Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 11:47

Confessions scatos – 2

scat

Mr de Montbaron par Pauline

Ce bon bourgeois qui se faisait appeler Monsieur de Montbaron mais qui n’était point noble, m’étant renseigné auprès de qui de droit, aimait la merde et donc la mienne. Quand la chose était possible, car on ne chie pas facilement sur commande, et que sa visite était imminente, j’allais chier ma merde dans les toilettes et m’abstenait de tirer la chasse. Dés son arrivé et après qu’il m’eut rétribué les services que je m’apprêtais à lui rendre, je lui indiquai qu’un cadeau était à sa disposition dans les toilettes. Il se déshabillais et entrait dans le petit endroit, en laissant la porte ouverte. Il récupérait ma merde, la léchait et se masturbait jusqu’à ce qu’il jute. Avec Rosine, nous gloussions : « Un client vite fait sans même y toucher, voilà qui change des peine-à-jouir » (les carnets d’une putain, 1951)

wc

 

Mes émois par Bruno

Vera est une très jolie fille, brunette avec un corps incroyable. Un jour où j’avais rien à faire, je décidai de lui téléphoner pour lui proposer d’aller au cinéma. Véra était habillée d’une très jolie jupe et d’un haut assez moulant, très suggestif. Il n’y avait pas de grand films à l’affiche, on a choisi un truc d’horreur. j’avais une envie folle d’elle, je me suis dit à cet instant qu’elle ne sortirait pas du ciné sans avoir cédé à mes avances. Arrivé sur place la salle était vide, j’allais pouvoir mettre mon plan en marche ! Je voulais sentir ses cuisses sous mes mains habiles, je voulais l’embrasser sur sa magnifique bouche charmeuse. Après 15 minutes du film je me suis penché à son oreille et je lui dit :

 

– Véra, j’ai envie de te tripoter !

 

Elle m’a regardé avec un très jolie sourire. J’ai donc compris que la réponse était oui ! J’ai déposé ma main sur sa jolie nuque pour la caresser un peu, ensuite j’ai passé ma main dans les cheveux de la demoiselle.. Elle est d’une beauté incroyable. J’embrasse cette demoiselle au regard si tendre, j’ose déposer ma main sur une de ses cuisses, elle écarte les jambes un peu, je caresse ses jolies cuisses qui me fond tordre de désir. Je suis en parfaite érection. Je prends les seins de ma compagne et je lui demande si elle aime ça, elle me répond :

 

– Plotez-moi les nichons, jeune homme, et tirez-moi les tétons, vous aurez l’air moins con !

 

Je remonte sur les cuisses, j’ose sentir la chaleur fromagère qui se dégage de son entrejambe. Je glisse mes doigts sur son axe de plaisir, elle pousse de légers gémissements, elle commence à miauler. Après quelques minutes j’enfonce deux doigts en elle, je la masse d’une main favorable, elle se laisse faire encore plus, elle me chuchote à l’oreille qu’elle en veux encore plus ! Hum quelle douce chanson que celle-ci ! Je lui écarte les jambes en relevant la jupe, elle n’a pas de culotte, cette salope, je me mets à genoux devant elle. Je penche ma tête et je lui embrasse son jolie sexe humide elle me dit que c’est bon, je continue pendant plusieurs minutes.. Après une petite pose, parce qu’on avait envie de sucer un bâtonnet glacé, Vera dégage mon jean, sort mon chibre, le suce un peu mais pas assez longtemps à mon avis, puis décide de venir s’assoir sur moi, empalant ma bite dans son anus.. Elle me chevauche, je regarde autour de moi, des spectateurs sont entrés et font cercle autour de nous profitant du spectacle, certains ont sorti leur chibre et se l’astiquent avec vigueur J’ai jouis, ma bite est ressortie bien dégueu, enduite de sperme et de caca. Vera est toujours accroupie au-dessus de ma bite, elle pousse, un étron en forme de boudin sort de son cul et vient s’enrouler sur mon ventre

 

Les spectateurs se sont enfuis, je ne sais pas quoi faire de ce caca et Vera me fait un bisou en me disant « à une autre fois »

 

Imaginez mon émoi

 

Ce fut magique ! par Rollo

 

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Ben non, ce n’est ni moi, ni ma maitresse sur la photo (en fait c’est maîtresse Gaia, je crois) mais ça m’a rappelé un souvenir inoubliable. J’avais rencontré une nouvelle maîtresse, très belle, pleine d’humour et d’un bon esprit. Elle m’a expliqué ses pratiques et m’a dit « une domination sans scato, c’est dommage ! » Je lui ai répondu que je n’étais pas prêt pour ça , elle n’a pas insisté, mais m’a dit qu’un jour « j’y viendrais parce que tous ses esclaves avaient franchis ce pas un jour ou l’autre », je l’ai laissé dire. Je suis devenu rapidement accro a cette maitresse, elle m’abreuvait de sa pisse, me faisait sucer des bites, m’humiliait et me torturait de mille façons. Puis un jour elle me dit carrément : « la prochaine fois je te chie sur la gueule » « Et si je refuse ? » « On ne se verra plus ». C’était probablement du bluff pourquoi se serait-elle privée d’un client, n’empêche que j’ai fais semblant d’accepter le deal et la fois d’après, je me suis allongé, j’ai vu son petit étron sortir de son joli cul, grossir et me tomber dessus. Ce fut magique !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 11:44

Confessions scatos – 1

scat

 

Elle est très joueuse par Sadako

 

Nan mais ce qu’elle vient de me faire… ::

 

En même temps je l’ai cherchée mais bon… Enfin bref !

 

En fait voilà, je viens de faire une « merde infinie », vous savez celles où il faut se torcher pendant des lustres avant de ne plus voir de caca sur le papier… :hum:

 

Bref, après moults efforts, je sors des chiottes et je lui sors d’une façon hyper classe :

 

– Putain, j’ai lâché une de ces merdes ! J’en voyais plus le bout, ça finissait plus quand je m’essuyais ! :

 

Et là cette abrutie, que fait-elle ?

 

– Han vas-y fais voir, fais voir ce qu’il te reste !

 

Et elle commence à me poursuivre quasiment à poil, moi en caleçon, à essayer de m’arracher ce dernier et à m’écarter le fion…:

 

Nan mais j’hallucine !

 

Et pour finir je suis venu m’assoir devant l’ordi pour qu’elle ne puisse plus m’avoir, mais le peu de temps où j’étais dos à elle, elle m’a farci quatre doigts dans la raie à travers le calbute juste pour m’emmerder !

 

Bon alors OK, c’est pas la première fois qu’elle fait ce genre de chose, et ça ne concerne pas que le domaine du caca, elle est vraiment à la masse parfois…

 

Mais là je ne sais pas, je viens de prendre du recul, je la regarde là, sérieuse en train d’écrire du courrier, alors qu’il y a quelques minutes elle m’arrachait le caleçon en espérant trouver des résidus de matière fécale sur mon anus…

 

Et je repense à tous les trucs à la masse qu’on a pu faire, et je me dis que les gens dans la rue doivent être loin de se douter que cette jeune femme à ce genre de caractère

 

Passage à l’acte par enum

 

Je pense qu’aujourd’hui qu’on peut désormais aller plus loin dans le récit de certaines pratiques dites « extrêmes » sans pour autant passer pour un affreux pervers dérangé et idiot à la fois…

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Avec ma femme, nous avons des jeux uro, de manière assez régulière et je dirai « décontractée » mais il y eut une période où nous avons expérimenté des jeux scato, devenus plus rares maintenant et je souhaiterai essayer de vous faire comprendre comment cette transition a pu arriver :

 

Pour moi, les plaisirs uro ont toujours été associés à un jeu de soumission : je suis allongé par terre : ma femme est au-dessus de moi et elle urine sur mon visage et dans ma bouche. Ma femme se plait à me répéter qu’elle adore faire ça, ce qui évidemment m’excite d’autant plus.

 

Dans la période où nous avions une pratique assidue de ces jeux, vint un moment où j’eu envie de passer à autre chose. Pour être clair j’avais envie que ma femme chie sur moi. Je n’étais absolument pas convaincu que j’aimerais, mais tout l’aspect sale et répugnant lié à la matière fécale était occulté par l’idée du plaisir que je ressentirai à sentir ma femme assise sur moi en train de me remplir la bouche de cette chose immonde. Oui, car en effet je suis tout de suite parti dans l’idée que ça se passerai comme ça, directement, sans étapes préalables.

 

Nous en avons donc discuté et franchement ma femme a été difficile à convaincre, nos points de divergence étaient les suivants : elle considérait que c’était tout à fait différent de l’uro, que c’était sale et qu’elle ne pourrait jamais en arriver là.

 

Je lui disais au contraire que pour moi c’était une continuation et que c’était l’acte plus que le résultat en lui-même qui me tentait.

 

A force de discussion elle accepta de faire une tentative :

 

Allongé dans la baignoire elle vint se placer au-dessus de moi jusqu’à s’asseoir sur ma bouche ouverte; cette sensation d’ailleurs ne lui déplaisait pas.

 

Les premières fois furent vaines, puis une fois elle réussit à lâcher une petite chose qui tomba dans ma bouche et que j’alla immédiatement recracher dans les toilettes. Ce fut l’élément déclencheur.

 

A partir de là s’en suivit plusieurs tentatives jusqu’à cette semaine de vacances que nous passâmes tous les deux où systématiquement le soir elle me pissait dessus et le matin, après le petit déjeuner elle me demandait d’aller m’allonger la bouche grande ouverte dans la baignoire; elle venait s’asseoir sur moi, m’empêchant de bouger, et me déversait le contenu de ses entrailles au point où certains jours elle était obligée de se soulever légèrement car les quantités abondantes suffisaient à me remplir la bouche et à me recouvrir presque totalement le reste du visage.

 

Je me rendis alors compte que ce qui m’excitait le plus étaient les secondes d’attentes, la bouche ouverte, totalement soumis à ma femme, et la sensation d’être envahi et recouvert par quelque chose venant d’elle.

 

En revanche, la répugnance vis à vis de la chose restait bien là, et je passais ensuite un moment à me laver et me désinfecter la bouche.

 

Aujourd’hui ces plaisirs se sont espacés, je dois même dire que nous avons pour le moment abandonné les expériences « scato » même s’il nous arrive d’en parler.

 

Je pense d’ailleurs qu’il est une bonne chose que ce ne soit pas de venu une obsession, mais resté un jeu parmi d’autres (l’importance du cadre contractuel dans toute pratique !).

 

Certain(es) ne manqueront pas de juger cela répugnant, je le comprends tout à fait, car moi-même n’aurais jamais pensé AVANT pouvoir prendre ce genre d’orientation. Mais c’est ainsi, l’être humain est complexe et souvent contradictoire.

 

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Scato tarifée par Fuc18vf

 

Moi depuis 2 ans je vois régulièrement des donneuses de caviar professionnelles comme les dominas ou occasionnelles rencontrées via des annonces passées…

 

Franchement au début avant internet j’y pensais même pas, mais en surfant sur des sites je suis tombé sur des vidéos scato et mon fantasme à surgit ! Alors quelques mois ont passés et un jour je me suis décidé à appeler une domina pour réaliser ce fantasme.

 

Rdv pris au mois de mai à Paris avec une domina de 40 ans environ. Pendant tout le trajet en voiture mon cœur battait à 100 à l’heure, j’étais pressé, excité et un peu fébrile à l’idée de le réaliser !

 

Arrivé à son appartement, elle me demanda de me déshabiller et de m’asseoir. En attendant elle buvait un thé qu’elle s’était préparée après manger.

 

Pour commencer elle m’ordonna de lui lécher l’anus, ce que je fis avec engouement (j’aime renifler le cul des femmes et leurs odeurs ), et c’était agréable car ça s’entait très bon…

 

Ensuite après avoir lécher passionnément et ardemment son cul et sa chatte, elle me fit signe que c’était le moment pour moi de me diriger dans la salle de bain afin de que je lui serve de chiotte. M’allongeant dans la baignoire, elle se mit debout face à moi et me pissa abondement sur la figure en me demandant d’ouvrir la bouche. J’étais trempé de pisse, la tête, les cheveux, la bouche et le torse. Ensuite elle se retourna, dos à moi, accroupie au-dessus de ma tête les pieds calés sur le rebord de la baignoire elle commença a pousser, oui c’était enfin le moment que j’attendais !

 

Quelques pets sortaient de son anus pendant que je me branlais (j’étais dur et super excité !) et je voyais petit à petit son étron sortir de son cul dilaté. Il tomba sur moi en deux fois !

Une fois terminé, elle ria et me demanda si je voulais goûter, ce que je n’ai pas voulu faire pour une première fois, donc elle me demanda de me branler avec sa merde, ce que je fis jusqu’à l’éjaculation !

 

Voilà c’était ma première expérience, en 2009. Depuis j’ai eu l’occasion de prendre en bouche, de lécher le cul de belles femmes à qui je sers de toilette, bref j’ai continué à raison d’un rendez-vous tous les deux mois à peu près.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 11:40

Confessions incestueuses - 1

Mat Stamp

 

A la campagne par Burlot

 

En vacances chez ma tante, je me branle dans ses petites culottes, elle s’en est aperçue, des fois elle sort de sa douche à poil en me faisant des sourires, mon oncle la rejoint et ils vont baiser dans leur chambre en laissant la porte ouverte. je les matte, elle me fait signe d’entrer, mon oncle me laisse la place, elle a les cuisses écartées, je matte sa belle touffe poilue toute humide, mon oncle me branle et commence à me sucer la bite, .  » vas-y mon neveu, fais toi plaisir, baise-là, elle n’attend que çà » je m’introduis dans sa belle chatte, je la baise pendant que mon oncle me caresse les fesses, m’encourage et m’enfonce un doigt dans l’anus, ça m’excite encore plus. Puis il avance sa queue vers ma bouche, je ne réfléchis plus, je la lèche, la suce, l’englouti, il se branle dans ma gueule de petite salope, il explose de son jus, j’en ai plein la bouche et j’embrasse ma tante, on se régale de son sperme, mon oncle a envie de pisser, je lui dit qu’il peut faire dans ma bouche

 

Elle a voulu dormir à poil. Par Genepi

Inceste36

Ma mère et moi avons toujours été très proches, elle travaille la nuit et je dors parfois dans son lit en attendant qu’elle rentre à la maison.

Ce jour -là , elle s’est glissée à côté de moi, et je me suis alors rendu compte qu’elle était toute nue.

– Il fait chaud, ça te gêne que je sois nue ?

– Non, mais ça risque de m’exciter…

– Pas grave !

Je me suis retourné pour lui faire face et j’ai senti ses seins chauds sur mon bras. J’avais peur de regarder, alors je l’ai embrassée chastement, elle m’a embrassée aussi plus longtemps et plus fort que jamais auparavant.

 

Elle a roulé sur son dos, sa main est venue sur ma bite toute dure et nous nous somme roulés un patin, ma bouche est ensuite descendue vers ses jolis seins et j’ai commencé à la lécher, elle n’a pas essayé de m’arrêter, alors j’ai continué. Je pouvais sentir le mamelon devenir dur pendant que je passais ma langue autour et je savais qu’elle en voulait plus et elle bougeait pour que mon visage soit maintenant sur son ventre. Je pouvais sentir sa chatte alors qu’elle ouvrait ses jambes et faisait courir son doigt de haut en bas sa fente.

Elle me tenait la tête dans les mains et enfouissait mon visage dans sa fente. J’ai commencé à courir ma langue en haut et en bas de sa chatte pendant qu’elle baisait mon visage, je pourrais dire qu’elle l’appréciait vraiment. Ses doigts écarquillent les lèvres de sa moule ouverte et je lui caressais la chatte aussi vite que je le pouvais. En une minute elle se mit à hurler qu’elle était en train de jouir et me dit de ne pas m’arrêter.

 

Elle s’est ensuite couchée sur le dos, les jambes écartées. Et m’a demandé de venir en elle. Je la montais quand elle m’a demandé de ne pas jouir en elle et j’ai accepté, il n’a pas fallu longtemps avant que je sois prêt à jouir, je suis sorti de sa chatte, j’ai fait glisser mon corps afin que ma bite vienne sur ses seins . Elle a attrapé ma queue et a commencé à la branler la première explosion est allée droit dans son visage mais elle n’a pas arrêté de me branler j’ai approché plus près de son visage et elle m’a pris dans sa bouche et a léché le reste de mon jus.

– C’était bien, la prochaine fois, je veux que tu m’encules !

– Bien sûr, Maman.

 

J’ai sucé la bite de mon père par Cynthia

 

inceste01bDepuis le jour où j’ai surpris mon père dans la salle de bain, la bite bandée comme un bout de bois, j’ai eu envie de la sucer, mais j’ignorais comment concrétiser. Après des semaine d’hésitations j’y suis allée au flan et je suis rentrée dans la salle de bain.

– Tu en as une belle bite, si tu n’étais pas mon père, je te la sucerais bien !

– Tu es devenue folle, ma fille.

Ben oui, j’espérais quoi, je suis ressortie, mais il faut croire ma réflexion avait fait travailler le cerveau du papa. Le lendemain, mon père avait laissé la porte de la salle de bain ouverte et quand je suis passé devant il m’a demandé de le rejoindre.

– C’est à propos de ce que tu m’a dit hier.

– C’était une bêtise !

– Oui bien sûr, mais si tu veux regarder ne te gêne pas ! Me répondit-il en se branlant la bite.

– Tu joues avec le feu , là !

– Je sais ! Mais c’est toi qui a commencé.

Alors je me suis baissée et j’ai englouti cette bonne bite dans ma petite bouche de salope dévergondée.

Ensuite je me suis retournée et lui ai offert mes petites miches, il est venu me lécher mon petit trou et il m’a enculé.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 11:35

Confessions zoophiles

zoo

 

Jeff

 

J’ai 58 ans, menue et encore bien faite, avec de jolis seins.

 

Je vais vous raconter ce qui s’est passé une nuit où mon mari était en déplacement.

 

Il était minuit, il faisait très chaud et je ne pouvais pas dormir, je décidais de prendre une douche quand notre chien Jeff est rentré dans la salle de bain, je me suis dit : je vais le laver. Jeff est un labrador croisé, il fait le double d’un labrador normal, je dois vous dire que j’étais en conflit avec mon mari et que je n’avais pas fait l’amour depuis 5 ou 6 mois et que je ne suis pas très portée sur la chose. Je fais donc rentrer Jeff dans la baignoire, avec difficulté vu son poids, mais j’ai la chance qu’il aime l’eau.

 

Je commence donc à lui savonner le dos, sans aucune arrière-pensée, le lavais penchée sur son dos par-dessus sa tête c’est alors que Jeff a commencé à me lécher les seins et descendait jusqu’à mon sexe, je réalisais que j’étais nue dans la baignoire avec mon chien cela me faisait des sensations dans un autre monde. J’ai décidé de lui laver le ventre et son sexe. Je me suis donc glissée sous lui et je l’ai savonné, il a commencé à bander avec du liquide qui sortait. J’étais fascinée par ce sexe gros et long, une fois et demie celui de mon mari, j’ai pété les plombs et j’ai commencé à le masturber.

 

Il était magnifique, il m’a joui sur les seins et le visage, je me suis dit alors : stop.

 

Je me suis mise sur le ventre pour me relever et en me relevant je me suis cogné la tête sur la robinetterie, j’ai eu mal et je me suis pris la tête entre les mains. J’étais à quatre pattes sous lui, le bassin relevé et la tête en bas, un peu sonnée. Avant que je n’aie pu faire un mouvement, son sexe était à l’entrée du mien. Je criais : non, mais j’étais bloquée, en deux coups de bassin il était en moi. Là, je me suis laissé aller, jamais je n’ai été aussi entièrement prise, il me bourrait magistralement. Je jouissais comme une folle et lui m’inondait sans arrêt.

 

Je ne sais pas combien ça a duré, mais j’étais en extase, j’ai même aimé quand il a grossi. Je suis allé dans mon salon pour récupérer et je dois vous dire que je me suis fait reprendre.

 

Depuis je me fais prendre par lui régulièrement, il ma sodomisée et une autre fois je l’ai sucé et tout avalé je ne l’avais jamais fait car c’était tabou pour moi.

 

Je l’ai même fait prendre ma meilleure amie, mais je vous raconterais ça plus tard ainsi que mes autres expériences.

 

Depuis Jeff je ne suis plus la même femme.

 

Janice

 

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Zorro est arrivé

 

Je m’appelle Alice, j’avais 19 ans quand cela s’est passé. Je n’avais pas de petit ami à ce moment-là et coté vie sexuelle c’était un peu le désert. C’était les grandes vacances d’été, mes parents m’avaient conduit chez mes grands-parents dans le Nord. Ils possédaient une grande maison assez isolée dans la campagne avec un immense jardin. Mes parents devaient initialement rester avec moi mais ils ont dû rentrer pour une urgence professionnelle. Je me retrouvais donc seule avec mes grands-parents pour une semaine. (Ah oui j’ai oublié de vous raconter un détail qui aura son importance par la suite: mes grands-parents ont un labrador de 4 ans qui s’appelle Zorro.

 

Je dormais dans la seule chambre du rez-de-chaussée, la première journée s’est passée d’une façon tout à fait banale. J’avais emporté dans mes bagages un gode que j’avais achetée une semaine plus tôt sur internet et que je n’avais pas encore essayé. Le soir en regardant une de mes séries préférées, je commençais à jouer avec mon gode sans la crainte d’être surprise, car mes grands-parents se couchais tôt, l’orgasme ne se fit pas attendre puis je m’endormis vêtu d’une simple petite nuisette.

 

Le matin suivant je me réveillais vers 10 heures, mes grands-parents m’avaient prévenues la veille qu’ils partaient la journée rendre visite à des amis à eux. Je pris mon petit déjeuner sur la table du salon. Pendant que je prenais mon petit déjeuner Zorro le chien de mes grands-parents passa sous la table et se frotta contre mes jambes; je sursautai et fis tomber la tasse que j’avais dans les mains. Je le disputais et me mis à quatre pattes pour ramasser les dégâts: quand tout à coup je sentis une pression sur mes épaules, je tournais la tête et vit Zorro qui s’appuyait sur mes épaules avec ses pattes. Ne pensant pas qu’il voulait réellement « s’accoupler » je le repoussai; mais pas assez fort pour qu’il s’en aille: puis je sentis une pression sur mon sexe et quelque chose qui voulait entrait en moi; je compris immédiatement et je repoussai Zorro de toute mes forces. Furieuse je le mis dehors et je me suis dit que le fait de ne pas avoir mis de culotte était une erreur. Je partis immédiatement prendre une douche pour oublier ce qui s’était passer avec Zorro, mais je n’y arrivais pas: je ressentais encore cet énorme chose qui vouait entrait en moi et un frisson parcourra tous mon corps.

 

Mes grands-parents revinrent à temps pour le diner. Ils me demandèrent comment ma journée s’était passée: je leur répondis qu’elle avait était banale et que je m’excusais pour la tasse que j’avais cassé. Ils remarquèrent que Zorro était dans le jardin, ne comprennent pas pourquoi il était enfermé dehors: je leur expliquais que c’était à cause de lui que j’avais casser la tasse et que pour le punir je l’avais mis dehors. Ça m’était sorti de la tête. Avant d’aller se coucher ma grande mère voulu me parler :

 

– Demain ton grand père et moi allons faire une ballade, est ce que tu veux venir avec nous?

– Non désolée je n’ai pas trop envie de sortir. (Je ne vous cache pas que j’avais une tout autre idée en tête).

 

Le soir je surfait sur le net pour en savoir plus sur les relations entre femme et chien. Je tombais sur plusieurs vidéos mettant en scène des femmes en train de baiser avec un chien, elle avait l’air de prendre beaucoup de plaisir: j’avais une petite envie d’essayer.

 

Le lendemain au petit déjeuner je remarquas un petit papier sur la table du salon mais je n’y prêtai pas plus d’attention. Je voulais recréer la scène de la veille, je cherchais Zorro qui était dans la cuisine, je le caressais pendant quelque temps pour qu’il soit un peu excité: quand il se leva j’enlevai ma culotte et me mis à quatre pattes. Il ne mit pas longtemps avant de s’appuyer sur mes épaules puis il me pénétra d’un seul coup, je poussai un cri tellement fort que même les voisins auraient pu entendre. Il entama un va-et-vient qui me fit gémir de plaisir et me fit atteindre l’orgasme, c’est alors qu’il éjacula en moi. Il se retira et me laissa là, étendue sur le sol, du sperme dégoulinant de mon vagin. Soudain j’entendis quelqu’un qui me parlait :

 

– Alors Alice tu prend ton pied ?

– Euh…

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Oh mon dieu c’était ma cousine Audrey plus vieille que moi de deux ans, je ne l’avais pas entendue entrer

 

– Tu as l’air surprise de me voir, on ne t’a pas dit que j’arrivais aujourd’hui ?.

 

C’était donc ça le papier sur la table, ma grande mère l’avait laissé là pour me prévenir

 

– Tu dois te demander ce que je fais à moitié nue sur le sol de la cuisine.

– Non pas tant que ça, tu n’as pas dû le voir mais je regardai depuis un petit bout de temps et j’ai vu la scène.

– Alors tu dois me prendre pour une folle.

– Non pas du tout.

– Ah bon??

– Non. C’est la première fois que tu fais ça avec un animal?

– Euh, ouai.

– Et bien moi je peux te dire que je suis allée plus loin. (Elle me fit un clin d’œil)

– Comment ça ?

– Je l’ai déjà fait avec une petite variante.

– C’est-à-dire ?

– C’est-à-dire que le chien m’a enculé !

– Je vais me doucher et tu me raconteras tout ça. Et au fait pas un mot de tout ça.

– D’accord mais on va se doucher ensemble, j’aimerais bien gouter à tes petits trésors !

– Pas de problème.

 

Alice

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Mon mari et mon chien par Lola

Il était environ 18 heures quand David, mon mari arriva du travail, il faisait assez chaud et j’étais donc en petite tenue. Je ne portais qu’un tee-shirt très très court. Comme à son habitude, David m’embrassa dans le cou et me fit remarquer que si je restais comme ça, il serait dans l’obligation de me baiser. Ne m’en déplaise mais avant il devait sortir notre chien Amoj, un rotweller de 6 ans.

Après m’être repoudré le nez, je continuais mes occupations à la cuisine en attendant le retour de mon mari. La porte s’entrouvrit et mon cœur commençait à s’affoler. Il arriva derrière moi et commença à me peloter mon cul, il m’embrassa, me lécha. Avec délicatesse, il m’allongea par terre puis m’introduisit un doigt puis deux, j’aime avoir mal quand il me fait l’amour, sans peine, il me ramona avec sa main puissante. Instinctivement, il attrapa la courgette que j’étais en train d’éplucher, je savais ce qui allait se passer, je le priais de me l’introduire dans l’anus. Il ressortit sa main pour prendre la courgette, il me la planta dans le corps : j’ai crié ! Il me pilonnait si fort que je croyais tomber dans les pommes.

Mon chien attiré par les cris arriva, il me renifla d’abord puis s’assit la langue pendante. Son sexe commençait à gonfler; il faut avouer qu’il était divinement monté. Mon mari continuait quand il me regarda fixement, je compris de suite. Il approcha le chien et lui fit mettre sa truffe sur ma chatte mouillée, il lécha. David me demanda de me retourner et Anjol monta sur mon dos. Il avait du mal à trouver mon con alors David dirigea son sexe ce qui l’excita encore plus puis d’un coup il me força. Pendant de longues minutes il me fit l’amour avec une certaine intensité; c’était si bon. Dans le même temps je suçai mon mari qui bandait terriblement devant ce spectacle. Après l’étreinte de mon chien terminée, David le sortit de la pièce.

– On recommence quand, mon chéri ? Lui demandais-je

– Mais quand tu veux !

 

Lola

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 10:46

L’épisode du chien par James

zoo

Bonjour, c’est moi James qui vient vous narrer une autre de mes aventures sexuelles. J’habite avec Isabelle, ma femme et Marie, ma mère dans une fermette à la campagne.

 

Ceux qui ont lu mes précédentes aventures savent que depuis son accident dont elle est actuellement remise, je baise avec ma mère, et j’en suis fort satisfait car c’est une excellente suceuse de bites.

 

Mon épouse n’est pas jalouse et ne dédaigne pas de lécher le minou de ma mère quand ça lui prend.

 

Et ce jour-là, Isabelle rentrait du village, un gros labrador qui aurait eu besoin d’un bon toilettage lui emboitait le pas d’un air débonnaire.

 

– T’as trouvé un chien ? M’étonnais-je

– Je ne sais pas d’où il sort : Il n’arrête pas de me suivre depuis tout à l’heure, à mon avis, il s’est perdu, il a bien un collier mais il n’y a aucune indication…

 

La bête avait faim et soif, Isabelle lui mit un steak haché cru dans une assiette, le chien l’avala en quatre bouchée avant de nous faire un bruit d’enfer en lapant toute l’eau que j’avais versé dans un saladier.

 

– C’est un mâle ? Demande ma mère.

– On dirait bien ! Répond ma femme en mettant sa main sur la quéquette du chien.

– Lâche-le, tu l’excites ! Intervint ma mère.

– Et alors c’est grave ?

– Non répondit Isabelle en continuant à tripoter la bite du chien.

 

Et alors contre toute attente, le chien se dégagea de l’étreinte de ma femme et s’en alla boire une gorgé d’eau dans son saladier que je venais de remplir à nouveau.

 

– Bon tant pis, Dit Isabelle, je voulais m’amuser un peu, mai s’il ne veut pas, je ne vais pas le forcer.

 

Et elle vint s’assoir à côté de ma mère sur la canapé.

 

– Et d’abord, belle-maman, tu es une grosse jalouse, on peut jouer à deux avec le chien !

– Parce que tu te figures que ça m’intéresse ?

– Bien sûr que ça t’intéresse, quand on est salope, on est salope.

– Si tu le dis…

Et les deus femmes se roulèrent un patin d’enfer en se pelotant comme des vielles goudous.

 

Mais voici que le chien revient en remuant de la queue, se mettant juste devant les deux femmes.

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– Baisse ta culotte, il va peut-être nous lécher ! Suggère Isabelle à ma mère.

 

Les deux femmes font mieux que ça et se déshabillent compétemment, puis de nouveau elle s’embrassent tout en se caressant les nichons et le minou.

 

Isabelle attrape de nouveau la bite du chien, mais celui-ci semble inexorablement attiré par la chatte de ma mère et se met à lécher l’endroit avec délectation.

 

Ma mère met un peu de sa mouille sur la chatte d’Isabelle afin d’y attirer le chien, il la lèche un moment mais revient rapidement sur la pèche de ma mère, elle doit avoir un gout particulier.

 

Le léchage du chien semble ne vouloir jamais cesser, ma mère se contorsionne pour attraper la bite du chien et la sortir de son fourreau avant de la proposer à Isabelle qui se met à la sucer énergiquement avant de passer le relais à ma mère.

 

 

Les deux coquines se régalent. Je décide de me mettre à poil à mon tour et de me branler, j’aime bien être nu quand je me masturbe.

 

Je ne sais pas comment je me suis débrouillé mais ma bite est maintenant à quelques centimètres de celle du chien. Ma mère s’en aperçoit et délaisse le chien un moment pour me sucer ma propre bite, il faut bien varier les plaisirs. Ma mère alterne alors ses fellations, un coup moi, un coup le chien. Quelle excitation, à ce point que je jouis et envoie mon sperme sur la visage de ma mère qui récupère tout dans sa bouche.

 

On fait un petit break, le temps de boire un jus de fruit; puis c’est Isabelle qui maintenant se met à lécher la bite du chien, son visage dégoulinant du jus de bite de la bête. Au bout d’un moment, elle se met en levrette, le chien ne comprend pas, mais ma mère l’aide en imbibant de mouille le trou du cul de ma femme.

 

Du coup le chien s’élance et vient enculer ma femme avec une énergie qui faisait plaisir à voir.

 

Ma mère adopte ensuite la même position, mais le chien avait l’air de se trouver fort bien dans le cul d’Isabelle et n’entendait visiblement pas changer de partenaire.

 

– Viens James, viens enculer ta mère, après tout tu fais ça très bien !

– J’arrive !

 

fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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