Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:02

L’hôtesse de l’air – 8 – La nuit des merlettes.par Air Hostess

stamp slave


La nuit des Merlettes.

 

Françoise plongée dans les ténèbres, perçoit confusément l’odeur âcre du sac en jute. Des mains rudes la saisissent, mais elle ne ressent aucune douleur. Elle flotte dans un univers, sans pensée, sans mémoire, sans image. Elle ne réagit pas à une piqûre dans le bras gauche, elle replonge dans un sommeil comateux. De temps en temps, elle émerge, mais la notion de temps écoulé disparue, sa capacité de raisonnement bloquée, elle ne peut évaluer. Par moment, son corps léger comme une plume lui donne la sensation d’être immergée dans un liquide ou d’avoir franchi les frontières de la mort. A un certain moment, elle commence à percevoir des lueurs diffuses, des sons assourdis, le frottement d’un tissus épais, une nouvelle injection la précipite à nouveau dans le royaume du silence. Combien de temps a-t-elle sombrée dans l’immatérialité des sens ? Tout à coup, elle éprouve une sensation de froid, ses pieds glacés se matérialisent, ses mains crispées se réveillent, son estomac tordu par une crampe, ses yeux s’ouvrent sur une réalité déplaisante et inattendue. Elle est couchée sur un matelas, dans une chambre aux murs de pierres, froide et hostile.

– Elle se réveille enfin ! dit une voix d’homme, vulgaire et rocailleuse.

 

Elle tourne la tête et aperçoit un inconnu, vêtu de grosses laine bariolée et qui porte un bonnet de même matière. Son visage rougeaud et mal rasé, souligné par une grosse moustache rousse respire la bêtise et l’obstination. Prévenus de son réveil, deux personnages font leur entrée, ils portent une cagoule de laine noire.

 

– Rassurez-vous Madame Gathwell, dès que votre mari aura répondu à nos questions, vous serez libre ?

 

Françoise comprend la méprise des kidnappeurs, capturée dans la voiture de Nick, ils pensent avoir enlevé Gene. Elle réfléchit rapidement, peut-être, est-il préférable de ne pas protester. Ils semblent traiter la pseudo Madame Gathwell avec une certaine déférence, seraient-ils aussi polis avec une étrangère ? La journée se passe dans l’attente, un petit repas lui est servi, deux petits pains beurrés et un verre de thé chaud. La pièce où elle est enfermée, est constituée de grosses pierres verdâtres, dont certaines sont sculptées en ronde bosse. Avec étonnement, elle découvre sur le linteau de la grande cheminée, un blason armorié qui porte trois merlettes.

 

« Trois merlettes d’or sur champ de gueule, mais c’est le blason des Gathwell ! Comment est-ce possible, ici, aux U.S.A de découvrir une salle moyenâgeuse, ou alors un décor de cinéma ? construit en dur ? »

 

Un des cagoulards, vint lui rendre visite :

 

– Veuillez excuser, Madame notre brutalité, nous ne savions pas que vous apparteniez à l’organisation ? S’il vous plaît ne vous plaignez pas au chef. On nous a dit, il y a une personne à enlever et à transporter en Europe. Nous ne savions pas qui vous étiez. Un nom et une photo, on n’a rien reçu d’autre.

 

Françoise le rassure, elle ne se plaindra pas. Après une nuit agitée, enveloppée dans un plaid aux couleurs des Torndyke, le jour parait enfin entre les barreaux de la fenêtre grillagée, construite si haut, qu’il est impossible de regarder à l’extérieur. Le gars à la moustache rousse lui apporte un plateau, thé brûlant et scones beurrés. Rien ne semble prévu pour faire sa toilette. Elle entend des voix qui lui parviennent par le manteau de la cheminée. L’un des interlocuteurs d’une voix plaintive déclare qu’on aurait pu le prévenir. Il n’est pas responsable du fait que Madame Gathwell n’envoie plus de rapports à l’organisation. Il a été chargé de veiller sur elle, puisque Herbert est resté à New-York. Tout cela conforte Françoise de ne pas dévoiler son identité‚. Mais quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre devant un grand gaillard blond, au visage en lame de couteau, vêtu d’un trois pièces classique.

 

– Mais, dit-il. Ce n’est pas Madame Gathwell, il s’agit de la toute belle « Françoise Laborde », comme elle aime se faire appeler. Bonjour Françoise ou plutôt, Anne de Neubourg, honorable correspondante des services secrets français. Comment allez-vous Anne ? Depuis que je suis sorti des geôles américaines de Francfort, je n’ai cessé de penser à toi, je suis persuadé que tu es responsable de mon arrestation, ta copine Solange doit être du même bord ?

 

L’apparition d’Oskar Reynecke a frappé Françoise de stupeur. Que vient faire ce redoutable fomentateur de troubles, successivement, Wehrwolf, agent de Moscou, membre de la Stasi et agitateur de la Rote Armee Fraktion. Déjà, assis familièrement sur le bord du matelas, il la questionne

 

– Comment les services français sont-ils au courant ?

– Je n’en sais rien, j’obéis aux ordres. Ce sont vos sbires qui se sont trompés, Nick Gathwell me reconduisait à mon hôtel, ils m’ont prise à la place de Gene

– Je veux bien le croire, mais maintenant vous en savez trop. Une autre fille, je l’aurais fait liquider en vitesse, mais toi, en souvenir de la douceur de tes fesses, je vais te garder en lieu sûr, pour que tu ne puisses nous dénoncer. Comment as-tu entendu parler du trésor des Gathwell ?

– C’est la première fois qu’on m’en parle, j’ai rencontré Nick au Caire et je l’ai retrouvé au Congrès des hôtesses de l’air à New York, il y quinze jours.

– Alors je t’explique, je suis assez fier de mon stratagème. Irina Kotkowa, parfaite bilingue russo anglaise, fait partie de mon équipe. Je l’ai envoyée à Boston avec de faux papiers, avec mission de séduire ce jeune benêt de Nick Gathwell. Un membre de la famille Torndyke a disparu à Auschwitz, mais nous avions enregistré ses aveux. Pour obtenir la vie sauve, il avait déclaré qu’un ancêtre de ton nigaud de Nick avait ramené des Indes un fabuleux trésor, des pierres précieuses et de l’or, en pièces et en lingots. Après la guerre, j’ai constitué une équipe pour surveiller ce jeune homme, mais nous n’avons rien trouvé de suspect. Plusieurs tonnes de bijoux et de joaillerie tiennent beaucoup de place. Nous avons pensé que c’est ici dans le vieux château de la famille, près de Cork que doit se trouver le magot. Malgré les recherches discrètes, le personnel du château est à ma botte, nous faisons chou blanc. J’ai obtenu l’appui de certains agents de la C.I.A, dès qu’il y a du fric, les américains sont là. Le château possède sa piste d’atterrissage, aménagée pendant la guerre, pour recueillir les bombardiers revenant de Norvège. Les types de la Mossad sont aussi sur l’affaire, ça devient un problème international.

 

Le sinistre personnage se retira, en fermant soigneusement la porte derrière lui. Quelques minutes plus tard, les deux hommes qui l’avaient amené au château, l’ont fait descendre par un escalier en colimaçon dans de sombres caves. jeté sans ménagement sur un tas de paille, il lui fixent au cou, un collier de fer rouillé relié par une chaîne à une colonne portante, ses mains sont également réunies par une chaîne de fer rouillée. La porte se referme avec force sur les deux personnages.

 

– Bienvenue, chère amie dans le royaume des ténèbres !

 

La voix vient d’une autre colonne, aucun doute l’homme enchaîne‚ à cet endroit s’appelle Michel Goldfinkel, l’homme de la Mossad.

 

– C’est toi Michel ?

– Oui, comme tu vois, une fois de plus j’ai fourré mon nez où il ne fallait pas. Mais je me demande, par quelle opération magique tu es au parfum, d’une information totalement secrète, qui n’est connue que de mon service ?

– Tu veux parler du trésor des Torndyke ?

– Comment les français sont -ils au courant ? Un groupe de gangsters américains dirigés par un certain Brown ont financé les recherches des anciens membres de la Stasi qui sont sur la piste du trésor. On ne sait pas comment ce Brown a pu apprendre l’existence du magot. Brown, qui a été assassiné, peut-être par d’anciens complices de la Stasi, s’appelait en réalité Bauer, il était Obersturmbannführe dans la SS et c’est lui qui a recueilli les confidences du vieux Torndyke. Il a gardé pour lui, cette histoire juteuse. Après la fin de la guerre froide, il a commencé ses recherches. C’est Oskar Reynecke qui a introduit ses hommes parmi les serviteurs du château. D’autre part, une russe, une certaine Irina, une belle rousse a séduit Nick et l’a épousé pour lui arracher un complément d’informations. Mais Nick parait ne rien connaître de ce trésor.

– Et bien tu n’as pas perdu ton temps.

 

Françoise tripote sa chevelure, elle retrouve avec intérêt, deux ou trois épingles à cheveux qui lui permettent d’ouvrir la fermeture rudimentaire du collier de fer rouillé. Elle se précipite vers Michel et se jette dans ses bras.

 

– Oh ! Mon pauvre amour, comme ils t’ont arrangé ?.

 

Michel couvert de bleus et d’ecchymoses, garde un œil fermé.

 

– Ils m’ont un peu tabassé, mais je récupère assez vite. Cette fichue chaîne, trop courte m’empêche de m’étendre.

Hostess0

Françoise couchée à côté de l’agent israélien, le réchauffe avec son corps. Ses yeux se portent vers la cheminée qui occupe le même emplacement qu’à l’étage supérieur. Et toujours, comme pour la narguer, le blason des Gathwell sur le manteau, surplombant les restes d’un ancien foyer. La taque de fonte aux ronde-bosses rongées par le feu, présente une réplique effacée des armoiries. Le regard de la française se fixe sur les quatre merlettes qui trônent sur le linteau.

 

« Pourquoi quatre ? Nick a toujours dit « le blason de mon sweater, appartient à ma famille, trois merlettes d’or sur champ de gueule (rouge) ». Cette quatrième merlette, n’est pas innocente, ce n’est pas une initiative du sculpteur, elle répond à une signification précise, elle veut dire quelque chose. »

 

La nuit interrompt la suite de ses pensées et puis Michel, malgré ses souffrances, retrouve suffisamment de force, pour lui arracher des gémissements de plaisir. Elle s’endort, les doigts de Michel englués dans son sexe. Elle rêve de liberté, nue, elle court dans les prés qui entoure le château et est suivie par une myriade de canards, non de merlettes qui clopinent sur le gazon.

 

Au lever du jour, elle regagne sa place, sur le tas de paille du premier pilier. La lumière froide du matin passe par les meurtrières et colore le manteau de la cheminée. Il n’y a aucun doute, quatre merlettes se suivent sur le blason. Françoise replace le collier rouillé sur son cou. Le rouquin moustachu apporte à chacun un cruchon d’eau fraîche et un gros pain aux raisins. La porte cloutée se referme sur ce personnage soupçonneux et taciturne. La journée se passe lentement, les ombres et les lumières dessinent sur les murs des images fugaces. La jeune hôtesse attend que tout bruit cesse dans le château, pour retirer le collier avant la nuit complète. Avant même de rejoindre le cher Michel au pied du second pilier, elle s’approche de la cheminée et sur la pointe des pieds, elle appuie sur la quatrième merlette qui s’enfonce sous la pression. Avec un bruit grinçant, une plaque de fer latérale pivote dans la cheminée. Derrière la plaque, le fond de la cavité, démasque un levier couvert de suie. Françoise saisit la poignée et de toutes ses forces la tire vers le bas. A l’extérieur de la cheminée, une autre plaque de fer forgé s’entrouvre, on distingue dans la pénombre grandissante, un escalier en vis. Françoise remet toute chose en place, efface les traces de suie répandues sur le sol. Elle se rend près de Michel pour en discuter. Il va mieux. Avant de parler de ce sujet, il veut assouvir le désir insoutenable de posséder la jeune fille, qui se soumet de bonne grâce à ses attouchements. A genoux, sur la paille, elle présente à ses lèvres tuméfiées la chair tendre de son sexe.

 

– Si tu savais quel bien tu me fais ! Mes doigts déchirés hier se sont cicatrisés avec le merveilleux baume de ta jouissance. Tu verras que mes lèvres vont guérir à ton contact.

 

Il suce les douces membranes, le nez enfoui dans le poil du pubis. De ses deux bras, il soulève la robe, retire la culotte de crêpe de chine, bordée de dentelles champagne. Il écarte les cuisses nerveuses et parcourt le périnée avec ses paumes meurtries. Françoise oublie sa situation périlleuse, elle sent une puissante pulsion partir de ses reins cambrés, elle mouille, le jus sacré coule directement dans la bouche entrouverte de Michel. Il entend le ronronnement de Françoise se transformer en râle de plaisir, elle jouit directement dans la bouche de l’aimé. Elle tâte le pantalon pour contrôler le désir du mâle, la dureté du sexe autorise tous les espoirs. Elle le dégage, et s’assied sur le pénis dressé. Il glisse sans effort jusqu’au fond de son vagin, une giclée de cyprine jaillit et roule sur les poils de son ventre. Longtemps, elle sautille sur le sexe dressé, les jambes ouvertes en grand écart, elle veut bénéficier du moindre centimètre de chair vivante qu’elle sent palpiter dans son con. Lorsque les battements annonciateurs de l’éjaculation se rapprochent, elle se retire doucement, des ruisseaux de cyprine coulent à flot. Le calme revenu dans la bite palpitante, elle la nettoie avec sa bouche brulante, et se replace chevauchant à nouveau le membre adoré. Plusieurs heures plus tard, elle fera pénétrer la bite toujours aussi raidie, dans son orifice anal. La jouissance devient torride. La pénétration génère des sensations extrêmes, à la limite du supportable. Le spasme qui malaxe sa petite matrice de nullipare, lui arrache des larmes de joie, sa poitrine se soulève avec des cris de délivrance qui se confondent avec les gémissements du mâle. Son anus en fusion se resserre sur la queue. Profondément enfoncé dans le colon, il sent les haustrations qui glissent sous son gland, comme autant de bouches à ouvrir. Dans un dernier spasme, il éjacule dans cet espace brulant et accueillant. Françoise perçoit l’hommage rendu à sa lascivité. Le sperme dégouline, se répand dans ses entrailles. Elle entre en communion avec ce sperme vivant qui pétille et excite les parois. Ils retombent sur la paille et s’endorment toujours engagés l’un dans l’autre, comme s’il ne formait plus qu’un.

 

Accroupie sur la paille, qu’elle a rassemblée au coin du pilier de pierre, Françoise urine, sa petite culotte de dentelles descendue sur ses mollets, la chaîne du collier tendue, elle relève les pans de sa robe défraîchie. Elle n’a pas entendu la porte du donjon, s’ouvrir sous la poussée du rouquin moustachu. Il reste un instant interdit, devant le magnifique spectacle que lui présente la jeune femme tournée vers la porte. Il se rapproche il porte un plateau fumant, thé et pain beurré‚ qu’il dépose sur la paille. Il avance vers la jeune hôtesse qui prend conscience de son aspect négligé, ses mains noires de suie, ont laissé des marbrures noirâtres sur ses cuisses. Depuis son enlèvement, elle n’a pu se laver, ni changer ses sous-vêtements, elle répand une odeur sûre de corps mal lavé, ses yeux splendides se fixent sur le geôlier. Il bande. Elle lui demande

 

– Pourriez-vous m’apporter un seau avec de l’eau fraîche, je voudrais me laver ?

 

Sans un mot, l’homme déboutonne la braguette de son pantalon de velours côtelé et retire un pénis de taille moyenne, ainsi que d’énormes couilles poilues couvertes de soies rouges comme un sanglier. L’odeur de sa queue écœure, le prépuce couvre le gland. Françoise s’efforce de faire glisser le fourreau de peau, pour mettre le gland à la lumière. Le prépuce trop étroit rend cette opération très douloureuse. Visiblement, il souffre d’un phimosis, malformation qui jadis avait empêchée Louis XVI de rendre ses devoirs conjugaux à Marie-Antoinette, reine de France. Notre jeune française tient délicatement l’objet dans sa main droite, il sent le bouc, et le poil roux, et avec précaution, malgré‚ son dégoût, y pose les lèvres. Pris en bouche, le goût du membre excite les sens de la jeune fille. Elle pue, l’odeur aigrie de sa sueur sort de son décolleté et se mélange à celle du gardien. La saveur piquante de cette bite mal lavée, augmente encore l’excitation de la fille. De la main gauche, elle introduit deux doigts dans son sexe humide et de la droite, elle tient le pénis dans sa bouche chaude. Son regard accroche les yeux de Michel qui attaché à son pilier, suit des yeux le manège. La salive de Françoise accomplit des miracles, le prépuce glisse et dégage le gland bleuté. Maintenant, elle suce la queue délivrée de la gaine trop serrée. Elle espère que l’homme se contentera d’un pompier, elle n’a aucun moyen anticonceptionnel. Mais il se dégage et il dit brutalement

 

– Retire ta culotte complètement et ouvre les jambes

 

Françoise lui dit

 

– D’accord, mais d’abord va chercher mon petit sac à main que je portais en bandoulière. Il contient des affaires de femme, et des préservatifs.

 

L’homme revient quelques instants plus tard, dépose le sac en cuir et paraît satisfait de voir la jeune hôtesse qui l’attend, la robe relevée sur la poitrine et le sexe bien exposé. Françoise reprend la fellation interrompue puis suggère un coït anal en exhibant son cul. Sans aucune répugnance, le rouquin d’une langue pâteuse lèche les résidus collés sur l’anus. Toutes les odeurs dégagées mettent la jeune femme dans un état indescriptible. Elle mouille, et la cyprine coule sur ses cuisses. Le rouquin ajuste sa queue sur le sphincter entrouvert et la pénètre brutalement. Elle n’a pu retenir un cri de douleur et de surprise, mais tout de suite le désir de l’homme efface le mal, la jouissance submerge toute autre sensation. Après une dizaine de pénétrations successives, il décharge enfin.

 

Longtemps prostrée, Françoise récupère son sang-froid, sa respiration se calme, elle perçoit encore longtemps la brulure délicieuse et l’odeur aphrodisiaque. Le rouquin apporte un seau d’eau et même un morceau de savon. Dès que la porte se referme, Françoise se précipite sur son sac à main. Elle en vide rapidement le contenu sur une dalle, dans le fond, doublé de daim, elle dégage un espace creux, qui dissimule une petite balise. La courroie du sac contient une antenne, se débarrassant du collier de fer, elle tourne un minuscule bouton qui allume une petite lampe rouge. Refermant le tout, elle dépose le sac dans une meurtrière, la courroie dirigée vers le ciel, espérant qu’un satellite français signalera l’appel à l’aide.

 

à suivre

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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:58

stamp partouz

 

 

Françoise promit de les accompagner, et s’engagea à leur présenter quelques amis ou amies intéressants. Elle pensait à Tim, ou à un duo, Jane et Gene, les époux n’étaient pas racistes. Nick réveillé propose de reconduire Françoise à son hôtel, les rues ne sont pas sûres à cette heure, et les taxis problématiques. Comme il se doit, Nick conduit une Bentley. Arrivé au coin de la rue, le pare-brise s’étoile, une balle se fiche dans le plafond. Un coup d’accélérateur les éloigne de leur agresseur, un piéton muni d’une carabine. Qui était visé ?

Le récit à Shannah, de son diner chez les Gathwell, interrompu à plusieurs reprises par l’état de fatigue de notre héroïne, excite prodigieusement la syrienne. Françoise désirait prendre une douche et dormir, mais sa compagne l’en dissuade.

 

– Je veux respirer ton corps nu, je découvrirai tout ce que tu as fait ou qu’on t’a fait, ce soir. Tu te rends compte dans quel état tu es ?

– Laisse-moi dormir, répond l’hôtesse, les lèvres de Shannah collées à son entre-jambe. Elle baise bien, la femme de Nick ? Aussi bien que moi ?

 

Elle n’obtient aucune réponse, Françoise dort profondément. Un brunch, faisant office de petit déjeuner et de diner réunit les deux filles et Françoise décrit brièvement le retour dramatique et l’attentat manqué. Shannah est très intéressée par la secte du gourou, elle insiste pour être présentée à Gene et à Nick. Avant cette soirée, notre jeune hôtesse aurait refusé tout net, elle voulait garder pour elle seule, le jeune anglais. Mais le dîner lui a fait perdre ses dernières illusions, elle ne refusera pas le plaisir qu’il pourra lui donner, mais il l’a déçu, moralement et physiquement. Tim séjourne toujours à Frisco avec Nikki et Jane. Souria reste à Washington à les attendre, ce sont les premiers pas de Karim, qui titube sur la moquette du palace. Françoise évoque la dernière carte illustrée de l’Oncle Gabriel, le revenant, est-il Reynecke ou Gathwell ?

 

Dans un coin éloigné du Bronx, une ancienne salle de danse, ou peut-être, une salle de boxe désaffectée, au milieu des épiceries orientales, des boucheries polonaises casher, des brocanteurs levantins et des officines de pari italiennes, sert de lieu de réunion à la secte du bouton d’or. Gene a admis tout de suite Shannah, dans son intimité, elle la chaperonne comme si elle avait quinze ans. Elle la serre contre elle, dès la descente de voiture. La Bentley de 1977 a retrouvé en quatre jours un nouveau pare-brise, une performance pour un véhicule de cet âge. Nick suit avec Françoise, charmeur et contrit, il tente de faire pardonner son mensonge. Une série de petites pièces précèdent la salle de réunion de l’étage. Dans la première, un moustachu filtre les arrivants, il porte sur la tête, un large boudin d’astrakan gris, d’où dépasse un haut fez de feutrine rouge, une large robe brodée tombe jusqu’à ses pieds nus, dans des babouches. Il accueille le petit groupe, avec le sourire, ces adeptes convaincus et leurs invitées sont priés de franchir la porte du vestiaire. Chacun dispose d’un casier pour y pendre ses vêtements. Dans chaque casier, une paire de babouches attend le visiteur.

 

Shannah bat des mains, elle s’amuse comme une folle, nue, elle embrasse la toison auburn de Gene, et comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge, elle gobe rapidement la verge de Nick très surpris. Un grand noir, nu comme un vers, mais qui porte un turban, les introduit dans la pièce suivante. Le gourou porte aussi un turban brodé et une longue simarre de plusieurs tons. Gene, la première se met à genoux devant l’indien, qui lui impose la main gauche sur la chevelure et de l’autre ouvre sa robe brodée, dessous, il est entièrement nu. Gene toujours agenouillée saisit entre ses lèvres minces, le sexe démesuré du grand homme qui a conservé tout son prépuce. Le même cérémonial se déroule pour Nick, qui aspire avec empressement le membre tendu. Françoise suit le mouvement, l’énorme bite frémit dans sa bouche, quand elle aspire la peau du prépuce, le gland jaillit sur sa langue. Une petite tape, sert de confirmation. Shannah prend son temps, elle est en manque, depuis sa sortie de prison, elle n’a pas eu beaucoup d’occasion de rencontrer des hommes. Mais le gros homme, se retire rapidement de la bouche affamée.

 

Nos quatre voyageurs pénètrent alors dans la grande salle, décorée de nombreux tapis et offrant de nombreux divans à la lascivité des participants. Au grand étonnement de la française, plus de cent personnes des deux sexes, entièrement nues, sacrifient à la gloire de Vénus, ou plutôt du bouton d’or. Il s’agit en fait du gland sacré du gourou, élevé à la dignité d’un objet du culte. Il y a nettement plus de femmes que d’hommes, le contraire des speak-easys, pense Françoise. Un solide castard, au visage rougi par le soleil, s’avance vers Nick, et le saisit par la verge. A en juger par le comportement des voisins, ce geste à remplacer le shake-hand de bienvenue. La petite suite de Nick s’intègre rapidement dans un plus large groupe. Le grand gaillard, un irlandais, s’empare du jeune anglais qui s’assied sur ses genoux. Gene, Françoise et Shannah, assises dans un divan couvert de coussin, sont entourées de dames replètes et bedonnantes, mais couvertes de bijoux comme des châsses. Notre française sent confusément que Gene voudrait bien partir à la découverte de Shannah, elle cède sa place à côté de Gene. L’écossaise prend l’initiative et s’enthousiasme de ce corps juvénile et frénétique. La voisine de Françoise risque une main timide sur les seins aux pointes dressées de la française

 

– Puis-je me permettre ? Chez qui avez-vous fait refaire vos seins ? Ils sont merveilleux !

– Ils sont comme cela de naissance, si je puis dire, en fait, en réalité depuis mes quinze ans.

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La main beaucoup plus hardie, s’aventure sur le ventre plat, descend dans le buisson du pubis et entrebâille la porte du temple. Françoise se tourne vers cette admiratrice, une quadragénaire très soignée, mais au ventre rebondi, aux seins translucides remplis de silicone, qui reposent sur des plis dispensés par une nature genreuse. Elle n’est pas belle, mais plaisante, dans ce lieu où règne une température d’étuve, elle transpire abondamment. L’odeur de la sueur a toujours un effet aphrodisiaque sur Françoise. Elle ne peut retenir un élan pour respirer les aisselles mouillées de la grosse dame, et caresser les gros nichons gonflés aussi sensibles qu’un ballon en plastique. La main chatouille son clitoris, tandis qu’une autre admiratrice pointe son museau, entre ses cuisses, et finit par introduire une grosse langue baveuse dans l’entrée du vagin. Les yeux fermés, l’hôtesse jouit, elle baigne dans l’odeur de transpiration qui évoque des étreintes puissantes, son sexe largement ouvert à la disposition des deux femmes. L’ami irlandais de Nick, le masturbe et se dispose à le sodomiser, Shannah très intéressée se rapproche et saisit la bite d’une main et de l’autre ses doigts fuselés ouvrent le passage. Gene se penche pour embrasser son mari et lui parle à l’oreille. Nick à genoux sur le large siège, lèche le sexe roux de son épouse, il lève la croupe pour faciliter l’introduction anale, debout Shannah, une jambe appuyée au dossier présente son sexe à la langue épanouie de Gene. Pendant ce temps, Françoise a renversé les rôles, elle explore les cuisses grasses de son admiratrice, elle agrippe le clitoris grassouillet dans les replis de son capuchon, et le masturbe délicatement. La dame implore un traitement plus brutal :

 

– Pince-moi les seins, oui, oui… comme ça mais beaucoup plus fort, fais-moi mal. Je t’en prie, tord les bouts de mes seins, je ne sens presque rien. Mord dans mon clitoris, et dans les lèvres, plante tes dents. Griffe-moi le dos avec tes ongles.

 

Le dos, tout sillonné de griffures précédentes témoignent des jouissances passées. Tandis que la femme gémit et répand des flots de transpiration parfumée de Guerlain, Françoise sent le ruisseau de sa propre jouissance aspiré par la bouche exigeante de la seconde matrone. Nick, au visage congestionné reçoit l’offrande du pénis du rouquin, une énorme trique, aussi grosse que longue, qui pénètre lentement dans son anus distendu. Françoise le regarde et prend conscience de la jouissance qu’il éprouve et qui modifie les traits de son visage. Les rapports dits contre nature, curieusement font jouir intensément hommes et femmes, les femmes parce qu’une grosse bite dans le colon, si elle est assez longue, n’est séparée de la naissance de la matrice que par une mince membrane élastique.

 

Une femme accroupie présente un vagin plissé et raccourci, l’index et le médius conjugués peuvent caresser le col de la matrice et déclenchent un violent orgasme, mais il est plus puissant encore au niveau du début de la matrice, qui ne peut être atteint que par la sodomie ou un solide godemiché. Chez l’homme, la queue du partenaire masse la prostate, l’éjaculation rapide et complète entraîne une jouissance extraordinaire. Nick transpire, Shannah attirée par le changement de son rythme respiratoire, comprend qu’il va jouir. Elle abandonne Gene, se glisse sous le ventre du mari et arrive à temps pour avaler à pleines gorgées, le sperme écumeux dont elle est si friande. Elle le partagera, ensuite, avec Gene et Françoise, les trois langues remuent l’éjaculé crémeux.

 

Le gourou ne tarde pas à faire son entrée. Complètement nu, il a cependant gardé son turban, qui dissimule sa calvitie, il marche très lentement, il a fixé sur son prépuce démesuré une pince métallique à laquelle pend un poids d’un kilo. Sur ses seins deux autres pinces, reliés par une chaîne, entrent dans les chairs. Il tire sur la chaîne, et sans une plainte, mais avec cependant une grimace provoquée par la douleur, il prouve une jouissance morbide. Il appelle près de lui, Gene, Shannah et Françoise. Il caresse les seins de Shannah et de Gene, tandis que Françoise dégage le long prépuce de la pince et le prenant en bouche, suce doucement la trace sanglante des dents métalliques. D’une poche damassée, le maître retire de vulgaires pinces à linge de plastique, qu’il place sur les tétons de ces dames. La douleur est vive, mais s’efface rapidement, seule persiste la sensation cuisante d’être pincé ou d’être retenue vigoureusement. Françoise retrousse le prépuce et entre en contact avec le gland, comme à son habitude, elle engloutit toute la verge, jusqu’à sa base et ses narines échouent dans le poil raide du gourou. L’odeur de bouc excite ses sens, d’une main elle tient l’organe et de l’autre, elle se masturbe. La grosse dame constellée de pinces à linge, lui écarte les cuisses et la lèche à grands coups de langue. Déjà, le gourou se dégage, c’est à Shannah qu’il dédie son offrande, une bonne lampée de sperme épais.

 

Dans la salle les fidèles, calquant leur attitude sur celle du maître se font flageller, fouetter. Gene explique à Françoise qu’elle a subi, enfant, une éducation anglaise, sa sexualité se déchaîne, lorsqu’elle est fessée, battue ou enchaînée. Françoise craint que la réunion ne dégénère en pulsions sadiques. Elle s’avise que Nick, un peu à l’écart, récupère et lui demande de la reconduire au Waldorf. Shannah et Gene ne désirent pas les accompagner. Elles sont les objets préférés des participants. Rhabillés, Nick et Françoise prennent place dans la Bentley, lorsqu’ils sont assaillis par des individus cachés derrière le dossier. La jeune française reconnait l’odeur âcre du chloroforme, elle se débat, un sac lui est enfoncé sur la tête, elle perd connaissance.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:55

L’hôtesse de l’air – 6 – Le congrès des hôtesses par Air Hostess

Gode stamp


Le passé‚ peut-il revivre ?

 

Le lendemain du procès, qui abandonne les charges contre Shannah et reporte le verdict à quinzaine, Françoise apprend successivement que le nommé Oskar Reynecke s’est échappé‚ depuis deux mois de sa prison. Elle reçoit ce matin une carte illustrée portant au recto le visage caractéristique de Boris Karlov dans « Frankenstein », au verso une formule sibylline comme à l’habitude

« Les revenants séjournent dans nos pensées. Prend bien soin de ta santé. Signé‚ Oncle Gabriel ».

 

Le message a pris du retard, pense notre hôtesse, et elle se demande qui dans son entourage peut renseigner le boss. Trêve de réflexion, le Congrès international des hôtesses navigantes s’ouvre demain à New York. Laissant Souria et Karim à la garde vigilante de Tim, elle prend le courrier de New York avec Shannah. Le Waldorf arbore les drapeaux des pays participants. Françoise retrouve au bar du rez-de-chaussée, de nombreuses copines qui travaillent sur des lignes étrangères, des anglaises, des russes, des finnoises, des coréennes et surtout de très nombreuses américaines aux uniformes multicolores qui représentent les différentes compagnies. Toujours en civil, Françoise regagne sa chambre pour se mettre en uniforme, la tenue d’été‚ d’Air-France, une robe légère que par cette chaleur, elle porte comme à l’habitude à même la peau. Shannah, vautrée sur le lit l’observe :

 

– Tu oublies ta culotte ?

– Tu sais bien, je ne mets jamais de culotte en uniforme, j’aime que la brise me caresse le poil, quand j’accueille les passagers.

 

La salle réservé au Congrès, tendue de drap gris-bleu où s’affairent les décorateurs des stands commerciaux parait immense à Françoise qui doit prendre la parole en tant qu’unique représentante de la France. Elle monte à la tribune, pour essayer les micros. Les électriciens en profitent pour régler les projecteurs. La salle plongée dans l’ombre, une voix s’élève :

 

– Miss, on vous demande. Un monsieur attend à la porte de la salle

– Nick !

 

Le cri sort de ses entrailles. Elle défaille, mais le jeune anglais a ouvert les bras, elle s’y précipite en fermant les yeux. En un éclair, elle l’a reconnu, malgré qu’il ait pris quelques kilos depuis sa disparition au Caire. (Voir au début de ce récit) Il lui couvre le visage de baisers, des larmes de joie roulent sur les joues de Françoise. Elle pend à son cou, ses jambes ne la porte plus. Elle questionne.

 

– Je t’ai cru mort ! Ton nom figurait sur la liste des victimes.

– Je sais, le Foreign Office n’a pas voulu démentir, il m’ont envoyé à New York, je suis attaché d’ambassade, ici. Quand j’ai lu ton nom, Françoise, dans la liste des orateurs, j’ai voulu te revoir.

– Oh ! chéri, j’ai tant souffert à l’annonce de ta disparition. Aujourd’hui je suis heureuse de te retrouver. Viens, nous allons bavarder !

 

Et la blonde française entraîne le jeune diplomate dans la suite qui lui est réservée au Waldorf. Shannah est de sortie. Ils sont seuls, les yeux dans les yeux, Leur bouche se joignent à nouveau et Nick vérifie si Françoise a conservé ses habitudes. Assis dans le grand divan de cuir, il glisse discrètement la main sous la légère robe d’uniforme, et comme il s’y attendait, ses doigts atteignent, sans entrave, la douce toison bouclée. Françoise ne peut résister, elle ouvre les cuisses pour faciliter la progression de la main qui reprend possession de ses charmes les plus intimes. Un long moment se passe, puis la jeune fille pousse un long cri étouffé‚, en serrant le jeune homme sur ses seins. Il retire la main empoissée par la brutale jouissance de la jeune fille, et la lèche pour retrouver la saveur aphrodisiaque de ses secrétions.

 

Mais déjà, Françoise dégrafe la fermeture du pantalon et d’une main expérimentée elle extrait le pénis, Dans un élan passionné‚, elle le fait pénétrer dans sa gorge, ses lèvres avides touchent le poil roux du pubis. Les joues déprimées par la succion, elle aspire, la queue grossit, elle perçoit le gonflement avec sa langue, recrache presque complètement le membre, jusqu’au frein qu’elle arrête avec les dents et avale à nouveau entièrement la queue. Sa science du pompier lui permet d’atteindre l’extrême limite avant l’éjaculation, puis calmant l’excitation, elle relâche la succion et lèche le gland et le sillon balanopréputial, mordillant le frein de ces incisives. Lorsque les battements du gland s’atténuent, elle reprend la fellation. A ce régime, le jeune britannique, subjugué, enchaîné‚ esclave de son désir et de la séduction de la jeune femme ne réfléchit plus, il s’abandonne à la langue gourmande. Plus tard, nus tous deux, il la pénètre avec douceur, selon son habitude, comme s’il craignait d’endommager un objet précieux. Sa longue queue fine glissée dans le vagin de Françoise frotte sur le col de la matrice. Se massage provoque chez la fille des soubresauts furieux, tant la jouissance devient puissante. Elle mouille, le flot de sa jouissance noie les couilles de l’anglais et les enduit de leur masse parfumée. Françoise implore :

 

– Nick, mon chéri, prends-moi dans le cul ! Je t’en prie encule moi.

 

Lorsque Shannah rentre quelques heures plus tard, elle est surprise de retrouver Françoise, au lit, toute dolente.

 

– Tu n’es pas malade, ma chérie ?

 

Et la française de lui raconter sa merveilleuse soirée.

 

La rencontre

 

La salle était surchauffée par les déclarations de la présidente américaine des hôtesses de l’air, qui désirait que les affiliées protestent contre les conditions de travail de plus en plus draconiennes des sociétés de son pays. Françoise apportait un appui nuancé à sa consœur américaine. Elle mis l’accent dans son exposé sur les problèmes sociaux rencontrés dans la profession. Particulièrement à l’heure de la retraite, la plupart des filles vivant largement et dépensant sans compter, se trouvaient dans une situation précaire au moment de quitter le service actif. Certaines compagnies récupèrent dans leurs bureaux, ces personnes d’expérience qui connaissent tous les aéroports du monde et leurs particularités. La jeune française insistait sur la nécessité de consacrer une partie des appointements à la création d’une pension. Elle est vivement applaudie, par un public qui n’appartient pas uniquement à la profession, mais composé également de reporters, de curieux, de photographes. Une jeune femme, l’aborde pour lui exprimer l’admiration qu’elle ressent pour cet exposé brillant. « Gene Croffts », dit-elle brièvement, elle presse Françoise de lui accorder un bref entretien.

 

Le break prévu pour le déjeuner, réunit les deux femmes dans un des restaurants du Waldor. Françoise a choisi celui d’un chef français, beaucoup plus onéreux et donc moins fréquenté que la salle de restaurant réservée aux congressistes. Gene dépose son Leica, sur la tablette. Rousse auburn, au visage triangulaire, elle fixe ses yeux verts sur la jeune française qui s’étonne de la profusion de bijoux de son interlocutrice. Elle porte une robe de Versace, et le diamant de son annulaire vaut le prix d’une Cadillac, ce n’est pas une reporter. Ce que la rousse aux yeux d’émeraude convient facilement. Elle a toujours admiré la jeune hôtesse depuis son évasion d’Iraq, elle a profité de son discours à New York pour la rencontrer et faire connaissance avec son idole. Le déjeuner très soigné, les vins très fins, lèvent la gêne initiale, la blonde et la rousse bavardent comme deux amies de longues dates. Elles ont beaucoup de points communs et s’étonnent de montrer les mêmes goûts pour bien des sujets. Gene s’exprime avec un léger accent, elle est écossaise et roule les r. Aussi grande que notre amie, sa poitrine parait menue, sa taille très mince, toute sa personne indique plutôt une artiste qu’une sportive.

 

– Effectivement, je suis photographe et je peins des portraits, de femmes presqu’exclusivement.

 

Elle a insisté sur le mot femme, comme pour faire passer un message. Et tout son corps semble s’être rapproché de l’hôtesse sur la banquette du restaurant.

 

– Je voudrais devenir votre amie.

 

Le doute n’est plus possible, elle cherche une aventure. La main baguée a saisi les doigts fuselés de la française.

 

– Vous voulez bien ? Je voudrais à mon tour vous recevoir à dîner, ce soir, chez moi, à Greenwich Village où nous possédons un appartement. Vous ne serez pas dépaysée, vous connaissez mon mari, je suis la femme de Nick Gathwell !

 

Le dîner aux chandelles

 

Le dilemme avait duré deux heures, accepter l’invitation et retrouver Nick, le menteur qui n’avait jamais annoncé qu’il était marié, et qui serait sous la coupe de cette belle rousse fière d’affirmer qu’il lui appartenait ou au contraire refuser l’invitation. Mais dans ce cas, elle ne pouvait se disculper, elle apparaissait comme une voleuse de mari. Elle se décide enfin à affronter les époux. On accède à l’appartement de Greenwich Village, au rez-de-chaussée d’une vaste et ancienne maison, séparée‚ de la rue par des caves habitées, par un escalier de six marches de pierre. L’endroit rappelle Londres et a dû séduire les anglais. Françoise est accueillie bras ouverts par Gene, en grande forme, vêtue d’une robe d’intérieur verte assortie à ses yeux, et par un Nick réservé‚ qui se tient un peu à l’écart. Le dîner, particulièrement délicieux, ramène notre hôtesse à son enfance. Un mélange de mets traditionnels anglais et de plats indiens aux saveurs exotiques piquantes ravit nos convives. La conversation, un peu guindée, se détend grâce à la bonne humeur de Gene. Ils se rendent tous trois dans le salon-fumoir pour prendre des liqueurs et Françoise est priée de s’asseoir dans un large canapé de velours vert, Gene s’assied à sa gauche, Nick l’encadre à droite. Notre hôtesse n’a plus aucun doute sur l’issue de la soirée, toutefois la distribution des rôles n’a pas été faite. Qui va prendre l’initiative des opérations ? Délibérément Gene ne s’est pas assis près de son mari, laisse-t-elle le champ libre à la française ou veut-elle se la réserver ? Après un temps mort, la conversation languit. Puis tout à coup :

 

– Nick m’a parlé de vos habitudes vestimentaires. Je suis très curieuse, est-il vrai que vous ne portez jamais de culotte lorsque vous êtes en uniforme ?

 

Tout en parlant elle a posé d’un geste naturel, sa main lourdement baguée sur le genoux de Françoise qui frissonne jusqu’à la chute des reins.

 

– Exact, Gene, et comme je suis en uniforme, tu peux vérifier facilement que je ne mens pas !

– Je te crois, d’autant plus que pour apprécier réellement ce fantasme, ce soir, j’ai agi de même.

 

Et la main aux bijoux glisse entre les cuisses largement ouvertes de Françoise, et tandis que la britannique se livre à une exploration minutieuse du terrain, la jeune française libérée de ses inquiétudes s’aperçoit que la robe d’intérieur se ferme par une ceinture nouée à la taille. En s’ouvrant, elle libère le corps nu de Gene. Françoise ne voit que les petits seins pointus aux délicates pointes roses qui palpitent et l’énorme toison écarlate qui envahit tout le bas-ventre de l’écossaise. Celle-ci retrousse l’uniforme d’Air-France sur la poitrine de Françoise et parcourt ses charmes avec excitation

 

– Regarde Nick, comme elle est jolie, tu as raison, elle est très excitante. Allons, ne reste pas figé, caresse-la !.

 

Et Nick à son tour, de glisser la main entre les cuisses de notre héroïne qui déjà se mouillent. Bientôt, la bouche de Gene collée sur son sexe, les seins livrés à l’impatience de Nick, Françoise perd la notion du temps, elle jouit, elle pousse une douce plainte de jouissance qu’elle module à chaque coup de langue de ses deux partenaires. Elle veut à son tour récompenser Gene de ses attentions, mais la femme aux yeux verts pousse la française dans les bras de son mari.

 

– Je veux vous voir baiser tous les deux. Pendant ce temps, je vais me faire jouir, toute seule.

 

Elle les conduit dans la chambre à coucher, et Nick pénètre aussitôt la française dans l’anus. Tandis qu’il l’encule, et que Françoise crie comme une bête, assise sur le bras d’un fauteuil de tapisserie, Gene avec deux doigts dans le vagin, hurle son plaisir de contempler les deux amants en action.

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Longtemps, Gene se masturbe en criant, elle atteint l’orgasme et rejoint sur le lit les deux amants, replace la queue de Nick qui a glissé hors du corps de la Françoise, elle rampe sous le corps de celle-ci et se retourne, bouche à bouche, les deux femmes s’embrassent. Plus tard, Nick ayant joui, elle lèche sur l’anus de Françoise, les gouttes de sperme qui s’échappent, et tandis que Françoise, très excitée lui suce le clitoris, elle lave à grands coups de langue le pénis de son mari. Bientôt elle s’éclipse, dans la pièce à côté‚ et revient avec un étrange attirail, elle se fixe sur le pubis, un harnais de cuir qui porte un gros pénis de caoutchouc rempli de liquide. Avec cet instrument, elle pénètre Françoise, introduit le gland factice dans la vulve inassouvie de notre amie. Tout en recommençant à mouiller et à jouir, Françoise a remarqué que l’anus de Nick s’entrebâille lorsqu’il se masturbe en les regardant. Elle en déduit qu’il a l’habitude de se faire enculer, et pousse deux doigts réunis dans l’orifice anal de son amant. Aucun doute, les doigts pénètrent sans difficultés, et génèrent une sensation particulière. Attirée par la respiration saccadée de Nick, Gene abandonne Françoise, pour pénétrer à son tour très profondément le cul de son mari, qui encule à nouveau Françoise avec une rigidité retrouvée. Puis les deux femmes se livrent à des ébats sans fin, à côté du mari qui récupère les efforts consentis. La jolie rousse couche sur le corps de l’hôtesse de l’air, les petites pointes roses de ses seins, sucées alternativement par la française, s’épanche :

 

– Nick a toujours été‚ homosexuel. Au collège, il passait de l’un à l’autre. Dès le premier jour, il m’a traitée en garçon. Ensuite, nous avons trouvé ici au Village, une communauté dirigée par un gourou indien qui défend l’amour libre. Tu devrais venir avec nous aux réunions. c’est divin. Nick a découvert des types bien bâtis et il jouit beaucoup. Moi j’ai découvert des hommes et des femmes sans tabou.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:52

 

L’hôtesse de l’air – 5 – Coup de théâtre par Air Hostess

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Le blond à la longue pine


Françoise retient à son hôtel, une chambre supplémentaire pour caser Nikki et Jane, celle-ci intervient auprès de Tim pour lui trouver un job. Elle repartira à New-Orleans avec la fille pour la prendre en stage au Modern Théâtre comme meneuse de revue. Tim a repris un bar à attractions à Frisco et cherche une gérante. Nikki, très indépendante n’a pas de maquereau. Ses poings lui suffisent à se faire respecter. Elle parait enchantée de travailler en Californie. Comme elle est connue de Mary Pink, surnom du blondin recherché, Tim et Françoise joindront leurs efforts pour le repérer. Le lendemain soir, Françoise habillée d’un smoking noir, la poitrine aplatie et portant une perruque noire à queue de cheval accompagne Tim dans le milieu Gay de la capitale fédérale. Son aspect androgyne et sa beauté fascinent les hommes et les femmes. Sur son passage, on s’interroge, Le grand noir qui la tient serrée, vient-il avec un giton ou est-ce une lesbienne ? Après deux ou trois établissements et filtrages soupçonneux, ils apprennent qu’une certaine « Alex », pour Alexandra a déjà été vue en compagnie du blondin. Alex plus grande que Françoise accepte un verre de Bourbon, Une superbe chevelure platine, des yeux bleu-violet, une grande bouche et des dents superbe, la fille attire tous les regards, qui fixent surtout sa superbe poitrine qui déborde du bustier bleu pâle pailleté de clous dorés.

 

« Oui, elle connaît « Mary Pink. »

« Non, elle ne donnera pas son adresse ».

 

Une tentative pour la faire boire davantage, tourne à la confusion de nos amis, la tête leur tourne et la donzelle très entraînée ne montre aucun signe d’ébriété. Sollicitée par Françoise, elle accepte de continuer la conversation dans le petit fumoir du premier étage, qui sert surtout aux consommateurs de cannabis. Assise entre Tim et la française, Alex peu farouche est partagée entre les avances de l’homme noir et la douceur de Françoise. Cette dernière explore les dessous parfumés et caresse les cuisses satinées de la dame. Tim plonge dans le soutien-gorge baleiné et extrait une superbe poitrine d’un blanc laiteux redessinée par la science au format standard américain. Ni trop grosse, ce qui parait malsain, ni trop tendue ce qui donne une impression de ballons gonflés, ses seins souples et vivants, dressent leur pointes palpitantes que se partagent Tim et Françoise. La fille prend l’initiative de retirer le pantalon du smoking de l’hôtesse, ce qui met fin au suspense, l’androgyne sans pantalon est bien une femme. La langue pointue d’Alex s’insinue dans la fente de Françoise qui a dégagé ses seins qui respirent enfin. Comme à son habitude la française mouille, mais Alex très excitée avale au fur et à mesure le jus délicieux qui coule de son con. Tim a profité de ces initiatives pour retirer tous ses vêtements. Nu, le sexe tendu par le désir, il s’approche des deux femmes. Françoise couchée sur le dos, offre son sexe à la voracité d’Alex qui suce tout en caressant les jolis seins de l’hôtesse. Tim débarrasse la fille de son corsage, de son soutien-gorge, retire la jupe à volants, et retire doucement le slip en dentelle qui protège son intimité la plus secrète. Malgré sa grande expérience, il sursaute, le linge retiré dévoile un pénis mou et des testicules soigneusement épilés. Travesti, Alex vit de la prostitution, attiré par la beauté de Françoise, il n’est pas insensible à la grosse bite de Tim qu’il saisit d’une main douce et manucurée. Françoise râle de plaisir sous la langue énergique d’Alex, qui des deux mains écarte ses fesses pour inciter Tim à l’enculer. Celui-ci a recul‚, il n’a aucune velléité d’homosexualité, Françoise l’implore de contenter celui qui la fait jouir. Tim à genoux derrière Alex pousse son énorme engin dans l’anus entrouvert, le travesti pousse un cri déchirant qui se termine en plainte amoureuse.

 

– Oui, encule-moi, plus fort. Va plus profond. Ah ! c’est bon. Je n’ai jamais eu une aussi grosse. Je sens ta bite qui remonte jusqu’à mon estomac. Pousse plus fort, encore. c’est divin !

 

Tim tout d’abord très passif, agissant pour faire plaisir à Françoise, se sent entraîné par la jouissance. sa queue tendue comme une épée, il frappe d’estoc, son énorme gland laboure les parois fragiles du rectum, traverse les sphincters et explose dans un jaillissement de sperme dans la chaude cavité de son hôte. De plus en plus excité, Alex mord dans le clitoris de Françoise et griffe ses seins haletants. Dégagés et assis côte à côte, les protagonistes se rendent compte que le jour se lève. Ils ont passé toute la nuit à de sauvages pénétrations, Tim enculant Françoise qui suce le petit truc ridicule d’Alex, sensible cependant à la succion et qui à son grand étonnement bande dans la bouche gourmande de l’hôtesse. Epuisé, heureux, le travesti livre enfin l’adresse convoitée.

 

Liberté‚, tu n’es qu’un concept !

 

La caution de Shannah, payée aux autorités du comté, Françoise va chercher, son amie à la prison du comté de Washington où elle a été‚ transféré. La petite syrienne, toute menue, toute maigrie pleure serrée contre la jeune française. Durant le trajet, Françoise conduit d’une main sûre, la voiture possède une boîte automatique, en maintenant dans son bras droit les frêles épaules secouées par les larmes. Shannah lui raconte son douloureux séjour dans cette prison, véritable bouge sous un extérieur propret.

 

– Nous dormons à quatre par cellule, une énorme grille glisse sur des galets et nous sépare du couloir éclairé‚ nuit et jour. Aucune fenêtre, on ne peut échapper à la sensation d’enfermement sous terre. L’air empuanti, pollué par la respiration des deux cents femmes entassées par quatre, dans les vingt-cinq boxes du pavillon C., une gardienne changée toute les deux heures nous surveille sans arrêt. Une tinette, vieux bidon à pétrole sert à recueillir nos déjections.

 

Bien mise en évidence près de la grille, sous les yeux fureteurs de la matonne, elle oblige Shannah à attendre la nuit pour uriner. Dès qu’elle pisse dans les urines déjà répandues, ses compagnes de chambre se précipitent pour se mouiller les mains à son sexe et se masser les seins. La voisine qui occupe la couche du bas, la saisit au moment où elle remonte sur sa paillasse, pour lui lécher l’intérieur des grandes lèvres encore humides. Une véritable passion pour ces filles, partagée par les gardiennes qui encouragent ce genre de distraction. Finalement Shannah, ne dort jamais sur le mince matelas du dessus. Toutes les nuits, elle partage la couche d’une blondasse vulgaire aux dents malpropres, elle suçait ses parties intimes réservant à son cul, un long index à l’ongle noir.

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– Pisse-moi dans la gueule ! Oui, pisse, j’attends, tu vois bien que je garde la bouche ouverte. J’ai envie de goûter ta pisse toute chaude.

– Finalement j’ai obéi, j’ai lâché‚ un petit jet à la grande satisfaction de ma nouvelle amie, qui m’a défendue contre toutes les autres harpies. Elle m’empêchait d’utiliser la tinette, désirant tout conserver pour elle. Elle achetait de la bière à la cantine qu’elle me réservait et qu’elle me poussait à consommer sans cesse disant :

– Je m’en passerai bien, je la boirai quand elle ressortira, elle aura bien meilleur goût.

 

Cette triste relation de la détention sordide de la syrienne, aurait dû attrister Françoise, mais assez curieusement lui avait mis le feu aux joues. Elle voyait dans son imagination la prisonnière en chemise de nuit réglementaire puisant à même la source, le liquide brûlant qui constituait son plaisir. Cette évocation suffit à rallumer sa sexualité dévorante, elle arrête la voiture, et elle embrasse fougueusement son amie sur les lèvres.

 

– Ma pauvre Choute, comme tu as dû souffrir, toi si délicate, si raffinée.

– Je ne sais pas… au début affreux à supporter, puis je crois j’y ai pris goût. Je pensais à toi, je me disais, je pisse dans le bouche de Françoise et je me sentais heureuse, comme si tu m’avais retrouvée.

 

Cette déclaration se termine par un baiser ardent qui joint les langues des deux filles, les mains sous les jupes ont trouvé des orifices propices à une masturbation rapide mais efficace. Rentrées à l’hôtel, les deux femmes s’isolent dans une chambre vide pour leurs retrouvailles.

 

Pendant ce temps Tim et le privé retrouvent la trace de Mary Pink. Comme Shannah le connaît elle pourra l’identifier. Elle accepte le soir même d’accompagner Tim à la piaule du blondin. Piégé dans sa chambre sans issue, le frêle prostitué ne peut fuir, affolé par la présence du gigantesque Tim et de Shannah qu’il a reconnue, il tremble de tous ses membres et jure qu’il ne savait pas que la jeune fille avait été accusée du meurtre.

 

– Lorsque j’ai vu Shannah à sa descente de l’hélicoptère, j’ai oublié d’un seul coup que Brown m’avait fait venir pour que je le baise, j’avais envie d’elle. Mais le milliardaire désirait que je l’encule devant son chauffeur qui lui rendait ce service habituellement. Je suppose qu’il voulait l’éprouver ou le rendre jaloux. J’étais payé pour le ficeler sur la table et le prendre devant le chauffeur qui devait baiser la demoiselle. Devant mon refus, et le désir manifeste de Shannah de partager mon point de vue, il lui a demandé de couper ses liens. Shannah et moi, nous nous sommes enfermés dans la chambre, pendant que les deux hommes continuaient à se disputer. Nous avons fait l’amour, très délicatement, avec tendresse et tout le respect que je lui porte, nous avons recommencé trois ou quatre fois, et nous nous sommes endormis. Les sirènes de la police m’ont réveillé‚, ils venaient de tous côté en 4×4, tout terrain, je ne voyais plus personne dans le ranch, je suis passé par la grange et profité de l’arrivée du shérif pour gagner le désert, dans la direction opposée.

 

Par reconnaissance pour la douce Shannah, il finit par accepter de témoigner à son procès. La culpabilité d’Allquist, le chauffeur-pilote et amant occasionnel du financier ne paraissait plus faire de doute. Il restait cependant introuvable, lorsque le limier apprit d’un adjoint du shérif que le district attorney avait un atout dans sa manche, la police du comté‚ avait loué‚ un appartement dans un motel pour loger un témoin capital, déterminant pour apporter la preuve de la culpabilité de l’accusée. Nul doute qu’il ne s’agisse d’Allquist. Le privé parvient assez rapidement à localiser le motel en suivant les véhicules du comté‚ faisant le va-et-vient du palais de justice au lieu présumé‚. Quand il arrive cet après-midi au parking du motel, il choisit un emplacement éloigné des voitures de police. En s’approchant discrètement derrière la haie d’épineux qui sépare les différents blocs, il fût conscient de l’énervement qui gagnait les inspecteurs en civil. certains couraient en tous sens, d’autres agglutinés dans une cabine, téléphonaient avec frénésie. Le shérif ne tarde pas à apparaître dans sa voiture toute blanche de la poussière du désert. Il était suivi par une ambulance qui charge un corps recouvert d’un drap, s’agit-il d’un personnage que la police dissimule aux regards ou d’un cadavre. Notre privé fait un pas de trop pour se renseigner, reconnu par le shérif, arrêté pour obstruction à la justice et bientôt accusé de meurtre sur un inconnu. Son colt est saisi par les inspecteurs aux fins d’examen.

 

Il fit appel à Maître Greenwood, comme la loi l’y autorise, prévenu tout aussi tôt, Tim décide de prendre à sa charge la défense du détective privé. La séance du tribunal, après une remise de huit jours nécessitée par la santé du témoin, fit comparaître Shannah, et comme témoin de la défense, le blondin versatile. Il confirma spontanément qu’il était resté dans le lit occupé par la jeune syrienne, jusqu’à l’arrivée de la police du comté‚. Le contre-interrogatoire mené par le district attorney en personne, tente de trouver des contradictions entre la version de Shannah et celle du blondin.

 

– Monsieur… Euh… Black Fish », dit-il en s’adressant au témoin, pouvez-vous nous confirmer sous la foi du serment que vous n’avez jamais quitté la jeune… femme ? Euh

 

Il se pinçait le nez, son surnom de  » Pince-Nez » prétendaient les gens bien informés, provenait surtout de son aptitude inégale à fourrer son tarin dans les affaires les plus louches, les compromissions signées maffia.

 

– Je confirme, votre Honneur.

– La cour se demande, poursuivit le procureur Clayton, si le témoin tente de couvrir la coupable, ou au contraire de se procurer son propre alibi.

 

Avec habileté, il changeait de cible, et il gardait en réserve le témoignage du témoin principal de l’accusation. Introduit sur une chaise roulante, Allquist, amaigri et les traits tirés tient à rectifier certains faits.

 

– Je n’ai jamais accusé Mademoiselle Shannah, que j’ai en grande estime, d’avoir tué mon patron. Non, je n’ai pas tué celui-ci. J’étais en rage contre lui, car après m’avoir promis successivement de baiser la fille, puis de le sodomiser, ce qu’il me demandait chaque jour, il m’avait préféré‚ cet avorton qui n’est ni un homme, ni une poupée.

– De qui, voulez-vous parler ?

– Je parle de Mary Pink, le type qui est assis à droite, au premier rang du public.

– Montrez le du doigt ! Demande le président

 

Allquist désigne d’un index tremblotant le blondin.

 

– Voulez-vous dire qu’il a assassiné le financier Brown ?

– Grand Dieu, non, il s’était enfermé‚ dans la chambre avec Miss Shannah.

– Alors, c’est vous le meurtrier ?

– Je ne me souviens de rien, nous avions beaucoup bu, Brown et moi, on s’‚était réconciliés et je lui avais donné satisfaction à sa demande. Il buvait encore pendant que je le pénétrais. Il avait la tête sur la table, et je voyais le désert qui entourait le ranch. Après je suis sorti faire une ronde, je m’étais rhabillé‚ et je tenais mon Luger à la main. Je n’ai rien vu, mais j’ai reçu un coup sur la tête et quand j’ai repris conscience, la police était là et je me suis éloigné‚ dans le désert.

– Donc, vous ne savez rien, si j’en crois vos déclarations ?

– Pas tout à fait, Votre Honneur, il y a quelques jours, je regardais par la fenêtre du motel où vous m’aviez enfermé, les détectives Mulliar et Richardson étaient à mes côtés et j’ai vu un homme qui me visait avec une carabine. J’ai reçu une balle à côté du cœur, mais j’avais eu le temps de le reconnaître, c’est un ancien espion de la Stasi qui a déjà dans le passé, tenté‚ de tuer mon maître le financier Brown, qui s’appelait en réalité‚ Bauer, et avait été‚ directeur des opérations internationales de la BDR. Le type qui a essayé‚ de me tirer comme un lapin, s’appelle Oskar Reynecke.

 

Le ciel semblait tomber sur la tête de Françoise, ce sinistre personnage qui revenait de son passé, n’était-il pas interné en Allemagne.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:48

L’hôtesse de l’air – 4 – Enquête sur le trottoir par Air Hostess

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L’avenir est sombre.

Les relations entre Tim et les deux femmes prennent un aspect ambigu. L’athlète au cœur d’artichaut ne peut se détacher de Françoise qui flatte sa vanité vis à vis de la communauté noire et qui l’excite au plus haut point. Il témoigne à Souria d’un sentiment fleur bleue tout à fait inattendu. Les deux femmes présentes, il espère les voir se témoigner leur tendresse. Il parait très excité lorsque Françoise chevauche le ventre nu de sa compagne ou plonge son visage dans les gros seins nus de la nourrice. Françoise doit s’avouer qu’elle ne peut résister à l’odeur de sueur des noirs. Cette saveur épicée, au goût exotique qui émane de leur corps entraîne de sa part un débordement de cyprine qui déborde de son sexe. Les blancs ont une sueur, moins aphrodisiaque, les noirs disent que nous sentons le cadavre. Bouche à bouche, Françoise allongée sur le corps rebondi de Souria, Tim les pénètre l’une après l’autre, sortant son énorme bite toute engluée de la jouissance de la blonde française pour envahir le sexe rouge cerise de la jeune mère.

– Ah ! Crie celle-ci, ça glisse bien, le jus de ma Françoise : ça me fait jouir.

 

Et la grande noire se trémousse pour s’enfiler plus profondément le pénis qui gonfle au fur et à mesure. Les trois corps apaisés, les deux femmes affamées de sperme, rassasiées, le mâle prend du repos, étendu sur le dos de Françoise toujours allongée sur Souria. Le temps passe, ils se taisent, tentant de retenir ces moments privilégiés dans la mémoire de leurs chairs. Puis la sexualité‚ reprend ses droits, Françoise perçoit la reprise de la tension dans la grande queue qui repose entre ses cuisses. Tim, lui lèche la nuque, la mord et lui fait sentir entre les fesses qu’il est prêt à reprendre l’assaut. Cette fois, il varie, il modifie son approche. Une pénétration anale complète provoque l’orgasme prolongé de Françoise qui jouit, sa langue palpitante aspirée par la bouche pulpeuse de Souria, qui engloutit sa salive. Quelques minutes plus tard, elle-même subit le même sort, elle hurle de plaisir la grosse bite enfoncée jusqu’au pubis dans son cul épanoui.

 

Shannah en larmes se réfugie dans les bras de Françoise. Greenwood a tenu parole, il a obtenu, non sans mal, une autorisation de visite. Il parvient à faire sortir le shérif qui veut assister à l’entretien en l’entraînant dans un bureau, soi-disant pour recueillir son avis personnel, sur la situation de sa cliente. Flatté, le représentant local de l’autorité du comté laisse les deux filles en présence dans la sordide cellule grillagée.

 

– Je savais que tu ne m’abandonnerais pas !

– On va te sortir d’ici. Un peu de patience !

– Si tu savais, ils me traitent comme du bétail. Tous les adjoints du shérif sont des rustres, des paysans. Dès que je me lave, ils viennent me regarder comme une bête rare. Je fais mes besoins, sous leurs regards égrillards. Tu sais que je n’ai pas peur des hommes, mais je ne peux plus supporter cela.

– Calme-toi. Raconte-moi ce qui s’est passé au ranch. Le procureur se tait, nous ne savons rien.

– Après l’invitation de Brown et le départ de son hélicoptère personnel, j’ai compris tout de suite qu’il avait une idée luxurieuse en tête. Il m’avait placée à côté du secrétaire-pilote et n’arrêtait pas de me peloter. Il m’avait demandé de mettre une tenue très sexy et il incitait le pilote à prendre des privautés à mon égard, tandis qu’il lui caressait la nuque. Quelque chose ne collait pas. Avait-il l’intention de me sauter ou de me faire baiser par le secrétaire. Je me demandais s’il ne préférait pas caresser son employé. Arrivés au ranch, tout à fait isolé dans le désert, voilà le blondin qui nous attend et qui se précipite sur moi, comme si j’étais aimantée. Brown n’était pas content. Réfugiés tous les quatre dans une grande bergère en rotin, ils me déshabillent et je pense, un instant qu’ils vont m’enfiler les uns après les autres. Je me réjouis déjà, mais voilà que ce corniaud de Brown demande de se faire attacher sur la table avec de grosses cordes qui traînaient dans le ranch. Il avait l’air fin avec sa petite bite ridicule.

– Oui, mais il sait s’en servir. Il m’a fait jouir pas mal avec ce petit machin.

– Possible, mais cet imbécile ne m’a pas touchée, sinon, il vivrait encore. Il désirait qu’on le couche sur la table à plat ventre, pour permettre au blondin de l’enfiler, tandis que le secrétaire avait pour mission de me baiser sous ses yeux. La dispute a débouché brusquement, le blondin préférait me sauter, le secrétaire voulait baiser le sénateur comme il paraissait en avoir l’habitude. Il fumait tous, une cochonnerie de marijuana qui empuantit la pièce, la fumée obscurcissait ma vue. Ils en sont venus aux mains et Brown m’a crié de couper ses liens. J’ai saisi un grand couteau sur une desserte et j’ai coupé les cordes. Puis le blondin m’a entraîné dans une chambre vide, tandis que les deux autres continuaient à s’engueuler. Le blondin baisait bien. Il avait une longue bite très fine qui disait-il, plaisait beaucoup aux messieurs. Totalement bisexuel, il vivait d’expédients et des dons de ses amant(e)s. Très mince, nerveux, remuant sans cesse, stressé, les yeux dans le vague, il baisait en parlant sans cesse. Il ne parvenait pas à jouir, comme s’il avait absorbé une de ces drogues qui font bander, mais retardent l’éjaculation. J’ai dû jouir cinq ou six fois, puis je me suis endormie. Je me suis réveillée quand le shérif est arrivé avec ses cochons d’adjoints. Ils m’ont tous pelotée, soi-disant pour vérifier que je n’étais pas armée. J’étais à poil, il n’était pas difficile de voir que je n’avais pas d’arme. Il n’y avait plus personne dans la baraque, Brown, le secrétaire Allquist et le blondin avaient disparu. Voilà tout ce que je sais

 

– L’audience préliminaire est fixée au 13 mai. La caution demandée par le procureur du comté s’élève, vu les charges retenues à 500.000 dollars.

 

Françoise prend un vol régulier pour New York pour rassembler la somme. Elle laisse Souria et son bébé sous la garde de Tim qui revient d’un mystérieux voyage sur son Cesna. Les deux noirs sont ravis d’occuper la chambre. Françoise retourne au Waldorff et prend discrètement contact avec Paris, elle obtient un accord pour pouvoir disposer du montant nécessaire sur les crédits mis à sa disposition. Le concierge du Waldorf lui téléphone

 

– Miss, une… »dame » veut vous rendre visite. Hum !

– Demandez-lui, comment s’appelle-t-elle ?

– Elle dit qu’elle porte le nom de Jane Radcliffe et que vous la reconnaîtrez facilement.

– Faites la monter.

 

La porte s’ouvre sur une apparition surprenante, Jane Radcliffe n’est autre que la chanteuse noire qui trouvait Françoise tellement à son goût ! Les deux femmes s’embrassent et Jane explique qu’étant de passage à New-York, elle a reçu un message de Tim qui lui signalait que l’hôtesse française était à nouveau au Waldorf. Jane est vêtue d’un short blanc très court et d’un corsage en lamé‚ qui met en valeur sa poitrine haletante.

 

– J’ai encore plus chaud ici qu’à la Nouvelle-Orléans, dit-elle en épongeant ses aisselles nues.

 

Son parfum troublant est noyé dans le flot odorant de sa transpiration. Françoise ne peut résister à cet appel à sa sexualité‚ et tandis que Jane déboutonne son strict chemisier blanc, elle dégrafe le short et dégage les longues jambes de la chanteuse. Bientôt les deux femmes entièrement nues se rejoignent sur le couvre lit de soie et s’étreignent avec fureur. Chacune connaît maintenant le goût intime de l’autre, mais elles n’ont pas encore connu d’orgasme partagé. Se plaçant la tête, entre les cuisses de Jane, Françoise plaque son sexe sur le visage de la divette. La noire ouvre les grandes lèvres de l’hôtesse qui libèrent une giclée de cyprine parfumée, pendant ce temps, la blonde racle le clitoris turgescent de la star. Un orgasme, sans cesse renaissant emporte les deux femmes dans un délire sexuel qui leur fait oublier toute réalité‚. Plusieurs heures s’écoulent avant qu’elles s’abattent dans leurs bras, épuisées par la violence de leurs sentiments.

 

Une lueur d’espoir.

 

Tim n’a pas perdu de temps, installé dans la chambre de Françoise, il a mobilisé ses informateurs et rencontré le détective qui enquête sur les participants à la tuerie du ranch. La disparition du chauffeur-confident apparait comme très importante au géant noir, l’attorney ne partage pas son opinion.

 

– La fille a peut-être également tué le chauffeur, dit-il à Tombstone, qui lui fait observer que déjà transporter le cadavre de Brown paraissait difficile à attribuer à une mince jeune femme.

 

L’enquêteur privé‚ fouille les milieux interlopes et les bars fréquentés par les gays. il espère trouver la trace du blondin à la longue bite. Après une journée harassante, consacrée à la visite de tous les bars louches de Washington, il trouve une piste au « Green daffodil », un barman bouffi, en échange d’un billet de 10 dollars, reconnait la description de « Mary Pink » surnom du blondin qui monnaie ses charmes. Un billet de 50 dollars fortifie sa mémoire et lui arrache des détails supplémentaires. Parfois, le blondin à la recherche d’un client se travestit en gonzesse et arpente le bitume. Il s’est battu avec une prostituée du nom de Nikki qui défendait son territoire. Retrouver Nikki tâche facile pour un détective confirmé qui vers les 10 heures du soir, aidé par des copines compatissantes aperçoit sous la lueur d’un lampadaire électrique une grande rousse corpulente qui parcourt à pas furieux les quelques mètres de trottoir qu’elle défend farouchement. Elle rougeoie, la chevelure de flammes, les lèvres sanglantes, les joues maquillées à outrance, le léger chemisier entrouvert sur une poitrine rebondie, la mini-jupe et les souliers à très hauts talons passés au minium, tout concourt à souligner une forte personnalité. Notre enquêteur engage la conversation, et la rousse incendiaire lui propose un endroit plus discret pour cent dollars la passe. Marchant devant lui, elle traverse un passage étroit, entre les buildings, encombré de poubelles, où des collègues de bas-étage pratiquent des fellations au rabais sur des ombres filiformes et peu fortunées. Nikki atteint un hôtel petit, mais propre où elle a ses habitudes. Elle franchit le bureau d’accueil, suivie de notre limier. Dans l’escalier étroit, il se risque à glisser la main sur une cuisse et atteint un fessier ferme endurci par les longues déambulations de la dame. Dans la chambre, méfiante, elle exige que l’enquêteur face usage des lavabos pour passer sa queue au savon. elle surveille l’opération, car dit-elle son expérience lui a appris que l’hygiène, l’absence de drogues et une bonne psychologie lors du premier contact l’ont toujours préservée des mauvaises surprises. Elle s’étend sur le lit, après avoir retroussé sa mini-jupe et retiré sa culotte de soie noire, c’est moins salissant avec toutes ses mains d’hommes qui vous tripotent dans l’escalier et toc ! Comme le privé‚ ne fait pas un geste d’approche, elle se méprend et ouvre encore plus largement son chemisier rouge, jusqu’à retirer de son soutien-gorge rouge, ses gros nichons rebondis aux énormes tétons rouges. L’enquêteur ne peut masquer la bosse qui vient de se former dans son pantalon. il saisit un sein d’une main ferme et questionne la fille.

 

– Dis- moi, Nikki. Tu as eu des problèmes avec une petite frappe, celui qu’on surnomme Mary Pink.

– Le salaud, si je le retrouve, je lui coupe sa banane à cet enfoiré !

– Tu ne sais pas où il crèche ?

– Qu’est-ce que tu lui veux ? Tu es aussi de la pédale ?

 

Le ton devenu prudent, la fille déclare qu’elle n’a aucune idée de l’endroit où il vit, ni dans quels lieux on peut le trouver. Comme la pute parait fraîche et expérimentée, notre limier décide de profiter des cent dollars versés et se déshabille, sous l’œil critique de la donzelle qui se marre. Il s’étend sur le lit aux draps propres, mais la fille qui s’est absenté dans les toilettes revient avec une panoplie d’instruments.

 

– Qu’est-ce que tu préfères, le fouet ou le martinet ? D’abord, je vais t’attacher.

 

Nu, les fesses en l’air, il subit les brutalités de la dame qui se venge des tracas quotidiens en lui zébrant les fesses de longues marques rouges sanguinolentes à souhait. D’abord silencieux et surpris par la spécialité de la tapineuse, il crie ce qui accentue la dégelée de coups, la peau des fesses le brûle, mais tout à coup la robuste fille dépose un baiser mouillé‚ sur l’ecchymose la plus cuisante. Maintenant après chaque coup, elle baise la marque sanglante de ses exploits et le privé sent monter en lui une jouissance terrible qui prend naissance dans ses reins meurtris et tord ses couilles enflammées. Il appelle maintenant les coups qui augmentent son plaisir. Après une dernière rafale qui fait péter la peau des écorchures, elle le retourne comme une crêpe et saisissant son pénis entre ses lèvres carminées, elle suce le membre brûlant qu’elle mord cruellement avec ses incisives. Il jouit à flot dans la bouche tout à coup douce et accueillante qui avale avec la satisfaction du devoir accompli, l’offrande du client satisfait. Allongés tous deux, sur le lit, elle parle un peu de son boulot de ses clients ou de ses clientes parce que sa clientèle comprend les deux sexes. Mais jamais elle ne reviendra sur Mary Pink.

 

Prévenue par Tim, des résultats de l’enquête, Françoise, accompagnée de Jane prend le premier avion pour la capitale fédérale. Elle loue à l’aéroport un vaste bahut Chevrolet et se met à la nuit tombante à la recherche de Nikki le tapin. Les deux femmes la blanche et la noire questionnent les filles nombreuses dans cette rue. Oui c’est bien ici, le coin favori de Nikki. La fille en se déhanchant sur ses hauts talons reprend son poste d’attente et Françoise l’aborde avec un sourire engageant. Jane reste dans la voiture et promet d’intervenir si la conversation dure trop longtemps. Françoise prend le même chemin que le détective et se retrouve sur les draps blancs de la petite chambre. Elle échappe à l’obligation du savonnage et se voit déculottée et déshabillée de main de maître par la rouge dominatrice. Entièrement nue, celle-ci implore la jeune française d’utiliser les instruments de sa spécialité‚ pour la battre, mais Françoise incapable de faire mal, caresse la lourde poitrine et suce les tétons écarlates. La pute gémit sous la caresse.

 

– Mords-moi, dit-elle. Mords-moi les seins.

 

Les dents de la française écrasent les bouts durcis. En entendant les cris de jouissance de la rousse, elle en oublie de questionner la fille, elle commence elle-même à jouir. Son con collé à la cuisse puissante de la pute, déverse un flot de jus, sa respiration s’accélère, ses yeux dilatés fixent le visage extasié. Elle extrait de la masse d’outils sexuels répandus sur le lit un gros godemiché qu’elle introduit, sans douceur, dans le con rougeâtre. La fille sursaute :

 

– Dans le cul, mets-moi quelque chose dans le cul ! Crie-t-elle à Françoise qui obtempère aussitôt.

 

Un second godemiché‚ aussi gros que le premier fiché dans l’anus, la fille rend la pareille à Françoise, les deux filles tenant fermement les godes s’assurent une jouissance prolongée. Après un long moment d’extase, la pute extrait le gode du sexe de Françoise pour le sucer avec ravissement, elle passe ensuite au godemiché vibrant qu’elle extrait du cul de sa compagne et lèche avec passion.

 

On frappe violemment à la porte et Jane fait une entrée de théâtre, son Stetson blanc sur la tête elle domine de son mètre quatre-vingt-dix les deux femmes enlacées. Elle ne peut résister à son envie de déguster les filles comme un sorbet. Françoise la présente à Nikki, mais déjà, la grande noire fourre son museau entre les cuisses de la péripatéticienne, Françoise baisse le short et le string blanc qui sépare les deux fesses et lèche l’énorme clitoris boursoufflé‚ de la noire qui suce les grandes lèvres de la rousse. Bientôt, nues toutes les trois, elles alternent les positions, chacune désirant offrir aux deux autres le meilleur aspect de sa virtuosité sexuelle. Si Nikki désirait se sentir l’esclave d’une femme dominante qui réponde aux caresses par des coups, elle a trouvé en Jane une partenaire idéale. Après une fessée donnée avec force sur son gros derrière, Nikki humblement implore son pardon. elle reçoit l’ordre de lécher Françoise étendue sur les draps. Sa langue parcourt tous les recoins du sexe de la blonde, qui comme vous vous en doutez, mouille déjà comme une fontaine. Pour aiguillonner son ardeur, la noire lui tord les seins, mord les tétins flamboyants et pince les fesses. Nikki subit un martyre qui engendre une jouissance croissante. Elle pousse des cris étouffés par les poils pubiens de l’hôtesse. Elle mouille également avec abondance le visage sombre qui maintenant lui mange le bas ventre.

Hostess4

 

Deux heures se passent en combinaisons diverses, chacune proposant sa version préférée et sa place dans le trio. Les trois femmes sortent de l’hôtel lorsque, la nuit très avancée, les néons des bars louches s’éteignent l’un après l’autre. Nikki se rend à son poste habituel pour gagner sa croute, les deux autres vont reprendre la voiture. Les trois femmes sont entourées par un groupe d’adjoints du shérif qui les pousse dans un car de ramassage, la voiture saisie, les suit, pilotée par un policier. Le shérif accueille Françoise avec un rire sarcastique et l’accuse de faire illégalement le trottoir. La jeune française sort le grand jeu, demande de téléphoner à l’ambassadeur de France, ancien officier de son père, avant d’entrer dans la diplomatie, déclare que son amie Jane, artiste de variétés a retrouvé en Nikki, une amie d’enfance, qui vit dans des conditions difficiles. Mais que maintenant, les trois femmes vont vivre ensemble, dans la plus stricte légalité. Après quelques menaces voilées sur le sort qu’il réserve à Shannah et aux trois autres, il est bien forcé‚ de les relâcher avec des excuses et de leur rendre le véhicule de location dûment fouillé.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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