A l’hôtel des trois michés par Honoré Letellier

A l’hôtel des trois michés

A l’hôtel des trois michés

Elles ont toutes leurs spécialités

Une simple coucherie ?

Demandez Eugénie

L’amour avec la bouche ?

Demandez Minouche

La branlette manuelle ?

Demandez Isabelle

L’amour entre les nichons ?

Demandez Fanchon

Vous aimez le trou à crotte ?

Demandez Margotte

Des choses avec les pieds

Demandez Josée

Un doigt dans le troufignon ?

Demandez Manon

Une feuille de rose ?

Demandez Marie-Rose

Boire une bonne pisse ?

Demandez Bérénice

Recevoir une belle crotte ?

Demandez Charlotte

Un duo de coquines ?

Demandez Berthe et Augustine

Quelques fessées ?

Demandez Aglaé

Un monsieur en supplément ?

Demandez Cécile et Armand

Et si voulez qu’on vous étonne

Demandez la patronne

Mais si c’est l’amour que vous voulez

Vous pouvez vous branler

L’amour ne s’achète point

Au bordel du coin

Mais rien n’empêche de s’amuser

A l’hôtel des trois michés.

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises

Madame de Tabarin est une putain par Honoré Letellier

Madame de Tabarin est une putain

Ah, Charlotte, ma douce soubrette

Aux seins tous ronds et à l’aimable minette,

Madame de Tabarin est une putain !

– L’avez-vous-bien baisé au moins ?

– Non, Cela s’est passé différemment,

Elle m’a fait retirer mon habit prestement,

Puis allongé sous sa chaise percée

En haut de mon nez je voyais

Ses grosses fesses dodues

Et le petit trou de son cul

Plusieurs fois elle produit des pets

Me flanquant son odeur dans le nez

Puis elle s’ouvrit

Un étron sortit

Se détacha pour de bon

Et tomba sur mon front

De bon cœur, je le léchais

Et ne le trouvais point mauvais.

Il a fallu qu’ensuite je lui nettoie le trou

Car de sa merde, il en restait beaucoup

Puis je suis sorti de la chaise.

Malgré tout le cœur à l’aise

– Et vous n’avez donc point baisé ?

– Non, un de ses valets l’a enculé

Devant mes yeux étonnés

Puis m’a donné son chibre à sucer

Je n’ai point éjaculé

Mais suis encore très excité !

Donne-moi donc tes fesses

Que je te fourre en vitesse

– Pour vous, ce sera cent sous , monsieur le marquis

Mais, je vous en prie, montrez-moi votre vit !

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises

Ah, comtesse ! par Honoré Letellier

Ah, comtesse !

– Ah, comtesse, me voici dans l’embarras !

Moi qui venait me faire lécher mon vit

Et jouir fortement entre vos doux bras,

Il s’avère que vous êtes entre amis !

– Restez, Suzanne est bonne suceuse

Et Armand contentera votre séant

En vous pédiquant de son gland brillant

Vous regarder ainsi saura me rendre joyeuse

Et ma main capricieuse touchera mon bouton

Quand je me ferais flageller par Fanchon

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises