Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 17:56

Nom d’un chien par Marine et Thibault

zoo

 

Un jour ma copine Carla, une veille gouine avec laquelle je m’amuse parfois m’a demandé si je ne pouvais pas lui rendre le service de garder son chien Mirzon pendant quelques jours car elle devait se déplacer en province.

 

Mirzon est un beau labrador, très doux et câlin. Chaque fois qu’il me voyait, il voulait fourrer son nez dans mon entrejambes. Je savais ce qu’était la zoophilie mais bon…

 

Le premier jour fut calme… Mirzon m’a suivi comme un petit chiot ainsi qu’à son habitude. Dans l’après-midi je suis allée à la salle de bains pour un petit besoin et comme j’avais la maison pour moi toute seule je n’ai pas fermé la porte de la salle de bains. Ma culotte était sur mes chevilles et la jupe mi-courte que je portais était retroussée autour de ma taille. Je fis mon pipi, et m’essuyais lorsque Mirzon vint flâner dans la salle de bains, ses grandes pattes cliquetant sur le carrelage. Il est entré, a mis sa tête sur mes genoux et a regardé fixement vers le haut avec un air bizarre, aussi j’ai commencé à lui gratter sa tête. Cela a seulement duré quelques secondes avant qu’il ne commence à essayer de flairer entre mes jambes. J’ai ri, lui ai dit que « non » et j’ai essayé d’éloigner son mufle énorme mais lui devenait plus insistant.

 

J’ai cessé de résister et sa truffe froide s’est avancé petit à petit de plus en plus près de ma petite ouverture serrée. Par la suite son mufle humide a trouvé ce qu’il recherchait et a reniflé plus profondément. Sa longue langue plate et ferme est sortie et m’a léché une première fois, doucement, presque comme s’il hésitait. Des frissons ont parcouru ma peau, mes mamelons instantanément sont devenus durs comme un roc. Il m’a encore lapée… et encore il a tiré des frissons de tout mon corps. C’était exceptionnel. Meilleur que n’importe quel homme n’avait pu le faire avec juste deux rapides léchages. J’ai décidé de me détendre et de lui donner une peu de latitude pour faire comme il le souhaitait.

 

J’ai glissé au bord du siège et j’ai laissé mes jambes s’écarter plus loin puis j’ai reposé mes mains sur mes genoux. Mirzon s’est rajusté de sorte qu’il ait pu obtenir un meilleur accès, a plié sa tête vers le bas et a commencé à lécher mon minou humide de miel. Les sensations n’étaient comparables à rien de ce que j’avais jamais éprouvé auparavant. Sa langue séparait mes lèvres serrées et s’enfonçait plus profondément à chaque poussée, en passant au-dessus de mon clitoris chaque fois. Pendant ce temps mon nectar coulait et il m’a semblé agir comme s’il voulait en trouver la source. Il fouinait de sa truffe dans ma vulve, séparant mes lèvres au plus large et envoyait sa langue dedans profondément, inquisiteur recherchant la source de mon humidité. J’ai glissé mes mains vers le haut de mes jambes et j’ai lentement dirigé mes doigts entre son lapement, régulier et persistant, et ma fente. J’ai eu quelques secondes de soulagement de la sensation constante du plaisir mais n’ai toutefois pas voulu qu’il s’arrêtât. Ainsi j’écartais mon autre jambe encore plus loin et j’utilisais mes mains pour m’ouvrir totalement et pour lui donner un accès plus commode.

 

Quand il a recommencé à me lécher, en raison de mon nouvel angle et de ma nouvelle position, il a balayé depuis mon anus froissé jusqu’à mon clitoris m’envoyant presque au-dessus du bord. Je n’ai pas voulu jouir pourtant cependant J’ai voulu me délecter de chaque seconde que je passais avec ce fort bel animal. Mirzon à nouveau se concentra sur mon minou et mon clitoris et à l’aide de mes doigts j’ouvrais largement mes grandes lèvres m’offrant au plus large, ainsi il a trouvé des profondeurs que je n’avais pas imaginées possibles. Ondulant sous la vague de plaisir se répandant dans tout mon corps j’ai senti l’orgasme approcher. Son museau entier était enfoui dans ma chatte, sa langue glissant profondément dans mon trou, lapant vers le haut les jus qui dégoulinaient de moi. Je ne pourrai jamais décrire l’orgasme le plus puissant de ma vie entière qui s’est brisée au-dessus de moi. Totalement arquée en arrière, j’ai gémi tellement fort que les voisins m’ont probablement entendu, et j’ai commencé à avoir des spasmes pendant que je saisissais la tête de Mirzon tandis qu’il poussait sa langue rugueuse et épaisse plus loin dans mon vagin. Le plaisir m’accablait et j’ai dû éloigner sa tête et maintenir mes jambes fermées pour le faire arrêter. Après quelques minutes, je suis redescendu des étoiles

 

6Miranda (1)

Je viens d’avoir le plus fantastique orgasme que je n’ai jamais eu ! Et j’ai vu Mirzon se reposer là avec sa langue flânant au dehors et sa queue remuant de satisfaction..

 

Plusieurs heures plus tard, j’eu de nouveau envie d’aller aux toilettes pour un petit caca, cette fois ! Je m’installais sur la cuvette quand je vis débouler Mirzon.

 

Excitée comme un puce je lui attrapais la bite et fit en sorte que je puisse la sucer. Hum ce cylindre de chair rouge dégoulinant de jus est un vrai régal, je le suçais pendant plusieurs minutes tout en continuant à chier.

 

Puis je me retournais, offrais mon cul non essuyé au chien qui commença par me le lécher avant de me grimper dessus et de m’enculer comme une salope !

 

Mais ce que je ne savais pas, c’est que Thibault était derrière la porte et regardais par l’entrebâillement. Il avait tout vu. Pendant que le chien s’occupait de mon trou du cul, il se masturbait. A la vue de la scène, il juta très vite en un rien de temps. Il attendit quelques minutes avant de rentrer dans la salle de bain.

 

– Salope tu te fais baiser par les chiens, maintenant ! Dit-il faussement fâché.

– Ben quoi ça change ! Et puis c’était tellement bon !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:37

Le retour de Jessica par Marie-Paule Perez

Stamp MD

 

Je m’appelle Jessica, j’ai 24 ans. J’ai passé ma jeunesse à Clermont-Ferrand. Je me suis enfuie du domicile parental quand j’avais 16 ans et on m’a émancipée.

 

Si je suis partie, c’est parce que l’ambiance devenait étouffante, je ne supportais plus Roger, mon beau père, violent, alcoolique et bipolaire, je ne supportais plus non plus l’attitude de ma mère passive devant ce bonhomme et qui trouvait le moyen de prendre son parti.

 

Je suis monté à Paris. J’ai pas mal bourlingué, copains marginaux, petits métiers, petits trafics, coups d’un soir, jusqu’à ce que je rencontre en boite un type qui s’est pris le béguin pour moi, ce n’était pas réciproque mais il a eu l’extrême bonté de m’héberger quelque temps et de me trouver une place dans son agence de voyage. Il croyait en me rendant ces services, inestimables, j’en suis bien consciente, m’acheter d’une certaine façon, certes j’ai couché avec lui mais il a fallu que je mette un jours les points sur les « i » et lui expliquer que je n’avais aucune envie de faire ma vie avec lui, et comme j’avais économisé un peu de sou en travaillant j’ai pu payer la caution d’une piaule que j’ai loué. Le pauvre gars en a été malade que je le quitte mais a fait semblant d’accepter de bon cœur la situation. Quelque part il m’a fait mal au cœur, mais que voulez-vous…

 

Je ne me suis jamais attaché à aucun garçon, après quelques jours de cohabitation il y avait toujours un petit quelque chose qui me rappelait mon beau-père. Merci j’ai déjà donné.

 

Frédérique de vingt ans mon aînée, m’a fait découvrir l’amour saphique. On vit ensemble on s’entend bien et de cette cohabitation tout le monde y trouve son compte, même s’il y a des hauts et des bas.

 

Un jour j’ai ouvert un compte Facebook. Et c’est comme ça que j’ai retrouvé ma mère. J’ai accepté le contact, elle m’a suggéré de lui téléphoner, je l’ai fait, elle m’a appris qu’elle vivait maintenant seule, son énergumène étant parti vers d’autres cieux. Et elle m’a proposé que je vienne lui rendre visite.

 

– Passe me voir, on parlera, si ça colle tu pourras rester quelques jours, si ça ne colle pas, eh bien tant pis pour moi…

 

Elle m’a donc suggéré de me pointer le mercredi à midi. Pas folle la guêpe, un bon gueuleton c’est toujours l’occasion de détendre l’atmosphère.

 

Bisous, bisous, elle me trouve changée. Moi aussi je la trouve changée, huit années ce n’est pas rien ! Elle a maintenant 44 ans, et c’est une belle femme mature, on sent qu’elle a repris du poil de la bête.

 

Bref, ce n’est pont le lieu de raconter par le détail ces retrouvailles, le repas était délicieux, ma mère ayant été toujours bonne cuisinière, le pinard pas mauvais, bonne ambiance, on a causé mais je ne lui pas tout raconté. J’étais contente, elle aussi.

 

A la fin du repas, elle se lève pour une raison inconnue, j’en profite pour aller satisfaire un petit besoin bien naturel et me dirige vers les toilettes.

 

La porte n’est pas fermée, elle est même grande ouverte, et là, je vois ma mère assise sur la cuvette pantalon baissée en train de pisser dans la plus naturelle des décontractions.

 

Ma mère n’a jamais été pudique, elle ne s’est jamais cachée à mes yeux pour se déshabiller, se laver… ou pour faire pipi, j’en avait tellement l’habitude que je n’y faisais plus attention. Mais là il se passe quelque chose, ce n’est plus la femme soumise à mon beau-père et qui de ce fait m’énervait qui est devant moi, mais une magnifique femme mature.

 

– J’ai presque fini ! M’informe-t-elle, je vais te laisser la place.

 

Je bredouille quelque chose d’incompréhensible.

 

– Ça te choque, parce que j’ai laissé la porte ouverte ? me demande-t-elle

– Non, non pas du tout !

– Tout va bien alors !

 

Elle se relève, s’essuie, je prends sa place et à ce moment-là me vient une idée folle !

 

« J’aimerais qu’elle me regarde »

 

Mais elle ne le fait pas !

 

On revient à table, on n’a plus faim, on est gavé, mais on fume une clope et là je me décide à lui avouer ce que je ne voulais pas forcément lui dire.

 

– En fait quand tu m’as demandé si j’étais avec quelqu’un, je t’ai menti, je suis avec quelqu’un mais ce n’est pas un homme.

– Si c’est ton choix…

– Ben oui, c’est mon choix ! Tu dois trouver ça bizarre !

– Non, j’ai eu aussi quelques expériences comme cela, il y a bien longtemps…

– Et ça t’avais plus !

– Ma fois, ce n’était pas désagréable !

– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?

– Tu m’en poses des drôles de questions ! Disons que l’occasion ne s’est plus représentée. T’as une photo de ta copine ?

 

Je lui montre une photo sur mon smartphone.

 

– Jolie femme, elle a quel âge ?

– Comme toi, vous êtes de la même année.

– T’aimes bien les femmes mûres, alors ?

– Je préfère !

– C’était quoi ton trouble quand tu m’as vu faire pipi ?

– Rien !

– On peut parler librement ! Tu m’as fait déjà pas mal de confidences… T’étais bien troublée, non ?

– Ben te voir comme ça…

– Tu m’a dit que tu n’étais pas choquée !

 

J’ai dû faire un effort surhumain pour répondre :

 

– Je n’étais pas choqué, j’étais troublée.

– Viens sur mes genoux !

– Sur tes genoux !

– Ben oui, je ne vais pas te manger !

 

Je me mets sur ses genoux, consciente de m’embarquer dans un drôle de truc.

 

– Un bisou ? Quémande-t-elle

 

Je l’embrasse sur la joue, et elle en profite pour me caresser mes bras nus, ça me fait un bien fou.

 

– Tu me caresses bien !

– C’est vrai ?

– Oui !

 

« Qu’elle mette ses mains ailleurs, je ne demande que ça ! »

 

Je relève légèrement ma robe, comme une invite discrète. Ça y est, elle a sa main sur mon genou, elle remonte un peu sur la cuisse.

 

« Remonte, mais remonte plus haut ! »

 

– Tu sais me dit-elle, il y a huit ans qu’on ne s’est pas vu ! Je suis toujours ta mère, je serais toujours ta mère, mais nos rapports peuvent être différents…

 

Elle pile en pleine phrase, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Caresse-moi encore les cuisses !

– Comme ça ?

– Oui !

– Si on continue, on va faire des bêtises !

– On ne fais de mal à personne !

 

Et tout d’un coup j’ai sa main sur ma chatte.

 

– Tu vois, je peux être très cochonne !

 

Et elle retire sa main.

 

– Sois cochonne, je me laisse faire !

– Tu ne serais pas un peu vicieuse ? Demande-t-elle en rigolant.

– Si ! Pourquoi ? Remets ta main, je me le laisserais faire.

– Tu es sûre ? Tu es bien sûre ?

– Oui !

– Alors enlève ta culotte, je vais t’embrasser la chatte, mais toi tu m’embrasseras la mienne ?

– Bien sûr !

 

Trois minutes plus tard on s’est retrouvé toutes les deux sur le lit, complètement à poil. Quelques hésitations… qui allait commencer ? Comment s’y prendre ?

 

On s’est un peu caressé, j’ai pu gouter les doux nichons de ma maman, j’ai pris un réel plaisir à en téter les bouts et puis presque naturellement sans que nous nous concertions en s’est retrouvé tête bêche en soixante-neuf. Alors je me suis lancée, ma langue est venue lécher sa fente et je me suis enivrée de sa mouille. De son côté elle me faisait la même chose. Nous étions deux gouines en furie, ma langue approcha son clitoris et commença à le titiller, le résultat fut fulgurant, ma mère brailla comme une damnée, je venais de faire jouir ma mère. Je restais là comme une conne en attendant qu’elle reprenne ses esprits.

mere-fille

Elle m’embrasse, elle me pelote, elle ne tient pas en place, et elle finit par revenir sur ma chatte, je me laisse faire, j’écarte les jambes et je jouis à mon tour.

 

Une nouvelle fois, on s’embrasse, on se caresse on se câline, on se cajole. Mais on ne dit rien. A quoi bon les mots et de toute façon on ne les trouverait pas !

 

Elle se lève, me précise qu’elle va chercher des cigarettes, on est là à cloper après l’amour comme deux goudous épuisées par leurs folies.

 

– J’aimerais bien que tu me fasses un truc finit-elle par me dire après un long silence.

– Si je peux…

– J’ai un martinet, je voudrais que tu me cingles les fesses avec…

– Ben, si tu veux…

– Je veux que tu me punisses !

– Te punir de quoi ? Tu n’as rien fait de mal !

– Me punir de ne pas avoir été une bonne mère quand il y avait Roger.

– Mais c’est idiot, je ne vois pas pourquoi je te punirais !

– Alors disons que c’est un jeu, juste un jeu, tu ne veux pas qu’on continue à jouer toutes les deux ?

– Si c’est juste un jeu, je veux bien !

 

Elle fouille dans sa commode, il était bien enfoui le martinet, il doit y avoir une éternité qu’elle n’a pas jouer avec.

 

Maman me tend l’objet puis se met en levrette prête à recevoir les coups. Quelle est belle comme ça, la croupe en l’air, tous ses trésors devant mon nez. Saisie d’une pulsion subite, je viens lui déposer un baiser sur le trou de balle, puis me met à le lécher.

 

– Hum, c’est bon ce que tu me fais !

– C’est délicieux !

– Ah, bon, tu trouves que mon trou du cul est délicieux ?

– Eh, oui, j’aime bien !

– C’est pas un peu épicé ?

– Si mais ça ne me gêne pas !

– Alors régale-toi !

 

Epicé ! C’est un euphémisme ! Mais on parle toujours de l’âcreté d’un anus, puisqu’il n’est pas politiquement correct de dire que ça sent légèrement la merde ! Je ne suis pas spécialement accro aux trucs scatos, mais à ce stade non seulement ça ne me dérange pas mais ça aurait même tendance à m’exciter, en fait tout est question de circonstances et puis on est perverse ou on ne l’est pas ! Je pousse même le vice jusqu’à lui introduire un doigt dans le troufignon pour ensuite le porter à ma bouche.

 

– Alors ces coups de martinets, ça vient ?

– Fort ? Pas fort ?

– Moyens !

 

Elle en a de bonnes, elle !

 

Je fouette donc, un coup, deux coups !

 

– Continue ! Traite-moi de tous les noms !

– Mais enfin maman !

– C’est un jeu, Jessica, c’est un jeu !

 

Alors d’accord !

 

– Tiens grosse truie, tiens morue, tiens salope !

 

Inutile de vous dire qu’au bout de cinq minutes son pauvre cul était devenu cramoisie, et que nous avons stoppé cette petite plaisanterie.

 

– Bon, on s’est bien marré, il faut que je retourne pisser !

– Maman !

– Oui ?

– Je voudrais que tu me pisses dessus !

– Ce n’est pas un problème, ma fille. Tu veux me boire ?

– Oui !

– Cochonne !

 

Je suis étendue dans la salle de bain sur le tapis de sol. Ma mère s’est accroupie chatte contre bouche. J’attends, les vannes s’ouvrent, il n’y avait pas grand-chose mais c’était délicieux avec un arrière-goût indéfinissable, peut-être du café ?

 

– On est des vraies cochonnes ! Me dit-elle après m’avoir roulé un patin. J’ai un peu honte quand même !

– Honte de quoi ? On fait du mal à qui ?

– A personne !

– Alors tu vois tout va bien !

– Quand tu reviendras, tu pourras descendre avec ta copine ?

– En voilà une bonne idée !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:33

La sorcière de la bibliothèque par Marie-Paule Perez


Catland

Vous croyez aux histoires de sorcières, vous ? Non bien sûr ! Moi je n’y croyais pas non plus… mais lisez plutôt…

 

J’ai 39 ans, je me prénomme Julie et je suis professeur d’université. divorcée, sans enfants.

 

La préparation de cette conférence est décidément plus difficile que prévue, Internet ne m’aide pas, et je n’ai pas les bouquins qu’il me faut sous la main, je décide donc de me rendre à la Grande Bibliothèque pour me documenter.

 

Je voulais aussi avoir la paix. Je me suis déniché un coin assez isolé, sans personne dans les environs. Donc, je me suis installée et je commençais à bouquiner quand, étant très absorbée par mon ouvrage, je ne me suis pas aperçu qu’une jolie demoiselle s’était installée à la table, juste devant moi. J’ai senti qu’on posait les yeux sur moi et c’est à ce moment-là que j’ai vu cette superbe fille. Elle avait l’air assez grande, les cheveux en longues boucles noires, des yeux d’un bleu profond, des lèvres pulpeuses et un teint très pâle. Elle me regardait sans cesse et je dois dire que j’essayais d’éviter son regard, car elle me mettait mal à l’aise.

 

Je me replongeais dans mon livre mais je sentais toujours ce regard perçant. Je relevais parfois la tête et elle me regardait toujours, avec un petit sourire en coin et des yeux remplis de désir. Je me demandais bien ce qu’elle voulait. En vain, j’essayais de me concentrer sur ma lecture.

 

Tout à coup, elle se lève, contourne la table et vient vers moi :

 

– Je vais aux toilettes, tu viens avec moi ? Me demande-t-elle.

 

Hein ? Elle est folle celle-là ! Et qu’est-ce qui lui prend de me tutoyer ? Elle ne dit plus rien, me regarde avec des yeux de braise et un sourire conquérant. Je me lève, je la suis comme dans un état second. Nous voilà dans les toilettes, elle avise une cabine de libre et me l’indique du doigt, j’y vais, elle me suit, elle verrouille la porte. Je m’assois sur l’abattant de la cuvette, tout habillée

 

Elle glisse entre mes jambes. Déjà, de ses mains expertes, elle avait retroussé ma jupe. J’ai senti contre mes cuisses un souffle brûlant qui remontait tout doucement jusqu’à mon ventre. Oh ! J’avais déjà chaud. J’étais déjà tout excitée.

 

Elle m’a descendu ma petite culotte. Je n’ai même pas eu le temps de m’indigner. Quelque chose de doux, de brûlant, d’insinuant et de tendre venait de se poser sur moi. Je me suis senti raidir. J’ai voulu refermer mes jambes, mais je ne pouvais pas résister à cette douce sensation. Surtout que je sentais que cette caresse se faisait plus profonde. Hmmm ! … J’ai laissé échapper un faible gémissement. Tout à coup, je me suis mise à penser qu’il y avait peut-être des gens qui nous avaient vu entrer à deux dans cette cabine, cette pensée m’a alors excitée davantage. En ce moment, je sentais sa langue s’enfoncer en moi, quel délice, et remonter sur mon petit bouton de plaisir pour bien le titiller et l’aspirer. Je sentais que ma pêche devenait de plus en plus juteuse, mais elle prenait bien soin de tout effacer avec sa langue.

 

Elle m’a écarté délicatement les lèvres du vagin et m’a murmuré :

 

– Tu as une chatte splendide !

 

Et elle a plongé sa langue plus profondément dans ma fente pour la ramener rapidement jusqu’à mon petit bouton de plaisir, qu’elle s’est mise à lécher sauvagement. Voyant que je m’abandonnais à ses avances, elle s’est mise à mordiller doucement mon clitoris, puis à l’aspirer plus fortement entre mes lèvres. Je contractais légèrement mon ventre, sentant les premières montés de la jouissance m’envahir. Elle se régalait comme une gloutonne à dévorer ma pêche douce et bien humecté tout en explorant ma petite grotte avec un doigt inquisiteur. Elle m’a fait me relever un peu pour pouvoir me glisser un doigt derrière les fesses, afin d’aller me chatouiller délicatement l’entrée de mon anus.

 

Je n’ai pas pu retenir plus longtemps, les fortes sensations de plaisir, qui ne cessaient de traverser tout mon corps. Les caresses perverses de cette fille dans mon vagin et dans mon anus me faisaient littéralement monter au septième ciel. Sentant que je me crispais de plus en plus, elle a accéléré davantage le tournoiement de sa langue et les mouvements de va-et-vient dans mon vagin et mon anus. Tout à coup, j’ai senti une vague se déverser à travers tout mon corps et j’ai joui avec une intensité impensable. Mon ventre se secouait interminablement, mon corps se tordait contre ma volonté.

 

Elle se relève, me sourit; je lui souris, j’ai envie de l’embrasser, j’ai envie de lui rendre ces minutes de bonheur intenses et si particulières. Mais j’ai aussi une envie beaucoup plus urgente et prosaïque, je me redresse, relève l’abatant, me rassoit et attend que mon petit pipi veuille bien jaillir. Mon inconnue s’est de nouveau baissée. Elle veut donc me voir uriner. Pourquoi lui refuserais-je ce plaisir ? Ça y est, je pisse, elle s’est approchée encore plus près de façon à ce que sa bouche rencontre le jet. Elle me boit et je suis infiniment troublée.

 

C’est fini, elle approche son visage pour m’embrasser, sa bouche a le goût si particulier de mon urine, Qu’est-ce que c’est bon !

 

On sort de la cabine, une dame d’un certain âge est en train de s’essuyer les mains, elle nous jette un regard outré.

 

La belle inconnue me tend une carte.

 

– Tu viendras à 18 heures.

 

J’ai acquiescé comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

 

A l’heure convenue, Sardonia m’a entraînée dans sa chambre, a étalé une grande serviette éponge sur le drap et a préparé un gros coussin. Elle m’a demandé de me dévêtir complètement et de m’allonger.

 

– Je reviens dans un quart d’heure, le temps de préparer le matériel et le lavement.

– Un lavement ?

– Tu vas adorer !

 

Quand elle est enfin revenue, elle portait un broc relié à un long tuyau terminé par une canule souple d’une taille impressionnante en épaisseur et en longueur (vingt centimètres de long et quatre de diamètre). Sardonia m’a fait allonger sur le côté, les fesses surélevées par le coussin et une jambe repliée.

Sorciere

Doucement, elle a enduit mon petit trou du cul de vaseline, a fait entrer et sortir son doigt. Elle m’a offert des tas d’agaceries pour me préparer au plaisir. Elle a enduit la canule de vaseline, et a suspendu le broc au-dessus du lit. Elle a purgé le tuyau, et la canule est entrée en moi très lentement. Sardonia a commencé à faire des allers et retours de plus en plus profonds. J’étais déjà folle d’excitation mais je n’osais rien dire. De toute façon, mon sexe parlait pour moi. De l’autre main, Sardonia a caressé mes grandes et petites lèvres, puis mon clito. A ce moment, mon plaisir s’est mis à grandir, grandir. Je me sentais pleine et épanouie.

 

– Allez, ma chérie, m’a dit Sardonia, le lait est à la bonne température. Maintenant, ouvre-toi bien, cambre bien ton dos, et tends tes fesses vers moi.

 

J’ai senti le liquide tiède me remplir, puis devenir petit à petit plus chaud, de plus en plus chaud, jusqu’à l’insupportable. La canule s’agitait en moi. J’ai joui longuement, le lavement n’en finissait pas. Mon orgasme s’est prolongé, c’était incroyable. Sardonia m’a demandé d’attendre pour tout rejeter.

 

Cinq minutes plus tard, je n’en pouvais plus. Sardonia, bouche ouverte m’a écarté mes petites fesses, m’a demandé de me laisser aller et s’est régalé de tout ce qui sortait de mon cul.

 

Elle m’a ensuite prêté un balai que j’ai chevauché comme il se doit, ma mouille m’aidant à m’accrocher au manche, nous avons ouvert la fenêtre et elle m’a raccompagné jusqu’à chez moi par-dessus les toits de Paris.

 

Alors, vous ne croyez toujours pas aux sorcières ?

 

Fin

 

Merci à Céline du magazine Union à qui j’ai quelque peu emprunté le passage « lavement »

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:28

Caramel Par Marie-Paule Perez

cheval

 

C’était il y a deux ans, durant les vacances. Les prévisions météorologiques annonçaient une journée sous le signe du soleil… Je profitais du beau temps pour sortir le vélo et me rendre chez mes grands-parents. Le trajet dura un peu plus de vingt minutes. Ils habitaient en dehors de la ville, au milieu de la campagne. Je m’arrêtais devant l’écurie pour voir Caramel.

 

Caramel était un magnifique cheval au pelage brillant couleur de caramel, d’où son nom ! Je m’approchais de son box et posais ma main sur son encolure, mes doigts venant caresser sa crinière longue et touffue.

 

– Prêt pour une balade ? lui demandais-je.

 

Caramel approuva ma suggestion en poussant un léger hennissement. Je vérifiais son approvisionnement en nourriture avant de le seller. Puis, nous quittions le bâtiment pour nous retrouver au grand air. Je lui murmurais quelques mots doux à l’oreille puis le fit galoper.

 

– C’est bien mon grand, criai-je en lui adressant des petites tapes sur le flanc.

 

Nous avons emprunté un petit sentier de terre. Le ciel était complètement dégagé. Pas un seul nuage à l’horizon. Une légère brise me caressa le visage. Nous nous sommes arrêtés à proximité de la rivière afin de nous reposer un court instant. Je quittais le dos de ma monture et allais m’étendre près de l’eau, les pieds à l’air. Pendant ce temps, Caramel s’abreuvait tranquillement. J’étais heureuse. Oublié le boulot. Je disposais de deux semaines de vacances. J’avais rompu avec mon petit ami quelques jours plus tôt et je comptais bien me vider l’esprit, profitant des moments de détente comme celui-là.

 

Une heure plus tard, j’étais de retour dans la propriété de mes grands-parents. J’entrepris de nettoyer le box de Caramel avant de m’occuper de ce dernier. Je passais la brosse sur sa hanche quand mon regard se posa au niveau de son sexe. J’ai poussé un cri d’exclamation en voyant sa verge s’étirer lentement et grossir à n’en plus finir. Je n’avais jamais vu de pénis aussi gros. De son côté, Caramel jeta un coup d’œil dans ma direction. Peut-être avait-il noté mon changement de comportement ? Je reprenais le brossage, ma main toute proche de son entrejambe. Je sentis un léger picotement naître dans le bas de mon ventre. J’essayais de ne pas regarder son pénis mais étrangement mes efforts semblaient produire l’effet inverse. Et si je le touchai ? Depuis le temps que cette idée me trottait dans la tête…

 

J’en avais parlé à Céline, ma meilleure amie :

 

– Si tu as envie de le faire fais-le, tu me raconteras…

 

Son pénis était extraordinairement long et parcouru de grosses veines palpitantes. Mon estomac se contracta à cette simple vision et des gouttelettes de sueur se formèrent sur le haut de mon visage.

 

– Je suis complètement dingue, balbutiai-je, tremblante.

 

Ma main s’approcha doucement de son membre surdimensionné. Il était magnifique. D’un noir très sombre et luisant. J’éprouvais des difficultés à rester debout. Je respirais de plus en plus fort et une tache commença à se dessiner sur mon pantalon. Enfin, je saisissais le sexe de Caramel. Il était incroyablement doux et aussi très chaud. Je ne parvenais pas à en faire le tour tellement il était gros.

 

Voilà, je venais de le faire ! Je n’en revenais pas de mon audace. Ma conscience fut assaillie par des sensations nouvelles. Je décidais de le branler lentement, agissant avec mille précautions. Mon compagnon agita sa queue dans tous les sens, sans doute d’excitation, me fouettant au passage les fesses.

 

– Tu as l’air d’apprécier ça, canaille !

 

J’y allais maintenant de mes deux mains, faisant glisser mes doigts sur sa verge avec de plus en plus d’aisance. Je cédais à toute retenue, souhaitant lui donner un maximum de plaisir. Je retirais mon pullover et mon soutien-gorge. Je pouvais sentir la pointe de mes seins durcir et ma chatte couler comme jamais. Ma culotte était complètement trempée. A présent, j’approchais ma bouche de son engin, trop désireuse d’aller encore plus loin. Je devenais vraiment cinglée mais je m’en fichais éperdument. Je prenais un pied d’enfer. Lui aussi car il s’agita un bref instant. Je posais mes lèvres sur sa tige et la lécha de haut en bas. Je m’attardais un moment sur son gland, tentant de l’avaler entièrement malgré sa grosseur. Entre-temps, j’avais déboutonné mon pantalon et glissé deux doigts dans ma fente ruisselante de plaisir. J’allais jouir d’une seconde à l’autre.

 

zoo2160
– Aaaaah, mon salaud ! Criai-je en agitant toujours plus vite mes doigts. Je viens !

 

Je poussais un long râle de satisfaction, frappée d’un orgasme foudroyant. Mon corps s’est raidi et je me suis retrouvée dans la paille, à moitié consciente tant le plaisir m’avait éprouvée. Le pénis de Caramel se contracta violemment, crachant du sperme à tout va. Une quantité importante s’écrasa sur mes seins nus, mon visage et dans ma bouche . Il continua de se déverser pendant ce qui sembla être une éternité. Finalement, je me redressais, plutôt groggy. J’arrangeais ma tenue le plus vite possible et adressai une dernière étreinte à Caramel avant de quitter son box.

 

Je grimpais sur le vélo en prenant la direction de la ville. Cette fois-ci le trajet me parût encore plus long. Un flot de pensées se bousculait dans ma tête. Est-ce que j’avais rêvé ? J’en doutais fortement car l’odeur du sperme, que j’avais essuyé tant bien que mal avec de la paille me collait au corps, j’avais encore le gout de son foutre chaud dans la bouche . Mon cœur faisait des bonds dans ma poitrine. Qu’elle mouche m’avait piquée ? De retour à la maison je me dirigeais directement sous la douche. Le jet d’eau brûlant attaqua mon corps comme s’il souhaitait me purifier de mes actes. Je pensais à Caramel chaque fois que je fermais les yeux. Et inconsciemment, ma main rencontra mon sexe en feu.

 

Décidément, quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Soudain, je me suis dressée sur la pointe des pieds (manquant de perdre l’équilibre) pour saisir le pommeau de douche et le placer entre mes jambes. Je fus secouée d’un nouvel orgasme presque aussitôt, criant ma jouissance comme jamais. Enfin, je m’écroulais contre le mur, chancelante. Il se faisait tard et les parents n’allaient pas tarder à rentrer du travail. Je sortais prestement de la cabine afin de rejoindre ma chambre qui se trouvait à l’autre bout du couloir. Au même moment, j’entendais la porte d’entrée se refermer.

 

– Tu as passé une bonne journée ? demanda ma mère, au rez-de-chaussée.

– Oui. Très agréable, répondis-je en enfilant des vêtements propres.

 

En réalité, je venais de vivre l’expérience la plus incroyable de toute mon existence. J’étais particulièrement heureuse. Durant le dîner, nous avons regardé une série télévisée avant de s’échanger les derniers potins. J’ai pris énormément de plaisir à relater mon après-midi en prenant soin de mettre de côté certains détails. Enfin, je quittais la table. J’ai rejoint ma chambre en moins d’une minute, fermant la porte derrière moi. Et ben, quelle journée ! Les images continuaient de défiler dans ma tête. Je revoyais le sexe de Caramel se raidir indéfiniment.

 

Je décidais d’entamer des recherches sur internet afin d’assouvir ma curiosité à propos de la zoophilie. Je me suis installée devant l’ordinateur afin de constater les premiers résultats. Il y avait des centaines de photos et de vidéos présentant des hommes et des femmes ayant des rapports sexuels avec des animaux. Durant mes investigations, je tombais sur un film mettant en scène un duo de femmes en train de s’accoupler avec un bel étalon. Une femme poussa un cri lorsque sa camarade enfonça le phallus de l’animal dans son cul. Pour ma part, je n’arrivais plus à tenir en place, frottant mes fesses contre le siège. Finalement, j’enlevais mon jean afin de poser mes jambes sur les accoudoirs, plongeant mes doigts sur mon sexe dégoulinant de cyprine. La vision de cette femme sodomisée par un cheval accentua mon désir. Je basculais la tête en arrière, la bouche grande ouverte.. Je cessais enfin de trembler, éreintée. Ma journée se résumait à combien d’orgasmes déjà ? Pas la moindre idée. Je doutais même de pouvoir m’arrêter.

 

C’est pourquoi je devais absolument me confier à quelqu’un. J’ai pris mon téléphone portable puis composa le numéro de Julie ma meilleure amie et confidente. Nous n’avions aucun secret l’une pour l’autre. Elle me comprendrait.

 

– Bonsoir, c’est Céline.

– Salut, choupinette. Comment va ? Répondit Julie sur un ton enjoué.

– Très bien. ça y est je l’ai fait !

 

Je lui ai tout raconté. Elle ne m’a pas interrompue une seule fois et s’est montrée particulièrement attentive et compréhensive..

 

– Ça te dit une sortie entre copines demain ? Me proposa-t-elle quand j’eus terminé mon récit. Et on rendra visite à Caramel, maintenant que tu l’as fait, j’ai bien envie d’essayer à mon tour.

– Hum, d’accord, j’en suis tout excitée d’avance !

 

Dix minutes plus tard, j’étais sous la couette, dormant à poings fermés.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 14:48

Tu demandes quoi au Père Noël ? par Jean-Sebastien Tiroir

 

coin102 

 

 

Petit roman photo très court et très immoral par Jean Sébastien Tiroir

 

combien01

 

Salut ! Tu demandes quoi au Père Noël ?

 

combien02

 

Exactement la même chose qu’aux autres : 200 euros !

 

combien03

 

Nous sommes tous des Pères Noël !

 

Jean-Sébastien

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • cpross3
  • Pross602
  • Pauline05
  • Orza09
  • Zarouny9b
  • Stoffer07

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés