Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:32

Coquine voisine par Claire_N

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ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

Bonjour ! Je ne pense pas qu’on puisse se mettre à faire de la scato, comme ça, du jour au lendemain, à moins qu’on ait des prédispositions, à moins que les circonstances soient particulières, à moins que tous cela se conjugue… Mais lisez plutôt :

 

Je m’appelle Claire j’ai 24 ans, je suis célibataire, mais j’ai un petit ami régulier, il aurait bien voulu qu’on se mette en ménage, mais moi je tiens de trop à mon indépendance. J’habite au troisième étage d’un bel immeuble moderne et j’ai sympathisé avec Annie, une voisine, une nana dans les quarante ans, divorcée, de grands cheveux frisés et l’air canaille. Elle me dévore des yeux, elle doit être un peu goudou sur les bords. Moi je n’ai rien contre, tout n’étant que question de circonstances… Je lui ai d’ailleurs un jour fait comprendre que peut-être un jour…

Ce jour-là, je suis passée chez elle pour lui emprunter un peu de gros sel et elle m’a offert un verre qui fut vite suivi d’un deuxième… Je sais m’arrêter de boire et c’est d’ailleurs ce que j’ai fait. N’empêche que l’alcool ça désinhibe, j’ai fait alors semblant d’avoir bu un coup de trop, afin de voir si elle allait oser en profiter.

 

Ça ne loupe pas, elle me dit qu’elle a au cours d’une soirée appris un nouveau jeu très amusant et me propose d’y jouer. Moi très curieuse, lui dis oui avant même de savoir de quoi il s’agissait. Annie explique les règles du jeu qui consistait à me laisser faire quoi qu’il arrive pendant une minute chrono, puis ensuite de répéter tous les gestes qu’elle avait fait, pas trop compliqué jusque-là !

 

Le jeu commence, elle s’approche de moi tout doucement commence à me déboutonner mon petit haut. Instinctivement je me suis reculé avant de jouer le jeu, c’est le cas de le dire et de me laisser faire.

 

– C’est encore à moi de jouer ! Me dit Annie, puisque t’as reculé.

 

On ne va pas la contrarier ! Elle m’enlève carrément le chemisier. A moi de jouer, son haut à elle n’a pas de bouton, je le lui retire donc en passant par la tête !

 

A son tour de jouer ! Est-ce qu’elle va oser me dégrafer mon soutien-gorge ? Elle me fait un sourire très coquin et elle ose ! Et me voilà les nénés à l’air chez ma voisine de palier !

 

– Qu’est ce qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.

 

A mon tour de lui dégrafer le soutif ! C’était déjà prometteur, mais là j’ai devant moi une ce ces paires de loches bien dodues terminées par des tétons bruns aux pointes érigées. Maman, je mouille !

 

– C’est à moi ! Me dit Annie qui cette fois se rapproche un peu plus, elle me donne un baiser plein de chaleur, mon corps est devenu tout mou et tout chaud.

 

Je lui rends la politesse et me régale de ses gros tétons, Je vais la bouffer, la voisine !

 

Une minute c’est vite passée et je sens maintenant ses mains chaudes et douces me caresser les seins puis sa langue sur le bout de mon mamelon durci par ses gestes, je ne peux plus résister.

 

Je ne sais plus trop comment le jeu a évolué ensuite, disons que nous n’avions plus besoin de prétexte.

 

Une chaleur intense me parcoure tout mon corps. Ses mains glissent sur mon ventre et reviennent à mes seins et ses lèvres sont sur les miennes, tout va très vite. Une main se glisse entre mes cuisses et elle fait pénétrer son doigt avec un mouvement de va-et-vient. Sous tant de caresses mon corps frémit, je me mets à me gémir, ma tête me tourne, c’est si bon

 

– On va dans la chambre ? Me propose-t-elle !

– On ne joue plus alors !

– On va changer de jeu, on va jouer à broute-minou ! Rigole-t-elle.

 

On est maintenant nue toutes les deux, je me suis allongée sur le dos, elle se met à quatre pattes au-dessus de moi de façon que je puisse avoir sa chatte au-dessus de mon visage. Je ne comprends pas encore pourquoi, jusqu’au moment où je sens sa langue chaude sur mon clito et son doigt à l’intérieur de moi, elle me demande de lui faire la même chose. Je prends ses hanches entre mes mains et dépose ma langue sur cette chatte toute chaude et juteuse à souhait, c’était si bon que je sens jaillir en moi un désir insoupçonné. Je glisse mon doigt dans son vagin avec un mouvement de va-et-vient, je le retire pour pouvoir faire la dégustation de ce jus chaud.

 

Et la voilà qui se relève et m’informe qu’elle a une envie pressante.

 

– Tu viens ? Me propose-t-elle.

 

Pourquoi devrais-je venir, moi je n’ai pas envie… du moins je le pense pas.

 

– Je t’attends !

– Tu as tort, il est très beau mon pipi, et aussi très bon !

– Mais je n’en doute pas !

– Viens !

 

Puisqu’elle insiste… je ne suis pas idiote, je sais très bien ce qu’elle veut faire, et je me surprends à faire ma mijaurée alors que parfois dans mes fantasmes… Pas que dans mes fantasmes d’ailleurs

 

– Tu veux me pisser dessus ? lui demandais-je

– De la bonne pisse bien tiède… tu voudrais la boire ?

– Pisse moi dessus, ma cochonne !

– Ouvre la bouche !

 

Je le fais comme dans un rêve !

 

– Mais non idiote, couche-toi par terre, je vais venir sur ta bouche.

 

Ben oui évidemment !

 

Je n’aurais jamais imaginé que sa pisse soit aussi bonne, j’en reboirais !

 

– J’ai envie de faire autre chose…

 

C’est ce qui s’appelle un ballon d’essai.

 

Il faut vraiment que je sois super excitée pour ne pas mettre fin immédiatement à cette proposition scatologique.

 

– Essaie ! Lui répondis-je partagée entre la crainte que la chose me révulse et la fascination de franchir un tabou.

 

Elle a le tact se déplacer légèrement afin que je ne reçoive pas son « cadeau » sur la tronche ! « Pas tout le même jour ! » comme me disait ma grand-mère quand elle m’emmenait à la fête foraine.

 

Un gros boudin sort de son trou du cul et vient atterrir au-dessus de ma poitrine.

 

Bizarrement, ça ne me révulse pas, mais alors pas du tout, ce joli boudin, je le trouve même attendrissant, ce soit être l’effet de l’alcool. Cela dit, c’est bien joli tout ça, mais on fait quoi, maintenant ?

 

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Annie se redresse, ramasse sa merde dans ses mains, le regarde et rigole à la façon d’une gamine qui vient de faire une grosse farce.

Elle approche l’étron de sa bouche… elle ne va pas faire ça… Si elle le fait, du bout de sa langue elle atteint la merde, me regarde fixement, comme pour me narguer, puis redonne plusieurs petits coups de langue successifs.

 

– T’as déjà fait ça ? Me demande-t-elle.

– Non ! Jamais !

– Tu veux essayer !

– Non, non vraiment pas !

 

Elle dépose le machin sur le sol, mais s’en met un peu sur le doigt et s’en badigeonne très légèrement le haut des lèvres.

 

– Et m’embrasser, tu le ferais ?

 

Je suis hypnotisée par son audace. Je ne sais comment réagir, mais je m’aperçois qu’au lieu de l’envoyer promener par un « non » énergique, je n’en fais rien. Jusqu’où va m’emmener cette salope ? Je peux encore reculer, je ne fais pas, j’approche mes lèvres des siennes me disant que je peux me reculer au dernier moment.

 

Un centimètre, peut-être moins, sépare nos lèvres, je respire un grand coup, la jonction se fait, on s’embrasse, j’ai fait ça comme si je m’imposais un challenge, c’est âcre, mais ça n’a rien d’abominable. Je suis excité comme une puce.

 

Annie prend de la merde et se l’étale sur les seins. Je suis partie dans son trip, et sans qu’elle ne me le demande je lui lèche les tétons, d’abord timidement puis de façon plus hardie.

 

J’ai l’entrejambe trempée comme une soupe, Annie vient entre mes cuisses, langue en avant sur mon clito et me fait jouir en un temps record.

 

Je lui ai rendu la pareille, on s’est embrassé, on s’est douché.

 

J’étais venu faire quoi, déjà chez la voisine, ah oui, chercher du gros sel…

 

Claire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:26

Chaise percée par Claire_N

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – SCATO EXPLICITE

J’ai un peu honte quand même ! Après un premier roman dont le succès fut tout à fait inattendu, on me demanda d’en écrire d’autres. Mais c’est que je n’avais plus d’idées, moi. Et puis en longeant les étales des bouquinistes sur les quais de la Seine, j’ai eu un déclic, j’ai acheté une dizaine de vieux bouquins d’auteurs complètement tombés dans l’oubli, à la maison j’en ai éliminé deux qui étaient réédités, puis j’ai lu les autres en vitesse rapide, en en envoyant trois à la corbeille car vraiment trop tartes. J’en ai sélectionné un, et j’ai commencé à le recopier sur mon ordi, j’ai modernisé le cadre, les personnages, le style et les dialogues, j’ai changé tous les noms propres et introduit un petit peu de sexe. Et zlouf chez l’éditeur, et hop deuxième succès. La ficelle est bonne à raison d’un bouquin par an, je ne me fatigue pas trop, et l’argent rentre bien.

 

Bon, parlons d’autres choses, mais toujours de moi, je me prénomme Marie-Adelaïde (on ne rigole pas), j’ai la presque quarantaine, cheveux auburn mi-longs, un petit peu forte et quelques kilos en trop, mais je plais. Je suis célibataire, j’aime le sexe, je devrais plutôt dire que j’aime beaucoup de choses dans le sexe, mais ne pratique pas plus que ça, j’adore fantasmer et j’adore écrire mes fantasmes dans des romans qui ceux-là ne seront sans doute jamais édités. Je me masturbe beaucoup, et s’il m’arrive d’avoir des aventures avec des hommes ou des femmes, c’est souvent sans lendemain…

 

L’histoire peut commencer :

 

Les obligations de cette ennuyeuse réception touchaient à leurs fins. Je m’y étais rendue pour me montrer, parce que mon éditeur avait insisté. Voilà qui était fait à présent, j’avais salué tout le monde, on saurait que j’avais honoré ce machin de ma sulfureuse présence, ça suffisait à présent. Déjà je me dirigeais vers le vestiaire.

 

– Vous partez déjà ? Feint de s’étonner un bellâtre déguisé en pingouin.

– Quelle perspicacité ! Vous êtes très fort !

– Quel dommage, j’aurais tant aimé échanger quelques mots avec vous !

– Vous vous en remettrez ! Lâchais-je avec agacement, laissant là le casse pied.

 

N’aimant guère conduire, j’étais venue en taxi, bien obligée donc de rentrer de la même façon, ce qui me fit pester devant la nécessité de devoir rechercher une station. Je traversais la cour d’entrée qui faisait également office de parking privé sans me préoccuper de ce petit groupe de personnes discutaillant près d’une étonnante automobile jusqu’à ce que j’y aperçoive une superbe femme à la chevelure blonde et quelque peu énervée venant à ma rencontre :

 

– Marie-Adélaïde ! Quel plaisir, mais vous partez déjà ?

– Sabine ! Quelle surprise ! Ça me fait plaisir aussi, on devait se rappeler, on ne l’a fait ni l’un ni l’autre, c’est dommage !

– Et bien prenons rendez-vous tout de suite, mais peut-être pourrions nous nous saluer de façon moins protocolaire, non ?

 

Nos bouches se collèrent alors et nous restâmes figées sur place immobilisées par un long baiser, sous les regards salaces des gens qui étaient là.

 

– Quelle fougue, Sabine !

– Qu’est ce tu veux ! Tu m’excites !

– Tu t’en vas ou tu arrives ?

– Non je m’en vais, je viens d’avoir un petit incident avec un mec ! Expliqua la blonde Sabine

– Comment on a fait pour ne pas se voir à l’intérieur ?

– J’étais enfermée dans les chiottes avec Philippe de Hautbuisson…

– Le mec de la télé ?

– Oui !

– Ben, tu ne t’emmerdes pas !

– Bof ! Repris la belle blonde, il n’a pas beaucoup d’intérêt, c’est un dragueur fou, il parait assez marrant comme ça… Je lui ai proposé de me baiser dans les chiottes…

– Toujours aussi romantique, Sabine !

– Tu parles ! Il a accepté, mais il est devenu brutal, j’ai été obligé de le gifler pour m’en débarrasser.

– Non ?

– Si… Du coup j’ai pas baisé… Mais tiens, en parlant de romantisme, j’ai bien envie de te faire quelque chose de vachement romantique à toi !

– Chiche !

– Tu as quelque chose de prévu, là tout de suite ?

– Rien du tout !

– Je t’embarque alors, on va chez moi ?

– Embarque-moi !

– J’ai une de ces envies de te bouffer la chatte. Allez, on y va…

 

Sabine m’invita alors à monter à bord de son véhicule, elle se débarrassa de sa veste de tailleur avec un geste d’agacement :

 

– Ce con, il m’en a foutu partout, tout ça c’est bon pour le nettoyage !

– Ejaculateur précoce ?

– Non, goujat et simplet ! Une fois dans les chiottes, comme j’avais une petite envie de pipi, je lui ai proposé de regarder. Et bien, non, ça ne l’intéressait pas, il a détourné son regard. Après je l’ai sucé, il a une très belle bite, vraiment très belle, je me la voyais déjà dans mon cul ! Je l’ai sucé une dizaine de minutes, et puis soudain il s’est énervé, il a voulu me prendre mais il me serrait trop fort. Comme il ne tenait pas compte de mes protestations, je lui ai balancé une gifle, il s’est dégagé et à tout lâché sur moi. Je ne pouvais pas rester comme ça, c’est dommage, je me serais bien envoyée en l’air !

– Et sinon, tu fais toujours du théâtre ?

– Oui ça marche moyen, un peu de télé aussi, enfin je ne me plains pas !

 

Je me remémorais ma première rencontre avec Sabine, nous nous étions gouinées avec une rare frénésie, nous léchant, nous suçant, nous envoyant des godes dans tous les trous, nous compissant. Un moment, j’avais osé lécher l’anus de ma partenaire :

 

– Tu aimes ça me lécher le cul, hein vicieuse ?

– J’adore !

– Il ne sent pas un peu fort ?

– Si, mais ça ne me dérange pas du tout !

– Humm, allez enfonce bien ta langue, un jour tu me serviras de papier à cul !

– Pourquoi pas ? Avais-je simplement répondu.

 

Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. L’épisode des toilettes intervint environ une heure plus tard. Sabine ne m’avait pas prévenu de ce qu’elle allait y faire, m’invitant simplement à rester près d’elle, elle se mit alors à déféquer mais sans que l’on voie ce qui se passe, juste trahie par le floc de l’étron dégringolant dans la cuvette et l’odeur dégagée.

 

– Tu me nettoies le cul avec ta petite langue ?

 

J’hésitai, mes joues s’empourprèrent.

 

– Je ne suis pas encore prête pour faire ça ! Bafouillais-je.

– Je vais t’aider alors, mais t’inquiètes pas, on ne va pas se polariser là dessus, non plus !

 

Elle prit alors du papier et s’essuya le cul, une seule fois !

 

– Voilà, j’ai enlevé le plus gros ! Tu veux essayer maintenant ?

– Juste essayer alors !

 

J’entrepris de balayer alors de ma langue, le trou du cul de ma partenaire, partagée entre une excitation qui neutralisait mes derniers tabous et la crainte d’aller trop loin, mais ce ne fut pas une corvée.

 

– Alors, elle est comment ma merde ?

– Délicieuse ma chérie !

 

Elle se redressa, la chasse d’eau n’avait pas été tirée, plongeant ses mains dans la cuvette elle ramassa l’étron qui y flottait, l’approcha de sa bouche et le lécha d’un très bref coup de langue en me jetant un regard de défi avant de le rejeter.

 

Une scène très brève mais qui resta gravée dans mon armoire à fantasmes.

 

Sabine eut l’intelligence de revenir à des choses plus classiques, mais au moment de nous séparer, elle m’avait susurré :

 

– Si tu veux une prochaine fois, on pourra être encore plus cochonnes ! Appelle-moi !

 

Mais aucune d’entre nous n’avaient appelé, chacune espérant secrètement que ce soit l’autre qui fasse le premier pas.

 

Revenons au présent

 

Au bout de quelques minutes de conduite, Sabine ne put se retenir de profiter du premier arrêt pour m’embrasser de nouveau, déjà sa main fouillait ma culotte, mais un klaxon derrière nous la fit s’interrompre.

 

– Donne-moi ta culotte ! Demanda la blonde.

– Tu en fais collection ?

– Je voudrais bien la sentir !

 

Je me mis alors à me contorsionner pour enlever son string, le portant à mes narines avant de la refiler à ma conductrice.

 

– Hum, si tu savais ce que ça me fait ? Reprit cette dernière, tandis que mes mains venaient fureter à leurs tours dans ses chairs intimes.

 

Le trajet était assez court, arrivées au pied d’un immeuble ancien et cossu, nous sommes montées au second étage, là où Sabine avait ses appartements.

 

A peine entrée, j’eus la surprise d’entendre des bruits de pas, puis de voir apparaître une jeune femme brune de taille moyenne, simplement vêtue d’une robe de chambre.

 

– Oh ! Excusez-moi, madame, bonjour madame, j’ai eu peur en entendant le bruit de la serrure, je ne pensais pas que vous rentreriez si tôt !

– Il y a un imbécile qui m’a foutu du foutre plein mes fringues… Demain tu me trieras tout ça et tu apporteras ce qu’il faut au pressing.

– Bien Madame !

– C’est Faby, c’est ma petite bonne, elle est mignonne, non ?

 

C’est vrai qu’elle était mignonne, la Faby, une belle petite brune avec un joli visage malicieux.

 

– Madame a-t-elle besoin de mes services ? Demanda cette dernière.

– Je ne sais pas encore, mais commence donc par enlever cette robe de chambre ridicule pour que mon amie puisse mieux te voir !

 

Elle n’avait rien en dessous et Faby s’exécuta sans aucune hésitation et nous exhiba son joli corps bronzé.

 

– Tourne-toi, montre-nous ton gros cul de pétasse, ordonna Sabine commençant à s’exciter !

– Hummm, c’est vrai qu’elle a un joli cul ! Je peux toucher ? Demandais-je

– Bien sûr, elle est très docile, très soumise… Et très efficace !

 

Je caressais les fesses de la petite bonne m’enivrant de leur douceur.

 

– Fous-y un doigt dans le cul ! Me demanda Sabine

 

Pourquoi pas ? Je me léchais l’index avant de l’introduire dans son anus et de la fouiller. Elle se trémoussait de plaisir mais j’eus conscience qu’un seul doigt, cela faisait peut-être un peu juste. Je sortis donc mon index avec l’intention de le réintroduire avec le majeur.

 

– Il est comment ton doigt ? M’interrogea Sabine, me coupant mon élan.

– Pas très propre !

– Quelle cochonne ! Viens ici petite cochonne, allez tourne-toi.

 

Faby fit ce qu’on lui demandait, et la main de sa patronne s’abattit avec force sur ses petites fesses.

 

– Aie !

– Comment ça : »aïe », je vais te faire crier pour de bon, va me chercher le martinet !

 

Elle revint très vite, le manche du martinet entre ses dents, je m’aperçus alors que ce manche avait la forme d’un pénis en érection et pouvait donc faire également office de gode.

 

– Ouvre ton cul ! Je vais regarder moi-même comment c’est là-dedans…

 

Lui prenant l’instrument, Sabine se mit à en lécher sommairement l’extrémité avant de le fourrer dans le cul de la petite soubrette, elle fit aller et venir l’objet une dizaine de fois avant de le ressortir maculé de matière. Puis sans transition, elle se mit à zébrer les fesses de la pauvrette qui se mit alors à gémir sans qu’on sache qu’elle était là-dedans la part du plaisir et celle de la souffrance.

 

– Tu sais, me dit Sabine, parfois je m’amuse à la punir de façon très spéciale…

– Ah, oui ?

– Par exemple, il m’arrive de lui demander de me servir de papier à cul, ça t’intéresserait de regarder ?

– Si elle est d’accord ?

– Mais elle est toujours d’accord, c’est une gentille petite soumise, n’est-ce pas, ma petite salope ?

– Oui madame !

– Tu aimes ça me nettoyer mon cul plein de merde avec ta langue ?

– Oui, madame, j’aime bien faire ça !

– Mwais, mais pour ce soir, c’est râpé, si j’ai envie de me faire lécher le cul, je crois que Marie-Adélaïde aura la priorité. Va donc nous chercher à boire, tu voudrais quoi toi ? Me demande-t-elle.

– T’as de la bière ?

– Ça marche.

– Dois-je m’habiller pour faire le service ? Demande la petite bonne

– Non, reste à poil ! Et avant tu va me nettoyer la main avec ta langue, je l’ai toute dégueulassé avec ce martinet plein de merde

 

Toutes ces péripéties nous ont bougrement excitées et quand Faby revient, elle nous surprend enlacées, bouches collées et mains baladeuses…

 

– Vos bières, mesdames !

– Ajoute quelques gouttes d’urine, ce sera meilleur !

 

Sans se démonter, la soubrette prend alors chaque chope, la place sous sa chatte et pisse un peu dedans.

 

Nous trinquons et restons enfin seules toutes deux.

 

– Dingue d’avoir une soubrette comme ça ! T’as fait comment pour la trouver ?

– Sur Internet, ça te tente ?

– Je sais pas, je suis trop indépendante pour supporter quelqu’un dans mes pattes, j’ai quelqu’un qui vient faire le ménage et le repassage, mais ce n’est pas à plein temps et il n’y a pas de sexe.

– A la tienne !

– A la tienne, répondis-je goûtant cette étrange mixture

– Tu trouve ça comment ?

– Pas mauvais ! Glups !

– Quelle descente !

– J’avais soif !

– Je peux t’en refaire si tu veux !

– Laisse donc ta soubrette se reposer !

– C’était bien mon intention ! Si je t’en ressers, ce sera avec mon pipi !

– Alors dans ce cas je veux bien !

– Avec ou sans bière ?

– Pure !

– OK, viens, je vais d’abord te déshabiller, ensuite ce sera toi qui me déshabilleras, après je t’offre ma pisse et pour finir tu me lècheras le trou du cul. Ça te convient comme début de programme ?

– Super !

 

Elle commence par me retirer mes chaussures puis me baisse mon pantalon, et enfin la culotte !

 

– Hummm, j’adore ton cul ! Déclare-t-elle en m’administrant une claque amicale mais néanmoins appuyée sur ma fesse droite.

– Bien, écartons tout ça… Mais dis donc petite cochonne, t’es mouillé jusqu’au trou du cul !

 

Elle s’agenouille derrière moi, me fourre son nez entre les deux fesses !

 

– Quelle odeur ! Tu peux pas savoir ce que ça me fait !

 

Je sens sa langue à présent qui me lèche le troufignon, je « pousse » un peu pour qu’elle puisse y pénétrer un peu, et c’est à ce moment là que je m’entends lâcher un pet !

 

– Oh ! Je suis désolée !

– Ne sois pas désolée, ça ne me dérange pas, au contraire, vas-y pète moi encore dans la bouche !

 

Ça me gêne un peu quand même, mais devant son insistance je pousse de nouveau, et je pète de nouveau, elle rigole ! Je me demande comment je vais réagir si elle me fait la même chose ! C’est à présent son doigt qui me fouille, enfin quand je dis « son », je devrais dire « ses » ! Deux ou trois je n’arrive même pas à dire ! Superbe cette sensation. Et elle continue ! Il est curieux comme les muscles des sphincters arrivent à communiquer des ondes de plaisir !

 

– T’aime ça, hein qu’on te fouille le cul !

– Oui continue, c’est trop bon !

– Je parie que tu adores te faire enculer !

– Oui, mais j’en abuse pas !

– Tu as tort ! Tu voudras que je te prenne avec un gode ceinture ?

– Fais moi tout ce que tu veux, j’ai envie de me laisser faire !

 

Elle retire ses doigts, me les fourre sous le nez ! Il y en avait bien trois, ils ne sont pas très propres et ils puent la merde !

 

– Lèche !

 

J’attendais cet ordre, je l’exécute avec infiniment plus de facilité que prévu.

 

– Hum, c’est bon !

– Finis de te déshabiller !

 

J’enlève le haut

 

– Hummmm, j’aime bien tes nichons

 

Elle m’en attrape les bouts et me les serre violemment entre ses pouces et ses index

 

– Aïe !

– Qu’est ce que tu as à rouspéter, je te fais mal ?

– Oui, mais je ne te demande pas d’arrêter !

 

Elle les mordille, à présent, ça me donne des frissons de plaisir, j’ai la chatte qui dégouline.

 

On se pelote, on se roule des pelles, on est contentes d’être ensemble.

 

– Viens je vais te montrer quelque chose.

 

Je la suis, elle ouvre un petit cagibi assez exigu d’environ deux mètres de long sur un mètre de large. Il n’y a dans cet endroit qu’une chaise, mais elle est percée.

 

– J’ai trouvé ça aux puces. Tu connais ?

– Pas vraiment, mais j’imagine l’usage.

– Il y avait un petit texte collé à l’arrière du dossier, je vais t’en lire un bout, tu vas voir ce n’est pas triste :

 

« Quand la duchesse de Bourgogne, maîtresse de Louis XIV parlait, alors qu’elle était sur sa chaise percée, à ses amies, Madame de Nogaret et Madame du Châtelet, elle n’était pas le moins du monde gênée par ces fonctions naturelles. Il paraît même que… c’est là qu’elle s’ouvrait le plus volontiers. Voir le roi Louis XIV chier sur sa chaise percée représentait un privilège considérable, réservée à une élite d’une vingtaine de courtisans, visiteurs et invités, triés sur le volet. Pas uniquement des hommes puisque la duchesse de Montpensier ayant assisté s’en était montré, dit-on fort satisfaite, et ce ne sont là que quelques exemples. O tempora o morés.

 

– On en apprend des choses chez toi !

– N’est-ce pas ? Il en existe des modèles modernes qu’on trouve sur Internet dans des sex-shop en ligne, mais je préféré celui-là, c’est du joli bois et rien ne vaut le rustique.

– T’as raison !

– Et donc en-dessous on peut mettre un seau, une cuvette… ou quelqu’un…quelqu’un que l’on veut punir, ou quelqu’un qui veut s’amuser. Tu voudrais qu’on l’essaye ?

– Avec moi en dessous je suppose ? Aurais-tu l’intention de me chier sur ma jolie frimousse ?

– Ça te tente ?

– Disons que j’ai envie d’essayer ! Mais je vais peut-être me dégonfler au dernier moment !

– Allez on y va, glisse-toi là-dessous !

 

J’y vais, tandis que Sabine s’assoit sur la lunette, curieuse vue puisque je ne vois que ses fesses.

 

Moment d’appréhension, je sais que si ce qui va me tomber sur le visage est trop mou, je ne vais pas aimer et que je mettrais fin à l’expérience.

 

Non, ce que je veux, c’est du consistant, du bien moulé !

 

Je vois son magnifique petit anus s’ouvrir doucement, puis faire quelques mouvements de contraction. Un petit bout de crotte finit par apparaître et demande à sortir. L’étron grossit de plus en plus et de plus en plus vite, il doit faire maintenant quinze centimètres. Et tout d’un coup il se détache, j’ai fermé la bouche par réflexe, mais j’ai la merde de ma copine sur le visage, et le temps de réaliser un second étron vient s’affaler sur le premier.

 

Je ne sais pas trop quoi faire, je rampe pour me dégager de l’endroit, je retire les étrons de mon visage, mais je ne me relève pas et les place sur mon ventre. Je m’en suis mis plein les mains.

 

– Lèche les ! Me dit sabine !

 

Ben oui, au point où j’en suis !

 

Sabine vient ensuite prendre les étrons dans sa main et m’en badigeonne le corps, les seins, le ventre, les cuisses et même le visage. Je suis mignonne comme ça, je demande à me regarder dans un miroir, ça me fait rigoler, qui aurait cru que je ferais ça un jour.

 

Mais ce n’était pas fini, mon amie m’a demandé de la badigeonner à son tour, ce que je fis, nous rigolions comme des bossues. Puis c’est elle qui m’a léché mes sens tout pollués, j’étais tellement excitée que quand et m’a demandé de lui faire la même chose, je n’ai pas hésité une seconde.

 

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Il restait un bout d’étron compact, Sabine le prit entre ses lèvres, le suça un peu et me fit signe de venir lécher l’autre extrémité.

 

Jamais je ne m’étais sentie aussi salope.

 

– Tu ne veux pas essayer de chier, toi, Me propose-t-elle.

– Je ne te promets rien, je vais essayer !

 

Ben, non, ça ne vient pas. Sabine m’aide alors en introduisant son doigt et en me fouillant le cul. Je crois que ça va pouvoir se faire, je pousse, un bel étron lui tombe sur le visage, elle le lèche.

 

– Humm, ta merde est exquise !

 

On s’est encore embrassées avec le goût de la merde dans nos bouches et puis on s’est retrouves toutes les deux par terre, en soixante-neuf et nous nous sommes léché la chatte jusqu’à la jouissance.

 

Après une petite douche en duo, nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir, promesse qui n’engage à rien…

 

Je décidais de rentrer à pied chez moi, un peu d’air frai ne pouvant que me faire du bien, et je sifflotais comme un pinson, heureuse de nos bêtises et finalement très bien dans ma peau et plein d’idées pour les romans que je ne publierais jamais.

 

Claire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 15:49

Soif d’elle par Claire_N

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Je vous ferai grâce des détails concernant les débuts de notre relation. Ils sont banals. Cependant, à la faible lueur de cette chandelle, j’ai envie de vous parler d’elle. De cette journée qui, par un heureux hasard, fit croiser nos chemins.

Imaginez un petit café, un après-midi. Les quelques clients épars lisent un journal ou font des ronds avec leur cuillère dans leur tasse. Nous sommes assises toutes les deux face à face, encore sous le choc de notre propre audace. Le désir mutuel d’explorer notre féminité a vite fait de taire nos bavardages habituels. Qu’elle est belle ! Le soleil fait une curieuse danse sur son doux visage. Son sourire invitant meuble le silence.

 

J’ai envie d’elle. Là, tout de suite. Complices de ce désir bouleversant, nous nous dirigeons vers les toilettes. Un coup d’œil rapide nous rassure. L’endroit est calme. Nous ne serons pas dérangées ! Elle y entre. Je la suis. Sa chevelure me laisse une odeur que j’hume fébrilement. Un peu gauches, nous nous enfermons dans la cabine du fond. Drôle d’endroit ! Qu’à cela ne tienne. Le désir se fait trop pressant. Nos visages s’approchent l’un de l’autre, nos lèvres se soudent. Quel étrange et doux baiser. J’ai son corps plaqué contre le mien. À travers nos vêtements, on peut sentir les courbes de l’une et l’autre. C’est diffèrent, sensuel. Puis la vague nous submerge. Nos mains, tantôt maladroites, se font soudainement gourmandes autant que nos bouches.

 

Nous nous couvrons d’avides baisers, de caresses voluptueuses. J’en oublie l’endroit fort peu conventionnel pour une telle exploration. Exploration ? Non ! Explosion ! Je me laisse doucement submerger. Que j’ai soif d’elle ! N’en pouvant plus, j’ose mettre un genou sur le carrelage froid de l’endroit. Je soulève sa jupe. Elle n’a pas de culotte. J’enfouis mon nez dans sa douce fourrure. Je la respire. Je dépose quelques timides baisers sur ses cuisses puis dirige mon regard brulant vers elle. Sa tête renversée vers l’arrière, ses paupières closes, son souffle saccadé me donnent le feu vert.

 

J’écarte doucement ses doux replis. Un bijou s’offre à moi. Son clitoris ! Du bout de ma langue, je titille ce joyau si précieux. Elle s’appuie sur la porte de la cabine, avance son bassin vers moi. La cuvette de toilette est encombrante, elle est dans mon dos. Je déplace mon corps un peu, pour trouver une position plus confortable. Mes mains caressent ses cuisses, la rondeur de ses fesses. Je suis tout à coup gênée devant ses splendeurs ainsi offertes.

 

Devinant mon trouble, elle me caresse les cheveux, m’attire toute contre sa douceur intime. Elle est moite. Comme moi, dans ma culotte. J’initie un léger baiser sur ses replis. Je la goûte pour la toute première fois ! Encouragée par ses soupirs à peine retenus, je la goûte à nouveau. Ma langue se fait exploratrice. Puis un peu taquine, là, sur son clitoris.

 

Claire01

 

De mes mains, je multiplie les caresses. Ses cuisses. Son ventre. Je remonte jusqu’à sa poitrine, jusqu’à ses seins généreux. Ma langue n’a pourtant pas quitté son nouveau nid. Je l’ai fait jouir. Plaisir fulgurant ! Je reste collée contre sa fente d’amour, elle me prévient qu’elle va pisser, j’ouvre la bouche, je la bois. Délicieux nectar !

Combien de temps dura ce doux intermède dans la cabine du fond ? Je l’ignore. Je me souviens seulement des sourires échangés au-dessus de nos cafés, beaucoup plus tard… et du soleil qui redescendait doucement le long de la vitrine du petit café, rue St-Antoine. J’ai encore son gout sur mes lèvres. J’entends encore, telle une symphonie, ses gémissements de surprise et de plaisir.

 

Demain, elle me l’a promis, c’est elle qui me boira…

 

Claire_N

 

Publié à l’origine sur le site canadien de Sophiexxx en 1999

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 15:46

Echos dans la montagne par Claire_N

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ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

 

 

Je suis Laurie, la trentaine, petite brune décolorée auburn, petite poitrine, on dit de moi que j'ai une jolie frimousse et c'est vrai que je plais… on me dit aussi coquine, et c'est vrai que le sexe ne m'indiffère pas et que j'aime bien le conjuguer dans beaucoup de variantes.


Je devais en ce joli mois d'Août, rejoindre Josée, une collègue un peu nympho dans son chalet de montagne. La journée avait été exténuante, le TGV de Paris à Lyon qui avait du retard, puis attendre un tortillard jusqu'à la frontière italienne, puis un car, puis le reste à pied.


Josée a été une superbe femme, que dis-je, un canon, elle a aujourd'hui la cinquantaine, elle a néanmoins de très beaux restes. Son visage est resté remarquable, sa taille fine et sa poitrine arrogante. Elle s'est fait un chignon avec ses cheveux décolorés en blond cendré, cela lui va à ravir. On s'embrasse d'abord de façon relativement chaste, avant que la baiser devienne fougueux, à ce point que l'on bave et que de la salive nous coule sur le menton


- Je te présente, Sylvain, c'est mon fils !

- Enchanté !


J'embrasse le Sylvain, il n'est pas mal, blond à lunettes, assez fin, joli visage, la vingtaine…


- Tu dois être crevée, ma pauvre chérie ? Tu veux boire quelque chose ?

- De la flotte !

- D'accord, si tu veux, tu peux prendre une douche !

- Oui, mais avant, je vais souffler un peu !

- Et un petit massage, ça te dirait, si tu veux Sylvain peut te masser, il fait ça très bien… et c'est un coquin, il me masse à poil, ça l'excite !

- Et ben ! Tu ne perds pas de temps, toi !

- Il a une très belle bite ! Continue-t-elle et il sait bien s'en servir ! Ce matin, il m'a superbement enculé, c'était divin !

- Tu te fais enculer par ton fils ? Demandais-je innocemment ? 

- Bien sûr, il est vicieux comme tout, il aime bien lui aussi se faire enculer, alors de temps en temps, je lui mets un petit gode ! N'est-ce pas que tu adores ça, Sylvain.

- Oui, maman.

- Et bien, quelle famille !

- Allez, Sylvain montre ta bite à ma copine Laurie, elle aime bien les belles bites.


Le Sylvain, ne fait ni une ni deux et envoie son bermuda sur ses chevilles, libérant ainsi une très jolie quéquette. Sa mère la branlotte un petit peu avant que je m'empresse de prendre en main. Après quelques mouvements de masturbation, la bite devient toute raide, un joli cylindre de chair parcouru d'une veine nerveuse, et terminé par un joli gland luisant et violacé. Je me penche et prends tout ça dans la bouche. Je suce, je lèche, je pompe et j'aspire. Le Sylvain n'en peut plus et me lâche toute sa purée dans la bouche.


Je n'avale pas tout et quémande la bouche de Josée. On se régale tous les deux du sperme de ce beau jeune homme


- Il est un peu rapide, dommage ! Maintenant je suis tout excitée, il va falloir que tu assumes, Josée.

- Pas de problème, mets-toi à poil sur le transat, j'arrive et je vais te faire sauter au plafond.


Quelques instants plus tard, la voici qui arrive et qui me fout ses gros nichons à hauteur de la bouche, je les tète bien sûr et les caresse. Elle se recule un petit peu puis bave sa salive sur ses seins, jusqu'à ce qu'il en deviennent presque visqueux. Je lèche tout ça et m'en régale. Elle redescend ensuite mon corps en l'effleurant de ses tétons, voilà qui me donne des frissons de plaisir. Elle s'amuse même à toucher mon clitoris avec son bout de sein… Mais bientôt c'est sa bouche qui est là, elle me lape, elle m'aspire, elle me lèche, elle me suce, et moi je pars au quart de tour. Quelques secondes de répit et je lui rends la politesse.


Le lendemain on avait décidé de faire une randonnée en montagne, on s'était vêtu légèrement mais en se couvrant de façon à se garder des coups de soleil. Josée avec son large chapeau, ses lunettes noires et son tee-shirt jaune qui lui moulait la poitrine faisait très star.


Il n'y a pas grand monde et les rares personnes que nous croisons nous saluent, traditions de la randonnée obligent !


- Bonjour !


Ça c'est un couple, une heure et demie plus tard, ils doivent avoir à peine la trentaine, la femme est très belle, genre grande brune aux cheveux courts, lui n'est pas mal non plus pour qui aime le genre tennisman. 


- Je me demande si on ne s'est pas perdu, on allait vers la Goupillière et on a dû rater un chemin. Nous explique la dame.

- On y va aussi, mais on s'est peut-être trompé nous aussi. Répond Josée. J'ai une carte, elle n'est pas très claire, mais on va regarder.


Pendant que Josée sort la carte de son sac à dos, le gars nous propose du jus d'orange que nous acceptons volontiers.


Effectivement, on s'est tous trompés, il nous faut donc revenir en arrière. On redescend ensemble, on cause un peu, on sympathise. Des groupes se forment, Josée et Sylvain discutent avec Claire, la femme. Moi, je reste un peu en arrière avec l'homme qui se prénomme Maxime. Il est plein d'humour, ce mec, vraiment super sympa, même si ce n'est pas trop mon genre. 


Deux nanas arrivent à notre rencontre, des bombes ! Grandes, blondes, bien faites et peu vêtues, des hollandaises ou des allemandes. On se regroupe tous pour les laisser passer, on se salue et elles continuent leur chemin en tortillant du cul, sous l'œil égrillard de Maxime qui en ce moment ressemble au loup de Tex Avery !


- Ben, alors, faut-vous remettre ! Plaisantais-je.

- Oh ! Excusez-moi, vous savez, je suis un peu obsédé, mais ne craignez rien, je sais me tenir !

- Ce sont des choses que l'on peut comprendre, nous aussi on est un peu obsédés ! Croit alors judicieux de préciser Josée qui nous a rejoint.


C'est malin, ce genre de réflexion, maintenant toute la conversation tourne autour du sexe.


- Vous aimez les petites fantaisies, alors ? Demande Maxime.

- Les petites fantaisies, les grosses fantaisies, les surprises, les improvisations… toutes les bonnes choses quoi. Répond Josée.

- Humm, vous savez que ça m'excite ce genre de conversation ! Reprend-il

- C'est la conversation qui vous excite ou se sont mes gros nichons ?

- Les deux peut-être ?

- Vous aimeriez les voir ?

- Oui, bien sûr !

- Mais, il y a votre femme…

- Elle est aussi coquine que moi, vous savez !

- Claire, est-ce que cela vous dérange si je montre mes seins à votre mari ?


Et comme cette dernière n'y voit aucun inconvénient, même que ça la fait rigoler, Josée après s'être assurée que personne ne vient, retire son haut dévoilant un joli soutien-gorge en dentelles. Elle fait alors mine d'en rester là. 


- Ils sont magnifiques ! Admet Maxime.


Josée fait alors semblant de vouloir remettre son tee-shirt. Il faut voir alors la tête de cocker malheureux que nous fait le Maxime ! 


- Tu es vache, tu aurais pu les montrer mieux ! Intervins-je en entrant dans son jeu.

- Ben, pourquoi, on les voit déjà pas mal comme ça, non ?

- J'sais pas, moi, mais je pense qu'il aurait aimé que tu retires ton soutien gorge !

- Quel drôle d'idée ! Vous en pensez quoi Maxime ?

- Ben, heu…

- Ben, oui pas facile à dire, mais je crois comprendre. Dégrafez-moi donc ce soutien gorge, ça à l'air de vous faire tellement plaisir !


Le pauvre ! Son cœur ne va jamais résister, il passe derrière Josée et s'acharne à essayer de décoincer l'agrafe, il doit s'y reprendre à plusieurs fois.


- Et bien voilà, ça vous plait ? 

- Quelles merveilles !


Il bande le Maxime, le bermuda en est tout déformé.


- Vous pouvez toucher, mais juste un peu ! Propose Josée


Il ne se le fait pas dire deux fois et caresse les nichons offerts à pleines mains.


- Et vous, madame, ils vous plaisent ? Demande-t-elle à Claire qui les lorgnait d'une curieuse façon.

- Ils sont très beaux, mais ce n'est pas un peu lourd à porter ?

- Oh, vous savez, je suis habituée !


Josée se rhabille. Maxime tente de rester dans l'ambiance :


- C'est dommage que je ne puisse pas me soulager, j'ai une de ces triques ! Confie-t-il

- Oui, on a vu répond Josée, en lui mettant la main là où ça bande, ce petit chemin qui bifurque, il à l'air d'aller vers ce gros rocher, on pourrait se planquer derrière !


L'idée est adoptée à l'unanimité et on se rend à l'endroit proposé. Effectivement à moins de venir exprès, personne ne peut nous surprendre.


- Alors tu vas te soulager comment ? Demande Josée.

- Et bien je vais demander à Claire si elle est d'accord pour que l'on fasse ça ensemble, c'est un de nos fantasmes de faire l'amour devant des gens.

- Ça me paraît une excellente idée ! Approuve Josée.


Claire est d'accord, nos deux tourtereaux se foutent à poil, et étalent une serviette sur le sol. La femme se met à genoux et commence à sucer son mari avec avidité. On se met tous autour et on regarde. Sylvain a sorti son sexe et se met à se masturber en jouissant du spectacle.


Claire s'allonge ensuite sur la serviette et Maxime vient mettre son visage entre ses cuisses pour lui sucer la chatte, la nana réagit au quart de tour et bientôt l'écho des montagnes renvoie le cri de sa jouissance. Elle souffle une seconde, puis se positionne en levrette.


Sylvain s'approche de plus en plus, il est désormais à cinquante centimètres, bite en avant, du visage de Claire, c'est ce qui s'appelle une demande d'invitation implicite.


Claire lui fait signe d'approcher et lui suce la queue, tandis que son mari la pilonne par derrière.


- Change, viens dans mon cul, lui dit-elle !


Bien sûr qu'il y va, le Maxime, mais il jouit rapidement et décule. 


- Il a une belle queue ton mari ! Commente Sylvain toujours occupé à se faire sucer.

- Tu aimes bien les queues ? Lui demande Claire.

- J'aime tout !

- Et bien suce là… nettoie-là, Maxime est un peu bi sur les bords aussi, ça tombe bien.


Et du coup nos deux mecs se retrouvent sur la serviette en 69. Chacun suçant l'autre, Sylvain, pas vraiment gêné de sucer une queue qui sort d'un cul, jouira assez vite, mettant fin à cette petite fantaisie bisexuelle.


- Le spectacle vous a plu ? Demande Claire en s'adressant à Josée et à moi !

- Bien sûr !

- Quels cochons ces mecs… continue-t-elle, le mien ça lui prend de temps en temps de sucer des bites quand on va au sauna, je trouve ça excitant.

- Moi aussi ! Répondis-je. Mais il suce seulement, il n'a jamais essayé la sodo ?

- Il ne dirait pas non, mais on n'a jamais eu vraiment l'occasion, par contre à la maison je l'encule bien avec un joli gode ceinture.

- Humm… qu'est-ce que tu en penses Sylvain…

- Et bien le temps que mes batteries se rechargent et je pourrais lui rendre ce service ! Répond ce dernier.

- Et toi qu'est ce que tu aimes comme grosse cochonnerie ? Me demande Claire.

- J'aime bien pisser ! Justement j'ai une petite envie… ça te dirait ?

- Waouh, tout ce que j'aime, tu veux me pisser dessus ?

- Bien sûr que je vais te pisser dessus !


Pas très évident, cependant, se coucher sur le sol sans la serviette n'est pas évident à cet endroit, alors Claire choisit de s'accroupir, les mains projetées au sol en arrière afin de présenter son corps de façon oblique. J'avance et dirige mon jet sur son ventre, et sur ses seins, puis je comprends qu'elle ne serait pas contre le fait d'en boire un petit peu, je m'avance au-dessus de son visage et lui offre ce cadeau.


- Maintenant, il faut bien me nettoyer la chatte !

- Mais avec grand plaisir ! Répondit Claire, j'adore nettoyer les chattes pleines de pisse.

- Et tu en profiteras pour me lécher le trou du cul…

- C'était justement dans mes intentions.


Maxime me propose de m'allonger sur la serviette, je m'installe en levrette et Claire vient derrière moi me rafraichir la chatte à grandes lampées, je me demande si elle veut me faire jouir de suite, non elle change de trou et me lèche à présent le trou de balle.


- Humm, quelle odeur ! commente-t-elle

- Comment ça "quelle odeur" ? Il n'est pas propre mon cul ?

- Si ! C'est moi qui fantasme !

- T'aurais aimé qu'il soit un peu sale ?

- Disons que ça ne m'aurait pas dérangé !

- Tu aimes les culs qui sentent la merde ?

- Ça ne me déplait pas.

- Et bien, rentre-moi un doigt…


Elle ne se le fait pas dire deux fois, et me doigte le cul avec frénésie ! Humm c'est bon ce qu'elle me fait ! Elle le ressort ensuite et se le lèche comme s'il s'agissait de la meilleure des friandises.


- Je me demande si je n'ai pas une petite envie de faire caca. Déclarais-je à la cantonade.

- Tu vas faire ça où ?

- Je ne sais pas trop, je ferais bien ici sauf si ça dérange quelqu'un.

- Moi je veux bien regarder ! Déclare alors Claire.


C'est surréaliste, ils sont quatre autour de moi en train de me regarder. Je m'accroupis.


- Vous n'allez pas être déçus ! Dit Josée, cette salope fait des beaux boudins.


Je sens que ça vient, je me lâche, un bel étron commence à sortir de mon cul, Claire tend la main, le recueille, le regarde d'un air attendri et le lèche quelques instants ! 


- Humm, j'adore ça lécher la merde ! Il y a d'autres amateurs ?


Josée s'amène et lèche un peu à son tour, puis s'en étale un peu sur les joues et autour des lèvres, avant de m'attirer contre-elle afin que je l'embrasse.


Sylvain passe derrière Maxime et lui flatte le cul.


- Si tu veux que je t'encule, ça devrait le faire !

- D'accord on essaie ! 


Et devant les trois femmes passionnées par le spectacle, Sylvain dépucela le cul de Maxime.


- Me voilà marié avec un enculé ! S'amuse Claire


Du bruit, nos deux nordiques ont dû se perdre elles aussi et nous surprennent alors qu'on allait se rhabiller.


- Oh ! Fit la première, vous avez fabriqué une orgie !

- Ben oui, faut bien se détendre un peu ! Répond Maxime, égrillard.

- On aurait bien regardé ! Reprend l'inconnue.

- Trop tard, la séance est terminée !

- Dommage, nous on voulait juste faire caca derrière le rocher !

- Vous allez pouvoir y aller, on s'en va, on vous laisse la place !

- Oh, mais il y a déjà un caca !

- Oui, ça vous gêne ?

- Non mais c'est bizarre, il n'y a pas de papier, la personne a dû oublier de s'essuyer, il faut absolument la prévenir ! Quand on s'essuie mal, ça gratte le cul !


Elles rigolent ou pas ? Impossible de savoir ! Je me fais provocatrice :


- Ben oui, c'est moi, Intervins-je, j'attendais que quelqu'un me lèche le cul


Alors la nordique se tourne vers sa copine et lui dit


- Maak zijn ezel, slaaf schoon !


C'est quoi ce charabia ?


- Ça veut dire "Lèche lui le cul, esclave" ou quelque chose d'approchant. Précise Sylvain qui en bon bruxellois parle un peu le flamand et comprend le néerlandais.


La traduction devait être bonne puisque la seconde nordique vient derrière moi et me lèche le cul !


Mon dieu quelle langue, ça fait du bien !


Après cette petite fantaisie, les deux énergumènes se mettent en position pour faire leur pipi caca. On est tous là à les regarder.


- Non, non ! Proteste la première, en se relevant, 


Elle fouille dans son sac et nous présente la carte de leur hôtel.


- Chambre 212 ! ce soir ?


Moi j'ai dit oui, les autres aussi et on est reparti chacun de son côté.


FIN


 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:36

Ce n’est qu’un rêve ! par Hélèna Sévigsky

Anna

Ce n’est qu’un rêve !

 

J’ai surpris mon fils dans le canapé,

Lisant les pages d’une revue osée

En se branlant fermement la quéquette.

Moi j’étais en petite nuisette,

Je lui ai laissé voir mes beaux nichons,

Ma main s’est avancée vers ses roustons,

J’ai ôté sa main de sa jolie bite,

Cela pour que ce soit moi qui l’agite.

Il n’ose rien dire, je le tétanise,

Je le rassure et lui fais une bise.

Voilà qu’il éjacule son foutre blanc.

Merci d’arroser les seins de maman !

Ce soir ce sera dans mon beau derrière

Et nous le ferons devant ton père !

 

Blanlibranlette

 

(c) Hélèna Sévigsky 2017

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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