Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:50

L’hôtesse de l’air – 2 – Mission Démoniaque et la fête égyptienne par Air Hostess

stamp partouz

 

Mission Démoniaque.

 

Françoise, sortie du métro, hume l’air empuanti par les échappements et gagne le boulevard Bonne Nouvelle. Une foule dense l’entoure qui la distrait de ses pensées. Depuis son enlèvement en Syrie et sa miraculeuse évasion (Voir chapitre précédent) elle se repose dans sa maison de la Chaussée d’Antin, Elle a gardé près d’elle son inséparable Shannah, tous les jours un peu plus parisienne, dont les goûts raffinés se modèlent sur les siens, et la très utile Souria, toujours souriante qui se charge de cuisiner et de dorloter son nourrisson. Depuis deux mois, en convalescence après l’épisode dramatique de Syrie, Air-France ne lui a plus confié aucune tâche. Mais ce matin, elle a reçu une carte de l’Oncle Gabriel qui s’inquiète de sa santé. On ne résiste pas à Tonton Gabriel. A chaque escale, Françoise lui envoie une petite carte illustré à laquelle, il ne manque pas de répondre. Elle atteint rapidement le comptoir d’Import-Export, et le concierge dans le hall la salue avec le sourire, tandis qu’elle pénètre dans le secrétariat. Elle s’adresse à Mademoiselle Rose, quinquagénaire à lunettes dont la tête dépasse du comptoir d’acajou.

 

– Je viens voir mon Oncle.

– Il vous attend, Françoise.

 

Et d’un doigt exercé elle appuie sur un bouton invisible sous la tablette. La porte derrière la secrétaire donne accès à des toilettes un peu vieillottes, en marbre et en chêne vernis. Françoise, sans hésiter, saisit le porte serviette et le tord vers le plafond. Tout le panneau, lavabo compris, pivote sur son axe et dévoile un long couloir parquet‚ qui bientôt couvert de moquette s’éloigne, éclairé d’une lumière tamisée. Un ascenseur la conduit au cinquième étage au bureau des opérations. La secrétaire personnelle du Boss la gratifie d’une solide poignée de mains.

 

– Comment allez-vous Anne ?

 

En franchissant le porte secrète, Françoise a retrouvé son identité : Anne de Neubourg, capitaine de l’Armée française, attachée aux services spéciaux. Le colonel Vidalain, dit l’Oncle Gabriel la reçoit avec effusion. Une mission importante lui est réservé. Profitant d’un Congrès international du personnel navigant, Anne-Françoise doit représenter la France mais aussi nouer des contacts étroits avec des milieux d’affaires proches des compagnies américaines, mais liés également au show-business. Des crédits importants sont à sa disposition à New York et en Californie. Pour assurer sa couverture, Françoise voyagera avec ses deux amies et le bébé métis de la noire Souria.

 

Dans un beuglement de colère, le Concorde s’arrache à la piste et fonce vers le zénith, puis après avoir accompli une parabole parfaite, il trouve son altitude préférée et le cap sur New-York. Enfoncées dans les profonds fauteuils, Shannah et Souria se taisent, impressionnés par le fracas des moteurs. En grande conversation avec une hôtesse, Françoise lit la liste des passagers, elle sait qu’il est important de nouer un contact avec le sénateur Brown qui occupe à lui seul une rangée de sièges réservés. Très puissant personnage, aussi influent au Sénat, que dans le conseil d’Administration de plusieurs banques, il serait dit-on le conseiller secret de la maffia, très amateur de jolies femmes, avocat des producteurs de films à succès. En entrant dans la cabine, il a jeté un regard perspicace sur les deux amies de Françoise et lorsque celle-ci gagne le petit bar, il se lève et vient à son tour demander une coupe de champagne. Françoise lève les yeux et son regard suffit à faire disparaître la stewardesse. Le sénateur se lance à l’abordage en français, preuve qu’il s’est renseigné sur l’identité‚ des passagères.

 

– Je suis très heureux de voyager dans ce Concorde, puisqu’il me donne l’occasion de contempler la jolie Françoise, l’hôtesse de l’Air dont l’enlèvement a bouleversé la France et aussi l’Amérique. Je vois que ces péripéties n’ont pas nuis à votre beauté. Vous êtes plus belle que jamais.

 

Notre amie lui répond en anglais qu’elle est très heureuse de rencontrer un homme aussi célèbre en France qu’en Amérique. Et que son jugement lui fait grand plaisir venant d’un connaisseur qui avait été le mari de plusieurs beautés américaines. Brown d’un geste qui parait anodin, ferme la porte du bar derrière lui.

 

« L’opération Brown débute à 15 h 27 », déclare mentalement Françoise, tandis que le sénateur la saisissant par le bras, l’a fait virevolter devant lui comme pour mieux apprécier sa taille fine et ses hanches de rêve. Comme elle ne résiste pas à cette traction, il l’attire vers lui. Feignant de glisser, Françoise tombe dans ses bras et sa bouche ouverte dans un cri de stupéfaction bien imité, s’écrasa sur la sienne. Un long baiser les réunit, enlacés. A travers la fine chemise de soie du parlementaire milliardaire, elle sent l’humidité de son torse mouillé de sueur. Il fait très chaud dans ce petit réduit. Mêlé au parfum de son eau de toilette, elle perçoit son odeur corporelle puissante qui évoque des étreintes idéales.

 

« Je mouille » se dit-elle ! « il va sentir mon désir, comme je perçois le sien ».

 

Le solide quadragénaire la tient fermement par la taille de la main gauche, la droite appuyé sur la poitrine de notre héroïne ferme la prise et évalue discrètement l’élasticité du soutien-gorge. Il presse son bas-ventre contre le sien et elle sent, sous le fin tissus de cachemire du pantalon, acheté à Londres et adapté au climat californien, qu’elle ne le laisse pas indifférent. Françoise, par pudeur, tente de réagir, mais son tempérament et sa mission se complètent pour faire échouer sa résistance. Le milliardaire la traîne dans le couloir et gagne la porte des toilettes. Il ferme le verrou et assied Françoise sur le lavabo. En se débattant sous la poigne énergique du sénateur, elle perd ses souliers. Il écarte les jambes de notre hôtesse, en poussant en avant son ventre comme un bulldozer. Françoise respire bruyamment, sa poitrine se soulève, son parfum favori s’évade du décolleté et fouette les sens du milliardaire excité. Glissant la main sous la jupe du deux pièces de soie sauvage, il atteint la ceinture du slip et le tire sur les cuisses. Notre hôtesse en perdant la protection de sa culotte, semble soulagée, libérée de toutes contraintes, elle livre son entrejambes à la main fourrageuse du mâle qui sans attendre, investit le clitoris, écarte les lèvres et pointe son index dans la vulve. Françoise soulève son bassin et porte son ventre à la rencontre du doigt dispensateur de voluptés. Sans un mot, Brown, la conduit dans un W.C. et avec son aide, laisse tomber son pantalon et son slip, s’assied sur le siège et l’attire à califourchon sur son sexe dressé. Françoise se plante sur le pénis et s’étonne de sa faible longueur. Le sénateur se trémousse, la sueur coule sur son visage hâlé de play-boy prolongé. La vivacité de sa verge et sa grosseur rachète son côté dérisoire, Françoise ne tarde pas à jouir, elle mouille abondamment et la cyprine coule à flot sur les couilles du parlementaire avant de tomber goutte à goutte dans le vase du W-C. Le bruit d’eau excite le sénateur.

 

– Oh ! Oui, j’aime ça, pisse sur moi. Je veux sentir ton urine couler sur mes couilles !

 

Françoise sourit, malgré‚ la jouissance qui monte, elle éprouve un besoin pressant d’uriner et sous la prière du californien, elle libère sa vessie, le pénis frétille, toujours engagé‚ dans son sexe. Sous le flot brûlant qui mouille le poil de son pubis et inonde ses testicules, le quinquagénaire ne peut plus se retenir, il jouit et les palpitations de sa bite entraînent l’orgasme de Françoise, qui perd sa cyprine et son urine confondues. Longtemps, ils restent immobiles dans le réduit, sentant la jouissance se retirer et le sexe de l’homme se ratatiner dans le réceptacle de sa partenaire. Ensuite, très excité, le parlementaire d’une langue expérimentée tient à nettoyer toutes traces d’urine sur le corps de sa partenaire. Léchant tous les replis et s’enivrant du goût et de l’odeur d’urine. Rhabillés et apparemment très corrects, ils retournent vers les fauteuils.

 

– Comment savais-tu que je suis fou de ce genre de sexualité ? Je n’en ai jamais rien dit à personne ?

– Je n’en savais rien. C’est également ce que je préfère. Répondit Françoise sûre de répondre à un penchant secret et de nouer des relations durables avec cet homme important.

 

La fête égyptienne.

 

Le Waldorf-Astoria ne relève pas des établissements tranquilles et reposants. Une nuée de garçons d’étage, de femmes de chambre, de maître d’hôtel, de grooms, de voituriers, de concierges s’agite en un ballet incessant qui persiste même la nuit. Shannah très impressionnée par le clinquant et le luxe ostentatoire des lieux accompagne Françoise qui se rend à l’invitation du sénateur à une soirée très spéciale, dont le thème tourne autour de l’Egypte des pharaons. Le chauffeur-valet de chambre du parlementaire attend dans le hall. Fardée par la syrienne qui lui a dessiné‚ des yeux de biche, Françoise enveloppée dans un long manteau de soie noire, porte une valise d’accessoires de théâtre qu’elle a loués dans la sixième avenue. Une Cadillac noire aux fenêtres opaques les accueille, la destination demeure secrète. Après une heure de route, la berline pénètre dans le jardin d’une somptueuse villa, mise à la disposition du milliardaire et de ses invités. Une petite pièce réservée à Françoise et à Shannah, permet à l’hôtesse de l’air de revêtir son déguisement, une panoplie complète de reine d’Egypte. La jeune française porte sous son manteau, une légère tunique transparente qui ne cache rien de son corps magnifique. Un pectoral d’or enrichi de gemmes précieuses dévoile ses seins appétissants, une ceinture de pièces d’or, d’où pendent des scarabées sacrés et des chaînes entremêles de gros cabochons de lapis-lazuli sont sensés dérober aux regards sa superbe toison pubienne. Habillée en esclave soumise, les cheveux noirs dissimulés par une énorme perruque de lin, Shannah pose sur la tête de son amie, le Pschent, cette coiffure qui symbolise le pouvoir sur la haute et la basse Egypte. Devenue Cléopâtre, investie dans son personnage elle remercie d’un sourire sa servante, qui introduit ses doigts fuselés dans les tuyaux d’or de ses gants. Ses pieds sont chaussés d’une semelle qu’elle maintient grâce à un serpent d’or qui ondule sur ses orteils laqués. Elle fait une entrée remarquée dans la salle réservée aux invités. Elle gagne une estrade basse surmontée d’un fauteuil doré portant de la main droite le fléau d’or et de la gauche, le sceptre qui affirment son autorité‚. Shannah agenouillée à ses pieds, les seins nus, porte une courte jupe blanche. Les spectateurs sont subjugués, Brown vivement applaudi pour ses initiatives, vient baiser la main de sa conquête. En cet instant, il se prend pour César retenant captive la reine d’Egypte. Les invités, un verre à la main se sont rapprochés et détaillent à haute voix les beautés découvertes. Mais déjà, la lumière défaille, un projecteur hollywoodien allume des éclairs dans les bijoux en toc. La voix de Shannah s’élève tout à coup dans le silence retrouvé.

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– Oh reine, toi qui es la déesse de la fécondité, la mère de toutes nos richesses fait pleuvoir tes bienfaits sur ton peuple éploré‚ qui attend la crue de son grand fleuve. Accepte l’hommage des humains qui désirent copuler sur ton corps divin pour hâter la montée des eaux. Accepte leur semence généreusement répandue sur ton corps de déesse. Prend place sur l’autel du sacrifice.

 

Françoise-Cléopâtre s’étend avec abandon sur un tapis de pétales de roses dressé sur l’estrade. Très excités, les mâles de l’assistance dont nombreux sont ceux déjà dévêtus, entourant le corps sublime se masturbent, parfois aidés par la Syrienne. Les plus ardents, les plus rapides éjaculent déjà, cherchant les seins ou le pubis. Des flots de sperme dégoulinent, se croisent, se mélangent. du plus gras au plus liquide. L’émotion sexuelle s’empare des femmes qui relevant leur robe du soir se masturbent en criant. On y reconnait des actrices superbes les doigts enfoncés dans leur chatte et hurlant de désir. D’autres plus âgées, couvertes de bijoux, prise par l’ambiance, cherchent chez une amie, une main secourable pour activer leur jouissance. Entre-temps, la couche de sperme qui recouvre le corps de la reine brille sous les projecteurs. Brown très excité, exhibe son petit pénis ridicule, complètement nu, il se couche sur le corps de Françoise et la pénètre brièvement. Les retardataires le prennent également comme cible. Shannah reprend la parole :

 

 

– Oh reine gratifie ton peuple de tes eaux bienfaisantes.

 

A genoux, devant l’estrade, elle attend. Et le miracle s’accomplit, un énorme jet jaillit du sexe entrouvert de Françoise. L’urine tourbillonne dans les rayons des spots et asperge l’esclave agenouillé et tous les spectateurs avides de recevoir cette douche brûlante. L’urine dilue le sperme sur les cuisses de l’hôtesse. La Syrienne lèche en poussant des cris de jouissance. Des femmes dépoitraillées prélèvent du liquide pour se masser les seins. Brown extrait Françoise de sa couche fleurie et l’entraîne dans une pièce voisine. Dépouillée de ses oripeaux de théâtre, Françoise est présentée par le maître de séant à un gigantesque noir, bâti comme un arbre, dont le corps nu brille comme de l’ébène.

 

– Je te présente Thimoty Tombstone, le plus grand spécialiste du casting de tous les Etats-Unis.

 

Le noir se penche pour lui baiser la main, la retenant entre ses immenses paluches, il embrasse la paume, l’avant-bras, les biceps et continue par les seins. Françoise se sent comme une toute petite chose dans les bras de l’athlète. Shannah restée dans la grande salle pour trouver son plaisir parmi les invités, lui manque. Elle comprend vite les desseins du sénateur, il veut voir. Voir le noir la pénétrer. Couchée sur la moquette, la française redoute l’énorme braquemart de Mister Tim. Celui-ci, avec une grande douceur, écarte les grandes lèvres poissées par les orgasmes répétés de Françoise, il explore le vagin surchauffé‚ d’une langue pénétrante, mais se décide pour l’anus. Le sphincter sous la caresse insistante et l’appoint de salive, s’entrouvre et libère la douceur de ses parois. La grosse bite prend son appui et le gland force l’ouverture. Françoise n’a pas souffert, l’excitation couvre la douleur, elle jouit tandis que le membre tendu plonge plus profondément en elle. Brown se masturbe et bientôt il arrose le plancher de quelques gouttes de sperme, tandis que Françoise et Tim liés par un même cri, unissent leur plaisir dans un orgasme partagé.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:44

L’hôtesse de l’air – 1 – Fesses en l’air par Air Hostess

 

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Le commandant Mercier redresse l’assiette, le bimoteur tangue et reprend le fil de la descente. Dans l’axe de la piste, les roues touchent le sol, il maintient la pression sur le palonnier, l’appareil a tendance à glisser sur ce tarmac poisseux. Ouf ! On est à Varsovie. Le moteur n°2 qui chauffe un peu, est arrêté, plus de risque. Truon Khin le co-pilote conduit l’avion d’Air-France au débarquement. Satisfait Mercier, les deux avant-bras derrière la tête savoure sa première cigarette. Françoise, chef hôtesse salue les passagers, Georges Gonesse, le steward aide une vieille dame à descendre les marches. Peu après, à son habitude, Mercier rassemble les hôtesses, pour économiser un taxi à la compagnie. En réalité‚ pense Françoise, il a une idée en tête, il va organiser une petite soirée à l’hôtel. Elle regrette, elle ne se joindra pas à la joyeuse bande, son taxi l’attend déjà, commandé par la tour de contrôle. Merci à la gentillesse des polonais.

 

Le véhicule atteint rapidement la rue Potowski. Madame Svetlana l’accueille avec le sourire, une certaine complicité lie la jeune hôtesse de l’air à la polonaise qui subsiste grâce à la location de ses chambres garnies. Françoise Laborde occupe toujours la même chambre, dans cette grande baraque délabrée, mais d’une rigoureuse propreté. Déjà, la grande blonde portant le sac de l’hôtesse, l’a conduite à son appartement. Elle a hâte de voir ce que je lui apporte, pense Françoise, qui à chaque voyage à Varsovie, offre un petit cadeau à son amie démunie. Mais la rencontre prend un tour inattendu, la polonaise embrasse la française et dans sa fougue, leurs lèvres se rencontrent, le baiser de retrouvailles avorte. Les yeux bruns de Françoise plongent dans l’océan gris-bleu des iris polonais, des paillettes d’or réchauffent le regard perçant. Françoise emportée par sa spontanéité‚ reprend l’initiative à son tour. Elle approche sa bouche fardée des lèvres tendues, le baiser n’a pas surpris Svetlana, les dents légèrement écartées, elle aspire le souffle frais de la jeune fille qui répond à son ardeur. La langue de la polonaise frétille, et force la française à entrouvrir la bouche. Les deux langues se touchent, les salives se mêlent. Françoise sent une douce chaleur l’envahir. Il y a longtemps qu’elle n’a plus de compagne et cette délicate caresse lui rappelle de bons souvenirs.

 

Une main agile la distrait de ses pensées, Svetlana a dégrafé le troisième bouton de son chemisier d’uniforme, et les doigts robustes de Madame Sulowski plongés dans le soutien-gorge, ont découvert le téton. Françoise sensible à cet attouchement, pose une main tremblante sur le poignet pour se dégager. Mais pendant qu’elle résiste l’autre main de Svetlana, glissée sous la jupe courte atteint le slip de soie et cherche la dépression du sexe. La respiration de Françoise s’accélère. La polonaise repère le mont de Vénus, en dessous, la soie mouillée dessine le clitoris et l’entrebâillement des petites lèvres. Dès que l’index de Svetlana s’est posé sur le clitoris à travers la soie naturelle du slip, Françoise perd toute résistance, elle s’abandonne à la sensation excitante, elle mouille, elle se sent mouiller. La cyprine inonde les grandes lèvres et envahit son vagin. La tenancière de la pension l’a conduite sur le lit tout proche, et lui retire le slip trempé. Bientôt la blonde ouvre les portes du temple, et d’une langue experte, elle ramasse tout le flux jaillissant. Lorsque la bouche brûlante atteint le clitoris, celui-ci spontanément sort de son capuchon et se redresse sous la vigueur du coup de langue. Françoise hurle de plaisir. Bientôt, nues toutes deux, elles s’étalent sur le lit. Françoise rendant avec générosité les caresses reçues. Le corps de la polonaise, plus robuste cache des muscles puissants. Son appétit sexuel, aussi exigeant que celui de la française s’exprime plus brutalement. Le corps parcouru par les mains énergiques de Svetlana, Françoise pousse une douce plainte.

 

La porte s’ouvre, le fils de Svetlana, Stepan apparait inquiet en entendant les cris de sa voisine. Il ne semble pas étonné de voir sa mère et la française, nues, en train de se caresser. En moins de trois secondes, il se sépare de ses vêtements. son corps d’athlète aux pectoraux puissants, aux cheveux couleur de blé, se mêle à leur jeux. Il suce à son tour le clitoris turgescent de la française, tandis que sa mère saisissant son pénis maintien sa raideur en le pompant vigoureusement. Ce spectacle inusité‚ et totalement choquant excite violemment la jeune française, une mère faisant un pompier à son grand fils. Finalement, Françoise, la bouche sur le sexe de Svetlana, à genoux sur le lit dévasté, les fesses écartées par les mains du géant, l’anus fouillé par sa langue, gémit plaintivement. Mais déjà, le pénis avait remplacé la langue. La grosse bite du polonais entrait difficilement dans le petit conduit anal de l’hôtesse. D’une poussée, il pénètre et décharge sauvagement dans le rectum enflammé par ses ardeurs. La sauvagerie de cette agression, avait laissé Françoise, sans voix. La jeune française reprend ses esprits, tandis que Stepan ébranle sa mère de pénétrations multiples dans son vagin. Epuisé, il se retire sans un mot. Les deux femmes passent toute la nuit enlacées, la petite tête brune de Françoise reposant sur le sein droit de la polonaise.

 

Le lendemain, jour de repos, la française ne reprend son poste que le jour suivant sur le 721 Varsovie-Frankfort, habillée d’un petit tailleur noisette qui met en valeur ses fines chevilles, elle décide de visiter quelques échoppes. Elle pense à sa soirée précédente et à celle que Mercier a dû organiser avec ses collègues. Pas mécontente d’avoir pu y échapper, elle évoque ce macho de Mercier, qui convie dans sa chambre les trois hôtesses, Solange, Anne-Marie et Françoise, à chaque escale. Le co-pilote et le steward Gonesse participent à ces orgies. Nues les filles doivent à tour de rôle, à genoux, faire un pompier au commandant, qui jamais ne les gratifie de la moindre caresse. Dès qu’il bande à son gré, il saisit la première venue et l’enfile sur le bord d’un fauteuil avant de passer à la suivante. Les deux autres membres de l’équipage saisissent leur chance. Françoise a horreur de ce genre de réjouissance. Elle aime les hommes, mais les préfère caressants, doux, affectueux. Truon, plus tendre, semble accorder plus d’attention à ses partenaires, il caresse ces jolies filles et parcoure toute leur féminité d’une bouche amicale. Quant à Gonesse, fier de sa bite, courte et grosse comme un gourdin, il ne pense qu’à baiser, sans aucun égard.

 

Françoise, toute à ses pensées, n’a pas pris garde à ces deux hommes qui tout à coup, la saisissent par les bras et la poussent dans une voiture. Un troisième homme la tire à l’intérieur. La porte claque, le deuxième homme assis à l’avant braque sur la jeune hôtesse un automatique de gros calibre. Les deux individus qui l’encadrent portent des cagoules bleues. l’homme au révolver fixe sur Françoise ses yeux d’un bleu pervenche.

 

– Taisez-vous ! Ne criez pas ! Nous ne vous ferons pas de mal. Nous avons seulement quelques questions à vous poser

 

Il lui parle en anglais, dévoilant de petites dents blanches de carnassier. Sa voix posée calme les appréhensions de la jeune fille. La voiture a pris de la vitesse et gagne les faubourgs. Bientôt, les inconnus lui entoure la tête d’une lourde écharpe qui la plonge dans la nuit. Elle est ensuite, portée, traînée dans une maison, les pas résonnent dans des pièces vides, glaciales. On l’assied adossée à un objet dur, les bras ramenés en arrière sont attachés avec des chaînes. On lui retire le bandeau. Elle est assise sur un matelas d’enfant, enchaînée à un radiateur éteint, dans une chambre vide, aux hautes fenêtres sans rideaux. Le papier peint jaunâtre déchiré pend lamentablement. Aucun meuble, les trois hommes, le chauffeur demeurant invisible, sont accroupis en face d’elle. Le plus costaud, retire sa cagoule, cheveux roux, visage rougeaud, il ressemble à un boxeur d’une quarantaine d’année.

 

– Première question, depuis quand connaissez-vous Oskar Reynecke ?

– A ma connaissance ce nom ne me dit rien, je ne me souviens pas d’avoir un passager de ce nom. Enfin c’est possible mais je n’en ai aucun souvenir.

 

Le second masque lui dit :

 

– Ne vous fichez pas de nous ! Nous sommes bien renseignés. Mais peut-être le connaissez-vous sous un autre nom ?

– Je vous assure, ce nom ne me dit rien.

– Oskar Reynecke, fils d’un des artisans de l’holocauste, dirige le groupe des néo-nazis de Varsovie.

 

Le blond à visage découvert la regarde de ses yeux bleus et ajoute

 

– Nous ne savons pas encore, sous quel nom il se cache à Varsovie, mais nous trouverons Nous avons la certitude qu’il se cache à la pension Sulowski. D’après un indicateur de la police qui nous a renseigné, il mesure 1 m 90, blond, sportif de proportion athlétique, sadique, véritable obsédé‚ sexuel, il abuse des femmes. L’avez-vous rencontré ?

 

Françoise se rend compte que cette description correspond à Stepan Sulowski. Elle se tait et déclare ne pas connaître de pensionnaire de ce genre. Les ravisseurs s’en vont, elle reste seule, attachée à son radiateur en fonte. Au fil des heures, un besoin lancinant trouble ses réflexions, elle doit faire pipi, et plus elle évite d’y penser, plus la pression devient douloureuse Plusieurs heures après, elle appelle et le type à tête de boxeur arrive aussitôt.

 

– Il n’y a pas de W.C. dans cette baraque qui a été‚ bombardée pendant la dernière guerre, il n’y a, ni eau, ni gaz, ni électricité. Je vais voir ce qu’on peut faire.

 

Il réapparait avec ses acolytes, tenant une grande gamelle.

 

– Soulevez-vous, un peu, je vais tirer votre slip et vous pisserez là-dedans.

 

Françoise veut protester, mais il n’y aucune alternative, ou, elle mouille son slip et le matelas ou elle accepte la proposition du rouquin. Celui-ci glisse les mains sous sa jupe et en tirant sur la ceinture élastique, il retire le slip soyeux et le dégage des deux pieds. Ensuite il place la gamelle et lève la jupe pour repérer la trajectoire. Les trois hommes contemplent avec une certaine excitation la belle fourrure de son pubis. Le rouquin décidément très obligeant, pose les doigts de chaque côté‚ du méat pour diriger le jet. Toute rougissante, Françoise, très choquée dans sa pudeur, ne peut pas uriner. Alors le gros homme siffle comme on fait pour les chevaux. La jeune fille délivrée entend le bruit de l’urine tombant dans le pot métallique. La sensation d’apaisement se double d’une intense excitation sexuelle, en montrant ses parties les plus intimes à ces hommes rudes, elle éprouve un sentiment pimenté, comme si elle reprenait l’initiative sur ses tourmenteurs cagoulés. Le boxeur essuie la dernière goutte avec ses doigts et les portant à ses lèvres :

 

– C’est une bonne année ! Dit-il comme s’il buvait du Chablis.

 

Trois jours après, Françoise nourrie de petits pains secs, avoue qu’elle a été sodomisée par un homme qui pourrait bien être l’Oskar recherché. Les beaux yeux bleus lui demande lors de prochains rapports avec le fils de Madame Sulowski, de prélever discrètement sur un cure-oreille, une petite partie du contenu de son rectum. Une analyse de l’ADN permettra de comparer avec les éléments en leur possession. Ils ramènent la fille à sa pension, en lui apprenant, chemin faisant, que des certificats médicaux ont été expédiés à son employeur pour justifier de son absence. Les collègues de cabine sont parties à la date convenue.

 

Elle reçoit mission de prendre le vol de 7 h 51 à destination du Caire, où elle recevra une nouvelle affectation. Après un voyage sans histoire, elle aide les autres hôtesses, sur l’escalier de coupée elle prend congé des voyageurs. Comme toujours, lorsqu’elle est en service, dans les pays chauds, elle ne porte pas de slip, elle aime sentir le vent chaud du désert parcourir sa magnifique toison pubienne. L’hôtel international, qui accueille le personnel d’Air-France, particulièrement confortable offre des chambres à l’air conditionné. Avant le repas, Françoise est abordée par un jeune anglais très raffiné qui l’invite à partager son repas. Très gentleman, il lui fait une cour discrète. Assis en face d’elle à la petite table ronde, il laisse tomber sa serviette. Il veut voir mes jambes estime la jeune française qui ouvre largement les genoux, exposant ainsi sa jolie toison bouclée aux regards concupiscents du jeune britannique. Celui-ci en se rasseyant, le visage tout congestionné, lui saisit la main à travers la table et y pose un baiser reconnaissant. Il appartient au Foreign Office, fils de lord Thorthon of Torndyke, il s’appelle Nick Gathwell, il est attaché à l’ambassade britannique au Caire.

 

Sur le balcon de l’hôtel, la nuit semble magique, très noire, trouée de lueurs mouvantes, parcourue de la rumeur incessante d’une ville grouillante de monde, un peu inquiétante aussi, elle rapproche les deux jeunes gens qui échangent de tendres baisers. Reconduite à la porte de sa chambre, Françoise ne peut se séparer de son admirateur. Elle l’entraîne à l’intérieur et lui retire sa veste de shantung blanc. Couchés sur le couvre-lit, embrasés par un long baiser, ils savourent ces minutes délicieuses pendant lesquelles, chacun espère aller un peu plus loin dans le jeu de la séduction. Nick, le jeune anglais déboutonne le tailleur strict d’Air-France et Françoise retrousse sa jupe d’uniforme et attire les mains de son compagnon sur le magnifique corps dévoilé.

 

Couverte de baisers, elle se débarrasse de tous ses vêtements et déshabille le pudique jeune homme qui tient à garder son slip déformé par une énorme bosse qui tente la main experte de l’hôtesse. La jeune femme se glisse sur le visage de son partenaire, accroupie, elle pose son sexe entrouvert sur sa bouche. Enivré par le parfum de son vagin il lèche et aspire les sécrétions féminines qui envahissent les petites lèvres. Une main derrière le dos, Françoise baisse le slip et dégage une verge tendue. Elle pivote sur elle-même, pour engloutir le pénis mis à jour, tandis que la langue du blond jeune homme pénètre au plus profond de son intimité.

 

Elle est tellement excitée qu’elle ne se souvient plus à quel moment, il l’a possédée. Elle se souvient seulement d’une lente pénétration précautionneuse, qui ne semblait jamais s’arrêter, suivie d’une série de mouvements sauvages qui témoignaient de sa jeunesse. Elle sentait le sperme se répandre délicieusement dans son vagin. Elle s’endormit, toujours reliée au jeune éphèbe par son long membre viril. Le chaud soleil du petit matin la réveille toujours engagée et toujours aussi mouillée. Nick devait terminer quelques affaires personnelles, mais lui donne rendez-vous à 17 h sur le Ramsès qui faisait l’excursion jusqu’au barrage d’Assouan.

 

La traversée du Caire demeure une épopée même pour les personnes habitués comme notre héroïne. La circulation démentielle, le bruit entêtant, les marchands ambulants, les crieurs de journaux, les mendiants entravent votre marche. Françoise était arrivée près de l’appontement de l’embarcadère lorsqu’un horrible mendiant couvert de loques crasseuses la saisit par la main. Elle réprime un geste de répulsion, l’homme porte un caftan jaunâtre, et un turban brun couvert de taches. Il lève la tête, elle reçoit en plein visage l’éclair des yeux bleus.

 

– Vous !

– Silence, pas un mot, vous êtes en danger de mort. Ne prenez pas le Ramsès.

– Mais j’ai rendez-vous.

– Vous prendrez « le Champollion » qui lève l’ancre dans une demi-heure. Je vous en conjure, obéissez, d’ailleurs mes hommes vous surveillent.

 

La vaillante hôtesse a reconnu l’énigmatique kidnappeur de Varsovie. Que fait-il au Caire ? L’a-t-il suivie ? Elle cherche autour d’elle la silhouette appuyée sur un bâton, il a disparu, happé par la foule. Une demi-heure plus tard, sur le pont flottant où l’on délivre les billets pour les excursions, un hautparleur annonce qu’un attentat terroriste a causé la mort de plusieurs passagers et membres de l’équipage sur le Ramsès. Le Champollion prêt au départ est réquisitionné par la police qui embarque une compagnie de militaires en armes. Revenue à l’hôtel Kéramis, Françoise lira dans la soirée le nom de Nick Gathwell dans la liste des disparus publiée par un journal local.

 

Le lendemain, elle reçoit mission de rejoindre le vol 451 Le Caire-Munich. Toute à ses pensées, la jeune fille rejoint la Bavière dans un brouillard qui l’empêche de réfléchir. Ce jeune anglais lui plaisait bien et le voilà disparu. Le destin s’acharne-t-il sur les hommes que j’aime, pense-t-elle ? A peine arrivée à Munich avec 6 minutes d’avance grâce au vent arrière, elle retrouve un poste dans le vol d’Air-France Paris-Prague. A Prague, elle retrouve son équipe de cabine et le commandant Mercier, toujours aussi macho. Le lendemain, l’équipe sera de repos, Mercier en profite pour décréter une grande soirée intime avec ses collègues de cabine.

 

La nuit enveloppe Prague d’un manteau de silence. Dans le centre, les néons de quelques magasins modernes tentent d’attirer les rares touristes attardés. Le grand hôtel, lui-même somnole, Françoise en entrant dans la chambre du commandant, aperçoit la longue Solange dans les bras de Gonesse. Tout le monde habillé attend le signal de Mercier. D’humeur vagabonde, il ordonne à Solange de se mettre à genoux pour faire un pompier à Gonesse. Anne-Marie fait glisser le pantalon et le slip du steward. Sa grosse queue courte et couverte de poils roux, prestement avalée par la bouche avide de Solange, il se penche pour faire pénétrer sa verge jusqu’au fond de la gorge offerte. Anne-Marie sur un signe de Mercier, lui caresse l’anus et l’enduit d’un gel transparent. Mercier soudain très excité, exhibe une verge tendue et sans un mot d’explication la pose sur le cul de Georges, il pousse son gland dans l’anus béant et pénètre dans le rectum du serveur qui lâche un cri inarticulé, surpris, il veut se dégager, mais la poigne solide du commandant le maintien. Mercier par un mouvement de va-et-vient vient à bout de la résistance du jeune homme. Solange suce toujours le membre dressé‚ avec un bruit de salive remuée, Anne-Marie à genoux également lèche les couilles de Gonesse, et parfois celles du commandant. Mercier aboie :

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– Françoise, foutez- vous à poil, nom de Dieu !

 

Comme dans un songe, Françoise soulève sa jupe et dévoile son sexe qui déjà s’entrouvre de plaisir, une goutte de cyprine pend aux lèvres roses. Elle retire sa veste d’uniforme et son chemisier, puis retire la jupe. Maintenant elle est nue, face à Mercier, elle introduit deux doigts dans sa chatte, et entreprend de se masturber, ce qui excite encore plus ce vieux dégoûtant. Le frottement de la verge dégage une chaleur telle que Gonesse se met à jouir. Malgré la douleur de la pénétration, c’est une première pour lui, il ne peut réprimer la jouissance infernale que lui procure cette bite profondément enfoncée dans ses entrailles. Il se sent possédé‚. Cette sensation délicieuse se répand dans ses couilles, sa verge se tord dans la bouche de Solange. Il veut résister, penser à autre chose, mais son regard accroche la main de Françoise qui ressort toute poisseuse de son vagin. Il ne peut plus retenir sa jouissance, il sent qu’il va jouir Il le crie :

 

– Je jouis ! Ah c’est si bon je vais partir !

 

Ce cri déclenche l’éjaculation du commandant, quelques puissantes contractions de son pénis, excitent encore davantage le bienheureux Gonesse. A flot, le sperme du chef de bord coulent dans le colon du serveur, des soubresauts de plaisir soulèvent la queue de Georges qui décharge voluptueusement dans la bouche insatiable de Solange. Mercier retire précautionneusement sa bite du cul qu’il vient d’honorer. Il sait qu’après l’enculage, certains ou certaines présentent une douloureuse sensibilité au retrait. Anne-Marie s’est redressée et prélève dans la bouche de Solange, une portion de sperme qu’elle déguste en ronronnant. Devant ce spectacle, Françoise a joui également, comme en témoignent les coulées de cyprine qui maculent ses cuisses.

 

Truon a contemplé toute la scène sans dire un mot, au début son visage d’eurasien exprimait la réprobation, mais devant le corps dénudé de Françoise, il a changé d’expression, il a retiré son uniforme de second pilote et maintenant, nu, le pénis redressé il s’approche de notre jeune hôtesse. Il l’assied dans un fauteuil, et d’une langue agile, il absorbe les sécrétions vaginales de la jeune fille. Longuement, il va susciter d’une langue effilée, le clitoris saillant et les petites lèvres qui lui livrent accès au vagin. Françoise très excitée ouvre ses belles jambes, elle n’a plus fait l’amour depuis la disparition de Nick. Quelques heures se sont écoulées, mais cette chasteté temporaire devient intolérable, elle a besoin d’un homme. Maintenant, la langue insidieuse force le passage anal. Il enduit de salive la merveilleuse fleur rose de la jeune fille. Il aspire la salive répandue, et se réjouit du goût amer qui s’oppose au parfum suave du vagin. Françoise gémit doucement, elle commence à jouir tandis que le jaune, bandant comme un tigre la sodomise très lentement. Excité par cette vision, Mercier se fait branler par Solange et Gonesse qui perd du sperme par son cul entrouvert se fait caresser par Anne-Marie. Quelques minutes plus tard, tandis que Françoise hurle sa joie et jouit de cette longue bite plantée dans son cul, Mercier déverse son sperme sur le sein de droite, dirigé par la main experte de Solange. Gonesse ajoute sa propre jouissance sur le sein de gauche. Anne-Marie en parfaite ménagère lèche les liquides répandus sur les seins de son chef de cabine.

 

Le matin du lendemain, un serveur de l’hôtel apporte un pli urgent à notre chef hôtesse encore endormie. Elle se dépêche de faire sa toilette et de prendre son petit déjeuner. Déjà elle arrive en civil à l’aéroport, son passeport à la main et le billet reçu ce matin, elle passe le contrôle et prend place dans un antique Tupolev de l’Aeroflot qui la conduit à Bucarest. A peine arrivée, un taxi brinquebalant la conduit dans la banlieue, elle fait arrêter le véhicule, à proximité‚ d’une série de villas bourgeoises qui ont échappé à la folie urbanistique de Ceausescu. Elle pousse la grille de fer rouillée, la porte s’ouvre, elle est attendue. Deux heures plus tard, elle ressort, visiblement contrariée.

 

Après un repas frugal au mess du personnel navigant, elle reprend le chemin de Prague. Le vol suivant Prague-Damas, commence sans incident. Mercier content de sa soirée, félicite les filles de la qualité de leur café, ce qui n’est pas coutume. Gonesse renfrogné semble souffrir des privautés brutales du commandant, il s’assied avec précaution et de préférence reste debout. Truon épanoui, procède au décollage, sous le regard attentif de Mercier. Solange et Anne-Marie se font des confidences. Après avoir complété la liste des passagers, Françoise sort de son cagibi et jette un coup d’œil circonspect sur les passagers du long courrier. A l’arrière, un peu isolé des autres, un gentleman habillé à Londres lui fait signe. Rasé de près, l’élégant personnage lève le menton. Françoise reçoit comme un signal le choc des yeux bleu pervenche. Encore lui ! Un explication lui parait nécessaire.

 

– Vous me suivez ? Qui êtes-vous ?

 

Assisse à côté‚ du chef des ravisseurs, elle ne se sent pas en danger, même elle a la sensation qu’il la protège. L’homme a remarqué‚ qu’elle ne porte pas de culotte, comme toujours lorsqu’elle porte les jupes moulantes d’uniforme. Il pose la main droite, paume en l’air sur le fauteuil au moment même où l’hôtesse de l’air s’assied. Ses doigt prennent avantage de la situation, l’index et le médius, au cœur de l’action remuent le mucus vaginal. Tout autre femme se serait dégagée de ce geste inattendu, Françoise dominée par ses sens, subjuguée par ces doigts persuasifs, s’abandonne. L’homme de la main gauche soulève la jupe courte et saisit délicatement le capuchon du clitoris. il caresse tout d’abord les grandes lèvres, puis ne sentant aucune résistance, il capture le bouton qu’il fait rouler entre pouce et index. Solange a aperçu le couple au bout de la cabine, avec sollicitude, elle tire d’un placard, une grande couverture qu’elle vient déposer sur les partenaires. Elle semble avoir compris le sentiment qui les lie, car elle s’éloigne discrètement sans prendre part aux ébats. Protégée par la couverture, Françoise part en exploration, elle ouvre la braguette et plongeant la main dans la chaleur excitante du slip, elle extrait une bite puissante grosse et longue. Cette sensation délicieuse provoque une nouvelle coulée de jus sur les doigts de son compagnon. Elle jouit par avance de pouvoir sucer cet énorme pénis, et espère que le sperme jaillira en abondance, gras, épais et onctueux, comme elle les aime. Elle laisse couler sa salive sur le gland au méat béant et l’engloutit dans sa bouche avide. A plusieurs reprises, elle humecte le gros tronc et le triture avec la langue, jusqu’à ce qu’une plainte étouffée jaillissant sous la couverture lui témoigne de la proche éjaculation de son partenaire. Quelques contractions rapides et le gonflement sensible du gland précèdent le flot spermatique. La sensation délicieuse la fait entrer en jouissance, elle déguste la semence épaisse qui coule dans sa gorge. Elle a peine à avaler cette abondance crémeuse qu’elle déglutit avec bruit, ce qui excite encore plus le mystérieux personnage. Des commissures de ses lèvres, le sperme dégouline sur son menton et barbouille son visage.

 

– Anne, tu m’as fait jouir comme jamais je n’avais pu le faire !

– Vous connaissez mon vrai prénom ?

– Je sais tout de toi, tu es Anne de Neubourg, Capitaine au service du contre-espionnage de l’Armée Française. On vient de te conseiller de collaborer avec moi, Michel Goldfinkel, même grade mais au Mossad.

 

Solange attentive aux besoins de ses passagers s’est approchée. Tentée par l’odeur d’amour qui flotte dans la dernière rangée de siège, elle s’assied à la droite de son chef de cabine et lui saisit la main encore maculée et la lèche à grands coups de langue. Elle continue sur le menton de Françoise, elle exprime sa satisfaction par des petits cris étouffés. Notre héroïne avec un regard complice à son partenaire israélien, soulève la jupe d’uniforme de sa collègue et écarte le slip, pour qu’il puisse voir la magnifique chatte de Solange. Le goût du sperme sur le visage de son amie, et l’exhibition de son sexe déclenche un orgasme chez la jeune hôtesse. Elle jouit debout, en parcourant du regard les rangées de passagers à demi assoupis qui leur tournent le dos.

 

Arrivés à Damas, après la formalité tatillonne des passeports, l’équipage se rassemble pour gagner l’hôtel de destination avec un vieux bus Volkswagen tout déglingué. L’hôtel une vraie caserne prison, sous le contrôle de la police d’Etat offre un certain confort. Le portier remet à Françoise, une grande enveloppe qui contient une invitation à une soirée donnée par le ministre de l’intérieur, un général qui a l’habitude de voir ses désirs, considérés comme des ordres. Françoise a exhumé de son bardas, une tenue de soirée, les invités sont en grande partie masculin, généraux syriens, diplomates au regard impénétrable, quelques jeunes femmes en caftan ou étrangères en sari ou en robe du soir. Françoise entourée d’une petite cours d’admirateurs est présentée au ministre, qui la prie de le suivre un instant dans un petit salon. Il lui demande de bien vouloir prendre soin de sa jeune nièce qui voyage seule pour la première fois en avion. Renseignements pris, l’appareil d’Air-France qui décolle demain pour Paris figure sur l’agenda de Françoise. Rentré dans les salons, le général-ministre fait rechercher sa nièce.

 

Cette petite et frêle jeune femme aux yeux aussi noirs que ses cheveux d’ébène vêtue à l’occidentale parle très correctement la langue française. Elle a fait conduire ses bagages à l’aéroport et comme le départ a lieu de très bonne heure, elle décide de passer la nuit à l’hôtel du personnel aérien. Une voiture blindée des forces armées reconduit Françoise et sa protégée. L’hôtel malheureusement complet ne peut offrir la moindre chambrette à la future étudiante parisienne. Françoise se voit forcée de partager sa chambre avec la jeune femme qui s’appelle Shannah. Elle lui laisse le libre accès à la salle de bain, et lorsqu’elle même, à son tour, regagne sa chambre, elle la trouve endormie dans le grand lit. Françoise a revêtu une grande chemise de nuit, contrairement à son habitude de dormir nue. La lumière éteinte, Françoise se détend, quelques heures seulement la sépare du réveil. Une main timide se pose sur sa manche,

 

– Mademoiselle, dites- moi comment vous vous appelez ?

– Je m’appelle Françoise ! dit notre héroïne qui tient à son pseudonyme. Tu peux me tutoyer !

– Moi, je m’appelle Shannah

 

La voix très douce s’est rapprochée de son oreille. Shannah dans un geste enfantin a posé son énorme chevelure noire sur l’épaule de Françoise, elle se blottit contre sa hanche et levant la tête, elle dépose un baiser sur la joue de l’hôtesse.

 

– J’ai peur dans le noir ! Au palais j’ai toujours une veilleuse dans ma chambre

– Tu ne dois pas avoir peur avec moi, il n’y a rien à craindre.

– Prenez moi dans vos bras.

 

Et la craintive jeune femme se serre contre Françoise qui a tôt fait de constater qu’elle est toute nue. Sans doute a-t-elle oublié de prendre un vêtement de nuit. Le bras gauche de l’hôtesse de l’air entoure les épaules de la fille. Au grand étonnement de Françoise, elle sent les doigts de la syrienne qui dénouent les cordons de la robe de nuit. La bouche de Shannah part à la recherche des tétons, elle saisit le plus proche, entre ses lèvres serrées. Elle suce, comme un bébé suce son pouce. Françoise, un instant surprise, laisse faire. Le geste malgré son côté osé a quelque chose de tendre et de naïf. Je suis devenu sa nourrice pense-t-elle. Mais la main de Shannah, explorant la chemise de nuit, relève l’ourlet, et tire le pan jusqu’à la taille. Ses doigts se referment sur le mont de Vénus. Un instant elle caresse le poil souple de sa compagne de lit, mais déjà d’un doigt prudent, elle écarte les grandes lèvres et atteint le clitoris, Françoise, sans effort, mouille abondamment sous les attouchements de la fille. Quelques minutes se passent, l’hôtesse savoure la précision de la caresse sans réagir, ni sans rendre la pareille. Comme Shannah fait des efforts pour lui retirer sa chemise, elle la fait passer par-dessus la tête. Elle lance la chemise au hasard dans la chambre. Son geste a ouvert les couvertures, la jeune femme plonge la tête sous les draps, sa langue remplace les doigts. elle lèche les lèvres entrouvertes et le clitoris découvert. Puis, elle introduit sa langue pointue dans le méat urinaire. La sensation douce et tendre mais aussi insidieuse a paralysé Françoise. Elle reprend ses esprits au moment où la langue infatigable atteint l’anus. Très en forme, Shannah crache de la salive sur le sphincter, elle torche de la langue et aspire le liquide épicé par les sécrétions de l’hôtesse. Tandis qu’un doigt fuselé pénétrant dans le canal maintient l’excitation à son comble, la bouche entame la visite de la vulve. La langue curieuse tapisse la muqueuse d’une épaisse couche de salive.

 

Françoise n’a jamais éprouvé une telle jouissance, elle crie, elle exprime son plaisir, un long râle accompagne ses sensation intimes. L’extase dure plusieurs minutes, sa respiration revient à son rythme normal elle se penche sur sa voisine pour lui témoigner sa reconnaissance. La syrienne se glisse, jambes ouvertes au-dessus du visage de Françoise. A genoux, elle ouvre sa vulve directement sur la bouche de l’hôtesse. Elle mouille terriblement, c’est un flot continu qui inonde la bouche de l’employée d’Air-France. Françoise aspire le liquide divin qui l’excite et la fait mouiller à son tour. Elle sent que son orgasme qui s’est éloigné‚ revient à la même puissance. Et les deux femmes, la bouche de l’une collée au vagin de l’autre entrent en jouissance en même temps. Jusqu’au matin, les deux femmes mêlent leur salive, savourent leur cyprine et pénètrent dans leurs cavités sexuelles. Très fatiguées, mais triomphantes, nos deux héroïnes prennent place dans le petit bus qui doit les conduire à l’aéroport.

 

Le véhicule Volkswagen quitte l’hôtel pour la seconde fois, dans un premier voyage il a conduit l’équipage à l’aéroport. Françoise et Shannah, épuisées par leur nuit blanche, bénéficient d’un transport particulier, en hommage à leur beauté. Le petit bus rouge et noir avance en cahotant dans les rues défoncées du centre-ville. Tout à coup, un camion délabré chargé de moutons bêlants, s’arrête brusquement dans la voie étroite. La porte d’une camionnette qui suivait le bus s’ouvre et deux hommes encagoulés se précipitent vers le conducteur du bus. D’une rafale d’un pistolet mitrailleur, ils neutralisent celui-ci et intiment aux jeunes femmes de les suivre. Aussitôt, elles sont enfermées dans la camionnette qui réussit à emprunter une petite ruelle latérale. Tandis que le chauffeur fait des prouesses pour éviter les marchandises étalées dans la rue, les deux cagoulés attachent étroitement les deux filles avec de très grosses cordes à une main courante. Ils les questionnent en français ;

 

– Où sont les autres membres de l’équipage ?

– Déjà à l’aéroport ! ».

 

Visiblement ils recherchent les pilotes. Ils cachent leur désappointement. Après une heure de route et de cahots, la camionnette s’arrête enfin. La porte ouverte, dans un cliquetis d’armes diverses, le bleu intense du ciel radieux envahit l’espace de chargement. Les filles sont autorisées à descendre. L’horizon très éloigné accuse quelques collines. Le sol uniformément ocré, s’étend à leurs pieds. A peine peut-on distinguer la petite route serpentine qui les a amenés jusqu’ici. Françoise toujours entravée, obtient de pouvoir s’éloigner de quelques pas pour un besoin pressant. Shannah a traduit en arabe, la demande à celui qui parait le chef. Françoise se réjouit de porter la robe de service, celle-ci moule son corps si étroitement qu’elle évite de mettre une culotte, lorsqu’elle est en uniforme. Elle ouvre largement les cuisses et pisse un long jet d’urine sur le sable qui l’absorbe immédiatement, sous l’œil songeur du ravisseur. Shannah qui semble jouir d’un traitement de faveur, débarrassée de ses entraves, fait glisser son slip et joint son urine sur le sable mouillé.

 

Derrière un petit rocher, ocre évidemment, quatre chameaux blatèrent. Réentravées, traînées jusque-là, les deux femmes sont hissées sur une selle en peau de mouton, placée entre les bosses, et l’animal placide se redresse. Chacune solidement attachée au bat d’un chameau, les deux chameliers qui ont remplacé les hommes en cagoules prennent direction des collines. La journée se poursuit au lent balancement des chameaux. Le ciel d’un bleu turquoise rayé par la trajectoire fuligineuse des hélicoptères de plus en plus nombreux retient l’attention des bédouins. Ils jettent un caftan crasseux sur les deux prisonnières et placent un turban sur leurs cheveux. La transpiration des chameaux est insupportable au nez de Françoise, écœurée par l’odeur tenace du vêtement, mélange de suri et de rance. Des deux chameliers, le plus âgé‚ parait le chef. Il indique la direction du voyage. Son visage tanné‚ par le soleil du désert, envahi par une barbe hirsute aux poils noirs ou blancs indique par l’énergie des traits taillés à la serpe qu’il accomplira la mission qui lui a été confiée, sans se préoccuper de sentiments.

 

Toutes tentatives d’engager un dialogue est restée vaine, tant pour Françoise, en anglais ou en français, que pour Shannah en arabe. Il dit à son jeune compagnon quelques mots en dialecte irano-syrien compréhensibles pour la jeune fille. qui recommandent le silence. Le soleil déjà haut dans le ciel marque l’arrêt momentané‚ à l’ombre d’un rocher. Désentravées les deux filles reçoivent la même pitance que les geôliers, une crêpe de pain azyme qui a adopté‚ l’odeur des chameaux. Le barbu a depuis longtemps remarqué‚ que Françoise ne porte rien sous sa robe. Il se laisse choir lourdement sur le sable à côté‚ de l’hôtesse, réajuste la grosse corde qui lui maintient les mains et dans le même mouvement, retrousse la jupe jusqu’à la taille. Brutalement, il écarte les jambes de notre héroïne et dégage son pénis en soulevant sa djellaba, il se couche sur elle, pénétrant son intimité la plus secrète de sa grosse bite, courte et basanée. Françoise n’a pu retenir un cri d’horreur. Elle se sent écartelée sans ménagement, par le membre dur comme de la pierre qui déchire sa chair. Jamais, elle n’a ressenti une douleur aussi fulgurante, lorsqu’elle a perdu jadis sa virginité, à peine avait-elle senti une légère piqure. Le barbu la fouille avec vigueur avec son sexe durci. Un voile noir aveugle la jeune hôtesse, sa peur intense brouille sa vision. Son corps écrasé par le poids de cet homme robuste, l’a fait souffrir horriblement. Les cordages entrent dans ses poignets, le chanvre brûle comme un feu. Ses seins se soulèvent de terreur et sa poitrine halète, une vague de flamme envahit ses poumons. La sueur coule sur son corps dénudé qui tente d’échapper à l’infâme possession. Mais un spasme puissant monte de ses entrailles, domine la sensation de dégout que lui cause la saleté du barbu, elle jouit, elle perd la notion du temps.

 

Elle se presse à la rencontre de l’homme qui la possède, comme si la courte bite pouvait pénétrer plus avant. L’intense douleur du vagin déchiré agit comme un piment qui excite plus qu’il ne retient. L’odeur infecte qui la prenait à la gorge, l’excite maintenant, elle respire avec avidité la sueur mêlée d’urine qui s’exhale de son violeur. Elle ouvre la bouche et embrasse fougueusement le barbu qui surpris met un certain temps à répondre à son baiser. Françoise entend seulement maintenant les cris de Shannah qui gémit sous l’étreinte du plus jeune chamelier. Moins brutal que son ainé, il a induit chez la fille une intense jouissance, qui se traduit par une mélopé très aigue, très différente de celle qu’elle clamait dans le lit de Françoise. Finalement, Shannah a traîné le chamelier auprès de l’Hôtesse, dont elle couvre le visage de baisers. Le barbu d’un geste s’est dégagé, Françoise de plus en plus excitée, saisit le pénis puant et enivrée par l’odeur elle suce les gouttes de sperme qui ont échappé à son vagin.

 

Le barbu qui s’appelle Martouk se lève et donne le signal du départ. Attachée sur le bat de son chameau, Françoise souffre le martyre, son sexe blessé, exposé aux rayons du soleil, s’arrache encore plus sur cette peau de mouton. L’hôtesse de l’air retrousse sa robe chiffonnée jusque sous les seins espérant un peu de fraîcheur ce qui est illusoire sous cet ardent soleil. Soit que les quatre chameaux ont franchi la frontière de l’Irak, soit que l’intermède érotique ait rassuré les geôliers, la surveillance se relâche. La nuit met fin au supplice de Françoise, désormais, les prisonnières ne sont plus entravées, pour la première fois, un feu allumé‚ entre deux pierres réchauffe un maigre dîner de boulettes de couscous. Du lait de chamelle bu dans la gourde du barbu et de l’eau croupie arrose ce maigre repas, rapidement suivi par une reprise des ébats amoureux.

 

Evitant le sexe douloureux de Françoise, le barbu accorde toute son attention à son cul. De ses bras puissants, il lui enserre les hanches, à genoux, Françoise sent la barbe rude glisser entre ses fesses et la langue pénétrer dans son anus. Elle s’attendait à cette caresse, et malgré son appréhension son sphincter s’ouvrait de lui-même, comme une jolie fleur dont les roses pétales se déploient aux rayons du soleil. Bien enduit de salive, le conduit n’offrit aucune résistance à la queue rude, mais beaucoup moins brutale qu’auparavant. En se penchant en avant, pour faciliter l’introduction, Françoise pique du nez sur le sexe grand ouvert de Shannah que le jeune chamelier a disposé devant elle, tandis que la syrienne déguste son pénis. Ainsi reliés les uns aux autres, nos quatre personnages jouissent sans retenue sous le ciel étoilé qu’Allah miséricordieux leur a offert pour leur nuit de noce. Trois jours durant, ils cheminèrent parmi les rochers ocre, toujours vers l’est. Françoise attend avec impatience, les trois repas frugaux toujours suivis d’ébats érotiques. La plaie de son vagin, parfaitement guérie, elle monte à cru le siège de mouton de sa chamelle. Elle ne porte plus aucun vêtement, le soleil lui a tanné la peau à la couleur des roches. Roulée en turban, la défunte robe de la compagnie aérienne la protège des rayons ardents. Shannah l’a imitée et les deux femmes, les seins au vent traversent fièrement les collines de pierre.

 

A l’étape, sur un tapis déployé, le grand jeu les rassemble tous les quatre. Samlr, le plus jeune chamelier se joint à Martouk pour pénétrer les deux filles. Françoise pour la première fois de sa vie amoureuse, empalée sur le pénis long et mince de Samir, sent la queue de Martouk pénétrer dans son cul. Collée au ventre du jeune homme, envahie par l’odeur tenace de sueur et celle de sa propre crasse, elle espère cette double introduction, douloureuse et lente, mais qui lui procure une joie indicible. Chaque pénis entré jusqu’au pubis dans son corps pantelant anime sa jouissance. Un fer rouge dans ses entrailles crée un feu dévorant. Savannah adoucit la tension de tout son être, en lui offrant gentiment comme une fleur ouverte, le don de son sexe dégoulinant de cyprine qui apaise ses lèvres altères. Ensuite Shannah à son tour devient la proie des deux chameliers qui la pénètrent simultanément, tandis que Françoise lui rend son offrande. La nuit, les quatre corps allongés sur le tapis, dans une seule couverture prennent un repos bien gagné. Françoise songe aux efforts de la journée, elle compare mentalement les performances des deux ravisseurs. Elle se demande également, si des recherches ont été entreprises pour la retrouver. Les hélicoptères et les avions des premiers jours ont complètement disparus. Il lui reste quelques pilules contraceptives, dans la petite aumônière qu’elle a dissimulé‚ dans une fonte du bat. Elle partage avec Shannah, mais bientôt, elles n’auront plus de protection.

 

ah1bA l’étape suivante, Shannah couchée sous le corps de Françoise accroupie suce les grandes lèvres de sa copine, tandis que les deux hommes à tour de rôle pénètrent dans le sexe de Françoise, et lorsque leur pénis dérape et glisse dehors, la bouche altérée de la syrienne s’en saisit et vole au passage le témoignage de leur ardeur. Au jour suivant, les chameaux mus par un signal invisible accélèrent leur pas de sénateurs, et bientôt les voyageurs du haut de la colline voient à l’horizon une vallée verdoyante et un village de maisons en terre battue longeant le cours de l’Euphrate. La Mésopotamie déployait son charme millénaire devant leurs yeux brûlants encore du sable du désert.

 

Rhabillées d’un caftan blanc ligné de bleu, les prisonnières attachées à nouveau, furent conduites dans une rue déserte, dans une petite maison de paille et de torchis. Elles furent enchaînées dans une pièce presque vide. Les gardiens qui leur avaient fait des adieux à la dernière halte, disparurent. Une femme d’un noir d’ébène, une somalienne, leur apporta un excellent repas. Un grand calme règne dans la petite maison, troublé parfois par les pleurs d’un nourrisson. La somalienne visiblement dégoutée par l’odeur des deux voyageuses, apporte une énorme cuvelle de bois cerclée de fer, la remplit d’eau fraîche, ajoute de l’eau très chaude et après avoir retiré leurs entraves, lave Françoise d’une main ferme avec du savon de Marseille. Assisse dans la cuve, l’hôtesse de l’air, sous la poigne solide de la gardienne pense que celle-ci privilégie certaines parties de son corps, elle passe et repasse sa main savonneuse entre les cuisses et s’attarde délibérément sur les seins de Françoise qui paraissent minuscules en comparaison avec les deux énormes baudruches gonflées qui ont échappé à sa robe noire toute déboutonnée. Géante et robuste, la noire mesure près de 1 m 95 et doit peser plus de cent kilos, soulève notre amie et la posant sur une chaise lui tend une serviette éponge. Ce fut le tour de Shannah d’éprouver le récurage minutieux de la somalienne, elle tente la conversation, la noire s’exprime dans un dialecte éthiopien, mais baragouine un peu l’arabe irako-syrien. Les deux filles apprendront qu’enlevée dans son pays par une bande de terroristes intégristes et conduite de force en Irak, elle fût violée par cinq de ses agresseurs et se retrouva bientôt enceinte. Elle venait d’accoucher trois mois auparavant d’un petit garçon avec l’aide d’une sage-femme locale et on l’avait chargé de nourrir des prisonniers des intégristes dans cette petite maisonnette. Souria c’était son nom, cuisinière experte confectionne des plats consistants pour rétablir les deux jeunes femmes. Il n’y a aucun gardien dans la maison, les deux prisonnières jouisse d’une liberté‚ totale dans les trois pièces.

 

Le soir venu, elles sont poussées dans un grand lit à l’occidentale. le bébé, après sa dernière tété s’est endormi. Souria vint prendre la place centrale sous les draps. Les trois femmes dorment nues et se rapprochent à cause de la fraîcheur de la nuit. Shannah repose sa petite tête, sur le gros sein gonflé‚ de la noire, qui lui embrasse le front. Françoise plus réservée s’est retournée de son côté. Elle sent le glissement des draps, la syrienne explore le bas-ventre de Souria, glissant ses doigts fuselés dans la vulve béante. Françoise attiré par des bruits de clapotis, se retourne et plongeant la tête sous les draps, lèche le sexe de la somalienne. Celle-ci mouille abonnement sous les caresses des deux femmes. Sa cyprine d’un goût plus corsé que les amantes habituelles de la jeune hôtesse, l’a fait défaillir, elle mouille elle-même à tel point qu’elle aurait tâché les draps si Shannah n’avait avalé cette offrande délicieuse. Saisie par les bras puissants de la noire et assise sur son visage, elle continue sa sécrétion dans la bouche de la gardienne. Le sexe de Souria attire les deux jeunes femmes, profond, défendu par de grandes lèvres d’un noir d’encre, brillantes de secrétions continuelles, il cache des replis d’un rouge éclatant, par chance, elle n’a pas été opérée, elle a gardé son clitoris et ses petites lèvres charnues.

 

Pendant de longues semaines, les trois femmes, ont alterné‚ la cuisine, les soins au nourrisson, et les heures passées au lit ou sur les tapis de la pièce principale. La noire infatigable léchait l’une ou l’autre de ses pensionnaires, souvent les deux. Françoise qui avait repris du poids et dont la poitrine avait grossis sous les caresses, malgré sa bonne mine, avait les yeux battus d’une femme bien baisée. Elle se demandait souvent, si on la recherchait encore. Sa disparition avait sûrement fait l’objet d’une enquête internationale. Mais les jours et les mois passés sans aucun résultat, ils avaient dû abandonner les recherches.

 

Un matin, les trois femmes entendent des coups de feu, semblant provenir du bout de la ruelle. Soudain, un bédouin, cagoulé de noir ouvre brutalement la porte, braquant sa mitraillette sur les occupants. Françoise se précipite au cou du combattant, elle a reconnu le regard des terribles yeux bleus. Michel l’a retrouvé. Mais celui-ci ordonne

 

– Viens vite, nous ne pourrons longtemps tenir tête aux intégristes. J’ai un hélicoptère dans la prairie voisine.

 

Françoise refuse d’abandonner Shannah, Souria et le bébé. C’est ainsi que les quatre personnes furent évacuées par le gros hélico survolant à basse altitude les collines désertiques de l’Iraq. Michel doit lui faire une confidence, mais il attend l’arrivée à Tel-Aviv, les deux moteurs de l’hélico rendent la conversation impossible. A peine sur le sol israélien, il la conduit dans un petit salon à l’écart, Françoise s’attend à des caresses de retrouvailles, mais le commandant parait troublé :

 

– Sais-tu qui est cette syrienne que tu trimballe à tes côtés ?

– La nièce du général-ministre syrien.

– Pas du tout, Shannah, née de père inconnu, est la fille d’une prostituée du quartier réservé‚, elle-même exerce ce métier, elle est spécialisée dans la séduction des diplomates étrangers et si on l’a placée sur ta route, c’est pour obtenir des renseignements sur ton service.

 

A l’hôtel, Françoise questionne Shannah, qui avoue l’essentiel des informations de Michel. Elle ajoute :

 

– Je ne t’ai jamais trahie Françoise, je n’ai jamais fait de rapport depuis que nous avons fait connaissance. Je ne tiens pas à renouer le contact avec la Syrie. Garde-moi près de toi, je te servirai fidèlement, je resterai dans ton ombre et je serai prête quand tu m’appelleras pour te caresser. Tu es devenue la raison de mon existence.

 

Le soir, Michel lui appris :

 

– Solange après ta disparition avait rassemblé‚ tous tes bagages restés à Prague et les a expédiés à Paris. Stepan toujours aussi excité, l’a renversée sur ton lit et l’a sodomisée selon ses habitudes Nous avons maintenant la preuve qui nous manquait, Stepan recherché par la commission de l’O.N.U. des crimes de guerre a été‚ arrêté.

 

Le prochain vol d’Air-France emporte à Paris, les trois femmes et le bébé‚, qui vont vivre désormais dans l’appartement que Françoise a hérité de ses grands-parents. Françoise bénéficie d’un congé, qui lui permettra de rester au calme en attendant de prochaines aventures.

 

Bruxelles, le 25 janvier 1998 – Version restaurée d’après la version illisible de Sophiexxx.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:06

Menottes dorées par Estonius

 

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Bonjour ! Je me prénomme Bertrand et je suis ingénieur en informatique, j’ai la quarantaine, marié à une femme adorable mais devenue sans surprise, je n’ai plus beaucoup de cheveux, un peu de bedaine, des lunettes, un vrai play-boy, quoi ! Mais on trouve ma compagnie agréable, ce que les gens ne savent pas c’est que je suis complètement obsédé sexuel et d’une curiosité insatiable en ce domaine, mais j’assume et suis très bien dans ma peau. Pour la présentation, ça ira ?

Aujourd’hui lundi, déplacement à l’autre bout de Paris, dans une boite d’import-export. Ce qu’on me demande d’effectuer devrait me prendre plusieurs jours… J’ai rendez-vous à 10 heures avec un responsable ! Quelle idée de donner des rendez-vous à une heure pareille ? Pour foutre une matinée en l’air c’est super ! Et en attendant je suis là, à la terrasse d’un bistrot en train de boire un café noisette très moyen.

 

Un regard circulaire : Joli nez ! On ne voit que ça ! La femme doit avoir une quarantaine d’années, brune, les cheveux mi-longs, et frisés, genre italienne, un tailleur beige dont la veste est ouverte sur un haut assez décolleté. La poitrine paraît prometteuse. Elle a l’air d’attendre quelqu’un. Un moment nos regards se croisent, mais gêné, je détourne la tête.

 

Ce n’est que quelques instants plus tard, me levant pour aller aux toilettes, et passant à sa proximité, que mon regard découvrait subrepticement la petite broche épinglée au revers de sa veste de tailleur. Ça ressemblait à des menottes ! Des menottes ! En voilà une drôle d’idée ! Quand même, ça me turlupine (sans jeu de mots). J’ai dû mal voir ! Au retour je regarde mieux. Confirmation, il s’agit bien d’une paire de menottes dorées. Je regagne ma place. A ce moment là, nos regards se croisèrent de nouveau, elle me fit un léger sourire, je répondis de même, mais est-ce par timidité, toujours est-il que je m’empressais de payer et de partir !

 

Je suis le roi des cons ! Qu’est ce qui m’empêchait de l’aborder ? Ça ne m’engageait à rien ! Elle cherchait peut-être un mec ? Et puis ces menottes, c’est quoi la signification ? Ça ne signifie peut-être rien du tout, mais si c’était un code ? Elle cherche peut-être à dominer un mec, ou alors le contraire, à se faire dominer ! J’aurais aimé savoir ? Si vraiment elle est en chasse, peut-être sera-t-elle là de nouveau demain ? Je viendrais voir !

 

Et c’est ainsi que le lendemain, avant dix heures je prétextais n’importe quoi pour sortir de chez mon client (de toute façon, je n’ai pas à me justifier) et me précipitait dans ce fameux bistrot…

 

Mais elle n’y était point, et le jour suivant non plus ! Evidemment, qu’est ce que j’imaginais ? Qu’elle attendait après moi ? Pas grave ! Le jeudi, mon intervention professionnelle était en bonne voie, il fut convenu que je ne reviendrais que le lundi suivant pour faire le point avec le même responsable… et toujours à 10 heures…

 

Alors évidemment je suis allé au café… et coup de bol : elle était là !

 

Je n’ai rien à perdre, si je ne tente pas ma chance aujourd’hui, ce ne sera jamais. On y va !

 

– Bonjour !

– Bonjour Monsieur ! Répond-elle avec un sourire enjôleur.

– Pardonnez mon audace, mais…

– Jouons carte sur table voulez-vous, nous nous sommes aperçus, il y a quelques jours, j’ai bien remarqué que je ne vous laissais pas indifférent. Il se trouve que c’est réciproque. Asseyez-vous quelques instants, ne restez pas debout comme une andouille ! Ajoute-t-elle avec le plus craquant des sourires.

 

Le genre de femme à « mener la barque » en somme.

 

– Je ne suis pas une professionnelle, remarquez que je n’ai rien contre, mais je n’ai pas de besoin d’argent. Ce que je cherche ce sont des hommes sympathiques qui acceptent des rencontres spéciales.

– Des rencontres spéciales ?

– Ne faites pas l’innocent, la dernière fois vous avez flashé sur ma broche. Elle est faite pour ça !

– D’accord, mais en fait je me demandais l’autre fois si vous étiez du genre soumise ou du genre dominante, j’ai bien l’impression que vous êtes plutôt dominante, non ?

– Détrompez-vous, je peux être les deux ! Et vous ?

– Plutôt soumis… mais c’est très léger.

– Je vois, vous ne dominez jamais. Vous n’avez jamais éprouvé de plaisir en donnant une fessée à une femme ?

– Le sadisme ce n’est pas mon truc !

– Répondez-moi franchement, vous n’aimeriez pas me donner la fessée ?

– Si on ne fait pas que ça, pourquoi pas ?

– Oh ! Non, nous ne ferions pas que ça ! Vous êtes libre aujourd’hui ?

 

Je réfléchis, mon rendez-vous ne va pas me prendre cent sept ans, mais l’usage voudrait que mon client me paie le restaurant. Je n’aurais qu’à décliner poliment en prétextant d’autres obligations.

 

– Je peux être libre, disons à midi et demi, si vous en êtes d’accord, je vous emmène déjeuner.

– Désolée, je ne mange pas le midi.

– Et bien votre heure sera la mienne !

– On va dire midi 45 devant la bouche de métro là-bas, cela vous laissera le temps de manger un sandwich, je m’en voudrais de vous avoir fais mourir de faim… Mais, vous avez cinq minutes, là tout de suite ?

– Juste cinq minutes !

– Vous voudriez peut-être me voir à poil ?

– Ecoutez, puisque vous me le proposez si gentiment.

 

Je suppose qu’elle va m’emmener aux toilettes, chic, chic, chic, on va peut-être faire un truc, là tout de suite, sans attendre ! Et puis je la vois farfouiller dans son sac à main ! Ma parole elle est en train de chercher la monnaie pour la cabine des toilettes ! En plus c’est elle qui paie l’entrée ! On aura tout vu ! Sauf que je me gourais complètement, ce qu’elle sort de son sac c’est son téléphone portable, elle me montre un premier cliché, elle est complètement nue, les bras suspendus au plafond, quelques marques de flagellation lui marquent le ventre et les cuisses et elle a des pinces aux seins. Belle femme, joli corps plutôt bien conservé, un peu potelé, mais ce n’est pas pour me déplaire. Décidément cette charmante personne m’intéresse de plus en plus. Une seconde photo la montre de dos, les fesses cambrées et cette fois, la flagellation a été plus importante, son cul est tout rouge, tout cela est bien excitant et je le lui dis.

 

– Je ne pourrais jamais vous frapper si fort.

– On ne m’a pas frappé fort, j’ai la peau qui marque très vite ! Mais de toute façon, j’aime ça… et après on inverse les rôles.

– Alors c’est non, je veux bien jouer, mais je ne suis pas maso à ce point.

– Je ne suis pas sadique, quand je domine, je sais m’adapter à ce que peut supporter mon soumis… c’est ce qui rend d’ailleurs la chose passionnante… et si excitante !

 

Du coup, j’hésite !

 

– Et puis reprend-elle, la domination, ce n’est pas que physique, il y a les mots, il y a les situations qui sont faites pour humilier, par jeu bien entendu, mais sans simulation.

– Vous pourriez préciser ?

– Vous n’avez jamais participé à une séance de domination.

– Euh… si ! Une fois…

– Avec une pro ?

– Non, une femme que j’avais draguée, c’était son truc… Alors on a joué à la maîtresse et à l’esclave.

– Et elle vous a fait faire quoi ?

– Marcher à quatre pattes, sucer un gode…

– Ben vous voyez, vous comprenez vite, sauf que je ne me contenterais pas de vous faire sucer un gode, je vous proposerais, une vraie bite, celle de mon mari !

 

Alors là, moi, qui prétends avoir les idées larges, je me dégonfle complètement :

 

– O.K. Je crois que je vais vous laisser…

– C’est comme vous voulez, mais dans une heure vous aurez déjà regretté votre décision, au fait vous ne m’avez pas dit votre prénom ?

– Bertrand !

– Moi c’est Viviane ! Rapprochez votre siège et embrassez-moi Bertrand, je vous offre mes lèvres.

 

Ce n’est pas parce que je n’ai plus l’intention de la suivre que je vais refuser de l’embrasser. Le baiser est torride, profond, passionné. Je bande comme un dingue. Elle le sait car sa main s’aventure sur ma braguette et en tâte le renflement. Je me laisse faire.

 

– Nous ferons l’amour tous les deux, mais avant tu seras ma chose !

– Si on n’allait à l’hôtel que tous les deux ?

– Bertrand, pour me mériter ce sera comme je l’ai prévu. Je te ferais goûter les plaisirs de l’humiliation, je te ferais marcher à quatre pattes, tenu en laisse comme un chien. Je te ferai lécher mon cul merdeux, je te cracherai dessus, je te pisserai dessus, je t’insulterai… et toi tu supporteras tout ça parce que tu sauras que tout ça c’est aussi une promesse, la promesse de mon corps.

 

C’est ce qui s’appelle une belle envolée lyrique !

 

Elle ne m’a pas lâché la braguette tout en me prodiguant cette étrange tirade (sans doute réchauffée). Je suis dubitatif. Le « danger » dans la situation présente, c’est de raisonner davantage avec sa bite qu’avec son cerveau. Je note que dans cette énumération surréaliste, elle n’a pas évoqué la présence de son mari, le petit détail qui change tout et qui peut faire pencher la balance du côté qu’elle souhaite.

 

– J’hésite !

– Tu ne vas pas passer la matinée à hésiter.

 

Vivianne a ouvert ma braguette, trouvé le chemin de ma bite et la branle carrément à l’intérieur de mon caleçon.

 

– Il faut te décider maintenant, reprend-elle. C’est d’accord ou pas ?

 

J’approuve, d’un geste de la tête, conscient malgré tout de ne pas trop savoir dans quoi je m’embarque.

 

– Je te laisse fermer ta braguette ! Je sais les ouvrir, mais je ne sais pas les fermer ! Plaisante-t-elle.

– Bon à tout à l’heure, midi 45 comme prévu…

– Pourquoi pas tout de suite ?

 

Je lui explique que j’ai une obligation professionnelle.

 

– Téléphone, dis que tu as un empêchement, invente un truc !

– Mais pourquoi ne pas attendre cet après midi ?

– D’accord, on attend l’après-midi, ton excitation sera retombée et tu ne viendras pas. Seulement après tu vas le regretter, tu vas chercher à revenir ici pour me retrouver, mais ça ne marchera pas, il n’y aura pas de seconde chance !

– Je te promets d’être là à midi 45 !

– Je te veux tout se suite.

 

Je téléphone donc à mon client et décale le rendez-vous au lendemain. On prend le métro, ce n’est pas très loin, j’ai envie de lui poser plein de questions, mais pas folle, elle prend les devants et monopolise la parole. Elle m’explique qu’elle et son mari tiennent un commerce, qu’ils ferment le lundi, et qu’elle en profite pour « partir en chasse ».

 

Arrivé en bas de l’immeuble elle me fait part de son intention de passer un bref coup de fil, je m’éloigne un peu par discrétion.

 

On monte, elle ouvre avec ses clés, le mari n’est donc sans doute pas là, tout va bien.

 

On entre, effectivement pas d’homme en vue ! Ouf ! Elle me propose à boire, j’accepte un jus de fruits.

 

– On va faire ça en trois parties, la première : tu vas me donner la fessée, la seconde : je te domine, et la troisième : on baise, d’accord ?

– D’accord ! Ça me convient très bien.

– Alors on y va, tu te mets à poil et tu me claques les fesses, tu fais comme tu veux, tu peux me demander de me déshabiller, tu peux le faire toi-même, je peux aussi n’enlever que le bas, c’est toi qui décide.

– Alors je vais te déshabiller !

– Pas de problème, mais toi d’abord !

 

Je fais comme elle a dit, elle en profite pour me tripoter un peu la bite. Puis je m’approche d’elle et lui déboutonne son haut, le soutien-gorge est bien rempli, j’ose un chaste baiser sur la naissance des seins.

 

– Tss ! Tss ! Ce genre de chose c’est pour la troisième partie !

 

Bon, tant pis, j’enlève son chemisier, je dégrafe son soutien-gorge libérant deux magnifiques globes à la rotondité parfaite terminés par des aréoles brunes d’où surgissent des tétons arrogants. Je suis subjugué. Elle rigole.

 

– Et bien remets-toi ! Et souviens-toi qu’ils seront à toi tout à l’heure… si tu es sage… mais tu le seras, je connais les hommes !

 

Je fais descendre la petite jupe, il ne reste que le string et les bas auto-fixant. Je décide de lui laisser ces derniers et je retire le string, son pubis est rasé en « ticket de métro », c’est charmant.

 

– On fait comment ? Demandais-je.

– Ben par exemple, tu t’assois sur le canapé, je me couche sur tes genoux, et tu y vas !

 

Alors, allons-y, on fait comme ça ! Je m’autorise une légère caresse sur ses fesses.

 

– Tout à l’heure les caresses, tout à l’heure et autant que tu voudras, mais pour l’instant tu frappes !

 

Elle est chiante, je lève la main, je l’abats, premier coup, première trace rosâtre. Elle encaisse sans rien dire. Je continue, je me prends au jeu, bientôt son cul est écarlate, et j’en ai mal aux mains, elle pousse des petits cris qui ressemblent plus à des manifestations de plaisir masochiste qu’à des gémissements de douleur.

 

Un bruit, la porte s’ouvre, un mec en robe de chambre. Merde ! J’arrête tout !

 

– Continuez donc, cher monsieur, je faisais la sieste, je ne fais que passer. Mais j’adore voir ma femme se faire fesser par un inconnu, d’autant qu’elle le mérite bien, cette petite salope ! Je m’appelle Philippe.

– Et bien, continue, Bertrand, pourquoi tu t’arrêtes ?

 

Sortir la petite phrase « Je vais vous laisser », me rhabiller, puis fuir comme un lapin, les mots ne veulent pas sortir…

 

– Continue, Bertrand, souviens toi que je serais ta récompense. !

 

Je me mens à moi-même, me disant que je vais prétexter un mal de tête pour échapper à la deuxième partie (mais hélas aussi à la troisième), mais que pour l’instant je continue.

 

Je reprends mes fessées, j’attends qu’elle me dise d’arrêter. Philippe a ouvert sa robe de chambre et se branle ostensiblement, il a une jolie bite, bien droite, bien nervurée, avec un gland bien décalotté et luisant. Je suis infiniment troublé. Je rebande à nouveau, je ne sais plus où j’en suis. Je ne sais plus ce que je fais…

 

– Ça va aller ! Me dit Viviane quelques minutes plus tard, dans un souffle, mettant ainsi un terme à son supplice volontaire.

 

Elle se retire de mes genoux, s’affale à mes côtés et se met à se tripoter le clito avec frénésie. Trente secondes après elle jouissait comme une malade.

 

C’est le moment crucial, si je dois m’en aller c’est maintenant, je lorgne vers la chaise où sont entassées mes affaires. Je me lève sans rien dire.

 

Comment a-t-elle fait pour me barrer la route ?

 

– A genoux, chien !

 

Je ne suis pas obligé, (du moins j’espère !) mais ce corps, ces seins, ce visage, cette promesse… Alors je retarde encore le moment de la décision, me disant que je pourrais toujours arrêter ce cirque si jamais ça prend une tournure qui ne me convient pas… et pour le moment me voici à genoux comme un gamin puni.

 

Viviane m’attache un collier de chien muni d’une laisse autour de mon cou. Elle me gifle, plusieurs fois, oh, pas très fort, mais ce sont quand même des gifles, et c’est très humiliant, d’autant que le Philippe qui ne devait que passer s’incruste, il a retiré sa robe de chambre et continue à exhiber sa bite ! Mon dieu, sa bite, qu’est ce que j’ai à la lorgner sans arrêt ? Qu’est ce qu’elle est belle ! Viviane me crache au visage, puis me toise avec une arrogance parfaitement simulée :

 

– Dis-moi que tu n’es qu’un chien !

– Je ne suis qu’un chien !.

– Tu vas bien me lécher le trou du cul !.

 

Ce n’est pas un problème, même s’il ne sent pas vraiment la rose, je m’amuse à faire batifoler ma langue sur ce joli œillet brun qui finit par s’entrouvrir devant mes sollicitations, j’essaie, mais ce n’est pas évident de plonger ma langue plus avant.

 

– Bon assez joué avec mon cul, relève-toi !

 

Une nouvelle fois, elle me gifle, une nouvelle fois elle me crache au visage, une nouvelle fois l’humiliation de la situation me provoque un plaisir trouble. Elle m’accroche une pince à chaque sein me provoquant des cris de douleur. Pas vache, la Viviane les retire pour les placer de façon moins douloureuse, voila une attention qui m’encourage pour la suite.

 

Elle joue avec les pinces, j’adore ça quand c’est fait sans excès. Et l’autre andouille qui est toujours là avec sa bite qui me nargue, J’ai compris maintenant que le contact avec lui sera inévitable, et je suis désormais enclin à faire avec, d’une part parce que la séance de baise avec Viviane est sans doute à ce prix, et puis il y a autre chose d’indéfinissable qui me conduit à accepter de franchir ce pas.

 

Là tout de suite, si elle me demande de sucer la bite de Philippe, je sais que je vais le faire sans problème ! Qu’elle me le demande donc maintenant, tout à l’heure j’aurais peut-être changé d’avis ! Et puis j’y pense, il voudra peut-être aller plus loin que la fellation…. Et là encore, alors que Viviane n’en finit pas de me martyriser les seins, je me dis prêt à accepter. Ah, quand c’est la bite qui raisonne, que ne ferait-on pas ?

 

– Tu vas t’allonger sur le canapé, sur le ventre et tu vas bien cambrer tes fesses de pute.

 

Elle s’empare d’une badine et commence à me zébrer les fesses, elle a eu l’intelligence de comprendre que je ne suis pas un maso aguerri et elle frappe en conséquence. Ça chauffe quand même pas mal ! Un moment, elle me fait rectifier légèrement la position de façon à ce que mes avant bras viennent se poser sur l’accoudoir. De cette façon mon visage se trouve projeté en avant.

 

Je crois avoir compris ce que va se passer maintenant, effectivement Philippe me présente sa bite à 50 cm de mon visage,

 

J’ai dû les étonner tous les deux quand j’ai ouvert une large bouche. Ça s’est donc fait spontanément sans ordre ni commentaire, j’ai la bite de Philippe dans la bouche, je la suce et je suis surpris par cette texture très douce et très agréable ainsi que par le goût très légèrement salé.

 

MD

 

Humm, qu’est ce c’est bon, je me régale, et dire que je m’étais privé de ce plaisir pendant des années, je crois bien que je vais me débrouiller pour rattraper le temps perdu !

 

Viviane a arrêté de me torturer les fesses, et se livre à une activité un peu plus intime. Elle m’a en effet introduit un doigt dans le cul et s’est mise à le remuer de façon frénétique, voilà qui me provoque un plaisir trouble. Je sais maintenant que Philippe va m’enculer. Jusqu’à présent seuls quelques rares godes ont visité mon cul, je ne m’en suis pas plains, ça devrait donc aller.

 

Mais pour l’instant je suce, ma langue et mes lèvres ne se rassasient pas de cette bonne bite dont je m’efforce de lécher chaque recoin, que je m’efforce de sucer du mieux possible en la faisant coulisser en cadence.

 

Il se retire.

 

– Il m’a sucé comme une vraie pute ! Commente Philippe.

– Tu n’es qu’un suceur de bite ! Tu n’as pas honte ? Ajoute Viviane avec malice.

– Ben non !

 

Ma réponse doit être inattendue, car ça les fait rigoler, moi, je ne vois pas ce qu’il y a de drôle, c’est vrai que je n’ai pas honte, je me demande qu’elle genre de réponse ils attendaient.

 

– Tu sais que tu vas te faire enculer, maintenant ? reprend Viviane.

– Oui !

– Ce sera la première fois ?

– Oui !

– Tu en a envie ?

– J’ai envie d’essayer, oui !

– Allez, mets-toi en levrette, petite pédale !

 

Je regarde si le Philippe pense à se mettre un préservatif, puis rassuré, j’attends l’assaut.

 

Il me tartine préalablement le cul avec du gel, il me demande de pousser, s’y reprend à plusieurs fois et finit par s’introduire.

 

– Si ça fait un peu mal au début, c’est normal ! A-t-il la gentillesse de m’informer.

 

Et c’est parti ! Sensation insolite d’avoir un corps étranger dont on a envie de se débarrasser. Mais c’est là, ça avance et ça recule dans mon conduit anal, ce n’est pas trop agréable, et puis ça doit frotter sur ma prostate, la sensation évolue au bout de quelques minutes, rapidement je me sens bien, je suis en train de me faire enculer, j’aime ça, je suis bien.

 

Il a dû me limer entre cinq et dix minutes avant d’éjaculer dans sa capote. Il décule, attrape sa robe de chambre qui trainait par terre et disparaît de la pièce. Pas vraiment convivial, pépère !

 

– T’as soif ? Me demande Viviane.

– Oui !

– Tu veux boire ma pisse ?

 

Si j’avais répondu non, elle aurait fait quoi ?

 

Elle attrape un seau à champagne au bas de son buffet :

 

– Regarde bien, fous-toi en plein la vue :

 

Elle se met le seau entre les cuisses, fléchit très légèrement les jambes et se met à pisser d’abondance. Voir son jet d’or jaillir de sa chatte en un long filet continue a le don de rendre à mon sexe sa raideur maximale, je commence d’ailleurs à avoir mal aux testicules à force de bander sans jouir ! Viviane nous fait un vrai déluge, remplissant la moitié du machin.

 

Elle sort deux coupes et les remplit de sa pisse, elle m’en tend une, on trinque, elle boit, je l’imite, ce n’est pour moi qu’une première que dans la façon de faire, ayant déjà eu l’occasion de pratiquer quelques jeux uro. Sa pisse est bonne, pas trop forte, et surtout la pratique est délicieusement perverse.

 

Elle me dégrafe le collier de chien. Je suppose qu’elle veut me signifier par ce geste que la partie « 2 » étant accomplie on va passer à la « 3 ». Une petite appréhension quand même, parfois les femmes sont tellement versatiles !

 

– Allez, viens dans la chambre !

 

On y va, on y va ! Le problème c’est que sur le lit il y a déjà Philippe, c’est quoi ce cirque ? On va faire une partouze ?

 

– Tu nous laisses un peu la chambre ? Lui demande Viviane.

 

Pourquoi « un peu » ? Mais il s’en va sans un mot.

 

– Je suis à toi, complètement à toi ! Me dit-elle. Tu peux me faire tout ce que tu veux… dans la limite du raisonnable, bien sûr !

 

C’est quoi « la limite du raisonnable » ? Viviane s’est couchée sur le dos, jambes écartées, je me faufile près d’elle et lui caresse (enfin) les seins.

 

– Depuis le temps que tu les attendais… commente-t-elle.

 

Je m’aventure sur les tétons et les titille un petit peu, elle ne proteste pas, je serre un peu, ça à l’air de lui plaire.

 

– Je peux, plus fort ?

– Pas de soucis, tu peux y aller, du moment que tu ne mes arrache pas…

 

Je pince donc plus fort !

 

– Aïe !

– Oh ! Excuse-moi !

– Non, non, continue, je ne t’ai pas demandé de t’arrêter.

– Mais je t’ai fait mal !

– T’occupe pas, tant que je ne te demande pas de t’arrêter, tu peux continuer.

 

Je continuais mais moins fort, je n’ai rien d’un sadique, même si elle me faisait comprendre qu’elle y trouvait son compte. Bientôt ma bouche remplaça mes mains et je me régalais de la douce texture de ces bourgeons exquis. Je bandais comme un taureau et lui offrais ma bite à sucer. Elle me prodigua alors une fellation d’anthologie que je fus obligé de stopper. J’avais alors le choix entre la pénétrer en sachant que l’affaire allait être très (trop) brève, ou bien me calmer en lui prodiguant de douces caresses. Ce fut donc les caresses sur sa peau de velours, et elle me confia qu’elle adorait être caressée. Curieuse femme, finalement beaucoup moins compliquée que ce qu’elle laissait paraître.

 

– Si tu pouvais te mettre en levrette, osais-je lui demander après plusieurs minutes.

 

Elle le fit, la vue de son cul me rendit fou…

 

– Dans ton petit trou, je peux ?

– Bien sûr, les capotes sont sur la table de nuit !

 

Quel con, j’allais oublier ! J’entrais dans son cul avec une facilité déconcertante, la limais cinq minutes avant de m’écrouler, comblé de jouissance. Elle se retourna après que j’eu déculé, je cherchais sa bouche, elle ne se déroba pas.

 

– T’es sympa, je ne regrette pas de t’avoir fait venir ! Me confia-t-elle, mais il faut que tu saches quelque chose !

 

Hummm ! Que je n’aime pas ce genre de précaution oratoire !

 

– Philippe a tout vu à travers un œilleton !

 

Ah ! Ce n’est que ça, me voilà rassuré !

 

– Ce n’est pas grave !

– Humm, ça m’a donné faim tout ça, il est 13 heures, tu veux rester manger avec nous ! Je vais faire une omelette.

– Volontiers !

 

Tiens, je croyais qu’elle ne mangeait pas le midi ?

 

– Tu n’a pas peur que Philippe te redemande de lui sucer la bite ?

– Ce ne sera pas une corvée !

 

Je ne me reconnaissais pas, j’étais bien, j’étais sans illusion, tomber amoureux de Viviane aurait été ridicule, et après cette rencontre nous n’avons pas cherché à nous revoir, elle avait pourtant pris ce jour là une petite place dans mon cœur, place qu’elle n’a jamais vraiment quittée.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:01

Madame Duval par Estonius

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Samedi matin

 

Je suis Eric Dalu, 40 ans, employé d’assurance et… ça y est : Je suis tout seul à la maison, ma femme a emmené hier soir les gosses dix jours à la mer. Je vais pouvoir m’organiser une petite semaine de célibataire bien pépère.

 

Cette nuit, je n’ai presque pas dormi, j’ai surfé sur Internet jusqu’à 4 heures du mat, et après j’ai eu du mal à trouver le sommeil. Du coup, ce matin, je me suis passé un petit DVD que je n’ai pas l’occasion de voir souvent, il n’y a pas d’histoire, c’est juste une séance de domination.

 

La maitresse est splendide, visage de déesse, cheveux de feu et poitrine de rêve, elle domine deux mecs, les frappe, les humilie, les sodomise, elle leur pisse dessus, les oblige à se sucer la bite. Bref tous mes fantasmes ! Dommage que je ne comprenne pas toutes les paroles, c’est en anglais. J’ai regardé ça à poil, un gode dans le cul et des pinces aux seins, au bout d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus, je me suis fait jouir.

 

Comment ça ? Je suis un pervers ?

 

Il est dix heures du matin, je pars en courses, je vais me faire à bouffer des bons petits trucs que je ne mange jamais avec ma femme…

 

A 11 heures en rentrant, mon cabas à la main, je croise dans l’escalier Madame Duval, ma voisine de palier Quand elle me voit, elle me gratifie d’un sourire format XXL

 

– Alors monsieur Dalu, votre petite famille vous a abandonné ?

– Eh oui !

– Vous serez content de les retrouver après !

– Ben oui !

 

Je n’ai vraiment pas envie de faire la conversation, Madame Duval vit seule, vieille fille, veuve ou divorcée, je n’en sais fichtre rien et je m’en fous.

 

– Bon j’y vais !

 

Je me retourne, sans trop savoir pourquoi. Elle s’est vêtue d’une jolie robe assez décolletée dans le dos et découvrant les épaules. Elle se retourne et m’adresse son sourire magique, un beau sourire que je lui rends volontiers. Elle doit bien avoir 50 ans, la mère Duval, mais elle est remarquablement conservée, pas du tout le genre mémère, elle a une certaine élégance naturelle que vient renforcer sa taille supérieure à la moyenne. Sa peau est légèrement mate, et ses cheveux sont blond vénitien. Je n’arrive pas à comprendre qu’avec le charme qu’elle a, elle n’arrive pas à (re)trouver un compagnon.

 

Chez moi, je range mes courses, et prends la résolution d’entreprendre d’entamer le programme de bricolage que m’a laissé ma chère et tendre, mais avant je me mets dans le fauteuil, et bouquine une petite bande dessinée prétendument coquine, mais qui finit par m’endormir.

 

On sonne à la porte. Un coup d’œil à la pendule, une heure est passée, il est midi. Je n’attends personne et ai horreur des casse-pieds, je vais quand même voir, j’ouvre, c’est madame Duval :

 

– Monsieur Dalu, j’ai une fuite d’eau dans ma cuisine, si vous pouviez venir voir ?

 

On y va ! Effectivement il y a une marre de flotte dans la cuisine que des vieux journaux tentent d’éponger. Elle a cherché d’où ça venait et a sorti d’un placard un impossible bric-à-brac de casseroles, de poêles et autres ustensiles qui encombrent toute la pièce. Je lui demande de rétablir l’arrivée d’eau, je repère facilement l’origine de la fuite sous une vis de raccordement, sans doute un joint.

 

– J’espère que c’est le joint, je vais en chercher, recoupez l’eau en attendant.

 

Je reviens quelques instants plus tard avec les joints et équipé de deux pinces, et m’apprête à opérer, le problème avec ses trucs là c’est qu’on ne sait jamais dans quel sens aller, je serre le raccord, et prépare mes forces, pour rien, ça se dévisse tout seul, je change de sens et resserre à fond. Je lui demande de remettre l’eau, il n’y plus de fuite. Inutile de changer le joint. J’ai du mal à comprendre. Depuis quand les raccordements se dévissent-ils tout seuls ?

 

– C’était pas vissé à fond, il n’y a plus de fuite !

– Oh ! Merci ! Merci ! Je me voyais déjà galérer en essayant de chercher un plombier en plein mois d’Août !

– Bon, je vous laisse !

– Pas question ! Il faut que je vous remercie, il est l’heure de l’apéritif de toute façon.

– Vite fait sur le pouce, alors ! Parce que j’ai un de ces boulots ! Mon épouse m’a laissé une liste de bricolage…

 

C’est archi faux, si je me débrouille bien, tout cela sera terminé en quelques heures, et après à moi la liberté. Madame Duval me sert un whisky et s’assied devant moi, croisant ses jambes ce qui a pour effet de faire remonter sa robe jusqu’à mi-cuisse. Son bronzage est parfait.

 

– Vous avez eu beau temps on dirait ! Déclarais-je histoire de dire quelque chose d’original.

– Vous avez vu un peu les jambes ! Répond-elle. Et je vous dis pas le reste !

 

J’ouvre des grands yeux approbateurs.

 

– Tout est bronzé comme ça ? Demandais-je, un peu conscient quand même de devenir indiscret.

– Tout !

– Vous faites du naturisme ?

– Oui, au Cap d’Agde, j’adore être à poil !

– J’aurais eu du plaisir à vous voir sur la plage.

– Coquin ! Je suis sûr que vous ne me croyez pas !

– Si ! Si ! Je vous crois ! Mais le croire est une chose…

– Le voir en est une autre, c’est cela ?

– Je n’aurais pas osé vous le dire !

– Je veux bien vous montrer mais juste deux secondes !

 

Jusqu’à présent la situation m’amusait, mais là ça risque de basculer, il me suffit de tout arrêter, mais je n’en ai pas envie, je la laisse faire. L’espace d’un instant elle fait surgir un sein de sa robe, un joli globe effectivement bien bronzé ! Il n’y a que deux solutions ou elle m’allume, ou elle me teste, on verra bien.

 

– Vous me croyez maintenant ?

– Je n’ai rien vu !

– Menteur !

– Vous ne voulez pas recommencer, juste un petit peu ?

– Vous n’êtes pas très sérieux pour un homme marié ! Dit-elle sur le ton de la plaisanterie.

– Sans doute, mais mettez-vous à ma place !

– C’est quoi le bricolage que vous avez à faire ?

 

Qu’est ce que ça peut lui foutre ? Et puis pourquoi ce brusque changement de conversation alors que ça dérapait bien ? A quoi joue-t-elle ?

 

– Rien de sensationnel, des tiroirs à recoller, un machin à décaper et à revernir, une porte à raboter et j’en passe !

 

La conversation est maintenant complètement banalisée. Elle a eu une mini pulsion exhibitionniste et c’est tout ! Qu’est ce que je m’imaginais ? Je finis mon apéro, souhaitant abréger.

 

– Bon, je vais vous laisser !

– Vous allez manger ?

– Je ne sais pas, je n’ai pas très faim, je vais juste grignoter, je mangerais mieux ce soir !

– Et vous aviez prévu autre chose, ce soir ?

 

Je ne vais pas lui dire ce que j’avais prévu, j’avais prévu un bon petit repas en solo, quelques DVD pornos, à moins que mon inspiration me pousse à aller faire un tour je ne sais où.

 

– Rien de spécial ? Mentis-je

– Et si je vous invitais ?

 

J’hésite ! Tout à l’heure elle m’a juste allumé, ou elle a envie d’aller plus loin ? Je crois que je vais accepter, mais par jeu j’ai envie de me faire prier.

 

– Non, merci, vous êtes gentille, mais non…

– Ma compagnie ne vous plait pas ?

– La question n’est pas là !

– Alors tant pis, mais avant que vous partiez, il faut que je vous parle d’un petit problème mitoyen, rien de grave, mais autant que vous sachiez…

 

Elle me montre le mur de sa salle à manger, celui qui est mitoyen avec mon appartement.

 

– Ici c’est ma salle à manger, je ne m’en sers pas souvent, je ne reçois pas grand monde, mais toutes les semaines, il faut bien que je fasse le ménage !

 

Qu’est ce qu’elle va me sortir ?

 

– Donc ce matin, je faisais le ménage, et j’ai entendu que vous vous passiez un film.

 

Je blêmis… heureusement que le machin était en anglais.

 

– Ça avait l’air d’être chaud, votre truc… Ah ! Oui, il faut que je vous dise, je comprends parfaitement l’anglais.

– Je suis désolé, il fallait frapper et me demander de baisser le son ! Répondis-je ayant conscience de dire n’importe quoi.

– Auriez-vous des fantasmes de soumission, cher voisin ?

– Heu, je vais peut-être vous laisser, Madame Duval !

– Parce que si c’est le cas, figurez-vous que moi j’aurais plutôt des fantasmes de domination. On pourrait peut-être faire quelque chose ensemble ?

 

Je suis mal, très mal. Ne pas rester là, surtout ne pas rester.

 

– J’y vais, Madame Duval…

– Eric !

 

Voilà qu’elle m’appelle par mon prénom à présent !

 

– Oui !

– J’ai encore quelque chose à vous dire !

 

Putain, qu’est ce que ça peut bien être ?

 

– Venez, je vais vous montrer autre chose ! reprend-elle.

 

Je la suis… dans sa chambre… Oh, là là !

 

– Si vous pouviez m’attrapez ce sac de voyage qui est en haut de l’armoire… Attention, il doit y avoir de la poussière…

 

Ouf ! Ce n’était que ça ! Je descends le machin.

 

– Attendez !

 

Attendez quoi ?

 

Elle revient avec un torchon humide, et fait le geste d’enlever la couche de poussière. Quelque chose cloche, je suis persuadé qu’il n’y avait aucune poussière. A quoi rime alors ce cinéma. Elle ouvre le sac, fouille dedans, et en extrait un superbe martinet !

 

– Il est beau, hein ? Me dit-elle.

 

Il n’est pas beau, il est bizarre, le manche tout noir représente un sexe masculin en érection, je suppose qu’il peut donc aussi servir de gode.

 

– Bon, je peux vous laisser, maintenant, madame Duval ?

– Eric !

– Oui ?

– Ne bouge pas !

 

Elle s’approche de moi, met la main sur mon torse, elle n’a pas de mal à trouver mon téton qui pointe sous mon fin tee-shirt d’été. Elle me le serre. C’est trop bon, je me laisse faire. Je bande. Attention à l’engrenage ! Et la voila qui se déshabille et m’exhibe ses gros nichons ! Comment voulez-vous que je résiste ?

 

Duval

 

– On va jouer ! A genoux, Eric !

 

J’obéis.

 

– Fais descendre mon pantalon !

 

J’obéis, elle me demande ensuite de lui caresser les cuisses, puis d’approcher mon nez de sa culotte.

 

– Alors ça sent bon ?

– Oui ! Répondis-je

– On dit : « oui, Madame Duval »

– Oui, Madame Duval.

– Mets-toi à poil, ça sera mieux.

 

Je me déshabille, résigné et excité. !

 

– Mais c’est que tu bandes ? Me dit-elle en me touchant la bite.

– Ben oui…

– C’est la situation qui t’excite ou c’est moi ?

– Les deux je pense.

– Remets-toi à genoux et descend ma culotte.

 

Je le fais, ses poils sont rasés en « maillot », mais ce qui reste est abondant.

 

– Renifle ! Je n’ai pas pu me laver ce matin, j’avais coupé l’eau. Tu renifles, c’est tout, tu auras le droit de lécher quand j’aurais fait pipi, par contre derrière tu peux y aller, ajouta-t-elle en se tournant, tu peux me lécher le trou de mon cul. Allez mieux que ça, je veux sentir ta langue.

 

C’est vrai que ça ne sent pas la rose, malgré tout cette odeur ne me laisse pas indifférent. Et puis il y a des traces un peu suspectes, Madame Duval ne saurait-elle pas s’essuyer correctement ?

 

– Je suis allergique au papier à cul, je me nettoie à l’eau quand je fais caca, mais là je n’avais pas d’eau.

 

Trop excité, je colle mon visage entre les deux délicieuses fesses, à la peau si douce, et m’appliqua à lécher la raie de haut en bas, peu gêné, je dois le dire, par les quelques traces suspectes.

 

– Alors il a quel goût mon cul ?

– Un peu fort !

– Mais ça te plait ?

– Oui !

– On dit « oui, Madame Duval »

– Oui, Madame Duval.

– Tu es un cochon, Eric. Allez, continue, je veux que tu rentres bien ta langue.

 

Je fais de mon mieux, son œillet s’ouvre légèrement.

 

– Ça te plait de lécher ma merde ?

– Oui madame Duval !

– Bon, relève-toi, et couche-toi sur le lit, je vais te rougir le cul.

 

C’est dingue, moi qui envisageait plus ou moins de me payer une petite séance de domination chez une professionnelle, voilà que je vais avoir droit à une partie gratuite.

 

– Pas trop fort !

– T’inquiètes, pas mon biquet, je ne suis pas une brute !

 

Les coups pleuvent ! J’aime bien qu’on me flagelle les fesses, je demande quand même :

 

– Ne me marquez pas !

– Ne t’inquiètes pas, je sais faire.

 

Je subis comme ça une cinquantaine de coups.

 

– Relève tes cuisses et tends bien ton cul, je vais t’enculer avec un gode.

 

Ben voyons !

 

– Suce-le avant, suce-le bien, comme si c’était une bite !

 

En voilà une idée ! Je suce le machin, ça ne me passionne absolument pas, sucer du plastique ne fait pas partie de mes fantasmes. Mais je sais que les dominatrices aiment bien faire sucer des godes à leur soumis.

 

– Tu préfèrerais que ce soit une vraie bite ?

 

Je fais l’erreur de ne pas répondre.

 

– Parce que si vraiment tu aimes les bites, je peux t’arranger ça ?

 

Je ne réponds toujours pas.

 

– Nous reprendrons cette conversation tout à l’heure, en attendant tourne-toi que je t’encule.

 

Je le fais. Elle me tartine le cul avec du gel.

 

– Tu n’as jamais essayé de demander à ta femme de te le faire

– Si, j’ai essayé, mais j’ai laissé tomber, elle est bloquée sur le sujet.

– Allez ouvre-toi bien, j’y vais !

– Vas-y, encule-moi !

– C’est ce que je fais !

– C’est bon, hein ?

– Ouiiiiiii

– T’as déjà essayé avec une vraie bite ?

 

Mais c’est qu’elle insiste.

 

– Oui une fois, mais ça ne l’a pas fait !

– Raconte !

– J’étais allé voir une maîtresse, une pro pour me faire dominer, il y avait déjà un mec qui était là attaché. Elle m’a d’abord godé, puis elle m’a ordonné d’aller le sucer. Je l’ai fait sans hésiter, ça n’avait pas été une corvée, et quand elle a demandé au mec de m’enculer, je n’ai pas protesté, mais il n’a jamais réussi à me pénétrer.

– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?

– Disons que l’occasion ne s’est jamais représentée. C’est que ce n’est pas donné ces séances…

– O.K. ! C’est bon ce que je te fais ? C’est bon de sentir un bon gode dans ton cul d’enculé ?

– Mwouiiiiii !

 

Au bout de dix minutes, elle arrête ce cirque, j’ai le cul en chou-fleur, mais je suis bien, je bande et j’ai envie de jouir.

 

– Tu m’as bien excité mon salaud ! Maintenant tu vas me lécher. Non attends, approche-toi et ouvre bien la bouche je vais te faire boire ma pisse.

 

Je me positionne mon visage à quelques centimètres de sa chatte. Elle n’avait pas une grosse envie mais l’urine qu’elle m’offre est délicieuse et je m’en régale

 

Elle m’offre ensuite sa chatte béante et dégoulinante, je la lèche, je ne fais pas ça si souvent, ma femme n’appréciant pas trop. L’affaire ne dure pas très longtemps, elle est bientôt envahie de spasmes et se met à tressauter dans son fauteuil en finissant par gueuler comme une baleine.

 

Elle me regarde avec un curieux sourire, et moi je suis là, la bite toute raide. J’attends d’elle une initiative qui ne vient pas.

 

– On fais quoi, maintenant ? Osais-je.

– Mais ce que tu veux, mon chéri !

– Tu me suces ?

– Bien sûr, mais à une condition.

– Oui ?

– Tu es mon invité ce soir !

– On ne sera que tous les deux ?

– Ben, non justement ! J’ai envie de te regarder en train de te faire enculer

– Il faudrait que le mec me plaise !

 

Horreur, je viens de me rendre compte qu’au lieu de refuser, je ne fais que temporiser.

 

– C’est quelqu’un de très sympa. Je viendrais te chercher entre 19 et 20 heures. Tu verras, il a une très belle bite, tu vas aimer la sucer.

 

Parfait, si je veux y échapper, je n’aurais qu’à sortir à cette heure-là.

 

Je rentre chez moi, du coup, j’ai un petit creux et m’ouvre une boite de sardines.

 

Et puis je réalise : j’ai été tellement surpris par ses derniers propos m’annonçant la présence d’un autre homme de soir, que j’en ai oublié la pipe qu’elle m’avait promis.

 

Non, en fait non, elle m’avait promis une pipe si j’acceptais l’invitation, or je ne l’ai pas accepté formellement !

 

Je me suis lancé dans le bricolage afin de m’occuper l’esprit. Je ne vais pas me compliquer la vie, quand Madame Duval viendra me chercher, je verrai bien à qui j’ai affaire, si le mec ne me branche pas, je ne resterai pas, ça a le mérite d’être simple.

 

Je me dis que quand même si je tombe sur un mec cool, ce serait fabuleux. J’ai vraiment envie, très envie de sucer de la bite, et de me faire prendre.

 

Vers 16 heures j’ai un gros coup de pompe, et décide de me reposer une heure sur le canapé.

 

A 19 heures et quelques bananes, Madame Duval sonne à ma porte. Jolie robe noire, très décolletée, elle m’excite, elle m’excite…

 

– Je viens te chercher ! Toujours décidé ! Dit-elle

– On va voir, je ne promets rien.

 

Je m’attendais à voir un mec dans les quarante ans, ce n’est pas tout à fait ça, et d’abord au lieu d’une personne, j’en découvre trois.

 

Présentations : Lucas est un jeune homme, la vingtaine, très fin, jolie tronche, les traits très légèrement efféminés, des mèches blondes décolorées, des boucles d’oreille. Il me fait la bise en mettant la main au paquet. C’est ce qui s’appelle annoncer la couleur, mais je ne proteste pas. Muriel et René sont un couple de cinquantenaire. Lui barbichu grisonnant, un peu bedonnant à l’abord sympathique, elle fausse blonde sur le retour, très distinguée, joli sourire. On se fait des bisous de bienvenus. Je crois que je vais rester.

 

– Bon, placez-vous là, tous les quatre. Vous ne vous connaissez pas tous, mais ce n’est pas grave, j’ai prévu un petit buffet avec de quoi grignoter, mais on est là pour faire du sexe. Alors ce soir c’est moi la chef, c’est moi qui vous donnerais des ordres, vous serez mes petits esclaves, tout le monde est d’accord. ? des questions ? Non pas de questions, alors venez on va trinquer.

 

L’apéro fut ultra rapide puisqu’au bout d’un moment Madame Duval ordonnait : t

 

– Muriel tu va aller sucer Lucas.

 

L’intéressée ne se le fait pas dire deux fois et s’en va fouiller dans le pantalon du jeune éphèbe, lui sort sa bite et l’embouche goulûment.

 

– Ça te plait, toi de voir ta femme sucer des bites ? Demande Madame Duval à René.

– Oui bien sûr ! J’aime bien quand elle fait la salope.

– Mets toi à poil !

 

Le mec se déshabille, à poil il n’a rien de terrible mais la bite est jolie. Madame Duval s’adresse à moi :

 

– Tu vas le caresser, mais pour l’instant tu ne touche pas à sa queue !

 

Caresser un mec ? Voilà qui ne me branche pas du tout, mais bon, j’obéis, le type cherche ma bouche. Horreur ! Je me dégage un instant avant de me rendre compte que si je me défile, je ne suis pas près de lui sucer sa bite, je me laisse donc faire, ça ne m’a pas tué.

 

Madame Duval passe à côté de nous et me demande de pincer les tétons de René. No problème, je pince le monsieur. Et alors là c’est magique ! Sa bite se met à jouer les étendards. Bien droite, bien bandée, le gland décalotté et brillant, j’en ai l’eau à la bouche.

 

Qu’est-ce qu’elle attend pour me demander de le sucer ?

 

– Déshabille-toi ! M’ordonne-t-elle.

 

Après l’avoir fait, Madame Duval interpelle les trois invités et me montre du doigt :

 

– Regardez comme il a un beau petit cul ! Un cul qui mérite bien qu’on l’encule, vous pouvez venir le peloter et même lui mettre un doigt dans le cul, il n’a rien à dire, c’est un esclave.

 

J’aime pas trop ça ! On me tripote, un doigt m’entre dans le cul, je ne sais même pas à qui il appartient. Heureusement ce cirque ne dure pas très longtemps, et l’ordre attendu vient enfin !

 

– Suce la bite ! Suce la bite de René !

 

Je m’accroupis et embouche le braquemart bandé du quinquagénaire. Je me régale ! Qu’est ce qu’elle est bonne sa bite, je fais de grands aller et retours dans ma bouche, je fais virevolter ma langue contre son gland, je suis aux anges.

 

– L’une après l’autre ! Me dit Madame Duval

 

Je découvre alors Lucas à côté de René qui à son tour vient se faire sucer la bite ! C’est réellement la fête, je voulais sucer une bite, voilà que j’en ai deux à ma disposition. J’alterne les deux bites, celle de Lucas est un peu plus petite que celle de René et bande moins fort, mais je m’applique.

 

Madame Duval fait se retourner les deux hommes.

 

– Maintenant lèche-leur le trou du cul !

 

Voila qui me plait beaucoup moins, mais je ne me vois pas refuser, je lèche donc les culs de ces deux cochons.

 

– Mieux que ça ! Viens me dire Madame Duval, il fait que ta langue entre dans le trou du cul.

 

Elle est marrante, elle, c’est que je n’ai jamais fait ça, moi ! Je m’applique et m’aperçois que j’ai un troisième cul à lécher, celui de Muriel. Et son cul je l’aime bien.

 

Et puis vint l’ordre :

 

– Eric en levrette !

 

Ça y est, je vais passer à la casserole ! Je me positionne, prêt pour la suite.

 

– Tu sais ce qui va t’arriver, maintenant ? Me demande Madame Duval.

– Je m’en doute un peu !

– Certes, mais je veux l’entendre.

– Je vais me faire sodomiser !

– Je préfère un mot plus cru

– Je vais me faire enculer !

– Alors on y va !

 

C’est Lucas qui s’y colle ! Il vient derrière moi après s’être encapoté. Le souci c’est que je suis un peu serré.

 

Qu’à cela ne tienne, Muriel s’empare d’un gode sorti de je ne sais pas où et me l’introduit avec tact afin de rendre mon trou de balle béant. Trois minutes plus tard, Lucas pénétrait sa bite dans mon cul.

 

Bizarrement, ça me fait un peu mal, alors que le gode me faisait du bien. Je proteste mollement

 

– Ta gueule, enculé, dans une minute tu en redemanderas

 

Effectivement, une sensation de bien-être commence à m’envahir, je suis bien. René vient à la hauteur de mon visage pour que je lui suce la bite. Une queue dans la bouche et une autre dans le cul, je vous dis, c’est la fête.

 

Sur un signe de Madame Duval, les deux hommes échangent leur rôle, j’ai maintenant René derrière, il m’encule mieux, plus doucement, un vrai plaisir Lucas vient devant, et je le suce, mais pas très longtemps, Muriel le réclamant afin d’avaler son sperme. René accélère me provoquant d’intenses frétillements de plaisir. La cadence devient infernale et je devine alors qu’il vient de jouir.

 

Il se retire me laissant le cul béant.

 

– Alors, enculé, c’était bon ? Me demande Madame Duval.

– Super !

 

Madame Duval s’approche de Muriel et lui ordonne de lui lécher les seins ce que cette dernière accepte avec une bonne volonté qui fait plaisir à voir, puis notre hôtesse s’assoit dans un moelleux fauteuil, sa partenaire vient entre ses jambes la lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse.

 

Madame Duval est pantelante, Madame Duval transpire, c’est très beau une femme qui vient de jouir.

 

Elle reprend vite ses esprits :

 

– Maintenant tu vas enculer Muriel, cette grosse pute adore se faire prendre par des petits pédés suceurs de bites.

 

Je ne saurais refuser une telle proposition. Je prends la dame tandis que René ravi du spectacle se branlotte mollement.

 

Temps calme, tout le monde a joui, on se rafraîchit, on s’essuie, on s’allume des cigarettes, on boit un coup. René s’approche du buffet et se sert du saucisson, je fais pareil, je m’assois et René vient à mes côtés, tandis que Lucas a filé à l’anglaise.

 

Les doigts de René s’approchent de mes tétons et les asticotent, je me laisse faire, et recommence à bandouiller. Le problème c’est que j’ai envie de pisser. Je lui dis.

 

– Si tu veux me pisser dessus, te gênes pas ! Qu’il me répond.

 

Un peu surpris, mais en même temps amusé, je suis allé avec lui pour l’arroser dans les toilettes.

 

Quelle envie de pisser, mes amis ! Mais qu’est-ce que je fous là, sur MON canapé ?

 

Je vais aux toilettes, dans MES toilettes, il est 17 heures, je pisse d’abondance, j’ai rêvé tout ça !

 

Il ne me reste plus qu’à prendre une douche et à attendre, que Madame Duval vienne me chercher, la réalité sera-t-elle à la hauteur de mon rêve ? C’est que j’ai très envie de sucer de la bite, moi !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:56

La malle aux trésors de monsieur le sénateur par Estonius

cochon gris

 

Paradoxe ! Voici un récit qui n’a rien, mais alors rien du tout d’érotique, par contre vous découvrirez qu’il n’a rien d’innocent et que ce n’est pas le genre de texte à publier dans un recueil scolaire !

A ce titre il a selon moi tout à fait sa place sur ce site érotique qu’est Vassilia.

 

Cette anecdote déjà publié sur Revebebe en 2002 où elle avait reçu un accueil mitigé est absolument authentique, seuls les prénoms et noms ont (bien évidemment) été changés..

 

Philippe Brossard est sénateur, sénateur centriste parce que dans les années 70 personne ne se proclamait alors de « droite ». Il a beau être sénateur personne ne le connaît, les habituées des activités parlementaires savent simplement qu’il fut l’un des signataires de l’amendement Schuman de 1973 (je ne certifie pas la date) qui finira par tuer le cinéma X. Ce dernier à pris heureusement sa revanche car si les ébats sur pellicules continuent d’être stupidement taxés, cette loi se révéla absolument inapplicable au marché de la vidéo-casette, puis du DVD.

 

Philippe Brossard, parcourt la France, il n’est jamais le dernier à se porter volontaire en cas de mission parlementaire de toute sorte, et puis il y a les activités de son parti dont il se veut cacique. Il est donc souvent de corvée de réunion, mais les banquets et les buffets le récompensent bien de son dévouement à la chose publique.

 

Mais comme je vous le dis Philippe Brossard n’atteindra jamais la notoriété, et d’ailleurs on s’en fout c’est pas le sujet.

 

Philippe Brossard, ne sait jamais marié, on ne lui connaît aucune maîtresse, on n’a jamais non plus rapporté sur lui aucune frasque homosexuelle ou frasque tout court d’ailleurs. Philippe Brossard à apparemment une sexualité de moine contemplatif.

 

Comme beaucoup de personne sans enfant, Brossard s’est porté d’affection pour son neveu Jean-Luc, mais celui-ci ne voulant rien avoir de commun avec les opinions de son réactionnaire de tonton l’envoya bouler. Brossard qui n’avait pas d’autre famille proche depuis la mort de son frère en pris son parti

 

A quarante ans, Jean-Luc fit repentance, se souvint qu’il avait un oncle, adhéra à sa formation politique et s’essaya en vain aux suffrages de ses concitoyens, mais le rapprochement s’était opéré. Grâce à quelques appuis, Brossard propulsa le neveu à la tête d’une affaire qui eu pas mal de chance, ce n’était pas les Emirats Arabes Unis, mais Jean-Luc put quand même s’acheter un château (un petit, pas un gros)

 

Dix ans plus tard, les choses évoluèrent encore :

Jean-Luc était devenu député, ses affaires par contre n’allaient plus très fort et il se demandait s’il pourrait garder le château

Philippe lui devenait vieux, sortait de moins en moins et sa santé chancelait.

Les deux hommes passèrent alors un accord dont certains termes firent l’objet d’un acte notarié :

Philippe reprenait toute l’aile sud du Château pour lui et s’engageait à en restaurer l’ensemble, il y habiterait bien sûr.

En contrepartie, Jean-Luc s’engageait à veiller sur le tonton

 

Le jour de l’emménagement, un camion plus petit suivit l’énorme véhicule contenant le mobilier et les affaires personnelles du sénateur. Lorsque vint le moment de le décharger, les ouvriers s’enquirent évidemment de savoir où déposer le contenu de ce second camion

 

– Dans le grenier ! Répondit notre sénateur se rendant compte à ce moment là que dans son repérage des lieux il avait tout simplement oublié celui-ci !

 

Mais horreur et damnation, tous les greniers de l’aile étaient pleins à craquer, occupés qu’ils étaient par des meubles divers en état médiocre que les anciens occupants avaient donc laissés et que personne n’avait l’idée de débarrasser.

Notre sénateur piqua une crise.

 

– Mais enfin ! Protesta Jean-Luc. Vous avez assez de pièces dans cette aile, il suffit de mettre tout ce fourbi dans l’une d’entre elles

– Non, je veux un grenier !

– Mais pourquoi diable un grenier ?

– Parce que je veux un grenier !

 

Et oui, quand quelqu’un refuse la discussion, on ne peut pas discuter, dirait La Palisse

 

– Alors déposons-les dans une pièce de façon provisoire et on vous fera débarrasser un des greniers le plus tôt possible !

 

Mais notre sénateur était trop trempé dans la politique et ses formules prometteuses pour ne pas ignorer que « le plus tôt possible » pouvait très bien signifier « si un jour on y pense », et il se lança dans une tirade où il signifia haut et fort qu’il n’entendait pas se contenter d’une solution mi-figue mi-raisin.

Il n’entrait pas dans le planning des déménageurs de débarrasser de suite l’un des greniers de l’aile, c’était donc la crise…

Quand la femme de Jean-Luc se souvint brusquement (et presque à regret) que dans leur aile à eux, il y avait un grenier bien vide à défaut d’être bien propre…. Peut-être que cette solution conviendrait au vieux sénateur ?

Elle lui convint !

 

Il n’emménagea pas seul, il fut accompagné d’une infirmière, d’une cuisinière et d’une femme de ménage. Trois femmes pour lui tout seul, ils les avaient choisi jeunes et plantureuses… Cela intrigua bien sûr Jean-Luc mais jamais il ne put constater quoi que ce soit de bizarre voir d’anormal dans les rapports entre ces dames et son oncle. Jean-Luc essaya même des les draguer, il en fut pour ses frais !

 

La vie s’organisa donc. Chacun vivait dans son aile, cela avait été convenu comme cela. Ils se voyaient de temps en temps, pas plus que ça. Mais il avait autre chose, et la première fois que Jean-Luc vit l’oncle déambuler de bon matin dans les couloirs en robe de chambre et charentaises, ni rasé, ni coiffé et probablement pas lavé non plus, il en fut stupéfait, lui qui avait l’habitude de voir son sénateur d’oncle toujours tiré à quatre épingles et propre comme un sou neuf

 

– Et bien mon oncle, que vous arrive-t-il donc ?

– Mais rien du tout, mon neveu, je me rends dans mon grenier, ne faites pas attention à moi !

 

Il resta un certain temps dans le grenier, personne ne savait évidemment ce qu’il y fabriquait, c’était généralement le matin qu’il s’y rendait mais pas forcément, et ses séjours y duraient parfois des demi-journées entières.

 

On le rencontrait ainsi marchant péniblement aidé de sa canne anglaise, il ne dérangeait personne, tenait malgré tout à préciser au cas ou on en aurait douté :

 

– Je vais à mon grenier !

 

ou alors :

 

– Je reviens de mon grenier !

 

Tout dépendait dans quel sens on le rencontrait ! Mais qu’il y aille ou qu’il en revienne, c’était toujours les mains vides !

 

Jean-Luc était intrigué par ce manège, il aurait bien été y frapper comme ça, un jour où le vieux y était, mais il n’osait pas, il n’avait jamais été très courageux, Jean-Luc. Pourtant il lui brûlait de savoir. Il avait le double des clés et s’était bien gardé de le dire à son oncle : Une nuit après s’être assuré que la lumière fut éteinte chez le tonton, il s’en fut dans le grenier : Cela faisait bientôt un an que le sénateur le visitait plusieurs fois par semaine : il entra : Des caisses, des cartons, des croûtes, quelques soit disantes sculptures hideuses, et puis des bouquins, des revues… tout cela était recouvert de poussières, il inspecta un peu les lectures, mais n’y trouva que du bien banal. Son regard fut attiré par un tabouret posé en dessous du vasistas, il s’approcha, constata qu’il était vierge de toute poussière, c’était donc là que le sénateur venait s’asseoir ! Et devant le tabouret, une espèce de grosse malle assez ancienne, au-dessus de cette malle un paquet ou plutôt un double paquet de revues, des Paris-Match et autres littératures de salles d’attentes sans doute conservés en raison de leur caractère historique, il en découvrit les couvertures, le premier homme sur la lune, l’assassinat de Kennedy, la mort de De Gaule, le mariage du prince de Monaco…

Le tonton venait donc ici pour lire tout ça, se remémorer les « grands » moments de l’histoire contemporaine ! Mais ça ne tenait pas debout ! Pourquoi alors ne les apportait-il pas dans ses appartements ?

 

A moins que… A moins que l’objet des visites sénatoriales ne soit non pas les revues posées sur la malle, mais la malle elle-même ! Mais bien sûr que c’était ça, il enleva les deux piles de revues, et tenta d’ouvrir la chose. En vain, il ne voyait même pas comment ce machin pouvait s’ouvrir, après une heure d’effort il y renonça.

 

Il revint plusieurs nuits de suite, sans plus de succès, il eut alors l’idée de se payer le luxe de demander les services d’un serrurier qui opérerait la nuit, il paya l’homme de l’art une fortune, mais ce dernier se révéla incapable d’opérer, cette malle restait un mystère ! Jean-Luc laissa donc tomber mais il enrageait secrètement quand il apercevait son oncle déambuler dans les couloirs avec son oeil malicieux, l’air de le narguer !

 

Et puis un jour le sénateur mourut !

 

Et c’est là qu’intervient (oh, si peu) ma modeste personne dans l’histoire car il se trouve que j’étais employé à l’étude du notaire chargé de la succession.

 

Succession par ailleurs catastrophique. Le sénateur laissait surtout des dettes…

 

coffre

Mais il y avait la malle…

 

Certes elle revenait de droit à Jean-Luc que son oncle avait rendu légataire universel, mais il fallait bien payer les frais de succession et pour les payer encore fallait-il savoir y compris ce que contenait cette malle mystérieuse ?

 

On en chercha d’éventuelles clés dans les appartements de sénateur, on n’en trouva pas !

 

Quelques semaines après le décès de Brossard, je fus donc chargé de m’occuper de l’ouverture de l’objet !

 

– Si on ne sait pas faire, on l’ouvrira à la scie circulaire !

 

Le notaire avait toujours été très romantique

 

Je trouvais dommage d’abîmer un si bel objet et découvrit sur les pages jaunes de l’annuaire téléphonique un spécialiste en serrures anciennes, lui envoyait un polaroïd de l’objet, il nous répondit qu’il connaissait ce genre de système et qu’il en aurait raison au bout d’un quart d’heure maximum. Je téléphonais à Jean-Luc qui en jubilait de bonheur. Je n’ai jamais aimé ce mec !

 

Il fut alors convenu que la malle serait ouverte avec une certaine cérémonie. On avait donc ce jour là préparé le grenier, il avait été balayé et débarrassé de ses toiles d’araignée les plus voyantes. Sur un petit guéridon avait été disposées pardessus une courte nappe blanche, quelques bouteilles de champagne et les coupes pour le sabler. Nous sommes arrivés vers 16 heures, le notaire, le serrurier et moi, la famille était au grand complet, c’est à dire Jean-Luc, son épouse, leurs quatre enfants et leurs époux et épouses respectifs et même quelques petits enfants, ça commençait à faire du monde.

 

Nous prîmes place autour de la malle et le serrurier s’apprêta à opérer. Manifestement l’affaire lui donnait du mal, tant et si bien qu’au bout du quart d’heure fatidique, rien n’était ouvert, mais comme il ne perdait pas espoir, alors l’assistance non plus. Je vous laisse imaginer le suspense ! Qu’allais t’on trouver là dedans ? Ce que le sénateur Brossard venait cajoler presque tous les jours, mais il venait cajoler quoi ? Des lingots d’or, des pièces, des bons du trésor, des bijoux anciens, des objets de collections extrêmement rares, des gravures de maîtres, des manuscrits authentiques, à moins que ce ne soit quelques secrets d’états glanés pendant sa carrière politique… non cette dernière hypothèse ne se prêtait guère à la négociation. Bref il ne restait qu’à attendre… dans quelques minutes tous ces gens sauf moi seraient riches et sablerait le champagne !

 

– Ça y est ! Clama enfin le serrurier en un soupir de victoire !

 

Et zlouf ! Tout le monde se rapproche de vingt centimètres !

Le couvercle se soulève, tout le monde se penche ! Il y a une toile qui empêche de voir à l’intérieur, et sur la toile une enveloppe.

Le notaire se saisit de l’enveloppe, et la décachète !

 

– Attendez ! Tente-t-il d’intervenir quand il voit quelqu’un retirer la toile de tissu, mais il est déjà trop tard, le contenu est dévoilé, tout le monde se penche !

 

Désarroi général !

 

– C’est quoi ce fourbi ?

– Il s’est foutu de nous le vieux !

– Attendez c’est peut-être au fond !

 

Et tout le monde de sortir de la malle, des objets les plus insolites que les autres, un chausse-pieds, un journal, un autre chausse-pieds, un paquet de cigarette entamé, un chausse-pieds, un briquet, un chausse-pieds, sans doute plus de cent chausse-pieds et des tubes de rouges à lèvres, des peignes, des brosses, des bibelots à quatre sous ! Personne ne fait attention à ces objets. On les sort, on les met à côté, et bientôt il faut se rendre à l’évidence la malle est vide, il n’y avait aucun trésor de caché !

Jean-Luc et son épouse sont blancs comme des linges, la déception est terrible ! Machinalement il ramasse l’un des chausse-pieds, il y découvre une minuscule étiquette : Corinne 5/82 ! Il ne comprend pas, il en ramasse un autre, chaque objet est étiqueté d’un prénom féminin et d’une date. Livide il se tourne vers le notaire !

 

– La lettre !

– La lettre ? Il n’y a rien d’intéressant !

– Il n’y a rien dedans ?

– Si ! Mais je vous dis…. rien d’intéressant !

– Dites toujours !

– C’est simplement marqué « Merci Mesdames ! »

 

On n’a pas bu le champagne, on a laissé la famille Brossard descendre de ses illusions ! Ainsi le sénateur gardait un souvenir de ces amours tarifés et venait s’en remémorer les meilleurs moments en farfouillant en solitaire dans sa malle !

 

Sacré Brossard ! L’histoire est finie mais je peux maintenant que j’ai depuis longtemps quitté cette étude y ajouter… qu’il y avait aussi une petite pochette dans la malle que j’avais lâchement chapardée :

Elle contenait diverses choses dans intérêt, mais il y avait aussi une collection de tickets de cinéma, notre sénateur grand croisé anti-porno fréquentait assidûment le cinéma érotique du boulevard St Michel celui qui se situait à quelques centaines de mètre du jardin du Luxembourg siège du Sénat (1). Et puis il y avait aussi un tout petit carnet, dans lequel Brossard avait noté quelques réflexions très intimes, ce n’était pas très intéressant à vrai dire sauf celle-ci en plein milieu :

 

« Lorsque j’ai voulu m’installer, je me suis achetée deux choses, un martinet et un chausse-pieds » Sophie 1975 »… ainsi quand il ne pouvait voler un objet, il volait alors des mots…

 

Estonius 5/2002

 

(1) Le cinéma dont il est question était Le Latin, 34, boulevard Saint-Michel., Paris 6ème, Ouvert en 1938, porno de 1972 à sa fermeture en 1994. Possibilité de voir deux films avec le même ticket. Fréquentés par quelques sénateurs venu du Luxembourg tout proche… Repris par Gibert Joseph qui y vend des CD et des DVD.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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