Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 09:31

Maîtresse Kriss 3 – Entretien d’embauche par Boris Vasslan

Fetish2

thémes abordés :  bisex masculine, domination hard, donjon, feuille de rose, party, scato, soubrette, spitting, travestis, uro.

 

Les lecteurs pourront se reporter aux deux premiers chapitres de cette histoire

Je reçu un texto sibyllin de maîtresse Kriss:

« Tu ne viens plus me voir ? »
« Ce serait un plaisir, mais j’ai un budget. Respectueusement, votre esclave dévoué. »
« On va s’arranger, je t’attends demain ! »

Je résolus de me rendre à ce rendez-vous. Pour mon boulot on verrait. Mais deux absences non justifiées le même mois pour quelqu’un qui ne s’absente jamais… bref on verrait bien…

C’est Angélique l’inévitable antillaise de charme qui m’ouvrit et qui me conduisit jusqu’au bureau de maîtresse Kriss, elle me fit asseoir et Maîtresse entra quelques instants plus tard. Elle était habillée d’un tailleur gris assez strict et faisait comme cela très businesswoman. Elle prit une profonde inspiration et elle me dit :

– Tu m’as bien dit que tu travaillais dans la comptabilité ?
– Oui ! Répondis-je en m’étonnant de la question.
– Tu pourrais le prouver ?
– Oui, mais…
– Il y a tellement de gens qui me raconte n’importe quoi, je voudrais être sûr.
– Ben sûr que je peux le prouver, il suffit que j’apporte une feuille de paie, mais j’aimerais comprendre un peu…
– Mon pauvre biquet, je suis sûr que tu venais te faire dominer par ta maitresse préférée et moi je te parle d’autre chose !

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ?

– Bien ! Continua-t-elle, j’ai de gros ennuis avec mon comptable, en fait, je suis maintenant persuadé qu’il me pique du fric. Je l’ai viré. J’ai une dizaine d’affaires surtout en province, des commerces, des petites boites. Il me faut quelqu’un pour gérer tout cela, quelqu’un qui connaisse la comptabilité, la micro. Quelqu’un qui soit facilement libre, qui accepte de se déplacer et qui accepte aussi d’avoir avec moi des relations autres que professionnelles.
– Je ne peux pas quitter mon boulot comme cela, je suis en plein sur un projet…
– Ce n’est pas un problème, juridiquement j’ai un avocat qui s’occupe de tout, le contrat de travail est prêt, il n’y a plus qu’à mettre un salaire, il sera de toute façon supérieur à ce que tu avais avant…
– Ça demande réflexion !
– Je ne dis pas le contraire, il faut que je m’absente, je serais de retour en début d’après-midi, donc tu pourras réfléchir.
– Ça fait un peu court ! Lui fis-je remarquer.
– Je sais ! Donc tu vas réfléchir pendant ce temps-là. On se retrouvera vers 14 heures, en attendant, tu as le choix, soit tu vas faire un tour, soit…
– Soit ?
– Soit je te mets en cage pour t’aider à réfléchir !

Et la voici partir d’un grand éclat de rire ! Je me demandais si elle était sérieuse…

– Alors, la ballade ou le cachot ? A moins que tu désires répondre « non » tout de suite ?

En disant ces mots elle se leva, contourna le bureau, vint se mettre derrière moi et se mit à travers ma chemise à pincer la pointe de mes seins. Cette caresse a le don de me paralyser et de déclencher un processus d’érection irrésistible.

– Tu veux réfléchir où ?
– Je ne peux pas accepter ?
– Tu veux réfléchir où ? Répéta-t-elle.

Le ton était devenu sec !

– Angélique ! Retire-lui ses lunettes !
– Oui Madame ! Voilà Madame !

La gifle arriva, je ne m’y attendais pas. Les crachat suivirent.

– C’est un exemple du type de rapport très particulier dont je voulais parler tout à l’heure, et que nous aurons si tu acceptes. Il faut que tu le prennes en compte dans ta décision !

M’échapper ! Echapper à cette folle, finalement c’était facile il suffisait de lui dire que j’irais faire un tour, et je disparaissais, oui mais en disparaissant, c’en serait fini de ces séances de domination où j’avais connu l’extase ! Je décide quand même d’aller faire un tour et je le lui dis.

– Ah ! On devient raisonnable, Angélique prépare le pour le cachot !
– Euh…
– Euh quoi ? Tu en veux une autre ?
– Maîtresse permettez-moi d’insister, je me suis probablement mal exprimé, je souhaite aller faire un tour…
– J’ai parfaitement compris, tu ne souhaites pas aller en cage, tu n’iras donc pas en cage… Non tu iras faire un tour… dans mon cachot !

Cette femme joue avec moi ! Il faut que je me reprenne, je ne suis pas prisonnier mais dans cinq minutes au train où vont les choses je vais l’être, je peux encore m’enfuir à toutes jambes, D’un autre côté, je me suis magnifiquement sorti des deux dominations qu’elle m’a fait subir. Alors si tout cela est un jeu pourquoi ne pas y jouer ? D’autant que si je refuse sa proposition, ce sera sans doute le dernier jeu avec elle. Je décide donc de la laisser donc jouer.

– Faites comme vous voulez Maîtresse, je suis votre esclave !
– J’espère bien que tu es mon esclave !
– Il n’y a aucun problème, je suis votre esclave ! Répété-je
– Mets-toi à poil, enculé !
– Oui Maîtresse !

Je me déshabillais, rapidement, pendant qu’Angélique était allé chercher sur ordre de Kriss une petite sacoche contenant des pinces, un martinet et quelques autres accessoires. Maîtresse Kriss commença par me placer un collier de chien autour du cou. Elle me posa ensuite des bracelets de cuir autour des poignets et des chevilles, puis elle choisit d’emblée une collection de pinces à nappes, terminées par des poids. Sans aucun ménagement elle me pinça le premier téton m’arrachant un cri de douleur.

– Ça fait mal, hein ? Enculé !
– Oui maîtresse !
– Mais tu aimes cela souffrir pour ta maîtresse, hein, enculé ?
– Oui maîtresse !

La douleur devint supportable sur mon téton droit, elle en profita pour me pincer le deuxième, m’arrachant un nouveau cri.

– Je te trouve bien douillet aujourd’hui !

Et sans me laisser le temps de répondre, elle m’asséna deux doubles gifles !

– Qu’est-ce qu’on dit ? Esclave ?
– Merci Maîtresse !
– Je ne devrais pas avoir à te le demander !
– Je vous demande pardon, Maîtresse !
– Tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !

Kriss saisit une nouvelle paire de pinces, je pensais qu’elle allait les superposer aux autres, mais je m’aperçus avec effroi qu’elle les destinait à mes couilles.

– Non ! Maîtresse ! Je n’aime pas trop aux couilles.
– C’est nouveau, on discute maintenant, mais tu n’es qu’un enculé d’esclave, tu n’es rien d’autre !

Je reçus à nouveau une double paire de gifles

– Merci maîtresse !
– Ouvre ta bouche de suceur de bites !

Sans bien comprendre j’obéissais, Kriss me cracha alors au visage, j’en ressenti un plaisir très trouble.

– Merci Maîtresse !

Ma maîtresse me fixa donc une première pince sur la couille droite, je remarquais qu’elle œuvrait malgré tout avec précaution.

– Tu vas supporter, enculé !

C’était plus un ordre qu’une question.

– Oui maîtresse !
– Ça t’excite que je te traite d’enculé ?
– C’est vous qui décidez Maîtresse, je suis votre esclave.

Kriss me posa la deuxième pince, je me retins de ne pas hurler, elle se tourna alors vers Angélique :

– Qu’est-ce que tu en penses, tu crois qu’il a répondu à ma question, toi ?
– Je ne crois pas non !
– C’est bien ce que je pensais… On va encore être obligé de le punir !

Puis se tournant à nouveau vers moi !

– Bon alors je repose la question : est-ce que ça t’excite quand je te traite d’enculé ?
– Non, maîtresse !
– Et bien, c’est dommage ça devrait !
– Pardonnez-moi Maîtresse !
– Pourtant tu es d’accord, tu n’es qu’un enculé ?

Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir

– Oui maîtresse !
– Tu ne repartiras pas d’ici sans t’être fait enculer ! Tu en as conscience, esclave !
– Oui Maîtresse !
– C’est l’une des plus belles récompenses qu’un esclave puisse m’offrir, c’est se faire mettre une bonne bite dans le cul ! T’as aimé cela les autre
– Oui maîtresse !
– T’es bon qu’à cela, sucer des bites et te faire prendre le cul.
– Oui maîtresse ! Grâce à vous !
– Comment cela grâce à moi ? Fit-elle mine de s’étonner.
– C’est vous qui m’avez dressée !
– Ah voici une bonne parole ! J’avais un esclave avant, je ne le vois plus, tu sais ce qu’il faisait uniquement pour me faire plaisir ?
– Non, vous allez me dire, Maîtresse !
– Il se faisait bien défoncer le cul, et après il nettoyait la bite du mec avec sa bouche !

Je ne répondis pas, partagé entre répulsion et fascination.

– Ça te trouble, hein ?
– Je ne sais pas…
– Oui, mais moi je sais, et si tu te mets à fantasmer là-dessus, et que tu as envie d’essayer, ta maîtresse saurait te récompenser !
– Je verrais, maîtresse !
– Bon assez discuté, Angélique, tu m’emmènes cette larve au cachot, tu l’attaches, tu le fouettes, mais tu ne t’attardes pas, j’ai besoin de toi !
– Oui Madame !

Angélique cliqua ensemble mes deux bracelets de cuirs aux poignets m’immobilisant ainsi les mains, puis attacha une courte chaîne autour de mon collier d’esclave, et me fit signe de la suivre. Nous descendîmes ce petit escalier que je commençais à connaître, je pensais que je serais attaché quelque part dans le donjon, mais non, je n’avais jamais remarqué une porte un peu plus loin, donnant vers un couloir voûté, sans doute d’anciennes caves.

C’est là que Kriss emprisonne ces esclaves.

– Il y en a un là-dedans, me dit Angélique en me désignant une porte, depuis trois jours.

J’ignorais si elle bluffait ou pas, mais j’espérais bien ne pas connaître un sort pareil, quand je réalisais que j’étais bel et bien prisonnier, et que je le serais encore bien davantage quand je me trouverais derrière l’une de ses portes. S’il fallait faire quelque chose, ce devrait être maintenant, feindre une chute, me servir de mes jambes pour immobiliser Angélique… mais non j’avais confiance… je n’opposerais aucune résistance… La soubrette me fit pénétrer dans l’un des cachots, et là, m’attacha à une croix de Saint-André, face contre croix. Je ne vis pas venir le premier coup de martinet sur mes fesses, manifestement trop fort, il m’arracha un cri de douleur, le deuxième me fit moins mal, mais j’eus vraiment du mal à supporter le troisième donné dans la foulée. Il y en eut dix comme cela, interminables, jamais on m’avait fouetté aussi fort, je ne comprenais pas, une bonne maîtresse doit sans arrêt mesurer ce que peut accepter l’esclave et surfer sur cette limite, là c’était manifestement trop fort, et volontairement trop fort. Et pourquoi n’était-ce pas Kriss elle-même qui m’avait fouetté ? Sans doute m’aurait-elle demandée après si j’en voulais encore, qu’aurais-je répondu alors ? Je me rendis compte que je n’aurais peut-être pas répondu non. Sans doute étais-je en train de repousser mes limites…

Je perdis vite la notion du temps, je ne sentais plus les pinces, mais je savais que lorsqu’on me les retirerait ce serait insupportable. C’est con d’être attaché, ça n’a rien d’excitant et en plus on ne peut pas se gratter. J’en venais à réfléchir à la proposition de Kriss, alors que tout à l’heure je n’envisageais même pas de l’examiner, je commençais à me dire que tout bien pesé, il y aurait peut-être quelque chose à faire, elle m’assurait un bon salaire, j’aurais en plus le contrôle de ces « affaires ». Au niveau de la sécurité de l’emploi ce n’était pas terrible, mais à bien y réfléchir mon job actuel était lui aussi à la merci de restructurations brutales et inopinées entraînant sa charrette de licenciements. Et puis surtout il y avait Kriss ! Travailler aux côtés de cette femme devait être une expérience unique. J’analysais tout cela dans tous les sens…

…Quand j’entendis une clé dans la serrure, ma décision était prise.

C’était Kriss elle-même qui venait me délivrer, et j’en fus satisfait

– Mets-toi à genoux !

Kriss était nue, elle avait simplement revêtu une sorte de combinaison noire à grandes mailles. Elle était magnifique. Soudain elle s’accroupit très légèrement et – oh ! Surprise – se mit à uriner à même le sol, j’en étais dépité ; Pourquoi ne gardait-elle pas ce précieux liquide pour son esclave, à moins qu’il s’agisse encore d’une punition particulièrement perverse. Elle se fit couler de l’urine sur les mains, puis sans se les sécher approcha l’un de ces doigts de ma bouche, me le faisant lécher, je ne refusais bien sûr pas. Et maintenant son geste prenait tout son sens, c’était une promesse !

– Merci maîtresse !
– Viens !

Elle me retira mes pinces qui étaient devenues complètement indolores. Elle commença par les seins. Le retrait fut douloureux mais néanmoins beaucoup plus supportable que je ne le craignais. Elle me prit les tétons dans ses doigts et se mit à serrer fortement. Ça, j’adore et je poussais un cri où la douleur se mélangeait au plaisir. Elle joua avec mes bouts quelques instants, les faisant rouler entre le pouce et l’index. L’excitation était à son comble et ma bite devint toute raide. Elle s’arrêta brusquement et me fixa à nouveau une pince en prenant soin de la positionner différemment que la première fois. La douleur était toujours là mais, oh combien agréable, Kriss n’attendit pas longtemps pour fixer la deuxième. J’étais vaincu, elle pouvait faire de moi tout ce qu’elle désirait.

Le retrait des pinces accrochées à mes couilles fut lui beaucoup plus pénible, la peau des couilles à tendance à rester collé après la pince et ce n’est pas agréable. Je poussais un cri.

– Tu n’as pas le droit de crier ! Tiens prend cela et excuse-toi !

Deux baffes magistrales atterrirent sur mes joues

– Pardon maîtresse, merci maîtresse !

Le retrait de la deuxième pince fut encore plus douloureux que pour la première mais j’arrivais malgré tout à me retenir de crier

Tirant sur ma chaîne de collier elle me guida jusqu’au donjon. Là, elle me fit grimper à quatre pattes sur une curieuse table dont l’une des extrémités était terminée par un pilori. Je me retrouvais donc tête et poignets coincés par ce drôle d’engin tandis mes chevilles étaient attachées à la table. Je me demandais quelle diablerie Kriss avait encore imaginé quand soudain on me banda les yeux. J’aime pas du tout ce truc, le plaisir sexuel quel qu’il soit est aussi le plaisir des yeux. Mais bon, je n’étais pas en état de protester de toute façon. Je restais quelques minutes ainsi sans avoir la possibilité de faire quoique ce soit. Quelques bruits me parvinrent un peu plus tard, j’avais l’impression que l’on plaçait des gens quelque part, je ne comprenais pas trop. Je sentis qu’on me prenait la main et qu’on la refermait sur quelque chose, quelque chose de vivant et de doux, avant de réaliser qu’il s’agissait d’une bite, très vite j’en avais une deuxième à l’autre main.

– Branle-les !

C’était la voix de Kriss, ce n’était pas très facile, à travers le pilori, mes mains n’avaient pas beaucoup de « mou » mais j’arrivais néanmoins à trouver une certaine cadence. C’est contre mon visage que je sentis la troisième queue !

– Suce !

Cette queue me paraissait énorme, mais le contact dans la bouche était tout à fait agréable. A ce compte-là, je m’attendais avec une certaine appréhension à recevoir une quatrième pine, dans mon cul cette fois-ci, mais non ! Ce serait sans doute pour plus tard ! Je continuais tant bien que mal à essayer de coordonner mes mouvements. Ce n’est pas évident : Branler trop vite conduit inconsciemment à sucer trop rapidement, et vice versa, il faut donc tout faire moyennement…

– Mieux que ça ! Pédé !

Le coup de martinet me gifla le cul ! J’essayais de m’appliquer. Je sentis soudain un soubresaut parcourir la queue que branlait ma main gauche. Un jet de foutre m’éclaboussa. On fit partir de la salle son auteur ! Je sus après qu’il s’agissait du locataire de l’autre cellule, et qu’il clôturait ainsi son passage de trois jours chez notre dominatrice. Je continuais à m’occuper des deux bites restantes, quand on m’enleva mon bandeau. Je pus ainsi découvrir l’heureux propriétaire de cette pine volumineuse : il s’agissait de Fabrice, un grand noir qui manifestement appréciait la fellation que je lui pratiquais, l’autre bite appartenait à un blondinet que l’on avait maquillé et travesti et qui répondait au nom de Ghislain. Kriss tendit un préservatif à ce dernier et lui intima l’ordre de m’enculer. J’appréciais le tact de Maîtresse Kriss qui aurait très bien pu me faire prendre directement par Fabrice. En fait cette femme était constamment maîtresse de sa domination et savait exactement ce qu’il fallait faire au bon moment ! C’était décidément une femme exceptionnelle et travailler pour elle serait décidément pour moi d’un grand bonheur ! La queue de Ghislain était de taille moyenne et il me pénétra sans trop d’effort !

zara1– Ah vous êtes mignons, tous les trois, imaginez un peu si vos collègues de travail vous voyaient en train de faire tout cela !

Ghislain me bourrait le cul avec application, il allait et venait dans mon anus à un bon rythme ni trop rapide, ni trop lent, mais en accélérant insensiblement. Un étrange frisson me traversa tout le corps. J’aurais voulu remercier ma Maîtresse, mais on ne parle pas la bouche pleine… Kriss tournait autour de notre groupe, le martinet à la main, appliquant au gré de sa fantaisie tantôt un coup sur les fesses de Ghislain, tantôt sur celle de Fabrice, puis au bout de quelques instants :

– Bon ! allez on permute !

Ghislain se retira de mon trou du cul, enleva la capote et se mit devant moi, j’entrepris donc de le sucer à son tour, il faut bien avouer qu’une pine de taille normale est quand même plus pratique à sucer et donc plus excitant. Je fus étonné de la relative facilité avec laquelle Fabrice trouva le chemin de mon anus. Ça faisait légèrement mal et il n’avait pas le savoir-faire de Ghislain. Manifestement nous manquions tous les deux d’habitude, je n’étais pas du tout à mon aise et du coup la fellation que je pratiquais devait en souffrir. Fabrice reçut à la volée trois coups de martinet

– Tu vas trop vite, il faut commencer tout doucement de façon à ce que son anus se dilate correctement et après t’accélères !

Effectivement ça allait mieux, et ça commençait même par devenir franchement agréable, du coup je soignais tellement ma fellation que Ghislain éjacula dans ma bouche.

– Avale !

Je le fis cette fois sans réticence !

Fabrice lui s’était remis à me besogner à grande vitesse et finit par prendre son plaisir dans mon cul ! Kriss lui demanda de conserver sa capote et de se positionner devant mon visage.

– Alors c’était bon, tu t’es bien fait enculer ?
– Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse !
– Alors maintenant nettoie !

Je pris sur moi, respirait un grand coup, fermait les yeux et me mit à nettoyer les pollutions qui trainaient sur le préservatifs. Le premier pas fut le plus difficile, après ce fut bien plus facile.

– Bravo ! Bon ! On va changer de jeu ! Mais avant, dis au revoir à ces messieurs.

Situation complètement insolite, j’échangeais une poigné de main avec Fabrice et voulut faire de même avec Ghislain, mais Kriss intervint.

– Pourquoi tu ne l’embrasses pas, il est mignon, non ?

J’hésite mais pas lui, il s’approche de ma bouche et s’y colle les lèvres, je le laisse faire, m’amusant pour la première fois de ma vie à rouler un patin à un homme.

– Tu sais que t’es sexy ! Me dit-il en me caressant les fesses, j’espère qu’on se reverra et que la prochaine fois ce sera toi qui m’enculera.

– Dis-moi quelque-chose ! Me demanda Kriss quand les autres furent partis
– Merci maîtresse, j’ai adoré sucer des bites et me faire enculer !
– T’es un choux ! Me répondit-elle en me gratifiant d’un bisou sur le bout du nez.

Quand je vous dis que Kriss est une maitresse atypique !

Kriss m’attacha ensuite les poignets à une sorte de trapèze qui pendait du plafond, puis me fixa une barre entre les chevilles afin de me maintenir les jambes écartées. Je la vis ensuite s’éloigner afin d’aller chercher quelque chose dans un sac en plastique. Elle en sortit des plantes que je n’identifiais pas tout de suite, avant de me rendre compte avec horreur qu’il s’agissait d’un bouquet d’orties.

– Non pas ça !

Les orties comme chez tout le monde évoquent le temps de l’enfance en culotte courte, celui où par mégarde on se fait piquer en pleine forêt, ça démange, alors on se gratte, et plus on se gratte plus ça démange, la peau se recouvre de plaques rosâtres, et il faut attendre d’être à la maison pour soigner tout cela avec une crème pharmaceutique ou avec du vinaigre…

– Quand tu auras essayé, tu en redemanderas ! Elles sont toutes fraiches, c’est Angélique qui les a cueillies ce matin.
– Non ! Maîtresse ! S’il te plait !

Se moquant pas mal de mes protestations, elle me balaya le torse avec le bouquet, immédiatement un picotement m’envahit, réveillant de vieux souvenirs, Ce premier picotement ne tarda pas à disparaître laissant la place à une seconde douleur ressemblant à une brûlure très légère, tout ceci n’était pas si désagréable.

– Les orties ont un secret, un seul, ils ne veulent pas que l’on se gratte après leurs caresses. Si on se gratte, c’est nul, si on ne se gratte pas on peut atteindre l’extase !

Et joignant le geste à la parole, elle mit ensuite les orties en contact avec mes tétons. J’assimilai ce nouveau plaisir avec ravissement. Elle frotta ensuite les orties contre l’intérieur de mes cuisses, puis sur mes bras. Ça me chauffait de partout. Kriss passa alors dernière moi, elle me caressa le dos, puis les fesses avec le bouquet, puis brusquement changea de méthode, et me fouetta carrément avec le bouquet. La sensation était délicieuse, il suffisait de s’y habituer.

– Encore ! Encore ! Merci Maîtresse !
– Elle revint face à moi
– Et maintenant la bite !
– Non !
– Comment cela non ?

Elle plaqua le bouquet sur ma bite, le contact des orties sur ma verge et sur mes couilles renforçait mon érection. Elle détacha du bouquet une unique tige et s’amusa à me frôler le gland avec, ma pine fut atteinte de soubresauts bien connus annonciateur de la jouissance. Il n’était sans doute pas dans ses intentions de me faire jouir comme cela.

– Bon je te laisse un quart d’heure en attendant que les orties se calment !

En fait, il faut plus d’un quart d’heure, la peau attaquée par les orties est atteinte d’ondes de chaleur et de retour de picotements qui sont supportables mais qui n’en finissent pas. Et puis il y a les marques qui elles mettent plusieurs heures à disparaître Mais enfin Kriss à raison, si on ne se gratte pas (et comment le pourrais-je ?) il n’y a pas de quoi en faire un plat. Le quart d’heure dura en fait une bonne heure (il ne faut jamais croire les femmes), et Kriss me détacha, j’ignorais s’il y avait une suite, mais cette fois elle m’enleva mes bracelets, mais pas mon collier. Angélique lui tendit une coupe de champagne vide, Kriss la plaça sous sa chatte et pissa à l’intérieur, puis me la tendit :

– Tu dois avoir soif ?
– Oui merci Maîtresse !
– Nous trinquerons dans quelques minutes, mais avant nous allons faire une dernière chose.

Quelle diablerie était-elle encore allée imaginer ?

– Couche-toi par terre !

J’obéis, elle me chevaucha, s’accroupit de façon à ce que ses fesses viennent au-dessus de mon ventre. J’avais peur de comprendre, elle n’allait pas pisser puisqu’elle venait de remplir le verre ? Ou alors elle allait… Non pas ça !

– Pas ça, maîtresse ?
– C’est un cadeau que je te fais, tu n’aimes pas les cadeaux ?
– Pas celui-ci, Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu n’avais rien dis l’autre jour !
– L’autre jour, vous n’aviez pas fait sur moi !
– Eh bien aujourd’hui, je vais te chier dessus et tu vas aimer :
– Non, on arrête tout, je m’en vais !
– On arrête quoi ? Je n’ai rien fait pour l’instant !

Kriss se releva soudain, et me fit face, je crus alors que j’avais échappé à cette épreuve que je ne souhaitais pas ! Elle se baissa approcha son visage du mien. Quel beau visage elle a, ma maîtresse, elle me regarde en souriant, elle passe délicatement sa langue sur ses lèvres, je sens que je vais me faire avoir…

– Ecoute mon biquet, tu as subi des épreuves autrement plus difficiles que celle-là, alors tu vas être gentil tu vas mettre tes tabous au vestiaire, tu vas arrêter de jouer les chochottes et tu vas te conduire comme un gentil esclave.
– Maîtresse, juste un mot : Quand j’ai rempli le questionnaire, sur la scato, j’ai répondu que je voulais essayer juste un tout petit peu… et on a déjà fait beaucoup de choses…
– Et bien justement c’est qu’on fait, c’est juste un petit peu.
– Mais…
– Bon, on ne va pas y passer la nuit, de deux choses l’une : Ou c’est toi qui vas me demander très gentiment que je te chie dessus ou alors tu prononces le mot de sécurité et tu te casses.

Partir ? Ne plus la voir ! J’ai bien failli le faire tout à l’heure, mais n’en ai plus trop envie. Je pris une profonde inspiration, ne me reconnaissant plus, je lâchais dans un souffle :

– Chiez-moi dessus, maîtresse !

Elle se remit en position, je décidais de fermer les yeux, mais Angélique s’en aperçut et vint me gifler !

– Regarde sinon tu ne t’habitueras jamais !

Kriss poussait, un bout d’étron finit par sortir de son cul, puis un long boudin dégringola, tomba sans bruit sur mon ventre. Quand elle eut terminé, elle se recula afin d’amener ses fesses à la hauteur de mon visage !

– Je suppose que tu désires me nettoyer, maintenant !
– Comme vous voulez, Maîtresse !

Je la nettoyais, au moins elle ne me prenait pas en traître, je savais maintenant très exactement tout ce qui m’attendais si j’entrais à son service. Pendant ce temps-là Angélique me débarrassait de la matière qui encombrait mon ventre.

– Badigeonne-moi ! Lui demanda-t-elle.

J’assistais alors à cet incroyable spectacle, Angélique s’imprégnant les mains de matière, se mit à tartiner les seins de ma maîtresse, puis son ventre, ses cuisses… et même ses joues. Je me fis alors la réflexion que cette insolite crème de beauté ne parvenait même pas à l’enlaidir. La soubrette lui badigeonna ensuite le pourtour des lèvres, Kriss en profita alors pour se lécher les babines, puis elle quémanda une petite crotte qu’elle prit en bouche et qu’elle suça à la façon d’une friandise en me regardant d’un air vicieux.

Je me surpris de bander comme un cochon.

– Viens me lécher mes seins ! Demanda-t-elle.

J’y avais déjà eu droit la dernière fois. Je n’hésitais pas, je n’étais plus sur terre, j’étais sur une autre planète, une drôle de planète.

– Bon, que les choses soient bien claires, je ne passe pas mon temps à faire de la scato, c’est tout simplement une de mes pratiques qu’il me plait de faire de temps en temps. Si tu restes avec moi pour ce que je t’ai proposé, il te faudra faire avec !

Une fois relevée, Kriss me tendit la coupe de champagne !

– Je suppose que tu as encore plus soif que tout à l’heure ?
– Oui, merci maîtresse !

J’avalais ce curieux liquide au goût de bière tiède d’un trait !

– Tu me dois une réponse !
– Bien sûr j’accepte ! Maîtresse !
– Non celle-là j’en étais sûre ! Mais quand pourras-tu commencer ?
– Le plus tôt possible, Maîtresse
– Lundi ?
– Oui je vais m’arranger !
– Angélique ! Cet esclave vient de gagner une pipe ! Suce-lui bien la bite.

Et c’est une bonne suceuse la petite Angélique, vous pouvez me croire !

© Boris Vasslan 2000/2003/2008/2018
le passage scato autocensuré dans les versions précédentes a été rétabli dans la version 2003
vasslan@hotmail.fr

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 07:48

Maîtresse Kriss 2 - Un jeudi d'esclave par Boris VasslanFetish2

thèmes abordés : bisex féminine, bisex masculine, domination hard, donjon, engodage masculin, : feuille de rose, party, scato, soubrette, spitting, uro

 

 

Quand même quand j'y pense ! Ma sexualité a basculé chez cette diablesse de femme, j'ai sucé des bites, je me suis fait enculer, j'ai léché un cul malpropre et je suis prêt à recommencer tout ça ! 


Le jour fixé, je me dirigeais vers son domicile dont je connaissais maintenant l'adresse en me débrouillant pour ne pas être en retard. Drôle d'idée pour une Maîtresse d'inviter un esclave à sa table, mais après tout pourquoi pas ? Je supposais qu'avant la domination proprement dite, on pouvait parfaitement parler d'autres choses. Ne voulant pas arriver les mains vides, j'achetais un volumineux bouquet de fleurs, en espérant qu'elle l'accepterait sans problème. Ce n'est qu'à moitié rassuré que je sonnais à sa porte. Angélique la belle antillaise vint m'ouvrir, et me libera de mon bouquet. Elle me conduisit ensuite vers la cuisine, où elle me transmit l'ordre de me déshabiller intégralement. L'ordre m'intrigua, mais après tout pourquoi pas ? Un déjeuner à poil serait peut-être une bonne façon de s'exciter avant de passer à la suite. Je m'exécutais donc et attendais tandis qu'Angélique s'affairait.


Dix minutes plus tard j'eu le bonheur d'apercevoir ma Maîtresse. Kriss était habillée d'un fuseau blanc super moulant et d'un chemisier très transparent qui laissait voir directement sa belle poitrine. Elle était réellement très désirable.


- Merci pour les fleurs, t'es un chou ! Me dit-elle en esquissant un petit bisou sur le bord des lèvres !


Puis elle sortit de la cuisine ! J'étais à la fois rempli de bonheur par la façon dont elle réagissait, en même temps qu'intrigué. Ce genre de conduite n'avait pas grand-chose à voir avec la domination. Kriss revint plusieurs longues minutes plus tard, et me passa un collier d'esclave, auquel elle attacha une laisse.


- Bon ! Tu vas marcher à quatre pattes derrière moi !


Je craignais alors le pire.


- Oui Maîtresse !


Elle me conduisit à la salle à manger où trois personnes finissaient de prendre l'apéritif, il y avait là le couple dont elle m'avait parlé. Elle, Chantal, belle femme, cheveux blonds décolorés et frisés, la quarantaine, assez plantureuse, habillée d'une robe hyper décolletée d'où elle avait pris soin de faire sortir de beaux tétons bien durs et bien sombres, le mari, Jérôme, assez quelconque, bedonnant, quasiment chauve et apparemment complètement myope. Le troisième personnage était Hélène, une grande rousse aux cheveux courts et à la peau laiteuse, vêtue d'une grande jupe noire, fendue des deux côtés, et en haut d'une sorte de débardeur à grosses mailles laissant apparaître les contours et les détails d'une fort belle poitrine. La beauté de ce spectacle me fit en partie oublier l'humiliation de ma position, d'autant qu'à ce moment-là personne ne sembla s'intéresser à ma personne.


- On passe à table ! Annonça Kriss, me tenant toujours en laisse.


C'est à ce moment-là que je réalisais que la table n'avait été dressée que pour quatre couverts, le mien n'était pas sur la table mais sous la table, un sentiment de honte m'envahit, c'était donc cela l'invitation de ma maîtresse, à sa table, oui, mais comme un chien. Ce n'est pas vraiment le genre de situation qui me fait bander !


Ce qui se passa ensuite fut totalement improvisé. Alors que les convives s'apprêtaient à s'attabler, Chantal demanda le plus simplement du monde :


- J'irais bien faire un petit pipi avant ! C'est où les toilettes ?


Kriss n'hésita pas une seconde.


- T'as qu'à pisser sur l'esclave, il sera ravi !


A ces mots, Angélique en bonne soubrette prévenante s'en fut chercher une bâche. Chantal eut sur le moment l'air d'être déstabilisée par cette réponse imprévue, puis réalisant qu'il ne s'agissait nullement d'une plaisanterie :


- Non désolé, je ne peux pas faire ça !

- Mais, si essaie, allez vas-y ! L'encouragea Hélène.

- Non, je ne pourrais pas !

- Tiens, je vais le faire d'abord, et après je te passe le relais !


Joignant le geste à la parole, Hélène retira prestement sa culotte et m'ordonna de m'allonger sur le ventre, elle se plaça debout au-dessus de moi et ne tarda pas à faire couler un petit jet qu'elle dirigea vers mon sexe qui redevint à nouveau tout dur, puis elle s'avança afin de se positionner au-dessus de mon visage. Je devinais ce qui allait se passer, elle s'accroupit légèrement, et tandis que tout le monde regardait autour de moi, je reçus l'ordre d'ouvrir la bouche et d'avaler - sans en perdre une goutte -, le précieux liquide. La quantité étant restreinte et le goût franchement agréable. Ce ne fut pas une corvée.


- Je peux faire caca aussi ? Demanda Hélène, comme si ce genre de chose était le plus naturel du monde.

- Non, il n'est pas encore tout à fait prêt pour ça ! Mais tout à l'heure, peut-être.

- C'est dommage, j'ai envie !

- C'est peut-être dommage, mais pour l'instant tu te retiens ! A ton tour Chantal !


Cette fois Chantal complètement désinhibée, n'hésita plus, elle adopta la même position initiale qu'Hélène, mais ce fut assez long à venir, puis soudain ce fut le déluge, elle avait vraiment une grosse envie, tout mon corps se mouillait de sa bonne pisse chaude et se répandait sur le carrelage. Hélène complément excitée remonta son soutien-gorge libérant deux seins magnifiques, puis recueillant avec les creux de ses mains un peu de la pisse de Chantal s'en barbouilla la poitrine.


- Pisse-lui dans la bouche !


Effectivement la fin du jet fut pour ma soif, mais l'abondance du liquide m'empêcha de tout boire. Je pensais que cette petite fantaisie se terminait quand Jérôme annonça son intention de pisser à son tour. Voilà qui ne m'amusait pas trop, heureusement le lascar avait surestimé ses possibilités et je n'eus pas à le supporter très longtemps. N'empêche que le plaisir éprouvé au contact des deux pisseuses s'effaçait place à la honte de ce troisième contact. On réagit bizarrement parfois…


Rien de tout cela n'avait été prévu et Kriss rappela à tout le monde qu'on allait manger assez vite, pour pouvoir pleinement profiter de l'après-midi. Le repas était en effet léger et rapide (crudités, quiches, salade, fruits). Et moi j'étais toujours au pied de la table pataugeant dans une mare d'urine que personne ne venait éponger. Le service était assuré par Angélique qui pour la circonstance avait revêtu une vraie tenue de soubrette, qui laissait à l'air sa belle poitrine d'ébène et ses petites fesses galbées.


Elle me servait après les autres, sans aucun ménagement en me balançant les aliments dans mon assiette posée au sol. Je n'avais pas trop faim, et la position n'était guère pratique, comme je crus qu'on ne faisait pas attention à moi, je résolu de m'asseoir en tailleur pour manger, mais un coup de cravache de maîtresse Kriss me fit reprendre vite la position initiale. Du coup les voilà qui me regardent tous, je n'ai plus d'appétit, il faut bien l'avouer, d'autant que mon assiette est maculée de l'urine de ces Messieurs dames, je laisse donc tomber. C'est Jérôme qui suggère qu'on me punisse puisque je n'ai pas l'air d'apprécier les bons petits plats de ma maîtresse, mais Kriss ne relève pas, son intention n'est ni de me forcer à manger, ni de prolonger notre présence autour de cette table.


Il fut convenu que l'on boirait le café en bas dans le donjon, pendant ce temps, ma maîtresse me conduisit à quatre pattes jusqu'à la salle de bain en me cravachant les fesses, et surprise me demanda de me doucher ! Cinq minutes après elle revint me chercher et nouvelle surprise, me déposa un petit bisou sur le coin des lèvres en murmurant :


- Tu es un bon esclave, continue à nous donner du plaisir !


J'en étais tout transporté de bonheur !


C'est bien sûr en laisse que je rejoignis le donjon, je pensais y retrouver d'autres personnes, mais non. Les trois "invités" étaient assis sur des poufs prêts à savourer le spectacle. C'est à eux que Kriss s'adressa en premier :


- Bon vous êtes mes invités, mais ici vous êtes sous mes ordres. C'est moi et moi seule qui dirige les opérations, quand j'aurais besoin de vous je vous ferais signe !


Puis elle me dirigea vers une croix de Saint-André où elle m'attacha de face. Elle commença par me passer un lacet qu'elle serra autour de mes couilles et à la base de ma queue. Puis elle entreprit de me tortiller le bout des seins. Contrairement à la dernière fois où elle avait agi progressivement, elle commença très fort, m'arrachant un cri de douleur, c'était fort mais supportable, elle savait parfaitement ce qu'elle faisait. C'est avec art qu'elle m'en écrasait le bout tout en leur imprimant un mouvement de pivotement. Bien évidemment ma queue se dressa, arrogante, grâce à cet habile traitement.


- Qui t'a autorisé à bander, petite salope ?

- Pardon,  Maîtresse !

- Tu vas être puni pour cela.

- Oui Maîtresse !


Kriss alla chercher deux pinces à seins et me les plaqua, elle se débrouilla pour me les placer le plus près possible de l'extrémité, là où cela fait le plus mal. Je pensais qu'elle allait s'amuser avec, mais pas du tout, elle décrocha du mur un martinet à longues lanières, et commença à m'en frapper les cuisses.


- Dix coups sur chaque cuisse, ça c'est le hors d'œuvre !


Au 20ème coup elle s'arrête, me sourit en tenant le martinet à la main, je sais qu'elle va frapper mais j'ignore où. Son regard possède en ce moment quelque chose de profondément troublant, je suis complètement dominé par cette femme, et prêt à subir (presque) n'importe quoi de sa part. Elle se met soudain à lécher l'extrémité du martinet et je m'aperçois à ce moment-là que celle-ci à la forme d'un gode. Je pense alors qu'elle va me le faire lécher. Mais non, le coup arrive en plein sur la queue. Je hurle, mais en reçois un deuxième.


- Pitié Maîtresse, ça fait trop mal.


Elle ne veut rien savoir, et continue. Au 8ème coup elle s'arrête me laissant presque groggy.


- Qu'est-ce qu'on dit ?

- Merci Maîtresse !

- Dis donc, pouffiasse, tu as employé un mot interdit quand je t'ai frappé.


Je comprends instantanément son jeu.


- Oui Maîtresse, j'ai imploré votre pitié, je ne ferais plus, punissez-moi Maîtresse !

- T'inquiètes pas pour la punition, tu ne vas pas être déçu, mais en attendant tu vas voir ce qui va t'arriver


Cette fois le coup est pour ma poitrine, le coup est si bien ajusté que la pince se déplace légèrement sur mon téton. Je comprends que c'était le but de la manœuvre. Nouveau coup de fouet, cette fois la pince tombe en me faisant hurler de douleur. Elle vise l'autre qui ne tombera qu'au troisième coup. Je n'en puis plus ! Elle ramasse les pinces et me les replace. Je commence à me demander si je vais tenir le coup à ce rythme-là. Cette fois elle prend un temps infini pour viser avec son martinet, manifestement elle veut le faire tomber du premier coup. 


Splash, le coup tombe, cinglant douloureusement ma poitrine tandis que mon téton ressent cruellement la torture de la pince qui se détache. Je suis en sueur, il est temps qu'elle passe à autre chose, j'attends avec appréhension le deuxième coup de martinet. Cette fois encore elle détache la pince du premier coup. Je panique quand je la vois ramasser les pinces, mais ce n'est que pour les ranger. Elle me détache de la croix. Comme elle ne m'a fouetté que devant, je pense qu'elle va me retourner pour me fouetter le dos et les fesses, mais non, ce sera sans doute pour plus tard.


- A genoux, salope !

- Oui maîtresse !

- Tu es venu-là pourquoi aujourd'hui ?

- Pour vous obéir, maîtresse !


Elle me balance une gifle magistrale et me crache au visage plusieurs fois de suite.


- Non ce n'est pas la bonne réponse !

- Pour... pour... pour...


Nouvelle gifle


- Alors ça vient ?


Je n'ai aucune idée de la réponse qu'elle attend, puis me remémorant ses "promesses" de la dernière séance :


- Pour vous nettoyer le cul, maîtresse !


Nouvelle gifle !


- Non t'es venu pour te faire enculer !

- Oui maîtresse !

- Dis le ! Je veux t'entendre le dire !

- Je suis venu me faire enculer, Maîtresse !


Puis Kriss s'adressant à Jérôme :


- Viens ci ! Connard !


Kriss me fit placer derrière lui. Pourquoi derrière ?


- Bon, tu vas aller toucher la bite à Jérôme, mais attention pas n'importe comment, n'oublie pas les gestes que tu vas faire, j'espère qu'on aura l'occasion de les refaire… Tu restes derrière lui et tu lui caresses la braguette jusqu'à ce que tu sentes son sexe durcir.

- Ça y est c'est dur !

- Bon, alors maintenant tu ouvres la braguette, et tu continues à le caresser à travers le slip, voilà caresse le doucement on n'est pas pressé. Tu as vu Chantal ce qu'il se fait faire ton mari ? Tu savais qu'il était pédé ?

- Un peu, oui, mais Il me surprendra toujours !

- Bon maintenant tu peux lui sortir la bite, et tu la branle doucement ! Ne bouge pas, reste derrière.



L'idée de faire des choses avec ce type ne m'enthousiasmait guère, mais il faut avouer qu'il avait une belle pine et un gland superbe.


- Mets-toi devant lui, sors-lui les couilles et caresse-les. Bon maintenant tu peux lui baisser le pantalon et le caleçon. Allez maintenant, suce-le !


Sans trop réfléchir, je gobais la verge de Jérôme et entrepris de la sucer, le contact était doux et chaud et la sensation d'interdit lié à cet acte m'excitait considérablement. Mais soudain je sentis sa queue se raidir violemment dans mon palais. Cet abruti était en train de jouir dans ma bouche !


- C'est vraiment malin ! Retourne à ta place ! Et toi avale !


Je ne me décidais pas à le faire, mais quelques gifles eurent raison de mes réticences. Après tout ce n'est pas mauvais


Chantal et Hélène étaient mortes de rire devant cette situation imprévue.


- Ça vous fait rire vous deux ? Pas moi, déshabillez-vous on va s'amuser.


Les deux femmes étaient assez différentes, Chantal affichait des rondeurs un peu limites sur un corps à la peau trop blanche et une chair qui deviendra vite flasque. Les fesses avaient une certaine tendance à la cellulite, mais la poitrine restait agréable quoique très légèrement tombante. Hélène, elle, avait le corps tout bronzé sauf la marque d'un slip brésilien, on sentait l'aérobic et les massages esthétiques.


Kriss fit mettre les deux femmes à quatre pattes.


- Toi l'esclave tu vas leur lécher le cul, et tu devras dire laquelle des deux a le cul qui sent le plus fort !


Bis repetita de la première séance, donc ! Mais avec deux femmes, cette fois-ci. La précédente séance m'avait permis de me débarrasser un tout petit peu de mes inhibitions en ce domaine, mais pas complètement. Par contre, sucer un trou du cul bien propre, ne m'avait jamais gêné, restait à savoir si ceux-ci l'étaient. Je commençais par Chantal et me souvint à ce moment-là qu'aucune des deux femmes ne s'était rincé après le pipi du midi. Je fourrais donc ma langue dans son anus, bien agréable à lécher sans vraiment ressentir quelque chose de particulier.


- Alors il est comment son trou du cul ?

- Il est propre maîtresse !

- C'est bien dommage ! Dis donc Chantal, je t'avais pourtant demandé de garder ton cul un peu sale…

- Je sais, j'ai pris une douche ce matin mais je n'ai pas été faire caca depuis.

- Et là tout de suite tu n'as pas envie ?

- Je ne crois pas !

- Alors je vais devoir te punir !

- Comme vous voulez, maîtresse !


Je léchais à présent l'autre, la différence fut vite évidente, mais me rendant compte que personne ne m'obligeait à le lécher davantage je stoppais immédiatement !


- Celui-là est moins propre, Maîtresse !

- Et bien justement nettoie-le !


Très curieusement, et contrairement à la première fois, je m'aperçu que cet ordre dégoûtant me plaisait, si ma maîtresse m'imposait cette épreuve c'est qu'elle savait que j'étais capable de le faire, pour rien au monde je ne voulais la décevoir. Je commençais par lécher les traces brunes, puis donnais donc des coups de langues au plus profond que je pouvais, rencontrant un goût acre et troublant.


- Je peux pousser ? Ça vient ! Prévient Hélène.

- Non retiens toi, je vais vérifier tout ça !


Mika Vony B12A ces mots, Kriss introduisit un doigt dans le cul d'Hélène et entreprit quelques mouvements de va-et-vient, puis le ressortit.


- Lèche !


J'évitais de regarder et léchais l'index pollué de ma maîtresse.


- C'est bon ?

- Oui maîtresse !

- T'es vraiment qu'un papier à cul !

- Oui maîtresse !

- Tu viens de lécher deux culs, t'en lécherais bien un autre ?

- Oui Maîtresse, le vôtre !

- Tout à l'heure si tu es sage !

- Merci maîtresse !


Maîtresse Kriss alla chercher un gode ceinture, et le confia à Hélène.


- Il faut bien que quelqu'un l'encule ! A toi l'honneur, Hélène !


Kriss me fit mettre à quatre pattes et tandis que la rousse me forçait le cul de son gode, ma maîtresse passant ses mains sous mon torse me tortillaient les seins.


Au bout de cinq minutes de pilonnage anal, Hélène fut invitée à se retirer.


- Regarde-moi ce cochon, Commente-t-elle, il a tout sali le gode.

- Quand on salit, on nettoie.


Je m'exécutais sans broncher prenant conscience que ce qui me restait d'inhibition en la matière (c'est le cas de le dire) était en train de disparaître.


Ensuite, Maîtresse Kriss me fit allonger sur le dos sur une table où elle m'attacha par les poignets et par les chevilles, puis s'éloigna de quelques mètres pour revenir avec une bougie allumée ! Je n'avais jamais eu l'occasion de tester ce supplice. Cependant il ne m'inspirait guère. Si une dominatrice peut toujours doser la portée d'un coup de martinet ou de cravache, si elle peut doser la douleur d'une pince comment par contre doser la brûlure d'une bougie en fusion ? Comme pour me donner confiance, Kriss se débarrassa (enfin) de son chemisier et entrepris de faire couler la première cire sur son sein, ce qui lui provoqua un petit frémissement, puis sans transition, elle en coula sur la paume de mes mains, curieuse sensation... une douleur vraiment à la limite de la brûlure, mais ce n'est pas une brûlure, ça picote et c'est loin d'être désagréable. 


Elle dirigea ensuite la coulée vers mes seins, zone beaucoup plus sensible, je poussais quelques petits cris, mais la douleur n'avait malgré tout rien à voir avec ce qu'elle m'avait infligé avec le martinet et les pinces. C'est ensuite mon nombril qu'elle attaqua s'amusant à le remplir entièrement de cire en fusion. J'appréhendais la suite sachant que la prochaine cible serait ma bite. C'est effectivement ce qui se passa, mais auparavant elle prit deux bougies plus grosses et qui coulaient donc davantage, une sorte de chaleur trouble envahit soudain mes couilles, me provoquant à nouveau une belle érection. C'est exactement ce que cherchait Kriss qui fit ensuite couler le liquide sur ma verge et sur mon gland.


- Bon il reste encore plein de trucs à faire, on ne va pas tout essayer aujourd'hui ! Mais tu vas avoir ta récompense. Avant tu vas aller dans la salle de bain et te débarrasser de toute cette cire de bougie que tu as sur le corps. Au passage tu demanderas à Angélique de nous servir le café. C'est elle qui te ramènera ici !


Il n'est pas évident de retirer les morceaux de cire qui s'agglutinent dans les poils, la prochaine fois, avant de venir, je me raserais le corps intégralement et j'espère que cela plaira à ma maîtresse. Au bout d'un quart d'heure je n'étais toujours pas prêt, Angélique pénétra dans la salle de bain.


- Je n'ai pas tout à fait fini !

- Je sais, j'attends !


J'avais l'air un peu idiot de m'escrimer avec mes morceaux de bougies fondues coincés dans les poils de mes couilles. J'essayais d'engager la conversation.


- C'est pas évident vous savez ?

- Ce qui est évident c'est que maîtresse Kriss va perdre patience !


A ces mots Angélique se saisit d'un téléphone portable


- Il n'est pas encore prêt… Ah, d'accord…  Bien Maîtresse !


Angélique farfouilla dans l'armoire de la salle de bain et en ressortit une bombe de gel à raser et plusieurs rasoirs.


- Tu finis avec cela ! Kriss ne veut plus voir un seul poil ! Je vais revenir !


J'entrepris donc de me raser tous les poils. Cette opération n'est pas très rapide mais je réussis à la mener à bien, éprouvant une nouvelle sensation trouble en caressant mon corps devenu lisse.


Angélique revint, elle tenait dans ses mains des bracelets en cuir, sans que nous quittions la salle de bain, elle me fit mettre à genoux et m'attacha les chevilles avec une première paire, les poignets derrière le dos avec la seconde paire, puis le rejoignit les deux paires avec une courte chaîne qui m'empêcherais de me relever


- Voilà tu restes là un moment, on viendra te rechercher quand on aura besoin de toi !


Je ne m'attendais pas à cela, mais puisque cela faisait partie du jeu... Je n'avais pas ma montre et il n'y avait pas de pendule dans cette pièce. Toujours est-il qu'au bout d'un moment j'avais les genoux en compote, à force de contorsion je parvins à me coucher en chien de fusil sur le carrelage froid, pour me rendre compte aussitôt que la position était tout aussi inconfortable et difficilement réversible. Je perdais la notion du temps me demandant quand même ce que je faisais là. Ce genre de punition n'ayant rien de particulièrement excitant, je ne tardais pas à avoir une envie de pisser irrésistible. Il était temps qu'on revienne me chercher, mais personne ne venait. Je criais assez fort :


- Y a quelqu'un ? J'ai envie de pisser !


Mais je savais bien que personne ne viendrait, sauf quand Kriss l'aurait décidé. Je n'avais qu'une solution : attendre, étant bien entendu que si je m'octroyais la fantaisie de faire un raffut du diable, la domination s'arrêterait brusquement et définitivement, ce que je n'osais envisager.


L'envie d'uriner me prenait à la gorge, et je laissais convaincre que je n'avais pas à me gêner, et je me résolu à me pisser dessus.


Peu de temps après Angélique vint me délivrer :


- C'est quoi ce bordel ?

- J'avais trop envie !

- Je devrais te faire nettoyer, mais je ne peux pas faire attendre Maîtresse Kriss, mais tu ne perds rien pour attendre, j'en ai marre de passer mes journées à éponger la pisse !


J'ignorerais toujours ce qui s'était passé pendant mon enfermement, mais je constatais que Jérôme était maintenant emprisonné à poil dans une cage. Hélène, elle était attachée à la croix de Saint André, ses seins et sa chatte étaient pris dans des pinces et tout son corps était strié de marques de martinet. Quant à Chantal et Kriss elles étaient enlacées sur un tapis, l'air épuisées comme si elles venaient de s'envoyer en l'air. Néanmoins, à mon arrivé Kriss se redressa :


- Ah, ben te voilà quand même, toi ! On t'attendait ! Hélène avait une grosse envie, j'ai dû la punir pour l'obliger à se retenir. Tu vas pouvoir te régaler du spectacle


Devant mon peu d'enthousiasme, elle ajouta :


- De toute façon tu vas adorer, c'est un spectacle que t'offre ta maîtresse, et elle est contente de te l'offrir !


La tournure des évènements ne me plaisait pas trop. Kriss détacha Hélène et fit sortir Jérôme de sa cage. Elle lui demanda de se coucher sur le sol. Hélène vint s'accroupir au-dessus de lui, se mit à pousser et lui chia un long étron sur le visage. Je ne vis pas la suite, Kriss m'entrainant à l'autre bout de la pièce en tenant à la main un plat en argent qu'elle posa à même le sol, avant de se mettre en position et de commencer à pousser, je regardais partagé entre répulsion et fascination ce boudin marron qui se tortillait au bout de son anus avant de dégringoler. Quand elle eut terminé, elle se mit à genoux, fesses relevées et ordonna :


- Viens lécher le cul plein de merde de ta Maîtresse !


J'obtempérais, d'abord hésitant, puis me persuadant qu'il fallait le faire, pour ma maîtresse. Je le lui nettoyais donc avec une application qui se transforma vite en excitation.


- Alors c'était bon ?

- Oui, maîtresse !

- Dit moi ce qui était bon !

- De lécher votre merde, maîtresse !

- Alors tu as droit à un petit bonus !


Alors devant mes yeux incrédules, je vis Maîtresse Kriss ramasser un peu de matière, en faire une petite boule qu'elle approcha de sa bouche pour  la lécher à grands coups de langue avec un air de défi, puis s'en badigeonner les tétons avant de me les offrir à sucer.

 

Complétement parti dans ce trip scatologique, je n'hésitais même pas et léchais ces pointes merdeuses dans un état second.

 

- C'est bien ! Tu es un bon esclave, tu vas maintenant te faire jouir pendant que je te pisse dans la bouche !

- Oh quel beau cadeau ! Merci maîtresse !


Et joignant le geste à la parole, ma maîtresse posa sa chatte sur ma bouche et la remplit de ce délicieux liquide, tandis que d'une main fébrile je faisais enfin jouir ma bite.


- Je pourrais revenir vous voir, Maîtresse ?


Sa réponse ne fut qu'un sourire mais ce fut la plus belle des récompenses.


FIN DE L'EPISODE

Boris Vasslan © 2000 (remanié en 2003 et reconstitué dans son intégralité en 2008)

 

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Par Boris - Publié dans : Boris
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Dimanche 12 août 2018 7 12 /08 /Août /2018 07:17

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris VasslanFetish2

Maîtresse Kriss 1 – Une matinée d’esclave par Boris Vasslan

Je ne m’étendrais pas outre mesure sur les circonstances qui m’ont fait rencontrer Maîtresse Kriss. Curieux des choses du sexe et attiré par de nombreuses fantaisies (notamment l’uro) je développais un masochisme assez léger se limitant la plupart du temps à quelques fessées à la main ou au martinet, ou à quelques jeux de pinces sur mes seins. Je le faisais soit seul, soit à l’occasion de quelques visites tarifées. J’ai eu envie d’aller plus loin, un jour, à l’occasion d’une semaine de congés après avoir acheté « Foufoune magazine ». La plupart des annonces de dominatrices renvoyaient sur des répondeurs, les écouter m’excitait. Il manquait un petit déclic pour me faire franchir le pas. Ce fut cette annonce publiée sans photos :

« Je domine peu car je le fais aussi pour mon plaisir, mais ce que j’aime par-dessus tout c’est initier ceux qui ne connaissent pas ce domaine »

Une nana qui ne fait pas ça à la chaîne et qui s’occupe bien des petits nouveaux ! Non, ça existe ? J’appelle ! J’ai droit à un court texte de présentation enregistré et on me demande d’appeler à un autre numéro entre telle heure et telle heure.

Je l’ai fait.

– Voilà, j’ai lu votre annonce et…
– C’est la première fois ?
– Oui !
– Tu aimerais qu’on te fasse quoi ?
– Je ne sais pas… Des fessées, des pinces…
– C’est tout :
– Du pipi si vous faites ce genre de choses !

Elle m’indique aussi que je risque de ne pas être seul, qu’elle a souvent d’autres soumis, voir des « invités ». Je ne m’attendais pas à cela mais ça ne me gênait pas plus que ça… Et alors que je pensais qu’on allait enfin prendre rendez-vous, elle me proposa une rencontre préalable dans une brasserie du centre de Paris…et m’indique ses tarifs.

C’est elle qui doit me reconnaître, j’ai l’air fin avec « Modes et Travaux » à la main. Une grande blonde, coiffée en chignon, tailleur noir et rouge aux lèvres arrogant pénètre dans le bistrot quelques minutes plus tard ! Serait-il possible que cette apparition soit la dominatrice avec laquelle j’ai rendez-vous ?

Ben, oui !

Regard circulaire, elle m’aperçoit, se dirige vers ma place et s’assoit en face de moi !

– Bonjour, je vous plais ?
– Il faudrait être difficile !
– Tu ne bois pas ton verre, tu n’as pas soif ?

Déjà le tutoiement ! Mais je ne comprenais pas le sens ce cette question.

– Pas plus que ça !
– Porte ce verre à tes lèvres, c’est un ordre !

Mécaniquement je le fis, toujours sans comprendre.

– Regarde-moi pendant que tu bois et maintenant imagine que tu es en train de boire ma pisse !

Et voilà ! Juste quelques mots, et déjà je bande comme un âne !

– Je suppose ,que tu sais comment se passe une séance de domination ?
Oui !
– Il y a des pratiques que tu ne supporte pas ?
– Je ne pense pas, en fait je suis soumis, mais je n’aime pas quand ça fait trop mal.
– Ne t’inquiètes pas pour ça, je sais m’adapter. Je fais souvent des séances collectives, c’est plus cool quand il y a plusieurs soumis, ça ouvre plein de possibilités

J’ai compris le message, ça veut dire qu’elle me demandera de sucer un autre soumis, ça ne me dérange pas plus que ça, ça aurait même tendance à m’exciter.

– Et la scato ?
– C’est pas mon truc !
– Je m’en fous que ce ne soit pas ton truc, tu sera mon esclave et c’est moi qui commande, et si j’ai envie de faire un peu de scato, personne ne m’en empêchera.
– Je sais pas…
– Tu sais pas quoi ? Encore une fois, je suis une pro, je sais dominer et m’adapter a ce que supporte mes soumis.

Je ne réponds pas, je ne sais plus trop où je m’embarque

– Il y a une dernière chose qui faut que tu saches ! J’ai le plus profond respect pour les prostituées, mais il se trouve que je n’en suis pas vraiment une. J’ai des revenus suffisants et si je domine c’est uniquement par passion, c’est mon truc ! Au départ je donnais directement mon adresse et je faisais ça gratuitement. J’ai eu quelques problèmes, j’ai changé de stratégie, maintenant c’est moi qui choisit, quant à l’argent il a une autre fonction, donne-moi les sous.

– Je ne peux pas réfléchir un peu avant ?
– Non ! Tu m’as donc fait perdre mon temps, ce sont de choses qui arrive ! Salut ! Branle-toi bien !
– Non, attendez c’est d’accord.

Et je sorti la somme demandée

Je pensais alors qu’on concluait l’affaire et qu’on allait partir ensemble chez elle ! Non, non ! Elle sortit de son sac une paire de petits ciseaux et devant mes yeux horrifiés entreprit de découper les billets par leur moitié, elle en conserva la partie droite, et me rendit la partie gauche. Difficile de me dégonfler à présent !

– Demain à 9 heures !

Elle m’indiqua une station de métro. Et disparut non sans avoir passé coquinement sa langue sur ses lèvres.

Troublé de chez troublé !

Une matinée d’esclave

Donc le lendemain j’attendais à la sortie de la station de métro convenu. Kriss n’était pas à l’heure et l’espace de quelques minutes je me demandais si elle ne m’avait pas posé un lapin. Mais non la voici qui s’arrête, qui descend de voiture, je la trouve plus belle que la dernière fois, son tailleur lui va mieux et le corsage mauve légèrement déboutonné est terriblement sexy, de plus elle est chaussée de lunettes, je n’avais jusque-là pas remarqué qu’elle en portait. Elle me toise quelques secondes :

– Alors, toujours prêt ?
– Oui !
– Oui qui ?
– Oui maîtresse
– Tu as les moitiés de billets ?
– Oui maîtresse
– Tu me les donneras en arrivant, en voiture !

Nous roulons quelques instants, puis elle s’arrête de nouveau à un carrefour,pour faire monter un deuxième homme. Ce dernier entre dans le véhicule en me disant poliment « bonjour ! », mais Kriss intervient en nous intimant le silence.

Au bout d’un quart d’heure nous voici arrivés.

– Bon vous allez prendre le petit escalier à gauche, Angélique va s’occuper de vous. Et moi je vous retrouve dans quelques minutes… pour bien vous faire souffrir.

Ah ! Cette expression du visage quand elle nous a dit cela, une vraie promesse, terriblement excitante.

– Bonjour je m’appelle Angélique, je suis la soubrette !

Angélique est une jeune antillaise au physique fort agréable, mais je n’imaginais pas une tenue pareille pour une telle fonction, jeans et chemisier à carreaux. Je me demandais quel rôle elle aurait par la suite.

Nous entrons dans la cuisine, superbement aménagée, et là surprise, un petit déjeuner très complet nous attend.

– Voilà de quoi prendre des forces ! Mais ne trainez pas trop ! Quand vous aurez fini, vous sonnerez et je viendrais vous chercher pour vous préparer. La domination commencera vers 10 heures et se terminera vers midi. Après vous pourrez prendre une douche et si vous le voulez un repas léger. Vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous soigne pas !

Je n’ai pas spécialement faim, mais je mange néanmoins une tartine avec un café au lait. Mon compagnon, lui s’empiffre, et comme il ne fait aucun effort pour entamer la conversation, je n’en fais pas non plus. Ayant donc fini avant lui, j’attends donc le moment de sonner et de passer aux choses sérieuses.

A 9 h 45 nous sonnons Angélique.

– Alors mes cocos, c’était bon ? Bon maintenant suivez-moi !

Et elle nous dirige vers un petit vestibule.

– Voilà de quoi déposer vos affaires ! Vous allez vous mettre complètement à poil, y compris les chaussettes, la montre et toute la quincaillerie ! Ah, au fait, nous aurons des invités, alors, il y a des masques et des loups à votre disposition si vous le souhaitez.

Mais nous ne le souhaitions pas… Nous voici à poil, le mec me regarde la bite, je regarde la sienne, Curieux comme situation !

Angélique nous passe autour du cou un collier d’esclave et nous demande à nouveau de la suivre dans cette tenue. Nous voici dans les sous-sols.

– Bon, dernière instruction, si vous voulez arrêtez la domination il vous faudra répéter deux fois le mots de sécurité. C’est « Tournesol ». Si vous le prononcez, tout s’arrête, il n’y pas de négociation possible, on vous fout à la porte… Sinon, vous pourrez toujours dire « arrête, stop ou pitié » on n’en tiendra pas compte. Tout le monde a bien compris ?

La pièce est très grande, les murs sont blanchis à la chaux et il y a tout un attirail pour S.M., une croix de Saint-André, un pilori, une cage et bien sûr beaucoup de chaînes. D’autres objets font insolites dans ce lieu, notamment un tableau noir, un vrai tableau noir avec son porte craie et aussi un pot de chambre en porcelaine. Angélique nous suspend les poignets en l’air et nous fixe une barre rigide entre les chevilles afin de maintenir nos jambes écartées.

Kriss entre alors, elle ne s’est pas changée et porte toujours le même tailleur, mais elle n’est pas seule, deux personnages l’accompagnent : une grande femme rousse aux cheveux assez courts, elle aussi est en tailleur celui-ci est noir, très strict; et il y a aussi un homme genre taciturne en veston cravate. Ce dernier s’assied sur une chaise sur le côté très en retrait par rapport à ma position. Les deux femmes s’installent devant nous et quittent toutes deux leur veste de tailleurs. Jenna (la rousse) en restera là et elle s’assoit tandis que Kriss retire également sa jupe.

J’apprendrais un peu plus tard qu’en fait le cravaté qui se prénomme Victor est un client, il est voyeur et bisexuel mais pas soumis.

Kriss s’approche de Jenna et lui roule une pelle.

– Ils m’ont pas l’air trop motivés tes esclaves !
– Fais moi confiance !
– Il y aura de la scato, j’espère
– Mais bien sûr ma biche !

Et voici Kriss qui s’approche de nous sans rien dire, se caressant les seins à travers son corsage maintenant à moitié déboutonné. Je sens monter une certaine excitation, ce qu’elle attendait sans doute, elle glisse deux mots à l’attention d’Angélique, qui détache le deuxième esclave, puis l’enferme dans une cage. Je vais donc avoir « l’honneur » de passer en premier.

Kriss a fini de se déboutonner; elle conserve néanmoins son corsage ouvert, en dessous un soutien-gorge noir, et en bas une petite culotte rose. On ne peut pas dire qu’elle fait des efforts d’imagination en accoutrement, mais elle m’avait prévenu que fétichisme, sous-vêtements et tout cela n’était pas trop son truc. Par contre quelle sensualité ! En dandinant, elle s’approche encore plus de moi, puis elle me saisit chaque bout de sein entre le pouce et l’index et commence à tourner. J’adore cette « caresse », elle le fait très bien, me provoquant quasi instantanément une solide érection.

– Qui t’as autorisé à bander ?
– Personne Maîtresse !

Et vlan, voilà que je reçois une gifle, pas trop fort mais c’est quand même une gifle, puis elle me crache dessus.

– Quand je te crache dessus je veux que tu ouvres la bouche, tu as compris, esclave ?

J’ouvre la bouche, elle recrache, puis recommence à me faire le bout des seins de plus en plus fort, finissant par m’arracher de petits cris de douleurs (ou plutôt de douleurs mêlées de plaisir.)

– On t’a autorisé à crier ?
– Non, Maîtresse !

J’attends la gifle, mais elle ne vient pas, me signifiant donc implicitement que c’est elle qui commande le jeu, faisant ce qu’elle veut quand elle le veut.

Elle me passe alors un lacet autour de mes couilles et le serre fortement, puis elle continue de me travailler les tétons, mais cette fois elle le fait du bout des ongles. Je délire de plaisir, ma bite est tendue au maximum. Une double paire de gifles complètement inattendue et complètement imméritée, suivit de plusieurs crachats vient me surprendre. Je n’en peux plus, je veux encore qu’elle me gifle, qu’elle me crache dessus, je veux encore qu’elle me torture les seins, Cette fois c’est ma pine qui est giflée, j’aime moins mais qu’importe, c’est elle la maîtresse, elle peut à ce moment-là me faire ce qu’elle veut. Ses ongles s’enfoncent de plus en plus dans mes seins sans toutefois les blesser, je craque, j’hurle de douleur et reçois à nouveau deux paires de gifles. Les larmes me montent aux yeux, mais je suis en extase. Je ne regrette vraiment pas d’être venue.

– Bon je vais te rougir le cul !

Elle passe derrière mois, armée d’un martinet et commence à me cingler les fesses, les premiers coups sont en fait destinés à tester ma résistance à la douleur. Quand elle pense avoir trouvé la bonne force de frappe, elle me dit :

– Tu vas compter jusqu’à vingt et chaque fois tu me diras  » merci maîtresse ! « .
– Oui maîtresse !

Le premier coup sérieux arrive, il reste très supportable

– Un ! Merci maîtresse !

Le second sera un peu plus fort !

– Aie ! Deux ! Merci maîtresse !

Quel métier ! Elle sait doser exactement ses coups, ne pas les rendre insupportables, mais à la limite quand même ! Arrivé au 19ème coup, je suis quand même content de savoir que cela va finir :

– 19 ! Merci maîtresse !
– Comment ça ? C’était le 18ème !

Que faire ? Que dire sinon s’incliner ?

– Peut-être ! Pardon Maîtresse, j’ai dû me tromper !
– Tu as voulu mentir à ta maîtresse, tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !

Le 20ème coup tombe beaucoup plus fort !

– Pitié Maîtresse !
– Pardon j’ai mal entendu !
– 19 ! Merci Maîtresse.

Le 20ème coup tombe, puis comme je le craignais elle n’arrête pas, les coups sont vraiment un peu trop forts. Aura-t-elle l’intelligence de s’en apercevoir ? Si elle continue je vais être obligé de prononcer le mot de sécurité.

– 23 ! Merci maîtresse ! Pitié maîtresse je n’en peux plus
– Ta gueule, sale pédé !

Un 24ème coup tombe puis un 25ème.

– 25 ! Maîtresse merci, je vous en supplie, arrêtez !
– J’arrête quand je veux et sûrement pas quand tu me le demandes !

Mais le 26ème est moins fort ! Nettement moins fort, je ne comprends pas bien…

– 26 ! Merci maîtresse !

A trente elle s’arrête, elle me fait face, et retire son corsage et son soutien-gorge. Ses tétons sont très sombres et très gros, de plus en ce moment ils sont bandés de plaisir. Comme j’aimerais les sucer mais je ne rêve pas, je sais que c’est probablement impossible.

– Alors, c’était bon ?
– Oui Maîtresse !
– Tu en reveux encore ?
– Pas tout de suite Maîtresse !

Elle saisit à nouveau mes bouts de seins et les serre avec ses ongles. Ça, j’aime, ça fait mal mais en même temps ma bite se remet à bander au maximum. Tout d’un coup, elle me saisit les couilles et se met à me les tordre. Je n’apprécie pas vraiment. Malheureusement dans les séances de domination, il y a des trucs qu’il faut supporter et qui ne font pas grand-chose. Puis voilà qu’elle me pince les couilles avec ses ongles, je n’aime pas trop d’habitude, mais je dois avouer qu’elle fait cela très bien.

Elle se dirige maintenait vers un petit placard et revient avec une petite cassette d’où elle extrait une série de pinces. La première pince sera pour mon sein droit. Je crie mais c’est supportable, c’est même assez bon ; la seconde pour l’autre sein, puis elle m’en placera quatre sur chaque couille.

Elle saisit tout d’un coup les pinces qui sont sur mes tétons, fait semblant de me les enlever, puis me les remet, je pousse des râles de jouissance et de douleur.

Kriss est apparemment très excitée, et de temps en temps elle se pince ses propres tétons à travers son soutien-gorge.

– Dis donc gros vicieux, qu’est-ce que tu as à mater mes seins ?

Et paf je reçois une nouvelle gifle, je tends l’autre joue, mais la deuxième ne vient pas !

– Et puis quoi encore, ça te ferait trop plaisir.

Elle cherche quelque chose dans sa cassette et reviens cette fois avec des poids en plomb, après chaque pince elle posera un plomb. Aux seins, cela reste supportable, aux couilles ça commence à faire sérieusement mal. D’autant qu’elle va maintenant doubler, puis tripler, puis quadrupler les plombs. Mais Kriss est une dominatrice experte, elle sait qu’elle n’aura du plaisir à regarder la souffrance de ses esclaves que si celle-ci reste un tout petit peu au-dessus de ce qu’ils peuvent supporter mais pas au-delà. Elle m’enlève donc les pinces aux testicules. Bon sang, le fait de les enlever fait presque aussi mal que de les mettre. Elle dit deux mots à Angélique qui (surprise !) me détache.

– A quatre pattes !

Je m’exécute, les poids aux pinces, n’ayant maintenait plus mon torse pour compenser leur action tirent violemment sur mes tétons, elle me fait ainsi faire le tour de la pièce, me fouettant quand je ne vais pas assez vite.

– Tu aimes ce que je te fais, esclave ?
– Oui maîtresse !
– Tu ferais n’importe quoi pour ta maîtresse ?

Oh là ! La question piège ! Attention à la réponse !

– Tu vas me répondre ?

Et à ces mots le martinet single à nouveau mes fesses

– Oui maîtresse !
– Allonge-toi par terre !

J’obéis et je me couche sur le dos, les poids cessent alors de me faire mal ! Kriss saisit à nouveau le martinet et me frappe la poitrine, pas trop fort mais de façon à ce que la trajectoire du coup rencontre l’endroit où les pinces sont accrochées à mes tétons. Et bien sûr, l’une des pinces se décroche m’arrachant un cri de douleur. Il faudra plusieurs coups pour que l’autre se détache à son tour sous l’action du martinet.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci Maîtresse !
– Tu veux souffrir encore ?
– C’est vous qui décidez, Maîtresse !
– On va passer à autre chose !

A ces mots Angélique me replace dans la même position qu’au début, puis se déshabille complètement. Elle non plus n’est pas mal du tout et je me la « ferais » volontiers. Kriss est revenue quelques instants auprès de Jenna (qui à part sa veste de tailleur, n’a entamé aucun déshabillage) et lui roule une pelle magistrale. Kriss revient maintenant avec un gode ceinture dans la main, elle retire sa culotte puis s’harnache avec l’objet. Angélique règle la chaîne qui retient mes poignets au plafond afin de donner du mou.

– A genoux ! Esclave !

Je m’exécute, bien sûr ! Kriss se plante devant moi :

– Suce !

obla9b. J’en étais sûr ! Encore un machin qui ne me fait rien, (et encore j’ai échappé jusqu’ici au léchage des pieds et des jambes). Je préférais mille fois lui lécher le trou du cul, mais je me dis que cela viendra peut-être ! Je lèche donc le gode-ceinture. A chaque fois que je fais mine d’arrêter, elle m’ordonne de continuer, bref cela dure des heures, et en plus ça me fait débander. Tant pis après tout cela me repose. Jusqu’ici elle avait compris mes réticences sur certaines pratiques. Là, non, en apparence ! Je présume qu’après, le gode va atterrir dans mon cul ce qui est quand même nettement plus intéressant !

Enfin, elle me fait arrêter. Kriss se tourne vers Angélique

– Tu peux ?

Je me demande de quoi il est question, puis je vois Angélique s’accroupir sur le pot de chambre, puis pisser dedans. Du coup me revoilà devant ce joli spectacle en train de rebander.

Elle positionne ensuite la cuvette au niveau du gode ceinture de Kriss qui le trempe dedans. Je crois avoir compris ce qui va se passer. Effectivement, elle s’approche à nouveau de moi et me demande de lécher le gode dégoulinant de pisse. Ça j’adore, c’est avec avidité cette fois que je lèche l’instrument ne voulant rien perdre de ce précieux liquide. Malheureusement, ça ne dure pas très longtemps. La suite fut simplement hallucinante. Angélique se saisit d’une louche, puis entreprit de puiser dans le pot de chambre, pour emplir trois coupes de champagne pour Kriss, Jenna et Victor (le type taciturne en veston cravate). Ce dernier a d’ailleurs sorti son sexe de sa braguette et bande fort joliment. Les trois complices trinquent joyeusement… puis trempent leurs lèvres dans le pipi d’Angélique. Kriss gratifie Jenna d’un nouveau patin, puis tandis que cette dernière et Victor regagnent leurs places respectives, Kriss habille le gode d’un préservatif. Angélique me détache pour m’installer sur une table. J’ai les poignets attachés à deux extrémités de la table, tandis que mes chevilles sont tirées en l’air par deux chaînes. Je suis donc là, couché sur le dos, les jambes en l’air; les fesses très proches du bord de la table.

Kriss s’approche, elle tient toujours son verre de pisse à la main, et sans doute pour me narguer, l’avale d’un trait ! La revoici soudain toute douce :

– Si tu continues à être un bon esclave tu pourras en boire plein tout à l’heure !
– Merci Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il va t’arriver maintenant ?
– Vous aller m’enculer maîtresse !
– Tu aimes ça te faire enculer ?

Je ne suis pas du genre à me faire piéger par ce genre de question.

– J’aime tout ce que tu me fais (parfois, je la tutoie, parfois je la vouvoie, elle s’en fiche apparemment)
– Je t’ai posé une question ! Tu réponds à la question.

Et pour me punir voilà qu’elle me serre les couilles. Elle me fait réellement mal. Tant pis, je lui dis ce qu’elle souhaite entendre !

– Oui Maîtresse, j’aime me faire enculer !

Et le gode a déjà pénétré mon cul, me provoquant un plaisir trouble, encore une fois je ne peux que m’extasier devant son métier et sa pratique. Elle s’enfonce de plus en plus loin et commence des mouvements de va-et-vient.

– C’est bon, esclave ?
– Oui Maîtresse !
– Mais ça ne vaut pas une vraie bite ?
– Je ne sais pas maîtresse !
– Tu ne t’es jamais fait enculer par un homme ?
– Non, Maîtresse !
– Tu le feras pour moi ?
– Je ne sais pas Maîtresse, (je me rends compte que je n’ai pas dit non)
– Si tu ne sais pas, moi je sais pour toi ! Mais il faudra me le demander !
– Oui Maîtresse !

Je crois avoir trouvé une porte de sortie pour échapper à cela, je n’ai pas trop envie, mais ma défense est faible.

– Vas-y ! Demande-le-moi ?

C’était donc cela !

– Je ne sais pas maîtresse !
– Fais-moi plaisir, tu es un bon esclave !

Le ton a complètement changé, je me sens craquer.

– S’il te plaît, cela me ferait tellement plaisir de te voir prendre par une bonne queue.

La maîtresse qui dit : « s’il te plait » à son esclave ! Je rêve ou quoi ? Elle me dit ça tout en ralentissant le mouvement de va-et-vient de son gode ceinture, tandis que ses doigts pétrissent à nouveau le bout de mes seins. Je résiste encore mais je sais que je ne tiendrais plus longtemps.

– Bon répète après moi : « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »

Je ne réponds pas.

– Tu sais très bien que je n’ai pas besoin de ton avis ! Simplement, ça me ferait tellement plaisir que ce soit toi qui me le demandes !

L’argument est fort et incontournable !

– D’accord Maîtresse ! Tout ce que vous voudrez !
– Donc répète après moi « Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave »
– Je veux une bonne bite dans mon cul d’esclave !

Son visage est radieux ! Je devine que pour elle cela constitue l’un des moments fort de la domination.

– Tu as droit à une récompense ! Tu préfères me lécher un bout de sein ou alors le trou de mon cul.

J’ai une envie folle de lui lécher le trou du cul mais je pense que cela viendra de toute façon, alors que lécher le sein d’une dominatrice est dans mon esprit, quelque chose d’exceptionnel :

– Votre sein, Maîtresse !

Je m’attendais à tout sauf que cela soit vrai, mais je n’étais pas au bout de mes surprises. Elle appelle Jenna et lui demande de lui cracher plusieurs fois sur ces seins. Jenna crache plusieurs fois enduisant ses jolis globes de sa bave.

Maîtresse Kriss, me tend le bout de son sein gauche :

– Une minute pas plus, pas plus !

Voilà une pratique que je n’aurais jamais imaginé, je lèche avec avidité ce petit bourgeon durci, mais le temps passe trop vite, je comprends aussi que maintenant je suis enchaîné à ma promesse. Tant pis, on verra bien.

Puis (surprise), Angélique, me détache, me met une laisse après mon collier de cou et me dirige vers la cage. Elle libère James, l’autre esclave et m’enferme.

Cela va donc être le tour de James de subir les caprices de Kriss. Ma visibilité n’est pas terrible puisque dans cette cage trop petite, où on ne peut guère bouger, je n’aperçois la scène qu’en regardant pardessus mon épaule. Elle domine James, préférant pour ce qui le concerne, lui travailler les couilles, plutôt que le bout des seins. Encore, une fois elle a l’intelligence de prendre en compte les fantasmes de ses patients sans pour cela négliger ce qui est le plus important pour elle : le spectacle qu’elle met en scène pour son propre plaisir (et celui de ses amis, par la même occasion)

J’ai bien sûr complètement débandé, mes couilles sont douloureuses, mes fesses toutes chaudes et mes tétons très sensibles. J’aperçois Victor dans son coin qui se masturbe et je me demande si c’est sa bite que je vais recevoir dans le cul ou celle de James, à moins qu’un autre larron… Ce sera pour moi une première, mais je ne vois pas comment j’aurais pu résister à Kriss et à ses minauderies. De toutes façons nous en avions plus ou moins parlé lors de notre rencontre préalable, et puis je suis venu ici en toute connaissance de cause.

James apprécie beaucoup moins bien que moi le gode trempé d’urine, par contre il se fait enculer par le gode avec beaucoup plus de bonne volonté que moi. Globalement, Kriss passera beaucoup moins de temps avec ce dernier qu’avec moi-même.

James est à nouveau attaché comme au début. Angélique vient me rechercher et Kriss m’ordonne à nouveau de marcher à quatre pattes, je me dirige maintenant vers James et me voilà à la hauteur de sa bite.

– Suce !

Le James bande assez mou; mécaniquement comme dans un rêve je lui lèche la verge, c’est bon, c’est doux.

– Je ne t’ai pas dit de lécher je t’ai dit de sucer.

Alors, j’introduis le gland dans ma bouche, et le suce. James à l’air d’apprécier. Son sexe grossit dans mon palais, j’ai honte de ce que je fais mais je réalise l’un de mes fantasmes secrets et ma pine réagit bien en montrant le plafond. Mais voici que survient Victor, qui s’est maintenant complément mis à poil. Kriss me fait relever. Victor suce à son tour la bite de James, il sucera aussi la mienne mais très peu de temps. Heureusement d’ailleurs parce qu’il ne fait pas ça très bien.

– Laquelle tu veux ? Demande Kriss.

Victor désigne la queue de James, nettement plus grosse que la mienne, et lui place un préservatif. Kriss ordonne alors à James d’enculer Victor. Ce dernier à l’air surpris, s’attendant plutôt au contraire, mais un coup de cravache l’oblige à obéir.

– Et interdit de jouir ! Menace Kriss ! Puis s’adressant à moi : Et pendant ce temps tu vas le sucer !

Je suce donc la bite de Victor qui s’est agrippé au bord de la table tandis que James l’encule. Kriss donne des coups de martinets assez légers à ce dernier pour maintenir son érection semble-t-il. Il s’arrête au bout de quelques minutes.

– Ben quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– Je suis obligé de m’arrêter je vais jouir.
– Alors retire-toi ! Connard !

Et Kriss ponctue son ordre d’un formidable coup de cravache. James quitte le cul de Victor et éjacule dans son préservatif.

– Bravo ! C’est malin ! Retourne dans ta cage !

Je crains que Kriss m’oblige à prendre le relais, mais pour l’instant je continue de sucer Victor, sa queue est chaude et douce, je réalise que c’est la deuxième fois de la matinée que je suce une queue. Mais je trouve cela bien agréable. Kriss lui demande :

– Tu veux qu’il te reprenne ?
– Non, j’ai envie de jouir, c’est moi qui vais l’enculer !
– Alors, c’était bon la bite ? Me demande-t-elle.
– Oui maîtresse, délicieux !
– Tu n’es qu’un pédé ! Dis-le !
– Je ne suis qu’un pédé, maîtresse !
– Et maintenait tu vas te faire enculer par la bonne bite que tu viens de sucer !
– Oui maîtresse !
– Répète tout !
– Et maintenant je vais me faire enculer par la bonne bite que je viens de sucer !

C’est Angélique qui une fois de plus me place sur la table comme tout à l’heure, et Victor après s’être posé un préservatif s’apprête à me pénétrer tandis que Kriss, de nouveau, s’amuse avec le bout de mes seins. Sa bite a un peu de mal à entrer, on me met un peu de gel, il force un peu puis entre deux centimètres avant qu’un coup de rein fasse pénétrer plus avant sa bonne queue dans mon trou. C’est loin d’être désagréable d’autant que Kriss me travaille bien les seins. Ça dure plusieurs minutes, puis il jouit et se retire, laissant mon trou du cul béant de douleur trouble.

En quelques minutes, j’aurais donc franchi deux caps, je suis devenu un suceur de bites et un enculé et cette idée m’émoustille.

Kriss m’intime l’ordre de me mettre à genoux près du tableau noir et d’attendre. Victor, soulagé quitte la pièce, je ne le reverrais pas pendant le reste de la séance. Pendant ce temps-là, Kriss s’approche de la cage où est enfermé James; ils échangent quelques paroles que je n’entends pas puis, elle fait ouvrir la porte, le libère et alors lui donne congé avec un magnifique sourire. Il veut l’embrasser, elle n’y tient pas trop mais accepte quand même un petit bisou sur la joue, puis notre homme disparaît accompagnée d’Angélique.

Pendant ce temps Kriss et Jenna se refond des patins. Puis, Kriss tout en en continuant à embrasser partout sa copine entreprend de la déshabiller, ne lui laissant que son slip. Je peux alors admirer sa poitrine opulente bien ferme terminée par de belles pointes brun foncé.

Elles se calment enfin et discutent de je ne sais quoi, en fait, elles attendent le retour d’Angélique qui finit par réapparaître toujours toute nue.

– Ils sont partis ?
– Oui madame, Victor lui a demandé s’il accepterait de l’enculer à nouveau.
– Tiens donc ? Et ensuite ?
– Je ne sais pas, l’esclave s’est rhabillé et Victor est sorti avec lui.

Voilà au moins une conversation insolite. Kriss me refait mettre debout, tripote un peu le bout de mes seins pour raffermir mon érection qui se laissait un peu aller et en prime m’envoie une paire de gifles et quelques crachats..

– Prend la craie et écris ce que je vais te dicter.
– Oui Maîtresse !
– Ecris : « J’aime beaucoup sucer des bites et me faire enculer ! »

Je trouve l’ordre débile mais je m’exécute, je n’ai aucune honte ni aucune gêne à écrire cela, si cela peut lui faire plaisir.

– Mais qu’est-ce que tu as écrit ?
– J’ai écrit ce que vous m’avez dictée, Maîtresse !
– Et menteur par-dessus le marché. Viens voir, Jenna !

Jenna s’approche de moi. C’est décidemment une très belle femme superbement foutue, mais elle est loin d’avoir le piquant de ma maîtresse.

– Je peux le punir !
– Ne te prive surtout pas !

Et, vlan Jenna me balance deux gifles, elle ne sait pas bien faire, mais heureusement elle n’a pas voulu me faire trop mal. Elle se saisit ensuite d’une règle d’écolier :

– Donne tes doigts !

Voilà des années que je n’avais pas reçu cette punition, j’en avais même oublié l’existence, je tends mes doigts de la main droite.

– Compte avec moi !
– Un, aïe, deux !

Ça fait quand même assez mal.

– Non mais dis donc, tu vas arrêter de ronchonner ?
– Pardon, maîtresse !

Je reçu ainsi dix coups de règles sur chaque main, maintenant j’ai le bout des doigts tout endolori.

– Prend la craie et écris ta punition :
1 lécher le trou du cul de Jenna
2 la bougie
3 les élastiques
4 les orties
5 cinquante coups de martinets.

Je me demande comment je vais supporter tout cela d’autant qu’il y a là-dedans des trucs qui ne me disent rien du tout. Mais c’est surtout la première punition qui m’inquiète, sucer un trou du cul n’a jamais été une punition pour moi, plutôt une récompense… à moins que… Mais, mes réflexions s’arrêtèrent là, Kriss ordonnant :

– Retire-lui sa culotte !

Je le fais, découvrant par la même occasion une très belle chatte rasée de près.

– Renifle la culotte !

C’est ce que je craignais, il y a un tas d’odeurs là-dedans et si certaines respirent l’intimité de la féminité, d’autres m’inspirent moins !

– A genoux et lèche lui le cul !

Manifestement son cul n’est pas bien propre. J’hésite et je fais une diversion en lui embrassant les fesses.

– Pas les fesses, le trou !
– Mais maîtresse, il est un peu sale !
– Ha ! Ha ! Jenna explique à l’esclave ce que je t’ai demandé de faire ce matin.
– Ce matin, j’ai fait un petit caca, et j’ai oublié de m’essuyer !
– Donc s’il est sale, c’est exprès, maintenant, nettoie-le !
– Euh…
– Bon, tu es prié de m’obéir !
– Une autre fois, Maîtresse, je ne me sens pas prêt pour ça !
– Tu as vraiment envie que je te vire ?
– Non maîtresse !
– Alors essaie, tous ceux qui ont essayé en ont redemandé ensuite ! Et dépêche-toi !

Elle me tire les cheveux et me place mon visage contre l’anus de Jenna !

– Maintenant lèche, esclave ! Lèche sa merde !

Voilà un ordre qui a le mérite d’être explicite. Je soupire un bon coup et me fais violence, puis, je m’aperçois avec surprise qu’à part une odeur un peu forte et pas franchement agréable, mais qui ne persiste pas, le fait de la lécher ne me provoque aucun dégoût. Du coup, je me mets à bander et lui lèche le cul avec application, lui nettoyant les taches brunâtres et allant même jusqu’à pénétrer ma langue dans son anus. Je me dis alors que je venais peut-être de découvrir quelque chose.

– Je vais faire une petite crotte ! Préviens Jenna.

Par reflexe, je m’écarte sur le côté, c’est Kriss qui ramasse la crotte et la porte à sa bouche pour la sucer avant de la refiler à Jeanna. Elle sont dégueulasses.

– Quel bon esclave ! Me dit Kriss, tu le referas ?
– Oui Maîtresse !
– La prochaine fois, je chierai devant toi, je ne m’essuierais pas et tu me serviras de papier à cul !
– Avec grand plaisir, Maîtresse !
– Pour le moment, j’ai envie de rester seule avec Jenna, suis-moi.

Je la suivi jusque dans une pièce qui devait lui servir de bureau, là, elle consulta son agenda :

– Bon ! Toi j’espère que tu vas revenir, Jeudi prochain, j’ai un couple qui vient pour le déjeuner, mais ce sont surtout des spectateurs qui participent un peu, ça tombe très bien, pointe-toi vers 14 heures, ou plutôt non, ça me donne une idée : je t’invite aussi à déjeuner, viens à 11 heures et demi pile !

Elle ne me demandait pas mon avis ! Je m’absente très rarement de mon travail, et trouver un prétexte dans un délai aussi court ne serait pas évident ! Et puis ce n’est pas donné tour ça… Mais bon, on ne vit qu’une fois.

– Car tu viendras n’est-ce pas ?
– Oui maîtresse ! Murmurais-je.
– Et on fera quoi quand tu reviendras ?
– Je suppose que vous me ferez sucer des bites et que je me ferais enculer !
– Et lécher ma merde !
– Oui, bien sûr !
– Maintenant, branle-toi en regardant mes seins… et n’en fous pas partout me dit-elle en me balançant un kleenex.

Je ne tardais pas à jouir, et tandis qu’Angélique allait me récupérer mes vêtements, Maitresse Kriss me gratifia d’un petit bisou sur le bord des lèvres, j’en était tout chose.

Vivement Jeudi !

FIN DE L’EPISODE

Boris Vasslan © 2000 (révisé en 2003, 2018 et 2024)
La version 2003, outre la correction de quelques fautes et lourdeurs, intègre le prologue resté jusqu’ici inédit.
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Par Boris - Publié dans : Boris
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Samedi 11 août 2018 6 11 /08 /Août /2018 19:52

Massage envoûtant 2 – Mélanie par Hélèna Sevigsky

bisou1719

 

Vous vous souvenez de moi ? Angélique la brune ! Celle qui avait cassé son parapluie…

Un mois déjà ! Comme le temps passe vite ! J’avais un prétexte tout trouvé pour revoir Tatiana, il fallait que je lui rende son parapluie. J’ai d’ailleurs eu l’impression qu’elle n’attendait que ça ! Elle m’embrasse sur la joue très tendrement pour m’accueillir, me prodigue son sourire toujours aussi fondant et irrésistible. J’ai bien sûr craquée et nous nous sommes retrouvées l’une et l’autre quelques instants plus tard en train de nous rejouer la scène du massage ! Merci petit parapluie pour l’excuse ! C’était bon (plus que bon).

On s’est quittée en se promettant de se revoir !

– Appelle quand tu veux ? M’a-t-elle encouragée !

J’ai donc appelé ! Trois fois… Le contact a été courtois mais sans enthousiasme, comme si elle cherchait à reprendre ses distances… Bien sûr aucune proposition de rendez-vous. J’en fus d’abord plutôt dépitée. Puis en réfléchissant, je me suis fait une raison, après tout, qui étais-je pour cette fille ? Sinon une tocade, elle avait eu ce qu’elle voulait, le plaisir de la conquête une première fois, et la deuxième fois j’étais venu m’offrir à elle (contre un parapluie !). Je décidais donc, la mort dans l’âme de ne plus l’appeler… Après tout si elle voulait me revoir, elle avait mon numéro !

Mais les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer…

Avant-hier, au petit restaurant où je vais parfois seule le midi, j’ai rencontré un mec, il était seul à sa table. Je feuilletais le programme des cinémas, il m’a demandé s’il pouvait me l’emprunter quelques instants… on a causé, il m’a dragué, je me suis laissé faire. Physiquement il me paraît bien, il a de l’humour et de la conversation, il donne l’impression de savoir écouter les femmes. Hier je l’ai revu, nous avons fait l’amour à l’hôtel, je lui ai sucé la bite, il m’a enculé, c’était bien… J’aime bien tout ça ! Il se prénomme Julien. Mais je ne me fais aucune illusion, pour ce type je ne suis qu’une rencontre de passage. On doit quand même se revoir, il est parti pour affaires et donc je ne le retrouverai que la semaine prochaine, il va me consacrer une journée pour mes trente et un ans… (restaurant, sortie…)

Je vais sans doute l’amuser pendant quelques temps, et après il me larguera comme tant d’autres… je ne sais pas comment retenir un homme quand il me plait… Si seulement je pouvais trouver une idée pour qu’il s’attache vraiment à moi ?

Si c’était Tatiana qui était à ma place, comment elle saurait l’envoûter…. Il serait incapable de résister…. Mais bien sûr ! Tatiana ! C’est elle la solution ! Si elle acceptait de me refaire un massage, mais cette fois ci pour m’apprendre… Le fait de repenser à cette femme me donne des frissons. Mon dieu, quand j’y repense, je ne pensais pas aimer aussi fort le massage de cette diablesse. Mais c’est vrai qu’elle a quelque chose en plus, quelque chose de spécial, je pense que n’importe quelle femme qui la rencontre voudrait au moins recevoir une caresse d’elle. Ce n’est pas le tout de connaître la technique du massage, Tatiana possède un don. Ce don, je ne l’aurais sans doute jamais, mais au moins pourrais-je apprendre la technique. Je lui ai donc téléphoné, plein d’appréhension. Et si elle refuse ? Et si elle me jette ?

– Allo, Bonjour Tatiana !
– Salut Angélique, tu vas bien ?

Gentille comme d’habitude, mais ce n’est pas le grand enthousiasme, j’ai même l’impression de la déranger. Naïvement j’essaie de la flatter :

– Non seulement je vais bien mais encore plus quand je t’entends !
– Bon je suppose que si tu m’appelles, c’est qu’il y a une raison !

Elle me refroidit, je vais finir par me dégonfler, je tente une diversion.

– T’es où ? J’entends du monde ?
– Oh ! Je suis chez le parfumeur, je suis venue acheter le nouveau parfum de Délice, il paraît qu’il est plus subtil… Mais je ne le trouve pas…

Allez, je me lance et lui glisse dans un souffle, le cœur battant :

– Il faut que je passe te voir !
– Ça tombe bien il fallait que je te voie !

Ah ! Voilà qui me surprend, mais je décide d’analyser ça plus tard, l’important c’est qu’elle soit d’accord pour me rencontrer.

– Seize heures au café en bas de chez toi, ça te va ? Proposais-je.
– Viens plutôt chez moi !

Oups !

– Si… Si tu veux !

Bon, j’avoue avoir du mal à m’y retrouver, elle était très distante ces dernières semaines et voilà qu’elle me demande de passer chez elle… Je me dis que ça ne prouve rien, peut-être qu’elle va me faire la grande scène de la rupture soft, genre « tu sais, on s’est bien amusée toutes les deux mais maintenant c’est fini… » Non ça ne doit pas être ça, si cela avait été le cas elle aurait pu aussi bien me le dire par téléphone… Elle est peut-être tout simplement lunatique… Je me dis que je verrais bien, mais j’angoisse, j’angoisse… comment vais-je oser lui formuler une demande aussi insolite ?

Seize heures cinq, j’arrive chez elle.

– Bonjour Tatiana !
– Salut ! Entre je t’en prie.

Elle est devant moi, rayonnante de beauté, avec son sourire enjôleur et son nez de princesse, habillée de couleur jaune, en jupe, cheveux attachés. Son parfum m’envahit ! Je la sais sensible aux remarques sur ce sujet, autant l’attaquer sur son point faible !

– Tu sens drôlement bon !
– C’est le nouveau parfum de chez « Délice », je t’en ai parlé au téléphone, j’ai eu un peu peur parce que la vendeuse m’a prévenue que ça ne va pas sur toutes les peaux, parfois ça « tourne » au bout de quelques heures !

Du coup, ça a l’air de lui avoir fait plaisir que je lui parle de ça, elle m’a l’air toute guillerette et détendue. (En fait ce n’était pas pour ça, mais je ne pouvais pas le savoir). Elle me fait enlever mon manteau…

– Alors ? Reprend-elle. Si tu me disais ce qui t’amène….

Mais elle ne me laisse pas répondre, elle a les yeux braqués sur ma poitrine…

– T’étais plus sexy, la dernière fois ! Me dit-elle.
– Pardon ?
– Ouais, regarde tu as mis un soutien-gorge qui t’écrase le bout des seins, j’aimais bien la dernière fois que tu es venu, tu avais les tétons qui se dressait et qui pointaient à travers ton pull-over !
– C’est parce que j’étais excitée !
– Et, aujourd’hui, non ?
– Non, mais…

Et la voilà qui me pose les mains sur les seins. Même à travers mes vêtements ses mains arrivent à m’électriser. Je me laisse faire, incapable de faire un mouvement. Mais à mon grand regret, elle n’insiste pas…

– Tu voulais me dire quelque chose ?
– Oui, j’ai rencontré un homme…
– Quelle drôle d’idée !
– Un mec sympa, mais il va faire comme les autres, on va baiser deux ou trois fois et après il va me larguer. Alors je me suis dit, ce serait peut-être une bonne idée, que j’apprenne à masser comme tu le fais toi, peut-être cela serait un moyen pour qu’il s’attache à moi ! Si je le masse comme tu me masses, c’est du tout cuit… Tu as des mains de fée…

Elle me regarde bizarrement ! Ça ne va pas marcher, je le sens !

– Attends, je suis masseuse, pas magicienne. Tu sais, c’est du travail pour apprendre ce massage très spécial, il faut une sorte d’énergie érotique…
– Je demandais ça comme ça…
– Oh ! Mais ! Que je suis bête, j’ai peut-être une solution ! Je ne t’ai pas dit la super bonne nouvelle ?
– Non ! C’est quoi ?
– Ma mère arrive ce soir…
– Ta mère ?

Là, je suis un peu larguée !

– Oui, je suis heureuse, je vais la chercher à l’aéroport, elle vient de Thaïlande.
– Elle était en vacances ?
– Non, mais elle travaille là-bas…
– Elle travaille dans quoi ?
– Ben justement, elle est masseuse !
– Elle est masseuse en Thaïlande ?

Un européenne masseuse en Thaïlande, voilà qui me paraît plutôt insolite, mais bon…

– Elle serait parfaite pour t’apprendre à masser ! Tu sais c’est elle qui m’a appris ! Me dit-elle avec son sourire plus que magnifique.
– Ah, Bon !
– Au départ c’est une asiatique qui lui a transmis ses petits secrets. Et tu sais qu’en Asie ils sont réputés pour l’érotisme… Tu verras, elle hypnotise quand elle pratique un massage, c’est simple, elle est d’une douceur divine, mais attention elle est capable de te rendre accro de son corps et de ses mains, elle manie sa langue d’une façon très sensuelle et d’une douceur…

Elle me fait carrément l’article, à présent !

– Ouah ! T’en rajoutes pas un peu ?
– On en reparlera quand tu l’auras rencontré… Mais ce que je regrette c’est qu’après tu ne vas plus vouloir de moi comme masseuse.

Ce qui bizarrement, n’a pas l’air de la traumatiser plus que ça…

– C’est impossible ! Répondis-je.

Que répondre d’autre de toute façon ?

– Tu ne la connais pas, elle est très forte !
– Alors pourquoi cette proposition ?
– Je ne suis pas jalouse ! En fait quand elle m’a annoncé sa venue, je voulais lui parler de toi, lui raconter l’anecdote du parapluie, tout ça… Du coup quand tu m’as appelé, je me suis dit pourquoi ne pas vous faire faire connaissance… Et en plus maintenant on a une bonne raison. Tu vas voir elle est géniale, drôle en plus… Au début tu la trouveras distante mais en principe elle se dégèle assez vite… Elle ne reste que trois semaines, après elle repart pour l’Asie, elle vient juste pour les vacances… Euh, je t’emmène avec moi à l’aéroport ? Il va être temps d’y aller d’ailleurs, elle atterrit à Roissy dans une heure et demie…

Les embouteillages… on a failli arriver en retard, mais sa mère nous attendait. Elle se prénomme Mélanie. C’est une fausse blonde à la peau bronzée. Elle doit avoir dans les 50 ans, mais super bien conservée, Les cheveux sont mi-longs, très légèrement ondulées, elle est vêtue d’un tailleur vert amande. On fait les présentations, bisous-bisous. Et c’est vrai que le simple contact de ses lèvres sur mes joues (car en voici une qui n’embrasse pas dans le vide, j’ai d’ailleurs horreur de ça) c’est déjà quelque chose… Elle a un très joli nez… comme sa fille !

– Mettez-vous toutes les deux derrière, vous pourrez faire connaissance ! Propose Tatiana. Tu sais Maman chérie, il faut que je te raconte comment j’ai connu Angélique…

Et la voilà qui raconte, le télescopage sous la pluie dans le passage piéton… Le massage…. Ma fuite… Mon retour…. J’espère au moins qu’elle ne va pas rentrer dans des détails trop intimes…

– Ma fille aime bien me présenter ses conquêtes ! Me dit Mélanie. Elle a toujours très bon goût !

Je ne sais pas trop comment je dois prendre ça !

– Tu sais, Angélique voudrait apprendre à masser !
– Je suis désolée, je suis en vacances, je me repose et je ne donne pas de cours.
– C’est juste un petit service que je te demande !
– On verra… répond Mélanie évasive.

Puis la conversation tourne sur des sujets qui me sont étrangers. Du coup, je me demande ce que je suis venu faire ici, je sens que dès qu’on va être de nouveau à Paris, je vais larguer ces deux nanas et rentrer chez moi.

– On fait quoi ce soir ? Demande Mélanie à sa fille
– Un restau italien, ça te dit ?
– Si tu veux, mais avant on passe chez toi, je suis trop excitée, j’ai envie que tu me lèches la moule.
– Mais bien sûr, Maman !

Non, mais qu’est-ce que j’entends ? Je rêve ou quoi ?

– Tu viens avec nous, Angélique ?
– Euh…
– Tu ne veux pas me voir lécher la bonne chatte de ma mère ? Tu sais, elle est très belle toute nue. On pourrait faire un petit truc toutes les trois ?

J’invente vite fait un prétexte pour me défiler, elles n’insistent d’ailleurs pas… je m’enferme dans mon silence croyant définitivement l’affaire à l’eau…. Mais…

…Sans préambule, Mélanie me pose sa main sur le genou !

– C’est dommage que tu sois en pantalon, je t’aurais fait un massage du genou !

Elle est en train de me chambrer ou quoi ?

– Prends-la au mot ! Suggère Tatiana. Baisse ton pantalon !

Je rigole, prenant ça à la plaisanterie ! Mais elle insiste !

– Si tu ne le fais pas, Mélanie, elle ne t’apprendra jamais son massage secret.
– Remarque si elle baisse son pantalon, je pourrais lui masser autre chose que les genoux ! Renchérit sa mère !

Elles sont frappées ! Les embouteillages obligent Tatiana à quasiment s’arrêter, elle se retourne alors vers moi, tout sourire et de sa voix la plus mélodieuse, elle me dit :

– Allez, Angélique, laisse-toi faire, ce n’est rien qu’un jeu… et tu vas bien aimer…

Elle termine sa phrase en se passant la langue sur les lèvres. Je fonds… Sans même en avoir réellement conscience me voici en train de me contorsionner, je me lève mes fesses, dégrafe mon pantalon, le fait glisser sur mes cuisses puis le fait descendre jusqu’aux chevilles, me voici sur la banquette arrière d’une voiture entre Roissy et Paris, sur l’autoroute en petite culotte, à côté d’une masseuse professionnelle, gouine et incestueuse, qui exerce en Thaïlande avec sa fille au volant ! Dingue, c’est complètement dingue.

Et la Mélanie qui déjà m’a posé sa main sur mon genou. Electrique, ce contact, il n’y a pas d’autres mots ! Elle a une façon d’effleurer la peau avec l’extrémité des doigts, j’en suis toute retournée ! Et Tatiana qui me disait que je risquais de la trouver distante au début…

– Elle réagit bien ta copine ! Commente Mélanie !
– Sois discrète quand même, il y a du monde ce soir…
– Bof ! Personne ne voit rien, et puis même, ça leur fera une histoire à raconter… Alors t’aimes ça ? Me demande-t-elle ?
– Oui j’aime ça ! Tu me fais craquer !
– Craquer ou mouiller ?
– Tu n’as qu’à vérifier ! Rétorquais-je. M’étonnant soudain de mon audace.

Elle aurait pu le faire, elle ne le fit pas, tourna alors son visage vers moi !

– Et si tu me montrais comment tu embrasses ?

Rien que ça ! Me voici soudain collée à ses lèvres, le baiser dure une éternité, je ne peux m’empêcher de me passer la main sur mon sexe humide, tandis que nos langues entament un ballet aussi humide que torride. Ses mains agrippent littéralement mes seins, et ses doigts cherchent à rencontrer la forme de mes tétons par-dessus mes fringues, Puis elle s’enhardit, elle remonte ses mains sous le pull, me caresse la peau nue, remonte jusqu’au soutien-gorge, passe un pouce sous la baleine du bonnet le faisant sauter, elle a à présent mon téton à sa disposition et commence par l’effleurer, assez doucement ! Cette belle mature me paralyse je me laisse faire, elle a des doigts de déesse, et comme je ne dis rien, Mélanie accentue sa pression et me pince plus fermement. Puis l’excitation la gagne, elle remonte carrément à moitié mon pull et quittant ma bouche précipite la sienne sur mon sein qu’elle se met à me téter. Je n’en peux plus…. Je suis trempée comme une soupe. Une voiture klaxonne à notre niveau, les gens sont stupides, ils ne peuvent pas s’occuper de leurs affaires, non ?

– Bon les filles, on arrive sur le périphérique, il faudrait peut-être redevenir sages !

Du coup je me recontorsionne et me réajuste, je commence à penser que la soirée sera peut-être chaude… Un triolisme entre femmes, après tout pourquoi pas ? Mais non, elles ne me le reproposent pas…

– On te laisse à un métro si tu veux, nous on file au Quartier Latin !

Non, c’est trop dur ! Je ne vais quand même pas leur dire à présent que mon prétexte pour ce soir était du baratin. J’ai la rage au cœur en descendant la voiture… Elles doivent m’appeler pour la leçon de massage… Si elles m’appellent, on verra bien….

Un peu déboussolée, trop d’évènements en même temps. Je pensais le service que je demandais à Tatiana comme étant une façon sympathique de clore nos relations. Mais voilà qu’elle me jette dans les bras de sa mère, une mère qui de toute façon rejoindra la Thaïlande dans quelques jours. Tatiana a-t-elle voulu simplement s’amuser à mes dépends, me montrer comme une curiosité à sa mère ? Voilà qui ne me plait guère, d’autant que dans cette hypothèse, je ne suis pas près d’avoir de leurs nouvelles….

Quand ça va mal, ça va mal ! Hier coup de fil de Julien… il m’invente un baratin impossible, genre : sa société qui lui propose une longue mission à l’étranger, il est pratiquement obligé d’accepter, il faut qu’il fasse des préparatifs…il ne pourra pas m’emmener au restaurant dimanche… j’ai raccroché avant d’écouter la suite de son baratin. J’ai passé mon anniversaire toute seule en me commandant un pizza que je n’ai même pas terminée. J’en ai marre, je me suis mise à chialer…

Lundi soir, coup de fil ! Surprise !

– Coucou, Angélique, c’est Tatiana !
– Bonsoir !
– Ça n’a pas l’air d’aller ?
– Pas terrible non !
– Ton mec ?
– Ben justement ce n’est plus mon mec…
– Bon, on va te consoler ! Tu peux venir dîner chez nous mercredi soir ? Maman est finalement d’accord pour te faire ta petite initiation ! Euh… est-que tu aimes le canard ?

J’ai répondu, oui ! A défaut d’utiliser la méthode sur Julien, je la garderai en réserve pour un autre… et puis surtout ça me changera les idées.

Le mercredi, j’étais donc là à l’heure, je m’étais mise en jupe. On ne sait jamais si l’envie les prenait de jouer à des préliminaires insolites comme dans la voiture avec massage du genou. Après je l’ai regretté, il est tout de même autrement pervers de baisser son pantalon, mais bon…

J’avais apporté des fleurs, Tatiana avait l’air ravie, mais qu’elle ne fut pas ma surprise de la voir s’apprêter à sortir. Elle m’explique alors qu’elle me laisse seule en tête à tête avec sa mère.

Bon, me voici donc en compagnie d’une femme que je ne connais pas, je la détaille un peu mieux, c’est une belle femme mature, elle n’a pas fait d’effort de toilette particulier, un fuseau noir et un pull-over blanc décolleté en V, un joli décolleté je dois dire !

– On va se mettre à table tout de suite, je t’ai préparé un petit truc thaïlandais, ce n’est pas trop gavant et on va se boire un petit rosé, juste un petit peu, ça nous permettra de faire connaissance, et tout de suite après le thé, on passe aux travaux pratiques… Ça te va comme programme ?
– Oui, ça me convient !

Nous dégustons une spécialité de canard à la ciboulette, je la regarde, elle est craquante, un sourire qui lui éclaire le visage de façon presque permanente, et puis ce joli nez qui me fascine, une grâce dans ses gestes qu’elle a sans doute acquise au contact des asiatiques, une voix qui tout en restant ferme et déterminée sait rester douce sans l’once d’une agressivité. Tatiana avait raison, elle a quelque chose d’envoûtant ! Elle ne me pose pas beaucoup de questions, en fait elle parle d’elle longuement, avec humour et fantaisie, comme si elle exprimait une envie de se confier trop longtemps retenue.

– Autant que tu saches à qui tu vas avoir à faire ! Je suis masseuse en Thaïlande, mais je n’ai rien d’une kinésithérapeute. La première fois que je suis allée visiter ce pays, je me suis liée d’amitié avec une fille de là-bas, un amour fou, une magicienne, un don dans les doigts, quelque chose d’inimaginable. Du coup on a voulu rester ensemble. Un tas de formalités à faire, bref, et il fallait bien que je vive, je ne pouvais pas rester non plus aux crochets de cette fille, alors elle m’a proposé une place dans un salon de massage… Et oui c’est bizarre, les touristes viennent voir les masseuses thaïes, mais les gens du coin préfèrent les européennes ou les blacks, chacun place son exotisme où il veut… Elle m’a appris tous ses trucs, elle m’a dit que je devais aussi avoir un don, que j’avais une faculté d’apprendre dans ce domaine assez rare. J’ai fait mon trou, j’ai mon propre salon, mais je ne suis riche qu’en bath, la monnaie du pays ne vaut rien à l’extérieur… Tu reveux un peu de vin ?
– Juste un fond !
– Alors ma profession c’est masseuse, je masse des mecs toute la journée, des jeunes, des vieux, des beaux, des moches, des sympas, des cons, de tout… C’est parfois limite prise de tête mais dans l’ensemble les bons moments l’emportent, heureusement… Et qu’est-ce que tu crois que je leur fais quand le massage est terminé et qu’ils ne sont pas calmés ?
– Je ne sais pas, moi, peut-être qu’ils te demandent autre chose ?
– Ben oui, après il y a la finition, alors ça dépend, c’est soit manuelle, soit buccale, autrement dit je les branle ou je les suce ! Et parfois je baise et je me fais même enculer. Tu vois je suis masseuse, mais en réalité ça porte un autre nom ! Ça te choque sans doute !

En fait ça ne me choquait pas, parce que ce qu’elle me disait était évidemment devinable, c’était loin d’être une surprise. Je la sentais soudain nostalgique, non pas sans doute à cause de son métier, mais de par le fait d’être sans doute incomprise.

– Tu as un don, tu en fais profiter les autres, je ne vois pas où est le mal, bien au contraire ?
– C’est sympa ce que tu me dis là !

Elle retrouvait soudain son sourire, un sourire lumineux, éclatant.

– C’est curieux que Tatiana soit masseuse aussi ?
– Oui, mais on ne fait pas le même métier, elle, elle est réellement kiné, elle m’avait appris deux trois trucs qui m’ont aidé, mais rien d’érotique là-dedans juste du « décontractant »… Alors en échange je lui ai appris les miens, pour lui apprendre, il fallut bien qu’on se tripote, et quand on se tripote, on s’excite, les caresses deviennent de plus en plus osées et c’est comme ça que ma fille et moi on a commencé à se gouiner. Ça te choque ?
– Non, ça me surprend, mais j’ai les idées larges, vous ne faites de mal à personne. On trinque ?
-Tatiana est lesbienne presque exclusive, alors que moi je suis bisexuelle, c’est pour cela que ma fille ne pourrait pas faire ce que je fais. Parfois elle sait sentir quand une femme qu’elle masse pourrait aller plus loin, c’est ce qui s’est passé avec toi. Je vais chercher le thé, il était comment ce canard ?
– Humm ! Délicieux, merci !
– On va se mettre à l’aise en attendant que ça infuse, retire tout ça mais garde ton slip et ton soutien.

Je manifestais ma surprise de ne pas me déshabiller complètement pour ce genre de chose.

– Chaque chose en son temps ! De l’érotisme on en aura à revendre tout à l’heure, mais pour l’instant je vais t’apprendre mes trucs, fais-moi confiance.

Je fais ce qu’elle me dit, me voici dans mon bel ensemble parme culotte et soutien-gorge choisi exprès pour l’occasion. A son tour Mélanie retire ses vêtements, son pull d’abord, puis son pantalon, elle est superbe comme ça, mais là voilà qui retire son soutien-gorge ! Pourquoi le fait elle et m’interdit-elle de le faire ? Ses seins sont magnifiques, deux beaux melons bien bronzés terminés par de belles pointes marron foncé. Déjà des frétillements atteignent mon bas ventre. Elle garde cependant sa culotte, se retourne et s’en va passer une blouse qu’elle avait préparée sur un dossier de chaise. Elle l’enfile et la boutonne ! Je devais avoir des yeux grands comme des boutons de bottines car elle commenta alors son attitude :

– Un massage érotique c’est comme un exercice de funambulisme, il faut toujours garder l’équilibre entre la partie érotique et la partie technique. Trop d’érotisme au départ et le massage va être ressenti comme inutile. Pas assez et le massé va s’impatienter, se demander si on ne l’a pas dupé… On boira le thé après, je referais chauffer de l’eau, viens t’allonger sur le canapé.

Elle l’avait auparavant recouvert d’une house en plastique, je m’y installais sur le ventre, Mélanie alluma alors un bâton d’encens, baissa l’intensité de la lumière de l’halogène et mis de la musique, une chanteuse de jazz que je ne reconnaissais pas… Billy Holiday, peut-être ?

– Il est important d’envoyer certains signes au massé dès le début, c’est ce que je viens de faire, tu as vu mes seins, cela veut dire que je n’ai pas de pudeur particulière et qu’éventuellement je suis disponible pour une suite, mais en mettant ma blouse je signifie par-là, que pour l’instant ce n’est pas le moment. Pour tes sous-vêtements c’est pareil.

J’attendais fébrile, c’était donc ça ses secrets, une simple mise en condition psychologique ? Ce n’était pas possible, il devait y avoir autre chose. Elle me fit descendre ma culotte jusqu’aux chevilles mais sans me retourner, elle fit de même pour le soutien-gorge qu’elle fit glisser après l’avoir dégrafé, me demandant simplement de me rehausser de quelques centimètres ! Puis la première goutte tomba au milieu de mon dos, de l’huile parfumée, puis d’autres. Du bout des doigts elle attaqua mon dos, répandant le liquide, puis ses mains se concentrèrent sur mes épaules. Ses mains, que dis-je, non pas les mains, je les sentais à peine, tout était fait du bout des doigts, avec lesquels elle imprimait de larges circonvolutions qui me procuraient d’étonnantes ondes de bien-être.

– Si tu oublies l’équilibre, le massage sera raté, c’est l’essentiel, ça passe avant la technique. Le reste je vais te l’apprendre, il y a des points secrets, ils ne sont d’ailleurs pas si secrets que ça, mais sur chacun il faut agir différemment et ne pas le faire à n’importe quel moment, je te marquerais ça sur un papier. Si le massé est réceptif, je peux le faire jouir sans toucher à son sexe, la moitié des hommes que je masse éjaculent pendant le massage, les autres, ben les autres il faut les finir… Mais pour les femmes c’est plus facile ! Dans cinq minutes, Angélique, je vais te faire jouir comme une folle, rien qu’au contact de mes doigts sur ta peau.
– Chiche !
– Laisse toi aller, je suis pratiquement sûre de mon coup !

Les doigts de sa main gauche se mettent à me parcourir le corps entamant une sorte d’incompréhensible danse du crabe, l’autre main reverse de l’huile parfumée, et c’est reparti, c’est désormais deux crabes sensuels qui parcourent mon corps, j’ai du mal à tenir en place, je brûle d’envie de me toucher mes tétons qui sont devenus tout durs, de me mettre la main sur mon sexe qui est devenu humide et dont les lèvres sont à présent gonflées.

– C’est trop bon ce que tu me fais !

Elle ne répond pas, ma respiration devient haletante, je sais que je vais bientôt jouir, cette femme va réussir son challenge, elle va m’emmener à l’orgasme sans avoir touché mon sexe, c’est une sorcière ! Ce n’est plus qu’une question de seconde, je commence à pousser des petits cris… Et soudain, les mains se retirent, l’ordre est sec !

– Retourne toi, vite !

Je le fais, sans comprendre, me voici sur le dos, offrant ma nudité à son regard, son regard qui croise le mien, nos yeux qui se rencontrent, il se passe quelque chose, j’ignore où elle met ses doigts, mes mains se cramponnent violement à la house en plastique, j’hurle, je crie, je gueule ma jouissance, ma joie et mon bonheur.

Le massage est fini. Mélanie me regarde savourant sa victoire, son visage rayonne de fierté, preuve que ce ne devait pas être si évident que ça !

– Est-ce que tu as senti où je t’ai touché pour finir ?
– Non…
– Tu vois c’est ça la technique ! Plaisante-t-elle.

J’aurais cru qu’elle se serait jetée sur moi, m’embrasant de toute sa fougue, non, son visage s’est approché du mien, mais lentement, comme un rapace qui savoure sa proie qu’il sait inexorable, je me laisse faire, je l’attends, je l’accueille bouche entre ouverte et c’est enfin le baiser passionné.

– Tu aimes ma salive, demande-t-elle
– Bien sûr, pour quoi ?
– Je vais t’en offrir un peu plus ! Ouvre ta bouche.
– Tu ne vas pas…
– Si !

Elle me crache dans la bouche. Drôle d’impression, je dois être de plus en plus maso pour non seulement accepter ça mais m’en satisfaire. On s’étreint de nouveau, on mélange nos langues.

Détail débile je sens les boutons de sa blouse sur mon corps, la grande professionnelle a tout simplement oublié de la retirer, je le lui fais remarquer, elle rigole, moi aussi.

Elle est nue à présent ! L’envie de lui redemander de me rejouer cette séquence m’effleure, mais je ne le fais pas, je sais à présent qu’elle veut autre chose… Et puis ses seins, ses seins simplement entre aperçus tout à l’heure et qui sont là à quelques centimètres de mon visage à me narguer. Ma bouche s’en empare. Ce téton a comme un goût indéfinissable, je le suce, je le tête, je le lèche, je m’occupe du deuxième. Mélanie me laisse s’occuper d’elle, elle devient passive, se contentant de caresses furtives. Puis profitant d’une courte pause, elle me dit simplement, tout sourire :

– Là ! En me désignant son sexe !

Alors puisqu’il faut aller « Là », je ne vais pas me gêner, j’attaque, sa vulve à moitié rasée est elle aussi toute humide et je vous assure que de savoir que j’ai réussi à faire mouiller une femme comme celle-ci ne me rend pas peu fière. Il est en effet complètement improbable qu’elle mouille à chacune de ses prestations, peut-être lui ais-je fais quelque chose de spécial, peut-être est-ce moi qui suis spéciale…. Mais tout en cheminant mes pensées ma langue s’est mise à laper son clitoris, son gros clitoris qui érigé ressemble à une toute petite bite, Mélanie halète… son corps se tend !

– Je vais jouir ! Oh Angélique, c’est bon, continue ! Oh tu es bonne Angélique, tu es trop bonne !

C’est bien la première fois qu’une femme me dit que je suis « bonne », il faut sans doute faire avec l’évolution du vocabulaire… Encore une fois nos langues et nos bouches s’unissent en un ballet d’amour où se mélangent une infinie tendresse et l’apaisement du plaisir.

– Tu as soif ?
– Un peu, oui !
– Tu sais que le thé au jasmin parfume délicieusement l’urine ?
– Non…
– Alors tu vas goûter, tu me diras ce que tu en penses.

Melanie

Je m’en lèche déjà les babines, si sa pisse est aussi bonne que celle de sa fille je vais me régaler.

On s’en va dans la salle de bain, elle me fait coucher sur le sol, s’accroupit de telle façon que sa chatte soit à quelques centimètres au-dessus de ma bouche et elle ouvre les vannes. Que c’est bon ! Je bois, j’avale, j’en mets plein à côté, j’adore ça.

Plus rien, mais elle ne bouge pas, je crois alors qu’elle essaie de faire quelques gouttes supplémentaires, mais je réalise que ce n’est pas ça du tout.

– Tu fais quoi ?
– Une petite crotte ! Juste une petite crotte, Tatiana m’a dit que tu savais apprécier.

Et plouf ! Un petit étron se détache et m’atterrit sur ma bouche fermée, je l’entrouvre et lèche un peu cet étrange cadeau. Mélanie se recule un peu et me chie sur la poitrine. Je n’en reviens pas d’accepter ça, je suis sur une autre planète.

– Je vais te montrer l’une de mes spécialités, le massage brun, je ne peux le faire qu’une fois par jour, tu es tombée au bon moment

Elle ramasse un peu de l’urine restée sur le carrelage et la mélange à la matière afin de la rendre plus fluide, puis elle me répand cette étrange pâte sur tous le corps, les seins, le ventre, les cuisses, les bras et même le visage.

Dommage que je ne puisse pas me regarder partout, je suis complétement enduite de merde. Alors Mélanie se colle contre moi son corps glisse contre le mien en une cadence infernale, elle ne tarde pas à être aussi recouverte que moi, elle me donne à lécher ses tétons cacateux, elle me lèche les miens, on n’arrête pas. On s’embrasse, je lui gobe le nez, ça l’a fait rire.

Je ne me souviens plus comment nous avons joui toutes les deux, mais ce fut intense.

– On va boire notre thé, je vais réchauffer la flotte ! Me dit-elle après que nous nous soyons douchées

La voilà qui trottine, le cul à l’air, spectacle charmant, mais tout est charmant chez elle…

– Je crois que tu as un don, il n’y a pas tant de femmes que ça qui me font mouiller à ce point, je veux dire aussi rapidement et de façon aussi intense ! Me dit-elle

Je fonds, j’ai les larmes aux yeux, on s’embrasse de nouveau.

– Tu ne m’as pas dit ce que tu faisais comme boulot ? Me demande-t-elle.
– Je fais des extras dans la restauration.
– Donc t’es libre ?
– En quelque sorte, parce que ?
– Ça te dirait d’être mon assistante ?
– En Thaïlande ?
– Ben oui !
– C’est gentil de penser à moi, mais comment dire… j’ai le plus profond respect pour ce que tu fais, mais en ce qui me concerne…
– Laisse tomber, je te proposais ça comme ça…

En un instant son visage s’est modifié, plus de sourire, mais une grimace indéfinissable.

– C’est fou ! Reprend-elle ! On dirait que je fais un métier de pestiférée, pourtant qu’est-ce que je fais de mal, on me paye pour apporter un peu de détente à des gens qui en ont besoin ! Ce n’est pas un crime, tout de même !
– Attends je n’ai pas dit non, laisse-moi réfléchir un petit peu
– C’est ça, réfléchis !

J’ai un peu pesé le pour et le contre (un peu trop rapidement sans doute) et cinq minutes après j’acceptais sa proposition.

Nous avions rendez-vous à Roissy, je n’y suis jamais allé, l’esprit d’escalier a fait son travail. Je me suis alors demandé si les atermoiements de Tatiana à mon égard ne participaient pas à un coup monté et j’ai eu la trouille de me faire embarquer dans un réseau de traite des blanches.

Mais j’ai la carte du salon que tient Mélanie à Pattaya, dès que je pourrais, j’irais sur place, me rendre compte et si je m’aperçois qu’il n’y a pas de danger, et si elle veut encore de moi j’accepterais peut-être alors sa proposition.

© Hélèna Sevigsky 11/2003 (sur un scénario initial de Calystoben) – Révisé en 2018 et 2022    

Par Helena Sevigsky - Publié dans : Helena Sevigsky
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Samedi 11 août 2018 6 11 /08 /Août /2018 18:47

Massage envoûtant 1 – Tatiana par Hélèna Sevigsky

bisou1719

 

C’est bien ma chance, pour une fois que je m’octroie une journée de vacances, il faut qu’il pleuve à torrent… Ça me déprime ! Enfin tant pis, un tas de papiers à faire, des coups de fil à passer… ça m’a occupé toute la matinée. J’ai déjeuné sur le pouce, cet après-midi j’ai rendez-vous à l’institut de beauté afin de m’y faire masser ! J’adore les massages, ça a le don de me détendre, de me faire oublier tous mes soucis, et puis ça me fait du bien, ça entretient mon corps ! Je décide donc d’y aller malgré le temps pourri.

Mais peut-être avant de continuer voudriez-vous savoir un peu qui je suis ? Je me prénomme Angélique, suis entrée dans la trentaine, je suis brune, cheveux mi-longs, les yeux bleus, de taille moyenne, quelques formes qui plaisent aux messieurs, ni moche, ni laide, mais possédant comme disait je ne sais plus qui… un certain charme…

Et sexuellement ? Ah ? vous voudriez déjà savoir, vous ne voulez pas attendre un petit peu ? Ben disons que j’aime le sexe, vous l’auriez deviné sinon je n’écrirais pas ici, je suis hétéro mais je peux m’ouvrir à la discussion, j’aime sucer une bonne bite et me faire enculer, je n’ai rien contre les jeux de pipi et je peux être soumise à partir du moment où ça reste un jeu. Ça ira ? Ah, oui, je suis célibataire, ce n’est pas vraiment un choix, mais les mecs avec qui je couche ne s’attache pas à moi. Je suis juste un « bon coup ». Pas bien grave !

Reprenons.

J’ai un mal fou à ouvrir mon parapluie, il doit y avoir quelque chose de coincé là-dedans, je m’escrime, je force, il s’ouvre avec un drôle de bruit un peu sec ! Victoire ! Je me dirige vers la station de métro… là au moins il ne pleuvra pas !

Et ce foutu paraflotte qui fait encore des siennes ! Plus moyen de le refermer à présent, je ne vais tout de même pas emprunter les couloirs avec ce machin ouvert ! J’essaie de tirer sur les baleines, rien à faire ! Je m’énerve, tiraille comme une dingue, une des baleines plie, finit par se casser, le parapluie est foutu ! De rage je le laisse sur un coin du trottoir devant le regard désapprobateur de quelques passants. Et je descends quatre à quatre les escaliers d’accès au métropolitain.

J’avais secrètement espéré que les dieux de la météo auraient cessé de faire pleuvoir à ma sortie du métro ! Je t’en fous ! Des cordes ! Pas un marchand de riflard ni le moindre bazar dans le périmètre ! Non rien ! Il n’y a pas de justice ! Bon, l’institut n’est qu’à 400 mètres, ce sera vite fait !

Je me dépêche, je cours, il n’y a pratiquement personne, je traverse ! Une voiture klaxonne ! Est-ce pour moi ? J’ai dû traverser alors que le feu était vert… D’instinct je regarde, ne perçois aucun danger immédiat, je continue à avancer, en essayant de ne pas me faire écraser, je me fais éclabousser, j’arrive sur le trottoir d’en face saine et sauve mais je me télescope avec quelqu’un qui allait traverser dans l’autre sens.

– Oh pardon !
– Ce n’est rien, vous êtes pardonnée !

C’est une femme et sa voix est douce est apaisante.

– Vous êtes sûre, je ne vous ai pas fait mal ?
– Mais, non ! Mais quelle idée de vous balader sans parapluie !
– Je viens de le casser !
– Vous allez loin ? Je peux vous abriter !

En disant cela elle avance son parapluie afin qu’il puisse me protéger.

Tatiana 

– C’est gentil, mais je crois que nous n’allons pas dans la même direction.
– Si vous n’allez pas trop loin, ce n’est pas un problème, je ne suis pas vraiment pressée !
– Je vais jusqu’au prochain feu rouge !
– Allez, venez !

Elle m’attrape le bras comme si nous connaissions depuis des lustres, et nous voici collées l’une contre l’autre en train de cheminer sur le trottoir trempé ! Elle sent bon ! Terriblement bon ! Un parfum envoûtant d’une douceur si intense et si enivrante que c’est presque par réflexe que je demande :

– C’est quoi votre parfum ? J’adore !

Je regrette aussitôt ma hardiesse, d’autant que l’inconnue fait l’étonnée.

– Pardon ?
– Non, rien, je vous demandais juste comment s’appelait votre parfum ! J’adore…
– Euh ! … Délice de chez ….

Le nom du parfumeur se perd dans les clapotis de la pluie. ! Nous continuons de marcher. Au feu, on tourne à droite, puis devant le 34, je pile !

– Voilà, je suis arrivée, merci de m’avoir abritée !
– Quelle coïncidence ! Vous n’allez pas à l’institut de beauté au moins ? Demande-t-elle en me souriant.
– Si ! Pourquoi ? Vous le connaissez ?

A ce moment-là, on se regarde droit dans les yeux… Je découvre alors vraiment son visage. Elle a de grands yeux verts dessinés comme ceux d’un félin, la peau mate et le teint du visage très frais… Et surtout elle possède un grand nez aquilin qui le fait bien, Un nez de rêve, un nez que j’adorerais embrasser, (je ne suis pas nette, parfois !) Je détourne mon regard, profondément troublée…

– Bien sûr que je le connais, j’y travaille ! Et d’ailleurs, j’en reviens, je suis allée relever le courrier !
– Le courrier ?
– Oui, ce n’est pas la peine de monter, c’est fermé !
– L’institut est fermé ?
– Eh oui, normalement on a prévenu toutes les clientes qui avaient rendez-vous…
– Personne ne m’a appelé !
– C’est pas toujours évident de joindre tout le monde… On a eu un dégât des eaux, on est obligé de fermer une quinzaine de jours, le temps de faire les travaux !
– Ah ! Ben bravo ! Je me suis fait tremper pour rien !
– Je vous raccompagne dans l’autre sens ? Propose-t-elle.
– Je ne voudrais pas abuser !
– Mais non !

On ne s’est plus parlé pendant le parcours, ce léger trouble qui m’avait atteint tout à l’heure devant le porche du 34 ne se dissipe pas… Parvenu à la bouche du métro, je vais pour prendre congé.

– Bien, je vous laisse, merci encore pour le parapluie !
– De rien, ce n’était pas une corvée…

C’est alors qu’elle approche son visage du mien et me propose :

– Bisou ?

Je l’embrasse sur la joue, comme ça par réflexe ! Voilà qui n’allait pas arranger mon trouble… Sa peau est d’une étonnante douceur, presque veloutée, et la moiteur de ses joues provoquée par l’humidité ambiante me provoque un effet quasiment électrique….

– Et si je vous payais un café ? Me dit-elle

Sa voix est aussi sensuelle qu’une caresse sur mon corps, son sourire une invitation diabolique. La raison me pousse à dire « non » ! Je ne souhaite pas me laisser entraîner dans une aventure qui ne pourra que me dépasser ! C’est donc presque malgré moi que je m’entends dire :

– Oui. Pourquoi pas ?

On entre dans le bistrot, il est noir de monde, mais on trouve une place, mon inconnue pose son parapluie, enlève son manteau et pose son petit chapeau… Elle est belle, c’est une brune aux cheveux très intense. Sa bouche est magnifiquement dessinée, comme si un amoureux fou de la femme, le plus grand dessinateur du monde l’avait créé…. Et ce nez… (oui je sais, je l’ai déjà évoqué). Mon trouble s’intensifie. Je tente de banaliser la conversation :

– Je ne vous ai jamais vu à l’institut !
– Je travaille à mi-temps ! Me répond-elle.
– Ah ?
– Et vous y alliez pour…
– Pour me faire masser !
– Et qui est-ce qui vous masse habituellement ?
– Karine !
– Ah ! Karine, elle est très douée, mais sans me vanter, je crois que je masse mieux qu’elle !

Je ne suis pas dupe, le genre de petite phrase gratuite… Que voulez-vous que je réponde ! Alors je ne réponds pas, je fais un vague sourire. Elle reprend alors, me parle avec des yeux de chatte :

– Il paraît que j’ai un don ! Au contact de mes mains je peux faire frissonner beaucoup de monde !
– Les hommes ?
– Les hommes et aussi les femmes !
– Alors, d’accord, si un jour Karine est absente, je demanderais que ce soit vous qui la remplaciez ! Donnez-moi vos horaires, et aussi votre prénom, nous ne nous sommes pas présentées.
– Je m’appelle Tatiana.
– Et vos horaires ?
– Mes horaires ? Bien sûr mes horaires. Je vais vous les donner. Mais ce petit remplacement, pourquoi ne pas le faire tout de suite ?

Je croyais me dégager, et c’est elle qui finit par me lancer un défi ! Forte, la fille !

– J’habite à 200 mètres ! Insiste-t-elle, arborant à ce moment-là un sourire craquant.
– Je ne sais pas…
– Moi, je sais que ça vous fera un bien énorme, surtout après le stress de la pluie !
– Je ne sais pas, je ne crois pas… je…
– Et j’en profiterais pour te parfumer un peu avec mon parfum…

Ce brusque passage au tutoiement me rend muette ! J’ai le sentiment d’être sa proie, une proie consentante… enfin presque consentante.

– Il ne faut jamais laisser passer les occasions ! Ajoute-t-elle ?
– Alors d’accord !

J’ai dit ça comme dans un souffle, les battements de mon cœur s’accélèrent. J’ai l’impression de me lancer dans l’inconnu. Je me mens à moi-même, tente de me rassurer, me dis que je peux toujours revenir en arrière…

Mais pour l’instant, je la suis… Nouvelle séance de parapluie à deux… Elle habite effectivement assez près, c’est au quatrième étage, un petit studio meublé modestement mais avec goût !

– Enlève ton manteau ! Proposa-t-elle doucement.

Je le fais, elle aussi. Puis elle me prend les mains !

– Oh mais elles sont gelées, ces petites mimines ! Laisse-moi, je vais m’en occuper !

Elle me caresse mes mains avec les siennes… me les réchauffe… cette sensation électrique qui revient, cette fois je me jette à l’eau… ses mains je les veux partout. J’ai envie de me donner entièrement, je lui dis :

– J’ai envie que tu me masses, là tout de suite !
– Mais bien sûr, on est venu pour ça ! Déshabille-toi donc !

Elle me regarde me foutre à poil ! Elle ne se déshabille pas ! Elle ne va quand même pas me masser en jeans et en pull-over ! Je me tiens devant elle, presque entièrement nue ! Comme un défi je lui lance :

– La culotte aussi ?
– Bien sûr, et d’ailleurs tu vas me l’offrir !

Je comprends que je n’aurais pas le dessus avec elle, je retire le sous-vêtement

– Donne !

Ah ! Bon, elle ne plaisantait pas ! Je la lui passe, elle la prend, la hume, à l’air d’apprécier !

– Ça sent bon !
– N’exagérons rien ! Ça doit sentir l’urine !
– Je n’exagère pas, tout ton corps respire la sensualité ! Quant à l’urine ça ne me gêne pas.
– Euh… tu ne te déshabille pas ?
– Si tout à l’heure ! Allonge-toi sur le canapé, attend, je vais étendre une serviette.

Elle va chercher des huiles parfumées et commence à me masser ! Elle attaque de façon très traditionnelle, le haut du dos, les épaules, puis les bras, le milieu du dos, ses mains sont si envoûtantes que je ferme les yeux et que je me mets à mouiller, je me mordille mes lèvres. Elle me parle, me susurre des banalités, me demande si ça me fait du bien, si c’est mieux qu’avec Karine, sa voix me transporte dans un délire total. Cette femme est une sorcière !

– Ça te plaît ?
– Oui !

Tu parles que ça me plait ! Cette fois, elle va partout, s’égare jusque sur mes fesses, elle me caresse tout le long du corps. Elle marie dans son massage, en même temps une grande délicatesse et une intensité rare. Je n’en peux plus. Ses doigts se rapprochent à présent de mon intimité postérieure.

– Arrête !
– Tu es sûre ?
– Oui, ça va trop loin, excuse-moi !

Elle se contente d’un sourire, recule de quelques pas et fait semblant de s’occuper de ses fleurs tandis que je commence à me rhabiller. Je ne retrouve pas ma culotte, je renonce à la lui demander, après tout je lui ai donné, non ?

– Bon au revoir… et excuse-moi, mais je ne dois pas savoir ce que je veux…
– Ce n’est pas grave, au revoir !

Toujours son sourire désarmant, mais elle ne bouge pas de sa place. Je franchis la porte… Elle me laisse faire, continue de me sourire comme si elle savait que j’allais revenir. Après avoir refermé la porte, j’appelle l’ascenseur…

Pourquoi me suis-je enfui ? Je ne sais décidément pas ce que je veux ! Je sais que je reviendrais ! Quand ? Comment vais-je trouver l’occasion ? Pourquoi ne pas être restée ? Revenir en arrière ? Non ! Réfléchir avant ! Je suis peut-être en train de passer à côté de quelque chose ! L’ascenseur arrive ! Mon cœur bat la chamade ! Je vais pour en ouvrir la porte, je renonce ! Je décide de descendre à pied, ça m’aidera à réfléchir, je passe devant une fenêtre ornée de petits vitraux, la pluie clapote dessus ! La pluie ! Il pleut toujours dehors ! Elle m’abritait si bien, sa douceur, son parfum ! Je pile. Je remonte. Je frappe !

Elle m’ouvre ! Elle est tout sourire. Elle s’est revêtue d’une robe de chambre en soie bleue ! Sans une parole elle en dégrafe la ceinture ! Son corps m’apparaît, hypnotisant, elle porte juste sa culotte de même couleur que sa peau ! Je ne peux défaire mon regard de ses magnifiques seins piriformes et un peu lourds ornés de belles aréoles brunes où dardent en leur centre de magnifiques bourgeons érigés !

– Déjà de retour ?
– Je dois être folle !
– Mais non !
– Je ne sais pas ce qui m’arrive ?
– Viens là et arrête de te poser des questions !

lesb50

On s’est embrassée, c’était voluptueux, intense… Sa langue contre la mienne, son odeur qui me colle au corps… Mes vêtements valsent dans la pièce. Ma chair qui se colle à la sienne, j’ai l’impression d’en ressentir chaque pigment, je suis bien à son contact, terriblement bien. Je lui embrasse le nez (enfin !), la nuque, les épaules, les aisselles… ma bouche descend, atteint déjà la naissance des seins. Dans quelques instants j’aurais son mamelon dans la bouche. Mon entre-jambe trahit mon émoi et se mouille de l’attente de mon plaisir.

– Stop !

Je m’arrête interloquée ! Qu’est ce qui lui prend ? Je me redresse.

Tatiana se crache alors sur les seins, plusieurs fois de suite.

– Maintenant tu peux lécher !
– Mais…
– Tu es un peu soumise, non ? Alors lèche !

Quelque chose me bloque.

– Tu as aimé ma salive quand on s’est embrassées, c’est la même, alors lèche.

Je l’ai fait, j’ai trouvé ça très pervers et si excitant.

– Tu sais à quoi je pense ? Demande Tatiana.
– Non !
– J’ai envie de te donner une petite punition pour t’être enfuie tout à l’heure !

Elle me dit cela avec un sourire de déesse. Sa menace ne m’inspire aucune crainte. Une femme qui sourit comme ça ne peut être méchante. Je tente malgré tout d’entrer dans son jeu.

– Tu vas me donner une fessée ? Vas-y, je me laisse faire !
– Tu aimes ça ?
– Si c’est une fessée… gentille !
– Une autre fois peut-être, mais je ne pensais pas à ça !
– Qu’est-ce que tu vas me faire alors ?
– Tout ! Mais par contre, toi tu n’as pas le droit de me toucher jusqu’à ce que je t’en donne l’autorisation.
– Cruelle !
– On y joue ?
– On va essayer, mais j’ai peur de craquer !

Elle me fait mettre à poil, me demande de m’adosser contre une petite armoire, me fait poser les mains sur les parois, et m’interdit de les bouger.

– Surtout ne bouge pas, je vais te caresser cinq minutes et après on ira sur le lit. Considère ça comme une préparation.

Une préparation, elle en a de bonnes ! La voilà qui s’approche, poitrine en avant, ses seins frôlent les miens, les tétons parviennent à se frôler, des frissons me parcourent le corps. Elle me laisse après cette attaque surprise reprendre mes esprits. Elle pose ses doigts en corolle sur mes épaules, les fait circuler, ils redescendent sur les bras, remontent, puis explorent mes flans, viennent sur mon ventre, se dirigent vers les cuisses. Ma respiration devient haletante, Tatiana serait-elle capable de me faire jouir rien qu’en se servant du bout de ses doigts sur ma peau ? Je l’implore de continuer, lui dis que c’est bon ! Ses doigts viennent à présent sur ma vulve, mais n’y reste pas, se sont mes seins qu’elle veut, elle se livre sur eux à une sorte de danse du crabe avec l’extrémité des doigts… insensiblement elle se rapproche du centre en de savantes circonvolutions, l’aréole, puis la pointe, je frissonne, deux doigts se rejoignent sur chaque téton, je frémis, ma respiration devient haletante, la pression des doigts augmente, elle me pince presque, elle tourne légèrement entre le pouce et l’index les petits bouts de chair, je pousse un cri, elle serre plus fort, je crie, je crie, je jouis, mes cuisses sont trempées, j’ai envie de me précipiter sur son corps, d’y chercher de la tendresse, avant de passer à autre chose. Je l’enlace, elle m’accueille, nous nous blottissons l’une contre l’autre, nos baisers reprennent… Un moment ma langue s’égare, je lui lèche le nez.

– Il te plait mon grand nez, on dirait !
– J’adore !

Elle m’entraîne vers sa chambre, défait les draps d’un geste nerveux.

– C’est debout que les femmes sont les plus belles ! Me confie-t-elle ! Mais parfois il faut bien qu’on prenne nos aises !

Toute une philosophie sans doute, mais je n’ai pas le temps de l’approfondir. Tatiana s’est couchée sur le dos, s’offrant à mes caresses. Je n’hésite pas une seconde et m’élance bouche la première sur ses seins, je les lèche, les lape, les aspire, en suce les bouts, j’ai l’impression d’avoir toujours accompli ces gestes pourtant rares. Le velouté de sa peau m’ensorcelle. C’est presque de façon inconsciente qu’on se met en 69. j’ai maintenant son sexe ouvert à ma langue, je le lèche comme une friandise, j’aime son odeur, j’essaie de ne pas me laisser distraire par ce que fait ma compagne de débauche, mais c’est impossible, elle me suce le clitoris avec une telle habileté, que je suis obligé de tout stopper de mon côté pour laisser passer l’orage de ma seconde jouissance. Je veux absolument lui rendre le plaisir qu’elle m’a donné, elle mouille de plus en plus et je m’abreuve de sa liqueur, j’intensifie mes propres coups de langue, je sens son corps se tétaniser quelques courts instants au-dessus du mien puis la voici qui éclate à son tour…

– Ne bouge pas, laisse ta bouche…Tu ne trouves pas que ma chatte sent le pipi ?
– Euh, non…
– Et si elle sentait le pipi, cela te générait ?
– Non pas du tout !
– Alors tu vas gouter mon urine.

Je m’immobilise et reste la bouche ouverte pendant que son pipi vient m’envahir le gosier. Un régal de fin gourmet ! (ou un régal de chienne, c’est comme vous voulez !)

– Tu as l’air d’apprécier ! Commente-t-elle.
– Forcément puisque ça vient de toi !
– Tu accepteras tout ce qui vient de moi ?

Oh Là ! Le terrain glissant, parfois je ferais mieux de me taire et au lieu de mettre les choses au clair je m’enfonce (à moins que ce soit mon subconscient qui travaille) encore davantage en lui répondant :

– En tous cas, j’essaierai !
– Brave fille ! Tout à l’heure quand j’ai voulu te mettre un doigt dans ton petit trou, tu n’as pas voulu…
– Ce n’est pas pour ça que je me suis sauvé…
– Je sais bien, alors je peux le remettre ?
– Bien sûr !

Le doigt, non pas le doigt, parce qu’il y en a deux, les doigts vont et viennent dans mon intimité rectale en me procurant des spasmes de plaisir, cette femme est une sorcière.

Et tout d’un coup elle cesse de bouger ses doigts mais ne le retire pas

– Ça t’arrive de te faire ça toute seule ?
– Oui !
– Et tu te lèches tes doigts après ?
– Ben oui, dès fois il faut les remouiller…

Je viens de comprendre, elle a cru me piéger, mais je vais la surprendre :

– Tu veux savoir si je te lécherais les doigts après ? Bien sûr que je te les lécherai !

Finalement je me suis peut-être piégée toute seule…

Elle sort ses doigts, les approche de ma bouche, je ferme les yeux, je connais ce goût, il n’a rien d’abominable, je lèche et je lèche encore. Ses doigts ressortent tout propres.

On s’enlace, on s’embrasse, je suis bien, mais terriblement excitée, et prête à accepter beaucoup de choses. Et évidemment l’autre diablesse s’en aperçoit !

– Et si on allait plus loin toutes les deux ?

Je suis tétanisée, je ne sais pas quoi répondre, ni quelle attitude adopter.

– On peut faire un tas de choses et comme c’est avec moi, tu aimeras forcément.
– Tu veux faire quoi ? Balbutié-je
– Je ne sais pas, moi, je pourrais par exemple prendre un gode ceinture et de labourer ton mignon petit cul jusqu’à ce que tu jouisses comme une folle et quand je le ressortirai je te le ferai nettoyer avec ta jolie langue.

L’image du gode recouvert de matière ne me dit trop rien.

– Et sinon ?
– Sinon, je peux te chier dessus. J’ai justement une petite envie.
– Je préfère ! M’entendis-je répondre.
– Mais t’es une vraie cochonne ! Tu veux vraiment ma merde sur ton joli corps.

En ce moment je le voulais vraiment, parce que j’étais à la fois excitée et sous l’emprise de Tatiana, dans une heure, je ne serais peut-être plus dans de telles dispositions.

– Tu vas commencer par me lécher l’anus, j’adore qu’on me le fasse.

Elle se tourna comme il convient et je lui léchait consciencieusement sa jolie petite rondelle brune et fripée.

– Est-ce ça sent la merde ?
– Un tout petit peu !
– Bon je vais chier, mais il faut que ce soit toi qui me demandes.
– Chie-moi dessus, Tatiana !
– Je vais essayer.

Elle pousse, son bel œillet brun s’ouvre, j’ai confiance, rien de ce qui vient d’elle ne peut être laid. Un petit étron brun vient quémander la sortie. Tatiana pousse encore, son anus est à quelques centimètres de ma bouche, je redresse un peu mon visage, parvient de ma langue à toucher l’étron, le contact assez neutre me rassure. Et puis tout va très vite, Tatiana me crie « attention ! ». Par réflexe je ferme la bouche et déplace mon visage alors que de son cul descend un long boudin qui vient atterrir sur mon cou. Tatiana a chié sur moi et j’en éprouve une excitation trouble.

Elle se redresse, contemple son « œuvre », semble satisfaite, me sourit, toujours de façon aussi craquante, puis détache un petit morceau de matière qu’elle lèche quelques instants avant de m’inviter à faire de même. Elle le reprend, le lèche un peu plus longtemps, puis nous nous relevons en s’échangeant un étrange mais si pervers baiser marron.

Elle s’est ensuite rincé la bouche et est venue entre mes cuisses, en trente secondes je jouissais comme une folle.

Après une petite douche, nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre, deux heures plus tard on s’est refait quelques coquines caresses. Il fallait bien qu’on se sépare. Dehors la pluie n’avait pas cessé.

– Je te prête mon parapluie, tu viendras me le rendre !

Bien sûr que je viendrais lui rendre !

 

© Hélèna Sevigsky 11/2002 d’après une short story de Calystoben – révisé en 2018 et 2022

 

 

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