Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:23

Un petit restau avec Myrène par Marie-France Vivier

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Avertissement : Le texte d’origine est en langue anglaise, ce qui explique quelques bizarreries (le resto bondé à 17 h 30, le vin blanc en guise d’apéritif) Il en existait deux traductions : une correcte mais expurgée, une complète mais médiocre. J’ai donc complètement réadapté tout cela !

 

Bonjour ! Je me présente, je me prénomme Valérie ! J’ai 31 ans. Je suis plutôt grande (1 m 75) Vraie blonde coiffée au carré avec des yeux bleus, ma peau est pâle mais douce au toucher. Mes seins (puisqu’il faut toujours en parler) ne sont pas énormes, mais ils tiennent bien et sont terminés par de gros tétons roses pointant en permanence (en soutien-gorge, je prends du 90 C). Je ne suis pas trop mécontente ni de mon corps, hormis mes fesses, un tout petit peu trop grosses à mon goût, ni de mon visage malgré mes lèvres trop fines. Je suis hôtesse d’accueil dans une grosse boîte d’assurance et on m’impose la tenue permanente du tailleur, mais il paraît que je le porte bien. Je suis marié et mère de famille. Mon mari me fout une paix royale dont je ne profite guère. Je l’ai certes trompé quelques rares fois, mais n’ai jamais eu de liaisons durables. Ma sexualité est dans les actes d’un classique confondant. Dans ma tête c’est autre chose, les fantasmes se bousculent et arrivent à la rescousse quand l’envie de me masturber me prend. J’ai conscience qu’ils sont très bien dans ma tête et que vouloir les concrétiser risquerait de basculer mon existence.

 

C’est au travail, que j’ai sympathisé avec Myrène. Elle est devenue très vite mon amie, et même la meilleure d’entre-elles, les autres étant maintenant dispersées aux quatre coins de notre immense pays.

 

Myrène est brune aux cheveux courts, un tout petit forte, mais sans exagération, 1 m 65, contrairement à moi, elle est plus en poitrine qu’en fesses. Elle est de 10 ans mon aînée, divorcée et vivant seule, mais elle parle que fort peu de sa vie familiale. Elle est secrétaire de direction (un autre niveau que le mien, donc) et vient d’avoir une belle promotion.

 

Elle a souhaité l’arroser Nous sommes en été, il fait chaud et humide. Elle m’a donné rendez-vous au restaurant ce samedi en fin d’après-midi. Je me suis habillé d’une petite robe noire avec des bretelles très fines. Par cette chaleur, elle sera très confortable. J’ai rendez-vous avec ma copine à 17 h 30 devant les portes du resto. C’est un lieu assez chic. La décoration est super belle. La lumière toujours très douce, avec un éclairage aux bougies, qui donne une ambiance romantique. La cuisine y est excellente.

 

Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Elle s’est mis une petite jupe en cuir noire (de cette chaleur, elle est folle !) et d’un chemisier tilleul dont le boutonnage volontairement non terminé laisse apparaître dans son échancrure juste ce qu’il faut de cette probable magnifique poitrine. Elle a les yeux pétillants, je sens qu’elle me cache quelque chose. Nous entrons, heureusement que nous avons réservé, la salle est bondée. Nous choisissons une table près de la fenêtre. Le serveur arrive : :

 

– Prendrez-vous un apéritif ?

– Certainement !

 

Notre choix; une bouteille de vin blanc. Il faut que je vous dise que le vin blanc me rend particulièrement chaude. Et ce soir-là j’ai découvert que Myrène aussi devenait très amoureuse avec le vin. Elle a toujours un petit air malicieux dans les yeux. Je lui pose la question. Elle me dit qu’il n’y a rien d’anormal. Tout d’un coup je sens une main qui me caresse les cuisses sous la table. Très surprise, je la regarde. Je n’ose bouger. Cette caresse me fait frissonner. Sans m’en rendre compte j’écarte lentement les cuisses. Sa main remonte doucement pour se retrouver près de ma chatte qui commence à mouiller, elle me lance un regard langoureux, je lui réponds d’un même regard avec le feu en plus.

 

Je décide de faire preuve d’audace, (d’audace ? De folie devrais-je écrire !) Et je me glisse doucement sous la table. Je m’agenouille entre ses cuisses. Et promène mes mains sur ses jambes, mon cœur bat la chamade.. Je me demande bien ce que je suis en train de faire. Je n’ai jamais eu de rapport sexuel avec une autre femme…. Mais j’ai cette envie qui me tenaille le ventre. Alors tout doucement je glisse mes doigts dans sa petite culotte. Elle est toute mouillée et j’en apprécie l’odeur un peu forte. Je m’approche de sa chatte et tranquillement ma langue titille son clitoris tout enflé par le plaisir que lui apporte mes caresses. J’entends le serveur qui approche, mais distingue mal les paroles de. Myrène, sans doute lui dit-elle que je suis partie aux toilettes. Elle a une drôle de voix, mes attouchements la trouble. Le serveur quitte la table avec la commande. Je pousse mon audace jusqu’à pénétrer ma copine avec mon majeur, tranquillement j’entame un mouvement de va-et-vient dans sa chatte brûlante, et avec ma bouche j’aspire son clitoris, elle se tortille sur sa chaise. Elle passe une main sous la table m’attrape par les cheveux, et appuie sur ma tête pour que j’accélère le mouvement de mon doigt et de ma langue. Je sens qu’elle va venir car son souffle est très court. J’adore le goût de sa chatte qui mouille. Sa liqueur est si bonne, c’est doux et salé en même temps, j’aime ce que je découvre, les sensations sont voluptueuses. Je n’aurais jamais pensé qu’une femme pouvait être si agréable à déguster. Elle explose dans ma bouche. Son nectar coule dans ma gorge. Cette saveur me surprend et je la trouve exquise.

 

Je retourne m’asseoir. Ma copine me regarde, elle a les yeux qui pétillent de plaisir. Elle me pique un clin d’œil et à son tour se glisse sous la table. A ce moment, des frissons me parcourent tout le corps. Je vis en ce moment, des sensations inoubliables. J’ai dû à regret la faire remonter car le serveur apportait les plats, mais tout doucement elle me murmura à l’oreille :

 

– Tu sais, on peut aller prendre notre dessert chez-moi ! .

 

Sans hésiter, je lui répondit par l’affirmative. En sachant très bien ce qui m’attendait.

 

Sur le trajet, je me suis bâti des scénarios. Que pouvait-elle bien mijoter dans sa tête ? Je le saurai bientôt, nous voilà arrivée chez elle. C’est la première fois. C’est joli, décorée avec goût mais sobre, j’ai l’impression que peu de gens ont l’honneur de pouvoir y pénétrer. Elle me suggère de prendre un bain, et entreprend de le faire couler. En attendant que la baignoire se remplisse, elle joue avec mes nerfs, et l’idée farfelue lui prend de me montrer les photos qu’elle avait prise l’ors de son séjour au Japon. Cela ne m’intéresse qu’assez peu, mais heureusement cela ne dure pas et la voici qui me déshabille, elle m’avoue que depuis le début de notre rencontre; elle voulait m’initier aux joies des plaisirs féminins. Elle n’osait pas me le proposer par peur de briser notre amitié. Je lui avoue que je la trouve exquise, et qu’elle me plaît énormément.

 

Nous nous glissons dans le bain chaud, remplie de mousse..

 

Hummmm !! C’est sublime !

 

Myrène s’avance vers moi et glisse ses lèvres sur les miennes, elle laisse sa langue se promener sur la mienne. Timidement je réponds à son baiser. Je ferme les yeux et goûte à cette tendresse féminine. En sortant du bain, elle m’entraîne vers son lit et caresse partout mon corps doucement, tendrement. Je la regarde dans les yeux et l’embrasse sans remords. Elle se glisse vers mon bas ventre, et encore plus bas. Je sens sa langue sur mon clitoris tout enflé par le désir, elle lèche mes lèvres toutes douces sa langue s’enfouit dans ma chatte.

 

Hummmmmmmm…

 

Je grogne de plaisir, je sais évidemment que je ne suis pas sa première partenaire. Elle est très douce et très sensuelle. Elle se tourne et m’offre sa chatte humide, elle est aussi bonne et parfumée qu’au restaurant ! Nous sommes en position de 69. Ses caresses m’enivrent. Malgré mon inexpérience, je lui arrache quelques grognements de plaisir. Ses doigts fouillent ma chatte d’un va-et-vient lent mais profond, de son autre main, elle enfonce un doigt dans mon anus, puis le lèche avec délectation. Je n’en peux plus, j’explose. Je lui embrasse les fesses. Lui lèche son joli petit anus frippé à mon tour et découvre ce goût un peu particulier mais loin d’être désagréable. Elle commence à se tortiller de plus en plus vite. Alors nous accélérons nos caresses mutuelles. Et nous explosons ensemble, en nous inondant du jus de jouissance féminine !!! Après quelques instants de repos, nous avons recommencé à nous caresser…

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En quittant Myrène, mon cœur était rempli de bonheur, les quelques jours qui ont suivi, j’ai rejoué dans ma tête et dans mon lit avec mes doigts, ma rencontre charnelle avec mon amie. J’étais excitée comme une folle au grand étonnement de mon mari, (mais il n’avait pas à se plaindre, il en profitait !). C’est après avoir fait l’amour avec ce dernier que commença à germer dans ma tête une folle idée :

 

Il fallait absolument que j’aille faire pipi, mais mon excitation n’était pas calmée. Assise sur le siège alors que mon jet doré clapote au fond de la cuvette, pressée de me toucher, ma main se mouille de mon urine. Je la relève, je la regarde, ça m’amuse. Je l’approche de mes narines, ça ne sent pas grand-chose, et puis comme ça sans aucune préparation, comme une idée qui passe dans la tête, je la lèche ! C’est bon ! J’ai découvert quelque chose ! Mon excitation qui n’avait vraiment pas besoin de ça est à son comble. Je me masturbe et je jouis très vite. Je suis à moitié pantelante quand je sors des toilettes. Mon mari me demande si je vais bien, je le rassure !

 

Je me suis amusée ainsi me pisser quelques gouttes sur les doigts à chacune de mes visites aux toilettes. Un vieux démon devait être enfoui dans ma tête et venait donc de se découvrir !

 

Merci Petit Diable ! Mais tu aurais dû venir plus tôt !

 

Une idée particulièrement perverse commençait à germer dans mon cerveau, mais il fallait que préalablement je m’assure que Myrène ne bloquerais pas dessus..

 

– Allô ! Myrène ! Tu sais l’autre jour, j’étais aux toilettes, je me suis branlée en pensant à toi, mais je me suis un peu pissée sur la main, et je ne sais pas ce qui m’a pris, je me la suis léchée ! Tu vas croire que je suis complètement folle ?

– Mais non ! Rassure-toi ! Il faudrait que tu sortes plus souvent ! Si tu veux la prochaine fois qu’on se verra, je te ferais goûter mon pipi et puis, je goûterais au tiens !

– Pas de problème ! Si tu veux, on se voit samedi au restaurant, cette fois c’est moi qui paie, et puis, je voudrais jouer à un jeu et te prouver que je peux être encore plus cochonne que toi.

– D’accord mais tu vas avoir du mal !

 

Me voilà arrivée, elle aussi est déjà là. Nous entrons, heureusement que j’ai réservé, la salle est bondée. Nous choisissons la même table que la fois précédente. Le serveur arrive et nous demande gentiment:

 

– Prendrez-vous un apéritif ?

– Non ! Pas ce soir ! Répondis-je à la grande stupeur de Myrène !

 

Et alors qu’après avoir pris commande des plats, le garçon s’en retourne aux cuisines j’ordonne à Myrène d’aller sous la table !

 

– C’est toi qui donne les ordres, aujourd’hui ?

– Tu as accepté de jouer ! alors vas-y

 

La voici sous la table. Sans doute pour la première fois de ma vie, je n’ai pas mis de culotte. Déjà sa langue agace mon clitoris. Mais cette partie-là du scénario, ce sera plus tard et ailleurs. Je me saisis d’un verre, et le lui tend par-dessous la nappe. Ne la voyant pas je ne sais si elle fut surprise, mais quelques secondes plus tard, le verre se trouvait où il fallait qu’il soit, à la sortie de ma chatte. Je le remplis alors de mon urine. Puis brusquement je serrais les cuisses, signifiant à ma complice qu’elle pouvait à présent réapparaître !

 

Je saisis le verre remplis de pisse et en reversait la moitié dans un autre ! Puis, je levais le mien :

 

– A la tienne !

 

Nous bûmes toutes deux « cul-sec » alors que le serveur qui apportait les entrées n’arrivait décidément pas à comprendre d’où sortait cet apéritif qu’elles n’avaient jamais commandé.

 

FIN DE L’EPISODE

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:17

Cynthia ou le salon de coiffure était fermé par Marie-France Vivier

 

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Note liminaire : Cette très belle histoire SM est l’œuvre d’un auteur anglophone. Son récit se balade depuis 1997 sur le web dans différentes traductions bâclées et approximatives. Je l’ai complètement retravaillée en m’efforçant de ne rien trahir. Bonne lecture !

 

Il devait être grosso-modo 20 H 45. J’entrais dans le salon de coiffure. C’était presque l’heure de la fermeture. Le salon était vide, à l’exception d’une femme qui balayait. Elle était grande avec une longue chevelure blonde frisée, mince avec des formes… sculpturales. Elle me regarda avec un air contrarié — sans doute parce que ma présence devait signifiait qu’elle allait devoir finir de travailler plus tard. Cela ne dura qu’un bref instant et c’est avec plein de gaîté dans la voix qu’elle me demanda.

 

– Est-ce que je peux vous aider ?

 

J’hésitais, avalant péniblement ma salive

 

– Je viens de la part de…Christine.

 

Elle me toise littéralement, me regardant de haut en bas, puis me fixe du regard. Je suis plutôt petite, 1 m 60, mince, cheveux bruns mi-courts, yeux bruns. J’ai un petit cul, de beaux seins. Je suis mignonne et gaie. C’est ainsi que les gens me décrivent. J’ai 28 ans, mais en parai 5 de moins. On croit souvent que je suis encore étudiante.

 

– Très bien ! Et elle vous a dit de demander quoi ?

 

Je regarde le sol, mon cœur palpite.

 

– Le… le traitement complet !.

 

– Comment c’est intéressant !

 

Un éclair d’excitation traverse son regard, mais cela ne dura qu’un instant.

 

– Je m’appelle Cynthia. Assis-toi !.

 

Elle tapotait nerveusement le dossier de la chaise. Je m’assoie. Allant à la porte, elle retourna la pancarte – OUVERT- pour indiquer que le salon était maintenant fermé. Elle baissa lentement le store de la porte et des vitrines. A présent le monde extérieur n’exista plus, et nous étions éclairées par des spots fluorescents et bourdonnants.

 

– Tenez-vous droite ! dit-elle.

 

Cynthia sortit de mon champ de vision et alla chercher quelque chose. J’attendais, cœur battant, Je respirais mal de façon nerveuse un peu comme avant une crise d’asthme. Malgré l’air conditionné, je transpirais et je frissonnais. Soudain la chaise pivota, interrompant mes rêves.. Elle était de retour et m’avait placé devant un miroir. Elle plaça un doigt sous mon menton, et appuya, me forçant à soulever mon visage et à me redresser. Son doigt glissa le long de ma mâchoire, puis lentement sur ma joue. Juste ce contact. Un doigt le long de mon visage, c’était si sensuel.

 

Puis elle passa derrière moi et caressa ma chevelure.

 

– Joli tignasse !.

 

Lentement et si doucement et de façon si fluide que cela semblait sortir d’un songe, Cynthia glissa un velcro autour de mon poignet et le serra. Je saisissais déjà l’accoudoir. Une autre m’attacha le coude. J’essayais de remuer le bras, en vain. Mon bras gauche était bel et bien attaché. Elle détacha mes cheveux. Elle tira mon tee-shirt hors de mon pantalon. Elle continua à le tirer de côté jusqu’à ce qu’il atteigne mon visage, le fit glisser sur mon bras droit puis le long du bras gauche où il resta coincé par le velcro. J’avais un joli petit soutien-gorge blanc qui me couvrais encore ma poitrine, mais déjà, je me sentais nue. Elle attacha rapidement mon bras droit de la même façon. Hésitant à croiser mon regard, elle fit tourner un peu la chaise, m’observa dans le miroir. Je fis de même et celui-ci me renvoyait l’image d’une jolie fille impuissante. Ca aurait pu être quelqu’un d’autre ! Etait-ce réellement moi ?

 

Cynthia défit le bouton de mes jeans et baissa la fermeture éclair, puis partit quelques instants laissant exprès mon jean suggestivement ouvert, lubrique. En revenant, elle se mit à genoux devant moi

 

– Lève ton cul ! dit-elle sèchement

 

Je soulevais mon cul, et elle descendit mon pantalon, dégagea mon pied droit, mais laissa le reste autour de ma cheville gauche. .

 

– Relève encore !

 

Ma petite culotte pris le même chemin. J’avais à présent la chatte à l’air.

 

Cynthia s’assit ensuite par terre, s’empara de ma cheville gauche, et l’attacha quelque part dessous de la chaise. Elle fit de même avec ma cheville droite. Cette position me faisait ouvrir largement les jambes. Je pouvais, certes, encore fermer mes genoux, mais au prix d’un effort pénible et inutile. Maintenant je n’étais habillé que de mon seul soutien-gorge.

 

C’est à ce moment-là que le bruit d’une personne activant la poignée de la porte retentit comme une explosion. A la pensée que quelqu’un puisse me voir dans cet état, un vent de panique m’envahit. La porte s’entrouvrit. Le verrou n’avait pas été fermé !

 

Blang ! La chaîne de sécurité ! Elle n’avait pas verrouillé la porte, mais la chaîne était attachée. Ouf ! Elle courut.

 

– Je suis désolé, c’est fermé !

 

Ils échangèrent quelques mots que je ne pouvais entendre. J’avais rapproché mes genoux autant que possible. Je n’étais pas dans le champ de vision direct de la porte et on ne m’avait sûrement pas vu. Elle s’excusa à nouveau, ferma et verrouilla la porte.

 

Cette interruption l’avait agacée et quand elle revint, ce fut avec une pointe de méchanceté dans le sourire.

 

– Bon ! On en étais où ? Ah oui ! Voici les règles. Tu devras me vouvoyer et m’appeler « Maîtresse ». Si la situation devient vraiment insupportable pour toi, le mot de sécurité est Houba-Houba. OK ?

 

– Oui, Maîtresse. Répondis-je en inclinant la tête !

 

Elle se pencha vers moi si près que je pouvais sentir son haleine chaude !. L’air conditionné bourdonnait. Mes tétons étaient dressés comme des gommes de crayon. Elle fit courir son doigt le long de mes seins, puis sur mes tétons, puis, baissant sa main, elle la plaça entre mes jambes.

 

– T’as un joli buisson (elle souriait) Il a déjà été taillé, mais il a repoussé. Je crois que tu as besoin d’un petit rasage. Mais d’abord…

 

Cynthia dégrafa mon soutien-gorge et le laissa tomber par terre. J’étais à présent complètement nue (l’espace d’un instant l’idée saugrenue que je ne l’étais pas, puisqu’ayant conservé mes petites boucles d’oreille me traversa l’esprit). Elle fouilla sur l’étagère derrière le miroir, hors de mon champ de vision. Elle revint avec dans ses mains des pinces à cheveux en métal.. Sans aucun préambule elle en claqua une sur mon téton gauche.

 

– Ahhhhhhhhh ! J’haletais. Ca mordait cruellement.

 

Dans la foulée elle en accrocha un autre à mon téton droit.

 

– S’il vous plaît !

 

Je respirais fort ! Un velcro auquel était attachée une cordelette souple fut placé autour de mon genou. Elle passa derrière mon dos, autour de la chaise. Un système identique immobilisa l’autre genoux. Impossible maintenant de serrer les jambes. J’étais épinglée serré, exposée et impuissante. Quand soudain une troisième pince se referma sur mon clitoris !

 

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie ! Je hurlais.

 

Les larmes débordèrent de mes yeux. Je me mordais ma lèvre.

 

– S’il vous plaît, maîtresse.

 

– Je t’en enlève deux Tu peux choisir celui que tu gardes !

 

– Le téton gauche alors !

 

Elle respecta mon choix. Lorsqu’elle les enleva sans aucune douceur, la douleur augmenta brusquement puis finit par disparaître

 

Encore une fois elle disparue de ma vision. J’entendis un lavabo se remplir. Elle revint avec une petite cuvette contenant de l’eau chaude d’où s’échappait une légère buée !. Elle me fit soulever les fesses, et plaça un oreiller en dessous. Elle trempa une serviette, puis en mouilla mon entre jambes. L’eau légèrement trop chaude me fit tressaillir. Elle insista sur mes poils pubiens, augmentant la friction humide sur ma chatte. Elle m’appliqua ensuite du gel à raser et me montra un rasoir neuf.

 

– Ne bouges pas ! dit-elle.

 

Cynthia s’agenouilla et commença à raser les poils de mon pubis. Elle essuya avec la serviette tiède. Puis de nouveau, le gel, et un autre passage du rasoir. L’eau chaude piquait ma chatte tout nouvellement dénudée, mais le gel la rafraîchissait simultanément. Bientôt j’étais complètement rasée, et essuyée proprement.

 

– Lisse comme une petite fille, dit-elle.

 

Cynthia rangea alors les ustensiles, et s’agenouilla de nouveau entre mes cuisses. Maintenant j’étais encore un peu plus nue. Sa langue courait tout le long des endroits que le rasage avait découvert. Elle saisit mon cul et me tira vers elle. Sa langue virevolta dans les replis de ma chatte, sur mon clitoris, et plus loin dans moi, lentement. Lentement, puis un petit peu plus vite, lentement de nouveau. Je fus surprise… En un temps étonnamment court, je jouissais, vagues de plaisir après vagues de plaisir. Je me sentais comme une étoile qui vient juste d’exploser. J’haletais. Elle se leva.

 

– Et bien sûr, après le rasage, il y a …l’après rasage !

 

Sur la tablette du miroir, elle pris un flacon, avec l’éclairage il paraissait vert. Elle mis sa main en coupe et versa un peu de liquide près de mon visage. C’était fort, trop fort en tous les cas pour être de l’après rasage. Cela piquait mes narines, et je n’osais en imaginer l’effet sur mon pubis tout frais rasé !

 

– Non, s’il vous plaît !

 

Je pleurais. Elle se mit entre mes jambes, et frotta sa main contre mon pubis. Ce fut comme une piqûre, suivi par une vague chaude.

 

– Aiiiiiiiiiiiiiiiiie !!! Je criais. Salope !! Un silence remplit la pièce.

 

– Comment est-ce que tu m’as appelé ?

 

– Je suis désolé, Mmmm maîtresse !

 

Je sanglotais à moitié. Elle versa dans ses mains une nouvelle poignée de liquide de feu et en enduisit mes tétons, puis mon clito. Je sentis d’abord le frais du liquide, puis une sensation de pincement ! J’ouvris ma bouche, mais aucun son ne sortit. Lentement la vague de douleur retomba. Ma chatte picotait encore. Soudain elle replaça les pinces qu’elle avait ôtés tout à l’heure Mes seins et mon clitoris sentirent la morsure du métal.

 

La chaise bascula soudainement, me mettant presque à l’horizontale, les jambes en l’air, ma chatte rasée et désinfectée baillant aux étoiles. Elle chevaucha la chaise par derrière. Les genoux de chaque coté de ma tête, elle se baissa, jusqu’à s’asseoir sur mon visage. Les fesses au-dessus mon front. Sa chatte mouillée descendait lentement vers ma bouche.

 

– Mange-moi ! Commanda-t-elle.

 

Et je le fis. Tous mes sens percevaient son sexe. Mon visage, ma bouche, mon nez, et même les sons de ma bouche remplissaient mes oreilles. Les cheveux de Cynthia chatouillaient ma poitrine, et elle tirait sur mes seins. Durement. Une des pinces tomba. Mais cela ne me soulagea pas beaucoup.

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Ma langue peinait. Et tout cela commençait à devenir sérieusement long. Il était évident qu’elle appréciait mon œuvre, à voir la façon dont elle basculait sur mon visage. Mais elle mettait du temps à jouir, et pour ce faire. Je dus travailler longtemps et durement Quand enfin vint sa jouissance, sa mouille devint plus abondante. Ma bouche s’en remplit avec son goût acide. Elle pressait mes seins dans ses spasmes.

Elle descendit. Elle berça ma tête, m’embrassa sur les lèvres, la langue traînant sur mon visage, léchant son jus répandu sur moi.

 

– C’était merveilleux ! Sauf que tu m’as traité de salope !

 

J’ouvrais ma bouche, mais ne dit rien, attendant.

 

– Nous nous reverrons demain matin.

 

Elle alla vers la porte, en claquant des talons. Puis finit par revenir, habillée.

 

– Non maîtresse ! Ne me laissez pas ici toute la nuit !

 

Il y eu un petit ronronnement électrique quand elle pris un petit appareil. Un petit vibrateur, qu’elle glissa dans ma chatte mouillée. Je grognais.

 

– Oh ! ne t’affoles-pas, les piles seront mortes dans deux ou trois heures…

 

Cynthia me regarda dans les yeux, faisant semblant de s’inquiéter.

 

– Oh, ne t’inquiéte-pas, tu es en sécurité ici ! Quoique…

 

Elle marqua un temps d’arrêt

 

– Quoiqu’il y a six mois on a eu un cambriolage…Mais quelles sont les chances que ça arrive de nouveau cette nuit ? Je parie que s’ils te trouvaient ici, ils oublieraient la caisse.

 

Elle souriait cruellement.

 

– Mais Non, ça n’arrivera pas. Je serai là demain matin aux aurores. Du moins, enfin, je pense, parce que je ne me rappelle plus, j’ai peut-être ma matinée demain. Je vais vérifier tout ça en rentrant à la maison. Sinon, ben c’est Sally qui te trouvera ici ! Ca lui fera une surprise ! Allez ! Fait de beaux rêves !

 

Clack clack clack ! Le bruit de ses talons, puis le claquement de l’interrupteur. Je me retrouvais dans l’obscurité. Elle disparut en verrouillant la porte. L’obscurité. Graduellement je devenais consciente du faux tic-tac claquement de l’horloge électrique murale, et de la faible lueur de la bande de néon qui l’entourait.

 

Je suis là, couchée, attachée fermement sur la chaise inclinée. Nue, mais avec divers vêtement et sous-vêtements rassemblés autour des chevilles et coudes. Frémissante sous l’air conditionné frais. Une pince en métal attaché sur chaque téton et une autre sur mon clitoris. Un god bourdonnant dans ma chatte rasée et qui me pique encore. Et mon visage humide du plaisir de ma Maîtresse.

 

23H00. La nuit allait être longue !

 

– Houba-Houba ! murmurais-je !

 

Fin

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Marie-France V.

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:12

Des orties pour Elodie par Marie-France Vivier

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Encore une traduction anglaise que j’ai reprise et adaptée…

 

J’entrais dans la chambre d’Elodie ! Elle était là simplement vécue d’une sorte de nuisette qui découvrait ses épaules et ne cachait rien de sa généreuse poitrine. Toujours aussi « appétissante » avec sa peau qu’elle évitait d’exposer au soleil, ses cheveux bruns négligemment pincés, ses yeux bleus comme l’océan et sa belle bouche pulpeuse recouverte d’un vrai rouge à lèvres. Elle était assise au pied de son lit, les mains attachées par une corde fixer à la barre. Je fermai la porte à clef, et m’installa dans un fauteuil. J’attendis un peu, je n’étais pas pressée !

 » Alors ? La correction de ce soir ?  » Demandais-je à Elodie.

 » Ce soir maîtresse, je voudrais que vous me fouettiez les épaules et les seins avec un petit bouquet d’orties fraîches que j’ai cueilli ce matin. Et après vous me donnerez douze coups de martinet sur les fesses

« . A nu ?

« . Oui maîtresse ! .

Je n’avais pas à approuver ou à désapprouver ce programme, puisqu’elle me payait pour être sa maîtresse. Parfois il m’arrivait de lui proposer de le modifier, mais ce soir il me convenait parfaitement. J’aimais fouetter ! . Elle me désigna de la tête une boite en carton dans laquelle se trouvaient minutieusement rangée une dizaine de tiges d’ortie bien garnies de feuilles. Elodie avait eu la prévenance d’en gratter les bouts afin d’éviter de me piquer. Je dénouai les rubans qui retenaient sa nuisette aux épaules, elle tomba sur la moquette laissant nue ma consentante victime. Un instant je m’égarais en contemplant ses épaules, son dos gracieusement incurvé, sa merveilleuse poitrine au galbe parfait, ses seins bombés, droits et blancs. Un petit fourmillement caractéristique apparut dans mon entre jambe ! L’envie de laper d’un petit coup de langue ses petits tétons érigés me démangea un moment. Mais ce n’était pas dans nos accords. Je me repris !

.  » Baisse la tête ! Et surtout pendant la correction, je ne veux pas entendre un murmure. Tu n’as qu’à serrer les dents !

M’emparant du bouquet d’orties, je commençais à flageller mollement les épaules les seins, le ventre, le dos et les flancs d’Elodie. Elle se mit à gémir tout doucement tout en gigotant dans tous les sens sous l’action cuisante des orties.

 » Je t’interdis de bouger ! Baisse la tête et si tu continue, tu auras droit à vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze! ».

Elodie finit par obéir. Sa peau était à présent entièrement rouge. Elle en avait eu assez, je stoppais donc la flagellation aux orties.

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 » A présent tu va bien me tendre tes fesses. Tu seras une bonne fille, n’est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante? . Penche-toi encore un peu, je vais te foutre les douze coups de martinet sur tes fesses ».

 » – Allez-y maîtresse, n’ayez pas peur de me faire mal, j’aime tellement ça ! »

Elodie se pencha en avant. D’ordinaire, je fouettais de loin, c’est plus facile et plus efficace. Mais ce soir, j’avais envie de sentir le contact de sa peau, j’optais pour une position très « spanking » et Je lui passais la main gauche sous le ventre, pour la soutenir et munie du martinet, je lui demandais de compter les coups. Le premier coup, donné en travers de ses fesses tendus, je l’appliqua très bas, presque sur les cuisses. Elodie en le recevant rebondit en tressaillant.

Et tandis que l’on entendit le bruit de grêle des six lanières du martinet s’abattre, presque simultanément et d’une voix étouffée Elodie compta « un ! ». Le second coup suivit presque aussitôt, puis le mouvement se précipita. Elodie fut fouettée avec force et rage, sans que je laisse une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup appliqué sur ses fesses rouges et boursouflées et Elodie prononça avec soulagement « douze ! ». Je posais le martinet sur le lit. Je palpais un instant la partie fouettée, prétextant qu’il fallait bien voir si elle était suffisamment échauffée. Je détachais les mains d’Elodie qui alors se frictionna sans pudeur. Puis dans un geste de soumission, elle s’agenouilla et dans cette position s’avança vers moi, me pris mes mains et me dit

« Merci maîtresse ! Merci pour cette l’excellente fouettée ! ».

Puis elle se tût ! J’attendais une invite, quelque chose ! Mais non ! Elle était satisfaite comme ça, je me retirais donc. Je la violerais un autre jour !

Fin

 

© 2000 – Adaptée de l’anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 28/11/2000

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:34

Exhibitions dorées par Claire_N

Stamp uro

J’ai écrit ça assez vite, ce n’est pas de la haute littérature mais j’avais envie de coucher ce fantasme sur le papier….

 

C’était l’été dernier mon mari et moi étions partis sur la Côte d’Azur quelques semaines. Vers la fin de nos vacances, nous avions dégotté une petite plage naturiste très bien isolée mais assez peuplée.

 

Mais ce qui était le plus excitant ce n’était pas la plage, mais ses alentours, de petits chemins très étroits, avec plein arbustes, où voyeurs et exhibitionnistes s’en donnaient à cœur joie.

 

Et je me souviendrais toujours la première fois, car un après-midi je fus saisi d’une grosse envie de pisser, Robert, mon mari, peu habitué aux us et coutumes du lieu me dit :

 

– Va dans les petits chemins, personne ne te verra et puis je surveille.

 

Alors je m’accroupis dans un coin à moitié dégagé, Robert reste dans le chemin, quand voilà que déboule un vieux à poil qui du coup ne peux pas passer et qui me matte ostensiblement, je sens Robert prêt à intervenir, mais d’un autre côté on est dans une zone naturiste…

 

– Laisse-le ce gentil pépère, il a bien le droit de mater !

– Ah, merci, madame !

– Et si tu veux te branler en me regardant, ce n’est pas un problème, mais tu ne t’approches pas.

 

Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd et là l’ancêtre s’est astiqué le poireau en me regardant faire mon petit pipi, son sperme est venu asperger la végétation et il est reparti avec un sourire niais.

 

Je me suis relevée et nous partîmes nous baigner un peu amusés et moi très excitée par l’insolite de la scène. Le soir nous avons fait l’amour en y repensant.

 

Le lendemain, j’avais une envie folle de recommencer, mais j’avais envie de faire ça dans un endroit offrant davantage de place, on s’est un peu baladé dans le sous-bois et on a croisé pas mal de vieux cochons à poil, pas mal de gays qui se tripotent, on en a même vu un qui se faisait enculer, inutile de dire que ça nous a bien excité, on a aussi croisé un type qui tenait en laisse une belle blonde un peu dodue.

 

– Si vous voulez la baiser, allez-y ! Dit le type en direction de Robert.

 

Il a refusé, on était pas venu pour ça, il m’a avoué ensuite l’avoir un peu regretté !

 

On est arrivé dans un coin où cinq bonhommes visiblement retraités, discutaient la bite à l’air. Je me suis posé à quelques mètres d’eux et me suis baissée pour commencer à pisser.

 

Du coup les séniors se sont mis à mater, et certains se tripotaient la bite.

 

L’un deux s’approche de moi :

 

– Je peux vous caresser ?

– Juste un petit peu, et juste caresser, pas autre chose.

 

Le mec m’a effleuré le nichon avec la main, il était content, un deuxième a pris le relais. Bientôt ils étaient tous les cinq à me peloter.

 

– Messieurs, c’est terminé pour aujourd’hui ! Leur dit Robert.

 

Ils n’insistèrent pas, furent très corrects.

 

On a répété le même scénario le lendemain, ils étaient trois dont deux qui étaient présent la veille et je me suis fait tripoter plus longtemps, l’un deux a demandé s’il pouvait m’asperger de son sperme.

 

La demande m’a surprise, je ne m’attendais pas à ça ! C’est Robert qui a répondu à ma place.

 

– Vas-y, arrose-lui les seins à cette salope !

 

Ces mots crus conjugués au fait qu’un type se branle devant moi jusqu’à la jouissance m’a profondément excitée.

 

Le mec a juté sur mes nichons et je me suis amusé à étaler ça comme si c’était de la crème de beauté.

 

Robert a ensuite demandé s’il y avait un autre volontaire. Non, pas d’autre volontaires pour ça, mais l’un des types a demandé à tout hasard si j’accepterai qu’il me pisse dessus.

 

– Bien sûr, vas-y arrose là, cette morue !

 

J’aurais quand même aimé qu’on me demande mon avis ! Cela dit personne ne m’a forcé, il me suffisait de me relever et de laisser tomber cette bande de pervers. Mais non je suis restée devant le pépère qui m’a arrosé partout, enfin presque partout, parce que je n’ai pas osé en boire… ce sera pour une autre fois je suppose.

 

Et là, Robert excité comme un pou, m’a demandé de me mettre en levrette et m’a enculé devant les trois vieux cochons.

 

Ce fut notre dernière folie sur la côte puisque le lendemain il nous fallait rentrer.

 

Cette expérience nous avait marqué et nous nous étions promis de la renouveler l’été suivant. Mais un an à attendre c’est long, un jour Robert a émis une suggestion.

 

– Il paraît que dans le Bois de la Petite Source », il y a des couples exhibitionnistes…

 

Bref, j’ai accepté de suite et le samedi en fin d’après-midi, nous voilà sur place.

 

Effectivement il y a quelques couples mais aussi beaucoup de gays, la mentalité n’est pas la même, ce ne sont pas de naturistes, il y a de tout, de joyeux libertins mais aussi des mecs inquiétants.

 

On trouve une clairière, on remarque qu’il y a des gens juste derrière qui ne se cachent à peine. Donc allons-y !

 

Solange99Je commence à pisser ! Quatre bonhommes s’approchent à deux mètres de moi, la bite sortie de la braguette, Robert les imite et se place parmi eux, l’un des mecs attrape la bite de son voisin, lequel lui fait savoir en reculant qu’il n’est pas intéressé. Le mec change de cible et pose sa main sur la queue de Robert. Et il se laisse faire ! J’aurais tout vu !

 

Je pisse et me relève, un seul semble intéressé et me propose de m’essuyer avec sa bouche, je refuse, je ne veux pas n’importe quelle bouche sur ma chatte, alors il me donne un billet de 20 euros pour que je m’essuie avec ma culotte et qu’il me l’achète. Pourquoi pas ?

 

Je me relève après ma petite transaction, Robert continue à se faire branler, puis le gars se baisse et prend sa bite en bouche. Je vous dis : c’est le jour de grandes découvertes.

 

Je m’approche d’eux et provoque Robert :

 

– Et toi, tu ne le suces pas ?

– Ça t’amuserais de voir ça ?

– De toute façon, t’es pas cap !.

 

Ben si, il la fait, c’était très excitant. On s’est dépêché de rejoindre la bagnole et on a baisé à l’intérieur, moi à dada sur mon mari.

 

On a pas recommencé tout de suite, Robert semblait avoir honte de son petit épisode bisexuel, et puis j’ai trouvé l’ambiance moins amusante que dans le camp naturiste.

 

Mais un mois plus tard, rebelotte. Quand ça taraude, ça taraude !

 

Même clairière, même scénario ou presque sauf que les voyeurs ne sont pas les mêmes.

 

Je pisse donc devant les quéquettes à l’air, mais une autre envie me tenaille et j’ai du mal à me retenir.

 

– Eh, les mecs, je vous préviens, je vais faire caca.

 

Et là, c’est la débandade, tout le monde s’en va voir ailleurs d’un air dégagé sauf un, celui-ci a beau être en tenue décontractée, on voit bien qu’il ne s’habille pas aux puces, monsieur est un bourgeois qui s’encanaille.

 

Je pousse et pond un joli colombin bien ferme qui termine sa chute dans l’herbe folle, un second rejoint le premier et il y en a même un troisième, tant qu’à faire…

 

– Que c’est beau ! S’exclame le bourgeois ! J’adore voir une femme chier et ce plaisir n’est pas si courant.

– Ben alors je suis content de vous avoir fait plaisir !

– Puis je solliciter la permission de vous essuyer avec ma langue.

– Vous êtes drôlement cochon, vous !

– C’est juste un péché mignon !

– C’est que voyez-vous, on ne m’a jamais proposé ce genre de chose !

– Il y a un début à tout !

 

Je lance un regard à Robert qui l’air de trouver l’idée amusante, j’hésite quand même !

 

– Je vous donnerais un petit billet ! Insiste le bonhomme.

 

Alors je me suis mis en levrette et je me suis fait lécher mon cul tout merdeux, ses coups de langues m’ont ravi, inutile de vous dire que j’étais tout excitée.

 

– Pourrions-nous nous rencontrer ailleurs qu’ici pour refaire la même chose, ce serait contre dédommagement bien évidemment, voici ma carte, on peut faire ça chez vous ou chez moi, ou à l’hôtel… Merci encore pour ce délicieux moment.

 

Et il est parti.

 

– Tu ne vas pas garder sa carte ? Me dit Robert. Tu n’es pas une pute ?

– Ben quoi ? Ça nous fera de l’argent de poche.

– Ah bon ? Ben c’est toi qui décides.

– Bon on rentre, je suis toute excitée !

– J’aurais bien sucé une bite, avant de rentrer !

– Robert !

– Ben quoi ?

 

Fin !

 

Inspiré par une short story trouvée sur internet

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:32

Coquine voisine par Claire_N

scat

ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

Bonjour ! Je ne pense pas qu’on puisse se mettre à faire de la scato, comme ça, du jour au lendemain, à moins qu’on ait des prédispositions, à moins que les circonstances soient particulières, à moins que tous cela se conjugue… Mais lisez plutôt :

 

Je m’appelle Claire j’ai 24 ans, je suis célibataire, mais j’ai un petit ami régulier, il aurait bien voulu qu’on se mette en ménage, mais moi je tiens de trop à mon indépendance. J’habite au troisième étage d’un bel immeuble moderne et j’ai sympathisé avec Annie, une voisine, une nana dans les quarante ans, divorcée, de grands cheveux frisés et l’air canaille. Elle me dévore des yeux, elle doit être un peu goudou sur les bords. Moi je n’ai rien contre, tout n’étant que question de circonstances… Je lui ai d’ailleurs un jour fait comprendre que peut-être un jour…

Ce jour-là, je suis passée chez elle pour lui emprunter un peu de gros sel et elle m’a offert un verre qui fut vite suivi d’un deuxième… Je sais m’arrêter de boire et c’est d’ailleurs ce que j’ai fait. N’empêche que l’alcool ça désinhibe, j’ai fait alors semblant d’avoir bu un coup de trop, afin de voir si elle allait oser en profiter.

 

Ça ne loupe pas, elle me dit qu’elle a au cours d’une soirée appris un nouveau jeu très amusant et me propose d’y jouer. Moi très curieuse, lui dis oui avant même de savoir de quoi il s’agissait. Annie explique les règles du jeu qui consistait à me laisser faire quoi qu’il arrive pendant une minute chrono, puis ensuite de répéter tous les gestes qu’elle avait fait, pas trop compliqué jusque-là !

 

Le jeu commence, elle s’approche de moi tout doucement commence à me déboutonner mon petit haut. Instinctivement je me suis reculé avant de jouer le jeu, c’est le cas de le dire et de me laisser faire.

 

– C’est encore à moi de jouer ! Me dit Annie, puisque t’as reculé.

 

On ne va pas la contrarier ! Elle m’enlève carrément le chemisier. A moi de jouer, son haut à elle n’a pas de bouton, je le lui retire donc en passant par la tête !

 

A son tour de jouer ! Est-ce qu’elle va oser me dégrafer mon soutien-gorge ? Elle me fait un sourire très coquin et elle ose ! Et me voilà les nénés à l’air chez ma voisine de palier !

 

– Qu’est ce qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.

 

A mon tour de lui dégrafer le soutif ! C’était déjà prometteur, mais là j’ai devant moi une ce ces paires de loches bien dodues terminées par des tétons bruns aux pointes érigées. Maman, je mouille !

 

– C’est à moi ! Me dit Annie qui cette fois se rapproche un peu plus, elle me donne un baiser plein de chaleur, mon corps est devenu tout mou et tout chaud.

 

Je lui rends la politesse et me régale de ses gros tétons, Je vais la bouffer, la voisine !

 

Une minute c’est vite passée et je sens maintenant ses mains chaudes et douces me caresser les seins puis sa langue sur le bout de mon mamelon durci par ses gestes, je ne peux plus résister.

 

Je ne sais plus trop comment le jeu a évolué ensuite, disons que nous n’avions plus besoin de prétexte.

 

Une chaleur intense me parcoure tout mon corps. Ses mains glissent sur mon ventre et reviennent à mes seins et ses lèvres sont sur les miennes, tout va très vite. Une main se glisse entre mes cuisses et elle fait pénétrer son doigt avec un mouvement de va-et-vient. Sous tant de caresses mon corps frémit, je me mets à me gémir, ma tête me tourne, c’est si bon

 

– On va dans la chambre ? Me propose-t-elle !

– On ne joue plus alors !

– On va changer de jeu, on va jouer à broute-minou ! Rigole-t-elle.

 

On est maintenant nue toutes les deux, je me suis allongée sur le dos, elle se met à quatre pattes au-dessus de moi de façon que je puisse avoir sa chatte au-dessus de mon visage. Je ne comprends pas encore pourquoi, jusqu’au moment où je sens sa langue chaude sur mon clito et son doigt à l’intérieur de moi, elle me demande de lui faire la même chose. Je prends ses hanches entre mes mains et dépose ma langue sur cette chatte toute chaude et juteuse à souhait, c’était si bon que je sens jaillir en moi un désir insoupçonné. Je glisse mon doigt dans son vagin avec un mouvement de va-et-vient, je le retire pour pouvoir faire la dégustation de ce jus chaud.

 

Et la voilà qui se relève et m’informe qu’elle a une envie pressante.

 

– Tu viens ? Me propose-t-elle.

 

Pourquoi devrais-je venir, moi je n’ai pas envie… du moins je le pense pas.

 

– Je t’attends !

– Tu as tort, il est très beau mon pipi, et aussi très bon !

– Mais je n’en doute pas !

– Viens !

 

Puisqu’elle insiste… je ne suis pas idiote, je sais très bien ce qu’elle veut faire, et je me surprends à faire ma mijaurée alors que parfois dans mes fantasmes… Pas que dans mes fantasmes d’ailleurs

 

– Tu veux me pisser dessus ? lui demandais-je

– De la bonne pisse bien tiède… tu voudrais la boire ?

– Pisse moi dessus, ma cochonne !

– Ouvre la bouche !

 

Je le fais comme dans un rêve !

 

– Mais non idiote, couche-toi par terre, je vais venir sur ta bouche.

 

Ben oui évidemment !

 

Je n’aurais jamais imaginé que sa pisse soit aussi bonne, j’en reboirais !

 

– J’ai envie de faire autre chose…

 

C’est ce qui s’appelle un ballon d’essai.

 

Il faut vraiment que je sois super excitée pour ne pas mettre fin immédiatement à cette proposition scatologique.

 

– Essaie ! Lui répondis-je partagée entre la crainte que la chose me révulse et la fascination de franchir un tabou.

 

Elle a le tact se déplacer légèrement afin que je ne reçoive pas son « cadeau » sur la tronche ! « Pas tout le même jour ! » comme me disait ma grand-mère quand elle m’emmenait à la fête foraine.

 

Un gros boudin sort de son trou du cul et vient atterrir au-dessus de ma poitrine.

 

Bizarrement, ça ne me révulse pas, mais alors pas du tout, ce joli boudin, je le trouve même attendrissant, ce soit être l’effet de l’alcool. Cela dit, c’est bien joli tout ça, mais on fait quoi, maintenant ?

 

scat 1709b

 

Annie se redresse, ramasse sa merde dans ses mains, le regarde et rigole à la façon d’une gamine qui vient de faire une grosse farce.

Elle approche l’étron de sa bouche… elle ne va pas faire ça… Si elle le fait, du bout de sa langue elle atteint la merde, me regarde fixement, comme pour me narguer, puis redonne plusieurs petits coups de langue successifs.

 

– T’as déjà fait ça ? Me demande-t-elle.

– Non ! Jamais !

– Tu veux essayer !

– Non, non vraiment pas !

 

Elle dépose le machin sur le sol, mais s’en met un peu sur le doigt et s’en badigeonne très légèrement le haut des lèvres.

 

– Et m’embrasser, tu le ferais ?

 

Je suis hypnotisée par son audace. Je ne sais comment réagir, mais je m’aperçois qu’au lieu de l’envoyer promener par un « non » énergique, je n’en fais rien. Jusqu’où va m’emmener cette salope ? Je peux encore reculer, je ne fais pas, j’approche mes lèvres des siennes me disant que je peux me reculer au dernier moment.

 

Un centimètre, peut-être moins, sépare nos lèvres, je respire un grand coup, la jonction se fait, on s’embrasse, j’ai fait ça comme si je m’imposais un challenge, c’est âcre, mais ça n’a rien d’abominable. Je suis excité comme une puce.

 

Annie prend de la merde et se l’étale sur les seins. Je suis partie dans son trip, et sans qu’elle ne me le demande je lui lèche les tétons, d’abord timidement puis de façon plus hardie.

 

J’ai l’entrejambe trempée comme une soupe, Annie vient entre mes cuisses, langue en avant sur mon clito et me fait jouir en un temps record.

 

Je lui ai rendu la pareille, on s’est embrassé, on s’est douché.

 

J’étais venu faire quoi, déjà chez la voisine, ah oui, chercher du gros sel…

 

Claire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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