Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:30

Branlette au super marché, par Benoît de Macadamia

Voy

Je l’avoue, je suis voyeur. Oui j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire qu’en ce domaine je suis plutôt chanceux et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance » qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.

Je poussais tranquillement mon caddie dans une allée d’un super marché, il était 8 h 30 et à cette heure ce n’est pas la foule, j’étais donc seul dans cette allée que j’avais empruntée parce qu’elle était libre et dégagée, sans gondoliers en train de recharger les rayons, comme c’est souvent le cas. Je n’avais pas fait attention et je m’aperçu soudain que je déambulais entre des rangées de lingerie. Soudain une jeune femme arriva devant moi et, en tirant un mouchoir de la poche de sa veste, elle fit tomber des pièces de monnaie. Elle s’accroupit aussitôt pour les ramasser et là, mes amis, ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cachait pas grand chose et le fond en était si étroit que des mèches de poils passaient sur les côtés. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous glabres ou juste soulignés d’un trait de quelques poils, j’étais servi ! J’étais médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante… C’est le cas de le dire car je fus pris d’une érection spontanée.

 

L’une des pièces avait roulé jusqu’à mes pieds et, à peine relevée, elle s’en aperçut. Qu’allait-elle faire ? Contre toute attente, elle vint jusqu’à moi et s’accroupit à nouveau, mon sexe en eut un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle vit mon… « émoi ». Elle rougit, se releva vivement et disparut.

 

Je fis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible, et me pressai de sortir. Après avoir chargé ma voiture je remis le caddie en place… Au moment où mon inconnue ramenait le sien. Nos yeux se sont croisés. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

 

– Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable

 

Elle sourit en me disant qu’après tout cette réaction était normale car elle avait conscience que le spectacle qu’elle m’avait involontairement offert en était la cause. Comme elle ne manquait pas d’humour elle ajouta :

 

– J’espère pour vous que votre femme ou votre amie, sera là pour vous guérir ?

 

Quand je lui appris que j’étais divorcé et seul elle me dit :

 

– Mais alors ?

– Alors ? Eh bien je vais me débrouiller seul.

– Vous voulez dire que vous allez vous…

– C’est cela, répondis-je.

 

Elle me tint alors ce langage stupéfiant :

 

– Je suis fautive, même involontairement, en conséquence je vous dois réparation. Seulement, comme je suis fidèle, je ne puis vous offrir plus que ma main. Ma voiture est tout près, ses vitres noires nous mettront à l’abri des regards.

 

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Je la suivi, nous montâmes à l’arrière, j’ouvris ma braguette et sortis mon sexe hyper tendu qu’elle prit aussitôt en main. Cerise sur le gâteau elle releva sa robe pour me montrer le « corps du délit » et commença à me masturber, doucement pour commencer, puis elle accéléra son allure et me mena ainsi au plaisir, un plaisir sublime matérialisé par trois jets saccadés suivis de quelques gouttes.

 

Elle reçut une partie de mon hommage sur sa cuisse. Je pus m’apercevoir que sa petite culotte avait une tache sur le fond, elle mouillait. Je reprenais peu à peu mes esprits et elle ne relâcha sa prise que lorsque j’eus débandé.

 

– C’était bon ? me demanda-t-elle

– Merveilleux, répondis-je et j’ajoutai : « A présent, à chaque fois que je me procurerai ce plaisir, je penserai à vous ».

 

Et après nous être dit au revoir, sans plus, je suis sorti et j’ai regagné ma voiture, la tête pleine de musique.

 

Bonne branlette !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:26

Je t’ai déshabillée par Benoït de Macadamia

 

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Je t’ai déshabillée

Tu es maintenant nue

Tes remparts sont ôtés

Je vois tes seins, ton cul !

Bon Dieu que tu es belle

Offerte à mon plaisir !

Promis tu seras celle

De nous deux qui va jouir !

 

J’ai pincé ton téton.

J’en avais très envie,

tu m’avais dit « c’est bon !

j’aime quand tu me pétris ! »

Plutôt que des caresses,

toutes douces, toutes légères

j’appuie, je pince, je presse,

je malmène ta chair.

 

J’ai mis mes doigts en toi,

Et je l’ai caressé

L’intérieur tout laqué

De ton antre de roi.

Sucé le clitoris,

Léché toutes tes lèvres

Ca m’a donné la fièvre

C’était un vrai délice !

 

Je t’ai pénétrée loin,

Je me suis enfoncé

Dans ton puits tout mouillé.

J’ai limé avec soin,

Vite et puis doucement,

Je rentrais je sortais

Ton plaisir arrivait :

Tu l’as dit en hurlant!

 

J’ai écarté tes fesses,

Tu voulais cette caresse.

Tu l’as plus qu’appréciée…

…Et je t’ai enculée !

Mon vit dans ton anus,

J’en avais tant rêvé,

C’est fort, c’est bien serré…

Du plaisir ! Encore plus !

 

J’ai pissé dans ta bouche

(On dépasse les limites).

Tu me suçais la bite

Je t’ai donné une douche !

J’aime tout tes fluides

Ta pisse et ta cyprine,

Tu bois tous mes liquides

Mon sperme et mon urine.

 

Ai-je fait ou rêvé

Tout ce que j’ai décrit ?

Est-ce la réalité,

Etait–ce la vraie vie ?

Peu importe ! Je t’aime

Et je veux ton plaisir !

Le but de ce poème

C’est bien de nous faire rire 

poeme1429

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:21

Astronome amateur par Benoît de Macadamia

Voy

 

Ce texte date du temps pourtant pas si lointain où la photographie numérique n’existait pas. On photographiait sur une pellicule négative qu’on confiait ensuite à un magasin de photos qui envoyait ça à un laboratoire de développement. Puis on récupérait les tirages papiers quelques jours plus tard dans une pochette.

 

Les lumières de l’immeuble d’en face s’allumèrent au fur et à mesure que la nuit tombait.

 

Je me trouvais sur le balcon pour essayer de capter le peu d’air frais qu’il aurait été possible de trouver par cette chaude fin de journée d’été. Le ciel sans nuage découvrait peu à peu ses perles d’or. Les conditions étaient idéales pour faire quelques clichés de la voûte étoilée. Je sortis mon télescope et je commençais à préparer mon matériel photo. Les lumières d’en face commençaient à s’éteindre les unes après les autres. Le halo bleuté de quelques télévisions transparaissait en quelques points de la façade. Je fis la mise au point de mon appareil sur la façade afin de vérifier que l’ensemble était en état de marche. Je visais une fenêtre éclairée afin de vérifier la cellule de l’appareil.

 

En mettant l’œil au viseur, je découvris qu’il s’agissait d’une chambre. La télévision allumée projetait un film. Je fis la mise au point sur la télé. A ma grande surprise, je constatais qu’il s’agissait d’un film porno. Je balayais du regard l’espace de la chambre et trouvais enfin une jeune femme en chemise de nuit sur son lit. Elle n’était vêtue que d’une robe de chambre entrouverte sur son mont de vénus que caressait sa main droite. Sa main gauche glissait sur son sein droit, tandis que ses yeux ne quittaient pas l’écran.

 

Je déclenchais mon appareil. Il n’était plus question de chercher Vénus dans le ciel alors qu’elle se trouvait là en face de moi.

 

Petit à petit, le rythme de sa main s’accélérait et par curiosité je regardais à nouveau l’écran. Une blonde pulpeuse se faisait sucer par un mâle surdimensionné. Elle s’agitait sous la langue de son partenaire, qui s’immisçait dans les moindres recoins de son intimité. Le mâle partenaire la retourna pour la mettre à genoux et la prit en levrette.

 

Je retournai sur la jeune femme pour m’apercevoir qu’elle avait sorti tout un lot de godemichés de tailles variables et de crèmes lubrifiantes. Alors que l’étalon de l’écran avait commencé à pistonner sa partenaire, notre inconnue avait ressentie le besoin de sentir sa cavité vaginale pleine d’un sexe d’homme en plastique.

 

Elle prit l’un des membres artificiels qu’elle suça pour le lubrifier, avant de s’en fourrer. Bien que je ne pusse en percevoir la vibration, il m’apparaissait que les piles de l’engin entrèrent en action. Mon doigt fébrile s’était compulsé sur le bouton de mon appareil et la scène de la pénétration se trouvait captive dans mon boîtier. Des spasmes commencèrent à secouer la belle inconnue qui atteint là son plaisir ultime. Elle retira alors son partenaire mécanique pour goûter les liqueurs de sa jouissance solitaire. Je réalisai soudain que mon propre sexe était lui-même passablement excité. Je mis de côté la pellicule, me demandais si j’oserais la faire développer.

 

Quelques jours plus tard, poussé par la curiosité, je reportais mes appareils sur la fenêtre de la charmante inconnue, mais il faut croire que les miracles n’ont lieu qu’une fois, il n’y avait rien à voir, il en fut de même les fois suivantes, jusqu’à ce qu’un jour…

 

Des allées et venus dans sa chambre, elle n’était plus seule mais avec deux hommes, l’un parait assez jeune, l’autre avait les cheveux gris. La femme finit par s’asseoir, l’un des hommes, le plus vieux, invita son hôte à se relever et l’enlaça. Ses mains parcoururent sa croupe et je recommençai à déclencher mon appareil. L’homme ne fut pas long à lui ôter sa robe alors qu’il n’était déjà plus qu’en caleçon. La dame extirpa de celui-ci un vigoureux mandrin qui ne demandait qu’à s’évader. Tous deux enfin nus, ils se retrouvèrent sur le lit, tête bêche, chacun à sucer le sexe de l’autre. Leurs langues s’agitaient frénétiquement sur leurs gourmandises respectives. L’homme écartait les fesses de la femme et sa langue allait de l’un à l’autre de ses trous divins. La femme gobait ce joli pénis qu’elle masturbait de ses deux mains. Elle changea alors de position pour s’enfiler ce sexe humide de salive, après l’avoir recouvert d’un morceau de latex. Elle chevauchait l’homme, qui accompagnait son mouvement en la tenant par les hanches. La femme haletait de plaisir et son corps se cambrait sous l’effet de la jouissance à venir. Elle se figea, soudain saisie par l’orgasme qui la traversait. Elle se retira, épuisée alors que l’homme n’avait pas joui.

 

C’est alors que le jeune apparut dans mon champ de vision. Il semblait fort joyeux et s’approcha du lit. Et c’est à ce moment-là que l’extraordinaire se produisit : Alors que la femme avait repris en bouche le sexe de l’homme aux cheveux gris, le jeune vint la rejoindre et se mit à son tour à sucer ce fort joli sexe.

 

L’insolite de la situation, alliée à la réminiscence de vieux fantasmes bisexuels, me provoqua une érection de compétition.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. L’homme jeune se releva avant de s’installer en levrette sur le lit. Quelques instants après, l’homme aux cheveux gris l’enculait d’un assaut viril et assez bref au terme duquel il s’écroula sur lui.

 

 Daria astro

Je n’en pouvais plus et me masturbais hardiment, sans toutefois rechercher la jouissance. Je pouvais, en effet espérer une suite au spectacle puisque le jeune n’avait pas joui.

 

Cette fois la femme et l’homme aux cheveux gris se mirent à leur tour en levrette, côte à côte. Le jeune commença par enculer la femme, puis vint se « finir », dans le cul de l’autre homme.

 

Pratiquement au même moment mon sexe libéra un impressionnant jet de sperme.

 

Quelques jours après, je confiais mes deux pellicules, non pas à la boutique photo où j’avais mes habitudes, mais dans une autre, où je n’avais jamais mis les pieds mais qui n’était pas très loin de mon domicile…

 

J’allais chercher mes tirages quelques jours plus tard.

 

Que ne fut pas ma surprise de découvrir que la vendeuse n’était qu’autre que l’inconnue qui était sur les photos. Le monde est petit parfois.

 

– « No 80921, oui je les ai reçues, je me souviens ».

 

Je rougissais au fur et à mesure que ses doigts triaient les pochettes de photos.

 

– « Nous les avons reçues ce matin. Les voilà ! Vous prendriez bien des pellicules 800 ou 1600 ASA avec cela pour vos photos de nuit ajouta-t-elle avec un clin d’œil ».

 

Je ne savais plus que faire et de stupeur laissai tomber la pochette. Je sortis de mon portefeuille un billet pour payer, ramassais la pochette bredouillait une vague excuse et me précipitai hors du magasin en oubliant ma monnaie.

 

Dans la rue j’ouvrais nerveusement la pochette, je feuilletais les clichés et découvrait des photos… d’oiseaux. C’était donc une erreur ! Un petit mot était glissé.

 

– Monsieur, écrivait-elle. Vos photos sont fort réussies, mais je les ai conservées ainsi que les négatifs, j’espère que vous apprécierez les charmants petits oiseaux que j’ai mis en remplacement. Ce que vous avez fait est interdit je passe pour cette fois, mais ne vous avisez pas de récidivez ! Si toutefois vous désirez consultez ces photos, cela reste tout à fait possible, mais il faudra venir chez moi. Mais ce sera un jour où je recevrai mes amis, et il vous faudra accepter de vous faire enculer. Mon téléphone est 06 23…. »

 

Qu’est-ce qu’elle croit ? Que je vais me dégonfler ? Il est quelle heure ? 5 heures et demi, je peux dormir encore un peu… Mais ce rêve… Quel rêve… Et quelle trique !

 

Fin

 

PS : Je n’ai jamais fait développer ces photos.

 

Ce texte est le rewriting d’une histoire publiée sur feu le site de Sophiexxx à la fin du siècle dernier. Il ne portait aucune signature et était curieusement titré « baiser de vipère »

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 07:59

Prière callipyge par Honoré Letellier

 

 

culmat

 

 

Je te salue, oh divin cul !

Toi qui a créé tant de cocus.

Accepte que ma main caresse

La courbe de tes fesses

Et que ma langue vienne lécher

Ton petit trou ambré !

Letellier3110b

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises."

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Honoré Letellier
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Dimanche 11 juillet 2021 7 11 /07 /Juil /2021 16:32

Fureurs utérines de Marie-Antoinette, femme de Louis XVI

Pamphlet anonyme

 

marquise stamp

Polignac est plus belle, et La Mothe est moins large

En pareil cas, l’étroit vaut mieux que la beauté.

Partageant ses chaleurs entre l’homme et le femme

Pour certain cardinal elle entre en passion

Rohan tout glorieux d’une aussi belle flamme

Fait avec ses catins bientôt diversion

Ne quitte plus la cour, à la bonheur de plaire

Obtient une entrevue, à chez la reine accès

Couche enfin avec elle et la rend bientôt mère.

 

Toinette02

 

Un extrait des « Fureurs utérines de Marie-Antoinette, femme de Louis XVI » (l’auteur ne manque d’ailleurs pas de préciser : La mère en proscrira la lecture à sa fille…!), publié en 1791

 

Le texte fait référence explicite au cardinal de Rohan, à la Duchesse de Polignac et à comtesse de La Mothe.

 

Texte complet ici : link

 

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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