Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:37

Harcèlement sous contrôle par Alexis Defond-Rossignol

 

stamp roussecoc

Mélanie était une très jolie jeune femme de 29 ans qui travaillait depuis trois semaines en tant que secrétaire pour Maitre Latrick, associé d’un important cabinet d’avocats. Elle partageait son bureau avec une autre secrétaire, Gina, une petite blonde mamelue. Le cabinet était surchargé de travail et les effectifs étant insuffisants, les heures supplémentaires s’enfilaient comme des perles. Néanmoins, elle se plaisait bien dans ses nouvelles fonctions et espérait qu’on la garderait longtemps

 

Beaucoup d’avocats l’avaient remarqué, une belle rousse portant lunettes, aux jambes interminables, avec de beaux yeux verts de chat qui ornaient un joli visage au teint d’ivoire, ses formes voluptueuses ne laissaient personne indifférents. Elle s’habillait très classique, mais on pouvait supposer aisément ce qui se cachait en dessous.

 

Maître Latrick, homme d’une quarantaine d’années, qui savait se montrer charmant, conscient de la beauté de sa nouvelle secrétaire et amateur de sexe, s’était promis que bientôt il la mettrait dans son lit… Il ne faisait que penser à elle, et il bandait. Marié à une femme pas très chaude au lit, ce soir il avait vraiment envie de se faire sa voluptueuse secrétaire.

 

– Mélanie, (en pesant sur l’interphone) venez dans mon bureau !

– Oui monsieur j’arrive

– Mélanie, j’ai besoin de vous ce soir, le dossier Bandapène n’est pas terminé et il faut que je le finalise ce soir, j’espère que vous êtes libre ?

– Oui, monsieur pas de problème.

– Si ça s’éternise nous nous ferons livrer quelque chose à manger et après on finira le boulot !

– C’est très bien.

 

Sans l’avouer Mélanie avait depuis trois semaines développé une certaine attirance pour Maître Latrick et était secrètement contente de rester avec lui ce soir.

 

A 17 heures, elle rassembla une partie de ses affaires et se dirigea vers le bureau de l’avocat.

 

– A demain ! Dit-elle à Gina !

– Je vais rester encore un peu, je suis débordée. Répondit cette dernière

– Moi, je vais chez Latrick, il a besoin de moi !

– Fais gaffe à ta culotte !

– Pardon ?

– Non, rien !

– Je sais me défendre, tu sais ?

– Mais je n’en doute pas !

 

Et donc pendant deux heures, ils travaillèrent d’arrache-pied, et terminèrent plus tôt que prévu.

 

– Nous avons très bien travaillé ! Dit Maître Latrick en se levant et s’installant dans le fauteuil de cuir. Venez donc vous assoir ici !

 

Mélanie pris place, un peu timidement et Maître Latrick commença à lui poser plein de question indiscrètes :

 

– Vous êtes seule dans la vie, Mélanie ?

– Non, je vis avec un copain, Monsieur !

– Vous pouvez laisser tomber le « monsieur » Répondit-il en lui frôlant sa cuisse contre la sienne. Parce que j’ai d’autres projets très intéressants pour vous !

– Ah ?

– Tu aimes travailler ici ?

– Je ne me plains pas !

– Tu veux garder ton travail ?

– Bien sûr !

– Alors il faut être très très obéissante, les secrétaires ici doivent obéir aux doigts et a l’œil.

 

Ce discours rendit légèrement mal à l’aise Mélanie qui tortillait dans le fauteuil

 

– Mais je suis sûr que tu vas aimer ! Précisa-t-il en lui caressant les cheveux. Si tu es gentille, je vais l’être beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantage plus que substantiels ! Tu me suis ?

– Hum, pas vraiment monsieur.

 

Alors l’avocat changea de ton :

 

– Alors je vais être plus clair, cela fait trop de semaines que je vois tes gros nichons se promener sous mes yeux, et je bande comme un taureau à chaque fois, je vais bien te baiser et après je pourrais me concentrer sur mon travail !

 

Mélanie devint blanche comme un craie mais parvint à articuler :

 

– Vous allez trop loin, Monsieur !

– Que voulez-vous dire par là, Mélanie ?

– Que ça ressemble à du harcèlement sexuel !

– Mais, non ! Je ne vous veux aucun mal !

– Quand même, il y a des lois…

– Certes, mais ne mélangeons pas tout ! Je vais vous rassurez ! Gina, venez un instant ! Dit-il en activant son interphone.

 

Gina fut là rapidement

 

– Gina dite-moi devant Mélanie ! Ais-je déjà harcelé quelqu’un ici ?

– Pas à ma connaissance, en tout cas !

– D’ailleurs, est-ce mon genre ?

– Je ne pense pas !

– Et puis je suis doux comme un agneau, n’est-ce pas Gina ?

– Vous n’êtes pas méchant, juste un peu macho peut-être !

– Bon, merci, vous pouvez retourner travailler.

– Si vous avez envie que je vous suce la bite, je suis encore là pendant une heure.

 

Mélanie comprit qu’en cas de complications, toute plainte serait vaine, faute de témoins même indirects. Alors que faire ? En sachant qu’une posture de résistance serait de nature à lui coûter sa place.

 

– Embrasse-moi Mélanie !

– Euh…

– Rien ne t’y oblige !

– Mais vous ne me garderez pas ?

– Ouvre la bouche ma belle, donne-moi ta langue, au lieu de dire des bêtises, un petit bisou ça n’engage à rien.

 

L’homme approcha ses lèvres, Tremblante Mélanie accepta ce baiser tandis qu’il lui pétrissant ses gros seins par-dessus son chemisier, sa main trouva les boutons qu’il arracha presque et sa main toucha à son soutien-gorge de dentelle.

 

– Mais que vois-je ? Un soutien-gorge de pute ! Hum tu caches bien ton jeu ! S’écria-t-il en le lui massant à pleines mains.

 

Il détacha le tout, se saisit des jolis globes et les soupesa.

 

– Hum…il sont beaux avec tes gros bouts prêts à se faire téter, hein ? Dit-il en lui pinçant les mamelons.

 

Mélanie soupira et contre toute attente se sentit envahi d’un certain trouble.

 

– Tu aimes que je te les maltraite hein ? Petite cochonne ! Ajouta-t-il en les lui prenant encore plus serré dans les mains, il massa, pressa, titilla ses bouts ressortis par l’excitation, la bouche pleine, il laissa vagabonder sa main sous sa jupe

 

– Hum c’est chaud par-là !

 

Il pressa à pleine paume sur son pubis et entra sa main dans la culotte de sa secrétaire.

 

– Oh…mais tu es toute mouillée ma cochonne, si tu voulais te faire tripoter avant fallait le dire, j’adore les petites vicieuses dans ton genre !

 

Mélanie la tête renversée haletait, il la caressait avec délice, et les mots vulgaires que lui disait l’avocat l’excitait à sa grande honte. Il remonta sa jupe de manière qu’elle se retrouva roulée à la taille, il descendit sa culotte et son collant, il se leva s’agenouilla en face d’elle assise sur le canapé et commença à fouiller de sa langue sa chatte trempée, il retira sa langue pour lui enfoncer son index énergiquement dans le vagin

 

– Tu aimes, hein ? Je vais bien te la lécher ta grosse chatte toute juteuse ! Dit-il en faisant glisser son index et deux autres doigts, elle haletait.

 

Trois doigts dans sa chatte, une bouche qui se promenait de son mamelon à son clitoris. Alors tout d’un coup, elle inonda les doigts de son patron et gémit très fort.

 

– Mais tu jouis, petite salope ! Maintenant que tu as bien joui, tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche, viens me sucer :

 

Il se mit debout, défit son pantalon, sortit une jolie queue, pas très longue mais bien veinée, posa sa main sur sa bite et décalotta le gland violacé. Il dégagea également deux grosses couilles velues

 

Melanie2

– Elle te plait ma grosse queue ? J’en suis sûr, les petites cochonnes dans ton genre aiment bien les grosses queues toutes dures, mets-toi à genoux et suce ma belle bite.

 

Mélanie se mit à genoux, quasiment dans un état second, mais prête à l’action. La bonne pine de son patron lui emplit la bouche, à chaque coup de rein de celui-ci, son gros gland allait jusque dans sa gorge, son patron la baisait dans la bouche, et gémissait comme un fou.

 

– C’est ça, suce, suce bien, caresse-moi les couilles en même temps, hum c’est bon, tu fais ça trop bien ! Ton copain, il a une aussi grosse queue ?

– Himmpf humpf

– Hein ?

– Ça ne vous regarde pas, cher monsieur !

– Bon, ça va ! Et d’abord on ne parle pas la bouche pleine ! Répondit-il, en donnant de plus grands coups dans sa bouche chaude.

 

Mélanie continua.

 

– Encore ! Je trouve que tu es très douée, plus douée que Jessica, et Katy (les deux autres secrétaires), Gina, elle a davantage d’expérience mais en ce qui te concerne, ça viendra j’en suis sûr. Continue, ne t’arrête pas, c’est bon !

 

Puis après quelques courtes minutes :

 

– Arrête, sinon je vais tout lâcher, couche-toi sur le bureau !

– Quand même, monsieur !

– Au point où t’en es…

– Certes !

 

Elle, jupe retroussée à la taille, chemisier entrouvert se couchant sur le bureau, lui restant habillé avec seulement sa grosse queue dressée dépassant de son pantalon ils formaient un tableau des plus excitant.

 

Il lui écarta les jambes, sa mouille dégoulinant sur ses cuisses, il promena son gland sur son clitoris et ses lèvres.

 

– Tu la veux hein ? Tu veux te faire mettre, petite cochonne ! Tiens prend bien ma pine !

 

Dans un mouvement de hanche rageur s’enfonçant dans sa moiteur, il s’arrêta rendu au fond et savoura la sensation, puis repris son mouvement

 

– Oh, oui salope, tu aimes ! Dis-le !

– Oh oui c’est bon ! Je suis une salope, une pute, une morue, tout ce que vous voulez !

 

Il remonta ses jambes verticalement, et la baisa furieusement, grognant il la limait en lui pétrissant ses gros seins, et elle approchait doucement de l’orgasme, il stoppa, et lui dit :

 

– Retourne toi, appuie-toi sur le bureau et ouvre bien les fesses !

– Non pas ça !

– Arrête de faire ta jeune fille, pour l’instant je t’ai donné du plaisir, alors on va continuer ! Faut avoir confiance ! Je vais te faire jouir comme jamais !

 

Il lui lécha l’anus, et Mélanie y prit plaisir

 

– Humm, le goût de ton cul est divin, ça me rend fou !

 

Il lui introduisit un doigt dans l’anus et le fit aller et venir, ce qui fit frissonner la belle Mélanie, il se le lécha ensuite avec un ravissement visible.

 

Il prit de la mouille de ses cuisses pour enduire son petit trou, et promena une dernière fois son gland sur sa chatte pour bien le lubrifier, appuya son gland sur l’anus et commença à pousser

 

– Ouvre-toi, oh oui, hum tu es très étroite, j’adore, ton copain ne t’encule pas ?

– Ça ne vous regarde pas ! Répondit Mélanie qui avait de la suite dans les idées.

– Impertinente avec ça ! Tu vas voir, tu vas adorer !

– Ne me faites pas mal !

– Mais non !

 

Le gland entré il poussa davantage sa queue, petit à petit il fut rendu au trois quarts et commença des petits va-et-vient en râlant et poussa pour entrer complètement puis procéda par des poussées plus énergiques, Mélanie commença à apprécier

 

– Tu aimes hein, petite vicieuse, je le savais, ton petit trou serré a l’air d’adorer ma grosse queue, ohhhh oui c’est bonnnnn !

 

Agrippé à ses gros seins et lui pinçant les bouts, il lui martelait le cul très énergiquement en l’insultant

 

– Toutes les mêmes, on leur touche un sein, et hop elles ouvrent leur cul à la première bite venue pour se faire défoncer, elles adorent, gggrrr, oh… ouiiiiiiii… je vais venir…

 

Brusquement il la fit se relever et s’agenouiller sur le tapis et entra sa queue dans sa bouche, et vida ses couilles à moitié dans sa bouche et sur son visage…

 

– Tiens avale, tu me vides salope, prends tout…ohhhh ouiiii…. éructa-t-il en éjaculant une quantité phénoménale de sperme et gémissant jusqu’à alerter l’immeuble entier.

– Je peux avoir un kleenex, s’il vous plait !

– Tu n’avales pas ?

– Jamais la première fois !

 

Il lui tendis un mouchoir en papier, puis lui tendis une enveloppe.

 

– Voilà, puisque toute peine mérite salaire !

 

Elle chercha une réplique assassine mais n’en trouva pas et accepta l’enveloppe sans en examiner le contenu.

 

– Maintenant si tu veux te venger, j’ai ceci !

 

Et il sortit d’un tiroir un martinet et un gros godemiché.

 

– Vas-y je me laisse faire, fais-moi tout ce que tu veux !

 

Mélanie fut surprise de cette proposition et n’était à priori pas chaude pour cette prolongation de séance d’autant qu’elle n’était guère familière des pratiques de domination.

 

– Non, on en reste là, je fatigue un peu là ! Et puis il aurait fallu une autre enveloppe ! Ajouta-t-elle en se disant que l’argument serait de nature à décourager l’homme.

– Mais c’est prévu ! Répondit-il

 

Au pied du mur, Mélanie se dit alors « pourquoi ne pas essayer ? »

 

– Alors d’accord ! Mais avant faut que j’aille faire pipi !

– Pisse-moi dessus !

– Ah ! Oui ! Mais ce sera dans la bouche, mon salaud !

– Pas de problème, j’adore boire.

 

Les deux « amants » se déshabillèrent complétement.

 

– Euh on met quelque chose par terre ? Demanda Mélanie.

– Je n’ai pas l’article, mais on va faire ça aux toilettes. Allons-y !

– Comme ça ? A poil ?

– Mais oui, tout le monde est parti !

 

Ils sortirent dans le couloir et c’est à ce moment-là que Gina sortit des toilettes.

 

– Ho ! S’écria Mélanie essayant tant bien que mal de dissimuler sa nudité de ses mains.

– Bonsoir les nudistes ! Lança Gina d’un air rigolard. Bonne fin de soirée, moi je ne vais pas tarder de rentrer à la maison.

– Bonsoir Gina ! Répondit simplement Maître Latrick.

 

Mélanie attendit que sa collègue ait disparu pour réagir.

 

– Bon, on va peut-être arrêter tout ça ! Je suis morte de honte !

– A cause de Gina ! Elle en a vue d’autres et c’est une brave fille, ne t’inquiète donc pas.

– Vous êtes sûr ?

– Mais oui !

 

Ils entrèrent dans la petite cabine, et sous les conseils de l’avocat, Mélanie s’assit sur l’avant cuvette.

 

– Vas-y pisse moi dans la gueule et n’ai pas peur de m’insulter, ça me fait bander.

– Je bloque !

– Tire la chasse d’eau, ça va t’aider !

– Ça y est, tiens, bois toute ma pisse, espèce de sale pervers.

 

Maître Latrick ouvrit une large bouche et avala plusieurs rasades de la bonne urine de la secrétaire. Il en bu tellement qu’il finit par avaler de travers et de mit à toussoter.

 

– Ce n’est rien, ça pas passer.

– On en a mis plein par terre !

– Bof, la femme de ménage s’en occupera demain matin.

– T’es gonflé quand même, c’est pas ta bonne !

– Chacun son boulot, tiens ça me fait penser qu’il y a longtemps que je ne l’ai pas tringlé celle-ci !

– Tu tringles tout le monde, toi ?

– Non quand même pas tout le monde !

– Et si je te faisais nettoyer ?

– Je suis à tes ordres !

– Alors nettoie !

 

Maître Latrick se baissa après s’être emparé de plusieurs feuilles de papier toilettes et se mit à éponger la flaque d’urine. Ce faisant il offrait à Mélanie une jolie vue de son fessier. Subitement elle eut envie de gifler ce cul qui la provoquait.

 

– Allez nettoie mieux que ça ! Vieux vicieux libidineux. Tu t’es régalé avec ma pisse, la prochaine fois je te chierai dessus.

– Oh, oui ! Quand tu veux !

– Dégoutant personnage ! Tiens, ça t’apprendra ! Ajouta-t-elle en lui claquant les fesses.

– Oh vas-y bat moi ! J’ai été très vilain !

 

Encouragée elle continua sa fessée, jusqu’à s’en faire mal aux mains.

 

– Ça y est ? T’as tout nettoyé ! On va retourner à ton bureau, je vais essayer ton martinet.

– 50 coups, et pas trop fort, sinon je vais avoir du mal à m’assoir ! Précisa-t-il une fois revenu dans les lieux.

– Ah ! Je vois, Monsieur est douillet !

– Non, mais faut que ça reste un jeu !

– Admettons ! Consentit Mélanie qui maîtrisa sa frappe mais s’excitait considérablement en rougissant plus que de raison les fesses de l’homme de loi.

– Et maintenant encule-moi avec le gode !

– Je vais me gêner, tiens !

– Il faut mettre une capote et puis un peu de gel aussi !

 

Elle fit comme il lui disait, puis introduit l’objet dans le rectum de l’avocat après avoir activé le petit vibrateur intégré. Puis elle fit aller et venir l’objet pendant que l’homme se pâmait.

 

– Tiens ! T’aime ça te faire enculer, hein ma salope ?

– Oui, je suis un enculé, un suceur de bites, un buveur de pisse…

– Rien que ça ?

– C’est déjà pas mal !

– Tu l’as déjà fait pour de vrai ?

– Ben oui, faut pas mourir idiot !

– Et tu bandes comme un salaud ! Tu crois que tu vas me baiser une nouvelle fois ? Mais tu rêves mon connard !

– C’est si doux de rêver parfois !

– Poète en plus ?

– Oui, je suis multifonction !

– N’importe quoi !

– Je vais te dire un truc, avec les conneries que tu me fais faire, je mouille comme une fontaine. J’aimerais bien que tu t’occupes de moi, ça m’éviterais de me palucher toute seule.

– Je croyais que tu ne voulais plus baiser ?

– Qui t’as parler de me baiser, par contre tu peux me lécher.

– Stop ! Dit alors Maître Latrick.

 

Mélanie ne comprend pas

 

– Tu n’as pas tout compris, tu croyais sans doute que tout ce que tu m’as fait subir allait reste impuni ?

– Mais, c’est vous qui m’avez demandé…

– Bien sûr mais ce n’est pas une raison.

– Bon, on va peut-être arrêter tout ce cirque…

– Ce serait dommage, excitée comme tu es, tu ne vas pas rester comme ça ! Dis-moi tu ne t’es jamais fait lécher la chatte par une femme ?

– Certainement pas, je ne suis pas gouine !

– Ce n’est pas la bonne réponse !

– Qu’attendiez-vous comme réponse ?

– Que tu me dises simplement que si tu ne l’a jamais fait c’est parce que tu n’en a jamais eu l’occasion !

– Mais enfin, je n’ai pas envie…

– Je ne te prends pas en traitre, je voulais te montrer comment ça se passe ici, je te réappelle que les avantages sont substantiels, je ne suis pas avare d’enveloppes.

– Autrement dit, si je refuse d’aller plus loin, vous ne me garderez pas !

– Et je le regretterai ! Et arrête de faire ton cinéma, Gina va juste de lécher, tu n’en mourras pas.

– Et après faudra que la lèche aussi ?

– Pas forcement aujourd’hui, mais ça me semble aller de soi.

 

Et maître Latrick appela Gina.

 

– Avant de partir, tu vas lécher Mélanie.

– Avec plaisir ! Faut-il que je me déshabille ?

– Ben oui, pour le fun.

 

Mélanie, résignée, s’affala dans le fauteuil visiteur, écarta les jambes, ferma les yeux et attendit que Gina vienne lui butiner la chatte.

 

Elle fut agréablement surprise de la façon dont pratiquait la petite blonde, elle fut très vite envahie de frissons, elle se mit à gémir de plus en plus fort et quand Gina attaque son clito, elle gueula comme un putois.

 

Gina lui offrit ses lèvres, elle ne les refusa pas.

 

Après avoir joui, elle resta quelques instants dans un état second, en sueur, les cuisses trempées. Maître Latrick était allé se poser dans un coin et finissait de se masturber frénétiquement.

 

– Je te paie le restau ! Lui proposa-t-il.

– Attends, je ne suis pas présentable, il me faudrait prendre une douche et mon maquillage est tout destroy.

– Et bien remaquille-toi, je ne suis pas pressé ! Par contre ici il n’y pas de douche… Mais, toi ton copain va t’attendre.

– Je t’ai déjà dit que ce genre de choses ne te regardaient pas !

– Bon, bon ! On fait comme ça alors ?

– Mais bien sûr !

– Dis-moi ! Vendredi on fait une petite boum avec quelques collègues, il y a aura Gina et d’autres… On t’invite ?

– Il y aura une enveloppe ?

– L’argent, l’argent ! Tu ne serais un peu vénale, toi ?

– Un peu vénale ? Même un peu pute, n’ayons pas peur des mots ! Disons que c’est nouveau pour moi, mais après tout pourquoi pas ?

– Je crois qu’on va bien s’entendre ! Je te ferais sucer la bite de tous mes clients.

– Je vais m’acheter une grosse tirelire, alors !

 

Adaptation d’une nouvelle paru en 2000 sur le site de Sophiexxx, sous le titre « Apprentie secrétaire » et signée Volupty. elle a été pour la présente édition corrigée, débarrassée de ses incohérences et complétée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:33

Une bonne bière pour finir

par Alexis Defond-Rossignol

 

stamp transblack

 

C’était un soir où ma femme était en déplacement, une envie de sexe me démangeait, je fouillais dans mon carnet d’adresse et retrouvais les coordonnées d’une vieille connaissance, une plantureuse transsexuelle brésilienne black qui se faisait appeler Greta. Une très jolie créature avec un visage de rêve, de jolis seins, un cul d’enfer et une bite à tomber. Je l’avais rencontré trois fois, des rencontres vénales mais respectueuses et correctes. Elle est un peu dominatrice, juste un peu.

Je l’appelle, elle a l’air ravi de m’avoir au bout du fil et me dit qu’elle est avec une copine, mais que ça ne fait rien, elle m’accueillera volontiers…

 

Une douche vite fait, je prends le métro et me voilà chez elle. Elle se présente devant moi toujours aussi excitante habillée d’une petite nuisette bleu semi transparente.. Elle m’offre à boire et me présente sa copine, Sarah une jolie trans elle aussi, visage très ovale et peau couleur de café au lait habillée d’un joli kimono à fleurs.

 

– Je t’aurais bien proposé un truc à trois, mais Sarah attend un client…

 

Greta me met la main sur la braguette et m’invite d’un geste provocateur à passer à côté.

 

On se dénude tous les deux, on s’embrasse tantôt goulument tantôt amoureusement et avec délectation. A un moment pendant que j’étais occupé à lui lécher ses tétons elle posa sa main sur ma nuque comme pour diriger mon visage vers son sexe… Ahhhh ! Son beau sexe couleur d’ébène assez long et très épais. J’ouvre délicatement mes lèvres et passe un premier léger coup de langue, puis d’autres et je commence à dévorer sa queue sous toutes les coutures, du gland aux boules en passant par la hampe je lèche tout comme un affamé je m’en délecte et n’en perds pas une miette. Elle me propose maintenant de me sucer à son tour et elle le fait divinement bien, avec ses jolies lèvres douces dont elle sait parfaitement faire usage.

 

Mais voilà qu’on toque à la porte !

 

– Entre ma biche ! Dit Greta

– Mon client est arrivé et demande si le tien serait d’accord pour un truc à quatre ? Explique Sarah, pas gênée du tout, sa belle bite à l’air.

 

Regard interrogateur des deux trans vers moi qui hésite un peu !

 

– Allez quoi ! Il est très gentil et il a une belle bite ! Insiste Sarah.

– Je n’ai pas pris assez de sous ! Répondis-je pensant avoir trouvé un bon argument !

– Pour toi, il n’y a pas de supplément, c’est mon client qui a proposé, c’est lui qui paye.

– Euh…

– Allez viens, fait pas ton timide.

 

Et me voilà entrainé dans une partouze insolite en n’ayant aucune idée de la façon dont ça va se passer.

 

On me présente Philippe qui est en train de finir de se déshabiller, le genre voyageur de commerce en déplacement, bien propre sur lui. Sarah prend immédiatement sa bite en main et la fait grossir… Pendant ce temps-là Greta égare ses doigts vers mon trou du cul. J’adore qu’on me le doigte.

 

– Comment tu la trouves, la bite de Philippe ?

– Elle est très belle ! Répondis-je (imprudemment ?)

– Ben alors qu’est-ce que t’attend pour la sucer ?

– Mais…

 

Je suis tétanisé, je n’avais pas du tout prévu ça !

 

Greta se saisit d’un martinet et m’en flanque un coup sur les fesses ! Elle sait que j’aime bien jouer un peu les soumis.

 

– Je t’ai demandé d’aller sucer cette bonne bite ! T’attends quoi ? Le dégel ?

 

Ben non ce n’est pas ça, je n’avais pas trop envie, mais puisque Greta me le demande à coups de martinet j’accepte le jeu. L’embarras de la situation, c’est que toutes les bites que j’ai sucé jusqu’à présent sont des bites de trans, je n’ai jamais sucé de mecs et d’ailleurs je ne suis pas du tout attiré par les hommes… Mais, car il y a toujours un mai, sa bite est fort belle, il faut bien le reconnaitre.

 

Alors je me lance , il suffit d’ouvrir la bouche et pendant que je me laisse prendre au jeu, Greta toujours derrière moi me tortille mes tétons, j’adore cette caresse qui me fait bander instantanément.

 

– Alors, elle est bonne sa bite ? Me demande Sarah !

– Oui, oui !

– Dis-le mieux !

– C’est vraiment une bonne bite !

 

Et c’est vrai que je me régale ! Bite de trans ou bite de mec ? Quelle différence, la texture est douce, le goût subtil.

 

– Arrête de le sucer, maintenant, il va t’enculer ! M’indique Sarah.

– Non, surement pas !

– Mais dis donc, esclave, tu vas faire ce que ma copine te demande gentiment.

– Ça ne me dis rien !

– Dis donc, quand c’est moi qui t’encule, tu aimes bien, ! Intervient Greta

– C’est pas pareil !

– Si c’est pareil, donne lui vingt coups de martinet, Sarah !

 

Je me prête au jeu, et présente mes fesses aux coups de la jolie trans. Elle me fait un peu mal, mais j’aime bien. Au vingtième coup, elle me demande :

 

– Je fais quoi ? Je continue à te fouetter ou tu vas faire ce qu’on t’a demandé ?

 

Que faire ? Evidemment je ne suis pas prisonnier, je pourrais m’en aller, mais ce serait frustrant, j’ai payé quand même ! Et puis je l’aime bien Greta, je ne veux pas me fâcher avec elle ! Je me dis donc que je n’en mourrais pas.

 

– Bon, c’est d’accord, je me mets comment ?

– En levrette, pédale !

 

L’autre arrive derrière moi, mais pour l’instant il se contente de me sucer le fion, ce n’est ma foi pas désagréable. Et, ne voulant pas être en reste Greta me donne le sien à lécher.

 

Voilà qui n’est pas une corvée, j’adore lécher le trou du cul des trans, et celui de Greta est délicieux..

 

Derrière moi la langue de Philippe a cessé de me butiner et je sens maintenant sa bite tenter d’entrer dans mon anus, il s’y reprend à deux fois, ensuite ça passe, il s’enfonce davantage, j’adore cette sensation de « rempli » dans mon cul. Puis il commence ses va-et-vient et bientôt des frissons de plaisir m’envahissent. C’est trop bon de se faire enculer ! Quand je pense que j’ai failli refuser !

 

– Regarde-moi ces deux pédales ! Se moque Greta.

 

Philippe m’a limé pendant plusieurs minutes avant de me laisser le cul béant. Il change de capote et fait signe à Sarah qu’il souhaite la prendre. Elle se met en position montrant ainsi son cul magnifique. J’ai une envie irrésistible de le lui lécher, mais je me retiens, en ce moment il n’est pas pour moi car Philippe s’approche et l’encule.

 

Greta me donne une tape sur les fesses en m’intimant l’ordre de me placer moi aussi en levrette.

 

Chic alors !

 

Biere

 

Etonnant spectacle qui ferait les délices d’un voyeur, Greta m’encule pendant que Philippe encule Sarah. Quelle vision excitante de voir sa belle bite entrer et sortir de ce cul sublime !

 

Philippe ne tarde pas à jouir en poussant un cri bizarre. Il décule, puis s’en va dans la salle de bain. Et tandis que Greta continue à me sodomiser en cadence, Sarah me donne sa jolie queue à sucer. Pensez comme je me régale d’être au milieu de ces créatures sublimes.

 

Philippe se rhabille tout seul dans son coin, il marmonne un vague aurevoir à la cantonade et disparaît. Pas très sociable ce citoyen, mais sa bite était belle !.

 

Les meilleures choses ont une fin, Greta sort de mon cul et me demande comment je veux jouir ?

 

– On le suce à deux ? Propose Sarah

 

J’aurais préféré jouir dans le cul d’une de ces deux trans, mais ne soyons pas trop gourmand, ce qu’elles me proposent n’est pas n’importe quoi ! Deux langues qui me sucent la bite ! Rendez-vous compte ! Des langues qui vont partout, le gland, le méat, la hampe, les boules… Je n’ai pas tenu longtemps, quand elle a senti que j’allais venir, Greta a sorti mon chibre de sa bouche et a reçu mon foutre sur ses seins. Elle s’est amusée ensuite à les enduire en me regardant d’un air vicieux.

 

– Tu as soif ? Me demande Sarah en dirigeant sa bite vers moi !

– Oui, je veux bien un peu d’eau !

– Tu ne préfères pas ma bière ?

 

J’avoue ne pas avoir compris de suite ses intentions.

 

– Ouvre bien la bouche !

 

Je l’ai fait comme dans un rêve, et j’ai avalé ce que j’ai pu de la bonne pisse de Sarah !

 

Quelle séance !

 

Mais voilà que mon portable sonne ! Je vais voir, cela peut être urgent. C’est mon épouse.

 

– Allo chéri, juste un petit coup de fil pour savoir si tout va bien ?

– Pas de souci ma chérie, il fait un peu chaud, je viens de boire une bonne bière !

 

Sarah et Greta ont failli éclater de rire mais se sont retenues, elles ont du savoir-vivre.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:30

Break à l’auberge par Alexis Defond-Rossignol

 

zoo

Parfois faut faire un break.

 

C’est pour cela que nous avions décidé de passer un petit week-end dans une petite auberge au centre de la France

 

La chambre était magnifique, elle comprenait un lit immense, avec une salle de bain très équipée, et surtout une grande baie vitrée, donnant sur un parc immense, entouré d’une pelouse parfaitement taillée.

 

Lors du voyage nous n’avions pas eu l’occasion de nous restaurer j’ai donc proposé à mon épouse de descendre à la salle de restaurant afin d’y prendre un repas, mais elle voulut préalablement se changer et prendre une douche, elle se mit complètement nue pour le faire: elle était magnifique avec ses seins énormes, ses superbes fesses bien rebondies et son petit minou bien taillé.

 

Une fois sa toilette terminée, elle sortit, recouverte d’une serviette autour de ce corps sublime, et me mit à contribution sur la tenue qu’elle devait porter. Je lui dis que même nue elle ferait de l’effet, elle se mit à rire; puis je lui ai suggéré de mettre une petite culotte noire complètement transparente avec le soutien-gorge et le porte-jarretelles assorti, et des bas couleur chair, puis par-dessus sa petite robe noire laissant les épaules dénudées, elle était sublime.

 

Nous descendîmes donc au restaurant: la patronne nous plaça devant la fenêtre qui donnait sur le parc, face à nous il y avait un homme mûr de belle prestance accompagné d’un superbe labrador, l’homme ne cessait de regarder en direction de mon épouse, celle-ci me le fit remarquer discrètement, je lui répondis que c’est parce qu’il la trouvait surement très jolie, elle rougit. Après le repas nous avons décidé de faire une petite balade dans le parc en amoureux : arrivés dans le bois je ne pus n’empêcher d’embrasser mon épouse qui se colla fortement à moi, je fus pris d’une érection terrible, cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps, ceci surement dû au parfum sublime de mon épouse et aussi au contact de ses formes bien rebondies.

 

Furtivement je lui caressais les seins par-dessus le corsage, puis lentement, je fis glisser ma main sous sa jupe afin de lui caresser le sexe à travers la petite culotte, celle-ci était toute trempée. Enfin laissant mon épouse sur sa faim, nous sommes rentrés à l’hôtel.

 

L’homme au chien était accoudé au bar et buvait une coupe de champagne: il sourit à notre entrée, je demandais à mon épouse si elle désirait prendre une coupe avec moi au bar, elle accepta volontiers.

 

– Pourquoi tu ne m’as pas fait l’amour dans le parc me demanda-t-elle, j’en avait une folle envie.

 

Je lui ai répondu que justement c’était pour accroître encore plus son désir. Elle me regarda d’un air très étonné, puis me sourit et m’embrassa. L’homme au bar s’est approché de nous et nous a proposé de prendre un verre en sa compagnie, nous avons accepté, puis la conversation s’engagea, il se présenta :

 

– Je m’appelle René je suis marié mais souvent en déplacement, c’est pour cela que j’emmène mon chien, ça me fait une compagnie.

– Moi c’est Patrick et mon épouse s’appelle Laura nous sommes en week-end afin de nous ressourcer.

 

Il nous dit qu’il trouvait Laura très jolie et qu’il n’avait que rarement vue une femme de son style et de sa classe… bref du baratin de dragueur mais qui fit néanmoins rougir Laura.

 

Dans quelle chambre êtes-vous ?

– La 119 face au parc

– Ah c’est une très jolie chambre, si vous voulez je pourrais venir finir la conversation tout à l’heure avec une bouteille de champagne, car pour l’instant j’ai du travail à finir en urgence et je vais devoir vous laissez. A tout à l’heure !

 

Gonflé le mec ! Mais je donne mon accord et Laura ne proteste pas.

 

Gonflé ou alors fin psychologue ? Laura avec son attitude provocante avait pu lui faire penser que nous étions un couple ouvert. Si c’était cela le type était très fort, Nous avons déjà pratiqué le triolisme et l’échangisme; donc si les grands esprits se rencontrent…

 

Laura me dit

 

– Tu crois qu’il veut me baiser ?

– Si on lui en donne l’occasion !

– Moi, je ne suis pas contre, mais c’est son chien qui m’intéresse !

– Alors là c’est une autre paire de manche, rencontrer des mecs chauds de la bite, c’est courant mais des mecs qui acceptent des trucs arec les chiens, ça ne court pas les rues.

 

Puis nous sommes remontés dans notre chambre, car il était déjà tard. Laura alla dans la salle de bain et j’entendis le bain couler: elle entra dans la baignoire, J’entrais à mon tour dans la salle de bain, et je me mis nu, afin de la rejoindre, mais auparavant je lui pissais dessus car elle adore ça, ça la fait rire et elle en boit quelques lampées. Nous nous sommes lavés mutuellement, je lui massais ses gros seins avec du savon ainsi que son sexe, elle fit de même avec ma verge et me masturba avec frénésie : puis elle voulut que je la pénètre mais je refusais, elle était toute excitée et je suis persuadé que la pénétration aurait été très facile, mais en fait je voulais me réserver si parfois le joyeux inconnu avait réellement des intentions libidineuses.

 

Elle avait emporté une mini nuisette rouge toute transparente bordée de magnifique petites dentelles noir qu’elle passa sous le peignoir blanc de l’hôtel.

 

– Qu’est-ce qu’ils attendent pour passer, le René et son chien ?

– Il s’est peut-être dégonflé ! On va attendre un peu !

– En faisant quoi ?

– Il y a un lecteur de DVD, on va pouvoir regarder les deux DVD que m’a prêté Jean-Pierre.

– C’est encore du porno, je parie ?

– Il y en a un avec de l’uro et un autre avec du bisex, tu veux voir lequel ?

– Je te laisse choisir.

 

J’optais pour le bisex. J’adore voir deux mecs se sucer la bite et s’enculer en présence d’une jolie femme qui participe à leurs ébats

 

Elle vint me rejoindre sur le lit et me dit:

 

– Mais tu n’as pas tiré les rideaux ?

– Pourquoi faire, nous n’allons pas gâcher la vue sur le parc, même s’il fait nuit, allez viens. Tu es vraiment bandante sous ta petite nuisette

 

Nous regardions le film, tout en nous caressant, quand soudain, quelqu’un frappe à la porte.

 

– C’est moi, c’est René, j’amène du champagne cela vous dit ?

– Oui j’ouvre, un instant !

 

Laura enfila vite fait son peignoir pendant que j’ouvris la porte en caleçon.

 

– Ha ! vous étiez déjà au lit ,

– Oui mais on ne dormait pas.

– Que faisiez-vous, petits coquins ? Nous dit-il en souriant.

– Nous regardions un film.

– Ha ! quel genre de film ?

– Un film porno ! Lui dit je carrément afin de lever toute ambiguïté pour la suite

– Y’a pas de mal à se faire du bien! Répondit-il bêtement. Alors ce Champagne toujours d’accord, j’ai apporté des verres

 

Laura sortit du lit couverte de son peignoir. René nous dit qu’il avait dû amener son chien car il avait peur qu’il fasse du bruit et gêne les autres clients de l’hôtel, nous lui répondîmes qu’il n’y avait aucun problème pour nous.

 

Tu parles ! Je suppose que s’il ne l’avait pas amené, Laura aurait trouvé le moyen de lui dire de le faire…

 

Après une première coupe, Laura retira son peignoir provoquant chez Monsieur René une expression des yeux ressemblant à celle du loup de Tex Avery.

 

– Chère madame, vous êtes superbe !

– Vous aimeriez en voir davantage, n’est-ce pas ?

– Je suis un gentleman

– Alors peut-être tout à l’heure ! Mon mari n’est pas jaloux. A la vôtre !

 

C’est alors que je remarquais le jeu auquel se livrait ma perverse de femme, portant discrètement sa main à sa chatte et en prélevant un peu de mouille, elle la tendit au chien qui vint s’en régaler.

 

– Il est très affectueux, commenta René qui n’avait pas tout compris.

 

Laura recommença mais cette fois avec la main plus près du corps, elle la rapprocha pendant que le labrador léchait et ce qui devait arriver arriva le mufle de la bête se retrouva entre ses cuisses.

 

– Oh làlà, qu’est-ce qu’il me fait le vilain toutou ! Fit-elle mine de s’offusquer !

– Chouby ! Au pied ! réagit René !

 

Le chien cesse ce qu’il était en train de faire visiblement contrarié !

 

– Mais non, laissez-le faire, c’était très agréable !

– Mais rendez-vous compte, c’est de la zoophilie !

– Et alors ? Elle est où la maltraitance ? Maintenant si ça vous choque, on ne vous retiendra pas !

– Avouez que c’est particulier !

– Je l’avoue bien volontiers ! Allez toutou reviens lécher mémère !

 

Cette fois René ne dit rien et moi j’avais une érection fantastique.

 

– Cela te fait bander mon chéri ! Me dit-elle avec malice.

 

Je m’approchais d’elle et doucement lui dégageais un sein, René bavait d’envie de la toucher et de la caresser.

 

Elle vient se poster devant lui avec un sourire enjôleur

 

– Vas-y caresse moi !

 

Celui-ci n’hésita pas une seconde, il empoigna les nichons de mon épouse à pleines mains et les suça, puis il la dirigea vers le lit après avoir retiré la nuisette, il commença à lui caresser la vulve en lui chatouillant fortement son clitoris: mon épouse était toute mouillée et me regardait avec amour, je lui pris la main pour l’encourager, pendant ce temps René lui léchait la chatte à grands coups de langue, ma femme se tordait dans tous les sens dans l’espoir de sentir mieux cette langue qui la fouillait, René lui demanda s’il pouvait la baiser

 

– Vous pouvez mais avec capote et c’est mon époux qui la fait entrer dans ma chatte !

– Pour la capote, j’en ai dans la poche de mon pantalon ! Et pour le reste, eh bien vos désirs sont des ordres.

 

Je pris donc la bite de René entre mes doigts en regardant ma femme bien dans les yeux et en lui souriant :

 

– T’as les mains douces, me dit René ! Ça te dirait de me la sucer un peu avant !

– Ah, bon, t’es un peu bi, toi aussi !

– Bi, peut-être pas, mais disons que je suis ouvert à la discussion

 

Devant les yeux subjugués de mon épouse j’embouchais donc la belle bite de René et lui prodiguais quelques mouvements de fellation, puis je frottais ce joli gland sur le clito et les lèvres vaginales de mon épouse, et l’enfonçais d’un coup sec dans la gaine humide de la chatte de ma femme, qui hurla de plaisir à la pénétration. Au bout de quelques va-et-vient dans l’orifice de ma Laura, René se raidit et envoyât toute sa semence dans les entrailles gluantes de ma chérie. Il se tourna ensuite vers moi d’un air satisfait :

 

– Si cela vous amuserait de me sodomiser devant madame, j’en serais fort aise.

 

Il est marrant ce bonhomme il ne sait plus s’il doit me tutoyer ou me vouvoyer !

 

Toujours est-il, que n’ayant aucune raison de refuser cette proposition, j’encapuchonnais ma bite et enculais vaillamment le René qui manifestement apprécia.

 

– Vous êtes bien des enculés ! S’amusa Laure.

– Si vous le dites !

– Vous savez ce que j’aimerais, c’est de sucer le chien !

– Ciel vous faites-ça ?

– Ma foi, quand on est coquine… Mais il va falloir m’aider.

 

Comme si le chien avait entendu que l’on parlait de lui, il sauta sur le lit et vint de nouveau se placer entre les cuisses de ma belle, lapant sa chatte de sa large langue et lui provoquant des tressautements de plaisir.

 

On fit ensuite coucher le chien sur le côté, je lui maintiens sa bite à la base des couilles de façon à ce que Laura puisse le sucer plus facilement, c’était spectaculaire, la pine du chien lançait des geysers de sperme sous les yeux effarés de son propriétaire.

 

– Je me ferais bien prendre, mais il va me griffer ! Se désola mon épouse.

– On va lui mettre des chaussettes ! Proposais-je.

4b

C’est donc ce que nous avons fait. Ma salope de femme se mit en levrette, j’ai un peu guidé le chien, et hop le voilà qui la bourre. Laura commença à onduler les hanches à chaque coup de boutoir du toutou, elle jouissait comme une vraie chienne, et pendant ce temps, René et moi, nous nous masturbions avec frénésie devant cette scène incroyable. Soudain Chouby se raidit et gicla tout son sperme dans la chatte de mon épouse qui cria de plaisir et s’affala complètement épuisée.

 

– Je vous laisse un petit instant! Dit René. Il faut que je fasse pipi, je peux utiliser vos toilettes ?

– Tu n’utilises rien du tout ! Pisse-moi dessus, arrose-moi comme une chienne !

– M’enfin !

– Faites-lui plaisir, elle adore ça !

– Mais la literie…

– Vous avez raison, allons dans la salle de bain.

 

Nous y sommes rentrés à trois et Laura fut copieusement arrosée par nos bites et trouva l’urine de René délicieuse.

 

René s’est rhabillé, pas nous, le chien roupillait comme un bienheureux, on a fini le champagne. Et nous avons dit aurevoir à ce gentil monsieur.

 

– Quelle soirée ! C’était fabuleux, non ? Commenta Laura

– Ça tu peux le dire !

– Tu sais, j’ai envie de faire l’amour avec une femme.

– Oui, ben on verra ça demain !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 13:53

Où sont-elles ? par Honoré Letellier

coin102

La Fanchon où est-elle ?

Dans sa chambrette.

Que fait-elle ?

Une branlette.

Pour qui ?

L’homme à l’arbalète.

La Suzon où est-elle ?

Dans sa chambrette.

Que fait-elle ?

Une gâterie

Pour qui ?

Un de l’infanterie

Et moi alors ?

Dois-je attendre au-dehors ?

Attendez votre tour !

Pour jouir de leurs atours

Et avec un supplément

Les deux en même temps !

pipe18

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Honoré Letellier
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 13:51

Aimable marquise par Honoré Letellier


Laissez ce béjaune et ses vocalises

Il tourmente en vain son fade instrument

Embouchez ma flute, aimable marquise

Et jouez vous même un air de printemps

Ma langue est une cuillère qui léchera

De votre trou du cul tout son caca

 

LeTellier

 

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)

Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises.

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