Mardi 7 mai 2019 2 07 /05 /Mai /2019 08:24

Un apéro pervers par Marine et Thibault

scat

 

 

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS
EXPLICITES

Coucou c’est Marine et Thibault qui revienne vous dire un petit bonjour avec un nouveau petit récit coquin et un peu crade !

Un soir d’été où nous sommes chez nous nous prenons l’apéros, Thibault se tourne vers moi et fait couler quelques gouttes d’un glaçon dans mon décolleté. La fraîcheur de celles-ci me fait du bien. Ses mains se posent sur le haut de mes hanches et il remonte mon haut, je lève les bras pour qu’il me le retire. Il reprend le glaçon et souffle dessus pour qu’il goutte entre mes seins. La chair de poule me vient et mes tétons se dressent. Thibault dépose alors de petits baisers sur les gouttes, puis il pince délicatement un de mes tétons entre ses lèvres et passe sa langue sur celui-ci, tandis que d’une de ses mains il me masse l’autre. Une douce chaleur envie mon corps. Je penche la tête en arrière et décide de le laisser faire à sa guise. Il pose le glaçon entre mes seins et le laisse fondre.

Une petite  » rivière  » se forme et il la suit de sa langue. Maintenant il est au niveau de mon short en jean. Il le déboutonne et je dois légèrement soulever mon corps pour qu’il puisse l’ôter ainsi que ma petite culote par la même occasion. Il repose sa tête au niveau de mon nombril et je sens son souffle qui se rapproche de ma chatte. Mon être, mon corps et mon esprit sont complètement détendus et il peut faire de moi ce qu’il veut. Deux de ses doigts écartent les poils de mon minou et ses lèvres frôlent les miennes, des frissons m’en parcoure le ventre. Sa langue rentre en contact avec mon clitoris et il me l’entoure de ses lèvres. Je sens la chaleur de sa bouche par le biais de la salive qu’il dépose. Il me tend un de ses doigts. Je le suce un instant et il le redescend. Celui-ci trouve dès-lors refuge dans ma caverne d’amour, suivit bientôt d’un autre.

Machinalement mon fessier entre en mouvement dans une série de petits ronds et mes jambes lui enserrent le corps puisqu’il se trouve à genoux. Ses mains se posent sur mes cuisses et me les caressent lentement avant de descendre le long de mes jambes. Une fois à mes pieds il passe un doigt sous chacune de mes plantes pour se dégager. Il se redresse légèrement pour venir m’embrasser et se défaire de ses vêtements. Il passe ses bras autour des miens et me fait pivoter d’un quart de tour. Il me retient pour que ma tête atteigne doucement le bras du canapé. Il grimpe à son tour, met un de mes pieds à terre passe l’autre sur le dessus du canapé et s’installe entre mes jambes. Je vois sa bite s’approcher de moi. Il la prend d’une main et la tient contre mon clito avant d’aller et venir contre lui. Mon cœur pousse une nouvelle accélération quand sa bite finit par me pénétrer. Ses aller et retour sont lent et doux. Mes jambes se placent automatiquement autour de son cou, il pose alors ses mains de part et d’autre de ma taille, son ventre vient au contact du mien, il me saisit les hanches et toujours en moi il me redresse et s’allonge sur le dos si bien que cette fois c’est moi qui suis allongée sur lui. Nous nous embrassons, nos mains parcourent nos corps. Je ne sens plus mon corps, ma respiration s’emballe, je serre mes bras autour de son cou, ma tête sur son torse, des gémissements sortent de ma bouche. J’ai joui, Thibault sort de ma chatte, me fait signe de me retourner, ce que je fais volontiers, devinant ses intentions perverses et il m’encule comme un barbare.

Ça ne dire pas très longtemps, excité comme il est Thibault, ne peut plus se contrôler, ces coups de boutoir dans mon cul me font un bien fou, il pousse un cri rauque en déchargeant dans mon cul.

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Et maintenant cela va être le moment de la surprise ! Comme va ressortir la bite de mon homme ? C’est mon jour de chance elle est juste comme je l’aime, gluante de sperme et maculée de matière sans qu’il y en ait de trop non plus. J’ouvre la bouche et nettoie tout cela de ma petite langue agile, un délicieux mélange dont je me régale.
Thibault veut alors me nettoyer le cul, nous faisons cela aussi quelque fois. Il se met sur le dos, je m’accroupis sur sa bouche et je pousse, dommage que je ne puisse pas voir ce qui se passe, mais je sais que le sperme resté dans l’anus va ressortir et qu’il y aura probablement un peu de merde avec. Il aime ça !

C’est fini ! Fin du quart d’heure de folie. Nous restons dix minutes sans bouger, ma tête sur sa poitrine et ses bras m’enlaçant.  » Je t’aime  » lui dis-je. Il me dépose un baiser sur les lèvres et je me lève pour aller pisser, il me suit, je m’assois sur la cuvette. Il tend sa bite vers mon visage, j’ouvre la bouche et me régale de sa bonne pisse. Moi je recueille un peu de mon propre pipi dans mes mains que je lui donne à lécher.


Après cet apéro très spécial, Thibault sans se rhabiller s’affale dans le fauteuil ! Qui c’est qui va faire cuire l’omelette ? C’est encore moi !

Marine et Thibault 2018

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 11:10

Sous le pont
par Orlandho

Fetish

 

Thémes abordées :  


Une envie comme ça ! Envie de m’amuser, envie de sexe. Je me remaquille, me fais les ongles, me coiffe mes longs cheveux blonds. La vielle armoire à glace me renvoie mon reflet, je suis nue mais avec mes chaussures. Je n’ai pas encore trente ans, des petits seins, de jolies fesses, un visage d’ange, et une bite en pleine forme que je masturbe un peu. Je me gaine mes très belles jambes de bas auto-fixant. Je choisis un petit ensemble culotte et soutien-gorge dans les gris clair ainsi qu’une robe bleue assez simple qui laissera mes épaules dénudées et qui s’arrête à mi-cuisse.

 

Je prends ma voiture et j’ai l’idée de revenir dans ce bar que je fréquentais il y a quelques mois. Mon entrée suscite quelques réflexions, j’ai l’habitude, je salue quelques collègues, l’une d’entre-elles me roule un patin puis me félicite pour ma tenue. Je m’assois seule, et commande un Dirty-Martini.

Ah, vous ne connaissez pas, faisons donc une parenthèse : (Le Dirty Martini : (très apprécié de James Bond, de F.D.Roosevelt, et d’Ernest Hemingway est aujourd’hui très tendance) : 4 cl de vodka, 1 cl de vermouth dry (Martini, Noilly prat), 2 cl de jus d’olives (saumure). Fin de la parenthèse)

Il y avait l’un de mes anciens amants. Il me dévorait des yeux et cherchait sans arrêt à attirer mon attention. Ce petit jeu me plaisait bien. J’ignorais pourquoi il ne se décidait pas à m’aborder. Plutôt que de le faire moi-même, je choisis alors de me rendre aux toilettes en tortillant de l’arrière train. Je pénétrais dans une cabine et laissait la porte ouverte. Je me mis à pisser, il m’observait, fasciné par le jet d’or qui jaillissait de ma bite. Je me tournais pour qu’il me voie mieux, puis finis par sortir. Sans violence, il m’agrippa par la taille pour m’attirer contre son corps. Je le laissais faire. Ses lèvres caressaient mon cou et je sentais son sexe se durcir contre mon corps. Sans parler, nous nous dirigeâmes vers la sortie. Nous étions dans un petit couloir pour se rendre à ma voiture. Il arrêta un instant et me plaqua contre le mur. Il leva ma robe et me caressa les seins, il glissa sa main dans ma petite culotte et caressa ma bite pour ensuite la masturber de ses grands doigts. Après quelques instants il retira ma culotte afin de recommencer cette mécanique en voiture lorsque nous roulions vers un petit parc.

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Une fois rendu à l’endroit choisi, il vient me prendre dans ses bras et me conduisit sous le pont, entre quelques arbres. Il me coucha doucement par terre et il me déshabilla pour me couvrir de baisers. Il commença par mes jambes, mes cuisses et il les écarta pour explorer mon intimité. Il laissa glisser sa langue sur mes testicules pour ensuite chatouiller mon gland. J’étais en extase et je frémissais sous l’effet de ses caresses. Sa langue prit d’assaut mon orifice anal, il me pénétrait oralement dans un mouvement de va-et-vient incessant ! Je me tortillais de plaisir et mes mains agrippaient sauvagement le sol. Il continua alors à me couvrir de sa bouche. Il parcourait mon ventre et s’arrêta longuement sur mes seins qu’il tétait et mordillait à pleine bouche. Il continua d’avancer sur moi jusqu’à ce que son pénis soit à la hauteur de ma bouche. Je le pris alors de mes deux mains et lui fit une fellation du tonnerre ! J’enroulais ma langue autour de son sexe, je le suçais de toutes mes forces et il poussait des cris traduisant son plaisir et sa satisfaction. J’entrepris la mécanique du va-et-vient et son pénis se durcissait dans ma bouche et je le sentais se contracter pour laisser couler le fruit de son plaisir et de sa jouissance. Il se retira et me tourna face contre terre pour me redresser sur quatre pattes. Il me pénétra sauvagement m’agrippant par les seins et ses testicules se frappaient contre mes fesses et me procurait un effet très plaisant. Ensuite, je le couchai par terre et le chevauchai dans un mouvement langoureux et allant de plus en plus rapidement. Nous sommes alors venus ensemble et nous avons vécu une nuit endiablée sous le pont…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 10:52

Peut-être un ange ? par Orlandho

Fetish

Thémes abordés : 

J'ai été pendant un an, garçon de restaurant, durant mes études. Un restaurant, à la cuisine traditionnelle, avec le patron en cuisine. La clientèle est surtout composée d'habitués. Je me souviens tout particulièrement d'un soir où j'ai vu arriver deux belles et grandes femmes. L'une d'elles, une blonde aux cheveux courts ne m'était pas inconnue. Elle venait souvent, mais rarement avec les mêmes personnes. Elle était difficile à oublier car elle est toujours vêtue d'une longue jupe ample et d'un chemisier largement ouvert sur une splendide poitrine. L'autre, une brune aux grands yeux foncés m'était tout à fait inconnue. Comme à chaque fois, je propose de les débarrasser de leurs manteaux. De fait, ma cliente blonde était vêtue d'une jupe couleur blanc cassé fermée par des boutons, et un chemisier à fleurs. L'autre était vêtue d'une jupe portefeuille foncée et d'un pull.

La soirée était déjà avancée, et je pris directement la commande. Comme à chaque fois, qu'elle était là, je ne pouvais m'empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté. C'est toujours à ce moment-là qu'elle croisait mon regard et surpris, je me sentais devenir pivoine. Elles semblaient avoir bien le temps. En leur servant le café, je vis que l'un des pans de la jupe avait glissé et laissait apercevoir une jambe galbée gainé d'un bas résille.

Comme elles étaient ma dernière table et que la soirée touchait à sa fin, elles m'ont proposé de prendre un verre, je me suis donc assis à leur table, la blonde se prénommait Sylvie et l'autre Anne mais ça je ne l'appris que plus tard dans la soirée. On s'est mis à discuter de tous et de rien. Comme elles n'avaient pas l'air pressées et que mon patron en cuisine voulait fermer, je leur proposais d'aller prendre un dernier verre ailleurs. Elles acceptèrent.

- Et ce dernier verre, si on le prenait chez moi ? Me proposa Sylvie.

Je n'allais pas refuser. Curieusement elle me fit monter à l'avant de sa voiture.

Avant de mettre le contact, elle eut le geste de dévoiler complètement sa jambe droite.

- Ça te plait ? Me demanda-t-elle d'une voix suave.

Elle me jetait des regards malicieux.

- Tu peux me la caresser !

Alors, j'ai posé discrètement ma main sur son genou. Elle s'est laissé faire. J'ai donc remonté le long de sa cuisse. Elle desserra un peu les jambes. Je suis arrivé sans difficulté juste au-dessus du bas. Je sentis sa chair quand Anne dit derrière nous :

- Tiens notre petit serveur a les mains baladeuses.

Surpris, je voulus retirer ma main, mais Sylvie plus rapide plaqua la sienne sur la mienne en disant :

- Arrête, idiot, tu n'es pas bien là ?.

Ma main remontait vers l'intérieur de la cuisse jusqu'à sa culotte… et…

- Oh !

Je retirai prestement ma main, je venais de tâter un pénis de bonne taille. Sylvie était donc une transsexuelle.

Elle se mit à rire aux éclats, c'est communicatif parce que Anne rigola aussi, pas moi ! Elle met le contact, et va pour démarrer, et moi je ne sais pas comment me sortir de ce guêpier.

- Mon invitation tient toujours ! Me dit Sylvie avec un merveilleux sourire.

Un sourire si merveilleux que ma résolution de les quitter au prochain arrêt, s'émoussa considérablement, quelque part j'avais envie de cette expérience.

La voiture stoppa au feu rouge. Sylvie m'enlaça et me roula un patin. Je bandais. C'était cette fois décidé, j'irais jusqu'au bout.

Arrivé à l'immeuble où habitait Sylvie, nous sommes sortis de la voiture. Elle logeait dans un appartement au 4° étage et nous nous sommes engouffrés en riant dans le minuscule ascenseur. Nous étions coincés les uns contre les autres. J'en profitais pour me serrer contre Sylvie. Elle cambra les fesses et ne put ignorer l'état dans lequel j'étais. La soirée s'annonçait du plus belle augure. Elle nous fit entrer et nous installa dans un salon agréable, mit un disque d'ambiance pendant qu'Anne s'éclipsa. J'étais assis dans un profond fauteuil et pour arriver au bar Sylvie devait passer devant moi. Je la pris par les hanches et le renversa doucement sur mes jambes. Elle riait en faisant semblant de se débattre et je décidai de l'embrasser. Sa bouche était de la lave en fusion. Elle m'aspira. J'en profitais pour partir à la découverte de ses seins. Je défis les boutons de son chemisier et me mit à les caresser. Ces seins que j'avais tant lorgnés. Ils étaient pareils à deux pommes bien fermes avec deux minuscules tétons que je sentais s'hérisser sous mes doigts.

Ptrans1312 - Alors vous deux, on s'amuse bien !

C'est Anne qui nous regardait en souriant. Elle en avait profité pour se changer. Elle avait passé une longue chemise qui lui descendait à mi-cuisse et dont les premiers boutons étaient ouverts. Je pouvais voir la naissance de deux petits seins bien fermes.

- Je peux jouer avec vous ? Demanda-t-elle avec de grands yeux coquins.

Je les regardais tour à tour, interloqué. Elles se mirent à rire. Anne s'est mise à mes genoux et a enlevé mes chaussures avant de s'attaquer à mon pantalon. Pendant ce temps, Sylvie après avoir enlevé son haut et son soutien-gorge me fit cadeau de ses seins. Mes mains essayaient d'être partout à la fois. Je sentis la bouche d'Anne autour de ma queue. Elle l'engloutit avidement. Quelle suceuse !

Moi, j'avais glissé deux doigts dans la culotte de Sylvie qui gémissait à côté de moi. J'en extirpais sa verge tendue que je voulais regarder de plus près !

- Alors, ça te plait ?

Je ne savais pas si ça me plaisait, mais ça me fascinait.

- Tu peux caresser !

Je ne voulais pas la décevoir alors comme dans un rêve, je caressais ce membre viril, ce membre masculin d'une créature féminine. De façon quasi automatique j'imprimais à ce bel organe quelques mouvements de masturbation

- Mais c'est qu'il me branle bien, notre petit serveur ! Dit-elle.
- Humm, je crois qu'il a envie de te la sucer, mais il est un peu timide, il n'ose pas demander. Reprit Anne

Oh, le piège, pas envie de faire ça ! Comment le dire ?

- Je vais vous faire un aveu, c'est la première fois avec une transsexuelle, alors c'est un peu nouveau, je suis un peu perdu…
- Mais ce n'est pas grave, on va t'aider ! Me répond Sylvie.

Je ne m'en sortirais pas !

- Donne juste un petit coup de langue, tu vas voir comme c'est doux ! Me suggère Anne

Elles savent y faire, ce doit être l'un de leur trip d'embarquer des non-initiés.

- Allez, tu ne le regretteras pas ! Renchérit Sylvie.

Alors j'approche ma langue de la bite de la grande blonde, je donne le petit coup de langue demandé, m'étonne d'avoir fait une chose pareille, et quand elle me dit de continuer, je continue, j'ai maintenant sa bite dans la bouche. La sensation est surprenante et je dois dire bien agréable, je suce, je me régale. Je sais aussi, que ce que je suis en train de faire va me marquer à vie, moi l'hétéro pur et dur, je suis en train de lécher une bite… mais comme elle me l'expliquera plus tard, ce n'est ni un homme, ni une femme que je suce, c'est autre chose, un troisième sexe, peut-être un ange !

Je suçais et j'étais sucé, mais la position devint assez vite inconfortable ! Qu'importe, elles se levèrent et m'entraînèrent dans la chambre. Un grand lit bas devant lequel Anne releva sa chemise, se mit à genou, la croupe dressée au-dessus de son pénis, ainsi elle aussi était transsexuelle, je n'aurais pas cru. Sylvie me prit la queue et la plaça contre l'anus de sa copine. Le temps de prendre une capote et je n'avais plus qu'à me laisser glisser en elle. Sylvie se colla derrière moi pendant que je baisai Anne et m'introduit délicatement un doigt dans le cul.

Je savais donc comment se conclurait cette folle partie de jambes en l'air. Je ne sortirais qu'ici que dépucelé du cul ! J'étais prêt !

 

La nuit allait être longue et délicieuse.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 08:38

Il faut goûter à tout par Orlandho

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RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT UN PASSAGE SCATO EXPLICITE.
Thémes abordés : bisex masculinedoigtage masculinexhibitionfeuille de rosescatotriotriolismeurovoyeurisme

C'est mon prof de philo, un épicurien fier de l'être qui nous disait souvent qu'il fallait goûter à tout…. " Ne pas le faire c'est prendre le risque de passer à côté de choses que vous allez apprécier… "

Ma femme et moi travaillons tous les deux à plein temps, et comme nous avons bénéficié des " avantages " de la flexibilité, notre temps de transport est devenu interminable. Le soir on mange de la cuisine vite faite et la plupart du temps on s'endort devant la télé ! Elle est pas belle la vie ? Il y a bien le week-end ! Mais justement il faut aussi assurer les travaux ménagers ! Nous avons quand même réussi à nous débarrasser de la corvée de repassage et nous avons trouvé par petite annonce une jeune femme habitant pas très loin de chez nous et chez qui je porte le linge une fois par semaine..

La première fois que j'ai été lui porté du linge, elle m'a ouvert la porte en chemise de nuit. Assez longue pour cacher un endroit indécent mais assez courte pour laisser deviner ses longues jambes. Brune, 1,70 m, fin de vingtaine, les yeux brun foncé, quelques taches de rousseur sur le visage et les bras, un cambrure parfaite, un petit cul semblant merveilleusement ferme, j'ai dû tirer une drôle de tête en la voyant la première fois sur le pas de sa porte !

Bref, j'y suis retourné plusieurs fois et j'ai remarqué que sa tenue du premier jour n'était sans doute pas due au hasard mais que cette fille aimait se vêtir de façon à dévoiler ce que la nature lui avait généreusement accordé. Mes visites chez elle, toujours très courte, se résumait à déposer ou à reprendre le linge et à la payer, bonjour, au revoir sans plus.

Un soir d'été, particulièrement lourd, ma femme me demande d'aller rechercher le linge, je pars en grognant quelque peu, dans cette moiteur sentant l'orage proche. Arrivé chez elle (elle s'appelle Chloé), je sonne et elle vient m'ouvrir. Je m'attendais à la trouver dans une tenue légère mais pas à ce point ! Un petit soutien-gorge en dentelle grenat lui cachait la poitrine et une petite culotte assortie couvrait le bas, ses longues jambes nues, interminables me troublèrent autant que ses seins que l'on devinait largement sous cette mince protection.

Je la saluais et elle me montra le linge, prêt à être emporté. Un coup de vent referma la porte derrière moi et elle sursauta, perdis l'équilibre et atterri dans mes bras. Geste prémédité ? Je pense bien que oui. Nos visages si proches, le temps lourd, son parfum, nous nous sommes embrassés goulûment. Elle était fraîche et docile, sa langue dansant son ballet autour de la mienne. Mes mains glissèrent vers sa poitrine, dans mon short, mon sexe s'était immédiatement dressé, elle y posa une main douce et entreprit un massage régulier. Nous sommes restés comme cela quelques instants puis nous avons roulé à terre, je me retrouvais sur le dos, elle se mit à genoux à côté de moi et entrepris de baisser mon short, rapidement ma bitte dressée apparu et elle commença à me caresser plus sérieusement.

Je la regardais, superbe, un sein ayant glissé du soutif, ses yeux posés sur mon sexe, sa main droite montant et descendant lentement, caressent de son pouce mon gland déjà humide. J'écartais les jambes et elle commença à me malaxer les couilles de sa main gauche. Elle laissa couler un filet de salive sur le bout de mon gland et continua, ainsi lubrifiée, sa main semblait encore plus douce, comme si un vagin serré me chevauchait.

Elle me branla quelques minutes puis commença à se déshabiller. Une fois nue, elle se coucha à côté de moi, nous étions au milieu de son hall d'entrée, sur le tapis, à quelques pas de la porte. Elle me dit, tout en continuant à me caresser le sexe,

- Mon copain revient vers 20 heures, il nous faut nous dépêcher car il est toujours précis.
- Ok, il est quelle heure-là ?
- 19 h 40… A moins que ça t'intéresse de l'attendre, si tu es un peu bi, il devrait te plaire, il a une très belle bite !

Je lui répondais que je n'étais pas bi, mais cette étrange proposition m'avait quelque part un peu troublé. Chloé glissa le long de mon torse et se plaça entre mes jambes, elle commença à me lécher les couilles doucement, les prenant dans sa bouche, les agaçant avec sa langue, tout en me branlant puis, en me regardant dans les yeux elle enfourna ma bite dans sa bouche, elle commença un rapide va-et-vient, sa langue jouant avec mon gland, elle m'avalait si profondément que son nez touchait mon ventre. Elle me mit un doigt dans mon anus et commença à me caresser. J'adore cette caresse, j'étais au paradis.

- Dommage qu'on a pas le temps, je t'aurais mis un petit gode ! Tu aimes ?
- Si c'est aussi bon que ton doigt, je devrais aimer !
- On fera ça la prochaine fois, tu verras, je t'enculerais bien comme il faut !

Elle releva la tête un court instant, laissant un filet de salive relié sa bouche à mon gland, puis remonta ce fils dans un bruit de sucions incroyablement excitant. Elle pris mon gland entre son pouce et son index puis lentement me caressa de haut en bas, léchant parfois avec gourmandise le trou de mon cul d'un rapide coup de langue

19 h 50, l'orage éclata subitement, le tonnerre grondait et l'électricité se coupa, nos peaux semblaient électrisées, le frottement de sa main contre ma colonne s'arrêta. Elle vient se placer sur moi, accroupie au-dessus de mon sexe posé contre mon ventre, elle le pris dans la main droite et l'enfonça au fond dans son vagin plein de miel en un seul mouvement, elle commença à gémir et s'agita frénétiquement sur mon gros membre près à exploser. Elle commençait à jouir, je décidais alors de prendre les choses en main, je la retournais et commençais à la bourrer avec violence, mes couilles cognaient contre son cul merveilleux, elle jouit rapidement, s'agrippant à mon dos, me griffant, me mordant la lèvre. Elle se détendit en soupirant. Je me sentais prêt à jouir à mon tout quand un bruit me fit sursauter. La porte s'ouvrait… la lumière revint…

Je me relevais paniqué ! Face à moi le copain de Chloé, trempée comme une soupe, le regard plus surpris que choqué allant de moi à sa copine !

- C'est le monsieur qui nous donne le linge à repasser ! Précise cette dernière ! Il ne m'a rien fait de mal, disons que c'est l'orage qui nous a rapproché !
- Vous avez de la chance que je ne sois pas jaloux ! Me précise-t-il. Avec quelqu'un d'autre vous auriez déjà passé un sale quart d'heure. Mais moi, je ne suis pas comme tout le monde ! Ça a toujours été un de mes fantasmes de retrouver ma femme en train de baiser… mais là je suis arrivé un peu trop tard ! Vous aviez fini ?
- Non, non ! s'empresse de répondre Chloé

Bon, j'ai de la chance de tomber sur un couple très libéral, mais mon envie est retombée, il faut maintenant que je parte… Je vais pour rassembler mes affaires.

- Ne vous rhabillez pas, allez au salon boire un verre, je me déshabille, je me sèche un peu et je vous rejoins…
- Je vais peut-être vous laisser… tentais-je
- Vous n'allez pas partir maintenant, vous avez vu ce qui tombe !

Me voilà à poil dans un fauteuil du minuscule salon devant un verre de bière.

- Ben, alors on ne bande plus ? Se moqua Chloé
- Ça va revenir !
- Je vais faire un petit pipi, vous voulez regarder ?
- Volontiers !
- Mais je voudrais vous demander quelque chose en échange !

Voilà qui est intriguant ! Quelque chose en échange ? De l'argent ?

- Si c'est dans mes possibilités…
- Bien sûr que c'est dans tes possibilités, tu vas sucer mon mari !
- Peut-être pas, non !
- Mais si !
- Je t'aiderais à franchir le pas ! Je l'ai déjà fait… Allez viens !

Je n'ai pas dit oui mais me voici entraîné vers les toilettes. Chloé s'accroupit au-dessus de la cuvette sans s'asseoir. Elle se concentre quelques instants, ferme les yeux. Avant de lâcher un petit jet doré qui ne tarde pas à devenir une vraie douche ! Quelle vision, me voici en train de rebander. Greg, son copain, m'a rejoint dans l'ouverture de la porte, je louche vers son sexe, un bel engin il faut bien le reconnaître.

- Elle te plait ? Me demande-t-il !
- Oui, votre femme est très belle !
- Ça, je sais, mais je parlais de ma queue
- Euh, oui, faut bien avouer…
- Et bien touche là !

Je fais un signe de dénégation de la tête, mais je ne bronche pas quand il me met sa main sur ma propre bite, une légère caresse, puis il me masturbe, je me laisse faire. Chloé a fini de pisser, mais elle maintient la position.

- Je vais me tourner, vous verrez mieux ! Précise-t-elle !

prelude


Elle ne va tout de même pas… Et si ! L'anus s'ouvre… Un étron apparaît, grossit, se tortille, dégringole dans la cuvette, un second arrive à son tour, un troisième plus petit. Je suis paralysé, mélange de fascination et de répulsion. Je bande comme un cerf…
- Tu veux m'essuyer ?

 

Je cherche le papier !

- Non, avec ta bouche !
- Euh…
- Tout à l'heure j'ai goûté à ton cul, tu peux bien goûter au mien.

Qui aurait pu croire qu'un jour je fasse une chose pareille, ma langue furète autour de son anus. Ce n'est même pas dégoûtant, peut-être un peu particulier, mais c'est tout ! Ma bite n'a jamais été aussi raide, et Greg a dû s'en apercevoir abandonnant ma verge pour s'intéresser à mes testicules.

- Mets-toi à genoux !

Elle me donne des ordres à présent, mais j'obéis comme dans un rêve

- Puisque tu m'as bien léché le cul, tu vas avoir ta récompense ! Allez suce la bonne queue de mon copain.

Je lui touche le sexe, ma bouche s'approche, je dépose un baiser sur son gland, le contact ne me déplait pas, j'avance la langue, lèche le gland, puis me met à sucer comme si j'avais fait ça toute ma vie !

- Tu suces bien, petite tapette ! Je crois que je vais t'enculer !

Je fais comme si je n'avais rien entendu et continue à sucer, mais le bougre se dégage, se relève, me pelote les fesses !

- On t'as déjà dit que tu avais un joli petit cul ? Me demande-t-il
- Il doit aimer ça, je lui ai mis un doigt tout à l'heure, et il m'a dit qu'il aimerait bien un gode ! précise Chloé.
- Je vais chercher des capotes et du gel… indique Greg

Mon portable sonne ! Je vais le chercher dans ma poche. C'est mon épouse. Elle s'inquiète. Je la rassure lui dit que je me suis abrité chez Chloé

- Qui c'est Chloé ?
- C'est la repasseuse !
- D'accord à tout à l'heure ! J'espère que tu n'es pas en train d'en profiter pour la draguer.

Je raccroche ! Qu'est-ce que je fais ici ? Ah, oui, l'autre qui veut m'enculer ! Il n'est pas bien celui-là ! Chloé et Greg me rejoignent, me demande de les suivre dans la chambre.

Une minute après, j'avais le cul tendu tandis qu'on me l'enduisait de gel. Chloé se positionne de façon à ce que je puisse la lécher et la caresser. Je sens quelque chose qui veut me pénétrer, j'ouvre mon anus, pas assez… seconde tentative, second échec, troisième tentative, ça passe… et voilà, je me suis en train de me faire enculer tandis que je lèche les tétons de ma repasseuse par un soir d'orage en été… Et je suis bien…

 

Mon prof de philo avait décidément raison, il faut goûter à tout…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Samedi 15 septembre 2018 6 15 /09 /Sep /2018 18:25

Chalet de fantasme 3 – Baptême du cul pour Ludo par Sylvain Zerberg

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Thémes abordés : Gay, trio, feuille de rose, doigtage masculin, scato légère

 

Finalement, l'autre jour Ludo n'est pas venu, victime d'un contretemps familial. Le rendez-vous a donc été reporté quinze jours plus tard. Et cette fois, il n'y aura pas William, je ne vais pas m'en plaindre, je le ne sentais pas trop ce mec.

 

Je me pointe chez Tommy en fin de matinée, il me roule une pelle et me met la main au paquet, ça commence bien, il est excité comme un pou. Mais il se calme et nous buvons une bière.

 

Un quart d'heure plus tard Ludo nous annonçais son arrivée imminente.

 

Il n'est pas mal le Ludo, assez fin, une bonne bouille, des petites lunettes. Il embrasse Tommy, il me serre la main.

 

Tommy lui propose une bière et on s'installe devant la cheminée. La conversation commence par des banalités usuelles, puis Tommy lui lance :

 

- Alors toujours décidé ?

- Oh, oui !

- Et depuis que tu m'as dit ça tu n'as jamais eu d'occasion ?

- Non, mais je ne les cherche pas non plus, mais je fantasme à fond.

- Tu as une idée de la façon dont on va s'y prendre.

- Pas du tout, je vous laisse improviser.

- Alors, mets-toi à poil, Ludo !

- Là maintenant tout de suite ?

- Oui.

 

Il s'exécute sans discuter, ce mec est super mignon, il a un visage d'ange avec des cheveux blonds et bouclés, le corps est fin, épilé, il a de jolis tétons qui pointent un peu, sa belle bite semi bandée semble si prometteuse que j'en ai l'eau à la bouche. 

 

- Tourne-toi ! Oh quelles jolies petites fesses ! Ecarte-nous tout ça, je veux voir ton trou du cul !

 

Il prend la pose demandée, et ouvre son anus de façon obscène. Je me retiens de m'y précipiter pour le lui lécher, laissant l'initiative à Tommy

 

- Tu t'es déjà introduit des trucs dans le cul ? Lui demande ce dernier

- Oui j'adore ça, je me suis acheté un gode vibrant, j'aime bien m'amuser avec.

- Mais tout à l'heure, c'est ma bite que tu vas avoir dans le cul, tu le sais ?

- Je l'espère bien, je suis venu pour ça !

- Mais avant tu vas bien sucer nos bites, ça t'excite de savoir que tu vas sucer des bites ?

- Oui : Je ne l'ai pas fait souvent !

- Pas souvent ? Je croyais que tu ne l'avais jamais fait.

- Ben si ! Je ne suis puceau que du cul, pas de la bouche.

- Tu vas nous raconter tout ça, mais avant tu vas nous déshabiller, d'accord ?

 

Ludo commence à enlever le tee-shirt de Tommy, ce dernier lui demande au passage de lui pincer les tétons. J'attends mon tour avec impatience, le voilà qui arrive et qui me déboutonne ma chemisette, l'enlève puis s'occupe de mes bouts de seins. Il enlève ensuite mes chaussures, puis se baisse et retire mon pantalon. Il retourne vers Tommy pour recommencer le même cérémonial. Puis il fait descendre le caleçon.

 

Il semble ému à la vision de la bite de son cousin, il semble attendre une instruction qui ne vient pas, alors, il vient vers moi et me retire mon boxer. Nous voilà tous les trois à poil devant le feu crépitant de la cheminée.

 

- Allez raconte-nous les bites que tu as sucées, et après tu pourras jouer avec les nôtres.

 

Ludo raconte :

 

C'était un soir, je flirtais avec une copine dans le parc. On cherchait un coin tranquille pour se bécoter et pour se tripoter et on s'est enfoncé dans les petites allées. Et on arrive à un endroit où il y avait sept ou huit mecs, je ne sais plus, qui se branlaient et se suçaient. Ma copine m'a entraîné un peu plus loin. On s'est trouvé un banc pour s'amuser un peu mais je n'avais à l'esprit que la vision de toutes ces bites.

 

Du coup le lendemain, je suis revenu tout seul, mais l'endroit était désert, j'étais terriblement déçu, et je me suis assis sur un banc qui était là, faute d'avoir mieux à faire. Un quart d'heure après, un type se pointe, il pile devant moi, ne dit rien mais se tripote ostensiblement le paquet. Je réponds d'un vague sourire qu'il a dû prendre pour de l'approbation, parce que le voilà qui sort son engin de sa braguette et se met à se branler. Sa bite est devenue rapidement toute raide, alors il s'est approché et j'ai touché ma première bite, je l'ai trouvé très douce et quand il m'a demandé de sucer, je n'ai même pas hésité, j'ai bien aimé le goût, la texture, je l'ai sucé pendant cinq minutes, puis il s'est retiré de ma bouche, s'est éloigné de quelques pas et s'est terminé en se branlant et en répandant son sperme sur le sol. Puis il est parti sans dire un mot.

 

J'étais à la fois heureux d'avoir sucé ma première bite, en me disant que j'espérais bien que ce serait la première d'une longue série, et d'un autre côté j'étais profondément déçu par le côté complètement impersonnel de cette relation. Je ne demande pas forcément du sentiment, mais au moins de la complicité, de la chaleur humaine.

 

J'y retournais quelques jours plus tard, au coin d'une allée, un type en enculait un autre. Quatre ou cinq mecs les regardaient et beaucoup se branlaient. Je m'approchais, sortait ma bite et commençais à m'astiquer comme les autres. C'est alors que mon voisin m'a exhibé sa queue. Elle était grosse, le gars m'a mis sa main sur ma tête et a effectué une poussée afin que je me baisse pour le sucer. Je me suis dégagé, il m'aurait demandé autrement j'aurais sans doute accepté, mais là, ça m'a refroidi, je me suis éloigné de quelques pas tout en continuant à regarder, là un gars m'a mis la main sur la bite et a commencé à me branler, je me suis laisse faire, après il s'est baissé pour me sucer, il suçait bien mais ce n'est pas ce qui m'intéressait en premier, je l'ai laissé faire et au bout d'un moment, je lui ai dit que j'aimera bien le sucer à mon tour. Il a accepté et j'ai sucé sa bonne bite ! Oh que c'était bon ! Un autre gars s'est mis à côté du premier, j'avais donc deux bites à sucer, j'étais aux anges. Puis le Cro-Magnon du début s'est de nouveau pointé, ça a cassé l'ambiance et j'ai quitté les lieux.

 

Et puis la fois d'après, le temps était couvert, il n'y avait pas grand monde, je me suis assis sur un banc et j'ai attendu. Un type passe devant moi, il me dévisage et se tripote la braguette, je lui fais un petit signe de connivence, il vient vers moi et extrait sa bite de son pantalon. Une belle queue bien dessinée avec un joli gland, je la branle un peu puis je la suce. Humm, elle était bonne sa bite ! J'étais super excité, j'avais alors envie de franchir le pas et de me faire sodomiser. Je lui ai demandé s'il voulait me prendre. Il m'a alors demandé si j'avais le cul propre. Comme je n'en savais rien, j'ai laissé tomber et j'ai planté le mec là. 

 

J'ai donc décidé de changer de tactique, mais que faire ? Les petites annonces, ça me paraissait bien hasardeux. Les clubs, je n'osais pas. Alors j'ai arrêté de chercher. Et puis il y a eu le mariage de Claire. J'étais invité, toi aussi, on ne s'était pas vu depuis notre enfance. C'était comme si on ne se connaissait plus. C'est en allant vers le buffet que j'ai surpris une conversation entre deux beaufs, il parlait de toi : "Tiens, il est invité aussi l'autre pédé ?" "Ben, oui, faut de tout pour faire un monde…". Tu connais la suite.

 

- Oui, mais raconte là, tout de même, pour Sylvain.

 

Eh bien j'ai été te voir, je ne me souviens plus trop comment je t'ai abordé, mais très vite j'ai lâché la petite phrase que j'avais préparé : "C'est dégueulasse la façon dont certaines personnes parlent de toi !". Bien sûr tu as voulu savoir, alors je t'ai dit. On a parlé d'homosexualité, je t'ai confié mes fantasmes et mes atermoiements, et c'est là que tu m'as invité à venir chez toi…

 

Fin du récit de Ludo

 

- Bien reprend Tommy, je te propose de faire comme ça : On te laisse faire comme tu veux, s'il est possible que par moment je sois un peu directif ce sera uniquement pour t'aider, d'accord ?

- Pourquoi pas ? Mais j'aurais préféré que vous me dominiez carrément.

- Ce n'est pas un souci, tu veux être notre petit esclave ?

- Oui, ça me plairait bien !

- Mais un esclave, ça se punit…

- Ce n'est pas un souci non plus.

- Alors O.K., on va y aller ! Tu aimerais bien sucer nos bites, hein ma salope ?

- Bien sûr !

- J'ai envie de pisser ! Déclare Tommy, ça doit être la bière, ouvre ta bouche je vais te pisser dessus.

- Je… je… je ne sais pas si je vais aimer. Balbutie Ludo.

- Mais bien sûr que tu vas aimer. Les petits esclaves ça boit la pisse de leur maître !

 

Bien que Ludo ait ouvert la bouche comme on le lui a ordonné, Tommy a l'intelligence de commencer à pisser d'abondance sur son ventre et son torse avant de remonter vers le visage. Le jeune homme en avale une goulée. Tommy stoppe sa miction.

 

- Alors ?

- C'est bizarre, c'est spécial, pas franchement mauvais.

- Alors tu vas en boire encore un petit coup !

 

Il ne répond pas, il ouvre la bouche, en redemande. Je lui pisse dessus à mon tour. Il est drôle comme ça le Ludo, tout mouillé de nos urines sur son corps glabre. Je suis soudain saisi d'une pulsion et je l'enlace avant de lui rouler un patin. Ce mec m'excite de trop. En fait je m'aperçois que je ne suis partant ni pour une séance de domination ni pour un trip à trois. Ce dont j'ai envie c'est de m'envoyer en l'air avec Ludo, juste avec Ludo ! Oui mais voilà, je suis chez Tommy et ce n'est pas possible, il me faudra improviser.

 

J'ai lâché ses lèvres, me suis reculé un peu, nos regards s'échangent ! Putain comment il me regarde ! Mon coup de foudre serait donc partagé. "Trop la chance !" comme dirait mon beau-frère. 

 

Et hop, le Ludo qui se recolle à mes lèvres ! Il en veut encore de la fricassée de museau. Ce n'est pas du tout un problème. On se bécote avec un mélange de fougue et de tendresse. Je bande, mais je bande, vous ne pouvez pas savoir !

 

- T'es trop, toi ! 

- Trop quoi ?

- Trop craquant !

 

Tommy qui a oublié d'être con, s'est aperçu qu'il se passait quelque chose et s'est mis très légèrement en retrait. 

 

C'est fair-play comme attitude, mais s'il se trouve de fait sorti du trio, ce n'est pas terrible non plus ! A mon tour donc d'être gentleman :

 

- Suce-nous !

 

J'ai bien dit : "suce-nous" et non pas "suce-moi". Ludo se baisse et me gobe la pine. Ce sera donc sa cinquième queue de l'année si toutefois, j'ai bien compté.

 

J'ai toujours été fasciné par la qualité de fellations prodiguées par les hommes. Ils sucent très souvent mieux que les femmes. Et Ludo malgré sa maigre expérience ne fait pas exception à la règle. En fait les hommes sucent comme ils voudraient être sucés, et tout y est le rythme, la position des lèvres, les mouvements de la langue. C'est si bien que s'il continue je vais lui décharger sur les amygdales !

 

- Allez, suce Tommy, il va être jaloux.

 

Il le fait, j'aurais bien sucé Ludo pendant qu'il turlutte son cousin, mais la position accroupie, qu'a adopté ce dernier m'y fait renoncer. Pas pratique ! Et puis ça me permet de souffler.

 

- Arrête et tourne-toi, je vais t'enculer ! Lui dit Tommy.

 

Ce n'est donc pas moi qui aurais l'honneur et le plaisir de le dépuceler ! Tant pis, je m'en remettrais !

 

Tommy lui prépare le cul, et après l'avoir abondamment léché (le veinard !) il y introduit un doigt, puis deux, puis trois. Une bonne séance de va-et-vient, puis une tartine de gel. La capote, quelques mouvements de branlette pour bien assurer la fermeté bitale, puis premier essai. Raté ! Au quatrième, la pine entre enfin dans le trou du cul du cousin qui rouspète un peu !

 

- Ça fait un peu mal !

- C'est normal au début, je vais y aller doucement.

 

C'est ce qu'il fait, mais le cousin fait toujours la gueule.

 

- Ça va mieux ?

- Un peu !

- Je continue ?

- Oui !

- Tu me diras quand je pourrais accélérer !

- Accélère un peu.

- Comme ça ?

- Oui ! Oh, ça devient bon, continue comme ça, vas-y, encule-moi bien !

- Tu la sens ma bite ? Hein petite tapette ?

- Oui, je la sens bien !

  Chalet2

Cette fois, c'est de la vraie sodo, Je bande comme un dingue, c'est fou comme ça m'excite de voir deux mecs fins et glabres qui s'enculent. Tommy s'excite aussi, il me roule une pelle en même temps et Ludo m'a attrapé ma queue qu'il suce goulument. Nous formons un trio d'enfer. Tommy a du mal à maintenir la distance, il sent qu'il va jouir, il décule, retire la capote, fait se retourner son cousin et lui projette son sperme en plein visage. Ludo ne semble apprécier cette fantaisie que fort modérément.

 

- A ton tour, me propose-t-il en se remettant en position.

 

Cette perspective et le spectacle offert m'ont déjà fait bander comme un âne. Je n'ai aucune difficulté à entrer, le chemin est fait ! En revanche ma bite paraît super serrée dans ce jeune cul. Je pilonne mon amant en cadence, il n'a plus mal, il jappe, je lui donne du plaisir et je suis heureux de lui en donner. Je me contrôle pour ne pas jouir, je n'ai pas envie que tout ça se termine trop vite.

 

Je me dégage, jette la capote et me retrouve entre ses cuisses, j'ai maintenant sa bonne bite en pleine bouche. J'adore sucer des bites, je ne m'en lasse plus depuis que Tommy m'a fait redécouvrir ce plaisir. Et celle-ci est particulièrement bonne, la texture est incroyablement douce, le goût relevé de perles de pré-jouissance est envoutant. Je suce et je lèche partout, amusant le gland et tétant le méat des lèvres et de la langue, faisant coulisser la verge à la manière des putes les plus expertes.

 

Et puis, cette bite, cette magnifique bite, je la veux dans mon cul.

 

- Encule-moi, Ludo, fous la-moi bien profond !

 

Je joins le geste à la parole et je me tourne, j'écarte mes fesses de salope et lui dévoile mon petit trou qu'il lèche un petit peu (Oh ! sa langue), puis il me prend. Je suis sa chienne, il me lime avec une bonne cadence. Des frétillements de plaisir me remplissent le corps. Je sens qu'il va jouir.

 

- Essaie de te retenir !

 

Il a compris, il décule, veut enlever la capote, je lui fais signe de ne pas le faire et la nettoie de ma langue, faisant disparaître les traces de merde qui la polluait. Je suis fou d'excitation.

 

Maintenant je lui retire sa capote, simultanément nous nous couchons sur le sol, nous sommes tête-bêche, en 69, chacun suce la bite de l'autre. Lui jouit très vite, il n'en pouvait plus, moi une minute après.

 

Je n'ai pas avalé le sperme de Ludo, je l'ai gardé en bouche. Il est surpris de le trouver quand nous nous embrassons d'un très long baiser romantique.

 

- Je suis un enculé maintenant, ça me plait bien de me dire ça ! Dit-il en guise de commentaire.

- Alors bienvenu au club !

- T'u es super comme mec ! Ajoute-t-il, me faisant ainsi le plus beau des compliments.

 

Je cherche Tommy qui a disparu de la pièce.

 

- Je vais boire un coup, tu viens avec moi, proposais-je à Ludo.

 

Arrivé dans la cuisine, dans laquelle Tommy prépare le déjeuner, il nous accueille d'un provocateur (quoi que sympathique) :

 

- Alors les amoureux, ça s'est bien passé ?

 

Ludo rougit un peu, je croise son regard, nos visages se rapprochent, on s'embrasse.

 

C'est une façon comme une autre de répondre à sa question, non ?

 

Fin

 

 

Par Sylvai - Publié dans : Sylvain Zerberg
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