute dans le cul !

– Oui !

– T’es pas contrariant, toi au moins !

– Non !

– Vas-y lèche ! Lèche cette bonne bite !

 

Martinov se prend au jeu et simule une vraie fellation avec titillement du gland sur le bout dugland, léchage latéral de la verge et évidemment va-et-vient en bouche.

 

– T’as déjà sucé une vraie bite ?

 

La question est récurrente, à chaque fois qu’il s’amuse avec un gode pendant une rencontre avec une nouvelle partenaire, il faut que celle-ci lui pose la question ! Ce doit être de la curiosité féminine… ou plutôt le plaisir d’entendre de vive voix une réponse dont elle se doute un peu.

 

– Oui, ça m’arrive de temps en temps !

– Tu es bi ?

– Je ne sais pas trop ce que je suis, mais j’aime bien les bites !

– Et tu te fais prendre aussi ?

– Ça m’arrive aussi !

– T’es un petit cochon !

– Oui !

– Allez, mets-toi en levrette, je suis la reine du gode, je vais te gâter !

 

Effectivement, Anne-Lise avait l’art et la manière, après avoir encapuchonné le sex-toy avec une capote et l’avoir enduit de gel intime, elle l’introduit peu profondément, puis en actionna le vibrateur avant de l’enfoncer davantage, puis elle commença de lents allers et retours qui comblèrent d’aise notre coquin de professeur.

 

– C’est bon, hein, mon petit cochon ?

– C’est super !

– Attend, je vais te le retirer !

 

Le retrait fut sec, provoquant des ondes de plaisir dans le corps du professeur. Et alors que ce dernier ne s’y attendait pas du tout, elle le réintroduit, exécuta quelques mouvements lents et le retira définitivement.

 

– Allez, viens me voir, maintenant ! Dit Anne-Lise en se couchant sur le dos, maintenant je suis à toi, tu peux me faire tout ce que tu veux, enfin presque… tu ne m’embrasses pas sur la bouche, j’aime pas trop, sinon tu peux me caresser, me lécher… me baiser, et quand tu en auras envie je t’offrirai mon petit pipi ! On marche comme ça ?

– Oui ! Répondit Martinov décidemment peu disert en cette fin d’après-midi.

 

Et que croyez-vous qu’il fit ? Il fait ce que font presque tous les hommes quand une belle femme s’offre à eux, il commença par jeter son dévolu sur ses nichons, les caressant, les léchant, aspirant les tétons de ses lèvres…

 

– Eh bien quelle fougue !

– Tu m’as trop excité.

 

Après quelques minutes d’adoration mammaire, le professeur Martinov descendit à l’étage inférieur où la belle chatte de la fille l’attendait.

 

Il fut un moment étonné de ne pas trouver l’endroit plus humide, avant de réaliser que la relation était biaisée. Anne-Lise était une prostituée et pour elle le professeur Martinov n’avait rien d’un partenaire de désir, elle faisait du sexe avec lui parce que c’était son boulot, avec conscience professionnelle, mais pour ce qui était de jouir, les ingrédients n’étaient pas réunis.

 

Après s’être régalée du gout de sa chatte, le professeur n’insista donc pas, cela l’aurait gêné quelque part de la voir simuler.

 

Alors il estima qu’il était temps de calmer son trop plein d’excitation.

 

– Je peux te sodomiser ?

– Si tu me promets de ne pas faire ça comme une brute, tu peux y aller, tiens voilà une capote. Tu veux que je me mette en levrette ?

– Je préférerai pouvoir te regarder, si ça ne te dérange pas !

– T’a raison, fous en toi plein la vue, on va faire comme ça !

 

La belle souleva ses jolies cuisses pour faciliter l’introduction. Trois minutes plus tard, notre vert professeur incapable de tenir la distance lâchait son sperme dans un spasme.

 

– Ça a été fulgurant ! Commenta la fille.

– C’était super !

– Je t’avais gardé un peu de pipi, tu le veux ?

– Juste pour le fun !

 

Alors ils se rendirent dans la salle de bain, Martinov se coucha sur le carrelage et reçut en bouche l’urine de sa partenaire, il apprécia, mais ne rebanda pas ! Pas grave !

 

Après une boisson rafraichissante, le professeur Martinov proposa à sa visiteuse de rester coucher étant donné l’heure tardive l

 

– Tu ne ronfles pas au moins ?

– Si, mais je te laisse le lit, moi, je dormirai sur le canapé.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 17:51

Martinov 21 – Sex-machines – 2 -Sonia n’est pas farouche par Maud-Anne Amaro

Martinov

 

– Vous avez une chambre ? Demande Sonia.

– Bien sûr que j’ai une chambre, c’est très pratique pour dormir, je trouve ! Se gausse le professeur.

– Dormir ou autre chose, on y va ?

– On peut dire que vous êtes directe, vous ?

– Pourquoi s’embarrasser de protocole ? Allez montrez-moi votre chambrette, qu’on y fasse des galipettes.

– Vous faites des rimes en « ette »

– J’ai plein d’autres mots : levrette, quéquette, branlette, sucette, minette, salopette…

– Salopette ?

– Ben oui une salopette, c’est une petite salope !

– Vous n’êtes pas triste vous !

– Non, et vous n’avez pas tout vu !

 

C’est ainsi que sans le vouloir vraiment tout en le voulant un peu, on finit par ne plus savoir, le professeur Martinov se retrouva dans sa chambre avec la belle Sonia, qui sans autre préambule lui mit la main au paquet.

 

– Alors mon pépère, ça bande là-dedans ? Non, ça ne bande pas, mais ça ne va pas tarder, touche-moi mes seins.

 

Il y a des choses qu’il est inutile de répéter deux fois. Les mains du professeur sont aussitôt sur la poitrine de la jeune fille.

 

– Attends, je me déshabille, ce sera mieux, fous-toi à poil aussi.

 

Et le voilà tout nu ! La Sonia est très légèrement potelée mais ce n’est pas ça qui va déplaire à notre coquin de professeur. Elle possède une paire de seins propre à démentir les lois de la pesanteur, tout ronds et le téton arrogant.

 

Alors évidemment, il faut qu’il touche, qu’il pelote, qu’il caresse…

 

Sonia ne reste pas passive et de ses petits doigts agiles elle attrape les tétons de Martinov pour les tortiller dans ces doigts.

 

Double réaction, le professeur en miaule de plaisir tandis que sa bite devient raide comme un bout de bois.

 

– Eh ben dis donc, mon petit cochon, on te dirait que ça te fait de l’effet ?

– Ben, oui j’aime bien !

– Humm, tu m’as l’air d’aimer plein de trucs toi ? Je me trompe ?

– Non, c’est vrai j’aime plein de trucs, comme vous dites.

– Oh, tu peux me dire « tu » maintenant que j’ai vu ta bite… Plein de trucs… Laisse-moi deviner ? Des petites fessées peut-être ?

 

Et tout en parlant elle augmentait la pression de ses doigts sur les tétons du professeur.

 

– Oh, C’est bon ! Les fessées, oui, mais pas plus que ça !

– Alors un doigt dans le cul ?

– Oui, ça j’aime bien !

– Ben tourne-toi, je vais te le mettre.

 

Le professeur obtempéra, et la belle le contourna afin de lui écarter les fesses, mais ce n’est pas son doigt qu’il senti s’occuper de son anus, mais sa langue.

 

– Humm ! Il est trop bon ton trou du cul, j’adore lécher les culs, attention j’enfonce mon doigt ! C’est bon !

 

Sonia travailla ainsi le cul de Martinov plusieurs minutes.

 

– Les godes, t’as essayé ?

– Oui, j’en ai un dans le tiroir, là…

– Petit cachotier, sors-moi ça tout de suite que je t’encule avec.

 

Le professeur ne se fit pas prier et se retrouva rapidement avec le godemichet dans le cul que Sonia faisait aller et venir sans forcer la cadence..

 

– C’est bon, hein ?

– Génial !

– Et une vraie bite dans le cul t’as essayé ?

– T’es bien curieuse ?

– Comme toutes les femmes ! Allez, tu peux me le dire, quoi ! Je parie que tu as essayé ? J’ai bon ?

– Disons que quand l’occasion se présente, je ne me dérobe pas !

– Voilà qui est joliment dit ! Et tu suces aussi ?

– Eh oui !

– T’aimes ça sucer une bonne queue bien raide ?

– Ma foi, ce n’est pas désagréable !

– Finalement t’es un petit cochon !

– Si tu veux !

– Un enculé, un suceur de bites !

– Tout ça !

– Humm, ça m’a excité tout ça, tu veux m’enculer ? J’ai envie de ta bonne bite dans le cul !

– Oui ! Tu ne veux pas me sucer un tout petit peu avant ?

– J’allais te le proposer ! Mentit-elle.

Martinov23b1

 

Pourtant Sonia adorait sucer des bonnes bites, mais elle était parfois un peu étourdie. Toujours est-il qu’elle ne bâcla pas la pipe qu’elle prodigua au professeur, lui chatouillant le gland du bout de la langue avant de procéder en de longs va-et-vient buccaux.

 

Puis, elle se mit en levrette, et après s’être assuré que notre homme se fut correctement encapoté elle lui offrit son joli cul rebondi.

 

Mais Martinov ne put rester insensible à la vision de ce postérieur magnifique au centre duquel nichait un magnifique œillet brun parfaitement ourlée. Ce trou du cul, il fallait qu’il le lèche.

 

– Ben alors pépère, on s’offre un petit supplément ? Lui lança la jeune fille.

– Pardonne-moi, je n’ai pas pu résister !

– On pardonne, mais maintenant encule-moi !

 

La professeur introduisit sa bite dans l’anus accueillant de la belle Sonia laquelle y allait ses commentaires salaces.

 

– Oh, que c’est bon de sentir une bonne bite dans mon cul de salope ! Vas-y pépère, continue comme ça, c’est trop bon.

 

Excité comme il était, le professeur déchargea au bout de quelques courtes minutes. Sonia qui pensait à autre chose ne jugea pas utile de simuler quoique ce soit, mais gratifia notre Martinov d’un petit bisou sur le bord des lèvres qui le rendit tout chose.

 

– Alors, vous allez faire quoi maintenant ? Demanda Sonia en se rhabillant

– Je vais réfléchir, si je ne trouve rien, je vous dédommagerais.

 

On remarquera que nos deux coquins repartent dans le vouvoiement.

 

– J’en serais très déçue !

– Je n’en doute pas !

– Au fait votre collaboratrice ne va pas se poser de questions ?

– Je pense qu’elle a déjà la réponse ! Mais bon elle en a vu d’autres ! Je vous offre un café, un jus de fruit ?

– Un café, oui volontiers. Vous avez donc une collaboratrice coquine ?

– Chut, faut pas le dire !

– Je note quand même !

– C’est cela, notez !

 

Redescendu, Martinov s’en alla préparer des cafés et proposa à Béatrice de venir le boire avec eux, tandis que Sonia attendait dans le salon.

 

– Vous vous êtes bien amusés tous les deux ? Vanna Béatrice.

– On ne peut décidément rien te cacher !

– Fallait être plus discret, mon petit professeur !

– En fait, ne me suis fait piéger, je lui ai promis un truc et je ne sais pas comment faire pour tenir ma professe.

– Tu lui a promis quoi ?

– De ne pas honorer le contrat avec Laviron.

– C’est malin ! Voilà ce que c’est de raisonner avec ta bite ! Un jour ça te perdra !

– Bof, on ne vit qu’une fois, viens avec nous on va essayer d’en discuter.

 

Les deux femmes se regardent bizarrement, se jaugent.

 

– Je partage tout avec Béatrice qui est aussi ma confidente et pour ainsi dire ma complice. Elle est au courant de tout. Tient à préciser Martinov.

– Bravo, belle ouverture d’esprit, je vous félicite, répondit Sonia.

– Y’a pas de quoi !

– Bon soyons francs, je suis embêté, je ne peux pas dénoncer le contrat et…

– Monsieur Martinov, je comprends que cela vous chagrine de perdre un contrat qui est sans doute intéressant mais vous en avez tacitement accepté le principe et n’avez pas craché sur le petit acompte que je vous ai fourni…

– Mais…

– Je termine, ce sera à vous de me dire combien de séances seront nécessaires afin que le dédommagement soit complet. Trois ? Quatre ? Cinq ?

– Mais la question n’est pas là, je suis dans l’impossibilité de me rétracter !

– Ne me prenez pas pour une andouille, vous avez un délai de rétractation, non ?

– Ben non, justement !

– Vous vous foutez de moi ou quoi ? Là ?

– Non, Béatrice : va nous chercher le contrat, s’il te plaît.

– Pour tout contrat, il y a un délai de rétractation, c’est la loi ! Insiste Sonia

 

Béatrice revint rapidement avec le contrat signé par les deux parties.

 

– Regardez le contrat, vous allez comprendre !

– Qu’est-ce qu’il a ce contrat ?

– La date !

– Quoi la date ? Mais vous l’avez signé quand ?

– Hier ! Mais Laviron m’a proposé de l’antidater en échange d’un petit dessous de table.

– Mais quel intérêt ?

– Ben justement, c’est pour éviter la rétractation !

– C’est illégal.

– Mais ça se fait ! Toutes les lois sont faites pour être détournées ! Et ça permet au client d’être certain que la prestation sera effectuée !

– Quel enfoiré ce Laviron ! Dans l’hypothèse où vous n’honoriez pas ce contrat, qu’est ce qui se passera ?

– Dépôt de plainte, tribunal de commerce, amende, dommages et intérêts, un beau bordel quoi !

– Alors on fait quoi ?

– Je vais vous indemniser pour la prestation et… ?

– Il y a peut-être une solution ! Coupa Béatrice !

– Dites !

– Si on trouvait le moyen de saboter les machines ?

 

Sonia fut emballée par l’idée, mais le professeur semblait dubitatif.

 

– On honore le contrat, on fait les tests, on empoche le fric, puis on explique à mademoiselle comment saboter les machines sans qu’on puisse la soupçonner, c’est ça l’idée ! Précisa Béatrice.

– Mais concrètement ? Demanda Martinov.

– Concrètement, on va réfléchir.

– Hum ! Sonia, votre rôle s’arrête quand ? Demanda Martinov.

– A la fin de l’expo !

– Vous allez faire ça en public ?

– Non, je vous explique, les machines seront exposées sous tente pendant la journée et l’entrée sera interdite aux mineurs, à ce moment-là je ne serais pas présente, je serais remplacée par un mannequin d’artiste peintre ou par une poupée gonflable, Laviron n’est pas encore décidé et je m’en fous pas mal !

– Mais vous alors ?

– Le soir il y aura des soirées privées sur invitation, et là il est prévu que je participe !

– Et vous n’êtes pas d’accord ?

– Ça ne m’a pas posé de problème particulier quand on m’a expliqué le truc. Mon unique souci, c’est Laviron, je ne peux plus souffrir ce type !

 

Et Sonia quitta nos deux joyeux chercheurs avec leur promesse de trouver « quelque chose ».

 

Lundi 11 février

 

Au lendemain du week-end, le professeur Martinov recevait un visiteur d’un tout autre genre :

 

Imper mastic, cheveux bruns collés sur le côté, vilaines verrues sur le visage, lunettes démodées et gueule d’enterrement.

 

– Pierre-Jean Rondeval-Blancard, directeur de le revue « Retours », se présenta-t-il.

– Je n’ai pas eu l’occasion de connaître cette publication, répondit le professeur.

– Qu’importe, vous n’aimeriez pas ! Répondit le « croque-mort », mais nous ne sommes pas là pour philosopher mais pour parler affaires.

 

« Il me prend pour un con, ou quoi ? » Enrage le professeur.

 

Martinov s’efforce de rester calme, mais l’individu l’énerve déjà, quant à Béatrice, agacée, elle aussi, elle adopte la stratégie du chat, attendre que la proie soit le plus accessible.

 

Le professeur ouvre le dossier du client potentiel. Dossier est un bien grand mot, il comprend uniquement une simple feuille comprenant les coordonnées du bonhomme et l’objet : « intervention sur machine complexe » et une annotation de Béatrice : « pas tout compris la communication était pourrie ».

 

– Qu’est-ce donc que cette machine complexe ? Demanda-t-il.

– Les machines d’un cinglé qui s’apprête à exposer ses saloperies pornographiques en plein milieu du jardin des Tuileries.

 

Tilt !

 

– S’agit-il des œuvres de monsieur Laviron ?

– Vous appelez ça des œuvres, vous ? Bien sûr qu’il s’agit de ce pornocrate, puisqu’il a sollicité votre concours !

– Les nouvelles vont vites ! Bon ! Venons-en à l’objet de votre visite.

– Moi et mes amis refusons que ces saloperies soient exposées…

– Mais de quel droit ?

– Au nom de la décence, monsieur !

– Professeur si vous voulez bien ! Rectifia Martinov, non pas par amour propre mais uniquement pour contrarier son interlocuteur. Le « droit de la décence » ? J’avoue ma perplexité ! Personne ne vous oblige à aller voir ce que vous n’appréciez pas, à ce que je sache !

– Quel est votre prix ?

– Le prix pour quoi faire ?

– Vous rétracter, et le faire juste au dernier moment afin que Laviron n’ait pas le temps de dénicher un autre expert.

– Ecoutez monsieur, je n’ai pas l’habitude de traiter avec les ligues de vertus, aussi je vous demanderais de débarrasser le plancher, la sortie c’est par là !

– Vous avez des principes que je n’approuve pas, mais vous êtes corruptible comme tout le monde. Venez pas me dire le contraire !

– Oui mais je suis très cher ! Foutez-moi le camp !

 

Mais l’individu ne décolle pas de son siège.

 

– 200 000 euros !

– Dehors !

– Ne me dites pas que vous crachez sur une telle somme !

 

Béatrice se lève et s’empare d’une bombe au poivre.

 

– Si tu dégages pas, connard, je te gaze.

 

Le type se décide à se lever et se dirige sans se presser vers la porte.

 

– Merci de votre accueil, mes amis sauront s’en souvenir, à moins que vous décidiez à changer d’avis, mon offre court toujours. Monsieur Martinov, je dis bien « monsieur » car vous n’avez jamais été professeur, nous nous sommes renseignés.

– Si j’avais vingt ans de moins, je te flanquerais un pain dans ta tronche de raté ! Hurle le professeur, perdant tout contrôle.

– Essaie un peu, grabataire dépravé ! Répond le sale type en se faisant menaçant.

– Pas un pas de plus où t’en prends plein la gueule ! Intervient Béatrice, le menaçant de nouveau de sa bombe au poivre.

– Si la pute s’en mêle, je vais être contraint de quitter ce lieu de perdition…

 

Et il disparaît.

 

– Quand même, 200 000 euros ! On aurait pu l’entortiller ! Remarque Béatrice.

– Allons ! On n’en aurait jamais vu la couleur de son fric !

– Et ses menaces ?

– On verra bien ! N’empêche que nous voilà dans une situation embarrassante.

– Parce que ?

– Parce que si on rend service à Sonia, on rend aussi service à ce connard et gratuitement en plus !

– C’est cornélien !

– A tout point de vue !

– Mais dis-donc, qui l’a mis au courant ce type ? Demande Béatrice

– A part la Sonia, je ne vois pas bien !

– Elle joue à quoi ?

– On n’a qu’à lui demander, je vais l’appeler.

– Non, propose Béatrice, je vais me pointer chez elle à l’improviste.

– On n’a pas l’adresse.

– Je vais me débrouiller.

 

Béatrice au cours de ses aventures a eu l’occasion de « travailler » au moins deux fois avec Brigitte, la directrice de l’agence Zampano, une officine de détectives privés. Ces gens-là peuvent avoir accès à une partie des fichiers des opérateurs téléphoniques.

 

Mardi 12 février

 

Brigitte ne lui refusa pas ce service et le lendemain matin, Béatrice sonnait à l’Interphone de l’immeuble de son immeuble dans le quartier Montparnasse

 

– C’est Béatrice Clerc-Fontaine, la collaboratrice du professeur Martinov ! Vous pouvez m’ouvrir, c’est important.

 

Sonia se pointe en robe de chambre, les cheveux ébouriffés. L’appartement est modeste mais propret, à ce stade, il est impossible pour Béatrice de savoir si la fille habite seule.

 

– Qu’est-ce qui se passe, vous m’avez réveillé. Qui c’est qui vous a donné mon adresse ?

– Y’s’passe qu’un événement imprévu risque de remettre en cause notre petit arrangement.

– Pardon ?

– Pierre-Jean Rondeval-Blancard, ça vous cause ?

– Ben non, ça me cause pas !

– Sûr ?

– Avec un blaze pareil j’m’en souviendrais !

– Alors explique-moi comment ce mec a fait pour savoir ce qui se fabriquait chez Laviron pour ensuite se pointer chez Martinov comme une fleur ?

– Ah ! C’est ça ?

– Et c’est quoi « ça » ?

– J’ai peut-être fait une connerie !

– Tout le monde fait des conneries, raconte-moi.

– Oh, ça n’a rien d’extraordinaire, j’ai été abordé un jour par un mec alors que je quittais l’atelier de Laviron, le type s’est présenté comme journaliste et il m’a refilé une belle enveloppe.

– Une enveloppe ?

– Ben oui ! Je n’y ai rien vu de méchant, le type avait lu sur un magazine qui parle d’art, de peinture, d’expos, tout ça, que Laviron préparait des installations « à scandales ». Donc le gars m’a expliqué qu’il travaillait pour un magazine conçurent, m’a dit vouloir faire un article et avait besoin de renseignements.

– Mais tu n’avais pas besoin de…

– Attends que je finisse. Après, la conversation est devenue plus cool, il m’a demandé comment ça se passait, si ça me plaisait… Quand je me sens en confiance, j’ai tendance à parler beaucoup. Je lui ai donc dit que Laviron avait des problèmes de réglages avec ses machines et qu’il envisageait de faire appel à un prestataire. Le lendemain il m’a redonné des sous et m’a demandé de lui communiquer les coordonnées du prestataire. C’est ce que j’ai fait ! J’ai vraiment pas l’impression d’avoir fait quelque chose de mal !

– Evidement, vu comme ça… concéda Béatrice.

– Tu veux un café ?

 

Béatrice raconta ensuite à Sonia, la visite de Rondeval-Blancard à Louveciennes

 

– Donc maintenant on est coincé ! Conclut-elle.

– Je ne vois pas pourquoi ?

– Le professeur Martinov et moi-même refusons de satisfaire aux exigences des ligues de vertus.

– Autrement dit, tant pis pour moi !

– Si tu as une solution qui puisse arranger tout le monde, on est preneur.

– Laisse tomber, de toute façon, je ne participerai pas aux soirées privées, je vais me mettre en arrêt de travail, mais j’aurais voulu ridiculiser Laviron, ça aurait été ma petite vengeance personnelle. Bon on n’en parle plus Tu diras à Martinov qu’il me doit 100 balles.

– Je vais te les donner. Je peux te poser une question indiscrète ?

– Pose toujours !

– C’est quoi ton activité ?

– Je suis inscrite à une agence de modèles pour peintres et photographes. Mais on m’a innocemment proposé d’ajouter sur ma fiche « soirées privées » alors je fais pas mal de sexe, de l’escorting chiant qui se termine au lit, des enterrements débiles de vie de garçon, enfin tu vois !

– Je vois !

– Des fois, je tombe sur des trucs de dingue, l’autre fois, une bourge de soixante ans mais bien conservée à loué mes services pour que je lui fasse de la lecture. J’ai pas bien compris, une fois arrivé chez elle, elle m’a précisé que je devais lui lire un livre érotique en étant à poil, j’ai commencé à lire, elle s’est déshabillé, bref, madame était super excitée et ça s’est terminé dans le plumard, elle a été très généreuse !

– T’es bi ?

– A mes heures, oui, je n’ai pas beaucoup de tabou !

– Moi non plus ! Répondit Béatrice par réflexe.

– C’est un appel du pied ?

– Non, je disais ça comme ça !

– Parce que si ça t’intéresse, je te fais un prix symbolique, allez, juste 50 euros.

– T’es gonflée, toi !

– Je disais ça comme ça, pour reprendre ton expression.

– Et si je me laissais tenter ?

– Tu ne le regretteras pas !

 

En fait Béatrice tente un coup de poker : elle sait bien que souvent les étreintes sexuelles sont propices aux confidences. Et comme la Sonia est absolument charmante, la manœuvre ne devrait rien avoir d’une corvée.

 

Béatrice prend un billet dans son portefeuille, le tend à Sonia.

 

– Voilà 50 euros et j’ajoute les 100 euros que Martinov te doit.

– Merci, ma belle, pose ça sur la table et viens me voir.

 

Les deux femmes se font face !

 

– Bisou ? Propose Sonia.

 

Ça n’a rien d’une question, ni même d’une invitation, c’est juste un commentaire parce que la bouche de Sonia est déjà sur celle de Béatrice avant que cette dernière ait pu dire quoique ce soit.

 

Et c’est qu’elle embrasse bougrement bien, la Sonia, une véritable experte en langue vivante à ce point que Béatrice commence à mouiller sévère.

 

Sonia finit par relâcher son étreinte, mais c’est pour s’emparer des seins de la jeune chimiste et les peloter au travers du tee-shirt au point d’en faire darder les pointes.

 

Béatrice tente de reprendre l’initiative en rendant la pareil à sa partenaire, mais il faut avant s’occuper d’une urgence.

 

– Stop, on fait un break ! Dit-elle.

– Déjà ? On a à peine commencé.

– Faut que je fasse pipi !

– Ah, je vais te montrer où c’est…

 

Puis arrivé sur place, Sonia demande avec un air innocent :

 

– Je peux regarder?!

– Si tu veux, lui répond Béatrice.

– Hum, tu vas me trouver vicieuse !

– Pas du tout ! C’est rigolo le pipi !

– Y’a des filles que ça dégoute !

– Ben pas moi, pas du tout !

– Tu aimerais que je te lèche ta chatte quand tu auras pissé ? Demande Sonia

– Bien sûr ! Tu vas te régaler !

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La jeune chimiste se positionne sur la cuvette de façon à ce que Sonia puisse bien voir. Mais celle-ci encouragé par les propos de sa partenaire du moment en veut plus et n’hésite pas à s’accroupir devant elle, sa bouche ouverte à portée de chatte.

 

– Humm, on dirait que t’as soif, toi ?

– J’adore ça ! Et je n’ai pas toujours l’occasion de le faire, rien que d’y penser, ça m’excite… Alors il vient ce gentil pipi ?

– C’est parti !

 

La puissance du jet étonna Sonia qui en avala de travers, elle recueillit ensuite dans sa bouche ce qu’elle put, le reste ruisselant sur sa jolie poitrine.

 

Une fois la miction terminée, Sonia se jeta sur la chatte de Béatrice et la lapa en de grands mouvements de langues, avant de s’attaquer au clitoris qui n’attendait que ça ! La jouissance fut fulgurante.

 

– Maintenant, j’aimerais bien goûter au tien ! Suggéra Béatrice après avoir repris ses esprits.

– Je l’aurais parié ! Mais viens, on va faire ça sous la douche, je dégouline.

 

Sur place, Sonia ne fit pas couler l’eau de suite, mais s’accroupit derrière Béa afin de lui lécher l’anus.

 

– J’adore lécher un joli trou du cul ! Commenta-t-elle

– Vas-y, moi j’aime bien qu’on me le lèche.

– Il est joli ton trou du cul, il est attendrissant !

– C’est bien la première fois qu’on me dit ça !

 

La langue de Sonia virevoltait si bien sur l’œillet brun que celui-ci finit par en bailler d’aise.

 

– Hum, je peux mettre un doigt ?

– Bien sûr !

 

Et hop, le doigt s’enfonce, il va, il vient et lui fait du bien.

 

– J’ai un petit gode, tu veux que j’aille le chercher ?

– Si tu veux, mais tu ne m’avais pas promis un petit pipi ?

– Ha, ha, tu ne perds pas le nord, toi, accroupis toi, je vais t’asperger.

– Vas-y donne-moi à boire !

 

Sonia n’avait pas une grosse envie, ce qui fait que Béatrice put tout boire sans s’en mettre partout.

 

Et après une petite douche pendant laquelle les deux filles n’arrêtaient pas de s’embrasser et de se peloter, elles décidèrent de jouer une petite prolongation sur le lit.

 

Comme promis, Sonia sortit son gode et l’enfonça dans le conduit rectal de la belle chimiste et se mit à le faire aller venir avec frénésie tant et si bien que la belle ne tarda pas à jouir du cul comme la dernière des damnées.

 

– Viens, viens me lécher l’abricot, implora Sonia en s’étalant de tout son long sir le lit, les jambes écartées.

 

Voilà qui n’était pas une corvée pour Béatrice qui vient donner de larges coups de langue sur la chatte humide de sa partenaire, et tout en léchant elle tend ses bras afin que les doigts atteignent les tétons et qu’elle puisse les triturer.

 

Sonia ne tarde pas à se pâmer d’aise, Bea fait alors bouger le bout de sa langue sur le clitoris de sa camarade de jeu, l’emmenant de ce fait vers l’extase.

 

Les deux femmes repues de plaisir s’embrassent avec passion avant un moment calme, verre d’eau fraiche et cigarette.

 

Béatrice avait désormais la conviction que Sonia s’était fait naïvement manipuler. Autant par empathie que par compassion elle se dit qu’il serait bien de trouver une solution à cette situation débile.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 17:48

Martinov 21 – Sex-machines – 1 – La salle des machines par Maud-Anne Amaro

 

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1 – La salle des machines

 

Deux mots pour ceux qui ne connaissent pas Martinov et Béatrice. André Martinov qui s’intitule professeur mais n’en possède pas le titre, est un sexagénaire élégant et barbichu, sorte d’inventeur génial dans presque tous les domaines de la bricole. Débordé, il s’est adjoint, il y a de cela plusieurs années, les services d’une jeune chimiste tout juste diplômée, vraie blonde et assez délurée, Béatrice Clerc-Fontaine. Ensemble, en cherchant un produit permettant d’accroître la fertilité des lapins, ils mirent au point un produit concurrençant le viagra, qu’ils firent commercialiser en sex-shop et qui leur apporta pas mal d’argent. Pour expérimenter ce produit qu’ils baptisèrent « Le lapin dur », ils durent payer de leur propre personne, voilà qui créa des liens ! Martinov et Béatrice ne se sont jamais considérés comme amant et maîtresse, mais leur complicité érotique resta immense, joyeuse et décomplexée.

 

Lundi 4 février

 

D’ordinaire, les personnes qui se présentent chez le professeur Martinov à Louveciennes, une banlieue huppée de l’ouest parisien, sont plutôt du genre distingué. On ne pourrait en dire autant de ce personnage étrange, cheveux gras ébouriffés, pull-over torsadé détendue et barbe de trois jours.

 

– Camille Laviron, sculpteur ! Se présenta-t-il.

– Oui j’ai lu votre petit mot, il faudrait que je me rende sur place pour régler la vitesse de vos machines ? C’est cela ?

– En gros, c’est ça, mais j’aurais une question préalable !

– Je vous en prie, posez-là !

– On m’a dit que vous étiez plus ou moins spécialisé dans le domaine érotique…

– Non, c’est faux ! Coupa Martinov agacé, j’ai mis au point un jour un produit qui se vend en sex-shop, mais ce n’est pas ma spécialité. D’ailleurs je n’ai pas de spécialité, je fais de tout !

– Je vous demandais ça parce que les installations sur lesquels je sollicite votre intervention sont des sex-machines.

– C’est quoi ça ?

– Je vous ai apporté des photos…

– Eh bien on en apprend tous les jours… Mais, à priori, ça ne me pose aucun problème.

– Alors c’est parfait, pourrions-nous prendre rendez-vous ?

 

Il fut fixé pour le jeudi suivant.

 

– Je vais y aller ! Dit Martinov. Je vais juste regarder ce qu’il y a à faire…

– J’ai envie de venir avec toi ! Lui confia Béatrice.

– Ah bon ?

– Ben oui ! Des sex-machines, ça doit être marrant, j’ai envie de voir ça !

 

Jeudi 7 février

 

Laviron avait son atelier dans un grand hangar au Chesnay près de Versailles.

 

– Je vous présente Sonia, que j’ai embauché pour expérimenter mes créations !

 

Sonia est une jolie femme, fausse blonde, coiffée au carré, très souriante, jeans délavé à trous et débardeur blanc découvrant des jolies épaules et mettant en valeur une poitrine que l’on devine avantageuse dont les tétons dardent sous le tissu.

 

Elle serre la main du professeur et fait carrément la bise à Béatrice.

 

« Joli petit lot ! » Ne peut s’empêcher de penser cette dernière.

 

Evidemment, nos visiteurs s’interrogent sur la nature exacte des créations évoquées par Laviron.

 

– Voilà, ça c’est la fuck-machine…

 

Et Laviron leur présente une machine à piston dont l’extrémité est équipée d’un godemiché très réaliste.

 

– Donc pour celle-ci ce sera le plus facile, c’est juste un problème de vitesse…

– Excusez-moi, intervient Martinov, mais je ne perçois pas bien l’originalité de l’objet, je ne connaissais trop, mais je me suis renseigné, on trouve ça partout sur Internet !

– Ah, ah, vous êtes un coquin, vous !

– Vous ne voulez pas me répondre ? Je disais juste ça comme ça !

– L’œuvre n’est pas finalisée, voyez-vous ! Ça s’est le support brut, peu importe qu’il ne soit pas original, je dirais même : au contraire.

– Ah bon ! Répondit Martinov qui n’avait pas envie de contrarier son interlocuteur.

– Quand l’appareil sera au point mécaniquement, je vais le végétaliser, ce sera un message montrant la contradiction entre la société de consommation qui marchande tout y compris le sexe et Dame Nature qui se diversifie de moins en moins mais qui est le refuge ultime de l’humanité ! Un beau message, n’est-ce pas ?

– Mais certainement ! Répondit Martinov absolument pas convaincu par ce charabia.

– Tant mieux, on a beau se mettre à la portée des gens, on a toujours un peu peur de ne pas être compris.

– Non, non, ça me parait limpide !

– Bon on va vérifier la vitesse, vous allez voir que c’est bien trop lent ! Sonia venez-là, on va faire un essai !

– Devant ces messieurs dames ? Ce n’est pas prévu par mon contrat ! Proteste la jeune femme.

– Votre contrat stipule juste que vous devez m’assister pour l’essayage des machines, il ne dit rien d’autre ! Or là on est bien en pleine procédure d’essayage. Donc s’il vous plait, en position !

– C’est gênant quand même !

– Vous en avez fait bien d’autres !

– Merci de me le rappeler devant tout le monde ! J’admire votre tact ! Bon on y va, quand faut y aller, faut y aller.

 

Et la nana sans discuter davantage enleva le bas et s’installa dans un fauteuil immonde. La vision de cette jolie fille maintenant cuisse écartée et chatte ouverte ne manqua pas de troubler fortement notre couple de chercheurs.

 

Sonia entreprit ensuite de déchirer un petit sachet…

 

– Vous faites quoi, là ? Demanda Laviron.

– Ben je me mets un peu de gel, j’ai la chatte toute seiche, je n’ai pas envie de me taper une irritation.

– Mais c’est quoi ces manières, le gode de la machine est recouvert d’une capote lubrifiée, vous le savez bien.

– Ça vous gêne tant que ça que je me lubrifie la chatoune ?

– Pour tester la vitesse on n’a peut-être pas besoin de cobaye humain ! Intervint le professeur.

– Je préfère qu’on fasse comme ça ! Répondit sèchement Laviron.

– Y’a aucun risque ? Si la machine s’emballe, ça risque de poser des problèmes ! Intervint Béatrice.

– Elle ne s’emballera pas, puisqu’elle est trop lente ! Répondit Laviron d’un ton péremptoire.

– Ah ! Et puis pour la personne qui est dans ce fauteuil, c’est pas trop confortable ! Pourquoi vous n’installez pas des étriers !

– Des étriers ? Je suis sculpteur, pas palefrenier !

– Moi je trouve que ce serait une excellente idée ! Intervint la jolie Sonia.

– Oh ! Vous, vous êtes là pour m’assister, me semble-t-il ! Pas pour la ramener à n’importe quel propos !

– Décidément vous êtes charmant !

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Martinov et Béatrice deviennent gênés, se rendant compte qu’il y a comme un léger problème entre Laviron et sa collaboratrice de charme.

 

– Je mets en marche et après on fera l’introduction ! Prévient Laviron.

 

Sonia se met en position d’accueillir le gode de la machine dans sa minouche. L’appareil se mit en branle (si l’on ose dire). Effectivement la vitesse est bien trop lente et il semble inutile de prolonger l’expérience..

 

– Vous pouvez arrêter, prévînt Martinov, j’ai compris, il faut changer le vérin et en régler la vitesse.

– Vous ne voulez pas voir la pénétration ?

– Non, merci ! Ça ne servirait à rien !

– Prenez ça comme un spectacle gratuit que Mademoiselle Sonia vous offre.

– C’est Mademoiselle Sonia ou c’est vous qui offrez ? Vanna Béatrice.

– Les deux, voyons ! Répond Laviron.

– Hé ! J’ai rien dit, moi ! Intervient Sonia.

– Bon, Sonia, vous ne voulez pas faire plaisir à ces messieurs dames ? Reprit lourdement Laviron.

– Ecoutez, nous sommes juste venus pour regarder comment régler vos machines, pas pour autre chose ! Alors on passe à la machine suivante. S’irrita Martinov.

– M’aurait-on menti sur votre réputation libertine ? Ose Laviron.

– Excusez-moi, mais ça devient lourd, je pourrais vous répondre, mais ce n’est ni le lieu, ni le moment. Maintenant, s’il vous plait, montrez-nous la seconde machine ? Coupa sèchement le professeur.

 

L’ambiance devenait de plus en plus tendue. Néanmoins Laviron d’un geste théâtral, ôta la bâche qui recouvrait la machine numéro deux.

 

– Une machine à fouetter ! Annonça-t-il fièrement.

 

L’engin était constitué d’une roue de même dimension que celles d’une bicyclette, munie de huit points sur lesquels étaient fixé une fine lanière de cuir probablement découpée sur un martinet.

 

– Faites tourner que je me rende compte.

– D’accord, Sonia en position, s’il vous plaît.

– On y va, on y va !

 

Cette fois devant la machine, au lieu et place d’un fauteuil, il n’y a qu’un socle parallélépipèdique en bois verni, et c’est là que la fille vient s’installer, le postérieur bien cambré.

 

« Quel cul, mais quel cul ! » S’émut Béatrice

 

Le professeur allait protester une fois encore que la présence de Sonia fût probablement superflue, mais le spectacle était si charmant qu’il préféra se taire.

 

Laviron rectifia la position de Sonia de façon à ce que les lanières viennent lui frôler les fesses au moment où l’appareil se mettra en mouvement.

 

Il le mit en marche, la vitesse de rotation était si lente que les lanières se contentaient de caresser la peau des fesses de la jolie Sonia.

 

– Bien, il faut juste régler la vitesse avec un moteur un peu plus performant, pas bien compliqué ! Nota Martinov, je reviendrai avec ce qu’il faut.

– La troisième machine est basée sur le même principe sauf que ce ne sont pas des lanières de cuir mais des langues ! Indiqua Laviron

– Des langues ?

– Des langues souples en silicone,

– Et c’est censé faire quoi ? Demande le professeur, bien qu’il se doutât de la réponse.

– C’est un lèche-cul rotatif, une machine à lécher en quelque sorte. Sonia va vous faire une démonstration.

– Inutile, j’ai compris le principe, faites tourner à vide.

– Vois n’allez rien voir ! Dit-il en enclenchant le mécanisme.

 

La roue se met en branle, assez lentement, effectivement on se rend mal compte. Sonia prend place spontanément devant la machine, accroupie et repliée en arrière sur une souche de chêne vernis, de ses mains, elle s’écarte les fesses, dégageant son petit trou coquin.

 

Béatrice amusée lorgne vers la braguette du professeur Martinov qui bande comme un cerf.

 

Laviron rapproche la machine de Sonia de façon à ce qu’une des langues artificielles soit en contact avec l’œillet de Sonia, puis met en marche le mécanisme, lentement la langue redescend, elle est remplacée par une autre 30 degrés plus loin, l’espace entre Sonia et la langue étant trop étroit pour permettre le passage sans encombre de cette dernière, elle est obligée de se replier pour passer, provoquant un effet de léchage.

 

Béatrice ne peut s’empêcher de laisser on esprit vagabonder, elle se dit que sa propre langue remplacerait avantageusement cette machine ridicule.

 

– Astucieux, mais ça ne remplacera jamais une vraie langue ! Fait remarquer bien à propos le professeur.

– Je fais de l’art, moi, monsieur, pas du sexe de bas étage !

– Oh, pardon ! Donc ici il faudra là-aussi augmenter la vitesse, mais assez légèrement.

– Vous pouvez me faire tout ça pour quand ?

– J’ai quelques trucs en cours, mais disons dans huit jours, je changerai les moteurs des deux dernières, le vérin de la première et procéderai aux réglages.

 

Et alors que Sonia s’était rhabillée et avait quitté les lieux avec un « au revoir, messieurs-dames ! », assortie d’un clin d’œil ambigu, Laviron accompagna ses visiteurs dans son petit bureau où ils signèrent un contrat type.

 

Béatrice raccompagna Martinov à Louveciennes, puis rentra directement à son appartement parisien, elle retrouva le professeur le lendemain matin.

 

Vendredi 8 février

 

– Alors mon petit professeur, t’as passé une bonne nuit ? Lui demande la jolie Béatrice d’un ton coquin.

– J’ai dormi comme un bébé, pourquoi ?

– Elle t’a excité la petite Sonia, non ?

– Je ne suis pas de bois !

– Tu t’es branlé !

– Non, j’avais sommeil.

– Et là, maintenant, t’es excité ?

– Non, pourquoi ?

– Et quand je te fais ça ? Insista Béatrice en lui plaquant la main sur la braguette.

– Si t’insistes un peu ça devrait le faire !

– Demande-le-moi gentiment !

– Plus tard, j’ai du travail !

 

Mais la jeune chimiste, loin d’enlever sa main se met à la frotter ostensiblement, ce qui fait que la bite du professeur ne tarde pas à augmenter de volume. Du coup les dispositions de sexagénaire se modifient quelque peu.

 

– Tu n’es pas sage ! Lui dit-il.

– Ça sert à quoi d’être sage ? Répond-elle en ouvrant d’un geste vif la braguette.

 

Et soudain Béatrice se recule et ne bouge plus

 

– Ben tu fais quoi ?

– Si tu veux une suite tu me demandes gentiment, tu me fais répéter là !

– Béatrice s’il te plaît, occupe-toi de ma bite !

– Je veux bien m’occuper de ta bite, si tu t’occupes de ma chatte.

– Cela va de soi, voyons !

 

Alors Béatrice s’en va farfouiller dans le slip du professeur et en extrait sa bite bandée comme un gourdin.

 

L’instant d’après, elle était dans sa bouche gourmande en train d’aller et venir.

 

– Bon, on se met à l’aise, on monte dans ta chambre, Proposa la jeune femme.

– On y va, on y va.

 

Martinov monta le premier, Béatrice dérangé par un message sans importance sur son portable, ne le rejoignit que quelques minutes plus tard.

 

– Ben qu’est-ce que tu nous fais ! S’étonna-t-elle

– Ben, je t’attends !

 

Il faut ici préciser qu’il l’attendait dans une position insolite, en levrette, la tête dans l’oreiller, le cul relevé.

 

Pratiquement par réflexe, elle envoya plusieurs claques sur les fesses du professeur avant réaliser que ce dernier souhaitait tout à fait autre chose. Elle ouvrit donc le tiroir du chevet, en sortit le gode bien rangé à sa place ainsi que les capotes et le gel, mais avant elle tint à lui lécher le cul de sa petite langue agile.

 

Inutile de vous préciser que notre vert professeur appréciait cette privauté comme il se doit.

 

Après la langue, le doigt, parce que c’est rigolo et que ça excite bien pépère, puis ensuite les choses sérieuses : le gode est enveloppé dans sa capote, on ajoute un peu de gel… et ça rentre tout seul ! il n’y a plus qu’à activer le vibreur !

 

– T’aimes ça quand je t’encule ! Hein !

– Oui, continue ! C’est trop bon.

 

Depuis le temps qu’ils se livraient tous les deux à ce genre de fantaisie, Béatrice avait acquis une certaine maîtrise ! Plutôt que des à-coups frénétiques, elle faisait aller et venir le gode en de long et profonds mouvements lents, l’enfonçant jusqu’à la garde, le ressortant pour l’introduire de nouveau.

 

– Dis le que t’es un enculé ! Mon petit enculé !

– Oui, oui je suis ton petit enculé !

– Il y a longtemps que tu n’as pas pris une vraie bite dans le cul ?

– Quelques mois !

– T’es en manque ?

– Non, je ne cherche pas spécialement, mais quand l’occasion se présente j’aime bien

– Je sais…Imagine-toi : une bonne bite bien raide que tu aurais bien sucée avant…

– Ou alors une dans la bouche et une autre dans le cul !

– Ben oui tant qu’à faire !

 

Martinov pouvait jouir uniquement sous l’action du gode, mais Béatrice ne le souhaitait pas, sa bite, elle voulait se la garder pour son propre plaisir.

 

Elle retira donc le gode et demanda à son partenaire de se coucher sur le dos, puis après lui avoir encapoté la bite, elle la fit pénétrer dans son anus. Le professeur dans cette position n’a rien à faire, c’est Béatrice qui fait tout le travail, se sodomisant elle-même !

 

Comme souvent, elle jouit avant Martinov, mais ne stoppa ses mouvements que quand celui-ci éjacula dans un râle. Béatrice se dégage, décapote la bite de son partenaire et lèche tout le sperme qui s’y trouve.

 

– Hum, ché trop bon !

 

Puis elle se lève, attrape la main du professeur et cherche à l’entrainer.

 

– Oh ! qu’est-ce que tu fais ? Laisse-moi récupérer !

– Je vais pisser, viens !

– Non, non, tu m’as crevé !

– Tu peux bien me faire plaisir…

– Bon, bon !

 

L’instant d’après, Martinov accroupi dans le carré à douche recevait le jet doré de sa collaboratrice et le trouva toujours aussi délicieux.

 

L’après-midi, une visite surprise les attendaient. Sonia venait de sonner à la porte d’entrée. Habillée d’un joli petit haut jaune qui lui laissait les épaules dénudées et lui moulait la poitrine. Elle avait chaussé des lunettes, ce qui bizarrement renforçait son air canaille.

 

– Je ne dérange pas ? Demanda-t-elle avec un sourire enjôleur.

– Non entrez ! Lui dit Béa. Mais comment…

– J’ai récupéré votre adresse dans les affaires de Laviron. C’était ça la question ?

– Simple curiosité !

– Monsieur Martinov est là ? Je voudrais lui dire un mot ! Rassurez-vous je ne suis pas méchante.

 

Bref, Béatrice fit entrer la jeune femme qui précisa alors qu’elle souhaitait s’entretenir confidentiellement avec le professeur.

 

Sans chercher à comprendre, mais dépité d’être ainsi tenue à l’écart, Béatrice les laissa donc en tête à tête.

 

– Voilà, c’est très simple, j’ai bien aimé votre réaction au début de votre visite chez Laviron, j’espère ne pas me tromper, mais j’ai eu l’impression que vous avez un certain tact….

– Merci !

– Mais vous n’en êtes pas moins homme pour cela !

– Comme vous dites !

– Alors voilà, disons que ça m’arrangerait si vous refusiez d’aider Laviron !

– Ciel ! Et pour quelle raison ?

– Laviron est un goujat, je ne peux pas encadrer ce mec-là ! Ce n’est pas parce que je travaille un peu dans le sexe qu’il a le droit de me traiter comme une sous-merde !

– Ah ! J’avais en effet remarqué qu’il y avait comme un problème entre vous deux !

– N’est-ce pas ? Alors si vous lui faisiez faux bon, il serait super emmerdé et pour moi ça serait une petite vengeance.

– J’entends bien ! Et je suis sensible à vos arguments mais le souci c’est que nous avons signé un contrat, je ne peux plus me défiler. J’en suis sincèrement désolé, croyez le bien.

 

Et c’est à ce moment-là que Béatrice qui avait besoin d’un document entra brièvement dans la pièce en s’excusant, puis ressortit.

 

– Au fait, simple curiosité, pourquoi avez-vous demandé à me rencontrer en tête-à-tête, ma collaboratrice a toute ma confiance et…

– La question n’est pas là. J’ignorais qu’il y avait un contrat, mais bon, si vous aviez accepté ma proposition, j’aurais parfaitement compris que vous ne le fassiez pas gratuitement….

– Je crois comprendre !

– J’espère que ça ne vous choque pas !

– Non, non, j’ai les idées larges !

– Je vais vous laisser ! C’est vraiment pas possible alors ?

– Laissez-moi vos coordonnées, si je trouve une solution, je vous rappelle.

– Mais bien sûr que vous allez trouver une solution ! Elle me paraît d’ailleurs bien facile. Si vous souhaitez une petite avance, je suis à votre service.

– Et comme ça, je me sentirais engagé, vous êtes une maline, vous !

– Hé, c’est un risque à courir, vous le prenez ? Demanda-t-elle en se passant vicieusement sa langue sur ses lèvres

– Tentatrice !

– Vous voulez en voir plus ? Proposa-t-elle en commençant à dégrafer les boutons de son petit haut

– Je ne pourrais rien vous promettre…

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Vendredi 23 juillet 2021 5 23 /07 /Juil /2021 17:43

Professeur Martinov 20 – La vieille horloge – 14 – Les cochonnes de Vaumaison par Maud-Anne Amaro

Mat Stamp

 

Vendredi 7 juin

Claire a téléphoné qu’elle arrivait, c’est Achille qui lui ouvre, Jeannette a la délicatesse de ne pas venir de suite afin qu’ils puissent échanger quelques mots en son absence :

 

– C’est quoi ce délire, t’aurais pu me prévenir ?

– Elle m’a un peu mis devant le fait accompli !

– Mais t’es d’accord ? Y’a pas de lézard ? S’inquiète un peu Claire.

– Ça ne me dérange pas, ça peut être amusant.

– Elle m’a laissé entendre qu’elle pourrait participer ?

– Oui, elle m’a dit ça aussi ! Tu sais, rien ne t’y oblige si t’es réticente…

– Je ne suis pas réticente, mais ça va être un peu plus cher.

– Tu penses à tout, toi, mais ce n’est pas un problème.

 

Achille tape alors dans ses mains, signe qu’attendait Jeannette pour intervenir. Ces deux dames se présentent et se bisoutent, on se boit un jus de fruit et on file dans la chambre.

 

– Je m’assois ici, faites comme si je n’étais pas là ! Leur indique Jeannette.

 

Claire est un peu gênée au début de se déshabiller devant la femme de son client mais finit par ranger sa pudeur au vestiaire. Une fois nue, elle va même jusqu’à adresser un sourire de connivence à Jeannette qui le lui rend. Elle fait signe ensuite à Achille d’aller directement sur le lit.

 

Claire a soudain envie de s’amuser et de voir jusqu’où la Jeannette peut aller.

 

Aussi s’approche-t-elle de la bite d’Achille afin de lui prodiguer une jolie turlutte, mais elle prend soin de le faire dans la position la plus obscène possible, en levrette, les fesses cambrées, les cuisses écartées et tous ses trésors dans le champ de mire de Jeannette.

 

Cette dernière n’est pas insensible à cette vision, il faut dire que sa petite séance de l’avant-veille avec Agnès et Stéphanie a remonté en surface ses tendances lesbiennes qui étaient restées enfouies pendant trente ans.

 

Ce petit cul rebondi, ce petit trou mignon… elle s’excite et ne sait comment gérer la situation. S’en approcher ? mais Claire n’appréciera pas forcement la caresse d’une femme ! Se palucher toute seule sur sa chaise pendant qu’ils s’envoient en l’air devant elle ? Elle n’osera jamais !

 

Bref Claire s’amuse comme une folle, Jeannette ne sait plus où elle en est… Mais Achille me direz-vous ? Ben il est gêné, doublement gêné, même. D’une part par la simple présence de sa femme, Achille n’est pas exhibitionniste, mais quand elle lui a fait cette demande insolite il n’a pas su lui refuser, ne serait-ce que par principe, comment refuser quelque chose à une femme qui lui a tant prouvé son amour pendant la période noire qu’il vient de subir ? Et puis il est aussi gêné de façon beaucoup plus triviale, les petites fantaisies annexes auxquelles il se livrait d’habitude avec Claire seraient déplacées ici devant la voyeuse.

 

Il a beau être gêné, l’Achille, il bande quand même, et pas qu’un peu ! Ce qui fait que Claire se trouve obligée de cesser sa fellation afin d’éviter une fin de séance prématurée.

 

Notre coquine se couche sur le dos, écarte ses cuisses et demande à l’Achille de venir lui butiner la chatoune. Une attraction qui n’a jamais vraiment beaucoup passionné notre retraité de l’enseignement, il a grand tort, mais que voulez-vous c’est comme ça ! D’autant que dans cette affaire, c’est lui le client, et qu’il devrait pouvoir dire ce qui lui plait bien et ce qui lui plait moins.

 

Mais bon, notre Achille fait contre mauvaise fortune bon cœur (même si l’expression dans ce contexte est peu appropriée) et se met à lécher le minou offert.

 

Il est bien tard, la nuit est tombée et à cet heure, l’odeur du gel-douche n’est plus qu’un souvenir. Et Achille se surprend à retrouver une saveur qui ne lui avait pas déplu, bien au contraire.

 

En fait la coquine s’est volontairement pissé quelques gouttes sur elle afin d’en imprégner sa chatte.

 

– Brave fille ! Se dit Achille !

 

Du coup, il la lèche passionnément, la situation devenant carrément perverse puisqu’il se régale de l’urine de sa partenaire devant sa femme qui joue les voyeuses sans savoir ce qu’il fait exactement !

 

Et il la lécha tant et si bien que la jolie blonde explosa. Orgasme simulé ? Achille ne chercha pas à savoir.

 

Claire demanda à Achille de se remettre sur le dos et décida de le chevaucher dans la position d’Andromaque.

 

On sait que cette position fut décrite par le poète latin Martial quand il racontait comment Miss Andromaque faisait l’amour avec Hector, tandis que les esclaves cachés derrière le paravent se masturbait à tour de bras en les regardant.

 

Ici ce ne sont point des esclaves qui matent, mais Jeannette… et elle n’en peut mais et reste tétanisé

 

Alors quand Claire, après s’être empalée sur la bite d’Achille commence sa série de pistonnage, Jeannette se lève de sa chaise, et s’approche du couple, « pour mieux voir » tient-elle à préciser.

 

– Tu peux te déshabiller et venir sur le lit ! Lui suggère Claire qui devient facilement familière.

 

Fallait pas lui dire ça à la Jeannette, elle se dit alors que puisque ça s’est bien passé l’autre jour avec Agnès et Stéphanie, pourquoi en serait-il autrement avec Claire !

 

A moins que cette dernière n’aime pas les femmes, mais le fait de lui avoir suggérer de venir de plus près n’est-il pas bon signe ? Se dit-elle.

 

Elle se déshabille, rapido-presto et vient s’installer à côté des deux amants. Timidement, elle tend une main vers le cul de Claire, oh, juste une timide caresse, mais comme l’autre ne proteste pas, elle s’attarde un peu.

 

– C’est doux, hein ? La nargue Claire.

– Euh !

– Tu peux continuer, j’adore qu’on me tripote les fesses.

 

Alors Jeannette continue, timidement très timidement, elle lui tripoterait bien les seins mais en ce moment la chose est assez peu pratique.

 

Claire sent son partenaire proche de la jouissance, cela n’aurait pas été le cas, elle lui aurait sans doute proposé de terminer par une petite sodo, mais là ce n’est pas la peine, notre homme éclate son plaisir dans un râle !

Martinov20N1

Claire se désarçonne et avec précaution, retire la capote juteuse de la bite d’Achille, un petit kleenex pour nettoyer tout ça, et le tour est joué. Mademoiselle assure même le service après-vente !

 

Jeannette s’est couchée attendant qu’éventuellement Claire lui propose quelque chose et en oubliant qu’après tout c’est elle la cliente.

 

Mais Claire à l’esprit commerçant, et elle interpelle son ainée :

 

– Toi, ma grande, tu voudrais que je te lèche ou je me trompe ?

– Oh ! oui !

 

Claire plonge dans cette chatte offerte, il y a bien longtemps qu’elle n’a pas léché une femme. A Lyon, elle fréquentait une bande de jeunes oisifs se nourrissant de marginalité, ça buvait, ça fumait et pas seulement des cigarettes, ça partouzait aussi pas mal et ça se mélangeait sans trop de distinction de sexe. Bref une vie de bohème, elle était un peu l’égérie de la bande. Et puis un jour l’un de ses joyeux drilles fit une grosse connerie, mais vraiment la grosse connerie. Elle aurait pu être accusée de complicité ou de non-dénonciation de malfaiteur… Alors elle monta en Ile-de-France, et comme les cafés et restaurants sont encore un milieu où on arrive à trouver du boulot… fin de la digression.

 

Claire ne fut pas bien longue à faire jouir Madame Després, et quand celle-ci lui proposa d’inverser les rôles, la petite serveuse blonde accepta volontiers et cette fois ci, elle jouit pour de vrai sous la bonne langue de cette surprenante Jeannette.

 

La nuit tombe sur Vaumaison, une belle nuit éclairée d’une magnifique pleine lune, Claire est rentrée chez elle, les époux Després ronflent comme des bienheureuse, Agnès et Stéphanie se sont endormis dans les bras l’un de l’autre. Tout va bien, tout est calme.

 

Samedi 8 juin

 

Sauf que le lendemain, les choses se gâtèrent.

 

– T’as touché à l’ordi ? Demande Jeannette à son mari.

– Pas du tout !

– Tu sais les photos d’orchidées que m’avait envoyé Lulu, je ne les retrouve plus.

– Sont peut-être dans la corbeille ! Répondit Achille qui s’en fichait pas mal.

– Non, j’ai regardé !

 

Une demi-heure passa et Jeannette toute pimpante annonça à son époux !

 

– J’ai téléchargé un machin sur Internet, ça récupère les photos effacées, c’est génial, j’ai tout retrouvé… Mais Achille, qu’est-ce qu’il t’arrive, t’es tout pâle, je vais te chercher un sucre et de l’eau.

 

Après avoir avalé tout ça, Achille Després parvint à balbutier.

 

– Ça veut dire que si l’enquête était relancée…

– Mais pourquoi voudrait-tu qu’elle soit relancée ?

– On ne sait jamais ! Imagine qu’un expert aille fouiller dans l’ordi de ces deux salopes… et je suis bon pour la Cour d’Assise !

– D’abord ce ne sont pas des salopes !

– Bon alors d’accord ce ne sont peut-être pas des salopes, n’empêche qu’elles ont chez eux une épée de Damoclès, et que ça ne va pas du tout !

– Bon il y a une chance sur mille pour que l’affaire ressurgisse…

– Non, ces filles sont vénales, elles sont pour l’instant pleines de bonnes résolutions mais si un jour elles sont dans la mouise et qu’elles apprennent qu’on peut récupérer les photos, elles nous feront chanter. S’agace Achille.

– Tu deviens parano, mon pauvre vieux ! Ecoute, je t’ai sortie d’une merde pas possible, alors tu vas me faire le plaisir de te calmer, moi j’ai confiance en ces filles et le dossier du meurtre de Torre est clos. Tu comprends ça, toi : « clos ! ». Alors tu te calmes, tu prends une tisane et je ne veux plus que tu me parles de cette affaire. O.K.

– O.K. ma chérie, c’est promis je ne t’en parle plus !

 

Mais ce n’est pas pour cela qu’il n’y pensait plus et après un week-end à s’angoisser, il prit le chemin de Louveciennes…

 

Lundi 10 juin

 

– Encore vous ! S’étonna Béatrice en ouvrant la porte. Si c’est pour nous reparler de votre affaire pourrie, ce n’est même pas la peine d’essayer.

– Cinq minutes, juste cinq minutes, pas une de plus et après je m’en vais, vous ne pouvez pas me refuser cinq minutes.

– Martinov, c’est Achille Després, il veut nous parles cinq minutes.

– Fous le à la porte !

– Vous avez entendu ! Adieu, monsieur, inutile de revenir !

– D’accord, vous étiez mon seul espoir, maintenant, je suis un homme fini.

 

Ce quasi-chantage au suicide ne fonctionne pas, mais Béatrice se demande ce qui peut bien mettre le bonhomme dans un état pareil alors que tout semblait arrangé. Alors quand la curiosité féminine s’en mêle…

 

– Trois minutes ! pas plus !

– Là ? Sur le pas de la porte ?

– Oui, dépêchez-vous.

 

Alors il s’expliqua. Béatrice eut envie de lui dire que le risque était infinitésimal, mais il était évident que ce n’est pas le genre de discours qu’Achille souhaitait entendre. Alors il lui vint une idée…

 

– Attendez-moi , je m’habille et je vous retrouve dehors.

– Mais…

 

Béatrice prévient Martinov qu’elle s’absente un moment, puis rejoint Després.

 

– On peut parler où ?

– Dans ma voiture !

– Non ! Répond Béatrice qui n’a aucune envie de monter dans la voiture d’un assassin.

 

Ils allèrent donc au bistrot dans un coin tranquille.

 

– Bon, j’ai une idée, ça devrait marcher, mais il me faut 2000 balles.

– Tout de suite ?

– Non, mais sans l’argent je ne peux rien faire.

– Je n’ai pas de liquide !

– Faites-moi un chèque !

– Ça laisse des traces !

– Bon vous arrêtez la parano, sinon, je laisse tomber !

– Vous allez me faire six chèques de 300 euros, un que j’encaisserai de suite, un autre pour dans 15 jours, un autre pour dans un mois et ainsi de suite…

– Ça fait 1 800 !

– Vous comptez bien, complétez en liquide s’il vous plait

– Je dois n’avoir que 100 euros sur moi.

– On fera avec !

– Les chèques je mets quel ordre ?

– Moi Béatrice Clerc-Fontaine, si on vous demande des comptes vous direz que je suis une pute occasionnelle, ces sont les tarifs pour une heure…

– C’est quoi votre plan ?

– Je vous le dirais quand il aura fonctionné. Je vous laisse payer la conso, faut que j’y aille. On se retrouve ici même à 10 heures vendredi, garez votre voiture devant la maison de Martinov. Et Amenez-moi des fleurs !

– Des fleurs ?

– Oui ça se fait d’apporter des fleurs à sa maîtresse, et comme on va vous voir, ces piliers de bistrot pourront confirmer qu’on fait de ces choses tous les deux, je ne vous en parle même pas !

 

Ensuite tout alla très vite, Béatrice téléphona à Agnès.

 

– Salut ! Dis voir, je passe à Vaumaison demain, tu seras là ? Je t’aurais bien fait un bisou vite fait !

– Ça dépend, dis-nous quelle heure ?

– Je sais pas moi, 11 heures ?

– Passe à la maison, on va te donner l’adresse.

 

Et sur ce Béatrice s’en alla à la FNAC du coin acheter un ordinateur portable à 1 000 euros

 

Mardi 11 juin

 

Béatrice a pris sa journée et s’est habillée un peu sexy. A 11 heures elle sonne chez les deux filoutes. Bisous, bisous

 

– Salut les filles, vous êtes de plus en plus mignonnes !

– Toi aussi

– Dites voir, ça vous intéresse un ordi ? Je devais en refourguer un à Saint Germain, mais la personne m’a fait faux bond, C’est un produit tombé du camion comme on dit, c’est neuf emballage d’origine, ça en vaut 1 000, je vous le laisse à 500, facilité de paiements si ça vous arrange ?

 

Les deux nanas se regardent, semblent intéressées,

 

– Le nôtre est en fin de vie, le disque dur doit être endommagé, il a des trucs qu’on n’a pas retrouvé, rien d’important heureusement.

– Alors d’accord ?

– Mais il va falloir qu’on transfère nos fichiers, tout ça !

– Je peux vous le faire, je connais bien la procédure, et après on prendra l’apéro.

 

L’affaire fut rondement menée, et Béatrice expliquant qu’elle passait devant une décharge se proposa même d’y jeter l’ancien.

 

Pendant toute l’opération, Roxy, le chien de Stéphanie, curieux comme un pot de chambre venait se frotter contre les cuisses de Béatrice, Les deux filoutes le rappelait aussitôt à l’ordre, il se calmait quelques minutes puis recommençait.

 

– On est désolé pour le chien, il est collant parfois.

– C’est pas grave, il est mignon !

– Le souci, c’est que si parfois t’avais eu envie d’un câlin…

– Non, vous êtes mignonnes…

– On te fera rien payer, on a déj a eu un ordi à moitié prix.

– Je sens que je vais me faire avoir !

– On va enfermer le chien dans la cuisine !

– Pauvre bête !

– Sinon,, il est capable de faire des choses libidineuses !

– Parce qu’il en fait souvent des choses libidineuses ?

– Ça lui arrive, mais on gère ! Tu sais on est un peu givrées parfois !

– Vous voulez dire que vous faites des choses avec le chien ?

– Un petit peu, quoi ?

– J’aimerais bien… non rien !

 

Béatrice se remémore alors quelques expériences canines qui l’ont plus émoustillées que traumatisées. (voir les épisodes 8, 15 et 17)

 

– Tu voudrais voir ! Demande Agnès ?

– Pourquoi pas ?

– Tu vas voir, c’est rigolo

 

Agnès retire son pantalon et sa culotte, s’assoit dans un fauteuil, se tripote la chatte, puis attire le chien. Ce dernier fait comme s’il n’attendait que ça et vient lécher la cramouille de la petite rousse.

 

– Et en plus il fait ça bien ! commente-t-elle

– Tu veux essayer ? Propose Stéphanie.

 

Béatrice complètement partie, se défait à son tour et offre sa chatte à lécher au gentil labrador. Déjà elle pense à la suite :

 

« Est-ce qu’elles lui sucent la bite ? »

 

– Il a un gros zizi ! Lance-t-elle !

– Ça te dirait ?

– De quoi ?

– De lui tripoter !

– Vous le faites, vous ?

– Oui, tu veux qu’on le suce devant toi ?

– Allez, soyons folles !

 

Le toutou se laisse mettre sur le côté sans rien dire, Agnès s’est emparé sa bite et la lui lèche, invitant Béatrice à l’imiter. Elle a déjà fait ce genre de choses, mais ce n’est pas non plus dans ces habitudes, elle hésite donc quelques secondes, mais juste quelques secondes car l’envie est trop forte.

 

« Ça y est ! Se dit-elle ! J’ai la bite du chien dans la bouche ! Je suis vraiment une grosse salope ! Non pas grosse ! Juste salope ! Mais bon, je ne fais de mal à personne et pas même au chien qui reste placide, arrêtons de culpabiliser pour rien ! »

Martinov20N2

Et bien sûr, viens l’inévitable proposition :

 

– Tu veux qu’il te prenne ?

– Je ne sais pas si je le veux, mais je veux bien essayer. Euh, il n’y a aucun risque ?

– Non, les chiens n’ont pas le Sida ! On va juste lui enfiler des chaussettes pour ne pas qu’il te griffe. Euh, si tu te mettais à poil ?

– Pourquoi, le chien, il préfère ?

– Non, c’est nous qui préférons, t’es trop mignonne à poil !

– Vous aussi, alors ?

– Bien sûr ! Allez, mets-toi en levrette ma poulette !

 

Béatrice obtempère, un peu d’appréhension sans doute, mais elle veut vivre cette expérience.

 

Le souci, c’est que le clébard, allez donc savoir pourquoi, ne veut pas sauter Béatrice… du moins pas pour le moment.

 

– Ne bouge pas, on va arranger ça ! Dit Agnès, qui prélève de la mouille qui lui coule entre ses cuisses pour la déposer sur les intimités de la jeune chimiste..

 

– Allez Roxy, allez !

 

Mais le toutou interprète l’ordre de travers et vient lécher tout ça, c’est certes plutôt agréable mais ce n’était pas le but de l’opération.

 

– Remue ton cul et appelle-le, ça va le faire ! Suggère Stéphanie.

– Viens le chien, viens Roxy, viens me baiser !

 

Miracle, ça marche, le chien s’élance, excité comme un fou, et pénètre dans l’anus bien lubrifié de Béatrice.

 

– Oh, doucement, le chien, je suis fragile !

 

Comment voudriez-vous qu’il comprenne, il pilonne en haletant bruyamment, et ça dure et ça dure. Et si au début Béatrice n’était excitée que par l’insolite de la situation, elle a tôt fait des ressentir des ondes de plaisir. Son amant à pattes semble infatigable.

 

Elle a joui trois fois, peut-être quatre, allez savoir, et puis sans crier gare, le chien se décolle, et quitte la pièce, sans doute pour aller roupiller dans un coin.

 

Béatrice est épuisée.

 

– A boire les filles !

– Tu veux ma pisse ? Lui propose Agnès.

– Non, enfin, si ! Donne-moi quelque chose de frais, et après d’accord je boirais ta pisse !

 

Béatrice but son jus d’orange d’un trait puis s’assis sur le sol, tête en arrière et bouche ouverte tandis qu’Agnès vint se placer près d’elle de façon à ce qu’elle puisse lui uriner dessus..

 

Quand elle eut fini, Stéphanie, vint prendre le relais, puis approcha sa chatte de sa bouche afin que Béa puisse la lécher. En même temps Agnès attaquait de sa langue les intimités de la jeune chimiste encore imprégnées du liquide du chien. Complètement déchainée, elle lui enfonçait les doigts dans le cul et les ressortaient pour en lécher les secrétions anales avec gourmandise.

 

Ce triangle infernal aux variations multiples perdura jusqu’à l’épuisement.

 

– Et ben ! Quelle séance ! Conclut Béatrice, maintenant, j’ai besoin d’une bonne douche.

– On vient avec toi, on va te savonner !

– Mais vous êtes insatiables !

– Comme tu dis !

 

Elles étaient sur le point de se quitter.

 

– Si t’as d’autres occasions comme ça, pense à nous, il va bientôt falloir qu’on change de téléphone.

 

Tilt

 

« Ce con de Després n’est pas au courant qu’on peut aussi récupérer des photos effacées sur un téléphone ! »

 

– Je sais pas trop, mais je peux me renseigner, faites voir ce que vous avez comme téléphone.

 

Grâce à petit tripotage anodin, Béatrice se rend compte que les nanas prennent beaucoup de photos y compris récemment et que l’espace ne va pas tarder à être saturé. Une récupération s’avère donc hasardeuse avec les moyens classiques, le risque est donc extrêmement limité.

 

La jeune chimiste fait alors semblant de téléphoner.

 

– Non, mon copain n’a pas de téléphones en stock, c’est un peu compliqué les téléphones parce que les opérateurs, ils demandent des papiers tout ça..

– On demandait ça comme ça !

– Cela dit vous devriez les changer vos téléphones, vous allez manquer de place, ils en font des super maintenant…

 

Et le vieil ordinateur des filles sous le bras, Béatrice quitta Vaumaison, un arrêt à la décharge et l’opération était terminée : Bénéfice net : 1 400 euros en ne faisant quasiment rien !

 

Vendredi 14 juin

 

Béatrice a laissé poirauter Després avec ses fleurs dix minutes, histoire qu’il se fasse bien remarquer, elle arrive l’embrasse sur les lèvres, commande un café.

 

– J’ai changé l’ordinateur des filles, et elles ont acheté des téléphones neufs, le vieux matériel est à la poubelle. Affaire terminée, on va sortir ensemble bras dessus, bras dessous jusqu’à votre voiture, on va faire semblant de s’embrasser. Et après je veux plus jamais vous voir ! Jamais ! Vous avez compris, ça ! Jamais !

 

Petit mensonge pour les téléphones portables, mais il ne le saura jamais… en principe

 

Epilogue

 

Et le professeur Martinov ? Allez-vous me demander ? Rassurez-vous nous le retrouverons bientôt lui et Béatrice dans une nouvelle aventure qui sera je l’espère palpitante et excitante !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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