Partager l'article ! Pr Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 1: Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 1 – Surprenante Isabelle par Maud-Anne Amaro ...
Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 1 – Surprenante Isabelle par Maud-Anne Amaro
Retrouvons donc notre coquin de professeur Martinov, chercheur indépendant, sexagénaire et assez porté sur le sexe, toujours flanqué de sa fidèle et jeune collaboratrice, Béatrice Clerc-Fontaine, vraie blonde et peu farouche.
Leur cabinet de consultation et leur laboratoire se situent à Louveciennes, banlieue cossue de l’ouest parisien.
Vendredi 10 avril
Aujourd’hui ils reçoivent un couple qui prétend avoir trouvé des choses étranges dans une grotte peu accessible du massif alpin.
– Justin Verrier ! Se présente l’homme et voici Isabelle Tortelli, ma collaboratrice.
Décrivons ces deux personnages puisque leur rôle dans cette histoire sera important.
Justin doit avoir la cinquantaine, cheveux déjà blanc coupés courts, bronzé, allure décontractée, très play-boy sur le retour. Isabelle a la quarantaine, très souriante, visage agréable, lunettes à grosses montures, cheveux bruns et bouclés mais surtout poitrine conséquente. Elle est habillée d’une veste de tailleur pied de poule ouverte sur un chemisier blanc, et d’une petite jupe noire descendant à mi-cuisses, ce qui lui permet d’exhiber de jolies gambettes gainées de voile noir.
– Voici quelques photos prises dans la grotte, on n’en a pas pris beaucoup parce que la lumière est susceptible de dégrader les dessins. Là elles ont été éclaircies par l’ordinateur, ce ne sont pas les couleurs réelles…
– Et qu’est-ce qui vous fait penser qu’il s’agit de peintures rupestres ? Demande le professeur.
– Je n’ai jamais dit qu’elles étaient rupestres.
– C’est quoi alors ?
– Ce sont des dessins faits dans une grotte, nous avons demandé une datation au carbone 14, les dessins dateraient du 1er siècle, vous voyez que ça n’a rien de rupestre.
– D’accord, d’accord, et ensuite ?
– Ce qui est intéressant, c’est ce qui est dessiné, regardez ce bonhomme, d’après vous il a quoi sur la tête ?
– Je ne sais pas moi, une capuche ? Répondit Martinov.
– Et vous mademoiselle ?
– Moi je dirais un casque de sorcier ? Répondit Béatrice.
– Ben vous n’y êtes pas du tout, c’est un casque de cosmonaute. Répondit-il avec un sérieux pontifical.
Une réflexion qui provoqua un ricanement nerveux du professeur Martinov, tandis que Béatrice s’esclaffait.
– Ah, ah ! Difficile à croire n’est-ce pas ? Reprit Verrier. Et ça ?
– Des dieux romains qui volent dans un coquillage, c’est pas ça ?
– Ben non c’est un vaisseau spatial individuel, une navette ni vous préférez..
Voilà qui provoque un nouveau sourire amusé de Béatrice qui vu la tournure des événements ne fait rien pour le dissimuler. Elle ne s’attendait pas du tout cependant à ce qu’Isabelle lui renvoie ce sourire en complicité. Un très étrange sourire à ce point que la jeune chimiste se mit à rougir de gêne.
– Bon, reprit Martinov, on va arrêter de jouer aux devinettes, vous croyez aux OVNIs, c’est votre droit mais vous n’arriverez pas à me convaincre et de toute façon je suppose que vous n’êtes pas là pour ça. Donc la bonne question est « Qu’attendez-vous de nous ? »
– Mais qui vous a dit que je croyais aux OVNIs, mon cher professeur ?
– J’avais cru comprendre…
– Mais non, mais non, je vous expliquerais en détail si nous faisons affaire. Alors pour répondre à votre question, nous souhaitons sécuriser ces dessins. Est-ce que vous savez faire ?
– Une protection comme à Lascaux ? Demanda Béatrice.
– Quelque chose dans le genre, oui !
– Et pourquoi ne pas faire intervenir le ministère de la culture…
– C’est ma découverte, je veux que ça reste privé, de toute façon à part quelques gros trucs, tout ce qui est gallo-romain, ils s’en foutent un peu ! Des pièces romaines vous pouvez en acheter, il y en a plein aux puces et ce n’est pas trop cher. Donc vous sauriez faire ?
– Euh, vous permettez qu’on se concerte, ça ne va pas être long, passez dans la pièce d’à côté, on vous rappelle de suite.
– Tu sais faire ? Demande Martinov à sa collaboratrice.
– Oui, je peux leur proposer une exposition sous verre et sous vide. Du moins c’est l’idée, mais il faut qu’on se déplace sur les lieux pour se rendre compte et après on fera éventuellement un devis. Evidement on se fait payer le voyage et l’hôtel.
– Pas de problème, vous pourriez venir en début de semaine prochaine ? Répondit Verrier.
– Mardi !
– J’organise tout ça et je vous tiens au courant. Je vais vous faire parvenir vos billets de trains par porteur, en première bien sûr. La grotte est du côté de Briançon dans les Hautes Alpes.
Avant de prendre congé, Verrier demanda la permission d’utiliser les toilettes. Isabelle en profita pour entrainer Béatrice quelques mètres plus loin.
– Nous nous sommes déjà rencontrées, n’est-ce pas ?
– Je ne crois pas, non ? Répondit Béa
– Une ressemblance peut-être ou alors notre rencontre n’a été que furtive ?
– Allez savoir…
– J’aimerais beaucoup vous offrir un verre, toutes les deux en tête à tête, juste cinq minutes, je vous promets de ne pas abuser de votre temps.
Beatrice est surprise de cette proposition et ne sait quoi trop répondre.
– Euh, maintenant ?
– Comme vous voulez.
– Le bistrot n’est pas très proche.
– Ou ce soir quand vous aurez terminé votre journée
Bref, Béa lui explique qu’elle habite Paris et qu’elle rentre en train… qu’à cela ne tienne l’Isabelle qui a réponse à tout lui donne rendez-vous à l’angle des rues d’Amsterdam et Saint-Lazare à 18 heures
« Bon qu’est-ce qu’elle me veut cette pétasse ? Je parie qu’elle est gouine. Mais bon je vais essayez d’être diplomate, je m’en voudrais de froisser un client potentiel »
Elle est là, à l’heure, arborant un sourire carnassier. Les deux femmes s’installent dans le rade, Isabelle sur une banquette, Béatrice en face, Elles commandent et Isabelle attaque de suite :
– Bon, il est bien évident que cet entretien est complètement « off », je vais vous proposer quelque chose qui n’a rien à voir avec nos futures relations professionnelles, si vous refusez, cet entretien n’aura jamais existé. O.K. ?
– Que de mystère !
– Vous ne devinez pas ?
– Non, mais je vous écoute !
– J’aimerais beaucoup coucher avec vous.
Gloups !
Ce n’est pas tant la proposition elle-même mais la façon avec laquelle elle était formulée qui stupéfia Béatrice.
– Vous êtes directe, vous !
– A quoi bon tourner autour du pot…
– C’est moi le « pot » ?
– Mais non, c’est une expression, voyons !
– Je sais, je plaisantais !
– Alors ?
– Alors : non !
– Tant pis pour moi, on en restera là, je n’insisterai pas. Dit alors Isabelle.
– Quand même, ne le prenez pas mal, mais vous êtes gonflée !
– Qui ne tente rien n’a rien.
– Oui, mais vous avez fait comment…
– L’habitude, le feeling, la façon d’interpréter un sourire, un regard…
– Trop forte !
– On fait ce qu’on peut, je vous laisse, je vais payer les consos au comptoir. Nous nous reverrons à Briançon.
– Non restez !
– Parce que ?
– Parce que vous m’intriguez trop, et qu’il ne serait pas impossible que je change d’avis.
– A la bonne heure ! Je ne vous décevrais pas !
– Je n’ai pas encore dit oui !
– Et que faudrait-il pour que vous le disiez ?
– La balle est dans votre camp.
– Venez donc vous assoir à côté de moi, vous serez mieux.
– C’est pour me piéger ?
– Non, c’est pour vous montrer comment j’embrasse.
Les deux femmes sont à présent côte à côte. Béatrice ne l’a jamais vu d’aussi près, elle peut ainsi apprécier le grain de sa peau, les petites ridelles de plaisir aux coin des yeux, le minuscule duvet au-dessus des lèvres…
– J’aime comme tu me regardes. Lui dit Isabelle.
– Je ne le fais pas exprès,
– Tu parles ! Les femmes c’est une fantaisie, ou c’est ton truc.
– Déjà les questions intimes ?
– Si tu ne réponds pas, je peux deviner, tu es bisexuelle, mais c’est auprès des femmes que tu trouves de la tendresse, j’ai bon ?
– Trop forte, et comment t’as deviné ?
– Parce que je suis un peu pareil. T’as toujours été comme ça ?
– Toujours, je ne me suis jamais trop posé la question, tu sais la psychanalyse de bazar, ce n’est pas mon truc. A l’école de chimie, j’avais une bonne copine, on a joué à des jeux de plus en plus poussés, des petits bisous, des gros bisous,
– Et les garçons alors ?
– Bof, j’ai eu une liaison avec un garçon, j’en étais vraiment amoureuse et puis on a cassé… Avant j’avais été dépucelé par un bellâtre, tu sais le genre « je les baise toutes ». Je me suis laissé faire, il était beau… beau mais con, j’ai rien senti, et je n’ai pas eu envie de recommencer. Quand j’ai raconté ça à ma copine elle m’a fait venir chez elle, on s’est déshabillé, on s’est tripoté, on s’est embrassé un peu partout, on a même été plus loin…
– Plus loin ?
– Bof ! Des petits jeux de pipi, quoi.
– Hum ! Et tu aimes toujours ça ?
– Ma foi oui !
– T’aimerais goûter mon pipi ?
– En voilà une façon de draguer !
– J’ai toujours été atypique !
Et ce qui devait inéluctablement arriver arriva, les lèvres se rapprochèrent, le baiser devient vite profond, passionné et baveux.
– Faut pas vous gêner, les gouines ! Lance un type, pas très loin.
– Je t’emmène chez moi, c’est à cinq minutes de métro ? Propose alors Isabelle.
Du coup, les hésitations de Béatrice se sont envolées, et c’est toute guillerette qu’elle suit la jolie brune mature.
Pendant le court voyage, Isabelle meuble la conversation avec des questions bateaux : »Il y a longtemps que tu fais ce boulot-là ? Ça te plait bien ? Et avec Martinov, ça se passe bien ? »
– Dis donc tu ne serais pas un peu curieuse, toi ? Lui fait remarquer Béa.
– Je ne voulais pas l’être, pardonne-moi. Mais c’est vrai que je suis un peu curieuse, parce que travailler à plein temps avec un vieux bonhomme, ce ne doit pas être évident.
– Je ne m’en plains pas. Le professeur Martinov est un peu coquin, mais très correct..
– Coquin avec toi ?
– Oui, mais ce n’est jamais une corvée, j’aime bien m’amuser avec lui.
– Et tu t’amuses comment ?
– Si t’es sage, je te dirais tout, tout à l’heure.
– Mais je n’ai pas l’intention d’être sage.
– Alors, si t’es très coquine…
Arrivées chez Isabelle, dès que la porte fut refermée, cette dernière enlaça Béatrice la gratifiant d’un baiser aussi profond que baveux, à ce point que la salive dégoulinait de leurs mentons.
– Faut que je pisse maintenant sinon je vais faire dans ma culotte. Viens avec moi je vais essayer de t’en garder une goutte. Proposa la mature
Isabelle envoie valser sa culotte, relève sa jupe et s’assoit sur la cuvette.
– Qu’est-ce que ça fait du bien ! Commente-elle tandis que son pipi clapote dans l’eau dormante de la cuvette.
– Je n’ai pas vu grand-chose…
– On n’est pas pressé, approche-toi je vais essayer de t’en donner un peu. Indique Isabelle tout en rectifiant sa position de façon à ce que Béatrice puisse placer sa bouche devant sa chatte.
Isabelle ferme les yeux, se concentre…
– Ça vient, ouvre bien la bouche.
Il n’y a plus grand-chose, mais suffisamment pour que Béatrice très amatrice de ce genre de fantaisies puisse s’en régaler.
– Hum, c’est bon !
– Bien sûr que c’est bon, nettoie-moi la chatte maintenant avec ta petite langue de gouine.
– Je t’ai dit que je n’étais pas gouine !
– Tu ne veux pas me nettoyer ?
– Mais si !
Béatrice adore faire ça, sa langue va partout, pénétrant dans le petit écrin rose et léchant tous les sucs avec gourmandise, procédant en de larges balayages…
– Fais-moi jouir, fais-moi jouir… Implore Isabelle.
Qu’à cela ne tienne, la jolie chimiste fait virevolter sa langue sur le clitoris impertinemment érigé. La jouissance d’Isabelle est fulgurante..
Les deux femmes s’embrassent de nouveau. Béatrice tente de déshabiller sa partenaire, mais les deux femmes sont trop collées l’une près de l’autre.
– Attends, on va enlever tout ça ! Propose Isabelle.
Le déshabillage s’effectue à grande vitesse, elles ne gardent rien, ils n’y a que dans l’imagerie porno que ces dames gardent escarpins, bas et porte-jarretelles, mais en l’occurrence elles n’ont rien de tout ça.
Elle se font face, chacune se régalant de la vision de sa vis-à-vis. C’est Béatrice qui la première plonge son visage sur le sein qui lui fait face. Elle s’acharne à sucer le téton qui durcit entre ses lèvres. Mouvement de répit qui permet à Isabelle de lui rendre la pareille.
– Excuse-moi il faut absolument que je fasse caca ! Prévient Isabelle fort inopportunément.
– Dépêche-toi…
– Tu veux regarder ?
– Non, non…
Isabelle n’insiste pas, Béatrice la laisse aller, les réminiscences de ses quelques expériences scatos lui reviennent en mémoire : Mélanie, Brigitte, Florentine. Alors saisie d’une impulsion subite, elle rejoint sa partenaire aux toilettes.
– Finalement je vais te regarder faire.
– OK, je vais m’accroupir et me tourner, sinon tu ne vas rien voir.
Béatrice attend avec un zeste d’anxiété, elle a apprécié ses précédentes expériences en la matière (c’est le cas de le dire) Il n’y a aucune raison pour que cela se passe différemment aujourd’hui. Malgré tout ce mélange de fascination et de répulsion est toujours tenace.
Les choses vont très vites, un long et gros boudin brun s’échappe de l’anus d’Isabelle et atterrit avec un gros plouf dans l’eau dormante de la cuvette.
– Joli ! Parvint à dire Béatrice.
– Je m’essuie ou tu veux lécher ?
Excitée comme une puce, la jolie chimiste n’empressa de nettoyer les quelques taches qui polluait le pourtour de l’anus de sa partenaire.
– Allez viens, lui proposa cette dernière en la prenant par la main et en l’entrainant dans sa chambre.
Béatrice se retrouva sur le grand lit et Isabelle lui demanda qu’elle se couche sur le ventre.
– Hum ! Quelle jolie paire de fesses !
– On fait ce qu’on peut.
– Les petites fessées, t’aime bien ?
– Les petites, oui !
– Comme ça ? Répondit Isabelle en lui claquant le joufflu de sa main droite.
– Même un tout petit peu plus fort !
– Comme ça ?
– Oui vas-y
– Tu vas avoir le cul tout rouge !
– Pas bien grave !
– T’aimes les petites misères ?
– J’aime beaucoup de choses.
– Si je te mettais des pinces à linges sur les tétons ?
– Oui je veux bien.
Isabelle s’en alla chercher des pinces dans sa salle de bain.
– J’en ai choisi des rouges, c’est plus joli.
– T’as raison !
Elle fixa la première sur le téton doit de Béatrice.
– Aïe !
– Je t’ai fait mal ?
– Non, ça va !
– Alors on met l’autre.
Les pinces étant fixées, elle se mit à jouer avec, les tirant, les tournant, faisant augmenter la pression avec ses doigts.
– Oh, là là, qu’est-ce que tu me fais !
– Du bien, j’espère ?
– Oui, tu m’excites, tu me fais mouiller.
– J’espère bien ! Répondit Isabelle en roulant une gamelle à sa partenaire. Et maintenant à quatre pattes, tu voulais avoir le cul rouge, tu ne vas pas être déçue.
Et Isabelle se mit à taper à la volée, jusqu’à ce que le derrière de la jolie chimiste devienne cramoisie, cette dernière se complaisait dans cette situation à laquelle elle ne répondait que par de petits cris étouffés.
– T’es maso alors ?
– Je ne sais pas trop, disons que j’ai mes périodes où j’ai envie de trucs comme ça. Question de circonstances, de partenaires..
– Bouge pas je vais chercher un truc qui devrait te plaire.
Isabelle revint avec un godemichet assez fin et nargua sa camarade de jeu :
– C’est pour qui, ça ?
– Il n’est pas bien gros !
– C’est pour ton cul ! Ton petit cul de salope !
– Alors vas-y encule-moi !
Et après avoir habillée le dildo, Isabelle l’enfonça dans l’anus de la chimiste avec une facilité déconcertante.
– T’aime ça, hein ma salope ?
– Ouiiii !
– T’aimes ça, te faire enculer ?
– Pas toi ?
– Si !
– Alors on est des enculées, toutes les deux !
– Et fières de l’être en plus.
Isabelle agita tant et si bien le godemiché que Béatrice finit par jouir du cul en poussant un hurlement.
Après un moment calme et une petite cigarette, Béatrice posa la question qui lui brulait les lèvres (Ah, la curiosité féminine !)
– Toi aussi t’a commencé avec des copines de collèges ?
– Oui, mais la grosse révélation, c’est venu plus tard… avec ma mère !
– Quoi ?
– Je voudrais pas te choquer, je t’en raconte pas plus !
– Il n’y a pas grand-chose qui me choque ! Je ne suis pas choquée, je suis surprise, allez, raconte.
– C’est tout bête, un enchainement de circonstances…
Le récit d’Isabelle
Depuis quelques temps, ma mère avait un amant, un métis beau comme un dieu et vingt ans plus jeune qu’elle.
Je me touchais la foufoune en fantasmant sur lui, je l’imaginais à poil en train de baiser ma mère, bref ma mère qui n’était pas folle a bien vu comment je le regardais quand il venait à la maison.
– Il te plait Hyacinthe, hein ?
– C’est un beau mec, t’as bon gout.
– Tu sais, il ne te trouve pas mal non plus…
– Ah ?
– Ça t’intéresserait ?
– Maman !
– Je disais juste ça comme ça, n’en parlons plus et fais-moi un bisou.
Sauf que cette étrange proposition n’a cessé de me travailler et j’ai passé cette nuit-là très agitée avec la main dans ma chatte.
Et la matin, partant du principe qu’on ne vit qu’une fois et qu’il ne faut jamais passer à côté d’une occasion, c’est remontée comme un coucou que m’attablant aux côtés de ma mère pour prendre mon petit déjeuner je lui dis tout de go.
– Finalement, j’ai réfléchi, ta proposition, je crois bien que je suis d’accord.
– Quelle proposition ?
– Ben, Hyacinthe !
– Ah, mais c’est très bien ça !
– Concrètement, ça va se passer comment ?
– De façon tout à fait naturelle, quand il viendra, je vais lui dire que tu es d’accord pour faire un truc à trois.
– Non, non pas à trois !
– A combien alors ? Tu veux amener du monde ? Plaisanta-t-elle.
– Non je pensais que ça se passerait dans ma chambre, juste Hyacinthe et moi…
– Dis donc, je t’ai proposé de le partager, mais je n’ai pas envie qu’il me laisse tomber pour aller avec toi.
– Ne crains rien, ce sera juste un coup d’un jour…
– On dit ça… Bon on laisse tomber, mais la proposition pour le trio reste toujours valable.
– C’est gênant quand même !
– Qu’est ce qui est gênant ? De voir ta mère sucer une bite et se faire défoncer. Et ça va faire du mal à qui ? On est adulte, que diable !
Je n’ai formulé aucune réponse, mais je n’étais pas chaude, mais la nuit, l’image de Hyacinthe continua de me hanter. Je décidais donc de voir venir.
Le lendemain soir, Hyacinthe devait passer. J’étais fébrile, me demandant si j’oserai franchir le pas.
Et puis ça s’est passé de façon quasi naturelle, je me souviens que ce jour-là, Hyacinthe avait apporté un joli bouquet de roses rouges. Pour le remercier ma mère le gratifia d’un long baiser baveux et en même temps lui tripotait la braguette.
– Viens voir comme c’est tout dur là-dedans ? M’interpella Maman.
Je savais que si je tergiversais, l’occasion s’envolerait, alors j’ai touché sa braguette et quand ma mère m’a proposé de l’ouvrir, je ne me suis pas dégonflée.
– Vas-y sors lui la bite !
Mon dieu qu’elle était belle ! Toute marron, y compris le gland qui luisait, une bonne taille, mais pas monstrueuse non plus.
– Suce lui la bite, Isabelle !
Je n’ai pas hésité, l’instant d’après j’avais sa bite dans la bouche, elle fleurait bon, un gout un peu musqué, légèrement salé, une texture d’une incroyable douceur, une vraie gourmandise.
Ma mère a fini par me faire stopper et nous sommes allés dans la sa chambre.
Ma mère et moi nous nous croisions régulièrement dans la salle de bain complètement nues sans qu’il y ait la moindre ambiguïté, la nudité n’avait jamais été un problème à la maison, elle ne fermait jamais la porte quand elle faisait pipi ou caca, mais là le contexte était différent, elle allait se faire baiser… et puis je n’avais jamais non plus détaillé ses parties intimes.
Bref, j’étais un peu troublée, je me déshabillais et on se retrouva tous les trois à poil.
J’avoue avoir été déçu de voir Hyacinthe nu. Je l’imaginais fin, juste légèrement musclé alors que j’avais en face de moi un adepte de la gonflette. Ce n’est pas vraiment mon truc, mais je n’allais pas m’enfuir en courant non plus d’autant qu’il commença sans autres préalables à se jeter sur mes seins comme la pauvreté sur le monde en aspirant les tétons comme s’il buvait avec une paille.
– Eh ! Moins fort !
Mais non, il ne m’écoutait pas ! Je le lui redis et comme il ne m’écoutait toujours pas, je me dégageais et sortis du lit.
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Elle t’a dit d’arrêter ! S’étonna ma mère.
– Ben quoi, c’est pas de ma faute, si elle est en sucre ! Se justifia le bonhomme.
Je pensais ma mère face à un dilemme, soutenir sa fille ou défendre son amant. En fait elle n’hésita pas un seul instant.
– Prend tes affaires et barre-toi. Ordonna-t-elle à Hyacinthe
– Mais Fifine… (Ma mère s’appelle Delphine) J’ai rien fait de mal.
– Je n’ai pas envie de discuter, disparais et je ne veux plus te voir.
Le type ne fit aucun scandale, il pris ses affaire en tas, se rhabilla dans le couloir et disparut de nos vies.
Moi j’étais en larmes.
– Bon t’arrêtes de chialer, il est où le problème ?
– Je ne sais pas ce qui m’a pris, il me faisait mal, et quand je lui ai dit, il a continué.
– Eh bien comme ça, on sait à quoi s’en tenir, avec moi il n’osait pas prendre d’initiative, c’est toujours moi qui menait la barque, mais je connais ce genre d’attitude, une jour il aurait inversé les rôles. Cet incident m’a fait gagner du temps. Les amants, ce n’est pas ça qui manque, je suis encore désirable, non ?
– Je sais pas ?
– Comment ça tu ne sais pas ? Tu trouves que je ne suis pas désirable ?
– Je ne parlais pas de ça…Excuse-moi, si, tu es une très belle femme !
– Ah, j’aime mieux ça ! Quel con ce mec; allez maltraiter des beaux nichons comme ça !
Et tout en disant ça, elle me les caresse.
– Maman, tu fais quoi ?
– Des petites caresses !
– J’avais remarqué.
– Tu n’aimes pas ?
– Si, mais t’es ma mère !
– Veux-tu que j’arrête ?
La question qui tue ! Alors je ne sais pas pourquoi j’ai répondu !
– Non continue !
– Je vais te les embrasser !
Elle a posé ses lèvres sur mes tétons, les a gentiment léchés, faisant monter mon excitation. Puis elle m’a embrassé, pas le bisou maternel, non un vrai baiser entre deux amantes.
Elle s’est ensuite couchée sur le dos, les cuisses écartés
– Tu veux t’occuper un peu de moi ?
Ce fut mon tour de lui lécher la pointe de ses beaux nichons. J’étais contente de lui donner du plaisir, elle geignait, elle haletait.
– Tu me fais mouiller, ma fille, regarde un peu ma chatte !
Et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je descendis mon visage entre ses cuisses et pour la première fois de ma vie, je pouvais admirer ses trésors intimes. Une dernière hésitation.
– Vas-y Isabelle, lèche la moule de ta mère.
Alors je l’ai fait, elle était toute mouillée, j’ai tout de suite trouvé son clitoris, elle a jouit en moins d’une minute, m’a enlacée et m’a rendu la pareille. Nous nous sommes regardées en souriant, je n’ai eu aucun remord, aucune honte, j’avais trouvé ça très bien.
Je me suis posée des questions ensuite, je me suis demandé si mon attitude n’avait pas été une sorte de compensation pour me justifier d’avoir fait éconduire son amant balourd. Et puis j’ai arrêté de me poser des questions.
Nous avons recommencé… assez souvent et toujours avec le même naturel et la même décontraction. Qu’est-ce qu’elle est bonne la chatte de ma mère !
Je ne me suis jamais senti traumatisée ou choquée par ces rapports, encore une fois cela ne regarde que nous.
Fin du récit d’Isabelle
De nouveau Isabelle et Béatrice s’étreignirent et s’embrassèrent profondément.
– Elle est trop excitante ton histoire ? Lui dit Béatrice
– C’est vrai ?
– Oui j’aime bien les situations où on fout les tabous en l’air sans faire de mal à personne.
– T’aurais aimé voir ça !
– Tu m’étonnes !
– Remarque c’est toujours possible, je pourrais te la présenter et m’arranger pour que ça se termine en trio.
– Pourquoi pas ?
– T’es trop mignonne, toi ! Lui répondit la brune.
– Tu parles ! Et sinon t’en as d’autres des histoires cochonnes comme celle-là ?
– Oui, une fois j’ai sucé un chien !
– Oh ! Raconte !
L’autre récit d’Isabelle
Je m’étais fait draguer par une bourgeoise dans un café du Marais. Elle ne me laissait pas indifférente, elle avait un petit côté canaille qui le faisait bien.
Bref elle m’a emmené chez elle, on abrège les formalités, juste le coup à boire de politesse et on s’embrasse comme des salopes en se déshabillant mutuellement. On s’est retrouvées sur le canapé, à se ploter les nichons et la chatte.
Un moment, la bourgeoise est allongée de tout son long, les jambes semi-pendantes et je lui lèche son minou juteux. Son chien vient tourner autour de nous. Elle le laisse faire, moi je ne peux rien dire je ne suis pas chez moi.
Un moment je m’écarte juste un petit peu pour reprendre ma respiration et qu’est-ce que je vois, le clébard qui a pris ma place et qui se met à lécher la bourgeoise à grand renfort de coups de langue.
La nana se pâme, elle me demande si je veux essayer, j’ai hésité mais elle s’est montrée persuasive.
Alors je me suis fait lécher la foufoune par le chien, j’ai trouvé ça très agréable.
– Regarde comme il bande, ce salaud ! Me dit la bourgeoise !
Effectivement, je vois un long machin rouge, raide et gluant, la nana qui devait avoir l’habitude prend la bite dans la bouche et m’invite à la rejoindre. Je me suis lancée et j’ai gouté à cette bite. J’ai trouvé ça d’une perversité inouïe, je me suis prise au jeu, je n’arrêtais pas de sucer et de lécher.
– Tu veux te faire prendre ? Me demande-t-elle.
– C’est pas dangereux !
– Penses-tu ! Moi je le fais souvent !
On s’est mise ne levrette l’une à côté de l’autre et là ce fut fantastique, le chien allait d’un cul à l’autre en s’excitant comme un fou, j’ai joui plusieurs fois de suite, mais c’est dans la chatte de la bourgeoise qu’il a pris son pied, c’était marrant ils sont restés collé plusieurs minutes.
Fin du 2ème récit d’Isabelle
– Et tu as recommencé ?
– Quelques fois ! Et toi tu ne l’a jamais fait ?
– Mais si !
Et Béatrice lui raconta certaines de ses propres aventures canines.(voir les épisodes 5,15,17,20)
– Je te paie le restau ! Lui demande Isabelle.
– Pas ce soir, mais une autre occasion, pourquoi pas ?
En fait Béatrice n’avait pas envie de prolonger cette relation, c’était un coup d’un soir, un bon coup, mais elle évitait comme le diable toute situation qui pourrait déboucher sur quelque chose qui ressemblait à une liaison.
Isabelle n’insista pas et Béatrice pris congé après avoir pris une petite douche.
A suivre
Derniers Commentaires