Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 18:20

Chalet de fantasme
2 - En attendant Ludo....
Par Syvain Zerberg  

 

gay stamp

Thèmes abordés :  domination soft, exhibition, gay, party, prostitution, scato légère, uro. 

J'étais resté en contact avec Tommy, il ne s'agissait pas d'une liaison à proprement parler mais on était content de se retrouver deux ou trois fois par mois... Il avait toujours le projet de dépuceler son cousin et l'affaire put se concrétiser à la fin du printemps. Je me rendis donc chez mon ami, excité à l'avance par cette expérience qui promettait d'être curieuse.

 

Il m'accueille vêtu d'un simple bermuda avec le sourire, il n'est pas seul. Un autre homme assez brun de peau est déjà dans les lieux. Je suis assez surpris car il ne m'avait pas du tout décrit son cousin comme ça :

 

- Je te présente William, un ami, je me suis dit que pour le dépucelage de mon cousin, plus on serait de fous, mieux ce serait ! Mon cousin a eu un petit empêchement, il ne sera là qu'en fin d'après-midi...

- O.K. Enchanté !

 

Le mec me regarde de la tête au pied, c'en est gênant !

 

- Tu sais que William a les plus belles fesses de la région ! Me précise Tommy d'un ton égrillard.

- Ah ! Ah ! C'est vrai ça ? Répondis-je, histoire de dire quelque chose...

- Tu veux juger par toi-même ?

- Pourquoi pas ?

 

Le gars ne fait ni une ni deux, il se débarrasse à la vitesse grand V de son bermuda et de ce qu'il y a en dessous, et le voilà avec ses fesses à l'air. Jolies, même s'il n'y a pas de quoi hurler au miracle !

 

- On peut caresser, embrasser, lécher... surtout ne te gêne pas !

 

Une invitation donc ! Alors, je ne me gêne pas, je caresse, elles sont effectivement très douces. 

 

- Embrasse-les !

 

C'est presque un ordre ! Mais ce n'est pas une corvée !

 

- Voilà c'est bien ! Tommy m'avait bien dit que tu étais une petite salope...

 

Et tout en parlant, il s'écarte les hémisphères de ses fesses, me dévoilant son anus !

 

- Et maintenant tu me lèches le trou, et tu as intérêt à faire ça bien, je veux sentir ta langue ! Hein petite salope !

 

Non mais, il se prend pour qui celui-ci ? Du coup je me redresse...

 

- On verra peut-être ça plus tard... m'excusais-je !

- C'est comme tu veux ! Mais c'est peut-être dommage, parce que ça, tu n'y auras pas droit....

 

"Ça" c'est son sexe, à demi bandé qui me nargue, bel organe, que je ne peux m'empêcher de regarder avec une certaine convoitise.

 

- Ne me dis pas que tu n'aimerais pas la sucer ?

- C'est vrai qu'elle est belle !

- Oui, mais faut la mériter !

 

Je ne sais pas quoi répondre et cherche du "secours" en direction de Tommy. Mais le beau blond se contenta d'ôter à son tour son bermuda et de se branler lentement son joli sexe.

 

- Déshabille-toi ! Finit par me dire ce dernier !

 

Dans sa bouche, cela n'avait rien d'un ordre, plutôt une suggestion. Je n'avais cependant pour ainsi dire pas d'alternative ! Ça démarrait sexe. Ou bien je plantais ces deux-là ou bien je me pliais à leurs jeux.

 

- Déshabille-toi, Sylvain ! Tu ne vas pas me dire que tu ne veux pas jouer avec nous ! Regarde, deux belles bites pour ta bouche et pour ton cul... et tout à l'heure tu en auras peut-être une troisième...

 

C'est un argument comme un autre, je me débarrasse donc de mes vêtements à mon tour... j'ai à peine fini que le William vient m'inspecter les fesses...

 

- Un joli petit cul d'enculé ! T'aimes ça qu'on t'encule ? Hein !

- Ce n'est pas désagréable !

- Et tu te fais enculer souvent ?

- Non, juste quand je viens voir Tommy... mais tu en poses des questions toi...

- Et moi, tu aimerais que je t'encule ?

- Pourquoi pas ?

- Je t'ai dit faut le mériter ! Si tu ne me lèches pas le trou du cul, tu ne me suces pas et je ne t'encule pas...

- C'est du chantage ?

- Pas du tout, c'est un jeu !

- Alors si c'est un jeu...

- Et on va le reprendre le jeu... mais comme tout à l'heure tu n'as pas été sage, tu vas avoir un gage. 

 

Ça devient n'importe quoi, ce mec m'énerve ! Au moins avec Tommy les rapports sont simples, mais d'un autre côté je suis quand même assez excité... et surtout j'ai envie de sa bite, à l'autre...

 

- Tommy va te donner dix coups de martinets, et après tu t'occupes de mon trou !

 

Ce n'est que cela, je suis un tout petit peu maso, j'espère simplement qu'il ne va pas me taper trop fort.

 

- Bon d'accord !

 

Et pendant que Tommy est parti chercher l'instrument contondant, William me confie :

 

- J'adore ça dominer des mecs, tout à l'heure on dominera Tommy tous les deux, il aimera ça...

 

Je ne réponds pas, ce mec m'excite sans doute physiquement mais pour le reste il aurait tendance à m'énerver.... N'empêche que quand le blondinet revient avec le martinet, je me mets en positon, les fesses tendues, légèrement relevées, et j'encaisse la flagellation au martinet promise... Mais comme je le pressentais Tommy ne frappe pas trop fort... Reste à savoir si je vais continuer le jeu : du côté des inconvénients : être le jouet de ce type m'agace, du côté des avantages, profiter de son sexe m'excite... Alors, que croyez-vous que je fisse ?

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Le cul tout rouge et tout chaud, je me suis avancé vers le fondement de William que j'ai entrepris de sucer avec application, jusqu'à ce qu'un quart d'heure après, lassé sans doute de ma volonté de bien faire, il se retourna la bite dressée comme un étendard, devant ma bouche qui n'attendait que ça...

 

Alors je l'ai prise entre mes lèvres, sans faire de dentelles, l'engloutissant carrément, la coulissant en de longs va-et-vient. Tommy vint se placer aux côtés de son ami, mais je refusais l'offrande de sa bite, voulant montrer à l'autre de quoi j'étais capable, jusqu'où je pouvais aller... La queue de William était très dure dans ma bouche, il bandait vraiment à fond, et la sucer dans cet état était un plaisir redoublé. Un moment, je la sentis tressaillir, je savais pertinemment ce qui allait se passer, il hésita un bref instant puis se retira, pris quelques secondes de répit, avant de revêtir une capote, de me demander de me tourner puis de me fourrer son dard dans l'anus. Pas très douce, cette introduction, j'ai failli lui dire de se retirer mais après quelques instants pas trop agréable, cette curieuse sensation de "rempli" quand on se fait sodomiser m'envahit et me provoqua des frissons de plaisir. J'avais une bonne bite dans le cul et j'aimais ça ! Tommy se positionna devant moi, la pine dressée. Bien sûr je m'en emparais et m'en délectais de ma bouche gourmande ! Quel plaisir d'avoir une queue dans la bouche et une autre dans le cul !

 

William finit par décharger, et laissa la place à Tommy !

 

- Je n'ai pas pu me retenir de jouir... Allez, à ton tour d'enculer cette salope ! Dis-le-nous toi que tu es une salope !

- Oui, je suis une salope, j'aime les bites, j'aime qu'on m'encule, je suis un enculé....

 

Après tout si ce genre de propos leur fait plaisir...

 

C'est Tommy qui me besogne à présent, délicatement comme il sait si bien le faire mais, il est vrai que nous sommes maintenant habitués l'un à l'autre. Après une petite séance de va-et-vient, il se retira sans avoir joui, et sans enlever la capote, positionna sa queue devant ma bouche. Une queue qui sort d'un cul n'est pas toujours très propre...

 

- Nettoie et suce !

 

Cela aurait été William, j'aurais sans doute refusé, mais c'était Tommy, je respirais un bon coup et fis ce qu'il me demandait jusqu'à ce qu'il jouisse dans le condom d'une abondante giclée.

 

Je suis donc le seul à ne pas avoir joui, et comme personne ne semble vouloir s'occuper de moi, je me décide donc à me branler...

 

... et voilà que le portable de Tommy se met à sonner...

 

- Marcel ! Oui tu peux passer Marcel, je suis avec des amis, mais ce n'est pas un problème...

- Qui c'est Marcel ? Demande-t-on.

- Marcel, mais je ne vous ai pas raconté ?

 

L'histoire de Marcel par Tommy

 

C'était un après-midi, l'été dernier, on sonne à la porte, c'est Marcel un voisin d'une quarantaine années, il a des problèmes avec sa tronçonneuse, il a travaillé toute la journée et elle est tombée en panne, il me demande de me prêter la mienne pour finir le travail.

 

- Je vais vous la chercher, entrez cinq minutes, installez-vous dans le salon, vous prendrez bien une bière ?

- Avec cette chaleur, ce n'est pas de refus !

 

Je vais dans la cuisine, à ce moment-là on m'appelle sur le portable, rien d'important mais ça prend un peu de temps. Du coup quand je reviens le voisin a tué le temps en piochant dans mon porte-revues, et devinez ce qu'il a dans les mains : une revue porno gay !

 

- Vous avez des ouvrages passionnants ! Me dit-il avec un petit sourire entendu.

- Vous aimez ce genre-là ?

- Ça change... c'est pas trop mon truc, mais là c'est pas mal... Ils choisissent bien leurs modèles, ils ont des belles bites...

 

Je me rapproche du lui tandis qu'il continue à feuilleter et à commenter le magazine. Il n'est pas difficile de constater qu'il bande comme un cerf.

 

- Ça m'excite votre truc !

 

J'avais remarqué...

 

- C'est fait pour ça ! Répondis-je.

- Comme il lui suce bien sa belle queue, celui-ci... bon faut que je me calme...

- Vous aimez ça, sucer des belles queues ? Demandais-je

- Je suis hétéro, mais ça ne me déplairait pas, il y a des années que je n'ai pas eu l'occasion...

- T'aimerais peut-être me sucer la mienne ! Proposais-je tandis que je lui foutais la main sur son attirail.

- Parce que toi aussi...

- Ben, oui... dis-je ne me débraguettant et en exhibant mon sexe déjà tendu !

- Oh ! Que c'est beau !

- Oui, mais il y a juste un petit problème !

- Un problème !

 

Il devient anxieux le mec !

 

- Je me fais payer !

- Quoi, tu fais la pute ?

- Ça m'arrive, oui ! 

- Bon on laisse tomber... si vous pouviez aller me chercher votre tronçonneuse, il va falloir que j'y aille.

- On y va... et pour le reste si ça vous tente un jour, et que je suis libre, vous ne le regretterez pas... Je suis très doux et très discret.

- Ça m'embête de faire ça pour de l'argent... Heu, sinon tu prends combien ?

 

Je lui indique le prix.

 

- Et pour ce prix-là, je peux te sucer, on se suce tous les deux et... plus...

- Les plus c'est avec préservatif, mais tu m'encules ou je t'encule c'est comme tu veux.

- Bon alors d'accord...

 

Alors il m'a donné l'argent, et il m'a caressé la queue, puis il me l'a sucé... après il a voulu que je l'encule... je l'ai enculé et je le revois de temps en temps, ça me fait de l'argent de poche... c'est plus pour le principe que pour l'argent, je ne baise pas avec n'importe qui, mais s'il y a une compensation...

 

Retour au récit principal

 

- Ne jouis pas ! Me demande Tommy, comme ça tu pourras enculer Marcel.

- Hein ! S'il me plait pas, je n'y touche pas.

- Mais c'est toi qui vas gagner xxx euros.

- M'en fous ! Je ne te promets rien.

 

Et voilà Marcel ! Il n'a rien d'horrible cet homme, il n'est pas de notre génération, c'est tout. On ne s'est pas rhabillé et il reluque nos queues avec concupiscence.

 

- On vient de faire une petite partie, là, on est plus tout à fait au top... sauf Sylvain qui est resté en pleine forme... ça te dit de faire ça avec Sylvain !

 

Et tout en disant ça Tommy me tripote la queue pour la faire rebander.

 

- Oui, mais on fait ça où ?

- Ben ici !

- Vous allez regarder, alors ?

- Sauf si ça te gêne...

- Non, non !

 

Reste que je ne sais pas si je vais suivre... Me voilà un peu devant le fait accompli... Certes il n'a rien de repoussant mais il ne m'attire pas du tout... Et le voilà déjà en train de se déshabiller... Puis il m'attrape la queue, la branlotte quelques instants avant de la mettre en bouche. Je suis bien obligé de constater qu'il suce bien l'animal et que ma queue est redevenue parfaitement dure en très peu de temps. Bon dieu quelle langue de démon il a, le voisin, du coup, je lui dis :

 

- Tu suces bien dis donc !

- Tu me diras quand tu seras prêt à m'enculer...

- T'inquiète !

 

Il s'enhardit, me suce les couilles, me fait tourner, veut me sucer l'anus.

 

- Il n'est peut-être pas très propre, je viens de me faire enculer deux fois et je ne me suis pas lavé.

- C'est encore plus excitant.

 

Puisqu'il le dit...

 

Il fait ça très bien, une bonne surprise, ce type...

 

- Allez tourne-toi !

- Oui, dis-moi des choses cochonnes quand tu vas m'enculer, j'aime bien.

 

S'il aime bien…

 

- Ok, grosse pédale, tu vas bien la prendre ma bite dans ton cul de salope !

- Oui....

 

Je m'encapote, puis le pénètre assez facilement.

 

- Vas-y c'est bon !

- Tu la sens ma grosse bite, hein pédale ? Tu veux que je le dise à ta femme que tu fais enculer par des putes ?

- Ne jouit pas dans son cul ! Me demande Tommy. On va faire comme avec toi tout à l'heure.

 

Je décule, la capote est parsemée de taches de merde. Mais Marcel n'en a cure et fourre tout ça dans sa bouche.

 

- Nettoie bien, nettoie toute la merde, salope !

 

Je finis par jouir sous les coups de sa langue agile....

 

- Tu veux jouir comment ? demande Tommy

- Je vais me branler en lui léchant le cul.

 

L'affaire se conclut en trois minutes. Le gars se rhabille, me tend un billet et disparaît en prenant congé très rapidement...

 

- Et bien voilà une journée qui commence bien ! Dit Tommy, On va peut-être prendre une douche...

- Ok on y va ensemble, propose William.

 

Nous voilà dans le carré à douche, un peu à l'étroit...

 

- Qui veut mon pipi ? demande Tommy 

- Moi, moi ! Répondis-je

 

Je m'assis alors sur le sol du carré, tandis que le jet doré de mon ami m'atterrissait sur le torse, sur le sexe et bientôt dans la bouche. William ne voulant pas être en reste me gratifia également de sa douche spéciale...

 

Quel après-midi ! J'ai été dominé, enculé, j'ai sucé des bites, me suis fait sucer, on m'a pissé dessus, j'ai même fait la pute... et maintenant on fait quoi ?

 

Ah ! Oui on attend le cousin....

 

(À suivre)

 

Sylvain - Juin 2006

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 17:19

Chalet de fantasme 1- Tommy par Sylvain Zerberg

 

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Thémes abordés : doigtage masculin, feuille de rose, gay, massages, scato légère, spermophilie, uro

Bonjour ! Au moment où commence ce récit, j'avais 23 ans, célibataire. J'ai les yeux bleus "royal", les cheveux bruns, je mesure 1 m 75


Un jour je me promenais dans la forêt en V.T.T.,quand .soudain j'aperçus un mec avec son engin pris dans la boue. Je descendis, ôtais mon casque et lui proposais mon aide, il hésita et me répondit "oui". C'était un beau mec assez fin, cheveux blonds et yeux bleus, un peu plus grand que moi


Il me donna une corde pour que je puisse tirer avec mon véhicule, je l'attachai et il alla pousser à l'arrière, on le sortit de la boue tout de suite. Il était content et il me remercia :


- Je m'appelle Tommy, je me rends au chalet de mon père ! Je devais y passer le week-end avec un ami, mais il m'a fait faux bond au dernier moment, je risque de m'ennuyer un peu tout seul ! Ça te dirait d'y passer prendre un verre ? Pour te remercier du service !


- Heu, j'ai quelques bricoles à faire en rentrant, mais si ça te convient je peux passer vers 18 heures


Ce jeune homme me paraissait assez ambigu, il avait parlé de passer le week-end avec "un" ami, peut-être était-il homo ? Moi je ne le suis pas mais parfois dans mes fantasmes, il m'arrive de m'imaginer être avec un homme, et puis j'ai eu quelques rares occasions que je n'ai absolument pas regrettées. "On verra bien", me dis-je.


En fin d'après-midi je me rendis donc à ce chalet dont il m'avait donné l'adresse. Chalet, façon de parler. Celui-ci devait être environ deux fois plus gros que notre maison. Je sonnais, et comme personne ne répondait, je tournai la poignée, elle n'était pas fermée à clé, j'entrais donc, c'était vide... mais très vite un cri me rassura :


- J'arrive !


Je vis Tommy descendre les escaliers avec une serviette autour de la taille, il dit :


- Désolé ! J'étais sous la douche !


Je ne fantasme pas sur les mecs torses nus mais il faut bien avouer que son corps entièrement rasé et ses gros tétons bruns ne me laissaient pas complètement indifférent.


- Un jacuzzi ça te dirait ?

- Jacuzzi ?

- Oui on a un jacuzzi.

- Je n'ai pas de maillot !

- Tu n'as qu'à te mettre à poil !

- Heu... Hésitais-je

- Mais soit rassuré, je vais me mettre tout nu aussi, comme ça tu seras plus à l'aise, alors d'accord ?

- O.K. !

- Bon, tu peux te déshabiller, je vais préparer tout ça...


Je me mis nu près du radiateur car ce chalet n'était pas très bien chauffé et il commençait à cette heure-là à faire froid à l'extérieur (nous étions en automne). Tommy était toujours en serviette et il n'avait l'air nullement gêné de ma nudité. Par contre moi je me sentais un peu confus, car jamais un autre gars ne m'avait vu nu. Il dit :


- Ne soit pas gêné, on est tous fait pareil !


Mouais, admettons.... Son corps était parcouru de frissons et le mien aussi alors il m'invita à m'installer. Je trempai un pied dans le jacuzzi, c'était bouillant, alors j'allais m'asseoir dans le fond. Tommy enleva enfin sa serviette et je fus impressionné par la beauté de son engin et de ses testicules. De façon complètement inattendue et incontrôlée je développais une belle érection que je m'empressai de cacher entre les bulles du jacuzzi.


Tommy entra à son tour et on se mit à discuter de tout et de rien, il m'expliqua que son père était chirurgien (voilà qui expliquait la taille et le luxe du lieu) Je me rendis compte aussi que nous avions beaucoup de points en commun. Il avait un de sens de l'humour assez développé ce qui rendait la discussion véritablement très agréable.


Une heure plus tard, nous étions encore là, et bien sûr mon érection n'était plus qu'un souvenir. Tommy sortit et me proposa de rester pour le dîner ! J'acceptais ! Le chauffage fonctionnait mieux à présent et on ne revêtit que nos pantalons.


Il me prépara un grand plat de spaghettis arrosé de vin rosé. On traîna pas mal à table. Il ne parlait pratiquement pas de lui, mais je cru comprendre qu'il n'avait pas de copines et qu'il sortait souvent avec des garçons, mais il ne faisait aucune allusion sexuelle. Puis il me proposa de finir la bouteille dans le salon devant la télé. Je ne suis pas trop télé mais je me dis qu'il avait peut-être l'intention de nous passer une vidéo ? C'est à ce moment-là que je commençais à me dire que si le programme de la soirée ne me convenait pas je prétexterais une fatigue subite pour prendre congé...


Nous n'étions pas installés depuis dix minutes qu'un orage électrique éclata et le chalet se retrouva sans lumière. Que faire, il y avait tout ce qu'on peut imaginer dans ce chalet mais pourtant il n'y avait pas de groupe électrogène. Tommy enfila alors un blouson et alla chercher du bois pour mettre dans la cheminée. Je sortis avec lui pour l'éclairer avec une torche électrique. Je ne sais alors comment il s'y prit, sans doute voulut-il transporter trop de bois, toujours est-il qu'il se plaignit soudain d'une fulgurante douleur dans le dos et qu'il lâcha son bois. Je le lui ramassais et le rentrais, puis sous ses instructions je procédai à l'allumage.


Tout cela pour rien ! L'électricité revint aussi subitement qu'elle avait disparu ! Tommy se plaignait toujours de son dos. Alors je lui proposai un massage. Il accepta et m'indiqua qu'il possédait des huiles qu'il m'expliqua où prendre. J'ouvrais donc le placard indiqué, et là, la première chose que je vis fut un joli godemiché ! Il était posé sur un petit tas de revues, j'en extrayais une, il s'agissait de magazines gays avec des photos très explicites, une bosse se forma dans mon pantalon, je ne pouvais pas m'attarder, mais d'un autre côté je me dis que Tommy savait pertinemment ce qu'il faisait en m'envoyant ici. Je sus alors que la suite risquait d'être chaude... à condition que je le veuille...


Quand je revins avec l'huile, Tommy s'était débarrassé de ses vêtements et s'était couché sur le ventre sur le tapis du salon. Je me mis alors à genoux par-dessus son joli petit cul bombé et j'entrepris de le masser aussi bien que je n'avais jamais fait. Je recommençais à bander comme jamais. Au bout de dix minutes, il me dit :


- Bon, tu peux arrêter, tu m'as fait ça super bien, mon dos va un peu mieux !


C'est à ce moment qu'il remarqua mon érection à travers mon jean. Maladroitement je me tournais pour essayer de la cacher !


- Dis donc, c'est mon cul qui te fait bander comme ça ?


Que répondre ! J'étais rouge de confusion !


- C'est pas grave, au contraire ! Ajouta-t-il.


J'étais toujours incapable d'aligner un mot.


- On est à 8 km dans les bois, personne ne peut nous surprendre ! Alors si tu es d'accord pour qu'on se laisse un peu aller, moi je suis partant ! Reprit-il encore. Allez viens, on va s'installer sur le canapé !


Comme un automate j'allais m'asseoir, il me rejoint. Mon regard était scotché sur sa bite. Il rapprocha son visage du mien et commença à me lécher l'oreille. Je mis alors mes mains sur son torse et caressais ses tétons, il avait l'air d'apprécier, et sans que je sache comment on en arriva là, on s'échangea un long baiser avec la langue. Puis il se leva et me proposa !


- Allez, on s'amuse, mets-toi à poil et viens me pomper le dard, tu en meurs d'envie !


Je me jetais à l'eau ! Toutes mes inhibitions avaient disparu et je retirai donc mon jean et me mit à genoux devant lui. Sa queue n'était pas encore en érection. Je lui ai passé ma main entre ses jambes afin de lui toucher l'anus et je lui léchais ses testicules. Evidement l'érection vint très vite ! Je lui décalottais son gland et me mis à le lécher, tandis que de l'autre main je lui caressai son ventre. J'essayais d'enfoncer tout ce que je pouvais dans ma bouche, mais c'est qu'elle était longue sa queue ! Après mes lèvres et ma langue firent le reste, je commençai un va-et-vient lent qu'il appréciait en poussant des lamentations de plaisir. Sa queue avait un goût salé, pourtant il s'était douché juste avant mon arrivé, mais sans doute, cela venait il du fait qu'il venait d'uriner. Loin de me déplaire cela doubla mon excitation !


J'accélérai la cadence tandis que de la main j'alternais les caresses sur l'anus et sur les testicules. Ça allait de plus en plus vite et soudain il jouit en criant, puis une bonne éjaculation emplit ma bouche. Il mit plusieurs minutes à reprendre ses esprits, puis, tout sourire, se releva, et me demanda de me coucher à terre, il m'embrassa partout du front aux tétons en passant par le bout des orteils, puis il remonta et enveloppa de ses lèvres sensuelles mon beau gros gland rosé. Mais lui il commença tout de suite un mouvement rapide de suçage, ça n'a pas pris cinq minutes que j'éjaculai en partie dans sa bouche, le reste sur son visage et sur son cou.


- Lèche le sperme ! Me proposa-t-il


C'est ce que je fis, c'était bon de sentir sur ma langue sa peau douce et imberbe ! Ensuite, il s'empara des huiles de massage et en enduit mon anus, il me dit d'en mettre aussi sur sa belle queue. J'en profitais pour lécher le sperme restant et j'enduis sa bite en faisant un mouvement de branlette. 


- Tu veux que je t'encule ? me demanda-t-il

- Bien sûr !


Il me demanda de me positionner à quatre pattes et je sentis un beau gros gland pénétrer mon anus. Il y allait délicatement et après qu'elle fut entièrement entrée, il me demanda :


- Quand tu seras prêt, pour que je puisse aller plus vite, tu me le diras !


Il fit quelques va-et-vient délicats et après que je lui ai dit "O.K." il me prit par les hanches et commença une série d'aller-retour très rapides. Je me demandais comment il pouvait faire de si grands mouvements de bassin et je me demandais aussi comment mon cul pouvait en prendre autant ! Je criais de plaisir. Tommy finit par jouir en imitant le cri d'un cow-boy en pleine épreuve de rodéo. Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer. ! :

Zerberg1.jpg

"hiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!"


Puis après m'avoir rempli le cul de sperme, il ressorti sa bite, et me demanda si je voulais la nettoyer. Elle était maculée de sperme mais aussi d'un peu de merde, mais elle était tellement belle que je n'hésitais pas une seconde ! Puis il me dit :


- C'est à ton tour de me mettre ta bite dans le cul !


Préalablement il me lécha un peu, puis on se mit en position de 69, ce qui me permit de lui lubrifier sa rosette, en enfonçant le plus profondément possible ma langue dans son mignon petit trou dont l'odeur si particulière me rendait fou ! J'enfonçais ensuite un doigt, puis un deuxième et les fit aller et venir plusieurs fois de suite, rencontrant un peu de matière. Je crois que ce moment a été son préféré car il ferma les yeux, envoya sa tête en arrière et poussa des gémissements, ce qui le faisait abandonner la fellation qu'il prodiguait à ma queue.


Ivre d'excitation, et comme dans un état second, je léchais mes doigts maculés de traces brunes.


Me redressant, je lui demandais de rester sur le dos mais les jambes relevées au maximum, j'approchais ma queue et elle entra très facilement. Il poussa un cri de plaisir puis au fur et à mesure de mes va-et-vient il lança une série de "ha ha ha ha ! " de jouissance.


Au bout de vingt minutes, il était exténué et tout en sueur, et je lui éjaculai dans le cul. Moi aussi j'étais fatigué mais je lui dis :


- Oh non ! On ne va pas s'arrêter là !


On se remit en 69. Et on se remit à se sucer, on poussait souvent de petites lamentations étouffées par nos queues. Soudain il m'éjacula une nouvelle fois dans la bouche, .je sortis sa queue de ma bouche, puis je continuai à le branler pour que le sperme coule de nouveau sur mon corps. Je le léchais ensuite un peu partout mais surtout sur le mamelon et il me fit de même.


- Faut que j'aille pisser, tu viens ?


Je le suivais aux toilettes sans comprendre de suite, puis au lieu de diriger son pipi vers la cuvette, il se mit à m'arroser. Je me laissais faire et quand il visa ma bouche je ne refusais pas de l'ouvrir avalant quelques goulées de ce liquide acre et salé.


Après on se coucha dans le même lit ! Le pauvre ! Il trouva le sommeil tout de suite. Cela ne m'empêcha pas de le caresser.


Après cette aventure, on est devenu amoureux, et on se revit tous les week-ends et on multiplia positions et plaisirs...


Un jour il invita son cousin, celui-ci fantasmant un petit peu sur les rapports entre hommes avait demandé à être initié ces plaisirs ! On s'est régalé, mais cela fera l'objet d'un autre récit...


Ce texte provient des archives anonymes de Sophiexxx, je l'ai corrigé et partiellement réécrit sans en changer l'excellent esprit qui y règne.

Par Sylvain Zerberg - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 2 septembre 2018 7 02 /09 /Sep /2018 15:34

La mère de Caroline par Mathilda Stenberg

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Mon prénom est Mathilda et j'ai la trentaine. J'ai les cheveux châtains et les yeux verts, je suis assez grande et mince. Je suis bisexuelle. Après plusieurs déceptions sentimentales avec des hommes, je me suis consolée avec les femmes. Cela ne m'empêche pas d'apprécier de temps à autre une bonne bite que j'accueille volontiers dans ma bouche ou dans mon cul, mais plus question de liaison, j'ai donné ! J'ai gouté à pas mal de pratiques, je n'ai rien contre un peu de domination quand ça reste raisonnable et les jeux de pipi m'émoustillent. Je n'avais pas jusqu'ici oser franchir le pas de la scato… mais n'anticipons pas.

C'est dans un bar à gouines que j'ai fait la connaissance de Caroline. Je préfère les filles bisexuelles aux lesbiennes pures et dures, question de choix physique, je n'aime pas les look qui singent ceux des hommes. Caroline m'a tout de suite attiré avec ses gros seins et sa bouche pulpeuse. J'ai moi-même une assez grosse poitrine mais j'aime les femmes qui en ont une encore plus grosse. 

J'ai fréquenté Caroline plusieurs mois et un jour elle me dit :

- J'ai parlé de toi à ma mère, elle aimerait bien te rencontrer…

Je me rendit donc dans ce petit pavillon de banlieue où elles habitaient toutes les deux. C'était par un bel après-midi de fin de semaine. On était dans le jardin et on discutait. Quelques minutes plus tard, Caro et moi avons entendu une porte se fermer. Elle me dit : 

- C'est ma mère, tu vas voir, c'est une vraie putain ! 

Je trouvais qu'elle n'était pas très respectueuse, jamais je n'aurais dit quelque chose du genre à propos de ma propre mère. Mais quand je vis sa mère s'approcher, je compris alors ce que Caro voulait dire. La femme en question était grande, mince, blonde aux cheveux très longs avec (devinez quoi...) de très, mais alors de très gros seins. Elle portait une jupe très courte moulante avec un petit gilet lui aussi très moulant et très court. Pour être directe, la mère de mon amie était très belle et très excitante. Le fait qu'elle aille l'apparence d'une putain loin de me choquer, m'excitait au plus haut point. Caro prît la parole : 

- Mathilda je te présente ma mère Johanna, Johanna c'est mon amie Mathilda. 
- Bonjour chérie... me dit-elle avant de retourner à l'intérieur. 

Caro me dit alors : 

- Ma mère c'est la pire pute qui existe...T'as vu comment elle s'habille ? En plus elle couche avec tout ce qui bouge, parfois, elle me fout la honte... L'autre jour sa chambre n'était pas fermée, elle était avec deux hommes, l'un des deux l'enculait et l'autre se faisait sucer la bite…

Ce que Caro me disait m'excitait encore plus et elle s'en aperçut.

- Elle est trop belle, ta mère !
- Va la retrouver si tu veux, mais c'est à tes risques et périls ! Me prévint Caro, amusée.

Sous prétexte d'aller aux toilettes, je mis les pieds à l'intérieur, j'aperçu Johanna qui faisait un peu de ménage. Quand elle m'aperçut, elle me dit : 

- Je suis fière de ma fille, je trouve qu'elle fréquente de très jolies copines... 
- Vous me flattez !
- Tutoyons-nous ! Tu cherches les toilettes, je suppose ?

Je lui répondis d'un sourire timide. 

Elle m'accompagna jusqu'aux toilettes. Mais resta plantée devant moi, puis tout d'un coup, me dit, contre toute attente : 

- Tu aimes mes seins n'est-ce pas ? 

- Ils ont beaux !

- Caroline m'avait bien dit que tu étais une petite salope !

Je ne savais pas quoi répondre... Elle s'approcha vers moi et enleva son petit chandail. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient magnifiques, vraiment énormes et ronds. J'étais excitée comme jamais je ne l'avais été. La belle putain me dit : 

- Vas-y, caresse-les ! Mais assis toi sur la cuvette, il ne faut pas que ça t'empêche de pisser.

Je m'assis après avoir baissé mon pantalon et ma petite culotte et tandis que je laissais l'urine s'échapper de ma petite chatte, je pelotais les doux seins de Johanna.

-Tu veux les goûter n'est-ce pas ? Vas-y... 

Elle s'approcha plus près de moi me permettant ainsi de lui sucer ses gros tétons turgescents. Je m'empressai alors d'exécuter ce qu'elle me disait de faire. Je goûtais à ses seins merveilleux, ils étaient les plus belles choses que je n'avais jamais vus.

- Allez, suis-moi ! 

J'allais pour m'essuyer le minou !

- Mais non, ne t'essuie pas, ma langue s'en chargeras !

Elle me prit la main et m'emmena dans sa chambre, très grande et très spacieuse. Elle me coucha sur le lit et enleva sa jupe. Elle ne portait pas de petite culotte. Elle sortit des menottes d'un tiroir et me les enfila. J'étais tellement excitée, je voulais mourir tellement je la désirais. 

Johanna m'enleva mes vêtements et m'embrassa tout le long de mes cuisses, puis elle commença à lécher tranquillement mes lèvres vaginales imbibées de mon pipi, pour ensuite s'occuper de mon clitoris. Elle le mordillait doucement... c'était le paradis ! Elle entrait ses doigts agiles dans ma fente pendant qu'elle embrassait le reste de mon sexe en entier. Puis, doucement, elle entra ses doigts dans mon petit trou. Elle entra quatre doigts, c'était douloureux, mais tellement jouissant en même temps. Quand elle les ressortit, ils étaient légèrement merdeux. Elle me dit :

- Lèche !

- Non, pas ça ! Protestais-je mollement

- D'accord ! Alors dis moi que tu es une petite salope !

- Je suis une petite salope !

- Et tu sais ce qu'elles font les petites salopes ?

- Euh…

- Les petites salopes, elle lèchent les doigts qui sortent de leur cul. Alors essaie !

doigts 

J'étais tétanisée, Johanna porta alors l'un de ses doigts à sa bouche et le lécha vicieusement.Je me lançais et décidai de l'imiter. Je n'ai pas été déçue, ce n'était pas mauvais du tout.

Johanna remit ses doigts dans mon trou intime, quand elle les ressortit, je cru qu'elle allait me les redonner à lécher, mais non, elle se les essuya sur les seins à présent recouverts d'insolites trainés marrons.

- Lèche mes seins, enlève la merde que j'ai mis dessus.

Je m'étonnais de la facilité avec laquelle j'acceptais de le faire. Et pour tout dire je me régalais.

Puis Johanna sortit d'un tiroir un vibrateur, très gros et très long qu'elle entra profondément d'abord dans ma fente puis dans mon petit trou. Elle y allait très fort, je me sentais comme un animal, mais qu'est-ce que c'était bon !!!! Je voyais ses seins balloter pendant qu'elle me faisait jouir comme une bête...C'était tellement beau à regarder, j'aurais voulu qu'elle continue pour toujours. Et tandis que l'orgasme le plus beau et le plus long de ma vie m'envahit, elle me fit lécher le gode ressorti tout merdeux de mon trou du cul. Elle me dit : 

- Tu es une vrai salope ! La prochaine fois, lorsqu'on aura plus de temps, je vais te dominer encore plus, tu seras mon esclave. 

Je ne dis rien mais avant de me rhabiller et de sortir de la chambre, je l'embrassai profondément alors que j'avais encore le goût acre de ma merde dans la bouche. 

Caro était dans la cuisine et m'attendait...

- On dirait que vous avez fait des bêtises toutes les deux ? Me dit-elle avec un air coquin !

- Elle est trop sympa ta mère !

- Oui, mais c'est une putain !

- Et ça te gène ?

- Mais pas du tout !

 Quelques jours seulement après ma petite aventure avec Johanna, je suis retournée chez mon amie Caroline. Mais ce n'était pas elle que j'avais envie de voir, vous vous en doutez probablement. Je savais qu'au moment où j'arriverais chez elle, Caroline serait chez le dentiste, mais je gardais ce petit secret pour moi. Donc je sonnai à la porte principale de la maison. Johanna ouvrit. Comme à son habitude, elle était très sexy. Elle portait une petite robe rouge très moulante et très courte. Quand elle m'aperçut, elle sourit : 

- Bonjour Mathilda, Caroline n'est pas là, elle avait un rendez-vous chez le dentiste.

- Ah...dommage, Lui dis-je avec un petit sourire timide. 

- Tu peux entrer quand-même ! Je vais te faire un petit café ! Me dit-elle. 

J'attendais patiemment dans le salon, curieuse de savoir si Johanna allait me proposer de recommencer nos folies de l'autre fois. Elle revint avec deux tasses de café. Elle ne s'assit pas et se mit à se caresser les seins par-dessus sa petite robe rouge. Ma bouche devient sèche.

- Arrête de faire ça, tu m'excites !

- L'autre fois tu ne m'as pas dit d'arrêter.

- Alors continue !

- Ça ne te dérange pas si je me mets plus à l'aise ? 

Je lui fit un signe négatif. A cet instant, elle enleva complétement sa robe, elle ne portait aucun sous-vêtement. Cela me troubla énormément, surtout que j'adorais son corps. Je ne dis rien, incapable de prononcer le moindre mot… 

- Je te sers un whisky ?

- Je n'ai pas fini mon café !

- Pas grave ! Il fait chaud ici, tu ne trouves pas Mathilda ? 

- Oui, c'est vrai, lui dis-je.

A cet instant, elle se versa du whisky sur le corps. Elle avait l'air d'apprécier ce doux frisson. Ses beaux seins durcirent au contact du liquide. 

- Approche Mathilda, tu peux goûter si tu veux... 

Je me suis alors approchée et j'ai goûté doucement au liquide... Je léchais doucement ses mamelons. Lorsque le liquide eut complétement disparu, je continuais à sucer ses mamelons. Johanna semblait apprécier la caresse, car elle gémissait comme une chienne en chaleur, ce qui m'excitait au plus haut point. Après, elle se leva et me dit de me coucher par terre sur le ventre, ce que je fis. Elle revint quelques minutes plus tard. 

- Tu peux regarder... 

Johanna s'était changée et était à présent vêtue en cuir noir. Le cuir moulait parfaitement à sa peau. Il laissait paraître ses seins encore plus gros qu'ils ne l'étaient en réalité. Elle me dit : 

- Ecoute, bien petite salope, tu mérites une punition, tu es une vraie garce et les garces dans ton genre doivent être punies. 

- Une punition, mais qu'est ce que j'ai fait ? Demandais-je en rentrant dans son jeu.

- Je m'apprêtai à regarder mon feuilleton à la télévision et toi tu es venue m'exciter ! Comme si tu ne savais pas que Caroline était absente ?

- Alors d'accord, punis-moi !

C'est alors qu'elle m'attacha ventre à terre. Elle lia mes poignets, puis immobilisa mes chevilles avec une barre d'écartement. Elle commença ensuite à me fouetter avec un martinet... le dos et puis les fesses. Pendant ce temps, elle me criait que j'étais une salope. Puis quelques instants après, je sentis un vibrateur pénétrer dans mon petit trou. Elle l'entra très fort et très violemment. Elle allait très vite et le ressortait de temps en temps afin que je le lèche et le nettoie des traces douteuses qui s'y étaient déposées. En même temps, elle me fouettait, mais heureusement, pas très fort. Après ces quelques ébats, elle me détacha et me retourna sur le dos. Elle se déshabilla, puis commença à se masturber devant moi. Elle touchait ses seins avec vigueur et elle jouait avec sa petite chatte. Puis elle me demanda d'ouvrir la bouche.

- Tu vas boire ma pisse, j'ai une grosse envie.

Sans hésiter j'ouvris la bouche, avalait le délicieux liquide doré. Et m'en régalait.

- Elle est comment ma pisse ?

- Délicieuse !

- Si tu as aimé ma pisse, tu va aimer ma merde ! Maintenant je vais te chier dessus ! Tu as quelque chose à dire ?

- Non, puisque c'est ma punition !

Une punition, non, un cadeau puisque rien de ce qui venait de Johanna ne pouvait être mauvais.

Elle s'accroupit au-dessus de moi et commença à pousser, un joli petit étron pointa et sa vue m'excita terriblement, je voulu le lécher, mais n'en eut pas le temps, car il s'agrandit et devint un long boudin qui dégringola sur moi en s'enroulant. J'étais aux anges.

- Merci Johanna !

Je n'avais pas entendu la porte s'ouvrir.

- Coucou, c'est moi !

C'était Caroline complètement nue ! Je ne comprenais pas, ou bien son rendez-vous dentaire était déjà terminé ou alors il n'avait jamais existé.

- Oh ! Ma petite maman je vois que je tu viens de chier un joli boudin sur cette salope de Mathilda..

- J'avais une grosse envie.

- Alors, laisse-moi te servir de papier à cul !

- Bien sûr ma fille, vient lécher le fion de ta mère et après tu me feras minette..

Caroline se précipita langue en avant pour nettoyer le trou du cul merdeux de sa génitrice. Evidemment en bonne copine, elle m'invita à partager.

Après ces moments de folies et après nous être échangé un long et baveux baiser merdeux j'interpellais mon amie.

- Tu ne pouvais me le dire que tu couchais avec ta mère, espèce de grande coquine ? 

- Tu crois que ce sont des choses faciles à avouer ?

- Où est le problème ! Vous ne faites de mal à personne !

- Je suis bien d'accord, mais va expliquer ça aux gens, toi !

Fin

Mathilda Stenberg librement inspiré d'un texte signé Joel, paru sur le site de Sophiexxx en 2000.


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Par Mathilda Strernberg - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 18 août 2018 6 18 /08 /Août /2018 11:03

Nadine et la chambre 107 par Cosi-cosa

Stamp nurse

Attention, âmes sensibles, c’est scato !
(Thèmes abordés : médical, scato, uro)

Nadine est une jeune infirmière de 27 ans au joli visage joufflu. Brune aux cheveux courts.

Elle se dirige vers la chambre 107. Une jeune femme aux long cheveux châtain clair l’attendait, deux bras et une jambe plâtrés, reliés à un capharnaüm de câbles et de poulies. Ces premiers mots en là voyant furent :

– J’en ai ras le bol de ces merdes, soupira-telle, on me les retire quand ?
– Encore un peu de patience mademoiselle Carole. Deux ou trois jours m’a dit le médecin.
– J’espère car je commence à en avoir vraiment marre.

Nadine compatit et dit :

– Vous avez besoin de quelque chose tant que je suis là ?
– Oui, répondit-elle, j’ai envie de faire pipi.

Nadine prit le pistolet et écarta les draps. Elle le plaça devant le vagin de Carole.

– Vous pouvez y aller, dit la jeune infirmière.

Carole poussa sur sa vessie et se libéra. Un flot de pisse doré gicla de sa chatte.

– Humm ! Ça fait du bien. J’avais envie depuis plus d’une heure.
– Je vois ça.
– Dites… Nadine… C’est bien Nadine, n’est ce pas ?
– Oui.
– Dites Nadine, vous aimez voir pisser les filles ?

L’infirmière rougit.

– Pas spécialement. Pourquoi ?
– J’ai l’impression que vous prenez plaisir à me regarder faire pipi.
– Je fais juste attention à ce que tout rentre bien dans le pistolet c’est tout.

Carole sourit et poussa un soupir de satisfaction quand les derniers jets d’urine s’écrasèrent en résonnant au fond du pistolet.

– Vous pouvez m’essuyer les lèvres s’il vous plait ?
– Oui, bien sûr.

Elle déchira un morceau de papier d’un rouleau mural et essuya le sexe de la jeune femme.

– Ho oui ! Comme ça ! Humm !

Nadine vira à l’écarlate.

– Je vous en prie mademoiselle. Quelqu’un pourrait vous entendre.
– Ho ! Pardon. Je suis désolée. Mais votre main est si caressante que… Je crois que j’ai aussi envie de faire caca.

L’infirmière soupira.

– Allons-y !

Carole souleva un peu le bassin pour que Nadine puisse glisser la bassine. L’infirmière détourna ensuite le regard.

– Vous pouvez y aller, dit-elle en regardant la porte.
– Je voudrais que vous me regardiez faire Nadine.
– Mais… !!! Vous êtes folle ??
– Je suis sûr que ça vous plairait de me regarder chier.

Nadine faillit la gifler, mais c’était le renvoi assuré.

– Mais non, je veux pas voir ça.
– Pourtant, vous regardez bien chier les autres.
– Mais non voyons.

Carole soupira à son tour.

– Bon, laisses tomber. Je ferais caca tout à l’heure. Murielle ne fait pas autant de chichi pour me regarder chier.

Nadine regarda la jeune femme de surprise.

– Murielle ? Ma collègue ?
– Oui bien sûr.
– Elle vous regarde… Faire caca ?
– Ouais ! Elle adore m’essuyer après.
– Vous êtes une cochonne mademoiselle Carole.
– Et alors ! C’est mal ?
– Non. Mais… C’est sale.
– Vous voulez voir ou pas ?

Nadine repensa au goût de la grosse bite de son compagnon qui ressortait parfois un peu merdeuse quand il l’enculait. Sa chatte remouilla.

– Bon d’accord, mais je ferme la porte avant.
– Allez-y, répondit Carole souriante.

Nadine tourna le verrou et revint vers la jeune fille.

– Tu peux m’écarter les fesses pour bien me dégager l’anus.

Nadine ouvrit les fesses à deux mains et planta son regard sur l’anneau de muscle. Carole poussa un râle et péta.

– Haaaaaa ! Ouiiii ! Ça vient là ?

Une merde se frayait un chemin par l’étroit couloir.

– Oui, répondit l’infirmière.
– Elle est de quelle couleur ?
– Marron, je crois.
– Ça pue ?
– Oui, un peu.
– Hooooo !

« Blong ». L’excrément tomba dans la bassine métallique. Un autre creusait sa route, plus gros encore. Carole cria.
– HAAAAAAAA !

Nadine se retourna vers la porte en mettant un doigt devant sa bouche.

– Moins fort, chuchota-t-elle.
– Désolé. Mais ça fait mal.

La grosse crotte tomba à son tour dans la bassine. Trois petites billes suivirent.

– Je crois que j’ai fini, dit Carole soulagée. Vous pouvez me torcher maintenant ?

scato foldinueL’infirmière arracha quelques feuilles de papier et essuya les fesses de la jeune femme. Dans un geste fou, elle porta ensuite le papier merdeux à ses narines, s’enivra un instant de son odeur, avant d’oser y mettre la langue. Elle jeta ensuite tout ça à la poubelle et lava la bassine.

– Bon voilà ! Ce sera tout ?
– Pour l’instant oui, merci.

Nadine quitta la chambre. Sa culotte à tordre.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 07:12

Claudia
par Boris Vasslan

stamp transblack

Souvent, les soirées sont chaudes chez Laurie
Ou ennuyeuses, d’avance on ne sait, dans ces parties
Ce soir là, Claudia, on me présente
Gigantesque créature métissée, un peu arrogante
Une amie brésilienne, se croit-on obligé de préciser
On trinque, on cause, on boit à notre santé
On mate, on se cherche, on se trouve.
Des seins jaillissent, des braguettes s’entrouvrent
Je ne vois plus Claudia, et ses jambes interminables.
Une triste poulette se fait tripoter le râble
Par un petit groupe excité et criard
Je change de salle, j’en ai un peu marre
Brouhaha, difficile de se frayer la route
Claudia est ici, nue, exhibant sa biroute
Son sourire craquant, sa peau chocolatée,
Ses seins tout ronds et joliment terminées
De larges aréoles et de tétons arrogants
Qu’on a envie de mordre à belles dents
Et puis son sexe foncé, déjà bien droit
Qu’elle se tripote négligemment du bout de ses doigts !
Puis se retourne, montre ses fesses
Les écarte, dévoile son œillet intime, les caresse
Puis s’amuse à se donner quelques fessées
Les hommes n’en peuvent plus, veulent la caresser
Mains sur les seins, mains sur le cul, tout va très vite
Mains sur les cuisses, mains sur la bite
Un intrépide ose approcher ses lèvres
Et apprête sa bouche avec fièvre
Claudia rit et prévient l’imprudent
En lui disant avec un bel accent
« Celui qui me suce, je l’encule ! »
Du coup l’autre recule
Ce doit être mon jour de chance
D’être resté, ce sera ma récompense !
De son sexe, je m’approche, joyeux
Le met dans ma bouche, il est soyeux
Sensation de velouté, de bonheur.
Je le sucerais pendant des heures
Claudia, me dit ce qu’elle me le réserve
Je suce encore, et tendue est ma verge
Je me régale
A ce plaisir sans égal
Puis n’y tenant plus, je dégrafe mon pantalon
L’envoi valser de tout son long
De mon cul, j’en écarte les globes.
Je me plie en deux et m’offre ainsi au zob
De la plus belle des grandes filles du Brésil
Qui va pouvoir me sodomiser, tranquille !

Claudia2 41

Thémes abordés : Transsexuelles, party

Par Boris - Publié dans : Boris
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