Samedi 1 août 2020 6 01 /08 /Août /2020 17:49

Naturisme scato par Cosi-cosa

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Nous sommes un couple d’âge mûr comme on dit, mais en forme et apprécions les plaisirs du sexe sous toute ses formes.

 

Par une belle journée d’été mon mari et moi nous avons décidés d’aller comme à chaque année au camp naturisme à quelques heures de la maison, nous étions légèrement habillés, moi vêtus d’un simple short moullant mes grosses fesses et un tee-shirt et lui d’un boxer et d’une chemise à manches courtes,

 

Parvenus à destination nous nous sommes mis tout nus sans se faire prier, la vue de tous ces nudistes nous excitaient terriblement, moi j’étais mouillée et mon mari semi-bandé, il y avait des bites, des seins et des fesses partout autour de nous, j’ai dit à mon mari :

 

– Viens, on va à la piscine pour se faire bronzer

 

Mais tout juste à côté de nous était allongée une très belle femme nue dans la cinquantaine avancée avec de gros nichons et deux ou trois piercings, moi je n’osais pas la regarder trop mais mon mari lui, lui parlait de tout et de rien. A un moment, elle a mis sa main sur la bite de mon mari, l’a caressé, l’a fait grossir et l’a branlé un peu, puis elle s’est penchée pour le sucer après m’en avoir sollicité « la permission ».

 

Mais la fellation fut interrompue par un vieux mâle avec qui la dame devait avoir rendez-vous, elle abandonna donc la bite de mon mari avec un air désolé.

 

Un peu plus tard, deux pédés se tenant par la main passèrent à notre proximité, mon mari semblait fasciné par leurs belles bites à moitié bandées, il fut si peu discret que l’un des gars l’apostropha :

 

– Alors Papy ? Tu mates nos bites ?

– Hé, c’est qu’elles sont bien jolies !

– Tu veux sucer ?

– Pourquoi pas

 

Et l’instant d’après Raoul avait une bite dans la bouche, le second passa derrière lui, lui flatta les fesses et lui introduit un doigt dans le cul avant de lui proposer de l’enculer.

 

Mon mari se plaça alors en levrette comme une vraie chienne et se fit enculer tout en continuant à sucer la première queue.

 

Cela dura quelques minutes, les deux mecs ne désirant pas jouir.

Il était environ 17 heures quand nous avons repris notre route et mon mari m’a dit qu’il se sentait très excité pas nos petites rencontres.

 

Je lui répondis que moi aussi j`étais excitée par le spectacle, uniquement par le spectacle puisque je n’avais pas eu le plaisir de consommer ! Je lui précisais néanmoins que j’avais envie de faire pipi et aussi caca et je savais qu’en lui disant cela, il serait bandé comme un cheval

 

Alors nous avons emprunté un chemin de terre et avons trouvé un champ abandonné où personne ne pouvait nous voir. Raoul a arrêté l’auto, ouvert les portières et en deux minutes à peine nous étions nus tous les deux à proximité de la voiture.

 

J’ai commencé à faire pipi sur lui et dans sa bouche à califourchon au-dessus de sa tête je le voyais boire tout mon pipi et se délecter de mon nectar doré. J’étais toute détrempée ensuite il se coucha sur le sol, moi à califourchon sur son visage écartant mes grosses fesses, je déféquai sans retenue partout sur lui et dans sa bouche plus je poussais plus il bandait, il prit ma merde de ses deux mains et me tartina partout de la tête aux pieds j’en avais sur les nichons, la chatte, les fesses, et le visage. J’étais tellement excitée que je n’arrivai plus à contenir mes paroles je lui disais les mots les plus pervers et crades que je pouvais dire alors que nous étions tous les deux couverts de merde et de pipi chaud.

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Trouvant la force de me lever je me suis mise à quatre pattes et lui la queue pleine de merde derrière moi, bandé au maximum regardant mon gros cul tout brun de matière enfonça d’un seul coup sa grosse bite et me défonça les deux trous sans pitié. Je jouissais comme une vraie truie et je suis venue trois fois de suite il a retiré sa bite toute merdeuse de mon cul et ma chatte dégoulinante et je suis ai sucé et avalé toute la merde qui entourait sa virilité jusqu’à ce qu’il vienne dans ma gorge de salope,

 

Épuisés de cette aventure nous nous sommes rincés dans le petit ru tout proche en rigolant comme des gosses qui viennent de faire une grosse bêtise. Arrivé à la maison nous avons pris une vraie douche et confié nos vêtements au lave-linge

 

Bien sûr nous avons recommencé, mais je voulais vous faire partager une de nos petites expérience uro scato, avec vous mes amours.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Cosi-cosa
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Vendredi 31 juillet 2020 5 31 /07 /Juil /2020 12:52

Confessions candaulistes - 1 

 

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Au parc par Karine

 

Je m’appelle Karine. J’ai 28 ans. On me trouve jolie. J’adore faire l’amour et j’aime m’exhiber. Mon copain me laisse vivre mes petits fantasme…L’été dernier nous avions décidés d’aller nous promener dans un parc près de Québec. Cette journée étant très chaude je m’habille de façon très provocante. Petit short moulant mes parties intimes avec un petit débardeur tout blanc laissant deviner l’aréole de mes seins.

Après une demi-heure de marche sous un soleil suffocant nous nous arrêtons près de la rivière. Il y avait là un homme d’une soixante d’année, d’une belle prestance comme je les aime… Je décide avec l’approbation de mon copain de me baigner. Je souris à l’homme assis. Tout excitée je me baigne sachant très bien que mon débardeur deviendrait complètement transparent. L’homme me regardait intensément ce qui m’excitait d’autant plus. Mon copain quant à lui avait retiré son short pour ne garder que son petit maillotmoulant sa verge gonflée et très apparente. J’étais au bord de l’orgasme. Je décidai alors de retirer mon débardeur et de sucer mon copain devant cet homme. Alors que je pompait l’homme s’approcha et avec le sourire approbateur de mon copain, il me caressa les seins. Mon copain ne tarda pas à éjaculer. Je pris tout ce bon nectar dans ma bouche et alla embrasser notre visiteur sur la bouche. Il sembla apprécier. Je me penche alors et avale sa verge plus petite que celle de mon copain je réussis à tout prendre jusqu’au bourses. Mon copain se plaça alors sous moi et me l’écha la chatte et l’anus (J’adore ça).Le gars éjacula dans ma bouche Je gardai tout et recrachai le tout sur mes seins. Quel spectacle ! J’étais inondée Je fus secouée alors d’un puissant orgasme. Je décidai de remettre mon débardeur par-dessus mes seins tout mouillé de sperme et de salive. J’embrassai le vieil homme et nous sommes partis. Mon copain dit :

– Tu es vraiment une petite salope !

– Oui, je suis ta salope et j’aime ça !

 

Vacances au Mexique par Fred

 

Bonjour je m’appelle Fred, je suis marié à une belle femme châtaine et très bien faite avec de gros seins que j’aime tripoter. Comme beaucoup d’hommes j’avais le fantasme de voir ma femme se faire toucher par d’autres hommes, mais ce n’est pas si facile, elle et très cochonne avec moi mais plutôt prude ailleurs. J’avais réussi à la convaincre de ne pas mettre de soutien-gorge pour aller dans un petit bar que l’on avait repéré dans la journée. La veille j’avais parlé à un Mexicain assez gentil sans que ma copine nous voie et lui avait proposé un jeu de rôle.

Il s’est caché dans une petite ruelle sombre où l’on devait passer pour revenir à notre hôtel. Après notre soirée, on était pas mal fatigués, on est parti à pied, ma copine et moi quand nous sommes passés par la petite rue, le Mexicain nous a barré la route avec un grand sourire, ma copine a crié

– N’ai pas peur ma chérie, ce jeune homme ne nous veut aucun mal !

– C’est vrai, je ne suis pas méchant, je vous trouve très belle mademoiselle, cela me ferait beaucoup du plaisir si je pouvais vous caresser.

– Non mais ça ne va pas, non ? Proteste-t-elle

– Laisse-toi faire ma chérie, ça peut être amusant et même très excitant !

– Mais vous êtes de mèche tous les deux ou quoi?

– Non, non pas du tout, Mentis-je dans grande conviction

– Je vais juste vous toucher les seins ! Dit le Mexicain

– Laisse toi faire chérie

– C’est un traquenard, tu ne perds rien pour attendre.

J’ai maintenu les poignets de ma copine, ce qui a permis au Mexicain de lui déboutonner sa chemise. Puis il a commencé à lui prendre les seins, lui tirant sur les bouts tout en la traitant de petite pute. Elle s’est rapidement prise au jeu, elle a pris ses mains dans son dos pour me prendre ma queue qui bandait très fort.

Le Mexicain a entré une main sous sa jupe et lui a baissé sa culotte, il a relevé la jupe et a admiré sa chatte rasée et mouillée. il lui a entrer deux doigt dans la chatte et les a fait entrer et sortir, elle se trémoussait devant lui pendant qu’il riait et la traitait de salope. Elle jouissait très fort alors il la fait se mettre à genoux et lui a demandé de le sucer ce quel fit sans hésiter et bien à fond jusqu’à l’éjaculation, puis elle avala tout son sperme.

– Si vous avez encore besoin de moi, je suis à votre service ! Nous dis le Mexicain avant de disparaître. .

 

La nuit de la Saint-Jean par Kevin

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Il commençait à faire noir et nous attendions le début du spectacle, il y avait un millier de personnes au moins. Je vis soudain une jeune fille blonde, avec une poitrine superbe. Je commençai à bander aussitôt et à rougir aussi, tellement je fus pris par surprise, d’autant plus qu’elle remarqua la bosse dans mon pantalon que je cherchais à cacher tant bien que mal. Elle fit un sourire, ce qui me détendit et je m’approchai d’elle au point de la toucher avec mon épaule, elle ne broncha pas, au contraire elle frôla son épaule contre la mienne comme une caresse invitante. Je lui passai la main derrière le dos et le lui caressai, elle ferma les yeux à moitié. Je continuai de plus belle et je descendis jusqu’à ses fesses, elle me releva la main et elle vint se mettre derrière moi et me plaça ma main sur son jeans à la hauteur de sa chatte. J’eu une énorme frisson qui me parcourut le corps. Je lui flattait la sexe sur son pantalon et elle dégageait tout ce qu’elle pouvait d’énergie sexuelle. Je n’en pouvais plus, je la pris par la main pour l’emmener à l’écart derrière un bâtiment et nous nous embrassâmes comme deux bêtes, à s’en peter les babines. Je parcourrai la rondeur de ses seins et j’y introduis une main je ne sais comment et mon autre main alla directement dans sa petite culotte, jamais avant je n’avais eu un tel désir pour une fille, si violent et si puissant. Je sortit mon pénis qu’elle s’empressa de mettre dans sa bouche. Elle me suça comme une furie a m’en pèter les couilles, elle ne se contrôlait plus et moi non plus, je jouissait comme jamais avant, je la relevai pour lui descendre son jeans et sa culotte, mais elle enleva tout au risque d’être vu, je lui enfilai ma queue dans son vagin mouillé comme une mare et je la baisai au plus profond d’elle-même farouchement, sauvagement, elle criait à chaque coup que je lui donnait et plus elle criait plus je lui plantais mon dard au plus profond de son sexe. Dans un geste, je la retournai de bord et je la penchai en avant pour l’enculer, mon pénis entra d’un coup dans son petit trou brun et comme un coup de canon nous sommes venus comme des bêtes fauves, criant et gémissant. Je sortis ma queue et je finis d’éjaculer sur elle, je lui en mis partout où je pus, je voulais l’asperger de mon jus.

Quand j’ai voulu lui proposer de boire un verre elle m’a dit qu’elle n’était pas seule, et que son copain s’était bien excité en nous regardant baiser. Il s’est approché de nous, m’a félicité pour ce que j’avais fait et ils m’ont proposé de me payer le restau. J’ai refusé, envahi par des sentiments partagés, je l’ai ensuite regretté, on est con parfois.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 31 juillet 2020 5 31 /07 /Juil /2020 12:48

Confessions incestueuses – 2

Mat Stamp

 

Triolisme avec maman par Ric

 

J’habite une petite chambre d’étudiant. Amelie me téléphone pour me demander si elle peut passer ? Bien sûr quelle peut passer ! Une demi-heure plus tard, elle sonna à la porte, j’ouvris seulement vêtu d’un caleçon car je savais que ça l’existait beaucoup. Je la fit entrer et aussitôt qu’elle eut le dos tourné, je la poussai sur le divan où je la déshabillait le plus rapidement possible

Je commençai à l’embrasser langoureusement et ce qui devait arriver ne se fit pas attendre, elle commençais à mouiller la salope (elle adorait ces mots-là) alors mes mains descendirent vers sa toison d’or et commencèrent à frotter son clito pour la faire gémir de plus en plus. Elle eut un premier orgasme. Moi mon érection était de plus en plus visible et elle le sentait. Alors elle retira mon caleçon et prit mon sexe à deux mains et commença à faire des va-et-vient qui ont fait sortir une goutte de sperme. Elle se délectait de cet avant-gout et elle en voulait plus. Elle se mis à me pomper comme une déchaînée et j’eus une premier orgasme, tout mon liquide chaud et salé lui coulait lentement et abondamment entre les deux seins et elle me dit .

– Nettoie moi ça tout de suite !

Je ne me fit pas prier pour attendre et je me mis à lécher tout ce qu’elle avait sur elle et en m’attardant bien sûr sur ses gros seins qui avaient des mamelons si fermes que je pouvais me crever un œil. Ensuite j’allais chercher une capote, elle me l’enfila et je commençais à l’enculer et elle eut un autre orgasme en même temps que moi

Alors que je me retirais, le téléphone sonna, c’était ma mère qui était dans le quartier et qui me demandait si elle pouvait passer me faire un petit coucou. Je cherchais à tergiverser mais Amélie intervint :

– Tu m’a bien dit que ta mère était une salope…

– Oui, mais…

– Dis-lui de venir et en attendant on va continuer à baiser, on verra bien comment elle va réagir

Nous découvrant nus couchés l’un sur l’autre ma mère se déshabilla aussitôt et sauta sur nous, nous embrassant tous les deux. Je proposais aux deux femmes de faire l’amour ensemble et pour corser la chose j’allais chercher le petit godemichet que je m’introduit parfois dans le trou du cul, et le leur confiait. Elles commençaient à s’embrasser, puis ma mère se mis à quatre 4 pattes pour se faire défoncer. Moi sur l’autre divan, je les regardais en me masturbant. Ma mère jouit en premier, ensuite elles inversèrent les rôles jusqu’à ce qu’Amélie jouisse à son tour.

Et moi j’éjaculais en faisant couler mon sperme sur mon torse, les deux coquines voyant ça se précipitèrent sur moi et commencèrent à me lécher le torse pour gouter à ma semence. Puis ma mère se mit à me sucer ce qui provoqua une autre réaction de mon membre viril.

 

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La mère de Didier par Sophie

 

Moi, Sophie et mon copain Didier vivons provisoirement chez sa mère en attendant que nous nous trouvions une piaule. Évidemment, cette situation imite nos ébats amoureux…

L’autre jour, nous étions tous les deux dans le salon en train de regarder des sites pornos un peu extrêmes. Et à force de mater nous avons commencé à nous exciter.

J’étais assise près de lui et en me laissant descendre doucement sur ma chaise, j’ouvre mon robe de chambre sous laquelle je suis nue et écarte légèrement les cuisses. Didier me regarde et me fais un beau sourire. Mon entre-cuisse est tout juteux et il ne peut s’empêcher de venir y coller ses lèvres. Il me lèche, suce mon clitoris et moi je me tortille sur ma chaise et je ne peux gémir car sa mère dort dans la pièce à côté. Hummmm c’est tellement bon ce qu’il me fait !

Soudain il me fait mettre debout et me retourne, me faisant prendre appui sur le dossier de la chaise, j’ai le visage dans le passage et je peux guetter si sa mère se lève. Didier me caresse les fesses, j’entends son jeans descendre et je sens son gland qui vient taquiner l’entrer de ma chatte .je le supplie de ma baiser, là .tout de suite, ce qu’il fait avec ardeur et le voilà qui me laboure, me baise, me pilonne. Ses va-et-vient me font monter très vite et j’ai envie de crier mais je ne peux pas. La sueur coule sur mon visage, dans mon cou .mon dos s’humidifie lui aussi. Didier me pénètre de plus en plus vite et je l’entend me glisser à l’oreille qu’il jouira lui aussi très bientôt. Je lui demande de m’enculer.

Et là sur le pas de la porte, je vois sa mère en train de nous observer.

– Ne vous gênez pas pour moi, vous êtes très beaux tous les deux.

Je panique, mais contre toute attente Didier propose à sa mère de venir nous rejoindre. J’ai du mal à comprendre, mais l’instant d’après la mère avait la bouche se son fils dans la bouche.

Un moment j’ai pensé faire ma valise en vitesse et quitter ce lieu de perdition, mais les caresses de la maman sur mes cuisses m’ont tétanisé, je me suis laissé faire et quand elle m’a offert ses lèvres je les ai acceptés.

Sans doute est-ce l’insolite de la situation mais j’étais soudain excitée comme une puce, et je me suis retrouve en soixante-neuf en train de lécher la bonne chatte de la mère de mon copain. J’étais en dessous et elle au-dessus.

Et que croyez-vous que fit Didier ? Il a enculé sa maman qui a joui comme une damnée.

– Il y a longtemps que tu baises ta mère ? Lui demandais-je

– Oh je ne sais plus, le temps passe si vite !

 

La bite à Papa par Julien

 

Je suis Julien, j’ai 19 ans. Mon père rentre dans ma chambre et allume la lumière.

– Tu as bien sucé ton cousin, hier ?

Effectivement, quand mon cousin passe à la maison nous regardons des films pornos et quelques fois, nous nous branlons et nous nous suçons la bite

– Ben quoi , je suis majeur… Tu ne vas pas de dire que tu es homophobe quand même ?

– Non, mais figure toi que je vous ai vu, la porte était mal fermée et ça m’a excité

– Ah ?

– T’aimes ça les bites, hein ?

– J’avoue !

– Tu me sucerais la mienne ?

– En voilà une question inattendue !

– Mais tu ne m’as pas répondu.

– Disons que c’est un peu particulier.

– C’est juste une proposition !

– Hum

– Tiens regarde !

 

Il baisse son pyjama et sa queue sort déjà toute droite.

 

– Elle est belle !

– Ben suce-là !

 

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Il s’approche de moi et me plante son sexe dans la bouche. Je le suce et ma foi, c’est pas dégueulasse. Sa queue durcit encore plus entre mes dents. Au bout de quelques minutes, il me fait me retourner à genoux et sans me dire un mot, il m’enfonce son engin dans les fesses. Je ne peux retenir un cri, mon anus me crie : « stop ! J’ai l’impression d’éclater de l’intérieur. Il ne retient pas ses mouvements tellement il est excité. Soudain, je sens du chaud monter en moi et ses mouvements se font plus lents. Son sperme m’inonde le cul et ressort de mes entrailles.

– Mets-toi sur le dos et branle-toi !

J’obéis. Il me remet son sexe dans la bouche.

– Nettoie, maintenant !

Je goûte à ce mélange de sperme qui sort de mon cul et rends ce sexe qui se ramollit aussi propre qu’au début.

J’ai bien jouit, mon père m’embrasse.

– Ça t’a plus ?

– Super ! Mais la prochaine fois frappe avant d’entrer.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 31 juillet 2020 5 31 /07 /Juil /2020 12:44

Confessions de clients (prostitution) – 3

 

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Les maréchaux par Gilbert

 

Ayant particulièrement apprécié vos prises de positions sur la prostitution; je me permets d’apporter ma modeste contribution au « débat ». J’ai longtemps considéré qu’il était dégradant (sic) d’aller voir des prostituées, qu’il fallait être un pauvre mec pour payer une fille, en fait, je cumulais, et sûrement « cultivais » les clichés que l’on peut avoir sur le sujet. Et puis, arrivé à la trentaine, j’ai eu l’occasion de tester… Peut-être qu’il fallait que je mûrisse, peut être que je suis devenu un pauvre mec, toujours est-il qu’un soir, j’accompagnais un ami à Paris, et le voilà qui me branche sur les prostituées, il voulait que l’on fasse « les maréchaux » pour voir… Here we go et nous voilà en train de tourner sur le périph, de sortir à différentes portes pour voir…

 

De plus en plus excité par ses charmantes créatures, il me demande de le laisser marcher un peu, il souhaitait voir de plus près et plus si affinité. On convient d’un rendez-vous une demi-heure plus tard et me voilà seul, en voiture et en train de tourner. J’avais mal au ventre et aux couilles depuis un petit moment, l’excitation étant montée depuis un bout de temps.

 

Et puis, après avoir hésité un bon moment, je m’arrête à côté d’une fille, une jolie blackette avec un décolleté impossible et des seins comme des obus. Alors que je me demandais ce que j’allais lui dire, j’étais prêt à lui assener un superbe et terrible, « c’est combien ? ». Cette beauté s’approche de la fenêtre et me dit : « 15 euro la pipe, 30 l’amour ». Je ne l’écoute même pas, je lui ouvre la portière, et là le choc, elle me parle anglais, c’est con mais je ne m’y attendais pas, je me sens un peu déstabilisé, c’est une première ce soir ! Je lui demande où aller, elle m’indique une entrée de parking privé. Je m’y dirige et là, contre toute attente, elle me dit que l’on arrivait. Je reste sur le cul, je suis garé sur le trottoir, sous un lampadaire, à 3 ou 4 mètres d’une sortie de parking. Je la paie, elle me demande de virer mes vêtements (remarquez c’est plus pratique)

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Première surprise, je me déshabille et me retrouve le pantalon sur les chevilles comme un rien, alors que je suis du genre pudique (je ne rigole pas) elle commence à me « masser », prépare sa capote. Je ne suis pas bien installé, j’ai la musique qui m’agace, dans la précipitation je n’ai pas coupé le radio, et là,.. .rien impossible de bander, la fille fait ce qu’elle peut mais rien n’y fait, je lui demande si je peux la toucher et elle me répond qu’il faut payer plus, je rallonge 20 euro, et commence à la caresser. J’aperçois quelqu’un qui s’approche, c’est une de ses collègues, j’hallucine, la musique, la lumière, l’emplacement et maintenant ça, les deux commencent à discuter, je ne comprends pas ce qu’elles disent., mon anglais était très rudimentaire. C’en est trop pour moi, elle me signifie que cela fait 10 minutes qu’elle s’active et qu’elle a d’autres choses à faire… J’abandonne, elle s’en va et j’ai une impression de malaise, non pas que je regrette d’avoir vu une prostituée, mais mon orgueil en a pris un coup. J’ai pas pu bander ! Et ça, ça fait mal. Mais je me console en me disant que j’ai franchi un cap, je suis allée voir ailleurs, c’est ma copine qui serait pas contente !!!

 

Une réplique du « bonheur est dans le pré » parle des « infirmières de l’âme » et c’est bien de ça dont il s’agit, c’est simple, c’est facile et ça fait du bien. Depuis j’y suis retourné et merci pour Popaul, tout à très bien fonctionné. Sans être un accroc, je retourne de temps en temps et j’adore ça. Pourvoir changer de filles, aller voir ailleurs, c’est purement physique. Je ne connaissais rien à ce milieu, je me suis renseigné et j’ai appris que les filles des Maréchaux étaient toutes maquées. Ça m’a contrarié et j’ai préféré choisir des filles par Internet. J’ai ainsi trouvé l’occasion de changer de partenaire sans changer de femme, femme que j’aime par ailleurs, il ne s’agit pas d’amour, je paye un service, ces filles me font découvrir d’autres choses, me permette de m’évader et de découvrir de nouvelles peaux, de nouveaux corps, de nouvelles pratiques et je les en remercie.

      Olivia par Zach

Rencontré pour la première fois Olivia hier midi. Accueil agréable, tenu sexy, joli visage assez atypique. Me propose un verre, je décline, je préféré après. On va dans la chambre, l'appartement est sur deux niveaux.
Déshabillée, c'est une vrai MILF, la poitrine est modeste mais pas les tétons ! Whaouh ! Oh, ma mère !
Fellation capotée bien maitrisée, puis une levrette. Je me suis retenu de jouir parce que je voulais jouir entre ses pieds. Il a fallu trouver le bon rythme et la bonne position, ce qui nous a provoqué une bonne rigolade.
Ejac, lingette rafraichissante. La demi-heure a passé trop vite et j'en ai oublié mon coup à boire. La prochaine fois je ferais un heure.

Sylvia par Jean-Yves

 

Je m’appelle Jean-Yves et j’ai 30 ans, marié et fidèle. Un soir après avoir fait des heures sup, je rentrais chez moi avec le dernier bus. Le chauffeur nous prévient qu’à cause d’une déviation, le terminus est reporté. Je sors et essaie de retrouver le chemin de la maison, je passe par une rue très sombre où jusque quelques bistrots sont ouverts. J’entends des pas derrière moi, des talons. Je ne me retourne pas mais je ralentis un peu jusqu’à ce que la personne me dépasse. C’était une superbe blonde en minijupe. Elle me dépassait et commença à marcher lentement. Je m’approcha d’elle par curiosité, et elle fit tomber son sac. Je le lui ramassai son sac qui s’était ouvert et vit qu’elle avait plein de capotes. En me baissant pour le je vis sa superbe chatte, elle n’avait pas de culotte. Voyant mon œil lubrique, elle m’a proposé de la suivre… » pour 50 euros seulement ». Elle m’emmena dans sa voiture. Une fois installé dans le véhicule elle a soulevé son haut et m’a fait voir ses beaux nichons. Elle m’a baissé mon pantalon et mon caleçon. Elle a pris en main ma bite dure et longue, et a commencé à me sucer. Après un moment, j’ai commencé à sentir le jus venir et je lui ai demandé de me mettre la capote, ce qu’elle fit très bien. Je lui demande d’écarter les jambes et de s’asseoir sur moi. « Ce sera 50 euros de plus, mon chéri « . Après un bon moment assise sur moi je lui dit de se mettre à quatre pattes afin de la prendre par derrière. « Dans le cul, c’est 50 euros de plus mon biquet  » Je n’avais plus de liquide, je l’ai prise « normalement » et j’ai juté comme un malade. « Je suis toujours là à cette heure-là, si tu ne vois pas tu me demandes au café « le Miranda », je m’appelle Sylvia. » Et c’est que j’ai un budget, moi, mais le mois prochain, c’est décidé je reviendrais voir cette beauté !.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 13:53

Confessions uro – 3

 

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Amaury et Morgane au ciné

 

Bonjour Helena,

 

Je m’appelle Amaury, j’ai 20 ans, j’habite Liège et je suis étudiant en Pharmacie.

Je tiens vraiment à te féliciter pour ton site qui m’a beaucoup appris, notamment sur l’Uro et le fétichisme des pieds. C’est pour moi le meilleur que je connaisse, je l’ai même ajouté à mes favoris et j’y viens régulièrement pour voir les nouvelles et lire les nouveaux récits qui portent sur mes fantasmes.

Parmi tous les sites « hot » présents sur Internet, c’est l’un des seuls qui vaut vraiment le coup d’exister et qui nous apporte réellement quelque chose.

De tout mon cœur, je tiens à te dire merci.

 

Je vais raconter alors ma petite histoire uro avec ma meilleure amie Morgane qui a 28 ans et qui est secrétaire à Bruxelles.

 

Une fois au cinéma, quand nous étions allés voir  » Le Seigneur des Anneaux », vers la fin du film, elle avait fortement besoin de faire pipi. Normal car elle se retenait depuis longtemps, on s’était pris un Coca géant pour nous deux et c’est elle qui avait quasi tout bu…. et en plus elle avait oublié d’aller aux toilettes à la pause du film (surement que son envie s’était temporairement coupée à ce moment-là… ). Donc, ne sachant vraiment plus se retenir, elle m’a demandé si je ne voulais pas…. qu’elle m’urine un peu dans la bouche pour se soulager… On avait déjà fait des jeux uro une fois pour essayer quand j’étais allé chez elle, donc elle me l’a demandé sans complexe et je suis sûr qu’ elle n’aurait pas été vexé si j’avais refusé…. mais pour lui faire plaisir, comme je sais que c’est un de ses fantasmes et que j’étais excité sur le coup, j’ai accepté. On s’est levés discrètement, nous sommes allés au tout dernier rang dans le coin de la salle où il n’y avait personne et on s’est assis. Peu après, je me suis mis en position pour quelle me le fasse, je me suis couché au pied des sièges, elle a baissé son pantalon et s’est mise au-dessus de moi au niveau de mon visage. Elle s’est accroupie alors, de façon à approcher son sexe de ma bouche. Puis elle m’a dit tout bas avec un sourire :

– Ça fait super longtemps que je me retiens, d’accord? Ça risque de durer plus que tu ne le crois, j’ai super besoin….

Alors, j’ai répondu en rigolant :

– OK mais ne va pas trop vite et laisse-moi le temps d’avaler….

– Pas de problème, caresse-moi la cuisse si tu veux que j’arrête..

– Oui !

Et là j’ai collé ma bouche sur son sexe. Puis elle a commencé….

En effet, elle avait fort besoin… Ça a bien duré deux minutes! Et ça coulait vite…si bien qu’à un moment, je ne suivais plus et elle a débordé sur mon visage… mais je me suis vite repris….

Au début j’avalais sans gouter puis finalement….par curiosité, j’ai gouté. Et franchement , ce jour-là, c’était pas mauvais….Honnêtement. J’ai même été très étonné. Pourtant quand j’étais allé chez elle, ça n’avait pas ce goût-là. Ça dépend de ce qu’elle mange et bois en fait que ça change. C’est logique en fait…et je l’ai compris en lisant votre article ( merci pour le conseil du Thé au jasmin…)

Et donc j’ai tout bu, et elle a pu se vider complètement en moi….Après elle s’est relevée en riant et elle avait l’air très contente. Puis on s’est rassis et elle m’a un peu essuyé, souriante. Et m’a lancé : « merci ».

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Ainsi on a pu regarder la fin….

 

Vraiment, je peux vous dire à tous que c’était un des moments les plus excitants que j’ai vécus… même si beaucoup de personnes considèrent l’ondinisme comme pervers et dégueulasse ( moi aussi, je le pensais avant, lol mais depuis….), je peux vous dire honnêtement qu’il y a du quoi produire un grand plaisir et un grand délire dans certaines situations si on érotise bien la chose.

 

Gros bisous , @+++

Amaury

 

Un couple pervers mais sympa par Kalinou

 

J’ai rencontré ce couple via une messagerie. C’était la première fois. Je me rendis à leur domicile à Versailles ou j’ai été fort bien reçu. Madame portait une jolie petite robe blanche et courte avec des bas mais sans culotte.

Ils m’avaient prévenu que Monsieur est surtout voyeur et qu’il adore mater sa femme au lit avec un autre homme.

 

Après de brèves présentations, il recouvre le clic-clac d’une couverture en toile cirée pour le protéger de nos ébats (j’en compris ensuite l’utilité). Madame m’annonça qu’elle est une féru du cunnilingus et me demanda si j’avais des tabous particuliers. Je répondis que non et je commençais à m’approcher. Elle me demanda de partir de ses pieds et de remonter le long de sa jambe. Arrivé à son triangle d’or je rentrai ma langue au plus profond de son vagin et je sentit alors une forte odeur d’urine avec un gout tout aussi prononcé.

Elle me regardait en souriant et me demanda pendant que je la léchais avec passion si ce petit gout que je n’avais pu ne pas remarquer ma plaisait. Il me fallut bien avouer que oui! Elle se mis alors à genoux et plaça ma tête sous son clito et ouvrant bien ma bouche. Tout à coup elle se mis à uriner une pleine vessie. A ma grande surprise, j’adorais ça et je bu tout ce que je pu. Ensuite je lui ai nettoyé le clito alors que son mari visiblement très excité s’approcha d’elle. Elle lui prit la queue dans la bouche puis s’arrêta en me regardant :

– Tu veux essayer?

 

Je n’avais jamais eu de relation homosexuelle avant mais ne me laissant pas le temps de réfléchir elle dirigea sa bite vers ma bouche. Un peu surpris, j’ai commencé à le sucer pendant qu’elle sortit un gode du tiroir, se plaça derrière moi et le présenta à mon anus qu’elle pris soin de lubrifier.

 

Elle entrepris alors de me sodomiser, me pénétrant tout d’abord doucement puis franchement jusqu’à me prendre tel une femelle. Puis son mari qui s’était enfilé un préservatif vint remplacer le gode en me pistonnant le cul. Pendant qu’il m’enculait, elle vint se représenter devant moi en m’ordonnant de la faire jouir avec ma langue et de me masturber.

 

Quelques minutes de ce petit jeu et elle explosa dans ma bouche. Je sentais aussi Monsieur se raidir derrière moi et tout à coup il se retira, enleva sa capote et m’éjacula tout sur le visage. Ils m’ordonnèrent alors de jouir en me masturbant devant eux ce que je fis avec plaisir.

 

Puis le mari me demanda d’ouvrir ma bouche en grand afin de me pisser dedans

 

Je suis alors reparti et je ne les ai malheureusement jamais revus. Ce fut ma seule expérience de ce type… mais quelle souvenir.

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===

Souvenirs par JP et Louisa

 

Bonjour Héléna,

 

Déjà un grand merci pour ce site que je viens de découvrir depuis quelques jours seulement et qui nous rassure sur les jeux de pipi que nous pratiquons depuis plus de 30 ans sans trop oser en parler à quiconque de peur d’être catalogués comme pervers !

 

Louisa, mon épouse a 57 ans et moi 58. Tout a commencé lorsque Louisa était enceinte de notre deuxième enfant en 1972. Sa Libido était déjà très exigeante d’ordinaire, je ne sais si cela est courant, mais elle l’était encore bien davantage lorsqu’elle était enceinte. Ce devait être au cours du sixième mois de grossesse et nous avions déjà dû choisir une position adaptée à son ventre où elle me chevauchait, le buste droit et les genoux de chaque côté de mon bassin pour faciliter une pénétration profonde et confortable. Je pouvais ainsi lui caresser les seins et le ventre. Nous étions déjà particulièrement excités tous les deux lorsque Louisa m’annonça qu’elle avait oublié d’aller faire pipi avant de venir au lit et qu’elle ne pourrait, sans doute, pas tenir ainsi très longtemps . Sans réfléchir davantage, je lui ai proposé de n’y plus penser et de se laisser aller quand bon lui semblerait car nous n’aurions pas pu retrouver le contact que nous avions à ce moment-là.

Louisa ne répondit rien et quelques dix minutes plus tard elle me cria

 » ça y est, je fais pipi et c’est bon… »

Il s’en suivit un orgasme simultané que nous avons encore en mémoire. La pisse m’inondait le ventre et coulait entre mes cuisses, c’était merveilleusement chaud et très excitant! Je crois que c’était d’autant mieux que ce n’était pas prévu .

Je ne vous dis pas l’état des draps et du matelas mais cela valait bien la peine de laisser un souvenir doré!

Bien sûr, nous avons continué ces parties avec séances de pipi jusqu’à la fin de la grossesse avec toujours beaucoup de plaisir mais avec alèse et drap de bain !

Quelques semaines après la naissance, nous avons repris nos jeux de pipi en reprenant la même position et, un jour, Louisa, intriguée par le plaisir que j’y prenais me demanda de faire la même chose en lui pissant dans le vagin.

Allongée sur le lit avec un épais coussin sous les fesses, son bassin se trouvait surélevé pour recueillir le précieux liquide. A genoux entre ses jambes, je la pénétrais mais ce n’était pas facile de pisser dans cette position .Il fallait se concentrer pour laisser diminuer l’érection et lâcher la pisse par saccades successives qui lui réchauffaient les entrailles et l’amenaient à lâcher des petits cris de satisfaction. Une fois la partie de pipi terminée, nous essayions de jouir ensemble mais ce n’est pas toujours possible! Elle se soulevait ensuite et éprouvait un grand plaisir à lâcher la pisse et le sperme sur le drap de bain!

Nous avons pratiqué alternativement ces jeux de pisse pendant bien des années avec toujours un grand plaisir. Il suffisait que, lors de nos ébats, Louisa me demande de lui mettre un coussin sous les fesses pour que je comprenne son envie d’avoir ma pisse chaude en elle.

Depuis une année ou deux, nous avons repris une activité plus traditionnelle mais voilà que votre site nous incite à reprendre les jets dorés… raison de plus pour vous redire Bravo et Merci !

Par ailleurs, depuis ces années-là, je pratique occasionnellement le pipi-culotte dans mon slip en coton mais je me garantis des fuites en mettant une culotte en plastique. C’est génial mais ça n’intéresse certainement personne.

 

Cependant nous nous demandons si ce gout particulier pour les jeux de pipi ont déjà leur origine dans la petite enfance.

 

Bisous de Louisa et JP

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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