Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 07:03

La légende de Pauline, délire en roman-photos par Ursulin Neveway

 

pauline

 

SCÈNE 1

 

ndw : Ursulin nous a adressé ce petit « essai » de roman photos, comme il le dit lui-même ! Loufoque, distrayant et gentil, je n’ai pas hésité un moment à le publier ! J’espère qu’il vous amusera comme il nous a amusés  !

 

Oyez, Oyez, braves gens !!!

 

Laissez-moi vous conter la légende de Pauline !

 

Et vous saurez ce qu’il en coûte de ne pas respecter ce qui est indiqué sur les panneaux d’interdiction !

 

Vous connaissez tous l’ancienne école désaffectée, bien sûr !

 

Il y a juste devant un champ de maïs. Oh, ce n’est pas un grand champ, c’est un petit champ mais il produit bon an mal an son pesant de maïs, et suffit à nourrir son propriétaire !

 

Mais nul ne sait qui est ce propriétaire mystérieux !

Ce que l’on sait c’est que d’étranges lumières dansent parfois à l’intérieur de la batisse délabrée !

 

Et l’on sait aussi, qu’une main anonyme a planté à l’entrée du champ cet étrange panneau, indiquant de façon claire et précise que ce lieu ne saurait tolérer l’exercice de la turlute !

mais

 

SCÈNE 2

 

Un Panneau d’interdiction !

 

– Qui a bien pu le placer-là ? Interroge Pauline.

 

Elle n’est pas venue seule, Pauline. Elle est accompagnée d’Armand, son amant et d’Albert qui aime tant la prendre par derrière.

 

Mais ces deux nigauds n’en savent pas plus qu’elle et ne savent que répondre !

 

– Y a quelqu’un ? Crie Pauline.

 

Mais seul le souffle du vent répond !

 

– Déshabillons nous, alors propose la blonde !

 

Ne voulant pas paraître pour des pleutres aux yeux de la belle, nos deux mâles se débarrassent de leurs vêtements !

 

Les voilà tous les trois dans les champs. Et sous le soleil du beau temps, Pauline pompe la grosse bite de son amant Armand, tandis qu’Albert… mais vous avez deviné… Pauline est une belle coquine et elle aime sucer quand on la pine..

 

Pauline mais

SCÈNE 3

 

Et tandis que notre trio « triole » avec une ardeur de hardeur, à l’intérieur de la batisse, nous découvrons deux étranges créatures, à moitié sorcières, à moitié fées !

 

Celle qui fait pipi se nomme Ondine et celle qui ne fait pas se nomme Peggy ! Mais qui est alors ce porcelet bien gras ?

 

Tout simplement le propriétaire, gardé en l’état par un sort magique, au cas où il pourrait servir, mais ne pouvant plus s’exprimer comme un humain. Et pour l’instant il sert de siège à Peggy. C’est très confortable un petit cochon comme siège !

 

– Quand tu auras fini de pisser, lui dit Peggy, tu jetteras un coup d’œil par la fenêtre ! Qui sont ces trois hurluberlus ?

– Ils ne font point de mal, ils niquent !

– Certes, mais si nous avons posé un panneau, c’est pour avoir la paix !

– Nous pourrions les transformer en grenouilles et en crapauds ! Propose Ondine.

– Allons, allons, il ne faut point punir l’amour ! Nous allons juste les faire déguerpir !

– Sans doute as-tu alors une idée ?!

– Certes ! Je vais faire neiger, et le froid les fera partir ! Décida Peggy.

FEE1

 

SCÈNE 4

 

Mais nos fées n’avaient pas prévu que notre trio mettrait tant d’ardeur à la tâche, que nos trois baiseurs dégageraient une telle chaleur qu’ils ne se rendirent même pas compte du déluge blanc qui leur tombait sur les flancs.

 

Pauline snow

– Malédiction ! Dit alors Peggy, cela ne marche point !

– Perdrais-tu la main, tendre Peggy ?

– Ta gueule ! Je vais refaire une incantation et rajouter de la neige, tout cela n’est qu’une question de réglage !

– N’est-ce point dangereux ?

– Je sais ce que je fais, mademoiselle !

Et Peggy leva alors sa baguette…

 

SCÈNE 5

 

Peggy venait donc de faire une grosse bêtise !

snow

 

Une très grosse bêtise !

SCÈNE 6

 

FEE2Les deux fées étaient à présent complètement nues, et Ondine était passée derrière sa collègue, une main sur la chatte, une autre sur le sein, en même temps qu’elle sollicitait sa langue. Elle la caressa ainsi quelques instants puis s’arrêta un moment :

 

– Peggy, débrouille-toi mais tu ne peux pas les laisser comme ça !

– Hélas je ne sais pas revenir en arrière !

– Quoi ! Une fée diplômée comme toi, ne sait pas faire ça ?

– Ben non !

– Il y a bien un moyen pour rendre vivants des êtres inanimés, non ?

– Ce n’est pas si facile !

– Je vais essayer, alors ! Proposa Ondine !

 

Alors Ondine leva sa baguette…

 

SCÈNE 7

 

Cette fois c’est Ondine qui venait de faire une bêtise !

Carottes3

 

Une très grosse bêtise !

SCÈNE 8

 

– On est aussi conne l’une que l’autre !

– Mais non, c’est en faisant des erreurs qu’on se perfectionne ! rectifia Peggy. Et arrête de parler quand tu me lèches, ça me déconcentre…

– Que faire ? On ne peut les laisser ainsi, surtout quand on connaît l’espérance de vie d’une carotte !

– On va leur offrir à chacun l’éternité, en attendant de trouver !

– En voilà une riche idée !

– Bon, maintenant tais-toi et suce, on s’occupera de ces messieurs dames tout à l’heure !

– En espérant qu’un amateur de pot au feu ne vienne pas les cueillir avant, ou qu’un lapin qui passe par là ne les grignote !

– Ce que tu es chiante !

FEE3

 

SCÈNE 9

 

Alors Peggy reprit sa baguette…

 

Et c’est depuis ce jour que l’âme d’Albert est enfermée dans ce monument naturel

 

Rocabite

Et c’est aussi depuis ce jour que l’âme de Pauline, prisonnière de cette montagne pisse de l’eau de source pour l’éternité.

Eva source

 

SCÈNE 10

 

FFE4Les deux fées avaient repris leurs ébats, frottant leurs clitoris l’un contre l’autrevdans un tribadisme effréné. Ondine couchée, renversée en arrière et Peggy semi-accroupie ! Ce fut Ondine qui jouit la première, renversant complètement son visage sous le choc du plaisir ! Après quelques instants de récupération, elle demanda soudain :

– Mais Armand! Qu’as tu fait d’Armand ?

– Je n’avais plus de ressources pour l’immortaliser sur terre !

– Mon dieu ! Il est perdu !

– Pas du tout, je l’ai envoyé dans l’espace, et si tu continue à jacter je vais t’envoyer le rejoindre ! Fais moi donc jouir, petite mignonne !

– Mais avec grand plaisir, ma petite fée adorée !

 

 

 

SCÈNE 11

 

C’est ainsi que depuis quelque temps, quelque part entre Mars et Jupiter, il y a désormais un nouvel astéroïde. Il n’ a pas encore de nom, mais lui seul sait qu’il s’appelle Armand ! Il attend le jour où son orbite sera perturbée, où il pourra foncer sur la Terre et s’élancer vers la source de Pauline afin qu’ils puissent connaître ensemble un dernier et sublime orgasme

astrozob2

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 22:16

L’autobus du sexe ou les délires de la deuxième voiture ou Ligne 69-105 D par Malicia et Christobal

 

bisou1719

 

bus29Comme tous les matins je prends l’autobus pour me rendre au travail. Ce matin l’autobus est en retard, il est du même coup bondé, alors qu’habituellement il n’est plein à moitié. Je monte et dis bonjour à la conductrice qui, visiblement, me reconnaît. Il s’agit d’une très belle femme, une blackette avec un beau visage, des formes intéressantes et des lèvres purpurines. Je n’ai pas le choix et je suis obligé de m’asseoir à côté une autre personne, moi qui, habituellement préfère les banquettes individuelles. Je m’assieds à l’avant près d’une fille d’environ 20 ans, habituée à ce parcours et qui, je l’avais déjà remarqué, semble plutôt attirée par les femmes. Elle est grande et très mince, elle a les cheveux longs et elle est probablement d’origine asiatique. Son allure de garçon manqué dans ces jeans moulants m’excite. Elle ne bouge pas du tout et j’ai peine à m’asseoir confortablement, la nana prenant plus que sa place avec ses jambes écartées et son gros sac de sport.

 

Je m’installe en faisant attention de ne pas la déranger, mais manifestement ma présence à ses côtés à l’air de la contrarier. Discrètement, j’observe entre ses jambes toutes ouvertes vers moi, sa fourche et imagine cette vue si elle était nue… Du coup, une légère érection s’installe. J’observe également son visage sérieux et ses petits seins qui doivent être bien durs sous son tee-shirt moulant. Que j’aimerais la voir baiser avec une autre femme !

 

Arrivé à l’arrêt suivant une femme monte dans l’autobus et reste debout tout près de nous. La fille à mes côtés (on va l’appeler Corinne) regarde avec envie le corps de la femme d’environ 40 ans qui bouge constamment au rythme des secousses de l’autobus. Cette femme est très sexy, le sait et le montre. Elle a une jupe courte qui permet de contempler ses longues jambes et d’énormes seins qui semblent plutôt fermes pour son âge. Elle se penche pour déposer son sac et on voit très bien ses gros nénés dans leur soutien-gorge. À ce moment, Corinne prend son sac par terre, le dépose sur ses genoux et garde une main sur ses cuisses. Je suis trop près pour regarder directement mais je vois sa main frotter sa chatte à travers son jeans. Elle fantasme sûrement sur l’autre femme.

 

L’autobus se vide de plus en plus en se rapprochant du terminus. Je suis extrêmement excité et ma voisine voit très probablement mon érection à travers mon pantalon. Corinne prend alors doucement ma main et l’emmène vers sa fermeture éclair déjà ouverte qui est protégée des regards par son sac et mon blouson. Aussitôt fait, j’insère mon majeur dans sa chatte toute mouillée et entreprends de la masturber. Elle se laisse faire en fermant les yeux et en déposant ses deux mains sur son sac. Son clitoris est gonflé à bloc. La femme devant nous descend à l’avant dernier arrêt mais je continue de donner du plaisir à ma voisine.

 

Tout à coup, l’autobus change de direction. Ma voisine semble surprise également et referme sa fermeture éclair en s’asseyant de façon plus conventionnelle. Je constate que nous ne sommes plus que tous les deux l’autobus ! Je me lève pour demander à la conductrice la raison de ce changement d’itinéraire. Elle me répond d’un ton sec :

 

– Va t’asseoir et continue ce que tu as commencé !

 

Tout étonné, je m’assois sur la première banquette pour constater que j’avais été repéré. Ma voisine semble désespérée et ne dit pas un mot. Elle se tourne vers moi avec un regard apeuré. La conductrice aurait-elle l’intention de nous livrer chez les flics pour outrage aux bonnes mœurs ? L’autobus s’immobilise dans le fond d’un grand parking où il y a déjà plusieurs autobus vides.

 

La conductrice se lève :

 

– Je vous ai dis de continuer, vous n’avez rien à craindre, au fait je m’appelle Pamela

 

Corinne semble terriblement excitée par les ordres de la conductrice et détache son jeans pour l’enlever complètement. Je suis vraiment très surpris et heureux de voir la tournure des événements, je décide donc de passer à l’action. Je m’approche doucement de ma voisine qui vient tout juste d’enlever son slip et lui embrasse lentement les cuisses en me dirigeant vers sa vulve offerte. Je soulève son tee-shirt qui lui descend sur les cuisses pour tâter de ma langue cette merveilleuse petite chatte fraîchement rasée et toute douce. Je lèche avec de plus en plus de vigueur ses lèvres et son clitoris dans le but de l’entendre gémir ou jouir un peu. Je ne semble lui faire que peu d’effet, tout à coup, elle se déhanche un peu et émet un gémissement des plus voluptueux.

 

Je relève ma tête pour constater qu’elle se caresse les seins à travers son petit soutien-gorge et quelle est ma surprise de voir son regard fixé sur la conductrice qui est maintenant complètement nue et qui se masturbe debout près de nous. Ma partenaire est visiblement troublée par le corps de Paméla. Celle-ci a la peau très noire, elle est très peu métissée, ses seins sont très gros avec des mamelons d’un brun très foncé, sa chatte est recouverte d’une épaisse touffe de poils frisottante parfaitement triangulaire. Dans l’ensemble, bien que son corps ait de l’expérience, les petites rondeurs sont très excitantes. Elle est debout, les jambes un peu écartées avec une main dans son sexe qui effectue un va-et-vient très vigoureux, l’autre main se trouve sur sa poitrine et malaxe fermement ses gros seins. De temps à autres elle change de main pour humecter sa poitrine de son jus abondant. De plus, elle commence à gémir très fort et encourage ainsi Corinne à faire de même.

 

Je n’en peux plus, je me lève, baisse mon pantalon et sort ma queue qui ne peut plus attendre pour trouver un refuge. Lorsque Paméla voit mon pénis, elle s’agenouille devant moi et se met à me sucer avec vigueur. Pendant ce temps, Corinne se masturbe très rapidement pour se rendre à l’orgasme. Je ne peux résister à ce spectacle ainsi qu’à la bouche expérimentée de la conductrice, je suis sur le point d’exploser. Paméla me voit venir et dirige, tout en continuant de le masturber, mon pénis vers Corinne. J’éjacule au moment où submergée par le plaisir mon ex-voisine atteint son orgasme en criant d’une façon folle, mon sperme gicle sur son tee-shirt, son visage et ses cheveux.

 

Corinne se lève brusquement et m’éloigne de la conductrice, elle enlève son tee-shirt et son soutien-gorge et me les lance en pleine figure. Elle enlace Paméla et dégringole avec elle sur le sol, la conductrice est sur le dos et Corinne s’assied sur son visage et se penche pour entamer un 69 endiablé. C’était très excitant de voir ces deux corps si différents se joindre et se tortiller de cette façon. Les seins de la conductrice apparaissent de chaque côté du petit corps de Corinne, je m’en approche et embrasse un des seins en me dirigeant vers son visage et en traversant les jambes et le petit cul ouvert de la lesbienne eurasienne…

 

Pendant que la conductrice fait travailler sa langue dans la chatte de Corinne, elle me fait un signe que je comprends rapidement. Je m’accroupis derrière ma voisine et lui enfonce mon pénis bien dur, je me penche sur elle et pince ses petits tétons de mes doigts, ce qui lui arrache de petits cris de jouissance. Paméla a un orgasme incroyable qui la fait hurler de plaisir, je sens à ce moment le vagin de Corinne se resserrer sur mon pénis et son dos se cambrer de jouissance, sans retenu j’augmente le rythme de mes coups de bassin pour la bourrer copieusement et finir en apothéose.

 

J’ai soudain une envie d’uriner qui devient véritablement pressante. Je l’indique à Corinne, qui à ma grande surprise me susurre que je peux me soulager sur elle, car elle est aussi friande de ce genre de choses. Je ne me le fais pas dire deux fois, et tandis que Paméla est allé faire quelque chose sur son tableau de bord. J’asperge copieusement ma partenaire de mon jet doré. Je dirige mon pénis pour l’arroser un peu partout, les cuisses, les seins, le ventre et même le visage parce qu’elle n’hésite pas à se lécher les babines de ce curieux nectar. Elle me fait ensuite part de son désir d’inverser les rôles. Je m’allonge alors dans le couloir du bus déjà passablement mouillé de ma propre urine. Et Corinne se concentre un petit moment avant de lâcher son pipi juste sur mon pénis. Voilà qui est nouveau pour moi et qui me met en érection. Je commence à y prendre un goût certain quand soudain Paméla déboule furieuse !

 

– Mais qu’est ce que vous fabriquez, bandes de porc ! Pisser dans mon bus ! Non mais ça ne va pas la tête ?

 

Elle retourne vers le tableau de bord et sort d’une sorte de soute, une espèce de cravache !

 

– Allez donnez-moi votre cul ! Je vais vous punir pour les saletés que vous avez faites !

 

On implore sa pitié, mais elle ne veut rien savoir, le premier coup tombe sur les fesses de Corinne, cela n’a pas l’air de lui déplaire, d’autres coups tombent, elle a présent les fesses toutes rouges, elle gémit sans que je puisse savoir si c’est de douleur ou de plaisir, les deux peut-être ?.

 

– A toi, maintenant ! Dit Paméla !

 

Je reçois le premier coup sur les fesses !

 

– Aïe !

– Vous vous êtes fait mal ? me demande ma voisine de banquette

– Non ça va ?

 

Une contraction musculaire probablement ! Je me réveille, le bus est plein à craquer, quel étrange rêve ! Mais pourquoi ma braguette est-elle toute humide ?

 

Nous avons reçu ce texte signé par un énigmatique  » 2ème voiture  » ! C’est d’ailleurs la signature avec laquelle une version assez différente a été publiée sur le site de revebebe ! Nous avons de bonnes raisons de penser qu’il s’agit en fait de l’un de ces textes aux variables infinies qui se baladent soit de façon anonyme soit avec des signatures fantaisistes depuis un certain temps. Et si nous le publions, ce n’est certes pas pour ses qualités littéraires, mais parce qu’il nous a amusé ! Cela dit, si le véritable auteur désire se manifester, nous nous ferons un plaisir de faire valoir ses droits !

 

PS : Malicia et Christobal ayant ensuite revendiqué la paternité de ce texte, nous rendons à César…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:56

Lynn a la joie par Malicia et Christobal

 

Gs2

 

 

Je me prénomme Lynn, j’ai 23 ans, je suis eurasienne, étudiante et on me dit jolie brune.

 

Cette soirée d’anniversaire chez Thibault de Charaniac, je n’avais pas spécialement envie d’y aller, mais je me devais d’y être pour des raisons que je ne développerais pas ici : elle s’annonçait chiante, les invités n’étant pas de ceux qui m’intéressaient. Je pensais adopter la méthode assez classique consistant à me montrer à un maximum de gens puis à disparaître discrètement. Les circonstances on fait que je n’ai pas vraiment pu faire ça, alors pour tromper mon ennui, je me suis mise à boire, mais modérément, je sais aussi me contrôler…

 

Ne pouvant partir pour le moment, je me suis amusée à chauffer quelques garçons et j’ai commencé à les aborder les uns après les autres, ce que je ne devais pas faire avec une très grande efficacité ce soir-là, car je n’obtenais pas de réaction particulière. Pire un type plutôt mignon m’envoya carrément dans mes cordes :

 

– Le jour où j’aurais besoin d’une fille comme vous, je vous ferais signe, mais ce soir c’est inutile !

 

Le mufle, le salaud, le sale con ! Résister à l’envie de lui en retourner une, résister à l’envie de foutre le camp, résister à l’envie de chialer de honte, de rage et de dépit…

 

Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis dirigée vers le garçon que je trouvais le plus saoul, ce qui n’était pas peu dire, il était proprement torché, et j’ai commencé à entamer une discussion des plus laborieuses avec ce déchet.

 

Qu’importe, ce qui comptait, c’était d’arriver peut-être à tirer quelque chose d’un peu amusant de cette loque, et dans mon état, je devenais prête à tout pour y arriver.

 

Au bout d’un moment, perdant patience, je me suis levée, et le traînant avec moi, je l’ai emmené dans les toilettes. Là, l’adossant contre un mur, je tentais de lui faire comprendre mes intentions en lui roulant une pelle, mais dans l’état où il se trouvait, je crois qu’il ne comprit pas trop ce qui lui arrivait. Je décidais donc d’en profiter. Pendant qu’il comatait tout seul contre son mur, je me suis baissée, ai fait sauter le bouton de son pantalon, ai extrait son sexe de son caleçon. Là j’ai vérifié l’état de la chose, je n’ai rien contre les bites qui sentent un peu fort, mais il y a des limites quand même. ! Mais ça allait, et ce joli gland violacé me convenait parfaitement, je l’ai donc engouffré dans ma bouche, elle sentait un peu le pipi, juste ce qu’il faut… J’avais besoin d’être excitée, j’avais envie de le sentir éjaculer sur moi. Dans cette attente je relevais mon tee-shirt et fit sortir mes seins des bonnets du soutien-gorge. Je commençais à être très troublée, au fur et à mesure que sa queue se durcissait sur ma langue.

 

C’est alors que la porte s’est ouverte ! Complètement perturbée, sous l’emprise de l’excitation, je n’avais bien évidemment pas pris la précaution de fermer le loquet. Un garçon brun, avec lequel j’avais discuté un peu avant pendant la soirée avant de me rendre compte que c’était un abruti fini, a fait son apparition. Ses yeux se sont agrandis quand il nous a découverts, mais ne se décontenançant pas, il demanda :

 

– Heu, si ça ne vous dérange pas, je voudrais bien faire pipi, je ne peux plus me retenir

 

L’autre loque n’étant plus en état de répondre, je lui fais rapidement oui de la tête, avant de reprendre ma besogne.

 

– Heu, mais vous aller rester là ?

– Tu crois pas que je vais arrêter ce que je fais pour te faire plaisir, pisse, ne fais pas attention à nous !

 

Le mec hésite, incapable de savoir ce qu’il faut qu’il fasse.

 

– Heu, il faudrait peut-être vous pousser un petit peu ! Finit-il par dire

 

Je décidais alors de le provoquer, et abandonnant un instant la bite de mon épave, je me tournais légèrement vers l’importun, en me caressant vicieusement les mains sur ma poitrine.

 

– T’as qu’à me pisser dessus, j’adore ça !

– Mais vous êtes folle ! C’est dégoûtant !

 

La tête qu’il faisait, le mec était en pleine confusion mentale.

 

– Ecoute, si c’est dégoûtant, tu te casses de ces chiottes, tu sors dans la rue et tu t’arranges pour pisser contre un arbre…

– C’est vrai, vous aimez ça ?

– Allez dépêche-toi !

– Mais je vais en mettre partout !

– C’est pas grave, je finis ce que j’ai commencé et après je me sauve d’ici !

241004U2

Et puis, c’est parti tout d’un coup, voilà que je reçois son jet tout tiède sur les seins ! Hummm J’adore ça ! Je me les caresse en même temps, je me baisse un peu pour faire profiter mon visage de cette douche dorée, mais le mec ne comprend rien et baisse son jet, je suis donc obligée de lui dire que j’en veux aussi dans la bouche ! Il réalise enfin et j’avale un peu de son urine, je ne vous dis pas comme je suis excitée.

 

– Bon t’as fini ? Tu peux disposer !

 

Mais l’autre bien qu’il ait terminé son pipi ne partait pas, j’avais repris ma pipe mais je sentais ses yeux fixés sur moi, et sans doute sur ma bouche, qui allait et venait toujours sur la queue de ma brave loque. Je lui ai fait comprendre par un signe de la main que ce n’était pas pour lui, et qu’il devait partir maintenant, mais il m’a répondu  » non  » et a continué à regarder, comme çà, et çà l’excitait comme un petit fou, et alors qu’il aurait dû ranger sa pine depuis un moment, voilà qu’il se l’astiquait…. La situation commençait à m’énerver ! J’ai horreur de perdre le contrôle d’une situation. Et puis l’idée me vint comme ça, tout d’un coup :

 

– Bon tu te casses ou tu payes !

– T’es une pute ? lâcha-t-il

– Là, tout de suite, en ce moment, oui ! Alors ou tu payes et tu auras ta part de pipe ou sinon je laisse tout tomber et il n’y aura plus rien à voir !

 

Le mec fouille dans ses poches et sort un billet de 20 roros

 

– C’est tout ? J’en veux deux comme ça !

 

Il m’en file un autre ! Je ne vais quand même pas me gêner avec un mec qui est probablement plein de fric ? Alors je lui ai fait signe de s’approcher, j’ai lâché la verge de l’autre pour mieux pouvoir sortir celle de l’abruti brun. C’était la première fois que je me retrouvais avec deux garçons dans une telle situation, et avec deux queues à ma disposition ! Au départ, j’avoue que je n’ai pas trop su comment m’y prendre, mais bientôt, j’ai trouvé la méthode : je masturbais les deux avec chaque main, et j’allais et venais de l’un à l’autre avec ma bouche, afin de donner aux deux une égale quantité de fellation. Très excitée par cette situation que je vivais pour la première fois, j’ai donné tout ce que je pouvais, je les ai sucés à fond, le plus profondément possible. Ne pouvant vérifier l’effet de ma fellation sur la loque à gauche, j’observais mon abruti brun gémir, les yeux dans le vague.

 

Finissant par s’apercevoir que je le regardais, il s’est enhardi et a voulu reprendre l’initiative : comme il commençait à me malaxer les seins du mieux qu’il pouvait, je l’ai vite interrompu, repoussant sa main et lui faisant comprendre qu’il ne m’intéressait pas.

 

– J’ai payé, non ?

– C’est vrai, mais alors caresse gentiment, c’est des seins, c’est pas de la pâte à modeler…

 

C’est la loque qui a lâché le premier, j’étais en train de sucer l’autre quand j’ai senti l’orgasme arriver dans ma main gauche. Rapidement je me suis mise face à lui, et j’ai reçu quelques giclées de son sperme sur mon visage et sur ma poitrine. Là, il s’est effondré.

 

Je suis revenue sur l’autre, et ai pu me consacrer entièrement à lui faire une fellation du mieux que j’ai pu jusqu’à ce que je sente son orgasme monter. Là, j’ai conservé son sexe dans ma bouche et je me suis contentée de frotter très vite avec ma langue le dos de son gland du côté de son frein. Il a commencé à râler, et j’ai senti son sperme me gicler dans la bouche. Complètement partie, je l’ai avalé, et puis, je trouve que, même si ce n’est pas génial, le sperme n’a pas si mauvais goût que çà, alors j’ai fait l’effort de lui faire ce plaisir. Après s’être rhabillé, le mec m’a sorti :

 

– Si je te donne un peu plus, on pourrait peut-être aller plus loin ? Tu es bonne (çà, ça m’a fait plaisir.) et j’avais bien envie de toi (çà, ça ne m’a rien fait.).

– Oui, ben non ! Maintenant tu me laisses j’ai quelque chose à faire…

 

Il est parti, déçu… Mais tant pis, et puis je lui ai fabriqué un souvenir, ce truc là il s’en rappellera toute sa vie… En fait j’avais deux choses à faire, la première pisser à mon tour. La loque s’était carrément endormie sur le côté de la cuvette. Je lui pissais dessus n’épargnant pas son visage, mais cela ne fit même pas cesser ses ronflements. Je ne m’essuyais pas, puis je m’installais le plus confortablement possible sur la cuvette, les cuisses bien écartées, et commençais à me frotter la chatte avec mes doigts tout humide d’urine, l’autre main tordait fortement mon téton, l’excitation ne tarda pas à monter, ma main se concentra alors sur mon clito bien dur et tout sensible. J’essayais autant que possible d’étouffer le cri de jouissance qui montait dans ma gorge, et failli m’affaler à côté du poivrot. Je pris sur moi pour me lever, je réajustais plus ou moins mes fringues, mais les taches d’urine étaient partout… je sortis, me dirigeais vers l’endroit où j’avais laissé mon manteau et mon sac et disparut dans la froideur de la nuit…

 

Finalement cette soirée m’aura amusé et excitée au-delà de toute espérance ! Je dois être un peu spéciale quand même !

 

Malicia (et Christobal)

 

Une première version est parue en 1999 sous la signature de Lynn et sous le titre « Une soirée… » chez Sophiexxx, une seconde a été publié avec le même titre qu’ici en septembre 2000 sous la signature de Fabienne et jean sur le site de Revebebe puis archivée .C’est donc la version 3 que nous vous présentons ici.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:41

Un 5 à 7 chez Ellen par Marie-France

blob

 

Je me prénomme Angéla et je suis afro-américaine. Mes parents m'ont laissé orpheline alors que j'étais toute petite, et je n'en ai aucun souvenir. J'ai été élevé par ma tante et je crois bien qu'elle ne m'a jamais aimé, mais j'ai mis du temps avant de m'en rendre compte. Dès que j'ai eu ma majorité, je suis parti voir ailleurs, sans diplômes, sans expériences. Une amie m'avait généreusement prêté son petit studio qui serait libre quelques mois, le temps d'une mission au Mexique. J'avais également déniché un poste de serveuse dans un fast food, mais cet emploi à mi-temps et mal rémunéré ne pouvait me suffire.

 

Ne sachant pas faire grand-chose, je consultais les petites annonces et fus attiré par l'une d'entre-elles au titre curieux : 5 à 7 !

 

On demandait une femme de compagnie durant cette tranche horaire. Il fallait simplement avoir des compétences en tâches ménagères et aimer la lecture, précisait-on !

 

C'est ainsi que je me suis retrouvée employée chez Ellen Earl, une femme d'environ 40 ans. C'est une grande blonde décolorée, genre plutôt chic avec coiffure apprêtée, maquillage savant, lunettes fantaisies, et toute une collection de bagues, de bracelets et de collier. Quand elle m'a reçue dans son immense maison de la banlieue de Richmond, elle était en tailleur et chemisier blanc.

 

Ellen vit seule, manifestement elle ne travaille pas et j'ignore quelles sont ses sources de revenus. Elle passe son temps à faire du ménage, où alors elle s'enferme des heures entières dans sa grande chambre où est entreposée une partie de sa bibliothèque ainsi que son ordinateur, ses vidéos et sa chaîne hi-fi.

 

Mes activités ne sont pas très cadrées. Et en arrivant tous les jours à 17 heures, j'ignore comment vont se passer les deux heures que nous allons passer ensemble. Parfois je l'aide à faire son ménage, c'est une obsession chez elle, soit elle m'envoie faire des courses, soit je lui fais de la lecture ou même parfois, nous parlons simplement de tout et de rien. 

 

Les rapports avec mon employeuse étaient au début très distants, mais ils se sont compliqués avec le temps. D'un côté, elle me faisait une confiance absolue, notamment en m'ayant attribué un jeu de clé, ce qui me permettait d'entrer sans sonner. Mais aussi elle est devenue plus exigeante sur ma façon de m'habiller. Elle tient à ce que je vienne en robe ou jupe et m'interdit le port du pantalon. Elle me dit de rester féminine et il y a quelque temps, elle est intervenue en me demandant ce que je portais comme dessous. La question aurait été embarrassante, mais elle me demandait cela avec un tel naturel que je lui avouais ne pas porter de soutien-gorge.

 

- C'est malin, c'est comme cela qu'on se déforme la poitrine ! Et je suppose que tu n'as pas de culotte non plus ?

- De culotte, si bien sûr ! Répondis-je, gênée.

- Le lendemain, je mettais donc un soutien-gorge, estimant que s'il n'y avait que cela pour la contenter, ça ne me coûtait pas trop. En arrivant chez elle, Ellen elle me tendit un sac venant du magasin de lingerie.

 

Je déballais le petit paquet, et en sortit, très étonnée un joli soutien-gorge jaune en fine dentelle !

 

- Euh ! Vous m'avez acheté un soutien-gorge, il ne fallait pas, j'en ai acheté un de mon côté. Euh ! Je vous dois combien ?

- Rien du tout, c'est un cadeau !

- Un cadeau ? Mais pourquoi, je n'ai rien fait pour mériter un cadeau !

- Si ! Tu me plais bien ! Considère que c'est une sorte de prime ! D'ailleurs ce n'est pas grand-chose. En fait, je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Demain tu auras peut-être une surprise !

 

Voici une attitude qui m'étonnait un peu, mais cette personne se révélait comme très originale sur beaucoup d'aspect. Après tout, si cela lui faisait plaisir !

 

Le lendemain, je trouvais un cadeau sur la table de sa chambre. Je ne pensais pas qu'elle mettrait sa promesse à exécution et déballais, fébrile pour y découvrir un ensemble très joli bas noirs, culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelles mauves. Avant d'avoir pu me remettre de mon émotion, elle m'a demandée si cela me plaisait. 

 

- Tu vas l'essayer et me montrer, je suis sûre que ça devrait t'aller parfaitement, mais on ne sait jamais, je tiens à vérifier !

 

Me pliant à ses désirs, je suis allée dans la salle de bain afin de m'y changer. Je me regardais dans les miroirs, me disant que tout cela ne m'allait pas si mal que ça. Bizarrement ce que préférais c'était sans doute la culotte, dont la forme laissait échapper en le mettant en valeur le galbe de mes petites fesses. Puis, je suis réapparue devant elle en petite tenue afin qu'elle puisse juger du résultat. Elle m'a fait d'abord pivoter afin de m'observer sous tous les angles, puis s'est reculé un petit peu afin d'avoir une vue d'ensemble, reviens vers moi, et sans me demander mon avis elle se met soudain à me réajuster le soutien-gorge en remettant mes seins en place, à rectifier la place de la culotte sur mes fesses, et du porte-jarretelles, puis des bas légèrement torsadés au niveau des cuisses. Finalement, elle se déclare satisfaite et me demande de remettre ma robe. Nous avons passé le reste de la soirée à faire du rangement et à discuter de choses et d'autres. Curieuse bonne femme ! 

 

Le lendemain, elle m'attendait avec encore un cadeau. C'était une merveilleuse petite robe, toute simple et très légère. Elle l'avait choisie un peu trop courte, sans doute, le manque de coup d'œil sur ma taille car pour le reste, elle m'allait comme un gant. A l'essayage, elle n'a pas fait de commentaire sur la longueur, pourtant elle était si courte que je voyais l'extrémité de mes bas et les crochets du porte-jarretelles. Et le décolleté en carré découvrait mes seins, heureusement pris dans le soutien-gorge à balconnet, de sorte que cela pouvait aller. 

 

Elle m'a déclarée que cela l'amusait de m'habiller, qu'elle jouait comme pour habiller une poupée. Et qu'il ne fallait pas que j'offusque de ses cadeaux. Par contre, elle exigeait que je garde les habits qu'elle m'offrait pendant tout le temps du service que je faisais chez elle.

 

J'ai accepté, ça faisait un peu pute, ces trucs, ou tout du moins soubrette d'opérette, mais qu'importe, j'avais l'impression qu'Ellen ne recevait personne (du moins pas en ma présence), donc elle serait la seule à me voir ainsi !

 

Le dernier cadeau fut un ensemble jupe noire et chemisier blanc. Ce dernier très classique, n'avait que très peu de boutons et laissait un décolleté très sexy. La jupette était ultra courte, du genre portefeuille, sauf que le recouvrement du tissu était minime, voire inexistant, et chaque mouvement laissait voir mes dessous. 

 

Cette fois-ci, je n'étais plus dupe, Ellen à l'évidence ne se contentait pas de jouer avec moi à la poupée Barbie, mais m'entraînait lentement mais sûrement dans un jeu de rôle où elle serait la voyeuse et moi l'exhibitionniste de service.

 

Du coup, je me rebellais, et lui indiquai qu'il était hors de question que je porte des vêtements comme ceux-ci :

 

- C'est à prendre ou à laisser, Angéla, mais si tu laisses, tu perds ta place !

 

Puis elle tourna les talons et parti vers la cuisine. Bizarrement, je ne tenais pas à partir, je n'étais pourtant pas aux abois, j'aurais pu trouver facilement un petit job de remplacement, mais quelque chose d'indéfinissable m'attirait ici. Je lui courais après !

 

- Pardon, pardon ! Je m'habillerais comme vous voulez ! Je ne sais pas ce qui m'a pris !

- OK, ce sera 10 coups de martinet !

- Quoi ?

- 11 coups !

- Mais, enfin...

- 12 coups !

 

Je me tus, consciente d'être dans une impasse ! J'hésitais à présent, envisageant cette fois de partir pour de bon, mais attendant sa réaction. Elle se voulut rassurante :

 

- N'ai pas peur, je ne suis pas une brute, je ne vais pas te frapper fort, c'est juste pour le principe !

 

Elle me proposait une "sortie de crise" honorable, je m'empressais de l'accepter.

 

- Va me chercher le martinet dans le petit placard sous l'escalier, reviens avec, puis enlève ta culotte et soulève ta jupe !

 

Un peu fébrile, je trouvais rapidement l'instrument, m'étonnant qu'il soit si directement accessible, je le lui apportai et comme demandé, je me mis les fesses à nu !

 

- Il est joli ton petit cul de "blackette" ! Ce serait dommage de l'abîmer. Mais si tu recommence à me désobéir, la prochaine fois je frapperais plus fort.

 

Le premier coup atterrit, je poussais un petit cri, mais encaissais, c'était heureusement très supportable. Après le douzième, elle me fit remettre ma culotte et m'ordonna de nettoyer à fond la salle de bain et la toilette, et je ne la revis plus de la soirée.

 

J'étais assez circonspecte en rentrant chez moi. Mon trouble était certain. Non seulement Ellen se révélait voyeuse, mais elle voulait jouer à la dominatrice. J'avais eu l'occasion de voir sur Internet des images de domination avec des gens enchaînés dans toutes les positions, des pinces partout et des traces de flagellation sur toutes les parties du corps. Cela ne me disait rien que vaille ! Par contre une domination légère psychologique accompagnée de châtiments plus symboliques que brutaux. Hum... Pourquoi pas ?

 

J'avais donc pris l'habitude de me changer chaque fois en arrivant chez Ellen, soit avec l'ensemble jupe, chemisier, soit avec la robe qui entre-temps avait été transformé. Les échancrures ouvertes, elle était devenue une robe-chasuble, jusqu'au niveau de la poitrine, et chaque mouvement découvrait mon corps. Sinon mes occupations restaient les mêmes. Quant à Ellen si l'on excepte son regard appuyé, je ne sentis pas de changement dans son attitude avec moi. Mon travail terminé, je me changeais et quittais son domicile. Je m'habituais à travailler comme cela et ne faisait plus attention à ses regards. 

 

Jusqu'au jour où en arrivant, je ne trouvais pas ma petite culotte. J'allais dans sa chambre où je pensais la trouver. Elle y était effectivement... 

 

...Allongée sur son lit, les cuisses grandes ouvertes, Ellen se masturbait avec frénésie, ma culotte sur son visage. Elle ne m'a pas vue et je me suis retirée discrètement. J'ai attendu de ne plus entendre ses gémissements pour frapper cette fois et entrer comme si de rien n'était... 

 

tits-02Ellen avait repris une attitude normale et m'accueilli comme à son habitude. J'ai fait exprès de ne pas mettre de culotte et elle a dû tout de suite le voir avec ma robe chasuble qui ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Je faisais des mouvements amples et augmentais le déplacement du tissu, me tenais en face d'elle en travaillant, en évitant de joindre les jambes, bref je l'allumais. 

 

Elle me demanda alors de m'asseoir en face d'elle et de lui lire un bouquin que nous avions commencé depuis deux ou trois jours. Il s'agissait du dernier Patricia Cromwell. Elle m'interrompit un moment après que j'ai lu un passage :

 

- Ca ne m'étonne pas qu'elle écrive ça ! Tu savais que Patricia Cromwell était lesbienne ?

- Euh, non !

- Mais c'est ce qui lui donne cette sensibilité si particulière. De toute façon j'adore les lesbiennes.

 

Au moins le message était clair. Je ne relevais pas et continuais ma lecture. Ellen comme à son habitude s'était allongée sur une liseuse et fermait les yeux. En fait, je sentais son regard sous ses paupières mi closes. Au fur et à mesure de ma lecture, j'écartais doucement mes jambes et elle pouvait profiter de la vue de mon intimité. Elle ne m'a interrompue à aucun moment. J'avais les cuisses ouvertes et je passais ma main sur mon pubis et sur ma vulve, sans la regarder. J'étais comme nue devant elle. Je me suis arrêtée de lire, et je l'ai entendu me dire :

 

- Continue !

 

Ça voulait dire quoi ? Continuer de lire ou continuer de l'allumer ? Les deux sans doute ! Je décidais de n'en faire qu'à ma tête et tant pis (ou tant mieux) pour la punition, martinet ou autre qui risquait de me tomber dessus. J'abandonnais ma lecture, la regardais, ouvrais mes jambes en ramenant mes pieds sous mes fesses, et j'entrepris une véritable masturbation devant elle. Elle m'a regardé faire, sans commentaire et après que j'ai jouie, elle s'est levée, s'est approchée de moi et a passé sa main entre mes cuisses, sur mon minou et a senti ses doigts. Elle m'a fait lever, m'a caressé mes fesses, repassée sa main entre mes cuisses par derrière et toujours sans commentaire, m'a envoyé une énorme claque sur le cul, puis m'a ordonnée de partir sur le champ. 

 

- A demain, petite garce !

 

Le lendemain, je me suis présentée chez elle comme d'habitude, je me suis changée, ma culotte avait retrouvé sa place et suis allée à la rencontre d'Ellen, qui comme souvent devait se tenir dans sa chambre. 

 

Elle y était bien, mais pour la première fois depuis que j'étais à son service, elle n'était pas seule, une de ses amies lui tenait compagnie et semblait m'attendre.

 

- Angéla, je te présente Ashlyn !

 

Ashlyn était une petite brune frisée toute en rondeurs

 

- Ellen m'a parlé de toi, elle m'en a dit beaucoup de bien !

 

J'étais très gênée à cause de ma tenue, j'avais mis ma jupe et le chemisier. Heureusement que j'avais récupéré ma petite culotte ! 

 

- Approche, Angéla !

 

Je me suis approchée un peu craintive, Ashlyn me dévisageait. Tranquillement, elle entreprit d'ouvrir mon chemisier et de dégager ma poitrine. Je la laissais faire sans réagir, les bras le long du corps. 

 

- Ellen ne m'a pas racontée d'histoire, tu es très docile !

 

Je ne suis pas docile, je suis tétanisée, ce n'est pas pareil ! Mais le jeu ne me déplait pas J'avais le chemisier ouvert et elle me pelotait les seins complètement sortis de mon soutien-gorge. Des attouchements savants, parfois du bout des doigts, parfois à pleines mains. J'étais debout devant elle, qui était à moitié assise sur un fauteuil. Ellen en retrait regardait sans rien dire, semblant attendre l'appréciation de sa copine.

 

- Elle est pas mal, tu as fait du bon travail, Ellen ! Voyons la suite !

 

Elle m'a fait tourner, et passa sa main sur mes jambes très haut, puis sur mes hanches, et a fini par dégringoler ma culotte et me la retirer complètement. Elle me touchait, me tripotait, m'auscultait, me flattait comme elle l'aurait fait d'un petit animal et moi, je me laissais faire sans réaction, subjuguée. 

 

Je me suis retrouvée nue devant les deux femmes. Ellen me regardait avec des yeux bizarres et son amie continuait son inspection qui devenait très intime, presque médicale. Sauf que de temps en temps elle venait carrément m'agacer le clitoris ! 

 

Elle m'a ainsi fait mettre sur le dos pour une inspection vaginale complète, puis à quatre pattes pour un toucher rectal qu'elle aurait aussi bien pu faire lorsque j'étais sur le dos. Moi docile, j'ai tout accepté de cette femme, je ne me reconnaissais plus. 

 

Je suis restée nue devant elles un long moment avant qu'Ellen ne me dise de m'étendre sur la liseuse et de refaire comme la veille. 

 

Je me suis allongée, un pied par terre, l'autre sur le dossier et j'ai commencé à me toucher, mais ce n'était pas facile, comme ça, à froid. 

 

En me voyant dans cette position, Ashlyn s'est approchée et a commencé à me caresser les cuisses, à l'intérieur, tout en découvrant ses seins qu'elle frottait un moment sur mon ventre. 

 

J'ai commencé à me doigter doucement, alors les deux amies ont relevé leurs jupes, quitté leur culotte et devant moi, jambes ouvertes, cuisses écartées, m'ont imitée en me regardant. 

 

Nous avons jouie chacune de notre côté puis chacune d'entre elle est venue entre mes cuisses et m'a goûtée en posant directement sa langue sur mon sexe ouvert et humide de cyprine. Elles m'ont fait jouir chacune leur tour, sans pudeur et ont profitées de mon corps abandonné à leurs désirs les plus inavoués et les plus érotiques. Je suis devenue leur chose où elles exultaient leurs fantasmes les plus fous, les plus odieux aussi. 

 

Lorsqu'elles ont eu assez de mon corps, elles se sont rhabillées et m'ont ordonné de rester nue et ouverte devant elle, avec un sexe en plastique planté en moi et immobile. Je suis restée ainsi je ne sais combien de temps et par moment elles s'intéressaient à moi pour le remuer et essayer de me faire pousser des cris de jouissance.

 

L'heure de mon départ est arrivée, mais elles m'ont demandé de rester à leur disposition pour la nuit. Je fus invité à me mettre dans le lit. Elles se sont déshabillées chacune de leur côté et sont venues me rejoindre, j'étais au milieu et sentais leur corps chaud contre moi pour la première fois. 

 

© 2000 - Adaptée de l'anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 14/10/2001

 

Note : Ce texte est une traduction-adaptation d'un texte anglais anonyme. Une version non corrigée de ses fautes avait été publié il y a quelque temps sur Sophiexxx. (J'en ai repris certains passages en y apportant les corrections nécessaires)

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:30

Quatuor sadomaso par Marie-France Vivier

 

 stamp slave

Comment me présenter ? Je suis Isabelle, j’ai 29 ans (en fait un peu plus) je suis brune, les cheveux mi-long bouclés, ma peau est légèrement mate et mes seins sont lourds, on me dit gentille et souriante, Cédric, mon compagnon est fin, blondinet, plutôt beau gosse et complètement obsédé.

 

L’échangisme est une pratique qui me gonfle ! C’est bien simple je ne veux pas en entendre parler ! Voir mon mari faire l’amour avec une autre femme est un éventualité que je trouve tout simplement insupportable ! Quant à m’envoyer un autre mec sous les yeux de mon époux, ben ça me gêne. C’est comme ça ! N’allez pourtant pas croire que je suis coincée ou arriérée ! Non, pas du tout, nous formons avec mon mari un couple très libéré, mais nous ne partouzons pas, du moins pas ensemble.

 

Mais… parce qu’il y a un mais…

 

Mais depuis quelques mois, nous avons découvert, je devrais dire redécouvert, les plaisirs des jeux SM, il faut croire que c’était latent chez nous car nous nous y sommes mis avec une ardeur très volontariste.

 

Cela a commencé par des petits trucs, des fessées très panpan cucul, puis des fessées plus sérieuses, puis on s’est acheté un martinet. Pareil pour les pinces, au début on faisait joujou à pinces-tétés, puis on a utilisé des pinces à linges, on en est maintenant aux pinces de sex-shop. On s’attache, on se fout de godes, on se pisse dessus et on se lèche le cul. Nous essayons d’être imaginatif en la matière, et nous amusons souvent à des petits jeux de rôles où chacun à notre tour nous pouvons assouvir nos penchants masochistes…

 

…et puis un beau jour Cédric me dit :

 

– Si on essayait de rencontrer un autre couple ?

– Je croyais qu’on était d’accord pour ne pas faire d’échangisme !

– Justement, ce n’est pas de l’échangisme !

 

L’idée était lancée, alors un jour nous avons passé une annonce sur Vassilia.net : « couple aimant la soumission recherche autre couple qui nous dominerait dans un esprit de respect mutuel. Voici les pratiques que nous aimerions mises en œuvre : fessées à la main, au martinet, à la ceinture, pinces aux seins et au sexe, cire de bougie, uro, nettoyage de cul, scato très légère, gifles, crachats, insultes, humiliations, emploi de mots vulgaires. Nous fantasmons aussi tous les deux sur la bisexualité »

 

Et on nous a répondu…nous avons sélectionné la réponse d’un couple pas trop loin de chez nous.

 

On échange deux mails, on se téléphone, on se donne rendez-vous.

 

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. On se présente, Dany est une belle jeune femme avec quelques rondeurs, les cheveux sont blonds décolorés mi-long et raides, on sent qu’elle s’est vêtue pour la circonstance, un pantalon en jean super moulant et un pull-over rose très décolleté, mettant bien en valeur une poitrine que l’on devine avantageuse. Mario est un grand moustachu frisé avec de grandes moustaches, en jean et tee-shirt. Ils ont l’air sympathique mais je les sens un peu anxieux.

 

– Je vous propose de prendre l’apéro, ça va nous permettre de mieux nous connaître et de voir ensemble comment on peut faire ça, cerner les limites et tout ça… nous prévient notre hôte.

– C’est moi qui donnerait le signal du début de la séance nous prévient Dany, et à ce moment là vous serez nos esclaves.

 

On approuve, on règle quelques détails pratiques, le temps passe vite et au bout de vingt minutes nos verres sont vides. Mario va pour nous resservir !

 

– Non tu ne les ressers pas ! Le prochain verre c’est tout à l’heure, maintenant le jeu commence ! Annonce Dany

 

Appréhension !

 

– Commencez par vous mettre complètement à poil tous les deux, vous faites ça sans un mot et quand ce sera fait vous vous agenouillerez ici

 

Je le fais, échangeant un regard avec Cédric, cherchant une étincelle de complicité, de réconfort, mais rien ne vient, il est aussi mal à l’aise que moi.

 

Nous sommes nus, à genoux : Dany n’a pas un regard vers mon mari, elle s’approche de moi, me toise avec un mépris, que j’espère simulé, et me crache au visage !

 

– Tiens poufiasse !

 

Après ce grand moment de romantisme, une gifle suit !

 

– T’es priée d’ouvrir la bouche quand je te crache à la gueule, espèce de pute et tu dois me remercier.

 

J’ouvre la bouche, avale le second crachat ! La situation commence à m’exciter.

 

– Merci, Dany !

– De rien ! Lève ton gros cul, pétasse, que je qu’examine la marchandise ! Qu’est ce que tu en penses, toi Mario ?

– Pas mal, jolie poitrine !

 

Il s’avance vers moi, me malaxe les nichons comme si on était à la foire aux bestiaux, me pince les bouts des seins, me les tord, je crie, mais c’est bon !

 

– Arrête de gueuler s’il te plait, la fête ne vient que de commencer ! Me dit-il en me giflant le sein ! Et tourne-toi qu’on voit un peu ton cul ! Penche-toi et écarte-moi tout ça, on a envie de voir ton trou à merde !

 

Je fis ce qu’il me demandait, m’excitant de prendre une pose aussi obscène !

 

– T’as dû en recevoir des bites dans ton cul de salopes ? Hein, réponds-moi !

– Ben pas tant que ça, en fait…

– Si, si ça se voit, mais je comprends que tu ne veuilles pas le dire devant ton mari, ton cocu de mari. Hummm, elles sont jolies, ces fesses !

 

Mario se mit alors à me fesser à mains nues, il tapait fort, plus fort que Cédric, mais ça restait supportable.

 

– Hum… elle me fait bander cette salope !

 

Il se recule, et ouvre sa braguette, libérant une belle verge bien tendue !

 

– Alors elle te plait ma bite ?

– Oui, elle est belle !

– T’aimerais bien la sucer, hein ?

– Oui, j’aimerais bien !

– Et devant ton mari, en plus, t’es vraiment une salope !

– Je sais !

– T’aimerais bien que je te la foute dans le cul aussi ?

– Pourquoi pas ?

– Et bien pas de bol, c’est pas pour toi ! Tiens, toi au lieu de rêver dans ton coin… dit-il en s’adressant à mon mari, vient donc goûter à ma bite !

 

Cédric ne se fit pas prier, s’avança et engouffra la bite de notre hôte sans aucun problème !

 

– Allez suce-moi bien, pédé !

 

Depuis le temps que mon mari m’en parlait, mais le voir réaliser son fantasme comme ça devant moi me faisait tout drôle !

 

– Tu as vu ce qu’il fait ton pédé de mari ? Il suce des bites ! M’invectiva Dany ! Dis-moi ce que ça te fait !

– Ça m’excite !

– Et ça va t’exciter aussi quand tout à l’heure Mario va bien l’enculer ?

– Je crois oui !

– Tu n’es qu’une grosse salope ! Ouvre la bouche !

 

De nouveau elle me cracha dessus !

 

– Merci !

– Bon, on fait un peu n’importe quoi ! Toi le pédé, arrête de sucer et viens au pied du fauteuil avec ta morue !

 

Dany s’assit, et retira ses mules !

 

– Maintenant vous aller me lécher les pieds tous les deux ! Et vous léchez bien, je veux que ça bave ! Mario passe derrière eux et fout-leur des claques sur les fesses pendant qu’ils font ça, ça va les stimuler !

 

Ce qui était évident c’est que ces pieds ne venaient pas d’être lavés, ils sentaient même assez forts, mais le premier mouvement de recul passé, je m’efforçais de lécher ce joli panard bien dessiné, en me concentrant sur les orteils, le gros surtout que je léchais comme s’il s’était agit d’une petite bite ! Quant aux coups que nous assénaient le grand frisé, cela m’émoustillait merveilleusement, d’autant qu’il les accompagnait d’insultes diverses :  » tiens prend ça, grosse pouffe, tiens gros pédé… et autres gentillesses ». Dany se leva, et alla chercher deux colliers de chiens qu’elle passa autour de mon cou et autour de celui de mon mari, Mario arrive alors avec une cravache et nous la fait « goûter » de deux brefs coups très secs, ensuite Dany tira sur les laisses et nous demanda de la suivre, mais en restant à quatre pattes. On emprunta un petit escalier, pas évident de descendre un escalier à quatre pattes. Heureusement Mario nous frappait modérément et sans nous presser.

 

– Voilà notre petit donjon ! Déclara fièrement Mario, en ouvrant ce qui avait dû être une ancienne cave, ça ne m’a pas coûté trop cher, j’ai bricolé moi-même les deux croix de St André et j’ai retapé une vielle cage à chien ! Ça vous plait, j’espère ?

 

Amusant, le type qui un moment abandonne son rôle de dominateur pour adopter le point de vue du propriétaire. La pièce est arrangée avec un certain goût, le mur a été reblanchi à la chaux, le sol recarrelé, il y a sur les planches tout un assortiment de godes, de pinces, de poids et d’autres trucs dont je ne comprends pas toujours la destination. Tout cela est très propre. Sur un petit guéridon est disposé un petit service de coupes à champagne, mais je ne vois pas de bouteille.

 

Ils nous avaient prévenus qu’ils n’étaient pas trop fétichistes, Dany est restée habillée, Mario aussi, bien qu’il soit toujours la braguette ouverte et le zizi sorti !

 

Ce dernier s’en va chercher deux petites pinces à linges toute roses et sans aucun ménagement me les accroche au bout de mes seins. Elles serrent un peu fort, je serre les dents, m’efforce de ne pas crier.

 

– Supporte, me dit-il ! C’est rien du tout !

 

Et tout en me parlant il les fait bouger dans tous les sens. Je crie, ça fait mal mais c’est bon ! Je commence à m’habituer mais Mario me les retire, les replace aussitôt ! Oh, là là, ça fait très mal, puis il recommence à les bouger, des frissons bizarres me parcourent le corps, instant particulier où la douleur et le plaisir se croisent en de larges frémissements. Il s’amuse à ouvrir et à refermer les pinces, plusieurs fois de suite, des dizaines de fois de suite… Je pousse des « Ah ! Ah ! » Tandis que mon entre-jambe devient tout mouillé !

 

– On va rajouter des poids !

 

Marie France 

Est ce que je vais supporter ? Oui, mais ça commence à être dur. Sa femme arrive avec une autre paire de pinces à linge et les fixe sur mes grandes lèvres vaginales, puis y ajoute des pinces ! C’est trop je ne vais jamais supporter tout ça.

 

– A quatre pattes ! Ordonne Dany

 

Et, oui, dans cette position il n’y a rien qui puisse amortir le poids des plombs qui se balancent librement au bout des pinces, mes tétons et mes lèvres sont tiraillées par milles feux… Un coup de cravache vient soudain me cingler le cul !

 

– Avance, pute !

 

J’avance péniblement, avec toute cette quincaillerie ce n’est pas évident, mais les coups de cravache me font avancer. Trois fois ils me font faire le tour de la pièce. Je n’en peux plus. Faut-il que je leur dise ou seront-ils assez intelligents pour s’en rendre compte ?

 

– Relève-toi !

– Elle me fait bander, cette salope, confie Mario à son épouse !

 

Et en disant cela il entreprend de se déshabiller. Enfin ! Il est plutôt bel homme. Son érection est assez fantastique, j’ai soudain envie de lui sucer sa bite et pour la première fois l’idée d’un mélangisme non SM me traverse alors l’esprit. Il a dû s’apercevoir de mon regard, mais il ne dit rien d’abord m’enlevant plutôt délicatement les pinces. Le retrait est toujours douloureux le temps que le sang se remette à circuler

 

– Décidément, tu la voudrais bien ma bite ? Hein salope ?

– Oui ! J’aimerais bien te la sucer ! M’entendis-je répondre.

– On t’a déjà dit que c’était pas pour toi ! Et tu vas nous dire pour qui c’est, ma belle bite

– Pour mon mari je suppose ?

 

Je reçois une baffe !

 

– Ce n’est pas la bonne réponse

– Je ne sais pas

– Tu dois dire, « ta bonne bite, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. »

– D’accord, ce n’est pas pour moi, c’est pour le pédé qui me sert de mari. Répétais-je comme un perroquet

 

Dany s’est enfin déshabillé, elle est belle, ses seins sont assez lourds, pales, laiteux, terminés par des pointes déjà bien excitées, la chatte n’est pas rasée, et est plutôt assez fournie. Elle s’approche de moi.

 

– Tu n’as pas honte, petite pute de faire bander mon mari !

– Non pas vraiment ! Crus-je intelligent de répondre.

– Alors ouvre la bouche ! Ou plutôt non, demande-moi de te cracher à la gueule

– Crache moi dessus Dany, je le mérite !

 

J’ouvre un large bec et en reçois plein des gencives.

 

– C’est la première fois que tu te fais cracher dessus par une femme !

– Ben oui !

– Tu sais que tu m’excites ?

– Tant mieux, non ?

– T’es vraiment une salope !

 

Et la voilà qu’elle se colle à ma bouche, nous échangeons un long baiser baveux, qui n’a plus rien à voir avec de la domination. Puis elle se reprend et se dirige vers mon mari. Avec l’aide de Mario, il l’attache sur une des croix de St André, mais par devant. Il a immédiatement droit à une pince sur chaque téton et deux autres sur chaque testicule, il commence à faire un drôle de grimace. Ils accrochent les poids, ça devient spectaculaire, toute cette chair étirée. Puis Dany interroge son compagnon.

 

– Je le fais ou tu le fais ?

– Fais le c’est plus excitant !

– Oui, mais je suis moins douée que toi !

 

Qu’est ce qu’ils projettent donc de lui faire, à mon homme ?

 

– Justement, c’est ça qui est excitant !

– Bon, on y va, conclue Dany qui revient avec une cravache

– Tu devrais prendre le martinet, c’est plus pratique….

 

Elle change donc d’instrument, revient, prépare son coup et vise la poitrine de Cédric, la pince tremble. Il hurle ! Dany se demande un instant si elle n’est pas allée trop fort, échange un bref regard avec sa victime, non tout va bien. C’est reparti ! Et cette fois la pince bouge mais sans tomber. Nouveau hurlement, nouvel échange de regard, Troisième coup ! Rien ne se passe.

 

– Si tu n’y arrives pas tu vas avoir un gage ! Rigole Mario !

– Pourquoi pas ?

 

Quatrième coup, la pince saute et dégringole, elle ne laisse pas cette fois-ci Cédric récupérer, ajuste son coup sur la seconde pince et la fait sauter à son tour.

 

– Quatre coups c’est pas mal ! Se vante Dany ! Tu veux essayer de faire mieux ?

– Je devrais pouvoir !

 

La tête de Cédric ! Il va donc devoir supporter une nouvelle séance identique. Manifestement il hésite à dire quelque chose. Mais bizarrement on le détache, sans lui enlever ses pinces aux testicules, et c’est moi qui le remplace sur la croix ! Ah les salauds ! Comme si je n’ai pas assez dégusté tout à l’heure. Et c’est reparti, une pince à chaque sein avec son poids, une double pince sur chaque lèvre. Pas très rassurée, mais comme l’objectif est de faire moins de coups que sa femme, je devrais souffrir moins que mon mari. Ça y est, il arme son coup !

 

– Aieeeee !

 

Complètement raté, mais les coups de martinets sur les seins, ça n’a rien d’agréable. Deuxième coup ! La pince dégringole ! Il doit donc faire tomber la seconde pince sur le troisième coup !

 

– Allez, cingle-lui les nichons à cette pute ! L’encourage, Dany excitée comme c’est pas possible.

 

Mario assure son coup, ça part, ça cingle, ça fait mal, je crie, la pince est toujours là !

 

– Donne-moi ça ! Intervient Dany, lui reprenant le martinet.

 

Elle aussi rate son coup, elle ne tient pas compte de mes hurlements, et dans la foulée m’en assène un second, tout aussi mauvais, puis un troisième, je n’arrête pas de crier, ça y est la pince est tombée. J’ai mal, j’ai horriblement mal, les larmes me viennent aux yeux. Alors Dany s’approche de moi et me console avec un long baiser tout en n’omettant pas de me caresser partout. Quelle soirée. ! On me détache.

 

– Ça va ? Nous demande-t-elle.

 

On les rassure !

 

– Vous devez avoir soif, mes pauvres chéris ! Reprend-elle.

– Oui, ça nous ferait du bien !

 

Alors Dany, va chercher l’un des verres sur le petit guéridon et se met devant nous à pisser dedans ! Evidemment elle en met à côté, mais ça ne fait rien elle remplit encore un second verre.

 

– Tu en as foutu plein par terre ! Intervient Mario.

– Et alors, on a des esclaves pour nettoyer, non ? Répond-elle. Allez tous les deux lécher moi toute cette pisse, et plus vite que ça !

 

Nous voilà vautrés sur le sol à lécher le pipi de notre hôtesse d’un soir. Moi qui ne connaissais que le goût de celui de mon mari, j’avoue que celui-ci n’est pas mauvais, mais j’aurais préféré le boire à la source. Quelques coups de martinet sur nos fesses nous font accélérer. On se relève. Dany a ajusté les doses dans quatre verres différents. Elle nous distribue les nôtres. Nous trinquons ! Trinquer à l’urine, quelle drôle d’idée !

 

– Cul sec ! Ordonne Dany

 

Je manque de m’étouffer, mais je le fais, ça a un peu du mal à passer, d’habitude j’ingurgite ce curieux breuvage par toutes petites quantités à la fois, là ça fait beaucoup mais ça passe !

 

– Remets-toi à quatre pattes ! M’ordonne soudain Dany

 

Que va-t-elle encore inventer, là voilà qui me contourne, elle commence par m’embrasser les fesses, voici qui me conviens très bien, puis je sens sa langue fureter vers mon trou du cul.

 

– Dis donc, petite pute, ça ne sent pas vraiment la rose, ton trou du cul !

– Mais c’est comme ça que tu les aimes, non ?

– Impertinente ! Répond-elle ponctuant sa réponse d’une bonne claque sur la fesse. En fait, ça sent la merde ! Tu n’as pas honte de te balader avec un cul qui sent la merde ?

– Non, j’ai pas honte !

 

Nouvelle claque sur les fesses !

 

– Tu vas voir ce qui va t’arriver, petite salope, petite merdeuse ! Tu vois mon doigt, tu vas le lécher, et ensuite je vais te le foutre dans le cul et après quand je vais le rassortir tu vas le lécher à nouveau…. et même s’il est sale ! D’accord ?

– Vas-y !

 

Je lèche le doigt, elle me l’enfonce dans le troufignon, le fait tourner latéralement puis en va-et-vient, il ressort… assez pollué

 

– Berk, j’ai le doigt plein de merde, maintenant ! Allez suce !

 

J’ai eu peur qu’il y en ait de trop, mais là ça va, le contact âcre de la matière ne me dérange pas plus que ça, je lèche le doigt consciencieusement. Et je décide d’être provocatrice !

 

– Encore !

– Non, ça te ferait trop plaisir !

 

Puis elle me laisse et s’empare d’un gode ceinture avec lequel elle s’harnache.

 

– Allez toi la pédale, amène-toi, et viens me sucer cette jolie bite en plastique !

 

Cédric n’hésite même pas un instant et se met à sucer le gode comme s’il avait fait ça toute sa vie, il va falloir que je lui pose deux ou trois questions à ce zigoto quand nous aurons fini la séance.

 

– T’aime ça sucer des bites, hein ?

– Hummmm.

– Ne parle pas la bouche pleine, je ne demandais pas de réponse. Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois, on a deux couples d’amis dont les maris sont aussi pédés que toi, on va organiser un super truc et on te fera sucer toutes les bites, les unes après les autres.

 

A cette évocation, Cédric bande comme un mulet.

 

– Bon, assez sucé, maintenant tu te tournes et tu nous tends ton cul de salope !

 

Dany lui fait écarter les fesses et lui badigeonne l’endroit avec du gel, puis elle approche le gode, fit une première tentative, le gode ripe, je me marre, deuxième tentative, ça ripe encore. Mario vient l’aider à écarter les fesses et cette fois ça rentre. Ce n’est pas une brute, elle y va doucement

 

– Oumpfff ! Ompfff !

– Qu’est ce qu’il y a, ça te plait pas ?

– Si, si mais faut que je m’habitue répond Cédric

– T’inquiètes pas, ça vient vite !

 

Dany accélère ses va-et-vient, mon petit mari à l’air aux anges, mais au bout de quelques minutes Dany s’arrête, et fait ressortir le gode !

 

– Ben dis donc, mon cochon, tu as vu dans quel état tu as mit le gode, il est tout merdeux !

– Je suis désolé ! Répondit-il histoire de dire quelque chose.

– A genoux et suce !

 

Je me demande s’il va le faire, on avait évoqué cette pratique tout à l’heure, entre nous on ne l’avait jamais fait… du moins pas à ce point, mais passer du fantasme à la réalité est parfois difficile. Il finit par le faire, d’abord assez timidement, puis de façon plus appliqué. Dany a l’intelligence de ne pas lui demander un nettoyage complet qu’il n’aurait peut-être pas assumé.

 

– Voilà, le passage est fait, Mario, tu peux enculer cette pédale.

 

Mario prend alors un préservatif, et vient se placer derrière mon mari ! Cette fois-ci ça rentre du premier coup ! Quel curieux spectacle de voir deux hommes qui s’enculent, j’en suis toute mouillée de voir ça ! Je ne vois pas le visage de mon mari qui s’est mis la tête entre les mains, mais les cris qu’il pousse sont très bon signe, tout va bien pour lui, je m’approche ainsi que Dany pour voir de près le mouvement de piston de cette bonne bite qui lui rentre et qui lui sort du cul. Puis soudain Mario décule, contourne Cédric, enlève très vite la capote et lui décharge sur le visage.

 

– Avale !

 

Cédric avale mollement ! L’autre respire !

 

– Tu veux jouir ? demande-t-il

 

« Qu’il se réserve pour me baiser ! » Pensais-je fortement à ce moment-là, « Mais non, ce grand couillon lui dit qu’il va se branler ! Et moi alors ? »

 

Un regard échangé avec Dany, on s’est comprise. Déjà elle m’enlace, elle m’embrasse, me suce les tétons, descend sur mon pubis, me lèche le sexe.

 

– Mets-toi par terre !

 

Je pose mon cul sur le carrelage ! Un instant après j’y suis allongée, Dany est sur moi, ses mains me parcourent la peau, j’en fais de même, nos bouches explorent nos corps. Je ne sais pas par quelle magie nous nous sommes retrouvées en soixante neuf, mais j’ai maintenant sa chatte dans ma bouche, je lèche, je suce, ça sent un peu la pisse, mais ce n’est pas gênant, je lui mettrais bien un doigt dans le cul pour lui rendre la politesse…

 

– Tu feras ça après, ça va me déconcentrer !

 

Dans ce cas je continue, je m’applique à la sucer, pas évident, car de son côté elle est redoutable et me fait de sa langue monter mon plaisir, je finis par venir dans un fracas impudique. Le temps de reprendre mes esprits ma langue reprend son travail, ses halètements sont bon signe, ça va venir, et ça vient. Elle ne bouge plus, reste comme ça avec sa chatte à dix centimètres de ma bouche et tout d’un coup c’est la pluie, la voilà qui pisse comme une fontaine et moi j’ouvre la bouche pour avaler tout ça !

 

On se relève !

 

– Vous avez été super ! Nous dit alors Mario. Je vous propose une petite douche et après on va se faire une petite bouffe ! Un bon roastbeef dans le filet avec des frites, vous n’avez rien contre ?

 

Pas de problème, je vais à la douche en premier avec Cédric !

 

– Dis donc mon salaud, tu aurais pu venir me prendre à la fin au lieu de te branler !

– J’ai pas osé leur proposer, mais tu n’as rien perdu au change, ça t’a permis de t’envoyer Dany

– Les deux ne m’auraient pas fait peur !

– Alors tu vas te venger ?

– Un peu, oui, tu vas voir à la maison, la petite séance à deux que je vais te faire !

– Chic alors ! Me répondit-il en m’envoyant une grande tape sur le cul.

 

C’est pas mal tout ça, c’est beau, tout s’est bien passé, n’est-ce pas ? Sauf que tout ce que vous venez de lire, c’est nous qui l’avons fantasmé en attendant le rendez-vous, parce que la réalité a été tout autre :

 

Un peu d’appréhension en arrivant dans cette villa de la banlieue sud de Paris. La dame nous ouvre avec un « Ah, c’est vous ? » peu avenant. Le mari arrive, je sens que quelque chose ne va pas, on dirait qu’il a bu un coup. Pas de présentations. Les photos qu’ils nous ont adressées, c’est bien eux, mais en vrai ils paraissent bien dégradés.

 

– Bon, mettez vous à poil, on arrive ! Nous ordonne le maître des lieux

– Ah bon ! On commence tout de suite ?

– Bien sûr qu’on commence tout de suite.

– On aurait pu discuter un peu avant ?

– Discuter de quoi, y’a pas besoin de discuter.

– Ben, parler de nos limites, de nos tabous.

– On en a parlé dans le mail.

– C’est resté vague…

– Bon, vous vous mettez à poil ou pas ?

– Attendez, on est bien d’accord, il y a un mot de sécurité ?

– Evidemment, mais on ne va vous tuer.

– C’est quoi le mot de sécurité ?

– Je sais pas moi : « sécurité ». Bon on y va ?

 

On se met à poil, eux reste habillées, ça me gêne un peu, le mec me regarde comme si j’étais un objet de consommation courante.

 

– T’es bien balancée, toi ! Dit-il en me pelotant les nichons sans douceur.

 

Il sort sa bite de sa braguette.

 

– Viens me sucer !

– Comme ça, tout de suite ?

– T’es une soumise ou pas, les soumises ça ne discute pas.

 

Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi faire. Je croise le regard de mon mari qui à l’air aussi gêné que moi !

 

– Ben alors ? S’impatient le bonhomme, tu me suces ou tu attends la chute des feuilles.

 

Il me tire les cheveux, il me fait mal. Je respire un bon coup, approche ma bouche de cette bite, puis je me redresse, je ne peux pas. Je savais bien que dans le cadre d’une séance comme-celle-ci on me ferait sucer de la bite, mais je voyais ça comme un aboutissement de l’acte de soumission, pas comme un préalable. Et puis je ne sens pas ces gens-là, ils ne m’inspirent ni sympathie, ni confiance.

 

– Non, mais c’est pas possible, c’est pas la peine de passer des annonces pour ensuite faire des manières de chochotte. S’énerve le bonhomme

 

J’essaie de dire quelque chose, mais ça ne sort pas.

 

– Rhabillez-vous et foutez-moi le camps, bande de nazes.

 

On est parti, on a été se consoler en allant manger une pizza.

 

– On recommencera, des gens sympas qui font du SM, ça doit bien exister, non ? Me dit mon mari.

– Bien sûr que ça doit exister ! La prochaine fois on demandera un entretien préalable dans un bistrot.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • adriana21
  • Chateau
  • Sarahd1
  • Zarouny30b
  • Zarouny28a
  • Martinov16M1

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés