Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:56

La malle aux trésors de monsieur le sénateur par Estonius

cochon gris

 

Paradoxe ! Voici un récit qui n’a rien, mais alors rien du tout d’érotique, par contre vous découvrirez qu’il n’a rien d’innocent et que ce n’est pas le genre de texte à publier dans un recueil scolaire !

A ce titre il a selon moi tout à fait sa place sur ce site érotique qu’est Vassilia.

 

Cette anecdote déjà publié sur Revebebe en 2002 où elle avait reçu un accueil mitigé est absolument authentique, seuls les prénoms et noms ont (bien évidemment) été changés..

 

Philippe Brossard est sénateur, sénateur centriste parce que dans les années 70 personne ne se proclamait alors de « droite ». Il a beau être sénateur personne ne le connaît, les habituées des activités parlementaires savent simplement qu’il fut l’un des signataires de l’amendement Schuman de 1973 (je ne certifie pas la date) qui finira par tuer le cinéma X. Ce dernier à pris heureusement sa revanche car si les ébats sur pellicules continuent d’être stupidement taxés, cette loi se révéla absolument inapplicable au marché de la vidéo-casette, puis du DVD.

 

Philippe Brossard, parcourt la France, il n’est jamais le dernier à se porter volontaire en cas de mission parlementaire de toute sorte, et puis il y a les activités de son parti dont il se veut cacique. Il est donc souvent de corvée de réunion, mais les banquets et les buffets le récompensent bien de son dévouement à la chose publique.

 

Mais comme je vous le dis Philippe Brossard n’atteindra jamais la notoriété, et d’ailleurs on s’en fout c’est pas le sujet.

 

Philippe Brossard, ne sait jamais marié, on ne lui connaît aucune maîtresse, on n’a jamais non plus rapporté sur lui aucune frasque homosexuelle ou frasque tout court d’ailleurs. Philippe Brossard à apparemment une sexualité de moine contemplatif.

 

Comme beaucoup de personne sans enfant, Brossard s’est porté d’affection pour son neveu Jean-Luc, mais celui-ci ne voulant rien avoir de commun avec les opinions de son réactionnaire de tonton l’envoya bouler. Brossard qui n’avait pas d’autre famille proche depuis la mort de son frère en pris son parti

 

A quarante ans, Jean-Luc fit repentance, se souvint qu’il avait un oncle, adhéra à sa formation politique et s’essaya en vain aux suffrages de ses concitoyens, mais le rapprochement s’était opéré. Grâce à quelques appuis, Brossard propulsa le neveu à la tête d’une affaire qui eu pas mal de chance, ce n’était pas les Emirats Arabes Unis, mais Jean-Luc put quand même s’acheter un château (un petit, pas un gros)

 

Dix ans plus tard, les choses évoluèrent encore :

Jean-Luc était devenu député, ses affaires par contre n’allaient plus très fort et il se demandait s’il pourrait garder le château

Philippe lui devenait vieux, sortait de moins en moins et sa santé chancelait.

Les deux hommes passèrent alors un accord dont certains termes firent l’objet d’un acte notarié :

Philippe reprenait toute l’aile sud du Château pour lui et s’engageait à en restaurer l’ensemble, il y habiterait bien sûr.

En contrepartie, Jean-Luc s’engageait à veiller sur le tonton

 

Le jour de l’emménagement, un camion plus petit suivit l’énorme véhicule contenant le mobilier et les affaires personnelles du sénateur. Lorsque vint le moment de le décharger, les ouvriers s’enquirent évidemment de savoir où déposer le contenu de ce second camion

 

– Dans le grenier ! Répondit notre sénateur se rendant compte à ce moment là que dans son repérage des lieux il avait tout simplement oublié celui-ci !

 

Mais horreur et damnation, tous les greniers de l’aile étaient pleins à craquer, occupés qu’ils étaient par des meubles divers en état médiocre que les anciens occupants avaient donc laissés et que personne n’avait l’idée de débarrasser.

Notre sénateur piqua une crise.

 

– Mais enfin ! Protesta Jean-Luc. Vous avez assez de pièces dans cette aile, il suffit de mettre tout ce fourbi dans l’une d’entre elles

– Non, je veux un grenier !

– Mais pourquoi diable un grenier ?

– Parce que je veux un grenier !

 

Et oui, quand quelqu’un refuse la discussion, on ne peut pas discuter, dirait La Palisse

 

– Alors déposons-les dans une pièce de façon provisoire et on vous fera débarrasser un des greniers le plus tôt possible !

 

Mais notre sénateur était trop trempé dans la politique et ses formules prometteuses pour ne pas ignorer que « le plus tôt possible » pouvait très bien signifier « si un jour on y pense », et il se lança dans une tirade où il signifia haut et fort qu’il n’entendait pas se contenter d’une solution mi-figue mi-raisin.

Il n’entrait pas dans le planning des déménageurs de débarrasser de suite l’un des greniers de l’aile, c’était donc la crise…

Quand la femme de Jean-Luc se souvint brusquement (et presque à regret) que dans leur aile à eux, il y avait un grenier bien vide à défaut d’être bien propre…. Peut-être que cette solution conviendrait au vieux sénateur ?

Elle lui convint !

 

Il n’emménagea pas seul, il fut accompagné d’une infirmière, d’une cuisinière et d’une femme de ménage. Trois femmes pour lui tout seul, ils les avaient choisi jeunes et plantureuses… Cela intrigua bien sûr Jean-Luc mais jamais il ne put constater quoi que ce soit de bizarre voir d’anormal dans les rapports entre ces dames et son oncle. Jean-Luc essaya même des les draguer, il en fut pour ses frais !

 

La vie s’organisa donc. Chacun vivait dans son aile, cela avait été convenu comme cela. Ils se voyaient de temps en temps, pas plus que ça. Mais il avait autre chose, et la première fois que Jean-Luc vit l’oncle déambuler de bon matin dans les couloirs en robe de chambre et charentaises, ni rasé, ni coiffé et probablement pas lavé non plus, il en fut stupéfait, lui qui avait l’habitude de voir son sénateur d’oncle toujours tiré à quatre épingles et propre comme un sou neuf

 

– Et bien mon oncle, que vous arrive-t-il donc ?

– Mais rien du tout, mon neveu, je me rends dans mon grenier, ne faites pas attention à moi !

 

Il resta un certain temps dans le grenier, personne ne savait évidemment ce qu’il y fabriquait, c’était généralement le matin qu’il s’y rendait mais pas forcément, et ses séjours y duraient parfois des demi-journées entières.

 

On le rencontrait ainsi marchant péniblement aidé de sa canne anglaise, il ne dérangeait personne, tenait malgré tout à préciser au cas ou on en aurait douté :

 

– Je vais à mon grenier !

 

ou alors :

 

– Je reviens de mon grenier !

 

Tout dépendait dans quel sens on le rencontrait ! Mais qu’il y aille ou qu’il en revienne, c’était toujours les mains vides !

 

Jean-Luc était intrigué par ce manège, il aurait bien été y frapper comme ça, un jour où le vieux y était, mais il n’osait pas, il n’avait jamais été très courageux, Jean-Luc. Pourtant il lui brûlait de savoir. Il avait le double des clés et s’était bien gardé de le dire à son oncle : Une nuit après s’être assuré que la lumière fut éteinte chez le tonton, il s’en fut dans le grenier : Cela faisait bientôt un an que le sénateur le visitait plusieurs fois par semaine : il entra : Des caisses, des cartons, des croûtes, quelques soit disantes sculptures hideuses, et puis des bouquins, des revues… tout cela était recouvert de poussières, il inspecta un peu les lectures, mais n’y trouva que du bien banal. Son regard fut attiré par un tabouret posé en dessous du vasistas, il s’approcha, constata qu’il était vierge de toute poussière, c’était donc là que le sénateur venait s’asseoir ! Et devant le tabouret, une espèce de grosse malle assez ancienne, au-dessus de cette malle un paquet ou plutôt un double paquet de revues, des Paris-Match et autres littératures de salles d’attentes sans doute conservés en raison de leur caractère historique, il en découvrit les couvertures, le premier homme sur la lune, l’assassinat de Kennedy, la mort de De Gaule, le mariage du prince de Monaco…

Le tonton venait donc ici pour lire tout ça, se remémorer les « grands » moments de l’histoire contemporaine ! Mais ça ne tenait pas debout ! Pourquoi alors ne les apportait-il pas dans ses appartements ?

 

A moins que… A moins que l’objet des visites sénatoriales ne soit non pas les revues posées sur la malle, mais la malle elle-même ! Mais bien sûr que c’était ça, il enleva les deux piles de revues, et tenta d’ouvrir la chose. En vain, il ne voyait même pas comment ce machin pouvait s’ouvrir, après une heure d’effort il y renonça.

 

Il revint plusieurs nuits de suite, sans plus de succès, il eut alors l’idée de se payer le luxe de demander les services d’un serrurier qui opérerait la nuit, il paya l’homme de l’art une fortune, mais ce dernier se révéla incapable d’opérer, cette malle restait un mystère ! Jean-Luc laissa donc tomber mais il enrageait secrètement quand il apercevait son oncle déambuler dans les couloirs avec son oeil malicieux, l’air de le narguer !

 

Et puis un jour le sénateur mourut !

 

Et c’est là qu’intervient (oh, si peu) ma modeste personne dans l’histoire car il se trouve que j’étais employé à l’étude du notaire chargé de la succession.

 

Succession par ailleurs catastrophique. Le sénateur laissait surtout des dettes…

 

coffre

Mais il y avait la malle…

 

Certes elle revenait de droit à Jean-Luc que son oncle avait rendu légataire universel, mais il fallait bien payer les frais de succession et pour les payer encore fallait-il savoir y compris ce que contenait cette malle mystérieuse ?

 

On en chercha d’éventuelles clés dans les appartements de sénateur, on n’en trouva pas !

 

Quelques semaines après le décès de Brossard, je fus donc chargé de m’occuper de l’ouverture de l’objet !

 

– Si on ne sait pas faire, on l’ouvrira à la scie circulaire !

 

Le notaire avait toujours été très romantique

 

Je trouvais dommage d’abîmer un si bel objet et découvrit sur les pages jaunes de l’annuaire téléphonique un spécialiste en serrures anciennes, lui envoyait un polaroïd de l’objet, il nous répondit qu’il connaissait ce genre de système et qu’il en aurait raison au bout d’un quart d’heure maximum. Je téléphonais à Jean-Luc qui en jubilait de bonheur. Je n’ai jamais aimé ce mec !

 

Il fut alors convenu que la malle serait ouverte avec une certaine cérémonie. On avait donc ce jour là préparé le grenier, il avait été balayé et débarrassé de ses toiles d’araignée les plus voyantes. Sur un petit guéridon avait été disposées pardessus une courte nappe blanche, quelques bouteilles de champagne et les coupes pour le sabler. Nous sommes arrivés vers 16 heures, le notaire, le serrurier et moi, la famille était au grand complet, c’est à dire Jean-Luc, son épouse, leurs quatre enfants et leurs époux et épouses respectifs et même quelques petits enfants, ça commençait à faire du monde.

 

Nous prîmes place autour de la malle et le serrurier s’apprêta à opérer. Manifestement l’affaire lui donnait du mal, tant et si bien qu’au bout du quart d’heure fatidique, rien n’était ouvert, mais comme il ne perdait pas espoir, alors l’assistance non plus. Je vous laisse imaginer le suspense ! Qu’allais t’on trouver là dedans ? Ce que le sénateur Brossard venait cajoler presque tous les jours, mais il venait cajoler quoi ? Des lingots d’or, des pièces, des bons du trésor, des bijoux anciens, des objets de collections extrêmement rares, des gravures de maîtres, des manuscrits authentiques, à moins que ce ne soit quelques secrets d’états glanés pendant sa carrière politique… non cette dernière hypothèse ne se prêtait guère à la négociation. Bref il ne restait qu’à attendre… dans quelques minutes tous ces gens sauf moi seraient riches et sablerait le champagne !

 

– Ça y est ! Clama enfin le serrurier en un soupir de victoire !

 

Et zlouf ! Tout le monde se rapproche de vingt centimètres !

Le couvercle se soulève, tout le monde se penche ! Il y a une toile qui empêche de voir à l’intérieur, et sur la toile une enveloppe.

Le notaire se saisit de l’enveloppe, et la décachète !

 

– Attendez ! Tente-t-il d’intervenir quand il voit quelqu’un retirer la toile de tissu, mais il est déjà trop tard, le contenu est dévoilé, tout le monde se penche !

 

Désarroi général !

 

– C’est quoi ce fourbi ?

– Il s’est foutu de nous le vieux !

– Attendez c’est peut-être au fond !

 

Et tout le monde de sortir de la malle, des objets les plus insolites que les autres, un chausse-pieds, un journal, un autre chausse-pieds, un paquet de cigarette entamé, un chausse-pieds, un briquet, un chausse-pieds, sans doute plus de cent chausse-pieds et des tubes de rouges à lèvres, des peignes, des brosses, des bibelots à quatre sous ! Personne ne fait attention à ces objets. On les sort, on les met à côté, et bientôt il faut se rendre à l’évidence la malle est vide, il n’y avait aucun trésor de caché !

Jean-Luc et son épouse sont blancs comme des linges, la déception est terrible ! Machinalement il ramasse l’un des chausse-pieds, il y découvre une minuscule étiquette : Corinne 5/82 ! Il ne comprend pas, il en ramasse un autre, chaque objet est étiqueté d’un prénom féminin et d’une date. Livide il se tourne vers le notaire !

 

– La lettre !

– La lettre ? Il n’y a rien d’intéressant !

– Il n’y a rien dedans ?

– Si ! Mais je vous dis…. rien d’intéressant !

– Dites toujours !

– C’est simplement marqué « Merci Mesdames ! »

 

On n’a pas bu le champagne, on a laissé la famille Brossard descendre de ses illusions ! Ainsi le sénateur gardait un souvenir de ces amours tarifés et venait s’en remémorer les meilleurs moments en farfouillant en solitaire dans sa malle !

 

Sacré Brossard ! L’histoire est finie mais je peux maintenant que j’ai depuis longtemps quitté cette étude y ajouter… qu’il y avait aussi une petite pochette dans la malle que j’avais lâchement chapardée :

Elle contenait diverses choses dans intérêt, mais il y avait aussi une collection de tickets de cinéma, notre sénateur grand croisé anti-porno fréquentait assidûment le cinéma érotique du boulevard St Michel celui qui se situait à quelques centaines de mètre du jardin du Luxembourg siège du Sénat (1). Et puis il y avait aussi un tout petit carnet, dans lequel Brossard avait noté quelques réflexions très intimes, ce n’était pas très intéressant à vrai dire sauf celle-ci en plein milieu :

 

« Lorsque j’ai voulu m’installer, je me suis achetée deux choses, un martinet et un chausse-pieds » Sophie 1975 »… ainsi quand il ne pouvait voler un objet, il volait alors des mots…

 

Estonius 5/2002

 

(1) Le cinéma dont il est question était Le Latin, 34, boulevard Saint-Michel., Paris 6ème, Ouvert en 1938, porno de 1972 à sa fermeture en 1994. Possibilité de voir deux films avec le même ticket. Fréquentés par quelques sénateurs venu du Luxembourg tout proche… Repris par Gibert Joseph qui y vend des CD et des DVD.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Estonius
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:04

Dépucelage bisexuel par Enzo Cagliari

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Rapide description du narrateur avant toute chose : Christophe, blond à lunettes, 34 ans et venant juste de fêter mon premier anniversaire de divorce.

 

Parfois, on ferait mieux de se taire ! Daniel était connu à la boite comme étant comme on dit « à voile et à vapeur », moi ça ne me dérange pas, j’ai les idées larges. Ce garçon était aussi d’une très grande gentillesse, il occupait les fonctions de chef de service et prodiguait en plus des cours de bureautique. Etant moi même responsable informatique, il nous arrivait assez souvent d’être en contact professionnel.

 

Je ne sais plus à quel occasion nous sommes venus à parler « de cul » comme on dit, je lui confiais à cette occasion que j’étais hétéro mais que si les circonstances s’y prêtaient, une expérience homo, après tout, pourquoi pas ?

 

– Une bonne bite à sucer, de temps en temps, ce n’est pas désagréable, crois-moi ! Me dit-il avec un grand sourire.

– Oui, faudra que j’essaie un jour…

– Tu l’as jamais fait ?

– Si au lycée.

– Et t’en garde un bon souvenir !

– Oui, j’avoue.

– Et te faire mettre, c’est aussi dans tes fantasmes ?

– Pourquoi pas ? Faut tout essayer, non ?

 

Je ne prenais aucun risque en tenant de tels propos, Daniel avait son harem féminin à peine caché et ses amis du même sexe, il n’avait pas besoin de moi.

 

Ce jour-là je déjeunais avec lui dans une petite brasserie où nous avions nos habitudes.

 

– J’ai une vieille chaudière dans ma cave, l’ancien proprio devait me la faire enlever, mais il ne l’a jamais fait et je n’arrive plus à le joindre. Ça m’encombre et j’ai besoin de la place, mais je ne sais pas comment m’en débarrasser, Peut-être en la démontant ? Me raconte Daniel tout en se goinfrant son plat de tagliatelles.

 

Je ne sais pas quoi lui répondre et d’ailleurs, je m’en fous complètement de sa chaudière.

 

– Mon pote Patrick m’a proposé de passer voir ça samedi, mais je me méfie, il n’est pas trop bricoleur. Tu fais quoi toi, samedi ?

– Rien de spécial ! Ais-je la « faiblesse » de répondre.

– Tu ne pourrais pas passer vers 10 heures, on verra ce qu’on peut faire, à midi ça devrait être fini et ma femme nous fera une petite bouffe. Et puis tu verras, elle n’est pas farouche, ma femme… et elle a les idées larges.

 

Pas farouche ? Je n’ose lui demander à quel point.

 

Mais toujours est-il que nous donnons rendez-vous pour ce samedi.

 

Il me présente son épouse, Noémie est une jolie petite femme brune aux yeux malicieux. Elle est très souriante, très douce. Elle a de jolies formes. On échange quelques banalités d’usage, puis son ami Patrick arrive, brun, beaucoup de cheveux, look d’artiste : Présentations…

 

– Fais gaffe à ton cul ! Me prévient Daniel sur le ton de la plaisanterie. Patrick est à moitié pédé.

– Mais je n’ai jamais violé personne ! Répond l’intéressé sur le même ton.

– Je vous ai préparé des fringues pour vous changer, parce qu’on va se dégueulasser. Nous informe Daniel.

 

OK, on se change, on descend dans la cave. Je regarde le machin, effectivement, on peut démonter pas mal de pièces, ce qu’on fait. On porte tout ça dans le break de Patrick en protégeant bien tout ça avec des papiers journaux et des chiffons. Reste la carcasse indémontable, mais ainsi désossée, elle n’est plus très lourde mais encombrante, on la sort de la cave avec difficultés. Puis direction la décharge, et retour à la maison, il ne reste plus qu’à se doucher.

 

Daniel va chercher un sac en plastique afin de remiser nos fringues sales. On se déshabille donc dans la salle à manger, et là j’ai la surprise de voir Daniel se mettre complètement nu.

 

Il est entièrement épilé, assez fin, presque troublant.

 

– On va prendre notre douche ensemble, on est entre hommes, non ? Déclare-t-il.

 

Je lorgne sur sa queue, je ne sais pas ce qui m’arrive, ce doit être instinctif. Patrick se retrouve à son tour à poil. J’ai maintenant deux queues à mater. Je commence à bander, j’hésite à me dévoiler dans cette posture !

 

– Ben alors, tu fais ton timide ! Me lance Daniel.

 

Je me jette à l’eau et envoi valser mon caleçon à fleurs. Daniel se tourne un instant pour je ne sais quelle raison, me montrant son cul. Un petit cul bien cambré, un vrai petit cul de gonzesse. Du coup c’est la catastrophe, je bande désormais comme un sapeur.

 

– Humm, tu m’as l’air en forme, toi ? Tu penses à quoi là ? Me charrie Daniel.

– A rien !

– Elle est jolie ta bite ! Qu’est ce que tu en penses, Patrick.

– Très jolie ! Confirme ce dernier.

 

Les orientations sexuelles de Daniel, que j’avais un peu zappé, me reviennent comme un flash en mémoire. Comme me reviens ce que j’avais eu l’imprudence de lui répondre. Je sens qu’une machine infernale est enclenchée et que je ne sais pas comment l’arrêter. Mais sa femme ? Ben oui sa femme, Daniel ne va tout de même pas m’enculer alors qu’elle fait la cuisine et qu’elle peut revenir à n’importe quel moment ? Voilà qui devrait me rassurer… Mais il m’a dit aussi qu’elle n’était pas farouche ! Son ouverture d’esprit irait donc jusque là ? Non, je n’y crois pas !

 

Voici des pensées qui vont très vite, et qui ne résistent pas à la réalité. Parce que figurez-vous qu’en ce moment précis, Daniel a pris ma bite dans sa main avec un air faussement dégagé :

 

– C’est mignon tout ça !

 

Et voilà qu’il commence carrément à me masturber. Et je n’ai même pas protesté.

 

Je ne proteste pas non plus quand Patrick, passe dernière moi et me pelote les fesses. Je ne proteste pas davantage quand Daniel s’accroupit devant moi pour me sucer, ni quand le doigt se Patrick s’enfonce dans le trou de mon cul avant d’aller et venir. Je me pâme d’aise, mais voilà que Noémie sort de sa cuisine…

 

– Bon les mecs, qu’est ce que vous foutez ? Dépêchez vous d’aller vous doucher, sinon la bouffe va être trop cuite, vous aurez le temps de faire les pédés après manger !

 

C’est fou d’entendre ça !

 

– On y va, on y va ! Répond Daniel, très égrillard.

 

Son carré de douche est effectivement très grand, mais à trois ça fait quand même un peu juste.

 

– Allez-y, je passe en dernier ! Propose Patrick.

 

Me voila donc face à face avec Daniel, on se savonne, sans me demander mon avis il me passe de la mousse sur le corps, en profite pour me pincer les tétons, une caresse auquel je ne sais pas résister, et me revoilà en train de bander. Je caresse mon partenaire à mon tour, ma main enserre sa bite, une envie aussi subite qu’irrésistible me fait me baisser afin de la sucer, mais j’y renonce aussitôt, sucer du gel douche n’ayant rien d’agréable.

 

– Si on s’attarde de trop, Noémie va rouspéter. On reprendra tout ça cet après-midi. Tu voudras que je t’encule ?

– Pourquoi pas ? On pourra essayer ! M’entendis-je répondre sans aucune hésitation.

– T’aimes ça une bonne bite dans le cul ?

– Je ne l’ai jamais fait mais j’ai vraiment envie d’essayer.

– Rassure-toi, je vais te faire ça comme il faut… et puis ça va être la fête, ce n’est pas tous les jours que j’ai l’occasion d’enculer un puceau.

 

Je finis de me rincer, excité comme une puce et sors de la douche avec une érection de compétition.

 

Patrick s’en aperçoit, bien sûr !

 

– Hé, hé ! Commente-t-il simplement.

 

Daniel voulait qu’on reste à poil, mais Noémie nous informa que le couvert avait été dressé dehors sur la table de jardin. On a donc remis nos caleçons. Noémie quand a elle nous a fait une jolie surprise, elle a en effet troqué son tee-shirt contre un petit haut bien transparent sous lequel elle n’a pas mis de soutien gorge, et son pantalon contre une petite jupette qui ne cache rien du haut de ses cuisses. Et devinez quoi, elle se place juste en face de moi !

 

Le repas est délicieux, mais simple et modérément arrosé. Je comprendrais un peu plus tard que c’était parfaitement volontaire, l’objectif étant de nous garder en forme pour l’après midi. On parle de tout et de rien, de pinard, de football (je n’y connais rien), de boulot (la barbe) mais pas de sexe, enfin presque pas. Noémie nous a expliqué qu’en principe les voisins ne peuvent pas nous voir, sauf si l’idée leur venait de grimper dans les arbres pour cueillir des fruits ou pour tailler des branches. Autrement-dit, il nous faut rester sage jusqu’au café.

 

– Et pourquoi jusqu’au café ?

– Parce que le café, nous le prendrons à l’intérieur ! Réponds Noémie, malicieusement.

– Tu sais que Christophe est puceau du cul ! L’informe Daniel.

– Et vous allez le dépuceler ?

– Oui, il a dit qu’il était d’accord !

– Chic alors, il paraît que ça porte bonheur !

 

On est donc rentré après avoir dégusté un excellent clafoutis et on s’est installé autour de la table basse.

 

– Je vais faire le café, mettez vous à poil tous les trois et ne commencez rien sans moi ! Nous indique la maîtresse de maison.

 

On se remet à poil, curieux round d’observation où chacun lorgne la bite des autres. Un ange passe.

 

Noémie revient avec le café et le sert.

 

– On y v a ? Propose Daniel.

– Non, vous avez voulu du café, Donc on boit le café d’abord ! Répond Noémie.

 

Il ne me semble pourtant pas que quiconque ait réclamé ce café qu’elle nous a fait d’office. Toujours est-il que nous fûmes au moins trois à l’avaler bouillant.

Daniel

 

Noémie se lève et s’approche de moi :

 

– Lève-toi, s’il te plaît !

 

Comme un automate, j’obéis.

 

– Déshabille-moi !

– Que je vous déshabille ?

– Oui, que tu me déshabilles ! Et puis je t’en prie laisse tomber le vouvoiement.

 

Je n’avais pas du tout imaginé cette tournure, mais elle n’est pas pour me déplaire. Je commence donc par lui enlever son petit haut transparent en le faisant passer par-dessus des épaules. Et voila la jolie Noémie, les seins à l’air.

 

– Je n’ai pas le droit de toucher, je suppose !

– Mais si, tu peux toucher, caresser, lécher, sucer… ça m’excite et ça excite mon mari.

 

Voilà une autorisation dont je ne vais pas me priver, je la caresse, je la tripote, je m’amuse avec ses tétons, je les mets en bouche, les suçotent un petit peu. J’ai soudain envie de l’embrasser mais sa permissivité et celle de Daniel va-t-elle jusque là ?

 

Tactiquement je lui fais des bisous dans le cou, puis je remonte un peu, nos bouches sont très proches l’une de l’autre. Je n’ose pas, j’attends un signal. Ses lèvres s’ouvrent, c’est bon, on se roule une pelle, je bande, mais je bande, c’est dingue !

 

Je jette un coup d’œil aux deux autres zigotos qui sont en train de se faire une branlette mutuelle.

 

J’enlève la petite jupe de Noémie, elle n’avait pas de culotte et se retrouve donc quasiment à poil à l’exception de ses Dim-Up.

 

Bien sûr, je lui pelote ses petites fesses bien cambrées, puis je me baisse pour lui embrasser le pubis.

 

Mes lèvres s’aventurent un peu plus bas, je lui écarte ses lèvres vaginales, fourre ma langue dedans, me régale de ses sucs, puis m’attarde sur son clitoris.

 

– Stop ! Me dit-elle, il faut que je fasse un petit pipi.

 

Je pensais qu’elle allait se diriger vers les toilettes. Mais pas du tout ! Madame avise un compotier, en retire les deux ou trois pommes qu’il contenait, le pose par terre, s’accroupit dessus et pisse dedans. Quelle cochonne !

 

– Tu veux que je m’essuie ou je reste comme ça ?

– Je ne sais pas… balbutiais-je.

– Alors je reste comme ça ! Je vais m’assoir, ce sera plus pratique.

 

Effectivement. Elle s’affale dans un fauteuil et ouvre les cuisses.

 

– Allez, viens mon salaud, viens lécher ma pisse, fais-moi jouir, fais-moi jouir devant mon mari, et après c’est toi qui va passer à la casserole, il va bien t’enculer avec sa bonne bite.

 

Ce déchainement de vulgarité assez inattendu ne me dérange pas vraiment et je reprends ma besogne, lapant et me régalant de l’urine imprégnant sa chatte avant d’attaquer son petit clito décapuchonné. Assez vite sa respiration devient saccadée.

 

– Vas-y, vas-y, comme ça c’est bon ! Vas-y, Aaaaahh !

 

Madame à la jouissance bruyante !

 

Pendant qu’elle récupère, je m’interroge sur la suite, j’ai une envie folle de la pénétrer, mais je n’ose ! J’attends donc qu’elle me guide.

 

– Pouuuuh ! Tu m’as bien fait jouir, toi ! Viens me faire un bisou.

 

On y va et c’est reparti pour une nouvelle pelle bien baveuse, au terme de laquelle elle me dit :

 

– Et maintenant tu vas aller leur sucer la bite !

 

Ben, oui ! Et j’y vais. Je commence par celle de Daniel, uniquement parce qu’il est le plus près.

 

Petits coups de langues, sur la verge, sur le gland, cela me permet d’admirer la chose de tout près, une belle bite bien droite, bien tendue, bien nervurée et joliment terminée par un beau gland sombre et brillant. J’ouvre une large bouche puis me met à sucer. J’essaie d’imiter les mouvements de lèvres et de langues vus sur des vidéo coquines. Je me régale, ça me plait, aussi bien sexuellement que psychologiquement. Ce n’est quand même pas si souvent que j’aurais l’occasion de sucer la bite d’un collègue devant sa femme à laquelle je viens de prodiguer un broute-minou !

 

– Celle de Patrick, maintenant !

 

Bon, puisque c’est elle qui décide, on y va, j’avais déjà sucé quelques biroutes quand j’étais étudiant, la chose m’avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vite assagi quand j’ai rencontré Viviane (Viviane, c’est mon ex). Me remettre à sucer des bites 15 ans plus tard a quelque chose de magique, et celle-ci est bien agréable à sucer, je savoure cette jolie quéquette, m’enivrant de cette douce texture. Mais les meilleures choses ont une fin.

 

– C’est bon, tu l’as assez sucé ! T’aimes ça sucer des bites, hein petite pédale ? Me dit Noémie.

– C’est vrai que c’est bien agréable !

– Mets-toi en position, Maintenant on va t’enculer.

 

Je n’hésite même pas, je me mets en levrette, j’écarte les jambes et les fesses, j’attends… pas longtemps, mais ce n’est pas la bite de Daniel qui vient me titiller l’anus mais la langue de Noémie. Elle virevolte autour de mon œillet, je crois bien qu’on ne m’avait jamais fait ça. C’est son doigt qui maintenant a pénétré mon trou de balle. Ça va et ça vient, je sens un deuxième doigt. Puis elle enlève tout-ça.

 

– Ne bouge pas conserve la position. Ecarte bien ton cul avec tes mains.

 

J’obéis. L’humiliation de la situation (et de la position) m’excite terriblement, je me sens chienne, c’est une découverte !

 

Elle chuchote quelque chose aux autres hommes et quitte momentanément la pièce.

 

Elle revient harnachée d’un gode-ceinture.

 

– C’est pour faire le passage ! Me dit-elle en rigolant.

 

Ah, bon ?

 

Elle encapote le gode, en enduit l’extrémité d’une noix de gel intime, elle n’a plus qu’à l’approcher du trou de mon cul et à me pénétrer.

 

Ça y est, je l’ai dans le cul, son machin. Au début ça m’a fait drôle, me demandant quel plaisir il pouvait y avoir à se faire enfiler ce genre de chose dans un orifice qui n’était pas fait pour ça. Ça ne me faisait pas mal, non, ça me gênait, ça m’encombrait.

 

Et puis la sensation a vite changé, je n’ai plus trouvé ça désagréable, et des petits frissons de plaisirs ont commencé à m’envahir.

 

– Vas-y c’est bon, continue !

 

Sauf qu’elle n’a pas continué, elle s’est retirée, jouant les grandes dames :

 

– Messieurs, il est à vous.

 

Tout juste sil elle n’a pas fait une révérence.

 

J’ai conservé la position, j’ai senti le gland de Patrick quémander l’entrée de mon anus, puis y entrer, s’enfoncer et me pilonner. La sensation est différente d’avec le gode, d’abord, c’est vivant et puis psychologiquement, c’est autre chose, je me fais maintenant enculer pour de vrai, et cela m’excite.

 

J’ai senti Patrick jouir dans mon cul, il a laissé la place à Daniel qui l’a un peu plus grosse. Ce fut divin.

 

Et pendant que mon collègue me pilonnait le cul, m’envahissant d’ondes de plaisir, Patrick sodomisait Noémie avec fougue. Celle-ci jappait, haletait, appelait sa mère et finit par jouir dans un cri de fauve avant de s’affaler comme une chiffe molle.

 

En se retournant, elle ôta la capote se son partenaire et lui nettoya la bite de son sperme, manifestement elle se régalait.

 

Daniel sorti a son tour de mon cul, je n’avais pas joui, mais n’en étailt pas loin, c’est Noémie qui me fit conclure en me prenant ma queue en bouche, avant de me rouler une pelle au gout particulier.

 

Elle s’en alla ensuite en cuisienne chercher du Champagne qu’elle versa dans les coupes.

 

Elle nous les distribue. On va pour trinquer….

 

– 1, 2, 3. Commence-t -elle

– ?

– Il est des nôootres, il s’est fait enculer comme les oooootres…Chante en chœur le joyeux trio.

– C’est malin !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 17:01

 

Partie de campagne (Maryse) par Enzo_Cagliari

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Paul était un ami d’enfance que j’avais un peu perdu de vue, il s’était retiré dans un petit village du Lot où il s’était installé comme vétérinaire. Son mariage avait rapidement foiré et il vivait seul. Passant dans le coin pendant mes vacances, je lui annonçais mon arrivé au dernier moment pensant lui faire une bonne surprise.

Il m’expliqua alors qu’il ne pouvait pas m’héberger, ne disposant ni de chambre d’amis, ni de canapé d’appoint mais qu’il me présenterait à ses parents, un couple d’horticulteurs, etc… etc…

Ce plan alternatif ne m’enchantait guère mais je m’y résignais.

Paul me présente ses parents, fin de quarantaine tous les deux, sympas, Maryse une grande brune un peu potelée et son mari Marcel. La maison est grande et il y a une petite piscine où nous avons profité du soleil.

Maryse était allongée sur un matelas, sur le ventre. Le soleil chauffait les corps et peut être aussi les esprits ! Toujours est-il que ce qui se passa à ce moment fut tout aussi inattendu qu’agréable.

Lassé du soleil, Paul et Marcel décidèrent de rentrer se mettre au frais pour entamer une longue partie d’échec. Je restais donc là, alangui à deux mètres de Maryse, toujours sur le ventre.

– Alors Gilles, vous appréciez la piscine ?
– Oui madame, merci pour l’invitation !
– Soyez gentil de me passer l’huile solaire s’il vous plaît ?
– Bien sûr ! Tenez !

Délicatement, la mère de Paul dévissa le bouchon et entreprit de se masser les cuisses.

– Je n’arrive pas à me masser le dos, je peux vous demander de m’aider Gilles ?
– Bien sûr.

Je me positionnais donc à côté de Maryse et huilais abondamment mes mains. Celles-ci glissaient entre le haut de son slip et son haut de bikini. Maryse était vraiment très belle encore. Cette femme de 45 ans avait gardé une taille de guêpe et sa poitrine était très voluptueuse, enserrée dans son petit bikini. Mes mains huilaient maintenant les dos de ses cuisses, un endroit qui pourtant ne nécessitait pas qu’on y revienne. Mais bon, mes mains massaient délicatement les jambes et s’arrêtaient bien avant l’entrecuisse.

– Ça ne vous dérange pas si je dégrafe mon soutien-gorge ?

Je ne répondis pas ! Elle n’avait d’ailleurs pas attendu ma réponse ! Elle était maintenant sur le ventre, accoudée, la tête en avant laissant apparaître sa nuque délicate. Cette position faisait apparaître ses seins lourds mais fermes. Mes mains glissaient maintenant sur son dos et entouraient sa taille. En remontant, ils effleuraient le côté des deux seins. J’aurais parié qu’elle ne s’en rendait pas vraiment compte mais elle écarta ses deux jambes subrepticement. Mes mains flirtaient maintenant avec ses cuisses mais remontaient plus avant et effleuraient l’entrejambe de Maryse. Elle se retourna avec un sourire et écarta ses jambes un peu plus comme une invitation, un encouragement. J’osais donc l’impensable et frottais ostensiblement l’entrecuisse de Maryse. Mes doigts coulissaient doucement sur le tissu ce qui mettait en valeur la fente de la chatte de Maryse.

Inutile de dire que mon sexe était depuis longtemps en érection, turgescent et je sentais couler, les prémices du plaisir. J’aventurais un doigt sous le tissu et je rencontrais dans cette position immédiatement l’ouverture de son vagin. Mes caresses visiblement ne la laissaient pas indifférente ! Mon doigt coulissait doucement et l’huile rendait cela très agréable. En remontant vers l’avant, j’atteins son clitoris, ce qui induit un petit gémissement de la mère de Paul. Vers l’arrière, j’atteins son anus et je me rendis compte que cette zone ne lui était pas insensible non plus ! Les pointes de ses seins se durcissaient comme ma bite qui maintenant se dressait comme pour sortir de mon slip.

Un bruit de pas, de conversations et la certitude que la partie d’échec était terminée mit un point final à ce petit jeu qui nous laissait sur notre faim. Il était tard maintenant !

– Vous restez pour dîner, Gilles ?
– Volontiers, je vous en remercie.

Le dîner fut convivial. Maryse, en face de moi me dévisageait tellement (ou du moins il me le semblait) que j’avais l’impression que tout le monde s’en apercevait. Si c’était le cas, ils ne s’en émouvaient pas particulièrement. Paul à ma gauche et Marcel à ma droite se taquinaient en commentant la partie d’échec. Maryse n’était pas concernée par la discussion. Elle était resplendissante. Elle avait revêtu pour le dîner une petite robe très courte qui laissait libre ses belles épaules et qui moulait, ses seins laissés libres en la circonstance. Le repas se déroulait bien quand je sentis sur ma jambe, le pied de Maryse. Celui-ci remontait doucement le long de mes jambes nues (en effet je ne portais qu’un bermuda très ample). Elle remonta assez haut pour toucher de son orteil mes couilles pleines du jus qu’elles n’avaient pas pu évacuer précédemment. Les petits mouvements des orteils sur mes couilles et le long de la hampe de ma verge faisaient bien plus que m’émoustiller. Mon sexe, de nouveau bandait fort. J’étais gêné et redoutais que l’on s’en aperçut ! Mais non ! Mes voisins vaquaient à leurs débats passionnés.

Je fis tomber mon couteau, prétexte que je trouvais bien commun, pour regarder sous la nappe. Maryse avait bien compris le message et entrouvrit ses cuisses pulpeuses. Par un geste furtif de sa main, elle dévoila sa chatte poilue et humide. Sous peine de passer pour un plongeur sous-marin en exercice, je me relevais et là encore, restait interloqué et insatisfait. Paul me sortit de ma torpeur.

– Maryse et Marcel sont d’accord pour que tu passes la nuit ici, tu seras mieux qu’à l’hôtel !

J’acceptais, puisque c’était plus ou moins ce qu’avait prévu Paul. Appelé pour une urgence, ce dernier nous quitta

– On se verra demain ! Dit-il simplement

Après une peu intéressante soirée télé où mes pensées flottaient entre l’épisode piscine et l’intermède repas, tout le monde décida de monter se coucher. On me montra ma chambre, je me débarrassais de mon bermuda et vêtu de mon seul caleçon, je me dirigeais vers les toilettes quand je croisais Maryse qui en revenait. Elle portait maintenant un petit string transparent sous une nuisette non moins transparente. Le galbe de ses cuisses, sa taille fine, son cul parfait et ses seins, oui vraiment, elle n’avait rien à envier aux demoiselles qui étaient jusqu’alors passées au fil de ma queue.

– Bonne nuit Gilles ! Me dit-elle en me gratifiant d’un petit baiser tendre et superficiel sur les lèvres.
– Bonne nuit Madame !
– Laisse tomber le « Madame », appelle moi Maryse.
– Bonne nuit, Maryse
– Je me serais bien laissé tenter par un petit plan coquin à deux, mais Marcel n’appréciera peut-être pas, par contre à trois, ça te dirait ?
– Euh…
– Si Marcel est d’accord, je t’appelle !

Je me demandais si je ne rêvais pas et m’allongeais sur le lit, je ne cherchais pas à m’endormir et me demandais si ce plan allait ou non se concrétiser. J’entendis alors Maryse m’appeler :

– Si tu veux, viens nous rejoindre dans cinq minutes !

J’attendis donc avant de m’approcher. Maryse était nue, allongée sur le côté et son mari, Marcel lui ramonait la chatte sans ménager sa peine. Il relevait avec ses mains la cuisse de Maryse ce qui faisait apparaître sa chatte totalement glabre. La bite de Marcel limait fort. Sa bite me sembla très grosse, plus que la mienne en tout cas et elle luisait maintenant du jus de Maryse.

Elle jouit beaucoup dans de grands cris qu’elle ne chercha pas à dissimuler.

– Entre, Gilles !

Cette fois c’est Marcel qui m’invitait à entrer. Je pénétrais donc penaud dans la chambre.

– Ne sois pas timide. Approche. Tu la trouves comment Maryse ? Demanda-t-il en passant sa main sur les fesses de sa femme.

– Elle est très belle, monsieur !
– Bien sûr ! C’est une belle salope ! Maryse, écarte ta chatte et montre-la à Gilles

Maryse divergea ses jambes, et de ses doigts, écarta ses lèvres roses

– T’as déjà vu une chatte poilue comme ça ?

Il joignait le geste à la parole et caressait doucement la moule de sa femme.

– Ben non, maintenant toutes les filles se rasent…
– T’aimerais la lécher ?
– Voilà une proposition que je ne saurais refuser ! Répondis-je en paraphrasant Marlon Brando dans « Le Parrain »
– Maryse, allonge-toi sur le ventre et cambre bien ton cul. Gilles va te lécher ta chatte et ta rondelle aussi pendant qu’on y est

Elle s’exécuta et j’avais maintenant devant moi, offerte, une magnifique femme mature qui m’exhibait sa chatte luisante. Je m’approchai et palpais ses fesses tout en les écartant doucement. Son trou du cul tout brun était magnifique et sentait légèrement le caca. J’entreprenais de lui fourrer ma langue bien profondément rencontrant un gout acre mais qui me plaisait bien. Ma langue commença à lécher le fion offert puis ma langue l’encula doucement. Après un long moment, je descendais vers sa chatte qui dégoulinait du foutre de son mari. Cela ne me dérangeât pas plus que cela et j’enfonçais ma langue dans son vagin. Le goût du foutre de Marcel ne me parut pas désagréable. Pendant que je léchais la chatte, le mari enfonça un doigt profondément dans le cul de sa femme et après l’avoir fait aller et venir le retira, légèrement pollué de matière avant de lui donner à lécher. Je bandais comme un taureau et son mari commençait à récupérer de sa cavalcade. Son sexe recommençait aussi à durcir. Maryse se retourna subitement et nous regarda.

– Je suis gâtée aujourd’hui ! Deux bites rien que pour moi !

Et elle joint le geste à la parole en attrapant nos deux queues. Elle se rapprocha et entreprit de nous sucer alternativement. Sa bouche enfournait ma queue, pendant que ses mains asticotaient mes couilles qui commençaient à me faire mal. Sa science visiblement consommée de la fellation et son habilité m’amenaient de nombreuses fois près de l’extase sans m’autoriser à m’y abandonner. Tout en me suçant, elle branlait vigoureusement la queue de son mari.

– Maintenant il est temps que tu baises ma femme.

Oui, il était temps ! Je n’en pouvais plus ! Maryse se redressa, prit ma bite dans sa main et la dirigea vers sa chatte trempée. Elle était maintenant à califourchon. Pendant que je la baisais comme un salaud, en essayant de me retenir désespérément, son mari positionné derrière elle lui caressait le cul. Sa main, descendant plus avant commença à caresser mes couilles.

– Tu aimes ça ?
– Euh, ce n’est pas désagréable !
– Je vois que tu es un sensuel. Maryse allonge-toi sur lui que je t’encule. Proposa Marcel.

Maryse se positionna et son mari bien délicatement, doucement mais profondément l’encula. Il ramonait bien et je sentais à travers le vagin de sa femme, les coups de butoir de sa grosse bite. Maryse gémissait, hurlait même de plaisir.

– Ah ! Je veux boire votre foutre !

Elle desserra les étreintes et vînt positionner sa tête en dessous de nos deux bites. Elle prit la main de son mari et la dirigea sur ma bite. Marcel me branlait et j’aimais ça ! Je jouis le premier. Le jet chaud et copieux fut avalé goulûment par Maryse. Elle appuya sur la tige de mon vit et récupéra le dernier jet.

– C’est bon tu sais Gilles, tu en veux ?

Je restais interloqué par la question. Quelques gouttes de sperme, pourquoi pas, mais là…. Sans attendre ma réponse, elle m’allongea sur le lit et positionna Marcel au-dessus de moi. Ses grosses couilles pendaient alors que Maryse le branlait énergiquement. Je ne sais ce qui me prenait mais je commençais à caresser les couilles lourdes de Marcel. Sa bite palpitait. Dans un râle de plaisir, il commença à éjaculer. Le flot inonda ma figure. Maryse avidement lécha le foutre et quand elle eut tout récupéré, elle me roula un voluptueux patin où salive et foutre se mêlaient intimement. Elle se releva au-dessus de moi et laissa couler le reste de sa salive que j’avalais avec plaisir.

Cette première expérience de plaisir total était extraordinaire. Mais il était dit que le répit ne durerait pas.

Le temps de reprendre nos esprits et de fumer une cigarette et soudain Maryse me fit cette surprenante proposition

– Ça te dirait d’enculer mon mari ?

Maryse

Maryse, là encore me surprenait. Mais ma réaction aussi. J’étais dans un état d’excitation où les tabous n’existaient plus.

– Il adore ça ! Renchérit-elle. N’est-ce pas Marcel ?
– Bien sûr, je suis un vieux cochon ! Répondit l’intéressé.
– Pourquoi pas, ça sera une première ! Approuvais-je sans ambages

Maryse découvrit de dessous la tablette de sa table de chevet un tube de gel lubrifiant entamé.

– Tu sais, dit Maryse, j’encule Marcel assez souvent ! Il adore jouir du cul. Pour cela j’utilise ce petit joujou ! Précisa-t-elle en sortant de je ne sais où, un gode très réaliste.

Elle déposa un peu de gel sur ses doigts et enduit soigneusement la rondelle de son mari. Son cul était d’ailleurs très accueillant puisque Maryse introduisit ses trois doigts sans problème. Elle enduit ensuite ma bite de vaseline.

– Vas-y ! Bourre-lui bien le cul ! Vide tes couilles dans le fion de Marcel ! Dit-elle, visiblement excitée à l’idée de voir son mari se faire enculer par un homme.

Je me positionnais en face de sa rondelle et pénétrais doucement.

– Vas-y plus fort !

Je l’empoignais par les hanches et l’enculais maintenant bien profondément. Je le ramonais à fond, poussant vers l’avant. Le contact de mes couilles avec ses fesses était agréable. Sa bite était au repos et mes mains, tout en le sodomisant s’activaient et palpaient sans vergogne sa bite et ses couilles pendantes dans cette position. J’étais maintenant sur le point de jouir et Maryse, en grande experte s’en était aperçu.

– Ne jouis pas encore, ralentis, reste dans son cul.

J’obéis et alors que je récupérais mon self control, elle saisit le gode

– Toi aussi tu vas y goûter ! Je vais t’enculer pendant que tu encules Marcel.

J’eus un instant l’envie de refuser quelque chose qui m’avait toujours, du moins en théorie, répugné. Et puis non, dans cette folie ambiante, je ne répondis pas ce qui constituait un acquiescement ! Elle s’approcha de mon anus avec le gode lubrifié et pénétra doucement un petit centimètre. Dire que cela me plût immédiatement serait mentir. Je sentais une douleur aiguë. Mon anus vierge souffrait malgré le tact et l’expertise de Maryse. Mais, doucement la douleur s’estompa et une sensation qui n’était pas encore du plaisir mais qui néanmoins n’était pas désagréable m’envahit. Son gode était maintenant bien dans mon anus pendant que je ramonais toujours Marcel qui semblait adorer. Maryse maintenant m’enculait bien profond et je commençais à apprécier. Par en dessous elle touchait mes couilles et la base de ma bite à chaque va-et-vient. J’allais exploser et elle le sentit.

– Viens dans ma bouche.

Je sortis de Marcel alors que le gode était toujours dans mon cul. Elle me branla tout en maintenant le gode dans mon fion. Dieu que c’était bon.

– Laisse m’en un peu !

Marcel venait de se positionner près de la bouche de Maryse et voulait visiblement sa part de ma semence. Celle-ci ne tarda pas. Elle fut abondante et tous les deux se délectèrent de mon foutre chaud. Je me laissais tomber sur le lit, exténué, les yeux fermés. Je fus sorti de ma torpeur par la vision de Paul se branlant à quelques centimètres de mon visage. Une sorte de réflexe me fit ouvrir la bouche, et pour la première fois de ma vie, je suçais la bite d’un homme. C’était doux, c’était chaud… et délicieusement pervers. Très vite il éjacula me tapissant le palais de son foutre que j’avalais sans broncher.

Quelle aventure ! Mais maintenant l’envie d’uriner me tenaillait.

– Où tu va ? Demanda Maryse, qui s’en doutait un peu
– Pipi !
– Pisse-moi dans la bouche.

Maryse ne posait pas une question, c’était un ordre. On descendit du lit et je lui pissais donc dessus sans effort. Elle positionna sa bouche sous le jet fourni et avala goulûment.

– La prochaine fois, j’inviterai le père Michel à se joindre à nous. Il a une belle queue et il adore enculer les hommes jeunes, ça t’intéresse ?

Je n’ai pas répondu, mais je n’ai pas dit non.

Une question me taraudait pourtant :

– Et Paul dans tout ça ?
– Il est débordé, en plus de son boulot, il lui faut entretenir sa baraque qui s’en va à vau-l’eau depuis que sa copine l’a quitté. Mais bon j’espère que demain il pourra se libérer. Il y a longtemps que je ne lui ai pas sucé la bite !
– Quoi ?
– Oh, Pardon, je ne voulais pas te choquer !
– Je ne suis pas choqué ! Mentis-je
– Alors tout va bien !

Je retournais dans ma chambre, exténué, me demandant si demain, je partirais à l’aube ou si je resterais une journée supplémentaire…

D’après vous ?

Fin de l’épisode

 

Note : Ce texte est une réécriture d’une nouvelle anonyme intitulé « Une famille sympa » dont la dernière apparition sur le net date de 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 16:57

Le patio par Enzo Cagliari

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ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

 

Non ce n’est pas un rêve, c’est juste un souvenir à la fois fort et insolite

 

Je venais de terminer la construction d’un petit patio dans la maison de campagne de ma copine Laetitia.

 

Laetitia est une belle brune, complètement délurée et qui, allez savoir pourquoi rêve de se mettre en ménage avec moi. Moi, je l’aime bien comme copine et j’aime bien faire l’amour avec, mais je ne sais si je supporterais ses fantaisies en permanence.

 

Il était environ 16 heures. Après avoir pris une bonne douche, je m’étendis dans le hamac que nous avions installé sur le patio et en ai profité pour faire un somme pendant que ma copine allait faire un petit tour en ville afin de ramener de quoi dîner.

 

Dans mon sommeil, je sentis une main qui parcourait mon corps. J’ouvris les yeux et je vis ma belle Laetitia étendue face à moi dans le hamac qui me flattait l’entrecuisse tout en se masturbant, et surprise des surprises, elle était complètement rasée, chose que je lui avais demandé depuis plusieurs mois sans résultat.

 

Beau spectacle que de voir sa copine nue et sans aucun poil se masturber et en jouir. Je lui flattai les cuisses de mes mains et elle les écarta doucement pour me donner une meilleure vue. Pendant qu’elle frottait son clitoris tout rose, elle s’enfonça un, puis deux doigts dans son vagin en un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide. Après quelques minutes de ce manège et tout en continuant à se masturber, elle mit ses doigts dans sa bouche pour lécher son propre jus. Ne voulant pas être en reste, je pris mon pénis à pleine main et commençai à me masturber lui donnant un spectacle à mon tour. Quand l’ombre d’un grand black au loin me fit hésiter à continuer.

 

– Le jardinier risque de nous voir !

– Albert ? Et alors il n’en perdra pas la vue ! Il a le droit de mater les belles choses, ce brave homme. Tu sais qu’il a une très belle bite, hier je l’ai sucé et après il m’a enculé, c’était super !

 

Quelle belle salope !

 

Puis ce tournant vers de dernier elle lui cria :.

 

– Vous pouvez regarder, Albert, mais restez à distance. Si vous voulez vous branler, ne vous gênez pas, mais ne jouissez pas on aura peut-être besoin de vous..

 

Nous avons continué à nous caresser et à nous tripoter lorsque j’entendis un bruit vers l’entrée de la maison (il faut vous dire que la maison de Laetitia est retirée et l’accès est très difficile en voiture, les visiteurs doivent parcourir les derniers 500 mètres à pied). Donc, j’entendis un bruit et mon regard se porta dans cette direction : quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver deux femmes, une grande rousse toute frisée d’une trentaine d’année, accompagnée d’une autre femme beaucoup plus mûre, d’une cinquantaine d’années, qui nous regardaient et qui semblaient apprécier ce qu’elles voyaient.

 

– Venez, venez ! Leur cria Laetitia.

 

Et elle fit les présentations :

 

– Voici Caroline, une voisine et amie ! Voisine toute relative, puisqu’elle habite à deux kilomètres, et voici Chantal sa maman. Tu verras, elles sont très gentilles toutes les deux et pas du tout farouches.

 

Quelques minutes après, Caroline visiblement émoustillée, retirait son chemisier laissant échapper une grosse paire de seins bien fermes, s’approcha de ma copine et l’embrassa tout en enlevant son short sous lequel elle ne portait pas de petite culotte. Elle commença à se masturber d’une main et de l’autre elle pétrissait les petits seins de Laetitia. Des spasmes de jouissance parcoururent le corps de ma copine et elle répondit goulûment au baiser de Caroline. J’ai presque joui à la vue de ces deux femmes qui s’embrassaient et se masturbaient. Mais à ce moment, Chantal la belle mature m’interpella et me dit de me contrôler, que le meilleur restait à venir : elle déboutonna sa robe soleil, elle aussi ne portait rien dessous, et je pus voir de superbes seins gros comme des pamplemousses et un mont de vénus avec seulement quelques poils.

 

Elle s’approcha et fit le tour du hamac face à mon amie, se pencha et goûta au jus qui s’écoulait du vagin de Laetitia qui était en transe tellement elle jouissait. Je sentais les seins de Chantal sur ma cuisse et sa main bien ferme sur ma bite.

 

Ensuite, Chantal me lécha le pénis pendant que je glissais un doigt dans sa fente. Elle garda mon pénis dans sa bouche et glissa un doigt dans son vagin me guidant pour qu’elle atteigne l’extase. Laetitia et Caroline nous regardaient tout en se faisant des câlins. Après une légère pause Chantal me reprit en bouche pendant que son doigt s’égarait dans mon trou du cul, j’adore cette caresse.

 

On me demanda ensuite de m’allonger dans l’herbe, Ce fut Caroline qui la première m’enjamba et qui visant mon visage se mit à me pisser son jet doré que j’appréciais comme il se doit, puis ce fut au tour de Laetitia, un pipi moins gouteux mais tout même fort estimable qu’elle termina en m’aspergeant la bite, Puis vint le tour de Chantal, quand cette dernière eut terminé sa miction, j »allais pour me relever, mais je n’en fis rien et sur un signe de ma partenaire celle-ci me demanda de ne pas bouger, elle s’accroupit légèrement le cul tournée vers moi, mais rien ne se passa.

 

Caroline intervient alors en introduisant son doigt dans le cul de sa mère et en le faisant bouger ostensiblement. Pendant ce temps Laetitia me suçait ma bite trempée de la pisse de son amie.

 

Caroline fini par retirer son doigt, maculé de matière, elle le porta à sa bouche en testa le goût et le porta à mes propres lèvres. C’était délicieux.

 

Chantal indiqua qu’elle était maintenant prête, je vis son anus s’ouvrir et un gros étron commencer à se faufiler à l’extérieur avant qu’il ne dégringole sur mon visage.

 

– Merci Chantal ! Chuchotais-je.

 

cat 1802bJe léchais un peu ce beau boudin tout chaud, puis je me redressais, me demandant qui allait maintenant s’occuper de me faire jouir, car ma bite n’en pouvait plus, quand j’aperçu le jardinier qui sur un signe de ces dames s’était approché de moi, le pantalon sur les chaussettes et me présentait sa bite dressée comme un étendard.

 

Je m’essuyais sommairement le visage et approchais ma bouche de cette jolie queue que l’on m’offrait et m’en régalait.

 

On me fit stopper ma fellation au bout de quelques minutes et sur un ordre de ses dames je me positionnais en levrette afin que le jardinier m’encule. Laetitia en profita pour venir devant moi et me donna sa chatte toute trempée à lécher.

 

Pendant ce temps-là, Caroline après avoir de sa langue nettoyé le cul de sa mère avait entrepris avec cette dernière un soixante-neuf endiablé ! Quelles cochonnes !

 

Le jardinier jouit dans mon cul, je me relevais épuisé, mais Laetitia me fit signe de m’allonger sur le dos et vint s’empaler sur mon cul et me chevaucha jusqu’à ce que je jouisse.

 

On m’indiqua alors qu’une surprise m’attendait à l’intérieur et on me banda les yeux, comme je suis très joueur, je me laissais faire.

 

A l’intérieur, les filles se mirent à entonner le « Happy birthday to you », on enleva mon bandeau et je découvris un magnifique gâteau à la crème avec plein de bougies.

 

– Mais c’est l’anniversaire de qui ? Balbutiais-je.

– Mais le tien, andouille ! Répondit Laetitia, ça t’a plu au moins tous ce que l’on t’a fait ?

– Oui c’était très bien mais mon anniversaire ce n’est pas aujourd’hui c’est dans trois mois…

 

Laetitia confuse, s’en alla alors consulter un petit calepin

 

– Avec qui j’ai bien pu confondre ?

 

Fin

 

PS : ce texte est un rewriting du récit : Trois pour moi par Conrad publié sur ce site en 2007  J’espère que l’auteur de men voudra pas, et dans le cas contraire s’il souhaite que je le retire, je le ferais sans problème

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 16:47

La maîtresse de Tib par Tib et Enzo

Il n'est pas necessaire de lire la partie 1 écrite par Tib

Fetish2

2 – Vendredi suivant

 

 

Bien entendu, le vendredi suivant, à partir de 20 h, j’étais prostré au coin du rideau de la chambre, à poil bien sûr. Bien en évidence sur la tablette, trônaient deux flûtes à champagne (détail, dont la délicatesse ira, j’espère, droit au cœur de ma séduisante prédatrice, je me suis fendu d’une rouille de dompé*, commandée directement au bar de l’hôtel et, bien calée dans son seau bourré de glace pilée, elle attend son heure, planquée dans le petit frigo).

 

L’attente est moins longue, il est tout juste 20 h 30 quand la petite chiotte franchit le porche de l’auberge (et non pas : quand la petite Porsche franchit les chiottes de l’auberge).

 

Après un vol plané sur le pageot, je prends la pose en m’astiquant méchamment le sifflet pour lui donner toute sa prestance.

 

La voilà, toujours les mêmes fringues, la même arrogance dans le regard. Cependant ce dernier s’accroche une fraction de seconde sur le fier maintien du chauve à col roulé et elle file vers la salle de bain (toujours aussi loquace qu’un trappiste).

 

Retour dans la même tenue que la semaine dernière, sauf que la culotte est en voile blanc mais tout aussi diaphane et laissant deviner la tache sombre de la choucroute laquelle semble ne rien avoir perdu de sa cespiteuse pilosité.

 

Elle rafle les menottes (que j’ai surtout pas oubliées de ramener) et m’en affuble, par devant cette fois et s’installe dans le crapaud, cuisses ouvertes (tiens, c’est une posture de soumise ça, reste de rang, antécédent ?).

 

mistress1912– Debout, vile créature, et sers moi à boire.

 

Je ne sais quoi faire. Veut-elle dès maintenant du champ ou bien simplement un coup de flotte? J’opte pour la seconde solution et lui amène un verre d’eau.

 

Elle prend le verre et me lance la flotte en travers du portrait.

 

– Il me semble t’avoir dit que je ne buvais que du champagne.

 

Je suis certain que si j’avais servi ce qu’elle demande, j’aurais eu droit à la même réaction (ha ces bonnes femmes).

 

Bon je m’empresse pour la satisfaire et quand je m’apprête à remplir la seconde flûte, je morfle un coup vicieux de cravache sur la cuisse.

 

– J’ai dit sers moi à boire et non sers nous a boire. Décidément tu cherches les châtiments. Tu ne perds rien pour attendre.

 

Ce n’est pas la moitié d’une bourrique, celle-là. Même pas droit à une goutte de roteux (m’en fous je préfère la bière, na et si elle n’avait pas la cravache je lui tirerais bien la langue).

 

– Debout, fripouille lubrique, et branles-toi devant moi.

 

Ce disant, d’un coup de hanche, elle se place au bord de son siège et du doigt, repousse son cache-sexe sur le côté, découvrant le buisson touffu de sa chatte dont le triangle sombre cerne les grandes lèvres qui ressortent en un rose rouge luisant, comme un fruit mur.

 

Bon si c’est que ça, cela ne me pose aucun problème et j’entreprends à deux mains (menotte oblige) une paluchette consciencieuse (action bien inutile car le spectacle qu’elle m’offre suffit amplement à entretenir monsieur popol dans les meilleurs dispositions).

 

Elle se ressert un coup de champ. (tiens je fais plus le larbin?) et plongeant la main dans son sac, sort une sorte d’anneau qui s’ouvre en s’articulant. D’un geste vif, elle me le colle à la base de la queue et le referme. Ça fait un peu mal sur le coup.

 

– Avec ça tu pourras pas me manquer de respect.

 

La confiance règne, elle a peur que je débande, vexant, non !!

 

– A genoux et lèche moi les bottes, aujourd’hui tu peux remonter jusqu’en haut des cuisses et me montrer ton savoir-faire en cunni.

 

Pas besoin de me dire deux fois des trucs pareils, je vais lui prouver avec quelle abnégation un soumis exécute ses ordres.

 

Je mets le paquet, langue au vent et bouchées doubles, je sabote même un peu le boulot pour aller plus vite mais elle ne m’en fait pas le reproche (la Maîtresse intransigeante se ramollirait-elle? Ou bien, comme moi, serait-elle impatiente de me voir arriver au cœur du problème ?).

 

Lorsque je franchis la lisière des bas, je ralentis. La chaleur de la peau, si fine, si douce, si blanche à l’intérieur des cuisses relance mon excitation (cet anneau est à double effet, si il maintient l’érection, il l’empêche aussi de se développer plus, sûr que sans cet accessoire de mes couilles, j’eusse battu des records de longilignitude, c’est pas français mais la longueur du mot me plait).

 

De plus, un petit frisottis de poil me caresse la joue, je suis tout près du but. Mon nez, d’ailleurs en détecte la présence, j’ai les ailes du naseau dilatées par le parfum sublime qu’exhale l’intimité féminine toute proche. Mêlées à son parfum favoris (sûrement un numéro cinq machin chose) les senteurs de jus de femelles acidulées, agrémentées d’un voile de transpiration et d’un soupçon de vapeur de vessie, mmm c’est divin. Je deviens fébrile, il est temps de m’attaquer au plat de résistance.

 

Ma langue monte jusqu’au pli de l’aine, s’attarde un peu puis dérive lentement se frayant un chemin dans les poils du mont de vénus. Elle tressaille imperceptiblement, son souffle se bloque quelques secondes avant reprendre à un rythme plus élevé. Elle aussi est impatiente sous des dehors d’indifférence forcée.

 

Son odeur est plus forte aussi, plus musclée (plus musquée également), maintenant c’est le parfum entêtant de femelle en rut qui prédomine. Ça ne me monte pas au cerveau, ça descend directement dans les couilles. Si je n’avais pas le bloque-biroute qui me permet de me contrôler, je me redresserais et l’empalerais jusqu’aux rognons sans préavis.

 

J’entame la descente (au paradis ou aux enfers, j’sais pas mais à la cave, ça c’est sûr), ses grandes lèvres sont gonflées, tuméfiées et constellée de traces humides et luisantes. Du bout de la langue je les effleure, par petites touches rapides. De nouveau elle tressaille et le compas de ses cuisses s’ouvre encore plus.

 

Ma langue s’engage dans la fente, bouleverse les nymphes qui en émergent, frêles et tendues comme un voile. J’arrive au puits d’amour qui s’ouvre, baille tel un calice s’exorbitant (sic) à l’appel du plaisir. Il ruisselle littéralement d’une liqueur grasse, épaisse comme du miel. Je la bois, je m’enivre de ce nectar des dieux, c’est salé, un peu amer mais merveilleusement grisant. J’accentue mes caresses, du nez, du menton, du mufle, je fouille, fouine de haut en bas de la vulve, j’exaspère le clito qui s’érige, se dresse, se décapsule et bande comme un petit phallus. Des yeux au menton, d’une oreille à l’autre, la cyprine m’encolle la face d’un jus sirupeux. Mes mains participent à la fête, un puis deux et trois doigts entrent et sortent dans le cloaque jouissif, glissant sur les parois vaginales, les comprimant, cherchant le fameux point G. Du pouce je m’aventure vers la pastille brune, ridée de mille plis tourbillonnant. Quand je force un peu et que le pouce triomphe du sphincter et s’enfonce à demi dans l’anus, elle ne tressaille plus, elle trépide!! Elle n’ahane plus, elle râle !! Je vais la faire grimper aux rideaux la Madame, elle va me jouir sur le portrait l’inaccessible Maîtresse!!

 

Ben non, brutalement elle me repousse du pied. Son visage se crispe, ses yeux se ferment, ses cuisses se referment, son torse bascule en avant, sa poitrine, ses seins, se gonflent. Pendant quelques secondes elle reste figée comme pétrifiées. Puis lentement, elle se détend, rebascule vers le dossier.

 

La bourrique, elle s’est reprise, elle a résisté à la vague de plaisir que je sentais monter, déferler en elle !! (bon remise à zéro, un coup pour rien mais au moins je sais qu’elle n’est pas frigide, on se console comme on peut).

 

– Tu te débrouilles pas trop mal, mon salaud, mais te fais pas d’illusions c’est pas un compliment, juste un constat, t’as qu’une idée en tête, me sauter mais ça mon bonhomme tu peux te l’accrocher.

 

Elle se lève, s’étire un brin, mains sur les hanches elle s’approche à me frôler le tarin de son bonbon.

 

– Enlèves moi ma culotte, j’ai envie de pisser.

 

Je me redresse un peu et mes mains montent vers sa taille. Coup de genoux au menton.

 

– Avec les dents, mon toutou.

 

Je m’attendais pas à celle-là mais je m’y attelle de bon cœur en commençant par accrocher ce qui cache les poils, sans pour autant lui en arracher une touffe en même temps. Je tire mais il s’étire sans vouloir descendre (si j’insiste il va craquer, ce con, il ne sera pas enlevé mais ne servira plus à rien, le but sera atteint mais en sera-t-elle enchantée? Heu… pas sûr)

 

Je passe côté hanches et lui fait franchir le cap du popotin et reviens au centre, ça marche il descend et fini en chute libre sur les godasses.

 

Petit piétinement et elle file vers la salle d’eau en me faisant signe de la suivre.

 

J’ai deux soucis : si elle me demande de la reculotter avec les dents, après s’être soulagée, je suis pas de la classe mais y a plus grave et plus imminent. Est-elle du genre « pluie d’or »? Vais-je avoir droit à la douche d’urine ? (je sais pas ce qu’elle a bouffé hier mais d’après les légères effluves que j’ai reniflées tout à l’heure, ça doit être du corsé, du nanan, ça doit même piquer les yeux).

 

Bon allons-y, courage, et puis ce n’est pas la première fois que l’on me couvrira de pipi (heu… au figuré surtout).

 

Je trottine derrière la belle en cuisse, c’est chiant de marcher à quatre pattes avec des menottes.

 

Elle ôte ses godasses et grimpe directement sur la cuvette en s’y accroupissant (bon c’est dans son style ça, pourquoi faire simple ce qui peut être compliqué). Elle me fait signe d’approcher au plus près. A quatre pattes comme je suis j’ai les mirettes aux premières loges.

 

Petit jet timide en avant-garde puis le jet puissant, dru, coloré qui s’évase ensuite comme un voile doré et s’abîme au fond en bruissant comme un gazouillis de source, un frisouillis allègres, joyeux. L’onde odorante de vapeur urinaire qui m’assiège les naseaux est puissante, riche de senteurs mais finalement pas trop écœurante (sans me l’expliquer le mot bucolique surgit dans ma tête, faut le faire hein !!) cependant un fond d’odeur de jambon de Paris me dit qu’elle devrait peut être surveiller son taux de cholestérol (ça aussi faut le faire).

 

La fontaine se tarie, quelques gouttes encore, ploc… ploc… et c’est tout.

 

Un ordre claque :

 

– Torches moi.

 

Je tends les mains vers le rouleau… nouveau claquement

 

– Nan, avec ta bouche.

 

Je me disais aussi, c’était trop facile.

 

Aller, hardi petit, hauts les cœurs (et pas haut-le-cœur), je me contorsionne et me retrouve de nouveau le museau en pleine foufoune mais le jus n’est pas tout à fait le même. Je me décourage pas, je lèche, je fouine, je musarde, je batifole dans la barbiche, c’est un peu plus amer (tant que c’est pas amerd’alors) mais pas vraiment désagréable et puis peu à peu, ça change de texture, d’épaisseur, y’a plus de pisse mais y’a encore du jus, de plus en plus d’ailleurs, elle aime ça la cochonne, je sens son souffle qui s’accélère, se syncope.

 

Malgré le torticolis qui me guette, j’y vais d’un deuxième service consciencieux, je me barbouille et la barbouille du nombril au trou de balle. Des deux bras elle s’agrippe au mur, au lavabo, pour pas badaboumer et lance son bassin en avant pour mieux s’offrir, je vais peut-être l’amener au point de non-retour ce coup-ci et je guette, fébrile, le moment où je pourrais me redresser et la poinçonner enfin.

 

Pfft, encore une fois c’est loupé, encore une fois elle me repousse juste avant de prendre l’ascenseur (suis maudit moi).

 

– Lèves toi et vas m’attendre à côté.

 

Et voilà, « circulez, y’a plus rien à voir », ça m’use ça et puis la queue commence à me faire mal.

 

J’entends des bruits d’eau, elle doit se rafraîchir la foufounette.

 

Retour d’un pas décidé, elle farfouille dans son sac, en sort un drôle de truc, je n’en crois pas mes yeux, c’est une ceinture à gode, un engin de foire énorme !!!

 

Elle s’équipe tranquillement, ça lui fait une drôle touche.

 

– Tournes toi et appuies toi sur la chaise.

 

Alors là je romps le mur du silence.

 

– Tu ne crois tout de même pas que je vais t’obéir, tu dépasses et de loin, les limites permises.

– Mettons que je n’ai rien entendu. Je n’aime pas répéter, alors exécution.

 

 

 

La maîtresse de Tib

3 – Sodomisé

par Enzo

Alors là, 10 L.E.M comme disait Armstrong (celui qui a été sur la Lune). Mon cerveau passe en vitesse rapide et examine les possibilités qui me sont offertes :

 

Un : Je me casse, je suis venu pour la baiser, ben tant pis, je repartirais avec la bite sous le bras.

 

Deux : J’applique le principe selon lequel il faut parfois bousculer une femme pour gagner du temps. En gros je la force, je la viole. Mais justement c’est pas trop dans mes principes à moi. Ou alors il faudrait qu’elle me fasse un signe, genre « si tu me viole, je me laisse faire… » Mais je ne me fais aucune illusion, autant attendre la révolution prolétarienne…

 

Trois : Lui proposer des sous pour qu’on recadre tout ça, à ma façon. Mais je n’ai pas beaucoup de pépètes sur moi et ça m’étonnerait qu’elle prenne la carte bleue.

 

Quatre : Je négocie

 

Cinq : Je me soumets à ses caprices…. Ben, non… :

Allons-y pour la négociation

 

– Juste un mot ! Tentais-je en en disant trois.

– Tourne-toi, je sais ce que je fais, et je sais aussi ce que tu souhaites, je compte jusqu’à cinq, si à cinq tu n’es pas en position je disparais.

 

Je cherche quoi répliquer, mais ne trouve rien d’intelligent. Nouveau passage du cerveau en vitesse rapide.

 

Peut-être qu’elle ne va pas le faire, qu’elle s’amuse à me faire peur, à vouloir m’humilier… je n’y crois pas trop… « Je sais ce que tu souhaites » a-t-elle dit ». Ça veut dire que si elle m’encule je pourrais la baiser. Le prix me paraît très fort !

 

Un doigt humide qui tournicote contre ma rosette, me ramène à la réalité du moment, le doigt est rentré, et je n’ai rien dit, ce doit être la première fois que quelque chose qui n’es pas un thermomètre me rentre dans le cul. Il va falloir que je fasse un vœu !

 

Mais bon, un doigt, ça va, (c’est quand même incroyable que je n’ai rien dit) Deux doigts, bonjour les dégâts… et justement le voilà le second didi qui vient accompagner son petit camarade. Et elle fait bouger tout, ça, elle va, elle vient, elle remue, elle touille.

 

– Pourquoi le plaisir anal serait-il réservé aux femmes ?

 

C’est ma dominatrice qui se fait philosophe et qui vient de lancer un beau sujet de dissertation. De cette façon, me voilà occupé de partout, du cul et du cerveau… et comme si ça ne suffisait pas, Madame en remet une couche.

 

– Pourquoi les hommes refusent-ils de découvrir eux-mêmes ce plaisir qu’ils pensent donner aux femmes ?

 

Elle ne me demande pas de réponse, elle fait de l’action psychologique ! Quand à son action digitale, ça ne me déplait pas trop, mais faudrait pas non plus que ça s’éternise…

 

Vœu exaucé, elle retire ses doigts, brutalement.

 

– Sont plein de merde ! Me dit-elle !

 

Ce n’est pas un reproche, c’est un constat ! et d’ailleurs c’est même pas vrai qu’ils soient plein de merde, il y a juste quelques traces.

 

– Nettoie !

 

Moi je veux bien mais avec quoi ? Je cherche un Kllenex, un sopalin, une feuille de papier à cul…

 

– Avec ta bouche !

– Non !

– Pourquoi, je le fais bien moi !

 

Et joignons le geste à la parole, elle donne un coup de langue sur son doigt, elle fait ça comme si elle dégustait une glace au chocolat. Problème, il en reste.

 

– A toi !

 

J’ignore encore comment j’ai franchi ce pas, sans doute l’excitation de l’instant, je me suis surpris de n’éprouver aucun dégoût, je n’en aurais pas lécher des kilos mais en petite quantité ça n’a rien de repoussant.

 

– Tu vois ce n’est pas mauvais ? Me nargue-t-elle. Maintenant ouvre toi bien !

 

Non, ça y est je vais passer à la casserole ! Et puis un espoir, elle n’y arrivera jamais, ça ne rentrera pas, j’en suis persuadé, alors je la laisse jouer. Elle me tartine le trou du cul avec du gel (je suppose) manquait plus que ça, confondre mon cul avec une tartine ! Et je la sens qui essaie de forcer le passage avec son gode-machin. Je me marre, mon trou du cul est un château-fort et pour le forcer il faut un bélier high tech ! Ça ne passe pas, nouvel essai, ça ne passe toujours pas. Elle ne m’aura pas, je suis insodomisable, inenculable.

 

– Ouvre-toi-mieux !

 

Cause toujours, Philomène… Oh, que ce passe-t-il ? Et voilà que ça entre (timidement, mais ça entre). Je fais quoi ? Elle appuie, ça entre mieux, Elle appuie encore, c’est entré, c’est même très bien entré, elle ressort un peu, elle revient, ça coulisse, ça va et ça vient, je suis en train de me faire enculer, et je ne proteste même pas. Mais je pourrais, ça me gêne, je n’aime pas cette sensation d’être rempli et j’ai envie de rejeter tout ça. C’est quel numéro les pompiers ? Mais ma tortionnaire me pilonne a tout va, quelque chose se passe, quelque chose qui fait du bien, je n’en reviens pas, je m’habitue au truc, ça me fait frissonner, ça me fait du bien. On m’encule et je suis bien. Un curieux frisson de tout mon être, ma bite qui pourtant ne bande pas qui se met à pisser du foutre. C’est normal, ça ? Je jouis comme un robinet.

 

L’autre s’est retirée et me toise avec un air de victoire ! Elle peut, elle a gagnée.

 

– Tu as gagné le droit de me baiser, mais maintenant ça ne va pas être évident. On attend une heure ou on fait ça un autre jour ?

 

Elle se fout de ma gueule en plus.

 

– On attend une heure !

– Alors on va descendre au salon boire une coupe de champagne, c’est moi qui t’invite, et quand on remontera tu te mettra sur le dos, et je te chevaucherai…  ça te convient ?

 

Bien sûr que ça me convient… Mais qu’est-ce que j’ai mal au cul !

 

note du webmaster : la publication in extenso du chapitre 2 par Tib, nous a valu plusieurs critiques parfaitement justifiées, la seconde partie de ce chapitre était carrément hors charte, un auteur, Enzo s’est alors proposé pour réecrire la partie finale

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Enzo Cagliari
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