Pr Martinov

Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:12

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 2 – Les filles s’amusent, Krypton galère par Maud-Anne Amaro

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Retrouvons la chronologie de notre récit au moment où les deux femmes se sont repassé les images de la télésurveillance du hangar et ont vu Krypton se faire refouler par le vigile.

Amélie revient avec du Champagne qu’elle débouche et verse dans deux coupes. Les deux femmes trinquent et s’embrassent.

– T’as les yeux qui pétillent ! Lui dit Olivia.
– C’est le Champagne !
– Et tes nichons est-ce qu’ils pétillent ,
– Les nichons, ça ne pétille pas.
– Pas si sûr, montre-les-moi !
– Tous les prétextes sont bons ! Commente Amélie en retirant son haut.
– Le soutif aussi !
– Ça vient, ça vient…

Et sans crier gare, Olivia attrape du bout de ses doigts les tétons de la jolie métisse et les tord fermement.

– Tu me fais mal !
– J’espère bien, chiennasse ! Tu es mon esclave et les esclaves, c’est fait pour souffrir.
– Tu n’exagères pas un peu, non ?
– Je n’exagère jamais, enlève-moi le reste, je veux te voir à poil.

Amélie obtempère et effectue une pirouette afin que sa complice puisse admirer ses jolies fesses.

– Je suppose que tu vas me cingler le cul ? Dit-elle.
– Tu verras bien ! Pour l’instant penche-toi et écarte tes fesses.

Olivia mouille ses doigts et en introduit deux à la fois dans l’anus de la métisse.

– Aaah, c’est bon !
– T’es une vraie salope, à chaque fois que tu as quelque chose dans le cul, tu miaules comme une chatte en chaleur.
– Et alors ? Tu ne fais pas pareil, toi ?
– Oui, mais moi j’ai le droit, je suis une maîtresse ! Toi tu n’es qu’une esclave ! Va me chercher le gode ceinture, j’ai envie de t’enculer !

Amélie sort de la pièce.

– Non pas comme ça, tu y vas à quatre pattes, et pendant que tu y es tu me rapportes une cravache et des pinces à nichons.
– C’est tout ?
– Pour le moment ! Dépêche-toi !

Pendant qu’Amélie s’absente, Olivia se déshabille et observe l’image que lui renvoie son miroir-psyché. Elle est amoureuse de son corps et de ses seins généreux dont elle agace les pointes.

– Ah, te voilà, toi ! Tu en mis du temps.
– Je trouvais plus la cravache !
– Bon debout ! La fête va commencer, passe-moi ce truc !

Olivia s’harnache avec le gode ceinture, lance un regard provocateur en direction de sa victime consentante, mais n’a pas l’intention de s’en servir de suite.

Martinov2402bElle se saisit des pinces à seins et les accroche sur les tétons de la métisse qui pousse à chaque fois un cri de douleur.

– Ça fait mal !
– Oui !
– Supporte !
– J’essaie !
– J’aurais dû mettre des poids !
– On aurait fait ça en bas, on avait tout le matériel à notre disposition ! Se gausse la soumise.
– Dis donc pétasse ! Je vais ce que je veux, où je veux !

Et Olivia assortit sa réponse d’une paire de gifles et de quelques crachats.

– Méchante !
– Et encore, tu n’es pas au bout de tes souffrances, j’ai trop envie de t’en faire baver aujourd’hui !

La domina prend les pinces entre ses doigts, les tire, les tourne, les serre. Amélie se tord de douleur et des larmes apparaissent au coin de ses yeux.

– C’est ça chiale, tu pisseras moins !

Toutefois, Olivia prend conscience qu’elle y a peut-être été un peu fort.

– Tu veux qu’on arrête ?
– Bien sûr que non !

Elle retire les pinces, provoquant une nouvelle fois des cris de douleur de la belle soumise. Olivia n’en a cure et serre maintenant les tétons avec ses doigts.

– Aïe !
– Ben oui, c’est de la domination, ce n’est pas des chatouilles !

Olivia avise la badine. Instinctivement Amélie se retourne.

– Je ne t’ai pas dit de te tourner, je te veux face à moi !

Et sans attendre davantage Olivia lui envoie un coup de badine en travers des seins.

– Aïe !
– Je peux te marquer ?
– Oui, marque-moi, je suis ta chienne.

Les coups pleuvent, bientôt le corps de la belle suppliciée s’orne de stries écarlates. Ni son ventre, ni ses cuisses, ni ses seins n’ont été épargnés.

– Tu vas te tourner, maintenant, tu ne crois pas que je vais te laisser avec le cul intact.

Et c’est maintenant au tour du dos et des fesses de subir le supplice de la cravache.

– Tu m’as fait mouiller, espèce de salope ! Penche-toi légèrement et ouvre bien ton cul de pétasse que je t’encule !
– J’aime quand tu me parles comme ça, Olivia !
– Mais c’est qu’elle se fouterait de moi, celle-ci.

La bite en plastique pénètre l’anus de la métisse, Olivia se met à pilonner, chaque coup de boutoir résonne dans son vagin. Elle sait qu’elle est capable de jouir de cette façon…

Et c’est d’ailleurs ce qui arrive ! La domina crie sa jouissance, elle s’arrête un moment, puis reprend jusqu’à ce qu’Amélie orgasme à son tour.

Elle se retire du cul de la soumise !

– Espèce de grande dégueulasse ! Tu as vu dans quel état tu as mis mon gode ?
– Hi ! Hi !
– Et ça te fais rire ! Viens le lécher maintenant, et que ce soit bien fait, je ne veux plus aucune trace de merde.

Ce n’était pas la première fois qu’elles jouaient cette scène, et Amélie s’y prêtait de bonne grâce.

– Et maintenant, couche-toi ! Ça m’a donné envie de pisser tout ça.

Amélie se coucha de tout son long sur le sol carrelé et ouvrit la bouche toute grande. Olivia s’accroupit et fit couler son urine.

Les deux femmes exténuées s’enlacèrent et s’embrassèrent avant d’aller faire une sieste dans le grand lit dans lequel elles avaient l’habitude de dormir toutes les deux.

Piérac

Ce Mattson semblait injoignable au téléphone. Krypton et son accompagnateur décidèrent en conséquence de se rendre sur place où les choses ne se passèrent pas très bien. L’homme n’était pas disponible et il fallut l’attendre une heure dans une antichambre inhospitalière…

– Je n’ai qu’un quart d’heure à vous consacrer, je vous écoute ! Prononça Mattson après avoir enfin fait entrer ses visiteurs.
– Renaud Piérac, premier fondé de pouvoir chez Kallgren-France… Annonce Krypton
– Enchanté, mais ça ne me dit pas l’objet de votre visite.
– J’ai vendu un hangar à un monsieur Chavinou qui vous l’a revendu…
– Et alors ? Le coupe le bonhomme ! Monsieur Chavinou a le droit de vendre ce qu’il veut à qui il veut et comme dans cette transaction vous n’êtes en rien concerné, je ne vois pas bien les raisons de votre visite.
– Sauf que j’avais demandé à Chavinou de me laisser le droit d’entrée…
– Contractuellement ?
– Non, un accord oral !
– Donc ça n’avait aucune valeur et ça en a encore moins maintenant puisque le contrat que nous avons signé avec Chavinou ne prévoyait rien de tel. Je ne peux rien pour vous, aurevoir messieurs.
– Je ne vois pourquoi vous êtes si agressif, nous pourrions parler calmement et trouver un accord. Tente Krypton.
– Un accord de quoi ? Nous n’avons pas conservé ce hangar, il n’a été acheté que pour être revendu.
– Vous m’obligeriez en m’indiquant le nom du nouveau propriétaire.
– Je ne vois pas pourquoi je vous fournirais ce genre d’information. Je vous confirme que l’entretien est terminé !
– Attendez…
– Veuillez sortir, messieurs, et sans faire de scandale, sinon je me réserve le droit de faire appel à la sécurité.

Rentré à son bureau, Krypton demanda à l’un de ses collaborateurs de trouver des renseignements sur ce Mattson. La réponse lui parvint rapidement.

– C’est le patron d’une société de courtage agissant pour le compte de « Sylvester and son » une boite domiciliée au Panama. Ils achètent des sociétés pour les revendre. Ça sent le blanchiment à plein nez, tout cela orchestré par des sociétés off-shore.
– Ils ont un téléphone ?

Bien sûr qu’ils en avaient un, mais que voulez-vous faire quand on vous trimbale d’interlocuteur en interlocuteur, chacun ne faisant aucun effort pour essayer de comprendre ce qu’on lui demande… Donc, l’échange téléphonique tourna court. Krypton n’avait plus de piste et son joujou entreposé dans le hangar ne lui était plus accessible.

Quel joujou ? Se demandera le lecteur qui devra patienter un peu afin de le savoir.

Krypton tenta d’obtenir le concours d’un détective privé. Sa conclusion lui parvint le lendemain.

– C’est un vrai sac de nœuds, on n’y comprend rien, ce n’est pas de notre compétence, je vous facture juste un forfait minimum.
– Je vous paie le voyage au Panama.
– Non, non ! Les sociétés off-shore panaméennes sont gérées par des mafieux, et des mafieux dangereux. Restons-en là !

Le second détective ne voulut même pas prendre l’affaire, le troisième s’en amusa.

– Si vous me payez le voyage aller-retour au Panama et l’hôtel, je veux bien aller y faire un tour, mais je ne vous garantis pas d’obtenir le résultat ! Se gaussa Brigitte Silverberg, car ce détective-là était une femme. Et une femme que les lecteurs des aventures du professeur Martinov ont déjà eu l’occasion de découvrir.
– Et si je vous prenais au mot ?
– Non je plaisantais, dans ce genre d’affaires, ou bien on trouve tout de suite, ou alors on ne trouve jamais. Et comme vous me dites que mes collègues ont essayé…

L’esprit de Krypton s’égara un moment, envisageant alors quelles méthodes illégales, il pourrait mettre en œuvre afin de pouvoir pénétrer dans ce hangar.

Brigitte détaille son visiteur. costard et chaussures sur mesures… Rolex en évidence.

« Ce mec-là pue le fric, si je pouvais essayer de l’embobiner… »

– Je peux néanmoins vous fournir des renseignements sur tous les intervenants de cette affaire qui résident en France. Reprit Brigitte.
– Ça ne me donnera pas le nom de l’actuel propriétaire du hangar !
– Qui sait ? L’une de ces personnes sera peut-être en contact avec les gens de Panama.
– Ça me paraît hasardeux !
– Prenez le risque, nous nous enorgueillissons d’obtenir de bons résultats.
– Et vous pensez avoir des résultats dans quel délai ?
– Disons que ça entre dans le cadre des affaires de longue durée…
– Le soucis c’est que je suis pressé.
– J’entends bien, alors voilà ce que je vous propose : je vais vous indiquer une adresse, un chercheur un peu fouineur qui a résolu pas mal d’affaires compliquées et qui connait du monde… Je vous conseille d’enjoliver votre requête, si vous la présentez de façon trop basique, ça ne l’intéressera pas.
– Que va-t-il faire de plus que vous ?
– Notre profession est soumise à un code déontologique, c’est parfois contraignant. La personne que je vous recommande n’a pas ces contraintes.
– D’accord je prends l’adresse !
– Dois-je en parallèle ouvrir un dossier à notre agence comme je vous le proposais ?
– Pourquoi pas, mais je ne veux pas de contrat long, Je vous mandate pour 15 jours, ensuite on verra.

Lundi

Nous revoila donc (enfin) dans les locaux du professeur Martinov à Louveciennes. Et c’est Béatrice qui reçoit le message de Brigitte Silverberg :

« A tout hasard, je vous envoie un mec qui veut faire une enquête au Panama. Si ça ne vous intéresse pas, virez-le ! Bisous ma grande ! »

– Au Panama ! Elle est folle ! Dit-elle à Martinov. On en va pas aller au Panama !
– On peut toujours recevoir le type, ça ne mange pas de pain ! Répond Martinov

Le visiteur du jour est grand, bien propre sur lui, le costume est fait sur mesure et les chaussures se sortent pas de la halle aux affaires. Bref le type est friqué. Son passé d’ancien boxeur lui a laissé le nez écrasé, il est chaussé d’épaisses lunettes à la Scorsese, symptomatiques d’une sévère myopie.

– Renaud Piérac, premier fondé de pouvoir chez Kallgren-France ! Se présente crânement. Krypton.
– J’avoue ne pas avoir bien saisi l’objet de votre requête lors de notre entretien téléphonique ! Lui répond Martinov
– Disons que je me suis retrouvé suite à des circonstances particulières dans un hangar rempli de caisses d’éponges métalliques non fermées et c’est là que j’ai entendu un bruit inquiétant.
– Un bruit comment ?
– Comme un moteur…
– Et ce n’était pas un moteur ?
– Non, j’ai oublié de vous dire, à l’entrée il est indiqué « Entrepôt désaffecté, défense d’entrer », d’ailleurs il y a un vigile avec un chien.
– Et vous êtes entré quand même ?
– Oui la fille lui a donné la pièce…
– La fille ?
– J’aimerais autant que faire se peut, éviter les détails triviaux, mais que voulez-vous, je revenais d’un cocktail bien arrosé et puis la chair est faible, cette fille était magnifique, j’ai eu une pulsion irrésistible, ce sont des choses qui arrivent…

Le type aurait dû accompagner ces explications d’une mine embarrassée. Là pas du tout, il racontait ça avec une banalité confondante.

– Soyez rassuré, je ne suis pas là pour vous juger… tint à lui préciser le professeur Martinov.
– Donc je l’ai suivi, il y avait des matelas recouverts par ses serviettes de bains propres, nous nous y sommes installés, c’est là que j’ai entendu le bruit.
– Et qu’attendez-vous de moi ?
– De me dire d’où vient ce bruit…
– Mais pourquoi vous adresser à moi ! Ce n’est pas notre domaine de compétence. C’est une affaire qui regarde la police, ou un détective privé…
– J’aimerais éviter que mon nom soit cité ! Les circonstances sont assez gênantes, voyez-vous ! En fait, je soupçonne une grosse affaire, peut-être du terrorisme à un très haut niveau, ou plus grave encore… Ce travail semble bizarrement ne pas intéresser les détectives privés. Mais c’est l’un deux, une madame Silverberg qui m’a confié vos coordonnées.

Le professeur, dubitatif croise le regard de Béatrice qui lui fait signe qu’effectivement cette affaire n’est pas de leur domaine.

– Nous ne pouvons pas prendre ce dossier. Comment voulez-vous que l’on pénètre dans un espace privé gardé par un maître-chien ? Déclare la jeune chimiste.
– Monsieur est bien rentré, il suffirait d’employer la même procédure ! Fait remarquer Martinov.

Du coup le visiteur devient rouge comme une tomate et se met à bafouiller :

– C’est que… je ne suis pas persuadé que tous les vigiles soient complices des activités de ces dames !
– Ah ! Vous voulez qu’on entre ou pas ?
– Oui, ce serait bien, mais ça ne sera pas forcément évident, auparavant si vous pouviez me renseigner sur le propriétaire des lieux, tenter de glaner des renseignements… Ensuite, pour le reste, nous verrons.
– Si ça se limite à des renseignements, je veux bien essayer, mais ça aura un prix.
– Votre prix sera le mien, si nous pouvions faire ça hors contrat…
– Je vais voir ce que je peux faire, donnez-moi l’adresse de ce hangar.
– Je n’ai pas d’adresse précise, c’est situé dans la ZI des 4 couronnes, ça s’appelle Chavinou S.A.. Il n’ont pas changé l’enseigne.
– L’enseigne ?
– Oui Monsieur Chavinou n’est plus le propriétaire.

Piérac sortit son portefeuille et en extrait 20 billets de 50 euros.

– Ce sera suffisant ?
– Oui ! Répondit Martinov qui ne s’attendait pas à une pareille somme.
– Vous pourriez m’avoir la réponse pour quand ?
– Après-demain en fin de matinée s’il n’y a pas de complications.

Le type s’en va, Béatrice regarde par la fenêtre afin de relever la plaque minéralogique mais apparemment l’homme a dû se garer dans une rue adjacente.

A suivre

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Samedi 25 juin 2022 6 25 /06 /Juin /2022 08:10

Martinov 24 – L’énigme du hangar – 1 – Olivia et Amélie par Maud-Anne Amaro
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Nous voici de nouveau à Louveciennes, banlieue parisienne cossue, là où le professeur Martinov, sexagénaire et pas mal obsédé, mais bien dans sa peau, exerce ses talents de bricoleur génial en compagnie de Béatrice sa blonde, jeune et sémillante assistante, diplômée de l’école de chimie.

Mais pour le moment, nous allons les laisser travailler, et nous intéresser à un individu qui se fait parfois appeler Krypton, d’autres fois Piérac, et qui se gare devant un hangar situé dans la zone industrielle des « quatre couronnes ». Il descend de voiture, accompagné d’un jeune homme boutonneux, puis sonne à l’entrée provoquant l’arrivée d’un vigile qui se contente de signaler sa présence en ouvrant un judas.

– Piérac ! Se présente Krypton, vous pouvez nous ouvrir, je vous prie ?
– Piérac ? Attendez, vous n’êtes pas sur ma liste !
– Non mais attendez, il était bien convenu avec Monsieur Chavinou que je pouvais entrer librement…
– Vous devez faire erreur, je ne connais pas de Monsieur Chavinou.
– Mais enfin, c’est le propriétaire !
– Non, je ne connais pas…
– Mais vous êtes borné ou quoi ? Bon, vous m’énervez, je vais l’appeler !

– Allo, Chavinou ! C’est Piérac ! Je vais vous passer votre cerbère et vous allez lui expliquer qu’il n’a pas à nous refuser l’entrée…
– Ah ? Mon acheteur m’avait pourtant assuré qu’on vous laisserait entrer. Je l’appelle de suite et vous rappelle.
– Votre acheteur ? Vous avez vendu le hangar ?
– Avec le prix qu’on me proposait, je n’ai pas hésité un instant. Vous vous rendez compte, tout ça pour un stock d’éponges métalliques !
– J’aurais aimé être prévenu !
– Je ne pensais pas que ça pouvait poser problème…
– Bon, si vous pouviez faire vite !

Krypton patiente dans la voiture 20 minutes, au bout de ce temps, il tente de rappeler Chavinou qui est toujours occupé. Il fulmine, il rage, il tempête. Finalement l’autre finit par rappeler.

– Allo, c’est Chavinou, oui, eh bien ça se complique, mon acheteur est un courtier qui…
– Je m’en fous ! Vous avez pu le joindre ou pas ?
– Calmez-vous ou je raccroche ! Je disais : l’acheteur a agi pour le compte d’un consortium, et si j’ai bien compris ça a été encore une fois revendu.
– Mais qu’est-ce que vous me racontez ? C’est quoi ces salades ? Donnez-moi le nom de votre acheteur.
– Ça ne vous servira à rien…
– Je veux ces renseignements ! Répondit Krypton d’une voix cinglante.
– Rien ne m’y oblige, mais bon… C’est Mattson, 256 rue Vaugirard…
– Il a un téléphone ?
– Oui bougez pas… Voilà, vous notez…
– Chavinou !
– Oui ?
– Vous êtes un connard !

Avant de tenter de contacter ce Mattson, Krypton tenta une tactique simpliste, mais éprouvée. Il sortit de la zone industrielle, rechercha un distributeur de billets, préleva 1000 euros avec sa carte gold et revint sonner au portail du hangar.

– 1000 euros pour nous laisser entrer, ça peut le faire ?
– Non-monsieur, tout est télésurveillé, je ne veux pas risquer ma place.
– Elles sont où les caméras ?
– Je l’ignore !
– Bon laissez tomber.

A plusieurs kilomètres de là, l’écran de contrôle de la vidéosurveillance couine. La séquence terminée et enregistrée, Amélie appelle Olivia, les deux femmes se marrent comme des bossues.

– Super ! On va arroser ça ! Jubile Olivia.
– Qu’est-ce qu’il va bien pouvoir faire maintenant ? Demande Amelie
– Rien ! S’il essaie d’entrer en force il risque de se mettre en porte à faux. Alors il vient ce champagne ?

Mais qui sont ces deux-là ? Se demande le lecteur ? Patience, le récit vous dira tout au moment opportun. Sachez pour le moment qu’Olivia est une jolie femme brune d’une trentaine d’années, elle est l’unique héritière potentielle d’un immense empire hôtelier et a toujours vécu dans l’opulence.

Olivia est une personne qui s’attache difficilement, elle s’est vite rendu compte que les fils à papa qui lui tournaient autour, auraient bien profité de sa fortune pour continuer à ne rien foutre de leur pauvre vie. Non elle est trop indépendante, quelques coups d’un soir pendant lesquelles c’est elle et elle seule qui mène la barque, suffisent à son bonheur.

Et puis il faut aussi savoir qu’Olivia est bisexuelle, mais elle traite ses amantes à l’image de ses amants. Un bon moment de plaisir et salut !

L’exception c’est Amélie. Il y a toujours des exceptions.

Il fallait bien qu’Olivia entretienne son luxueux appartement du Boulevard Kleber. Un jour énervée par le mauvais travail de son prestataire de service qui lui envoyait des femmes de ménages incompétentes, elle eut l’idée d’en embaucher une à demeure.

Elle fit ainsi passer trois examens d’embauche, mais pour des raisons diverses ces femmes ne lui disaient rien. Et puis l’idée lui vint :

« Et si j’en trouvais une qui soit un peu coquine, ce serait joindre l’utile à l’agréable. »

Elle eut alors l’idée de demander à la patronne d’un club libertin où il lui arrivait de se rendre si parfois…

C’est ainsi qu’elle dénicha Amélie.

Amélie est une ravissante métisse guadeloupéenne d’une trentaine d’années, Olivia fut de suite conquise par le physique et le sourire de celle qui postulait cette fonction.

Après deux heures d’essais avec ménage et repassage. Olivia lui tint à peu près ce langage :

– L’essai à l’air concluant, je suis prête à vous engager, mais avant il faut que vous sachiez où vous mettez les pieds. Je ne me considère pas comme compliquée, je suis même plutôt décontractée. Parfois je me balade à poil dans l’appartement, si ça vous choque je vous paie vos deux heures et on en reste là.
– Non, non, ça ne me choque pas !
– Et bien tant mieux, et puis je vous demanderais peut-être de m’aider à prendre mon bain.
– Ce ne sera pas un problème.
– Et si je vous confie que je vais parfois avec les femmes ?
– Ce sont des choses qui ne me regardent pas.
– Et si je me montre entreprenante, vous réagirez comment ?
– Je ne pense pas que cela me posera problème ! Répondit Amélie.
– Il va de soi que dans ce cas, vos gages seront réévalués.
– Si madame ne me force pas à faire des choses qui ne me plaisent pas, et si madame me respecte, j’espère pouvoir faire l’affaire.
– Tu as déjà caressé une femme.
– Oui !
– Et ça t’a plu ?
– Oui beaucoup !
– Et toi, tu aimes qu’on te caresse ?
– Oui, j’aime bien les caresses.
– Et si je te demande de te déshabiller devant moi, là tout de suite ?
– Si vous me le demandez, je veux bien me déshabiller, mais…
– Mais quoi ?
– C’est embarrassant ! Dois-je comprendre que je dois me déshabiller gratuitement.?
– Bien joué ! Répondit Olivia en sortant de son portefeuille un billet de 50 qu’elle déposa sur la table.

Du coup, Amélie retire son pantalon puis son haut, mais garde ses sous-vêtements.

– Autant jouer cartes sur table, reprend Amélie, je suis un peu vicieuse, si c’est cela que Madame cherche, je suis à votre disposition.
– Tu es très belle, enlève le reste.

Et la voilà à poil, Amélie qui a oublié d’être bête a compris qu’elle avait un ticket avec Olivia et une quasi-promesse d’embauche est décidée de jouer le « grand jeu ».

– Ça vous plaît ?
– Super ! Approche-toi !

Olivia posa ses mains sur les doux bras de la belle métisse qui répondit d’un sourire. Alors elle osa s’aventurer vers les seins, en caressa les bords puis se livra à de savantes circonvolutions qui la conduisirent jusqu’aux tétons.

– J’ai bien envie de les embrasser !
– Faites donc !

Olivia se régala de ces pointes durcies par l’excitation.

– J’aimerais formuler une requête ! Dit soudain Amélie.
– Oui…
– Je suis nue, mais pas vous…
– Ah ! La coquine qui veut voir sa future patronne à poil !
– Ce n’était qu’une suggestion.

Mais Olivia se déshabilla sur le champ. Les deux femmes maintenant nues se font de nouveau face de très près à ce point que leur seins se touchent. Olivia entrouvre sa bouche, sort un peu sa langue, Amélie comprend l’invitation, les bouches se rapprochent et les voilà parties pour un long et profond baiser.

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Olivia en profite pour lui agripper et malaxer les fesses.

– Viens sur le canapé !
– Madame a-t-elle l’intention de me lécher la chatte ?
– Sauf si tu as quelque chose contre.
– Non, léchez-moi, madame, léchez-moi ! Mais peut-être conviendrai-il d’étendre une serviette sur le canapé…

Amélie s’étendit de tout son long, les jambes écartées, Olivia ne vint pas de suite entre ses cuisses, voulant profiter encore de la douceur de la peau de la belle métisse.

– T’as la peau trop douce !
– C’est la première fois que vous caressez une femme noire ?
– Je ne sais plus trop !
– Vous êtes drôle !
– Ben dis donc !

Olivia porta ses mains sur les seins de sa partenaire, en flattant l’arrondi avant de venir en taquiner les bouts.

– Si vous voulez me les pincer, ne vous gênez pas !
– Comme ça ?
– Oui, Aïe !
– Je t’ai fait mal !
– Ce n’est pas grave, je suis un peu maso !
– Ah, oui ? Et tu aimes quoi ? Les petites fessées ?
– Même les grosses !
– Hum, je crois qu’on va bien s’amuser toutes les deux, tu voudrais être ma petite esclave ?
– Oui, pour jouer, pourquoi pas ?
– Tu fais ça souvent ?
– En ce moment, ça me manque un peu, c’est mon ex qui m’a un peu initié à tout ça, j’ai tout de suite bien aimé.
– Il te faisait quoi ?
– Martinet, badines, pinces, il me ligotait aussi et il aimait bien me pisser dessus. C’est lui aussi qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes, avant l’idée me choquait, maintenant je suis fan.

En disant cela son visage s’éclaire d’un merveilleux sourire.

Sans lâcher les pointes des seins d’Amélie, Olivia descend son visage au niveau du sexe de sa partenaire et commence à lécher.

– Mais dis donc, tu mouilles !
– C’est vous qui me faites mouiller, madame !

La langue d’Olivia pénètre dans le fouillis de son sexe, en écarte les grandes lèvres se régale de cette odeur de fruits de mer, lape la mouille qui s’y écoule. L’autre se pâme, ferme les yeux invoque on se sait quel fantasme. Sa respiration devient saccadée, elle transpire à grosses gouttes tandis que sa pression sanguine augmente.

Le clitoris de la métisse est maintenant érigé et décalotté comme un micropénis. Olivia en approche sa langue, le fait frétiller, Amélie pousse un cri fulgurant tandis que son corps s’arcboute avant de retomber comme une chiffe molle.

– Ben vous, alors ! Commente la métisse dans un souffle.
– Après cela, tu peux peut-être arrêter de me vouvoyer !
– Suis-je embauchée ?
– Oui !
– Je ne vais tout de même pas tutoyer ma patronne.
– Nous ne sommes pas obligées d’avoir des rapports de convenances.
– C’est comme Madame voudra !
– Pour l’instant, tu sais ce qu’elle voudrait bien, la madame ?
– Que je vous donne du plaisir !
– Alors exécution !

C’est donc au tour d’Olivia d’offrir son corps aux tendres caresses de sa partenaire

– J’aime bien vos tétons, madame !
– Je t’ai dit de laisser tomber le vouvoiement !
– D’accord, mais laissez-moi un peu de temps..
– Oui ! Oh, qu’est-ce que tu leur fait à mes seins?
– Je les gâte !
– C’est trop bon, mais descends un peu, j’ai la chatte en feu.

Elle le fait et pose sa langue sur le pubis, tandis qu’un doigt fureteur s’approche de l’œillet brun.

– Je peux l’enfoncer ?
– Bien sûr, vas-y fous-moi un doigt dans le cul !

La jolie métisse ne se le fait pas dire deux fois et après avoir fait coulisser son doigt dans l’étroit conduit, se met à l’agiter frénétiquement.

– Tu fais quoi, là ? Continue c’est trop bon ! Tu vas me faire jouir du cul ! Aaaah !

Amelie a continué jusqu’à ce que sa future patronne jouisse dans un geyser de mouille.

Eh ! C’est qu’elle tenait vraiment à se faire embaucher la petite Amélie.

– Tu m’as tué ! Tu veux commencer quand ?
– Pourquoi pas demain ?
– Ça me parait une bonne idée, j’ai plein de repassage en retard ! Bon je vais aller pisser, si tu as soif sert toi dans le frigo.
– Si madame veut que je l’essuie après son pipi, je peux faire ça aussi.
– Allez viens !

Olivia s’assit sur la cuvette des toilettes…

– Si j’osais… commença Amélie.
– Si t’osais quoi ? Eh bien vas-y ose…
– Je suis parfois un peu vicieuse…
– On va finir par le savoir ! C’est pas bientôt fini de tourner autour du pot ? C’est quoi ton idée salace ?.
– Si vous me permettiez d’en boire un peu ?
– Viens entre mes cuisses, on va te le réaliser ton fantasme. Attention ça va gicler.

Ce fut le début d’une grande complicité.

Au fil des semaines les rapports entre les deux femmes évoluèrent considérablement. Certes, Amélie accomplissait toujours les tâches ménagères, Olivia adorant se faire servir, mais les deux femmes avaient fini par s’amouracher l’une de l’autre. une belle complicité les unissaient à présent. Cependant Olivia restait la maitresse du jeu et elle s’amusait parfois à punir sa soubrette de fautes la plupart du temps imaginaires. Mais elles se complétaient, Amélie était profondément masochiste et Olivia un peu sadique sur les bords

La complicité entre les deux femmes était aussi intellectuelle, Elle se découvrirent des passions et des convictions communes. Aussi quand Olivia mit Amélie au courant de son dernier projet, la jolie guadeloupéenne s’enthousiasma et lui proposa d’emblée de collaborer avec elle.

A suivre

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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:04

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 14 – La mère d’Isabelle par Maud-Anne Amaro

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Epilogue

 

Rentrés en région parisienne, Martinov et Béatrice ne se précipitèrent pas pour la mise en place des protections des fausses peintures murales. Les cotes ayant été prises, il laissèrent le soin à Justin Verrier de sous-traiter l’affaire.

 

– Ce serait des vrais peintures, j’aurais été superviser ! Déclara Béatrice, mais on ne va pas se prendre le chou pour des faux machins.

– Nous voilà presque complice d’une escroquerie ! Fit remarquer le professeur.

– Complice de quoi ? Ils voulaient des caches, on leur a fait des caches, on n’était pas censé se demander si les dessins étaient authentiques ou pas… Au fait, on est invité à l’inauguration, c’est mardi prochain.

– Tu y vas, toi ? Moi ça ne me dit rien !

– T’as pas envie de revoir Isabelle ? Et puis Solène est invitée aussi.

– Dans ce cas, je vais me faire violence.

– Il y aura aussi la mère d’Isabelle.

– La mère d’Isabelle ? Qu’est-ce qu’elle vient faire là-dedans ?

– Ah, si tu savais…

 

Sur place, une table d’honneur avait été dressée au pied de l’ascenseur végétalisé, il y avait quelque beau monde : Monsieur le maire et ses adjoints, le représentant de la chambre de commerce et quelques notables locaux. Le champagne attendait qu’on le débouche, Justin Verrier prononça un discours qui n’excéda pas trois minutes.

 

Et Béatrice, Martinov et Solène purent apercevoir trois jeunes femmes revêtues d’un tee-shirt vert sur lesquels étaient imprimé une tête d’ours surmonté d »un casque romain.

 

– Ce sont nos billettistes qui travailleront en alternance !

 

Alors ils embrassèrent Dorothée, Vicky et Mariette.

 

C’est à ce moment que Béatrice sentit qu’on lui mettait la main aux fesses. Elle se retourne courroucée et prête à tancer l’insolent quand elle réalise que cette main importune n’est autre que celle d’Isabelle.

 

– Ah tu es là, toi, je me demandais… Lui dit Béa.

– Ces cérémonies m’énervent, heureusement Justin a fait court… T’as un peu de temps, là ?

– Oui !

– Tu es notre invitée ce soir avec le professeur, mais en attendant je vais te présenter quelqu’un, viens ma voiture est à côté.

 

Et c’est ainsi que Béatrice se retrouva devant la propriété que monsieur le maire avait prêté à Justin.

 

– Eh, oui, il nous a dit que si on avait besoin… on n’a pas voulu abuser, on est pour un bout de temps ici et on a loué un petit truc un peu plus loin… Mais comme j’avais suggéré à Maman de prendre quelques vacances dans le coin… et que le maire ne peut rien nous refuser…

 

On entre !

 

– Je présente ma Maman !

 

Pas mal la maman, la cinquantaine passée, cheveux blond décoloré dans le vent, elle est en maillot deux pièces violet, elle a belle allure.

 

– Bonjour Madame !

– Non pas madame, tu m’appelle Delphine et on se tutoie ! Dit-elle en l’embrassant chastement.

– Eh bien, bonjour Delphine !

– Ma fille m’a parlé de toi ! Elle ne m’avait pas menti, tu es une belle femme !

– Bof !

– Et toi, tu me trouves comment ?

– Belle, désirable !

– Eh bien, on va pouvoir s’amuser un peu, tu veux bien ?

 

Béatrice fit un petit signe de tête accompagné d’un sourire. Bien sûr qu’elle voulait bien !

 

– Enlève moi mon haut, on sera tout de suite dans l’ambiance ! Propose Delphine.

 

Béa accède de bonne grâce à cette demande et libère la jolie poitrine laiteuse de la mère d’Isabelle.

 

– Allez mes chéries, chacune son téton, léchez-moi !

 

Situation très excitante, c’est la première fois que Béatrice voit une femme accomplir des actes sexuels avec sa propre mère.

 

– Oh là là , qu’est-ce que vous me faites toutes les deux ? Vous êtes des vraies salopes. ! Attendez on va toutes se mettre à l’aise !

 

Isabelle et Béatrice se déshabillent en toute hâte, tandis que Delphine retire son bas de bikini, dévoilant son sexe glabre.

 

Puis cette dernière s’allonge sur la canapé.

 

– Viens Béatrice, viens continuer à me lécher les seins, ma fille va s’occuper de ma chatte.

 

Le trio se met en place, Isabelle prodigue de grandes léchouilles sur la chatte maternelle, tandis que Béa se régale de ce téton qui est maintenant tout dur.

 

Et soudain la mâture se met à haleter, son corps se tétanise, elle crie, souffle un coup puis demande aux filles d’intervertir leurs places.

 

Voilà donc notre Béatrice entre les cuisses de Delphine.

 

– Occupe-toi un peu de mon petit trou ! Lui suggère cette dernière.

 

Voilà qui n’est pas un problème pour la jeune chimiste qui s’en va butiner de sa langue l’œillet fripé.

 

– Tu aimes le goût de mon cul ?

– Bien sûr !

– Il sent fort ?

– Il sent le cul !

– Alors régale toi ma bibiche, et tu as la permission d’enfoncer un doigt ! Même deux !

 

Béatrice obtempère et pilonne à qui mieux mieux le trou du cul de la mature qui ne tarde pas à se taper un deuxième orgasme.

 

– Whah, quel pied ! Asseyez-vous mes chéries, l’une à côté de l’autre, voilà, embrassez-vous maintenant comme des gouines en chaleur, plotez-vous les nichons, je vais m’occuper de vos chattes.

 

La main gauche dans le con de Béatrice, la main droite dans celui de sa fille, la Delphine branlotte les deux femmes avec une énergie qui fait plaisir à voir.

 

Quand elle sent sa fille près de l’orgasme, elle remplace sa main par sa langue et vient lui titiller le clitoris. Résultat garanti, Isabelle prend son pied, Delphine peut alors se consacrer pleinement à Béatrice jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour.

 

Moment calme, enfin relativement calme parce que ces dames se roulent des galoches, se caressent, se plotent.

 

Et maintenant, la surprise ! Dit soudain Delphine.

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être ? Un gros gâteau glacé ? Un vibro masseur à douze vitesses ? Une entrée gratuite dans une boite coquine ?

 

Eh bien non ! La surprise est un gros chien, un Bobtail noir et blanc plein de poils qui entre dans la pièce avec un air débonnaire.

 

– C’est Fuji ! Nous précise Delphine ! Vous voulez jouer avec ? Lui il veut bien jouer avec nous ! N’est-ce pas Fuji ? Viens lécher la moule de ta maîtresse ! Lui demande-t-elle en écartant les jambes et en se tripotant la foufoune.

 

Le chien déboule et se met à lécher

 

– Mettez-vous à côté de moi les filles, Béa à gauche, Isabelle à droite.

 

Delphine après s’être fait copieusement lécher, dirige le chien de façon à ce qu’il prodigue ses services à ses voisines. Puis elle passe sa main sous son poitrail dévoilant la bite bandée sortie de son fourreau, elle la tripote un moment avant d’inviter Béatrice à prendre le relais.

 

Isabelle fait coucher le chien afin que l’accès soit facilité, le visage de Béatrice, irrésistiblement attirée, s’approche de la bite du chien et ne peut s’empêcher de la porter en bouche.

Ours14

 

Le chien excité émet en continu des filets de liquide préspermatique et la jeune femme s’en régale.

 

– Je crois que j’aimerais bien me faire prendre ! Dit Béatrice.

– Vas-y, nous on connait ! Répond la mère.

 

Béatrice se met à quatre pattes, Delphine lui enduit le croupion de sa propre moulle et fait venir le chien lequel pris d’une véritable frénésie sexuelle couvre Béa en un ballet infernal la faisant jouir plusieurs fois de suite.

 

Elle sent le nœud gonfler dans son intimité et se dégage de crainte de rester collée plusieurs minutes. Mais elle n’abandonne pas le chien pour autant et finit de le sucer.

 

– Alors elle était belle ma surprise ?

– Super !

– Mais j’en ai une autre ?

 

Béatrice se demande ce que ça peut bien être, et manifestement Isabelle aussi, qui ne semble pas être au courant.

 

Les femmes se rhabillent et sortent dans le village, Delphine qui tient le chien en laisse les conduit jusqu’à une petite fermette un peu en retrait.

 

– Père Gauthier, vous êtes là ?

– J’arrive !

– On vous a ramené votre chien, on a fait une grosse balade avec lui, il en a bien profité.

– C’est une brave bête ! Commente l’homme. Ça lui fait du bien, moi je suis trop vieux pour le faire courir.

– Cadichon est là ? Je voudrais le montrer à ma fille et ma copine.

– Il est dans la remise là-bas, vous pouvez aller le voir, moi je vous laisse faut que j’aille chercher des œufs… Fermez bien derrière vous en repartant.

 

Comme le lecteur l’aura deviné, Cadichon est un âne. Il est tout gris, tout mignon.

 

Delphine le caresse, Cadichon réagit bien en pointant ses oreilles en avant. Alors la mère d’isabelle passe sa main sous le flanc de la bête et lui caresse le sexe.

 

L’animal se met à bander et offre à la vue des trois cochonnes le spectacle d’une bite d’environ 30 centimètres de long !

 

– Je n’y crois pas ! S’étonne Béatrice !

– Tu n’en n’avais jamais vu ?

– Tu sais les ânes à Paris, ça ne court pas les rues !

 

Delphine caresse à présent l’insolent phallus.

 

– Allez-y mes chéries, faites-vous plaisir.

 

Isabelle y met la main, Béatrice l’imite aussitôt.

 

– Lèche maintenant ! Dit alors Delphine à sa fille.

 

Celle-ci après avoir léché un peu la hampe attrape le sexe par l’extrémité et se met à le suçailler. Béatrice à la tête qui tourne, ne réalise pas vraiment ce qui se passe mais rejoint sa complice dans cette fellation insolite.

 

Delphine les rejoint, baisse son pantalon sous lequel elle n’a mise aucune culotte et frotte son pubis avec la bout de la bite du chien.

 

Et soudain l’âne éjacule dans un déluge de foutre, les femmes ont le temps de se reculer, mais Delphine en a avalé un peu et arbore une mine hautement satisfaite. Elle ne remonte pas son pantalon.

 

– Ça m’a trop excité, viens me lécher la moule, ma fille !

– Bien sûr Maman !

 

Et tandis qu’Isabelle se régale entre les cuisses de Delphine, Béatrice lui suce les tétons.

 

– Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère ! S’exclame Isabelle, on va permuter…

 

Et c’est au tour de Béa de lécher l’abricot de cette jolie mature incestueuse.

 

– Attends, il faut que je pisse ! Dit soudain cette dernière.

– Vas-y je vais te boire !

 

Le jet doré fuse dans la bouche de la jeune chimiste qui s’en régale, qui en avale mais qui en fait aussi dégouliner sur son corps.

 

– Elle en garde un peu en bouche et quémande un baiser à sa partenaire qui accepte volontiers ce baiser doré. Isabelle, jalouse vient quémander sa part.

 

– T’es presque aussi salope que moi, Béatrice ! Lui dit Delphine.

– Y’a pas de mal à se faire du bien !

 

Et le soir, le professeur Martinov et Béatrice étaient invités chez Justin Verrier et Isabelle dans la location qu’ils avaient dégoté à la sortie de Glandville.. Delphine et Solène étaient aussi de la partie.

 

– Je suis contente de te revoir ! Déclare cette dernière à l’attention de Béatrice

– Et moi donc ! T’as retrouvé du travail ?

– Oui, je suis hôtesse d’accueil dans une multinationale.

– Et ça consiste en quoi ?

– On me demande d’être gentille avec certains visiteurs, en fait je fais la pute mais ça ne me dérange pas, ces gens-là sont parfois généreux.

– Je vois…

– Ça m’emmerde un peu cette invitation, j’aurais préféré qu’on se retrouve toutes les deux dans une chambrette pour se lécher la minette.

– On pourra toujours s’éclipser si besoin est, mais vu la composition de l’assistance ça devrait tourner en partouze.

– Mais la dame, là ?

– Delphine, c’est une coquine, pas de soucis de ce côté-là.

– Mais elle est là à quel titre ?

– Je ne sais pas trop, mais qu’importe !

 

Béatrice rechignait à lui dire qu’il s’agissait de la mère d’Isabelle, de peur que cette révélation puisse la choquer.

 

Justin avait commandé chez un traiteur de Briançon un colossal plateau de fruits de mer.

 

Celui-ci eut un beau succès et fut copieusement arrosé, on dégusta au dessert une excellente tarte aux myrtilles, il n’y avait plus qu’à attendre le déclic.

 

Et c’est Delphine qui le déclencha

 

– Savez-vous cher professeur que votre réputation est venue jusqu’à moi ?

– C’est Isabelle qui vous a raconté des choses ?

– Les démentez-vous ?

– Comme je ne sais pas ce qu’elle vous a raconté, ça va m’être difficile.

– Embrasez-moi Professeur.

 

Martinov se lève.

 

– Non, restez assis, c’est moi qui vais venir.

 

Et les voilà qui s’embrassent sur la bouche comme deux collégiens consommant leur premier flirt.

 

La main de Delphine vient tâter la braguette de notre vert professeur. Justin qui a compris ce qui se passait joue les grand seigneurs.

 

– Vous avez le canapé à votre disposition, mais si voulez vous isoler, Isabelle peut vous montrer les chambres.

– On va se mettre là un moment ! Suggère Delphine en conduisant son partenaire jusqu’au grand canapé.

– Le professeur est un gros coquin, il aime sucer des bites ! Indique Isabelle à sa mère.

– Non ?

– Si ! Tu veux voir ?

– Il va sucer qui ? Julien ?

 

Ce dernier qui a entendu la conversation se pointe après avoir retiré son pantalon et offre sa bite demi-molle à la bouche gourmande de Martinov qui a tôt fait de le faire bander correctement.

 

Eh, c’est que c’est un artiste de la pipe, notre vert professeur, titille le gland, lèche la hampe et bien sûr effectue de long va-et-vient entre ses lèvres.

 

– Eh bien dis donc, t’es un sacré suceur de bites ! commente Delphine tout excitée.

– Je te la fous dans le cul ! Propose Julien.

 

Pour toute réponse, Martinov se redresse, se retourne et offre ses fesses à son complice qui après s’être protégé comme il se doit, l’encule bien profondément.

 

Toutefois, Julien ne fit pas durer sa sodomie, la soirée pouvait être longue et il n’allait pas jouir déjà !

 

– Je vous le rend, il est à vous ! Dit-il à Delphine.

 

Voyant l’ambiance chauffer, Solène s’est jetée au cou de Béatrice et les deux femmes s’embrassent et s’enlacent.

 

Justin Verrier et Isabelle se regardent, amusés, le couple qu’il forme à la ville se retrouve ici sans mélangisme

 

– Après tout, pourquoi pas ? dit Justin en prenant sa compagne dans ses bras. Et ils s’installent sur la partie gauche du canapé, la partie droite étant occupé par Martinov et Delphine.

 

Et justement qu’est-ce qu’ils nous font ces deux-là ? Delphine a pris la direction des opérations. Elle eut tôt fait de baisser le pantalon du professeur et de mettre son vit en bouche afin qu’il bande correctement, et pour que la chose soit encore plus parfaite, deux doigts viennent farfouiller le troufignon du sexagénaire.

 

Martinov essaie de ploter, d’atteindre un bout de chair, mais n’y parvient pas, il décide donc de laisser passer l’orage, un orage bien sympathique, vous en conviendrez.

 

Delphine finit par fatiguer de la mâchoire, délaisse momentanément sa pipe, retire nerveusement sa robe sous laquelle il n’y a aucune culotte, en revanche elle a un soutien-gorge ! Va-t-elle le garder comme dans le cinéma hollywoodien ? vous pensez bien que non. Elle grimpe sur les genoux de Martinov en position de lap-dance, et demande à son partenaire de dégrafer le soutif.

 

Delphine se débrouille ensuite pour mettre son téton dans la bouche du professeur, lequel ne saurait refuser une telle offrande et se met à sucer avec gourmandise, et quand le téton droit fut suffisamment léché, ce fut au tour de l’autre. Elle n’est pas belle la vie ?

 

La belle mature ouvre la chemise du professeur et se met à lui tordre les tétons. Une caresse que l’homme adore et qui offre l’avantage de maintenir l’érection. Elle sort d’on ne sait trop où une capote lubrifiée et en recouvre la bite de son partenaire, puis s’empale dessus quelques minutes avant de ressortir. Mais c’est pour changer de trou ! La voilà qui s’encule sur la bite raide comme un bout bois de ce bon vieux Martinov.

 

Celui-ci tente de retarder la montée de sa jouissance.

 

– Je vais venir… Prévient-il

– Moi aussi ! Aaahhh ! Tu m’as bien enculé mon salaud !

 

Exténué et repus, le professeur s’endort, alors Delphine se blottit dans ses bras et le rejoint dans le sommeil.

 

– Mais c’est qu’ils ronflent ! Se gausse Justin.

– Et alors, ils sont mignons, non ? Répond Isabelle Libère ta queue, je vais faire comme ma mère, ça m’a donné des idées.

 

Alors Isabelle après avoir usé de son talent pour sucer le bite de son compagnon procéda comme sa maman, lap dance, déshabillage, empalement et jouissance.

 

Quant à Béatrice et Solène…

 

Mais où sont-elles passées ces deux-là ?

 

Chut ! Elles sont montées dans une chambre, elle savent qu’elles ne se verront sans doute plus de si tôt, alors elles en profitent, se lèchent, se caressent, se donnent du plaisir… Mais ne les dérangeons pas… et c’est d’ailleurs la fin de cette histoire !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:00

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 13 – Méga partouze par Maud-Anne Amaro

StampFFH

Jeudi 23 avril

 

Tout est prêt pour le départ, Justin et Isabelle vont encore rester quelques jours pour surveiller la mise en place de l’ascenseur, mais le professeur Martinov et Béatrice vont rentrer à Paris. Justin les accompagnera à la gare de Briançon en début d’après-midi.

 

– Et toi Solène ? Lui demande Martinov

– Je vais monter à Paris aussi, je n’ai pas pris de décision, de toute façon si je veux rejoindre Corentin, il ne va pas rester là.

– Tu vas voyager avec nous, alors !

– Oui.

 

Mais voilà que devant la grille du gite rural apparaissent trois jeunes femmes. Tout le monde reconnait Dorothée, mais seule Béatrice sait qui sont les deux autres.

 

– Bonjour ! On passait par là ! Commence Dorothée, je vous présente Vicky et Mariette, des copines de la ferme. En fait on a un service à vous demander, on peut entrer cinq minutes ?

– Entrez, vous voulez boire quelque chose ? Demande Isabelle jouant les maitresses de maison. Coca ? Bière ? Perrier ?

– Il y a une éternité que je n’ai pas bu de Coca ! En fait voilà explique Vicky, on a de l’argent pour s’acheter une chèvre, mais on a pensé qu’une deuxième chèvre se serait pas mal, mais on n’a pas d’argent pour la seconde chèvre.

– Fichtre ! S’étonne Isabelle. Et ça coute combien une chèvre ?

– 100 balles !

– Ah ben…

– En mettant 20 balles chacun, ça peut le faire ! Propose Béatrice.

– On a rien à vous donner en échange, on a que nos charmes, mais vous n’allez pas nous demandez ça, vous êtes des gens bien élevés. Reprend Vicky.

– Remarquez, on est pas farouche non plus, mais disons qu’il ne faut pas tout mélanger ! Ajoute Mariette.

– Bon tout le monde est d’accord ? Demande Béatrice.

 

Du coup, elle fait la quête, tandis qu’Isabelle va chercher des boissons.

 

Un qui a des idées salaces, c’est Justin.

 

« Pas farouches, les belettes, mais comment déclencher quelque chose sans passer pour le roi des goujats. »

 

Alors il demanda carrément :

 

– Quand vous nous dites que vous n’êtes pas farouches, nous devons prendre ça comment ?

 

Mariette embêtée finit par répondre une grosse bêtise :

 

– En fait je me suis mal exprimée, en fait je voulais dire on est très farouches.

– D’ailleurs ça se voit ! Renchérit Vicky.

 

Et tout le monde de rigoler de bon cœur.

 

– On a cru comprendre, reprend Vicky que côté sexe vous étiez plutôt libérés, non ?

– On peut dire ça comme ça ! Répond Justin

– Ben nous aussi, voilà. ! Dit Mariette

– Mais ce n’est pas parce que des gens libérés rencontrent des gens libérés que ça doit se transformer systématiquement en partouze ! Ajoute Vicky.

– Non, c’est pas systématique mais ça reste une éventualité ! Tient à préciser Mariette.

– Vous jouez à quoi en ce moment ? Demande Isabelle avec amusement.

– On se demandait… Commence Mariette

 

Mais elle s’arrête, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Vous vous demandiez quoi ? Insiste Isabelle.

– Ben on se demandait si éventuellement on pourrait faire quelques trucs ensemble… Précise Vicky.

– Mais on n’insistera pas, ce n’est pas notre genre, on va vous laisser… Ajoute Mariette.

– Et si je vous disais que ça peut m’intéresser, ce serait à quelles conditions ! Demande Justin.

– Tout dépend du nombre de personnes intéressées, on peut faire selon… Evidemment ce serait contre un petit dédommagement.. Précise Vicky.

– Vous allez croire qu’on fait les putes, mais en fait ce n’est pas dans nos habitudes… mais parfois c’est l’occasion qui fait le larron. Ajoute Mariette.

– Et ce serait combien ? Demande Justin.

– On n’est pas trop au courant des tarifs… vous nous donnerez ce que vous voudrez.

 

Justin sort deux billets de son portefeuille et les tends à Vicky.

 

– Ça ne me regarde pas, mais ça fait peut-être un peu juste ! Intervient Solène qu’on avait pas encore entendu jusqu’ici.

– J’ai plus de liquide, Martinov, tu en as aussi.

– Je ne vais quand même pas te laisser tout seul ! Dit-il en sortant deux billets à son tour.

– Comment on fait ? Tout le monde veut participer ? Demande Vicky.

– Moi je ne participe pas, mais je veux bien regarder. Déclare Solène.

– Je suppose que vous n’avez rien contre les femmes ? Se renseigne Isabelle.

– Béatrice ne t’as pas raconté ?

– Si justement, alors pour moi c’est d’accord.

– Et moi aussi ! Ajoute Béatrice.

 

Vicky, toujours très directive, propose à tout le monde de se mettre à poil, ce que tout le monde fait à l’exception de Solène.

 

– Ah ! Intervient Mariette, on voudrait vous demander un petit plus : On s’est laissé dire que vous, les deux messieurs, vous faisiez aussi des trucs ensemble. On pourra voir ?

– Pas de problème ! T’es d’accord Martinov ?

– Bien sûr.

 

Le professeur se demande qui va s’occuper de lui, difficile, certes Mariette à la plus belle poitrine, mais Vicky dégage un charme sauvage…

 

Mais c’est vers Justin que Vicky se dirige, elle l’enlace, l’embrasse, et lui tripote les tétons. Bien sûr il se laisse faire et lui rend la pareille.

 

Dorothée est allée trouver Béatrice et Isabelle sur l’air de « coucou me revoilà ! ». Et en instant les corps se mélangent, les mains tripotent et les bouches embrassent, lèchent et sucent.

 

Prise de vitesse, Mariette n’a pas d’autre choix que de venir solliciter le professeur Martinov qui l’accueille en lui soupesant les nénés.

 

– Ben dis donc tu bandes bien, toi ? Lui dit-elle

– Faut pas se plaindre !

– C’est la première fois que je vais sucer une bite de vieux !

– Ça ne t’embête pas, j’espère ?

– Mais pas du tout ! D’ailleurs t’as pas une bite de vieux ! Attention, je vais la mettre dans la bouche !

– Hum tu suces bien ! Tu peux me pincer un peu mes tétons en même temps ?

– Mais bien sûr Milord !

 

Un peu plus loin, Vicky s’activait sur la bite de Justin, la suçant en de long va-et-vient dans sa grande bouche gourmande, tandis que son doigt lui pénétrait l’anus.

 

– Ne jouis pas, je veux te voir faire des choses avec le petit vieux.

– Ne t’inquiètes pas, on va te faire ça comme des chefs tu vas t’en foutre plein les mirettes .

 

Toutes ces petites saynètes finissent par exciter la belle Solène qui se dit que décidemment rester spectatrice n’est peut-être pas une excellente idée.

 

Alors elle se déshabille complètement et s’approche des partouzeurs et c’est sans doute inconsciemment qu’elle s’approche du couple formé par Justin et Vicky.

 

– W?h ! T’es super bien gaulée, toi ? La félicite cette dernière.

– J’ai été mannequin, ma chère !

– Tu t’es mis à poil pour mieux regarder ou tu veux participer un peu ?

– Devine !

– Approche toi de nous. Tu sais je n’ai jamais caressé une black

– Il parait qu’on a la peau douce !

– Voyons voir ! Ne t’inquiète pas, Justin, je ne t’abonne pas, je fais seulement un petit câlin a cette charmante personne.

 

Vicky commence par caresser les doux bras de la jolie métisse, parce qu’il faut bien commencer par quelque chose, puis s’attaque de suite à sa magnifique poitrine dont elle lèche les bouts avec délectation

 

– C’est fou ça ! Dit soudain Solène.

– C’est quoi qu’est fou ?

– Tu ne vas pas me croire, mais jusqu’à ces quinze derniers jours, aucune femme ne m’avait caressé, je veux dire caressée comme tu me le fais.

– Et qu’est ce qui t’as fait changer d’avis ?

– Un concours de circonstances, c’était dans la grotte, j’étais avec Béa, elle m’a aguiché, moi j’étais stressée, l’esprit ailleurs, elle m’a proposé un massage, elle m’a tripoté le cul et les choses se sont enchaînées. Je le regrette pas, j’ai découvert quelque chose, même si je préfère les bites.

– On le suce à deux ?

– Bien sûr, mais il ne faudrait pas qu’il jouisse

 

Et c’est donc deux langues qui s’occupent maintenant de la bite de Justin. Il se demande s’il va être capable de se maîtriser. Sinon il faudra attendre un petit délai, le temps qu’il recharge les batteries, mais ces demoiselles l’attendront-ils ?

 

Mais voilà que Mariette arrive tenant pas la main le professeur Martinov.

 

– Les garçons vous nous aviez promis une petite démonstration…

 

Solène et Vicky ont lâché leur proie, laissant la place disponible pour Martinov.

 

– Non, non, il faut que je fasse reposer Popaul un petit peu, c’est moi qui vais te sucer. Propose Justin

 

Qu’à cela ne tienne ! Les deux hommes permutent et Justin vient sucer le professeur pour le grand plaisir des yeux de Mariette et Vicky qui n’ont jamais eu l’occasion d’assister à ce genre de spectacle en live.

 

– Alors qui c’est qui encule l’autre ? demande Vicky.

– Euh, les capotes ! Quelqu’un sait où sont les capotes.

– Sur le buffet ! Lui répond Isabelle, interrompant un moment le cunnilingus qu’elle était en train de pratiquer sur la chatte de Dorothée.

 

Les deux hommes se demande qui va baiser l’autre. Mariette intervient pour les départager.

 

– J’aimerais bien que ce soit Martinov qui encule Justin.

 

Comme c’est demandé fort gentiment, le professeur qui aurait tout de même préféré le contraire, vient lécher l’anus de son complice puis s’encapote et le sodomise en cadence sous les encouragements des petites rebelles.

Ours13

Il ne va pas jusqu’au bout, souhaitant conclure avec Mariette, à moins que les filles décident de permuter…

 

Effectivement !

 

– Tu me le laisses ! Demande Mariette à sa petite camarade qui accepte.

– Tu viens sur moi ? Propose alors Martinov à Vicky en se couchant sur le dos affalé sur le canapé après avoir changé de préservatif.

 

Vicky s’empale alors sur le vit bien bandé du professeur et commence une série de « montée-descente » aux termes desquels l’homme finit par éjaculer en suant comme un bœuf

 

A côté Mariette s’est placé en levrette et subit les coups de boutoir de Justin qui après quelques mouvements dans son vagin a choisi de terminer dans son cul.

 

Dorothée, Béatrice et Isabelle se sont retrouvées sur le sol complètement emmêlées à ce pont que Béa est un moment incapable de savoir à qui appartient le doigt qui lui trifouille l’anus

 

Mariette a pris son plaisir, mais ce n’est pas le cas de Vicky qui agrippe Solène par la main en lui disant :

 

– Fais-moi jouir !

 

Alors la belle métisse plaque son visage sur la jolie chatte de Vicky, lui lape la mouille qui coule d’abondance et l’emmène au paradis

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 09:55

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 12 – Solène, Martinov, Caribou… par Maud-Anne Amaro

Solene

 

– Alors t’as pris une décision ? S’amusa à lui demander Béatrice.

– Non toujours pas, Répond Solène, Donc pour l’instant je reste là et puis j’ai fait une promesse à Martinov, je tiens toujours mes promesses.

– Je ne te demande pas quelle promesse ?

– J’ai toujours eu un faible pour les petits vieux…J’ai envie d’être salope, je l’ai toujours été un peu, mais avec toi, ça ne s’est pas arrangé.

– Alors bonne bourre !

– Au fait il est comment Martinov au plumard ?

– Doux comme un agneau !

– Super !

 

Rémy dans un accès de colère envisagea d’abord de traîner le corps de Caribou jusqu’au bord du précipice et de l’y balancer au fond, .mais se dit ensuite qu’il culpabilisait déjà avec la mort de Louison et qu’il était inutile d’en rajouter.

 

– Et puis je voudrais quand même savoir pourquoi il venait m’agresser au chant du coq .

 

Rémy allongea donc Caribou dans un coin de sa baraque, il n’eut pas l’idée de l’attacher et s’en alla vaquer à ses occupations matinales.

 

Caribou finit par se réveiller avec un affreux mal de tête, il s’étonna d’être toujours en vie, constata l’absence temporaire de Rémy et remarqua que celui-ci avait posé son gourdin pas trop loin.

 

– C’est peut-être ma dernière chance !

 

Et quand Rémy revint, celui-ci ne se montrant pas méfiant pas reçu un coup de gourdin en plein visage et tomba sans connaissance. Juste retour des choses !

 

Caribou commença par se chercher à boire, trouva une bouteille de mauvais vin et s’en envoya un rasade. Un vieux saucisson lui calma un peu sa faim. Il chercha du tabac mais Rémy ne fumait pas.

 

Caribou s’empressa de lui emprunter des vêtements, mais quand il voulut enfiler ses chaussures, ce fût la catastrophe, Rémy faisait deux pointures de moins que Caribou et ses chaussures étaient impossibles à enfiler.

 

– Putain, mais c’est pas vrai, se faire emmerder comme ça par une paire de pompes, il ne peut pas avoir des pieds comme tout le monde, cet abruti !

 

De rage, il balança les chaussures dehors et se mit à fouiller dans l’incroyable fouillis de la cabane de Rémy, il trouva une paire de basquets en très mauvais état et évidemment trop petites.

 

« Je suis trop con, comme si j’allais trouver des godasses à ma taille dans son merdier ! »

 

L’idée lui vint cinq minutes après, il récupéra la paire jetée dehors, trouva des ciseaux avec lesquelles il ouvrit l’extrémité puis retira le contrefort du talon.

 

– Ce n’était pas terrible mais en attendant mieux… Et maintenant que faire ?

 

Il envisagea d’abord d’aller tout de même à la ferme, Louison y avait laissé ses affaires et peut-être possédait-il des chaussures de rechange ? Mais cela supposait toute un procédure, attendre que ces demoiselles s’en aille faire un tour … non l’interminable attente devant la cabane de Rémy l’avait vacciné.

 

– Je vais me barrer d’ici, j’en ai trop marre…

 

Il décida malgré tout d’aller voir du côté de la grotte si parfois il lui venait une idée .

 

Il a du mal à s’approcher, le site étant encombré par l’échafaudage renversé. Il parvint néanmoins au pied de la paroi, il découvre un piton à moins de deux mètres, puis d’autres espacés d’environ 80 centimètres.

 

– Si j’essayais de grimper ?

 

Il essaie. A force de volonté et de ténacité, il parvient à la hauteur de la grotte et n’en est pas peu fier.

 

Sauf qu’arrivé presque en haut, sa chaussure droite se met à chasser, impossible de la redresser dans sa position, il tente de bouger son pied avec le minimum de mouvements.

 

Peine perdue, la chaussure dégringole.

 

– Il y a des jours où tout va mal !

 

Il n’a pas pris de torche et ne peut apercevoir les fausses peintures de Verrier qui de toute façon ne sont pas dans la première salle.

 

– Mais c’est quoi ce bordel ? Il n’y a rien dans cette grotte !

 

Il décide de se reposer un peu avant de redescendre

 

Il lui faut d’abord essayer de régler le problème de son pied droit. Il a l’idée de déchirer le tee-shirt piqué chez Rémy et d’en faire des bandelettes mais le résultat le déçoit :

 

– Ça va glisser ce truc-là, autant laisser le pied nu.

 

Et le moment venu, il cherche du pied son appui sur le premier piton.

 

– Je fais .comment après ?

 

En fait, Caribou est saisi du syndrome du chat perché, celui qui peut monter mais s’avère être dans l’incapacité de redescendre.

 

Il se fait violence pour essayer, mais la phobie du vide l’envahit et le fait renoncer.

 

Il panique, ne sait que faire, finit par gueuler des appels au secours que seul l’écho de la montagne daigne lui répondre.

 

Alors il attend, il ne sait pas ce qu’il attend mais il attend. Il a soif et se rend compte que cela va poser un sacré problème. Il ne voit pas comment signaler sa présence et se met à effectuer des moulinets stupides avec les bras tout en braillant comme un veau qu’on égorge.

 

Pas moyen non plus d’explorer la grotte dont le fond est noir comme du charbon.

 

– Si seulement j’avais un briquet, mais je n’ai rien du tout.

 

Il resta ainsi jusqu’à la tombée de la nuit, sans que rien ne se passe et finit par s’endormir.

 

Solène

 

Solène ne s’est pas douchée après sa petite sauterie avec Béatrice ! Non elle veut garder l’odeur de leurs ébats.

 

Elle cherche Martinov qui prend le soleil sur une chaise pliante devant l’entrée du gîte en lisant un bouquin..

 

Elle a envie d’être salope, aussi c’est sans préambule qu’elle s’approche du professeur en lui mettant carrément la main à la braguette.

 

– Alors papy, je t’avais fait une promesse, je tiens toujours mes promesses. On y va ?

– Là comme ça, tout de suite ?

– Ben oui ! Allez debout, tu ne vas pas le regretter ! Je vais mettre toute ta bite dans ma bouche !

– J’en frémis d’avance !

 

En chambre, Solène ne s’embarrassa pas de procédure et se retrouva à poil en deux temps et trois mouvements.

 

– Alors Je te plais ?

– Vous êtes très belle ! Superbe, même !

– Tu peux me dire « tu » !

– Alors, t’es superbe !

– Tu vas pouvoir me caresser et me baiser, mais t’attends quoi, t’es pas encore à poil ?

 

Il se dépêcha donc de se déshabiller, conscient que son corps fatigué faisait pâle figure en compagnie de ce canon. Il se demanda ce qu’elle pouvait bien lui trouver.

 

Solène s’est assisse sur le bord du lit, Martinov s’approche doucement pendant qu’elle l’attend pour le sucer.

 

– Assis-toi à côté de moi, mon pépère. Tu te demandes pourquoi je t’ai embarqué avec moi ? C’est ça ?

– Un peu, oui !

– Je vais te dire ! Tu sais quand je t’ai vu sucer la bite de Justin, je ne sais pas ce que ça m’a fait, j’ai ça trouvé tellement érotique, pervers, je ne trouve pas les mots, mais ça m’a excité un max. Tu fais ça souvent ?

– En fait, non je ne cherche pas, mais quand j’ai l’occasion…

– Et tu aimes ça sucer des bites !

– Oui j’aime bien.

– Et tu fais ça depuis longtemps.

– Non, j’ai eu quelques expériences au collège, j’ai sucé quelques bites avec plaisir, mais ça ne m’empêchait pas de mater les filles. Un jour j’ai emmené à la maison un camarade de classe qui était aussi obsédé que moi, mes parents n’étaient pas encore rentrés. On s’est sucé et un moment le gars m’a proposé qu’on fasse « une bite au cul », c’était ses paroles exactes. Mais je me suis dégonflé, après je l’ai regretté et j’ai longtemps fantasmé là-dessus.

– Tu n’as pas concrétisé ?

– Non pas à l’époque, en fait je culpabilisais un peu, je ne trouvais pas ça « normal », alors j’ai eu quelques copines, un gros chagrin d’amour… mais je ne vais pas te raconter ma vie.

– Mais la sodo t’a concrétisé quand ?

– Un jour nous étions avec Béatrice à démêler une histoire très compliqué, un curé qui faisait pleurer des larmes de sang à une statuette de la Vierge Marie…

– Non ?

– Si, si je t’assure ! Le curé était en fait un espèce d’escroc, mais l’affaire s’est bien terminée, on s’est retrouvé à quatre dans une chambre d’hôtel, on venait de vivre des moments difficiles, très pénibles, on avait tous envie de déstresser, et puis ça a été un concours de circonstances. Toujours est-il que j’ai sucé le curé et que je me suis laissé sodomiser. Je ne l’ai pas regretté (voir Professeur Martinov et la vierge de Cardillac)

– Tu sais j’ai adoré vous regarder, Justin et toi quand vous vous êtes enculés.

– T’es une coquine, toi !

– Reste assis comme tu es, je vais te chauffer un peu et après je veux que tu m’encules, j’ai apporté des capotes.

 

Solène se mit à genoux entre les jambes du professeur et englouti sa bite tandis que ses mains lui attrapaient les tétons afin de bien les tortiller.

 

C’est qu’il bandait fort notre vert professeur !

 

– Hum, j’adore ça sucer des bites ! Commenta Solène. On est tous les deux des suceurs de bites.

– Hi Hi !

Dis-le que tu es un suceur de bites !

 

« Si ça peut lui faire plaisir… »

 

– Je suis un suceur de bites.

– Couche-toi sur le lit, je vais te faire un truc… non, non laisse tes jambes comme ça, voilà.

 

Solène mouille deux doigts et les introduit directement dans l’anus du professeur qui pousse un « Oh » de surprise mais apprécie la chose.

 

– Tu aimes mon doigt dans ton cul !

– Oui, oui, continue !

– C’est normal que tu aimes ça, tu es un petit enculé, non ?

– Si tu veux !

– Au moins t’es pas contrariant, toi ! Allez maintenant c’est à toi de jouer, je veux que tu m’encule aussi bien que tu as enculé Justin.

 

La belle se mit en levrette et attendis l’assaut, mais Martinov est subjugué par la beauté de son fessier dans cette position obscène.

 

– T’attend quoi ? La chute des feuilles ?

– Non j’admirais tes fesses, elles sont superbes ! Je peux lécher un peu !

– Mais bien sûr mon pépère !

Ours12

 

Alors le professeur se régale en humectant l’anus de la blackette de sa langue. Puis ne pouvant pas faire ça éternellement il s’encapota et la sodomisa.

 

L’affaire ne traîna pas, Solène était excitée à la fois par la situation et par les coups de boutoir que lui portait Martinov. Elle jouit dans un râle, il en profita pour accélérer et terminer sa petite affaire.

 

– Enlève ta capote, je vais te nettoyer la bite, j’adore lécher du sperme.

 

Un beau trip, mais ce qui rendit le professeur tout chose c’est quand Solène avant de quitter la chambre le gratifia d’un long baiser baveux.

 

Lundi 20 avril

 

Rémy reprit conscience avec la haine au cœur. Que signifiait cet acharnement avec lequel Caribou le harcelait ? Il avait fait ce qu’on lui avait demandé, alors il était où le problème ? Au fait que quand l’échafaudage était tombé, il y avait du monde dans la grotte. Une faute peut être mais pas de nature à justifier cette hargne contre lui.

 

Il ne comprenait pas, mais il lui semblait qu’il devait y avoir un autre rapport avec la grotte. Quel rapport ? Il lui faudrait le découvrir.

 

Alors il se dirigea en sa direction, ne vit rien mais ne s’avoua pas vaincu. Il s’assit en pleine nature à la façon des moines bouddhistes et attendit. Au bout d’une heure, peut-être davantage, il aperçut une silhouette s’agiter à la sortie de la grotte.

 

– Caribou ! Je ne sais pas comment il est arrivé là-dedans mais on dirait bien qu’il est coincé. Qu’il crève !

 

Au petit matin, souffrant de froid, de faim et de soif, Caribou commence à désespérer. Il ne voit aucune issue sinon la mort.

 

« J’attends encore un peu et j’essaierai de descendre, crever pour crever je préfère tomber dans le vide que de crever ici. »

 

Mais il n’arrive pas à se décider et passe une deuxième nuit comme la première.

 

Mardi 21 avril

 

Caribou comate. Il n’a aucune notion de l’heure mais perçoit d’étranges cliquetis métalliques, il se précipite au bord de la grotte, et aperçoit deux ouvriers casqués en jaune. Des types venant récupérer les éléments de l’échafaudage. Il crie, il gesticule et on finit par le voir.

 

– Venez me chercher, je suis coincé, je suis malade.

– Vous avez fait comment pour monter ?

– Peu importe, je ne peux pas redescendre, prévenez les secours.

 

Remy vit l’hélicoptère se diriger vers la grotte il s’approcha et pu voir les secours tracter le corps de Caribou.

 

– On est pas près de le revoir dans le coin, ce connard !

 

Il se rendit à la ferme, rencontra très brièvement Vicky et Mariette, les informant que si elles avaient besoin de ses services, il était toujours disponible.

 

Elle lui répondirent froidement que pour l’instant elles n’avaient pas besoin de lui et qu’il n’était vraiment pas souhaitable qu’il revienne trainer par là.

 

– Les femmes sont méchantes… ronchonna-t-il en s’en allant, dépité

 

L’hélicoptère emmena Caribou à l’hôpital de Briançon. On diagnostiqua une déshydratation et un état de choc. Quand les gendarmes tentèrent de l’interroger, ils renoncèrent assez rapidement.

 

– Vous n’avez pas de papiers ?

– Elles m’ont tout pris, les salopes

– Qui ça ?

– Vicky et Mariette elles se sont alliées avec la bourgeoise pour détruire la montagne.

– Hum, et comment vous êtes arrivé dans cette grotte ?

– J’ai grimpé.

– Mais pourquoi ?

– Pour protéger la montagne… On ne doit pas toucher à la montagne, la montagne c’est sacré, vous entendez ça : sacrée ! SACREE !

– On se calme !

 

On lui administra un sédatif, les interrogatoires suivants ne donnèrent rien, on l’identifia à l’aide de ses empreintes digitales, le type était connu des services de police pour des délits mineurs tous commis en région parisienne, mais n’était pas recherché. et au bout de quelques jours les médecins décidèrent son transfert en établissement psychiatrique.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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