Pr Martinov

Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:00

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 1 – Surprenante Isabelle par Maud-Anne Amaro

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Retrouvons donc notre coquin de professeur Martinov, chercheur indépendant, sexagénaire et assez porté sur le sexe, toujours flanqué de sa fidèle et jeune collaboratrice, Béatrice Clerc-Fontaine, vraie blonde et peu farouche.

 

Leur cabinet de consultation et leur laboratoire se situent à Louveciennes, banlieue cossue de l’ouest parisien.

 

Vendredi 10 avril

 

Aujourd’hui ils reçoivent un couple qui prétend avoir trouvé des choses étranges dans une grotte peu accessible du massif alpin.

 

– Justin Verrier ! Se présente l’homme et voici Isabelle Tortelli, ma collaboratrice.

 

Décrivons ces deux personnages puisque leur rôle dans cette histoire sera important.

 

Justin doit avoir la cinquantaine, cheveux déjà blanc coupés courts, bronzé, allure décontractée, très play-boy sur le retour. Isabelle a la quarantaine, très souriante, visage agréable, lunettes à grosses montures, cheveux bruns et bouclés mais surtout poitrine conséquente. Elle est habillée d’une veste de tailleur pied de poule ouverte sur un chemisier blanc, et d’une petite jupe noire descendant à mi-cuisses, ce qui lui permet d’exhiber de jolies gambettes gainées de voile noir.

 

– Voici quelques photos prises dans la grotte, on n’en a pas pris beaucoup parce que la lumière est susceptible de dégrader les dessins. Là elles ont été éclaircies par l’ordinateur, ce ne sont pas les couleurs réelles…

– Et qu’est-ce qui vous fait penser qu’il s’agit de peintures rupestres ? Demande le professeur.

– Je n’ai jamais dit qu’elles étaient rupestres.

– C’est quoi alors ?

– Ce sont des dessins faits dans une grotte, nous avons demandé une datation au carbone 14, les dessins dateraient du 1er siècle, vous voyez que ça n’a rien de rupestre.

– D’accord, d’accord, et ensuite ?

– Ce qui est intéressant, c’est ce qui est dessiné, regardez ce bonhomme, d’après vous il a quoi sur la tête ?

– Je ne sais pas moi, une capuche ? Répondit Martinov.

– Et vous mademoiselle ?

– Moi je dirais un casque de sorcier ? Répondit Béatrice.

– Ben vous n’y êtes pas du tout, c’est un casque de cosmonaute. Répondit-il avec un sérieux pontifical.

 

Une réflexion qui provoqua un ricanement nerveux du professeur Martinov, tandis que Béatrice s’esclaffait.

 

– Ah, ah ! Difficile à croire n’est-ce pas ? Reprit Verrier. Et ça ?

– Des dieux romains qui volent dans un coquillage, c’est pas ça ?

– Ben non c’est un vaisseau spatial individuel, une navette ni vous préférez..

 

Voilà qui provoque un nouveau sourire amusé de Béatrice qui vu la tournure des événements ne fait rien pour le dissimuler. Elle ne s’attendait pas du tout cependant à ce qu’Isabelle lui renvoie ce sourire en complicité. Un très étrange sourire à ce point que la jeune chimiste se mit à rougir de gêne.

 

– Bon, reprit Martinov, on va arrêter de jouer aux devinettes, vous croyez aux OVNIs, c’est votre droit mais vous n’arriverez pas à me convaincre et de toute façon je suppose que vous n’êtes pas là pour ça. Donc la bonne question est « Qu’attendez-vous de nous ? »

– Mais qui vous a dit que je croyais aux OVNIs, mon cher professeur ?

– J’avais cru comprendre…

– Mais non, mais non, je vous expliquerais en détail si nous faisons affaire. Alors pour répondre à votre question, nous souhaitons sécuriser ces dessins. Est-ce que vous savez faire ?

– Une protection comme à Lascaux ? Demanda Béatrice.

– Quelque chose dans le genre, oui !

– Et pourquoi ne pas faire intervenir le ministère de la culture…

– C’est ma découverte, je veux que ça reste privé, de toute façon à part quelques gros trucs, tout ce qui est gallo-romain, ils s’en foutent un peu ! Des pièces romaines vous pouvez en acheter, il y en a plein aux puces et ce n’est pas trop cher. Donc vous sauriez faire ?

– Euh, vous permettez qu’on se concerte, ça ne va pas être long, passez dans la pièce d’à côté, on vous rappelle de suite.

 

– Tu sais faire ? Demande Martinov à sa collaboratrice.

– Oui, je peux leur proposer une exposition sous verre et sous vide. Du moins c’est l’idée, mais il faut qu’on se déplace sur les lieux pour se rendre compte et après on fera éventuellement un devis. Evidement on se fait payer le voyage et l’hôtel.

 

– Pas de problème, vous pourriez venir en début de semaine prochaine ? Répondit Verrier.

– Mardi !

– J’organise tout ça et je vous tiens au courant. Je vais vous faire parvenir vos billets de trains par porteur, en première bien sûr. La grotte est du côté de Briançon dans les Hautes Alpes.

 

Avant de prendre congé, Verrier demanda la permission d’utiliser les toilettes. Isabelle en profita pour entrainer Béatrice quelques mètres plus loin.

 

– Nous nous sommes déjà rencontrées, n’est-ce pas ?

– Je ne crois pas, non ? Répondit Béa

– Une ressemblance peut-être ou alors notre rencontre n’a été que furtive ?

– Allez savoir…

– J’aimerais beaucoup vous offrir un verre, toutes les deux en tête à tête, juste cinq minutes, je vous promets de ne pas abuser de votre temps.

 

Beatrice est surprise de cette proposition et ne sait quoi trop répondre.

 

– Euh, maintenant ?

– Comme vous voulez.

– Le bistrot n’est pas très proche.

– Ou ce soir quand vous aurez terminé votre journée

 

Bref, Béa lui explique qu’elle habite Paris et qu’elle rentre en train… qu’à cela ne tienne l’Isabelle qui a réponse à tout lui donne rendez-vous à l’angle des rues d’Amsterdam et Saint-Lazare à 18 heures

 

« Bon qu’est-ce qu’elle me veut cette pétasse ? Je parie qu’elle est gouine. Mais bon je vais essayez d’être diplomate, je m’en voudrais de froisser un client potentiel »

 

Elle est là, à l’heure, arborant un sourire carnassier. Les deux femmes s’installent dans le rade, Isabelle sur une banquette, Béatrice en face, Elles commandent et Isabelle attaque de suite :

 

– Bon, il est bien évident que cet entretien est complètement « off », je vais vous proposer quelque chose qui n’a rien à voir avec nos futures relations professionnelles, si vous refusez, cet entretien n’aura jamais existé. O.K. ?

– Que de mystère !

– Vous ne devinez pas ?

– Non, mais je vous écoute !

– J’aimerais beaucoup coucher avec vous.

 

Gloups !

 

Ce n’est pas tant la proposition elle-même mais la façon avec laquelle elle était formulée qui stupéfia Béatrice.

 

– Vous êtes directe, vous !

– A quoi bon tourner autour du pot…

– C’est moi le « pot » ?

– Mais non, c’est une expression, voyons !

– Je sais, je plaisantais !

– Alors ?

– Alors : non !

– Tant pis pour moi, on en restera là, je n’insisterai pas. Dit alors Isabelle.

– Quand même, ne le prenez pas mal, mais vous êtes gonflée !

– Qui ne tente rien n’a rien.

– Oui, mais vous avez fait comment…

– L’habitude, le feeling, la façon d’interpréter un sourire, un regard…

– Trop forte !

– On fait ce qu’on peut, je vous laisse, je vais payer les consos au comptoir. Nous nous reverrons à Briançon.

– Non restez !

– Parce que ?

– Parce que vous m’intriguez trop, et qu’il ne serait pas impossible que je change d’avis.

– A la bonne heure ! Je ne vous décevrais pas !

– Je n’ai pas encore dit oui !

– Et que faudrait-il pour que vous le disiez ?

– La balle est dans votre camp.

– Venez donc vous assoir à côté de moi, vous serez mieux.

– C’est pour me piéger ?

– Non, c’est pour vous montrer comment j’embrasse.

 

Les deux femmes sont à présent côte à côte. Béatrice ne l’a jamais vu d’aussi près, elle peut ainsi apprécier le grain de sa peau, les petites ridelles de plaisir aux coin des yeux, le minuscule duvet au-dessus des lèvres…

 

– J’aime comme tu me regardes. Lui dit Isabelle.

– Je ne le fais pas exprès,

– Tu parles ! Les femmes c’est une fantaisie, ou c’est ton truc.

– Déjà les questions intimes ?

– Si tu ne réponds pas, je peux deviner, tu es bisexuelle, mais c’est auprès des femmes que tu trouves de la tendresse, j’ai bon ?

– Trop forte, et comment t’as deviné ?

– Parce que je suis un peu pareil. T’as toujours été comme ça ?

– Toujours, je ne me suis jamais trop posé la question, tu sais la psychanalyse de bazar, ce n’est pas mon truc. A l’école de chimie, j’avais une bonne copine, on a joué à des jeux de plus en plus poussés, des petits bisous, des gros bisous,

– Et les garçons alors ?

– Bof, j’ai eu une liaison avec un garçon, j’en étais vraiment amoureuse et puis on a cassé… Avant j’avais été dépucelé par un bellâtre, tu sais le genre « je les baise toutes ». Je me suis laissé faire, il était beau… beau mais con, j’ai rien senti, et je n’ai pas eu envie de recommencer. Quand j’ai raconté ça à ma copine elle m’a fait venir chez elle, on s’est déshabillé, on s’est tripoté, on s’est embrassé un peu partout, on a même été plus loin…

– Plus loin ?

– Bof ! Des petits jeux de pipi, quoi.

– Hum ! Et tu aimes toujours ça ?

– Ma foi oui !

– T’aimerais goûter mon pipi ?

– En voilà une façon de draguer !

– J’ai toujours été atypique !

 

Et ce qui devait inéluctablement arriver arriva, les lèvres se rapprochèrent, le baiser devient vite profond, passionné et baveux.

 

– Faut pas vous gêner, les gouines ! Lance un type, pas très loin.

– Je t’emmène chez moi, c’est à cinq minutes de métro ? Propose alors Isabelle.

 

Du coup, les hésitations de Béatrice se sont envolées, et c’est toute guillerette qu’elle suit la jolie brune mature.

 

Pendant le court voyage, Isabelle meuble la conversation avec des questions bateaux : »Il y a longtemps que tu fais ce boulot-là ? Ça te plait bien ? Et avec Martinov, ça se passe bien ? »

 

– Dis donc tu ne serais pas un peu curieuse, toi ? Lui fait remarquer Béa.

– Je ne voulais pas l’être, pardonne-moi. Mais c’est vrai que je suis un peu curieuse, parce que travailler à plein temps avec un vieux bonhomme, ce ne doit pas être évident.

– Je ne m’en plains pas. Le professeur Martinov est un peu coquin, mais très correct..

– Coquin avec toi ?

– Oui, mais ce n’est jamais une corvée, j’aime bien m’amuser avec lui.

– Et tu t’amuses comment ?

– Si t’es sage, je te dirais tout, tout à l’heure.

– Mais je n’ai pas l’intention d’être sage.

– Alors, si t’es très coquine…

 

Arrivées chez Isabelle, dès que la porte fut refermée, cette dernière enlaça Béatrice la gratifiant d’un baiser aussi profond que baveux, à ce point que la salive dégoulinait de leurs mentons.

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– Faut que je pisse maintenant sinon je vais faire dans ma culotte. Viens avec moi je vais essayer de t’en garder une goutte. Proposa la mature

 

Isabelle envoie valser sa culotte, relève sa jupe et s’assoit sur la cuvette.

 

– Qu’est-ce que ça fait du bien ! Commente-elle tandis que son pipi clapote dans l’eau dormante de la cuvette.

– Je n’ai pas vu grand-chose…

– On n’est pas pressé, approche-toi je vais essayer de t’en donner un peu. Indique Isabelle tout en rectifiant sa position de façon à ce que Béatrice puisse placer sa bouche devant sa chatte.

 

Isabelle ferme les yeux, se concentre…

 

– Ça vient, ouvre bien la bouche.

 

Il n’y a plus grand-chose, mais suffisamment pour que Béatrice très amatrice de ce genre de fantaisies puisse s’en régaler.

 

– Hum, c’est bon !

– Bien sûr que c’est bon, nettoie-moi la chatte maintenant avec ta petite langue de gouine.

– Je t’ai dit que je n’étais pas gouine !

– Tu ne veux pas me nettoyer ?

– Mais si !

 

Béatrice adore faire ça, sa langue va partout, pénétrant dans le petit écrin rose et léchant tous les sucs avec gourmandise, procédant en de larges balayages…

 

– Fais-moi jouir, fais-moi jouir… Implore Isabelle.

 

Qu’à cela ne tienne, la jolie chimiste fait virevolter sa langue sur le clitoris impertinemment érigé. La jouissance d’Isabelle est fulgurante..

 

Les deux femmes s’embrassent de nouveau. Béatrice tente de déshabiller sa partenaire, mais les deux femmes sont trop collées l’une près de l’autre.

 

– Attends, on va enlever tout ça ! Propose Isabelle.

 

Le déshabillage s’effectue à grande vitesse, elles ne gardent rien, ils n’y a que dans l’imagerie porno que ces dames gardent escarpins, bas et porte-jarretelles, mais en l’occurrence elles n’ont rien de tout ça.

 

Elle se font face, chacune se régalant de la vision de sa vis-à-vis. C’est Béatrice qui la première plonge son visage sur le sein qui lui fait face. Elle s’acharne à sucer le téton qui durcit entre ses lèvres. Mouvement de répit qui permet à Isabelle de lui rendre la pareille.

 

– Excuse-moi il faut absolument que je fasse caca ! Prévient Isabelle fort inopportunément.

– Dépêche-toi…

– Tu veux regarder ?

– Non, non…

 

Isabelle n’insiste pas, Béatrice la laisse aller, les réminiscences de ses quelques expériences scatos lui reviennent en mémoire : Mélanie, Brigitte, Florentine. Alors saisie d’une impulsion subite, elle rejoint sa partenaire aux toilettes.

 

– Finalement je vais te regarder faire.

– OK, je vais m’accroupir et me tourner, sinon tu ne vas rien voir.

 

Béatrice attend avec un zeste d’anxiété, elle a apprécié ses précédentes expériences en la matière (c’est le cas de le dire) Il n’y a aucune raison pour que cela se passe différemment aujourd’hui. Malgré tout ce mélange de fascination et de répulsion est toujours tenace.

 

Les choses vont très vites, un long et gros boudin brun s’échappe de l’anus d’Isabelle et atterrit avec un gros plouf dans l’eau dormante de la cuvette.

 

– Joli ! Parvint à dire Béatrice.

– Je m’essuie ou tu veux lécher ?

 

Excitée comme une puce, la jolie chimiste n’empressa de nettoyer les quelques taches qui polluait le pourtour de l’anus de sa partenaire.

 

– Allez viens, lui proposa cette dernière en la prenant par la main et en l’entrainant dans sa chambre.

 

Béatrice se retrouva sur le grand lit et Isabelle lui demanda qu’elle se couche sur le ventre.

 

– Hum ! Quelle jolie paire de fesses !

– On fait ce qu’on peut.

– Les petites fessées, t’aime bien ?

– Les petites, oui !

– Comme ça ? Répondit Isabelle en lui claquant le joufflu de sa main droite.

– Même un tout petit peu plus fort !

– Comme ça ?

– Oui vas-y

– Tu vas avoir le cul tout rouge !

– Pas bien grave !

– T’aimes les petites misères ?

– J’aime beaucoup de choses.

– Si je te mettais des pinces à linges sur les tétons ?

– Oui je veux bien.

 

Isabelle s’en alla chercher des pinces dans sa salle de bain.

 

– J’en ai choisi des rouges, c’est plus joli.

– T’as raison !

 

Elle fixa la première sur le téton doit de Béatrice.

 

– Aïe !

– Je t’ai fait mal ?

– Non, ça va !

– Alors on met l’autre.

 

Les pinces étant fixées, elle se mit à jouer avec, les tirant, les tournant, faisant augmenter la pression avec ses doigts.

 

– Oh, là là, qu’est-ce que tu me fais !

– Du bien, j’espère ?

– Oui, tu m’excites, tu me fais mouiller.

– J’espère bien ! Répondit Isabelle en roulant une gamelle à sa partenaire. Et maintenant à quatre pattes, tu voulais avoir le cul rouge, tu ne vas pas être déçue.

 

Et Isabelle se mit à taper à la volée, jusqu’à ce que le derrière de la jolie chimiste devienne cramoisie, cette dernière se complaisait dans cette situation à laquelle elle ne répondait que par de petits cris étouffés.

 

– T’es maso alors ?

– Je ne sais pas trop, disons que j’ai mes périodes où j’ai envie de trucs comme ça. Question de circonstances, de partenaires..

– Bouge pas je vais chercher un truc qui devrait te plaire.

 

Isabelle revint avec un godemichet assez fin et nargua sa camarade de jeu :

 

– C’est pour qui, ça ?

– Il n’est pas bien gros !

– C’est pour ton cul ! Ton petit cul de salope !

– Alors vas-y encule-moi !

 

Et après avoir habillée le dildo, Isabelle l’enfonça dans l’anus de la chimiste avec une facilité déconcertante.

 

– T’aime ça, hein ma salope ?

– Ouiiii !

– T’aimes ça, te faire enculer ?

– Pas toi ?

– Si !

– Alors on est des enculées, toutes les deux !

– Et fières de l’être en plus.

 

Isabelle agita tant et si bien le godemiché que Béatrice finit par jouir du cul en poussant un hurlement.

 

Après un moment calme et une petite cigarette, Béatrice posa la question qui lui brulait les lèvres (Ah, la curiosité féminine !)

 

– Toi aussi t’a commencé avec des copines de collèges ?

– Oui, mais la grosse révélation, c’est venu plus tard… avec ma mère !

– Quoi ?

– Je voudrais pas te choquer, je t’en raconte pas plus !

– Il n’y a pas grand-chose qui me choque ! Je ne suis pas choquée, je suis surprise, allez, raconte.

– C’est tout bête, un enchainement de circonstances…

 

Le récit d’Isabelle

 

Depuis quelques temps, ma mère avait un amant, un métis beau comme un dieu et vingt ans plus jeune qu’elle.

 

Je me touchais la foufoune en fantasmant sur lui, je l’imaginais à poil en train de baiser ma mère, bref ma mère qui n’était pas folle a bien vu comment je le regardais quand il venait à la maison.

 

– Il te plait Hyacinthe, hein ?

– C’est un beau mec, t’as bon gout.

– Tu sais, il ne te trouve pas mal non plus…

– Ah ?

– Ça t’intéresserait ?

– Maman !

– Je disais juste ça comme ça, n’en parlons plus et fais-moi un bisou.

 

Sauf que cette étrange proposition n’a cessé de me travailler et j’ai passé cette nuit-là très agitée avec la main dans ma chatte.

 

Et la matin, partant du principe qu’on ne vit qu’une fois et qu’il ne faut jamais passer à côté d’une occasion, c’est remontée comme un coucou que m’attablant aux côtés de ma mère pour prendre mon petit déjeuner je lui dis tout de go.

 

– Finalement, j’ai réfléchi, ta proposition, je crois bien que je suis d’accord.

– Quelle proposition ?

– Ben, Hyacinthe !

– Ah, mais c’est très bien ça !

– Concrètement, ça va se passer comment ?

– De façon tout à fait naturelle, quand il viendra, je vais lui dire que tu es d’accord pour faire un truc à trois.

– Non, non pas à trois !

– A combien alors ? Tu veux amener du monde ? Plaisanta-t-elle.

– Non je pensais que ça se passerait dans ma chambre, juste Hyacinthe et moi…

– Dis donc, je t’ai proposé de le partager, mais je n’ai pas envie qu’il me laisse tomber pour aller avec toi.

– Ne crains rien, ce sera juste un coup d’un jour…

– On dit ça… Bon on laisse tomber, mais la proposition pour le trio reste toujours valable.

– C’est gênant quand même !

– Qu’est ce qui est gênant ? De voir ta mère sucer une bite et se faire défoncer. Et ça va faire du mal à qui ? On est adulte, que diable !

 

Je n’ai formulé aucune réponse, mais je n’étais pas chaude, mais la nuit, l’image de Hyacinthe continua de me hanter. Je décidais donc de voir venir.

 

Le lendemain soir, Hyacinthe devait passer. J’étais fébrile, me demandant si j’oserai franchir le pas.

 

Et puis ça s’est passé de façon quasi naturelle, je me souviens que ce jour-là, Hyacinthe avait apporté un joli bouquet de roses rouges. Pour le remercier ma mère le gratifia d’un long baiser baveux et en même temps lui tripotait la braguette.

 

– Viens voir comme c’est tout dur là-dedans ? M’interpella Maman.

 

Je savais que si je tergiversais, l’occasion s’envolerait, alors j’ai touché sa braguette et quand ma mère m’a proposé de l’ouvrir, je ne me suis pas dégonflée.

 

– Vas-y sors lui la bite !

 

Mon dieu qu’elle était belle ! Toute marron, y compris le gland qui luisait, une bonne taille, mais pas monstrueuse non plus.

 

– Suce lui la bite, Isabelle !

 

Je n’ai pas hésité, l’instant d’après j’avais sa bite dans la bouche, elle fleurait bon, un gout un peu musqué, légèrement salé, une texture d’une incroyable douceur, une vraie gourmandise.

 

Ma mère a fini par me faire stopper et nous sommes allés dans la sa chambre.

 

Ma mère et moi nous nous croisions régulièrement dans la salle de bain complètement nues sans qu’il y ait la moindre ambiguïté, la nudité n’avait jamais été un problème à la maison, elle ne fermait jamais la porte quand elle faisait pipi ou caca, mais là le contexte était différent, elle allait se faire baiser… et puis je n’avais jamais non plus détaillé ses parties intimes.

 

Bref, j’étais un peu troublée, je me déshabillais et on se retrouva tous les trois à poil.

 

J’avoue avoir été déçu de voir Hyacinthe nu. Je l’imaginais fin, juste légèrement musclé alors que j’avais en face de moi un adepte de la gonflette. Ce n’est pas vraiment mon truc, mais je n’allais pas m’enfuir en courant non plus d’autant qu’il commença sans autres préalables à se jeter sur mes seins comme la pauvreté sur le monde en aspirant les tétons comme s’il buvait avec une paille.

 

– Eh ! Moins fort !

 

Mais non, il ne m’écoutait pas ! Je le lui redis et comme il ne m’écoutait toujours pas, je me dégageais et sortis du lit.

 

– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Elle t’a dit d’arrêter ! S’étonna ma mère.

– Ben quoi, c’est pas de ma faute, si elle est en sucre ! Se justifia le bonhomme.

 

Je pensais ma mère face à un dilemme, soutenir sa fille ou défendre son amant. En fait elle n’hésita pas un seul instant.

 

– Prend tes affaires et barre-toi. Ordonna-t-elle à Hyacinthe

– Mais Fifine… (Ma mère s’appelle Delphine) J’ai rien fait de mal.

– Je n’ai pas envie de discuter, disparais et je ne veux plus te voir.

 

Le type ne fit aucun scandale, il pris ses affaire en tas, se rhabilla dans le couloir et disparut de nos vies.

 

Moi j’étais en larmes.

 

– Bon t’arrêtes de chialer, il est où le problème ?

– Je ne sais pas ce qui m’a pris, il me faisait mal, et quand je lui ai dit, il a continué.

– Eh bien comme ça, on sait à quoi s’en tenir, avec moi il n’osait pas prendre d’initiative, c’est toujours moi qui menait la barque, mais je connais ce genre d’attitude, une jour il aurait inversé les rôles. Cet incident m’a fait gagner du temps. Les amants, ce n’est pas ça qui manque, je suis encore désirable, non ?

– Je sais pas ?

– Comment ça tu ne sais pas ? Tu trouves que je ne suis pas désirable ?

– Je ne parlais pas de ça…Excuse-moi, si, tu es une très belle femme !

– Ah, j’aime mieux ça ! Quel con ce mec; allez maltraiter des beaux nichons comme ça !

 

Et tout en disant ça, elle me les caresse.

 

– Maman, tu fais quoi ?

– Des petites caresses !

– J’avais remarqué.

– Tu n’aimes pas ?

– Si, mais t’es ma mère !

– Veux-tu que j’arrête ?

 

La question qui tue ! Alors je ne sais pas pourquoi j’ai répondu !

 

– Non continue !

– Je vais te les embrasser !

 

Elle a posé ses lèvres sur mes tétons, les a gentiment léchés, faisant monter mon excitation. Puis elle m’a embrassé, pas le bisou maternel, non un vrai baiser entre deux amantes.

 

Elle s’est ensuite couchée sur le dos, les cuisses écartés

 

– Tu veux t’occuper un peu de moi ?

 

Ce fut mon tour de lui lécher la pointe de ses beaux nichons. J’étais contente de lui donner du plaisir, elle geignait, elle haletait.

 

– Tu me fais mouiller, ma fille, regarde un peu ma chatte !

 

Et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je descendis mon visage entre ses cuisses et pour la première fois de ma vie, je pouvais admirer ses trésors intimes. Une dernière hésitation.

 

– Vas-y Isabelle, lèche la moule de ta mère.

 

Alors je l’ai fait, elle était toute mouillée, j’ai tout de suite trouvé son clitoris, elle a jouit en moins d’une minute, m’a enlacée et m’a rendu la pareille. Nous nous sommes regardées en souriant, je n’ai eu aucun remord, aucune honte, j’avais trouvé ça très bien.

 

Je me suis posée des questions ensuite, je me suis demandé si mon attitude n’avait pas été une sorte de compensation pour me justifier d’avoir fait éconduire son amant balourd. Et puis j’ai arrêté de me poser des questions.

 

Nous avons recommencé… assez souvent et toujours avec le même naturel et la même décontraction. Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère !

 

Je ne me suis jamais senti traumatisée ou choquée par ces rapports, encore une fois cela ne regarde que nous.

 

Fin du récit d’Isabelle

 

De nouveau Isabelle et Béatrice s’étreignirent et s’embrassèrent profondément.

 

– Elle est trop excitante ton histoire ? Lui dit Béatrice

– C’est vrai ?

– Oui j’aime bien les situations où on fout les tabous en l’air sans faire de mal à personne.

– T’aurais aimé voir ça !

– Tu m’étonnes !

– Remarque c’est toujours possible, je pourrais te la présenter et m’arranger pour que ça se termine en trio.

– Pourquoi pas ?

– T’es trop mignonne, toi ! Lui répondit la brune.

– Tu parles ! Et sinon t’en as d’autres des histoires cochonnes comme celle-là ?

– Oui, une fois j’ai sucé un chien !

– Oh ! Raconte !

 

L’autre récit d’Isabelle

 

Je m’étais fait draguer par une bourgeoise dans un café du Marais. Elle ne me laissait pas indifférente, elle avait un petit côté canaille qui le faisait bien.

 

Bref elle m’a emmené chez elle, on abrège les formalités, juste le coup à boire de politesse et on s’embrasse comme des salopes en se déshabillant mutuellement. On s’est retrouvées sur le canapé, à se ploter les nichons et la chatte.

 

Un moment, la bourgeoise est allongée de tout son long, les jambes semi-pendantes et je lui lèche son minou juteux. Son chien vient tourner autour de nous. Elle le laisse faire, moi je ne peux rien dire je ne suis pas chez moi.

 

Un moment je m’écarte juste un petit peu pour reprendre ma respiration et qu’est-ce que je vois, le clébard qui a pris ma place et qui se met à lécher la bourgeoise à grand renfort de coups de langue.

 

La nana se pâme, elle me demande si je veux essayer, j’ai hésité mais elle s’est montrée persuasive.

 

Alors je me suis fait lécher la foufoune par le chien, j’ai trouvé ça très agréable.

 

– Regarde comme il bande, ce salaud ! Me dit la bourgeoise !

 

Effectivement, je vois un long machin rouge, raide et gluant, la nana qui devait avoir l’habitude prend la bite dans la bouche et m’invite à la rejoindre. Je me suis lancée et j’ai gouté à cette bite. J’ai trouvé ça d’une perversité inouïe, je me suis prise au jeu, je n’arrêtais pas de sucer et de lécher.

 

– Tu veux te faire prendre ? Me demande-t-elle.

– C’est pas dangereux !

– Penses-tu ! Moi je le fais souvent !

 

On s’est mise ne levrette l’une à côté de l’autre et là ce fut fantastique, le chien allait d’un cul à l’autre en s’excitant comme un fou, j’ai joui plusieurs fois de suite, mais c’est dans la chatte de la bourgeoise qu’il a pris son pied, c’était marrant ils sont restés collé plusieurs minutes.

 

Fin du 2ème récit d’Isabelle

 

– Et tu as recommencé ?

– Quelques fois ! Et toi tu ne l’a jamais fait ?

– Mais si !

 

Et Béatrice lui raconta certaines de ses propres aventures canines.(voir les épisodes 5,15,17,20)

 

– Je te paie le restau ! Lui demande Isabelle.

– Pas ce soir, mais une autre occasion, pourquoi pas ?

 

En fait Béatrice n’avait pas envie de prolonger cette relation, c’était un coup d’un soir, un bon coup, mais elle évitait comme le diable toute situation qui pourrait déboucher sur quelque chose qui ressemblait à une liaison.

 

Isabelle n’insista pas et Béatrice pris congé après avoir pris une petite douche.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:42

Martinov 22 – Univers parallèles – 13 – Matures joyeuses par Maud-Anne Amaro

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– Je m’en veux vraiment d’avoir eu cette conduite inqualifiable tout à l’heure, j’en suis désolé. S’excuse Romain

– Mais ce n’est pas grave, voyons ! Est-ce que j’ai l’air de vous en vouloir ?

– Je ne pense pas, non !

– Alors, vous venez avec nous coincer Beautilleux ?

– On va faire un effort.

– On se prévient quand le traceur commencera à bouger.

 

Afin de ne pas faire traîner l’affaire, Romain livra le cadran à Beautilleux bien avant les délais.

 

Beautilleux passa une annonce dans une feuille gratuite disponible chez les commerçants.

 

« Le mage Kuolacar a le pouvoir de faire revenir devant vous le spectre de l’être cher que vous avez perdu, ni trucage, ni arnaque, résultat garanti… »

 

Il fut surpris d’avoir dix réponses dès le lendemain, il en sélectionna une.

 

Odette, ancienne vedette de cinéma et veuve du général Polivert, décédé prématurément, avait eu son quart d’heure de célébrité quand elle avait été la maîtresse du milliardaire Jacky Dondelle dans les années 1970, l’extravagance de leur liaison avait défrayé la chronique, la femme n’hésitant pas à exhiber devant les photographes les somptueux présents que l’amant lui offrait : bijoux, rivière de diamants, fourrures, bagnoles… L’un des articles décrivait l’un des diamants sur deux pages entières, le « Chambalard », le nom amusa Beautilleux.

 

Et un jour on avait retrouvé le type dans sa baignoire, vidé de son sang. On soupçonna Odette, mais elle fût disculpée dans un premier temps, le coupable, un monte-en-l’air sans envergure fût vite appréhendé, ce dernier ne trouva rien de mieux que de déclarer qu’Odette était sa complice, ce qui fut infirmé mais entre-temps la presse à scandale en avait fait ses choux gras.

 

Beautilleux se rendit à la bibliothèque nationale et consulta tous les journaux d’époque, la matière ne manquait pas, il prit des tas de notes.

 

Après que la dame eut-été blanchi dans l’affaire du meurtre, il semblait qu’elle avait ensuite protégé sa vie privée, à ce point qu’elle tomba dans l’oubli, les gazettes trouvèrent facilement d’autres os à ronger.

 

Beautilleux fit une recherche dans les bases de données, mais ne trouva rien après ces événements, mais allez savoir pourquoi, il fit une autre recherche sur le nom du diamant, l’énigmatique « Chambalard ». Et là il trouva un compte rendu de vente aux enchères à l’hôtel Drouot indiquant que le diamant en question avait été acquis pour un prix faramineux par un émir moyen-oriental.

 

« Voilà de quoi déstabiliser la petite dame… »

 

Beautilleux avait choisi un hologramme d’un homme portant moustaches à la Clark Gable. Ça ne ressemblait que de très loin à son ancien amant mais avec le flou et la probable vue basse de la dame, ça pouvait le faire. Quant à la voix dont il n’avait aucun échantillon, le modificateur vocal devrait faire l’affaire en la jouant « outre-tombe ».

 

Un peu avant 20 heures, le traceur indiqua la direction de Neuilly

 

Mathilde prévient Romain et Inès.

 

Mathilde dirige les opérations de sa voiture en guidant celle d’Inès et la troisième dans laquelle se trouve Romain et Édith. Rien ne presse puisque c’est à la sortie que tout devrait se passer.

 

L’immeuble étant repéré, ils n’ont plus qu’à attendre. Et comme il fait beau, inutile d’aller encombrer l’escalier. Tout se passera dans la rue.

 

Quand Beautilleux se présenta devant la veuve, celle-ci ne fut pas particulièrement aimable et ouvrit de suite les hostilités :

 

– Des charlatans, j’en ai vu un certain nombre, ils ont voulu me gruger, je les ai foutus à la porte, je ne suis pas gâteuse et je sais me défendre.

– Rassurez-vous…

– Je n’ai pas fini, il est bien évident que je ne vous paierai qu’après et que si le résultat me satisfait !

– Mais certainement !

 

Beautilleux déballe son matériel.

 

– C’est quoi ça ?

– L’interface.

– Hum.

– Je vais vous demandez de déplacer votre siège dans le fond de la pièce, derrière moi, de vous y installer et de vous concentrer sur la personne que vous voulez invoquer.

– J’ai oublié de vous dire, reprit la veuve. Si vous en avez après mon argent, c’est au coffre, il est sous alarme et relié à une société de sécurité.

– Mais enfin madame…

– Autant que vous soyez prévenu. Maintenant je me tais.

 

Après qu’il eut demandé à sa future victime d’éteindre la lumière, il commença la séance

 

– Qui voulez-vous invoquez, madame Polivert ?

– Jacky !

 

Le risque existait qu’elle invoqua quelqu’un d’autre, auquel cas, Beautilleux aurait trouvé un prétexte pour remballer ses outils, mais la chance avait l’air de lui sourire.

 

– Jacky, veux-tu répondre à Odette ?

 

Beautilleux active le projecteur faisant apparaître un ectoplasme flou à moustaches. Puis émet un grognement incompréhensible dans le modificateur vocal.

 

– C’est quoi ce cirque ? Rouspète Odette

– Qu’as-tu fais du « Chambalard », Odette ? Demande la voix caverneuse, tandis que Beautilleux fait dodeliner l’hologramme.

 

Et du coup, Odette devient blanche comme une craie.

 

– J’ai été obligé de le vendre ?

– Pourquoi as-tu vendu le « Chambalard » ?

– Mais j’étais ruinée, il me fallait de l’argent

– Alors tu as bien fait !

 

Odette se met à pleurnicher.

 

– Et aujourd’hui, tu es ruinée ?

– Non, je me suis remariée… arrêtez-ça Monsieur le mage !

– L’argent qui est dans ton coffre, tu dois le destiner à ma famille, le mage s’en chargera.

– Non ! Arrêtez ça monsieur le mage !

– Je ne peux pas, j’ai libéré une force qui me dépasse.

– Ouvrez votre coffre et vous pourrez dormir en paix ! reprend la voix de l’hologramme.

 

Comme un zombie, Odette ouvre son coffre.

 

– Je fais quoi maintenant ? demande-t-elle

– Eloignez-vous je vais me servir.

– Ne prenez pas tout !

– Ne vous inquiétez pas !

 

Beautilleux emplit sa mallette de billets et de bijoux.

 

– Jacky, tu ne veux plus parler à Odette ?

– Odette, je t’aime ! Merci de ce que tu viens de faire !

 

Et Beautilleux éteint le projecteur.

 

– On peut rallumer s’il vous plait ?

– C’est diabolique, c’est diabolique !

 

Odette a la tremblote

 

« Pourvu qu’elle ne me claque pas dans les doigts ! »

 

– Je vais vous payer, mais je ne veux plus vous revoir !

– Ce n’est pas nécessaire, je crois que je viens de faire une bonne action !

– Alors tout va bien !

 

Sur le trottoir la petite bande à tout entendu. Inès et Mathilde exultent !

 

Il est 21 heures quand Beautilleux, gai comme un pinson sort de l’immeuble et se dirige en direction du métro. Sur un signe de Mathilde, il se retrouve entouré sans comprendre ce qui se passe.

 

– Tu l’as mis où le fric de la vieille ?

– Quelle vieille ? Qu’est-ce que vous faites ici ?

– Donne le fric ou on va s’énerver !

– Quel fric ?Je n’ai pas de fric. De quoi parlez-vous ?

– Ce ne serait pas dans sa petite mallette, là?

– Laissez ma petite mallette tranquille !

 

On lui arrache des mains. L’argent est bien dedans, les bijoux aussi.

 

– Escroquer les personnes âgées, tu n’as pas honte ?

– Qu’est-ce que ça peut vous foutre ?

– Fous le camp ! Lui dit Mathilde.

– Vous lui laissez son cadran ? S’étonne Edith ?

– Qu’est-ce que vous voulez que j’en fasse ?

 

Beautilleux, son sac contenant le cadran sous le bras, prend au hasard la première rue à gauche et disparaît aux yeux de ses « agresseurs ».

 

– Il va continuer ses escroqueries ! Dit Edith qui ne comprend toujours pas.

– Oui, mais ce n’est plus mon problème, on a récupéré le fric et même davantage. Beautilleux, cadran ou pas, est un escroc dans l’âme, un jour il se fera pincer, il n’a pas une vue assez intelligente des choses pour éviter les erreurs. On vous paie le restau ?

– Pourquoi pas ?

– D’ailleurs c’est l’argent de Beautilleux qui va payer.

 

Le restau se passa dans une bonne ambiance, mais chacun avait envie de terminer la soirée de façon conviviale, c’est donc d’un commun accord que les trois voitures se dirigèrent vers Montmartre là où réside Inès afin de boire le traditionnel dernier verre..

 

– Nous n’avons pas eu le temps de faire les présentations dans les règles ! Voici donc Inès Kermaillard, ancienne vedette de cinéma, Romain, chef d’entreprise dans l’électronique et sa charmante femme Edith. C’est Romain qui a bricolé le traceur qui nous a permis de localiser et de coincer Beautilleux.

 

Du coup tout le monde se fait des bisous, puis Inès va chercher une bouteille de champagne au frigo et le verse dans des coupes sur une table basse. On trinque joyeusement après avoir pris place sur les deux luxueux canapés qui se font face.

 

– Inès est aussi salope que moi ! Tient à préciser Mathilde histoire d’ouvrir les festivités. Mais je dis ça comme ça, si parfois la chose vous tente, sinon on peut se contenter de boire un verre entre amis.

– Mais enfin Mathilde ! Fait mine de s’offusquer Inès.

– Ben quoi, je n’ai rien dit de méchant !

– Salope, moi ? Non mais dès fois ? Franchement est-ce que j’ai l’air d’une salope, Monsieur Framboisert.?

– Vous m’embarrassez, je ne vous connais pas ! Répond l’intéressé qui prend ça à la rigolade. Mais je ne demande qu’à faire connaissance.

– Quel cochon ! Commente Edith.

– Mais on les aime nos petits cochons ! Précise Mathilde.

 

Et sans plus attendre, Inès porte la main sur la braguette de Romain.

 

– Oh, excusez-moi, je ne sais plus ce que je fais, ni pourquoi je mets la main à cet endroit ! Plaisante-t-elle. Faut-il que je la retire ?

 

Et tout en disant cela, elle accentue sa pression sur l’endroit sentant la chose grossir sous l’action de ses petits doigts agiles.

 

– Vous êtes une rapide, vous ?

– Nous ne sommes que de passage sur terre, notre temps est précieux.

– Philosophe en plus !

– En fait je suis davantage calée pour sucer des bites que pour faire de la philo

 

En face, Mathilde et Edith s’amuse du spectacle et s’amuse à de petits jeux de langues tout en se pelotant allégrement .

 

– Je peux ! Demande Inès en dézippant la braguette.

– C’est déjà fait !

– Suis-je bête, voyons ce qu’il y a là-dedans ! Dit-elle en laissant sa main farfouiller dans le caleçon de l’homme.

 

Elle en teste l’état et ayant constaté sa bonne rigidité, l’extrait de sa cachette.

 

– Oh ! une bite !

– Vous pensiez trouver quoi ? Un hélicoptère ?

– Grand sot ! Laisse-moi un peu branler tout ça ! Mais baisse-moi ton pantalon ce sera plus pratique… Ou alors met-toi carrément à poil,… au point où on en est.

 

Excité comme une puce, Romain obtempère, gardant uniquement ses chaussettes. Et pour ne pas être en reste, Inès en fait de même, dévoilant son corps bronzé.

 

Romain en reste baba, il avait bien deviné que la dame avait de beaux restants, mais pas à ce point-là !

 

– Pas mal ! Hein ? Dit-elle et regardez mes fesses ! Pas mal non plus ? Hein ? Tâtez-les !

 

Vous pensez bien que l’homme n’allait pas refuser, il caresse le cul d’Inès.

 

– Mieux que ça, j’adore qu’on me tripote les fesses ! Oui comme ça, continue, écarte-les maintenant. Tu vois mon petit trou ?

– Oui !

– Tu le trouves comment mon petit trou ?

– Charmant, absolument charmant.

– T’as le droit de le lécher.

 

Encore une instruction qu’il n’est nullement nécessaire de dire deux fois à Romain Framboisert, qui si penche langue en avant vers le trou mignon et vient le déguster.

 

– Ça va ? Il a bon goût mon cul ?

– Un goût exquis !

– On me l’a dit souvent, mais je n’ai jamais pu y gouter, je ne suis pas contorsionniste.

 

Sur le canapé d’en face Mathilde et Edith complètement débraillées en sont déjà au soixante-neuf et pousse des cris qui ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elles y prennent.

 

– Mettez-moi un doigt ? Demande Inès.

– Bien volontiers ! Répondit Romain en humectant son index avant de l’enfoncer dans le trou de balle de la dame.

– Hum, c’est bon, j’adore qu’on me foute un doigt dans le trou du cul. Essayez d’aller plus vite, mettez un deuxième doigt.

– Comme ça ?

– Oui c’est bon, j’aime qu’on s’occupe de mon cul, continuez avec vos doigts et après vous pourrez m’enculer !

– Mais avec plaisir !

– J’aime me faire enculer !

– Je vais essayer de vous faire ça bien !

– Les hommes ne savent pas ce qu’ils perdent ! Ce genre de plaisir est divin ! Ça ne vous a jamais tenté d’essayer, Romain ?

– D’essayer quoi, chère madame ?

– De vous faire sodomiser !

– Et si je vous disais que ça m’arrive de temps en temps et que j’apprécie beaucoup.

– Et vous sucez aussi ?

– Ça m’arrive.

– Oh ! Mais c’est formidable ce que vous me dites, retirez vos doigts, je reviens tout de suite.

 

Et voici qu’Inès se lève et s’en va farfouiller dans le tiroir inférieur d’un grand vaisselier, elle en sort une boite de préservatifs et un gode ceinture.

 

– Voilà, regarde un peu comme il est beau ! On peut se tutoyer n’est-ce pas ? Il y a une éternité que je ne l’ai pas utilisé, beaucoup d’hommes quand on leur parle de ça, ils se sauvent en courant… c’est vraiment con, ceux qui y ont gouté, ils en redemandent ! Moi j’aime bien me servir d’un gode, j’en ai un autre avec des piles, il ressemble vraiment à une vraie bite, je l’appelle Firmin, hi, hi ! Bouge pas je vais te le montrer tu vas voir comme il est beau.

 

« Ce n’est pas possible, elle a avalé un magnétophone ! »

 

Elle revient donc avec « Firmin » et le fout sous le nez de Romain.

 

– Comme tu le trouves ?

– Il est attendrissant ! se moque l’homme.

– Montre-moi comment tu suces les bites

– Je préfèrerais une vraie…

– Je veux juste voir, fais-moi plaisir.

 

Martino22M

 

Inès lui demande alors de s’agenouiller entre ses cuisses, elle lui introduit le gode dans la bouche, puis lui pince ses bouts de sein, d’abord doucement puis de plus en plus fort, Romain se pâme tout en léchant la bite factice.

 

– T’aimes ça, qu’on te pinces, allez suce, oui comme ça, tourne bien ta langue autour du gland et maintenant tu l’enfonces bien dans ta bouche, voilà t’es un bon suceur de bite.

 

Mathilde et Edith se sont approchées.

 

– Ben dis donc ton mari, il aime ça la bite ! Lance Inès à Edith.

– Ben, oui c’est un petit cochon !

– Et ça ne te gêne pas ?

– Pourquoi ça me générait ? Encule-le donc avec ton engin, il n’attend que ça !

– C’est vrai ça Romain, tu veux que je t’encule ?

– Oui, oui, vas-y !

 

Pendant que l’homme se met en levrette, prêt à l’assaut, Inès s’harnache avec le gode ceinture, et le recouvre d’un préservatif.

 

– Faut’y mettre du gel ? S’interroge-t-elle.

– Lèche moi un peu le trou, ça devrait le faire.

– Tu voudrais que je te lèche ta rondelle ?

– Ce n’est qu’une suggestion !

 

Inès se mit donc à faire feuille de rose à Framboisert, sa langue était d’une telle agilité que le petit œillet brun ne tarda pas à bailler de plaisir.

 

– Et maintenant, fini la rigolade, attention à ton cul, j’arrive !

 

Ça entre tout seul, Inès pilonne à grand coups de rein le trou du cul de Romain, celui-ci apprécie même s’il préfère quand c’est sa femme qui lui fait ce genre de choses à la maison. Et puis c’est vrai que ça ne vaut pas une vraie bite…

 

Mathilde vient devant lui afin de se faire lécher la foufoune, ainsi le plaisir est-il double. Elle devait être super excitée puisqu’elle prend son deuxième pied de la journée en moins de trois minutes.

 

– J’ai envie de pisser, tu viens avec moi ? demande-t-elle à Edith.

– Au fond à gauche ! La deuxième porte ! Lui précise Inès tout en continuant à besogner .le cul de l’homme.

 

Edith cru d’abord que cette proposition d’accompagnement était innocente.

 

– Tu veux me regarder ? Osa Mathilde en s’installant sur la cuvette.

– C’est comme tu veux, moi je veux bien !

– Je peux t’offrir une belle vue, si tu veux ! Reprend la mature en se redressant.

– Tu aimes les jeux de pipi ?

– Disons que ça m’amuse.

– Tu veux m’asperger ?

– Hum, bien sûr !

 

Du coup Mathilde rectifie une nouvelle fois la position, elle se rassied sur la cuvette mais s’avance sur le bord, mettant ainsi sa chatte devant Edith qui s’agenouille devant elle.

 

Et soudain, le jet fuse, Edith en reçoit plein sur les seins et se l’étale, elle ouvre ensuite une large bouche, Mathilde comprend évidemment le message et lui donne à boire.

 

La miction terminée, les deux femmes s’embrasent spontanément.

 

– On fait une belle paire de salopes ! Commente Mathilde.

– Oui, mais on assume !

 

Au bout d’un moment Inès commence à fatiguer et se retire laissant Romain exténué mais ravi.

 

– A toi de m’enculer, mon grand !

– Mais avec grand plaisir, ma chère !

– Et traite-moi de tous les noms, ça me stimule.

 

Romain s’encapote et pénètre facilement la belle sexagénaire.

 

– T’aime ça qu’on t’encule, hein vielle salope, trainée, morue, radasse !

– Ils sont mignons tous les deux ! Commente Mathilde en jouant avec les tétons d’Edith.

 

Et tandis qu’Inès se met à jouir rapidement du cul en poussant des hurlements, Romain excité comme un pou et incapable de se contrôler davantage jouit dans la capote et se retire.

 

Moment calme, on se rince, on se rhabille, puis Inès propose d’emmener tout ce petit monde dans un petit piano bar du quartier.

 

Bonne ambiance, on boit, on rigole… Mathilde profite du fait qu’Edith soit partie aux toilettes (oui toute seule cette fois !) pour entreprendre Romain.

 

– Téléphonez-moi discrètement dès que vous pourrez, j’ai une petite proposition coquine à vous présenter.

 

Mercredi 20 avril

 

Et le lendemain elle lui expliqua.

 

– J’aimerais que vous m’aidiez à réaliser un petit fantasme.

– Moi, je veux bien, mais lequel ?

– Voyez-vous, il y a un certain temps que je n’ai pas vu deux hommes bisexuels se faire des trucs ensemble…

– Vous savez, je ne fais ça que de temps en temps, mais disons que c’est l’occasion qui fait le larron.

– C’est un refus ?

– Oui, je regrette…

– Cela m’aurait fait plaisir !

– Non, n’insistez pas, et puis c’est qui l’autre ?

– Quelqu’un que vous connaissez.

– Martinov ?

– Eh, oui !

– Dans ce cas on peut s’arranger.

 

Samedi 23 avril

 

Le professeur Martinov est très ponctuel, Fabienne en tenue de soubrette lui a servi un whisky, Mathilde s’est habillée, si on peut appeler ça « habiller » d’un extravagant corset à bretelles rouge carmin avec le string assorti. Notre vert professeur en bave d’émotion.

 

Romain Framboisert arrive dix minutes plus tard, se confond en excuse. Les embouteillages… Il embrasse Mathilde puis interpelle le professeur.

 

– Alors, toi aussi tu t’es fait débaucher ?

– Que veut-tu la chair est faible.

 

Fabienne vient s’enquérir de ce que souhaite boire le nouvel arrivant.

 

– Je veux bien un whisky.

 

Puis une fois Fabienne sorti de la pièce.

 

– Votre servante est charmante !

– Charmante et peu farouche, d’ailleurs elle restera à mes côté pendant que vous allez m’offrir votre petit spectacle

 

On trinque, on boit, puis Mathilde fait signe au deux hommes qu’elle voudrait bien que ça commence. Fabienne vient s’assoir à droite de sa patronne, les deux hommes se déshabillent. C’est parti !

 

Romain et Martinov sont face à face.

 

– On gère ça comment ? demande le professeur mezzo voce.

– On se laisse aller, on verra bien !

 

Et Romain attrape les tétons de Martinov et les serre entre ses doigts, du coup ce dernier lui rend la politesse. Et c’est magique les bites se mettent à grossir et à indiquer la direction du ciel.

 

– Tu as vu des deux cochons, Fabienne comme ils bandent bien.

– Hum c’est excitant !

– Et attend il vont se sucer et s’enculer !

– Super !

– Tu vas me caresser pendant que je les regarde.

– Oui madame !

 

Qui sucera l’autre ? Petit accord tacite entre les deux hommes, Martinov s’accroupit en engloutit la bite de Romain. C’est qu’il aime ça, Martinov sucer de la bite, et celle de Romain il la connait bien, alors il s’applique, Il lèche, il suce, il pompe…

 

Puis Romain s’en va se coucher sur le dos sur le canapé, Martinov a compris la manœuvre et se positionne tête bêche avec son camarade de débauche de façon à ce qu’ils se sucent mutuellement la queue.

 

– Oh, le joli soixante-neuf ! Commente Mathilde à présent bien débraillée par Fabienne, le string a disparu on ne sait où, les bonnets du corset ont sautés, exhibant ainsi sa jolie poitrine. D’une main Fabienne lui trifouille la chatte tandis que ses lèvres butine un téton fripon.

 

Fabienne avait prévu sur la table basse, quelques préservatifs joliment présentés dans une coupelle en porcelaine de Sèvres.

 

Romain s’encapote, le professeur se positionne en levrette et s’écarte les fesses. L’instant d’après il se faisait proprement enculer.

 

L’affaire dura bien plusieurs minutes, on a du mal évoluer le temps quand on baise, mais Romain finit par prendre son pied, alors qu’au même moment Mathilde éclatait son plaisir sous l’action de la langue de Fabienne qui lui faisait minette.

 

Romain s’est retiré, fait signe à Mathilde qu’il est momentanément hors service, ce que la mature avait aisément compris.

 

– C’était très bien, un peu court, mais je ne vais pas faire la difficile ! Cher professeur, vous n’avez pas joui ! Je vous confie Fabienne, elle est à vous. D’ailleurs je crois bien que vous avez déjà fait des choses ensemble

– Oui, madame, répondit Fabienne

– Enculez-là, cher professeur.

– Vous voulez-bien, Fabienne ? demande Martinov.

– Oui dit-elle, en se mettant en position et en dégageant d’autant plus facilement son joli derrière qu’elle n’avait pas de culotte.

 

Et c’est ainsi que ce termina cette rocambolesque histoire d’univers parallèles !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:28

Martinov 22 – Univers parallèles – 12 – Le plan de Mathilde par Maud-Anne Amaro

 

 Toilettes stamp

 

Le professeur Martinov a tenu à téléphoner à Mathilde afin de l’informer des intentions de Beautilleux.

– Souhaitez-vous qu’on en parle un peu tous les deux, passez donc me voir, vous savez bien que j’apprécie votre compagnie.

 

Il n’allait pas dire non !

 

C’est Fabienne toujours attifée en soubrette d’opérette qui l’introduit (oh) en tortillant du popotin

 

– Bonjour professeur ! Vous regardez ma robe, elle vous plait ?

 

Mathilde est vêtue d’une simple robe non décolletée avec des manches courtes, dans les tons noirs, gris et blancs savamment mélangées. Rien d’érotique mais beaucoup de classe.

 

– Vous êtres très élégante !

– Merci ! C’est gentil ! Alors si j’ai bien compris, Beautilleux recommence ses bêtises ? Demande Mathilde.

– On dirait bien !

– Qu’est-ce qu’on peut faire ? Et si on ne fait rien, qu’est-ce qui se passe ?

– Rien, Framboisert refusera de faire affaire, Beautilleux ira voir ailleurs, il trouvera bien un margoulin qui exécutera sa commande et il pour mettre en œuvre sa nouvelle escroquerie.

– Ouais, à cette différence que si c’est votre collègue qui lui fait son bricolage, on garde un certain contrôle sur lui..

– Certes, mais pourquoi le laisser faire ?

– Je vous explique, si on le laisse faire sans contrôle, il va finir par se faire choper et il va se retrouver en tôle, c’est pas comme ça qu’on va récupérer notre fric !

– Alors ?

– Il va escroquer une vieille qui sera fatalement pleine de fric. Est-ce si grave ?

– Déontologiquement c’est pas terrible.

– Oui mais c’est ma déontologie, pas la vôtre. Vous savez, j’ai pas mal escroqué dans ma vie, mais je n’ai jamais mis personne sur la paille, mes victimes avaient de la réserve. Alors on le laisse faire et à la sortie on récupère la mise. Un petit rafraîchissement, professeur ?

– Ma foi pourquoi pas, un jus de fruit ?

– Fabienne, servez un jus de fruit à ce charmant monsieur.

– Concrètement vous voyez ça comment ? Remarquez, je demande ça comme ça, parce que ça ne me regarde pas.

– Un tout petit peu quand même. Je vais payer votre collègue, je vais lui demander d’incorporer un traceur dans son cadran, ainsi on saura toujours où il se trouve. Quand il entrera en action, on déboule et on récupère le fric.

– C’est qui « on » ?

– Ce sera Inès et moi, mais comme ça risque de faire un peu juste question rapport de force, on va peut-être solliciter le gentleman professeur qui est devant moi ? Minaude Mathilde

– C’est hors de question. J’en suis désolé.

– Et parce que pourquoi ?

– J’ai une tête à voler les petites vieilles ?

– Mais on ne volera aucune petite vieille comme vous dites. On va la laisser payer Beautilleux, à ce moment-là l’argent est à lui et c’est à lui qu’on le prend et comme c’est de l’argent dû, ce n’est même pas de vol, c’est du recouvrement.

– J’ignore combien il vous doit, mais vous pensez vraiment que la première escroquerie vous remboursera ?

– Ne soyez pas naïf, professeur ! Beautilleux va demander un montant exorbitant pour sa prestation, peut-être 1.000 euros, en fait j’en sais rien… Mais comme vous le dites, ça ne sera pas assez.

– Et bien alors ?

– Un escroc ça raisonne en escroc, il ne va pas se contenter du prix de la prestation, il va essayer de rafler tout ce qu’il peut rafler. Et là ça devrait nous rembourser.

– Et si le coup rate, comment le saurez-vous ?

– J’ai une petite idée ! Fabienne, il vient ce jus de fruit ?

– J’arrive madame, je répondais au téléphone…

 

La soubrette arrive avec le jus de fruit.

 

– Fais voir, Fabienne ! Ça m’a pas l’air bien frais cette affaire-là!

– Pourtant madame…

– Ce n’est pas grave. Intervient Martinov

– Admettons, mais sinon Fabienne peut vous offrir sa bière maison. J’ai cru comprendre lors de notre dernière rencontre que vous n’étiez pas contre ce genre de fantaisie…

– Ben…

– C’est du premier cru. Tu as envie de pisser, n’est-ce pas Fabienne ?

– Un petit peu, oui.

– Alors en piste !

– Dans un verre ou à la source, Madame.?

– Que préférez-vous professeur ?

– Vous me tentez ! La source c’est bien mais je risque de me mouiller.

– Mettez-vous donc à l’aise, quand elle aura fini de pisser je vous montrerais mes nichons.

– Mais vous êtes une coquine Mathilde !

– Une coquine qui va bien te sucer la bite !

– Vous avez des arguments auxquels il est difficile de résister.

– A poil, monsieur le professeur.

 

Et Martinov qui bande déjà à la perspective de cette petite séance complétement imprévue se déshabille entièrement ne gardant que ses chaussettes.

 

– Chose promise, chose due ! Commente Mathilde en extrayant un sein de sa robe. Caressez-le, juste un peu.

 

Il y a comme ça des propositions qui ne se refusent pas. Martinov se contente d’effleurer ce délicieux mamelon.

 

– C’est doux, n’est-ce pas !

– C’est exquis, chère madame !

– Ça te fait bien bander, mon cochon !

– Eh, oui, vous êtes bandante, chère madame.

– Mais Fabienne, je t’ais demandé quelque chose, il me semble.

– C’est que j’attends que Monsieur se mette en position.

– Eh bien va chercher une grande serviette de bain afin que Monsieur Martinov s’allonge dessus.

 

Quand elle revient, le professeur est invité à se coucher dessus. Fabienne s’accroupit de façon à ce que sa chatte soit presque en contact avec la bouche gourmande.

 

Et hop, ça coule ! Martinov se régale, d’autant que Fabienne sait très bien maîtriser la situation, urinant par saccades successives. Il finit cependant par faire un geste signifiant par-là, que le trop est l’ennemi du bon.

 

– Alors c’était comment ? Demande Mathilde.

– Délicieux !

– Voudriez-vous gouter au mien tout à l’heure ?

– Avec grand plaisir.!

– Ah au fait, Fabienne, qu’avez-vous fait l’autre fois avec ce gentil monsieur, je n’ai pas tout vu, j’étais très occupée de mon côté.

– J’ai chauffé Monsieur, puis je lui ai prodigué une fellation.

– Parlez donc plus crument, nous sommes entre-nous, que diable !

– Je lui ai sucé la bite, et après je l’ai enculé avec un gode.

– Ah voilà qui est clair ! Et vous avez apprécié, cher professeur ?

– Elle m’a fait ça très bien !

– Vous aimez donc jouir du cul ?

– Je le confesse, et vous chère Mathilde, permettez-moi de vous appeler Mathilde, aimez-vous ce genre de chose ?

– Mais parfaitement, j’adore que l’on m’encule, et je compte sur vous pour me le faire dans un petit moment.

– Ce sera un plaisir.

– Me permettez-vous d’être très indiscrète ?

– Madame si vous voulez-bien me montrer votre autre sein, je vous permettrais toutes les indiscrétions.

 

Mathilde dévoile alors son autre nichon, se le caresse et s’en pince le téton.

 

– Vous êtes un petit cochon, mais ce n’est pas pour me déplaire. On dit que l’usage du gode chez les messieurs signifie une tendance vers la bisexualité, partagez-vous ce pont de vue ?

– Vous savez, les théories toutes faites sur la sexualité… Je n’ai pas d’avis en général, mais en ce qui me concerne, disons que j’aime bien les bites ! Cela répond à votre question ?

– Certes, et les bites je suppose que vous ne vous contentez pas de les regarder, j’ai bon ?

– Vous avez bon, j’aime toucher, sucer et aussi me faire prendre.

– Savez-vous que c’est l’un de mes fantasmes de voir deux hommes se sucer et s’enculer.

– Un fantasme jamais réalisé ?

– Si mais trop rarement… Si j’organisais un petit truc à trois avec vous et un monsieur bien équipé ?

– Pourquoi pas ?

– On peut même faire mieux que ça, imaginez, une bite dans le cul et une autre dans la bouche !

– Hé !

– Vous ne le regretterez pas, je peux être très cochonne et satisfaire tous vos fantasmes et d’ailleurs je crois que je ne vais pas tarder à vous sucer la bite, mais avant j’aimerais que vous vous occupiez de moi, cette petite conversation m’a mis dans un état, d’ailleurs, je vais vous montrer.

 

Et Mathilde finit de se déshabiller et la voici nue comme la Vénus de Botticelli, une Vénus mature, certes, mais de fière allure !

 

– Venez donc me lécher l’abricot, cher professeur !

 

Evidemment Martinov se précipite vers cette chatte accueillante et commence à laper le bon jus qui en a coulé.

 

– Hi ! Hi !

– Pardon, il y a un problème ? Demande le professeur, ne comprenant pas la raison de ce rire incongru.

– Vous me chatouillez avec votre barbiche !

– Oh ! Je vais faire attention.

– Et toi Fabienne ne reste pas comme ça, comme une andouille, occupe-toi du trou du cul du professeur.

– Avec la langue ou avec les doigts ?

– Aaah, c’est bon ce que vous me faites, Fabienne débrouille-toi, un peu d’initiative que diable !

 

La soubrette se place derrière Martinov et lui titille le trou du cul avec sa petite langue agile, ce qui fait se trémousser d’aise notre vert professeur.

 

 Martinov22L

 

Mathilde commence à haleter, Martinov attaque le clito impertinemment érigé, tandis que derrière les doigts ont remplacé la langue et besognent énergiquement le petit trou, il ne tarde pas à provoquer la jouissance de la belle mature dans jet de mouille.

 

Reprenant rapidement ses esprits, Mathilde demande à Fabienne d’arrêter son doigtage et tout en restant derrière le professeur de lui tordre les tétons. Après quoi elle s’empare de la bite, la met dans sa bouche et la turlute pendant plusieurs minutes.

 

Puis sentant le gout salée de la pré-jouissance perler sur le méat, elle stoppe sa fellation, se met à genoux sur le fauteuil, le torse contre le dossier et expose ainsi son joli cul, dont le pourtour de l’anus un peu poilue est bien mouillé.

 

– Fabienne va aller te chercher une capote et tu vas m’enculer !

– Avec plaisir, chère Mathilde

 

Martinov n’avait qu’une crainte, celle de partir trop vite, mais il sut se contrôler jusqu’à ce que Mathilde reparte à nouveau vers l’orgasme ! Ce cap franchi, il put se laisser aller et envoya sa jute dans la capote avant de déculer.

 

– Salaud ! Tu m’a fait jouir deux fois !

– Vous êtes une très belle femme Je suis content de vous avoir satisfait ! Répondit le professeur un peu confus.

– Tu sais on peut se tutoyer, c’est la moindre des choses après ce que tu m’as mis dans le cul ! Viens donc m’embrasser, viens embrasser ta chienne !

 

Et les voilà qui s’embrassent comme deux ados à leur premier rendez-vous, ça bave, ça dégouline.

 

– Faut que j’aille faire pipi ! Je reviens ! Prévient le professeur.

– Dois-je tenir la bite du professeur ? Demande alors Fabienne .

– Non c’est moi qui vais l’accompagner aux toilettes, toi retourne à ton service.

– C’est pas juste, on s’amusait bien ! Rouspète la soubrette en disparaissant de la pièce.

 

Dans les toilettes, Mathilde s’accroupit et se couche la tête de côté sur la cuvette en laissant la bouche ouverte.

 

On ne lui avait jamais fait encore, celle-ci au professeur Martinov.

 

– Vas-y pisse moi dans la gueule !

– Vous êtes… euh tu es sûre ?

– Ben quoi, on peut délirer, non ?

– Alors délirons ! Conclue notre vieux coquin en aspergeant comme il se doit, le visage de la belle mature.

 

Quand ils revinrent dans le salon, Martinov déclara que maintenant il boirait bien un verre d’eau.

 

– Mais j’avais demandé à Fabienne des jus d’orange, qu’est-ce qu’elle a foutu ? Fabienne !

– Oui madame, répondit la soubrette dans le lointain.

– Non rien ! On va la laisser tranquille sinon, elle ne finira jamais le repassage, allons boire dans la cuisine. Alors vous avez réfléchi ?

– Vous ne m’en avez pas laissé le loisir, disons que je réserve ma réponse ! Je vous appelle demain sans faute chère Mathilde

– Je ne vous sens pas chaud mon cher professeur, pourquoi attendre demain pour m’annoncer ce que vous pouvez me dire maintenant ? Je comprends parfaitement votre point de vue, après tout cette affaire n’est plus la vôtre ! Mais je ne vous en veux pas du tout et ma petite proposition cochonne tient toujours..

 

Et Mathilde se leva pour faire un chaste bisou d’aurevoir au professeur

 

– Je voulais juste réfléchir un peu, mais bon…

– Je vais juste te demander les coordonnées de ton collègue électronicien…

 

Ils se tutoient ou ils se vouvoient, eux-mêmes finissent par ne plus savoir.

 

Bien évidemment le professeur Martinov avertit son ami Romain Framboisert de la visite imminente de Mathilde :

 

– Elle va te demander de reprendre à son compte la commande de ton client, elle va sans doute te demander d’améliorer le dispositif, c’est quelqu’un de très correct, tu peux traiter avec elle sans problème.

– Tu me la recommandes, alors ?

– Oui, et en plus elle a beaucoup de classe !

– O.K.

– Attention, toutefois, elle a voulu m’embarquer dans une espèce d’opération de commando, j’ai refusé bien sûr mais elle ne m’en a pas tenu rigueur.

 

Et Martinov lui fournit les détails…

 

– O.K. ! Et elle est comment la dame physiquement ?

– Une belle mature un peu nymphomane, – partouzeuse et bisexuelle mais super sympa.

– Tu te l’ai envoyée ?

– Que veux-tu, la chair est faible !

– Cochon !

– Mais non !

 

Mathilde pris donc rendez-vous avec Romain Framboisert le soir même à 18 heures. Toilette simple mais décolleté plongeant stratégique.

 

– Je suppose que monsieur Martinov vous a mis au courant des raisons de ma visite ?

– Oui mais pas dans les détails. Répond Romain en lorgnant sur la naissance des seins de la dame.

– Je voudrais reprendre pour mon compte la commande de monsieur Beautilleux…

– Beautilleux ?

– Oui le gars du cadran clignotant.

– Oui, on m’a dit qu’il avait trente-six noms…

– Trente-six noms, plein de chéquiers périmés et pas un rond devant lui… il ne vous paiera qu’avec du vent. Moi je vous paie tout de suite et en liquide… au prix du marché évidemment.

– Cela va de soi.

– Pourriez-vous incorporer un traceur de position suffisamment discret dans ce foutu cadran ?

– Sans problème !

– Et un dispositif qui permettrait d’entendre ce que Beautilleux raconte pendant sa tentative d’escroquerie, ce serait possible ?

– Bien sûr il suffit de planquer un élément de téléphone portable qui se déclencherait à l’allumage de son gadget.

– Maintenant je suppose que vous allez me demander quelles sont mes intentions ?

– Je suis un peu curieux de nature… mais je manque à tous mes devoirs, c’est l’heure de l’apéro, vous prendrez bien quelque chose ?

– Un whisky si vous avez ?

 

Romain demande à Edith de faire le service puis l’invite à venir trinquer avec eux.

 

– Beautilleux nous doit de l’argent à moi et à une copine, une belle somme. Il s’apprête à escroquer quelqu’un, sans doute une veuve friquée qui a des sous à ne plus quoi savoir en faire. Elle va donc le payer, à ce moment-là l’argent ne sera plus à elle mais à lui, et je lui subtilise… vous voyez donc l’utilité du traceur ?

– Certes, mais si la dame le paie par chèque ?

– C’est peu probable, mais ce n’est pas le plus important, l’hypothèse sur laquelle on part, c’est qu’ une fois l’escroquerie enclenchée, Beautilleux va rafler tout ce qu’il pourra rafler. Il faut avoir que les petites vieilles ont toujours du liquide chez elles, sans parler des bijoux….

– Je vois ! Vous allez faire ça toute seule ?

– Non avec ma copine, évidemment question rapport de force, c’est un peu léger…

– Vous allez vous faire aider ?

– Je ne vois pas trop comment, j’ai bien quelques relations, des types un peu voyous, mais ça m’embête de faire appel à ces gens-là.

– Alors ?

– Vous ne voulez pas m’aider ?

– Je suis désolé…

– Non, non, ne vous confondez pas en explications. Je demandais juste ça comme ça, je vous aurais donné 1 000 balles.

– N’en parlons plus.

 

Mais Edith est très curieuse…

 

– Vous allez rentrer comment chez la personne ? Demande-t-elle.

– On n’est pas obligé d’entrer, on peut attendre Beautilleux tranquillement dans l’escalier quand il sortira.

– Dans ce cas, si vous êtes trois ou quatre il n’y a pas grand risque !

– Ben non.

– Ça vaut peut-être le coup ? Dit Edith en se tournant vers son époux

– Mais enfin Edith ?

– Moi pour 1000 balles je le fais.

– Mais enfin …

– Mais puisqu’il n’y a pas de risque !

– Pas de précipitation, on peut en reparler, intervient Mathilde jouant les conciliantes.

 

« Edith est tentée » reste le mari, il aurai été seul, je lui aurait sorti le grand jeu, mais il y a madame ! »

 

– Bon, je vais vous laisser…

– Un petit whisky pour la route ?

– C’est pas de refus.

 

Mathilde boit son whisky

 

« ‘Je vais leur faire un peu de « cinéma » on verra bien ce que ça donne »

 

– Ça donne chaud, le whisky !

– Un peu oui !

– Je me mettrais bien à l’aise mais je n’ai pas grand-chose à enlever !

– Vous nous faites quoi, là ? Demande Romain.

– Ben rien, justement !

– Si madame veut se mettre à l’aise moi, ça ne me dérange pas du tout ! Intervient Edith.

– Oh voyons ! Mais que dirait monsieur ? Répond Mathilde faussement offusquée

– Monsieur, il va vous conseiller de partir avant que la situation devienne ingérable.

– Bon, bon, je vais m’en aller.

– Vous n’avez pas fini votre verre, intervient une nouvelle fois Edith.

– Ah, c’est vrai !

 

Ce désaccord entre les deux époux tombe à pic, et Mathilde prend tout son temps pour finir son whisky, se demandant qui va l’emporter. .

 

– Pour la dernière fois, à quel jeu jouez-vous ? S’énerve Romain.

– Mais laisse-la tranquille, il est amusant son jeu ! Lui dit Edith

– Vous n’êtes pas joueur, monsieur Romain ?

– D’abord, c’est monsieur Framboisert, et puis quand je joue j’aime bien connaitre les règles.

– Y’a pas de règle on improvise. Qu’en pensez-vous Edith ?

– Moi ? J’aime bien les jeux d’improvisation.

– Que me conseillez-vous ?

– Allez-y, improvisez !

– Si je vous embrasse, ça fait partie du jeu ?

– Ça peut !

 

Et devant les yeux stupéfaits de Romain Framboisert, les deux femmes se lèvent de leur siège pour se rouler un patin magistral.

 

Et ça les fait rigoler.

 

Romain sent qu’il n’aura pas le dessus avec ses deux diablesses qui maintenant se pelotent à qui mieux mieux. Il les regarde avec un air dépité, mais quand on ne sait trop comment le sein gauche de Mathilde apparaît au grand jour, et que Edith se met à le téter, il se met à bander.

 

– Félicitations, monsieur Romain, votre épouse est charmante.

– Humm

– C’est vraiment une coquine, elle m’a sorti un sein et elle me le suce, et moi je me laisse faire ! Mais dans quel monde vivons-nous ? Se moque-t-elle.

– Justement je me demandais.

– Vous nous regardez ou vous voulez jouer avec nous ?

– Edith, tu fais quoi au juste ? Demande-t-il à sa femme.

– Ben tu le vois bien, je lèche les nichons de cette charmante dame.

– Et après tu vas faire quoi ?

– J’en sais rien, on improvise ! Mais tu devrais montrer ta queue à madame, ce serait cool.

– C’est vrai, madame ?

– Oui, montrez-moi votre bite, j’adore les bites !

– Je vous préviens, si je fais ça, je ne me contrôle plus et je risque de vous violer !

– Chiche ! Mais je me laisserais faire ! Allez-y violez-moi, enculez-moi, pissez-moi dessus, je serais votre chienne.

– Quel romantisme !

– Je ne suis peut-être pas votre genre ?

– Bon j’arrive !

 

Et sans réfléchir davantage, Romain se déshabille à toute vitesse.

 

– Oh, un homme tout nu avec la bite qui bande ! Plaisante Mathilde.

– Tu vas voir ce qu’il va te faire, l’homme tout nu, poufiasse !

– Tout ce que vous voulez, mais laissez-moi me déshabiller, je n’ai pas envie que vous me déchiriez mes affaires.

 

Et Mathilde s’enfuit à l’autre bout de la pièce, Romain tente de la rattraper mais Edith lui bloque le chemin, du coup Mathilde a le temps de se déshabiller en vitesse. Elle s’agenouille à l’envers sur le canapé, la croupe prête à recevoir les assaut du mâle.

 

Edith libère le passage, Romain fonce.

 

– Je vais t’enculer, salope !

– Avec une capote ce serait mieux.

– Bougez pas, je vais en chercher ! Propose Edith

– Magne-toi, j’ai la trique.

 

Il se met la capote à tout vitesse.

 

– Vous ne voulez pas que je vous suce avant ? Demande Mathilde

– Ta gueule poufiasse !

– Oh, vous savez parler aux femmes, vous !

– Tu vas la fermer, oui ?

– Bon, bon, je ne dirais plus rien !

 

Et tel un diable sorti de sa boite, Romain Framboisert se précipite sur Mathilde, lui colle aux fesses et lui introduit sa bite dans le cul.

 

– Whah, ça entre tout seul, tu dois avoir l’habitude de te faire ramoner le cul, hein morue ?

– Vous êtes un poète, monsieur.

– Han ! Han ! Répond l’homme en plein rut.

 

Et sous ces coups de butoir frénétiques, la belle mature commence à haleter crescendo. Romain sent que ça vient et décharge avec un cri de mammifère marin.

 

Il décule, se débarrasse de sa capote, son excitation est calmée.

 

– Je vous présente mes excuses, chère madame, je suis confus, je ne sais pas ce qui m’a pris !

– Ne vous excusez pas, c’est moi qui vous ai provoqué ! Bisou ?

– Bien sûr !

 

Ils s’embrassent, plus un roulage de galoche bien baveux qu’un bisou d’amitié.

 

– Tu devrais le punir de t’avoir enculé ce cette façon ! Suggère Edith.

– Si le cœur vous envie, je me laisse faire ! Répond l’intéressé.

– Ma foi, j’ai comme une envie de pisser, si je faisais sur vous ?

– Ce ne sera pas une punition, mais allez-y, j’adore !

– Faites ça dans la salle de bain ! Intervient Edith, et attendez-moi, j’arrive aussi.

 

Romain y précède Mathilde, puis s’accroupit dans le carré à douche.

 

Edith qui devait finir de se déshabiller n’arrive qu’après alors que la belle mature est déjà en train d’arroser Romain de son joli pipi.

 

– Laisse m’en un peu !

– Mais bien sûr, Monsieur Romain, vous en avez assez bu, veuillez laisser la place à votre charmante épouse.

 

Il firent donc comme cela et ce fut le tour d’Edith de déguster ce qui restait de la pluie d’or.

 

– Si t’as une petite envie, on peut peut-être inverser les rôles ?

– Mais bien sûr, ma coquine, je vais bien te pisser dessus ! Répondit Béatrice, mais ensuite j’aimerai bien que tu me fasses minette.

 

Leurs vessies étant maintenant vidées, elles s’échangèrent un long baiser au goût particulier, avant de sortir du carré, puis Béatrice entraina sa partenaire sur le tapis de bain, où elle se disposèrent en soixante-neuf, chacune tripotant et léchant le cul et la chatte de l’autre, jusqu’à ce que la salle de bain s’emplisse du cri de leur jouissance.

 

Retour sons la douche, pour une petite rincette, elles s’essuient en rigolant et laissent la place à Romain

 

Puis tout le monde reviens dans le salon, on boit un coup, on fume une clope…

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:26

Martinov 22 – Univers parallèles – 11 – Partie carrée par Maud-Anne Amaro

 

stamp partouz

Beautilleux est dépité, cette visite chez Mathilde n’a servi à rien, sinon à l’énerver. Dehors il pleut, il n’a pas de parapluie, il s’en va se réfugier dans un café-brasserie, ruminer sa hargne devant une mousse.

 

Il réfléchit à ce qu’il pourrait bien faire d’intelligent.

 

« Je suis bien con, je n’ai pas une mauvaise retraite, je peux vivre peinard avec pourvu que j’arrête de jouer.' »

 

Et pendant trois jours, il se refait une conduite, enfin presque parce qu’il s’achète quelques jeux à gratter qui évidemment ne lui rapporte rien. Sinon il s’emmerde en regardant la télévision.

 

« C’est pas une vie, ça ! »

 

Dimanche 17 Avril

 

Et le soir du troisième jour il rejoint le club de poker où il a ses habitudes, jure de limiter ses mises, gagne un peu, puis perd et finalement se fait plumer.

 

Il rentre chez lui très énervé et décide de dénicher un coup fumant.

 

« Un truc un peu surnaturel présenté sous un angle inédit, mais quoi ? Les extraterrestres, les petits anges, les fées, les grands anciens, les Templiers ? Que faire avec ça ? Finalement les fantômes, ce n’était pas une mauvaise idée. Il y aura toujours des veuves éplorées désireuses de converser avec feu le mari ou feu l’amant ! Mais pas de table tournante, pas de cercle magique ou d’objets qui s’animent. Non du moderne avec un projecteur d’hologrammes qui diffusera un machin flou, je peux en trouver un pas trop cher sur internet. Il me faudrait aussi un cadran de contrôle bidon avec plein de lumières qui clignotent, un compteur, un cadran graphique et un haut-parleur pour diffuser des phrases incompréhensibles qu’on attribuera au macchabé… »

 

Il se demande néanmoins où il va dégoter pareilles choses.

 

Lundi 18 avril

 

« Oh mais j’y pense, Martinov m’avait donné les coordonnées de son bricoleur informatique et le gars ne me connait pas. Allez, on ne perd pas de temps… »

 

Et il se rend sur le champ à l’atelier de Romain Framboisert

 

– Bonjour monsieur, on m’a donné vos coordonnées, ce serait pour un petit bricolage électronique…

– Vous devez faire erreur, nous sommes une société d’électronique, mais nous ne prenons pas de commandes de particuliers…

– Je paye bien…

– Je m’en doute bien mais c’est non, n’insistez pas.

– Parfois une commande individuelle peut donner de idées pour un produit à exploiter.

– Bon, c’est quoi votre truc ? Brièvement, parce que j’attends quelqu’un.

– En fait c’est un faux cadran pour intégrer dans une attraction foraine.

 

Et là ça fait tilt dans la tête de Romain Framboisert.

 

– Mais qui vous a donné mes coordonnées, monsieur ?

– Alors là, impossible de me souvenir.

– Ce ne serait pas un monsieur Martinov, dés fois ?

– Ce n’est pas un nom qui me parle.

 

Romain aurait bien voulu creuser cette affaire qui n’en était peut-être pas une mais qui l’intriguait. Mais on lui annonça son visiteur, et celui-là pas question de le faire poireauter.

 

– Écoutez, puisqu’il s’agit d’une commande privée, pourriez-vous passer chez moi à 18 heures, on pourrait en discuter calmement.

– Vous accepteriez, alors ?

– J’ai pas dit ça, mais je veux bien discuter. Vous êtes monsieur ?

– Picoche, Jean Picoche.

 

Quand il eut un instant de libre, Romain Framboisert téléphona au professeur Martinov :

 

– Je te passe juste un petit coup de fil en vitesse. Est-ce que tu aurais filé mes coordonnées à un dénommé Picoche ?.

– Picoche, non ça ne me dis rien ! Pourquoi ?

– Rien, juste comme ça un mec a déboulé à l’atelier et m’a proposé une commande privée, il m’a parlé de fête foraine alors ça m’a fait penser à ton client avec l’affaire de la cabine d’ascenseur, au fait on ne sait pas vu depuis, il était satisfait ton client ?

– Tu parles, c’est un escroc faudra que je te raconte, c’est tout un roman !

– Ben passe chez nous demain soir avec Béatrice, tu nous raconteras tout ça !

– Volontiers !

 

Puis alors que la conversation allait prendre fin, Martinov demande à brule-pourpoint :

 

– Ton client tu pourrais me le décrire. ?

– Pourquoi ? 50, 60 ans pas un poil sur le caillou lunette à la Scorsese…

– Ça ressemble à mon escroc, ça fait beaucoup de coïncidences

– Je vais l’envoyer promener alors ?

– Hum, tu dois le revoir ?

– Oui, ce soir !

– Rend-moi un petit service, note tout ce qu’il veut, essaie de percer le bonhomme et bien sûr tu ne t’engages pas… et puis on en parle ensemble.

– On s’en parlera demain.

– Je sens que ça va être chaud !

– Comme d’habitude !

 

Un peu avant 18 heures, Romain rentre chez lui.

 

– Je vais recevoir un type dans 10 minutes, ça ne va pas durer longtemps, mais je voudrais que tu t’arranges pour le déstabiliser. Dit-il à l’adresse de sa charmante épouse.

– Et concrètement ?

– Décolleté osé et sourire enjôleur, ça devrait suffire.

– C’est tout ? Tu ne veux pas que je lui fasse une pipe non plus ?

– Sûrement pas ! Il s’agit de le déstabiliser pas de le chauffer.

– Mais, ça me plaît pas trop ton truc mais bon, si ça peut te rendre service…

– Au fait, Martinov et Beatrice passent demain soir…

– Ah ! Voilà qui me plaît mieux.

 

A 18 heures tapantes, Beautilleux était là, c’est Edith qui lui ouvre, il n’a évidemment que d’yeux que pour le décolleté plongeant de la belle mature.

 

– Alors, expliquez-moi ce que vous voulez ?

 

– C’est juste une attraction foraine, ça n’a aucune prétention, mais faudrait que ça en jette, Je vous ai fait un petit schéma avec les cadrans, tout ça… Il me faudrait aussi un machin qui transforme ma voix, il me faudrait une voix caverneuse, une voix d’outre-tombe, en quelques sorte, c’est possible ça ?

– Oui, c’est possible, ça s’appelle un modificateur vocal, mais la finalité de votre attraction…

– Peu importe, mais disons que je vais faire apparaître un fantôme avec un projecteur holographique…

– Oh, mais c’est super génial votre truc !

 

Beautilleux est ravi de susciter de l’intérêt auprès de son interlocuteur, mais ne peut s’empêcher de bander en regardant le décolleté d’Edith.

 

« A quoi elle joue, celle-ci ? »

 

– Mais les gens vont s’apercevoir que c’est bidon !

– A la fête foraine tout est bidon, c’est un jeu !

– Je ne voudrais pas me mêler de ce qui me regarde pas mais vous aller faire l’entrée à combien ?

– Entre 5 et 10 euros je suppose ! Improvise Beautilleux .

– Donc si vous faites entrer, on va dire 20 personnes par séance, ça vous fait 200 euros ?

– Oui.

– Et combien de séances par jour ?

– Disons dix.

– Donc 2000 par jour ! C’est considérable !

 

Voilà un calcul que Beautilleux n’avait jamais fait. Mais pourquoi pas ? Se dit-il. Voilà qui est moins risqué que d’aller escroquer des veuves. Encore faudrait-il qu’il se fasse accepter par le milieu très fermé des forains. Une autre paire de manches !

 

– La commande vous intéresse ou pas ?

– A priori oui. Mais accordez-moi un petit délai de réflexion

– Bien sûr

– Vous regardez ma femme. Elle vous plaît. ?

– Vous allez m’embarrasser…

 

Beautilleux ne sait plus où se foutre.

 

– Ma femme est un peu exhibitionniste, voyez-vous et moi ça ne me dérange pas. N’est-ce pas Edith ?

 

Celle-ci ne comprenant pas trop à quel jeu joue son mari, ne répond pas et devient rouge comme une tomate.

 

– Vous voudriez peut-être voir ses seins ? Edith, montre un peu tes seins au monsieur !

– Non, mais, ça va pas non ?

– Juste un ?

 

Courroucée, Edith se lève…

 

– Je plaisantais, voyons.

– Ah bon, j’ai eu peur ! Dit-elle en se rasseyant.

 

N’empêche que Beautilleux est maintenant complètement déstabilisé.

 

– Dites-moi, cher monsieur, vous avez toujours travaillé dans le milieu forain ?

– Oui comme ça, des bricoles.

– Moi ce que j’aimais bien, c’était le strip-tease forain, c’était sympa et en plus on pouvait se brancher les filles pour un rendez-vous, les prix étaient raisonnables, ça existe encore ?

– Euh, pratiquement plus, ce n’est pas si rentable que ça, il faut payer les filles, les surveiller… vous comprenez ? Alors qu’avec mon cadran bidon, il y a juste un investissement de départ et après c’est tout bénef !

– Vous devriez érotiser le concept, votre hologramme pourrait montrer une femme à poil, par exemple, ça attirera bien le chaland et vous pourriez monter le prix d’entrée à disons 15 euros. Vous vous rendez compte : ça vous ferait du 3 000 balles par jour !

– Non, non, je veux que ça reste un spectacle familial.

– Vous avez tort, vous pourriez gagner davantage, parce qu’entre-nous les fantômes, les gens s’en foutent.

– Non ils viennent à la fête foraine pour se donner des frissons. Et puis écoutez c’est mon choix.

– Bien sûr ! Et si on s’associait tous les deux ?

– Non, je préfère travailler en solo.

– Vous savez, il y a des types d’associations qui ne sont pas contraignantes, et comme ça je pourrais vous faire tous les réglages au fur et à mesure de vos besoins et puis il y aurait un plus…

– Un plus ?

– Ben oui, ma femme serait à mes côtés, elle est agréable à regarder, non ?

 

« ‘Il commence à me les gonfler, ce mec ! Ce doit être un gros vicelard. »

 

– Euh, j’étais juste venu pour un devis…

– Hum, refaite-moi voir votre papelard, voyons une semaine de travail…

– Une semaine ?

– Faut bien ça ! Je n’ai personne à mettre dessus je vais donc le faire moi moi-même, mais je ne dispose pas de trop de temps.

– Et vous me demanderiez combien ?

– Voyons, vous allez gagner environ 2 000 balles par jour, donc on va dire 20 000 !

– D’accord.

– Je vous compte la TVA ou pas ?

– A votre convenance.

– Vous me règlerez comment ?

– Par chèque ?

– Chèque de banque alors et à l’ordre de Madame Framboisert pour que ça ne passe pas dans la comptabilité. Et un acompte de 10% à la commande.

– Pas de problème. Répondit Beautilleux qui avait encore la maquette du faux chèque sur son ordinateur. Quant au chèque d’acompte il lui demanderait de ne pas l’encaisser et de le considérer comme une caution. Trop facile tout ça !

 

« C’est dingue ! Le mec ne discute même pas, il n’a aucune idée des prix, ses bricolages ça ne coute même pas 200 balles ! »

 

– J’étudie un peu tout ça mais vous aurez une réponse définitive après-demain, mais bon il y a neuf chances sur dix pour qu’on fasse affaire.

– O.K. !

– Réfléchissez quand même à mes propositions : l’hologramme érotique, et la possibilité d’une association.

– Au revoir, j’attends votre coup de fil, au revoir madame !

– Edith, fait un petit bisou à monsieur, voyons !

 

Le bisou est pourtant extrêmement chaste, sans les lèvres, mais il en est tout chose, Beautilleux !

 

Mardi 19 avril

 

Le professeur Martinov a apporté une bonne bouteille, Beatrice a apporté des fleurs, Edith s’est habillée d’un petit haut en voile noir quasi transparent et sans soutien-gorge en dessous, elle porte une petite jupe en vinyle « au ras de la moule » comme disait Frédéric Dard.

 

Ça va donc être chaud comme vous vous en doutez bien, mais avant les galipettes ils conviennent de parler ensemble de l’affaire Picoche alias Beautilleux alias Leloup.

 

– J’ai réussi à le prendre en photo pendant qu’il reluquait les nichons d’Edith.

– Comment t’as fait, je ne me sois aperçue de rien ?

– Parce que je suis très fort ! Voilà la photo, c’est lui ?

– Tout à fait !

– T’as appris quoi ?

– Je vais te dire mais ce serait mieux que tu me racontes d’abord toute l’histoire.

 

Martinov s’exécuta, quand il le voulait le professeur se révélait un excellent conteur capable de scotcher son auditoire.

 

– Et bien quelle salade ! Et tu comptes faire quoi maintenant ?

– Ce n’est plus trop mon problème mais je vais prévenir madame Descloseaux. Je peux lui donner tes coordonnées si elle a besoin de toi ?

– Bien sûr, elle est comment cette dame ?

– Une belle mature, pas farouche. Et sinon tu as appris quoi ?

– Pas grand-chose d’intéressant ce mec ment comme il respire, quand je lui ai demandé pourquoi il ne voulait pas faire dans l’érotisme, il m’a sorti qu’il voulait faire dans le familial ! Je lui ai expliqué qu’il allait gagner moins il s’en tape mais il est prêt à me lâcher 20 000 balles sans discuter, ça aucun sens ! En fait son truc je ne crois pas que ce soit une attraction foraine !

– Et d’après toi ?

– Un hologramme qui joue au fantôme, un cadran à la con pour faire style, ça sent l’arnaque a la petite vieille, !

– Ok je préviens Mathilde.

– Mathilde ?

– Madame Descloseaux.

– Je lui fais son bricolage ou pas ?

– Je te dirais, j’irais voir la dame demain

– Parce que si je le fais je vais être marron pour le paiement

– T’inquiète pas pour ça j’en fais mon affaire, tu voudrais combien ?

– 200 balles

– Quand je pense que tu as demandé 20 000 balles à l’autre guignol, t’es vraiment un enfoiré !

– Hi Hi ! Quel langage, Martinov. Bien, plus de question ? On se boit un petit apéro ? Après détente et pour finir un bon gigot, il ne brulera pas on l’a mais en cuisson lente, ça vous va comme programme ?

 

L’apéro est bu rapidement, sur la table, à côté des inévitables cacahuètes grillées, les Framboisert avaient disposé une soucoupe avec des capotes et du gel intime et à côté un gode-ceinture et un petit martinet.

 

Tout le monde se connaît bien, on sait pourquoi on est là, donc pas de préambule, ni de mise en scène… Béatrice et Edith se roule un patin en se tripotant, tandis que ces messieurs se débarrassent de leur vêtements.

 

Martinov et Romain sont debout l’un devant l’autre, spontanément chacun attrape les tétons de son vis-à-vis, les serre et les tortille. L’effet sur les bites est immédiat, ça bande très dur.

 

Le professeur se baisse et gobe la bite de Romain.

 

– Regarde-moi ses deux pédés ! Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ça t’excite, hein ? Répond Béa.

– Tu m’étonnes ! Ça faisait un petit moment que je ne les avais pas vu se faire des trucs ensembles, ces deux-là !.

 

Les deux femmes se déshabillent à leur tour, puis Edith vient narguer Martinov :

 

– Elle est bonne, la bite de mon mari, hein ?

– Mmm ! Répond le professeur qui ne sait pas parler la bouche pleine.

– Et après il va te la foutre dans le cul !

– Mmm !

 

Béatrice, elle, ne dit rien trop occupée à lécher les jolis seins d’Edith Framboisert.

 

– Oh, mais qu’est-ce que fais, toi ! Grosse coquine !

– Je te lèche les nichons, tu n’avais pas remarqué ?

– Si mais ça fait trois heures que tu me lèches le droit, le gauche va être jaloux.

– On y va, on y va ! Et après c’est ta chatte que je vais lécher.

– Et mon trou du cul…

– Bien sûr !

– Allez viens sur le canap’, je suis trop excité.

 

Et Edith s’y affale, assise sur le bord et les cuisses relevées.

 

– Allez, viens dire bonjour à mon minou.

– Bonjour minou !

– Je voulais t’offrir mon pipi, mais j’ai pas pu me retenir, mais je me suis pas essuyée.

– Tant mieux !

– Maintenant que j’y pense, je ne me suis pas essuyé derrière non plus.

– Mais vous êtes dégoutante, chère madame ! Fait semblant de s’offusquer Béatrice.

– Que veux-tu, parfois j’oublie de faire des choses.!

– Et tu crois vraiment que je vais te le lécher.

– J’y compte bien ! Sinon c’est dix coups de martinet.

– Eh bien vas-y donne-moi du martinet, on verra bien si ça me fera changer d’avis.

– Mademoiselle est très joueuse, à ce que je vois !

– Très !

 

Edith s’empare du martinet et demande à Béa de se coucher sur le canapé, puis se met à fouetter.

 

– Qu’est-ce que c’est que cette vilaine fille qui ne veut pas nettoyer le trou du cul de sa copine ?

– Ouin !

– C’est ça, gueule !

 

Amusés par ce petit spectacle, Martinov et Romain ont interrompu leur petit dévêtissement pour jouer les voyeurs..

 

Au bout de dix coups, Edith s’arrête.

 

– Oh là là ! T’as tapé un peu fort, j’ai les fesses en feu !

– Fallait me le dire, ma bibiche, je n’avais pas l’intention de t’abîmer.

– C’est pas grave, et puis j’aime bien ça de temps en temps !

– Alors, tu vas me le lécher mon trou du cul, maintenant ?

– Mais certainement.

 

Le trou du cul d’Edith n’était pas si pollué que ça, cependant il ne sentait pas la rose non plus. Mais Béatrice n’en avait cure et léchait d’abondance lui humectant le trou de balle de sa salive

 

– Hum, qu’elle odeur ! ça sent l’andouillette !

– Comment ça, ça sent l’andouillette ? Tiens la prochaine fois que tu viendras j’achèterai une andouillette je te la fouterai dans le cul et après je te la ferais bouffer.

– Quelle imagination ! Bouge pas, je vais mettre un doigt.

 

Béatrice se mit alors à pilonner l’anus de la jolie brune à une cadence infernale à ce point que celle-ci ne tarda pas à jouir du cul en braillant comme une mouette…

 

Les deux hommes ont profité du spectacle en se branlant mutuellement mais en mode escargot.

 

– J’aimerais bien que tu m’encules ? Demande le professeur à Framboisert.

– Mais avec plaisir mon cher Martinov, mets-toi en position je vais te gâter.

 

Romain s’encapote et lubrifie le trou du cul du professeur d’une noix de gel. Une petite poussée, ça entre, une autre poussée, ça entre profondément.

 

– C’est bon ?

– J’adore ça ! Aaaah !

– Dis le que tu aimes te faire enculer ! Ça va exciter ces dames !

– Oui, j’aime me faire enculer ! J’aime avoir une bite dans le trou du cul.

– Et t’as pas honte ? Fait semblant de s’offusquer Edith.

– Ah, non pas du tout ! Aaah c’est trop bon, qu’est-ce que tu m’encules bien.

– Quels cochons !

– Toi la salope, je me passe de tes commentaires ! Lui répond son mari, par pure provocation.

– Dis donc gros pédé, tu m’as bien traité de salope ?

– Oui, pourquoi ?

– Je vais me venger !

 

Edith passe alors le martinet à Béatrice en lui demandant de cingler le postérieur de Romain, puis elle se débrouille pour se glisser sous Martinov afin de lui sucer la bite.

 

Voyez donc un peu le tableau : Martinov est sodomisé et sucé, tandis que les fesses de Romain rougissent à vue d’œil.

 

Tout cela finit par fatiguer notre enculeur qui fait signe à Béa d’arrêter de lui martyriser le cul, et il sort sa bite du cul du professeur sans avoir joui.

 

– Alors c’était bien ?

– Un petit goût de trop peu, mais c’était délicieux.

– J’ai envie de pisser, je peux me lâcher !

– Vas-y !

– On va aller dans la salle de bain, tu en veux aussi Beatrice.

– Bien sûr.

 

Notre trio s’installe dans la salle de bain, Béatrice et Martinov, côte à côté à genoux et bouche ouverte. Romain ouvre les vannes et vise alternativement les deux bouches. Béa se régale, Martinov est plus réservé, il a accepté le jeu un peu par politesse et pas mal sous l’effet de l’excitation, il l’a déjà fait, mais il préfère l’urine des femmes à celle des hommes. Quelle différence me direz-vous ? Aucune, c’est purement psychologique !

 

Ils reviennent dans le séjour. Edith saute au cou du professeur et lui attrape la bite de sa petite main agile.

 

– Alors, mon petit Martinov, maintenant que tu t’es bien fait enculer, tu vas pouvoir t’occuper un peu de moi ?

– Mais avec plaisir ! Humm qu’est-ce qu’il sont beaux tes seins !

– Ben caresse-les, qu’est-ce que tu attends ?

 

Il n’attendait rien, il pelote, il caresse, il bisouille, il lèche, il tète les bouts. Ça le rend fou.

 

Edith se don côté, sous prétexte de lui maintenir son excitation, lui tord ses tétons.

 

Et on ne sait trop comment mais les voilà tous les deux qui se retrouve en soixante-neuf sur le canapé, Edith avec la bite du professeur dans la bouche et ce dernier gamahuchant sa partenaire à grands coups de langue.

 

Béatrice redoutait un peu cette tournure, cette dernière est peu portée sur les hommes même si elle fait régulièrement des exceptions, Martinov en étant la principale, mais il se trouve que Romain Framboisert, sans qu’elle ne sache vraiment dire pourquoi ne l’attire pas du tout. Alors tant qu’il s’agit de partouze, ou de se contenter de tâter de la bite, pourquoi pas, mais faire des choses plus rapprochées comme par exemple l’embrasser sur la bouche, la gêne terriblement.

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Alors, elle prend les devants et réduit l’homme à l’état de bite sur pattes. Elle commence déjà par le sucer avant de lui demander de l’enculer !

 

Voilà qui est bizarre, me direz-vous, on refuse d’embrasser le partenaire, mais on accepte de se faire enculer ! Où est la logique ?

 

La logique, c’est que dans ces circonstances , la sodo n’est que du sexe et rien que du sexe. Et d’ailleurs pour recevoir la bite qui va lui ramoner le cul, c’est en levrette qu’elle se positionne. Ainsi elle ne verra pas le visage de son partenaire.

 

Une petite souris qui passerait par-là aurait donc vu à ce moment-là, Romain enculer Béatrice et Martinov faire subir le même sort à Edith. Le paradis des enculés, aurait dit notre petite souris..

 

Edith a demandé au professeur de ne pas jouir dans son cul.

 

– Ton sperme je le veux dans ma bouche.

 

Martinov tente de se maîtriser tandis qu’Edith commence à gémir sous les coups de butoir de son adversaire, elle finit par jouir du cul assez bruyamment comme elle en l’habitude. Martinov décule, retire prestement la capote et se branle devant le visage de la belle mature brune, sa bouche ouvert en avale un peu, le reste atterrit sur le nez et le menton, elle récupère tout ça avec ses doigts qu’elle suce vicieusement. Puis les deux amants s’embrassent tendrement.

 

Voilà une conclusion qui donne des idées à Romain.

 

– On fait pareil ?

– Non, non, je veux te sentir jouir dans mon cul !

– Tu me nettoieras la bite, après ?

– Ça si tu veux !

 

On ne peut pas non plus tout refuser…

 

Romain a beau ne pas être le genre d’homme de Béatrice, n’empêche qu’il encule bien, vous me direz, ça n’a rien à voir, je sais bien. Et il parvient à faire jouir Beatrice.

 

Encore quelques coups de piston et il décharge et se décapote. Notre petite chimiste n’a plus qu’à effectuer le petit nettoyage de bite qu’elle avait promis à son partenaire.

 

Tout le monde est exténué, on boit un coup, les fumeurs fument, on hésite à se rhabiller.

 

Edith propose de passer à table, le gigot étant maintenant cuit comme il convient.

 

– J’aurais bien aimé qu’on m’encule, moi ! Proteste Romain.

– Ne t’inquiète pas, après le repas, je vais te faire ça bien ! Lui répond le professeur.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 24 juillet 2021 6 24 /07 /Juil /2021 15:22

Martinov 22 – Univers parallèles – 10 – Martinov et ces dames par Maud-Anne Amaro

StampBea

 

Samedi 2 avril

 

Le lendemain, Mathilde se rendit chez le libraire ésotérique qui avait publié l’opuscule de Beautilleux sur les univers parallèles.

 

– Ah ! Ça fait longtemps que je ne vous avais pas vu, j’ai pas mal de courrier.

– Les ventes marchent bien, alors ?

– Oui pas mal, surtout par Internet !

– Il devrait peut-être en écrire un autre ?

– Pourquoi pas, mais sur un autre sujet, alors, parce que pour les univers parallèles, à mon avis, il a fait le tour de la question !

– Vous auriez une suggestion ?

– Pourquoi pas les fantômes, un petit bouquin dans le même esprit que le précèdent et maintenant que l’auteur a acquis une certaine notoriété…

– Je vais essayer de lui en parler, mais il ne m’écoutera pas, il est assez misogyne, voyez-vous ! Par contre si vous, vous lui téléphoniez…

– Je vais le faire !

 

Beautilleux ne se sent plus pisser, les nouvelles sont bonnes même si les rentrées d’argent consécutives aux droits d’auteurs sont longues à venir. Il accepte évidemment la proposition du libraire.

 

Il consulte à la bibliothèque nationale ce qui s’est déjà écrit sur le sujet, il est stupéfait par l’accumulation de stupidités que l’on peut y lire. Mais il comprend la méthode généralement employée consistant à noyer le lecteur avec une profusion de termes abscons, ce qui fait que celui-ci va vite renoncer à l’usage d’un dictionnaire pour gober sans comprendre. Il note aussi quelques titres afin de les reporter en références. Les références et les notes de bas de pages, ça fait toujours sérieux même quand elles renvoient à des absurdités.

 

Puis il se met à écrire :

 

« Le cerveau physique se détruit à la mort de l’individu, mais son contenu s’échappe en conservant sa cohérence et constitue alors un plasma holographique. L’ectoplasme ainsi constitué peut voir, entendre, sentir, mais ne peux parler. Il peut prendre une forme proto-humaine, mais la plupart du temps, il reste flou, voire invisible. On ignore si la situation des fantômes est pérenne ou non. A priori l’ectoplasme ne peut rester physiquement stable indéfiniment. On ignore pourquoi certains fantômes hantent les lieux qu’ils ont fréquentés. En fait beaucoup de questions restent sans réponse. Sans que l’on puisse l’expliquer, un ectoplasme peut communiquer avec le monde des vivants soit en utilisant la télékinésie soit par l’intermédiaire d’un médium »

 

« Voilà un joli commencement ! »

 

Beautilleux travailla tard la nuit, restant éveillé à coup de café, mais finit par s’endormir sur sa table au petit matin.

 

Mardi 5 avril

 

Bref, trois jours après, le manuscrit du nouvel opuscule était fin prêt. Comme la fois précédente, le libraire proposa quelques correctifs que Beautilleux accepta sans sourcilier.

 

Vendredi 8 avril

On imprima, on fit un peu de pub pour la conférence de lancement, tout allait bien.

 

Beatrice avait rendez-vous en soirée avec Brigitte Silverberg, son amie détective, dans un restaurant de fruits de mer parisien. Les deux femmes sont heureuses de se retrouver et bavardent comme des pies.

 

– Tu sais ce qui va t’arriver tout à l’heure ?

– Oh, maman, j’ai peur ! S’amuse Bea.

– Au fait, tu en es où avec ton mauvais payeur ?

– Pour l’argent, on l’a récupéré, mais c’est toute une histoire…

 

Et Beatrice lui raconte tout ce qu’elle sait avec force détails.

 

– Eh bien quelle salade !

– Comme tu dis, donc Beautilleux s’apprête à donner une conférence pour lancer son nouveau bouquin débile, je vais y aller avec Martinov, Inès et madame Descloseaux. Le but de l’opération est de lui casser sa baraque en l’accusant d’escroquerie devant tout le monde !

– Ça risque d’être amusant, je peux venir ?

– Bien sûr, plus on est de fous… Tu pourrais même intervenir en premier, ce serait génial puisque personne te connaît.

– Comment ça ?

– Je vais t’expliquer…

 

Et quand le repas fut terminé…

 

– Tu viens chez moi, boire le dernier verre ?

– Je me méfie de tes « derniers verres ».

– Tu ne veux pas venir ? tu ne veux pas jouer à être ma petite esclave que je vais punir bien comme il faut !

– Oh ! Si !

 

Arrivées chez elle, elles boivent tranquillement le fameux dernier verre qui ne fut pas alcoolisé, les deux amies ayant déjà sifflé une bouteille de bon pinard au restaurant.

 

– J’ai envie d’être très méchante aujourd’hui ! Annonça Brigitte.

– Ce n’est pas un problème !

– Evidemment si tu en as marre, tu arrêtes.

– J’espère bien.

– Alors, on se met à poil !

 

Après qu’elles se furent déshabillées complètement, Brigitte annonça à sa victime consentante qu’elle allait lui attacher les mains.

 

– Non, tu ne m’attaches pas !

– Tu n’as pas confiance ?

– La question n’est pas là, personne n’est à l’abri d’un coup de folie, alors tu me fais ce que tu veux, mais tu ne m’attaches pas.

– Je vais faire des liens lâches que tu pourras enlever facilement, d’accord ?

– Bien lâches, alors ?

 

Effectivement l’attachement fut plus symbolique et fun qu’autre chose.

 

Brigitte s’assoit dans le fond du canapé et relève ses jolies jambes.

 

– Embrasse-moi un peu les nichons et après tu vas me lécher la chatte.

 

Pour l’instant ça n’avait donc rien de méchant, Béatrice se régala des tétons turgescents de la belle détective privée avant de descendre lui lécher la minouche.

 

– Lèche moi bien, sale gouine ! Gougnotte dépravée !

 

Béatrice ne peut s’empêcher de rire.

 

– Et ça te fais rire, grosse pouffe, tu vas voir ce qui va t’arriver ! Continue de lécher, je ne veux plus t’entendre, ou plutôt non, attend un peu…

 

Brigitte prend les cheveux de sa soumise de façon à rapprocher son visage du sien.

 

– Ouvre la bouche !

 

Martinov22J1La brune lui crache dedans plusieurs fois de suite. Béa avale sans broncher.

 

– T’as pas honte de te faire cracher dessus ?

– Non !

– Alors tiens !

 

La gifle n’est pas très forte, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse. Une seconde suit dans la foulée.

 

– Allez, lèche !

 

Et c’est qu’elle lèche bien Béatrice, elle aime ça, et elle se régale de cette chatte dégoulinante de mouille. Brigitte sens monter son plaisir et se tortille comme un asticot.

 

Béa croit alors que sa partenaire va s’abandonner au plaisir, mais non, elle préfère le retarder, elle se retourne et lui présente son cul.

 

– Lèche moi mon trou à merde. Tu sais tout à l’heure au restau quand j’ai été aux toilettes, j’ai été chier et je ne me suis pas essuyé. Je l’ai fait exprès, ça sent la merde, n’est-ce pas ?

 

Brigitte bluffait probablement, mais fun pour fun la jeune chimiste alla dans son sens.

 

– J’aime l’odeur de ton cul !

– Vicieuse, trainée ! Hum tu me lèches bien mon trou du cul, reviens sur ma chatte maintenant, je vais partir.

 

Pratique assez peu hygiénique, diront d’aucuns, mais il suffit de bien se nettoyer après…

 

Brigitte ne se retourna pas et resta cul contre langue, Béa n’eut que quelques coups de langues à donner sur le clitoris de la brune pour que celle-ci jouisse dans un hurlement de damnée.

 

Pour la remercier de lui avoir donné du plaisir la détective ne trouve rien de mieux à faire que de cracher de nouveau au visage de sa soumise et de la gifler. Béatrice qui a l’entrecuisse inondée, se garde bien d’élever la moindre protestation.

 

Brigitte abandonne sa victime quelques instants et revient harnaché d’un gode ceinture de taille respectable

 

– Suce ! suce ma grosse bite !

 

Béa ne voit pas trop l’intérêt de la chose, mais puisque ça a l’air de faire plaisir à sa tourmenteuse qui pendant ce temps-là s’amuse à lui gifler les seins.

 

– Et maintenant je t’encule !

 

Voilà qui convient mieux à notre blondinette qui offre ses fesses à sa dominatrice. La chose entre plutôt facilement et ç’est parti pour un pilonnage en règle.

 

– Ça te plait d’avoir une bite dans ton trou du cul de salope !

– Oui. Aaaaah…

– C’est pas vrai que tu vas jouir déjà !

– Aaaaah !

– Non mais c’est pas vrai, quelle vicieuse !

 

Brigitte se dégage de l’anus de Béatrice ressortant le gode pollué de matière.

 

– Lèche !

 

Béatrice qui s’est libéré de ses liens,  hésite à la façon d’un plongeur qui retarde le moment qu’il sait inéluctable.

 

– Ben alors ? Fais mine de s’impatienter Brigitte.

– On y va !

 

Béatrice respire un grand coup, puis entreprend de prendre le gode dans sa bouche et de le lécher consciencieusement.

 

– Fais-moi gouter ! Lui dit Brigitte après un instant.

 

Et les voilà en train de lécher de conserve le gode merdeux.

 

Après quoi, elles s’embrassèrent… Un baiser brun comme disent les spécialistes, mais néanmoins passionné.

 

– Et si je disais à Monsieur René de monter avec son chien ?

– Hum , ça me paraît une très bonne idée !

 

Cinq minutes plus tard, René était là revêtu d’une simple robe de chambre, accompagné de son chien Husky.

 

– Viens mon toutou, viens dire bonjour aux belles dames.

 

Le chien déboule en remuant la queue, Brigitte et Béa le couvrent de caresses, des caresses bien sages, du moins pour le moment.

 

– Je fais quoi, moi ? Demande René.

– Rien, tu t’assois, tu regardes et tu as la permission de te branler.

 

Les caresses des deux femmes deviennent osées, le chien se couche sur le côté, sa bite est sortie de son fourreau et passe d’une bouche à l’autre.

 

Les deux coquines s’en lèchent les babines.

 

– Tu vas te faire grimper maintenant ? demande la détective.

– Je suis prête.

 

Brigitte chausse les pattes de devant du chien avec des gants de toilettes, Béatrice à quatre pattes attend l’assaut, Le chien lui grimpe dessus, sa bite cherche l’ouverture, la trouve et se met à s’agiter avec une frénésie incroyable, le pénis semble grossir, la jeune chimiste enchaine orgasme sur orgasme tandis que sa partenaire vient en-dessous d’elle lui lécher les tétons. Le chien s’immobilise, semble collé pendant plusieurs minutes avant de se retirer avec un bruit incongru.

 

Béa repu et satisfaite tombe dans les bras de sa complice, tandis que sur sa chaise René finit de se masturber.

 

– J’ai soif, donne-moi à boire !

 

Lundi 11 avril

 

La salle de conférence est un peu moins remplie que la dernière fois, mais cela n’émeut guère notre escroc qui ne s’aperçoit pas de la présence dans la salle de Mathilde Descloseaux et d’Inès Kermaillard, mais aussi de Béatrice. Ces dames perruquées et chaussées de lunettes noires sont méconnaissables. Quant à Brigitte Silverberg, il ne la connaissait pas.

 

Ce n’est pas Beautilleux qui parla le premier mais le libraire qui débita un court spitch vantant les mérites de l’auteur et de son premier opuscule.

 

– Un texte remarquable, sortant des sentiers battus en ouvrant des perspectives insoupçonnées… Conclut-il doctement.

– Et ça ne vous dérange pas d’être le complice d’un escroc ! Intervient Brigitte en coupant l’orateur.

 

Mouvements divers et réprobateurs dans la salle, qui réagit négativement aux propos de la perturbatrice. Normal, les gens n’aiment pas qu’on vienne bousculer leurs certitudes.

 

– On se calme, on se calme ! Commence le libraire.

 

Mais Inès intervient à son tour :

 

– La dame a raison, cet individu m’a escroqué de 15 000 euros.

– Moi aussi, renchérit Béatrice, ses univers parallèles sont des bidonnages pour escroquer les gens !

 

Brouhaha indescriptible !

 

– Je ne sais pas si c’est un escroc, mais c’est un incapable, intervient une dame que l’on n’attendait pas, je lui ai demandé de m’envoyer dans un univers parallèle dans lequel mon mari serait toujours vivant, il n’a pas su faire, c’est bizarre quand même !

 

On ne s’entend plus, on s’invective, Mathilde à son tour en rajoute une couche. Deux bonnes femmes en viennent pratiquement aux mains. Béatrice se marre.

 

– Messieurs dames s’il vous plaît ! S’égosille le libraire en tapant sur sa table avec le poing.

– Escroc, voleur, bandit !

– Ouh !

– Gauchiste !

 

Les noms d’oiseaux fusent de droite et de gauche.

 

– Manifestement, tente de dire le libraire, des éléments perturbateurs sont venus saboter la conférence ! Elle sera donc reportée à une date ultérieure.

 

Et il se lève pour quitter la salle !

 

– On ne fait pas la vente dédicace ? Lui demande naïvement Beautilleux !

– Non, on ne fait pas la vente dédicace !

 

Brigitte, Mathilde, Inès et Béatrice quittent la salle à leur tour heureuses du joyeux bordel qu’elles ont créé et sans s’occuper de l’ambiance délétère qu’elles laissent derrière elles !

 

Elles vont boire un verre ensemble, histoire de faire plus ample connaissance puisqu’elles ne se connaissent pas toutes réciproquement. Et pour faire bonne mesure, Mathilde invite tout ce petit monde à venir sabler le champagne le mercredi chez elle en fin d’après-midi et précise que le professeur Martinov sera évidemment le bienvenu.

 

– C’est quoi ce bordel ? Hurle le libraire dans les coulisses. Vous avez une explication ?

– C’est un coup monté ! Répond bêtement Beautilleux.

– Et votre secrétaire, elle joue à quoi ?

– Ma secrétaire ?

– Ben oui votre secrétaire ! Elle était bien là en train de vous invectiver avec les autres !

– Je ne comprends pas !

– Oui ben moi je comprends trop bien, je ne sais pas ce que vous avez foutu, mais je ne veux en aucun cas être mêlé à vos magouilles ! Je suis un honnête homme, moi !

– Y’a pas de magouilles ! Et mon bouquin alors ?

– Il se vendra sur Internet en province, à moins que je décide de foutre tous les exemplaires au pilon !

 

Et c’est ce qu’ordonna dans la foulée, le libraire et pour faire bonne mesure il en profita pour faire pilonner également le stock résiduel du premier opuscule.

 

Beautilleux erre dans les rues de Paris, en pleine confusion mentale, il ne sait plus quoi faire, n’a plus de projets.

 

Rentré chez lui il trouve dans son courrier électronique une sommation à payer émanant d’Inès Kermaillard !

 

 » Bof ! Un formulaire sans aucune valeur piqué sur Internet. Inutile de m’affoler, mais je fais quoi, je lui rends ce qui reste ? J’essaie de le jouer au poker ? J’investis dans un coup, mais il me faudrait une idée ? »

 

Mardi 12 avril

 

D’idée, il lui en vient une : modifier légèrement ses manuscrits, modifier les titres et les proposer à une autre librairie ésotérique, il y en a plusieurs dans Paris, et ces gens ne s’estiment guère entre eux, mais personne n’en veut comme si un invisible téléphone arabe avait été déclenché.

 

Mercredi 13 avril

 

Le lendemain, il décida de se rendre chez Mathilde, comme ça, sans plan précis, afin de faire exploser sa rancœur. Auparavant, il s’acheta un pistolet d’alarme histoire d’impressionner son monde.

 

C’est Fabienne, la soubrette qui lui ouvre :

 

– Je vais voir si Madame peut vous recevoir, c’est de la part ?

– Beautilleux, vous ne me reconnaissez pas ?

– Je suis myope, monsieur !

 

Quelques instants plus tard, elle revenait munie des instructions de sa patronne :

 

– Madame vient de sortir, elle sera là à 17 heures, mais j’ignore si elle consentira à vous recevoir !

– Allez-vous faire enculer !

– Avec plaisir, mais surement pas par vous !

– Conasse !

– Non, Fabienne, monsieur !

 

Il revint plus tard à l’heure indiquée

 

– Madame Descloseaux ne pourra probablement pas vous recevoir, nous avons du monde.

– Insistez, j’en ai pour une minute

 

« Tant mieux s’il y a du monde, je vais lui foutre la honte devant ses invités ! »

 

La soubrette revint l’informer qu’il pouvait entrer et que Madame pouvait lui accorder cinq minutes, pas une de plus.

 

Il entre et là il ne comprend plus rien, trois femmes et un homme sont installés dans des fauteuils en compagnie de Mathilde qui vient de se lever.

 

Mais sa surprise est encore plus grande quand il découvre que l’une des femmes est Inès, l’autre, Béatrice, il ne connaît pas Brigitte mais l’homme c’est le professeur Martinov.

 

– Qu’y a-t-il pour votre service, jeune homme ? Lui demande posément Mathilde.

– C’est dégueulasse ce que vous m’avez fait ! Eructe Beautilleux.

– Je croyais que tu étais venu me rendre mon fric ! Lui balance Inès.

– Vous n’aviez pas à me traiter de cette façon ! Répète-il, on aurait pu s’arranger autrement.

– Ah, oui et comment ? Persifle Inès

– On aurait bien trouvé.

– On aurait rien trouvé du tout, si tu n’as rien d’autre à nous dire, débarrasse-nous le plancher et va chercher l’argent.

– C’est vous qui m’avez foutu dans la merde ! Hurle-t-il en pointant un doigt accusateur en direction de Mathilde, moi je voulais juste me faire un peu de sous en écrivant des bouquins…

– Des trucs de charlatans ! Le coupe Mathilde.

– Qu’est-ce que vous en savez, vous n’y connaissez rien.

– Ce que je sais c’est que tu m’as fait marron de 15 000 balles ! Réplique Inès

– Et alors, je vous les aurais rendus, mais vous ne m’avez pas laissé de temps. Vous m’avez manipulé avec vos gros nichons et votre gros cul…

– D’abord, elle n’a pas un gros cul et si tu ne dégages pas de suite on va t’aider à trouver la sortie ! L’invective Mathilde

– Empêcher un écrivain de s’exprimer, c’est dégueulasse

– Les chèques falsifiés aussi, maintenant dehors ! Fabienne raccompagne moi ce clown à la porte.

– Je connais le chemin, mais vous n’avez pas fini d’entendre parler de moi !

– Tant mieux, ça nous distraira.

 

Nous avons là dans le salon de Mathilde, quatre femmes chaudes de la culotte, ainsi que le professeur Martinov qui n’est pas avare de croustilleries, sans oublier Fabienne. Il va donc probablement se passer quelque chose.

 

Béatrice, bien coquine a soufflé dans l’oreille de Brigitte que les deux matures n’étaient guère farouches. Tout est prêt pour une petite partie, il ne manque que l’élément déclencheur.

 

Pour l’instant on boit, on rigole, Brigitte tient la vedette en racontant quelques-unes des plus pittoresques enquêtes de détective privée. Mais pour l’instant personne ne parle de sexe.

 

C’est Mathilde qui tente un ballon d’essai.

 

– Fabienne ! Va chercher une autre bouteille !

 

En même temps, elle lui souffle quelque chose à l’oreille. Fabienne se marre.

 

La soubrette revient et remplit les coupes.

 

– Mais Fabienne, ôte-moi d’un doute, tu n’as pas mis de culotte, n’est-ce pas ?

– Non, madame, je n’ai pas mis de culotte.

– Et tu n’as pas honte ?

– Non madame, j’aime bien avoir la chatte au frais.

 

Tout le monde s’esclaffe.

 

– Non mais quel culot ! Fais-nous voir.

 

Et voilà la Fabienne qui tourbillonne, en soulevant sa jupette montrant ainsi cul et chatte à toute l’assistance.

 

Il faut juste maintenant que quelqu’un suive et la partie pourra démarrer.

 

C’est Brigitte qui s’y colle !

 

– Quelles belles fesses, on peut toucher ?

– Bien sûr, à moins que Fabienne s’en aille en courant.

 

Mais Fabienne se laisse peloter. Du coup Béatrice en fait autant.

 

Inès qui est assise à côté de Brigitte lui fait un sourire complice fort explicite

 

– Ça devient chaud ! Dit-elle.

– Hé !

– Vous avez beaucoup de charme !

– Mais vous aussi ma chère !

 

Les deux visages se rapprochent. Et hop les voilà qui se roulent une pelle, tandis que les mains s’égarent et caressent.

 

– Mais elles sont déchainées ! Dit Béatrice à Mathilde en lui faisant les yeux doux.

– Ça fait envie, n’est-ce pas ?

– Bisous ?

 

Et voilà un second couple de formé.

Martinov22j2

Et Martinov, il fait banquette ? Mais non, c’est Fabienne qui vient le voir, s’assoit sur lui par devant et entame une chevauchée de façon à ce que sa chatte touche la braguette de l’homme, une sorte de laps dance en quelques sorte. Et comme elle connait les petites ficelles de cette pratique, elle ouvre la chemise du professeur, trouve ses tétons et les serre dans ses petits doigts délicats. Il bande Martinov, il bande même très fort.

 

Spontanément, Inès s’est dégagé un nichon qu’elle offre à la langue agile de Brigitte.

 

– Vous avez une superbe poitrine !

 

– Lèche-moi, c’est bon !

– Comme ça ?

– Oh oui ! Répond-elle en dégageant l’autre sein, je peux être très salope, parfois.

– Ça tombe bien, moi aussi, je vais te les bouffer tes seins.

– Tu me boufferais la chatte aussi ?

– Bien sûr.

 

Et les voilà qui se dirigent vers le canapé, ça tombe bien, c’est un grand canapé d’angle avec de la place pour tout le monde.

 

On a droit alors à une scène hallucinante. Fabienne qui avait à présent la bite de Martinov dans la bouche est dérangée par sa patronne qui malgré le fait qu’elle se fasse lécher les nénés par Béatrice a néanmoins les yeux partout :

 

– Fabienne, va chercher de grandes serviettes et va recouvrir le canapé.

 

C’est beau le sens pratique !

 

Ce pauvre professeur se retrouve avec la bite à l’air sans savoir s’il y a aura une suite ou pas…

 

Mais Fabienne revient vite.

 

– Vous permettez mesdames, je pose ça en vitesse et je vous laisse vous amuser, moi je retourne sucer la bite de ce gentil monsieur.

 

Le professeur a à peine débandé pendant cette interruption, Fabienne peut donc reprendre sa pipe.

 

– Soulève un peu tes fesses ! Lui dit la soubrette qui avait le tutoiement facile.

 

Martinov ne répond pas mais marque son étonnement, alors la fille explique :

 

– Tu ne veux pas que je t’enfonce un doigt dans le cul ?

– Ah ? Si, si, j’aime bien !

 

Fabienne demande alors au professeur de se changer de position « parce que c’est plus pratique », il se place donc à genoux sur le fauteuil, le visage tourné vers le dossier. Fabienne peut ainsi lui doigter le trou du cul plus facilement.

 

C’est qu’il aime ça notre vert professeur, d’ailleurs il ne tarde pas à émettre des grognements de plaisir.

 

– Et un gode tu aimes ?

– Oui !

– Alors, bouge pas, garde la position, je vais en chercher un !

– Il n’est pas trop gros quand même ?

– Mais non !

 

Sur le canapé, Ines a dégagé la poitrine de Brigitte et c’est à son tour de se régaler de ses beaux nichons. Puis prise de frénésie elles enlèvent tous leurs vêtements. Inès peut ainsi admirer le corps parfait de la belle détective.

 

– Whaouh ! S’écrie Inès.

 

Brigitte écarte ses cuisses, invitant sa partenaire à venir s’occuper de son intimité. Celle-ci évidemment ne se dérobe pas, elle doigte, elle lèche et se régale, et tandis que se doigts ont accrochés les tétons et les serre fortement, La jolie détective finit par jouir en libérant un geyser de mouille.

 

– Occupe-toi de moi ! Dit ensuite Inès à sa complice I

 

De son côté, Mathilde s’est employée à dépoitrailler Béatrice.

 

– Quelle belle poitrine !

– On fait ce qu’on peut.

– Je peux gouter ?

– Bien sûr.

 

Mathilde s’éloigne de quelques pas et s’en va chercher un verre de champagne entamé sur la table, ce n’est pas le sien mais ça n’a aucune importance. Revenue près de Béa, elle fait couler un peu de liquide sur son sein avant de le laper.

 

– On t’avais déjà fait ça ?

– Oui, mais avec une autre sorte de champagne.

 

Béa se demande si sa partenaire comprend l’allusion, celle-ci ne répond pas et se contente de lécher ce sein au goût particulier.

 

Puis Mathilde se déshabille entièrement, elle prend la main de Béatrice, celle-ci pense alors qu’elle va la mener jusqu’au canapé où continue de s’ébattre Inès et Brigitte.(nous y reviendrons), mais non, elle la fait sortir de la pièce et l’entraine jusqu’aux toilettes.

 

– Je vais faire pipi ! Dit simplement Mathilde.

 

Béatrice vient de comprendre la manœuvre. Peu certaine du sens de son allusion sur « l’autre champagne », la mature choisit donc de la tester.

 

– Et tu voudrais que je lèche après ? C’est ça le jeu ?

– C’est comme tu veux !

– Alors je veux bien.!

– Si tu veux je vais pisser debout, tu verras mieux !

– Bonne idée.

 

Mathilde retiens son souffle et ouvre de suite les vannes. Et c’est qu’elle avait une grosse envie la mature ! Un véritable torrent doré qui dégringole dans la cuvette avec un bruit de cascade.

 

Béatrice se dit que provocation pour provocation, autant y aller de bon cœur, et elle tend la main vers le jet se laissant asperger les doigts, elle les porte ensuite à la bouche en regardant vicieusement sa compagne de débauche.

 

– Salope ! Commente simplement Mathilde avec un grand sourire.

– Eh oui !

– Tu fais ça souvent ?

– C’est mon petit péché mignon, j’adore ça… Alors quand j’ai l’occasion… Et toi ?

– Moi, j’ai Fabienne sous la main, sinon, c’est plutôt rare, je ne fais jamais le premier pas, je ne sais pas pourquoi, d’ailleurs.

– Et avec Fabienne, tu donnes ou tu reçois ?

– Les deux, il m’arrive parfois d’aller plus loin encore.

– Tu bois ?

– Oui, mais ce n’est pas de ça dont je voulais parler.

– Caca ?

– Ça te choque ?

– Pas du tout, je ne suis pas accro à ce genre de choses, mais dans des moments de grande excitation, je me suis déjà laisser aller.

– Parfois Fabienne me fait un joli boudin bien moulé, j’adore la regarder et après je lui lèche le cul. Je suis vraiment une vieille salope dépravée, mais je m’en fous, je ne fais de mal à personne. Bon assez discuté, tu devais me nettoyer la chatte me semble-t-il.

 

Mathilde s’assoit sur la cuvette, Béatrice vient entre ses cuisses et lape les gouttes d’urine résiduelles, et quand il n’y en a plus, elle ne s’arrête évidemment pas et lèche avidement la chatte de la belle mature qui excitée comme une puce comme elle était, part au plafond au bout d’à peine trois minutes.

 

Les deux femmes se remettent debout, se caressent et s’embrassent, un baiser au goût un peu spécial…

 

– Tu embrasses trop bien ! Lui dit Mathilde

– Mais toi aussi, ta salive est délicieuse

– Alors ouvre la bouche, je vais t’en redonner

 

Béatrice cru alors que la mature allait de nouveau l’embrasser, mais elle avait une autre idée en tête

 

– Non ne bouge pas, on va faire quelque chose de très cochon…

 

Béatrice en voyant sa partenaire remplir sa bouche de salive comprit ce qu’elle avait l’intention de faire.

 

– Je veux bien, mais si me le fait je te le fais aussi !

– Pas de problème, vas-y crache-moi dessus ! Répond Mathilde en ouvrant une large bouche.

 

Elles jouèrent à ce petit jeu un petit moment ce qui finit par les faire éclater de rire.

 

– T’as pas envie de pipi toi ?

– Pas trop, mais je peux essayer.

– Directement dans ma bouche ?

– Ça peut se faire !

 

Béatrice reste debout et se concentre, mais ça a du mal à venir, Mathilde se met en dessous, la bouche ouverte en position d’attente.

 

– Désolée, mais on pourra réessayer tout à l’heure…

– Attends je vais t’aider ! Dit Mathilde en tirant une chasse.

 

Et c’est magique, le bruit déclencheur débloque les sphincters du pipi, et la mature avale la petite giclette d’urine que lui offre Béa.

 

– Il est délicieux, ça va être à mon tour de te faire jouir, mais rien ne presse, viens on retourne avec les autres… Mais avant dis-moi une chose, Ce Monsieur Martinov avec qui tu travailles, est-ce qu’il apprécie aussi ce genre de jeux.

– Mais certainement, ma chère !

 

Les autres ? Ils sont toujours à la fête. Le professeur Martinov est en train de faire goder le cul par une Fabienne complètement déchainée, alors que sur le canapé Brigitte est en train de faire feuille de rose sur le cul bronzé aux U.V. d’Inès.

 

– Il est bon ton cul

– Normal c’est un cul de salope !

– J’aime lécher le cul des belles salopes !

 

Et bientôt la langue est remplacée par les petits doigts agiles de Brigitte. Oh, juste deux, qui pilonne avec une belle énergie l’anus de la femme aux cheveux d’argent, laquelle finit par jouir dans un spasme. Les deux femmes se redressent et s’embrassent.

 

Brigitte aperçoit le professeur se faire joyeusement engoder par Fabienne. Elle s’approche.

 

– Et ben dis donc, tu l’encules-bien !

– C’est que Monsieur à l’air d’apprécier. J’aime bien donner du plaisir aux gens !

– Tu es une brave fille ! Lui dit-elle après l’avoir embrassée voluptueusement, mais j’aimerais m’occuper un peu de ce monsieur.

– Comme il vous plaira. Répond la soubrette qui le gode à la main cherche une partenaire de libre.

 

Mathilde a délaissé Béatrice pour aller câliner Inès, mais notre chimiste de charme ne reste pas seule longtemps, Fabienne venant la solliciter tandis que Brigitte interpelle Martinov.

 

– Eh bien professeur, je crois que cette petite soubrette vous a gâté !

– Ma foi, c’était pas mal du tout.

– Il me semble bien que je n’ai jamais eu l’honneur de vous sucer la bite ?

– Si le cœur vous en dit, ne vous gênez pas !

– Et vous m’enculerez après ?

– Mais avec grand plaisir, ma chère.

– Je ne sais pas ce qui m’arrive en ce moment, je suis folle de mon cul.

– Ce sont de choses qui arrivent.

– Bon, voyons cette bite…

 

Brigitte suçait fort bien, elle adorait ça, tétant le gland, procédant pas des va-et-vient énergiques, puis quand elle sentit la goutte de liqueur séminale perler, elle s’arrêta.

 

– Je reviens tout de suite.

 

Elle alla farfouiller dans son sac à main, y trouve un préservatif, puis alluma une cigarette, en huma plusieurs bouffées avant de se mettre en levrette et d’offrir son cul aux assauts du professeur qui ne comprenait pas bien ce besoin qu’elle avait de cloper pendant la sodo.

 

En fait, Brigitte ne souhaitait pas que Martinov, parte trop vite d’où ce petit contre-temps tabagique..

 

Le professeur réussit à se maîtriser jusqu’à ce que Brigitte ait pris son plaisir, la chose faite il accéléra comme un dingue et jouit à son tour.

 

Sur le canapé, Mathilde et Inès sont en soixante-neuf et se lèchent la chatte et le trou du cul à qui mieux mieux. Tandis que Fabienne tripote avec énergie l’intimité de Béatrice.

 

Brigitte non encore rassasiée, vient rejoindre les deux matures, pour former un triangle infernal où on finit par ne plus savoir qui gémit, qui miaule, qui se pâme et qui jouit, dans une débauche de fesses et de belles poitrines. .

 

Moment calme, tout le monde s’est bien éclaté.

 

– Fabienne va nous ouvrir une autre bouteille ! Tu as vu ce que tu as provoqué en montrant ton cul à tout le monde ?

– Hi, hi !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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