Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:36

Un barbecue qui mène à tout ! par Irénée Vardin

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Enfin le week-end. En ce beau samedi de Juin, nous avons tôt fait de nous libérer des emplettes et des différentes courses hebdomadaires. Depuis que nous avons emménagé dans notre nouveau pavillon, nous n’avons pas eu vraiment le temps de nous relaxer et nous nous promettons bien de le faire ce week-end.

 

Nous projetons donc un petit dîner en tête-à-tête lorsque le téléphone sonne. Clémentine mon épouse décroche. Ce sont Paola et Gilles, nos anciens voisins que le hasard a conduit dans le coin et qui nous demandent s’ils peuvent passer nous dire un petit bonjour d’ici une heure ! Clémentine active l’ampli du téléphone

 

– Dans ce cas on apporte l’apéro ! Précisent-ils

 

Que la peste porcine emporte ces casse-pieds ! Tempêtais-je, in petto. Moi qui avais envie d’être tranquille, peinard, je cherche un prétexte pour les éconduire, mais Clémentine a été sur ce coup plus rapide, elle accepte leur visite et surenchérit en leur proposant de se joindre à nous pour le dîner.

 

Soirée foutue, et comme-ci cela ne suffisait pas, ma tendre et chère m’envoie au supermarché faire les courses « supplémentaires et nécessaires ».

 

Je finis par faire contre mauvaise fortune bon cœur, je ne suis pas si mauvais bougre, après tout Gilles sait être un convive intéressant et puis Paola… Ah Paola ! Oh Paola ! La température est chaude et humide et nous ferons donc cuire des steaks au barbecue, mais nous les dégusterons à l’intérieur en profitant ainsi du confort de l’air climatisé.

 

À l’heure convenue, ils arrivent et nous sommes tous très heureux de nous revoir. (enfin presque) Nous échangeons baisers de bienvenue et poignées de main. Comme vous vous en doutez, et la température aidant, les femmes portent des vêtements légers et nous aussi.

 

Clémentine, il faut que je vous la présente. Indiquer l’âge des dames étant déplacé, contentons-nous de dire qu’elle a « la trentaine », elle a les cheveux mi-longs blonds vénitiens, les yeux bleus, la peau très blanche constellée de tâches de rousseurs. Elle a opté aujourd’hui pour une petite robe très légère en soie qui moule bien ses seins mignons (90 D), assortie d’un short très court qui nous fait profiter de ses belles jambes élancées ainsi que du galbe de ses superbes fesses.

 

Pour sa part, Paola, grande brune aux longs cheveux retombant en boucle sur ses épaules porte un débardeur moulant mettant en valeur de ravissantes épaules halées par les premières chaleurs qui épouse parfaitement bien ses seins fermes arrogants et piriformes, ainsi qu’une jupe très courte qui nous laisse apprécier des jambes que j’ignorais aussi jolies. Nous étions habitués à voir cette belle femme porter soit des tailleurs de travail, la semaine soit d’affreux joggings (berck !) le week-end, cela ne lui allaient pas toujours très bien et nous sommes très surpris de la découvrir tout à coup dégager autant de sensualité.

 

Je me rends rapidement compte que je la trouve très désirable et que je la suis du regard dans chacun de ses déplacements. Pour sa part, Gilles découvre Clémentine sous un aspect nouveau puisqu’il ne l’avait sans doute jamais vue porter des choses aussi légères (du moins je suppose, mais aller savoir ?) et je constate qu’il a souvent les yeux rivés sur ses fesses et je ne saurais l’en blâmer. (ce gros cochon !)

 

Nous bavardons un peu en préparant le souper et nous descendons quelques apéritifs. Il m’incombe toujours de faire cuire la viande sur le barbecue et j’avoue que je me débrouille pas trop mal. Ce soir donc, Paola m’offre de m’aider afin de voir comment je pratique puisqu’elle n’est pas très familière de ce genre de cuisson. J’accepte avec empressement (tu parles !) et Gilles s’offre donc à mettre la table et à préparer la salade avec Clémentine.

 

Notre cuisine est grande et nous nous affairons tous les quatre en nous côtoyant de très près. C’est rapidement devenu un jeu de se frôler et j’en profite pour caresser une fesse de Clémentine quand Gilles la regarde. Aussitôt après, il passe une main sous le débardeur de Paola et caresse ses seins d’une façon non équivoque ce qui provoque l’érection de ses mamelons. Celle-ci rougit quand elle se rend compte que j’admire ses seins pointant fièrement sous le tissu. Spontanément, je lui dis qu’elle a de très beaux seins et qu’elle ne devrait pas éprouver de gène et que si je pouvais, j’aimerais moi aussi les caresser. Nous rions tous et Clémentine déclare que si elle était un homme, elle se laisserait tenter, elle aussi. Cette remarque a pour effet de détendre définitivement l’atmosphère et tout à coup, nous sentons que la soirée sera probablement plus chaude que prévue. (chic, alors !)

 

Quelques instants plus tard, Paola et moi nous dirigeons vers la terrasse et sous prétexte de mieux observer la cuisson, elle se colle sur moi pendant que je dispose les steaks sur la grille. Ses seins frôlent mon bras et son ventre se frotte sur ma hanche ; Elle est très excitante et je ne peux faire autrement que d’approcher ma main de ses seins. Loin de reculer, elle bombe le torse afin de mieux s’offrir. Sans hésiter, je passe la main sous son débardeur et commence à caresser ses seins à la peau douce. Elle me sourit et me tend ses lèvres et nous échangeons un baiser passionné.

 

– Humm ! Ce n’est pas prudent ! Me dit Paola… Si Caroline nous voit.

– Elle n’est pas jalouse, on a déjà fait un peu d’échangisme.

– Ah bon, vous aussi ? Alors tout va bien !

 

Paola caresse mon pénis par-dessus mon short et me dit que le souper s’annonce très appétissant. Elle se cabre lorsque ma main se dirige vers son ventre et elle écarte légèrement les cuisses pour mieux permettre la caresse. Je devine ainsi qu’elle ne porte pas de culotte et ma main passe sous le tissu de la jupe afin de mieux sentir sa chatte déjà toute mouillée. Nous cessons provisoirement ces chaudes discussions pour nous diriger vers la salle à manger afin de rejoindre les autres.

 

Ils n’y sont pas, ils sont donc dans la cuisine. Et lorsque nous y arrivons, nous sourions quand nous retrouvons Clémentine et Gilles enlacés, échangeant un baiser tout au moins aussi brûlant que le nôtre. Celui-ci presse ma femme contre lui en la tenant par les fesses et je constate que sa robe est presque complètement déboutonnée ce qui nous permet d’admirer ses jolis seins quand ils se séparent, à regret, semble-t-il. Clémentine déclare alors en rigolant qu’ils débattaient afin de savoir quelle sorte de vinaigrette utiliser dans la salade tout en essayant, tant bien que mal de refermer sa robe. Je ne lui laisse pas la chance de le faire puisque je m’approche d’elle et je saisis ses seins et je les embrasse passionnément en m’assurant que nos amis ne perdent rien du spectacle. Gilles est bandé à n’en plus pouvoir et approuve sa compagne lorsqu’elle déclare que nous avons eu la même discussion au sujet des épices à steak près du barbecue.

 

C’est presque à regret que nous cessons de batifoler pour nous mettre à table. La viande est excellente et le vin coule à flots. Ordinairement, ma femme et moi buvons une bouteille pendant un repas mais ce soir, nous avons déjà entamé la troisième. Nous rions tous comme des petits fous à la moindre occasion et l’atmosphère est très agréable. Dès que quelqu’un se lève pour aller chercher quelque chose, il se fait attraper et caresser avant de pouvoir ramener ce qu’il était parti quérir. C’en est devenu un jeu et bientôt, nous exigeons un gage pour chaque personne qui passe près de nous. La première « victime » du jeu est Paola que j’attrape lorsqu’elle désire aller chercher du poivre dans la cuisine. Je l’intercepte alors et j’exige son débardeur en gage qu’elle consent à me remettre à la condition que je le lui enlève.

 

Je ne me fais pas prier et j’en profite pour caresser ses jolis seins devant nos compagnons et je les embrasse goulûment. Elle se tortille et geint légèrement en signe d’approbation. Clémentine déclare alors que le service est trop lent et se lève pour aller à la cuisine et Gilles lui fait connaître le même sort que j’ai fait subir à Paola. Bientôt, nos compagnes se promènent les seins nus et elles se regardent avec un sourire complice. Elles ne portent plus qu’un short ou une jupe et Gilles et moi sommes aux anges. Leurs poitrines sont belles et désirables, les mamelons sont en érection constante et elles s’amusent énormément du désir qu’elles provoquent.

 

Alors que nous en étions au fromage, Paola nous fait part de son besoin pressant d’aller satisfaire un besoin bien naturel. On lui indique le chemin, mais elle insiste pour que je l’accompagne prétextant pour rire qu’elle risque de se perdre sur la route du retour. Je l’accompagne donc jusqu’à la porte, mais elle insiste pour que je rentre avec elle. Comme la chose est pratiquement impossible, vu la petitesse de l’endroit, je ne peux, hélas accéder à cette requête, et je me contente de laisser la porte ouverte. Alors sans se gêner, Paola se place au-dessus de la cuvette mais ne s’y assoit pas, et libère bruyamment une véritable fontaine d’or ! Ma bandaison atteint alors son point de rupture !

 

Elle me demande ensuite de l’essuyer, mais refuse le papier toilette avec lequel je m’apprêtais à accomplir cette noble tâche, et c’est avec ma propre langue que j’asséchais donc son surplus d’humidité salée. Ravie de ma prestation, elle me proposa que je la lèche derrière parce que me confia-t-elle « elle adore qu’on lui fasse ce genre de chose ». Je m’exécutais de bonne grâce, point rebutée par la saveur particulière de l’endroit.

 

En revenant par pure perversion j’embrassais goulument mon épouse qui me fit remarquer en rigolant que ma bouche sentait le roquefort, je lui expliquais alors qu’il s’agissait du goût du cul de Paola. Ma femme me traita alors de pervers incurable, mais c’était pour plaisanter car l’instant d’après elle sollicitait la permission de Paola de lui lécher le trou de balle à son tour.

 

J’étais, vous vous en doutez bien dans un drôle d’état. C’est alors que les filles décident alors qu’elles vont faire temporairement la grève et désirent que nous servions le dessert en ne portant que le minimum (slip ou caleçon). C’est maintenant leur tour de nous déshabiller et Paola s’approche de moi pendant que Clémentine va s’asseoir sur son compagnon pour commencer à déboutonner sa chemise. Celui-ci ne se prive pas de la caresser pendant qu’elle s’exécute et Paola fait preuve de dextérité pour m’enlever mon tee-shirt et lorsqu’elle retire mon short, elle s’attarde longuement à caresser mon pénis à travers mon caleçon. La sensation est délicieuse de me faire caresser pendant que je vois ma femme se faire caresser par un ami. Paola ne peut se passer de retirer mon pénis de sa prison et elle le prend bien en bouche, à genoux devant moi afin de permettre à nos conjoints de bien voir.

 

Presque aussitôt, l’autre couple se retrouve dans la même position et le souper a perdu toute son importance. Maintenant, un voile de sensualité et de luxure flotte dans la maison et personne ne cherche en s’en soustraire. Paola fait preuve de beaucoup de savoir-faire et elle m’excite au maximum en me léchant tout en se caressant la chatte. Elle émet des petits cris de plaisir et je constate qu’une pipe ne constitue pas une corvée pour elle. Elle me fait passer par toute une gamme d’émotions alors qu’elle sait s’arrêter juste avant que je ne jouisse.

 

De son côté, ma femme suce avidement Gilles et je constate qu’elle a enlevé son short afin de permettre à son partenaire du moment de l’admirer. Elle se trémousse et je peux me rendre compte de son excitation en voyant perler des gouttes dans les poils de sa chatte. Elle sait très bien combien j’aime la voir lorsqu’elle fait l’amour et elle me le rend bien. Elle pompe sans arrêt ce très joli sexe tout en serrant le reste dans ses mains.

 

Tout à coup, comme si tout avait prémédité, les rôles sont inversés et les filles se retrouvent étendues sur les fauteuils du salon, les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien déguster ces chattes dégoulinantes. Elles se tortillent sous les caresses pressantes de nos bouches affamées, soulevant le bassin afin de mieux s’offrir. De mon côté, j’ai introduit deux doigts dans le minou de Paola et ses soubresauts me prouvent son appréciation. Elle gémit sans arrêt et prend ma tête pour mieux la presser contre elle ; n’en pouvant plus, elle serre ses cuisses contre mes joues alors qu’elle s’abandonne dans un orgasme qui la laisse pantelante.

 

Paola me demande d’arrêter un peu afin de lui laisser la chance de récupérer. Je m’assois à ses côtés afin d’admirer Clémentine dans toute sa splendeur. Je reconnais les mouvements de son ventre et de tout son corps durant les périodes d’excitation maximale et j’aime voir combien Gilles la déguste en connaisseur. Je peux voir qu’elle ne pourra endurer très longtemps ce traitement sans jouir et son compagnon s’en rend compte ; c’est pourquoi il se couche sur le plancher en l’attirant sur lui. En quelques secondes, elle s’empale sur son pénis et commence ce mouvement de va-et-vient que je connais si bien. Ses fesses se contractent et il lui caresse les seins pendant qu’elle se fait enculer comme une reine.

 

Paola les regarde avec beaucoup d’attention et elle déclare qu’elle veut manger les seins de Clémentine. Je l’encourage à le faire et elle s’approche d’eux, à quatre pattes, me laissant admirer son joli cul. Elle suce vigoureusement les seins de ma femme en les mordillant légèrement, comme les femmes savent apprécier cette tendre douleur. Je me retiens admirant avec Gilles ce spectacle improvisé qui prend son point culminant quand les deux femmes s’étant placées dans la position classique du soixante-neuf entreprennent de se brouter respectivement le minou, tout en s’égarant parfois dans la région voisine ou siège l’œillet brun de l’orifice anal. Nous attendons qu’elles fassent éclater leur inéluctable jouissance, et cela ne tarde pas à se produire.

 

Alors, n’y tenant plus je m’approche, et ayant recueilli son assentiment, j’enfile Paola par derrière, tenant bien ses fesses pendant que Clémentine caresse ses seins. Il n’en faut pas plus pour Gilles et celui-ci laisse sortir son trop-plein dans un râle profond. Ma femme le suit immédiatement et son corps est parcouru de tous ces courants de jouissance qui font que je la désire tellement. Tout ce spectacle fait que je décharge vigoureusement dans la chatte pulpeuse de Paola. Toute cette frénésie sexuelle nous laisse pantelants et nous nous retrouvons tous couchés à même la moquette afin de récupérer.

 

Quelques instants plus tard, Clémentine se remet de ses émotions et invite Paola à l’accompagner sous la douche. Je les suivrais bien, mais dans ce cas je sais que Gilles suivra aussi et la douche ne pourra jamais abriter quatre personnes. Je fais donc comme si j’étais à moitié endormi. Il se passa alors quelque chose de très étrange…

 

Paola demande à mon épouse de l’attendre une seconde… Nous nous demandons tous ce qu’elle veut faire. Elle se baisse alors, saisit ma main gauche et la flanque carrément sur la queue de Gilles. Puis attrape la main de ce dernier et la pose l’air de rien sur mon propre sexe.

 

– Voilà qui va faire drôle quand ils vont se réveiller ! dit alors Paola

– Je crois qu’on va attendre un peu pour la douche ! Réponds Clémentine.

 

C’était donc très malin de faire semblant de dormir… Je peux bien sûr arrêter cette farce en faisant semblant de me réveiller en sursaut… mais c’est qu’il se passe autre chose, le contact de la main de Gilles sur mon sexe le fait rebander, et la réciproque est vraie aussi puisque je sens quelque chose d’insolite gonfler sous ma propre paume. De façon imperceptible la main de Gilles commence à bouger, comme animée d’une vie propre, et bien sûr plus elle remue, plus je bande. Dois-je arrêter tout cela ? Je ne pense pas parce que cela ne me gêne pas plus que ça, et surtout ces dames ont l’air de s’exciter comme des petites folles en nous voyant faire les pédés. Du coup je m’enhardis et branle carrément la queue de mon ex voisin. Celui-ci prenant cela pour un signal y va aussi dare-dare. Inutile de donner le change, tout le monde sait bien maintenant que nous ne sommes plus en train de somnoler.

 

– Mettez-vous en 69 et sucez-vous ! Propose Paola !

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On ne discute même pas et comme si cela allait de soi, on se place tête bêche et me voici avec la grosse queue toute raide de Gilles dans la bouche ! Voilà qui n’est pas désagréable… Et puis il suce très bien le voisin ! Finalement c’est une sensation tout à fait délicieuse que de sucer une bite ! Quelques minutes plus tard nous éjaculions presque simultanément provoquant les bravos des deux femmes qui nous rejoignirent en venant lécher le sperme qui restait dans nos bouches. Quelles belles cochonnes !

 

Après être tous passés sous la douche, nous discutons un peu, nous sommes tout contents de la soirée ! Gilles et Paola, pas trop en état de rentrer (boire ou conduire, il faut choisir !) passerons la nuit dans le canapé d’amis.

 

Nous avons déjà prévu la prochaine soirée, ce sera dans quinze jours chez eux !

 

– On fera une fondue ! Nous a promis Paola. Et j’espère que cette fois ci nos petits maris vont s’enculer !

 

Pourquoi pas ?

 

vardin_i@hotmail.com

 

Auteur : Irénée VARDIN – Mai 2002 Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du meilleur récit bisexuel publié sur notre site en 2002

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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