Dépucelage bisexuel par Enzo Cagliari
Rapide description du narrateur avant toute chose : Christophe, blond à lunettes, 34 ans et venant juste de fêter mon premier anniversaire de divorce.
Parfois, on ferait mieux de se taire ! Daniel était connu à la boite comme étant comme on dit « à voile et à vapeur », moi ça ne me dérange pas, j’ai les idées larges. Ce garçon était aussi d’une très grande gentillesse, il occupait les fonctions de chef de service et prodiguait en plus des cours de bureautique. Etant moi même responsable informatique, il nous arrivait assez souvent d’être en contact professionnel.
Je ne sais plus à quel occasion nous sommes venus à parler « de cul » comme on dit, je lui confiais à cette occasion que j’étais hétéro mais que si les circonstances s’y prêtaient, une expérience homo, après tout, pourquoi pas ?
– Une bonne bite à sucer, de temps en temps, ce n’est pas désagréable, crois-moi ! Me dit-il avec un grand sourire.
– Oui, faudra que j’essaie un jour…
– Tu l’as jamais fait ?
– Si au lycée.
– Et t’en garde un bon souvenir !
– Oui, j’avoue.
– Et te faire mettre, c’est aussi dans tes fantasmes ?
– Pourquoi pas ? Faut tout essayer, non ?
Je ne prenais aucun risque en tenant de tels propos, Daniel avait son harem féminin à peine caché et ses amis du même sexe, il n’avait pas besoin de moi.
Ce jour-là je déjeunais avec lui dans une petite brasserie où nous avions nos habitudes.
– J’ai une vieille chaudière dans ma cave, l’ancien proprio devait me la faire enlever, mais il ne l’a jamais fait et je n’arrive plus à le joindre. Ça m’encombre et j’ai besoin de la place, mais je ne sais pas comment m’en débarrasser, Peut-être en la démontant ? Me raconte Daniel tout en se goinfrant son plat de tagliatelles.
Je ne sais pas quoi lui répondre et d’ailleurs, je m’en fous complètement de sa chaudière.
– Mon pote Patrick m’a proposé de passer voir ça samedi, mais je me méfie, il n’est pas trop bricoleur. Tu fais quoi toi, samedi ?
– Rien de spécial ! Ais-je la « faiblesse » de répondre.
– Tu ne pourrais pas passer vers 10 heures, on verra ce qu’on peut faire, à midi ça devrait être fini et ma femme nous fera une petite bouffe. Et puis tu verras, elle n’est pas farouche, ma femme… et elle a les idées larges.
Pas farouche ? Je n’ose lui demander à quel point.
Mais toujours est-il que nous donnons rendez-vous pour ce samedi.
Il me présente son épouse, Noémie est une jolie petite femme brune aux yeux malicieux. Elle est très souriante, très douce. Elle a de jolies formes. On échange quelques banalités d’usage, puis son ami Patrick arrive, brun, beaucoup de cheveux, look d’artiste : Présentations…
– Fais gaffe à ton cul ! Me prévient Daniel sur le ton de la plaisanterie. Patrick est à moitié pédé.
– Mais je n’ai jamais violé personne ! Répond l’intéressé sur le même ton.
– Je vous ai préparé des fringues pour vous changer, parce qu’on va se dégueulasser. Nous informe Daniel.
OK, on se change, on descend dans la cave. Je regarde le machin, effectivement, on peut démonter pas mal de pièces, ce qu’on fait. On porte tout ça dans le break de Patrick en protégeant bien tout ça avec des papiers journaux et des chiffons. Reste la carcasse indémontable, mais ainsi désossée, elle n’est plus très lourde mais encombrante, on la sort de la cave avec difficultés. Puis direction la décharge, et retour à la maison, il ne reste plus qu’à se doucher.
Daniel va chercher un sac en plastique afin de remiser nos fringues sales. On se déshabille donc dans la salle à manger, et là j’ai la surprise de voir Daniel se mettre complètement nu.
Il est entièrement épilé, assez fin, presque troublant.
– On va prendre notre douche ensemble, on est entre hommes, non ? Déclare-t-il.
Je lorgne sur sa queue, je ne sais pas ce qui m’arrive, ce doit être instinctif. Patrick se retrouve à son tour à poil. J’ai maintenant deux queues à mater. Je commence à bander, j’hésite à me dévoiler dans cette posture !
– Ben alors, tu fais ton timide ! Me lance Daniel.
Je me jette à l’eau et envoi valser mon caleçon à fleurs. Daniel se tourne un instant pour je ne sais quelle raison, me montrant son cul. Un petit cul bien cambré, un vrai petit cul de gonzesse. Du coup c’est la catastrophe, je bande désormais comme un sapeur.
– Humm, tu m’as l’air en forme, toi ? Tu penses à quoi là ? Me charrie Daniel.
– A rien !
– Elle est jolie ta bite ! Qu’est ce que tu en penses, Patrick.
– Très jolie ! Confirme ce dernier.
Les orientations sexuelles de Daniel, que j’avais un peu zappé, me reviennent comme un flash en mémoire. Comme me reviens ce que j’avais eu l’imprudence de lui répondre. Je sens qu’une machine infernale est enclenchée et que je ne sais pas comment l’arrêter. Mais sa femme ? Ben oui sa femme, Daniel ne va tout de même pas m’enculer alors qu’elle fait la cuisine et qu’elle peut revenir à n’importe quel moment ? Voilà qui devrait me rassurer… Mais il m’a dit aussi qu’elle n’était pas farouche ! Son ouverture d’esprit irait donc jusque là ? Non, je n’y crois pas !
Voici des pensées qui vont très vite, et qui ne résistent pas à la réalité. Parce que figurez-vous qu’en ce moment précis, Daniel a pris ma bite dans sa main avec un air faussement dégagé :
– C’est mignon tout ça !
Et voilà qu’il commence carrément à me masturber. Et je n’ai même pas protesté.
Je ne proteste pas non plus quand Patrick, passe dernière moi et me pelote les fesses. Je ne proteste pas davantage quand Daniel s’accroupit devant moi pour me sucer, ni quand le doigt se Patrick s’enfonce dans le trou de mon cul avant d’aller et venir. Je me pâme d’aise, mais voilà que Noémie sort de sa cuisine…
– Bon les mecs, qu’est ce que vous foutez ? Dépêchez vous d’aller vous doucher, sinon la bouffe va être trop cuite, vous aurez le temps de faire les pédés après manger !
C’est fou d’entendre ça !
– On y va, on y va ! Répond Daniel, très égrillard.
Son carré de douche est effectivement très grand, mais à trois ça fait quand même un peu juste.
– Allez-y, je passe en dernier ! Propose Patrick.
Me voila donc face à face avec Daniel, on se savonne, sans me demander mon avis il me passe de la mousse sur le corps, en profite pour me pincer les tétons, une caresse auquel je ne sais pas résister, et me revoilà en train de bander. Je caresse mon partenaire à mon tour, ma main enserre sa bite, une envie aussi subite qu’irrésistible me fait me baisser afin de la sucer, mais j’y renonce aussitôt, sucer du gel douche n’ayant rien d’agréable.
– Si on s’attarde de trop, Noémie va rouspéter. On reprendra tout ça cet après-midi. Tu voudras que je t’encule ?
– Pourquoi pas ? On pourra essayer ! M’entendis-je répondre sans aucune hésitation.
– T’aimes ça une bonne bite dans le cul ?
– Je ne l’ai jamais fait mais j’ai vraiment envie d’essayer.
– Rassure-toi, je vais te faire ça comme il faut… et puis ça va être la fête, ce n’est pas tous les jours que j’ai l’occasion d’enculer un puceau.
Je finis de me rincer, excité comme une puce et sors de la douche avec une érection de compétition.
Patrick s’en aperçoit, bien sûr !
– Hé, hé ! Commente-t-il simplement.
Daniel voulait qu’on reste à poil, mais Noémie nous informa que le couvert avait été dressé dehors sur la table de jardin. On a donc remis nos caleçons. Noémie quand a elle nous a fait une jolie surprise, elle a en effet troqué son tee-shirt contre un petit haut bien transparent sous lequel elle n’a pas mis de soutien gorge, et son pantalon contre une petite jupette qui ne cache rien du haut de ses cuisses. Et devinez quoi, elle se place juste en face de moi !
Le repas est délicieux, mais simple et modérément arrosé. Je comprendrais un peu plus tard que c’était parfaitement volontaire, l’objectif étant de nous garder en forme pour l’après midi. On parle de tout et de rien, de pinard, de football (je n’y connais rien), de boulot (la barbe) mais pas de sexe, enfin presque pas. Noémie nous a expliqué qu’en principe les voisins ne peuvent pas nous voir, sauf si l’idée leur venait de grimper dans les arbres pour cueillir des fruits ou pour tailler des branches. Autrement-dit, il nous faut rester sage jusqu’au café.
– Et pourquoi jusqu’au café ?
– Parce que le café, nous le prendrons à l’intérieur ! Réponds Noémie, malicieusement.
– Tu sais que Christophe est puceau du cul ! L’informe Daniel.
– Et vous allez le dépuceler ?
– Oui, il a dit qu’il était d’accord !
– Chic alors, il paraît que ça porte bonheur !
On est donc rentré après avoir dégusté un excellent clafoutis et on s’est installé autour de la table basse.
– Je vais faire le café, mettez vous à poil tous les trois et ne commencez rien sans moi ! Nous indique la maîtresse de maison.
On se remet à poil, curieux round d’observation où chacun lorgne la bite des autres. Un ange passe.
Noémie revient avec le café et le sert.
– On y v a ? Propose Daniel.
– Non, vous avez voulu du café, Donc on boit le café d’abord ! Répond Noémie.
Il ne me semble pourtant pas que quiconque ait réclamé ce café qu’elle nous a fait d’office. Toujours est-il que nous fûmes au moins trois à l’avaler bouillant.
Noémie se lève et s’approche de moi :
– Lève-toi, s’il te plaît !
Comme un automate, j’obéis.
– Déshabille-moi !
– Que je vous déshabille ?
– Oui, que tu me déshabilles ! Et puis je t’en prie laisse tomber le vouvoiement.
Je n’avais pas du tout imaginé cette tournure, mais elle n’est pas pour me déplaire. Je commence donc par lui enlever son petit haut transparent en le faisant passer par-dessus des épaules. Et voila la jolie Noémie, les seins à l’air.
– Je n’ai pas le droit de toucher, je suppose !
– Mais si, tu peux toucher, caresser, lécher, sucer… ça m’excite et ça excite mon mari.
Voilà une autorisation dont je ne vais pas me priver, je la caresse, je la tripote, je m’amuse avec ses tétons, je les mets en bouche, les suçotent un petit peu. J’ai soudain envie de l’embrasser mais sa permissivité et celle de Daniel va-t-elle jusque là ?
Tactiquement je lui fais des bisous dans le cou, puis je remonte un peu, nos bouches sont très proches l’une de l’autre. Je n’ose pas, j’attends un signal. Ses lèvres s’ouvrent, c’est bon, on se roule une pelle, je bande, mais je bande, c’est dingue !
Je jette un coup d’œil aux deux autres zigotos qui sont en train de se faire une branlette mutuelle.
J’enlève la petite jupe de Noémie, elle n’avait pas de culotte et se retrouve donc quasiment à poil à l’exception de ses Dim-Up.
Bien sûr, je lui pelote ses petites fesses bien cambrées, puis je me baisse pour lui embrasser le pubis.
Mes lèvres s’aventurent un peu plus bas, je lui écarte ses lèvres vaginales, fourre ma langue dedans, me régale de ses sucs, puis m’attarde sur son clitoris.
– Stop ! Me dit-elle, il faut que je fasse un petit pipi.
Je pensais qu’elle allait se diriger vers les toilettes. Mais pas du tout ! Madame avise un compotier, en retire les deux ou trois pommes qu’il contenait, le pose par terre, s’accroupit dessus et pisse dedans. Quelle cochonne !
– Tu veux que je m’essuie ou je reste comme ça ?
– Je ne sais pas… balbutiais-je.
– Alors je reste comme ça ! Je vais m’assoir, ce sera plus pratique.
Effectivement. Elle s’affale dans un fauteuil et ouvre les cuisses.
– Allez, viens mon salaud, viens lécher ma pisse, fais-moi jouir, fais-moi jouir devant mon mari, et après c’est toi qui va passer à la casserole, il va bien t’enculer avec sa bonne bite.
Ce déchainement de vulgarité assez inattendu ne me dérange pas vraiment et je reprends ma besogne, lapant et me régalant de l’urine imprégnant sa chatte avant d’attaquer son petit clito décapuchonné. Assez vite sa respiration devient saccadée.
– Vas-y, vas-y, comme ça c’est bon ! Vas-y, Aaaaahh !
Madame à la jouissance bruyante !
Pendant qu’elle récupère, je m’interroge sur la suite, j’ai une envie folle de la pénétrer, mais je n’ose ! J’attends donc qu’elle me guide.
– Pouuuuh ! Tu m’as bien fait jouir, toi ! Viens me faire un bisou.
On y va et c’est reparti pour une nouvelle pelle bien baveuse, au terme de laquelle elle me dit :
– Et maintenant tu vas aller leur sucer la bite !
Ben, oui ! Et j’y vais. Je commence par celle de Daniel, uniquement parce qu’il est le plus près.
Petits coups de langues, sur la verge, sur le gland, cela me permet d’admirer la chose de tout près, une belle bite bien droite, bien tendue, bien nervurée et joliment terminée par un beau gland sombre et brillant. J’ouvre une large bouche puis me met à sucer. J’essaie d’imiter les mouvements de lèvres et de langues vus sur des vidéo coquines. Je me régale, ça me plait, aussi bien sexuellement que psychologiquement. Ce n’est quand même pas si souvent que j’aurais l’occasion de sucer la bite d’un collègue devant sa femme à laquelle je viens de prodiguer un broute-minou !
– Celle de Patrick, maintenant !
Bon, puisque c’est elle qui décide, on y va, j’avais déjà sucé quelques biroutes quand j’étais étudiant, la chose m’avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vite assagi quand j’ai rencontré Viviane (Viviane, c’est mon ex). Me remettre à sucer des bites 15 ans plus tard a quelque chose de magique, et celle-ci est bien agréable à sucer, je savoure cette jolie quéquette, m’enivrant de cette douce texture. Mais les meilleures choses ont une fin.
– C’est bon, tu l’as assez sucé ! T’aimes ça sucer des bites, hein petite pédale ? Me dit Noémie.
– C’est vrai que c’est bien agréable !
– Mets-toi en position, Maintenant on va t’enculer.
Je n’hésite même pas, je me mets en levrette, j’écarte les jambes et les fesses, j’attends… pas longtemps, mais ce n’est pas la bite de Daniel qui vient me titiller l’anus mais la langue de Noémie. Elle virevolte autour de mon œillet, je crois bien qu’on ne m’avait jamais fait ça. C’est son doigt qui maintenant a pénétré mon trou de balle. Ça va et ça vient, je sens un deuxième doigt. Puis elle enlève tout-ça.
– Ne bouge pas conserve la position. Ecarte bien ton cul avec tes mains.
J’obéis. L’humiliation de la situation (et de la position) m’excite terriblement, je me sens chienne, c’est une découverte !
Elle chuchote quelque chose aux autres hommes et quitte momentanément la pièce.
Elle revient harnachée d’un gode-ceinture.
– C’est pour faire le passage ! Me dit-elle en rigolant.
Ah, bon ?
Elle encapote le gode, en enduit l’extrémité d’une noix de gel intime, elle n’a plus qu’à l’approcher du trou de mon cul et à me pénétrer.
Ça y est, je l’ai dans le cul, son machin. Au début ça m’a fait drôle, me demandant quel plaisir il pouvait y avoir à se faire enfiler ce genre de chose dans un orifice qui n’était pas fait pour ça. Ça ne me faisait pas mal, non, ça me gênait, ça m’encombrait.
Et puis la sensation a vite changé, je n’ai plus trouvé ça désagréable, et des petits frissons de plaisirs ont commencé à m’envahir.
– Vas-y c’est bon, continue !
Sauf qu’elle n’a pas continué, elle s’est retirée, jouant les grandes dames :
– Messieurs, il est à vous.
Tout juste sil elle n’a pas fait une révérence.
J’ai conservé la position, j’ai senti le gland de Patrick quémander l’entrée de mon anus, puis y entrer, s’enfoncer et me pilonner. La sensation est différente d’avec le gode, d’abord, c’est vivant et puis psychologiquement, c’est autre chose, je me fais maintenant enculer pour de vrai, et cela m’excite.
J’ai senti Patrick jouir dans mon cul, il a laissé la place à Daniel qui l’a un peu plus grosse. Ce fut divin.
Et pendant que mon collègue me pilonnait le cul, m’envahissant d’ondes de plaisir, Patrick sodomisait Noémie avec fougue. Celle-ci jappait, haletait, appelait sa mère et finit par jouir dans un cri de fauve avant de s’affaler comme une chiffe molle.
En se retournant, elle ôta la capote se son partenaire et lui nettoya la bite de son sperme, manifestement elle se régalait.
Daniel sorti a son tour de mon cul, je n’avais pas joui, mais n’en étailt pas loin, c’est Noémie qui me fit conclure en me prenant ma queue en bouche, avant de me rouler une pelle au gout particulier.
Elle s’en alla ensuite en cuisienne chercher du Champagne qu’elle versa dans les coupes.
Elle nous les distribue. On va pour trinquer….
– 1, 2, 3. Commence-t -elle
– ?
– Il est des nôootres, il s’est fait enculer comme les oooootres…Chante en chœur le joyeux trio.
– C’est malin !
FIN
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