Mercredi 1 août 2018 3 01 /08 /Août /2018 19:44

Apéritif très spécial par Paul et Julie

BiteFlag

Thèmes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, fétichisme du peid, feuille de rose, party, scato, spermophilie, uro. 

Je vais vous raconter une histoire qui m'est arrivée… à moins que ce ne soit qu'un fantasme, allez savoir ?

Je ne m'attarderais pas sur la présentation, je suis Paul et je vis depuis plusieurs semaines avec ma copine, Julie, (une belle rousse aux yeux bleus, très délurée, très branché sexe, un rien allumeuse et exhibitionniste) nous nous entendons plutôt bien, et elle adore parfois me dominer. Etant de nature soumise, j'adore me laisser faire et jouer à ces jeux. Nous avions jusqu'à présent limité ce genre de fantaisie à notre sphère intime sans y mêler d'autres personnes, mais Julie me répétait sans cesse :

- Un jour je te dominerais devant un couple ! Tu voudras bien ? N'est-ce pas ?
- Je ne sais pas !
- Tu le feras pour me faire plaisir, pour m'exciter, et parce que tu m'aimes et que moi aussi je t'aime et puis je suis sûre que tu adoreras !
- Oui, bon, je te fais confiance !

Ce soir-là, nous étions Julie et moi invités chez des amis pour prendre l'apéro.

-Tu verras, ce sont des petits coquins, il se passera peut-être quelque chose ! M'avait prévenu mon amie !

Nos hôtes étaient Virginie, une belle fausse blonde avec un très joli visage, assez mate de peau et son copain Laurent. Ils étaient très sympathiques et très décontractés. La discussion aborda assez vite des sujets coquins et Julie cru pertinent de confier que j'avais le corps entièrement rasé ! Cela avait l'air d'intéresser nos interlocuteurs, et ma copine sans que j'y prenne gare demanda à Virginie s'il elle voulait me voir nue ! Celle-ci sur le ton de la plaisanterie lui répondit : "oui". Alors d'un ton autoritaire Julie m'ordonna :

- Alors qu'est-ce que tu attends ? Lève-toi et déshabille-toi ! Tu ne vas pas contrarier Virginie tout de même !

L'heure était donc arrivée ! Que faire ? Ne pas m'exécuter l'aurait vexé, et ma nature soumise reprenant le dessus, j'ai donc obéi, et me suis retrouvé nu sous les regards égrillards de Virginie et Laurent.

- Tourne-toi, montre-nous ton cul ! Dit ma copine.
- Ecarte-toi les fesses ! Ho ! Le joli trou de balle ! Mets-toi à quatre pattes et écarte mieux tes fesses ! surenchérit Virginie.
- Tu sais que tu as de belles miches pour un homme ! rigola Laurent.

Nos amis rigolaient vraiment et se moquaient de moi.

- Allez, montre-leur comme tu te branles le cul mon amour !

Les rires de nos amis redoublèrent. Moi, assez excité je l'avoue, je me suis léché un doigt et j'ai commencé à me masser la rondelle. Quand elle fut suffisamment lubrifiée je me la suis pénétrée de l'index, et j'ai commencé à me doigter par de petits mouvements.

- Une vraie salope mon mec hein ? (J'adore quand elle m'insulte)
- Tu l'as dit ! Reprit Virginie
- Tu as déjà enculé un mec, Virginie ?

Et sans attendre de réponse, Julie sorti de son sac notre gode ceinture.

- J'avais apporté ça, au cas où… Précisa-t-elle
- Whoua ! Le super truc ! Nous aussi on a un gode, mais il n'est pas comme ça, j'ai déjà enculé mon homme avec, mais jamais personne d'autre !
- Ça te dit, alors ?
- Hummm ! je crois bien que ça me dit !
Ça m'étonne pas t'es une belle cochonne, tiens tu m'excites…

Julie ne termina pas sa phrase, sa bouche avait collé celle de Virginie et nos deux coquines se roulaient un patin d'enfer avec une telle intensité que la salive dégoulinait sur leurs mentons respectifs.

- Allez, déshabille-toi et passe-toi ce truc ! Et toi grosse chienne prépare-toi à te faire enculer par une belle débutante !

Virginie s'exécuta et se retrouva très vite nue avec ce sexe artificiel. Je la contemplais m'attardant sur ces seins droits comme des obus et terminés par de larges et épais tétons rosés. Cette vue me troubla et me provoqua une vive érection. Aussi je me dis que me faire dominer par cette femme ne pourrait être qu'un plaisir…

- Attends, laisse-moi me régaler un peu ! Intervint encore Julie qui pencha sa bouche sur le bout des seins de la blonde pour les sucer, les lécher, les aspirer.

Virginie poussait des petits cris de plaisirs, puis ma copine entreprit de passer derrière pour lui lécher les fesses. Du coup notre hôtesse m'ordonna d'avancer :

- Tu vas sucer cette queue d'abord ! Ordonna-t-elle

Chose que je fis pendant que Julie prenait mon relais et préparait mon petit trou à cette sodomie. Quand j'englouti le sexe artificiel au plus profond de ma gorge tout le monde applaudi, sauf Laurent qui avait les mains prises. Forcément, il avait sorti sa belle queue et commençait à s'astiquer.

- Bon ça suffit maintenant, tu vas de faire tringler, salope !

Virginie se plaça derrière moi et appuya le gode contre ma rosette. Puis me pénétra de quelques centimètres

- Tu la sens bien, ma queue ? Réponds-moi !

Et sur ces mots elle m'enfonça d'un coup violent le gode entier en moi m'arrachant un cri de douleur et de surprise.

- Oui, tu l'as senti, petite pute !

Elle commence elle aussi à m'insulter, pour mon plus grand plaisir ! Elle n'avait pas menti et n'avait certainement jamais enculé un mec avec un gode ceinture, (la technique étant différente qu'avec un gode ordinaire) ; car elle ne laissa pas le temps à mon petit trou de s'habituer au gode et commença déjà de violents va-et-vient qui me faisaient un peu mal… au début !

- Tu aimes mes coups de queue, hein ?

Et elle ponctuait chaque coup de rein par de petits cris :

- Han ! Han ! Han ! Han !
- Alors mon amour de pétasse tu te fais bien défoncer ? Demanda Julie
- Ho ! Oui ! Répondis-je sous les rires de l'assistance
- Dis donc Laurent, dit ma copine, on dirait que le spectacle te fait l'effet, c'est bien raide tout ça ! Je suis sûre que Paul aimerait bien te faire une petite gâterie n'est-ce pas ? Ça sera une première !

Laurent, pour toute réponse s'empressa de se déshabiller entièrement et se retrouva devant moi, sa jolie bite à dix centimètres de mon visage. J'hésitais un peu, cela était un de mes fantasmes mais il fallait franchir le pas.

- Allez suce-le ! M'encouragea Julie, suce-le comme une salope !
- D'accord, approche toi, Laurent je vais bien te la sucer ta bonne queue !

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Et il m'enfonça sa pine au fond de ma gorge et je commençai donc à le sucer. Ça avait un goût et surtout une odeur un peu forte mais pas désagréable

- Quelle poufiasse ! Non content que je lui lime le fion, (et elle avait accéléré le mouvement), il lui faut une queue dans la bouche. Hummm, j'aimerais bien qu'il le suce bien à fond ! Tu crois qu'il va le faire ? Demanda-t-elle à Julie.
- Bien sûr ! C'est une petite salope, et il va tout avaler !

Je crois que ces mots on eut raison de Laurent qui sortit de moi et me balança son sperme en pleine gueule. Chaque giclée atteignit une partie différente de mon visage si bien que j'étais recouvert complètement de foutre

- Maintenant avale ! Pétasse !

Laurent me caressait le visage de sa bite récoltant au passage un peu de cette semence, et m'introduisit sa queue pour que je goutte. C'était un peu amer mais sous les ordres des filles qui me demandèrent d'avaler, je m'exécutai. Laurent renouvela l'opération et me nettoya de cette façon tout le visage

Virginie sortit de mon cul et éclata alors de rire :

- Regarde-moi ça, il est complètement dilaté, il a du mal à se refermer. Tu vas me nettoyer ce gode ! Dit-elle alors, complètement excitée et en se frottant la chatte de ses doigts.

Voilà qui ne me disait pas grand-chose, l'engin était maculé de quelques traces brunes qui ne m'inspiraient pas vraiment. Aussi je commençais à protester. Mais Virginie insista :

- Dis donc pédale, tu ne vas pas nous faire une comédie pour trois traces de merde, après tout c'est la tienne ! Moi quand Laurent m'encule, je lui nettoie la bite, alors je ne vois pas pourquoi tu ne ferais pas pareil !
- Mais…
- Mais quoi ? Tu es une petite salope, et les petites salopes ça nettoie, n'est-ce pas Julie ?
- Absolument ! confirma ma copine.

Que voulez-vous faire devant de tels arguments ? Je respirais un grand coup et introduisit le gode dans ma bouche et entrepris de le nettoyer, heureusement le goût n'était pas très prononcé et je me surpris au bout de quelques courtes minutes à trouver un plaisir très pervers à cette tache bien particulière.

- Mais c'est qu'il aime ça ce gros vicelard ! Commenta Virginie. ! Alors c'était comment ?
- J'en sais trop rien, mais ça m'excite, tout ça !
- T'es qu'un enculé, un suceur de bite, et en plus tu suces la merde, t'es vraiment un gros porc ! Me dit ma copine !
- C'est bien vrai ça ! Répondis-je !
- Bon allez on se fait une petite pause et on va trinquer !

Je pensais bien sûr que cette pause me concernait aussi, mais Virginie assez déchaînée ne l'entendait pas de cette oreille !

- Non toi tu restes là à quatre pattes, et le cul bien ouvert, tu boiras plus tard, t'inquiète pas on te garde ta part !
- Quel pédé ton mec quand même ! dit Laurent !

Il disait cela sans aucun mépris, mais avec amusement et beaucoup de malice, je compris alors que les fantaisies n'étaient pas tout à fait terminées. C'est alors que Julie pris son air le plus vicieux possible pour lui répondre :

- En fait, pas complètement, moi je voudrais bien mais il faudrait qu'il se fasse enculer par un mec ! Ça te branche ?
- Pas de problème, enculer un joli petit cul de pédale, ça me convient tout à fait !
- Nos hommes sont des gros cochons commenta Virginie !
- Et nous on est des belles cochonnes, rétorqua Julie qui se baissa au niveau de son pubis et commença à lui lécher la chatte.

Virginie se laissa faire, mais jugea plus confortable de s'allonger sur le sol, les jambes ouvertes, laissant ma copine s'installer après qu'elle se soit déshabillée à toute vitesse… Celle-ci agitait sa langue en de rapides petits tourbillons au niveau du clitoris. Le spectacle de Virginie les yeux fermés s'abandonnant au plaisir, la peau rougissante et les tétons dressés était d'un érotisme très troublant et quand sa copine hurla sa jouissance la queue de Laurent avait atteint sa raideur maximum. Je compris que j'allais y passer !

Il commença, aidé par Julie à débarrasser la table du salon et m'y fit allonger sur le dos les genoux relevés sur les épaules, puis se saisit d'un préservatif. Je bandais moi aussi comme un fou, la bite dressée, autant que celle de Laurent qui s'approcha de mon intimité, et sous les encouragements des filles, il me pénétra violement. Je me sentis tout à coup envahi par sa queue qui resta quelque temps immobile dans moi.

- Je veux t'entendre dire que tu es une salope ! Tu es une salope, pas vrai ?
- Oui une grosse !
- Et tu aimes de faire enfiler ?
- Oui ! C'est bon une bonne bite dans le cul !

Et il commença des mouvements lents mais de grande amplitude tandis que tout le monde s'amusait à m'insulter.

- Pétasse ! Regardez comme il bouge
- Et sa bite de pute est super dure ! Enculé, va !
- Ho oui, tu es un vrai enculé maintenant ! Et tu aimes ma queue dans ton trou du cul hein ?
- Hum ! Une belle bite dans mon cul de salope oui !

Julie entretenait mon érection et me branlait délicatement, et là je ne sais ce qui passa par la tête de Virginie mais elle se dirigea vers mon visage et commença à me cracher dessus, ce qui m'humilia davantage. Laurent commençait à me faire mal et heureusement il dit aux deux filles qu'il n'en pouvait plus et allait se vider

- Balance tout sur sa bite ! demanda Julie

Alors Laurent s'exécuta, ôta sa capote et me balança sa purée pour la deuxième fois, mais ce coup-ci sur la queue. Les deux filles devant le spectacle applaudirent.

J'étais allongé, la rondelle dilatée, le ventre couvert de sperme, la figure pleine de salive !

Puis Virginie s'accroupit au-dessus de mon visage !

- Suce mon trou du cul ! Nettoie le bien, je suis une vraie cochonne, je n'ai jamais vraiment su m'essuyer à fond, j'ai toujours un peu de merde collée au cul.

Je pensais qu'elle exagérait, mais j'obéissais rencontrant une odeur assez acre mais qui ne me dégoûtait pas, et me livrait à ce très excitant petit nettoyage que l'on me demandait !

Julie proposa à Virginie de me terminer et elle accepta, elle se releva et passant devant mon cul ne put s'empêcher de me le trifouiller du pied, m'introduisant même un orteil. Elle cracha sur ma pine et commença à me branler d'une main tandis que l'autre je vous le donne en mille, me pénétra de deux, trois doigts et je pense même plus. Mon excitation était telle que vingt secondes plus tard mon sperme gicla et Virginie s'amusa à le mélanger à celui de Laurent

- Cette salope de Paul va goûter cette mixture ? demanda une Virginie que je ne reconnaissais plus. Et elle me demanda de lui nettoyer la main je m'exécutai et franchement le goût ne changeais pas vraiment.

Julie m'embrassa

- Je t'aime ma salope ! Tu es couvert de sperme, un vrai vide couille ! Il faut nettoyer maintenant !

Et sur ces mots elle se mit au-dessus moi et me pissa sur le corps. Quand elle eut fini, elle fit signe à nos deux amis qui comprirent et en firent autant. Laurent se mit debout derrière moi et me pissa de grands jets dessus, insistant sur mon trou du cul. Virginie elle vint carrément sur mon visage et m'inonda de son urine.

- Ouvre la bouche ! Bois ma bonne pisse.

J'en avalais une bonne rasade, mais fut quelque peu surpris lorsque je constatai qu'une fois sa miction achevée, Virginie ne quitta pas sa position, avança juste de quelques petits centimètres et se mit à pousser.

- Qui c'est qui va recevoir un joli caca sur la figure ? Me nargua-t-elle.

Au point où j'en étais, j'acceptais le cadeau qui me dégringola sur la tronche. Virginie m'en débarrassa, je trouvais d'abord le geste délicat avant de comprendre que cette diablesse s'étant salie les mains pendant opération m'invita ensuite à les lui lécher.

Ce fut tout pour le sexe ce soir-là, nos amis se livrèrent à un petit ménage tandis que j'allais prendre une douche, puis nous avons retrinqué ensemble en grignotant des petits amuse-gueules, (ça creuse tout ça !)

Un peu plus tard, en partant sur le pas de la porte Julie précisa qu'évidemment elle leur rendrait l'invitation ce qui acceptèrent avec de grands sourires.

Nous sommes donc partis main dans la main et elle me dit :

- Je t'aime Paul !
- Moi aussi ma chérie. Tu sais j'ai bien aimé lécher le cul de Virginie, on n'a jamais fait ça tous les deux.
- Je n'avais jamais osé te le demander, mais maintenant que ça te branche, on va pouvoir incorporer ça à nos petits jeux.

On s'embrassa et l'on se demanda quand on pourrait les inviter, mais nous savions déjà que ce serait le plus rapidement possible

Paul et Julie

(Réédition améliorée et enrichie d'un texte paru anonymement sur Sophiexxx en 2000 sous le titre " un fantasme…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 18:23

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 39 – Destins éparpillés par Nicolas Solovionni

          stamp partouz

 

- Le repas était excellent ! Tint à dire Héka à qui on avait appris les bonnes manières.
- La bouffe est le second grand plaisir de notre courte vie ! Répondit doctement le gouverneur.
- Et le premier ? Demanda Héka, d’un air faussement innocent et se rendant compte par là-même qu’elle s’engageait sur un terrain glissant.
- D’après vous ?
- Le sexe peut-être ?
- Bonne réponse ! Ah, voici le thé, merci Titien.

Héka s’étonna de ce prénom masculin.

- C’est un garçon ! précisa Denzel, je l’ai engagé il a un mois ou deux, le temps passe tellement vite, je lui ai proposé de le féminiser un peu, il n’a pas été contre, d’ailleurs ça l’amuse. Reste là Titien, voulez-vous le voir mieux, Héka ?

« Attention, dans cinq minutes on partouze ! Quoi que ça ne dépend que de moi, je suis la maîtresse du jeu, si je n’accroche pas, il ne se passera rien, mais, je n’ai pas envie non plus de jouer les rabat-joie. »

- Vous savez, je suis curieuse de nature, mais je m’en voudrais de mettre, comment dire, votre servante ?
- C’est le bon terme.
- Bref, je ne voudrais pas la mettre dans l’embarras.
- Ce ne sera pas le cas, Titien montre un peu à madame comment tu es en dessous ?
- Il ne parle pas ?
- Si, mais pas beaucoup, c’est un taiseux !

Titien retire sa petite robe de soubrette, et comme il n’a pas de culotte, le voilà à poil avec la quéquette à l’air. Sa peau est très blanche et intégralement rasée. Héka ressent un curieux trouble la gagner.

- Il est très cochon, il adore sucer des bites et il fait ça très bien, parfois c’est moi qui le suce ! On s’amuse comme on peut !
- Vous m’aviez caché ça, Monsieur le gouverneur.
- Nous nous sommes vu trop peu de temps ! Vous aimeriez le caresser ?
- Je ne sais trop !
- Et moi, savez-vous que j’ai une envie folle de caresser vos jolis bras. Je peux ?
- Faites donc !

Spectacle insolite : Denzel caresse les doux bras d’Héka. Titien s’est approché très près d’elle sur sa droite et se tripote mollement sa bite, pour l’instant peu raide. Quant à Georgia, elle ne fait rien sinon s’amuser de la scène.

- Caressez-le, juste un peu ! Suggère le gouverneur.

Alors, saisie d’une irrésistible pulsion, Héka avance sa main vers la bite du travesti et esquisse quelques mouvements de masturbation. Du coup la queue se met à bander joliment.

« Trop envie de le sucer, mais si je le fais, c’est l’engrenage ! Alors je le fais ou je le fais pas ? »

Fausse hésitation puisque son visage s’avance lentement vers le service trois pièces du travesti, attendant une réaction qui ne se manifeste pas.

Alors elle prend le membre en bouche et commence à le sucer. La bite est salée dégageant une légère odeur d’urine qui n’est pas pour déplaire à la jeune femme.

Intrigué parce que ne sentant plus les mains du gouverneur, elle se redresse et découvre Georgia passée derrière ce dernier et occupée à lui pincer les tétons.

Echanges de regards complices.

- Mets-toi donc à l’aise, lui suggère Georgia.
- On va tous se mettre à l’aise ! Renchérit le gouverneur.

Tout le monde se déshabille très vite.

« On fait quoi maintenant ? »

Héka aurait bien sucé le gouverneur, mais Georgia occupe déjà le terrain, gobant avidement en de rapides allers et retours la bite de l’édile local.

« Qu’à cela ne tienne, une bite, ça peut fort bien se sucer à deux ! »

Et voilà nos deux coquines en train de prodiguer une pipe à deux bouches tandis que ce dernier suce la queue du travesti.

Le ballet des bouches est infernal, c’est tantôt l’une, tantôt l’autre ou alors en simultané, l’une gobant les couilles, l’autre léchant le gland.

- Doucement les filles, je ne veux pas partir trop vite !

On se dégage, Georgia cherche la bouche d’Héka qui ne se dérobe pas.

Une petite pause qui permet à tout ce petit monde de se désaltérer, sans trop chercher à savoir quelle sera la suite.

- Je vais pisser ! S’exclame Georgia, ça intéresse quelqu’un ?

Héka se rend compte alors que tous les yeux sont tournés vers elle.

- Vois jouez à quoi, là, exactement ? Demande-t-elle avec un air faussement innocent.
- Tu aimes les jeux de pipi ? Demande Georgia.
- Je n’ai rien contre !
- Tu veux boire ma pisse ?
- Ça peut m’amuser !
- Alors couche toi par terre. Le sol est auto-nettoyant ! Génial, non ?
- Moi aussi, je pisserais bien ! Annonça Titien.

« Miracle, il parle ! »

- Chacun son tour ! Intervint le gouverneur.

Georgia se met en position enjambant Héka à la hauteur de son visage

Georgia est une experte en ce domaine, elle sait parfaitement maîtriser son envie, aussi ne pisse-t-elle pas en continue mais en jets saccadés. Son urine est assez claire ce qui fait qu’Héka peut en boire beaucoup.

Beaucoup mais pas trop non plus, au bout d’un moment, elle fait signe à la pisseuse qu’elle est à satiété. Georgia s’empare alors d’un verre et y termine sa miction.

- Ben, et moi ! Se lamente Titien.
- Désolée, j’ai plus soif !
- Il peut éventuellement vous arroser la poitrine ? Suggère le gouverneur
- Sur mes nénés, oui, je veux bien.

Le travesti se met alors à pisser d’abondance visant tantôt le sein gauche, tantôt le sein droit avec la décontraction d’un jardinier arrosant son parterre de salades vertes.

Georgia et le gouverneur vinrent ensuite, chacun d’un côté lécher le bon pipi déposé par Titien en ne manquant pas de titiller au passage les jolis tétons érigés de la belle.

On se relève, Georgia présente en l’écartant son joli popotin à Héka.

- Ça te dirait de me le lécher ?
- Ça me dirait !
- Il n’est pas forcement nickel !
- Pas grave !

Effectivement, la belle Georgia avait dû s’essuyer avec un courant d’air après avoir fait quelque besoin. Mais Héka n’en avait cure et se régalait de ce goût âcre et capiteux, léchant sans problème les quelques traces douteuses entourant ce charmant œillet brun.

De son côté, le gouverneur se faisait sucer la bite par Titien. Mais au bout d’un moment il se dégagea.

- Héka, venez donc trinquer avec moi !
- J’arrive, monsieur le gouverneur.
- Le cul de Georgia était-il à votre goût ?
- Délicieux, monsieur le gouverneur !
- Voyez comme ce jeune inverti m’a bien fait bander la bite.
- En effet, elle a fort belle allure !
- Elle vous tente ?
- Ma foi, je crois que je la verrais bien dans mon cul !
- Eh bien, voici un souhait que je vais adorer exaucer.
- Maintenant ?
- Oui, car il faut user de la bite quand elle est chaude !
- C’est un nouveau proverbe ?
- Je viens de l’inventer !

Alors Héka s’accroupit en levrette sur le sol encore trempé d’urine, offrant et cambrant son superbe cul à la jolie bite noire du gouverneur.

Mais ce dernier avait l’intention de faire durer le plaisir. C’est donc avec sa langue qu’il commença à solliciter le délicat œillet brun de la jolie rousse. La langue étai agile et œuvra si bien que l’anus finit par s’ouvrir ce qui permit à Denzel de se régaler de ces saveurs si particulières.

Vint ensuite un doigt fureteur qui se mit à coulisser et à touiller dans cet étroit orifice. Quand il le ressortit, il le lécha avec un air ravi.

Sa bite raide n’eut ensuite aucune difficulté à pénétrer dans le tunnel intime. Et alors qu’il commençait à pilonner, il invita Titien à s’emboîter derrière lui. Ainsi l’enculeur se faisait enculer, il ne fallut que quelques instants pour que les mouvements de bite se synchronisent, mais ensuite tout alla bien. Le joyeux trio emplissait la salle à manger de « hi » et de « han ».

Georgia présenta sa chatte à lécher à Héka. Opération hasardeuse tant ça poussait derrière d’autant que la cadence s’accélérait. Héka ne tarda pas à crier son plaisir, tandis que le gouverneur ne pouvant puis se retenir lâchait sa purée avec un cri d’ours piqué par un essaim d’abeilles.

Il se retira, la bite gluante et polluée de matière brune. Héka se retourna pour la nettoyer de sa bouche.

- Ne vous croyez pas obligée !
- Ce sera un plaisir ! Et même une gourmandise ! Répondit la jeune femme.

Zarouny39a
Titien bandait toujours mais n’avait pas joui, constatant que personne n’avait l’intention de s’occuper de lui, il se souvint alors de son rôle de soubrette et se mit à débarrasser la table.

Quant à Georgia, maintenant étendue à même le sol, les jambes écartées et le sexe ouvert, elle se masturbait frénétiquement. Alors Héka, bonne fille, vint l’aider de sa langue.

Lorsque Georgia eut obtenu le plaisir qu’elle avait sollicité, le gouverneur l’invita discrètement à quitter les lieux.

- Parce que pourquoi ? Protesta-t-elle
- Fais ce que je te dis, ma poulette ! Se contenta-t-il de répondre en lui flattant le popotin.

Elle s’en alla mais non sans avoir roulé une pelle à Héka :

- T’es trop bonne, toi ! J’espère qu’on se reverra dit-elle en s’éclipsant.

Denzel va pour se rhabiller quand il se ravise et interpelle Héka.

- On pourrait peut-être prendre une douche ?
- C’est pas de refus.
- La soirée vous a plu ?
- Super !
- Ne me faites pas une réponse de politesse.
- Mais pas du tout, les mets étaient succulents, le vin sympa, quant à la suite, je me suis bien éclatée !
- Alors tout va bien ! Après votre douche je vous ferai raccompagner en ville, à moins que vous préfèreriez rester coucher ici.
- Je ne voudrais pas abuser !
- A tout hasard, je vous ai fait préparer une chambre, il y en a pas mal de libres ici. Ma résidence est quelque peu surdimensionnée.
- C’est à dire…
- Elle pourrait être à votre disposition de façon permanente, Juliana a déjà la sienne, mais elle ne l’utilise pas beaucoup, son hôtel l’accapare beaucoup, elle aurait besoin de quelqu’un pour l’aider, une associée.
- Ah ! Répondit la jeune femme, ne voyant pas trop où son interlocuteur voulait en venir.
- Je vais vous faire un aveu, j’adore la compagnie des jolies femmes !
- Ça, je crois que je l’avais compris.
- Peut-être pas complétement si vous le permettez.

Héka devint de plus en plus perplexe.

- Je n’ai aucun mal à trouver. Etre la petite amie, ou même l’une des petites amies du gouverneur offre tellement d’avantages… Mais je profite assez peu de la situation, je dis bien « assez peu », je n’ai pas dit « pas du tout ».
- Je comprends.
- Il se trouve que vous, vous ne demandez rien, vous souhaitez même quitter la planète…
- Vous en savez des choses !
- Juliana m’a raconté, mais ne prenez pas ça pour de l’indiscrétion, vous allez comprendre.
- Je voudrais bien en effet.
- Vous allez faire quoi sur Vargala ? Vous n’en savez rien et il n’est pas impossible que vous tombiez dans la dépression…
- Ne vous inquiétez pas pour moi.
- Je vous propose un deal. Je vous l’ai dit, Juliana a besoin d’une associée, l’hôtel n’est pas en très bon état, il nécessite des réparations, je les prendrais entièrement à ma charge. Vous aurez un boulot, vous ne serez pas seule, et puis si vraiment ça ne vous branche pas, vous pourrez toujours lâcher l’affaire quand vous le souhaitez.
- Humm, et en échange…
- Vous viendrez me faire un petit coucou de temps en temps, un peu comme le fait Juliana. Alors ?
- Je vais rentrer, vous aurez une réponse demain !

Titien l’attendait sur le pas de la porte.

- Madame, je voudrais vous dire et vous demander quelque chose.
- Je t’écoute.
- Vous êtes très belle. J’ignore si nous nous reverrons, mais si ce n’était pas le cas…
- Tu ne parles plus ?
- Juste un bisou, s’il vous plait ?
- Mais bien sûr, mon biquet !

En rentrant à l’hôtel elle trouva Juliana en train de finir du rangement.

- C’était bien ta petite soirée ? Lui demande cette dernière sur un air faussement innocent.
- C’était un piège, non ?
- Un piège ?
- Tu m’as envoyé toute seule chez le gouverneur afin qu’il me mette le grappin dessus. Comme ça je deviens l’une de ses poules et toi tu te trouves une associée ! Tu ne crois pas que c’est un peu gonflé comme plan ?
- J’ai essayé ! Tant pis pour moi si ça n’a pas marché ! Répondit Juliana devenue brusquement très pâle.
- Qui te dit que ça n’a pas marché ?
- Tu… Tu acceptes ? Je…

La suite se perdit dans un sanglot, les deux femmes s’étreignirent.

- Bien sûr que j’accepte, mais on ne le dira au gouverneur que demain. Si on veut le manipuler un peu, il faut mieux le faire lanterner.
- Tu veux partager ma chambre ?
- Pourquoi pas ? Mais ce soir ce sera dodo, j’ai eu ma dose. Qu’est-ce qu’il encule bien, Denzel !
- T’as raison !

Novassa

De nouveaux troubles éclatèrent sur Novassa, la papesse Dini disparut dans la nature et le chaos et l’anarchie s’y installèrent durablement, la gynarchie s’écroula mais conservait toujours ses partisanes. Des hommes libérés des quartiers réservés ne trouvèrent rien de mieux pour fêter l’événement que de s’armer de manches de pioches, de barres de fer et autres objets contondants et de commettre quelques massacres absolument gratuits. Des marchands d’armes prévenus on ne sait trop comment accoururent en nombres sur la planète pour proposer leurs camelotes, mais repartirent aussi sec. Tout le monde voulait des armes, mais personne n’avait quoi que ce soit pour les payer.

Cela n’avait pas été rendu public, mais la stérilisation de bébés-éprouvette de sexe féminin n’avait plus été jugé nécessaire depuis de nombreuses années (et en plus cela faisait faire des économies au gouvernement) Aussi, les premières naissances naturelles eurent lieu neuf mois plus tard, Une autre société voyait timidement le jour sans expérience et avec les moyens du bord, et elle ne tarda pas à se morceler en clans rivaux.

Artémise

Sur Simac3, les relations entre Artémise et Pacheco, s’était clarifiées, la fable selon laquelle l’arrivée de cette dernière n’était qu’une avant-garde ne pouvait pas tenir longtemps, celle de la retraite spirituelle non plus. Quand l’ancienne papesse estima que Pacheco ne la chasserait pas du domaine, elle lui expliqua simplement qu’elle était ici en exil sans toutefois lui fournir de détail, ni lui révéler son rang.

Malgré la lenteur avec laquelle circulent les informations dans l’espace, tout finit par se savoir et un beau jour, Artémise apprit que l’anarchie régnait sur Novassa, son ancienne planète. Craignant que cette situation ait pour effet de couper les crédits attribués à la concession, elle fit part de ses craintes à Pacheco. Celui-ci bougonna, mais l’ancienne papesse voulut savoir à quoi exactement le vieux baroudeur avait accès. La surprise fut de taille : héritant des autorisations d’Artémise première du nom et fondatrice de la concession, il avait accès à tout.

Pacheco se rendit compte alors qu’il était potentiellement beaucoup plus riche qu’il ne le croyait.

- Mais ça ne durera qu’un temps, sans recettes le compte de la planète va s’épuiser ! Se lamenta Artémise.
- On peut voir venir, quand même. D’autant qu’on peut faire virer tout ce qui est possible sur un autre compte. Tiens j’ai envie de fêter cette bonne nouvelle !
- Vous voulez à boire ?
- On ne se tutoie plus ?
- Pas tout le temps ! Alors champagne ?
- Non, j’ai envie de vous enculer !
- Mais vous êtes un porc !
- Je vous dis juste que j’ai envie, je ne vous force pas.
- Encore heureux ! Mais dans ce cas, je m’en voudrais de vous décevoir. On fait ça où ?
- Il y a tout le confort ici, fauteuil, canapé…
- Alors, allons-y montre-moi ta bite Pacheco !

C’était justement son intention, il se débarrassa de son pantalon en exhibant un superbe membre en érection.

- Déjà bandé ?
- Et oui !
- C’est l’idée de m’enculer qui te fait bander de si belle façon ?
- On va dire ça comme ça !
- Mais je vais te sucer d’abord !
- T’es vraiment une salope ! Une belle salope !
- Je sais ! Quand je pense que je me suis privée de ce plaisir pendant des années.
- Tu ne pouvais te débrouiller ?
- C’est un peu plus compliqué que ça, mais je n’en parle pas pour l’instant. Quand nous serons de vieux amants je t’expliquerais.
- Parce tu crois…
- Tais-toi, je vais te sucer !

Elle le dit mais ne le fait pas, restant en admiration béate devant ce joli mât de chair où courre une jolie veine bleue et flanqué d’un gland violacé et luisant.

- Ben alors, tu suces ou tu rêves ?
- C’est vraiment très beau une bite !
- Oui, bon, ben faut t’en remettre.

Et tout d’un coup la queue de Pacheco fut dans la bouche d’Artémise. Depuis son arrivée sur Simac3, celle-ci s’était efforcée d’améliorer ses pipes, mais elle n’était pas encore au top. Même Asseb suçait mieux qu’elle, mais c’est vrai que cette dernière avait bénéficié des conseils de ses collègues quand elle était serveuse montante à Faratown. Ce qui fait qu’au bout de cinq minutes Pacheco mit fin à la prestation :

- Je n’en peux plus ! Dessape-toi et mets-toi en position, je vais te foutre ma bite dans le cul !

Alors Artémise après s’être complétement déshabillée, se mit à genoux sur le fauteuil tournée et courbée vers le dossier, les cuisses écartées et les fesses cambrées.

Ainsi installée, tous ses trésors étaient magnifiquement visibles.

- Oh ! Que c’est beau ! S’exclama Pacheco admirant ce petit œillet brun et fripé qui semblait impatient que l’on vienne le visiter.
- Alors t’arrives ?
- Je viens ! Je n’aime pas faire des compliments, mais t’as vraiment un cul de princesse.

« Ah ! Si tu savais qui je suis ! » Se dit l’ancienne papesse de Novassa.
Zarouny39b
Pacheco lui pénétra le fion hardiment et commença à la limer mais au bout d’un moment du bruit venant de la pièce contiguë devint franchement gênant.

- Bon, c’est pas un peu fini, à côté, il n’y a pas moyen de baiser tranquille ! Hurla l’homme.
- Finissons dans ma chambre ! Proposa alors Artémise.

C’est ce qu’ils allèrent faire, mais avant Pacheco voulu savoir ce qui se passait à côté. Ils poussèrent discrètement la porte qui était restée entrouverte et derrière laquelle un spectacle insolite mais non dénué d’intérêt les attendait.

Il faut dire que la pièce en question servait parfois à satisfaire quelques fantaisies sadomasochistes et était équipée en conséquence.

Asseb complétement nue était attachée à une croix de Saint-André et se faisait flageller le cul par cette grande perche blonde de Fanny, elle aussi complétement nue, transpirant de tous ses pores et manifestement particulièrement bien excitée. Asseb, elle semblait en extase sous les coups et en redemandait.

A l’autre bout de la pièce, Constantin, déguisé en fille et attaché sur un chevalet, se faisait sodomiser par Uguett, à l’aide d’un gode-ceinture.

Alors évidemment, tout cela ça faisait du bruit. Cette pièce avait été insonorisée, mais évidemment si on ne ferme pas la porte…

- Ben vous en faites du raffut ! Cria Pacheco.
- Quelqu’un a dû oublier de fermer la porte ! Répondit simplement Uguett tout en continuant de besogner le travesti. Oh ! Mais pourquoi vous êtes à poil tous les deux ?
- Si on te demande…

Fanny infligea encore quelques coups de cravaches sur les fesses d’Asseb puis la détacha.

- Oh la la, elle m’a bien fouetté. Ça m’a fait du bien, mais je suis encore toute excitée. Qui sait qui vient me lécher ?

Fanny lui fit signe d’attendre un peu et s’approcha de Pacheco !

- Ça va, mon gros cochon ? Tu m’as l’air en pleine forme ! Lui dit-elle en s’empara de sa bite. Je peux te la sucer ?
- J’étais en train d’enculer Artémise, mais avec ce bruit.
- On ne fera plus de bruit, je vais te la sucer un peu comme ça tu vas pouvoir lui remettre dans le fion.

Et c’est ce qu’elle fit sans attendre son approbation.

Pendant ce temps une idée bien salace vient à l’esprit d’Uguett qui la souffle dans l’oreille de Constantin. Ce dernier approuve ce qu’elle lui suggère mais avec une petite réserve.

- J’aurais bien aimé que tu continues à m’enculer avec ton gode !
- On reprendra après, ça n’en sera que meilleur ! Lui dit-elle en le détachant

Constantin que l’on devrait plutôt en ce moment appeler Constantine, se redresse, c’est qu’ainsi attifé, il ne manque pas d’allure, le visage maquillé, bleu aux paupières et rouge aux lèvres, le crane recouvert d’une perruque blonde avec de jolies bouclettes. Bas résilles rouges et porte-jarretelles assorti sont les seuls vêtements qu’il porte sur son corps entièrement épilé.

Il contourne Pacheco et vient lui flatter les fesses.

- Qu’est-ce que tu viens foutre ?
- Tu n’aimes pas que je te caresse les fesses ?
- Tu ne vois pas que je suis déjà en main ?
- Arrête de rouspéter et laisse-toi faire !

Constantin se mouille l’index et l’introduit dans le cul du vieux baroudeur et le fait aller et venir.

- C’est bon, mon doigt dans ton cul ?

Pacheco n’ose pas avouer qu’il adore ça !

- Encule-le, il en meurt d’envie ! Intervient Uguett.
- Oui, oui, vas-y ! Renchérit Fanny.
- Mets toi en position, Pacheco, je vais te prendre ! Demande Constantin.
- Mais enfin, c’est quoi ce cirque ? Qui c’est le chef ici ? Plaisante ce dernier tout en se mettant en levrette, le cul dressé, attendant l’assaut.
- Regarde moi ce gros cochon qui va prendre une bite dans le cul ! Rigole Uguett.
- Il ne devrait pas la sucer un peu avant ? Propose Fanny.
- Si si ! Approuve Constantin, mieux elle est bandée, mieux elle passera !
- Ben alors, les filles qu’est-ce que vous attendez pour le sucer ? Répond Pacheco.
- Non, non c’est celui qui se fait enculer qui doit sucer !
- Ah, bon ? C’est obligatoire ?
- Non, mais ça fait partie des bons usages.
- Des bons usages que vous venez d’inventer, mais puisque ça a l’air de vous faire tellement plaisir… Amène ta bite Constantin je vais te la sucer bien comme il faut.

Pacheco aimait parfois se faire prier mais depuis qu’il avait découvert (bien tardivement comme nous l’avons vu dans les chapitres précédents) ce plaisir subtil, il en raffolait et c’est donc avec délectation qu’il fit grossir dans sa bouche la queue du mignon travesti.

Puis Constantin l’encula sous les encouragements plus ou moins salaces des deux femmes de service. Pendant ce temps, Asseb faisait patienter Artémise en lui léchant le fion.

Quand Constantin eut pris son pied dans le fondement de Pacheco, il se fit nettoyer la bite par Fanny qui goutait parfois ce genre de privauté.Et c’est la bouche encore pleine de sperme qu’elle roula un patin à Uguett.

Quelques minutes plus tard, c’est Pachéco qui jouissait à son tour dans le cul d’Artémise, laquelle sortit de l’épreuve pantelante mais enchantée et ravie.

On trinqua ensuite ! Ce fut juste une pause, car si ces messieurs étaient épuisés, ces dames ne l’étaient point. Manifestement ils étaient joyeux tous les six. Pacheco se rendit alors compte qu’il n’était plus vraiment le chef de cet étrange communauté, c’était juste l’ancien, le vieux, que l’on respectait mais qu’on charriait aussi quelque fois comme on charrie quelqu’un qu’on aime bien. Pacheco se dit alors qu’il n’avait jamais été aussi heureux.

Fanny s’approcha une nouvelle fois d’Uguett et tout en lui caressant les seins, lui chuchota à l’oreille :

- Je crois qu’on a trouvé une super place !

Et Zarouny ?

Quand le Kiribati atterrit sur Vargala station, ce fut le moment de la dispersion et des adieux. Le capitaine Aaven avait pour mission de remettre les douze filles échappées de Simac3 aux services sociaux de la planète. Le souci c’est que sur Vargala, il n’y a pas vraiment de service social ! Alors ce fut le système débrouille, sur cette planète, une jolie femme ne reste pas longtemps au chômage. Certaines de celles qui avaient les compétences nécessaires et il n’y en avait peu restèrent sur le vaisseau comme le firent également Kiffer et Enrique.

Quant à Aréna et aux autres novassiennes, on les escorta jusqu’aux champs voisins, toujours en recherche de main d’œuvre, une situation qui leur permettrait peut-être de s’adapter.

De son côté, Morgan fut sollicité pour conserver son poste sur le Kiribati. Il ne répondit pas de suite, mais comprit alors qu’il lui faudrait se séparer de Zarouny. Il n’allait pas rester sur Vargala à ne rien faire, et personne n’embaucherait Zarouny qui n’avait aucune compétence en matière de navigation spatiale. Le destin allait donc les désunir.

Les deux jeunes gens étaient descendus dans le bouiboui de Winah. Cette dernière avait accepté d’héberger provisoirement Zarouny à condition qu’elle donne un coup de main en cuisine et en salle. Elle ne put qu’accepter.

- Faudra que tu te trouves autre chose ! Lui dit Morgan.
- Trouver quoi ? Je ne sais rien faire !
- Tu peux apprendre !
- Si j’en ai l’opportunité, pourquoi pas ?
- Dans les champs, ils ont toujours besoin de monde.
- Je vais voir…

Une solution qui ne disait rien à Zarouny, elle avait depuis sa rencontre avec Morgan évolué considérablement, mais de là à aller travailler dans les champs, elle qui avait été la suivante d’une grande prêtresse, et chargée de mission de la Papesse, elle qui après la fausse prophétie de la déesse se voyait déjà Papesse de Novassa.

Morgan voyant les hésitations de la jeune femme en ajouta une couche :

- Je connais Winah, c’est une brave femme, mais un jour elle va te souffler dans l’oreille qu’un client de la salle ne serait pas contre un petit câlin en échange d’un petit supplément…
- Ah, c’est comme ça que ça se passe ici ?

Pendant quelques instants, Zarouny sembla perdue dans ses réflexions, avant de reprendre.

- Ça ne me tueras pas, et puis ça me fera de l’argent de poche !
- Je ne voudrais pas que tu croies que je t’ai amené ici…
- Bon, ça va, tu ne vas pas me faire la morale, tu sais je ne connais pas bien les hommes, mais je connais bien les femmes, Winah n’est plus toute jeune, je crois que dans quelques temps je pourrais lui proposer une sorte d’association, son bordel on peut le rendre moins miteux, plus convivial, plus festif, je crois que je saurais faire.
- Mais nous deux…
- Soyons réalistes, on s’aime, mais on ne s’aimera pas toute notre vie. On va être séparé, je vais rencontrer d’autres hommes ou d’autres femmes, toi aussi tu vas connaitre d’autres gens. C’est la vie qui est comme ça. Mais à chaque fois que tu débarqueras ici tu auras toujours une place dans mon cœur et dans mon lit. Pourquoi tu pleures ?
- Je ne pleure pas !
- Alors viens m’embrasser, grand couillon !

Leiris

Leiris avait reconstitué une équipe pour naviguer à bord du Vienna, il avait embarqué Enzo, sans aucune fonction officielle. Il pouvait désormais utiliser les fameux logiciels de navigation si convoités (voir Vargala station). Il n’en abusa pas, ne tenant pas à se faire trop remarquer, mais se construisit rapidement une solide réputation et une confortable fortune. Un jour on perdit sa trace, mais d’aucuns affirmèrent l’avoir aperçu sur Simac3 au milieu d’une immense résidence en compagnie d’une poignée d’amis, hommes et femmes. Ceux qui se risquaient à demander comment il occupait ses journées, s’entendait répondre que Leiris s’efforçait de rencontrer les personnes qu’il avait connu dans le cosmos afin de compléter la rédaction de ses mémoires.

Ces mémoires publiées en trois tomes, vous les avez en ce moment entre les mains, chers lecteurs !

Et on va dire que c’est la FIN

Nicolas Solovionni © vassilia.net, décembre 2017

Annexe : principaux personnages

1. Abel Sorenian : Espion infiltré à bord du Vienna
2. Andersen : Responsable de l’astroport de Simac3
3. Aréna : Novasséenne prise en otage par Morgane et Zarouny avant de collaborer avec eux
4. Artémise III, ancienne papesse de Novassa, exilée volontaire sur Simac3
5. Asseb : Première suivante d’Artémise, l’accompagne sur Simac 3
6. Brice Blaise : lieutenant fédéral de la police galactique, chargé de l’enquête sur le piratage du Siegfried7
7. Constantin William : cadet de la marine spatiale civile, viré du Siegfried 7, il sympathise avec Fédora
8. Darius Polmer : colonel de la police fédérale, chargé de coordonner l’enquête sur le piratage du Siegfried7
9. Enzo Antonelli : cadet de la marine spatiale civile. S’est initié sur Vargala au transsexualisme temporaire, porte le nom de Bianca quand il se transforme. Adjoint de Leiris Misdas sur le Vienna
10. Eymone Pierra : équipière à bord du Stratus
11. Fanny : Grande blonde, membre de l’équipage de Pétra Van Yaguen, passe au service d’Artémise
12. David Denzel : gouverneur de Mabilla
13. Fédora Ivanova : aventurière terrienne, fausse comtesse, vraie musicienne et semi mondaine.
14. Florentine MacSteven : cadette de la marine spatiale civile, sympathise avec Rachel à bord Siegfried
15. Georgia : Maitresse de David Denzel, le gouverneur de Mabilla
16. Gertrud Long : Responsable d’assurance et chargée de l’enquête sur le piratage du Siegfried7 après l’abandon de l’affaire par la police
17. Graana : milicienne Tigrane envoyée « en stage » sur Novassa, deviendra la suivante de Malvina
18. Héka Lipanska : maîtresse de Murenko sur le Fly28, puis coéquipière de Leiris Misdas sur le Vienna
19. Jo kiffer : Capitaine retenu sur Novassa, en fuite
20. Juliana Vogt : patronne du principal hôtel de Mabilla
21. Karita : Favorite du harem de Juan Pacheco sur Simac3
22. Kéni Nigelson : fille du bourgmestre d’Olvenne sur Katelya. Devenue patronne de bordel sur Vargala
23. Leiris Misdas : cadet de la marine spatiale civile, puis Capitaine du Vienna
24. Malvina Cooper : amie de Kéni sur Katelya. Exilée de force sur Novassa
25. Mark Greenwood : collaborateur de Gertrud Long dans son enquête sur le piratage du Siegfried7
26. Morgan Rey : cadet de la marine spatiale civile, puis second de Murenko sur le « Stratus »
27. Murenko (Yassaka) : médecin de l’équipage du Fly28, puis capitaine du « Stratus »
28. Nakura : Eurasienne, l’une des évadées du harem de Pacheco, prendra place sur le Kiribati
29. Nicérus : Gérant de cabaret sur Vargala, a fourni un emploi de décoratrice à Rachel
30. Olivia : secrétaire très particulière de Nicérus
31. Paavo Aaven : Capitaine du vaisseau « le Kiribati ».
32. Pablo Schmidt : Responsable de l’astroport de Mabilla
33. Pacheco (Juan) : Ancien membre de la garde stellaire, ayant eu quelques ennuis et disposant d’une retraite dorée sur Simac3
34. Poupette : prostituée travaillant chez Winah à Vargala-station
35. Rachel Bernstein : cadette de la marine spatiale civile
36 -Reynold Baranchnik : Capitaine de vaisseau et amoureux de Florentine
37. Schlumberg : homme de main de Winah
38. Sovona : l’une des évadées du harem de Pacheco
39. Tatiana : l’une des évadées du harem de Pacheco
40. Tégula-Lili : Médecin du bord sur le Vienna
41. Uguett : Petite brune d’origine indienne, membre de l’équipage de Pétra Van Yaguen, , passe au service d’Artémise
42. Winah De Boer : blackette mature, tenancière d’un bar louche sur Vargala, amie de Murenko
43. Vorion (Anton Vorionopoulos, dit Vorion) : l’un des parrains de la mafia de Vargala
44. Zarouny : suivante de Malvina sur Novassa. Chargée par la papesse de surveiller cette dernière, puis se rapprochera de Morgan

Les vaisseaux

1 – Le Kiribati : Capitaine Paavo Aaven
2 – Le Stratus : Capitaine Yassaka Murenko
3 – Le Vienna : Capitaine Leiris Misdas

Les planètes

1 – Mabilla : Colonie terrienne éloignée avec pour seule ressource des sphères aquatiques très recherchées. C’est sur cette planète que s’est posé le Siegfried 7 afin de faire une escale technique.
2 – Novassa : La planètes des tigrannes gouvernée par une matriarchie féministe
3 – Simac3 : Planète occupée par de richissimes résidents. Possède une île autonome rattachée administrativement au gouvernement de Novassa, mais occupée illégalement par Pacheco et son harem
4 – Vargala : Planète de tous les plaisirs et de tous les trafics. Port d’attache de la plupart des protagonistes de ce récit.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 18:21

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 38- Héka et Juliana par Nicolas Solovionni

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Thémes abordées :  feuille de rose, lesbos, science fiction, uro.

38- Héka et Juliana

Héka

Ayant réussie à trouver une place de passagère à destination de la planète Mabilla, Héka y débarqua un beau jour avec son gros baluchon et s’en fut directement à l’hôtel tenu par Juliana.

Cette dernière ne dissimula pas sa surprise :

- Toi !
- Ben oui, moi !

En quelques mots, Héka expliqua les raisons de sa présence ici, en édulcorant un petit peu le récit, tout de même.

- Tiens, j’ai une photo, le type disait s’appeler Abel Sorenian, mais c’est sans doute une fausse identité.
- Fais voir… Oui, j’ai vu cette tête là quelque part mais où et quand c’est une autre affaire ! C’était il y a plusieurs semaines en tout cas.

Flash-back

Après la bataille sur le tarmac de Mabilla entre l’équipage du Vienna et le détachement policier de l’infâme lieutenant Blaise, Abel Sorenian s’était retrouvé seul et désemparé.

Par précaution, il attendit que le Vienna décolle pour agir, chapardant de la nourriture pour subsister. Il s’adressa ensuite à la police locale où il fut reçu par un sous-fifre !

- Je devais, voyez-vous, réembarquer sur le vaisseau du lieutenant Blaise, mais comme il y a eu l’incident que vous savez, ils m’ont carrément oublié !

Sorenian n’aurait jamais dû dire ça. Le fonctionnaire l’envoya vertement promener :

- La police n’a rien à voir là-dedans, on ne peut rien pour vous.
- Mais qu’est-ce que je vais faire ?
- Ce n’est pas mon problème, foutez-moi le camp… et allez vous laver, vous sentez la serpillère.

Abel, désespéré se mit alors à faire le tour des hôtels, des restaurants, des bistrots où il offrit en vain ses services, c’est à cette occasion que Juliana l’avait rencontré, elle n’avait rien à lui proposer.

L’officier de police rendit compte à son chef. Pas content, le chef !

- Un type en accointance avec cette ordure de Blaise et vous l’avez laisser filer !
- Euh !
- Euh quoi ? Si la résistance apprend ça, on va encore en prendre plein la gueule ! On a sa photo ?
- Oui, en principe !
- Faites le rechercher, retrouvez-le et assignez-le à résidence dans un champ de patates, le plus loin possible. Soyez discret, je ne veux aucune publicité, aucune trace !

Sorenian fut facilement arrêté, puis exilé. Il s’évada quelques jours après et s’engagea dans la jungle locale dont il ignorait les dangers. Nul ne sut ce qu’il advint ensuite de lui.

Fin du flashback

- La police sait peut-être quelque chose ? Suggéra Juliana.
- O.K, j’irais voir, je voudrais prendre une chambre et manger un morceau.
- Pas de problème !
- Sinon, le gouverneur, il va bien ? Demande Héka.
- En pleine forme, c’est devenu un copain, on se rencontre régulièrement. Je pense qu’il serait content de te revoir.
- Pourquoi pas ! Tu n’es pas jalouse ?
- Oh lala pas du tout. Viens je vais te montrer ta chambre. Tu comptes rester combien de temps ?
- Aucune idée.

Ils montèrent

- Voilà, c’est ma meilleure chambre ! Le lit est génial, on peut y faire de bonnes ronflettes et pas mal d’autres choses aussi !

Une plaisanterie gratuite ou un appel du pied ? Héka aurait bien voulu en avoir le cœur net et osa se lancer :

- J’ai toujours à l’esprit, le souvenir de notre rencontre chez le gouverneur, c’était un moment délicieux !
- On était un peu folles !
- C’était bon, c’est le principal… Mais ça avait commencé comment ?
- Tu m’avais tapé dans l’œil ! Répond Juliana. Alors j’ai tenté un truc je t’ai parlé de ma poitrine, en te disant que je la trouvais trop grosse.
- C’est ça, et tu me l’as montré, et je l’ai embrassé.

Juliana hésite puis dans un souffle :

- C’est vrai, j’avais bien aimé ce qu’on avait fait ensemble ! Dit-elle avec une mimique nostalgique.
- T’aimerais recommencer ?
- Ben oui !
- T’es lesbienne ?
- Non, mais j’aime bien la compagnie de certaines femmes. C’est tellement plus doux qu’avec les hommes.

Héka était dubitative, si Juliana venait de se livrer à un véritable appel du pied, elle-même était en ce moment assez peu motivée.

- Et toi ? Insista lourdement Juliana.
- Moi c’est un peu pareil. Répondit Héka sans trop de conviction.
- Je suis un peu en manque en ce moment.

Héka se dit qu’elle pouvait toujours prétexter une grosse fatigue, mais d’un autre coté avoir une alliée dans la place n’était pas une mauvaise chose, et puis la libido, c’est un peu comme l’appétit, ça vient en faisant, et de toute façon ce ne serait pas une corvée.

Alors elle offrit ses lèvres à Juliana qui n’attendait que ça.

- Je vais prévenir mon employée que je vais rester occupée un moment.

Héka profita de l’absence momentanée de l’hôtelière pour se déshabiller complètement. Quand Juliana revint, elle la trouva assise sur la cuvette des toilettes, les cuisses écartées et en train de pisser.

- Oh ! S’écria-t-elle.
- Un problème ?
- Pas du tout, mais ne t’essuie pas !
- Coquine ! Moi je veux bien, mais si je ne fais pas que pipi ?
- Pas grave, quand je nettoie, je nettoie.
- Cochonne !
- Non, seulement quand je suis très excitée.
    Zarouny38b    Héka se releva et offrit sa jolie chatte à sa complice du moment, et cette dernière s’acquitta de sa tâche avec beaucoup d’application.

- Je vais me rincer la bouche ! Annonça-t-elle.
- Embrase-moi d’abord !
- Comme ça ?
- Bien sûr !
- T’es encore plus cochonne que moi !
- Embrasse-moi, je te dis.

Juliana était partagée, elle aurait volontiers prolongé ces jeux délicieusement pervers dont ce baiser doré était l’illustration, mais en même temps elle avait surtout besoin de douceur, de sentir la caresse d’une peau, la chaleur d’un corps lové contre le sien, alors elle se dépoitrailla.

- Ils te plaisent toujours autant mes gros nichons ?
- Je vais te les bouffer ! Répondit Héka en portant son dévolu sur son téton gauche qu’elle se mit à sucer avec frénésie.
- Oh lala qu’est-ce que tu me fais ?
- Ne bouge pas, je m’occupe de l’autre !
- Tu fais ça trop bien !

Héka s’enivrait de la texture particulière de ces jolis tétons bruns maintenant érigés et durcis.

- Donne-moi les tiens, supplia Juliana.

La rousse se laissa faire en appréciant comme il se doit la douce langue de sa partenaire.

- Fais-moi voir ton cul ! Demanda Héka au bout d’un moment.
- Il n’a rien d’extraordinaire !
- Je m’en fous, j’aime bien les culs !
- Dans ce cas ! Fit-elle en exhibant son popotin.

Héka se mit à lui peloter les fesses, à les embrasser et à les lécher. Puis elle les écarta, sa langue s’approchant stratégiquement du petit œillet brun. Evidemment Juliana devina ses intentions.

- Attends, je vais me rincer.
- Pourquoi faire ?
- C’est peut-être pas tout à fait net, moi ça ne me dérange pas, mais…
- Ne t’inquiète pas, j’aime bien les culs « naturels » !

Effectivement, le cul de Juliana avait une odeur de cul, Héka ne détestait pas cette odeur, surtout quand elle était bien excitée, et excitée, elle l’était maintenant et pas qu’un peu depuis qu’elle avait sucé les seins de l’hôtelière.

Ainsi sollicité, le trou du cul ne tarda pas à s’ouvrir légèrement, Héka y enfonça un doigt et le fit aller et venir.

- Oh, c’est trop bon ce que tu me fais !

Encouragée la belle rousse doigta de plus belle, jusqu’à ce qu’elle en attrape une crampe, elle ressortit un doigt taché de légères traces brunâtres qu’elle fit disparaître en les léchant dans sa bouche.

- J’ai les doigts qui fatiguent, dommage que tu n’as pas un petit gode !
- J’en ai un, mais j’ai un truc encore mieux, je vais te montrer, bouge pas, je reviens.

Quelques instants plus tard, Juliana revenait avec un chapelet de boules de geisha.

- Tu connais ?
- Hé, hé ! Je te les mets ?
- Vas-y !

Héka approcha la première boule de l’anus de l’hôtelière, sans parvenir à la faire péntrer.

- Ouvre toi au maximum !
- Vas-y pousse, donne un coup sec.

La boule entre, les quatre autres finissent par entrer à leur tour au bout d’un certain temps. A présent seule la ficelle dépasse de façon insolite.

- Attention, je vais tirer !
- T’étonnes pas si je gueule !

Héka tira un coup sec, la première boule sortit provoquant un premier spasme de Juliana. Sans lui laisser le temps de se remettre la rousse continua de tirer, laissant quand le chapelet fut intégralement sorti, l’hôtelière à moitié groggy de plaisir

- Oh, ça va ? Tu vas t’en remettre ?
- Viens donc m’embrasser !

Elle ne se fit pas prier. Juliana proposa ensuite à sa partenaire d’inverser les rôles, ce fut donc au tour du cul d’Héka d’absorber puis de relâcher les petites boules magiques.

Les deux femmes épuisées laissèrent passer quelques minutes avant que Juliana fasse part de son intention d’aller faire pipi.

- Ça te dirait de me pisser dessus ? Proposa Héka
- Mais avec plaisir, ma chère !

Elles s’installèrent dans la salle de bain.

- Tu veux que je te pisse où ? Tu veux boire ?
- J’ai justement un peu soif ! Ironisa la jolie rousse.
- Alors on ouvre bien la bouche !

Quelques secondes d’attente et de concentration et tout d’un coup, ce fut les chutes du Niagara. Juliana ne parvînt pas à contrôler son débit, Héka avale ce qu’elle peut en manquant de s’étouffer, ça dégouline à côté, il y en a partout !

Les deux femmes partent dans un grand éclat de rire, Héka se badigeonne le corps avec l’urine et les deux femmes, faisant fi de l’inconfort du lieu emmêlent leurs bouches et leurs chairs en un ballet infernal.
Zarouny38a
C’est presque « naturellement » qu’elles se retrouvent en soixante-neuf, chacune léchant le sexe humide de l’autre jusqu’à se faire jouir en une frénésie diabolique.

- Quel pied ! Commenta Juliana.
- Quand je pense que je n’avais pas trop envie !
- Ben tu vois !

Grand moment calme où les deux femmes ne disent plus rien, puis il faut bien se relever et quitter ce carrelage inhospitalier.

Une douche bien sûr, qu’elles prirent ensemble, s’amusant à se caresser les fesses et les seins avec le gel de toilette.

- On recommencera ? Demande Juliana.
- Mais bien sûr, ma chérie !

Ce n’est qu’après une bonne sieste qu’Héka demanda à l’hôtelière de lui indiquer quelques pistes susceptibles de lui faire retrouver la piste d’Abel Sorenian

Mais de pistes, il n’y en avait guère. La police peut-être ?

Sur place un type lui expliqua, après qu’elle lui eut graissé la patte, que Sorenian avait été exilé par précaution dans les terres agricoles, et qu’il s’en était échappé.

- Aucun véhicule n’a été dérobé, il a donc pénétré dans la jungle à pied. Là-dedans personne ne peut survivre. Trop de bestioles, trop difficile de s’abriter et de se nourrir. Votre bonhomme doit être considéré comme mort !
- C’est une certitude ?
- Une quasi certitude.

Dépitée, elle revint à l’hôtel.

- Tu en tires une tronche ! Lui fit remarquer Juliana.

Elle lui expliqua.

- J’ai la rage ! Je suis venue ici pour rien, je ne vais quand même pas aller chercher ce connard dans la jungle.
- Tu vas faire quoi ?
- J’en sais rien, je n’avais pas beaucoup d’argent devant moi, j’en ai pas mal claqué pour venir ici, je n’ai pas assez pour le voyage du retour vers Vargala, faudrait qu’un vaisseau me prenne dans ses équipages. Je vais attendre.
- Et là-bas tu vas faire quoi ?
- Aucune idée, faut que je réfléchisse, mais je ne retournerai pas dans l’espace, je suis dégoûtée.

Juliana sentit que la jolie rousse avait envie de parler et l’encouragea à le faire.

- J’avais un projet, un gros projet, j’avais la possibilité de m’emparer d’un kit logiciel de navigation de l’armée. Des trucs ultras secrets qui se sont retrouvés au marché noir… je passe. Le gars qui les avait achetés les a légués au capitaine du Vienna. Je voulais m’en emparer… D’accord, c’est pas trop terrible comme démarche, mais d’un autre côté je me voyais déjà capitaine de vaisseau, célèbre, riche, respectée, adulée. Je voulais tellement ces trucs que j’étais prête à toutes les magouilles.

Héka essuya une larme.

- Ne pleure pas, raconte-moi tout !
- Je me suis procuré une drogue afin de neutraliser le navigateur du Vienna de façon à ce qu’un type qui devait devenir mon complice prenne sa place. En fait non seulement ce type était manipulé par les flics, mais il s’est révélé être le pire des salauds !
- Sorenian ?
- Oui ! Non seulement il nous a piégé en nous faisant atterrir sur Mabilla où les flics nous attendaient…
- Je ne suis plus bien, là ?
- C’est une autre histoire, je te la raconterai plus tard.

Le lecteur attentif se souviendra que Sorenian était en fait une taupe de l’ineffable lieutenant Blaise, un officier de police mandaté pour retrouver des pirates du cosmos et qui pistait par erreur le Vienna, le vaisseau dans lequel se trouvait Héka. Mais grâce à ces fameux logiciels si convoités, l’équipage put venir à bout des policiers. Tout le monde suit ?

- Le plus grave, continua Héka, c’est que le navigateur que je devais juste mettre hors service quelques semaines sans qu’il n’ait de séquelles est maintenant handicapé du cerveau à vie ! Et de ça, j’en suis malade !

Héka fondit en larmes, Juliana tenta de la consoler en allant lui chercher un verre d’eau et lui passa une serviette froide sur le visage.

Ce n’est qu’après un petit moment que Juliana lui parla d’autre chose :

- Je me suis permise de signaler ta présence au gouverneur. Il t’invite à diner ce soir. Tu acceptes ?
- Je sais pas, j’ai envie de rien
- Ça te changera les idées !
- Tu parles, il va me sauter, oui !
- Il n’a jamais violé personne, c’est un homme très respectueux, on gagne beaucoup à le connaître.

« Ma parole elle est amoureuse ! » Pensa Héka

- Tu es invitée aussi ?
- Non !
- Je ne comprends pas bien !
- Je t’expliquerai, mais plus tard ! Je lui réponds que t’es d’accord ?
- Ben ouais

Une barge vint chercher Héka en fin d’après-midi pour la conduire à la résidence du gouverneur de Mabilla, David Denzel.

- Héka, que je suis heureux de vous revoir, qu’est-ce qui me vaut l’honneur de cette visite sur notre planète ?

Elle lui livra une version abrégée et édulcorée des raisons de sa présence sur Mabilla. Manifestement, le gouverneur n’avait pas été mis au courant de l’affaire Sorenian.

- T’étais au courant, Georgia ? Demanda-t-il à sa peu farouche secrétaire et conseillère.
- Pas du tout ! Je suppose qu’il s’agit d’une initiative de la police, ils ont dû penser que ce mec était une menace pour l’ordre public et en même temps ils ont sans doute voulu le protéger.
- Tu pourras t’arranger pour en savoir plus ?

Une soubrette en tenue d’opérette vint alors annoncer que le repas était servi. Ce n’était pas un repas en tête à tête, mais à trois avec Georgia.

Après quelques charcuteries locales, on apporta une drôle de bestiole servie en rôtie

- Du kranfoul ! Précisa le gouverneur, une espèce de gros lézard stupide.
- Hum, c’est délicieux, et ça on dirait des pommes de terre ?
- Une variété locale, en fait ce sont des patates terriennes qui ont mutées.

Bref ils se régalèrent d’autant que tout cela était accompagné d’un petit vin plus que buvable.

Il fallut bien meubler la conversation, alors le gouverneur narra les évènements récents survenus sur la planète puisqu’Héka n’en connaissait qu’une partie.

On dégusta un excellent gâteau glacé en dessert, puis Danzel proposa que l’on passe au salon pour le thé

à suivre.

 
Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 18:18

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 37 – Les noces de Vorion par Nicolas Solovionni

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Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, party, science fiction, transsexuelles, uro. 

Nicérus

Nicérus n’aimait pas Phissu, son visage de fouine et son air de faux-cul, c’était viscéral. Quand celui-ci lui intima l’ordre (car s’en était bien un) de se rendre au banquet donné le soir même par Vorion et de venir en compagnie de Rachel, d’abord il ne comprît pas, puis attrapa une véritable trouille.

Vorion pouvait être un homme très dangereux, mais Nicérus ne voyait aucune échappatoire à cette surprenante invitation. Il demanda à Rachel de l’accompagner en lui dissimulant son inquiétude et donna quelques instructions à Olivia au cas où « ça tournerait mal ».

- Pourquoi tu t’inquiètes, il n’y a jamais de crime sur Vargala.
- Non, mais il y a pire !

Jamais de crimes ! Voilà qui est de nature à surprendre le lecteur non averti.

En résumé : les découvertes effectuées par les corsaires de l’espace sur des planètes inconnues sont souvent récupérées soit par le gouvernement fédéral soit par les grands trusts qui le soutiennent. Ces derniers ont donc tout intérêt non seulement à tolérer les activités douteuses des corsaires, mais à les encourager. Encore faut-il que ces braves équipages ne passent pas leur temps à s’entretuer.

Le gouvernement eu alors une idée géniale, il soudoya royalement le capitaine corsaire qui semblait avoir le plus de charisme, ce dernier fort de cet appui et des avantages que cela lui procurait, ne tarda pas à devenir le leader de la pègre locale, il se débarrassa de quelques rivaux avec lesquels il n’avait pas envie de composer, puis réunit les autres et leur tint cet étrange discours.

- Plus d’agression entre nous, par contre si l’un d’entre nous est attaqué, il sera immédiatement châtié. Mais personne n’a besoin de savoir qui fait partie ou pas de notre association, les châtiments ne seront pas exécutés par les nôtres mais par des hommes de mains que nous paieront, il faudra donc que nous nous cotisions et qu’ensuite nous faisons en sorte de convaincre le maximum de personne d’adhérer à notre cause.

Ce jour-là la mafia locale était née, et tout le monde trouvait avantage à ce que cette charte soit respectée. Les règlements de compte existaient toujours mais se pratiquaient autrement. (Pour plus de précisions voir le tome 1 chapitre 3)

Quand la comtesse Fédora se présenta au restaurant de la Salamandre on lui indiqua que le dîner de Monsieur Vorion aurait lieu au premier étage dans le « salon royal ». Le salon en question était pour le moment fermé et plusieurs personnes en attendaient l’ouverture dans l’antichambre. Elle ne vit ni Vorion, ni Gertrud, mais aperçut Rachel en compagnie d’un homme. Quelque peu surprise, elle s’avança vers elle.

- Je vois que tu es invitée aussi ! Lui dit-elle, consciente de la platitude de cette entrée en matière.
- Oui mais on ne sait pas pourquoi, je te présente Monsieur Nicérus, c’est mon patron.
- Enchanté, vous êtes éblouissante ! Répondit l’homme en tentant de dissimuler son angoisse.
- N’exagérons rien !
- Non, non, je suis sincère, j’ignore pourquoi je suis invité ! Vous le savez, vous ?
- Une vague idée !
- Mais encore ?
- Rien de précis ! Vous les connaissez tous ces gens ?
- De vue, la plupart.

Nicérus lui détailla discrètement toutes ces personnes, Il y avait là Phissu, la redoutable petite main de Vorion, accompagné d’une bombe blonde aux formes avantageuses, Sligo, un grand black, l’homme de tous les trafics, accompagné d’Honeysuckle Rose, l’une des plus belles transsexuelles de Vargala, et Maussé, dit « le roi des faussaires », lui aussi avec un canon à la peau couleur de chocolat. Il avait trois autres couples dont Nicérus ne connaissait pas les noms, mais tous les invités n’étaient pas encore arrivés

Un loufiat perruqué vint ouvrir les portes.

- Si ces messieurs dames veulent bien prendre place, selon le plan de table.

Fédora trouve sa place à gauche de celle réservé à Vorion, Rachel et Nicérus sont en bout de table, côte à côte.

Tout le monde s’observe en silence et soudain la musique de la marche nuptiale de Mendelssohn retentit. Vorion apparaît en smoking à l’ancienne, à son bras se tient Gertrud toute fraiche sortie du coiffeur et de la maquilleuse, revêtue d’une élégante robe rouge bien décolletée et parée de bijoux.

« C’est quoi ce cirque ? » se demande la comtesse. »

Tous les convives se lèvent comme un seul homme.

- Asseyez-vous mes amis ! Je crois que la plupart d’entre vous ne connaissent pas cette femme délicieuse ! Je vous présente donc Gertrud.
- Bonjour m’sieur dames ! Ajoute l’intéressée…

Tandis que les serveuses habillées en soubrettes d’opérette, remplissaient les verres de chaque convive du meilleur champagne, Vorion reprit la parole :

- J’ai deux informations à vous communiquer : la première est du genre agréable et nous sommes là pour la fêter ensemble. Alors disons que j’en avais un peu marre de la vie de célibataire…

 » Non, je n’y crois pas ! » se dit Fédora, devinant la suite.

- …Donc je vous ai présenté Gertrud, elle sera ma compagne, mais nous conserverons tous les deux notre liberté.

Et toute la compagnie d’applaudir avec un enthousiasme plus ou moins sincère. Gertrud en est émue jusqu’aux larmes. Fédora ne comprend toujours pas le but de ce qui pour elle ressemble à une mauvaise farce. Rachel n’y comprend pas grand-chose non plus, mais se dit que voir la Gertrud s’unir avec Vorion est probablement une bonne nouvelle ! Quant à Nicérus, toujours aussi angoissé, il attend cette fameuse seconde information.

- Vous lui devrez respect et obéissance tous autant que vous êtes. Et maintenant levons notre verre et buvons !

Ce que tout le monde fit.

- Deuxième information !

Vorion regarde en direction de Rachel, Nicérus se sent mal.

- J’ai décidé, uniquement parce que c’est mon bon vouloir d’assurer protection à Raquel Palomito ici présente. Raquel est employée chez mon ami Nicérus où elle effectue de très jolis dessins. J’invite d’ailleurs ceux qui ne le connaissent pas ses talets à se rendre dans le cabaret de Nicérus. Mais revenons au sujet : Si quelqu’un vous cherche des noises, Raquel, n’hésitez pas à venir me trouver, moi ou mes adjoints. Vous tous, si vous entendez en ville des gens venus d’ailleurs ou même des gens d’ici qui s’intéressent de trop près à elle, en posant des questions indiscrètes, vous appliquerez le plan P. Pour ceux qui ignorent ce qu’est le plan P, ça veut dire à terme : direction la presqu’ile des exclus.

Là, Gertrud commence à se poser des questions.

« Je ne comprends pas tout mais il y du Fédora là-dessous, faudra qu’elle m’explique ! »

- Qu’est-ce que je demande en échange ? Poursuivit Vorion. Eh bien rien du tout ! C’est une protection absolument désintéressée ! Comme je vous l’ai dit, Raquel travaille actuellement chez Nicérus et je compte sur lui pour la chouchouter comme il se doit, j’aime bien que l’on chouchoute mes petites protégées. Je lève mon verre à Raquel et aussi à Nicérus par la même occasion. Euh, mesdemoiselles, si nous voulons lever nos verres, il faudrait nous les remplir, certains ont déjà vidé le leur comme des soiffards.

Cet aparté provoqua un rire poli de l’assistance.

Nicérus se sent soulagé, enfin presque soulagé parce qu’avec Vorion rien n’est jamais gagné définitivement.

- Et maintenant, bon appétit !

Vorion embrasse goulument Gertrud, puis délivre un chaste bisou à Fédora :

- Je crains de ne pas avoir tout compris ! Lui chuchote cette dernière
- Je te ferais une explication de texte dès que nous en aurons l’occasion.

L’occasion ne se présenta pas de suite, on demanda à Vorion quels étaient ses projets immédiats.

- Je vais sans doute me retirer quelques jours dans ma résidence d’été pour profiter de ma charmante compagne. Ça te convient Gertrud ?
- Mais certainement, mon chéri !

« Mais qu’est-ce qu’ils nous font ces deux-là ? » se demande Fédora qui s’impatiente de comprendre.

Il se passa ensuite ce qui se passe toujours quand la table est trop grande : les conversations s’éparpillèrent, chacun discutant avec son voisin de gauche ou de droite suivant les affinités. A ce petit jeu Nicérus n’intéressait personne, Rachel n’acceptait de parler que peinture et dessin avec son voisin. Fédora largua le sien qui rapidement s’était avéré extrêmement lourd.

Heureusement les plats étaient délicieux et le vin d’excellente facture.

Au moment du dessert deux danseuses pénétrèrent dans la salle et montèrent sur la table.

Deux créatures magnifiques, une blonde et une blackette qui ne tardèrent pas à se déshabiller puis à se déhancher au son d’une musique endiablée.

Lorsqu’elles furent nues toutes les deux, elles s’embrassèrent sur la bouche puis sur les seins avant de se lancer dans un 69 torride.

Elles annoncèrent ensuite qu’elles étaient à la disposition de ces messieurs dames. Evidemment plusieurs doigts masculins se levèrent, les deux danseuses n’ayant que l’embarrais du choix se retrouvèrent alors sur les genoux de deux messieurs accueillants.

Le signal de la partouze était donné. Chacun se livra presque immédiatement à des mouvements d’approche sur son voisin ou sa voisine et tant pis (ou tant mieux) s’il ne s’agissait pas de son partenaire habituel.

A ce petit jeu, Rachel et Fédora durent éconduire leur voisin respectif. Celui de Rachel n’insista pas, celui de Fédora la sollicita deux fois de suite suscitant l’intervention de Vorion :

- Toi, tu dégages et immédiatement !
- Mais…
- Jetez-moi ce conard dehors !

Deux types se reculottent en vitesse et vire le malotru !

- C’est qui celui-là, je ne l’ai jamais vu ! Demanda Vorion.
- C’est le gars des entrepôts, il remplace Dispal qui n’a pas pu venir. Répondit Phissu.
- Demain tu diras à Dispal qu’il se trouve un autre adjoint, je ne veux plus voir ce mec-là !
- Bien chef !

Fédora, Gertrud et les autres témoins de l’incident purent ainsi se rendre compte que le pouvoir de Vorion n’était pas un vain mot.

Vorion, se tourne ensuite vers les deux femmes :

- Vous avez le droit de participer à cette joyeuse orgie, mais vous avez aussi le droit de dire non, tout le monde n’est pas comme ce porc.

A présent des gens se déplaçaient autour de la table à la recherche d’un éventuel partenaire.

Tout autour de la pièce de larges banquettes étaient disposées afin que tous ces joyeux partouzeurs puissent s’ébattre avec le maximum de confort.

Et tout ce petit monde commençait à se placer, les banquettes devenaient occupées par des couples ou des trios qui se pelotaient, se suçaient, se léchaient et ne tarderait pas à s’envoyer en l’air.

Une jolie brunette avait jeté son dévolu sur Nicérus qui, désormais complètement déstressé se faisait sucer la bite en regardant le ciel.
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Honeysuckle Rose, la transsexuelle avait beaucoup de succès, les mains s’agglutinaient autour d’elle, caressant les espaces de peau qu’ils pouvaient atteindre, ainsi ses seins et ses fesses étaient largement sollicités. Un chanceux réussit à s’emparer de sa bite et la fit rapidement bander en la branlant comme il se doit.

- Hum, tu me branles bien ! Tu as gagné le droit de me la sucer ! Reculez, vous autres, ou vous allez nous étouffer !

Le branleur hésite et, lui montrant son propre sexe, s’explique :

- Euh…j’aurais préféré le contraire…
- Et bien pas moi ! Si tu ne veux pas me sucer, je suis sûre qu’il aura d’autres volontaires.

Bien sûr qu’il y en eut !

- Chacun son tour ! Toi viens me rouler une pelle pendant qu’il me fait une pipe

Un malotru se crut autorisé à venir de son index tendu solliciter le trou du cul de la transsexuelle.

- Toi le connard, tu laisses mon cul tranquille, d’abord tu n’as pas demandé, et ensuite c’est la propriété privée de Sligo, il n’y a que lui qui a le droit de toucher à mon cul ou d’autoriser d’autres personnes à le faire.

Cette affirmation n’était pas exacte, mais l’intéressé n’avait pas besoin de le savoir et puis Honeysuckle Rose aimait tellement jouer de son petit pouvoir.

- T’aimes ça sucer des bites ? Demanda-t-elle à un homme qui manifestement attendait son tour.
- Bien sûr !
- Et tu voudrais que je t’encule, après ?
- Non, peut-être pas.
- Alors va voir ailleurs, je ne me fais sucer que par des enculés.
- Moi je veux bien ! Répondit alors le suceur en interrompant momentanément sa fellation.
- Je le savais, je t’ai déjà rencontré quelque part, suce-moi encore un peu et je vais te prendre ton petit cul devant tout le monde.

Quelques instants plus tard, le gars était en levrette, le cul cambré, les cuisses écartées, attendant l’assaut. La transsexuelle ravie d’avoir un public pour contempler ses ébats, se la jouait « star ». Sourire carnassier, poitrine fière et bite en étendard magnifiquement bandée. Elle cracha sur la rosette de l’homme afin de faciliter l’introduction, y avança le gland, le fit pénétrer d’un coup sec, puis s’enfonça jusqu’à la garde dans ses entrailles avant d’aller et venir comme il se doit.

- Je t’encule bien, ma salope ?
- Oui, c’est bon !

On a connu plus original comme dialogue pour commenter ce genre de chose, mais Honeysuckle Rose n’était pas la seule à s’amuser, vous vous en doutez bien. En fait ça baisait dans tous les coins de la salle, ce qui implique pas mal du monde même si l’on sait qu’une salle ne possède que quatre coins. Des hommes et des femmes se mélangéant allégrémment, en duo, en trio, en carré… On se suçait avec frénésie, bites, chattes, seins et trous du cul, on s’enfilait par devant et par derrière en un ballet frénétique dans la recherche du plaisir.
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La superbe blackette qui avait accompagnée Maussé « le roi des faussaires » se faisait fouetter par un petit moustachu dont la bite bandait en arc de cercle. La jolie victime jappait en ayant avait l’air d’en redemander, arc-boutée contre le bord de la grande table, son magnifique cul cambré semblant appeler l’inévitable sodomie qui suivrait sa douce punition.

Deux des mâles qui n’avaient rien pu faire avec la belle transsexuelle se consolaient en se suçant mutuellement la queue en position de soixante-neuf. Et tandis que Phissu assommé par l’alcool, roupillait en ronflant comme un moteur en fin de vie, sa compagne, les jambes en l’air se faisait trousser le trou du cul par la longue bite noire de Sligo, tandis qu’une jolie rousse lui léchait les tétons. Ses cris de jouissance montaient tellement dans l’aigu qu’ils en arrivaient à couvrir le brouhaha d’une salle qui n’avait pourtant rien de silencieuse. Quand Sligo se retira, elle en voulait encore. Pas de problèmes : deux ou trois coquins bien excités étaient prêts à prendre le relai. Mais auparavant le grand black tint à se faire nettoyer la bite, ce que la fille ne refusa point et se régala de son sperme. Content de lui, il manifesta alors son désir de soulager sa vessie, la fille lui fit alors comprendre qu’il ne lui était pas nécessaire d’aller bien loin, sa bouche étant toute disposée à avaler ce tiède breuvage.

Et ce n’était qu’un aperçu du tableau…

Il ne restait pas grand monde autour de la table. Personne n’osait solliciter Gertrud, et Vorion lui prodiguait une conversation rapprochée, Vorion aimait beaucoup parler avec les mains, il s’en servit d’ailleurs pour dépoitrailler Gertrud, laquelle semblait amusée de montrer ses seins devant cette assemblée d’obsédés. Sauf que personne ou presque la regardait, ces messieurs dames étant comme on l’a vu tous très occupés. Alors comme une politesse en vaut une autre, elle sortit la bite de Vorion de sa braguette et se mit à la caresser tendrement (mais fermement)

Rachel et la comtesse Fédora faisaient banquette, ceux qui les sollicitaient n’osaient pas insister, craignant une réaction intempestive de Vorion. Evidemment les regards des deux femmes se croisèrent, Fédora se leva et vint dans la direction de son amie, elles se dirigèrent ensuite vers un endroit tranquille de la banquette, non pas pour faire du sexe, (elles auraient bien le temps !) mais pour pouvoir être tranquille ensemble.

- Je suis un peu larguée ! Lui dit Rachel. Je n’y comprends rien.
- Moi non plus, mais Vorion a promis de m’expliquer, j’attends l’occasion de l’approcher sans qu’il y ait Gertrud.
- C’est qui Vorion au juste, un petit caïd local ?
- Disons plutôt le gros caïd local !
- Ah !

Et leur conversation fut soudainement interrompue parce que voici que Vorion et Gertrud sont justement, là devant elles !

- Rachel, nous ne nous connaissons pas, mais Fédora m’avait vanté votre beauté, elle n’exagérait rien, vous êtes superbe !
- Merci pour le compliment, mais je voulais surtout vous remercier de… Enfin de ce que vous avez dit publiquement. Mais permettez-moi d’être surprise de tant de sollicitude !
- C’est Fédora qu’il vous faudra remercier, mais elle vous expliquera ça en détail tout à l’heure. Il faut d’ailleurs que je vous l’emprunte afin que nous échangions quelques mots. Ensuite nous irons finir la soirée, tous les quatre, loin de cette bande de joyeux obsédés ! En attendant je vous laisse cinq minutes avec Gertrud, vous pourrez ainsi faire connaissance.

Rachel se retrouve seule en face de Gertrud. Les deux femmes sont aussi mal à l’aise l’une que l’autre. La chasseresse est devant sa proie. Rachel ne sait que dire.

- Vous savez qui je suis ? Commence Gertrud ?
- La compagne de Vorion, non ?
- Oui mais avant ?
- Une sorte de détective privée ! Vous me recherchez, c’est ça ?
- Oui mais c’est du passé, je ne vous recherche plus, puisque je vous ai trouvé !
- Et maintenant ?
- Maintenant : rien ! Je peux vous rassurer, je ne tenterai rien contre vous et je ne vous demanderai aucune explication, remarquez, je vais être franche, j’aimerais bien savoir, mais uniquement par curiosité.
- Humm
- Quand nous nous connaitrons mieux, peut être ? Nous allons probablement être amenées à nous croiser !
- Il y a certains secrets que j’aimerai conserver comme tel !
- Je n’insisterai pas. Ce qu’a dit Vorion en public au sujet de votre sécurité m’a un petit peu vexé, j’ai pris ça pour moi ! Il a eu le tact de me dire ensuite qu’il n’en était rien et qu’il voulait vous prémunir contre des gens qui auraient l’idée de suivre mes traces. Ce qu’il ignore c’est que personne ne viendra à ma recherche, l’agence que je dirigeais n’a plus assez de budget pour ça ! Donc vous pouvez dormir tranquille. Cela dit je ne suis pas neuneu, si Vorion m’a dragué, c’était pour me neutraliser. Un drôle de jeu, et s’il se trouve que je me suis laissé prendre, eh bien, lui aussi ! Je sais deviner quand un homme joue la comédie. Vorion ne la joue plus, et moi non plus. Je suis pour ainsi dire devenue presque madame Vorion, une position plutôt prestigieuse et avantageuse, alors pourquoi irais-je vous emmerder ! On s’embrasse ?
- Pourquoi pas ?

Rachel ne s’attendait cependant pas à ce que le baiser soit si profond, mais elle l’accepta volontiers.

L’entretien entre la comtesse Fédora et Vorion fut assez bref :

- Tu m’avais demandé un service ! Commença-t-il. Je pense m’en être acquitté ! J’espère que tu es satisfaite ?
- T’es en train de faire semblant d’être amoureux de Gertrud afin de la neutraliser, c’est ça ou je rêve ?
- Un tout petit peu compliqué quand même, j’ai joué avec elle, mais à ce jeu, je me suis laissé prendre. Gertrud est une femme étonnante et je me suis surpris à l’apprécier.
- Mais tu ne l’aimes pas ?
- D’une certaine façon, si ! Et je m’en étonne moi-même.
- Donc, moi tu ne m’aimes plus ?
- Tu sais, on peut aimer plusieurs personnes en même temps ! Mais comparons ce qui est comparable ! Toi je t’adore à la façon d’une fleur inaccessible, je sais que tu n’aurais jamais été ma compagne, je t’ai rendu le service que tu m’avais demandé, cela n’a pas été une corvée, pas du tout même ! J’imagine la façon dont tu me remercieras et cela suffit à mon bonheur !
- Et bien toi alors !
- Hé !
- Embrasse-moi, Vorion !
- Avec grand plaisir !

Fédora ne tricha pas et le baiser fut réellement profond et baveux. Il fit bander Vorion, mais celui-ci resta sage.

- Viens ! Dit Vorion, on va rejoindre les filles ! J’espère qu’elles ne sont pas en train de se crêper le chignon !

Non tout se passait bien, Gertrud caressait doucement les jolis bras de la belle Rachel. Les deux femmes devaient se demander quelles seraient leurs relations futures mais ne semblaient pas inquiètes.

Ce joyeux quatuor fila à l’anglaise rejoindre l’appartement privé de Vorion où ils y burent le verre de l’amitié

- Bon ! Plus de questions ? Je vous propose, Fédora et Rachel de rester coucher ici dans la chambre d’amis, moi je suis un peu fatigué de ma journée, je vais me retirer avec Gertrud ! Tu viens, chérie ? j’ai besoin d’un petit massage relaxant.
- Mais bien sûr mon gros biquet ! je vais bien te masser partout.

A suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 18:17

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 36 – Amours sur Vargala par Nicolas Solovionni

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Thémes abordés : lesbos, science fiction, spermophilie, uro.


- Mais c’est très bien tout ça ! S’exclama Vorion

Et notre homme qui avait portant vu et revu des seins de toutes formes et de toutes couleurs joua à l’adolescent découvrant sa première poitrine féminine, caressant, tripotant, malaxant, léchant, suçant…

Gertrud devant tant de passion et d’enthousiasme finit par s’exciter, elle qui ne l’était pas vraiment.

- Quelle ardeur ! Vous allez me faire croire que vous étiez en manque !
- En manque ? Non pas du tout, j’ai baisé avec Fédora hier soir et c’était très bien !
- Alors, je ne comprends pas !
- Moi non plus, mais pourquoi chercher à comprendre, vous me rendez fou !
- J’aimerais bien tout de même… Oh lala qu’est-ce que vous me faites ?
- Que des bonnes choses ! On se met à poil ?
- Ça semble s’imposer, non ? On va dans ma chambre ?

Ils y sont très vite, et instinctivement, Gertrud s’allonge sur le lit. Vorion se jette de nouveau sur ses seins.

- Décidément, ils vous plaisent !
- Je crois que je ne pas près de m’en lasser.

La main de Vorion explore à présent la chatte de la jolie mature, déjà pas mal trempée. Un doigt, deux doigts, trois doigts, il titille la caverne gluante provoquant d’insolites floc-floc. Ça coule de plus en plus. Gertrud hurle, son corps se tétanise quelques instants avant de retomber comme une chiffe molle.

- Hé bin, vous alors ? S’exclame-t-elle.
- Vous êtes très belle quand vous jouissez !
- Vous êtes gentil !
- Vous en doutiez ?

Elle préféra ne rien répondre tant ce qu’elle vivait lui paraissait irréel.

- On va peut-être se tutoyer maintenant ? Proposa l’homme
- Bien sûr !
- Tourne-toi, je veux profiter de ton cul !
- C’est pas ce que j’ai de mieux !
- Tourne-toi, s’il te plaît, non pas comme ça, cambre un peu tes fesses, voilà c’est joli comme ça.

Il les tapote légèrement.

- T’aime les fessées ?
- Si c’est pas trop fort, ça ne me dérange pas !
- Comme ça ?
- Oui mais t’arrêtes quand je dirais.
- O.K.

Vorion s’amusait, si sa sexualité était polymorphe, se sont néanmoins par ses penchants masochistes qu’il aimait d’ordinaire exprimer sa sexualité. Du coup ce qu’il faisait en ce moment l’excitait de par son coté inhabituel.

La peau des fesses de Gertrud rougissait de façon spectaculaire.

- Je vais arrêter.
- Tu peux continuer, ce n’est pas désagréable !
- Nous aurons l’occasion de recommencer, je m’en voudrais d’abîmer un si gentil petit cul !

« Il me dit que mon cul est « gentil’, au moins, il n’est pas hypocrite, et puis quelle prévenance, quel tact ! Je ne le voyais pas du tout comme ça ce mec ! »

Vorion lui écarta les globes fessiers et entreprit de lui lécher le trou du cul.

- Tu fais quoi ?
- Je lèche !
- Ce n’est pas forcément très propre…
- Ça ne me dérange pas, mais si voulez… si tu veux, j’arrête.
- Non, vas-y j’adore cette caresse, je voulais juste te prévenir.

En fait Vorion ne détestait pas cette odeur un peu acre qui est celle de tous les culs qui ne sortent pas de la douche. Et d’ailleurs ce cul n’était pas sale, du moins dans le sens où on l’entend généralement. Il y avait bien quelques traces douteuses, mais ça ne gênait nullement notre homme, bien au contraire.

- Votre cul est délicieux !
- Je croyais qu’on se tutoyait
- Oui, ton cul est délicieux
- T’es un cochon Vorion, au fait c’est quoi ton petit nom ?
- Personne ne l’utilise, tout le monde m’appelle Vorion. Tu me suces un peu ?
- Bien sûr que je vais te sucer !

Gertrud adorait sucer, encore fallait-il que l’homme lui plaise, que la bite lui plaise et qu’elle soit excitée. En ce moment cela tombait bien, les trois conditions étaient réunies ! La queue était standard mais de bonne tenue, l’excitation était au rendez-vous. Quant à l’homme, eh bien elle se surprenant à l’apprécier de plus en plus, pas pour son physique, relativement quelconque mais pour son comportement et son charisme.

Elle fit donc danser sa langue autour du gland provoquant chez Vorion des frissons de plaisir.
Zarouny36a
- Hum, tu suces bien !
- Humpf !
- Continue, continue !

Gertrud se mit à faire coulisser le membre viril en une longue série de va-et-vient. Elle perçut soudain une saveur salée, qu’elle trouva fort agréable : sa liqueur séminale. Presque à regret elle retira sa bouche.

- Tu veux que je te suce à fond ?
- Varions les plaisirs ! Tu aimes te faire enculer ?
- Hum, j’adore, du moins quand c’est bien fait, mais avec toi je crois que je peux avoir confiance.

Gertrud se positionna en levrette, cambrant bien les fesses en en écartant les globes, prête pour l’assaut. Vorion s’approcha avant que la mature se ravise brusquement :

- Pouce ! J’ai une grosse envie de pipi, je préfère faire avant.
- Je peux regarder ?
- T’es vraiment un petit cochon, toi ! Bien sûr que tu peux regarder. Euh, tu es sûr que tu veux juste regarder ?
- Ma foi, si ça ne te pose pas de problème de me pisser dessus…

Les deux amants se dirigèrent vers la salle de bain. Gertrud suggéra à son partenaire de s’allonger dans la baignoire et le chevaucha, légèrement accroupie.

Quelques instants de concentration, puis le jet se libère et dégringole sur la bite bandée de Vorion :

- Ma bouche ! Vise ma bouche !
- Cochon !
- Je sais !

L’homme ouvrit une large bouche et avala tout ce qu’il put en émettant un étrange rictus de satisfaction qui fit rire Gertrud aux éclats.

- T’es trop marrant, toi !

Voilà une chose qu’on ne lui disait pas souvent, mais il appréciait la franche spontanéité de cette décidément surprenante Gertrud.

- Il est délicieux ton pipi !
- Merci. Je suppose que tu aimerais bien me nettoyer la chatte, ma petite chatte qui sent bon ma pisse.
- Bien sûr !
- Essuie-toi, on va retourner à côté.

La langue de Vorion ne tarda pas à aller fouiller dans les chairs intimes de la belle mature, il se régalait des gouttes de pipi dont était imprégnées l’endroit, mais bientôt la chatte se mit à dégouliner de mouille. Un autre gout ! Vorion vint placer l’extrémité de sa langue sur le clitoris érigée et la fit frétiller. Cela ne dura pas longtemps avant que la belle ne se mette à miauler et à hurler son orgasme pour la deuxième fois de la matinée.

- Hé bien toi, on peut dire que tu sais parler aux femmes ! Plaisanta-t-elle alors que tout son corps dégoulinait de sueur.
- Hé, hé !
- Tu m’encules maintenant ?
- Je t’encule !

Gertrud se remit en position et il l’encula. Cherchant à contrôler ses ardeurs il tenta d’abord de se maîtriser, mais le désir le tenaillait de trop.

« Après tout, je l’ai déjà fait jouir deux fois ! Alors allons-y carrément. »

C’est donc avec une incroyable frénésie qu’il faisait aller et venir sa bite dans le conduit arrière de Gertrud qui recommençait à miauler.

« Décidément, elle est insatiable ! »

Il finit par lui jouir dans le rectum en de violents soubresauts !

- Oh ! C’est bon ! Continue !

Vorion eut le tact de continuer jusqu’à ce que Gertrud orgasme pour la troisième fois. Quand il décula sa bite était maculée de sperme et d’un peu d’autre chose. Instinctivement il chercha de quoi s’essuyer.

- Laisse, c’est moi qui nettoie ! Dit-elle avant d’engloutir la bite de l’homme et de se régaler de ce qui l’accompagnait.
- T’es aussi cochonne sue moi !
- On est peut-être fait pour s’entendre.
- C’est pas peut-être, c’est sûr ! Répondit Vorion qui n’en espérait pas tant.

Quand Vorion fut rhabillé, il attendit que Gertrud se passe un peignoir, avant de poser sa question :

- Alors, pour ma proposition, je suppose que vous êtes d’accord ?
- Ne précipitons pas les choses.
- Pourquoi hésiter ? Ce soir j’organiserais un banquet privé avec mes meilleurs amis et devant eux nous officialiserons notre union. Fédora sera invitée évidemment.
- Je peux peut-être réfléchir un petit peu ?
- Tu as toute la journée pour ça, dès que Fédora sera revenue, nous irons acheter quelques bricoles, je te veux rayonnante de beauté à mes côtés ce soir.
- On va voir, je vais prendre une douche avant d’ouvrir la boutique.

Gertrud laissa longtemps l’eau couler sur son corps bien conservé de belle femme mature.

« Qu’est-ce qu’il peut bien me trouver, ce mec ? Quelque part cette situation est incompréhensible. Cela cache forcement quelque chose, mais quoi ? Dans le meilleur des cas ce mec a eu une lubie, ça lui passera ! Ou alors c’est un piège, une machination, mais dans quel but ? Que faire, mais bon dieu, que faire ? Et s’il était sincère ? Ce serait le rêve, je serais la femme d’un des mecs les plus influents de la ville, j’aurais tout, la popularité, les cadeaux, et en plus ce mec me laisserait ma liberté ! Trop beau pour être vrai ! Evidemment ce n’est pas un play-boy, mais moi non plus je ne suis pas non plus un top modèle ! Sauf que lui justement, avec son fric, il peut se payer toutes les nanas qu’il veut ! Alors il cherche quoi ? Comme ça il a l’air correct, attentionné, courtois, doux ! Et puis, manifestement il était amoureux de Fédora, moi il me regardait à peine ! Putain, je n’y comprends rien ! Comment savoir s’il est sincère ? »

Pendant ce temps Fédora

Fédora, fébrile sonna à l’entrée du studio de Rachel. Celle-ci lui ouvrit, habillée, si l’on peut dire, d’une nuisette rose transparente, qui ne dissimulait rien de sa sculpturale poitrine dont les tétons dardaient contre le fin tissu.

Pas un mot, les deux femmes s’étreignent et s’embrassent longuement, très longuement.

- Entre, installe-toi, je vais te faire un café.

En revenant, Rachel lui pose la question qui lui brûle les lèvres :

- Tu me cherchais ou c’est le hasard ?
- Je te cherchais !
- Et t’as fait comment ?
- J’ai graissé la patte du gars de l’astroport sur Simac3…
- Il ne pouvait pas savoir…
- Il ne savait pas, il a supposé.
- Mais une fois ici…
- Je me suis renseigné, et je suis tombé sur un type, une espèce de caïd local, il est devenu amoureux de moi, c’est grâce à lui que je t’ai retrouvé !
- C’est celui qui était à ta table ?
- Oui !
- Et toi tu es amoureuse de lui ?
- Pas du tout, d’ailleurs c’est un mec intelligent, il ne se fait aucune illusion…

Son visage s’éclaira d’un magnifique sourire

- Tu es libre, alors ?
- Complètement ! Et toi ?
- Moi aussi ! Bisous ?

De nouveau, elles s’embrassèrent goulûment.

- Et la blonde qui était avec vous, c’est sa femme ?
- Non, c’est une détective privée qui enquête sur l’affaire du Siegfried7.
- Quoi ?
- Rassure-toi, elle ne te fera rien, Vorion est en train de la neutraliser. Mais attends, on a plein de choses à se raconter, il s’est passé quoi exactement sur le Siegfried7 ?
- Un salaud m’a fait un chantage aux sentiments pour que je l’aide à s’infiltrer sur le vaisseau. Comme moi de mon côté je voulais me venger des gens qui m’avaient bizuté, je n’ai pas été trop difficile à corrompre. Sauf que le gars s’est foutu de moi et après le piratage du vaisseau, j’ai été vendue comme esclave sexuelle sur Simac3 chez Pacheco. C’est là qu’on s’est entrevues moins d’une minute. Et toi ?
- Je me suis débrouillée pour rejoindre Simac3 par mes propres moyens. Ça n’avait aucun rapport avec toi mais je devais réaliser une interview de Pacheco pour le compte d’une secte d’allumés. Quand on s’est aperçu toutes les deux chez lui, il n’a évidemment rien compris mais il m’a soupçonné de chercher à le bluffer, alors il m’a exilé avec mon compagnon dans une baraque pourrie. Quand les filles se sont évadées, il m’a récupéré et j’ai réussi à le manipuler, puis Gertrud est arrivée, une drôle de nana, j’ai sympathisé avec elle… Elle n’est pas méchante.

Bref, elle se racontèrent toute l’histoire, chacune apprenant à l’autre ce qu’elle ignorait.

(Tous ces événements, chers lecteurs sont relatés avec force détails dans le précèdent tome et dans celui-ci)

- On m’avait dit que la police fédérale avait laissé tomber l’enquête…
- Elle a été reprise par une boite privée, en fait c’est service minimum, juste deux enquêteurs, l’un des deux a disparu de la circulation, l’autre c’est Gertrud.
- Si elle prévient la Terre, je suis mal, j’ai changé d’identité, mais je ne tromperais pas les fédéraux.
- Ne t’inquiète pas, je gère ! Rachel….
- Oui !
- J’ai envie !
Zarouny36b
Pas de discours, nouvelle embrassade baveuse, mais cette fois la suite est hard, Fédora débarrasse prestement Rachel de sa nuisette, et lui embrasse les seins, tandis que cette dernière se pâme et que sa chatte se mouille d’abondance.

Fédora se déshabille à l’arrache, les deux femmes se font face, lèvres contre lèvres, seins contre seins, elles se caressent, se pelotent, la main de Fédora s’aventure sur la chatte de Rachel, elle est trempée.

- Viens !

Et les voici sur le canapé, Fédora est entre les cuisses de Rachel, la langue dans son sexe, qu’elle lape comme le ferait un chaton d’une assiette de lait. Rachel met moins de trois minutes pour jouir en hurlant.

Nouvelles embrassades, nouvelles caresses, et cette fois c’est Rachel qui se retrouve dans les cuisses de Fédora

Et cette fois aussi l’orgasme fit fulgurant.

Et ensuite ?

L’amour entre deux femmes ne saurait se résumer à de délicieux broutages de minous, elles en avaient eu besoin, besoin de donner complètement l’une à l’autre. Forcément, depuis le temps.

Alors vint le moment du calme, de la douceur et des tendres caresses où l’on apprécie le velouté d’une peau, avec la main ou avec les lèvres. Elles restèrent ainsi un bon moment sans parler se permettant juste de temps à autres de se butiner les tétons.

Ce fut Rachel qui brisa le silence :

- On recommence ?

Sans s’être concertées, les deux femmes se retrouvent en position de 69. Elles s’enhardissent en permettant un doigt inquisiteur dans le derrière, quand Rachel activa sa langue sur le clitoris érigée de son amante, cette dernière fit de même, et elles jouirent presque en même temps.

- Je t’aime dit Rachel.
- Moi aussi, je t’aime ! répondit Fédora.

Elles s’habillent, heureuses, mais peinées de devoir se quitter, mais ne faut-il pas se quitter si l’on veut se revoir.

- Tu reviens demain ? Lui demande Rachel.
- Bien sûr, je vais essayer de m’organiser pour avoir plus de temps.

Elle lui raconte, le magasin de lingerie, en cogérance avec Gertrud….

Un frisson parcourt l’échine de Rachel :

- Et si elle avait déjà envoyé un message à la Terre !
- Impossible, je lui ai piqué son mesphone et j’ai contrôlé l’historique.

Malgré tout Rachel n’était pas entièrement rassurée.

- C’est quoi tes projets dans l’immédiat ? Lui demande Fédora.
- Pour l’instant, je travaille chez Nicérus, je vends mes dessins, il parait que je suis une dessinatrice à la mode ! Ça paye plutôt bien ! Moi qui rêvais de belles planètes, je n’aurais connu que Simac3 et encore, si peu et maintenant Vargala ! J’y suis pratiquement bloquée, ma belle, c’est la vie ! Et toi, j’imagine que tu ne vas pas t’éterniser ici ?
- Je ne vais tout de même pas laisser tomber mon magasin de lingerie !

Elles éclatèrent de rire.

- Non, sérieusement ?
- Eh bien sérieusement, je resterais bien ici quelques temps, puisque tu me dis que t’es bloquée.
- C’est vrai ?

Elle en pleure de joie.

- Puisque je te le dis !
- Et quelques temps, ça veut dire combien ?
- Tant qu’on sera bien ensemble.

Quand Fédora regagna la boutique, Gertrud terminait de s’habiller.

- Fédora, tu m’as l’air en pleine forme ! S’exclama Vorion
- Ma fois, je suis en ce moment, la plus heureuse des femmes, et c’est un peu grâce à toi.
- Tu es trop gentille. Je te propose que nous remettions à plus tard ce que nous devions faire aujourd’hui, demain peut-être….
- Mais c’est quand tu voudras, mon cher Vorion !

L’homme profita d’un moment d’éloignement de Gertrud pour chuchoter à l’oreille de Fédora :

- Pour Gertrud, j’ai sans doute la solution !
- Une solution pacifique ?
- On ne peut plus pacifique ! Mais tu sauras tout ce soir, j’organise un petit banquet au restaurant de la « Salamandre » à 20 heures, Gertrud y sera, d’ailleurs, je te la confisque pour la journée.

Vorion commença par emmener Gertrud dans une bijouterie où il lui offrit un somptueux collier dont elle eut du mal à estimer la valeur.

« Ça ne veut rien dire ! C’est peut-être du toc, où ça participe à une mise en scène ! Mais dans ce cas, pourquoi faire si tordu ? »

Ils allèrent ensuite choisir une robe, ce fut tout une affaire, Vorion voulant orienter le choix de Gertrud vers un super décolleté, tandis qu’elle ne se trouvait plus assez jeune pour ce genre de choses.

Au bout du quatrième essai, Vorion sollicita auprès du gérant une cabiné « discrète ».

- Prenez la 10, personne ne vous dérangera.

Dès que Gertrud fut torse nu, Vorion se jeta sur les seins de la belle mature et se mit à les sucer avec avidité.

- Eh bien, dis donc, t’as la libido au beau fixe en ce moment !
- C’est de ta faute, tu me provoques avec tes gros nichons !
- Ils ne sont pas gros !
- C’est une expression !
- Ils te font bander, hein mon cochon ?

Elle vérifie. Effectivement, la chose était toute raide. Elle la sortit de sa braguette et la mit dans sa bouche.

- Elle est trop bonne ta queue !
- Tais-toi et suce, ma chérie !
- Chai che que che fais !
- Tourne toi que je t’encule.
- Ici ?
- Mais oui !

La belle se tourna et présenta son gentil fessier. Vorion y entra un doigt, le fit bouger quelques instants avant de le ressortir.

- Comment tu fais pour avoir toujours le trou du cul pas propre ? Plaisanta-t-il
- Ben dit donc !
- Tu ne me crois pas ? Lèche !

Elle le fit !

- Humm, effectivement, c’est pas trop net !
- Et tu n’as pas honte de te trimbaler avec le cul comme ça ?
- Non, pourquoi ? Je devrais ?
- T’es vraiment une belle salope ! Ça tombe bien j’adore les salopes comme toi !
- Alors tout va bien ! Tu ne veux plus m’enculer ?
- Ah. Ah, c’est toi qui demande maintenant !
- On va dire qu’on a envie tous les deux, alors ça vient ?

« Comment, elle me parle ! Elle n’a pas encore bien compris qui j’étais ! Mais bon, ça me change des péronnelles ! »

L’introduction fut directe et rapide, l’enculade brève et intense. Gertrud se mordit les lèvres pour s’empêcher de crier son plaisir.

- T’aurais pu crier, le patron est un copain !
- Fallait le dire avant !
- Tu me nettoie la bite ? Elle est pleine de sperme.
- Bien sûr ! Je vais te faire un zizi tout propre mon biquet !

« Mon biquet ! Elle m’a appelé mon biquet ! J’aurais tout entendu »

Une fois la bite nettoyée comme il se doit, il s’en alla chercher trois modèles de robes à essayer, et en profita pour téléphoner à Phissu, son bras droit en lui donnant quelques instructions pour le banquet du soir.

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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