Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:30

Un paquet de gaufrettes

Un texte de Cana corrigé par Hélèna Sevigsky

 

zoo

Avant de partir en vacances en Italie, je décidai de passer quelques jours chez la meilleure amie de ma mère. Elle habite sur les hauteurs de Nice, dans une belle maison avec piscine. Je la connais depuis que je suis toute petite, elle fait partie de la famille, et elle et son mari me considèrent un peu comme leur fille.

 

J’arrive donc comme prévu chez eux, il fait très beau sur la côte, et pour commencer les vacances, quelques jours dans cet endroit, ce sera vraiment parfait. L’accueil comme d’habitude est très chaleureux, et après avoir pris possession de ma chambre à l’étage, je descends tout de suite les rejoindre à la piscine. Il fait très chaud en ce début d’été, et nous passons toute la soirée à discuter de la famille, du boulot, au bord de la piscine, tout en grignotant un petit peu.

 

Le week-end se passe ainsi, entre siestes, baignades et discussions. Eux par contre ne sont pas encore en vacances, et dès le lundi ils me laisseront seule à la maison, ils me donnent alors quelques instructions, me montrent ce qu’il y a dans le frigo pour que je ne meure pas de faim, et me disent ce qu’il faut faire pour leur chien qu’ils ont appelé Mirza, comme la chanson. C’est un superbe bâtard croisé avec du labrador certainement.

 

Lundi matin. Je les entends se préparer, ils essayent de ne pas faire de bruit, les portes claquent et les voitures démarrent. Me voilà seule dans leur maison, je me rendors…

 

Le soleil est maintenant très haut, il est temps de me lever. Un bref passage dans la salle de bains, puis vite à la piscine. Comme personne n’est là, je me baigne toute nue. C’est génial.

 

Je retourne dans la maison pour me faire mon café, et je vois un petit mot qu’ils m’ont laissé. Ils ne rentreront que très tard. Il faudra que je me débrouille seule, pas de problème.

 

La journée passe vite, farniente au programme de cette première journée.

 

Mirza, qui n’aime pas être seul, vient vers moi ; il ne demande qu’à s’amuser, il adore plonger dans la piscine.

 

À l’heure du repas, il s’allonge devant moi avec un tel regard que je ne peux pas résister à lui donner des petits morceaux de mon repas.

 

L’après-midi, il vient aussi près de moi, se met à mes pieds, et parfois commence à me lécher les doigts de pieds. Je n’y porte pas vraiment attention, mais cela me procure une sensation étrange et très agréable.

 

Puis la soirée arrive, la nuit tombe petit à petit, même si je n’ai rien fait aujourd’hui, j’ai envie d’aller me coucher tôt surtout que mes hôtes ne sont pas là.

 

Je prends un bouquin, et un paquet de gaufrettes, c’est mon péché mignon. Mirza me suit. Je sais que l’étage est interdit pour lui, mais je le laisse me suivre jusque dans ma chambre. Il me tiendra compagnie.

 

Après une dernière douche, je m’allonge toute nue sur mon lit. La fenêtre grande ouverte. Quelque temps après, les voitures arrivent. Il fait nuit maintenant. Je les entends discuter certainement de leur soirée. Ils viennent au bord de la piscine.

 

Plus de bruit, et puis un plongeon, puis deux. Ils essayent de ne pas trop faire de bruit. J’essaye de deviner ce qu’ils font.

 

Trop curieuse, je me lève et je vais à la fenêtre. Ils sont dans l’eau et ils s’embrassent. Je vois les mains de l’homme lui caresser le dos puis les fesses sous l’eau.

 

Elle s’agrippe à lui et entoure son corps de ses jambes, et il la porte comme cela jusqu’au bord de la piscine, il monte les marches une à une et vient délicatement la poser sur le rebord.

 

Puis lui redescend dans l’eau, il s’allonge et vient mettre sa tête entre les jambes écartées de sa femme. Il commence alors à l’embrasser. Elle rejette sa tête en arrière.

 

La piscine est éclairée à l’intérieur, je vois leurs corps en contrejour, ombre et lumière, et c’est terriblement excitant.

 

Il continue avec sa bouche sur sa chatte, elle s’allonge complètement sur le dos en relevant ses jambes largement ouvertes.

 

Ma main se pose sur mon sexe, je suis trempée.

 

Je la vois se cambrer, elle vient de jouir sous les coups de langue de son mec. Il sort de l’eau, je vois son sexe tendu à contre-jour. Il reste debout devant elle, elle se met à genoux et vient engloutir ce mat tendu. Il lui prend la tête pour diriger la manœuvre, elle est complètement abandonnée à ses désirs. Ses mouvements se font de plus en plus rapides. Je crois qu’il va jouir dans sa bouche mais il ressort son sexe qui a encore pris du volume. Il la retourne et vient la prendre par derrière.

 

Mes doigts s’affolent sur mon clitoris, je les regarde baiser devant moi en silence, le bout de mes seins est très dur, et ma chatte brûlante.

 

Il la prend sauvagement en lui claquant les fesses, elle se cambre, lui aussi, il jouit en elle. Mais tout ça en silence comme pour ne pas me déranger.

 

Ils restent comme cela un petit moment, puis décident de rentrer.

 

Moi, je m’éloigne vite de la fenêtre pour qu’ils ne me voient pas. Mais je reste frustrée. Ils m’ont excitée, j’ai envie de jouir, d’avoir une queue en moi.

 

Une fois sur le lit, j’essaye de me calmer en reprenant mon bouquin et surtout mes gaufrettes.

 

Mirza est toujours là au pied du lit.

 

Je prends une gaufrette et la lui donne, il vient tout de suite la prendre, il aime ça, il me lèche la main pour prendre jusqu’à la dernière miette.

 

Je continue à lire sans intérêt, et toujours avec le paquet de gaufrette qui va certainement y passer.

 

En cassant une gaufrette, des morceaux tombent sur mon ventre. Mirza qui ne loupe rien vient mettre ses pattes sur le lit et vient les récupérer sur mon nombril.

 

J’essaye de le faire redescendre mais il s’applique à récupérer encore les petites miettes de gaufrettes sucrées.

 

Sa langue sur mon ventre me procure une sensation étrange.

 

Je casse à nouveau une gaufrette, les miettes se répandent sur ma poitrine. Lui Mirza remonte sa tête et vient à nouveau lécher avec application.

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J’étais toujours frustrée par le spectacle que le couple m’avait offert. Et les coups de langue de Mirza commençaient à me faire un effet vraiment bizarre. Le bout de mes seins durcissait sous ses léchages.

 

Il s’appliquait, il léchait doucement en recherchant ses miettes, sa langue était douce.

 

Je continuais alors à répandre des miettes pour le récompenser et l’inciter à continuer.

 

Puis je changeai de position. Je me mis au bord du lit, les jambes écartées. Mon excitation augmentait encore. Je pris des miettes de gaufrettes et les dispersai en haut de mes cuisses et sur ma chatte humide. Cette fois-ci, j’en mis bien plus qu’avant sur mon ventre et mes seins, et lorsque je sentais qu’il n’y en avait plus j’en rajoutais encore.

 

La langue du chien s’appliquait à lécher chaque endroit de ma peau, puis il goûta aux miettes qui étaient tombé sur ma chatte. Le goût sucré des gaufrettes et celui de ma cyprine le firent s’attarder sur mon minou. J’écartais les jambes pour qu’il vienne bien me lécher, sa langue forte et douce pressait sur mon sexe. Il arrivait à l’enfoncer un peu à l’intérieur. Je relevais les jambes pour qu’il vienne aussi lécher mon petit trou.

 

Sa langue ne s’arrêtait plus, j’arrivais à le diriger en relevant mes jambes ou en les abaissant, puis je sentis la chaleur m’envahir, je pressais ma vulve sur sa langue, on aurait dit qu’il sentait que j’allais jouir, il continuait à lécher cette chatte en chaleur avec application, et je me suis laissé aller sous sa langue, j’ai longuement joui, plusieurs fois, il ne s’arrêtait plus, le goût de mon jus devait lui plaire plus que celui des gaufrettes.

 

Puis je me suis redressée sur le lit. Je réalisais maintenant que je venais de jouir avec un chien. J’étais encore dans un état second, le plaisir procuré était si fort que je n’avais aucun remord.

 

Je suis allée me doucher, puis avant de me recoucher je lui ai ouvert la porte en lui disant :

 

– À demain mon toutou !

 

Dans le texte original, publié sur Revebebe en 2006 sous le titre « le meilleur ami de la femme » et signé Cana, l’auteur commet une erreur grossière : on ne donne pas de chocolat à un chien, cet aliment constituant pour lui un poison, j’ai donc remplacé le chocolat par des gaufrettes !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:27

Olivia et sa mère – 2 – par Hélèna Sevigsky

Stamp MD

 

 

Chapitre 2

 

Chantal était couchée sur son lit, avec son index imbibé de l’odeur du trou du cul de sa fille sous son nez et l’autre dans sa petite culotte pour une folle masturbation. Elle ne tarda pas à jouir en se remémorant la scène qui venait de se jouer dans la chambre d’à-côté.

 

Après avoir atteint l’orgasme, elle n’était pas encore rassasiée, elle avait encore le feu au corps.

 

En toute confiance, vu le peu de résistance qu’Olivia lui avait montrée pendant ces premières caresses, Chantal décida de retourner dans la chambre de sa fille.

 

Olivia s’était endormie après le traitement que sa maman lui a fait subir, elle dormait du sommeil du juste.

 

Elle était telle que sa maman l’avait quittée quelques instants plus tôt. Couchée sur le côté, en cuillère, dos face à la porte et toujours vêtue de son soutien-gorge et sa petite culotte.

 

Chantal vint se coucher à ses côtés sans que sa fille ne se réveille. De sa main droite, elle lui caressa son bras droit qui était le long de son corps.

 

Chantal se recula légèrement et prit l’initiative de lui dégrafer son soutien-gorge, le lui passa au-dessus de son bras accessible, puis, la tournant doucement pour la placer couchée sur son dos, le lui retira complètement et le déposa à côté du lit. Olivia dormait toujours en respirant profondément, montrant ainsi son état léthargique.

 

La maman s’enhardit, sa fille couchée sur le dos et elle à ses côtés, couchée sur sa gauche, avec sa main qui tenait sa tête, elle contemplait le corps parfait de sa fille.

 

Avec son pouce et son index, elle faisait rouler les tétons l’un après l’autre, puis descendit doucement vers le bas-ventre d’Olivia.

 

Elle passa sa main sous l’élastique de sa petite culotte et atteignit la fente encore toute poisseuse de sa jouissance précédente.

 

Chantal lui planta un doigt dans ce vagin collant de mouille et sentit de nouvelles sécrétions venir se mélanger aux anciennes.

 

Olivia ouvrit doucement les yeux et voulut dire quelque chose, mais sa maman, attentive à tous ses gestes, sortit son doigt collant de sa chatte et vint le lui coller sur sa bouche en lui disant :

 

– Chuuuuuuut, ma chérie, laisse-toi aller !

 

Olivia referma les yeux et entrouvrit sa jolie bouche. Chantal lui badigeonna le nez et ses lèvres de sa propre mouille. L’odeur était très forte car la cyprine était dans son vagin depuis un moment.

 

Chantal, comme une anguille, se faufila vers le pied du lit et se planta entre les jambes d’Olivia.

 

Elle lui mit ses chevilles sur ses épaules et lui retira son dernier rempart. Elle garda les jambes de la jeune femme relevées avec sa seule main gauche. Elle approcha son visage devant cette petite fente fort odorante. Dans cette position, les grandes lèvres de sa petite chatte étaient gonflées, car enserrées entre ses cuisses.

 

Chantal passa sa langue sur cette jolie fente rosée de mouille, ce qui faisait couiner Olivia. Elle lapait carrément tout le jus poisseux de la chatte de sa fille.

 

En faisant pression de sa main gauche, la maman ramenait pratiquement les jambes de sa petite chérie sur ses seins. Dans cette position, elle se retrouvait à cinq centimètres de la petite rondelle brune qu’elle venait de triturer quelques minutes plus tôt.

Olivia2

Son petit cul sentait fort aussi, mais quelle vision fantastique de voir ce petit œillet de si près ! Il était tout serré et brun.

 

De la pointe de sa langue, la maman vint titiller ce trou plissé.

 

Olivia eut un sursaut, ne s’attendant pas à ce que sa maman mette sa langue à cet endroit.

 

Chantal continuait ainsi son traitement avec sa langue humide et en forme de petit foret, elle pénétrait de quelques millimètres cette petite barrière très serrée.

 

La mouille d’Olivia coulait de sa chatte à son cul, la maman n’en perdait pas une miette. La jeune femme gémissait et enchaînait les orgasmes.

 

Chantal ne se retenait plus et, de sa bouche entière, passait de la chatte au cul d’Olivia. Elle avait le contour de sa bouche et son nez barbouillés de mouille. Elle remontait d’une traite le lit et venait embrasser sa fille qui ne refusait pas le baiser. De cette façon, Chantal transmettait tous les parfums corporels à sa fille. Celle-ci suçait carrément le contour de la bouche de sa mère.

 

Elle fit descendre Olivia de quelques centimètres, puis lui enjamba le visage. Elle était à califourchon au-dessus de la bouche de sa progéniture. De son index et majeur, elle écarta les lèvres de sa chatte et s’abaissa pour que ses lèvres rentrent en contact avec la bouche d’Olivia. Sans jamais l’avoir fait, et qui plus est, à sa maman, Olivia lapait cette chatte également dégoulinante. Chantal donnait des coups de bassin, ce qui écrasait un peu Olivia et lui maculait également le visage de mouille.

 

Avec la langue d’Olivia et ses frottements sur son visage, Chantal jouit bruyamment et s’écroula à côté de sa fille.

 

Les deux femelles s’endormirent dans cette petite chambre où planait une forte odeur de chattes en chaleur…

 

Fin

 

Hélène Sevigsky – 2015 (c)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:24

Olivia et sa mère – 1 – par Hélèna Sevigsky 

 

Stamp MD

Olivia et sa mère

 

Olivia était une jeune femme qui venait de fêter ses 18 printemps et vivait dans un appartement d’une grande ville du sud de la France. Cet appartement, elle le partageait avec sa mère. Une femme courageuse, qui se levait très tôt pour aller faire des ménages de gens aisés. Elle ne comptait pas ses heures pour pouvoir donner à sa fille une vie équilibrée, mais sans excès. Malgré ses 60 heures de travail hebdomadaire, elles ne pouvaient pas se permettre de folie.

 

Malgré ce travail harassant, Chantal, la mère, prenait soin d’elle. Elle n’allait pas chez l’esthéticienne mais était épilée partout, ses cheveux toujours bien coiffés, ses ongles parfaitement manucurés. Olivia avait hérité cette manière de s’occuper d’elle de sa mère. Avec sa longue chevelure blonde qui lui descendait à moitié du dos, ses yeux bleus, c’était une magnifique jeune femme.

 

Malheureusement, elle n’échangeait guère de choses avec sa mère, car après le travail, c’était les courses et puis le ménage. Olivia lui donnait çà et là quelques coups de main, mais était fort occupée par ses études d’infirmière. Elle voulait absolument faire honneur à sa mère et réussir tout du premier coup. Elle savait trop bien les sacrifices que sa mère faisait pour payer ses trois années d’études supplémentaires.

 

Par cette soirée de juin, Olivia se trouvait allongée sur son lit avec un syllabus qu’elle devait assimiler pour dans deux jours. La chambre était surchauffée à cause du soleil de plomb de la journée passée. Elle n’était vêtue que d’une jupette avec, en-dessous, une fine petite culotte blanche avec des bords en dentelle. Elle avait retiré son chemisier qui lui collait à la peau et ne portait que son soutien-gorge assorti à sa petite culotte. Perdant doucement le fil de sa lecture, Olivia sentait son corps chauffer, des picotements dans le bas du ventre la faisait se trémousser. Sans s’en rendre compte, sa main droite passait sous sa jupette, elle relevait son pied droit et le ramenait à hauteur de sa taille. Elle caressait doucement sa petite culotte au niveau de son pubis.

 

Débordée par ses études, Olivia ne sortait pratiquement jamais, pourtant il y a quelques jours sa meilleure amie l’avait invité à sa soirée d’anniversaire. La fête avait tourné en orgie et elle avait pu voir de près des choses qu’elle n’avait jamais observé en vrai. Ainsi ce magnifique noir qui ne trouva rien de mieux que de se faire enculer par un type mal déguisé en femme. L’image de cette bite qui entrait et sortait de ce beau cul noir la poursuivait, l’obsédait.

 

Olivia se perdait ainsi dans ses pensées érotiques, et n’avait pas entendu sa mère rentrer. Comme tous les soirs, Chantal montait voir si la journée de sa fille s’était bien passée. Et comme tous les soirs, pour ne pas la faire sursauter, elle ne toquait pas à la porte de sa chambre, mais l’ouvrait délicatement pour lui faire un petit coucou.

 

Mais ce soir, ce que Chantal vit, la laissa sans voix. Pendant quelques secondes, sans que sa fille ne remarquât sa présence, elle la regardait faire ce qui correspondait à des prémices de masturbation. Elle avait honte de surprendre ainsi sa fille chérie, mais bien malgré elle, elle sentait son excitation monter. Et tout naturellement, elle porta sa main aussi vers son entrejambe. Elle pouvait constater que sa chatte commençait à s’humidifier. Le sang cognait dans sa tête et dans sa poitrine.

 

Dans un geste qui dépassait tous ses principes, elle décida de rentrer dans la chambre et de surprendre Olivia.

 

– Oh ben, ma chérie, que fais-tu ?

– Oh maman, ben…, heu…, rien, pourquoi ?

 

Chantal savait très bien ce qu’elle faisait. Jamais elle n’aurait pensé pouvoir agir comme ça avec sa fille, mais une force intérieure la poussait à le faire, une force traduite par une énorme excitation et beaucoup de perversité.

 

– Ma chérie, ne dis pas de bêtise, je vois bien ce que tu faisais !

– Alors d’accord, je me donnais un peu de plaisir ! Où est le mal ?

– Nulle part, tu as raison !

 

Chantal vint s’assoir sur le rebord du lit à hauteur d’Olivia.

 

En passant sa main sur son front, elle lui dit :

 

– Mais tu es toute brûlante, ma chérie et toute en sueur !

 

Olivia n’osait plus rien dire.

 

Sa mère distinguait parfaitement les deux petites pointes que formaient ses tétons à travers la dentelle de son soutien-gorge. Elle posa sa main droite à la base du sein gauche de sa fille et de son pouce, balaya le téton bandé. Olivia lâcha un « hannn » sans s’en rendre compte.

 

– Je peux te caresser un peu ? Demanda Chantal.

– Ça ne se fait pas !

– Ce sera notre petit secret.

– Maman tu es une coquine !

– Tu veux que je m’en aille ?

– Non, je veux bien que tu me caresses.

 

Elle se trouvait toujours avec son genou replié, Chantal en profita pour descendre sa main, en partant du haut de sa rotule et descendre vers l’intérieur de sa cuisse. Elle sentait la chaleur de plus en plus forte au fur et à mesure qu’elle s’approchait de son entrecuisse.

 

Arrivée à la lisière de la petite culotte de sa fille, elle passa avec son ongle sur le contour en dentelle de ce fin tissu blanc. A cet endroit, la peau est ultra fine et sensible. Avec une habileté formidable, elle souleva, avec le bout de son doigt, l’élastique et rentra en contact avec une de ses grandes lèvres dépourvues de poils comme elle.

 

Olivia avait relevé son autre jambe machinalement et avait, ainsi, les jambes écartées avec le doigt de sa mère sous le tissu tendu de sa culotte. Elle remontait tout le sillon de la vulve de sa fille qui était carrément détrempée.

 

Sans s’en rendre compte non plus, Chantal employait un langage qui ne lui correspondait absolument. Sans doute l’excitation suprême en était la cause.

 

– Mais tu es toute trempée, petite cochonne ! Regarde, mon doigt est tout luisant de mouille !

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Elle le sortait et le lui montrait, avant de lui frotter sous son nez. Olivia était sans voix, mais ne détournait pas la tête. Chantal replongeait sous son petit slip et lui massait toute la longueur du sillon de sa chatte, du clitoris jusqu’à sa petite rondelle plissée.

 

À chaque passage, elle appuyait un peu plus fort sur son petit trou et sous la pression, la première phalange rentra dans son petit cul. Olivia descendit sa main sur sa chatte et commençait à se masturber en ne se souciant plus du tout de la présence de sa mère. Celle-ci en profita pour lui enfoncer entièrement son doigt dans le cul.

 

– Eh bien ma salope, tu te prends mon doigt entièrement dans le cul et tu ne mouftes pas, je pense que t’as bien caché ton jeu et que tu es une petite chienne dans l’âme !

 

Sa mère ne se retenait plus et lui labourait le cul jusqu’à la faire bouger sur le lit. Olivia s’était tendue comme un arc et dans un cri de libération laissa sortir toute sa jouissance. Sa mère sortit son doigt du cul de sa fille, le porta à ses propres narines, puis sortit de la chambre pour aller se masturber, avec ce doigt fort odorant.

 

A suivre

 

2015 (c) Hélèna Sevigsky

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:08

L’hôtesse de l’air – 10 – Partouze finale par Air Hostess

stamp partouz

 

 

 

A New York, dans la chambre du Waldorf, un nouveau conseil de guerre s’est réuni. Tim expose les renseignements qu’il a obtenus à l’ambassade de France. Autour de lui, Souria, Shannah, Gene, Nikki et Jane et Nick, tous et toutes sont suspendues à ses lèvres.

– J’ai réussi a téléphoné à l’Oncle Gabriel, pour le mettre au courant de la situation. Aux dernières nouvelles, un satellite militaire français a repéré‚ la balise de Françoise. En Europe, mes enfants ! On l’a transportée en Europe, vraisemblablement en Grande-Bretagne ou du moins, la balise émet de là. On espère que Françoise se trouve à proximité‚. Le colonel Vidalain négocie avec les autorités britanniques pour pouvoir envoyer un hélicoptère français sur les traces de l’émetteur. Si j’obtiens des nouvelles favorables, je pars pour Londres.

 

Au même moment, dans la nuit qui s’achève, le jour naissant dévoile le beau corps ambré de May-Lee que Françoise caresse doucement en pensant à Tim et à ses amis laissés en Amérique. Tout en dormant, l’eurasienne se colle contre le corps chaud de l’hôtesse. Tout est calme dans le dortoir, une rumeur persistante entoure cependant la jeune déflorée, chacune à son tour veut lécher les traces de la pénétration. Ces caresses guérissent la légère douleur de la défloration.

 

Au deuxième étage, la Directrice atteint l’orgasme, elle crie :

 

– Tiens moi les seins ! Je jouis !

– Je viens, répond Michel qui éjacule avec modération, l’homme a des limites, dans le sexe minuscule de la grosse dame. Etonnant, pense-t-il, ces jeunes femmes du dortoir, si jeunes, vous présentent des cons largement ouverts et cette dame qui a trois fois leur âge, possède une petite ouverture de première communiante. Tout en réfléchissant, il pétrit les gros nichons et la dame chante en se trémoussant. Elle finit par raconter sa vie !

 

Le récit de Margareth.

 

« Je suis née en Ecosse, ma famille a toujours été‚ au service des Thornton. Grâce à Milord Gathwell of Thorton, j’ai obtenu une bourse et j’ai suivi les cours d’infirmière à Londres. J’étais un peu solitaire, mon accent écossais faisait rire mes compagnes. Diplômée, j’ai obtenu une place dans un hôpital de Cork, Après deux ou trois ans, j’ai postulé‚ pour le service d’urologie de l’hôpital. Pendant des années, j’ai soigné‚ des messieurs et j’ai la plus grande expérience en matière de pénis. J’ai tenu dans mes mains tous les modèles, les minces, les longs, les gros, les énormes. Et tandis que je tenais les queues de ces messieurs très gênés de bander comme des collégiens, je sentais ma mouille qui coulait sur mes cuisses. Bien sûr, je ne portais pas de culotte, pour pouvoir me masturber dès que j’avais un moment de libre. Comme j’étais jeune et bien faite, les jeunes médecins me possédaient furtivement entre deux consultations, sur un coin de bureau ou le bord d’une civière. Même le chef de service, malgré son âge respectable, me demandait de lui faire un pompier. Je devais me mettre à genoux, entre ses jambes. Je me cachais dans le tambour de son bureau, dissimulée aux regards. Et je le pompais, discrètement, sans aucun bruit. Je devais tout avaler pour satisfaire ce vieux cochon. Jamais, il ne m’a touchée, jamais il n’a soulevé mes jupes pour me faire jouir. Malheureusement, il m’a donné le goût du sperme. Quand je regarde un homme, j’évalue toujours la quantité de jute que je pourrai recueillir. Puis j’ai été nommée par le comité de direction de la fondation Thornton, comme Directrice de ce pensionnat pour jeunes délinquantes. Toutes les filles, ici sont pourries jusqu’à la moelle. Mises sur le trottoir dès le plus jeune âge, prostituées, vendeuses de drogues, voleuses à la tire, complices de crimes et de délit, j’ai hérité de tous les vices de la terre. Comme je suis aussi vicieuse qu’elles, la nuit, je viens à pieds nus regarder par le trou de la serrure, je vois à la lueur des bougies, tout ce qu’elles se font entre elles, pour pallier l’absence de leurs amants, d’ailleurs la plupart sont des gouines ou le sont devenues. Alors à genoux devant le trou de serrure, je relève ma chemise et je me masturbe. La semaine dernière, mon manège a failli être découvert. Quand elles ont un petit besoin, les filles prennent leur pot de chambre, ensuite c’est la ruée pour lécher la trace humide laissée sur leur con. J’étais tellement excitée, que je me suis précipitée dans le cagibi voisin, où l’on remise les balais. J’ai retiré ma chemise, et pieds nus, j’ai glissé le manche d’une brosse dans mon cul. J’avais appuyé la brosse contre le mur, pour faire pénétrer plus loin, lorsque j’ai entendu, la porte du dortoir s’ouvrir. Une fille se rendait aux toilettes au bout du couloir. Elle est passée à côté de la porte entrebâillée du réduit, sans me voir. Mon cœur battait à tout rompre, j’avais peur qu’elle me trouve, mais je n’ai jamais autant joui.  »

 

A la suite du récit de Margareth, Michel la saisit sur ses genoux et la fesse de toutes ses forces. Les grosses fesses rougissent, la brûlure gagne le vagin et l’anus. Michel trouve assez d’énergie pour rebander et l’enculer. Profondément enfoncé dans le derrière de la grosse, il entend tout proche le bruit d’un hélicoptère qui rode. Un coup d’œil par la fenêtre lui permet de reconnaître les numéros d’immatriculation français de l’appareil qui se pose sur la pelouse. Françoise aussi a entendu, et bientôt, rhabillés, les deux agents assistent au débarquement des visiteurs.

 

Le capitaine Bertrand découvre qu’il a deux passagers à transporter.

 

– Ma chère collègue, dit-il à Françoise, je veux bien embarquer Monsieur puisqu’officiellement il n’a jamais mis les pieds en Grande-Bretagne.

 

Une heure plus tard, nos deux agents, la française et l’israélien se trouvaient à Paris. Tim arriva à Roissy à 12 h 30, Anne (ou Françoise puisque c’est la même) vint l’accueillir et le conduit directement à son appartement. Les deux hommes sympathisèrent immédiatement. Devant l’évidence, Anne suggère que Tim en connaît un peu trop, pour ne pas être impliqué dans ses aventures. Tim avoue, enfin qu’il veille sur elle, sur les recommandations de l’Oncle Gabriel, un peu par devoir, beaucoup par affection. Anne comprend l’insistance du colonel Vidalain à lui faire rencontrer le géant noir. Une discussion franche réunit les trois jeunes gens, Anne attirée par Tim, ne veut pas frustrer Michel. Assise sur son large divan broché, entre Michel et Tim, Anne envahie par une bouffée de désir, pour ne pas faire de jaloux, dépose une main à gauche sur la cuisse de Michel, et à droite sur celle de Tim. Enhardis, les deux hommes partent en exploration. Après une après-midi, consacrée au bain et à la sieste, ils se sentent délivrés de leurs angoisses.

 

Tim déboutonne le chemisier d’Anne et embrasse doucement les tétons roses. Michel retrousse la jupe et atteint immédiatement la toison soyeuse, comme d’habitude, Anne-Françoise ne porte pas de culotte. Un long baiser de retrouvaille joint les lèvres de l’athlète noir, tandis que Michel à genoux entre les jambes de l’hôtesse, goûte goulûment à son fruit juteux. Anne ressent la montée du désir, elle ouvre les cuisses en grand écart pour accueillir la bouche impatiente qui la fouille et le baiser qui la lie à Tim prend les allures d’une pénétration. Elle franchit l’arcade dentaire de son partenaire pour plaquer sa langue contre celle du noir. Bientôt des gémissements lui échappent, la jouissance qui monte, transforme en ruisseaux d’orage, le mince filet de sa mouille. Elle glisse sur le tapis, tenue par Michel, qui couché sous son cul, avale tout ce qui coule du sexe de son aimée. Tim en profite pour placer son pénis dans la bouche consentante d’Anne. Les cris de plaisirs jaillissent de partout. Anne suce la bite de Tim avec une telle passion que ses joues se creusent. Un petit arrêt, pendant lequel, ils quittent leurs vêtements et ils se retrouvent sur les draps de soie du grand lit. Anne s’empare de la bite de Michel pour les faire subir les mêmes sévices que pour Tim. Elle suce, elle mord le membre congestionné, Tim récupère la fonction de Michel et lèche les abondantes sécrétions de la jeune femme. Puis, c’est le grand jeu, Anne, accroupie, se place sur l’énorme queue du noir, couché sur le dos, puis elle s’étend à plat ventre, en serrant son sexe pour ne pas perdre le membre dressé. Elle écarte les fesses de ses deux mains, permettant ainsi à Michel d’introduire sa bite dans son cul. Maintenant, ils sont liés, extraordinaire sensation, Michel crie

 

– Je sens ta queue Tim ! Chaque fois que je remue, je sens à travers la membrane ta queue qui palpite.

 

La queue de Tim, noyée dans la jouissance d’Anne, se dilate. Michel ne peut plus se retenir, il mordille la nuque d’Anne, le spasme de sa bite lui arrache des cris de jouissance insoutenable. Anne sent dans son anus les palpitations de son enculeur. Il a atteint l’acmé, tout son corps tendu, il éjacule un torrent de sperme dans l’antre brûlant. Tim perçoit les contractions du vagin. Le corps parfumé de la française s’écrase sur sa poitrine, les seins élastiques affolent sa poitrine, les pointes s’impriment sur son torse, la sueur d’Anne coule en nappes sur les tétons sensibles. Penchant la tête Anne, qui jouit lui tend la bouche pour un baiser qui par sa puissance déclenche l’éjaculation du noir. Anne atteint la plénitude des sensations, la progression du sperme des deux hommes dans ses entrailles entraîne une jouissance nouvelle. Elle se donne à tous les deux, elle s’offre à leurs désirs et jouit d’être remplie de cette merveilleuse substance qui pétille. L’odeur du sperme a envahi la chambre et exerce une excitation complémentaire. Le trio reste longtemps engagé, puis ils restent étalés sur le lit, mêlant leurs membres et leur transpiration. Ce parfum persistant d’aisselles mouillées réveille le désir de Tim, il lèche le dessous de bras d’Anne. Michel lèche le sperme qui coule du vagin entrouvert. Michel plante sa queue dans le con d’Anne-Françoise, couchée sur le dos sur Tim qui a introduit avec précaution son pénis dans le cul bien graissé de sa partenaire. Cette seconde double pénétration se déroule à l’envers de la première. Anne-Françoise couchée sur le dos, se fait enculer, dès que la sodomie est en place, Michel introduit sa queue dans le vagin mousseux de la jeune femme. Epuisés, ils finissent par s’endormir, brusquement, nus et entassés les uns sur les autres.

 

Le lendemain, Anne-Françoise demande à Michel de les accompagner à New-York. Il obtient l’accord de son chef de réseau et ils prennent l’avion du soir.

 

Arrivée à New-York, Françoise rassemble tous ses amis pour une soirée gigantesque. Elle a de bonnes nouvelles pour Nick, les enquêteurs anglais sur les suggestions de l’hôtesse ont retrouvé le passage secret et arrêté les malfrats du vieux château. Après une recherche minutieuse, un antique coffre-fort dissimulé dans une salle inconnue attend la visite de Nick pour être ouvert. Ce même Nick, lui avait raconté une mémorable virée dans un club anglais. Chaque participant recevait une broche portant un grand numéro, sur fond rouge pour les hommes, sur fond bleu pour les femmes. Chaque membre du club devait rechercher la concordance, la direction avait décidé pour eux, du partenaire idéal, celui qui arborait le même numéro. Anne-Françoise n’avait pas voulu choisir entre tous ses amis et amies, elle confie au hasard, le soin de former des groupes. Elle confie à chaque homme, Nick, Tim et Michel un groupe, et tire au sort à plusieurs reprises les participantes à la soirée. Le premier tirage donne Nick, Françoise et Souria dans le deuxième groupe Tim, Nikki et Jane et le dernier groupe comprend Michel, Gene et Shannah. Il n’y a aucune interdiction à la réunion de deux groupes.

 

Assise sur un divan entre Souria et Nick, Anne-Françoise se débarrasse en un clin d’œil de tous ses vêtements. Elle a hâte de retrouver son amie noire aux caresses douces et maternelles et le petit diplomate aux fantasmes imprévisibles. Souria l’imite aussitôt, et les deux femmes assiègent Nick qui se laisse dévêtir sans résistance. Sur un signe d’Anne, sa robuste compagne lui ouvre les fesses d’une poigne énergique, elle avance la langue dans ce sombre réduit et l’introduit dans l’anus dilaté. Anne alterne du pénis encore flaccide de Nick aux grosses lèvres noires ballantes de Souria entrouvertes sur un sexe rouge et déjà mouillé. La bouche gourmande d’Anne redresse le pénis et transforme l’antre de Souria en source jaillissante. D’un autre divan, on entend les clameurs de Tim aux prises avec Nikki qui lui pince les tétons en chevauchant sa bite tendue. Jane tentée par la rousse, lui lèche les seins en se masturbant. Le troisième groupe en pleine discussion, Gene pleure sur l’épaule de Michel.

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– A cause de moi, tu as été enchaîné dans cet affreux château. Depuis que j’ai épousé Nick, je n’ai plus donné de renseignements. Nick ne connaît pas l’emplacement du trésor, mais ils ne voulaient pas me croire. Je te jure que je n’ai pas trahi mon mari.

 

Michel la rassure en étouffant ses paroles sous ses baisers, tandis que Shannah, toujours tentée par les femmes, saisit le clitoris de Gene entre le pouce et l’index. Elle échangera bientôt les doigts pour la bouche, elle aspire dans la toison auburn, le petit bouton rose, qu’elle retrouve avec passion. Nick tenté par le corps rebondi de Souria, se couche sur les gros seins et cherche la bouche, Anne reprend la fonction de Souria, elle lèche doucement l’anus du jeune homme. Nick pénètre dans le vagin odorant de la noire et Anne qui a découvert la réserve, a saisi un gode. Elle fait progresser lentement le gros cylindre de plastique dans le cul de Nick, avant de mettre en marche le petit moteur électrique du vibreur. Après des éjaculations libératrices, tout ce petit monde se retrouve autour d’une table basse pour absorber un petit remontant. Le second tirage rassemble Gene et Shannah auprès de Tim, Nick hérite de Jane et garde Anne-Françoise, quant à Michel, il retrouve Souria et fait la connaissance de Nikki.

 

Ce changement des participants relance l’intérêt, les appétits se réveillent. Shannah retrouve avec plaisir, le corps sculptural de Gene, elle s’agenouille pour poser ses lèvres sur le sexe que la rousse tient ouvert à son intention. Tim en profite pour se glisser derrière elle et la prendre dans le con. Surprise, elle ne réagit que lentement, retrouvant dans son geste, le défenseur. Jane et Anne-Françoise se livrent à des ébats érotiques entrecoupés de fou-rires, que Nick interrompt en utilisant la petite queue que la nature lui a offerte, il enfourche la blanche, aidé par la noire aux seins gonflés de silicone. Quant à Michel, ravis de rencontrer Nikki, il se soumet de bonne grâce à ses rudes caresses, ses morsures, Souria calme le feu des griffures en léchant ses plaies. Le troisième tirage rassemble Michel Jane et Shannah, Tim, Anne-Françoise et Gene, Nick, Nikki et Souria. La nuit déjà très avancée, les ardeurs se sont émoussées. Ils retrouvent une nouvelle vigueur en se réunissant tous les six, sur le tapis. Dans une joyeuse bousculade, les filles se sont imposées et avec l’aide de leurs compagnes sont parvenues à extraire encore de l’énergie des trois males fourbus. Le jour ne s’était pas encore levé, ils dormaient tous, les uns sur les autres dans la satisfaction de leurs sens apaisés.

 

FIN

 

Air Hostess 1998

 

Postface d’Eddy

 

Voici un texte bien mystérieux qui trainait dans mes archives depuis fort longtemps. Publié en 1998 par le site aujourd’hui disparu de Sophiexxx, il le fut sans aucune relecture, sans aération et encombré de caractères exotiques qui rendaient la lecture fastidieuse. Le site d’XStory l’a réédité sans finaliser les corrections typographiques et en oubliant la moitié du récit. Entamant dernièrement la relecture de ce texte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un récit intelligent, bien écrit et évoquant l’essentiel des fantasmes que nous défendons.

 

Le texte est anonyme, je lui ai donné un nom d’auteur fantaisiste qui fait référence au titre d’origine… Maintenant d’où vient ce texte, mystère ? J’ai pourtant cherché… Le titre initial « Air Hostess » semble indiquer qu’il pourrait s’agir d’une traduction, ou du moins d’un texte écrit par une personne bilingue, peut-être nord-américaine. Certains détails ne trompent pas, on tient par exemple à nous préciser que Marie-Antoinette était une reine française, et l’auteur sait reconnaitre l’accent écossais ! Autre bizarrerie, le texte est d’une richesse de vocabulaire remarquable et d’un érotisme descriptif très efficace et impressionnant, pourtant il n’excluait pas certaines lourdeurs ou répétitions et certains dialogues étaient déstructurés. Bizarre, bizarre ! Le texte que vous avez lu est conforme à l’original à plus de 99 %., je n’ai procédé qu’à quelques retouches de pure convenance qui en rien n’altère son propos. La mise en forme de ce récit qui m’a pris plus de cinq heures, m’a énormément excité. J’espère que sa lecture vous a rendu de même.!

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:06

L’hôtesse de l’air – 9 – L’institut des filles perdues par Air Hostess

 

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Pendant ce temps à New-York, dans l’appartement de Nick, Gene, Shannah, Nick et Tim rappelé d’urgence tiennent un conseil de guerre. Nick dit :

 

– Depuis la demande de rançon, formulée par ces gangsters, plus aucune nouvelle. Le F.B.I n’a retrouvé aucune trace. La communication téléphonique des gens qui prétendent avoir enlevé Gene a été émise à partir d’une cabine de Central Station. Vu le nombre de voyageurs qui prennent le train, aucun espoir de ce côté-là de retrouver ces crapules.

– Je suis sûre qu’ils croyaient vraiment m’avoir enlevé. Pauvre Françoise, ils ont dû s’apercevoir de leur erreur. Dieu sait ce qu’ils ont pu lui faire ? intervient Gene

– J’espère que ces bandits vont demander une rançon pour Françoise. Mais ce ne sera pas une preuve de ce qu’elle soit toujours en vie ! J’ai prévenu l’Oncle Gabriel. Déjà il m’a envoyé un employé de l’ambassade. Tous les moyens sont mis en œuvre pour la retrouver. Ajoute Tim.

 

Depuis plusieurs jours, les amis de l’hôtesse de l’air se réunissent pour comparer leurs intuitions. Tim s’est Installé au Waldorf avec Souria et le bébé. Il a prévenu tous les indicateurs du milieu, qui ne sont au courant d’aucune affaire concernant Françoise ou Gene.

 

– Je pense qu’il s’agit de terroristes étrangers, une équipe totalement inconnue des autorités.

 

Françoise se dispose enfin à se laver. Débarrassée du collier, elle retire les menottes et les chaînes qui reliaient ses poignets, en utilisant sa lime à ongles, retrouvée dans son sac. Elle se hâte de délivrer Michel du carcan rouillé. Après une heure d’efforts, les maillons cèdent. La jeune fille voudrait profiter des dernières lueurs du jour pour sa toilette, mais Michel ne peut résister à l’odeur puissante qu’elle dégage. Tandis qu’il la fouille d’une bouche insistante, passant du clitoris à l’anus en s’excitant du parfum sauvage qu’elle émet, elle réfléchit à cette préférence inattendue.

 

« Les êtres humains sont curieux, je m’efforce d’être toujours d’une propreté scrupuleuse et j’aime les hommes bien rasés, parfumés, hygiéniques. Et je m’excite et je jouis à faire l’amour à des partenaires sales, puants. Je trouve du plaisir à me faire baiser brutalement, même avec sauvagerie.  »

 

– Soit plus brutal ! Crie-t-elle à Michel qui la pénètre.

 

Ensuite, elle entreprend d’enfoncer deux puis trois doigts dans l’anus de son compagnon surpris, mais qui ne tarde pas à jouir sous sa caresse. L’eau froide du seau les rafraîchit, après une rapide ablution qui lui permet de constater que les blessures de Michel sont toutes cicatrisées, elle retire son sac à main de l’embrasure. Un gros clip blanchâtre sert de fermoir, il dissimule une lampe puissante. La cloison secrète réouverte, ils s’engagent tous les deux dans l’escalier en vis, en dégageant des nuages de poussières. Au bas des marches, trois portes, une seule s’ouvre sans difficulté sur un couloir voûté qui descend dans les ténèbres. Après un parcours de plusieurs centaines de mètres, une partie du conduit est remplie d’eau claire. Ils progressent avec de l’eau jusqu’aux genoux, puis de nouveau un couloir sec qui remonte et atteint des marches de pierre. Un escalier, semblable au premier les amène à une trappe de chêne. Leurs efforts conjugués permettent de la soulever. La petite lampe vacillante éclaire des barriques défoncées et des bouteilles vides. La porte de cette cave n’étant pas fermée à clé, ils gagnent un escalier de moellons et se retrouvent dans un grand couloir d’un bâtiment habité. Est-ce là que se cachent les membres de la bande ?

 

Une exploration prudente les conduit au premier étage. L’escalier de chêne débouche sur un couloir muni d’une veilleuse. Une porte vitrée donne accès à un grand dortoir. Ils entendent des rires étouffés, des voix de jeunes filles et prennent le risque d’ouvrir la porte. Un spectacle curieux se déroule sous leurs yeux.

 

Une quinzaine de jeunes filles, complètement nues, étendues sur des lits individuels se donnent du plaisir. Rassemblées par deux ou par trois, certaines solitaires, se masturbent en regardant les autres. Leur entrée crée un remue-ménage indescriptible. La plus proche de la porte, une brune piquante qui se fait lécher le sexe par une petite blonde rondouillarde, qui doit avoir dix-huit ans et les fixe effrontément, sans cesser d’offrir ses cuisses écartées à la blonde qui absorbée par son travail n’a rien vu. L’index sur la bouche, Françoise recommande le silence et vient s’asseoir à côté de la brunette.

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– Excuse-moi, nous avons été kidnappées par des gangsters, peux-tu me dire, où nous sommes, quel est le nom de cette localité ?

 

Entraînée par ses habitudes, elle pose tout en parlant, sa main sur le sein le plus proche et le caresse doucement.

 

– L’institut se trouve à 15 milles de Corcaigh.

 

Françoise comprend difficilement le gaélique, elle apprend qu’elle se trouve à proximité‚ de Cork, un port sur la mer d’Irlande. Les gestes remplacent les paroles, la bouche de l’hôtesse savoure un petit téton rose, et ses doigts effilés viennent rejoindre la bouche de la blonde sur le sexe dilaté. Michel apparait dans l’embrasure de la porte, deux filles qui regardaient avec intérêt les trois filles, s’élancent à sa rencontre et le traînent sur le second lit. Le dortoir est éclairé par quelques bougies tremblotantes dans des bougeoirs de fortune. La directrice du pensionnat ferme tout l’éclairage à partir d’un tableau, mais lorsqu’elle fait une ronde de surveillance, elle rallume d’abord le tableau, quand elle arrive dans le dortoir du premier étage, tout est calme. Les filles font semblant de dormir. Les bougies sont retournées dans les tables de nuit, les pensionnaires dans leur propre lit. Ça sent la bougie, comme dans une église, la directrice doit fermer les yeux. Michel, déculotté en moins de deux, exhibe un pénis mou, qui ne tarde pas à relever la tête, sous les attouchements des deux femmes. Mais déjà, tous les lits se vident, les pensionnaires entourent le trio et s’excitent en regardant le sexe de Michel. Chacune veut sucer, pour retrouver le goût délectable de la bite, dont elles sont privées depuis qu’elles sont enfermées. La tête serrée entre les cuisses d’une certaine Jenny, forte fille, poilue, aux cheveux noirs, Michel se sent aspiré par la file des pensionnaires qui font la file pour quelques instants d’activité. Toutes sucent en tenant la queue de la main droite et en se masturbant de la gauche. Michel en battant l’air, de tous côtés, les grosses cuisses de sa partenaire l’empêchant de voir, attrape soit un sein, soit un pubis soyeux. Jenny interrompt les opérations, une seule fille est restée prostrée sur son lit, une petite rousse, crispée qui baisse la tête et entoure ses genoux de ses bras protecteurs.

 

– La vierge n’est pas venue ! lance Jenny.

 

Michel est porté en triomphe sur le lit de Meg, qui n’a jamais connu d’homme. Il est mis en demeure de déflorer la seule pensionnaire encore vierge. Il se penche sur la roussette et lui parle à l’oreille.

 

– Je voudrais savoir si tu es d’accord avec ce qu’elles disent ? Je te respecterai, si tu désires conserver ta virginité ?

– Oh ! Non, Monsieur, prenez-moi. Elles se moquent toutes de moi, comme cela je serai comme tout le monde ici. Mais ne me faîtes pas trop mal.

– Rassure-toi, tu ne sentiras presque rien.

 

Pour la mettre en condition, il entreprend de caresser doucement les petits seins pointus et d’explorer avec douceur une belle toison roussâtre qu’elle lui abandonne avec pudeur. Pendant ce temps, Françoise a repéré‚ une jeune fille qui la regarde intensément. Chinoise ou Vietnamienne, ses yeux en amandes et son corps souple retiennent son attention, délaissant ses deux partenaires, elle s’assied sur le lit de l’Eurasienne. Elle entoure ses épaules d’un bras protecteur et lui levant le menton, elle l’embrasse tendrement sur la bouche. Les yeux noirs s’agrandissent, la fille happe la langue de Françoise pour y coller la sienne. La succion qu’elle pratique éveille des sensations impossibles à refouler pour l’hôtesse. La langue mime une fellation, comme si l’organe de notre amie s’était transformé en bite. La sensation puissante accompagne l’ouverture des cuisses qui accueille la main bienfaisante qui prend le chemin du clitoris. Le petit bouton bien dégagé mesure trois ou quatre centimètres, érectile il grandit sous les doigts de la française, bientôt remplacés par une bouche éperdue de plaisir. May-Lee, nom de l’eurasienne, hurle de jouissance, son jus, au goût épicé comme toutes les orientales, excite la langue de Françoise qui se place sous la fille, pour ne rien perdre du jus divin. Pendant ce temps, Michel, lèche avec tendresse, les beautés mises à sa disposition. Du clitoris au petit anus rose et resserré, il mouille tout l’entre-jambe. Il perçoit l’ouverture progressive du vagin et du cul sous sa caresse. La fille gémit doucement, entourée par un cercle de compagnes qui l’encouragent, tout en se masturbant mutuellement. Michel se couche sur le lit, et place Meg accroupie de face.

 

– Voilà, j’introduis ma verge, et toi, tu te glisses dessus. Je te guide, mais je ne tiens pas. Si tu as mal, retire-toi.

 

Meg dont le con laisse couler des filets de jouissance, se place doucement sur le pénis de Michel. Timidement, elle sautille et se soulève dès que l’introduction s’avère difficile. Peu à peu sa respiration s’accélère, on voit ses seins se soulever et son visage s’éclaire d’un large sourire. Elle puise le courage de s’empaler, elle ferme les yeux et place ses mains sur sa poitrine. Son corps glisse sur le sexe dressé, elle pousse un cri et se retrouve le clitoris planté dans le poil de Michel. Elle jouit avec une intensité dramatique, la queue lui parait traverser ses entrailles, labourer son ventre en faisant jaillir des sensations étranges, inconnues auxquelles, elle ne peut s’arracher. Longtemps, elle reste enfilée sur le pénis, le ventre de l’homme se colore du sang du sacrifice. La joie de la fille est indescriptible, elle embrasse l’israélien, elle serre son visage sur ses seins en criant :

 

« Merci ! Oh ! merci !

 

Dans un autre lit, May-Lee jouit toujours dans la bouche de Françoise, puis saisissant dans son tiroir un énorme godemiché, elle l’introduit dans le vagin de sa partenaire. La française, excitée par le jus étrange tient le clitoris entre ses dents, le gode bien en place dans son sexe. La porte s’ouvre avec fracas et les battants se cognent contre le mur. Une grosse dame fait son apparition, en chemise de nuit, elle tient un fusil qu’elle braque sur Michel

 

– Quelle honte, petites salopes ! Je savais bien que vous faisiez vos saletés derrière mon dos. Où avez-vous trouvé cet homme ? Allons debout. Levez-vous. Je vais appeler la police. Vous serez moins faraud devant un constable.

 

Michel debout devant elle, nu et désarmé regarde avec détermination, la grosse femme, aux lunettes de myope, son corps boudin‚ gonfle la chemise à fleurs qui est son unique vêtement. Sur un signe du canon du fusil, il récupère ses vêtements épars. Les bougies éteintes, le calme revenu, la Directrice du home des filles perdues n’a pas remarqué Françoise, elle ramasse dans le couloir sa lanterne sourde, referme la porte et intime à Michel de la précéder dans le couloir.

 

Françoise profite du calme relatif pour disposer son sac à main balise, sur l’appui d’une fenêtre, l’antenne dirigée vers le ciel. Elle regagne le lit de la petite asiatique, mais son excitation tombée, elle pense à Michel et au sort que lui réserve la grosse dame. Celle-ci, maintenant toujours Michel sous la menace de son fusil de chasse à double canon, le pousse dans une chambre du deuxième étage, éclairée et chauffée, visiblement la sienne. Michel a remarqué que les chiens de l’arme ne sont pas levés, d’ailleurs l’état du fusil suggère une arme de collection non chargée.

 

– Laisse tes vêtements dans le fauteuil et couche toi dans le lit.

 

L’honorable correspondant du Mossad obéit à l’injonction, tandis que la dame dépose son arme, retire ses grosses lunettes de myope et fait glisser sa chemise de nuit par-dessus la tête. Nue, elle paraît moins lourde, elle s’installe dans le lit à côté‚ de Michel.

 

– Montre-moi ce que tu sais faire !

 

Ses yeux bleus de myope regardent dans le vide, elle approche son visage et entrouvre les lèvres dans un sourire appétissant. L’homme se saisit des gros seins étonnants par leur fermeté. Elle chevauche le corps de Michel et bouche à bouche, elle parcourt son corps de ses doigts boudinés. Dans une masse de poils châtain foncé, on devine la dépression du sexe, cerné par des bourrelets de chair rose. Tout à coup, elle saisit la verge :

 

– Tu as du sang sur ta queue.

– Oui ! J’ai dépucelé la vierge, tu en vois la marque.

 

La directrice se penche et gobe le pénis.

 

– C’est délicieux, ce jus a la fraîcheur d’une jeune fille.

 

La fellation entraîne un brusque raidissement du membre. La grosse dame se hisse sur le gland et le fait glisser lentement dans son conduit étroit. Avec un certain doigté, elle accompagne ses sautillements sur la queue qui la pénètre, par des pincements des tétons masculins.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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