Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 07:18

La couturière à domicile
(Coutumes, mœurs et métiers d’antan) réédité par Ursulin Neveway

 

  cochon

Elle sonnait à la porte des pratiques dont elle avait la clientèle, en général des familles aisées.

On lui ouvrait, elle entrait et, tout de go, on la foutait à poil. Elle-même retirait de bonne grâce sa petite culotte pendant que les dames présentes montraient qui leurs seins, qui leurs dos.

La partouze achevée, la couturière s’absorbait dans ses travaux d’aiguille. On lui donnait cent sous. C’était la belle époque.

Couturiere

Cette image et le texte qui l’accompagne ont été créés pour le magazine Hara-Kiri (merci à eux) et nous ont été envoyés par Ursulin.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 07:03

La légende de Pauline, délire en roman-photos par Ursulin Neveway

 

pauline

 

SCÈNE 1

 

ndw : Ursulin nous a adressé ce petit « essai » de roman photos, comme il le dit lui-même ! Loufoque, distrayant et gentil, je n’ai pas hésité un moment à le publier ! J’espère qu’il vous amusera comme il nous a amusés  !

 

Oyez, Oyez, braves gens !!!

 

Laissez-moi vous conter la légende de Pauline !

 

Et vous saurez ce qu’il en coûte de ne pas respecter ce qui est indiqué sur les panneaux d’interdiction !

 

Vous connaissez tous l’ancienne école désaffectée, bien sûr !

 

Il y a juste devant un champ de maïs. Oh, ce n’est pas un grand champ, c’est un petit champ mais il produit bon an mal an son pesant de maïs, et suffit à nourrir son propriétaire !

 

Mais nul ne sait qui est ce propriétaire mystérieux !

Ce que l’on sait c’est que d’étranges lumières dansent parfois à l’intérieur de la batisse délabrée !

 

Et l’on sait aussi, qu’une main anonyme a planté à l’entrée du champ cet étrange panneau, indiquant de façon claire et précise que ce lieu ne saurait tolérer l’exercice de la turlute !

mais

 

SCÈNE 2

 

Un Panneau d’interdiction !

 

– Qui a bien pu le placer-là ? Interroge Pauline.

 

Elle n’est pas venue seule, Pauline. Elle est accompagnée d’Armand, son amant et d’Albert qui aime tant la prendre par derrière.

 

Mais ces deux nigauds n’en savent pas plus qu’elle et ne savent que répondre !

 

– Y a quelqu’un ? Crie Pauline.

 

Mais seul le souffle du vent répond !

 

– Déshabillons nous, alors propose la blonde !

 

Ne voulant pas paraître pour des pleutres aux yeux de la belle, nos deux mâles se débarrassent de leurs vêtements !

 

Les voilà tous les trois dans les champs. Et sous le soleil du beau temps, Pauline pompe la grosse bite de son amant Armand, tandis qu’Albert… mais vous avez deviné… Pauline est une belle coquine et elle aime sucer quand on la pine..

 

Pauline mais

SCÈNE 3

 

Et tandis que notre trio « triole » avec une ardeur de hardeur, à l’intérieur de la batisse, nous découvrons deux étranges créatures, à moitié sorcières, à moitié fées !

 

Celle qui fait pipi se nomme Ondine et celle qui ne fait pas se nomme Peggy ! Mais qui est alors ce porcelet bien gras ?

 

Tout simplement le propriétaire, gardé en l’état par un sort magique, au cas où il pourrait servir, mais ne pouvant plus s’exprimer comme un humain. Et pour l’instant il sert de siège à Peggy. C’est très confortable un petit cochon comme siège !

 

– Quand tu auras fini de pisser, lui dit Peggy, tu jetteras un coup d’œil par la fenêtre ! Qui sont ces trois hurluberlus ?

– Ils ne font point de mal, ils niquent !

– Certes, mais si nous avons posé un panneau, c’est pour avoir la paix !

– Nous pourrions les transformer en grenouilles et en crapauds ! Propose Ondine.

– Allons, allons, il ne faut point punir l’amour ! Nous allons juste les faire déguerpir !

– Sans doute as-tu alors une idée ?!

– Certes ! Je vais faire neiger, et le froid les fera partir ! Décida Peggy.

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SCÈNE 4

 

Mais nos fées n’avaient pas prévu que notre trio mettrait tant d’ardeur à la tâche, que nos trois baiseurs dégageraient une telle chaleur qu’ils ne se rendirent même pas compte du déluge blanc qui leur tombait sur les flancs.

 

Pauline snow

– Malédiction ! Dit alors Peggy, cela ne marche point !

– Perdrais-tu la main, tendre Peggy ?

– Ta gueule ! Je vais refaire une incantation et rajouter de la neige, tout cela n’est qu’une question de réglage !

– N’est-ce point dangereux ?

– Je sais ce que je fais, mademoiselle !

Et Peggy leva alors sa baguette…

 

SCÈNE 5

 

Peggy venait donc de faire une grosse bêtise !

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Une très grosse bêtise !

SCÈNE 6

 

FEE2Les deux fées étaient à présent complètement nues, et Ondine était passée derrière sa collègue, une main sur la chatte, une autre sur le sein, en même temps qu’elle sollicitait sa langue. Elle la caressa ainsi quelques instants puis s’arrêta un moment :

 

– Peggy, débrouille-toi mais tu ne peux pas les laisser comme ça !

– Hélas je ne sais pas revenir en arrière !

– Quoi ! Une fée diplômée comme toi, ne sait pas faire ça ?

– Ben non !

– Il y a bien un moyen pour rendre vivants des êtres inanimés, non ?

– Ce n’est pas si facile !

– Je vais essayer, alors ! Proposa Ondine !

 

Alors Ondine leva sa baguette…

 

SCÈNE 7

 

Cette fois c’est Ondine qui venait de faire une bêtise !

Carottes3

 

Une très grosse bêtise !

SCÈNE 8

 

– On est aussi conne l’une que l’autre !

– Mais non, c’est en faisant des erreurs qu’on se perfectionne ! rectifia Peggy. Et arrête de parler quand tu me lèches, ça me déconcentre…

– Que faire ? On ne peut les laisser ainsi, surtout quand on connaît l’espérance de vie d’une carotte !

– On va leur offrir à chacun l’éternité, en attendant de trouver !

– En voilà une riche idée !

– Bon, maintenant tais-toi et suce, on s’occupera de ces messieurs dames tout à l’heure !

– En espérant qu’un amateur de pot au feu ne vienne pas les cueillir avant, ou qu’un lapin qui passe par là ne les grignote !

– Ce que tu es chiante !

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SCÈNE 9

 

Alors Peggy reprit sa baguette…

 

Et c’est depuis ce jour que l’âme d’Albert est enfermée dans ce monument naturel

 

Rocabite

Et c’est aussi depuis ce jour que l’âme de Pauline, prisonnière de cette montagne pisse de l’eau de source pour l’éternité.

Eva source

 

SCÈNE 10

 

FFE4Les deux fées avaient repris leurs ébats, frottant leurs clitoris l’un contre l’autrevdans un tribadisme effréné. Ondine couchée, renversée en arrière et Peggy semi-accroupie ! Ce fut Ondine qui jouit la première, renversant complètement son visage sous le choc du plaisir ! Après quelques instants de récupération, elle demanda soudain :

– Mais Armand! Qu’as tu fait d’Armand ?

– Je n’avais plus de ressources pour l’immortaliser sur terre !

– Mon dieu ! Il est perdu !

– Pas du tout, je l’ai envoyé dans l’espace, et si tu continue à jacter je vais t’envoyer le rejoindre ! Fais moi donc jouir, petite mignonne !

– Mais avec grand plaisir, ma petite fée adorée !

 

 

 

SCÈNE 11

 

C’est ainsi que depuis quelque temps, quelque part entre Mars et Jupiter, il y a désormais un nouvel astéroïde. Il n’ a pas encore de nom, mais lui seul sait qu’il s’appelle Armand ! Il attend le jour où son orbite sera perturbée, où il pourra foncer sur la Terre et s’élancer vers la source de Pauline afin qu’ils puissent connaître ensemble un dernier et sublime orgasme

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 22:16

L’autobus du sexe ou les délires de la deuxième voiture ou Ligne 69-105 D par Malicia et Christobal

 

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bus29Comme tous les matins je prends l’autobus pour me rendre au travail. Ce matin l’autobus est en retard, il est du même coup bondé, alors qu’habituellement il n’est plein à moitié. Je monte et dis bonjour à la conductrice qui, visiblement, me reconnaît. Il s’agit d’une très belle femme, une blackette avec un beau visage, des formes intéressantes et des lèvres purpurines. Je n’ai pas le choix et je suis obligé de m’asseoir à côté une autre personne, moi qui, habituellement préfère les banquettes individuelles. Je m’assieds à l’avant près d’une fille d’environ 20 ans, habituée à ce parcours et qui, je l’avais déjà remarqué, semble plutôt attirée par les femmes. Elle est grande et très mince, elle a les cheveux longs et elle est probablement d’origine asiatique. Son allure de garçon manqué dans ces jeans moulants m’excite. Elle ne bouge pas du tout et j’ai peine à m’asseoir confortablement, la nana prenant plus que sa place avec ses jambes écartées et son gros sac de sport.

 

Je m’installe en faisant attention de ne pas la déranger, mais manifestement ma présence à ses côtés à l’air de la contrarier. Discrètement, j’observe entre ses jambes toutes ouvertes vers moi, sa fourche et imagine cette vue si elle était nue… Du coup, une légère érection s’installe. J’observe également son visage sérieux et ses petits seins qui doivent être bien durs sous son tee-shirt moulant. Que j’aimerais la voir baiser avec une autre femme !

 

Arrivé à l’arrêt suivant une femme monte dans l’autobus et reste debout tout près de nous. La fille à mes côtés (on va l’appeler Corinne) regarde avec envie le corps de la femme d’environ 40 ans qui bouge constamment au rythme des secousses de l’autobus. Cette femme est très sexy, le sait et le montre. Elle a une jupe courte qui permet de contempler ses longues jambes et d’énormes seins qui semblent plutôt fermes pour son âge. Elle se penche pour déposer son sac et on voit très bien ses gros nénés dans leur soutien-gorge. À ce moment, Corinne prend son sac par terre, le dépose sur ses genoux et garde une main sur ses cuisses. Je suis trop près pour regarder directement mais je vois sa main frotter sa chatte à travers son jeans. Elle fantasme sûrement sur l’autre femme.

 

L’autobus se vide de plus en plus en se rapprochant du terminus. Je suis extrêmement excité et ma voisine voit très probablement mon érection à travers mon pantalon. Corinne prend alors doucement ma main et l’emmène vers sa fermeture éclair déjà ouverte qui est protégée des regards par son sac et mon blouson. Aussitôt fait, j’insère mon majeur dans sa chatte toute mouillée et entreprends de la masturber. Elle se laisse faire en fermant les yeux et en déposant ses deux mains sur son sac. Son clitoris est gonflé à bloc. La femme devant nous descend à l’avant dernier arrêt mais je continue de donner du plaisir à ma voisine.

 

Tout à coup, l’autobus change de direction. Ma voisine semble surprise également et referme sa fermeture éclair en s’asseyant de façon plus conventionnelle. Je constate que nous ne sommes plus que tous les deux l’autobus ! Je me lève pour demander à la conductrice la raison de ce changement d’itinéraire. Elle me répond d’un ton sec :

 

– Va t’asseoir et continue ce que tu as commencé !

 

Tout étonné, je m’assois sur la première banquette pour constater que j’avais été repéré. Ma voisine semble désespérée et ne dit pas un mot. Elle se tourne vers moi avec un regard apeuré. La conductrice aurait-elle l’intention de nous livrer chez les flics pour outrage aux bonnes mœurs ? L’autobus s’immobilise dans le fond d’un grand parking où il y a déjà plusieurs autobus vides.

 

La conductrice se lève :

 

– Je vous ai dis de continuer, vous n’avez rien à craindre, au fait je m’appelle Pamela

 

Corinne semble terriblement excitée par les ordres de la conductrice et détache son jeans pour l’enlever complètement. Je suis vraiment très surpris et heureux de voir la tournure des événements, je décide donc de passer à l’action. Je m’approche doucement de ma voisine qui vient tout juste d’enlever son slip et lui embrasse lentement les cuisses en me dirigeant vers sa vulve offerte. Je soulève son tee-shirt qui lui descend sur les cuisses pour tâter de ma langue cette merveilleuse petite chatte fraîchement rasée et toute douce. Je lèche avec de plus en plus de vigueur ses lèvres et son clitoris dans le but de l’entendre gémir ou jouir un peu. Je ne semble lui faire que peu d’effet, tout à coup, elle se déhanche un peu et émet un gémissement des plus voluptueux.

 

Je relève ma tête pour constater qu’elle se caresse les seins à travers son petit soutien-gorge et quelle est ma surprise de voir son regard fixé sur la conductrice qui est maintenant complètement nue et qui se masturbe debout près de nous. Ma partenaire est visiblement troublée par le corps de Paméla. Celle-ci a la peau très noire, elle est très peu métissée, ses seins sont très gros avec des mamelons d’un brun très foncé, sa chatte est recouverte d’une épaisse touffe de poils frisottante parfaitement triangulaire. Dans l’ensemble, bien que son corps ait de l’expérience, les petites rondeurs sont très excitantes. Elle est debout, les jambes un peu écartées avec une main dans son sexe qui effectue un va-et-vient très vigoureux, l’autre main se trouve sur sa poitrine et malaxe fermement ses gros seins. De temps à autres elle change de main pour humecter sa poitrine de son jus abondant. De plus, elle commence à gémir très fort et encourage ainsi Corinne à faire de même.

 

Je n’en peux plus, je me lève, baisse mon pantalon et sort ma queue qui ne peut plus attendre pour trouver un refuge. Lorsque Paméla voit mon pénis, elle s’agenouille devant moi et se met à me sucer avec vigueur. Pendant ce temps, Corinne se masturbe très rapidement pour se rendre à l’orgasme. Je ne peux résister à ce spectacle ainsi qu’à la bouche expérimentée de la conductrice, je suis sur le point d’exploser. Paméla me voit venir et dirige, tout en continuant de le masturber, mon pénis vers Corinne. J’éjacule au moment où submergée par le plaisir mon ex-voisine atteint son orgasme en criant d’une façon folle, mon sperme gicle sur son tee-shirt, son visage et ses cheveux.

 

Corinne se lève brusquement et m’éloigne de la conductrice, elle enlève son tee-shirt et son soutien-gorge et me les lance en pleine figure. Elle enlace Paméla et dégringole avec elle sur le sol, la conductrice est sur le dos et Corinne s’assied sur son visage et se penche pour entamer un 69 endiablé. C’était très excitant de voir ces deux corps si différents se joindre et se tortiller de cette façon. Les seins de la conductrice apparaissent de chaque côté du petit corps de Corinne, je m’en approche et embrasse un des seins en me dirigeant vers son visage et en traversant les jambes et le petit cul ouvert de la lesbienne eurasienne…

 

Pendant que la conductrice fait travailler sa langue dans la chatte de Corinne, elle me fait un signe que je comprends rapidement. Je m’accroupis derrière ma voisine et lui enfonce mon pénis bien dur, je me penche sur elle et pince ses petits tétons de mes doigts, ce qui lui arrache de petits cris de jouissance. Paméla a un orgasme incroyable qui la fait hurler de plaisir, je sens à ce moment le vagin de Corinne se resserrer sur mon pénis et son dos se cambrer de jouissance, sans retenu j’augmente le rythme de mes coups de bassin pour la bourrer copieusement et finir en apothéose.

 

J’ai soudain une envie d’uriner qui devient véritablement pressante. Je l’indique à Corinne, qui à ma grande surprise me susurre que je peux me soulager sur elle, car elle est aussi friande de ce genre de choses. Je ne me le fais pas dire deux fois, et tandis que Paméla est allé faire quelque chose sur son tableau de bord. J’asperge copieusement ma partenaire de mon jet doré. Je dirige mon pénis pour l’arroser un peu partout, les cuisses, les seins, le ventre et même le visage parce qu’elle n’hésite pas à se lécher les babines de ce curieux nectar. Elle me fait ensuite part de son désir d’inverser les rôles. Je m’allonge alors dans le couloir du bus déjà passablement mouillé de ma propre urine. Et Corinne se concentre un petit moment avant de lâcher son pipi juste sur mon pénis. Voilà qui est nouveau pour moi et qui me met en érection. Je commence à y prendre un goût certain quand soudain Paméla déboule furieuse !

 

– Mais qu’est ce que vous fabriquez, bandes de porc ! Pisser dans mon bus ! Non mais ça ne va pas la tête ?

 

Elle retourne vers le tableau de bord et sort d’une sorte de soute, une espèce de cravache !

 

– Allez donnez-moi votre cul ! Je vais vous punir pour les saletés que vous avez faites !

 

On implore sa pitié, mais elle ne veut rien savoir, le premier coup tombe sur les fesses de Corinne, cela n’a pas l’air de lui déplaire, d’autres coups tombent, elle a présent les fesses toutes rouges, elle gémit sans que je puisse savoir si c’est de douleur ou de plaisir, les deux peut-être ?.

 

– A toi, maintenant ! Dit Paméla !

 

Je reçois le premier coup sur les fesses !

 

– Aïe !

– Vous vous êtes fait mal ? me demande ma voisine de banquette

– Non ça va ?

 

Une contraction musculaire probablement ! Je me réveille, le bus est plein à craquer, quel étrange rêve ! Mais pourquoi ma braguette est-elle toute humide ?

 

Nous avons reçu ce texte signé par un énigmatique  » 2ème voiture  » ! C’est d’ailleurs la signature avec laquelle une version assez différente a été publiée sur le site de revebebe ! Nous avons de bonnes raisons de penser qu’il s’agit en fait de l’un de ces textes aux variables infinies qui se baladent soit de façon anonyme soit avec des signatures fantaisistes depuis un certain temps. Et si nous le publions, ce n’est certes pas pour ses qualités littéraires, mais parce qu’il nous a amusé ! Cela dit, si le véritable auteur désire se manifester, nous nous ferons un plaisir de faire valoir ses droits !

 

PS : Malicia et Christobal ayant ensuite revendiqué la paternité de ce texte, nous rendons à César…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:56

Lynn a la joie par Malicia et Christobal

 

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Je me prénomme Lynn, j’ai 23 ans, je suis eurasienne, étudiante et on me dit jolie brune.

 

Cette soirée d’anniversaire chez Thibault de Charaniac, je n’avais pas spécialement envie d’y aller, mais je me devais d’y être pour des raisons que je ne développerais pas ici : elle s’annonçait chiante, les invités n’étant pas de ceux qui m’intéressaient. Je pensais adopter la méthode assez classique consistant à me montrer à un maximum de gens puis à disparaître discrètement. Les circonstances on fait que je n’ai pas vraiment pu faire ça, alors pour tromper mon ennui, je me suis mise à boire, mais modérément, je sais aussi me contrôler…

 

Ne pouvant partir pour le moment, je me suis amusée à chauffer quelques garçons et j’ai commencé à les aborder les uns après les autres, ce que je ne devais pas faire avec une très grande efficacité ce soir-là, car je n’obtenais pas de réaction particulière. Pire un type plutôt mignon m’envoya carrément dans mes cordes :

 

– Le jour où j’aurais besoin d’une fille comme vous, je vous ferais signe, mais ce soir c’est inutile !

 

Le mufle, le salaud, le sale con ! Résister à l’envie de lui en retourner une, résister à l’envie de foutre le camp, résister à l’envie de chialer de honte, de rage et de dépit…

 

Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis dirigée vers le garçon que je trouvais le plus saoul, ce qui n’était pas peu dire, il était proprement torché, et j’ai commencé à entamer une discussion des plus laborieuses avec ce déchet.

 

Qu’importe, ce qui comptait, c’était d’arriver peut-être à tirer quelque chose d’un peu amusant de cette loque, et dans mon état, je devenais prête à tout pour y arriver.

 

Au bout d’un moment, perdant patience, je me suis levée, et le traînant avec moi, je l’ai emmené dans les toilettes. Là, l’adossant contre un mur, je tentais de lui faire comprendre mes intentions en lui roulant une pelle, mais dans l’état où il se trouvait, je crois qu’il ne comprit pas trop ce qui lui arrivait. Je décidais donc d’en profiter. Pendant qu’il comatait tout seul contre son mur, je me suis baissée, ai fait sauter le bouton de son pantalon, ai extrait son sexe de son caleçon. Là j’ai vérifié l’état de la chose, je n’ai rien contre les bites qui sentent un peu fort, mais il y a des limites quand même. ! Mais ça allait, et ce joli gland violacé me convenait parfaitement, je l’ai donc engouffré dans ma bouche, elle sentait un peu le pipi, juste ce qu’il faut… J’avais besoin d’être excitée, j’avais envie de le sentir éjaculer sur moi. Dans cette attente je relevais mon tee-shirt et fit sortir mes seins des bonnets du soutien-gorge. Je commençais à être très troublée, au fur et à mesure que sa queue se durcissait sur ma langue.

 

C’est alors que la porte s’est ouverte ! Complètement perturbée, sous l’emprise de l’excitation, je n’avais bien évidemment pas pris la précaution de fermer le loquet. Un garçon brun, avec lequel j’avais discuté un peu avant pendant la soirée avant de me rendre compte que c’était un abruti fini, a fait son apparition. Ses yeux se sont agrandis quand il nous a découverts, mais ne se décontenançant pas, il demanda :

 

– Heu, si ça ne vous dérange pas, je voudrais bien faire pipi, je ne peux plus me retenir

 

L’autre loque n’étant plus en état de répondre, je lui fais rapidement oui de la tête, avant de reprendre ma besogne.

 

– Heu, mais vous aller rester là ?

– Tu crois pas que je vais arrêter ce que je fais pour te faire plaisir, pisse, ne fais pas attention à nous !

 

Le mec hésite, incapable de savoir ce qu’il faut qu’il fasse.

 

– Heu, il faudrait peut-être vous pousser un petit peu ! Finit-il par dire

 

Je décidais alors de le provoquer, et abandonnant un instant la bite de mon épave, je me tournais légèrement vers l’importun, en me caressant vicieusement les mains sur ma poitrine.

 

– T’as qu’à me pisser dessus, j’adore ça !

– Mais vous êtes folle ! C’est dégoûtant !

 

La tête qu’il faisait, le mec était en pleine confusion mentale.

 

– Ecoute, si c’est dégoûtant, tu te casses de ces chiottes, tu sors dans la rue et tu t’arranges pour pisser contre un arbre…

– C’est vrai, vous aimez ça ?

– Allez dépêche-toi !

– Mais je vais en mettre partout !

– C’est pas grave, je finis ce que j’ai commencé et après je me sauve d’ici !

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Et puis, c’est parti tout d’un coup, voilà que je reçois son jet tout tiède sur les seins ! Hummm J’adore ça ! Je me les caresse en même temps, je me baisse un peu pour faire profiter mon visage de cette douche dorée, mais le mec ne comprend rien et baisse son jet, je suis donc obligée de lui dire que j’en veux aussi dans la bouche ! Il réalise enfin et j’avale un peu de son urine, je ne vous dis pas comme je suis excitée.

 

– Bon t’as fini ? Tu peux disposer !

 

Mais l’autre bien qu’il ait terminé son pipi ne partait pas, j’avais repris ma pipe mais je sentais ses yeux fixés sur moi, et sans doute sur ma bouche, qui allait et venait toujours sur la queue de ma brave loque. Je lui ai fait comprendre par un signe de la main que ce n’était pas pour lui, et qu’il devait partir maintenant, mais il m’a répondu  » non  » et a continué à regarder, comme çà, et çà l’excitait comme un petit fou, et alors qu’il aurait dû ranger sa pine depuis un moment, voilà qu’il se l’astiquait…. La situation commençait à m’énerver ! J’ai horreur de perdre le contrôle d’une situation. Et puis l’idée me vint comme ça, tout d’un coup :

 

– Bon tu te casses ou tu payes !

– T’es une pute ? lâcha-t-il

– Là, tout de suite, en ce moment, oui ! Alors ou tu payes et tu auras ta part de pipe ou sinon je laisse tout tomber et il n’y aura plus rien à voir !

 

Le mec fouille dans ses poches et sort un billet de 20 roros

 

– C’est tout ? J’en veux deux comme ça !

 

Il m’en file un autre ! Je ne vais quand même pas me gêner avec un mec qui est probablement plein de fric ? Alors je lui ai fait signe de s’approcher, j’ai lâché la verge de l’autre pour mieux pouvoir sortir celle de l’abruti brun. C’était la première fois que je me retrouvais avec deux garçons dans une telle situation, et avec deux queues à ma disposition ! Au départ, j’avoue que je n’ai pas trop su comment m’y prendre, mais bientôt, j’ai trouvé la méthode : je masturbais les deux avec chaque main, et j’allais et venais de l’un à l’autre avec ma bouche, afin de donner aux deux une égale quantité de fellation. Très excitée par cette situation que je vivais pour la première fois, j’ai donné tout ce que je pouvais, je les ai sucés à fond, le plus profondément possible. Ne pouvant vérifier l’effet de ma fellation sur la loque à gauche, j’observais mon abruti brun gémir, les yeux dans le vague.

 

Finissant par s’apercevoir que je le regardais, il s’est enhardi et a voulu reprendre l’initiative : comme il commençait à me malaxer les seins du mieux qu’il pouvait, je l’ai vite interrompu, repoussant sa main et lui faisant comprendre qu’il ne m’intéressait pas.

 

– J’ai payé, non ?

– C’est vrai, mais alors caresse gentiment, c’est des seins, c’est pas de la pâte à modeler…

 

C’est la loque qui a lâché le premier, j’étais en train de sucer l’autre quand j’ai senti l’orgasme arriver dans ma main gauche. Rapidement je me suis mise face à lui, et j’ai reçu quelques giclées de son sperme sur mon visage et sur ma poitrine. Là, il s’est effondré.

 

Je suis revenue sur l’autre, et ai pu me consacrer entièrement à lui faire une fellation du mieux que j’ai pu jusqu’à ce que je sente son orgasme monter. Là, j’ai conservé son sexe dans ma bouche et je me suis contentée de frotter très vite avec ma langue le dos de son gland du côté de son frein. Il a commencé à râler, et j’ai senti son sperme me gicler dans la bouche. Complètement partie, je l’ai avalé, et puis, je trouve que, même si ce n’est pas génial, le sperme n’a pas si mauvais goût que çà, alors j’ai fait l’effort de lui faire ce plaisir. Après s’être rhabillé, le mec m’a sorti :

 

– Si je te donne un peu plus, on pourrait peut-être aller plus loin ? Tu es bonne (çà, ça m’a fait plaisir.) et j’avais bien envie de toi (çà, ça ne m’a rien fait.).

– Oui, ben non ! Maintenant tu me laisses j’ai quelque chose à faire…

 

Il est parti, déçu… Mais tant pis, et puis je lui ai fabriqué un souvenir, ce truc là il s’en rappellera toute sa vie… En fait j’avais deux choses à faire, la première pisser à mon tour. La loque s’était carrément endormie sur le côté de la cuvette. Je lui pissais dessus n’épargnant pas son visage, mais cela ne fit même pas cesser ses ronflements. Je ne m’essuyais pas, puis je m’installais le plus confortablement possible sur la cuvette, les cuisses bien écartées, et commençais à me frotter la chatte avec mes doigts tout humide d’urine, l’autre main tordait fortement mon téton, l’excitation ne tarda pas à monter, ma main se concentra alors sur mon clito bien dur et tout sensible. J’essayais autant que possible d’étouffer le cri de jouissance qui montait dans ma gorge, et failli m’affaler à côté du poivrot. Je pris sur moi pour me lever, je réajustais plus ou moins mes fringues, mais les taches d’urine étaient partout… je sortis, me dirigeais vers l’endroit où j’avais laissé mon manteau et mon sac et disparut dans la froideur de la nuit…

 

Finalement cette soirée m’aura amusé et excitée au-delà de toute espérance ! Je dois être un peu spéciale quand même !

 

Malicia (et Christobal)

 

Une première version est parue en 1999 sous la signature de Lynn et sous le titre « Une soirée… » chez Sophiexxx, une seconde a été publié avec le même titre qu’ici en septembre 2000 sous la signature de Fabienne et jean sur le site de Revebebe puis archivée .C’est donc la version 3 que nous vous présentons ici.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:41

Un 5 à 7 chez Ellen par Marie-France

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Je me prénomme Angéla et je suis afro-américaine. Mes parents m'ont laissé orpheline alors que j'étais toute petite, et je n'en ai aucun souvenir. J'ai été élevé par ma tante et je crois bien qu'elle ne m'a jamais aimé, mais j'ai mis du temps avant de m'en rendre compte. Dès que j'ai eu ma majorité, je suis parti voir ailleurs, sans diplômes, sans expériences. Une amie m'avait généreusement prêté son petit studio qui serait libre quelques mois, le temps d'une mission au Mexique. J'avais également déniché un poste de serveuse dans un fast food, mais cet emploi à mi-temps et mal rémunéré ne pouvait me suffire.

 

Ne sachant pas faire grand-chose, je consultais les petites annonces et fus attiré par l'une d'entre-elles au titre curieux : 5 à 7 !

 

On demandait une femme de compagnie durant cette tranche horaire. Il fallait simplement avoir des compétences en tâches ménagères et aimer la lecture, précisait-on !

 

C'est ainsi que je me suis retrouvée employée chez Ellen Earl, une femme d'environ 40 ans. C'est une grande blonde décolorée, genre plutôt chic avec coiffure apprêtée, maquillage savant, lunettes fantaisies, et toute une collection de bagues, de bracelets et de collier. Quand elle m'a reçue dans son immense maison de la banlieue de Richmond, elle était en tailleur et chemisier blanc.

 

Ellen vit seule, manifestement elle ne travaille pas et j'ignore quelles sont ses sources de revenus. Elle passe son temps à faire du ménage, où alors elle s'enferme des heures entières dans sa grande chambre où est entreposée une partie de sa bibliothèque ainsi que son ordinateur, ses vidéos et sa chaîne hi-fi.

 

Mes activités ne sont pas très cadrées. Et en arrivant tous les jours à 17 heures, j'ignore comment vont se passer les deux heures que nous allons passer ensemble. Parfois je l'aide à faire son ménage, c'est une obsession chez elle, soit elle m'envoie faire des courses, soit je lui fais de la lecture ou même parfois, nous parlons simplement de tout et de rien. 

 

Les rapports avec mon employeuse étaient au début très distants, mais ils se sont compliqués avec le temps. D'un côté, elle me faisait une confiance absolue, notamment en m'ayant attribué un jeu de clé, ce qui me permettait d'entrer sans sonner. Mais aussi elle est devenue plus exigeante sur ma façon de m'habiller. Elle tient à ce que je vienne en robe ou jupe et m'interdit le port du pantalon. Elle me dit de rester féminine et il y a quelque temps, elle est intervenue en me demandant ce que je portais comme dessous. La question aurait été embarrassante, mais elle me demandait cela avec un tel naturel que je lui avouais ne pas porter de soutien-gorge.

 

- C'est malin, c'est comme cela qu'on se déforme la poitrine ! Et je suppose que tu n'as pas de culotte non plus ?

- De culotte, si bien sûr ! Répondis-je, gênée.

- Le lendemain, je mettais donc un soutien-gorge, estimant que s'il n'y avait que cela pour la contenter, ça ne me coûtait pas trop. En arrivant chez elle, Ellen elle me tendit un sac venant du magasin de lingerie.

 

Je déballais le petit paquet, et en sortit, très étonnée un joli soutien-gorge jaune en fine dentelle !

 

- Euh ! Vous m'avez acheté un soutien-gorge, il ne fallait pas, j'en ai acheté un de mon côté. Euh ! Je vous dois combien ?

- Rien du tout, c'est un cadeau !

- Un cadeau ? Mais pourquoi, je n'ai rien fait pour mériter un cadeau !

- Si ! Tu me plais bien ! Considère que c'est une sorte de prime ! D'ailleurs ce n'est pas grand-chose. En fait, je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Demain tu auras peut-être une surprise !

 

Voici une attitude qui m'étonnait un peu, mais cette personne se révélait comme très originale sur beaucoup d'aspect. Après tout, si cela lui faisait plaisir !

 

Le lendemain, je trouvais un cadeau sur la table de sa chambre. Je ne pensais pas qu'elle mettrait sa promesse à exécution et déballais, fébrile pour y découvrir un ensemble très joli bas noirs, culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelles mauves. Avant d'avoir pu me remettre de mon émotion, elle m'a demandée si cela me plaisait. 

 

- Tu vas l'essayer et me montrer, je suis sûre que ça devrait t'aller parfaitement, mais on ne sait jamais, je tiens à vérifier !

 

Me pliant à ses désirs, je suis allée dans la salle de bain afin de m'y changer. Je me regardais dans les miroirs, me disant que tout cela ne m'allait pas si mal que ça. Bizarrement ce que préférais c'était sans doute la culotte, dont la forme laissait échapper en le mettant en valeur le galbe de mes petites fesses. Puis, je suis réapparue devant elle en petite tenue afin qu'elle puisse juger du résultat. Elle m'a fait d'abord pivoter afin de m'observer sous tous les angles, puis s'est reculé un petit peu afin d'avoir une vue d'ensemble, reviens vers moi, et sans me demander mon avis elle se met soudain à me réajuster le soutien-gorge en remettant mes seins en place, à rectifier la place de la culotte sur mes fesses, et du porte-jarretelles, puis des bas légèrement torsadés au niveau des cuisses. Finalement, elle se déclare satisfaite et me demande de remettre ma robe. Nous avons passé le reste de la soirée à faire du rangement et à discuter de choses et d'autres. Curieuse bonne femme ! 

 

Le lendemain, elle m'attendait avec encore un cadeau. C'était une merveilleuse petite robe, toute simple et très légère. Elle l'avait choisie un peu trop courte, sans doute, le manque de coup d'œil sur ma taille car pour le reste, elle m'allait comme un gant. A l'essayage, elle n'a pas fait de commentaire sur la longueur, pourtant elle était si courte que je voyais l'extrémité de mes bas et les crochets du porte-jarretelles. Et le décolleté en carré découvrait mes seins, heureusement pris dans le soutien-gorge à balconnet, de sorte que cela pouvait aller. 

 

Elle m'a déclarée que cela l'amusait de m'habiller, qu'elle jouait comme pour habiller une poupée. Et qu'il ne fallait pas que j'offusque de ses cadeaux. Par contre, elle exigeait que je garde les habits qu'elle m'offrait pendant tout le temps du service que je faisais chez elle.

 

J'ai accepté, ça faisait un peu pute, ces trucs, ou tout du moins soubrette d'opérette, mais qu'importe, j'avais l'impression qu'Ellen ne recevait personne (du moins pas en ma présence), donc elle serait la seule à me voir ainsi !

 

Le dernier cadeau fut un ensemble jupe noire et chemisier blanc. Ce dernier très classique, n'avait que très peu de boutons et laissait un décolleté très sexy. La jupette était ultra courte, du genre portefeuille, sauf que le recouvrement du tissu était minime, voire inexistant, et chaque mouvement laissait voir mes dessous. 

 

Cette fois-ci, je n'étais plus dupe, Ellen à l'évidence ne se contentait pas de jouer avec moi à la poupée Barbie, mais m'entraînait lentement mais sûrement dans un jeu de rôle où elle serait la voyeuse et moi l'exhibitionniste de service.

 

Du coup, je me rebellais, et lui indiquai qu'il était hors de question que je porte des vêtements comme ceux-ci :

 

- C'est à prendre ou à laisser, Angéla, mais si tu laisses, tu perds ta place !

 

Puis elle tourna les talons et parti vers la cuisine. Bizarrement, je ne tenais pas à partir, je n'étais pourtant pas aux abois, j'aurais pu trouver facilement un petit job de remplacement, mais quelque chose d'indéfinissable m'attirait ici. Je lui courais après !

 

- Pardon, pardon ! Je m'habillerais comme vous voulez ! Je ne sais pas ce qui m'a pris !

- OK, ce sera 10 coups de martinet !

- Quoi ?

- 11 coups !

- Mais, enfin...

- 12 coups !

 

Je me tus, consciente d'être dans une impasse ! J'hésitais à présent, envisageant cette fois de partir pour de bon, mais attendant sa réaction. Elle se voulut rassurante :

 

- N'ai pas peur, je ne suis pas une brute, je ne vais pas te frapper fort, c'est juste pour le principe !

 

Elle me proposait une "sortie de crise" honorable, je m'empressais de l'accepter.

 

- Va me chercher le martinet dans le petit placard sous l'escalier, reviens avec, puis enlève ta culotte et soulève ta jupe !

 

Un peu fébrile, je trouvais rapidement l'instrument, m'étonnant qu'il soit si directement accessible, je le lui apportai et comme demandé, je me mis les fesses à nu !

 

- Il est joli ton petit cul de "blackette" ! Ce serait dommage de l'abîmer. Mais si tu recommence à me désobéir, la prochaine fois je frapperais plus fort.

 

Le premier coup atterrit, je poussais un petit cri, mais encaissais, c'était heureusement très supportable. Après le douzième, elle me fit remettre ma culotte et m'ordonna de nettoyer à fond la salle de bain et la toilette, et je ne la revis plus de la soirée.

 

J'étais assez circonspecte en rentrant chez moi. Mon trouble était certain. Non seulement Ellen se révélait voyeuse, mais elle voulait jouer à la dominatrice. J'avais eu l'occasion de voir sur Internet des images de domination avec des gens enchaînés dans toutes les positions, des pinces partout et des traces de flagellation sur toutes les parties du corps. Cela ne me disait rien que vaille ! Par contre une domination légère psychologique accompagnée de châtiments plus symboliques que brutaux. Hum... Pourquoi pas ?

 

J'avais donc pris l'habitude de me changer chaque fois en arrivant chez Ellen, soit avec l'ensemble jupe, chemisier, soit avec la robe qui entre-temps avait été transformé. Les échancrures ouvertes, elle était devenue une robe-chasuble, jusqu'au niveau de la poitrine, et chaque mouvement découvrait mon corps. Sinon mes occupations restaient les mêmes. Quant à Ellen si l'on excepte son regard appuyé, je ne sentis pas de changement dans son attitude avec moi. Mon travail terminé, je me changeais et quittais son domicile. Je m'habituais à travailler comme cela et ne faisait plus attention à ses regards. 

 

Jusqu'au jour où en arrivant, je ne trouvais pas ma petite culotte. J'allais dans sa chambre où je pensais la trouver. Elle y était effectivement... 

 

...Allongée sur son lit, les cuisses grandes ouvertes, Ellen se masturbait avec frénésie, ma culotte sur son visage. Elle ne m'a pas vue et je me suis retirée discrètement. J'ai attendu de ne plus entendre ses gémissements pour frapper cette fois et entrer comme si de rien n'était... 

 

tits-02Ellen avait repris une attitude normale et m'accueilli comme à son habitude. J'ai fait exprès de ne pas mettre de culotte et elle a dû tout de suite le voir avec ma robe chasuble qui ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Je faisais des mouvements amples et augmentais le déplacement du tissu, me tenais en face d'elle en travaillant, en évitant de joindre les jambes, bref je l'allumais. 

 

Elle me demanda alors de m'asseoir en face d'elle et de lui lire un bouquin que nous avions commencé depuis deux ou trois jours. Il s'agissait du dernier Patricia Cromwell. Elle m'interrompit un moment après que j'ai lu un passage :

 

- Ca ne m'étonne pas qu'elle écrive ça ! Tu savais que Patricia Cromwell était lesbienne ?

- Euh, non !

- Mais c'est ce qui lui donne cette sensibilité si particulière. De toute façon j'adore les lesbiennes.

 

Au moins le message était clair. Je ne relevais pas et continuais ma lecture. Ellen comme à son habitude s'était allongée sur une liseuse et fermait les yeux. En fait, je sentais son regard sous ses paupières mi closes. Au fur et à mesure de ma lecture, j'écartais doucement mes jambes et elle pouvait profiter de la vue de mon intimité. Elle ne m'a interrompue à aucun moment. J'avais les cuisses ouvertes et je passais ma main sur mon pubis et sur ma vulve, sans la regarder. J'étais comme nue devant elle. Je me suis arrêtée de lire, et je l'ai entendu me dire :

 

- Continue !

 

Ça voulait dire quoi ? Continuer de lire ou continuer de l'allumer ? Les deux sans doute ! Je décidais de n'en faire qu'à ma tête et tant pis (ou tant mieux) pour la punition, martinet ou autre qui risquait de me tomber dessus. J'abandonnais ma lecture, la regardais, ouvrais mes jambes en ramenant mes pieds sous mes fesses, et j'entrepris une véritable masturbation devant elle. Elle m'a regardé faire, sans commentaire et après que j'ai jouie, elle s'est levée, s'est approchée de moi et a passé sa main entre mes cuisses, sur mon minou et a senti ses doigts. Elle m'a fait lever, m'a caressé mes fesses, repassée sa main entre mes cuisses par derrière et toujours sans commentaire, m'a envoyé une énorme claque sur le cul, puis m'a ordonnée de partir sur le champ. 

 

- A demain, petite garce !

 

Le lendemain, je me suis présentée chez elle comme d'habitude, je me suis changée, ma culotte avait retrouvé sa place et suis allée à la rencontre d'Ellen, qui comme souvent devait se tenir dans sa chambre. 

 

Elle y était bien, mais pour la première fois depuis que j'étais à son service, elle n'était pas seule, une de ses amies lui tenait compagnie et semblait m'attendre.

 

- Angéla, je te présente Ashlyn !

 

Ashlyn était une petite brune frisée toute en rondeurs

 

- Ellen m'a parlé de toi, elle m'en a dit beaucoup de bien !

 

J'étais très gênée à cause de ma tenue, j'avais mis ma jupe et le chemisier. Heureusement que j'avais récupéré ma petite culotte ! 

 

- Approche, Angéla !

 

Je me suis approchée un peu craintive, Ashlyn me dévisageait. Tranquillement, elle entreprit d'ouvrir mon chemisier et de dégager ma poitrine. Je la laissais faire sans réagir, les bras le long du corps. 

 

- Ellen ne m'a pas racontée d'histoire, tu es très docile !

 

Je ne suis pas docile, je suis tétanisée, ce n'est pas pareil ! Mais le jeu ne me déplait pas J'avais le chemisier ouvert et elle me pelotait les seins complètement sortis de mon soutien-gorge. Des attouchements savants, parfois du bout des doigts, parfois à pleines mains. J'étais debout devant elle, qui était à moitié assise sur un fauteuil. Ellen en retrait regardait sans rien dire, semblant attendre l'appréciation de sa copine.

 

- Elle est pas mal, tu as fait du bon travail, Ellen ! Voyons la suite !

 

Elle m'a fait tourner, et passa sa main sur mes jambes très haut, puis sur mes hanches, et a fini par dégringoler ma culotte et me la retirer complètement. Elle me touchait, me tripotait, m'auscultait, me flattait comme elle l'aurait fait d'un petit animal et moi, je me laissais faire sans réaction, subjuguée. 

 

Je me suis retrouvée nue devant les deux femmes. Ellen me regardait avec des yeux bizarres et son amie continuait son inspection qui devenait très intime, presque médicale. Sauf que de temps en temps elle venait carrément m'agacer le clitoris ! 

 

Elle m'a ainsi fait mettre sur le dos pour une inspection vaginale complète, puis à quatre pattes pour un toucher rectal qu'elle aurait aussi bien pu faire lorsque j'étais sur le dos. Moi docile, j'ai tout accepté de cette femme, je ne me reconnaissais plus. 

 

Je suis restée nue devant elles un long moment avant qu'Ellen ne me dise de m'étendre sur la liseuse et de refaire comme la veille. 

 

Je me suis allongée, un pied par terre, l'autre sur le dossier et j'ai commencé à me toucher, mais ce n'était pas facile, comme ça, à froid. 

 

En me voyant dans cette position, Ashlyn s'est approchée et a commencé à me caresser les cuisses, à l'intérieur, tout en découvrant ses seins qu'elle frottait un moment sur mon ventre. 

 

J'ai commencé à me doigter doucement, alors les deux amies ont relevé leurs jupes, quitté leur culotte et devant moi, jambes ouvertes, cuisses écartées, m'ont imitée en me regardant. 

 

Nous avons jouie chacune de notre côté puis chacune d'entre elle est venue entre mes cuisses et m'a goûtée en posant directement sa langue sur mon sexe ouvert et humide de cyprine. Elles m'ont fait jouir chacune leur tour, sans pudeur et ont profitées de mon corps abandonné à leurs désirs les plus inavoués et les plus érotiques. Je suis devenue leur chose où elles exultaient leurs fantasmes les plus fous, les plus odieux aussi. 

 

Lorsqu'elles ont eu assez de mon corps, elles se sont rhabillées et m'ont ordonné de rester nue et ouverte devant elle, avec un sexe en plastique planté en moi et immobile. Je suis restée ainsi je ne sais combien de temps et par moment elles s'intéressaient à moi pour le remuer et essayer de me faire pousser des cris de jouissance.

 

L'heure de mon départ est arrivée, mais elles m'ont demandé de rester à leur disposition pour la nuit. Je fus invité à me mettre dans le lit. Elles se sont déshabillées chacune de leur côté et sont venues me rejoindre, j'étais au milieu et sentais leur corps chaud contre moi pour la première fois. 

 

© 2000 - Adaptée de l'anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 14/10/2001

 

Note : Ce texte est une traduction-adaptation d'un texte anglais anonyme. Une version non corrigée de ses fautes avait été publié il y a quelque temps sur Sophiexxx. (J'en ai repris certains passages en y apportant les corrections nécessaires)

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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