Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 07:04

Les ladies-boys de Patpong par Boris_Vasslan

asian

 

Je n’y pensais même plus à ce tirage au sort en me rendant comme chaque samedi matin à mon super marché  » Confluent  » Un gros panneau annonce les résultats de la grande tombola de je ne sais plus quoi… j’en ai rien à foutre de leur truc ! Mais j’avais quand même glissé un bulletin dans l’urne, pour faire plaisir à la caissière, elle m’avait dit avec un sourire trop troublant « qu’elle allait me porter chance ! » Le panneau fait deux mètres carrés, impossible de ne pas le voir ! Et je vois bien que le gagnant a le même prénom que moi, Cédric… avant de réaliser enfin l’évidence : C’est tout simplement moi le gagnant !

A ben, ça alors !

C’est comme cela que quinze jours plus tard plus tard, après avoir négocié trois semaines de vacances avec mon employeur, je débarquais à Bangkok !

Je ne serais sans doute jamais allé de mon plein gré dans ce pays, certes, il y avait plein de choses magnifiques à visiter, mais il y en a partout de choses magnifiques et puis je ne suis pas très « voyage »… En plus cette chaleur étouffante, humide ne me dit pas grand-chose, d’autant qu’il paraît qu’il y a des sales bêtes, des scorpions, des serpents, berk je n’aime pas ces trucs-là ! Et je vous entends d’ici ! Et le sexe ? Ben justement les Asiatiques ce n’est pas trop mon truc, que je me disais, elles sont charmantes, gracieuses et tout ce que vous voulez, mais elles manquent cruellement de formes, Et puis ce tourisme sexuel ambigu qui a fait la réputation de cette région ne me dit vraiment pas grand-chose…

Au fait je ne me suis pas présenté, je m’estime normal, dans la moyenne, ni baraqué, ni malingre, châtain très clair, les yeux bleus, mais je possède quand même deux particularités, j’ai un système pileux peu développé et surtout on m’a rabâché les oreilles depuis ma plus tendre enfance sur la finesse des traits de mon visage, à tel point que mes deux frangines aînées s’amusaient à me déguiser en fille ! Un jeu peut-être moins innocent qu’il n’y paraît parce que si je me classe et m’affirme hétéro, je ne suis pas du tout fermé à une éventuelle expérience avec les gens de mon propre sexe, mais il faudrait que les circonstances s’y prêtent et de toute façon je ne cherche pas et ne suis pas pressé !

C’est au deuxième jour de mon séjour que je décidais de visiter Patpong, l’un des plus célèbres quartiers chauds de Bangkok. J’avais déjeuné pour trois fois rien dans un excellent restaurant et passé une bonne partie de l’après-midi à faire la sieste, mal remis que j’étais du décalage horaire et du changement d’air.

Je fais signe à un taxi, grimpe à l’intérieur et indique simplement :

– Patpong
– French ?
– Yes !

Ça doit être l’accent… Il démarre et entreprend alors de me parler dans un incompréhensible sabir où se mélange l’anglais, l’allemand, le thaï, et où émerge de temps en temps, oh miracle, quelques mots de français.

– I’m sory, i don’t understand !

Je crois entendre dans sa réponse le mot « spécialités », ne voulant pas me faire embarquer dans des terrains douteux, je rétorque :

– Non, non, je vais visiter !

Mais c’est un vrai dialogue de sourds, et le voilà qui me débite une liste à moitié incompréhensible, mais je parviens à un moment à discerner le mot « lady boy ». Ce nom évocateur de créatures ambiguës n’avait jusqu’ici pas été associé à mes projets touristiques… Mais après tout pourquoi pas ? Il n’est jamais interdit d’être curieux. Je coupe mon interlocuteur…

– Ladies boys ! Oh yes ! I like !

Nouveau baratin de mon chauffeur de taxi, et je distingue plusieurs fois le mot bath, la monnaie locale, J’ai l’impression qu’il me propose une sorte de marché

– Ecoutez, vous m’emmenez jusqu’à Patpong, vous me déposez où vous voulez, j’aimerais bien que ce soit là où il y a des ladies-boys… mais c’est tout ce que je vous demande, ok ?
– Ok !

Je n’y crois pas, il a compris… Ça ne l’a pas empêché de baragouiner jusqu’à ce qu’on arrive à destination. Nous voici en plein Patpong, il y a beaucoup de monde, des échoppes éclairées et agressives se suivent en rang d’oignons. Je m’apprête à payer le prix de la course. Mon chauffeur vient alors m’ouvrir et m’annonce la note… Seulement il y a un problème, c’est dix fois ce qui est indiqué au compteur ! Même si au cours du Bath, ça ne fait pas grand-chose, je n’ai pas envie de me faire pigeonner. J’essaie de discuter. Mais le taximan a soudain perdu son amabilité et il s’énerve. Il appelle quelqu’un. Le nouveau s’amène, il échange quelques propos avec le chauffeur puis s’adresse à moi en anglais.

– Pourquoi vous ne voulez pas payer le taxi ?
– Je veux bien payer ce qui est au compteur !
– Il vous a négocié un tarif d’entrée au… (suit un nom incompréhensible) …. Un bon tarif ! Vous payez tout au chauffeur… vous n’aurez pas besoin de payer l’entrée.
– Je n’ai rien négocié du tout ! Je paie la course. Point final.
– Attention ! J’espère que vous n’êtes pas en train de me dire que mon ami est un menteur !

Oh, là que je n’aime pas la tournure que ça prend !

– Je crois surtout qu’on s’est mal compris ! Essayais-je d’argumenter !
– Si vous ne payez pas, ça risque de vous coûter encore plus cher.

La menace est à peine voilée. J’essaie de réfléchir. Que dire ? Que je n’ai pas d’argent sur moi ? Je suis écœuré par ces pratiques de voyous. Un troisième larron s’approche, un quatrième ne va pas tarder. Je capitule.

– Bon je vais payer, mais je n’ai pas besoin de tout ce monde autour de moi…

Le chauffeur me délivre un ticket, m’indique l’établissement correspondant et disparaît ! C’est décidé la prochaine fois que je prends un taxi, je resterais muet comme une carpe.

La rage au cœur, je pénètre dans la boite, un type obséquieux me fait asseoir à une table ronde revêtue d’une nappe blanche et ornée d’une petit vase de roses coupées et d’un cendrier gigantesque. Je lui tends mon ticket, il le refuse, m’explique que ce n’est pas pour ça… me demande ce que je veux consommer et paraît contrarié quand je lui annonce que je me contenterais d’une simple bière. Je me suis fait un plan simpliste ! Puisqu’il paraît que j’ai payé, je vais rester quelques minutes ici, mais je ne pense pas m’y attarder, ensuite j’irais me promener et visiter le quartier, si toutefois j’ai encore le cœur à ça ! Je jette un coup d’œil autour de moi, pas de scènes, ni non plus de piste, ça veut dire que l’établissement ne délivre aucun spectacle ! J’ai payé pour quoi alors ? Des demoiselles dont certaines sont charmantes s’affairent auprès des consommateurs. C’est donc tout simplement un bar avec entraîneuses. Pas vraiment mon truc ! Je me demande encore comment j’ai pu faire pour me faire arnaquer à ce point. J’aurais dû refuser tout dialogue, mais c’est si facile de dire après ce qu’il fallait faire avant. Quant aux ladies boys, il faudra que je les cherche, parce qu’ici ce serait plutôt des ladies girls ! Et puis évidemment, ça ne loupe pas, en voici une qui vient s’installer à côté de moi. Je n’aime pas son visage, ça ne se commande pas ces choses-là ! Je dis simplement merci, elle insiste, je confirme ne pas être intéressé, et elle s’en va tenter sa chance ailleurs en haussant les épaules.

J’observe le manège, il ne semble pas que les entraîneuses poussent les clients à la consommation, ou du moins pas plus que ça, mais après quelques contacts assez chauds, bisous et pelotages rapprochés, les couples ainsi formés s’en vont dans une sorte d’arrière-boutique.

Ça ne me dit pas grand-chose, tout cela ! Tout simplement pas envie de rester… et ma bière qui n’est toujours pas servie ! Je crois que je ne vais même pas l’attendre….

– Monsieur, votre bière !

Ah ! Une lady m’amène ma bibine. Elle est mignonne au moins celle-ci, jolie sourire, jolie peau.

– Je peux m’asseoir un instant à côté de vous ?

La chair est faible, j’ai dit :

– Oui, mais pas très longtemps, j’allais partir !
– Français ?
– Oui !
– Je parle un peu français !
– Sinon on peut parler anglais !

Elle me passe l’extrémité des doigts de sa main droite sur ma joue, me caresse !

– Tu as la peau douce !

Je lui rends la politesse et à mon tour je lui caresse le visage :

– Toi aussi !
– Je suis douce de partout !
– Non ?
– Si !

Et la voilà qui dégrafe deux boutons de son chemisier.

– Vas-y, met la main !

Où lala ! Où est-ce que je m’embarque, moi ? Je glisse la main dans le passage ainsi dégagé, je constate qu’elle ne porte aucun soutien-gorge, – mais vu la grosseur des seins, sa fonction n’aurait été que purement décorative -.je limite néanmoins la zone de mes caresses au-dessus du ventre.
– Tu peux caresser mes seins, si tu veux !

On ne refuse pas une chose pareille, me voici donc en train de tester le très faible arrondi de ces petits nichons, ce n’est pas désagréable et puis ça change, moi qui suis d’habitude amateur de gros nénés ! J’approche du téton, en mesure la texture, le titille un peu. Mademoiselle a l’air toute contente. Et moi, me voilà en train de bander comme un âne ! Si ça continue à ce rythme, je vais me retrouver dans l’arrière salle dans pas trop longtemps. Où sont donc mes bonnes résolutions ? Une main se pose sur mon sexe ! Il ne manquait plus que ça !

– Hum ! Je te fais de l’effet on dirait ?
– Ben oui !
– Je m’appelle Mae-Ying
– Ah, oui moi c’est Cédric !
– Je peux t’en faire encore plus si tu veux !
– Et qu’est-ce que tu me propose ?
– Hum, une petite pipe, mais avant je peux te faire une de mes spécialités !
– C’est quoi ?
– Une petite feuille de rose, ça te dirait ?

Ce n’est pas spécialement mon truc, mais je suis sûr que sous la langue d’une spécialiste comme elle le dit, l’expérience doit être intéressante à tenter.

– Et c’est combien ?
– C’est déjà payé… je crois !

C’était donc ça, et sans me demander confirmation, elle se lève, me prend la main et m’entraîne vers le fond de la salle !

Là nous passons derrière une tenture, et on se retrouve dans une salle assez grande, où sont disposés des paravents formants de petites alvéoles ou des couples s’ébattent. On est obligé d’en traverser une ou un couple est en position de soixante-neuf. Je ne peux évidemment m’empêcher de regarder… et oh surprise, je m’aperçois que le touriste est entrain de lécher non pas une petite chatte, mais une bonne bite : Ça alors, je serais quand même chez les ladies boys ? Mais alors Mae-Ying serait donc aussi… Du coup je ne la vois plus pareil et mon excitation déjà bien dressée s’intensifie encore.

Elle me demande de me déshabiller complètement et de m’installer sur le ventre sur une sorte de table de massage. Mae-Ying s’est également dévêtue à l’exception d’un petit slip tout rouge, il est assez moulant, je le reluque !

– Je peux voir ?
– C’est plus cher ! Mais patience, on a le temps !

Elle me passe une sorte de serviette chaude et savonneuse entre mes fesses. Curieux comme effet, puis une seconde sans doute pour rincer, puis des deux mains, elle m’écarte les fesses, vient poser sa langue et commence à me lécher l’anus. Sa langue est d’une agilité diabolique, elle va partout, créant tantôt des cercles autour de l’œillet, piquant parfois en plein centre en voulant forcer l’ouverture de mon intimité. Superbe sensation… parfois sa langue s’aventure le long du parcours de mon périnée jusqu’à la naissance du scrotum. Inutile de vous dire l’érection d’enfer qui m’habite alors !

– Si tu veux te tourner, je vais te finir avec la bouche !

Oui, bien sûr, je ne suis pas contre, pas du tout même, mais j’ai une envie folle à ce moment-là de prendre cette créature dans mes bras, de la caresser, de la cajoler, et puis ce sexe d’homme caché dans cette culotte, je brûle de le découvrir.

– Montre-moi ta quéquette !
– Pas ici !
– Pourquoi, quand on est arrivé ici j’ai bien vu un client qui le faisait !

Elle me fit alors un sourire craquant, fit papillonner ses yeux et tout doucement me susurra :

– Parce que j’ai beaucoup mieux à te proposer !
– Je peux savoir ?
– Chut ! Laisse-moi te sucer ! Je vais y mettre tout mon savoir-faire !

Je laissais cette charmante lady boy me tripoter le pénis, le soulever un petit peu, le branloter pour qu’il conserve sa vigueur. Puis j’eus encore droit aux deux petites serviettes. Cette diablesse avait le don d’imprimer à mon sexe des gestes masturbatoires au prétexte de me laver ! Déjà je savais que je ne tiendrais pas longtemps.

– Préviens-moi si ça va trop vite, j’essaierais de retarder !

Elle se figure que c’est facile, elle ? La voici qui du bout de ses belles lèvres ourlées, m’embrasse le bout du gland, un bisou chaleureux, finalement très peu érotique, comme on embrasserait la truffe d’un petit animal domestique… Puis sa bouche s’ouvre légèrement, ses lèvres se posent de part et d’autre du prépuce, elle joue de la pression de sa bouche, la réduisant, l’augmentant, puis son bout de langue vient darder mon méat. Je me crispe. Ma fellatrice s’est mise sur le côté, de telle façon que j’ai du mal à caresser son corps. J’aurais tellement voulu qu’elle adopte une autre position. Je m’imagine déjà la prenant, me faisant prendre, mêlant nos corps dans milles folies amoureuses. Soudain elle s’arrête, me regarde avec un air malicieux :

– Je t’emmène chez-moi après ?
– Pourquoi pas ? Et on fera quoi ?
– Tout ce que tu voudras, enfin presque !
– C’est cher ?
– C’est dans tes moyens, mais on ne va pas discuter de ça ici ! Pour le moment, détend-toi, je vais te finir !

Elle repose ses lèvres là où elle les avait laissées, semble attendre quelques instants, puis la langue s’agite, me mouille l’extrémité de mon sexe, les lèvres coulissent, de plus en plus vite, c’est désormais une vraie fellation, elle englobe tout ce qu’elle peut de mon pénis de taille standard, puis préfère sucer en se limitant au deux tiers de ma verge, c’est divin ! Les lèvres, la langue, tout cela s’agite de plus en plus vite, je sens la jouissance monter.

– Je viens !

Elle freine un peu, l’envie descend très légèrement, elle m’accorde un moment de répit, puis reprend, je me raidis et je finis par jouir dans un tintamarre qui la fait rire aux larmes !

Stupéfait, je me découvre un préservatif au bout du sexe ! A quel moment me l’a-t-elle mis ? Cette créature doit être une sorcière, mais finalement ce geste quelque part me rassure.

On a rejoint la salle, elle m’explique qu’il y a deux catégories de « filles » dans l’établissement, celles qui sont embauchées et qui doivent un certain nombre d’heures à leur patron et des filles « libres » qui viennent ici faire quelques passes sur lesquelles le patron prélèvera une participation. On attend quelques instants qu’une de ses « collègues » nous rejoigne et nous nous dirigeons vers un petit parking ou Mae-Ying a garé sa voiture ! Sa voiture ! Une véritable épave à moteur ! Cabossé, retapée n’importe comment, pétaradant un bruit épouvantable et dégageant une odeur d’essence à faire fuir une famille de pompiste… Mais bon elle roule !

– Voilà, c’est une pension de famille ! A cette heure tous les pensionnaires travaillent, sont occupés ou dorment, on fera les présentations demain. Je vais te montrer ma chambre… Notre chambre… Ça va être notre petit nid d’amour pour tous les deux !

La chambrette est sympathiquement décorée, mais ce n’est pas le grand luxe, juste un lit une armoire, une commode et une table minuscule avec une unique chaise. Dans coin, il y a un lavabo et une toilette.

Elle est marrante, Mae-Ying, manifestement elle ne souhaitait pas qu’on se jette l’un sur l’autre de suite, comme ça brutalement, elle m’a montré les objets de sa chambre, à certains était rattaché une anecdote qu’elle me narrait avec force détail, l’entendre parler était un régal. Elle me posait aussi des questions sur la France, sur la façon dont les Thaï y vivaient. A ma grande honte, je devais avouer que je n’arrivais pas trop à faire la différence entre les Thaïs, les Viets, les Khmers, les Laos… et les Chinois. Elle en riait, se moquait de mon inculture :

– C’est comme moi, je confonds toujours les Espagnols avec les Italiens… Tu as faim ?
– Non pas trop, peut-être tout à l’heure !
– Oui tout à l’heure ! En attendant, je suis à toi ! Dis-moi ce que tu veux, on le fait !
– Je voudrais te voir à poil déjà !
– C’est ma quéquette que veux voir, hein petit vicieux !
– J’avoue !
– T’avoue quoi ? Que tu es un petit vicieux !
– Aussi, oui !
– Bon alors on va te montrer tout ça !

Elle se déshabille, le slip rouge est toujours là,

– Tu veux me l’enlever !

Bien sûr que je veux, je fais glisser le bout de tissu le long de ses belles cuisses douces et dorées. Sa queue plus imposante que je n’aurai pensé, surgit insolente, me narguant de sa belle couleur foncée !

Mae-Ying virevolte, fait la folle, me montre ses jolies petites fesses, se retourne fait le geste de se masturber quelques instants, se tourne encore, rigole !

– Alors elle te plait ta petite pute ? C’est ça les ladies boys… des femmes avec des bites !
– Superbe !

La voici qui grimpe sur le lit, se met à quatre pattes, relève la croupe et se l’agite vicieusement ! Le spectacle est d’une rare intensité érotique, je me débarrasse vite de mes propres vêtements, je bande déjà ! Mae-Ying écarte avec les mains ses globes fessiers comme pour m’inviter à la prendre ! Il est des invitations qui ne se refuse pas ! Problème de correction. Elle me désigne le paquet de capotes sur la table de chevet. Je me capuchonne, je m’approche, lui embrasse les fesses, frotte mon pénis contre sa raie, et n’y tenant plus entame ma pénétration dans son anus qui m’accueille rapidement. Je trouve rapidement le bon rythme. Mae-Ying m’aide en agitant son fessier. De la main j’attrape son sexe qui bandouille et entreprend de le faire grossir, il réagit bien… Je continue de la sodomiser pendant plusieurs minutes, son sexe est maintenant tout raide. J’ai désormais une idée fixe, ce bel appendice de chair mate, je le veux à présent dans ma bouche. Je décule, elle comprend ma requête, s’assoit sur le lit les jambes écartées et la bouche ouverte je me précipite pour goûter à cette magnifique quéquette de travesti. Je ne prétends pas savoir sucer, j’improvise, me jette sur cette bite comme sur une friandise et lui prodigue une véritable fellation à la sauvage. Au bout de quelques minutes, je suis conscient de mes progrès, c’est vrai qu’elle me guide :

– Moins fort, un peu plus haut…

Et puis, récompense suprême, la verge s’agite de soubresauts, je n’ai pas le temps de me retirer, le sperme envahit ma gorge, ce n’est pas grave, elle me conseille de ne pas avaler. Ma propre bite est prête à éclater. Sans que je lui demande quoique ce soit, elle se replace en levrette et m’accueille de nouveau. Quelques allers et retours eurent raison de ma résistance et je jouissais pour la seconde fois de la soirée d’un plaisir intense.

On a fait ce qui devait être une pause, Mae-Ying est allé chercher deux bols de soupe et deux canettes, on s’est descendu tout ça en causant. Et puis le sommeil est venu, alors on s’est blotti l’un contre l’autre, on est rentré dans le lit et enfin nos visages se sont rapprochés en un long baiser sensuel.

J’ai bien dormi, le matin je me suis réveillé le premier, l’unique drap avait été rejeté au pied du lit à cause de la chaleur accablante et mon travesti ronflait comme une bienheureuse, ses jolies fesses galbées en évidence, comme une invitation à une caresse que je m’empressais de lui prodiguer en m’efforçant de ne pas la réveiller. Voilà qui venait renforcer mon érection matinale, mais je m’en serais voulu de tenter quelque chose sans son accord, j’attendis donc, finis par me lever pour aller pisser, et ne trouvant rien de mieux à faire, je me saisis du petit carnet que j’avais apporté dans ma sacoche et entrepris de coucher sur le papier ces moments inoubliables.

Finalement Mae-Ying se réveilla, s’étira comme une chatte, me fit un petit sourire et s’en alla à son tour pisser. Elle ne se cachait pas, dirigeait son sexe à moitié raide vers le bas afin que le pipi prenne la direction de la toilette.

– Ça va ? Demandais-je ! J’aime bien te regarder pisser, c’est très… troublant !
– Je peux te pisser dans la bouche si tu veux ?

Je me suis laissé prendre au jeu, il ne lui restait que quelques gouttes, mais je les ai appréciées. Elle m’a proposé que je la regarde faire caca, j’ai refusé, mais je me suis dit après que j’avais peut-être eu tort, ça aurait pu être rigolo.

Elle s’assoit sur la cuvette, et elle pousse, évidemment je ne peux rien voir puisque je ne l’ai pas souhaité mais j’entends sa merde tomber au fond de la cuvette. Elle se relève, va pour prendre du papier puis se ravise :

– Tu veux m’essuyer ?

En voilà une idée qu’elle est bizarre, mais elle doit m’amuser puisque j’ai accepté, je prends le papier pendant qu’elle écarte ses fesses.

– Non ! Avec ta langue !

Oups !

Je ne suis pas complétement novice en matière de scato soft, il m’est arrivé plusieurs fois lors de mes excitations solitaires de me doigter le cul et de me lécher les doigts. J’ai pu ainsi constater que le goût n’a rien, mais vraiment rien d’abominable… Alors ma langue s’est approchée du joli petit cul de Mae-Ying et je lui ai nettoyé tout ça en bandant comme un cerf. Du coup je lui proposais ma bite afin qu’elle me la suce.

– Je n’ai plus le temps, maintenant, mais patience, on va se revoir…
– Bon, alors je vais te laisser, à moins que je puisse prendre une douche quelque part !
– C’est pas évident, les douches sont en bas, faut faire la queue, il y a du monde ici, mais viens, je vais te présenter !
– Non, tant pis je me doucherais à l’hôtel !
– Tu te doucheras à l’hôtel, d’accord, mais il faut respecter les traditions, je vais te présenter, ça ne sera pas long !

Le genre de truc qui me barbe carrément ! Ce devait être l’heure du petit déjeuner, et dans la salle à manger, on me présente à je ne sais plus combien de créatures plus troublantes les unes que les autres, toutes des travestis ou des transsexuelles ! Où étais-je tombé ? J’avais l’impression que les plus belles ladies-girls s’étaient donné rendez-vous ici, mon érection non satisfaite de ce matin reprenait vigueur rien qu’en contemplant leur visage et en envisageant les promesses de plaisirs que ces créatures contenaient en elles.

Mae-Ying– Elles sont mignonnes mes copines, non ?
– Merveilleuses !
– Et tu t’amuserais bien avec, n’est-ce pas petit cochon ?

Qui venait de parler ? Je me tournais :

– Madame Huang ! Enchantée, je suis la directrice de cette pension. Mae-Ying a décidément bon goût, il y avait longtemps qu’elle ne m’avait dégoté un européen aussi mignon !

Je rougis, je ne sais plus où me foutre ! C’est qui celle-ci ? Une vraie femme probablement, assez grande pour une asiatique, probablement la cinquantaine, mais très bien conservée, une robe traditionnelle, noire et fendue sur le côté, un chignon savant. Une belle femme dégageant une sorte d’autorité naturelle. Je lui tends la main.

– On ne serre pas la main de Madame Huang, on lui baise la main, et il n’est pas interdit de d’agenouiller devant elle ! M’informe-t-elle parlant d’elle-même à la troisième personne.

M’agenouiller, faut peut-être pas exagérer, mais je lui baise la main !

– A genoux ! M’ordonne-t-elle !
– Je suis désolé, je…
– Tu ne veux pas me faire plaisir, tu ne veux pas jouer avec moi ?

Ah ! Bon si c’est un jeu alors allons-y, je m’agenouille.

– Tu aimes aussi les femmes ou alors tu fais une exclusivité sur les trans ? Demande-t-elle.
– Non, j’adore les femmes, j’ai les idées très larges !
– Et comment-tu me trouves ?
– Troublante !
– Troublante, c’est tout ? Tu n’as pas un autre adjectif ?
– Désirable !
– Tu es sincère !
– Oui !
– Une femme qui aime dominer et qui est plus vieille que toi, ça ne te dérange pas ?
– Si la domination reste un jeu, ça ne me dérange pas du tout !
– Alors on va jouer ! Suis-moi dans ma chambre !

Elle me demande pour combien de temps je suis là, à quel hôtel je suis descendu et tout un tas d’autres trucs…

– Installe-toi ici, tu as vu le lot de pensionnaires que je gère, si tu es gentil avec elles, elles te le rendront au centuple. Voilà qui te fera des vacances inoubliables !
– Je crains de ne pas avoir les moyens d’envisager tout cela !
– Les moyens ! Qui te parle de moyens ? Qui te parle d’argent ? Tu auras tout cela gratuitement, il y a juste une contrepartie.

Je rêve ou quoi ?

– Tu vas être pendant le reste de tes vacances, ma petite femme à moi, tu seras à la disposition de mes plaisirs et pour le reste tu pourras faire ce que tu veux, mais attention je suis très exigeante !

– Si vous cherchez un étalon vous allez être déçue !
– Je cherche une petite femme, pas un étalon !
– Je ne comprends pas bien….
– C’est un jeu, rien qu’un jeu, tu es d’accord pour y jouer ?
– Je crois, oui !
– Il faudra m’obéir !
– Pas de problème !

Ce jeu me faisait un peu peur, mais bon, je n’étais pas prisonnier mon plus, et puis ce délire finirait par lasser cette madame Huang, après qu’elle se sera bien amusée, je reprendrais ma liberté, alors pourquoi ne pas profiter de cette folle occasion ?

– Déshabille-toi et va m’attendre dans la salle à manger !
– A poil ?
– Oui, à poil !

Je ne me reconnaissais plus, moi qui suis d’un naturel plutôt pudique, j’acceptais sans rechigner, et après m’être déshabillé, je pénétrais dans le salon, sous les regards amusés de la petite compagnie. J’étais impatient de voir madame Huang me rejoindre. L’une des ladies-boy s’approche de moi, elle me parle, je ne comprends pas ce qu’elle dit, elle me caresse alors les fesses, je me laisse faire, ça n’a rien de désagréable, sa main ou plutôt son doigt s’approche de mon trou du cul, y pénètre et se met aller et venir. Je croise le regard de Mae-Ying, toujours ce sourire… est-ce vraiment pour la directrice que j’ai accepté de jouer ? N’est-ce pas plutôt inconsciemment pour pouvoir prolonger le temps où je pourrais encore croiser ce regard, ce sourire… Allez savoir ?

Madame la directrice rentre enfin. Ces quelques minutes m’ont parue bien longues, Je la regarde, fasciné, elle a attaché une cravache à sa ceinture ! Voilà qui ne me rassure pas, si c’est pour moi cet instrument, je ne joue plus, moi, et puis elle tient une bite à la main, j’ai cru un instant que Madame Huang était aussi un travesti avant de m’apercevoir qu’elle s’était tout simplement harnachée d’un gode ceinture ! Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver, mais il va m’arriver quelque chose !

La directrice commence à engueuler le travesti qui me faisait des papouilles, l’autre répond en montrant le doigt qu’elle m’a foutu dans le cul et qui n’est pas ressorti très propre.

– Léché lui son doigt, voyons, il ne va pas rester comme ça ! Me dit Madame Huang.

Si ça peut leur faire plaisir…

– Nous allons sceller le pacte que nous avons conclu, reprend Madame Huang. Pour cela je vais te prendre devant tout le monde !
– Heu ! Je ne sais pas si je vais aimer !
– Tu ne vas pas me dire que tu ne t’es jamais fait enculer ?
– Ben non !
– Voici une grave lacune, il va falloir que nous y remédiions ! Et jamais de gode non plus ?
– Si ! Parfois je me suis amusé avec un gode, mais tout seul !
– Et bien tu vois cette fois tu ne seras pas tout seul ! Allez tourne-toi, couche ton torse sur la table et écarte tes jambes, je m’occupe du reste.
– Euh, si ça ne me plait pas, on arrête, hein ?
– Dis donc, tu as fini de discuter ! Tu ne serais pas en train de douter de mes talents en ce moment ? Pense à tout ce que tu vas avoir à ta disposition, il faut bien des contreparties non ! Allez en position, je ne veux plus t’entendre.

Je sens quelque chose de froid en contact avec mon anus, du gel très probablement, puis je sens le gode forcer. Je décide d’y mettre du mien, après tout pourquoi mourir idiot, j’écarte mes fesses, l’instrument commence à rentrer, c’est plus gênant que douloureux, ça avance doucement dans mon rectum. Bizarre cette impression d’un corps étranger. Je ne vois pas très bien où est le plaisir là-dedans. Madame Huang fait à présent coulisser le gode ceinture, ça commence à être pénible cette affaire, et c’est limite douloureux. Je prends mon mal en patience, ça ne va quand même pas durer des heures, mais de façon d’abord imperceptible, je sens comme un léger trouble, qui augmente, m’emporte, qui gagne sur la douleur, je comprendrais plus tard que cette sensation est due au frottement du gode sur la prostate ; cette fois j’aime ce qu’on me fait, c’est bon, c’est délicieux, j’en redemande, je crie de plaisir.

– Alors, c’était bien la peine de nous faire tout un cirque ! Me dit la directrice en se retirant !
– C’était bon, madame !
– Décidément tu me plais de plus en plus ! Bon je te reverrais tout à l’heure j’ai quelques coups de téléphone à donner.

Elle disparaît, me laissant à nouveau seul et nu au milieu des toute la pensionnée.

Mae-Ying et Sumana, le travesti qui tout à l’heure me pelotait discutent ensemble, il ne fait aucun doute que je suis le sujet de leur conversation, ils finissent par s’approcher.

– Viens avec nous, on va te féminiser, ça fera plaisir à madame Huang !

Un nouveau jeu, donc ! Elles commencent à me raser tous mes poils, je n’en ai jamais eu beaucoup, mais là, je n’ai plus rien du tout y compris aux pubis et aux aisselles. Ça fait bizarre, je me sens comme un bébé qui vient de naître. On m’épile savamment les sourcils, c’est peut-être embêtant ça, mais je me dis qu’en trois semaines cela aura le temps de repousser. J’ai ensuite droit au maquillage des yeux, à celui du visage, au rouge à lèvres… Mes oreilles ne sont pas percées, qu’importe, ces demoiselles sont équipées et me fixent des jolies petites boucles d’oreilles qui se clipsent, on me fait des essais de perruques et elles optent finalement pour une coiffure blonde mi longue et légèrement frisée. On me colle des faux ongles aux doigts de la main et du vernis à ceux des pieds, on me maquille les tétons avec de l’ocre rouge, on me pare de quelques bijoux en toc, on me parfume. Il ne reste plus qu’à m’habiller, un simple chemisier blanc en haut, très légèrement transparent et qui fera apparaître mes pointes de seins. En bas, une culotte dans laquelle on a pris soin de coincer ma verge entre les cuisses, et une minijupe écossaise pour compléter tout ça ! Restent les chaussures… Et là problème… elle n’ont rien dans ma pointure !

Qu’à cela ne tienne, elles décident de m’emmener en acheter !

– Euh, je ne vais pas sortir comme ça ?
– Ben si, il faut bien les essayer !

Je me regarde dans un miroir, je ne me reconnais plus… C’est qui cette délicieuse petite pute avec une bouche à sucer des bites ! Tiens, je me plais, ça m’excite, je me demande comment Madame Huang va me trouver, mais avant, il me faudra franchir l’épreuve des godasses.

Avec son impossible voiture Mae-Ying et sa complice m’emmènent chez un grand marchand de chaussures de la ville. L’anonymat me rassure, parce que je me demande si je ne suis pas un peu ridicule (du moins du point de vue des autres) en travesti ! On me fait asseoir, on m’apporte des escarpins, un couple d’occidentaux me regarde avec insistance, je commence à me méprendre sur leurs intentions, me dis qu’il doit s’agir d’amateur de travestis et qu’ils me trouvent dans leurs goûts, je ne pourrais rien faire de plus mais un sourire n’a jamais tué personne. Quand je réalise, oh, horreur qu’il s’agit d’un couple qui était non loin de moi dans l’avion ! Ces andouilles ont dû me reconnaître, je rougis comme une tomate. Et puis au diable le qu’en dira-ton ? Je suis libre de faire ce que je veux, je ne fais du mal à personne. J’essaie une paire de chaussures, la pointure est bonne, je fais quelques essais de marche, pas évident d’avancer avec ces trucs, mais je m’efforce de bien faire, je me dirige crânement dans la direction du couple inquisiteur, les regardant avec tout le mépris dont je suis capable, encore quelque pas, et je me casse la figure sous les éclats de rire de la clientèle et du personnel.

Bon, je n’en mourrais pas ! Mae-Ying m’indique qu’il me suffira de faire une heure ou deux d’entraînement et qu’après tout ira bien.

Vers midi madame Huang refit son apparition et mes deux amies travestis s’empressèrent de lui montrer ma transformation !

– Mais quelle merveille ! Il est tout simplement splendide ! J’en mouille ma culotte, venez que je vous embrasse pour ce que vous avez réalisé… et prenez quelques billets dans le tiroir, vous vous paierez le restaurant.

Nous revoilà seuls tous les deux, elle tournicote autour de moi,

– Enlève tes fringues que je te vois nu !

Elle me caresse partout, ma poitrine glabre et maquillée semble l’intéresser ! Elle me tripote les bouts, me les pince, me les tire, me les tortille, me provoquant des spasmes de plaisir

– Hum tu as de gros tétons pour un homme, il faudrait une toute petite injection de silicone pour galber tout cela un petit peu…

Ça va pas, non !

– Tu vas me déshabiller, et après tu me lécheras la chatte !

Voici par contre un programme qui ne me déplait pas ! Je vais derrière elle, lui dézippe sa robe, la fait glisser à ses pieds, elle a le dos assez large comme beaucoup d’asiatiques du sud-est, il ne me reste plus qu’à dégrafer le soutien-gorge, ce que je fais libérant deux seins assez lourds mais de bonne tenues terminées par des aréoles et des tétons très sombres. J’ai une envie folle de lécher tout cela, mais je me retiens préférant ne pas contrarier ses plans, je retire la culotte ! Humm jolie chatte relativement poilue ! La directrice s’assoit sur le bord du lit, écarte ses cuisses, je me mets à genoux devant elle, j’approche mon visage, elle sent assez fort, mais ça ne me dérange pas, j’apprendrais par la suite, que par choix, elle ne s’essuie que rarement après avoir uriné ou chié, voulant ainsi conserver son odeur pour ses amants et amantes. J’écarte tout ce fouillis, elle a les lèvres un peu grasses, à moins qu’elles ne soient tout simplement gonflées par l’excitation, je commence à laper tout cela, m’enivrant de ses sucs, puis je me concentre sur le clitoris, l’agaçant de ma langue et de mes lèvres… je la sens griffer les draps, se raidir, partir… et finalement jouir, pour s’écrouler pantelante

– Bravo ! En plus tu sais faire jouir les femmes !

Le compliment me fait rougir !

Elle souffle quelques instants avant de me demander :

– Et mon cul ? Tu l’aurais oublié ?

Elle est insatiable cette nana !

Elle se retourne et écarte ses deux gros globes fessiers, me dévoilant son trou du cul recouvert de traces brunes. J’hésite juste un peu, et je lèche et enhardi par l’excitation je m’acharne à faire disparaître toutes les traces, je trouve ça plutôt excitant, je me régale, je me rend compte que je vais finir accro à ce truc-là. Je deviens barge.

Madame Huang appelle Sumana.

– Comment est mon cul, Sumana ?
– Il est tout propre, madame.
– Bien, ce jeune homme a droit à une petite récompense, pisse-lui dans la bouche.

Sumana dégage sa bite et me fait signe de m’accroupir, comme un zombie, j’ouvre ma bouche et avale ce qu’il m’offre. Il est excellent son pipi !

– Décidément tu me plais de plus en plus ! Tu sais j’ai une idée, tu sais ce qu’on va faire ?

Non, je ne sais pas, mais avec elle, je m’attends au pire !

– On va se marier !

Oups ! Ça y est… Elle a pété un plomb, Madame Butterfly !

– Non tu n’as pas l’air d’accord ? Demande-t-elle en faisant semblant d’être contrarié !
– Tu as vraiment des drôles de jeux !
– C’est fait pour cela la vie, pour jouer ! Jouer au mariage, ça peut être grandiose cette affaire-là.
– Et c’est quoi le programme des réjouissances !
– Ce sera une surprise !

Je n’ai revu ni la directrice, ni Mae-Ying de la journée, on m’a attribué une chambre, j’en ai profité pour me reposer et essayer de faire un peu de tri dans ma tête.

Le soir on est venu gentiment me chercher pour participer au repas collectif. J’ai mangé de bon appétit, la bouffe locale n’a finalement pas grand-chose à voir avec ce que nous proposent les restaurant thaïs européens, il y a beaucoup de trucs à la vapeur, mais ce n’est pas mauvais. J’ai du mal à communiquer, peu de pensionnaires parle correctement l’anglais, et le français, n’en parlons pas. Je m’adresse à la seule avec laquelle je peux un peu échanger, c’est Sumana :

– Madame Huang n’est pas rentrée ?
– Si mais elle prend ses repas seule, ou parfois avec l’une d’entre nous, elle mange très rarement dans la salle à manger…

Ça m’embête aussi de ne pas voir Mae-Ying, c’est un peu pour elle que je suis restée, elle doit être en train d’opérer au bar à travelos où elle m’a déniché hier soir, bêtement je me sens un peu jaloux. Finalement ça ne va pas ce soir, j’ai le bourdon…

A la fin du repas, on débarrasse, on apporte les couverts en cuisine, je me propose d’aider à laver la vaisselle, histoire de me rendre utile, mais on me fait comprendre que ce n’est pas la peine, je m’apprête à regagner ma chambre quand je croise à nouveau Sumana !

– Toi, je ne t’aime plus ! Me dit-elle en pouffant de rire !

Comprenne qui pourra, en tous les cas, moi je n’y comprends rien.

– Qu’est-ce que je t’ai fait !
– A cause de toi, j’ai reçu la fessée, tiens j’ai encore les marques !

Et du coup, elle me montre son cul ! Les marques, faut pas charrier, ou alors faut vraiment le savoir ! Je le lui fais remarquer. Elle me répond alors que la marque est aussi « gravée dans sa tête ». Elle se fout de moi, hier elle n’avait vraiment pas l’air plus traumatisé que ça ! Et cet après-midi non plus !

– Qu’est-ce que je peux faire pour arranger ça ? Proposais-je, histoire de dire quelque chose.
– Tu devines pas ?
– Non !
– Je peux venir dans ta chambre ?

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde, je ne vais pas dire non, et puis elle est ravissante cette petite Sumana.

– Tu veux bien que je te pelote les fesses ?

Voilà une question qu’on ne m’avait jamais encore posée. Mais si cela peut être le prélude à des petits jeux un peu pervers, pourquoi pas ? Du coup, je me déshabille, je me tourne, je lui offre mon cul ! La vision de mes fesses la fait manifestement craquer, et que je te les tripote, et que je tes tirlipote, et que je les malaxe !

– Qu’est-ce qu’elles sont belles ! S’extasie la lady-boy !
– Elles n’ont rien de spécial !
– Tu n’y connais rien, elles sont toutes blanches, douces, sans poils et si bien galbées, humm regarde comme je bande ! Ajoute-il en m’exhibant un bel engin effectivement bien raide !
– Jolie queue !
– Suce-là et après je vais t’enculer !

Pour la deuxième proposition, on verra, mais en ce qui concerne la première, je ne me le fais pas dire deux fois et je gobe le beau membre ainsi offert, il est plus gros que celui de Mae-Ying mais tout aussi agréable, j’ai l’impression d’avoir fait depuis hier des progrès prodigieux en fellation et je fais coulisser son membre décalotté entre mes lèvres en m’aidant de ma langue qui de temps à autre lape le bout du gland de petits coups coquins. Elle finit par me faire arrêter et me demande de me tourner. Excité comme je suis, je ne cherche même plus à discuter et de moi-même j’écarte mes fesses afin d’aider la verge à me pénétrer. Elle a un peu de mal, on n’a pas mis de gel et le sexe est un peu épais, mais ça finit par entrer. Comme la veille, j’ai d’abord la même sensation de gêne assez douloureuse, avant que le plaisir ne finisse par dominer tout cela.

– Et bien bravo ! Vous ne vous embêtez pas toutes les deux ?

C’est Madame Huang ! Pas trop gênée, on ne l’a pas vue de la journée, et elle se pointe dans ma chambre sans même se donner la peine de frapper à la porte !

– Bandes de salopes ! Me tromper à la veille de mon mariage ! Je vais vous punir ! Mais je vous en prie, il ne faut pas que cela vous empêche de continuer ! J’adore voir deux petites chiennes s’enculer !

Le problème c’est que Sumana a complètement débandé et est sortie de mon cul !

– Sumana, je vais te donner vingt coups de cravache, et même que tu ne pourras pas t’asseoir pendant une semaine !
– Oui madame !
– Ça t’excite quand je te dis que je vais te punir !
– Oui, madame

Madame Huang lui a pris le sexe en main et le masturbe un peu, tandis que de ses dents elle lui mordille le téton, l’érection ne tarde pas à renaître, Sumana enfile un nouveau préservatif et me demande de me positionner pour terminer le travail déjà commencé. Pour cette seconde introduction il n’y a plus de préalable pénible, ça fait du bien tout de suite, je gueule des « C’est bon, c’est bon ! », tandis que l’autre finit de jouir, et s’affale sur mon dos à moitié épuisé ! Madame Huang le congédie !

– Pour ta punition à toi, je vais réfléchir, mais il ne faut pas que cela nous empêche de nous marier, je vais te laisser faire dodo, demain la journée sera longue…

Le lendemain, la journée a très bien commencé, j’ai revu Mae-Ying, c’est elle qui m’a réveillé.
– Ah, ma petite famille est arrivée pour la noce, je vais te la présenter.

On descend, il y a là un jeune homme et deux jeunes femmes à moins que ce soit des lady-boy, on finit par ne plus savoir !

– Voici mes deux filles, Ratana et Hansa et mon fils Gun.
– Nous sommes enchantés ! Me dit Hansa
– Moi aussi !.
– Ils sont beaux n’est-ce pas ? Et encore tu ne les as pas vu à poil ! Me dit Madame Huang. Tu aimerais ?
– Peut-être pas…
– On ne refuse pas ce que je propose, à poil les enfants !

Et voilà que les trois rejetons de Madame Huang sont maintenant nus devant, moi; Les files sont de vraies filles au corps harmonieux et parfait, quant à Gun, il est très fin, imberbe et à une bite magnifique. Voilà que je bande !

– Ratana et Hansa sont des putains très appréciées ! Me précise Madame Huang
– Putains et fières de l’être ! Croit devoir ajouter Hansa avec un sourire enjôleur.
– Mais, reprend Madame Huang, je vois que tu regardes la bite de Gun, elle est belle, n’est-ce pas, j’adore la sucer !
– C’est vraiment ton fils ? Et tu le suces ?
– Bien sûr que c’est mon fils, je le suce et il m’encule ! On fait du mal à qui ? Et je couche aussi avec mes putes de filles.
– Ben ça alors !
– Allez suce la bite de Gun, son sperme est délicieux et c’est plein de vitamines !

Je me suis donc retrouvé avec la jolie bite de Gun dans la bouche, sa mère est venue près de moi afin que nous le sucions de conserve. Pendant ce temps là Ratana me doigtait le trou du cul, tandis qu’Hansa faisait de même avec celui de sa mère.

– Humm, tu as le cul très accueillant aujourd’hui, Maman !

Elle ressort le doigt, imbibé du jus du cul se sa mère, elle le lèche, s’en régale.

Gun a joui dans ma bouche, j’ai ensuite échangé un long baiser au sperme avec cette diablesse de Madame Huang.

Puis Madame Huang s’est chargée de mon maquillage et de mon habillement, elle m’a dégoté une robe de mariée à l’occidentale d’un blanc immaculé, j’ai le sentiment d’être un peu ridicule là-dedans, mais j’ai accepté de jouer, continuons le jeu !

Surprise, madame Huang s’est habillée en homme, costume trois pièces, chemise blanche et cravate à pois, elle s’est coiffée d’une sorte de chapeau très « Chicago des années 1930 ». J’ai quand même l’impression d’aller au carnaval.

Je ne sais pas où l’on va, c’est Mae-Ying qui conduit, deux autres voitures suivent, nous sortons de Bangkok et nous voici en pleine campagne, on finit par atterrir dans une sorte de propriété, ou nous nous garons, nous nous sommes ensuite dirigés vers un petit bâtiment à moitié en ruine où une sorte d’autel en pierre a été dressé au pied duquel un matelas tout neuf et recouvert encore de sa cellophane a été posé !

Une grande asiatique nous attend ! Elle distribue deux petits sachets à chacun des invités, puis elle nous demande à moi et à la directrice de nous approcher ! Je vois alors l’espèce de grande prêtresse sortir un canif ! Pas rassurant cela, si on voulait me trucider en pleine campagne, qui irait me rechercher ? Mais non, le canif est tout simplement destiné à retirer la cellophane du matelas.

– Vous voulez vous marier devant moi ?
– Oui ! Réponds Madame Huang.

Je crois diplomatique de faire la même réponse !

– Je vais vous déshabiller !

Elle tape alors dans ses mains, et voici que surgissent d’on ne sait où deux mecs complètement nus, pas des travelos, non des mecs lambda un peu enveloppés, l’un s’occupe de moi et m’enlève ma robe puis le reste, tandis que son comparse déshabille la directrice. Nous voici tous les deux complètement nus ! J’en profite pour admirer à nouveau cette belle femme que l’âge n’a pas trop abîmé. La prêtresse s’est dépoitraillée et tout en se tripotant les seins elle se livre à une incompréhensible incantation, puis elle nous fait mettre à genoux !

Les deux types approchent alors leurs bites de nos visages, je crois comprendre, mais ça commence à me plaire beaucoup moins, autant sucer des sexes de travestis ou de transsexuelles m’amuse, autant le faire avec des vrais mâles ne me dit rien que vaille ! Vous me direz, j’ai bien sucé Gun, mais celui-ci était fin, imberbe, très peu masculin finalement, pas comme ces deux gros patapoufs. Mais comment m’enfuir d’ici ? Alors je me dis qu’au pire ce sera un mauvais moment à passer, et sur un signal de la prêtresse, nous engloutissons simultanément les queues ainsi offertes à nos bouches qui n’avaient rien demandé. Je ferme les yeux, après tout, une fois dans la bouche quelle différence avec celles de Mae-Ying ou celle de Sumana ? Sauf que le fantasme n’y est pas, mais bon, on ne peut pas toujours tout avoir, j’essaie de faire de mon mieux, et à ce point que ce mâle inconnu finit par décharger dans ma bouche. Pas de kleenex pour cracher, si… on m’en tend un, ces gens sont décidément très prévenants. Madame Huang a à son tour achevé son propre mâle. On m’invite ensuite à me coucher sur le matelas ! Je le fais, d’abord peu rassuré, puis plus confiant quand on indique à ma future de s’installer sur moi en position de soixante-neuf ! C’était donc ça son mariage, finalement c’est assez sympathique, et tandis qu’elle me lèche le gland, je lui broute le minou à qui mieux-mieux. ! Au bout de cinq minutes de ce joli travail respectif, nous finissons par jouir l’un après l’autre, c’est alors que je vois l’ensemble de la noce autour de nous, tous complètement nus, en train de nous balancer des grains de riz et des pétales de fleur d’oranger en nous félicitant et nous souhaitant beaucoup de bonheur ! C’est émouvant !

La noce repart ! Je ne sais pas où toute cette bande de joyeux drilles est allée manger, mais on nous a laissé, Madame Huang et moi, seuls en tête-à-tête. On s’est retrouvé dans un restaurant assez chic des alentours de Bangkok, rien d’érotique dans ce repas, mais des mets succulents et un service impeccable. Et j’ai eu la surprise de constater que ma mariée avait des tas de choses intéressantes à raconter, elle m’a parlé de sa famille, de la difficulté qu’ont les gens ici dans les campagnes, de la corruption qui bouffe tout, des filles que l’on trompe en leur promettant monts et merveilles à l’autre bout du monde, des touristes qui viennent faire du tourisme sexuel en méprisant profondément les habitants locaux. Je la rassure, lui dis que globalement je partage ses points de vue, lui parle de moi, de ma façon de voir la vie, de voir le sexe, l’amour… Elle professe une philosophie simple, basé sur le plaisir de la vie, elle me dit qu’oui, le plaisir peut y compris s’acheter pourvu que tout cela reste une relation de respect mutuel ! Cette femme est finalement extraordinaire, j’ai soudaine envie de l’embrasser, je l’embrasse, nous nous embrassons profondément, goulûment, même, et puis pour la première fois cet aveu :

– Quand je t’ai vu, j’ai eu un coup de foudre, c’est idiot je ne te connaissais pas, mais maintenant je me rends compte que tu es quelqu’un d’intéressant ! Me dit-elle
– Merci, ça me fait plaisir !
– Seulement plaisir ?
– Arrête, j’ai la chair de poule ! Répondis-je
– Si je te dis que je t’aime, tu serais capable de l’entendre ?
– Donne-moi encore quelques heures, je voudrais être sûr !
– Au moins tu es sincère, encore un bon point à ton actif ! Mais tu as raison, je suis une drôle de bonne femme, je suis autoritaire, imprévisible, mais ça n’empêche pas les sentiments. Tu as…. Tu as les mains douces.
– Toi aussi !
– Embrasse-moi encore !

On s’est attardé très longtemps au restaurant, au lieu de servir des plats trop copieux, le service s’organisait autour d’une multitude de petits plats, mais c’était délicieux, et la nuit commençait à tomber alors que nous finissions à peine notre thé au jasmin.

Mae-Ying vint nous rechercher !

– Ça s’est bien passé ?
– Très bien, je crois que j’ai fait le bon choix répond la directrice. Mais je dois une punition à ma petite femme, il serait injuste de ne pas lui donner !

Ben voyons !

– Tu es prêt à recevoir ta punition ? Me demande madame Huang.
– Punition pour quoi ?
– Parce que j’ai envie de te punir.
– Si je ne me retrouve pas en pièces détachées après, ça devrait aller !
– Tu aimes te faire enculer, n’est-ce pas ?
– Je dois avouer que ce n’était pas désagréable !
– Alors tu vas être servi, on va t’attacher, c’est juste pour le fun.

Je me laisse faire, on me couche à moitié sur une petite table, les jambes attachés aux pieds du meuble, les bras tirés vers l’avant, auparavant on a disposé un coussin sous mon ventre sans doute pour me remonter le cul ! Puis on me laisse un moment, sur une autre table on a attaché Sumana de la même façon. La directrice lève sa cravache et le coup s’abat sur les pauvres fesses de la belle travesti !

– Tiens, je vais t’apprendre à enculer ma petite femme, pendant que je ne suis pas là !

Deuxième, puis troisième coup !

– Et qu’est-ce qu’on dit, d’abord ?
– Pardon madame !
– Plus fort (quatrième coup)
– Pardon madame !

Et ça continue, je remarque d’ailleurs qu’elle diminue l’intensité de ses coups de façon à pouvoir aller jusqu’à vingt sans que l’affaire devienne insupportable. Elle fera toutefois une belle exception pour le vingtième qui claquera avec un joli petit bruit sec !

– Aïe !
– Ah, bien oui il fait mal celui-là !

On détache Sumana, qui s’en va « bouder » dans un coin et sur un signe de madame Huang, un premier travesti se présente derrière moi, la bite bandée, j’ai maintenant presque l’habitude, le gel, la poussée, l’impression de gêne, puis le plaisir, je ferme les yeux mais voilà qu’on me tire (sans brutalité) les cheveux, une autre lady-boy est devant mon visage, je comprends la manœuvre, il faut que je la suce, celle-ci, afin qu’elle bande et quand elle bandera, elle passera derrière et ainsi de suite. J’ai dû sucer ainsi toute la noce et plutôt deux fois qu’une. Je connais le goût de chaque queue, les salées, les moins salées, les longues, les épaisses, les juteuses, les noueuses… je les ai toutes eus dans mon cul, des raides qui restent raides, des moins raides qui débandent, des carrément molles, des qui bandent pendant l’action, toute la panoplie. Certaines de ces queues sont ressorties avec la capote merdeuses, ce n’est pas grave. On me détache ! Je ne me plains pas, je trouve tout simplement que trop c’est trop ! Je me relève.

– Tu dois avoir soif ! Me demande Mae-Ying !
– Oui !
– Alors on va exécuter la fin de la cérémonie du mariage, c’est la soif de l’amour !

Parce que c’est pas encore fini tout ce cirque ? Qu’est-ce qu’elles ont été encore inventées ! On pose une nappe, un drap plutôt, sur la table d’où on vient de me libérer et on m’invite à m’y coucher dessus sur le dos. On aide ensuite Madame Huang à y monter ! C’est assez impressionnant comme vision, belle contre-plongée, moi couchée et elle debout, avec les autres autour ! Elle s’accroupit au-dessus de mon visage, descend lentement et colle carrément sa chatte sur ma bouche qu’elle me demande d’ouvrir ! J’ai compris ! J’attends fébrile, ma queue rebande, une goutte d’urine vient s’écouler au fond de mon gosier, une autre et encore une autre, un petit filet qui grossit et ça ne s’arrête plus, j’avale tout ce que je peux, j’essaie de ne pas m’étouffer, elle de son côté essaie de marquer des haltes. Et puis plus rien, c’était bon, je m’en lèche les babines !

J’attend qu’elle se relève, elle ne le fait pas.

– Je vais te donner mon cadeau ! Me dit-elle.

Elle se recule légèrement, son cul est au-dessus de mon torse, et la voilà qui pousse. Un bout d’étron sort doucement de son cul, elle pousse encore et un long boudin dégringole sur ma poitrine. Elle se relève, très fière d’elle. Elle détache un petit morceau de sa merde, et le lèche ! Puis me l’approche de ma bouche. Je ne vais tout même pas faire ça ? Ben, si je le fais, je lèche un peu arrachant un sourire ravi à mon épouse du jour.

Elle se badigeonne ensuite les seins et les joues avec la matière. Madame Huang est rayonnante et cette crème insolite ne parvient même pas à l’enlaidir.

Folle d’excitation la directrice se met en levrette, cuisses ouvertes, cul relevé et appelle Gin !

– Viens mon fils ! Viens enculer Maman !

L’androgyne n’hésite pas une seconde et sodomise sa mère à grands renforts de coups de rein

Ses deux filles, ne voulant pas être en reste accourent à leur tour. Ratana viens se faire lécher la moule tandis qu’Hansa s’est faufilé sous sa mère afin de lui lécher les tétons.

Quelle famille , mes amis, quelle famille !

Après qu’elle eut jouit (bruyamment) Madame Huang se relève en sueur, me tend la main pour que je la rejoigne et m’embrasse goulûment sur la bouche sous les acclamations de la noce qui crie :

– Elles sont mariées ! Elles sont mariées !

On s’embrasse, on met de la musique, on danse, on débouche du champagne ! C’est la fête, les corps se frôlent, se caressent, c’est la fête du sexe !

On est monté dans la chambre de madame Huang, seulement tous les deux, J’ai voulu honorer mon épouse, mais on était crevé, on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre, j’étais bien, apaisé après toutes ces folies.

J’appréhendais la suite, c’est sans doute pour cela que je me suis réveillé de bonne heure. Ma mariée avait déjà quitté le lit « conjugal », je profitais de la présence ici d’une salle de bain attenante en me posant milles questions ! Son amour déclaré pour moi était-il sincère ? Et moi l’aimais-je ? Et puis surtout ça va durer combien de temps encore tout ça ?

Je me douche, je me sèche, j’enfile un peignoir, je vais pour m’habiller, mais voici Madame Huang qui revient avec le petit déj.

– Bien dormi ? Qu’elle demande.
– Bien sûr mon amour !

…Sa tête !

– T’es trop mignon, toi !
– Tu fais quoi aujourd’hui ! Demandais-je.
– Je vais vaquer à mes occupations
– Et moi ?
– Mais toi tu es libre, on s’est bien amusé, mais maintenant le jeu est fini, tu vas bientôt retourner en Europe…

Je n’entend pas la suite, j’ai une boule dans l’estomac.

– Mais continue-t-elle, tu m’as donné beaucoup de plaisir, on a passé un super moment tous les deux, et si tu repasses par ici, viens nous voir, tu seras toujours le bienvenu.

Elle m’a embrassé, j’ai eu du mal à retenir mes larmes.

Ben oui ! J’espérais quoi au juste ? Tiens demain j’irais visiter Angkor, ça me changera les idées !

Fin

Boris Vasslan sur un scénario initial de Christophe P (11/02). Partiellement réécrit en 2018


Ce texte a obtenu le 1er prix Vassilia du « meilleur récit TRANS publié sur notre site en 2002

Par Boris - Publié dans : Boris
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 16 août 2018 4 16 /08 /Août /2018 06:48

La mariée propose… (ou le sex-mariage de Mylène) par Boris Vasslan et Sphak

wedding00

Thémes abordés :  bisex féminine, bisex masculine, bizarre, doigtage anal féminin, doigtage masculin, domination hard, exhibition, famille, feuille de rose, jeux érotiques, masturbation, party, pluralité masculine, scato hard, sodomie féminine, sodomie masculine, soubrette, spermophilie, uro, zoophilie.

 

 

Prologue


Mylène et Cédric viennent de faire l'amour, ils sont l'un près de l'autre, nus sur le lit, exténués par leurs folies, heureux... repus... 

- Ça va ? Demande Cédric, histoire de dire quelque chose.

- Ben, oui, ça va. Et toi ça va ? Rigole Mylène

- Tu sais, avec Florence, quand on faisait l'amour, dès qu'on avait fini, elle se précipitait sous la douche, ça avait le don de m'énerver…

Mylène n'aime pas cette allusion à Florence, l'ex de Cédric, non qu'elle soit jalouse mais imaginer son mec avec cette fille qu'elle considère comme une gourde l'agace profondément. Pourquoi lui parle-t-il de ça ? Il est vrai que Cédric a l'habitude d'accumuler les gaffes ! Elle s'en sort en biaisant ! 

- "Les sucs de l'amour ne peuvent être sales", disait Aragon !

Cédric sourit. Ce doit être de la déformation professionnelle, Mylène adore illustrer les thèmes qu'elle défend de fausses citations que personne n'ira de toute façon jamais vérifier.

Cédric et Mylène sont ensemble depuis plus de trois ans, ils vivent confortablement, très confortablement même. Elle est conseillère en communication, c'est à dire qu'elle vend pas mal de baratin aux entreprises qui croient en avoir besoin. Après son passage on s'empresse de prendre de bonnes résolutions qui seront très vite oubliées quelques semaines plus tard… Mais son efficacité, son charisme allié à une beauté naturelle, lui ont forgé une solide réputation. Elle est grande, blonde, s'amuse à faire croire qu'elle est d'origine scandinave alors qu'elle est née à 100 kilomètres de Paris en plein pays beauceron. Mylène est très demandée et la demande ça se paye.

Quant à lui, il a eu la chance de remplacer au pied levé, l'animateur souffrant d'une émission "bouche-trou" à la télévision. Il s'en sortit plutôt bien, et quelques relations aidant, il se retrouva rapidement en train d'animer des choses à la visibilité plus évidente et au cachet plus substantiel. Donc nous l'avons vu, notre couple n'est pas dans le besoin, ils n'en ont pas pour autant attrapé la grosse tête, sachant très bien quels sont les aléas de ces professions.

Mylène se caressait négligemment un sein, Cédric adorait les seins de sa compagne, un frémissement agita même son sexe pourtant fatigué. 

- J'aime bien quand tu me prends en levrette, comme ça je ne te vois plus et j'ai la tête pleine de fantasmes !

- C'est pas très gentil ce que tu dis ! Lui fit remarquer son amant.

- Mais si au contraire, quand je te vois, je ne pense qu'à toi, ça devrait te faire plaisir !

- Alors je te pendrais plus en levrette ! Ou alors ou va faire poser des miroirs, on en avait déjà parlé 

- T'as rien compris ! Tu sais ce que c'était mon fantasme ?

- Je m'attends au pire !

- J'étais en robe de marié et j'étais au centre d'une orgie !

Cédric ne répondit pas, tout ce qui évoquait le mariage l'agaçait viscéralement et il avait peur que sa compagne dévie la conversation vers ce sujet. 

- Bon, je vais me lever ! Finit-il par dire !

- Tu sais, j'aimerais réaliser ce fantasme !

- Quel fantasme ? Demanda hypocritement Cédric.

- Ben, celui que je viens de te dire, la mariée avec l'orgie !

- Tu voudrais qu'on se marie ? C'est nouveau ?

- Mais non…Ce ne serait pas un vrai mariage !

- Hein ?

Elle lui expliqua alors ce qu'était un sex mariage : 

- C'est comme un vrai mariage, avec la robe blanche, les invités, la bouffe, les témoins, les garçons d'honneur et tout le reste, sauf qu'on ne se marie ni devant la loi ni devant Dieu.

- On se marie devant quoi, alors ? Demanda Cédric, amusé.

- Devant le sexe !

- !!!

Préparatifs

Le fric attire les gens comme les mouches attirent le miel et nombreux étaient ceux qui se prétendaient être des amis du couple. Mylène et Cédric ne se faisaient aucune illusion … au premier pépin tous ces rapaces s'éparpilleraient comme une envolé de moineaux et on compterait alors les vrais amis dans ceux qui resteront. Mais ils savaient déjà qu'à part Alissa et Pascal, fidèles entre les fidèles, les autres… bof !

Le projet de Mylène permettrait de faire d'une pierre deux coups, outre l'accomplissement du fantasme par lui-même, ils savaient qu'inévitablement l'affaire s'ébruiterait et que toute une tripoté d'hypocrites crierait au scandale, uniquement parce qu'ils n'avaient pas été invités. 

- Six couples devraient suffirent ! Précisa Mylène

Ils décidèrent de les sélectionner dans un très large cercle de connaissances, parmi ceux qui affichaient une vie décontractée sainement assumée. 

- Et qui va présider tout cela ? On va tirer au sort ? Interrogea Cédric.

- J'aimerais bien Miranda Taylor !

- Sérieux ? On fait comment pour la contacter ?

- Je l'ai rencontré une fois. C'était pendant un vernissage, elle était déchaînée, elle m'a roulé un patin dans les toilettes et m'a refilé sa carte !

- Tu ne me l'avais jamais dit ?

- Ben maintenant, c'est fait !

Miranda Taylor était une ancienne actrice du hard, elle s'était reconvertie en créant une chaîne de salons de coiffures, mais contrairement à certaines de ses consœurs, elle n'avait jamais renié son passé sulfureux qu'elle assumait crânement. 

- Et le garçon d'honneur ?

- On n'est pas obligé d'en avoir un... mais je pensais à Thibault, c'est un collègue, un peu ambigu, mais il est mignon comme tout… et pour la demoiselle d'honneur on la choisira sur place, ça m'amusera !

Il fut également décidé de s'adjoindre les services de deux jolies femmes peu farouches, qui seraient dégotées dans une agence de casting, tendance "charme" et qui seraient chargées du buffet, du vestiaire, de la musique et de toutes ces petites choses sans lesquelles une fête ne serait pas une vraie fête.

- J'inviterais bien mes parents ! Me suggéra Mylène.

- Tes parents ? Alors que ça va tourner en orgie ?

- Ils sont très libertins, je vais leur en parler, je suis sûre que ça leur plaira. Et les tiens ?

Ben non, pas question d'inviter mes parents qui coincés comme ils sont, risqueraient de se sauver en courant. Quant aux parents de Mylène, ça me semble une idée complètement farfelue, mais ma tendre et chère doit savoir ce qu'elle fait. Ses parents habitent en province, je ne les ai rencontrés qu'une fois, je les ai trouvés sympas et ouverts mais le contact n'a pas été assez long pour que je me fasse une idée plus précise.

Il ne restait plus qu'à fixer le jour et à lancer les invitations.

On précisa aux participants qu'il n'y avait pas de liste de mariages, mais que les invités avaient le droit d'apporter des fleurs et du bon vin. Il fut également demandé que les convives fournissent un test médical récent, car précisa Mylène "Quand je me fais enculer, j'aime sentir le sperme dans mon cul" !

Attente

C'est dans une grande propriété de la vallée de Chevreuse, louée pour l'occasion que la fête devait avoir lieu.

Mylène était anxieuse ! Elle était dans un état d'esprit proche de ce qu'aurait été l'attente dans un vrai mariage ! Est-ce qu'on avait rien oublié ? Est-ce que certains couples ne feraient pas faux bond au dernier moment ? Est-ce que tout ce petit monde s'accorderait ? Est-ce l'orgie se déroulerait dans un bon esprit, sans dégénérer ? Etc, etc, et surtout une question "fondamentale" revenait sans cesse… Est-ce que ma robe de mariée m'ira bien ?

Ils avaient en effet choisi une vraie robe de mariée, elle la voulut décolletée, très décolletée même, sans pour autant être indécente, elle voulut aussi qu'elle soit courte, mais pas trop… Quant au chapeau… Ah le chapeau ! 

- J'ai envie de garder mes lunettes !

- Ça va pas, non ?

- Ben si, ça fait intellectuelle, et puis c'est un fantasme, les femmes à lunettes, non ?

- Fais comme tu veux !

- Je voudrais bien ton avis !

Bref, plus l'heure passait plus on sentait l'énervement.

Miranda Taylor arriva vers 16 heures. Cette grande brune aux cheveux longs était vêtue d'un tailleur rouge vif et d'un élégant chapeau à mantille. Elle s'entretint quelques minutes avec la future mariée. 

- Tu me laisses improviser ou tu as quelques idées ?

Mylène lui répéta ce qu'elle lui avait déjà dit au téléphone, expliqua comment elle voyait le début de la cérémonie et déclara faire confiance à l'ex-star du X pour les problèmes de détails. 

- OK ! Dis-moi simplement s'il y a des pratiques sexuelles que tu ne supportes pas !

- Pas de contraintes, pas de drogues dures, à part ça je ne vois pas bien !

- Bon à 17 heures le garçon d'honneur viendra vous chercher, je vais régler les problèmes matériels. Je voudrais être deux heures plus vieille, j'ai une de ces hâtes de te bouffer la chatte !

- Mais tout le plaisir sera pour moi !

Miranda redescendit. Les deux soubrettes s'affairaient autour du buffet, elles n'avaient pas encore adopté la tenue topless que l'on attendait d'elles. Il est vrai qu'un seul couple était arrivé, Alissa et Pascal. Il faut toujours que dans ce genre de truc les gens arrivent soit pile à l'heure soit plutôt en retard ! Pénible !

Ils se présentèrent ! 

- Ma tenue à l'air de vous plaire ! Remarqua l'actrice.

- Ça vous va très bien ! Répondit Alissa avec un sourire malicieux éclairant son visage de vraie rousse.

- Je crois deviner que les femmes ne vous rebutent pas ?

- J'en goûte quelques fois ? Répondit la jeune femme adoptant pour le fun le même style ampoulé que son interlocutrice.

- Nous sommes terriblement en avance… Oserais-je vous suggérer que nous nous gouttassions mutuellement afin de briser la monotonie de l'attente ?

- Chiche !

- Je crois que ces bosquets un peu plus loin conviendraient très bien !

- Moi je ne crois pas, on va se saligoter !

- Mais non, nous pendrons nos vêtements aux branches !

- Allons, allons ! Nos hôtes nous ont prévu des chambres d'amis, allons-y ce sera certes moins bucolique, mais assurément beaucoup plus pratique !

- Alors je te suis, montre-moi le chemin ! 

- Vous ne vous emmerdez pas les filles ! intervint alors Pascal dont on avait jusqu'ici pas entendu la voix :

- Reste donc, ici, il faut garder tes forces pour la partie !

- C'est frustrant !

- Que veux-tu, il faut bien que les femmes aient quelques avantages, nous, nous jouissons à volonté !

- C'est pas juste !

Arrivée dans la chambre, Miranda, ôta sa veste de tailleur en dessous duquel elle n'avait qu'un soutien-gorge en fine dentelle semi-transparente sous lequel on devinait de belles aréoles brunes. Alissa la regardait, la buvait des yeux et commença à son tour à se déshabiller. Miranda enleva sa jupe et sans laisser terminer sa partenaire approcha son visage du sien et l'embrassa avec fougue. 

- Hum, tu as la peau douce ! Constata Miranda !

- Toi aussi !

- Bon, allez, fais-moi voir ta petite chatte !

- Gourmande !

- J'adore bouffer des chattes, c'est vraiment mon truc, j'aime bien les bites aussi, mais j'en ai tellement sucé, je suis un peu blasé de ce côté-là ! Plaisanta-t-elle.

Spontanément, Alissa s'allongea sur le lit, elle prévint sa complice ! 

- Profite en bien, parce que si tu es douée, tu vas voir, je pars au quart de tour.

- Ecarte-moi tout ça au lieu de discuter !

- On demande gentiment à la dame !

- S'il vous plait !

- Vas-y

Miranda débuta par une première lapée ! 

- Humm, qu'elle est bonne !

- Ben oui, mais elle n'est pas toute fraîche, je ne me suis douchée que ce matin !

- C'est encore meilleur ! Hum quel délice, tu me fais mouiller, salope !

- Lèche !

Quelques nouvelles lapées, puis l'actrice attaqua le clitoris de sa langue, imprimant des circonvolutions savantes autour de ce petit bourgeon érigé. Alissa se cambrait déjà, agrippait à pleine main le dessus de lit, attendant que l'extase l'envahisse, puis poussa un cri fulgurant ! 

- Ben dis donc toi quand tu jouis…

- Je t'avais prévenu !

- Allez, on inverse les rôles à présent !

- Mais avec plaisir, chère amie… Quand je raconterais que j'ai fait l'amour avec Miranda Taylor personne ne me croira…

- Je te dédicacerais ma culotte, ça te fera un souvenir.

- Vraiment ?

- Si je te le dis !

Un quart d'heure avant le début de la cérémonie, nos deux coquines redescendirent. Tous les couples étaient à présent arrivés, sauf un. Une petite estrade improvisée fut dressée devant le foyer de la cheminé à l'aide d'une table et d'un drap. Miranda y disposa des bougies, de l'encens, ainsi que deux coupes de champagne… vides, un tapis de cérémonie fut posé sur le chemin qu'emprunterait les deux époux, la musique était prête à jaillir des baffles ! Il ne restait plus pour Miranda Taylor qu'à se changer... Devant la noce ahurie, qui savait certes que l'ambiance serait coquine, mais qui ne s'attendait pas à ce que les choses démarrent si tôt, Miranda se mit entièrement nue dans un coin de la pièce puis se revêtit d'un collant intégral entièrement constitué de mailles noires d'environ un cm². Elle se chaussa ensuite de longues bottes qui lui galbait parfaitement ses grandes jambes, puis elle se recouvrit les épaules d'une grande cape noire, inspirée tout droit d'un mauvais film de vampire. Elle jeta un coup d'œil à son maquillage, un autre à sa montre, le mariage n'aurait qu'un quart d'heure de retard. Le dernier couple arrivait, s'excusait bafouillait.

Miranda proposa qu'on les punisse, Tout le monde approuva y compris les intéressés, qui peu contrariant offrirent leur fesses. Quelqu'un suggéra que l'on se serve des quelques orties qui avaient la bonne idée de pousser un peu plus loin. Ce fut grand plaisir pour l'assistance de voir les culs des retardataires rougir puis se garnir de cloques.

Bref tout allait bien. Puis Miranda fit signe au garçon d'honneur.

Cérémonie

wedding25

Thibault qui s'était revêtu d'un drap blanc à l'instar des dignitaires romains, s'en alla quérir Mylène et Cédric, s'empêtrant dans son costume, perdant sans arrêt ses sandalettes, ce qui provoquait l'hilarité des convives. Miranda demanda alors aux invités de se disposer dans le grand salon en dégageant le tapis d'honneur, permettant aux futurs mariés de cheminer jusqu'à l'autel. 

- Mesdames et Messieurs, vicelardes et vicelards, obsédés du cul et fiers de l'être, voici maintenant nos hôtes Mylène et Cédric qui dans quelques minutes vont s'unir devant nous ! Je vous demande de les applaudir ! Annonça fièrement Thibault !

La musique emplit l'espace… Non ce n'est pas la marche nuptiale de Mendelssohn, c'est de la techno envoûtante et répétitive ! Les deux tourtereaux pénètrent dans le salon sous les acclamations de la petite assemblée. Ils s'avancent lentement. Tout sourire, Mylène est saisie par l'émotion et elle ne peut empêcher une larme de couler sur ses joues fardées. Ils stoppent leur progression à quelques mètres de l'endroit où Miranda les attend. Sur un signe de cette dernière, ils s'approchent. Tout le monde n'a d'yeux que pour la scène.

Miranda accueille les deux futurs époux en les embrassant très chastement, puis se recule et d'un geste de la paume fait taire la musique 

- Cédric ! Acceptes-tu de faire les meilleures et les pires obscénités pour le plaisir de ta promise ?

- Oui !

- Mylène, es-tu prête à être docile et soumise aux épreuves faciles ou moins faciles que te fera subir ton mari pervers ?

- Oui !

- Nous allons procéder, maintenant à votre union de débauche !

Personne ne sait ce que la prêtresse du sexe a préparé, mais l'excitation est à son comble.

- Je vais demander aux parents de la mariée de s'approcher de leur fille, et de rendre leur sexe accessible.

Les deux "vieux" font ce qu'on leur dit… Je n'ose imaginez la suite.

- Mylène, agenouille toi et prend la bite de ton père dans la bouche.

Incroyable de voir ça ! Le paternel bande comme un taureau et Mylène lui suce la bite comme si elle avait fait ça toute sa vie. 

Ma compagne ne m'avait jamais confié qu'elle pratiquait des relations incestueuses avec son père ! Mais cela ne me choque pas outre-mesure.

- Hum, elle est trop bonne la bite à Papa, tu veux goûter ?

Je ne saurais refuser d'autant que j'apprécie de temps à autre quelques jeux avec les personnes de mon sexe. Et c'est vrai que cette bite est un régal ! 

Miranda fait cesser ce début de fellation et demande à ma chérie de lécher la chatte de sa mère, tout en lui introduisant un doigt dans son joli cul, elle exécute cette demande avec malice.

- Oh, Maman, tu mouilles comme une cochonne !

- C'est pour mieux te régaler, ma fille !

Et tout le monde d'applaudir.

Puis l'assemblée voit Miranda monter sur l'estrade, s'y accroupir, se placer l'une des coupes de champagne en dessous de sa vulve, fermer les yeux et se concentrer quelques instants avant de pisser dedans. Le premier verre se remplit, le second le sera également. L'assistance applaudit. Miranda redescend, se tourne vers l'estrade en profitant pour faire découvrir son superbe cul bien rebondi à tous les spectateurs. Elle lève alors deux index vers le ciel et reste plusieurs secondes dans cette position, puis plonge simultanément chaque index dans une coupe. Elle dirige ensuite ses doigts trempés de son urine vers la bouche des deux promis. Ces derniers s'empressent de lécher les index ainsi offerts, provoquant encore une fois le déchaînement des invités. 

- Alors, moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment…

Elle marque un temps d'arrêt, fait durer le suspense : 

- Je reprends… Moi, Miranda Taylor, vous déclare à partir de ce moment vicieux et salope…

Un tonnerre de rires et d'applaudissements fuse.

- … et uni devant le sexe. Parvient-elle à conclure dans le brouhaha, tandis que cette fois c'est bien la musique de Mendelssohn qui retentit.

L'émotion est trop forte pour Mylène qui pleurniche comme une gamine. Cédric relève alors son voile et l'embrasse à pleine bouche en lui pressant ses seins... Elle aime ça ! Reprenant ses esprits elle lui rend la politesse en lui palpant sa grosse verge dans son pantalon, puis en la sortant de sa braguette. Elle se penche et elle se met à le sucer habilement devant toute l'assemblée. Et il lui caresse la joue fier d'elle, lui demande de se relever.

Spontanément, Mylène remonte sa robe offrant ses fesses trempées où se mêle la sueur mais aussi la mouille… Elle a tellement envie… Là… devant tout le monde… Excité par un tel spectacle Cédric lui baisse sa minuscule petite culotte et la pénètre fougueusement par derrière. Le bruit de ses fesses mouillées se fait entendre à chaque coup de verge. Les invités n'en peuvent plus tellement ils sont excités.

Mylène à chaud. L'un de ces messieurs a carrément sorti son gros pénis de son pantalon et se met à se l'astiquer, il est bientôt imité par les autres hommes de la noce. Devant ce spectacle cochon elle glisse un mot à l'oreille de son compagnon en les regardant tous se branler et il lui enlève sa petite culotte en annonçant que celui qui l'attrapera sera le premier à sodomiser la mariée !

Il la lance. C'est spectaculaire, en un instant une véritable mêlée de rugby s'est formée, mais l'un des invites s'en extirpe et exhibe fièrement le trophée du vainqueur. Il s'approche tout en reniflant le slip et Cédric ouvre tendrement les fesses de sa compagne à cette grosse bite qui pousse doucement son anus dilaté et bien préparé… et il entame une série de va-et-vient entre ses fesses en la faisant hurler de plaisir devant son homme bien bandé.

Elle transpire ! Sa belle robe blanche est désormais imprégnée de l'odeur de sexe et elle laisse l'invité lui sodomiser son anus délicat. Elle se retourne, lui sourit afin de l'encourager. Cédric la renifle, l'embrasse dans le cou et lui lèche sa sueur sur ses tétons chauds de belle femme saine et épanouie.

Elle sent la transpiration, ses aisselles ruissellent, elle sue dans le dos, elle est folle de sexe ! Elle passe sa jolie main suavement manucurée derrière elle et saisit cette belle queue en la sortant de ses fesses devant tout le monde.... Elle se penche vivement et détaille cette bite qui vient de l'enculer ! Elle constate qu'elle polluée par un peu de merde, alors elle se met à la sucer avec gourmandise, ça ne dure pas très longtemps, le mec éjacule... il en pouvait plus, incapable de résister plus longtemps au spectacle de cette mariée qui goûtait à l'odeur de son propre cul mélangé à celle de la bite de l'homme dans sa bouche, et tout cela en se labourant énergiquement la fente de ses doigts.

Des invités se sont approchés à tour de rôle pour féliciter les mariés Les femmes amenaient leurs hommes par la queue sortie du pantalon et elles les suçaient. Pendant ce temps Cédric commençait à préparer la mariée en sortant ses généreux nichons laiteux du corset blanc et en déchirant le bas de la robe. Elle avait le cul à l'air, les tétons aussi et elle assumait parfaitement son rôle de "mariée dévergondée" qui en veut, et en veut encore…

Tout le monde se tripote, le père de Mylène se fait énergiquement enculer par un beau brun, qu'une femme doigte avec énergie.

C'est à ce moment-là que la maman de Mylène réapparut en tenant en laisse un gros chien beige.

- Un cadeau pour toi ma chérie !

- Oh qu'il est beau, comment qu'il s'appelle ?

- Joker ! Il est très doux et il adore qu'on lui suce la bite, je l'ai testé hier, je me suis régalé.

- Maman tu es une cochonne !

- Je sais ! Vas-y caresse lui la bite ! Attends je vais t'aider.

Le chien a du mal à tenir en place, la mère de Mylène lui attrape la bite qui ne tarde pas à sortir de son fourreau, elle est rouge, raide, visqueuse, elle la fait sortir entre ses pattes de derrière.

Mylène s'en empare, lèche un peu ce cylindre obscène avant d'en prendre l'extrémité dans sa belle bouche vicieuse.

- Hum ! Quel beau cadeau, tu m'as fait là, Maman, cette bite est délicieuse.

- Ça me fait plaisir que tu l'apprécie ! Voudrais-tu qu'il te couvre ?

- Oh, oui, ce doit être génial !

La mère de Mylène recouvre les pattes avant de joker avec des gants, puis fait placer sa fille en levrette, lui écarte les cuisses, puis attire le chien qui vient renifler l'endroit avant de pénétrer sauvagement dans cet orifice offert.

 Mylène est ainsi labourée pendant plusieurs minutes par le chien, l'assistance, médusée ne perd rien du spectacle, 

Au bout d'un moment la mère fait se retirer le chien afin d'éviter qu'il reste collé pendant sa jouissance, elle couche le quadrupède sur le côté et c'est dans leurs bouches vicieuses que Joker éjaculera sous les applaudissements des invités.

Quelques minutes plus tard, Mylène se releva et demanda à être raccompagnée dans sa chambre seule avec toutes les femmes afin de se choisir une demoiselle d'honneur.

Miranda était restée en bas, les hommes n'osaient pas l'approcher et patientaient en faisant honneur au buffet ! Quel spectacle étrange que ces hommes débraillés, la bite sortie de la braguette en train de boire du champagne et d'avaler des petits fours distribués par deux ravissantes soubrettes à la poitrine nue ! L'actrice aurait bien entreprit un ou deux de ces hommes, mais elle se devait de préserver leurs forces et leur sperme. La vedette de la soirée, ce n'était pas elle, c'était Mylène, c'était la mariée ! Alors elle décida de caresser la poitrine d'une des soubrettes, celle-ci eu un mouvement de recul, peut-être n'aimait-elle pas les femmes, tant pis, elle essaya avec l'autre, une jolie blackette beaucoup moins farouche. Deux minutes plus tard les deux femmes étaient sur le sol en pleine frénésie en train d'accomplir un soixante-neuf d'enfer au milieu des hommes réunis en cercle.

Quant à Thibault, il s'était assis dans un coin, s'empiffrait de petits fours et se demandait si cette orgie le concernait bien…

Au premier étage, les femmes s'enfermèrent dans l'immense chambre nuptiale. Notre mariée finit de se déshabiller et s'étendit sur le lit : 

- Allez-y, je suis à vous ! Et soyez à la hauteur ! Ce n'est pas tous les jours mon mariage !

Elle se laissa alors caresser, tripoter, lécher et laper la chatte et le cul par ces belles femmes sensibles et prêtes à tout afin d'être désignée comme la "la salope élue" Sa mère participait elle aussi à la débauche.

Mylène finit par faire son choix sur une belle eurasienne, très salope qui la séduisit en lui promettant à l'oreille de recueillir le pipi coulant de la chatte de la mariée dans une coupe de champagne devant tous, afin disait-elle de "se saouler de ces déjections dorées de superbe blonde appétissante". Un texte qu'elle avait dû apprendre par cœur !

Ce fut donc son choix ! Elle fit déverrouiller la porte, appela Thibault par l'interphone, lui demanda de faire monter tout le monde et d'apporter des coupes de champagne. Les hommes entrèrent à moitié nus dans cette chambre qui s'avéra un peu trop petite.  Mylène était à quatre pattes dans le lit avec sa salope d'honneur. Elle prit la coupe qu'on venait de lui tendre, puis se mit ensuite à pisser dans le lit, complètement envahie par l'excitation. La demoiselle d'honneur recueillit ce qu'elle put dans une autre coupe et comme promis, la but devant tous à même le verre, cul sec, exhibant un sourire de vicieuse satisfaite et absolument décomplexée.

Un essaim de bites pénétrait à présent la mariée par la bouche, les fesses et la chatte. Les femmes n'étaient pas en reste et elles léchaient la mariée comme des chiennes affamées. Mylène fleurait et elle sentait le pipi chaud de "blonde savoureuse" et tout le monde avait envie de se soulager dans la mariée. Le sperme giclait copieusement à gros bouillons tièdes dans son rectum dilaté, son vagin était tapissé de crème et sa bouche était engluée du foutre frais et chaud des d'invités de la noce.

Tout le monde à part le "mari" l'ayant pénétré. Cédric eut alors l'idée de demander à ces messieurs de pisser tout leur champagne chaud dans le trou de balle de la mariée. Elle servait d'urinoir pour hommes, en ressentait l'étrange chaleur dans son colon. L'urine chaude l'irriguait de plaisir salace de femme dévergondée. Elle évacuait le pipi de ses fesses accompagné de sa merde, tout en gueulant comme une belle salope et fière de l'être. Quelques un des invités virent alors se régaler de ses déjections, y compris sa propre mère.

- J'ai un cadeau personnel pour la mariée ! Indiqua alors Miranda en demandant à Mylène de rester coucher sur le ventre. Elle se mit à califourchon sur son ventre et déféqua une jolie merde qu'elle lui étala ensuite sur le ventre, les cuisses et les seins. Deux petites trainés marrons sur le visage vinrent parachever cet insolite tartinage. 

Le mari fut ensuite poussé sur le lit. Et il se mit à laper sa "chienne" sale et ces dames se mirent à lui pisser dans la bouche les unes après les autres à tour de rôle et il buvait, se saoulant de pisse de femme devant sa propre compagne. N'en pouvant plus, il tira aussi délicatement que possible Mylène par les cheveux et lui déchargea dans sa bouche avec une véritable frénésie animale.

Lendemain

La fatigue vint. Certains des invités partirent à l'aube, d'autres rejoignirent les chambres d'amis qu'on leur avait réservées. On retrouva Miranda Taylor endormie sur un canapé, avec la serveuse antillaise dans ses bras.

Nos deux tourtereaux se confinèrent avec la fille et le garçon de déshonneur. Mylène se mit à jouer avec le pénis de son mari, elle s'amusa à le diriger dans la fouffe de l'autre et dans son cul… Mais elle voulait encore aller plus loin, et demanda à Cédric de s'introduire entre les fesses de Thibault, le garçon d'honneur. Celui-ci écarta volontiers ses fesses car il adorait se faire enculer.

Plus tard, elle lui ordonna de lécher la chatte et le trou du cul de la demoiselle d'honneur. Voilà qui redevenait plus classique pour Cédric qui ne se doutait pas que ces léchages ne seraient qu'un prélude, car il lui faudrait ensuite faire la même chose au garçon d'honneur.

Elle l'invita à lécher le cul de Thibault, puis lui demanda de lui sucer la bite. Il le fit mieux que la reine des queues, que n'aurait-il pas fait afin de satisfaire sa mariée exigeante ? Il n'avait pas sucé beaucoup de bites dans sa vie, mais quand l'occasion se présentait, il ne rechignait pas.

Et avant de remercier les deux derniers invités elle demanda au garçon d'honneur d'enculer son "mari" et de jouir dans son fondement tandis que la fille d'honneur faisait un pipi chaud dans sa bouche.

Quand Thibault ressortit du cul de Cédric, sa bite était couverte de sperme et de merde. Mylène s'empressa de la rendre propre. 

Ensuite, fourbus de sommeil, ils se sont endormis ensemble dans un épouvantable lit imbibé de sperme, de sueur, d'urine, et pollué de traces merdeuses.

Elle se réveilla avec lui assommée par la fermentation des secrétions de la noce le lendemain dans l'après-midi dans les restes de leurs costumes corrodés, brisés de plaisir, souillés mais fiers. Elle le regarda en souriant en lui disant :

- C'était bon, c'était divin !

- Mais dis-moi avec tes parents, tu l'avais fait souvent…

- Oh, deux trois fois…

- Ah !

- Je ne regrette qu'une chose, j'aurais bien vu un âne que j'aurais sucé…

- Mais ma chérie, tu as déjà eu un chien !

- Oui mais un âne d'est encore mieux ! Et toi tu voudrais quoi ?

- Juste un bisou

FIN

Boris Vasslan 11/2002 d'après une short-story de Sphak (revue en 6/2011 et en 2018) 

Post face : Ce récit écrit primitivement à quatre mains ne m'avait jamais vraiment plu, le style ampoulé de Sphak s'accordant assez mal avec le mien. Estimant que depuis le temps il y a prescription j'ai retravaillé le texte en y ajoutant quelques un de mes fantasmes et en supprimant quelques incongruités. Ça me plait mieux ainsi, mais ça reste un peu bancal, il faudrait que je réécrive tout de bout en bout…



What do you want to do ?
New mail
What do you want to do ?
New mail
Par Boris - Publié dans : Boris
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 19:33

Racolage Balnéaire 5 – Janis la perverse par Boris Vasslan

Rosemonde
Attention, réservé à un public averti : ce texte contient de la scato explicite.

Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, jeux érotiques, massages, scato, transsexuelles, travestis, trio, uro, voyeurisme

Résumé du chapitre précédent : Je fais la connaissance d’Anita et de Vera, deux transsexuelles très délurées qui me font une petite séance de domination. Nous sommes interrompus par Roland qui vient réparer le frigo, je sympathise rapidement avec ce dernier à tel point qu’il finit par me sodomiser, (ben oui, c’est comme ça !) puis par me proposer de me présenter à sa compagne.

– Tu verras, Janis est une belle cochonne ! Me confie-t-il. Il y a longtemps que je ne lui ai pas ramené un mec, elle va être contente.

Il est bavard, Roland ! Tout en conduisant sa voiture, il m’apprend qu’il est sculpteur et que sa femme est coiffeuse. Ils sont libertins et pratiquent l’échangisme mais regrettent que les hommes bisexuels soient relativement rares.

De mon côté je préviens mon épouse (pour la forme, étant donné nos rapports actuels) que je ne rentrerais sans doute que fort tard.

Nous arrivons chez lui, il habite un bel immeuble à proximité du Canal St Martin.

– Je suis passé chez Anita, il y avait ce monsieur que j’ai eu le plaisir d’enculer, je me suis dit que tu aimerais peut-être faire sa connaissance. Il se prénomme Boris.
– Mais, enchanté, cher Monsieur ! Il ne vous a pas fait mal, j’espère ?
– Non, au contraire, il m’a fait du bien.
– Alors dans ce cas embrassez-moi, j’adore embrasser les enculés.

En voilà une présentation insolite : Je ne la voyais pas comme, ça. : Probablement une vraie blonde, coiffée avec une queue de cheval, ses yeux sont bleus et sautillant de malice, sa peau est très claire, elle paraît vraiment très délurée.

Je vais pour lui faire un bisou sur la joue avant de réaliser que ce qu’elle souhaite c’est me rouler un patin. Allons-y pour le patin, sa langue est douce et agile, et ma bite se met à bander joyeusement. Janis s’en assure en me portant sa main à ma braguette.

– Monsieur restera dîner ? demande-t-elle.
– Euh…
– Probablement ! Répond Roland, mais pour l’instant tu prendras bien un petit apéro ?

Janis apporte quelques bouteilles, et en me servant, elle me remet carrément la main sur la braguette. Ce doit être une manie.

– Ah, je ne t’ai pas raconté comment j’ai rencontré Anita, intervient Roland. Vas-y raconte Janis, ça va exciter notre ami.
– Vous n’êtes pas pressé, j’espère cher monsieur ? Me dit-elle en augmentant la pression sur mon sexe.
– Non, non.
– Alors d’accord mais avant racontez moi ce que vous avais fait avec Roland… Hum vous bandez bien, c’est ma main qui vous fait cet effet-là ?
– Je crois bien !
– Hum, j’ai envie d’un petit jeu, je suppose que si vous appréciez Anita, c’est parce que vous aimez bien être un peu soumis ?
– Oui !
– OK, alors déshabille-toi !

Le ton est sec, autoritaire.

Je m’exécute, mais m’étonne que je sois le seul à le faire.

– Ah ! Ah ! Tu aimerais bien me voir à poil, hein ! Rassure-toi, ça va venir mais rien ne presse ! Bon tourne-toi ! Hum, joli cul ! Ça ne m’étonne pas que Roland t’ai enculé ! Attends-moi, je vais chercher un truc !

Elle revient quelques instants plus tard avec un gode anal, me demande de me pencher, me le fourre dans le cul et le fait aller et venir.

– T’aimes ça, hein ?
– Oh, oui !

Elle me fait ensuite asseoir à l’envers sur une chaise et me ligote. Je me laisse faire, avec une petite pointe d’inquiétude malgré tout. J’espère que je ne suis pas tombé dans un traquenard !

Puis Janis me tripote un peu la bite qui se remet à bander quasi instantanément.

– Bon tu me la racontes ton histoire ?
– Et bien, nous étions à poil, Anita, Vera et moi quand Roland a sonné…
– Non, je veux toute l’histoire.

Je lui raconte donc l’intégralité de ma rencontre avec les deux trans…

– Et quand Roland est arrivé, qu’est ce qui s’est passé ?
– Anita m’a demandé de lui montrer mes fesses, je l’ai fait, il les a trouvés jolies et il m’a sucé un peu le trou du cul, puis, je lui ai sucé la bite et je lui ai demandé de m’enculer !
– Et bien, quels cochons ! Donc c’est à mon tour de raconter, si j’ai bien compris ?
– Tout à fait !

Le récit de Janis

Je m’étais fait embaucher dans un nouveau salon de coiffure. Un jour une grande femme avec beaucoup d’allure entra pour se faire coiffer, quelques minutes plus tard les langues de vipères se lâchèrent, et une des coiffeuses vint me trouver pour me chuchoter :

– Tu vois la nana, là-bas, c’est un mec !

Je ne répondais pas, enregistrait l’information et me surpris à fantasmer sur cette belle créature ambiguë. Je m’arrangeais une fois suivante, pour que ça soit moi qui la coiffe. J’y mis tellement de cœur qu’elle fut enchantée de mes services et me réclama spécialement les fois d’après.

Je lui chuchotais alors que je pouvais très bien la coiffer à domicile, pour moins cher et que je pourrais même lui offrir un massage en supplément. Elle (je préfère la conjuguer au féminin) accepta et nous primes rendez-vous.

Elle arriva le mardi suivant à mon domicile, toute pimpante et vêtue d’une petite robe couleur brique, mettant bien en valeur sa poitrine et ses jambes. Elle me fait la bise !

– Si vous pouviez me faire les ongles aussi !
– Pas de problèmes ! On commence par quoi ?
– Vous m’aviez parlé d’un petit massage !
– O.K. Mais je n’ai pas de table de massage, on fait ça sur le lit ?

Et une minute plus tard, elle est devant moi à moitié à poil, n’ayant conservé que son string. Me voici troublé de chez troublé. Le problème c’est que cette affaire-là ne se passe pas du tout comme je l’avais imaginé, je pensais discuter de sa sexualité pendant la séance de coiffure, puis en fonction de ce qu’elle m’aurait dit ensuite, improviser.

– Je garde le string ?
– Peut-être pas, non !

Elle le retire sans se retournez, elle doit sentir mon trouble car elle me provoque !

– Et voilà ! Je suis une femme à bite ! Comment vous trouvez ça ?
– Troublant, très troublant !
– Troublant ou excitant ?
– Les deux !
– Merci, je prends ça pour un compliment, bon, on y va pour le massage ?

Ben oui, on y va, je ne sais plus trop dans quoi je m’embarque, mais qu’importe, je lui masse les épaules, puis le dos avec une certaine vigueur. Il (elle ! pardon !) a l’air d’apprécier. Elle a la peau d’une douceur extraordinaire, je prends mon temps, remet de l’huile, masse et remasse, je ne me souvenais plus qu’un massage pouvait être aussi physique et aussi fatigant.

Et puis, il fallait bien que ça arrive, j’attaque son joli fessier bien rebondi. Je reste sage me tenant volontairement éloigné des zones érogènes. Je me bloque, je ne sais plus comment provoquer la suite que je souhaitais dans mes fantasmes. Au bout de quelques minutes, je lui écarte les globes, passe ma main dans la raie des fesses, recommence une dizaine de fois, puis ose m’attarder sur son œillet, ça passe ou ça casse, elle ne dit rien mais pousse des soupirs de satisfaction. OK, deux ou trois fois comme ça, puis la fois suivante mon doigt se fait davantage inquisiteur.

– Coquine ! Me dit-elle.
– Ça vous plaît ?
– Bien sûr, vous pouvez continuer !

Et voilà le travail ! Je la doigte comme une malade, deux doigts, trois doigts, ça rentre avec une facilité déconcertante, et l’autre se pâme à ce point que ça me pose un problème, mon objectif n’étant pas de le faire jouir si vite et de cette façon. Je ralentis donc mes mouvements et sors mes doigts de son trou.

– Vous pouvez vous retournez maintenant.

Elle le fait, m’exhibant une bite semi bandée. J’ai alors le sentiment qu’elle regrette que je n’aie pas poursuivi mes explorations anales. A moi de jouer pour la replacer dans le circuit du plaisir.

Alors, après quelques mouvements aussi inutiles que symboliques, je lui pelote les seins, lui suçote les tétons, elle est aux anges, puis je m’empare de sa bite, la tripote un peu avec mes doigts imprégnés d’huile de massage. Elle ne tarde pas à bander de façon optimale, une très jolie bite comme je les aime, bien droite, avec un joli gland bien formé. Je la prends en bouche et commence à la sucer…

– Si tu te déshabillais ! Me propose-t-elle.

Bien sûr que je me déshabille ! Ce que j’ignore, c’est si elle est sensible aux charmes féminins, quoi que le fait de me demander de me foutre à poil soit plutôt bon signe :

– T’es pas mal toi ! Me complimente-t-elle, viens m’embrasser.

On s’embrasse, fougueusement, goulûment, baveusement. Je suis en train d’embrasser quoi au juste ? Une femme à bite, un mec avec des nichons ? Qu’importe après tout ! On se pelote, on se caresse, on se câline, on se tripote et on finit par se retrouver tête-bêche. Bien sûr, j’embouche de nouveau sa belle queue, tandis qu’elle attaque ma chatte avec une agilité linguale assez extraordinaire.

Anita parvient à me faire jouir en moins de trois minutes. Mais à présent je voudrais qu’elle me pénètre, je lui demande :

– Tu veux me prendre ?
– Oui !

Je lui passe un préservatif que j’avais préparé à portée, puis me positionne en levrette. Elle me pilonne en une suite de saccades sèches. C’est une façon de faire comme une autre.

– Pratiquez-vous la sodomie ?

Je note l’attention délicate, et lui réponds par l’affirmative ! Elle sort de ma chatte et tente délicatement de s’introduire dans mon cul. Ça ne veut pas rentrer.

– T’as peut-être un peu de gel ? demande Anita.

Je dois en avoir dans mon fouillis, mais je ne me vois pas entamer des recherches, là, maintenant !

La transsexuelle ne renonce pas pour autant. Elle approche sa langue de ma rondelle et se met à l’enduire de salive avec ses lèvres et sa langue.

– Il sent un peu fort ton cul ! Dit-elle à brûle pourpoint.
– Tu n’es pas obligée de continuer !
– Mais, ça ne me dérange pas du tout, je disais ça comme ça !
– Ben, alors continue !

C’est ce qu’elle fait, et c’est super agréable de se faire lécher le fion de cette façon ! La pointe de sa langue sollicite tellement bien mon œillet que celui-ci ne tarde pas à bâiller d’aise. La coquine me glisse maintenant un doigt, le fait aller et venir, lui fait faire des mouvements de tirebouchons, ajoute un deuxième doigt, puis déclare que désormais le passage doit être prêt !

Effectivement, j’ai maintenant sa bite dans mon cul : J’adore !

– T’aimes ça ! Hein petite salope ? Me dit-elle.

Ah, les mots cochons l’excitent, je vais l’encourager.

– Oh, oui j’aime ça une bonne bite dans mon cul ! Je suis une bonne salope !
– C’était ça ton fantasme, te faire défoncer la rondelle par une femme à bite ?
– Ouiiii ! Encule-moi encore !

Je suis dans un état second, elle fait ça trop bien ! Mais tout d’un coup, elle freine, sort, se débarrasse de la capote (dommage je l’aurais bien léché, j’aime bien nettoyer les bites qui sortent de mon cul), me demande de me retourner et éjacule comme une sauvage sur mes seins.

Elle a ensuite la délicatesse, de venir entre mes cuisses, me lécher le clito jusqu’à ce que je gueule de nouveau mon plaisir.

Elle demandé à prendre une douche, on l’a prise ensemble en se payant une bonne partie de rigolade, on s’est rhabillée, on a bu un coup, puis on est redevenu sage, je devais la coiffer et la manucurer !

Pendant la coiffure, je lui pose la question qui me brûle les lèvres :

– Tu préfères les hommes ou les femmes ?
– Les femmes ! Quand j’étais plus jeune et que j’ai commencé à me travestir, c’est bien sûr parce que je me sentais femme, mais en fait, je voulais être une femme qui aime les femmes, une femme qui plaise aux autres femmes.
– Et les hommes !
– Une belle bite de temps en temps, je ne suis pas contre, j’aime bien sucer et me faire enculer, mais je ne fantasme que très rarement sur le visage ou sur le corps des bonhommes !
– C’est dommage !
– Pourquoi, c’est dommage ?
– L’un des fantasmes de mon mari, c’est de faire des trucs avec un trans !
– Ah ! Avec les hommes je me fais payer… mais on peut toujours s’arranger…

Effectivement je m’arrangeais avec elle (les détails importent peu). Mon mari rentrait des Etats-Unis le jeudi soir, je lui préparais donc un petit repas. A 20 heures sonnantes alors que nous commencions à peine à prendre l’apéritif, voilà que l’on sonne, Roland râle, mais je le rassure en lui disant qu’il s’agit d’une invitée surprise !

– Voila je te présente Anita !

Je lui avais demandé de s’habiller de façon très féminine, mais sans extravagance, effectivement elle portait une robe dans les vieux roses, très vaporeuse et légèrement décolletée qui lui conférait beaucoup d’allure.

– Bonjour madame, mes félicitations vous êtes très belle ! Lui répond Roland en lui serrant la main tout en la déshabillant du regard.
– Merci, monsieur, un compliment, ça fait toujours plaisir.
– Vous êtes très grande… continue-t-il.
– Mais c’est pour mieux vous enlacer mon cher monsieur !
– M’enlacer ? Vous voulez m’enlacer ? Pourquoi pas, je me laisse faire ?
– Me permettez-vous, Janis ?
– Ne vous gênez surtout pas, Anita !

Alors Anita serre Roland dans ses bras, leurs visages se rapprochent, leurs lèvres s’ouvrent, leurs langues se rencontrent, bref ils se roulent une pelle.

– Quelle fougue ! J’adore les invités surprise qui embrassent de cette façon !

Anita qui en a pourtant vu d’autres est excitée par la situation, collé contre Roland son sexe se met à grossir et ce dernier pas dupe s’en rend compte.

– Oh ! Mais je sens comme une quéquette entre vos cuisses !
– Mais c’est pour mieux vous enculer mon cher monsieur !
– Hum, j’aimerais bien voir ça de plus près ?
– Pourquoi pas, Janis me permettez-vous de montrer ma bite à votre mari ?
– Mais bien sûr !

Alors Anita enlève carrément sa robe sans aucune cérémonie, puis baisse sa culotte libérant son membre semi bandé, puis l’ordre vient, sec !

– Suce !

Comme un zombi, Roland s’accroupit et se met à sucer ce joli cylindre de chair avec frénésie. Manifestement il se régalait, je me baissais pour vérifier l’état de sa bite, il bandait comme un malade. J’intervenais et leur demandais de se déshabiller intégralement afin de permettre d’autres attouchements. Je fis de même.

Roland est rendu fou par la vision des superbes seins de la transsexuelle et va pour les tripoter.

– Non ! Proteste Anita, pour l’instant c’est moi qui commande, remets-toi à me sucer la bite, le reste on verra après.

Ce n’est pas un problème pour Roland qui a toujours été un peu soumis. Il reprend sa fellation tandis que moi je passe derrière, lui écarte le cul et me met à lui lécher l’anus. J’adore lécher les culs !

On garde ainsi la position pendant une dizaine de minutes, puis Anita nous demande d’arrêter !

– Maintenant, je vais t’enculer ! Propose-t-elle à Roland. Tu veux bien ?
– Mais avec grand plaisir !
– Alors mets-toi en levrette là sur la moquette !
– Vous seriez peut-être mieux sur le lit ! Conseillais-je.

O.K. on va dans la chambre, Roland se positionne, et là j’ai la surprise d’entendre Anita me demander de me placer à côté de mon mari et dans la même position. J’ai compris ce qui allait se passer !

La trans s’encapote, nous badigeonne nos trous de balles avec du gel, puis se met à enculer Roland qui se pâme d’aise. Au bout de cinq minutes, c’est mon tour. Je me fais enculer par une transsexuelle tout en roulant une pelle à mon mari qui a le cul béant ! Elle n’est pas belle, la vie ?

Anita change une nouvelle fois de partenaire et sodomise cette fois Roland jusqu’à la jouissance. Elle décule, on souffle cinq minutes sur le plumard en discutant de je ne sais plus quoi, puis elle propose à mon mari d’inverser les rôles, Elle se met à son tour en levrette et tandis que mon mari la pénètre, elle me fait signe de m’allonger sous elle de façon à ce qu’elle puisse me lécher la chatte. Délicate attention. Cinq minutes plus tard nous avions jouis, Roland et moi.

On est encore resté quelques minutes sur le plumard, pour nous remettre de nos émotions et puis on s’est un peu rhabillé, on est passé à table. Il n’y a plus eu de sexe au cours de cette soirée… En revanche il y eut d’autres soirées au cours desquelles nous avons varié un peu les plaisirs, en y introduisant un peu de domination, un peu d’uro aussi… Ce fut aussi le début d’une belle amitié.

Fin du récit de Janis

– Elle t’a plu mon histoire ?
– Oui, vous racontez bien !
– Tutoyons-nous donc ! Dis-moi tu t’es déjà travesti ?
– Oui, une fois (voir l’épisode « les grandes folles »)
– Il faudra que tu nous racontes, et tu n’as pas eu envie de recommencer.
– Disons que je n’ai pas eu l’occasion.
– O.K. donc comme tu es mon petit soumis ce soir, si je demande à Roland de te travestir, ça va le faire ?
– Pourquoi pas ?
– Allez, Roland, va me le préparez ! Moi pendant ce temps-là je vais préparer la bouffe.

Je suis le zigoto dans la salle de bain

– L’idéal serait que je te rase tous les poils, mais tu es marié, ça va peut-être poser un problème.
– Non, non, vas-y rase-moi

Et c’est parti, les bras, les jambes, le torse… Je ne vous dis pas le nombre de rasoirs qu’on a utilisé, heureusement que le mec en avait une provision. On termine par les fesses, le pubis et les testicules. Drôle d’impression, me voilà avec une peau de bébé. C’est très doux. Il me tartine ensuite le corps avec un crème.

– Bon maintenant maquillage, mais on va faire léger.

Fond de teint, rouge à lèvres, fard à paupières avec deux teintes dégradées, l’une claire, l’autre plus foncée, crayon noir, mascara… Dans le miroir je ne me reconnais plus et ne me reconnais encore moins quand il m’affuble d’une superbe perruque blonde.

– Comment tu te trouves ? Me demande Roland !
– Pas mal, pas mal du tout !
– Je crois que Janis va kiffer ! Pour les fringues on va en rester aux sous-vêtements, ce n’est pas la peine que je t’habille pour te faire déshabiller dans la foulée… suis moi dans la chambre, on va trouver des trucs.

Une paire de bas noir auto-fixant taille 4 me gaineront donc les jambes, on ajoutera à la panoplie un soutien-gorge à balconnets laissant apparaitre (Que dis-je ? Mettant en valeur) mes jolis tétons, ainsi qu’un string un peu étroit compléteront la panoplie.

– Jolie, te voilà devenue une femme à bite. Tu étais Boris te voilà Borissa.
– Euh la dernière fois qu’on m’a fait ça, on m’avait surnommée Doris !
– Doris, oui pourquoi pas, c’est très joli. Allons-y pour Doris. Ah, je n’ai pas de chaussures à ta taille, et puis tu ne vas peut-être pas savoir faire, tant pis pour les chaussures.

A son tour Roland se change et se pare de dessous féminin, un porte-jarretelle, des bas résilles, une petite nuisette transparente, et bien sûr une perruque qui pour lui sera brune.

– Allez viens, on va rejoindre Janis !

…puis

– Et voici Doris ! S’exclame-t-il en fanfaronnant mon arrivée.

Laquelle Janis n’en revient pas ! Moi je n’en reviens pas d’avoir un tel succès, c’est vrai que j’ai les traits assez fins, mais bon…

– Bon, je te propose le petit scénario suivant : Je vais vous regardez pendant que vous baisez ensemble, vous faites tout ce que vous voulez, mais, je tiens à ce que tu encules mon Roland parce que c’est ce qui m’excite le plus. Toi Boris, Doris pardon, tu te débrouilles pour ne pas jouir, parce ce que le final c’est toi et moi, je veux que tu me baises devant mon cocu de mari ! Ça te convient ?
– Ça me convient parfaitement.

On ne perd pas de temps et Janis est déjà en train de se déshabiller, mais elle garde son soutif et sa culotte et s’installe dans un fauteuil.

– Allonge-toi par terre, on va se sucer la pine ! Me demande Roland.

Et hop ! Je suis à peine par terre que le Roland est en soixante-neuf au-dessus de moi, j’ai sa bite à quelques centimètres de mon visage, je la gobe, c’est toujours une sensation extrêmement agréable de sentir de morceau de chair entre les lèvres, au contact de la langue et même, à l’intérieur des joues. J’assume désormais complément cette passion, j’aime sucer des bites, ça m’excite et j’en ai aucune honte. Son gland s’humidifie d’une perle de pré-jouissance à la saveur salé, je m’en régale. De son côté, la mienne de bite est en bonnes mains ou plutôt en bonne bouche, il faudrait d’ailleurs qu’il s’agite un peu moins, puisqu’il n’est pas dans les intentions de Janis que je jouisse si vite.

Janis s’est débarrassée de ses sous-vêtements. Elle a une jolie poitrine, peu volumineuse, mais de bonne tenue. Elle est en train de s’exciter en profitant du spectacle, elle a une main qui s’active dans la chatte, l’autre occupée à se triturer le téton droit.

– Allez-y mes salopes, sucez-vous bien la bite ! Allez mieux que ça !

Je ne sais pas trop ce qu’elle veut qu’on fasse de mieux… et d’ailleurs je prends le risque de me dégager.

– Je crois qu’on va être obligé de faire une pause ! Commentais-je.
– D’accord pour la pause mais à ma façon ! Répond Janis. Mettez-vous en levrette, l’un à côté de l’autre et attendez-moi, je reviens tout de suite.

On entend du bruit, elle fait couler de l’eau, puis revient quelques instants plus tard avec des carottes et des branches de céleri. Pas difficile de comprendre ce qui va nous arriver.

Je tends mes fesses, j’ouvre mon trou du cul, et la carotte rentre. Même punition pour Roland (Rolande) puis elle se met à effectuer des mouvements simultanés de va-et-vient à nos carottes respectives. Voilà une sensation qui n’est pas désagréable du tout, mais malheureusement elle passe à autre chose et tout en nous laissant les carottes plantées dans le cul, elle se met à nous flageller avec la branche de céleri. Etonnant je n’aurais jamais cru que ce légume puisse cingler autant !

– Alors ça vous plait d’avoir les fesses toutes rouges, bandes de pédés ?
– Oh Ouiii ! Gueule Roland (Rolande)

Pour ma part j’arrêterais bien tout ça, je commence à cuire des fesses. J’allais lui dire, mais voilà que madame se calme.

– La pause est terminée, mes salopes ! Reprenez où vous en étiez !

Et nous revoilà sur le tapis, de nouveau je gobe la bite de Roland, me régalant de cette texture si soyeuse. Ce dernier me suce divinement mais trop rapidement. Me voilà donc obligé d’abréger ce soixante-neuf, et je fais signe à mon partenaire que comme le souhaite son épouse, je vais le sodomiser.

Sissy R43

Il a parfaitement compris le message et se met en levrette en tortillant son joli petit cul de façon provocante (j’aillais écrire obscène, mais ce n’est pas obscène c’est juste très excitant voilà tout !)

J’approche ma langue et lui lèche le troufignon ce qui excite Janis qui se lance dans des commentaires salaces.

– T’aime ça lécher : les trous du cul ! Espèce de salope, je vais te réserver une belle surprise tout à l’heure avec le mien !

Je la vois venir un peu sur ce coup-là, mais je ne m’inquiète pas outre mesure, quand l’ambiance s’y prête et que je suis bien excité, je peux accepter beaucoup de choses.

Le trou de Roland est désormais bien humecté, je lui rentre un doigt, le fait entrer et sortir plusieurs fois, puis estimant que ce petit cul est désormais prêt pour ma bite, et après l’avoir recouverte de la protection d’usage, je la lui rentre dans le fondement.

Je suis vraiment très excité, et suis obligé de ralentir considérablement mon rythme pour me réserver pour la suite avec Janis. C’est au détriment du plaisir de Roland. Mais je ne peux pas tout faire, je ne suis pas « Bite d’acier » !

Et puis, elle est bien gentille la petite Janis, mais ça va être l’un ou l’autre, ou je me retire tout de suite, ou je jouis dans ce mignon petit cul que je suis en train d’enculer !

Et comme je sens mon plaisir monter inexorablement, je décide de ne plus me retenir, je nique comme un sauvage faisant gueuler de plaisir mon partenaire, J’accélère encore ! Je jouis au milieu de trente-six chandelles.

– C’est malin ! Me dit Janis ! visiblement dépitée.

Je tente de m’expliquer, elle n’en a cure ! Je viens de baisser de 35° sur le baromètre de son estime ! Tant pis, je m’en remettrais, je m’en vais vers la salle de bain pour me changer, puis partir…

Je suis à poil devant le lavabo, je me rince le zizi. Janis entre sans un mot. Elle est restée à poil. Elle en a un ces joli cul, la Janis !

– Tu fais quoi ?

Ah, enfin une parole !

– Ben, je vais me rhabiller et partir !
– T’es sûr que tu ne peux pas repartir pour un tour ? Me demande-t-elle en me tripotant la bite.
– Ma foi ce n’est pas impossible !
– T’aime bien quand je te branle ?
– Oui
– J’ai envie de pisser, je te pisserai bien dessus !

Je ne suis pas contre, mais pourquoi ne pas m’avoir proposé ça avant ? Mais peut-être qu’avant elle n’avait pas envie ? Le souci, c’est que là, pour le moment, je suis un peu démotivé ! Alors je ne sais pas quoi lui répondre.

– Viens t’allonger dans la baignoire !

L’ordre est cinglant ! Je me dis que ça ne coute rien d’entrer dans son jeu, me voilà déjà en position, Janis est au-dessus de moi ! Quelle vue magnifique et troublante ! Le jet de son pipi me mouille le torse, je me contorsionne un peu afin qu’il atterrisse sur mon visage, j’ouvre la bouche, je bois sa pisse, elle est bonne, j’en bois et j’en rebois, je rebande un peu, mais seulement un peu.

Normalement, dans ce genre de jeu, lorsque la miction est terminée il est d’usage que le receveur aille nettoyer la chatte donneuse. Mais la proposition ne vient pas. Tant pis.

Janis se retourne.

– Lèche moi le trou du cul !

Je le fais volontiers, me régalant de ce goût un peu acre.

– Mets moi un doigt maintenant.

Allons-y pour le doigt que je fais aller et venir et qui touche une matière molle. Est-ce que…

– Sors ton doigt, maintenant

Evidemment, il est pollué.

– Deux solutions mon chéri, on bien tu te rinces au robinet, ou bien tu lèches ton doigt et tu goûtes à ma bonne merde !

Elle ponctue la seconde partie de sa phrase avec un sourire qui fait que je ne sais refuser cette proposition.

Je lèche donc mon doigt, tout cela n’a pas vraiment mauvais goût !

– C’est comment ?
– Spécial, mais ça va !
– Recommence à me lécher le cul et je vais essayer de pousser et de sortir une belle crotte.
– Euh !
– Allez, on ne se dégonfle pas !

Je lèche, l’anus s’ouvre laissant dépasser un petit, étron, je me recule légèrement attendant la suite, puis m’enhardit à lécher cette petite merde, et voila que Janis pousse encore et cette fois un gros boudin se faufile hors de son trou du cul, je m’écarte un peu mais pas suffisamment et j’en plein la tronche tandis que le petit bout est tombé dans ma bouche. Je le recrache et me dégage le visage.

– Maintenant nettoie moi le trou du cul, je veux qu’il soit propre, tout propre.

Dans un état second, je fais ce qu’elle m’ordonne m’étonnant d’ailleurs que sa défécation ne lui a pas davantage salit l’endroit.

Mais la cochonne n’avait pas fini de m’étonner, elle ramasse un peu de merde dans ses doigts et se l’étale sur les joues avec un air vicieux.

– Il paraît que c’est super comme crème de beauté ! Commente-t-elle.

Tiens, je l’ai déjà entendu quelque part, celle-là ! Mais le pire c’est que ça n’arrive même pas à l’enlaidir !

Elle s’en met ensuite sur les seins, je devine qu’elle va me demander de les lui lécher, ça ne rate pas. J’ai la tête qui tourne, la bite douloureuse et la bouche pâteuse, mais je me sens bien, terriblement bien, allez y comprendre quelque chose, vous ? Janis cherche mes lèvres, les trouve, on se roule une galoche…

Mais voilà Roland qui nous rejoint, sa belle bite est sortie, gland décalotté, et il me l’exhibe, je pense d’abord qu’il va me la donner à sucer, mais ses intentions étaient autres : il me vise. J’ai compris qu’il souhaite me pisser dessus. J’ouvre la bouche, Glouglou ! Son urine est plus forte que celle de Madame, j’en avale néanmoins l’équivalent d’un bon verre. C’est bon !

J’ai un peu peur que toute cette ingestion me reste sur l’estomac…

– On passe à table ! Une grosse omelette, ça te dirait ? Me propose Janis.
– Super !

Je me douche un peu, Roland a mis le couvert et est parti faire la cuisine, Janis s’est assise devant son assiette. Elle est toujours entièrement nue et non rincée, c’est surréaliste

– Viens t’assoir Et après manger, tu as une promesse à tenir ! Ajoute-t-elle.
– Je la tiendrais !
– Tu as intérêt ! Roland va d’abord m’enculer, ensuite ce sera ton tour, mais pendant que tu le feras, tu lui nettoieras bien sa bite avec ta langue !

Ben voyons !

Fin de l’épisode

BORIS, Alençon Février 2012
© 2012 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 4/3/2012, révisé et complété en juillet 2018

Par Boris - Publié dans : Boris
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 19:24

Racolage Balnéaire 4 – Anita, la géante par Boris Vasslan

stamp transblack

Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, domination hard, domination soft, donjon, engodage masculin, exhibition, masturbation, party, prostitution, scato légère, transsexuelles, travestis, uro

Ce récit constitue le chapitre 4 de la série « racolage balnéaire » – Selon votre humeur et vos disponibilités vous pourrez donc lire (ou relire) la série entière ou vous contenter de celui-ci qui peut se lire indépendamment.

Avant de prendre congé, Frédérique m’avait interrogé sur mes activités professionnelles. (voir les chapitres précédents) J’étais resté assez vague, précisant malgré tout que je faisais un peu dans l’informatique, il rechercha alors une petite carte de visite qu’il me confia :

– Tiens ! Ce sont des amis, quand tu seras à Paris, contacte-les de ma part, ils souhaiteraient que quelqu’un leur fasse un site Internet.

J’acceptais poliment, cela n’engage à rien, mais je n’avais pas trop l’intention de donner suite, n’ayant pas que cela à faire.

Malgré tout, cette aventure estivale m’avait profondément marquée. J’avais dans un premier temps résolu de tirer un trait là-dessus. C’était donc pour moi, une expérience forte, inoubliable, mais sans lendemain. Cette résolution ne résista pas à l’épreuve du temps. Plus il passait, plus l’envie de retrouver les merveilleuses sensations que j’avais connues chez Frédérique me tenaillait. Je passais des heures sur le net à dégoter d’improbables contacts, mais tout cela me paraissait bien compliqué et surtout bien incertain. C’est alors que je repensais à cette petite carte de visite. Je n’avais demandé aucune précision et les amis de Frédérique pouvaient être aussi bien des grossistes en antiquités moldaves que des joueurs de bandonéon ! Mais qui sait, d’amis en amis, j’arriverais peut-être sur quelque chose d’intéressant ?

Pas facile de joindre cet interlocuteur ! (Répondeur, ligne occupée, sonnerie dans le vide) Mais à force d’insister, je tombe sur une voix féminine un peu grave. La dame est très prudente au téléphone, c’est le moins que l’on puisse dire, mais quand je lui dis que j’appelle de la part de Frédérique, elle ne se contient plus ! Un vrai moulin à paroles !

– Ah, cette Frédérique, elle est si chou ! Je l’ai eu au téléphone l’autre jour, c’était quand déjà ? Mais elle était si pressée ! Comment va-t-elle ? Est-ce qu’elle est toujours avec Fabrice ? …

J’ignore qui est Fabrice, et je m’en fous complètement, mais je m’amuse d’entendre mon interlocutrice conjuguer systématiquement Frédérique au féminin. Quand je peux enfin en placer une et lui dire que je lui propose mes services pour son site Internet, ça repart pour un tour :

– Elle est si gentille de penser à moi, Elle m’avait bien dit qu’elle m’avait trouvé quelqu’un, mais comme je ne voyais rien venir….

On finit par prendre rendez-vous. Ce sera à 17 heures en sortant du boulot.

J’ignore, bien évidemment sur quoi je vais tomber, mais j’ai, suite au contact téléphonique, un bon pressentiment. Je me rends sur les lieux, un immeuble de standing comme on dit. Je sonne et là : Premier choc :

Une géante ! Au moins 1 m 80 auquel il faut rajouter des hauts talons. Elle est blonde, les yeux bleus, les cheveux coupés au carré, plutôt forte, mais sans exagération, vu la taille. Difficile de lui donner un âge, sans doute entre 35 et 45 ans. Elle a un adorable sourire ! Je me présente.

– Je suis Boris…
– Rentrez Boris ! Je vous attendais.

La voix paraît féminine, mais quand même genre contralto ou encrassée du larynx ! Elle me fait asseoir dans un fauteuil bien moelleux mais légèrement fatigué.

– Voilà, je suis Anita ! Je vous fais un petit café ? Un thé ? Un chocolat ?

Elle est habillée d’une jupe grise assez classique et pas vraiment sexy, et d’un pull-over blanc sans autre fantaisie que de lui mouler son opulente poitrine.

– Je prendrais bien du thé !

L’appartement est décoré avec goût, quelques reproductions de tableaux coquins du 17ème siècle ornent les murs. Un concerto pour piano est diffusé en sourdine, sans doute Rachmaninov. Sur la table un livre est ouvert et retourné, le Tartuffe de Molière ! Cette Anita parait donc comme une personne cultivée.

Elle part un instant dans la cuisine en tortillant du cul ! J’étais bien en peine à ce moment-là de déterminer le sexe de cette personne. Le visage me paraissait trop féminin pour être une transsexuelle, mais d’un autre côté, cette taille, cette stature, cette voix. Quand elle sera de retour, il faudra que je regarde ses mains ! Elle revient d’ailleurs tout de suite. J’ignorai qu’on puisse préparer le thé aussi vite ! Ses mains ne me renseignent pas, certes, elles sont un peu larges, mais, bon ! Elle s’assied ! Je la dévisage mieux. C’est vrai que le visage est très agréable. Quel charmant sourire ! Je lui rappelle la raison de ma visite, elle me répond que l’on va en parler dans quelques instants. J’ignore ce qu’elle attend et on échange quelques banalités. Mon regard est inexorablement attiré par la forme de ses seins sous son pull. Elle doit pourtant avoir un soutien-gorge vu l’excellente tenue de sa poitrine. Ses tétons pointent sous la laine du pull. Spectacle charmant. Pourtant un détail me surprend, il y a sur les tétons une sorte de renflement insolite ! Hypertrophie du mamelon ? Non, je comprends assez vite qu’il s’agit de petites boucles. Madame a donc des piercings au bout des seins, des anneaux !

– Je vous plais ?

Aie ! Qu’est-ce que je peux être pataud parfois, je rougis de confusion ! J’essaie de sauver la face :

– Excusez-moi, mais vous êtes, euh…
– Je suis ?
– Ben vous voyez, je ne trouve même pas mes mots !
– Ce n’est pas grave, je suis contente de vous faire de l’effet !

Nous voici sur un curieux terrain, je cherche une réponse un peu sensée, n’en trouve pas vraiment. Mais voici le thé qui arrive et qui provoque une bienvenue diversion. Et il n’arrive pas tout seul, le thé, une charmante personne nous l’apporte, nous le sert, et s’assied dans le seul fauteuil resté libre.

– Je vous présente Véra !

Véra est habillée d’un simple jeans et d’un pull-over rouge à grosses côtes, ce qui n’est pas précisément une tenue érotique. Tout sourire, visage agréable savamment maquillé. Mais en ce qui la concerne, le doute est peu permis, il s’agit bien d’un travesti !

– Euh ! Enchanté ! Balbutiais-je.
– Moi de même ! Répondit la nouvelle venue.
– Troublante, non ? Commenta Anita.
– Très !
– Elle vous plait ?
– Elle est charmante !
– Vous ne répondez pas ?

Qu’est-ce qu’elle me fait, là ? Elle cherche à m’embarrasser ou quoi ? Ou alors à me provoquer ? En fait, je suis prêt à me lancer ! Mais tout cela va trop vite, je ne pensais pas que les amis de Frédérique étaient si impliqués dans mes fantasmes !

– Si, si ! Je vais vous répondre ! Elle me plait beaucoup !
– Elle vous plait ? Ou elle vous tente ?
– Les deux ?
– Et si on parlait de notre site Internet ?

Ben ! C’te blague ! Je suis venu pour ça ! Non ? Et d’ailleurs, non, je ne suis pas venu pour ça, c’est un prétexte. Mais quelle manie, elle a, Anita, de souffler ainsi le chaud et le froid. Je m’attends à des détails techniques ! Parce qu’un site Internet, mais pourquoi faire ? Ou plutôt pour quoi dire et pour quoi montrer ?

– On va vous montrer notre activité dans tous ces détails, mais ça coûte combien ?

J’avoue que ce genre de choses ne m’était jamais venu à l’idée !

– Je ne sais pas ! Ça dépend, il y a des sites très simples que l’on peut faire en une heure ou deux et d’autres qui demandent un investissement quotidien.
– Je me suis mal expliquée ! Je souhaiterais que vous puissiez faire ça sans qu’il soit question d’argent entre nous. Nous pourrions vous remercier avec quelques prestations qui vous feraient plaisir !

Je décide de jouer le jeu.

– Et si vous me précisiez ce que sont ces fameuses prestations ?
– Tu as fait quoi avec Frédérique ? Me demande Anita passant au tutoiement

J’ai beau me dire que je suis en terrain d’initiés, raconter ces moments me gêne ! Je le lui dis :

– Ça ne t’a pas gêné de le faire, pourtant ? Rétorque-t-elle.
– Ce n’est pas pareil !
– Bon on va te faire visiter notre petit coin coquin ! Tu nous raconteras après !

Je fais le geste de me lever pour les suivre.

– Attends ! Attends ! Reste assis ! Et bois ton thé. On ne va pas y aller comme ça ! Allez, Véra on se met en tenue ! Ou plutôt, non, je vais commencer ! On va le chauffer progressivement.

Je crois rêver ! Anita retire son pull-over. Elle a en dessous un bustier noir dont une fine dentelle recouvre son opulente poitrine. Toutefois ce truc ne recouvre pas la totalité du sein, juste le bas ainsi que la majeure partie du téton, mais la partie supérieure de l’aréole est découverte. Super troublant ! Elle retire ensuite sa jupe. Elle a des bas cuivre et des porte-jarretelles assortis au sous-tif. Mon regard se porte évidement sur sa petite culotte, qui elle ne l’est pas (assortie). Il n’y a que dans les histoires cochonnes que les femmes n’ont pas de culottes ! Elle ne la retire pas ! Mais cette fois le doute n’est plus permis, il a là-dedans une jolie pine qui ne demande sans doute qu’à entrer en action. Et me voilà tout excité !

– T’aimerais bien en voir plus, hein ? Petit cochon !
– Ça c’est sûr !
– Tu aimerais qu’on te domine un petit peu ? J’ai l’impression que tu dois aimer ça ?
– Oui, pourquoi pas !
– Tu n’as pas peur ?
– Non !
– Non qui ?

Je ne m’attendais pas à ce que la domination commence de suite, et donc à ce qu’Anita m’adresse une petite paire de gifles plus symbolique que méchante !

– Non qui ?
– Non maîtresse !
– Ah quand même !
– Tu vas être mon esclave !
– Oui maîtresse !
– Et tu sais ce que je leur fais à mes esclaves ?
– Non maîtresse !
– Ben essaie de deviner ! Et retire donc ton pantalon et ce que tu as en dessous, ça va t’aider à réfléchir !

Je m’exécute.

– Et mets-toi à genoux ! Ou plutôt non, attend un peu que je regarde ton petit cul !

Elle ne se contente pas de le regarder, elle le malaxe, le tripote, le triture ! Faut surtout pas se gêner !

– Qu’est-ce tu en penses, Véra ?
– C’est un joli petit cul de tapette !
– On t’avait déjà dit que tu avais un petit cul de tapette ?
– Peut-être pas en ces termes-là, mais mon cul avait eu un certain succès chez Frédérique…
– Et ma réponse ?

La réponse ? Quelle réponse ? Elle me gifle à nouveau, pas trop fort mais ça me rafraîchit la mémoire.

– Je suppose que vous allez me fouetter, m’attacher !
– Et puis ?
– Peut-être me sodomiser avec un gode !
– Et puis ?
– Je ne sais pas, peut-être m’uriner dessus ?
– Et puis ?

Je m’aperçois avec horreur que nous n’avons pas pensé à aborder les limites de cette séance de domination complètement improvisée. J’espère qu’elle n’a pas le projet de me faire des trucs avec des aiguilles ou pire encore. Mais je ne suis pas prisonnier. Si c’est le cas, je peux toujours m’en aller.

– Je ne sais pas, maîtresse !
– Mes esclaves, je leur fais sucer des bites !

Ah ! C’était donc ça ! Mais ce genre de chose ne sera pas une corvée. Mais alors pas du tout !

– C’est comme vous voulez, maîtresse !
– Tiens, je suis sûr que là, maintenant, tu aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Oui maîtresse !
– Dis-le mieux que ça !
– Oui maîtresse, j’aimerais bien sucer la bonne bite de Véra !
– Et après quand tu l’auras sucé, on fera quoi ?
– Je suppose que je me ferais sodomiser ?
– Que tu te ferais quoi ?
– Sodomiser, maîtresse.
– C’est quoi ce mot-là ? On n’est pas chez le sexologue ?
– Alors… que je me ferais enculer !
– Ah ben voilà ! Bon mets-toi à genoux devant Véra et commence par lui tripoter la braguette, et tu ne fais que cela !
– Bien maîtresse !

Je fais comme elle m’a dit, je suis en plein rêve, même dans mes élucubrations les plus folles je ne m’imaginais pas que les choses iraient aussi vite ! Je sens la queue du travesti à travers la toile du jean.

– Caresse-la jusqu’à temps qu’elle bande.

Ça demande tout de même un certain temps, je ne dois pas être son genre ! La chose finit malgré tout par durcir.

– Tu défais la fermeture et sans rien casser ! Voilà et maintenant tu vas passer ta main là-dedans et le tripoter à travers son slip.

Voilà qui est autrement agréable, car le fin tissu du slip (ça doit être de la soie) n’altère pratiquement pas la forme du membre. Je pratique ce petit jeu pendant une minute ou deux. !

– Sort-lui sa quéquette maintenant ! !

Bien sûr que je le fais, je libère ce membre de taille honorable, et le caresse, sa texture en est soyeuse, la situation a eu raison de ma propre bite bandée comme un arc.

– T’aimerais bien la voir de plus près, maintenant ? Hein, esclave ? Demande Anita.
– Oui maîtresse !
– Bon, tu la suceras quand je l’aurais décidé… Mais pour l’instant tu vas finir de te foutre à poil.

Je m’exécute et alors qu’Anita me demande de me mettre à genoux devant le sexe de Véra, le carillon de la sonnette d’entrée retentit ! Du coup le travesti, réajuste sa tenue, range son service trois pièces et me laisse en plan ! Je vais pour me rhabiller mais Anita intervient !

– Juste le caleçon, et puis tu devrais finir ton thé, il va refroidir !

Le ton est redevenu « normal », Anita ne joue plus, j’avoue en être contrarié !

– C’était quoi ? Demande-t-elle à Véra !
– Un client ! Je l’ai mis dans la salle d’attente !
– Ah ! On n’avait plus de rendez-vous aujourd’hui !
– Il dit que si, on a dû oublier de le noter.
– Il est déjà venu ?
– Non !
– C’est quel genre ?
– La trentaine, assez mignon !
– Vas le chercher, on va s’amuser, mais soit diplomate, si ça se trouve c’est la première fois qu’il vient se faire dominer.

Comme Véra n’a fermé aucune porte, nous pouvons entendre la conversation :

– Venez, Maîtresse Anita va vous recevoir, mais ne soyez pas surpris, il y a déjà un client dans le salon.
– C’est que ça m’embête un peu, je ne peux pas attendre plutôt ?
– Si, bien sûr, mais je vous suggère de venir quand même, plus on est de fou, plus on bande… de plus séances collectives sont souvent passionnantes… de toute façon il ne vous arrivera rien de ce que vous ne souhaitez pas…. Vous m’avez rempli le petit questionnaire… Ah voyons, mais c’est parfait, ça… Au besoin on peut vous masquer le visage…
– Non, je crois que je vais essayer…
– Très bien, dès que vous aurez fait la connaissance de Maîtresse Anita, il vous faudra payer le prix convenu et ensuite sans qu’on ait besoin de vous le dire, vous vous déshabillerez, puis vous irez vous mettre à genoux devant elle et vous lui lécherez le trou du cul.

Le type arrive, effectivement, la trentaine, cheveux très courts et petite barbiche, jean et polo, très mode !

– Bonjour ! Murmure-t-il !

Il regarde autour de lui, un peu paumé, genre « je me suis lancé dans un drôle de truc, je ne voyais pas ça comme ça, mais je découvre… » Il dévisage Anita qui est resté en sous-vêtements, manifestement elle lui plait, il me regarde aussi, très dubitatif. La dominatrice parcourt rapidement le petit questionnaire et exprime un curieux sourire d’assentiment.

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?
– Non, mais la première fois c’était avec une femme, je veux dire une vraie femme, ça ne s’est pas bien passé, je m’étais dit que je n’y retournerais jamais, et puis ça a été plus fort que moi, et puis comme je suis attiré par les transsexuelles, je me suis dit que, pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups…
– Qu’est ce qui s’est mal passée avec la fille !
– Elle tapait trop fort, elle m’a fait des marques, et puis elle s’est amusée à me piétiner, ça n’a aucun intérêt, je n’ai même pas pu jouir !
– T’es tombé sur une conne ! Simplement !
– C’est ce que je me suis dit, c’est pour ça que je me suis décidé à réessayer !
– Bon je te plais ?
– Oui maîtresse !
– Tu aimes les bites !
– Je suis fasciné par les trans… leurs bites aussi…
– Tu en as déjà sucé !
– Juste une fois dans un cinéma porno.
– OK ! Alors fait ce qu’on t’a dit de faire…

Le type sort le prix de la prestation, ne sait pas trop quoi en faire et donne finalement les billets à Véra. Il semble quand même assez perdu. Il commence à enlever ses vêtements, ne sait pas quoi en faire !

– Là-bas ! Indique Véra. Comment tu t’appelles !
– Euh ! Julien !

Il vient de l’inventer mais ça n’a aucune importance. Le type regarde autour de lui, il a l’impression de se jeter à l’eau, il a certes payé, mais il peut encore fuir, il pousse un grand soupir et finit de se déshabiller. Maîtresse Anita se penche alors légèrement en avant et descend sobrement sa culotte. Je peux enfin admirer sa belle bite, elle est assez pâle avec le gland rosé, ravissante… J’ai hâte de l’avoir dans ma bouche !

Julien se met donc à lécher l’anus offert, il a bien de la chance l’esclave. Je me demande d’ailleurs ce que je fais ici, si la séance dure une heure, est-ce que je vais simplement faire le spectateur, ce sera peut-être intéressant, mais bon rien ne vaut la participation !

– Relève-toi ! Esclave !
– Tu as aimé ça, me sucer le trou de mon cul ?
– Oui Maîtresse !
– Et, il avait quel goût mon trou du cul ?
– Euh, un peu fort !
– Fort ? C’est un goût ça, fort ? Demande-t-elle à Véra en s’amusant.
– Non il faut peut-être qu’on lui répète la question, il est peut-être un peu sourd !

Elle lui crache au visage et répète la question :

– Un petit goût de…
– De quoi ?
– De caca !
– Ah, oui, ça au moins on sait ce que c’est, et tu aimes ça, sucer des trous du cul qui sentent la merde ?
– Ça ne m’a pas déplu, maîtresse !
– Et tu fais ça souvent ?
– A vrai dire c’est la première fois, c’était un fantasme.

Je m’amuse, le mec bande comme un cerf.

Anita lui fait face et sans que le client ait eu le temps de réagir, lui accroche deux pinces sur les tétons

– T’aimes ça ? Hein salope ?
– Oui Maîtresse !
– Tu vas voir, tout à l’heure je vais jouer avec tes tétons, je vais te faire hurler… mais en attendant tourne-toi, je vais te rougir le cul.

Il se tourne

– Dis donc je n’ai rien entendu !
– Pardon Maîtresse !
– Quand je te donne un ordre, tu dois me répondre « oui maîtresse » ! T’as compris, salope ?

Et joignant le geste à la parole, Anita lui envoie deux paires de gifles qu’il encaisse sans broncher !

– Merci Maîtresse !
– T’aime ça les baffes, hein ? T’es vraiment qu’un chien toi, mais attends la séance ne fait que commencer.

Elle lui pelote les fesses.

– C’est quoi ces fesses, il y a trop de poil, la prochaine fois tu vas me raser tout ça, n’est-ce pas esclave ?
– Oui maîtresse !

Elle ponctue ses propos d’une belle claque sur le globe fessier, puis dans la foulée en administre une seconde, elle le fait pencher un peu en avant et continue à le fesser sans marquer de pause.

– Véra, le martinet !

Le travesti tend l’objet à Anita qui à présent flagelle l’esclave qui ponctue chaque coup d’ânonnements de douleur. Son cul commence à prendre une belle couleur rouge striée de barres plus sombres. Elle s’arrête un moment.

– Tu aimes ça, salope !
– Oui Maîtresse !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope Maîtresse !
– Et tu sais ce que ça fait les salopes !
– Heu, je crois que ça exécute vos ordres, maîtresse !
– Tu ne crois pas si bien dire, tu vas voir ce qui va t’arriver tout à l’heure !

Regard pas très rassuré du Julien.

– Tourne-toi et regarde-moi !
– Oui maîtresse !
– Ouvre ta bouche !

Anita lui recrache alors en pleine bouche et avant que l’esclave ait eu le temps de réagir elle lui administre quatre gifles sur le visage.

– On dit quoi ?
– Merci, maîtresse !

Il fait une drôle de tronche. Anita lui demande de se relever, et lui accroche des poids au bout des pinces qu’il a sur les tétons. Grimace de Julien mais il a l’air d’aimer ça. Elle rajoute ensuite une deuxième série de poids qui lui tirent cruellement les bouts de seins vers le bas.

– Et maintenant à quatre pattes !
– Oui Maîtresse.
– Tu vas faire le tour de la pièce et dépêche-toi, je n’ai pas que toi à m’occuper.
– Oui, Maîtresse.
– Allez remue-toi le cul ! Ton gros cul de gonzesse ! Tu sais que je vais te le défoncer ton gros cul ?
– Oui maîtresse !

Le type avance, la masse des poids sur les pinces accrochés à ses tétons produit un effet de balancier qui semble le blesser à chaque pas, en même temps Anita lui assène des coups de martinet pour le faire avancer. Il en a de la chance cet esclave. En tous cas ce spectacle m’excite terriblement, je bande tout à fait joliment et me laisse aller à quelques mouvements de masturbation lente à l’intérieur de mon calcif, Anita s’en aperçoit !

– Dis donc, toi là-bas ! Quelqu’un t’a autorisé à te branler ?
– Non maîtresse, pardon maîtresse ! Répondis-je entrant dans son jeu.
– Véra ! Fous-lui 20 coups de martinets !
– Pas 20 ! Tentais-je de protester
– 25 ! répondit-elle

Je me plaçais donc à genoux, tête baissée et cul relevé, en espérant que je pourrai supporter la chose. Mais Véra n’avait rien d’une brute, après avoir testé ma résistance sur les tous premiers coups, elle trouva le bon rythme et la bonne force des lanières. Mais même si cela était supportable, c’était quand même limite et ça me faisait vraiment mal. Je respirais mieux le supplice fini, mais mes fesses me piquaient terriblement. Anita m’invita à regarder le résultat dans un miroir, mon fessier était devenu rouge groseille strié de traînés boursouflées. Mais quelque part la situation me plaisait, on est maso ou on ne l’est pas !

Anita s’adresse alors à Véra !

– On va les mettre l’une à côté de l’autre, ces deux salopes !

Elle nous fait agenouiller, Julien et moi sur le canapé, le nez vers le dossier. Et nous recevons quelques coups de martinet par pur amusement.

– Ecartez bien vos fesses de putes avec vos mains, je veux voir vos trous du cul.

J’obéis, je suppose que mon voisin fait de même !

– Attendez, c’est quoi ces culs de minables ! Vous ne devez pas vous faire enculez souvent !
– Non, maîtresse ! Mais je ne demande qu’à progresser ! Répond Julien, désormais en pleine forme !

Anita précise à Véra qu’elles vont prendre « chacun le sien » Je sens quelque chose de froid sur mon anus, sans doute du gel, un gode est en train de quémander l’entrée, je m’ouvre, ça entre, et Véra peut alors imprimer des aller et retour à l’objet dans mon conduit anal. Après les premiers instants toujours un peu difficile à appréhender en ce qui me concerne, une sensation très bizarre, mélange de trouble et de bien-être m’envahit. J’adore finalement cette pratique que je n’ai, il est vrai, pas fréquenté si souvent.

A côté de moi, mon voisin doit être dans un état d’esprit similaire, puisqu’il répète à qui mieux-mieux des « c’est bon maîtresse, c’est bon maîtresse »

– T’aime ça te faire enculer, hein salope ?
– Oui, maîtresse !
– Dis-le !
– J’aime me faire enculer maîtresse, vous faites ça si bien !
– Dis le que tu es une salope !
– Je suis une salope, maîtresse !
– La prochaine fois, on essaiera un gode plus gros !
– C’est comme vous voulez maîtresse !
– Ou alors, mieux que ça, je te ferais enculer par une vraie bite !
– … (pas de réponse)
– Dis donc esclave, tu as perdu ta langue ? Tu as intérêt à la retrouver sinon j’arrête le gode !
– Pardon, maîtresse ?
– Alors réponds ?
– Que souhaitez-vous que je vous réponde, maîtresse !
– Que la prochaine fois, tu vas prendre une vraie bite d’homme dans ton cul d’enculé !
– Heu… La votre maîtresse ?
– Une bite d’homme, je t’ai dit… moi je ne suis pas un homme, je suis une trans, une femme à bite.
– Je ne sais pas, maîtresse, si je suis prêt à cela !

A ces mots, Anita, retire brusquement le gode du fondement de son soumis.

– Tu n’aurais pas dû dire ça, esclave ! Dit-elle alors d’une voix doucereuse, tu as rempli une fiche tout à l’heure en indiquant les pratiques que tu ne souhaitais pas… je n’y ai pas vu celle-là
– Je n’y avais pas pensé maîtresse !
– Tu aggraves ton cas, on dirait, tu vas recevoir dix coups de paddle.

Anita indique à Véra d’arrêter de me goder le cul et lui demande d’administrer la punition au soumis

– Moi, je vais m’occuper de la punition de Boris ! Conclue-t-elle
– La punition, mais il n’a pas mérité une punition, lui ? Objecte le travesti.
– Je sais, la punition collective est injuste, c’est bien pour cela qu’elle m’excite tant !

Et tandis que Véra s’en va chercher un paddle, Anita me retire le gode de mon cul, me fait descendre du canapé, puis agenouiller devant elle.

– Nettoie-moi ce gode avec ta bouche, il est plein de merde !

« Plein » est une exagération, mais le truc est quand même loin d’être nickel ! La salope ! Ça c’est une vraie punition, je n’ai rien contre les trucs un peu scato (voir le chapitre précédent) mais encore faut-il que l’ambiance s’y prête… et lécher un gode merdique ne me branche pas plus que ça. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur et lèche le condom entourant le gode, tandis qu’à côté de moi le cinglement du paddle résonne sur les fesses déjà martyrisé du pauvre Julien qui ne sait plus où il en est et qui implore des :  » Pardon maîtresse, merci maîtresse… »

La punition reçue, l’esclave est invité à se mettre debout devant Anita, et pendant qu’elle le questionne elle joue avec ses pinces, lui procurant des râles de jouissance :

– Bon, esclave, je vais répéter ce que je disais tu vas essayer de me répondre intelligemment cette fois-ci !
– Oui maîtresse !
– Hum, t’aime ça qu’on te tripote les seins… Donc une prochaine fois, tu te feras enculer par une vraie bite !
– Oui, maîtresse !
– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire ce qui va t’arriver !
– Je vais me faire enculer, pour vous, Maîtresse.
– Ah, voilà qui est mieux, tu auras peut-être une récompense tout à l’heure, mais tu vas te faire enculer quand exactement ?
– La prochaine fois maîtresse !
– Comment ça « LA » prochaine fois, tu es sûr que c’est ça que j’ai dis ?

Tout en lui parlant, elle a retiré les poids aux seins, puis ôté les pinces elle-même avant de les remette brutalement. Julien se pâme de douleur et de plaisir.

– Alors tu réponds, oui ?
– Quand vous voulez, maîtresse !

C’est en fait ce qu’elle voulait entendre ! Alors se tournant vers nous :

– Vous avez bien entendu ce qu’il a dit l’esclave, qu’il est prêt à se faire enculer pour sa maîtresse quand je le voudrais ? Allez répète esclave !

Et tandis qu’Anita continu à lui martyriser le bout de ses seins, Julien dans un souffle déclare donc :

– Oui, maîtresse, vous pouvez me faire enculer quand vous voulez, je ne suis qu’une salope d’esclave.
– Hum, voilà comment j’aime qu’on me parle, ouvre la bouche !

Et pour le remercier de ses bonnes résolutions, Anita lui recrache dans la bouche, plusieurs fois de suite :

– Merci maîtresse !
– Non mets toi à genoux, et toi, Boris tu va venir devant lui, il va te sucer la bite !

Le mec est maintenant carrément au pied du mur, il n’a pourtant pas l’air idiot, il se doutait bien qu’en allant se faire dominer par des trans, il serait amené à leur sucer le sexe… et d’ailleurs il n’a pas bronché tout à l’heure quand on lui fait sucer l’anus d’Anita, mais là pour lui ce n’est pas pareil, c’est la bite d’un homme non travesti qu’il a devant lui et il ne s’attendait pas à ça.

– Bon alors t’attends quoi ? Le retour des 7 mercenaires ? Tu prends sa bite, tu la mets dans ta bouche et tu te débrouilles.

Il y met la main, comme pour se donner du courage…

– La bouche, pas la main, connard, allez c’est le premier pas qui compte, une fois que t’y auras gouté tu ne pourras plus t’en passer…

Et hop c’est parti, le Julien s’est jeté à l’eau et m’a embouché mon membre, c’est un peu n’importe quoi au début mais ça s’arrange, il doit s’inspirer des films pornos (comme quoi ça a aussi une fonction pédagogique) et arrive à me faire une pipe qui ressemble à une pipe… et qui me fait d’autant plus bander que Anita est passé derrière moi et me triture mes tétons.

– Bon on passe aux choses sérieuses, tu peux arrêter de le sucer. Alors c’était comment esclave ?
– Ce n’était pas désagréable, Maîtresse !
– Tu recommenceras ?
– Oui, maîtresse !
– Mets-toi en levrette et tends bien ton cul de pédé !

Il s’exécute !

– Qu’est-ce que tu en penses de son petit cul à cet esclave, toi Boris ?
– Assez mignon, je dois dire, répondis-je histoire de dire quelque chose qui « fasse ambiance ».
– Ah ? Tu le trouves mignon, et bien puisque c’est ça, ne te gènes pas, lèche-lui le trou du cul !
– Ce n’est peut-être pas indispensable !

Une énorme claque atterrit sur mes fesses !

– Ce n’était pas une suggestion, c’était un ordre, conard. Lèche-lui son cul et plus vite que ça…

Du coup je comprends les hésitations de Julien tout à l’heure, parce qu’autant je lécherais le cul d’Anita avec excitation, autant là ça ne me passionne vraiment pas, mais j’obéis, j’adore obéir aux maîtresses. Pendant l’opération Maîtresse me branle doucement afin de maintenir mon érection.

Après ces préliminaires buccaux, je m’encapote, tartine le cul de l’esclave avec du gel, puis l’encule. Je fais des va-et-vient pas trop rapides, je n’ai pas envie de jouir maintenant, de plus cette situation n’est pas ma préférée, je suis en la matière beaucoup plus passif qu’actif.

J’ai quand même bien dû le limer pendant dix minutes avant qu’on me fasse arrêter.

– Alors c’était comment ?
– Très bien, maîtresse ! Répond Julien
– Tu as mérité une récompense, j’ai une petite envie de pisser, je vais faire dans ta bouche !
– Oui, maîtresse !
– Allez, à genoux et ouvre ta gueule de porc.

Le filet jaune de la pisse d’Anita dégringole dans la bouche de l’esclave qui avale tout sans broncher.

– Maintenant je veux que tu te branles, mais d’abord nettoie-moi bien la bite, je ne veux plus qu’elle sente la pisse.

Trans811

Le Julien n’attendait que ça, il gobe littéralement la verge de la transsexuelle, tandis qu’il se masturbe de sa main droite.

– Bon ça va, jouis, maintenant ! Intervient Véra en lui tendant une feuille de papier « essuie-tout ».

Pas très romantique, mais le mec jouit en deux minutes. Changement de ton complet d’Anita qui s’adresse à lui :

– Alors ça t’a plu ?
– Oui, c’était bien, maîtresse.
– Il n’y a plus de maîtresse, la séance est finie, si tu veux de nouveau m’appeler maitresse, il faudra revenir, tu reviendras ?
– Je crois, oui !

Le gars parti, on se regarde un peu tous les trois, sans se rhabiller.

– On en était où avant qu’il arrive ? Demande Anita.

Mais voilà qu’on sonne de nouveau. Pas moyen d’être tranquille ici ! Vera va voir, fait entrer quelqu’un dans la minuscule salle d’attente, puis revient :

– C’est Roland ! Préviens Vera.
– C’est le gars qui nous fait des réparations, il vient pour changer la lampe du frigo, je lui avais dit de passer en fin d’après-midi, il n’en a pas pour longtemps.

Je commence à me rhabiller pendant qu’on fait entrer Roland. En fait j’ai juste remis mon caleçon. (comme tout à l’heure en somme)

Le nouveau venu est un moustachu, frisé, d’une quarantaine d’années, très jovial.

– Bonjour Anita, oh quel beau spectacle, bonjour monsieur.
– C’est Boris, c’est un ami, il est comme toi, il aime bien les bites.
– Ah, alors enchanté !
– Boris, montre donc tes fesses à Roland, je crois qu’il va apprécier.

Elle ne me demande pas, si ça me plait moi d’exhiber mon cul comme ça devant le réparateur du frigo… mais bon, je suis venu ici, le délire a commencé, alors qu’il continue. Je baisse donc mon caleçon, provoquant une exclamation enthousiaste de Roland.

– Hum ! Quel joli cul ! Je peux toucher ?

Je ne vais pas dire non, j’ai dû savoir vivre !

Le mec me caresse gentiment les fesses, puis devient plus hardi, il me les triture, m’écarte les globes et je sens son doigt s’aventurer très près de mon petit trou.

– T’aimes ça qu’on te pelote les fesses !
– Ma foi, quand c’est bien fait.
– Je peux te lécher la rondelle ?
– Je t’en prie, lèche !

Ça y est j’ai la langue de Roland dans le troufignon, il lèche bien c’est agréable. Pour le doigt il ne m’a rien demandé, il me le met d’office et me ramone avec. J’aime ça. Il finit par enlever son doigt et comme je le pressentais, il sort sa bite déjà bien bandé et me la présente :

– Tu veux me sucer ?

Quand c’est demandé gentiment… et en plus c’est loin d’être une corvée, l’engin est superbe, une jolie pine bien droite, avec une belle veine qui la parcoure, et un joli gland luisant dans les mauves. Hum, je vais me régaler avec sa quéquette à celui-là, je la suce, je la lèche, je me l’engloutis dans la bouche, je la fais cogner contre l’intérieur de mes joues, je donne des savants coups de langues autour de la couronne.

– Mais c’est qu’elle suce super bien, cette petite salope ! Commente le poète.

Je prends ça comme un compliment, je me régale, mais je commence à fatiguer de la mâchoire, et puis j’aimerais bien qu’il me la mette ailleurs sa queue, mais le souhaite-t-il ? Mais après tout au diable les convenances, j’en ai envie, je lui demande :

– Tu m’encules ?
– Hum… je vais bien te le défoncer ton petit cul…

Vera a été chercher une capote et du gel, on me tartine le trou, Roland entre doucement, puis se met à s’agiter. Des ondes de plaisir me parcourent le corps, je prends vraiment un plaisir intense à me faire prendre ainsi. Il m’encule ainsi pendant une dizaine de minutes et finit par jouir avec jubilation !

– Bon c’est pas tout ça, j’étais venu changer une ampoule…

Et le voilà qui sans se rhabiller, disparaît dans la cuisine. Je reste un peu en plan, c’est que je n’ai pas encore joui, moi, et que je commence à avoir les couilles douloureuses. Une minute après il revient.

– Et voilà, c’est fait !
– Déjà s’étonne Anita qui curieuse comme une chatte, s’en va suivie de Vera dans la cuisine vérifier ce miracle de la technologie moderne.

– Toi, tu plairais bien à ma copine, ça te dirait un petit trip à trois ? Me demande alors Roland.
– Oui, pourquoi pas ?

Les deux trans reviennent alors qu’on se rhabille.

– Je vous laisse et j’embarque votre ami, je vais lui présenter Janis. Déclare Roland.

A bon ? Je n’avais pas saisi que c’était pour tout de suite.

– Et notre site Internet ? Intervient Anita
– Je peux repasser demain soir à la même heure et on met ça au point ! Proposais-je.
– Alors d’accord, amusez-vous bien et embrasse Janis pour nous !
– Je n’y manquerais pas. Tu es prêt, toi, allez viens ma puce ! Répond Roland en me donnant une petite tape amicale sur mes fesses.

Voilà que je suis sa puce à présent !

A suivre

BORIS
© 2009 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 8/11/2009

Par Boris - Publié dans : Boris
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 août 2018 2 14 /08 /Août /2018 07:16

Racolage Balnéaire 3 – Les grandes folles par Boris VasslanFetish

Thèmes abordée :  bisex féminine, doigtage masculin, engodage masculin, feuille de rose, jeux érotiques, party, scato, sex and food, shaving, spermophilie, transsexuelles, travestis, uro. 
Attention, âmes sensibles, ce texte contient un passage scato explicite !

C’est Soraya, le travesti présentateur qui m’accompagna jusqu’à une grande chambre, il me demanda si j’avais faim, et devant ma réponse négative me souhaita une bonne nuit, m’expliquant qu’il serait à ma disposition demain dès 9 heures et que je pourrais l’appeler par l’interphone pour le petit déjeuner. Epuisé, fourbu, je me demandais néanmoins ce que je fabriquais ici, et surtout quelle folie m’avait poussé « sans un instant réfléchir » à accepter cette étrange proposition. J’eus malgré la fatigue, certaines difficultés à m’endormir. Je m’étais malgré tout résolu à ne pas m’attarder ici et à trouver le moyen de partir, dès mon réveil. Après tout je n’étais pas prisonnier !

Je me réveillais d’assez bonne heure, mais je musardais au lit, n’arrivant pas à me décider à me lever. Commençant à avoir faim, j’avais donc le choix entre deux attitudes, appeler la soubrette pour le déjeuner ou me faufiler vers la sortie de cette demeure, puis aviser. C’est poussé par je ne sais quel démon que je choisissais le petit déjeuner sur place et activait l’interphone.

Un quart d’heure après Soraya était là avec tout ce qu’il fallait…

– Voilà, il y a du café, du lait, du jus d’orange, des tartines beurrées et de la confiture. Hum ! Le pain est tout chaud ! Désirez-vous autre chose ?

Je dévisageais un instant Soraya, il s’agissait d’un travesti et non pas d’une transsexuelle. Le type s’était savamment maquillé, une longue perruque blonde lui tombait en cascade sur ses épaules, mais peut-être étaient-ce ses cheveux naturels ? Son corps était apparemment entièrement épilé. Il n’avait pour unique vêtement qu’une nuisette rose à moitié transparente qui lui descendait jusqu’à mi-cuisse. Déjà, troublé par le personnage, la vue de son sexe sous le tissu diaphane me provoqua un début d’érection. Il se rendit compte de mon trouble et innocemment réitéra sa question :

– Désirez-vous autre chose ?
– Je ne sais pas ! Que me proposez-vous ?
– Je peux par exemple prendre mon petit déjeuner en votre compagnie, mais si vous souhaitez rester seul, ou si vous avez besoin de quoique ce soit…

Je le coupais :

– Non ! Non restez, c’est une très bonne idée !
– On va se partager tout cela, normalement c’est pour une seule personne, mais si nous n’avons pas assez, j’irais en rechercher !
– D’accord ! Mais il n’y a qu’une tasse !
– Bon alors je reviens !

Et le voici qui s’en va en tortillant du cul, je me surpris à fantasmer sur ses belles petites fesses toutes rondes. Décidément quelque chose ne tournait pas trop rond dans ma pauvre tête en ce moment. Et puis le voilà qui revient déjà, comme s’il avait oublié quelque chose !

– Au fait qu’est-ce que vous avez emporté comme chaussures ?
– Pardon ?

Il reformula son insolite requête.

– Pourquoi, me demandez-vous ça ?
– Ah ! Ah ! C’est une surprise !
– Je n’ai rien ramené du tout, j’étais en tongs quand vos copines m’ont racolé !
– Ah ! Et vous chaussez du combien ?
– Du 42 ! Si je n’ai pas pris une pointure en dormant !
– A tout de suite !

Et nouveau départ du zèbre qui retortille le cul comme pas possible, et mon zizi qui a l’air d’apprécier…

Le voici qui revient, avec un second plateau de petit déjeuner ! Il fait le service et me sert un café au lait fumant. Etant toujours dans le lit, j’ai pratiquement sa quéquette sous le nez. J’essaie de regarder ailleurs, mais je me rends compte du ridicule de la situation et changeant complètement de comportement, je l’apostrophe :

– Elle est ravissante cette nuisette !
– C’est la nuisette que tu regardes ou bien ce qu’il y a en dessous ? Oh ! Pardon ? Je vous ai tutoyé ?
– Ce ne me gêne pas du tout !
– Alors répond donc à ma question, petit coquin !
– Ce qui est très joli c’est le mélange des deux !
– Bonne réponse ! Et comme ceci ?

Et voici que Soraya soulève sa nuisette dévoilant complètement à ma vue ses attributs. Ils n’ont d’ailleurs rien d’exceptionnels, sa bite est de taille moyenne, ses couilles sont bien banales, mais il y a deux choses qui font sortir tout cela du lot commun, d’abord il n’y a plus un seul poil, et puis ce contexte, cette bite incongrue sur un corps qui se voudrait féminisé. Tout cela m’excite, je bande à présent comme un gode.

– Superbe ! M’entendis-je répondre.
– Tu peux toucher si tu veux ?

Il m’apparut néanmoins assez rapidement que Soraya était aussi là, pour me satisfaire sexuellement. Il n’était donc pas utile d’en rajouter en inutiles prémices protocolaires. Soraya s’empare soudain de deux tartines beurrées et y place sa verge entre les deux. Il rigole !

– Tu as vu ? C’est un hot-dog !

Je me demande si le moment n’est pas venu d’attraper tout cela, mais la présence des plateaux me gêne. L’autre continue de délirer :

– Un hot-dog à géométrie variable !

Il se masturbe entre les deux tartines beurrées et sa queue ne tarde pas à adopter un bel aspect, bien raide.

– On pourrait continuer, ça ferait un hot dog à la crème !

Mais il ne poursuit pas ! Il dépose les tartines sur le plateau, prend une cuillerée de gelée de groseille qu’il se répand sur la verge. Il se fait donneur de conseil :

– Si tu mets directement la confiture, ça finit par couler, avec un peu de beurre, ça tient bien mieux et plus longtemps.

Il reprend ensuite l’une des tartines dont il s’est servi pour se sandwicher le zizi et en découpe une bouchée qu’il me tend :

– Voilà : Tu te mets ça dans la bouche, et tu lèches un peu de confiture

Et ce disant, il s’approche de moi, afin que la manœuvre devienne réalisable. Le petit bout de pain n’a pas pris d’odeur particulière malgré son contact avec le pénis du travesti. Je le mâchouille un petit peu, puis pointant ma langue vers sa verge, je viens y laper un peu de confiture. Je n’ai jamais fait cela ! Je suis excité comme un pou. Déjà, j’ai envie de jouir ! Je vais éclater ! Je continue, néanmoins cet étrange petit déjeuner, un petit bout de tartine, une lichette de gelée de groseilles sur la bibitte du travelo !

A force de lécher, il ne reste bientôt plus rien, mais tout cela reste un petit peu visqueux, personne ne m’a demandé de faire le ménage, mais il n’y a pas de raison, il faut que cela soit propre. Alors je lèche, je suce, et je relèche et je resuce. Tant et si bien, que soudain je sens ce membre tressauter à l’intérieur de mon palais. Cette grande folle est en train de jouir dans ma bouche. Ce n’était pas vraiment prévu ! Et n’étant pas un fanatique de l’avalage de sperme, je porte à ma bouche une pleine cuillerée de gelée de groseille avant d’avaler d’un coup ce mélange insolite…

C’est bien joli, tout cela, mais je ne suis pas calmé et d’un geste je lui indique ma queue dressée comme la lettre I dans l’alphabet.

– On s’en occupe !

Il me masturbe un tout petit peu, du bout de ses longs doigts. Ce type m’électrise, il a des mains d’artiste, des doigts de fées.

– Tu connais la pipe café au lait ?
– Non ! C’est quoi ?
– Je vais te montrer !

Soraya avala alors une bonne goulée de liquide chaud et la garda quelques instants en bouche afin d’augmenter la température de sa langue, de ses lèvres et de son palais. Il avale ensuite le café, puis plonge vers mon sexe.

Curieuse sensation que cette pipe chaude. Au plaisir de cette fellation experte s’ajoute un contact trouble, celui que l’on retrouve par exemple lorsqu’on se douche le sexe avec de l’eau plus que tiède. Les deux sensations ne s’ajoutent pas, elles se multiplient. Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de Soraya, qui lui n’aura pas besoin, lui, de confiture pour avaler.

Je mets quelques minutes à reprendre mes esprits, puis nous finissons notre petit déjeuner comme si de rien n’était. Soraya me fait la conversation, (j’ai du mal à en placer une), et me parle des fantaisies de son patron, Frédérique, de quoi écrire un roman à épisodes. J’ai une fringale pas possible, il est vrai que je n’ai rien avalé depuis hier midi et il ne restera rien du tout sur les plateaux.

– Bon je vais peut-être me rentrer !
– Allons, allons ! Tu es invité, nous mangerons tous ensemble en fin d’après-midi, ce sont les habitudes de la maison. Mais auparavant nous avons prévu quelques petites fantaisies histoire de se distraire. En attendant tout cela, tu as la salle de jeux à ta disposition, il y a tout ce qu’il faut pour passer le temps, un billard, des flippers, un micro avec des jeux, une chaîne, une bibliothèque… Mais avant je vais te raser.

– Merci, ça je peux le faire tout seul !
– Ne dis pas de bêtises, tu crois que c’est facile, toi, de se raser tout seul les poils du trou du cul ?
– Non mais attends ! Tu veux faire quoi au juste ?
– Te raser partout ! Partout, partout !
– Non ! Pas question, le trou du cul à la limite, mais c’est tout !
– Oh ! Comme c’est dommage !
– C’est dommage, mais c’est comme ça !
– Tu as peur que ta femme s’en aperçoive ?
– Je ne vois pas comment elle pourrait ne pas s’en apercevoir ?
– T’invente une histoire !
– Trouve m’en une et je me laisse faire !
– Voyons, voyons ! Tu t’es réveillé avec des fortes démangeaisons sur la poitrine, tu n’as pas eu le temps d’aller consulter, mais tu en as parlé au pharmacien qui t’a dit qu’il y avait plusieurs cas en ce moment, que cela était provoqué par un petit parasite genre morpion, mais que ce ne sont pas des morpions, il t’a donné une crème, mais il t’a précisé que le moyen le plus efficace serait de te raser tous les poils. Ça te va ?
– Quelle imagination ! C’est un peu tiré par les poils, justement mais ça devrait aller !
– De toute façon, une crème on t’en donnera une, quand ça commence à repousser ce n’est pas toujours évident ! On y va ?

Je suivis donc Soraya dans la salle de bain !

– On va commencer par la poitrine, heureusement il n’y a pas grand-chose !

Et hop ! Le voilà qui me colle une tartine de gel moussant qu’il m’étale sur mon torse, il ratisse ensuite avec le rasoir en de petits gestes précis. Je me laisse faire. Je commence à comprendre le ravissement qu’ont certaines femmes à passer de longues séances chez l’esthéticienne. Il est un plaisir certain de se faire occuper de son corps tout en ne faisant rien. Il m’essuie ensuite avec une serviette chaude, contrôle si rien n’a été oublié, en profite pour passer une main sur la pointe de mon téton gauche.

– Dis donc ! Tu as le bout des tétons bien développé, toi ?
– C’est à force de mes les faire pincer !
– Comme ceci ?

Et le voilà qui me serre le bout, c’est ma caresse préférée, celle qui me refait toujours bander. Et là en plus, il y a les doigts de fée de ce diable de travesti ! Ma quéquette s’en redresse de satisfaction !

– T’aime ça, hein, petite salope ? Minaude Soraya
– Continue !
– Dis le moi que tu es une petite salope !
– Et toi ? répliquais-je.
– Moi aussi je suis une petite salope, on est toutes les deux des petites salopes, mais soyons sérieux ! On a toute la journée !

Il s’occupe ensuite de mes jambes, de mes bras, il ne reste plus que mon sexe et mon anus. Quand il commence à s’emparer de ma bite pour m’ôter la mousse et les poils, je me remets de nouveau à bander comme un cerf.

– Branle-moi !
– Non, il te faut garder des forces pour tout à l’heure ?
– On va faire quoi tout à l’heure ?
– On va s’amuser !

Je n’en saurais pas plus !

Restait mon anus, il me fit mettre en cheval d’arçon sur le tabouret pendant qu’il opérait.

– T’as un vrai petit cul de gonzesse ! Hum ! Le genre de cul à attirer les coups de martinet et les bites bien dressées !
– J’ai eu ma dose hier !
– Oui, mais pas aujourd’hui ! Et d’ailleurs tu n’as aucune marque !

Mais, il faut croire qu’il n’était pas dans ses intentions immédiates, ni de me flageller, ni de me sodomiser. Il reprit son rasage et j’eus l’impression que l’affaire s’expédiait assez vite, quand profitant du passage de la serviette chaude, il s’enhardit subitement à passer son doigt à l’entrée de mon trou. Je crus deviner qu’il mourrait d’envie de me doigter et ne voulant pas prendre le risque de contrarier un aussi délicieux personnage, je m’ouvrais, il y pénétra donc le doigt, comme je l’avais supposé, mais sans toutefois insister outre mesure.

– Pendant qu’on y est, je vais te faire la barbe.
– Ça ! Je peux le faire tout seul !
– Tss ! Tss ! Je m’occupe de tout !

C’est bien la première fois qu’on me rasait le visage, mais il fit cela aussi très bien. A la fin il me caressait mes joues, sans doute pour en tester la douceur, toujours est-il que son visage était à ce moment-là à 30 centimètres du mien et que c’est poussé d’une impulsion subite et réciproque que nous nous embrasâmes sur la bouche en un long baiser fougueux. Puis il me laissa.

Je pris une douche avant de m’assoupir une bonne heure. Puis, je rejoignis la salle de jeux dans laquelle je dénichais une magnifique collection de bandes dessinées érotiques dont la lecture attentive me fit efficacement tuer le temps.

L’après-midi commençait quand Soraya vint à nouveau me rejoindre. Il (je ne sais jamais s’il faut dire « il ou elle », avec les transsexuelles, je mets « elle », ici c’est moins évident !) Elle avait un paquet cadeau dans une main, des sacs en plastique dans l’autre.

– Tiens ! De la part de Frédérique !

Voilà qu’on me faisait des cadeaux à présent ! C’est quoi encore cette histoire de fou ! Je déballais le machin, ça ressemblait vaguement à une boite à chaussures ! C’était une boite à chaussures ! Dedans une super paire de baskets. Je suis loin de partager cet incompréhensible culte enthousiasme qu’ont nos jeunes contemporains pour les godasses de marque. Mais je n’étais pas ignorant au point de ne pas savoir que celles qui m’étaient ici destinées devaient valoir leur pesant de cacahuètes. On avait poussé la délicatesse jusqu’à accompagner la chose d’une paire de chaussettes qui sans être spécialement dans mes goûts, affichait néanmoins une grande griffe.

– Et c’est en quel honneur ?
– En l’honneur de rien du tout, mais les jeux de plein air sur la pelouse avec des tongs, ça craint un peu ? Non ?

J’avais gardé mes habits de la veille, tee-shirt bon marché et bermuda tout simple, spécial vacances. J’enfilais chaussettes et chaussures, sur instruction de Soraya. J’avais l’impression d’être un peu dépareillé.

– Maintenant séance de maquillage !
– Pardon ?
– Allez, viens, dans cinq minutes on va te souhaiter la bienvenue au club des grandes folles.

Je ne protestais même pas ! A quoi bon ? Tout cela était sans conséquence. Alors Soraya me mit du fond de teint, me maquilla les yeux, me coloria les lèvres, m’apposa du vernis à ongles et pour couronner le tout me coiffa d’une perruque blonde.

Je contemplais mon visage dans le miroir ! Etait-ce bien moi ? Que dirais ma femme si elle me voyait, là maintenant ? Mais quelque part une pensée se fit forte dans mon esprit, et cette pensée, ce devait être un petit diable qui me la chuchotait à l’oreille :

– C’est la première fois ! Mais ce n’est sûrement pas la dernière !
– Bon on va aller rejoindre les autres, retire tes fringues et enfile ça, ce sera beaucoup plus sexy !

Ça, c’était une ravissante petite nuisette vert pâle ! Il fallait que je m’y fasse ! Cet après-midi j’avais franchi un pas, j’étais devenu un travesti ! Et cela ne me gênait pas le moins du monde !

– Je ne mets pas de culotte ?
– Non, pas de culotte ! Allez viens !

Autour d’une table de jardin papotaient les personnages que j’avais rencontrés la veille : Nicole la grande blonde était entièrement nue. (quel délicieux spectacle que cette grande bringue, à la chair pulpeuse et à la peau hâlée par le soleil !) mais s’était coiffée de son grand chapeau vert à large bord. Jackie, la brune dominatrice n’avait en guise d’habit qu’une fine chaîne de taille en or et s’était couvert le chef d’une sorte de casquette de marine qui lui donnait un petit air mutin. (Mutin ! J’ai dit !) Chloé, la sculpturale transsexuelle avait conservé une petite culotte rouge en dentelles. Il y avait aussi une blackette aux seins de déesse qui je crois faisait partie des spectateurs d’hier soir, elle aussi avait conservé sa culotte, un machin de luxe, couleur dorée magnifiquement assortie à sa peau noire. Enfin, notre hôte, Frédérique s’était vêtue d’une sorte de pyjama en soie beige semi-transparente. C’est ce dernier qui m’accueillit :

– Bonjour mon biquet !

Voilà que je suis son biquet à présent !

– Mais c’est toi qui l’as transformé comme cela ? Soraya ! Mais tu es merveilleuse, viens que je t’embrasse !

Et il roule un patin à ladite Soraya, très fière de sa prestation ! Frédérique se retourne vers moi !

– Cet après-midi sera en ton honneur !
– Y fallait pas !
– Si ! Si ! Vous avez été tous si formidables hier soir ! Tu sais, certaines de ces soirées sont parfois à moitié ratées, il faut improviser sévère pour tout rattraper, et dès fois on y arrive même pas ! Alors que là, c’était fantastique ! Tout était parfait ! Il fallait bien marquer le coup ! Comme je ne pouvais pas vous retenir tous les trois (Quoi que j’aurais peut-être dû, mais bon !) On a gardé le plus mignon !

Il va me faire rougir ce con !

– C’est la première fois que l’on te travestit ?
– Oui !
– Et qu’est-ce que tu en penses ?
– C’est très troublant, ça ne me déplait pas, finalement !
– Je vous disais bien qu’il ne nous décevrait pas ! Comment on va l’appeler ? C’est quoi ton vrai prénom ?
– Euh, Boris !
– Boris ! Ça donne quoi, ça : Borisette, Borissa, pas terrible !
– Doris ! proposa Jackie
– Doris ! En voilà une idée qu’elle est bonne ! Ça te plait ?
– Pourquoi pas ?
– Et bien tu seras donc Doris, désormais ! Donc tu connais tout le monde, Ah non ! Tu ne connais pas Amanda, elle est belle, hein ? Me dit-il en me désignant la jolie blackette.
– Toutes mes félicitations vous êtes superbe !
– Et attend, tu n’as pas vu ma queue ! Me répond l’intéressée !

Encore une transsexuelle ! J’aurais dû m’en douter. Je ne vais pas me démonter, puisqu’il paraît qu’aujourd’hui c’est ma fête !

– Mais je ne demande qu’à la voir !
– Qu’est-ce que je fais ? Je lui montre ou pas ?
– Mais, non, il aura bien l’occasion de la voir pendant le jeu !
– Le jeu ?
– Oui ! On va jouer à Chat-Bite !
– Chat-Bite ?
– Tu ne connais pas ?
– Non !
– Tu ne jouais pas à chat quand t’étais gosse ?
– Si ! Mais pas à chat-bite !
– C’est la même chose, on va tirer au sort un chronomètre et on va t’expliquer !

On tire rapidement à la courte paille, tout le monde n’y participe pas, ni moi, ni Frédérique. C’est Soraya qui perd !

Aùmanda

– Soraya sera donc le chronomètre ! Donc au départ il y a un chat, il faut qu’il courre après quelqu’un de son choix qui devient à son tour le chat. Mais pour l’attraper, il faut qu’il lui touche la bite, (enfin le sexe, pardon Mesdames !) L’ancien chat peut alors faire ce qu’il veut au nouveau chat mais pendant seulement une minute. Et pour qu’il n’y ait pas de triche Soraya chronométrera ! Allez ! C’est parti !
– Oui, mais c’est qui le chat ?
– On va pouffer !
– Qui c’est qui connaît une comptine ?
– Moi ! dit Nicole !
– Une cochonne j’espère !
– Bien sûr !
– Allons-y ! : Une bi-te dans les frites, une couille dans les nouilles, un ni-chon dans les cor-ni-chons !
– C’est Chloé le chat !

Et c’est parti ! C’est qu’elle court vite, Chloé ! Mais je ne me débrouille pas trop mal, elle me prend pour cible, je l’aurais parié, mais j’esquive, et ne la laisse pas me rattraper. En désespoir de cause Chloé touche Nicole, et du coup lui suçote la chatte pendant une minute. Et Voilà donc notre Nicole dans le rôle du chat ! C’est qu’elle a de grandes jambes, Nicole, une vraie gazelle, la voir courir comme ça avec ses seins qui ballottent est un spectacle très excitant. Voilà que je me remets à bander. C’est encore moi la cible, c’est une conspiration, mais je tiens le coup. Elle finit par passer le relais à Jackie, non sans avoir roulé un patin pendant 60 secondes à cette dernière.

Jackie court moins vite que les deux précédents, mais c’est moi qui commence à manquer de souffle ! Je comprends que tôt ou tard, on finira par me rattraper. Puisque c’est un jeu acceptons en les arcanes. Etre le chat a après tout, quelques beaux avantages, je me laisse donc toucher la zigounette par la douce Jackie, qui ne trouve rien de mieux que de m’infliger une fellation « à la cannibale », c’est à dire que tout en me suçant, elle me mordille sans cesse ! C’est avouons-le fort agréable, même si on est toujours en train de se demander si on ne va pas se faire mordre. Et c’est moi le chat ! Et ma cible sera la noire Amanda, c’est beaucoup plus facile que je croyais, ses gros seins la gêne pour courir. Je la rattrape, lui touche le slip. Elle s’immobilise. Vite ! Une minute c’est vite passé : Je lui baisse le slip et lui dégage l’engin. Il est moins impressionnant que prévu, mais néanmoins de fort belle facture ! De toute façon, je ne fantasme pas sur les grosses bites, et sa taille me permettra au moins de l’avoir en bouche sans attraper un déhanchement de la mâchoire. Je suce tant que je peux. Mais notre travesti-chronomètre me signale la fin du temps réglementaire. Et c’est reparti. Nous avons joué à chat bite pendant plus de deux heures, riant comme des gosses, s’amusant comme des fous à nous sucer, nous tripoter, nous embrasser, nous caresser. Tout cela dans une ambiance assez saine et très excitante alors que j’aurais cru qu’elle serait glauque !

A un moment ce fut Frédérique qui fut le chat, elle s’élança sur moi (allons-y pour le féminin), assez épuisé, je luttais assez peu, en me rattrapant, elle se jeta à terre et m’entraîna avec elle dans sa chute pour me rouler un patin majestueux. Au bout de la minute réglementaire, Soraya-Chronomètre fut renvoyée dans ses cordes par le maître de séant qui lui signifia que le jeu arrivait dans sa période de conclusion. Frédérique tout en continuant à m’embrasser fougueusement me serrait les tétons entres ses pouces et ses index, me faisant pousser des petits gémissements de plaisir et de douleur contenue. Je lui rendis bien sur la pareille. Mon partenaire se retourna soudain, m’offrant son sexe dans ma bouche, tandis que ce dernier cherchait le mien, nous commençâmes alors un 69 torride, sous les regards excités des autres participants qui s’étaient placés en cercle autour de nous. Je sentis bientôt le goût acre du sperme sur ma langue. Je n’avais pas à ce moment-là de gelée de groseille à ma disposition pour en faire passer le goût. Je l’avalais donc, brut de brut, et je dois avouer que je ne trouvais pas cela mauvais. Assez épuisé par toutes ces émotions j’avais pour ma part un certain mal à éjaculer, mais Frédérique me donna gentiment un petit coup de main très efficace pour ensuite me reprendre en bouche dès qu’il sut la jouissance imminente.

Frédérique se releva pantelant(e) et s’adressa à ses compagnons !

– Personne n’a envie de pisser cet après-midi ?
– Si ! Si ! Répondirent les quatre voyeurs.
– Alors allez-y, ça va nous rafraîchir !

A ces mots, Chloé et Amanda les deux transsexuelles, ainsi que Soraya se mirent à uriner dirigeant leur jet vers nos corps encore couchés sur le gazon. Elles nous aspergèrent avec méthode, la bite, le torse et bien sur le visage !

– Les filles maintenant !

Jackie se mit à califourchon sur le visage de Frédérique et j’eus l’honneur de recevoir celui de Nicole. Son urine avait un bon goût de bière sans alcool, je m’enivrais de cette odeur et de cette sensation perverse, regrettant qu’il y en ait pas plus !

– J’ai envie de chier ! Me dit-elle, ça ne te dérange pas ?
– Non, non ! répondis-je en me relevant.
– Reste comme tu es, je vais te chier dessus, tu vas aimer ça !

Bon, ça ne va me tuer, d’autant que je n’ai rien contre un peu de scato de temps en temps, quand l’ambiance s’y prête et que l’excitation est de la partie. alors je ne bouge pas d’autant que toute cette bande de joyeux obsédés commence à faire cercle autour de nous.

Nicole pousse et un petit étron sort difficilement de son trou du cul, il est bien joli cet étron, il est même attendrissant. Et puis c’est si beau une femme qui chie, ça me fait bander. Elle pousse encore, cette fois, ça sort en un long boudin qui vient me dégringoler sur la tronche et la parfumer.

J’écarte cette chose de la main et bien sûr je m’en mets plein les doigts.

– Lèche ! Me demande-t-elle avec un tel sourire que je ne peux refuser

– Alors, elle est bonne ma merde ?
– Humm ! Délicieuse !
– Tu vas me nettoyer le cul, maintenant !

Je le fais, je me régale… et m’en étonne.

Nicole ramasse l’étron qu’elle a chié et de ses mains pleine de merde, elle se badigeonne les seins, les cuisses, le ventre, les joues. c’est dégueulasse mais ça me fascine. Josy vient devant elle et se met à lui lécher ses seins merdeux. Quel spectacle. Josy à son tour se badigeonne et c’est au tour de Nicole de lui sucer les tétons. Les deux femmes s’embrassent ensuite. Je suis complétement bluffé par ce que je vois et je bande comme un cerf. Nicole vient vers moi et m’offre ses lèvres.je ne me serais pas cru capable d’accepter ce baiser. Comme quoi l’excitation…

Chloé récupère un peu de matière et s’en badigeonne la bite, je crois un moment qu’il va me la faire sucer, mais le cadeau ne m’était pas destiné. C’est Amanda qui vint lui prodiguer cette étrange fellation au terme de laquelle sa belle queue ressortit toute propre, toute jolie, toute récurée.

Chloé s'aperçoit de mon trouble :

- T'es jaloux, toi ? Ça t'aurais plus de me nettoyer la bite ?
- J'avoue !
- On va arranger ça !

Chloé propose à Nicole de l'enculer, ce qu'elle accepte volontiers en cambrant son joli cul. Quelques instant après la bite du trans ressortait légèrement maculée.

Je m'empressais alors lui nettoyer tout ça !

– Passons à table le traiteur ne devrait plus tarder ! prévint Soraya !

Nous fîmes une petite pause, histoire d’être présentables, puis nous nous sommes retrouvés autour d’une grande table sur laquelle sept couverts avaient été préparés autour d’un gigantesque plateau de fruits de mer où se chevauchaient langoustes, homards et tourteaux, huîtres et oursins, crevettes et bulots. Et alors que les convives se dirigeaient vers leur place, j’eus la surprise de voir Frédérique s’éclipser à l’intérieur. Soraya me prit la main et me demanda de la suivre quelques instants dans la villa. Quelle ultime folie ces zigomars avaient donc encore préparé ?

Soraya me fit enlever ma nuisette trempée de sueur, et il me demanda de me vêtir d’un haut de smoking et d’un nœud papillon. Rien d’autre, rien en bas, je restais la bite à l’air.

– Attend quelques instants sur le perron !

En fait d’attendre, je m’attendais au pire : Effectivement tout d’un coup la sono se mit à cracher la marche nuptiale de Félix Mendelssohn, tandis que Frédérique en tenue blanche de mariée me rejoignait et me tenait tendrement la main pour ensuite m’accompagner jusqu’à la table, où les autres convives nous applaudirent, nous félicitèrent, en jetant sur nos costumes flambant propres, pognées de riz et contenus des verres de champagne !

Je pensais en avoir fini avec toutes ses singeries, quand je remarquais que la place que l’on m’avait réservée avait une étrange particularité : Un godemiché était en effet soudé verticalement au milieu du siège, il avait été recouvert d’un préservatif bien lubrifié. Je fis ce qu’on attendait de moi et sous les applaudissements de mes camarades de jeux je m’empalais sur l’objet, tandis que le chœur des convives entamait une chanson idiote :

« Il est de nôtres…. il en a pris plein le cul comme les autres »

Après toutes ces péripéties, le repas fut relativement tranquille. Il y eut plus tard la « nuit de noces ». J’ai promis de ne pas la raconter. Sachez simplement qu’elle reste gravée dans mon souvenir comme le point fort de ces 48 heures de folies furieuses.

Epilogue de l’épisode

Ça m’est venu comme ça en préparant mes valises pour le retour. En plus de l’explication vaseuse sur mon épilation il faudra que je justifie auprès de mon épouse la présence des basquets et des chaussettes. Ma première idée était de dire qu’ils avaient été gagnés à un concours de plage ! Mais à quoi bon raconter des salades ? Notre couple ne va plus très bien. Nous avons d’ores et déjà envisagé une séparation à l’amiable mais sans pour autant entamer de procédure. Ma femme me dit m’aimer encore (sans doute vrai) et ne pas avoir d’amant, (sans doute faux) je pense être dans des dispositions parallèles. Alors pourquoi ne pas tenter un banco et tout raconter à mon épouse ? Tout ! Lui révéler ainsi des pans insoupçonnés de ma sexualité. Des pans que j’ai sans nul doute eu grand tort ne pas savoir les faire partager. Il me faudra pour cela user de trésors de tact ! Ou bien ce sera le déclic pour un départ sur de nouvelles bases, ou bien la séparation se précipitera, et pas forcément à l’amiable… Mais allez donc savoir pourquoi, cette drôle d’aventure m’a rendu très optimiste !

FIN (de l’épisode)

BORIS
© 2000 Boris Vasslan
vasslan@hotmail.com
Première publication sur Vassilia, le 15/11/2000

Par Boris - Publié dans : Boris
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • pluralite
  • Sarahi1
  • Novassa15b
  • Martinov18z2
  • hero
  • Zarouny34b

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés