Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 10:22

La visite des voisins par James01

 

 

zoo

 

 

Ce jour-là, alors que je faisais les soins de ma mère, j’ai été interrompu par la sonnette de la porte, j’ai passé un peignoir et je suis allé voir, c’était le vieux voisin qui venait saluer ma mère, je lui ai dit qu’elle dormait mais elle a crié pour demander qui s’était, je lui ai répondu « le voisin ! » Elle a répondu qu’il pouvait entrer .

– C’est un cochon ! Me chuchote ma mère, il vient pour me sauter, on va pouvoir s’amuser tous les trois.

Le voisin est entré.

– Salut, Fernand ! Lui dit ma mère, mon fils à fini mes soins, maintenant il s’apprêtait à me faire un petit plaisir décontractant.
– Euh…
– Assis-toi, baisse ton pantalon et branle toi en nous regardant.

Je me suis mis nu et j’ai enfoncé ma bite dans la bouche de ma mère, puis à sa demande nous l’avons mise sur la table pour nous amuser avec elle, nous devions lui introduire n’importe quoi dans sa chatte et dans son cul, le voisin et moi bandions très fort, Fernand a enfoncé sa bite dans sa chatte luisante pendant qu’elle me suçait, ensuite il s’est retiré pour remplacer sa queue par plusieurs carottes qui traînaient sur le meuble, et lui a enfoncé trois doigts dans le cul, elle s’est torsadé comme une folle et en redemandait encore, elle a hurlé à Fernand de bien remplir son cul car elle ne sentait plus rien parce que je lui avait déjà enfoncé une bouteille avant qu’il n’arrive.

Le voisin a demandé quoi faire, elle a répondu :

– Ce que vous voulez et n’ayez pas peur de me faire mal

Il m’a demandé de lui donner la bouteille d’huile d’olive pour en verser sur les deux trous et bien les lubrifier et a commencé à la branler avec ses doigts pendant que je lui écartais les lèvres de son sexe au maximum.

Pendant qu’il masturbait son clitoris elle lui demanda si sa femme était aussi vicieuse qu’elle..

– Oh, oui, quand elle est déchaînée, c’est une vraie tornade !
– Et si tu allais la chercher ?
– Je me rhabille et j’y vais !

Dix minutes plus tard, il revenait et nous présentais son épouse que nous ne connaissions que de vue. Elle s’appelait Colette, elle a environ soixante ans et possède une poitrine assez forte.

Colette est entrée et ne fut pas étonnée de notre nudité et de la position de ma mère, son mari l’avait sûrement prévenue, elle tenait en laisse un grand berger allemand, elle nous a salué, ma mère et moi, et m’annonça to de go qu’elle allait montrer à ma mère qu’elle pouvait aussi être une grosse salope. Elle s’est approché très près de ma mère et les deux femmes se sont roulé un patin tellement baveux que de la salive dégoulinait de leur menton

Elle libéra le chien et se mit à poil sans aucune gêne, le chien s’est avancé vers l’entrejambe de ma mère pour la lécher mais elle a refermé les cuisses, Colette les a écartés en lui disant qu’elle prendrait beaucoup de plaisir et le chien a commencé à lécher la chatte de ma mère qui se poussait vers la langue du chien.

Pendant ce temps Colette a commencé à nous branler Fernand et moi. Puis Colette a placé Marie, ma mère à quatre pattes sur le tapis en lui écartant bien les jambes et lui a dit de bien regarder et de se laisser faire, elle a amené le chien derrière elle pour la lécher, et a dit à son mari de bien écarter les fesses pour faciliter le travail du chien, Fernand s’exécuta de suite.

Moi, je m’était placé devant Marie pour me faire sucer, j’ai vu Colette se glisser sous le chien et mettre la bite en bouche, je ne m’imaginait pas que le sexe pouvait être si énorme, après l’avoir sucé elle a placé la bite du chien à l’entrée de la chatte de Marie et a poussé le chien pour l’enfoncer jusqu’au fond du vagin, Marie criait de continuer.

Marie2Colette est venue vers moi et m’a dit qu’elle voulait voir son mari m’enculer, j’ai répondu que je voulais bien, mais que j’aimerais le sucer un peu avant !

Après avoir goûté à sa belle queue je me suis baissé pour montrer ma rosette et Fernand s’est approché, Colette a mis sa bite à l’entrée de mon cul et il a fait pénétrer sa queue jusqu’aux couilles et a commencé à pistonner, Colette s’est mise à genoux devant moi et a sucé ma queue. Un moment, Fernand a enlevé sa bite pleine de merde de mon cul pour la faire sucer par ma mère ensuite il l’a remis dans mon cul.

Colette s’est retournée et a écarté ses fesses avec les mains et a présenté son cul à ma queue, je l’ai enculée à fond, nous avons pistonnés jusqu’au moment d’éjaculer, Colette s’est enlevée de mon sexe pour retirer la bite de son mari de mon cul et elle a sucé pour qu’il éjacule dans sa bouche, elle a fait la même chose avec moi.

Nous nous sommes ensuite occupé de ma mère, Colette a viré le chien, a placé Marie sur le dos et a écarté ses jambes pour bien nous montrer son cul et son vagin largement ouvert, Fernand et moi avons tenu ses jambes écartées pendant que Colette faisait pénétrer une main dans la chatte de ma mère qui criait comme une folle et l’autre main presque entièrement dans le cul. Elle a branlé Marie jusqu’à qu’elle jouisse, ensuite Fernand et moi nous sommes branlés pour éjaculer dans la bouche de ma mère qui a nettoyé nos bites avec sa langue.

Ensuite on a pointé nos bites vers ma mère, on lui fait boire notre urine, Elle s’est régalé et elle était toute mouillée, notre pisse lui coulant sur les nichons et sur les cuisses.

– Ça donne soif tout ça, vous n’auriez pas un petit truc bien frais ? Demande Fernand
– Un petit Banyuls, peut-être ?

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 10:14

Chaude Marie par James

Mat Stamp

 

Je me prénomme James, j’ai 25 ans et suis marié avec Isabelle

 

Nous possédons une fermette à la campagne et suite à un accident, ma mère, Marie est en convalescence chez nous pour un mois ou deux, elle a 55 ans, c’est une femme sans histoire et bien conservée

 

Elle a été brûlée aux deux mains et à une jambe.

 

C’est ma femme qui lui prodigue les soins.

 

En rentrant un soir à l’avance de mon travail, je suis allé vers la pièce où l’on s’occupe de faire ces soins et j’ai entendu ma mère dire :

 

– Quand tu auras fini de me soigner, j’aimerais bien que tu me fasses comme la dernière fois !

– Pas de soucis ! A répondu mon épouse.

– Quelque chose de plus gros, ce serait bien !

 

Je me suis approché et j’ai regardé par l’entrebâillement de la porte, ma mère était assise sur le fauteuil, la jambe brûlée posée sur une chaise.

 

Quand sa belle-fille eut fini les soins, elle a déboutonné le chemisier de ma mère pour en sortir les nichons et a commencé à pincer les bouts en tirant, elle a ensuite remonté la robe de ma mère et lui a posé la jambe valide sur l’accoudoir du fauteuil, j’ai vu qu’elle ne portait pas de slip.

 

Elle avait le sexe béant et mon épouse a écarté les lèvres de son vagin pour y faire pénétrer trois doigts, elle a commencé un mouvement de va-et-vient de plus en plus vite et ma mère a poussé son cul en avant pour se faire pénétrer plus loin.

 

Isabelle a alors pris dans un tiroir, une petit stick de déodorant qu’elle lui a aussitôt enfoncé dans le vagin, ma mère râlait de plaisir et lui a demandé de tenir sa promesse de lui mettre quelque chose de plus gros, mon épouse s’est alors dirigée vers la cuisine et est revenue avec une bouteille de bière vide, elle a fait pénétrer la bouteille dans la vulve, le goulot en avant et a enfoncé la bouteille jusqu’à mi-longueur, ma mère se trémoussait de plus en plus et criait de l’enfoncer encore plus loin, mon épouse a alors retiré la bouteille et l’a retourné pour lui mettre par l’autre bout. J’ai vu son vagin se dilater sous la pression mais la bouteille est entrée sur presque toute la longueur, ma mère n’arrêtait pas de crier, elle a dû jouir plusieurs fois, elle a remercié sa belle-fille de l’avoir rendue heureuse et les deux femmes se sont roulé une pelle bien baveuse.

 

Je savais que ma femme était une cochonne, mais ma mère….

 

Je me suis éloigné et j’ai fait comme si je venais de rentrer à la maison. Je bandais comme un dingue.

 

Quelques jours plus tard mon épouse est partie passer deux jours de vacances chez une copine, j’étais donc chargé de faire les soins de ma mère, le matin j’ai commencé à m’occuper d’elle, elle était encore en chemise de nuit. Après avoir soigné ses mains je suis passé à la jambe, elle m’a dit de la poser sur la chaise afin que ce soit plus facile, en relevant sa jambe j’ai vu qu’elle ne portait rien en dessous.

 

En soignant sa jambe je lorgnais sur son entrejambes, elle a dû s’en douter car elle a écarté légèrement l’autre jambe, je devais masser la jambe et je montais de plus en plus haut, elle me demanda de masser sa cuisse pour la circulation du sang, en la massant le bout de mes doigts touchaient sa toison ce qui la fit écarter les jambes encore plus fort, je voyais ses yeux se fermer et sa respiration s’accélérer, me sentant encouragé, j’en profitais pour caresser son sexe plus fortement.

 

Je fut étonné quand elle me demanda si je pourrais garder le silence sur ce que elle allait me dire, je répondis  » oui « , elle me demanda alors de continuer et de faire pénétrer deux doigts dans sa vulve qui été déjà toute trempée, j’ai rentré les deux doigts et je les ai fait aller et venir, son sexe venait à la rencontre de mes doigts.

 

Elle m’a alors demandé de déboutonner sa chemise de nuit pour jouer avec ses seins et de lui pincer les mamelons, elle était excitée à mort.

 

D’elle-même elle écarta ses cuisses en grand pour me montrer l’intérieur de son vagin et me dit de lui mettre quelque chose dedans, je bandais et elle s’en était aperçue, j’ai pris la bouteille dans le tiroir et je lui ai enfoncé d’un seul coup, elle hurlait qu’elle en voulait plus, alors j’ai commencé à la branler de toutes mes forces mais elle n’arrêtait pas de crier qu’elle en voulait plus.

 

Je l’ai retourné et j’ai enfoncé deux doigts dans son cul, elle été comme folle, elle frottait les bouts de ses nichons sur le coussin, elle a hurlé qu’elle voulait voir ma bite, je me suis mis à poil et je lui ait montré, elle a ouvert sa bouche au maximum et j’ai rentré ma queue jusqu’au fond de sa gorge pour la faire taire, elle m’a sucé comme une salope.

 

La bouteille étant toujours dans son vagin, elle me dit de l’enlever et d’essayer de la mettre dans son cul, j’ai présenté la bouteille par le goulot et j’ai commencé à l’enfoncer, elle a crié de cracher pour la faire glisser, elle est rentrée de cinq centimètres, quand son cul a été bien dilaté j’ai retourné la bouteille et je lui ai rentré dedans, elle transpirait et jouissait comme une malade.

 

Brenda152Après j’ai remis ma bite dans sa bouche et je me suis branlé pour éjaculer, elle a avalé mon sperme et m’a nettoyé la queue avec sa langue.

 

Je lui ai alors dit qu’il fallait que j’aille pisser, elle m’a demandé de faire sur elle et elle a ouvert la bouche pour recevoir mon urine.

 

Nous nous sommes ensuite embrassé, un curieux baiser avec des arrière-goûts d’urine et de sperme.

 

– C’est promis je n’en parlerais à personne ! Lui-confirmais-je.

– Sauf à ta femme, elle comprendra !

 

Ben voyons…

 

JAMES

Par vassilia-x-stories - Publié dans : James
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Dimanche 1 mars 2020 7 01 /03 /Mars /2020 13:51

Les hommes et leur manière de faire pipi (proposé par Jean-Sébastien Tiroir)
Gs2

Le type sociable :
=> Il se joint à ses amis pour une pisse qu’il en sente le besoin ou pas, étant donné que ça coûte rien et que ça engendre la compréhension.

Le type gêné :
=> Ne peut pisser quand on le regarde, prétend qu’il a déjà eu envie et revient plus tard.

Le type nerveux :
=> Sa braguette bloque, il se fâche et déchire le devant de son pantalon.

Le type bruyant :
=> Il siffle, chante, rote, pète et parle fort tout en se secouant.

Le type stupide :
=> Pisse dans la jambe de son pantalon, mouille ses souliers et sort la braguette ouverte.

Le type talentueux :
=> Il pisse sans se la tenir tout en arrangeant sa cravate.

Le type lunatique :
=> Il déboutonne sa veste, sort sa cravate et urine dans son pantalon.

Le type enfantin :
=> Regarde le fond de l’urinoir et admire les bulles.

Le type vantard :
=> Défait cinq boutons alors que deux suffiraient.

Le type niais :
=> S’amuse à faire des zigzags dans l’urinoir.

Le type curieux :
=> Essaie toujours de voir comment son voisin est équipé.

Le type grognon :
=> Il se tient devant l’urinoir tout en se parlant, pète, essaie de pisser mais n’y parvient pas. Pète à nouveau et sort en grognant.

Le type hypocrite :
=> Lâche un pet silencieux, renifle et jette un regard accusateur vers son voisin.

Le type snob :
=> Se tient à 1 mètre de l’urinoir et tient sa verge à deux mains.

Le type très gros :
=> Doit se reculer à plus d’un mètre de l’urinoir à cause de son ventre, pisse « en aveugle » et mouille les chaussures de son voisin.

Le type nain :
=> Va à la pissotière avec un escabeau, tombe dans l’urinoir et se noie.

Le type gros dur tatoué :
=> Frappe sa bite sur le bord de l’urinoir pour l’égoutter.

Le type cochon :
=> Trouvant tous les urinoirs occupés pisse par terre comme si rien n’était.

Le type endormi :
=> Secoue son petit ami pour le réveiller mais n’y parvient pas.

Le type loucheur :
=> Se place devant l’urinoir, regarde celui de gauche et pisse dans celui de droite.

Le type prétentieux :
=> Tient sa chose comme si c’était un monstre. Son voisin le croit monté comme un âne. Se prend la bite dans la fermeture éclair et sort des pissotières en criant.

Le type joueur :
=> Pisse en jet à haute pression dans et autour de l’urinoir dans le but d’atteindre une mouche.

Le type woke :
=> Tient absolument à pisse assis dans l’urinoir et se mouille les fesses.

Le type excité :
=> Confond urinoir et branloir.

les-hommes-et-leur-maniere-de-faire-pipi-01

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Jean-Sébastien Tiroir
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Mardi 3 septembre 2019 2 03 /09 /Sep /2019 23:00

Quel style adopter ? par Rakoto

 

Stamp sodo2

Quel style adopter ?

 

C’est quoi cette manie de vouloir écrire de la fesse ?

 

Pourquoi vouloir mettre des mots sur des parties de chabite ? Coucher ses coucheries sur ordi ?

Attention, c’est pas un reproche, hein, juste une interrogation ?

 

Surtout que l’exercice peut se révéler ardu (cul) et tangent, entre l’eau de rose de bidet mondain et la crudité-jambonneau.

 

Comme ceci ?

 

C’est alors que Charles-Edouard, sentant sa mâlitude turgescer, me glissa tendrement au creux de l’oreille ces paroles enchanteresses :

– Avez-vous lu Proust, Marie-Chantal ? Que diriez-vous d’un cattleya impromptu sur le velours pourpre de ce sofa ?

– Votre fragrance délicate m’enivre et je sens monter en moi la sève dévastatrice de l’extase.

– Votre poitrine opaline appelle la caresse, vos lèvres purpurines le baiser. La courbe de vos hanches n’est pas sans m’évoquer le chant mélodieux de la mandoline napolitaine à trois cordes dans le crépuscule d’une touffeur estivale.

– Un désir impérieux me submerge, Marie-Chantal !

– Ah, vestale des sens, femme callipyge, dévoilez enfin le secret de votre temple de chair, je saurai l’honorer, l’adorer, ma divine et de vos orifices, je choisirais le moins lisse… Je vous ferais savourer ma substance neigeuse, puis mon ithyphalle répandra ma pluie d’or sur votre rainure interfessière

Anna Sodo

 

Ou comme cela ?

 

Après becter, Bébert avait la gaule des grands soirs.

 

Il m’arracha mon tablier, mes gants pour faire la vaisselle et ma casquette Ricard que j’avais mise pour planquer mes bigoudis en braillant :

 

– Nini, on baise ! Et pi pas plus tard que tout de suite, pasque faut pas freiner le molosse.

– Tu me rends maboule avec tes gros roberts et ton dargif moelleux.

– Allez la régulière, fais pas ta sucrée, tu finiras la vaisselle après, merde !

– Tu vas voir ce que tu vas prendre !

 

Il m’entraîna derrière la caravane et m’encula sans préparation, ni vaseline tandis qu’un gros blaireau matait en s’astiquant le poireau. En sortant de mon trou de balle, il me fit nettoyer sa bite pleine de foutre et de l’odeur de mon cul et ensuite il me pissa sur la raie du fion. Avec quoi je m’essuie le derche ?

 

Bon, décidément, ne sachant quel style adopter, je laisse l’exercice à d’autres, plus doués pour conter fleurette et narrer la bagatelle !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Rakoto
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Vendredi 30 août 2019 5 30 /08 /Août /2019 00:00

J’aime beaucoup les lémuriens

par Rakoto

—————

Un soir, alors que je nourrissais mon élevage de lémurien

Je remarquai que la plupart des mâles, l’air de rien

Etaient en train d’essayer de me tourner autour.

Il est vrai que régulièrement je venais ici faire un tour

Emprunter une bien jolie femelle

Afin de satisfaire mes besoins naturels !!!

Au cas ou vous ne le sauriez point,

Les lémuriens se servent de leur sexe au besoin

Comme d’une épée pour se battre

Et obtenir les faveurs des femelles qui du coup se mettent en quatre

Je leur donnais donc leur nourriture préférée

Et, alors que j’allais ressortir, je les sentis tourbillonner

Ils me pressaient, me touchaient, me caressaient, me sollicitaient.

A ce point que ces maladroits me déséquilibraient.

Je devais me protéger assez vite

Ne voulant pas me faire éborgner par une bite.

Mais les lémuriens continuaient de s’agiter, en poussant de petits cris.

J’essayer de leur parler comme on me l’avait appris

Jusqu’a ce que l’un d’entre eux m’ayant retire mon pantalon

Alors que j’étais affalé de mon long

Se mit à me sodomiser comme un forcené

Au début cela me fit mal, je me sentais en apnée

Mais après que trois d’entre eux m’aient enculé à fond

La dilatation et le sperme me firent trouver cela fort bon.

Immédiatement, une des femelles restées en retrait

Durant ce temps, commença à me sucer de près

Apres trois éjaculations, je sortis pantelant de la cage

Je me rendis tout de suite dans ma chambre, bien sage

Pour raconter et donner des explications a mon épouse

Elle ne dit qu’un mot : Drôle de partouze !

Depuis ce jour, ma femme et moi,

Nous nous rendons régulièrement avec émoi

Dans la cage pour jouir avec nos amis

Voilà qui est plus rigolo qu’une partie de rami

Mais si vous voulez un conseil

Ne le dites à personne car les lémuriens ont des oreilles.

 

lemur

 

(D’après une version en prose publiée jadis chez Sophiexxx)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Rakoto
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