Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:49

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 25 – Mark à la campagne par Nicolas Solovionni

Domina  

Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, domination soft, feuille de rose, gay, party, scato légère, science fiction, uro

Le lendemain, Mark expliqua à Asseb comment communiquer avec l’enclave.

- C’est assez compliqué, il faut une autorisation de la capitainerie, mais les personnes qui s’occupent de ça m’ont l’air bien corruptibles…
- O.K, on y va !
- Essayez de vous renseigner sur la situation là-bas, et l’air de rien renseignez-vous sur ce qui est arrivé à ma collègue, elle s’appelait Gertrud.

C’est Fédora qui répondit au contact radio, elle lui passa Artémise.

- Asseb ! Qu’est ce que tu as foutue ? Tu es où ?
- Dans un patelin, près du cosmodrome, j’ai fait une connerie en m’enfuyant, en fait j’aimerais bien revenir.
- Mais bien sûr ma chérie ! Je vais demander qu’on t’envoi quelqu’un avec une barge, tu es où exactement ?
- Disons que je serais devant le dock 18. Euh, j’ai cru comprendre qu’il y avait eu des problèmes avec des étrangers qui avaient essayé de rentrer dans l’enclave. Tu es au courant ?
- Ce ne sont pas nos affaires, mais j’ai cru deviner qu’il s’agissait d’un malentendu.
- Sinon tout va bien là-bas ?
- Ça se passe beaucoup mieux que ce que je pensais. Mais faut dire que je me suis un peu adaptée. Euh, Asseb, tu es bien sûr la bienvenue, mais la situation va peut-être te poser des problèmes de conscience.
- Non, je crois que ça devrait aller, j’ai pas mal réfléchi, je t’expliquerai.

Elle rendit ensuite compte à Mark.

- « Un malentendu » ? Ça veut dire quoi ? Ils auraient pris Gertrud pour quelqu’un d’autre et l’auraient éliminé ?
- Je n’en sais pas plus ! Ça n’avait pas l’air d’intéresser Artémise…
- Artémise ?
- Oui, la personne que j’ai accompagné sr la planète. Elle parlait de façon très naturelle et décontractée.
- Vous pourriez essayer d’en savoir plus ?
- Oui, mais pour vous joindre !
- Ça n’a plus rien d’urgent maintenant, mais vous trouverez bien un moyen.

Puis Mark prit congé.

- Je vais dans les fermes, là-bas, ils ont besoin de bras, je ne sais pas combien de temps je vais faire ça. J’espère qu’on se reverra.
- Je suis contente de vous avoir rencontré. Ça me fait tout drôle de dire ça à un homme !

Il n’osa pas lui demander un baiser d’adieu de peur qu’elle ne le refuse.

Quand Asseb réintégra l’enclave, la première chose qu’on lui demanda hormis la description détaillée de l’évasion rocambolesque de Mark Greenwood était de savoir ce qu’était devenu ce dernier.

Asseb se souvenant des appréhensions de Mark, estima que dire la vérité pouvait être de nature à mettre ce dernier en danger préféra mentir.

- Nous nous sommes séparés à l’astrodrome, il m’a dit qu’il quittait la planète.
- Il l’a déjà quitté ? Demanda Gertrud
- Oui, il est monté sur un vaisseau en partance.

Eh oui, à quoi tient le destin parfois ? Gertrud aurait pu demander à Pacheco de se renseigner à l’astroport afin de connaitre l’identité de ce vaisseau en partance. Les autorités portuaires auraient alors répondu qu’il n’y en avait aucun… et c’eut été une autre histoire… Mais l’ancienne agent d’assurance n’avait aucune raison de douter des paroles d’Asseb.

- Quel enfoiré ! Commenta lapidairement Gertrud.

Evidemment Asseb ne connaissait pas Gertrud.

- On ne s’est pas présentées, je suis sœur Asseb, la suivante de sœur Artémise.
- Ah ! Moi c’est Gertrud Long, la collègue de ce Mark qui m’a faussé compagnie.
- Ah c’est vous ! Figurez-vous que votre collègue vous croyait morte.
- Ben non, vous voyez, je ne suis pas morte !
- Alors tant mieux !

Du coup Asseb se demanda si elle devait revenir sur son mensonge. Mais elle ne le fit pas. Elle ne devait rien à cette Gertrud qu’elle trouva antipathique. En revanche il lui faudrait se débrouiller pour informer Mark… mais rien ne pressait, ne l’avait-il pas dit lui-même ?

La ferme

Elsa Wallach, la patronne de la ferme du même nom était ce qu’il est convenu d’appeler une maitresse femme. Vêtue d’un pantalon trop large et d’un pullover informe, elle ne brillait guère par son élégance, mais son visage de brune aux yeux bleus renvoyait celui d’une femme belle et autoritaire. Quand elle vit arriver Mark, elle sut qu’il finirait dans son lit, mais à sa façon à elle.

Après une première journée épuisante, où on lui avait fait cueillir des pommes à l’aide d’un sécateur, il n’avait qu’une envie, celle de se reposer

Il emboita le pas de ses collègues de travail qui se dirigeaient vers la douche collective. L’eau froide qui coule sur son corps lui fait un bien fou.

Il jette un coup d’œil à son voisin de douche et à la surprise de le voir en train de se masturber. Le gars lui fait un sourie qui se veut de connivence.

- Elle te plait ma bite ? Lui demande le type.

Mark ne répond pas, mais se trouve troublée à la vue de jolie queue bien droite, bien raide, terminée par un joli gland légèrement violacé.

- Je le vois bien qu’elle te plaît !
- Elle n’est pas mal… mais…
- Mais quoi ? C’est quoi qui te gène ?
- T’aurais voulu qu’on fasse des trucs ensemble, c’est ça ?
- T’es rigolo, toi, j’aimes bien montrer ma bite, c’est tout, maintenant si veux me sucer, j’ai rien contre. Tiens, touche là si tu veux !

Le « pauvre » Mark est complétement déboussolé. Sa main s’approche de la bite du voisin, il la caresse, la cagole, la branlotte.

- Suce là, t’en meurs d’envie !
- Juste un peu alors !
- C’est ça, juste un peu.

Et le voilà avec une bite dans la bouche, et comme ne le dit pas le proverbe : « le plaisir de sucer vient en suçant », le voilà qui se régale de cette bonne bite bien fraiche, dont il se surprend à regretter qu’elle est un gout de savonnette.

Zarouny25a

« Je préférais celle du black au rade du cosmodrome, mais celle-ci est bonne quand même !’

Mais voilà que nos deux compères ne sont plus seuls, ils sont trois au quatre à s’approcher, la queue dans la main et leurs sollicitations sont bien lourdes.

- Eh ! Oh ! on se calme ! je ne peux pas sucer tout le monde. Enonce Mark d’une voix ferme.

Le petit groupe se disloque et ces messieurs s’en vont en maugréant, sauf un !

- J’ai dit non ! Répète Mark
- Juste un peu !
- Putain t’es lourd ! Les autres ont compris mais pas toi !
- Tu le suce bien, lui !
- Je suce qui je veux et quand je veux ! D’accord !

Le type finit pas s’éloigner.

- Comment tu les as envoyés promener ! Commente « belle bite ».

Mark s’en étonna lui-même, il avait sans le vouloir pris l’ascendant sur tous les occupants de la douche, une situation qui si elle se confirmait pouvait devenir intéressante. Du coup son égo en fut flatté et c’est tout ragaillardi qu’il proposa à son partenaire.

- On peut peut-être aller ailleurs que je finisse de te sucer tranquille.
- Ils nous foutrons la paix, restons ici.

Mark reprit la bite en bouche, faisant travailler sa langue autour du gland avant de faire coulisser la verge jusqu’au fond de son palais.

- Attends ! tu vas me faire jouir trop vite !
- On arrête, alors ? Demanda Mark
- T’aimerais que je t’encule ?.

Mark s’étonna de s’entendre répondre « oui » ! Il se trouve et présenta ses fesses !

- Quel beau cul tu as ! Le complimenta l’homme.
- Et bien vas-y ! Profites-en.

L’homme fit une tentative d’entrée directe qui échoua lamentablement !

- Ben dis donc t’es serré, toi !
- Je fais ça assez rarement, mais toi t’es sympa, j’ai envie que tu me le fasses.

De la basse flatterie, mais l’autre en était tout chose, il prit en peu de savon liquide pour lubrifier l’entrée du cul de Mark, et sa bite finit par entrer.

Grosse sensation de gêne ! Envie irrésistible de dire au type de se retirer fissa. Mais il se souvint des douces paroles de Shriley au rade lors de sa première sodo : » Supporte deux minutes, après ça va être bon », c’est donc ce qu’il fit, et au bout de se laps de temps, la gêne disparu, la douleurs s’estompa et fut bientôt remplacé par des ondes de plaisirs. Mark se faisant enculer et il aimait !

L’homme jouit dans son fondement et décula.

- Tu veux que je te fasse jouir ! Demanda-t-il uniquement par politesse parce que visiblement la conviction n’y était plus.

Mais c’est alors qu’un autre se ses collègues s’approcha et lui expliqua qu’Elsa désirait le voir dans ses appartements privés.

- Maintenant ?
- Oui, maintenant !

On lui indiqua le chemin et il entendit des ricanements derrière lui qu’il fit semblant de ne pas entendre.

« Tous les mêmes, c’est quand on a le dos tourné, qu’ils se sentent fort… mais je les emmerdent »

Un jeune blondinet assez fin, le guida jusqu’à une grande pièce.

- Maîtresse Elsa va venir tout de suite, en attendant vous pouvez commencer à vous déshabiller.
- Me déshabiller ? Pourquoi faire ?
- Pour jouer aux billes ! Se moqua blondinet.
- Mais enfin, expliquez-moi.
- Maîtresse Elsa a l’intention de s’amuser avec vous. Soyez coopératif et vous ne le regretterez pas ! Et n’ayez pas peur d’elle, ce n’est pas une méchante femme.
- Non, mais, on pourrait me demander mon avis, au moins !

Et la porte du fond s’ouvrit…

Elsa fit quelques pas, puis resta immobile et silencieuse

Mark est subjugué, cette femme est complétement transformée.

Toute de noir vêtue, les cheveux attachés en queue de cheval très haut sur le crâne, des lunettes à grosses montures, le visage maquillé, un rouge à lèvres couleur cerise, elle est vêtue d’un grand manteau noir de cuir dont elle se débarrasse immédiatement apparaissant dans un bustier dont la fermeture éclair est juste légèrement ouverte afin de faire apparaître la naissance d’une poitrine très généreuse. Ses bottes aux talons vertigineux lui montent jusqu’à mi-cuisses. Elle tient une cravache à la main, mais le détail qui tue est la présence entre ses cuisses d’un superbe godemiché attaché avec une ceinture.

« Non, mais c’est quoi ce délire ? »

- Dino, approche toi ! Dit-elle.

Le blondinet s’approche !

- Il me semble que je t’avais demandé, de faire en sorte que vous soyez nus tous les deux au moment où j’arriverais.

- C’est qu’il semble hésiter !
- Encore un grand timide ! Et toi ?
- Moi, mais j’allais le faire !
- Alors fais-le !

Dino se déshabille, puis suivant un rite probablement habituel, il s’agenouille et s’immobilise aux pieds d’Elsa.

- A toi ! Viens ici !
- Qui ? Moi ? Répond stupidement Mark.
- Evidemment que c’est toi ! Tu es simple d’esprit ou tu le fais exprès ?
- C’est-à-dire comprenez mon étonnement, je ne m’attendais pas à…
- Tais-toi ! Je te plais ou pas ?
- Vous êtes très troublante, il faut bien l’avouer !
- Tu as quelque chose contre le fait de jouer avec moi ?
- C’est pas ça…
- C’est quoi alors ?
- Je ne suis pas tellement fouet, chaines, tous ces trucs…
- Tu ne vas pas me faire croire que tu prends pour un mâle dominant.
- Non mais…
- Tais-toi ! Si tu n’es pas un dominant, c’est que tu es un soumis.
- Mais pas du tout ! Proteste Mark
- Mets-toi à poil !
- Et si je refuse ?
- Si tu refuses, tu ne verras pas ma poitrine, tu ne respireras pas l’odeur de mon cul, tu ne sentiras pas ma langue sur ta bite.

Tout en prononçant ses paroles, Elsa fait glisser la fermeture écalait du bustier de quelques petits centimètres, et quand elle a fini de parler elle fait lentement passer sa langue sur ses lèvres. Le « pauvre » Mark ne sait plus où il en est et se met à bander.

- Bon, alors, on ne va pas y rester trois heures ?
- Vous ne me ferez pas mal ?
- Je ne fais que du bien à mes esclaves, d’ailleurs après ils me remercient et en redemandent, n’est-ce pas Dino ?
- Oui, c’est vrai ! Confirme ce dernier.

Du coup Mark se déshabilla.

- Voyons voir, tu n’es pas vraiment un Apollon, mais on fera avec, d’ailleurs je n’aime pas les Apollons.

Elle s’approche de lui et lui pinces les tétons assez fortement. Mark sent des frémissements dans tout son corps.

- Tu aimes, ça ma salope, hein ? Ça te fait bander ! J’aime que les hommes bandent devant moi ! Tourne-toi que je regarde ton cul. !

Sans trop réfléchir, Mark effectua une volte-face.

- Oh, les jolies petites fesses, approche-toi que je touche ! T’as vraiment un joli cul, qu’est-ce que tu en penses Dino. ?
- Hum, c’est vrai ! Répond ce dernier ! Je peux lui mettre un doigt ?
- Bien sûr, puisque c’est demandé gentiment !
- Mais… proteste Mark
- Chut, on t’a dit qu’on te ferait pas de mal.
- Mais il ne va pas me mettre un doigt dans le cul ?
- Mais si, puisqu’il me l’a demandé gentiment !
- J’ai peut-être mon mot à dire, moi ?
- Tu n’as rien compris au jeu, alors je précise, tu es mon esclave, et tu n’as rien à dire, c’est moi qui commande, c’est moi la chef et je fais ce que j’ai envie avec toi. La seule contrainte que je m’impose c’est que je me suis engagée à ne te faire aucun mal. Alors tu arrêtes de faire ta jeune fille et tu laisses Dino te doigter le trou du cul.
- On peut arrêter ?

Sans répondre Elsa descend la fermeture éclair de son bustier découvrant sa poitrine opulente.

- Embrasse-moi les tétons ! Tu as la permission.
- Oui, mais…
- Tu ne vas pas me faire l’affront de refuser ?

Refuser ? De toute façon, cela lui est impossible techniquement, ses nichons ils les a sous le nez maintenant, et c’est presque par réflexe qu’il lui gobe le téton droit.

- Stop ! C’était juste un avant-goût, tu pourras en profiter davantage un peu plus tard. Seulement maintenant faut être sage. Dino tu peux y aller ! Ordonne-t-elle avant de remonter sa fermeture.
- Si monsieur veut bien se pencher légèrement, je pourrais ainsi le doigter plus facilement ! Demande Dino.

Résigné, Mark se laisse faire.

« Après tout, je viens de me faire enculer, alors pour un doigt, je ne vais pas en faire une maladie. »

- T’aimes ça qu’on te trifouille le cul, n’est-ce pas esclave ?
- Oui, madame !
- On ne va pas tarder à mettre quelque chose de plus gros, tu vois mon gode entre mes cuisses ?
- Oui !
- Tu sais que j’ai envie de te l’enfoncer dans ton cul !
- On peut essayer !
- Tiens, tiens, on ne se rebelle plus ?
- Non, finalement ce jeu commence à me palire !
- Quel vicelard tu fais ! Viens sucer mon gode.

Et pendant que Mark prodigue une fellation au sexe en latex d’Elsa cette dernière masturbe la bite de Dino jusqu’à la rendre bien raide.

Mark qui n’est pas complétement idiot sait pertinemment ce qui risque de se passer maintenant. Et il est prêt, depuis l’épisode de l’arrière salle du rade de l’autre jour et l’épisode de la douche, ce qui n’était qu’un fantasme est devenu une réalité qu’il a fini par admettre comme agréable, même si dans son for intérieur il reste prioritairement attiré par le corps des femmes.

- Et sucer une vraie bite tu as déjà essayé ? Lui demande Elsa.
- Pas souvent, mais je l’ai fait, ça ne me déplait pas !
- Quelle chance, on a dégoté un gros vicieux comme on les aime. Alors tu aimerais bien sucer Dino, regarde sa bite comme elle est belle.
- Oui, elle est belle !
- Tu n’as pas répondu !
- Je veux bien la sucer !
- Sauf qu’il y a une condition ?
- Ah ?
- Si tu le suces, après il t’encule !
- C’est d’accord.

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Du coup, Elsa est un peu décontenancée, elle aurait préféré qu’il ne soit pas d’accord, dans ce cas elle aurait usé de persuasion psychologique pour essayer de savoir si le refus pouvait se rompre, et dans le cas contraire elle n’aurait pas insisté, il y a tellement d’autres jeux ! Mais là…

Elle se saisit de l’interphone.

- Zoé, viens nous rejoindre !
- Pas le temps, je suis en train de réparer un climatiseur.
- Viens quand même, tu peux bien prendre un quart d’heure non ?
- Je ne suis même pas habillée.
- Et bien, viens à poil on t’attend.
- Non.

Elsa raccroche.

- Je vais aller la chercher ! Mettez-vous à genoux, ne bougez pas et attendez-moi !

Une fois Elsa sortie de la pièce, Mark se tourne vers Dino.

- Tu peux m’expliquer ce qui se passe ?
- Tu le verras bien, Madame s’amuse, et moi j’aime bien ses jeux.
- Elle fait ça souvent ?
- Mais arrête de te poser des questions, ça sert à quoi ? On n’est pas en danger, on est logé, on a du travail et une superbe femme s’amuse avec nous. Qu’est-ce que tu veux de plus ?
- Evidemment vu comme ça !

Leur conversation est interrompue par le retour d’Elsa accompagnée de Zoé. Cette dernière est une petite blonde uniquement vêtue d’une nuisette transparente probablement enfilée à la hâte. Elle est blonde, frisée comme un mouton et ses seins sont assez petits.

- C’est lui ? Demande cette dernière en toisant Mark.
- Oui, vas-y amuse toi ! Lui répond Elsa.
- Comment tu t’appelles, esclave ?
- Mark !
- C’est ridicule ! Et il paraît que tu aimes sucer des bites.
- Disons que je n’ai rien contre.
- On va regarder ça ! Et ça tu aimes aussi ?

Zoé vient de pincer les tétons de Mark et commence à les tortiller de plus en plus fort.

- Pas trop fort !
- Je ne fais pas fort !
- Si, un peu !
- Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça, ça te fait bander, gros cochon ! Dis-le que tu es un gros cochon.
- Je suis un gros cochon !
- Et un gros suceur de bites ?
- Et un suceur de bites !

Zoé s’écarte quelques instants et revient avec une sorte de lacet, elle l’utilise pour serrer la bite de Mark à la base des couilles et lui couper partiellement la circulation.

- Quand je vois une belle bite qui bande, j’aime bien qu’elle ne débande pas !

Elle accompagne ses propos d’une pichenette sur le gland qui fait frémir Mark

- Arrête de faire ta pucelle, ça ne fait même pas mal. Je peux gouter à sa bite ?
- Tu fais ce que tu veux, je te l’ai prêté. Répond Elsa

La langue de Zoé se met à frétiller sur le gland de Mark qui devient aux anges.

- Hum elle est bonne sa bite, tu veux essayer ? demande-elle à Elsa.
- Tout à l’heure, j’ai le temps.
- O.K. Allez Dino, amène-toi, on va passer aux travaux pratiques. Oh, mais faudrait bander un peu mieux, toi, donne-moi tes tétons, toi aussi tu adores ça, hein ma salope ?

Dino sous l’action des doigts magiques de Zoé ne tarde pas à rebander bien comme il faut.

- Allez, Mark approche ta tête de sa bite, mais pour le moment tu regardes et c’est tout ! Regarde comme elle bien raide, bien décalotté, et ce gland tout brillant, il te fait envie, hein ? Tu le verrais bien dans ta bouche, gros salopard ! Mais ce n’est pas toi qui va commencer, c’est moi.

Et joignant le geste à la parole Zoé se met à engloutir la jolie bite de Dino.

- Humm, elle est bonne, je me demande laquelle des deux est la meilleure, mettez-vous face à face, je vais faire une petite étude comparative.

La bouche de Zoé s’amuse passant d’une bite à l’autre, puis elle demande à Mark de se baisser afin de pouvoir sucer celle de Dino de conserve.

Il y avait un instant c’était la bouche de Zoé qui allait d’une bite à l’autre, maintenant c’est la bite de Dino qui passe d’une bouche à l’autre. Ce petit manège dura quelques instants puis Zoé se releva.

- On verra tout à l’heure si tu suces aussi bien les chattes que les bites, mais pour l’instant, tu vas te mettre en levrette, Dino va te foutre sa bite dans le cul.
- Non intervint alors Elsa, vous allez faire autrement, puisque tu aimes te faire enculer, c’est toi-même qui va t’empaler sur la bite de Dino. Dino couche toi sur le sol, il va venir sur ta queue.

La position est physique, mais elle a l’avantage pour celui qui se fait mettre de garder constamment le contrôle de la pénétration. Mark qui n’avait jamais pratiqué cette figure de style est aux anges.

Sauf que Dino, excité par ce qui se passe ne se contrôle plus et se met à remuer du bassin.

- Dino, tu te calmes ! Ordonne Elsa, et toi viens me voir on va changer de jeu. Je parie que tu as soif ?
- Un peu, oui répond Mark imprudemment.
- Zoé, tu peux lui donner à boire ?
- Dans un verre ?
- Comme tu veux !
- Ce sera dans un verre, je trouve cela plus classe !

Zoe se saisit d’un très joli verre à pied qui ne devait pas être là par hasard, se le place entre les cuisses et se met à pisser dedans.

- Voilà ! dit-elle en tendant le verre rempli d’urine à Mark et dépêche-toi de tout boire parce que j’ai encore envie.
- Mais… balbutie Mark qui se retrouve un peu idiot avec son verre dans la main.
- Mais quoi ? Tu n’as jamais fait ce genre de chose.
- Si mais…

Elsa est passée derrière Mark, sa cravache à la main, un premier coup lui atterrit sur les fesses.

- On t’a dit de te dépêcher de boire ! Tu ne vas pas contrarier la jolie Zoé qui t’as offert un bon verre de pisse, non ?
- Je l’ai déjà fait mais pas comme ça !
- Et bien raison de plus, ça te fera un souvenir.

Alors Elsa a une idée perverse, elle trempe d’abord son doigt dans le verre, puis le porte à sa bouche.

- Humm, c’est délicieux !

Elle le trempe de nouveau mais cette fois ci le porte à la bouche de Mark.

- Lèche mon doigt !

Mark consent à donner un petit coup de langue !

- C’est bon ?
- Ça va !
- Alors bois !

Il le fait, se demandant à postériori pourquoi il a été réticent puisqu’il ne l’aurait sans doute pas été si on lui avait demandé de boire à la source.

Les deux femmes rient de bon cœur !

- Où t’as trouvé ce type ? Lui demande Zoé
- Il vient du port, il a raté le départ de son vaisseau et il n’a plus de sous.
- Oh, le pauvre, ce moque-t-elle. Et pourquoi il a raté son vaisseau ?
- Je ne sais pas, il était peut-être occupé à sucer des bites. Ça m’a bien plu quand il suçait Dino ! Suce-le encore, esclave !
- Oui, mais ce n’est plus de la domination, puisqu’il aime ça !
- Qu’est-ce que ça peut faire, cravache-le un petit peu avec le martinet pendant qu’il suce, ça fera plus domination.

Mark se remit donc à sucer la bite de Dino, il s’efforçait de bien faire, mais la chose n’est pas si facile quand vos fesses sont constamment cinglées par les lanières d’un martinet. Dino parvint néanmoins à retrouver une érection digne de ce nom. C’était le but recherché.

- Stop ! En levrette maintenant !

Mark crut que Dino allait de nouveau le sodomiser, ce qui ne le dérangeait pas outre mesure, mais Elsa préparait une figure de style bien plus sophistiqué qu’une simple enculade entre mecs.

C’est le gode ceinture qui lui entra dans le cul, l’objet fort bien usiné n’était cependant qu’un substitut de latex à un vrai sexe et n’en avait pas la vitalité, en revanche il était plus gros, et ce que Mark pris d’abord pour un inconvénient cessa d’en être un au bout de quelques énergiques va-et-vient, la sensation d’être trop rempli lui était agréable. L’affaire se compliqua quelques minutes plus tard d’abord parce que les mouvements d’Elsa devinrent chaotiques, mais aussi car il avait l’impression que son poids sur son dos augmentait.

Il tenta de se contorsionner pour voir ce qui se passait mais n’y parvint pas. C’est alors qu’il aperçut un petit miroir un peu plus loin devant lui. Et celui-ci lui renvoyait l’image insolite de Dino sodomisant Elsa pendant que celle-ci lui godait le cul.

Bientôt cette dernière parvint à coordonner ses mouvements. Mark était traversé par des ondes de plaisirs et ne pouvait s’empêcher de grogner, mais ses cris furent bientôt couverts par ceux d’Elsa qui commença à jouir par le cul. Du coup Dino augmenta sa cadence, chacun d’eux tendant vers la jouissance tandis que la frénésie de leur corps écrabouillait maintenant le pauvre Dino qui se retrouvait dans une position assez inconfortable.

Ce fut pire quand ces messieurs-dames se mirent à jouir en faisant un raffut du diable écrasant Dino de leur poids.

Finalement, tout ce petit monde se désemboita, Elsa envoya Dino on se sait où, et Zoé se coucha sur le sol, invitant Mark à venir lui butiner le berlingot.

Celui-ci avait une odeur de pain d’épices légèrement âcre. Mark s’efforça de bien faire, quelque chose lui disant qu’il avait tout intérêt à plaire à ces dames. Sa langue virevoltait jusqu’à en devenir douloureuse tandis que ses mains qui, elles ne perdaient pas le nord s’égaraient sur les tétons de la belle. Quand elle lui demanda de les pincer, il n’hésita pas et ne se retint pas. Quelques minutes après Miss Zoé jouissait à son tour et se releva. Et vint embrasser sur la bouche Elsa qui avait maté le spectacle, affalée sur son fauteuil.

Seul Mark n’avait pas joui et comme les deux femmes semblaient ne plus s’occuper de lui, il posa la question :

- Je me rhabille, alors ?
- Oui !
- Parce que je n’ai pas joui ! Osa-t-il faire remarquer.
- Et alors ? Tu croyais que c’était ta fête ? Allez, on n’est pas vache, branle toi en regardant mes nichons ! Lui répondit Elsa en se dépoitraillant.
- Si j’osais…
- Oser quoi ? Tu voudrais me baiser ? Un jour peut-être ? Mais pas aujourd’hui ! C’était un test ! On va dire qu’il est réussi. Donc tu te dépêches de te branler, après j’ai à faire !
- Je voulais simplement demander…
- Tu veux quoi ? Une glace à la fraise ? Se moqua-t-elle
- J’aurais bien aimé jouir entre vos seins…

Elsa le regard doit dans les yeux, se demandant si elle devait accéder ou non à cette privauté.

- Tu as de la chance c’est mon jour de bonté ! Vas-y

Elsa s’assit afin que Mark puisse coincer sa bite entre ses deux nichons, elle les rapprocha et l’homme se mit à effectuer des va-et-vient rapides. L’éjaculation fut rapide. Les jets de sperme atterrirent sur le visage de la belle.

- Espèce de connard ! Je ne t’ai pas autorisé à m’asperger le visage !
- Je suis désolé !
- Pas tant que moi ! Fous moi le camp !
- Je suis désolé… je ne savais pas !
- Ben maintenant tu sais ! Ta punition c’est que tu ne me reverra pas avant trois semaines !

Mark en fut désappointé, mais se dit que trois semaines c’est vite passé !

- A moins que je t’inflige une punition de substitution ! Repris Elsa

Mark qui s’apprêtait à se rhabiller, stoppa net, se demandant ce que mijotait cette femme diabolique.

- Quand Dino m’a enculé, il m’a un peu sali le cul, alors tu vas lécher tout ça ! Dit-elle en lui présentant ses globes fessiers bien écartés.

Marl hésita, en fait il s’attendait à pire, il y avait en tout et pour tout, quelques traces brunes autour de l’anus. Excité il l’aurait sans doute fait sans hésiter, mais il ne bandait plus.

- Alors tu te dégonfles ?

Il repensa a ces collègues, si il devenait le favori d’Elsa l’ascendant sur ne pourrait que se renforcer, à contrario si elle le larguait la situation pourrait devenir compliqué. Il se dit qu’il ne lui coutait rien d’essayer.

Quelques instants plus tard il se surprit à rebander en léchant le cul d’Elsa !

- Bon tu m’as amusé ! Lui dit Elsa une fois l’affaire terminée, mais ne te figures pas que tu sois « arrivé », tu n’auras aucun passe-droit. Il y a beaucoup de travail dans l’exploitation et je veille à ce qu’il ne se produise pas de conflit. Va manger et te reposer, tu en auras besoin pour demain.

De retour avec ses camarades de travail, on le questionna bêtement.

- Alors c’était bien ?
- Faut pas se plaindre !
- T’as du bol, moi elle ne m’a jamais demandé de monter avec elle.
- Elle fait ça souvent ?
- Non, parfois ça lui prend, elle demande à un gars de monter, mais sinon elle se contente de son petit clan.

Mark n’avait plus qu’à espérer qu’Elsa le rappelle, mais quand le ferait-elle ? Peut-importe il avait désormais une ambition, cela l’aiderait à supporte sa condition.

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:46

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 24 – Asseb métamorphosée par Nicolas Solovionni coin102

Thémes abordés : doigtage masculin, prostitution, scato légère, science fiction

Au bout d’une semaine, Mark eut l’idée d’aller trainer ses guêtres à Faratown, uniquement par curiosité et pour se changer les idées. Le bistrot restaurant était quasiment vide, à l’exception de quelques poivrots locaux. Le personnel brillait par son absence, mais il y avait un distributeur automatique. Il y but une bière médiocre et passa son après-midi près d’une petite rivière où il finit par s’assoupir.

Il traina un peu dans la campagne jusqu’à l’heure du diner puis décida de retourner dans ce restaurant.

L’ambiance y était à cette heure fort différente, ça buvait, ça riait, ça parlait haut et fort. Que des groupes : surtout des hommes et des femmes d’âge mûr, très peu de jeunes. Une dame de forte corpulence s’approcha de lui, il pensait qu’elle allait lui prendre sa commande, mais ce ne fut pas tout à fait ça !

- Vous êtes un recruteur ? Demanda-t-elle d’une voix hostile.
- Un recruteur ? Un recruteur de quoi ? Non, je ne suis pas un recruteur !
- Tant mieux, parce qu’on a déjà donné ! Vous cherchez du travail, alors ?
- Non, pourquoi cette question ?
- En principe les gens qui viennent ici c’est soit des recruteurs, soit des gens qui cherchent du travail.
- Vous proposez quoi comme travail ?
- De tout ! On manque de bras. Deux fois de suite ils sont venus, les recruteurs, ils nous ont embarqués tous nos jeunes.
- Pardon ?
- Ben oui, des mecs qui bourlinguent dans l’espace, ils ont parfois besoin de reconstituer leurs équipages, alors ils proposent monts et merveilles à qui veut bien les écouter.
- Non, moi je ne cherche rien, je suis en stand-by à l’astrodrome. Je peux manger ?
- Poulet et salade ?
- Et sinon ?
- Sinon rien ! C’est plat unique. En dessert il y a de la tarte aux conamos
- Spécialité locale ?
- Oui !
- Alors allons-y ! Vous avez du vin ?
- Oui !

Dix minutes plus tard une serveuse lui apporte le vin et le plat…

Le choc est réciproque.

- Vous ici ! S’exclame Asseb.
- Qu’est-ce que vous foutez-là ? Lui répond Mark, j’ai failli ne pas vous reconnaître.
- Evidemment avec cet accoutrement ridicule ! Je peux vous voir à la fin du service ?
- Si mon odeur ne vous incommode pas.

Mark patienta en rêvassant jusqu’à une heure avancée de la soirée, le repas avait été simple mais d’assez bonne qualité. Enfin Asseb vint s’assoir, elle avait deux verres dans les mains.

- C’est un whisky local, il n’est pas mauvais.
- J’ignorais que vous buviez !
- Faut bien que je me fasse plaisir. Alors vous n’êtes pas parti ?
- Non, je n’avais pas assez d’argent, j’en attends. Et vous ?
- Je pensais trouver des adeptes de notre religion qui aurait pu m’aider, mais on m’a ri au nez, alors j’ai cherché du travail, on m’a conseillé de venir ici, mais comme je ne sais rien faire, on m’a placé ici et l’ancienne serveuse est partie à la meunerie.
- Ah !
- Vous pourriez m’aider à partir d’ici ?
- Pour aller où ?
- J’en sais rien, mais je ne vais pas rester là. On me fait sans cesse des propositions pressantes que je refuse, mais ça devient pénible.
- Comme ça, je ne vois pas bien ce que je pourrais vous proposer, je suis moi-même en galère. Et puis j’aurais quoi en échange ? Nous sommes quittes, non ?
- Pas du tout ! Je vous ai fait évader…
- Et je devais vous conduire à l’astrodrome… C’est bien ce que je dis : on est quitte.
- Sauf que le deal était déséquilibré !
- Vous êtes gonflée, vous !
- Réfléchissez-y quand même, mais je n’ai plus de monnaie d’échange.
- D’accord, j’y réfléchirai répondit Mark, qui n’en avait nullement l’intention. Je passerais demain ou après-demain vous faire un petit coucou, ça me fera une balade !
- Vous êtes en barge ?
- Non à pied !
- La route n’est pas éclairée et ici quand les nuits sont noires, elles sont noires.
- Je fais comment ?
- Restez coucher ici !
- Ça fait hôtel, ici ?
- Pas vraiment, mais venez dans ma chambre !

Oups !

Mark se dit qu’Asseb avait forcement une idée derrière la tête, mais laquelle ? Ils se levèrent et se dirigèrent vers l’escalier.

- Tu fais quoi ? Demanda la patronne.
- C’est un ami, je l’héberge pour la nuit ! Répondit Asseb
- 50 % !
- Vous vous méprenez, il ne se passera rien, je l’héberge et c’est tout !
- Je ne veux pas savoir ce qui se passe dans les chambres, tu y fais ce que tu veux, mais moi j’encaisse 50 % du prix d’une passe.
- Mais…
- Laissez, je fais payer ! Intervint Mark, jouant les grands généreux alors qu’il n’en avait pas tant que ça les moyens…

Arrivé dans la petite chambre, Mark se demanda où il allait dormir : dans le fauteuil ou à même le sol ?

- Je dors à droite, couchez-vous de l’autre côté ! Lui dit Asseb.
- Parce qu’on va coucher dans le même lit ?
- Evidemment !
- Bon ben, je vais me déshabiller.

Il garda juste son slip et s’aperçut à ce moment-là qu’Asseb le regardait avec une étonnante curiosité.

- Vous n’enlevez pas ce machin ?
- Je ne voudrais pas offenser votre pudeur.
- Ça m’intéresserait de voir !

Oups !

- Vous alors ! Vous êtes sûre que ce genre de comportement est compatible avec votre religion.
- Je ne vous ai jamais dit que j’étais croyante !
- Et vous n’avez jamais vu d’hommes nus ?
- Non pas en vrai !
- Dans ce cas… admit-il en retirant le sous-vêtement.
- C’est rigolo !
- Absolument, à chaque fois que je me regarde, j’éclate de rire ! Plaisanta Mark.
- Je peux toucher ?
- Vous jouez un jeu dangereux !
- Je ne vois pas pourquoi ?

Et le pire c’est qu’elle était sincère !

- C’est fragile ! Cru devoir préciser Mark.
- Je vais faire attention.
- Mon odeur ne vous dérange plus ?
- L’odeur des males ? Ça m’a gêné au début, mais je me suis habituée assez vite, je n’y fais même plus attention !

Asseb lui tripotait maintenant le « machin » avec maladresse, mais ce contact ajouté à l’insolite de la situation lui provoquait un début d’érection.

- Ça va grossir ?
- Ça devrait, oui, vous voulez que je vous montre comment mettre vos doigts ?
- Oui, oui, je suis curieuse.
- Voilà, je le fais avec ma main, regardez bien et après vous me ferez pareil.

Ce qui fait que deux ou trois minutes après, Asseb branlait la bite convenablement bandée de Mark.

- N’allez pas trop vite, parce que…

Il s’arrêta, il ignorait ce que cette femme qui disait n’avoir jamais vu d’hommes nus en vrai, savait ou ne savait pas.

- Attendez un instant on peut discuter, vous savez quoi des hommes, je veux dire de la sexualité des hommes.
- C’est un sujet qui ne m’a jamais intéressé, donc je n’y connais rien. Il circule sur Novassa des photos sous le manteau avec des hommes nus, des hommes entre eux, des hommes avec des femmes, des orgies, tout ça ! J’en ai regardé comme un peu tout le monde. C’est interdit mais bon… mais ça ne m’a jamais passionné. On soupçonne aussi certaines dignitaires du régime d’organiser des partouses secrètes avec des hommes de l’enclave, mais on ne me m’a jamais proposé d’y participer, de toute façon j’aurais refusé.
- Et aujourd’hui vous voyez les choses autrement ?
- Un peu ! Se retrouver simple serveuse dans un rade pourri alors que j’ai côtoyé les plus hautes sphères de ma planète, ça fait réfléchir. Ou bien je suis incapable de le supporter et je me flingue, ou bien j’en ai parfaitement la force et je fais avec. Il se trouve que je ne me suis pas suicidée. Je me suis fait une raison, j’ai changé de monde, je dois donc m’adapter avec toutes les conséquences que cela implique. Je me suis même habitué à l’odeur, c’est dire !
- Mais vous attendez quoi de moi ?
- Votre machin a rétréci, c’est rigolo ! S’amusa-t-elle en montrant du doigt la bite flaccide de Mark.
- Vous ne me répondez pas ?
- Je pensais que vous aviez compris ?

Mark se gratta la tête. Ben non il n’avait pas compris, et puis certaines choses lui échappaient : pourquoi cette fille s’était-elle évadée du repaire de Pacheco, et qu’est-ce qu’elle y faisait ?

- Un jour ! Reprit Asseb, je vais me retrouver avec un homme dans mon lit, c’est inéluctable.
- Ça n’a rien d’inéluctable !
- Si ! Répondit-elle avec une telle fermeté que Mark n’osa pas la contrer. Ce jour-là je n’ai aucune envie de passer pour la reine des cruches…

Et Mark venait tout d’un coup de tout comprendre, elle l’avait choisi pour qu’il la déniaise.

- Mais pourquoi moi ?
- Il faut bien que ce soit quelqu’un, et comme on se connait un peu, je veux dire cette évasion, c’était une expérience qu’on a partagée, vous n’êtes pas un inconnu.
- D’accord, je… enfin… bon c’est d’accord, balbutia-t-il. Si vous commenciez par vous déshabiller.
- Devant vous ?
- Ben oui devant moi !
- Mais nous n’en sommes pas là ! Réplique-t-elle retrouvant pour un temps son attitude hautaine.

Du coup il ne comprend plus rien, ce pauvre Mark, et préfère se taire.

Asseb sans rien demander à Mark reprend sa bite en main et refait les gestes qu’il lui a indiqués.

- Voilà je l’ai fait grossir !
- Bander, on dit bander.
- Alors je l’ai fait bander ! Alors maintenant une question. Sur les photos que j’ai vues, on y voit des hommes et des femmes mettre ça dans la bouche. C’est une attitude courante ou c’est juste de la perversité.

Mark se retint d’éclater de rire devant la naïveté de cette femme.

- C’est très courant, je vous l’assure. On peut même dire que c’est le B.A. Ba.
- Alors il faut que j’apprenne…

Elle regarde la bite de Mark, essaie de se l’imaginer en train de la sucer…

- Quelle idée !
- Si je couche avec un homme et que je refuse de faire ça, il va prendre ça comment ?
- Chaque homme réagit différemment, mais en principe la pipe, ça fait partie du programme.
- La pipe ?
- Ça s’appelle faire une pipe ou une fellation pour parler correct.
- En plus il y a tout un vocabulaire !
- Ah ! Si vous saviez ?
- Vous ne m’avez pas vraiment répondu.
- Comment il va le prendre, j’en sais rien, ça dépend du bonhomme, il ne le vous reprochera pas forcement surtout si c’est un gentleman, mais…
- Gentleman ?
- Quelqu’un de respectueux, disons ! Mais il ne pourra s’empêcher de trouver ça bizarre…
- Donc faut mieux que j’apprenne !
- Je ne vous le fait pas dire.

De nouveau Asseb regarde la bite de Mark.

- Je ne vais pas y arriver… Se lamente-t-elle.
- C’est le premier pas qui compte !
- C’est facile à dire ! Vous en avez sucé, vous des bites ?
- Ça m’est arrivé, oui ! Répondit Mark en repensant à l’épisode de l’arrière salle du rade l’astroport !
- Et les femmes ça leur plait de vous faire ça !
- Oui !
- Bon, ben va falloir que j’y aille, vous me guidez ?

Mark faillit lui demander une nouvelle fois qu’elle se déshabille, mais il y renonça, cette femme était non seulement larguée mais ses réactions étaient imprévisibles. Il se décida donc à jouer les Pygmalions à son rythme à elle.

- Je vais peut-être me la laver, avant ! Suggéra-t-il.
- Pourquoi, elle est sale ?
- Non pas vraiment, mais je ne viens pas de prendre une douche, il y a les odeurs de transpiration, d’urine…
- Les odeurs, je m’y suis faite.
- C’est comme vous voulez, vous allez faire comme ça, léchez-moi juste avec le bout de votre langue, pour vous habituer, ensuite on verra.

Asseb est consciente du pas énorme qu’elle s’apprête à franchir. Elle approche son visage de la bite de Mark, entrouvre la bouche, mais ne sort pas sa langue, elle respire un grand coup et se contente de poser se lèvres sur le gland, puis se recule.

Elle fait un signe bizarre à Mark semblant signifier « que c’est bon, mais qu’il n’y a pas le feu ». Celui-ci ne dit rien.

De nouveau elle se rapproche, cette fois elle goûte le sexe du bout de la langue, se recule de nouveau, exprime un sourire béat, puis d’un coup d’un seul engloutit la bite et se met à la lécher quelques secondes.

- Ben voilà, il vous reste à m’apprendre comment mieux faire, ça a été moins terrible que ce que j »imaginais.
- Reprenez-la en bouche je vais vous guider.

Asseb, cette fois n’hésita pas.


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- Doucement, ne faites pas ça comme une sauvage, faites des allers et retours réguliers, passez votre langue sur le gland, c’est l’endroit le plus sensible, comme ça oui ! Arrêtez !
- C’était pas bien ?
- Si, mais si vous continuez, je vais jouir.

Asseb ouvre de grands yeux écarquillés.

- Les femmes, lui précise Mark, ça peut jouir plein de fois à la suite, les hommes c’est plus compliqué, il faut un temps de récupération après chaque jouissance, et ça varie suivant l’âge, la fatigue…ça peut aller de 20 minutes jusqu’à deux jours.
- Ben oui, faut que le sperme se reconstitue, je suppose !
- Vous voyez, vous en savez des choses !
- Ben, oui quand même. Bon, ben merci pour le cours, on va dormir ?
- Vous ne voulez pas que je vous parle un peu de la suite ?
- La suite quelle suite ?
- La pénétration.
- Je suppose qu’il me suffira d’écarter les cuisses ?
- Les hommes aiment bien certaines positions…
- Oui comme sur les photos. Je me souviens d’une qui m’avait choqué, on voyait une femme à quatre pattes comme une chienne, et l’autre derrière qui la prenait comme un chien. On n’est pas des animaux, bon sang !
- Si, quelque part !
- Pardon ?

Asseb était en train de se braquer, et il n’était peut-être pas judicieux pour Mark de continuer dans cette voie, il le fit néanmoins.

- Quand vous étiez petite et que vous faisiez joujou avec vos petites camarades, vous ne vous mettiez jamais à quatre pattes ?
- Si ! Mais ça n’a rien à voir et ça ne vous regarde pas.
- Bon, bon ! Vous m’aviez dit tout à l’heure que votre souci c’est de ne pas paraître ridicule si vous couchez avec un homme…
- Je suis prêt à écouter tous vos conseils, mais je ne me laisserais pas couvrir comme une chienne !
- Oui, j’ai compris, je peux vous apprendre une position que les hommes aiment bien. Je vais me déshabiller entièrement et m’allonger sur le lit…
- Faites comme chez vous…

Mark fit comme il l’avait dit ce qui provoqua un grand éclat de rire de la part d’Asseb.

- Qu’est-ce qui vous fait rire ?
- Vous ! Je me demande s’il existe quelque chose de plus ridicule qu’un homme nu !
- Merci c’est gentil ! On continue ou on arrête ?
- On va continuer !
- J’ai quand même du mal à vous suivre, vous trouvez les hommes ridicules, mais vous envisagez de coucher avec.
- N’essayez pas de comprendre ce que vous ne pouvez pas comprendre.
- J’aimerais bien quand même.
- Chut ! Reprise des travaux pratiques, je vous écoute.
- Et bien, vous allez me sucer un peu pour que ma bite soit bien raide et ensuite vous vous empalerez dessus, c’est vous qui ferez le travail en coulissant dessus. Vous voyez à peu près ?
- Je vois à peu près.

Asseb se pencha sur le corps allongé de Mark et s’efforça de s’appliquer à le sucer. Ce n’était pas génial mais néanmoins suffisamment efficace pour parvenir au résultat escompté.

- Ah oui, faut que j’enlève le bas ! Dit-elle
- C’est en effet conseillé.
- Si vous pouviez éviter de me regarder.
- Ça vous gêne ?
- Ben, oui ça me gêne, c’est difficile pour vous de comprendre ça ?
- La question n’est pas là, vous m’avez demandé de vous aider… Vous débarrasser de vos inhibitions, ça vous aiderait beaucoup, croyez le bien.
- Vous dites ça parce que ça vous arrange.
- Dépêchez-vous de venir, sinon, je vais débander.
- Et bien je vous ferais rebander !
- Ah, voilà déjà un point d’acquit.

Asseb se retourna pour enlever ses habits du bas, Mark s’amusa alors à la provoquer :

- Vous avez un beau cul !
- Vous ne pouvez pas vous empêcher de faire le malin, c’est ça ?
- Venez !

Elle se plaça au-dessus de l’homme, puis opéra une flexion des jambes pour redescendre.

- Je m’empale carrément sur votre machin, c’est ça ?
- Oui, allez-y, pour l’instant, je ne bouge pas !
- Il va falloir que je…
- Que vous quoi ?
- Rien je parlais toute seule !

Asseb appuya pour faire entrer la bite dans son sexe. Mark crut alors percevoir comme une grimace sur le visage de sa partenaire.

« C’est pas vrai que je viens de la dépuceler ! »

Instinctivement, Asseb trouve le bon rythme et se met à coulisser en cadence.

- Vous devriez enlever le haut ! Lui suggère Mark.
- Je ne vois pas pourquoi !
- Ce serait plus excitant !
- Je ne vois pas pourquoi, je vous exciterais ! Vous croyez sans doute que vous m’excitez, vous ?

Abasourdi par une telle réponse, Mark ne répliqua pas. Souhaitant en finir, il se mit à jouer des reins et finit par jouir dans un spasme.

- Arrêtez-vous…
- C’est ainsi que les hommes jouissent ?
- Oui ! Vous voulez que je vous lèche ?
- Pardon ?
- Parce que vous voulez peut-être jouir, vous aussi ?
- Non merci !
- Ah, bon ! J’espère vous avoir fait découvrir quelque chose !
- Ce n’était pas désagréable !
- Vous recommencerez ?
- Pourquoi pas ?
- Bon on va dormir, je suis un peu crevé.
- A gauche s’il vous plait ! Moi je dors à droite !
- J’avais oublié !

Mark attendit quelques jours avant de revenir à Faratown. L’aventure avec Asseb l’avait amusée, mais il n’avait pas trop envie de la renouveler, d’autant que l’effet de surprise ne se renouvellerait pas. Et en plus, c’était payant ! Il revint donc uniquement par curiosité.

Il remarqua qu’Asseb avait fait de gros efforts de toilettes. Elle était même devenue sexy. Du coup Mark fut tenté.

- Bonjour vous ! Tout se passe bien ?
- Oui, bien mieux que prévu, je m’adapte !

Elle s’abstint cependant de lui demander si pour lui tout allait bien, son « adaptation » n’allait pas jusque-là !

- On peut se voir après le service… Comme l’autre fois ?
- Non ce soir, je suis prise, demain si vous voulez !
- Ah ! Demain, je ne sais pas… Hésita-t-il.
- Il faudrait mieux que je sois sûre, je suis très demandée !
- Ah ? Et qui vous demande ? Répondit-il un peu bêtement.
- Les clients.

Oups !

- Parce que vous…
- Je m’adapte !
- Décidemment vous m’étonnerez toujours !
- Ce serait bien si vous passiez demain, on pourrait causer !
- Alors à demain !

Il rentra à pied alors que la nuit commençait à tomber. Arrivé à l’hôtel il eut la désagréable surprise de constater que son passe n’ouvrait plus rien, et à cette heure, tout fonctionnait en automatique sans personnel. Il lui restait pour choix soit de passer la nuit dehors ou alors au rade de l’astroport sur une chaise comme le dernier des pochards…

Le lendemain matin, alors qu’il commençait à faire scandale à l’hôtel devant une employée impassible, celle-ci l’interrompit en lui expliquant que la location était arrivée à son terme et qu’il faudrait qu’il débarrasse sa chambre.

- Mais enfin, c’est une erreur, je me tue à vous dire qu’on a pris une formule de renouvellement automatique.
- Un renouvellement automatique n’est pas illimité. Le vôtre est arrivé à échéance.
- Mais…
- Monsieur, vous pouvez hurler ou protester tant que vous voudrez, ça n’y changera rien.
- Je peux peut-être vérifier mon contrat ?
- Vous n’avez pas ce droit, vous n’êtes pas le signataire, vous êtes juste un occupant !
- Pétasse !
- Insultez-moi si ça vous fait plaisir, moi j’ai été formée à ne pas en tenir compte.
- Et si je veux louer une autre chambre à mon nom ?
- Si vos dépenses sont garanties par votre banque, c’est possible, faites voir votre carte… Humm c’est une garantie restreinte, je peux vous louer une chambre pour sept jours pas plus.
- On va faire comme ça !
- Chambre 18, voilà votre nouveau badge, vous me rendez l’autre, je vous fais transférer vos affaires.
- Merci, vous êtes trop gentille, c’est comment votre petit nom ?
- Cunégonde !
- Vous êtes charmante.
- Vous n’en savez rien si je suis charmante, je ne vous ai rien montré.
- Mais je ne demande qu’à voir !
- Contentez-vous de rêver !
- Je me disais aussi….

Mark tentait de faire bonne figure, mais sa situation devenait dramatique, dans huit jours, il se retrouverait sans toit, alors que sa demande de crédit ne serait pas encore arrivée. Il allait donc être obligé d’effectuer ce qu’il avait essayé d’éviter toute sa vie : un véritable travail. Il en avait la nausée.

Le soir il gagna le restaurant de Faratown à l’heure du diner et brancha la gérante :

- Finalement, je crois que je vais accepter un travail…
- Vous savez faire quoi ?
- Pas grand-chose !
- Vous occupez des vaches ? Ça s’apprend vite !
- Allons-y pour les vaches.
- Vous voulez commencer quand ?
- Pas demain, il faut que je me prépare psychologiquement, alors après-demain.
- Je vais vous expliquer où il faudra vous rendre. Si vous avez des affaires, apportez-les, vous serez logé sur place à la ferme.
- O.K.
- Dites-moi, vous êtes ami avec Asseb, me semble-t-il.
- Asseb ? Je ne vois pas !
- Comment ça vous ne voyez pas ? Ah vous la connaissez peut-être sous un autre nom ! Je veux parler de la nana avec qui vous êtes monté l’autre fois.

Mark réalisa alors qu’il ne lui avait jamais demandé son nom.

- Amie, non, on s’est juste croisé deux ou trois fois.
- Elle n’est pas un peu bizarre, non ?
- Si peut-être. Elle est surtout un peu paumée.
- Oui, ça se voit, elle pose des drôles de questions. En salle ce n’est pas une flèche, par contre pour les passes, elle assure, enfin à sa façon, on voit bien qu’elle débute, mais ça plait.

Et comme prévu après le service, il se retrouva dans la chambre d’Asseb.

- J’ai envie de parler, ça vous dérange ? Commença-t-elle.
- Pas du tout !
- On baise d’abord ou après ?
- Comme vous voulez !
- Je me demande, voyez-vous, ce que je fous ici !
- Ah ?
- Quand on a baisé pour la première fois, je me suis dit que ça n’avait rien de désagréable et puisque certains payent pour ça, pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable. Mon idée c’était d’amasser assez d’argent pour m’embarquer sur un vaisseau, mais j’ai fait mes comptes, ça risque d’être long, beaucoup trop long. On m’a parlé d’un établissement au cosmodrome où il y a des filles qui font aussi ce genre de choses et où il y a davantage de clients, j’y serais bien allé mais il parait qu’il n’y a plus de place.
- Vous allez faire quoi alors ?
- Je vais retourner dans l’enclave.
- Mauvaise idée ! Ces gens-là sont dangereux !
- Dangereux ?
- Ben, oui ! Ils ont quand même assassiné ma collègue.
- Vous dites ça, mais vous n’avez aucune preuve. Ici je n’ai pas d’amies, je n’ai personne à qui me confier, je vais retourner auprès d’Artémise.

Il lui expliqua qui était Artémise.

- Je n’avais pas compris ses réactions, maintenant je les comprends, cette femme a une faculté d’analyse prodigieuse. C’est moi qui était une imbécile.
- Et vous allez y retourner comment ?
- Vous allez m’aider !
- Désolé, je ne retourne pas là-bas, je n’ai pas envie de me faire trucider. Et puis même si je le voulais, je n’aurais pas le temps, après demain, je vais travailler, je vais m’occuper des vaches dans une ferme.
- Donc demain vous êtes libre ?
- Oui, mais je ne vais pas là-bas !
- Je ne vous demande pas de venir avec moi, je vous demande de m’aider à y aller ! Vous pouvez faire ça pour moi ?
- Ce n’est vraiment pas prudent !
- Alors d’accord, je vais devoir d’abord me renseigner pour savoir dans quelles conditions votre collègue a été tuée. Et ensuite on en reparle.
Un moment de silence, puis :

- On baise ? Demanda-t-elle à brûle pourpoint.
- A une condition !
- Laquelle !
- J’aimerais vous voir nue !
- Ce n’est plus un problème !
- Alors allons-y.
- Faut payer !
- Vous ne me faites pas un prix.
- Gratuit si vous acceptez de m’aider à revenir au domaine.
- Je ne sais pas encore, je laisse l’argent là…

Sitôt en chambre, Asseb se déshabilla sans cérémonie.

- J’enlève tout ou je garde quelque chose ?
- Enlevez tout.
- L’autre jour, il y en a un qui m’a demandé de garder ma culotte, sur le coup, je n’ai pas compris, mais il l’a simplement écarté pour m’enculer.
- Euh, vous avez apprécié ?
- Oui j’aime bien, je préfère qu’on m’encule parce que là au moins je peux ressentir quelque chose… Mais pas à chaque fois. Au début, ça me faisait un peu mal, mais maintenant j’aime assez. Les mecs, ils paient pour leur propre plaisir, on m’a conseillé de simuler, mais je ne suis pas douée pour ça !

Mark admirait maintenant le corps nu d’Asseb, cette femme d’environ quarante ans, de taille moyenne était bien proportionnée, les seins sans être exceptionnels étaient fort agréable au regard et terminés par des tétons assez conséquents.

Du coup Mark se fit la réflexion qu’il n’avait jamais regardé son visage, cheveux châtains clairs, yeux bleus, pommettes saillantes, joli nez et lèvres intéressantes.

- Ça vous plait, tout ça ?
- Ça me fait bander !
- Je vois ça ! Ce que j’ai pu en voir des bites en quelques jours, c’est le côté amusant du boulot.
- Ça vous amuse de voir des bites ?
- Oui, c’est rigolo, hier j’ai fait deux mecs en même temps. Un moment il y a un qui voulait sucer l’autre.
- Ils l’on fait ?
- Oui, c’était intéressant !
- Et ils n’ont fait que ça ?
- Oui, celui qui suçait se serait bien fait enculer, mais l’autre ne bandait pas assez, alors il m’a demandé de lui mettre un gode dans le cul. Mais je n’avais pas de gode, il faut que je demande à une copine de m’en acheter un, ils en vendent à l’astroport au général store, on m’a dit ! Oh, j’y pense, vous pourriez peut-être m’en acheter un.
- A quoi bon, puisque vous n’allez pas rester !
- Ça fait rien, j’ai envie d’en avoir un à moi !
- Dans ce cas…
- Je vous disais, je n’avais pas de gode ! Alors je lui ai mis un doigt ! Il y a beaucoup d’hommes qui aiment ça ! Vous aimez ça vous ?
- Ma fois, je n’ai rien contre !
- Je vais vous le faire alors ! Vous êtes prêt ?
- Je vous en prie.

Asseb mouilla son doigt et se mit à doigter le cul de Mark. Il s’étonna de la maîtrise avec laquelle elle prodiguait cette caresse.

- Oh, C’est trop bon ! Vous êtes vraiment très doué ! Comment avez-vous pu apprendre en si peu de temps…
- Vous savez : sur Novassa on se doigtait beaucoup le cul, mais je n’aurais jamais cru qu’un jour je ferais ça à des hommes.

Quand elle sortit son doigt du troufignon de Mark Greenwwod, celui-ci n’était pas d’une propreté immaculée, cela n’empêcha pas Asseb de se le lécher non seulement sans problème mais comme avec une certaine gourmandise.

Mark ne fit aucun commentaire, mais se dit que décidemment « autres lieux, autres mœurs ».

- Votre cul a bon goût !
- Merci, c’est gentil !

Asseb n’invita pas Mark à se coucher sur le lit, elle vint vers lui alors qu’il était encore debout et s’accroupit devant sa bite qu’elle engloutit dans sa bouche sans autre forme de procès.

Après quelques mouvements de « je rentre, je sors » entre les lèvres, elle se mit à frétiller du bout de la langue sur l’extrémité du gland.

- Oh là là, et bien quelle transformation…

Elle s’apprêtait à lui répondre ce qu’il l’aurait obligé à interrompre sa fellation.

- Non, non continuez, vous faites ça très bien.

Asseb reprit alors ses mouvements coulissants, puis vint lui lécher les testicules. Elle décida ensuite que le hors d’œuvre étant terminé on pouvait désormais passer au plat de résistance et indiqua à son partenaire la direction du plumard.

- Bravo pour la pipe, quels progrès en quelques jours !
- C’est un peu grâce à vous, et puis il y a des clients qu’on a monté à deux filles, j’ai observé comment ça se passait.
- On refait comme la dernière fois ? Demanda-t-il voyant la femme s’accroupir au-dessus de lui.
- Pas tout à fait !

Effectivement, elle avança légèrement son bassin afin que la bite puisse la sodomiser.


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- Avant ça rentrait difficilement, maintenant ça va ! Expliqua-t-elle. J’aimerai bien jouir. Si vous pouviez bien faire en sorte…
- On va essayer.

Pas facile de se retenir, la bite est serrée dans cet étroit conduit et Mark sent sa jouissance toute proche, il sait qu’il n’arrivera pas à se contrôler.

- Je vais venir ! Ne vous arrêtez pas ! Continuez ! Aaah Ohhh ! C’est trop bon, Continuez !

Asseb continue de coulisser.

« Faudrait qu’elle se dépêche, je ne vais pas tarder à débander »

Asseb accélère, sent son sang lui monter au visage, elle se cambre en arrière et gueule sa jouissance.

« Ouf »

- Ça fait du bien ! Commentât-elle.
- On s’embrasse ?
- Et non, je ne suis pas encore prête pour ça. Je pourrais, mais je ne veux pas vous faire l’affront d’un baiser forcé.
- D’accord je n’insisterais pas ! Répondit-il en parfait gentleman.

Gentleman, mais légèrement contrarié quand même !

- Avec vous c’est bien ! Tous les hommes ne sont pas comme vous.
- Vous me flattez.
- Alors vous allez m’aider ?

Mark finit par accepter sans qu’il puisse dire pourquoi.

- Reprenez vos sous ! Vous restez dormir ?
- Bien sûr !
- Alors on va redescendre, je fais mon dernier client et je viendrais vous rechercher après.

« Quel romantisme ! »

à suivre 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:43

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 23 – Mark Greenwood en galère par Nicolas Solovionni

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Thémes abordés :  bisex masculine, doigtage masculin, masturbation, party, prostitution, science fiction, spermophilie, voyeurisme.

Le Petit Mont

Asseb avait finalement choisit de continuer. A force de courage et d’abnégation elle parvint péniblement jusqu’au Petit Mont.

Elle frappe à la porte, elle n’est pas verrouillée. Mark pensant voir revenir Gertrud, mais surpris de ne pas avoir entendu de barge, lui ouvre.

Surprise réciproque !

- Où est la femme ? S’étonne Asseb
- On est venu la chercher ce matin ! Mais dites-moi vous êtes la personne qu’on a sauvé des crabes ?

Pour Asseb, la situation est insolite, elle est là toute seule en face d’un homme à qui elle est bien obligée de parler. La réussite de son plan est à ce prix.

- Oui, je viens payer ma dette, j’ai ici un équipement pour vous, je vais vous faire évader.
- Vous avez une barge ?
- Non !
- Ben, on s’évade comment, vous avez un plan ?
- Non, mais je comptais sur vous pour en trouver un.
- Vous êtes gentille, vous !
- Vous puez, vous ne pourriez pas prendre une douche !
- Mais, dites-donc !

Mark réfléchit, une esquisse de plan existait plus ou moins mais il n’avait pu le réaliser avec Gertrud, les chances de réussites ayant été jugés trop faibles.

- Mais vous vous évadez aussi ? Demande-t-il.
- Ça ne vous regarde pas, il faut que je quitte cette planète.
- Bon, j’ai une petite idée, je vais vous expliquer.

Quand on venait les ravitailler, la barge se posait à une vingtaine de mètres de la bâtisse. Par hautparleur il était demandé aux prisonniers de sortir sur le palier en levant les mains en l’air. Ensuite le garde déposait les produits de ravitaillement entre la bâtisse et la barge pendant que Pacheco tenait tout le monde en respect, une arme lourde à la main. La livraison effectuée, Pacheco venait narguer les prisonniers en leur demandant s’ils avaient quelque chose de nouveau à raconter.

Difficile dans ces conditions de tenter quoi que ce soit ! Suicidaire même !

Sauf que la donne venait de changer. La présence d’Asseb, et le fait qu’ils possédaient maintenant des combinaisons pouvaient créer l’effet de surprise. Il fut convenu que Mark resterait en embuscade à l’arrière de l’aire de stationnement de la barge et tenterait de maitriser Pacheco tandis qu’Asseb détournerait l’attention du garde. L’opération était terriblement risquée, mais pouvait réussir, à deux conditions : qu’il parvienne à dominer physiquement Pacheco et que l’effet de surprise provoqué par la présence d’Asseb dure assez longtemps pour déstabiliser le garde. Mais Mark savait que c’était sa seule chance, il était désormais persuadé que Gertrud avait été liquidée et que son tour était imminent. Quant à savoir si Gertrud avait parlé ou pas, il s’en fichait complétement.

Ils patientèrent un petit moment, sans échanger beaucoup de paroles. Asseb n’allait quand même pas s’abaisser à faire la causette avec un homme !

- D’habitude ils viennent à heure fixe, mais s’ils viennent me chercher ça peut être n’importe quand ! Précisa Mark

Plusieurs heures après, quand ils entendirent le bruit de la barge se rapprocher, Mark se mit en position tapis derrière un buisson, prêt à bondir.

La barge atterrit, un homme seul, mais armé l’occupe.

« Bizarre, mais tant mieux, ce sera bien plus facile que prévu ! »

- Sors de là, on va te libérer ! Crie le garde dans son haut-parleur.

« Me libérer ! Quel sale menteur ! Il me prend vraiment pour un con ! »

Asseb sort de la bâtisse.

- Mais que…

Le garde n’a pas le temps de terminer sa phrase, un violent coup de manchette suivi d’un coup de poing sur le crâne l’envoie dans les pommes. Mark le désarme, puis avec l’aide d’Asseb le tire jusqu’à la bâtisse. Ils montent dans la barge dont le moteur n’est pas coupé, ce qui leur fait gagner un temps précieux et ils s’envolent en direction du cosmodrome.

Au château le retard du garde commença à devenir inquiétant. Un appel radio resta sans réponse.

- Il s’est passé quelque chose ! S’exclama Pacheco, allons voir les radars.

Les écrans étaient muets, mais l’historique montrait qu’une barge venait de quitter l’espace aérien de l’enclave.

- Ce salaud de garde nous a doublé ! Fulmina Pacheco.
- Mais ça ne tient pas debout ! Protesta Fédora. Il espère gagner quoi ce con ?
- Ou il s’est fait avoir par le prisonnier…
- On peut reprendre les commandes, non ?
- Probablement, mais je ne sais pas faire.
- On fait quoi ?
- Je vais prévenir l’astrodrome pour qu’il le cueille à l’arrivée !
- Ton « copain » Andersen ? Tu parles d’une bonne idée, se moqua-t-elle. Et rien ne dit qu’il va l’astrodrome ?

Gertrud quant à elle, essayait de comprendre.

« Ce con a tenté un truc désespéré pour tenter de me sauver ! C’est malin ! Mais bon, il ne pouvait pas savoir ! »

- T’as une autre barge ? Demanda Fédora.
- Oui !
- Allons faire un tour au Petit Mont, on apprendra peut-être quelque chose.
- Qu’est-ce que tu veux qu’on apprenne ? Grommela Pacheco.
- Votre garde s’est peut-être battu avec mon compagnon, il l’a peut-être tué ou laissé pour mort, à moment-là, il a très bien pu paniquer et fuir ? Suggéra Gertrud.
- O.K. On va aller voir.
- Je peux venir avec vous, demanda Gertrud.
- Humm, si vous voulez !

Sur place, ils découvrirent le garde revenu à lui mais complétement sonné. Son crane avait saigné.

Il expliqua, l’agression surprise par une personne non identifiée, une autre en combinaison protectrice.

- Il aurait un complice ? Mais ça ne tient pas debout ! Tu es sûr que tu n’es pas en train de nous raconter des salades ?
- Patron, je serais incapable d’inventer un truc pareil.
- Humm ! Vous êtes sûre que vous n’aviez pas un troisième complice ! Hurla Pacheco à l’adresse de Gertrud qui commençait à se sentir mal.
- Mais vous avez bien vu qu’on n’était que deux.
- Sauf si quelqu’un était resté en arrière garde !
- Et il nous aurait retrouvé comment ?
- J’en sais rien mais ça m’énerve !

L’examen des lieux ne leur appris pas grand-chose, il n’y avait aucune trace de violence, ni de départ précipité dans la bâtisse, sauf que…

- Que fait cette combinaison étanche ici ? S’étonne Pacheco.
- Ce doit être celle du complice, lui répondit Fédora.
- Mais elle est à nous cette combinaison !
- Sûr ?
- Ben oui, le machin qui est là, c’est le drapeau de Novassa. Oh, mais c’est quoi, ça, il est tout trempé à l’interieur, le mec qui a porté ça s’est pissé dessus, faut vraiment être con, il s’est même pas aperçu qu’il y avait une braguette !
- Il a peut-être eu peur de se faire piquer la bite par une libellule venimeuse.

Mais la plaisanterie ne fit pas rire Pacheco qui comprenant de moins en moins s’en prit de nouveau au garde :

- Dis donc, toi, c’est de moins en moins clair ton histoire.
- Mais je vous jure que…
- Arrête, il n’y est pour rien ! Intervint Fédora.

L’affaire semblait donc avoir été préméditée, ce qui la rendait d’autant plus incompréhensible.

- Bon, on va rentrer, il va falloir soigner ce gars-là, tu sais faire, Fédora ?
- J’ai un diplôme de secouriste ! Intervint Gertrud.
- Fais gaffe toi ! On t’a à l’œil ! Menaça Pacheco ! On ne te laissera pas partir tant qu’on aura pas éclairci cette affaire !
- Je peux peut-être le soigner quand même !

Gertrud avait l’idée de profiter de l’état de faiblesse du bonhomme pour tenter d’en savoir davantage sur ce qui se passait réellement ici.

En rentrant, Pacheco voulut vérifier s’il manquait des combinaisons. Il en manquait, cela était certain, mais il aurait été bien incapable de dire combien.

- C’est forcément quelqu’un d’ici ! Fulmina Pacheco. Fédora, rends-moi service : réunit tout le personnel, je veux savoir s’il manque quelqu’un.

Mais à première vue, il ne manquait personne.

- Et Constantin ? Et les deux « bonnes-sœurs » ?
- Constantin fait de sculpture sur bois, Artémise est à la piscine ! Asseb, j’en sais rien… mais c’est quand même pas Asseb…
- Va verifier quand même.

Fédora apprit alors qu’Asseb avait été aperçue tôt ce matin partant effectuer sa promenade matinale et qu’elle n’était pas réapparue…

- Asseb ! Ce serait Asseb qui aurait fait le coup ! Mais ça n’a aucun sens !
- Admettons qu’elle ait eu envie de faire une grande ballade, elle pique une combinaison et elle va en direction du Petit Mont…
- Mais pourquoi faire ?
- Comme ça par hasard ! Elle tombe sur le prisonnier qui la persuade de l’aider à s’emparer de la barge.
- Mwais !

Et le soir, Asseb n’était toujours pas rentrée. Artémise en fut peinée.

- Elle m’énervait un peu depuis notre arrivée ici, mais je l’aimais bien, on a passé des super moments ensemble. Je n’arrive pas à comprendre ce qu’elle a fait, mais il est possible qu’elle ne le comprenne pas non plus. Elle va aller où ? Sans expérience, sans argent ?

Une sirène retentit. Fédora se précipita vers l’écran de contrôle, Pacheco lui emboita le pas.

- Une barge !
- C’est la nôtre ! Remarqua Pacheco en en découvrant l’identifiant.
- Ça alors, ils reviennent ! Ils ont été où ?
- Attention, ils ne sont peut-être pas seuls, on ne va prendre aucun risque.

Pacheco rameuta le garde valide et c’est armés lourdement qu’ils allèrent accueillir la barge et la découvrirent vide !

- Ça m’énerve, ça m’énerve ! Ronchonna le vieux briscard, en rentrant. Bon, Gertrud, on fait quoi ? On attend demain pour vous conduire à l’astroport ? On va vous préparer une chambre.
- Mais où est-ce qu’ils peuvent être ?
- A l’astroport, je suppose !
- Pour quoi faire ? En principe Mark ne peut pas réembarquer sans moi. Bon, vous avez raison, on verra demain.

Le lendemain

Gertrud se renseigna afin de savoir si le vaisseau qui devait les attendre était encore là malgré le dépassement du délai. On l’informa qu’il venait de partir. Les choses se compliquèrent néanmoins quand elle demanda qu’on lui réserve une place de passager pour le prochain vaisseau en partance pour la Terre.

- Vous risquez d’attendre un certain temps. Les départs directs pour la Terre c’est plutôt rare ici.
- Ben, je fais comment ?
- Il faut emprunter un itinéraire, prendre une place pour une planète où il y a beaucoup de trafic et de là essayer de gagner la Terre.
- Et bien je ne suis pas rentrée !

Elle mit Fédora au courant de ses déboires.

- Tu vas faire quoi alors ?
- Attendre, j’ai une chambre d’hôtel en réservation continue.
- Pourquoi tu ne resterais pas ici en attendant. Moi aussi, je vais quitter la planète, on partira peut-être ensemble.
- Pacheco sera d’accord ?
- J’en fais ce que je veux de Pacheco.

Gertrud accepta l’offre et s’empressa d’annuler la réservation automatique de la chambre d’hôtel.

- D’accord, elle reste encore réservée pour quinze jours, lui répondit un préposé.
- Ah ? Ah bon !

Le cosmodrome

Et on commence par un très léger flashback avant d’enchaîner

Mark et Asseb s’approchaient du cosmodrome.

- On va s’arrêter un peu avant et finir à pied, je n’ai pas envie d’avoir des ennuis avec les autorités, ni de devoir m’expliquer.

Asseb ne daigna pas répondre.

- Vous avez décidé de me faire la gueule ou quoi ?
- Laissez-moi tranquille, je vous prie.
- On est embarqué dans la même galère que vous le vouliez ou non.
- Absolument pas…
- On va atterrir ici, on discutera après.

Comme la plupart des astrodromes, celui de Simac3 avait été construit dans une zone où la végétation était peu abondante, ils se posèrent donc sur un tapis d’herbes courtes et descendirent. Mark programma la barge en retour automatique. Quelques secondes après, elle retournait, donc vide de tout occupant, vers l’enclave.

- Comme ça on ne pourra pas dire que je suis un voleur !

Asseb ne fit aucun commentaire mais alors qu’ils allaient se mettre en marche, elle bougonna :

- C’est loin ?
- C’est là-bas !
- Vous auriez pu vous poser plus près, j’ai mal partout.
- Et moi j’ai mal aux pieds, vous ne voyez pas que je suis pieds nus, ces connards m’ont piqué mes chaussures, mais moi je ne suis pas tout le temps en train de râler. Alors on avance et puis je vais vous dire : J’en ai marre que vous me considériez comme une merde.
- Je vous ai fait évader uniquement pour que vous me conduisiez à l’astrodrome. Nous y serons bientôt et nos routes se sépareront.
- Et bien tant mieux, parce que vous, comme boulet, vous vous posez là !

Ils firent quelques pas, mais il s’avéra assez rapidement que cette marche allait devenir un véritable calvaire pour sœur Asseb

- Soutenez-moi, je ne vais pas y arriver seule !
- Vous allez être obligée de supporter mon odeur ! Railla Mark.

Une fois arrivé à proximité de l’astrodrome Mark interpella Asseb.

- Voilà, moi je vais rejoindre mon vaisseau, vous faites quoi, vous ?
- Ça ne vous regarde pas. Dit-elle en s’éloignant.

Sur place, après avoir expliqué qu’il n’avait rien pour payer, on l’autorisa à contacter le capitaine qui les avait convoyés jusqu’à cette planète.

- Ben voilà, je suis prêt à repartir, le temps de récupérer mes affaires à l’hôtel et c’est quand vous voulez !
- O.K. On va où ?
- On retourne sur Terre.
- Ah ? On peut partir dans deux ou trois heures si vous voulez ? J’ai une formalité à accomplir. J’avais pris une option sur un contrat au cas où vous ne réembarquiez pas, faut que je l’annule.
- Parfait !
- Et je vais vous préparer la facture !
- La facture ?
- Ben oui, c’est bien ce qui avait été prévu, non !
- On ne vous a pas payé au forfait ?
- Quel forfait ? Madame Gertrud Long m’a d’abord payé un aller pour deux personnes de la Terre jusqu’ici, ensuite elle m’a demandé de lui facturer dix jours d’immobilisation qui sont d’ailleurs dépassés, comme je ne vous voyais pas revenir, j’ai commencé à chercher du fret, ce n’est pas évident ici ! Enfin bref, si vous voulez que je vous conduise sur Terre il faut payer ! Mais d’ailleurs où est le problème ? Madame Gertrud est au courant de la procédure.
- Le problème c’est que Madame Gertrud ne rentre pas !
- Ce ne sont pas mes oignons !
- C’est elle qui a la carte de crédit !
- Et elle ne veut pas vous payer le voyage ?
- Je ne lui ai pas demandé, j’ignorais que ça se passait comme ça !
- Et bien, demandez-lui !
- Impossible !

Mark Greenwood était dépité, il gagnait assez bien sa vie mais était un flambeur, et n’avait jamais un sou de côté.

- Je vous rembourserais à mon arrivé sur Terre.
- Sans garantie ? Non je regrette, j’ai une chance incroyable de ne pas partir à vide, un mec plein aux as qui emmène sa petite famille faire du tourisme galactique. Lui il me paie cash !

Voilà une situation qui n’était pas à proprement parler catastrophique, mais néanmoins extrêmement fâcheuse. A l’aide des paiements déjà effectués à l’hôtel, on put lui dupliquer sa carte de crédit. Gertrud avait loué une chambre pour deux personnes avec une formule de renouvellement automatique, il serait donc logé et il lui restait suffisamment d’argent pour pouvoir se nourrir. Il s’empressa de faire une demande de crédit à l’automate bancaire local afin de se payer le voyage de retour. Cependant la procédure serait longue, environ six semaines, le temps que les informations véhiculent. De plus trouver un cargo qui l’emmènerait directement sur Terre n’aurait rien d’évident. Et puis surtout, il allait s’emmerder, mais s’emmerder !

Après s’être racheté une paire de chaussures, il passa le reste de sa journée à l’hôtel à glander en regardant un programme vidéo en 3D d’une absolue débilité. Quand il descendit pour se restaurer, le vaisseau qui aurait dû le reconduire sur Terre avait quitté le tarmac.

« Enfoiré de capitaine ! »

Simac3 était principalement une planète de milliardaires qui vivaient dans d’immenses propriétés, souvent entourés de proches et d’amis. Tout un petit monde travaillait pour ravitailler ces messieurs-dames en produits frais : des agriculteurs, des meuniers, des vignerons, des éleveurs de volailles et de viandes sur pied. D’autres produits venaient régulièrement par cargos spatiaux. Tous ces gens, à l’exception des pécheurs s’étaient regroupés dans Faratown, une petite cité qu’ils avaient fondé à cinq kilomètres de l’astrodrome avec son maire, son administration, son école… Comme distraction, il n’y avait qu’un restaurant d’habitués qui employait quelques serveuses montantes. Lorsque les hommes voulaient s’encanailler davantage, ils se rendaient dans la galerie marchande du cosmodrome qui possédait quelques établissements « spécialisés ».

Mark s’était rendu une fois dans l’un de ces endroits…

Il avait vite compris que les serveuses n’étaient pas là iniquement pour servir les consommations. De temps à autre l’une d’entre elle s’éclipsait en compagnie d’un homme soit vers le premier étage, soit vers l’arrière-salle.

Une petite brune à forte poitrine et au cul hyper cambré attira son attention et il sut que si elle le sollicitait, il ne refuserait pas. Le souci c’est qu’en ce moment elle était en train de convaincre un autre client de l’établissement, un grand black costaud, de venir profiter de ses charmes. Ce dernier hésitait ou du moins se faisait prier.

- Bon, ben quand tu seras décidé ! Lui lâchât-elle avant de se diriger vers le comptoir.

Mark fut déçu de ne pas voir la fille venir vers lui. Elle échangeait quelques mots avec une collègue qui avait l’air de lui faire comprendre que quelqu’un l’intéressait… Du coup elle vint rejoindre Mark.

- Je te plais mon chéri ?
- Oui, j’avoue !
- Je t’emmène derrière ?
- Je… bafouillai-t-il
- Tiens, touche, juste un peu ! lui proposa-t-elle en dénudant un sein.

Comme dans un rêve, Mark toucha le sein offert.

- Stop, c’était juste un échantillon gratuit ! On y va ? Je m’appelle Shirley.
- D’accord !

Ils se dirigèrent vers le fond de la salle, mais à ce moment-là le grand black s’interposa.

- Tu me fais d’abord ? Demanda-t-il à la fille.
- Non, fallait te décider avant. Donc tu attends ton tour.
- Ça va être long ?!
- Tu ne voudrais pas que je bâcle ce charmant monsieur pour te faire plaisir, non ? Bois un verre en m’attendant.
- Tant pis, j’irais voir ailleurs.
- A moins que je vous fasse tous les deux en même temps, mais il faudrait que vous soyez d’accord tous les deux.
- Moi ça me va ! Répondit le grand black.

La tournure que prenait la situation contraria Mark mais il n’osa pas refuser, de peur de se retrouver au milieu d’une embrouille.

Mark compris que l’endroit où Shirley voulait d’abord les conduire était occupé, car celui dans lequel ils s’installèrent n’était pas conçu pour y recevoir trois personnes désirant s’envoyer en l’air. La petite pièce était uniquement occupée par un canapé, une table basse et un porte manteau à pied.

- On va commencer là ! Précisa donc Shirley, déshabillez-vous et asseyez-vous aux deux extrémités du canapé je vous rejoins tout de suite.

Les deux hommes obtempérèrent, tandis que Shirley se débarrassait de ses vêtements à la va-vite. Mark n’en pouvait plus d’admirer ses formes parfaites et sa peau couleur caramel.

Quand elle fut prête, elle vint s’assoir entre les deux hommes, prit une bite dans chacune de ses mains et commença à les branler. Les deux hommes ne tardèrent pas à montrer une érection fort correcte d’autant qu’ils profitaient de cette promiscuité pour peloter la belle brune.

Bien sûr Mark ne pouvait soutenir la comparaison avec le black qui lui rendait au moins dix bons centimètres de bites.

- Tu regardes sa queue, hein ? Tu es jaloux, tu aurais aimé en avoir une comme ça ! Le nargua gentiment Shirley.

Mark se contenta s’esquisser un sourire.

- Lève-toi ! Dit-elle au black, il a envie de voir ta bite de plus près. Viens lui montrer.

Pas contrariant, le black se lève et vient se planter devant Mark, sa queue à quelques centimètres de son visage.

- Touche-là !

Mark ne s’attendait pas à ça. En fait il n’a rien contre l’idée, mais se demande dans quel engrenage il est en train de se fourrer.

- Ben qu’est-ce que t’attends ?

Comme dans un rêve, Mark se met à caresser la grosse queue du black. Cette situation l’excite au-delà de toute attente et quand vint l’ordre redouté :

- Suce-la !

Il n’hésite pas une seconde et cale le gland noir entre ses lèvres avant de faire intervenir sa langue, comme s’il avait fait ça toute sa vie.

- T’aimes ça les bites, hein mon gros cochon ! Vas-y régale toi ! Bouffe-lui les couilles aussi.

Shirley s’est levée et caresse le corps du black, puis lui pince les tétons pendant qu’il se fait sucer.

- Excuse-moi Shirley, la « Rose » est toujours occupée ?

C’est une petite rousse qui vient de parler, elle est rentrée là avec un client blondinet qui a l’air fasciné par le spectacle.

- Oui, ils en ont pour un moment, je crois !
- Bon, ça fait rien on va monter au premier ! Reprend la rouquine, puis se tournant vers son client :

- Le spectacle t’intéresse, on dirait, tu veux mater ? Il y aura juste un petit supplément.
- Je veux bien ! Répondit-il
- Tu peux même participer, si ces messieurs dames en sont d’accord.
- Venez, venez ! Répond le black excité comme une puce.

Les deux nouveaux arrivants restèrent donc sur place tandis que notre joyeux trio continue ses ébats.

- Tu voudrais l’enculer ? Demande Shirley au black.
- Hé, non, c’est avec toi que je veux baiser !
- Ça n’empêche pas ! Tu l’encules un peu, juste pour le fun et tu finiras avec moi.
- Alors d’accord !
- Mais je n’ai pas dit que j’étais d’accord ! Proteste Mark
- Si je t’avais proposé un gode tu aurais accepté, je suppose ? Rétorqua la jolie prostituée.
- Euh, peut-être…
- Alors de quoi tu te plains, je te propose un gode vivant, bien dur et bien chaud, allez, ouvre bien ton cul mon biquet.
- Mais enfin ce n’est pas pareil…
- Ce n’est pas pareil, c’est mieux. Bon tu ne vas pas nous faire un mélodrame, tu essaies, si vraiment, ça t’insupporte on arrêtera les frais, on n’est pas là pour te violer non plus.

Sans doute, ces arguments convainquirent-ils Mark qui se mit en levrette sur le bord du canapé, les jambes légèrement écartées, les fesses ouvertes, prêtes à recevoir l’assaut.

- Je vais te préparer ! Précisa Shirley en faisant aller et venir deux de ses doigts dans le trou intime.

Elle fit ensuite signe au grand black de venir officier.

- Vas-y molo, il est un peu serré !
- C’est mieux quand c’est serré ! Répondit l’intéressé en rigolant.

Mais ce dernier avait beau multiplier les tentatives, ça ripait, ça glissait à côté, bref ça ne voulait pas rentrer.

Consciente de la chose, Shirley qui avait un instant disparu, revint avec un peu de gel dont elle tartina largement le cul de Mark.

Et miracle de la mécanique des fluides, la bite du black entra comme dans du beurre, provoquant une réaction de rejet de Mark s’exprimant par des borborygmes peu compréhensibles mais pouvant se traduire approximativement par : « Retirez-moi donc cette chose de mon cul. »

Alors Shirley qui connaissait les ficelles du métier lui répondit la phrase magique que tous les apprentis sodomisés ont entendu prononcer le jour de leur dépucelage

- Supporte deux minutes, après ça va être bon.
- Nian !
- Si dans deux minutes, tu veux encore arrêter, on arrêtera.

La fille fit signe au black de ralentir la cadence, et bientôt le cul de Mark changea de réaction, à la douleur succéda une sensation de simple rejet comme si son cul lui parlait en lui disant : « C’est quoi ce corps étranger que je n’ai pas demandé ? », puis même cette gêne s’estompa. La chose devenait agréable, très agréable, même.

- Oh !
- Ça va, c’est bon ?
- Oui, c’est bon !
- Bon tu continues à l’enculer deux ou trois minutes puis tu sors de là et tu vas te faire une rincette au lavabo. Dit-elle au grand black, après tu me prendras pendant que je sucerai l’autre.

Et c’est ce qui se passa, le black n’eut aucun mal à pénétrer le cul bien rodé de la jolie rousse, qui pendant qu’elle se faisait défoncer la rondelle, prodiguait une fellation de première classe à Mark.

Et nos deux intrus que faisaient-ils donc pendant tout ce temps ?

Et bien le client, témoin imprévu de ce trio bisexuel n’en perdait pas une miette et matait tout ça avec une forte envie de se jeter dans la mêlée, mais ne voyait pas trop comment faire. La petite rousse qu’il l’avait levé lui avait descendu le pantalon et après l’avoir branlé s’était à présent agenouillée devant lui après avoir dévoilée sa jolie poitrine, et le suçait goulument.

Le black dont l’excitation allait crescendo augmenta soudain la cadence de ses va-et-vient, à ce point que la belle fut obligée de lâcher la bite qu’elle avait en bouche. Mark devinant que le black n’en avait plus pour longtemps avant de jouir se mit en stand-by.

Mais c’est lors que le client intrus, sentant le moment opportun, vainquit sa timidité en lançant à Mark :

- Je peux te sucer moi ?

Stupéfaction générale et geste de dénégation de Mark.

- Mais je te paie ! Insista le quidam.

Mark dont la situation financière, nous l’avons vu n’était guère brillante fut sensible à l’argument, puisque ce petit arrangement lui remboursait sa passe.

L’inconnu proposa à Mark que celui-ci s’allonge sur la moquette, de façon à ce qu’il puisse le sucer tout en étant lui-même sucé par la michetonneuse rousse.

Un cri à côté d’eux, c’est le black qui jouit, qui décule, qui se rhabille et qui s’en va sans dire au revoir.

L’inconnu ne suçait pas très bien, mais Mark n’en fit pas une affaire, trop content de rentrer dans ses sous. Il finit par jouir à son tour, fit un vague sourire de politesse à l’inconnu et alla se rhabiller à son tour, il s’aperçut alors que la fille ne le suçait plus. Sentant que « ça venait », elle avait fait signe au blondinet de temporiser. Et à présent elle l’attendait les cuisses ouvertes sur le canapé.

- Ça t’as plu, mon biquet ? Lui demanda Shirley l’entrainant hors du lieu.
- Oui, tout cela était tout à fait imprévu, mais bien agréable !
- Ben tu vois ! Ah au fait, il faut mieux ne pas dire qu’un client t’as donné de l’argent, ça ne se fait pas trop, on va dire que c’est de la concurrence déloyale.

Du coup, il fut un peu déçu, Mark, lui qui croyait presque avoir trouvé une forme originale de source de revenus.

Il ne renouvela pas cette expérience ans cet établissement, non pas parce qu’elle lui avait déplu, vous l’aurez bien compris, mais parce qu’il devait faire attention à son budget.

 

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:40

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 22 – La prisonnière par Nicolas Solovionni

Thémes abordés : domination soft, lesbos, scato légère, science fiction, uro. 

- Qu’est-ce que tu vas en faire de ces deux-là ? Demanda Fédora.
- On va les laisser mijoter un peu, ils finiront bien par craquer et nous dire ce qu’ils sont venus foutre ici.

Fédora se demanda si elle ne devait pas différer son départ, cette affaire l’intriguait. Fanny et Uguett lui avait appris l’épisode du piratage du Siefried7, mais elles n’y avaient pas participé directement et ne connaissaient pas toute l’histoire. Fédora ne pouvait donc pas soupçonner que des journalistes vrais ou faux viennent enquêter au sujet de cette affaire. En revanche si ces deux fouineurs venaient à propos du passé de Pachéco et de la publication de ses mémoires, cela pouvait éventuellement être intéressant.

Asseb, quant à elle, voyait dans la présence de ces deux prisonniers une opportunité d’en savoir plus sur ce qui se passait dans l’enclave, elle s’était en effet persuadée qu’on lui cachait un tas de choses.

Elle chercha d’abord à se renseigner sur ce « Petit Mont », et sur ses possibilités d’accès. La chose n’était pas aisée, Navassa avait quasiment banni de ses territoires et de son organisation tout ce qui ressemblait à de l’informatique ou de la communication électronique. Le domaine s’était depuis équipé de toutes ces choses, mais elle aurait été bien incapable de s’en servir. Elle trouva néanmoins, après avoir fouiné un peu partout, l’emplacement d’une vieille bibliothèque, dans laquelle elle dénicha un plan des lieux. Le Petit Mont n’était qu’à 5 kilomètres du château. Donc y aller était faisable à condition de trouver un moyen de se protéger des dangers de la faune. En allant plus avant dans ses investigations, elle découvrit qu’on pouvait se protéger des bestioles venimeuses en revêtant une combinaison adaptée. Restait à en trouver une. Elle mit un certain temps pour le faire, mais finit par en dénicher une dans une sorte de réserve : Asseb était une excellente fouine ! Seul le problème des dangereux carnivores restait en suspens. Elle trouva bien de la documentation sur les crabes géants qui infestaient les côtes, mais rien sur les autres sales bêtes. Il existait des lézaroïdes qui se nourrissaient de petits herbivores, mais ces lézaroïdes étaient décrits comme peureux et servaient de nourriture à des reptiles volants dont l’activité n’était que nocturne. Elle finit par se persuader que les gros carnivores n’existaient tout simplement pas sur l’ile et que leur évocation n’était destinée qu’à décourager toute velléité de randonné autour de ce fameux Petit Mont.

Au Petit Mont, la situation se dégradait, Mark et Gertrud avait demandé qu’on leur apporte de quoi se distraire, de la musique, des films, des jeux, on leur avait refusé, comme le jour suivant on leur avait refusé des cartes à jouer et des dès. On leur refusa même du papier et de quoi écrire. Autant dire qu’ils déprimaient.

- J’en ai marre, je vais tous leur dire ! S’énervait Gertrud.
- Moi, je m’en fous dans cette affaire, je ne suis que ton employé, mais je doute que cela joue en faveur de notre sécurité. Répondit Mark
- M’ont pas l’air méchants !
- T’as raison, ils ne nous tueront pas méchamment nous ne souffrirons pas.

Cette réflexion fit froid dans le dos de Gertrud.

- Pourquoi voudrais-tu qu’ils nous tuent ?
- Parce qu’en leur disant qui nous sommes, on leur donne une raison de le faire.
- Je ne suis pas sûre de suivre, là !
- On gêne, mais pour l’instant ils ne savent pas pourquoi, quand ils sauront, alors… couic !
- Tu racontes que des conneries.

Une semaine avait passé, et un matin, Asseb, quitta le château, elle emportait avec elle trois combinaisons spéciales, une pour elle, et une pour chacun des prisonniers. Personne ne s’inquiéta de son départ même s’il s’agissait de sa première sortie depuis la fois où elle avait failli se faire croquer par un méchant crabe. Dès qu’elle fut hors de vue du château, elle enfila sa combinaison et s’avança dans les fourrés.

Très vite, elle se rendit compte que cette expédition ne serait pas une partie de plaisir. Aucun sentier n’était esquissé et traverser ces fourrés s’avérait non seulement pénible mais l’empêchait de s’orienter. Bientôt elle ne sut plus si elle se dirigeait vers le Petit Mont ou si elle avait bifurqué.

Il lui semblait qu’en grimpant à un arbre, elle pourrait apercevoir le Petit Mont et se réorienter. Il lui fallait préalablement choisir un arbre qui lui permettrait ce genre de chose, ensuite il fallait l’escalader, le problème c’est que les aptitudes sportives de Sœur Asseb étaient assez limitées.

Elle parvient néanmoins à se hisser à environ six ou sept mètres de haut et à repérer son objectif. Il lui fallait maintenant redescendre ce qui contrairement aux idées innées participe d’une toute autre technique…

Si bien que sans trop savoir ni pourquoi ni comment, Asseb dégringola. Elle ne tomba pas de bien haut et n’eut rien de cassé, n’empêche qu’il fallût faire avec des contusions multiples et des douleurs un peu partout.

Quand elle voulut se remettre en marche, sa hanche se révéla douloureuse. Et puis survint un des petits événements de la vie quotidienne dont elle ne s’était pas imaginé qu’elle lui poserait problème en ces circonstances particulières : l’émotion provoquée par sa chute lui avait provoqué une irrésistible envie de pisser. Or elle n’osait se dévêtir ne serait-ce que partiellement de sa combinaison protectrice.

Alors elle lâcha les vannes et se pissa dessus. Cette action lui fit naitre un étrange sentiment, mélange de honte et de bien-être.

Mais alors, continuer ou rebrousser chemin ? That is the question !

Un peu avant dans la matinée, Pacheco apostropha Fédora :

- J’en ai marre de ne pas savoir, je vais séparer ces deux andouilles, et essayer de cuisiner la nana, on verra bien !
- Tu ne vas pas la torturer, j’espère ?
- Mais non, je ne suis pas un sadique !

Et sur ces mots, Pacheco envoya ses gardes chercher Gertrud.

Cette dernière, tout comme Mark s’étonna d’abord que ce ravitaillement ait lieu à un moment inhabituel de la journée, puis que Pacheco ne soit pas présent dans la barge, lui qui leur demandait systématiquement s’ils avaient des « choses intelligentes à raconter ».

- On emmène la petite dame ! Annonça l’un des gardes.

Gertrud se souvenant des propos pessimistes de Mark faillit défaillir, mais ne put faire autre chose qu’obtempérer.

- Vous allez la ramener ? Demanda Mark.
- On n’en sait rien !

Le voyage fut bien sûr rapide et Pacheco demanda qu’on la conduise dans le grand salon, et qu’on ne les dérange pas. Fédora assisterait à l’entretien.

- Asseyez-vous, on va causer un peu, vous voulez boire quelque chose ?

Gertrud à qui cette procédure ne disait rien que vaille, refusa l’offre malgré le fait qu’elle n’avait bu que de l’eau depuis une bonne semaine.

- Bon alors vous m’expliquez ce que vous êtes venu foutre ici ou je me mets en colère ?
- Nous sommes journalistes, on vous l’a dit !
- Et vous veniez faire quoi ?
- Vous interviewer !
- Et bien, allez-y interviewez-moi !
- Dois-je considérer que je suis libre ?
- Non !
- Et bien libérez-moi et libérez aussi mon collègue, et on pourra discuter entre gens intelligents.
- Parce que en ce moment je ne suis pas intelligent ?

« Je n’aurais jamais dû dire ça, ce con va se déchainer ! » Pensa-t-elle.

- Je n’ai pas dit ça…
- Si, tu l’as dit !

Et Gertrud se reçut une violente gifle. Une bouffée de haine l’envahit.

- Alors, reprit Pacheco, puisque tu es journaliste et que tu voulais m’interviewer, tu vas m’interviewer !
- Et vous allez me faire quoi après ?
- J’en sais rien ! Bin alors tes questions c’est quoi ?
- On fait ça comme ça, sans matériel ?
- Oui, on fait ça comme ça, sans matériel, et je voudrais bien que ça commence sinon, je vais vraiment m’énerver !

Gertrud se demanda si elle devait entrer dans ce jeu. Elle se résolut d’essayer.

- Bien, on y va ! Dans votre livre qui vous a causé quelques ennuis, avez-vous vraiment tout dit ?
- Oui !

Cette réponse fermée et sibylline déstabilisa Gertrud qui se trouva en panne sèche d’inspiration.

- Alors question suivante ?
- Euh, on dit… Euh… C’est pas facile de faire une interview dans de telles conditions.

Pacheco la gifla une seconde fois. Elle chercha un regard de compassion du côté de Fédora qui eut un mal fou à se composer un masque.

- Tu es autant journaliste que moi sonneur de cloches, alors tu viens faire quoi ici ?

Gertrud ne sait plus quoi inventer.

- Bon, puisque tu ne veux pas te décider, je vais commencer par demander à tous les hommes de la résidence de te baiser et de t’enculer, et après on va t’enfermer et t’attacher sans te donner à boire. Sans boire, on meurt au bout de trois jours. Ça te plait comme programme ?
- Je peux réfléchir cinq minutes ?
- Ouaip !

Fédora entraina Pacheco à l’extérieur.

- Tu ne vas pas y arriver de cette façon, commença-t-elle.
- Mais si !
- Mais, non ! Si elle a demandé à réfléchir c’est que l’hypothèse d’un bluff lui semble possible.
- Est-ce que j’ai l’air de bluffer !
- Je l’espère.
- Tu ne me connais pas, j’en ai fait d’autres.
- Je croyais que tu n’étais pas sadique.
- Je sais, mais elle m’énerve.
- Ce n’est pas une raison et puis je sais que tu n’es pas si méchant que ça.
- De toute façon, tout cela ce sont des menaces, dès qu’elle verra la bite du premier mec arriver elle ne va pas s’arrêter de parler.
- Ne crois pas ça, ce type et cette nana sont peut-être des agents secrets, ils…
- Que…
- Laisse-moi finir. Ces gens-là sont formés et entrainés. Ils apprennent à minimiser la réalité d’un viol, elle le supportera, quand à la soif, elle boira son urine, c’est dans tous les manuels de survie.
- Même si elle est attachée ?
- Non, bien sûr, mais on peut peut-être faire plus soft. Laisse-moi essayer !
- Qu’est-ce que tu veux faire ? La gouiner ? Qu’est-ce qui te fais dire que ça va marcher ?
- Mon petit doigt.

Pacheco admit que ça ne coutait rien d’essayer.

- On va l’emmener dans une pièce qui ferme à clé de l’extérieur. Tu posteras un garde devant, on ne sait jamais !

Ils revinrent dans la salle.

- Alors ? Interroge Pacheco.
- Je vous ai dit la vérité ! Murmura-t-elle d’une voix apeurée.
- Et il t’a fallu cinq minutes pour nous sortir ça ?
- Je réfléchissais à un moyen de vous prouver ma bonne foi, mais je ne suis pas vraiment en état de réfléchir.

Pacheco et Fédora échangent des « messes basses ».

- On perd notre temps !
- Laisse-moi faire !

Du coup Pacheco appelle les gardes :

- Empoignez moi cette salope et emmenez là dans la chambre 14.

Gertrud affolée tente de résister mais en vain. Tandis qu’on l’emmène sans ménagement elle s’imagine le scénario de ce qui va suivre. Juste avant qu’on ne la viole, elle répétera une nouvelle fois qu’elle est journaliste, si ça marche tant mieux, sinon, elle dirait la vérité, puisqu’aucune autre alternative n’existait.

Quand elle vit qu’on la laissait seule dans la chambre avec Fédora, elle ne comprit plus.

- Je suis la comtesse Fédora Ivanovna ! Annonça cette dernière.

Un coup de poker pas cher, mais il fonctionna. L’espace d’une seconde, peut-être un peu plus, le regard de Gertrud se troubla.

« Fédora Ivanovna, l’une des quatre personnes que l’on recherche ! »

« Cette nana connait mon nom ! J’ai compris » se dit Fédora mais en se plantant complétement sur les motivations de celle-ci.

Echange de regards. Fédora avait l’intention de la séduire pour connaitre la vérité. Elle se dit que ce ne sera même pas nécessaire !

« Dommage, je me la serais bien envoyé ! »

Et alors que Fédora ne s’y attendait absolument pas, Gertrud se dit qu’elle pouvait enfin prendre une initiative :

- Ecoute, on va gagner du temps, ce qui se passe en ce moment, c’est un classique des méthodes policières, après le gros méchant on passe le relais à la gentille fifille. Alors c’est bien simple, je n’ai rien d’autre à t’apprendre.
- Sauf que tu me recherches !
- Non !
- Arrête de mentir, tes yeux t’ont trahi. Tu te crois maline, mais t’es pas foutue de cacher tes émotions. C’est Dietrich qui t’envoie ?

« Qui c’est Dietrich ? »

Dietrich est le gourou de ce qu’il est convenu d’appeler la secte de Saint-Pétersbourg. C’est lui qui a envoyé Fédora en mission ici afin d’approcher Pacheco, auteur d’un livre polémique sur la recherche des civilisations qui nous ont précédées dans l’espace.

Gertrud est au courant de tout cela, elle l’a lu dans le rapport de police, mais serait bien en peine de soutenir une conversation sur le sujet et à ce stade de la discussion, elle ignore à quoi Fédora faisait allusion.

- C’est ça, c’est Dietrich ? Insista la comtesse.

Gertrud se dit qu’elle ne risquait pas grand-chose en s’engouffrant dans la brèche que lui ouvrait son interlocutrice. Alors, elle se contenta de faire un léger signe d’assentiment.

- Il s’impatiente, le pauvre chéri ! Reprit Fédora.
- Ben oui !
- C’est donc, ça ! Dietrich trouve que je ne vais pas assez vite, et pour cause, je crois que j’en ai plus grand chose à foutre de sa secte à la con. Donc il envoie quelqu’un d’autre. C’est ça ?

Gertrud n’en revient pas Fédora est en train de lui fournir un alibi qui est susceptible de la sauver.

« M’accrocher… M’accrocher, surtout ne pas me faire piéger ! »

- Ben oui, t’as deviné !
- Mais pourquoi nous le cacher ?
- C’est compliqué ! Répondit Gertrud qui réfléchissait à une réponse intelligente.
- Au point où tu en es autant tout nous dire, après on te libérera et tu pourras dire à Dietrich qu’il arrête de m’emmerder, il n’y a pas plus de « précurseurs » ici que de cacahuètes dans mon urine.

Mais Fédora avait complétement baissé sa garde et fournissait sans le savoir des éléments de réponse dont Gertrud pouvait se servir.

- Dietrich se méfie de toi, il m’avait demandé de ne pas me découvrir avant d’avoir compris où tu en étais dans tes relations avec Pacheco.
- Je vois, et ton copain alors ?

Du coup l’optimisme de Gertrud retomba comme un soufflé. Elle se demanda comment alliait réagir Mark quand on lui apprendrait qu’elle avait « parlé ».

- C’est disons, mon garde du corps ! Répondit-elle néanmoins.
- Bon tout est clair, et Dietrich, comment il va, toujours aussi beau, toujours aussi con ?

« Oh, le terrain glissant, si elle me demande des tas de détails, je suis mal. »

- Beau, oui, con, j’en sais rien !
- C’est vrai qu’il est beau, dommage qu’il baise comme un débutant.
- On ne peut pas tout avoir !
- Mais, t’es d’accord avec moi ?
- C’est vrai qu’au lit, j’ai connu mieux.
- Bon je te laisse cinq minutes, je vais voir avec Pacheco de quelle façon on va vous renvoyer à l’astrodrome.

Et pendant que Gertrud pas si rassurée que ça se pose mille questions, dont celle de savoir si elle n’est pas en train de se faire piéger en beauté, Fédora rendait compte à Pacheco.

- Ce n’était que ça ! Tu es sûre qu’elle nous mène pas en bateau ?
- Non, non, je suis sûre, elle m’a même dit que Dietrich baisait comme un chamallow.
- Qui c’est Dietrich ?
- C’est le chef de la secte…
- Elle le connaît ?
- Forcement puisqu’elle a baisé avec. C’est lui qui l’a envoyé ici.
- Bon, on va les virer tous les deux, ça me fera un souci de moins, tu t’en occupes, moi je vais aller me reposer.

Revenu dans la chambre où Gertrud restait enfermée, Fédora interpella le garde :

- Bon, maintenant cette personne est libre, débrouillez-vous pour récupérer ses affaires, celle de son compagnon aussi. Dès que Madame sera prête, vous irez au Petit Mont, vous libérez le type, inutile de le ravitaillez, vous revenez ici, et vous m’emmènerez ces deux personnes à l’astrodrome. Je répète où vous avez tout compris ?
- Non, ça va !

Et Gertrud vient de réaliser qu’avec une telle procédure, aucune question ne sera posée à Mark. Sauf piège ultime auquel elle ne croit plus, elle va sortir libre de ce merdier dans lequel elle croyait bien perdre la vie.

Du coup les nerfs tombent, et la voilà qui chiale comme une madeleine.

- Ben ma bichette, qu’est ce qui t’arrive ?
- Ben j’ai eu tellement la trouille ! Et… Oh !

Gertrud était en train de se pisser sur elle.

- J’ai trop honte !
- Faut pas, enlève-moi tout ça et je vais te trouver des fringues de rechanges.
- Je me déshabille ici ?
- Ben oui, on est entre filles, non ?
- T’est gentille, toi !

Et Gertrud, après avoir promptement retiré ses vêtements, tomba littéralement dans les bras de Fédora.

- T’as la peau douce, toi !
- Oui, on me le dit souvent ! Répondit la comtesse.
- Tu dois avoir un de ces succès !
- Je ne me plains pas. Mais toi tu n’es pas mal non plus.
- Moi ? Je suis encore consommable, mais je ne me fais plus d’illusion.
- J’ai bien aimé quand tu m’as caressé la peau.
- T’aimes aussi…

Gertrud fit un drôle de geste que Fédora ne sut interpréter.

- J’ai pas tout compris, là !
- T’aimes bien les femmes aussi ?
- J’adore ! Ça change ! Et toi ?
- Non, enfin oui. Disons que ça m’est déjà arrivé. Tout ça c’est une question de circonstances. Par exemple, je dis ça juste comme ça, si toi tu voulais avec moi, je crois que ce ne serait pas une corvée.
- Tu veux qu’on s’amuse ? Demanda Fédora.
- Je disais ça comme ça, ne fais pas attention !
- Mais si ça peut te déstresser, moi ça ne me dérange pas.
- J’ai envie de me laisser faire.
- Je crois que tu seras entre de bonnes mains… Reprit la comtesse en la conduisant dans sa chambre.

Sur place, Fédora ne s’embarrassa d’aucune tendresse, ce n’est pas cela qu’elle recherchait, elle avait senti Gertrud prête à se donner corps et âme. La comtesse aimait ce genre de situation et elle allait en profiter. Elle se déshabilla donc toute seule dans son coin avant de venir provoquer sa partenaire.

- Ben alors, tu gardes ton haut ?
- Non, mais je te regardais, t’es vraiment belle !
- Je te fais mouiller ?

La question fit rire Gertrud qui ne répondit pas. Elle s’avança vers Fédora avec l’intention de la caresser.

- Tss, tss ! A poil d’abord !
- Juste un peu !
- A poil, j’ai dit ! Tu veux bien être ma petite esclave ?
- Pour jouer ?
- Bien sûr !
- Tu ne vas pas me faire de mal ?
- Que du bien !

Gertrud se débarrassa de ce qui restait de ses vêtements. Son corps bien proportionné n’avait quasiment pas souffert des outrages du temps.

- A genoux ! Ordonna la comtesse.
- Non attends, tu rigoles ?
- Tu veux jouer ou pas ?
- Oui, mais…
- Alors à genoux, ça fait partie du jeu !
- Tu me fais faire de ces trucs…
- Maintenant approche-toi de moi.

Gertrud avança à quatre pattes, puis redressa le torse en arrivant à la hauteur de Fédora mais en restant agenouillée.

- Maintenant tu as le droit de me caresser les cuisses, et tu peux sentir ma chatte aussi. Juste sentir, chaque chose en son temps.

Gertrud caressa les douces cuisses de la comtesse et huma son odeur intime.

- Ça sent bon ?
- Oui !
- Ça sent quoi ?
- Ça sent la femme !
- Ça ne sent pas la pisse ?
- Non, pas vraiment, pourquoi ?
- Dommage, j’aurais bien aimé que ça sente la pisse.

Gertrud regarde sa partenaire, se demande si elle n’a pas pété un câble.

- Je te choque ?
- Tu me surprends ?
- On t’a déjà pissé dessus ?
- Oui !
- Raconte !
- Une fois, après un cocktail professionnel, on a fini en petit groupe chez un type, on a pas mal partouzé, j’étais pas mal torchée, j’étais sur le tapis en train de me faire lécher par je ne sais plus qui avec d’autres nanas et un mec au-dessus de nous s’est mis à pisser, ça a été la franche rigolade, deux nanas ouvraient la bouche pour en avaler, j’ai voulu essayer, c’était rigolo.
- Ouvre la bouche, tu vas gouter à la mienne.
- T’es vraiment spéciale, toi !
- Allez !

Gertrud accepta le jeu et ouvrit une large bouche. La comtesse ferma les yeux afin de se concentrer puis lâcha les vannes. Gertrud se contenta d’avaler les premières gouttes, le débit trop rapide ne lui permettant pas de faire mieux. L’urine coulait à présent sur tout son corps

Excitée Gertrud se badigeonna avec, puis prenant gout à la chose replaça sa bouche dans la trajectoire du jet afin d’en capter quelques giclées.

- Elle est bonne ta pisse ! Commenta-t-elle.
- Bien sûr qu’elle est bonne, et maintenant tu vas me nettoyer la chatte !

Gertrud alla pour s’approcher, mais Fédora se dirigea vers son lit et s’y allongea de tout son long en écartant les cuisses.

- Viens ! Mais non pas comme ça, on va se mettre en soixante-neuf…

Gertrud ne se le fit pas dire deux fois et bientôt les deux femmes entreprirent un léchage de minette réciproque et simultané qui ne tarda pas à les emmener un très court moment jusqu’au septième ciel.

- On est toutes mouillées ! Constata Gertrud.
- On va aller à la douche, mais il n’y pas le feu… Dis donc, tu m’as bien fais jouir, mais il y a un truc que j’aimerais bien que tu me fasses.
- Tout ce que tu veux !
- Faut jamais répondre ce genre de choses.
- C’est si bizarre que ça ?
- Je veux juste que tu me lèches le cul !
- C’est pas un problème, montre-moi tes fesses, je vais le faire.

Fédora se positionna en levrette, cambrant le cul et écartant les cuisses afin que sa partenaire puisse avoir une vue imprenable sur son petit œillet marron.

Le trou du cul de la comtesse possédait à cette heure un petit goût acre qui ne gêna point Gertrud, d’abord parce que cela ne l’incommodait pas le moins du monde, mais surtout parce que toute heureuse d’être sortie de cette mauvaise passe, elle aurait accédé à n’importe lequel des désirs de sa partenaire.

- Il sent bon mon cul ?
- Il sent un peu, mais ça me dérange pas.
- Il sent un peu quoi ?
- L’odeur du caca !
- Si tu aimes ça, ne te gêne pas, rentre-moi un doigt.

Gertrud se prit au jeu, et doigta si habilement le troufignon de la comtesse que celle-ci eut rapidement un nouvel orgasme, puis comme si la chose allait de soi, elles intervertirent les rôles. Quant aux doigts de ces dames, ils ne ressortirent pas très propres de ces petites explorations intimes. Qu’à cela ne tienne, elles se les léchèrent avec un regard complice

Après cela, alors que leur palais avait encore le goût de leurs saveurs intimes, elles se roulèrent un patin passionné.

Fédora était contente, elle venait de se faire une copine !

« Dommage, elle va partir… »

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 9 juin 2018 6 09 /06 /Juin /2018 17:37

L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 21 – D’un bout à l’autre de la résidence par Nicolas Solovionni

Thémes abordés : bisex féminine, doigtage masculin, domination soft, feuille de rose, party, science fiction, uro.


Artémise considéra qu’il était temps qu’elle affranchisse un peu sa suivante :

- Asseb, j’ai pas mal réfléchi, on est vraiment obligé de cohabiter avec les occupants actuels.
- Du moment que les hommes restent cachés !
- Ben non, justement. C’est un peu difficile de leur imposer ça, il faut se rendre à l’évidence, le rapport de force n’est pas en notre faveur.
- Je ne veux pas les voir, et puis d’abord, ils sentent mauvais !
- Qu’est-ce que tu en sais, tu n’en as jamais approché ?
- C’est bien connu.
- Tu n’as jamais eu le fantasme de faire des trucs avec un homme ?
- Berck.
- Ben, moi si !
- Quelle horreur !
- Je suis franche, non ?
- Quand même, il y a des choses qu’il vaut mieux garder pour soi.
- C’est un point de vue ! Mais, je préfère que tu l’apprennes par ma bouche que par quelqu’un d’autre !
- Tant que ça reste un fantasme !
- Ça ne le restera pas !
- Ben moi, je préfère encore les animaux !
- Les animaux ? Il y a des animaux ici ?
- Oui, des chats !
- Et tu voudrais faire quoi avec un chat ?
- M’enduire ma foufoune de crème fraîche et me la faire lécher, se faire caresser par une langue de chat, ce doit être quelque-chose, non ?

Artémise ne sut si sa conseillère était partie dans un délire ou si elle tentait d’entraîner sa maîtresse dans des fantasmes moins humiliants à ses yeux qu’une copulation hétérosexuelle. Quoiqu’il en soit, ses rapports avec Asseb ne pourraient plus jamais être les mêmes.

Asseb pour sa part considéra qu’Artémise était probablement devenue folle, situation qui hypothéquait gravement sa présence ici. Au lieu et place du paradis promis, elle risquait de n’y côtoyer que l’ennui. D’autant qu’elle ne voyait pas très bien comment elle aurait pu quitter la planète. A moins que… son passé d’intrigante puisse encore lui être de quelque utilité.

Quand Artémise entra dans la chambre de la comtesse Fédora, Pacheco et Constantin étaient déjà présents.

- Je ne fais pas de présentation, vous vous êtes déjà aperçus… Commença Fédora histoire de dire quelque chose.

Artémise toisa les deux hommes comme si elle était au marché aux esclaves.

- Oui bon, comme sex-symbols, c’est pas terrible tout ça !
- C’est leurs bites qui t’intéressent non ? Mettez-vous à poil les mecs.

Artémise regarde les bites des mecs d’un air amusé. Elle ne sait pas trop quoi faire et ne ressent aucune excitation.

- Approche-toi de Constantin, je vais te guider.
- Je me demande si c’est bien nécessaire !
- Essaie et on verra bien, prend sa bite dans ta main. Comme ça et tu la branles un peu, de cette façon, et quand tu vois qu’elle devient raide tu la suces.

Artémise se « jette à l’eau », tripote plutôt maladroitement la queue de Constantin, approche sa bouche, hésite quelques instants puis ouvre ses lèvres, sort sa langue et comme le lui a appris Fédora se met à lécher le gland du jeune homme.

Fédora amusée par la scène s’est approchée de Pacheco et le masturbe nonchalamment.

- T’aimes ça que je te tripote la queue mon gros biquet ?
- Ça serait encore mieux si tu te foutais à poil.
- Ce n’est pas un problème, mon gros biquet ! Répond-elle en commençant à enlever ses vêtements.
- Je ne suis pas un gros biquet !
- Mais si !

Après un moment de flottement, Artémise est maintenant en plein dans son fantasme, cette bite, elle la suce, elle la lèche partout, elle s’en régale.

Fédora aperçoit Constantin faire des grimaces.

- Attention à tes dents ! Une bite ça ne se croque pas ! Plaisante-t-elle. Tu devrais faire une mini pause pour te déshabiller !
- Me mettre nue devant des hommes ! Ça ne va pas la tête ?
- Dis donc Artémise, je croyais que tu étais une grosse salope, une grosse salope qui suce des bites et qui se met à poil, une grosse salope qui va se faire enculer…
- C’est vrai, t’as raison !

Et avec une frénésie surprenante, Artémise se débarrasse de ses vêtements avant de reprendre sa fellation sauvage.

Fédora fait signe à Pacheco de se placer à côté de Constantin.

- Allez, change de bite, celle-là est plus grosse !

Elle n’hésite même pas et se met en bouche le gros dard de Pacheco, pompant et repompant, travaillant des lèvres et de la bouche.

Le spectacle excite bien évidemment Fédora qui se demande comment elle va pouvoir s’intégrer dans cette partouze fort particulière.

Soudain Artémise se redresse et sollicite Fédora :

- Demande lui qu’il m’encule !
- Tu ne peux pas lui demander toute seule ?
- Euh…
- Ben quoi ?
- Je n’ai jamais parlé à un homme !
- Et bien ce sera une première !
- Non, je ne peux pas !
- Je rêve : tu suces, tu es prête à te faire enculer et tu ne peux pas parler.

Fédora pense alors reprendre son rôle de dominatrice pour l’obliger à le faire, mais se dit que Pacheco aura du mal à comprendre la situation.

- Soit salope jusqu’au bout !
- Je ne peux pas ! Je ne peux pas faire ça ! Je bloque !
- Bon, je t’encule ou pas ? Intervient Pacheco avec ses gros sabots.

Fédora se garde d’intervenir. Artémise se positionne en levrette, Pacheco considérant cette posture comme une réponse positive se prépare, Fédora le stoppe.

- Une seconde !
- Ben quoi ?
- Demande lui, Artémise !
- Je veux qu’il m’encule !
- Bon vas-y ! Consent Fédora de guerre lasse.

Pacheco ne se le fit pas dire deux fois, par précaution il avait emporté un peu de gel avec lequel il tartina le cul de la papesse.

- Mais qu’est-ce qu’il fait ?
- Demande-lui !
- Je lubrifie ! Répondit Pacheco à qui on n’avait pas posé la question.

Et il la pénétra, le gland d’abord.

- Aïe !
- Détend toi, ça peut faire mal au début, mais après ça va être magique ! Prévint Fédora. Vas-y doucement Pacheco.
- Quand on me le demande gentiment je suis la délicatesse personnifiée.

Il s’enfonce un peu plus.

- Aïe ! Non, on arrête ! On essaiera une autre fois ! Proteste Artémise.

Pacheco redonne un coup de rein, cette fois il est entré jusqu’au bout.

- Wouf !
- Alors ?

Pas de réponse. Il commence à pistonner.

- C’est bon ! Finit-elle par dire ! C’est trop bon de se sentir remplie comme ça.

Du coup se sentant encouragé, Pacheco la pilonne à qui mieux-mieux. Fédora fait signe à Constantin de venir au niveau du visage de la papesse qui peut ainsi le sucer pendant qu’on l’encule.

Pacheco n’arrive plus à se contrôler, il n’essaie même pas d’ailleurs, et tandis que ces coups de boutoirs faisaient hurler de plaisir la papesse, son sang affluait au visage et il se répandit en elle avec la fougue d’un étalon de compétition.

Complétement sonnée, Artémise peine à se relever. Constantin qui n’a pas jouit se demande ce qu’il doit faire, c’est alors que Fédora qui s’est affalée, les jambes pendantes sur le bord du lit lui fait signe :

- Viens, viens me baiser !

Il ne dit pas non ! Du coup Artémise regarda comme au spectacle. Elle n’était pas bien loin, la comtesse lui dit de s’approcher de telle sorte qu’elle puisse lui lécher les seins pendant que Constantin la besognait.

Une fois sa petite affaire terminée l’homme quitta la pièce, Pacheco était déjà parti depuis un moment, les deux femmes restèrent entre-elles.

- Alors t’es contente, t’as réalisé ton fantasme ?
- Depuis le temps que j’en rêvais !
- Tu recommenceras ?
- Je crois bien, oui !
- Mais faudra leur demander, parce que maintenant je ne m’occupe plus de rien, du moins en ce domaine.
- Et pourquoi donc ?
- Parce que, que tu le veuilles ou non ces mecs sont des êtres humains, que tu ne leurs adresses pas la parole, je n’arrive pas à le comprendre.
- Ah ? Dit-elle simplement en se rhabillant et semblant perdue dans ses réflexions.
- Et puis si tu venais me lécher au lieu de te rhabiller, ce serait sympa, non ?
- Bien sûr, où ais-je la tête ?
- En ce moment, je ne sais pas trop, mais j’aimerais bien l’avoir, là entre mes douces cuisses !

Et le lendemain, Asseb, se présenta devant Artémise en prenant une posture théâtrale :

- Madame, à moins que vous renonciez à réaliser vos fantasmes inavouables, veuillez considérer que je ne suis plus rien pour vous, ni l’amie, ni la conseillère, ni la complice, ni la suivante, ni rien du tout.
- Va te faire foutre ! Répondit simplement Artémise.

Quelques jours après, Artémise décida de jouer cartes sur table (mais pas complètement tout de même)

- Je pensais trouver ici des femmes de notre culture et de notre religion…
- Nous en avions déjà parlé, la coupa la comtesse Fédora.
- Mais je ne vous ai pas tout dit : J’ai été envoyé ici pour y vivre une sorte de retraite spirituelle, je resterais le temps d’une année universelle. Je pourrais évidemment envoyer un rapport à ma planète pour décrire la situation que j’ai trouvé ici. Pour des raisons qui ne regardent que moi, j’ai décidé de ne pas le faire, mais j’en conserve la possibilité…
- Et puis ?
- Je pars du principe que le domaine est tellement grand qu’il y a de la place pour nous tous. J’ai besoin de vous pour me décharger de tâches que je n’ai pas envie d’accomplir, et en échange je pourrais cacher la situation qui existe ici, jusqu’à ce qu’on vienne me relayer.

« Et d’ici là j’aurais bien l’occasion d’inventer un gros mensonge » ajouta-t-elle in petto.

Artémise n’attendit aucune réponse et regagna sa chambre, laissant Fédora digérer la bonne nouvelle avant de la faire partager aux autres.

Il fallait maintenant que les habitants de la résidence s’organisent.

- Mais qui commande vraiment ici ? Finit par demander Artémise, le lendemain quand elle fut seule avec Fédora.
- Avant c’était Pacheco seul. Depuis ses déboires, j’ai pris de l’ascendant sur lui et il me laisse beaucoup de liberté, mais c’est quand même lui qui a les codes pour débloquer l’argent.
- Mwais ! On ne peut pas rester comme ça, il nous faut des domestiques…
- On s’en passait fort bien jusqu’ici mais nous n’étions que trois.
- Il n’entre pas dans mes intentions de travailler, je suis venu ici pour être tranquille.
- Tu as deux domestiques, trois avec Asseb.
- Asseb n’est pas une domestique, et en ce moment elle a des états d’âme. Est-ce qu’on peut commander un audit de tout ce qu’il y à réparer et à entretenir.
- Un audit ! Je rêve ! Mais on peut parer au plus pressé…

La vie s’organisait tout doucement au château. Artémise avait fini par vaincre ses réticences et parlait désormais à Pacheco et à Constantin. Oh, pas de grandes conversations, mais elle parlait. Pacheco s’était décidé à embaucher du personnel de service afin de s’occuper de l’intendance et des espaces verts, ainsi qu’une équipe chargée de réparer les dégâts causés lors de l’évasion des filles (voir épisode précèdent). Et puis, il avait aussi recruté deux gardes, pas trop malins mais qui savaient se servir d’une arme, ils pourraient toujours être utiles. Les contrats étaient signés par Artémise, (autant sauver au maximum les apparences quand les circonstances le permettent !). Quant à la reconstitution du harem…

- Les filles devraient être là, Andersen me fait lanterner, je ne comprends pas pourquoi ? Se désolait-il.
- Qui c’est Andersen ? Se renseigna Fédora.
- Le responsable de l’astroport !
- Il joue peut-être un double jeu !
- Quel intérêt ? Je suis extraterritorialisé. Et de toute façon, je n’ai rien à me reprocher.
- Toi peut-être mais comme tu m’as dit que tu traitais avec un négrier, il y a peut-être un rapport ? Laisse tomber ton Andersen et passe par une autre filière.
- Ça me parait une bonne idée.

Du point de vue sexe, puisqu’il fait bien en parler, tout le monde couchait un peu avec tout le monde quoique sans exagération, sauf Asseb qui commençait à trouver le temps long et qui mijotait quelque chose.

Mark et Gertrud

Nous allons maintenant retrouver Mark Greenwood et Gertrud Long, les deux fins limiers diligentés par les compagnies d’assurances pour enquêter sur la disparition du Siegrfried7 (voir au début de ce récit), car les voici arrivés sur Simac3. Pendant tout le voyage Mark n’a cessé de lorgner sur Gertrud mais celle-ci préféra s’amuser avec l’un des officiers de l’équipage. Mark prit son mal en patience, bientôt, ils ne seraient que tous les deux et il aurait bien l’occasion…Enfin il espérait…

Ils se mirent d’accord, moyennant finances avec le capitaine du vaisseau afin qu’il les attende et commencèrent de suite leurs investigations. Ils louèrent également une chambre d’hôtel qui constituerait un point d’attache autrement plus confortable que les cabines du vaisseau.

Quand Greenwood se présenta devant Andersen, le responsable de l’astroport, ce dernier se montra déçu, il attendait la police fédérale et espérait que celle-ci saurait le récompenser de sa loyauté en lui offrant une promotion. Avec la police, il aurait pu détourner les ordres du gouverneur qui ne voulait pas de scandale sur la planète dont il avait la gestion. Mais quelle récompense pouvait-il attendre d’un privé ?

Greenwood s’amusa à prendre une posture de grand seigneur :

- Vous avez adressé un rapport à la police selon lequel quatre des disparus du Siegfried7 se seraient trouvés à un moment donné sur Simac3.
- Ben oui !
-. Ces quatre personnes sont Fédora Ivanova une passagère qui se prétend comtesse ainsi que Constantin William, Rachel Bernstein et Florentine MacSteven qui faisaient partie de l’équipage.
- Oh ! L’interrompit Andersen, vous l’avez lu ce rapport ?
- J’en ai eu largement le temps.
- Et moi, je le connais d’autant mieux que c’est moi qui l’ai rédigé. On ne va donc pas perdre notre temps à se le relire.
- Pour Fédora Ivanova, la police sait qu’elle a débarqué sur Mabilla avant le piratage du Siegfried7. Elle a été envoyée ici par une secte de farfelus pour lui faire rencontrer un certain Pacheco, ça vous parle ?
- C’est un type qui travaille pour le compte des nanas de l’enclave de Novassa.
- Alors écoutez bien. Reprit Greenwood : Cette nana devait se rendre sur Simac3, le Siegfried7 s’y rend, mais le vaisseau fait une escale technique sur Mabilla, elle y descend et ne réembarque pas, là elle reste un moment puis vous la retrouvez ici en passagère d’un vaisseau indépendant et en compagnie d’un mec dont l’identité correspondrait à l’un des disparus du Siegfried7, mais que la police n’avait pas localisé sur Mabilla. Vous y comprenez quelque chose, vous ?
- Non rien du tout, et d’ailleurs je m’en fous un peu.
- Cette Fédora et son compagnon sont toujours sur la planète ?
- En principe oui !
- Comment ça « en principe » ?
- Si une barge intègre un vaisseau avec du monde, ben je ne suis pas au courant.
- Mais enfin, ce n’est pas réglementé, ce genre de pratique ?
- Ici, on tolère. On est bien obligé, pas assez d’effectifs. Et puis on ne peut pas être trop tatillon, il y a du beau monde ici !
- Il faut donc que je rencontre ce Pacheco.

Andersen ricana.

- Vous ne l’approcherez jamais ! Ce qu’il aurait fallu, c’est une compagnie de gens armés…
- En territoire étranger ?
- Et alors ? Ils auraient fait le sale boulot et après ils auraient présenté leurs excuses, ça s’appelle de la « politique internationale ».
- On verra bien, et les deux autres nanas ?
- Quoi, les deux autres nanas ? Vous l’avez lu mon rapport ou pas ?
- Mais selon vous l’hypothèse la plus vraisemblable ?
- Mais je n’en sais rien, moi !
- Ou elles ont été dirigées vers un résident, ou elles sont parties dans l’espace, ou elles ont mal fini.
- Un résident ?
- Oui, certains sont demandeurs de personnel de maison peu farouches, si vous voyez ce que je veux dire.
- Si elles étaient chez un résident, on pourrait constater des variations anormales dans les fichiers de livraisons des fournisseurs alimentaires.
- Je n’ai pas accès à ces choses-là !
- Qui a cet accès ?
- Le gouverneur, je suppose !
- On ira le voir, sinon on peut avoir la liste des vaisseaux présents ici quand elles se sont évadées de l’enclave.
- Vous ne l’avez pas cette liste ?
- J’ai besoin de votre confirmation.

Andersen leur communiqua alors les coordonnées du Kiribati du capitaine Paavo Aaven et du Stratus du Capitaine Yassaka Murenko.

« Aaven n’a rien à voir avec ces deux nanas, mais je ne vais rien lui dire, qu’il se démerde ! »

Ne pouvant à ce stade obtenir d’autres renseignements, Greenwood et Gertrud sollicitèrent donc une entrevue avec le gouverneur.

Versach était gouverneur de Simac3 depuis plus de dix années universelles, il n’aurait donné sa place à personne. Il n’avait strictement rien à faire sinon honorer de sa présence quelques réceptions mondaines. Il vivait avec une compagne forte compréhensive, entouré d’une cohorte de domestiques des deux sexes peu farouches. Bref, ça baisait, ça bouffait, ça rigolait et ça ne faisait pas grand-chose.

Et voilà que deux terriens venaient l’emmerder.

- Je vous écoute.

Greenwood commença à lui narrer les événements qui l’avaient conduit jusqu’ici. Manifestement Versach était ignorant de toute une partie de l’histoire et avait du mal à suivre.

Gertrud quant à elle, prenait des postures et des attitudes propres à intéresser le gouverneur en l’aguichant, mais ce dernier ne mordait pas à l’hameçon. Malgré ses beaux restes, elle ne pouvait rivaliser avec les canons locaux.

- Si vous pouviez abréger et en venir au but de votre visite, je n’ai pas que cela à faire.

Greenwood lui fit alors part de son souhait de vérifier les fichiers des fournisseurs alimentaires.

- Mais mon pauvre garçon, vous rêvez ! Pour faire cela, il vous faudrait une commission rogatoire, vous avez ?
- Non !
- De plus, ça ne servirait à rien, il y a peu de couples ou de célibataires parmi les résidents, ce sont surtout des familles, des communautés, alors deux ou trois parts de plus ou de moins comment voudriez-vous qu’on les visse ?
- Pardon ?
- Qu’on les voit
- Je pensais…
- Vous pensez mais pas assez, vos nanas se sont peut-être dispersées, elles sont peut-être parties de Simac3 après avoir été hébergées quelques semaines soit ensemble soit séparément.
- J’entends examiner toutes les hypothèses, mais il faut bien que je commencer par quelque chose.
- Examinez ce que vous voulez mais n’allez ni troubler la quiétude de résidents ni perturber les excellentes relations que nous avons avec l’enclave…
- Autrement dit…
- Autrement dit, l’entretien est terminé.

- Quel con ! Commenta Gertrud en sortant de la résidence du gouverneur. On fait quoi ?
- Ben on va aller dans l’enclave et on verra bien.

Mais pendant ce temps-là, Asseb…

C’est qu’elle déprimait sévère, Miss Asseb, elle occupait son temps en faisant de longues promenades dans le domaine. Pacheco avait aimablement prévenu Artémise de ne pas fréquenter la plage dangereusement infectée par des crabes géants aussi stupides que voraces. Cette dernière s’était bien gardée de faire suivre cette recommandation à Asseb.

« Si elle se fait bouffer, tant pis pour elle ! »

Une fois de plus l’hautparleur de la résidence se fit entendre :

- Ici Mark Greenwood et Gertrud Long, journalistes indépendants, demandons autorisation d’atterrir.
- Refusé ! Répondit Fédora !
- Mais…
- Ne discutez pas et quittez notre espace aérien immédiatement ! Nous ne recevons aucun journaliste.
- Vous n’avez rien à craindre…

Fédora coupa la communication.

Greenwood et Gertrud avaient prévu cette éventualité. Il fallait donc passer au plan B autrement plus hasardeux puisque l’objectif était de trouver le moyen de s’infiltrer clandestinement dans l’enclave, ils s’éloignèrent du château, et se dirigèrent vers la plage la plus proche ignorant que Fédora traçait leur véhicule sur un écran de contrôle.

- Ils se posent sur la plage, c’est les crabes qui vont être contents.
- Je ne comprends pas le but de la manœuvre ! S’étonna Pacheco.
- Moi non plus, mais ils préparent quelque chose.
- Je prends une barge et j’y vais avec les deux gardes. Décida le vieux briscard.
- Sois prudent.
- J’ai fait l’armée !
- Oui, mais il y a combien de temps ? Oh, attend, la barge repart ! Mais ils se sont posés pour quelle raison ?
- Pour déposer du monde, cette bonne blague ! Bon je vais aller voir !
- Sois prudent.
- Tu me l’as déjà dit ! J’ignorais que tu tenais tant à moi !
- Moi aussi !

Greenwood et Gertrud étaient descendus et avaient renvoyés la barge vide à l’astroport en pilotage automatique.

- Bon, c’est à 500 mètres, t’as bien le plan en tête !
- Oui, mais je ne suis pas trop rassurée ! répondit Gertrud.

C’est à ce moment-là qu’ils aperçurent une femme courant à toutes jambes et sur le point de se faire rattraper par un gigantesque crabe aux intentions peu pacifiques.

- Allez vers les arbres ! Lui crie Mark

Asseb a entendu et obéît par réflexe, mais le terrain est abrupt et accidenté, elle trébuche.

- Merde, ça fait un peu loin ! Rouspète Mark Greenwood.

Il ajuste néanmoins son tir. Un éclair jaillit, les restes de la bestiole fument, Asseb tombe dans les pommes.

Cet événement les a empêchés de remarquer la barge de Pacheco qui vient de se poser à 300 mètres de là et dont les occupants ont vu toute la scène.

Asseb revient à elle et a un mouvement de recul en découvrant Mark, penché sur elle.

- Ne me touchez pas !

Elle regarde les restes calcinés du crustacé géant.

- Vous l’avez eu ! Je vous dois une fière chandelle ! Dit-elle en s’adressant à Gertrud.
- C’est Monsieur qu’il faut remercier.
- C’est votre esclave personnel ? Vous l’avez bien dressé !
- Pardon ?
- Ah, vous êtes terriens ? Se reprend-elle.
- Oui et…

Mais Gertrud ne put finir sa phrase.

- Vous êtes cernés, levez les mais en l’air, non pas vous Asseb, mettez-vous sur le côté. O.K. Maintenant l’un après l’autre débarrassez-vous de vos armes et de votre matériel, Monsieur va commencer….
- Ecoutez-nous… Proteste Mark.
- On vous écoutera après, videz vos poches aussi.

Mark puis Gertrud s’exécutent.

- Maintenant je vous écoute ! Reprit Pacheco.
- Et bien, madame était poursuivi par un crabe…, commence Mark.
- Je sais on a vu ! Je veux savoir ce que vous foutez ici !

Gertrud débita alors le mensonge qu’ils avaient préparé.

- On se baladait en barge et on a eu un problème, on s’est retrouvé à la flotte et on a nagé jusqu’ici.
- Et vous n’êtes pas mouillés ?
- C’était il y a plusieurs heures !
- Et les crabes vont ont foutu la paix !
- Oui, on a eu une sacrée chance.
- Bon les gars, menottez-moi ces deux andouilles, on va les conduire au Petit Mont.
- Mais…
- Tout ce qui se passe dans mon espace aérien est enregistré. On n’a pas vu de barge s’engloutir dans la flotte. En fait vous êtes les prétendus journalistes à qui nous avons refusé l’autorisation d’atterrir tout à l’heure !
- Mais non… Tenta de répondre Mark.
- Bon, ça va !

L’examen des papiers des deux terriens, ne put révéler leur véritable activité. Mark et Gertrud avaient certes des cotés un peu naïfs, mais n’étaient quand même pas complètement idiots.

- Vous êtes qui et vous voulez quoi ? Aboya Pacheco.
- Vous avez raison, on est journalistes.
- Et bien on va vérifier ! Seulement ça risque d’être un peu long et d’ici là on va être obligé de vous enfermer.
- Vous n’avez pas le droit !
- On va se gêner. Allez hop tout le monde dans la barge, on vous emmène au Petit Mont.

Et on prit soin auparavant de dépouiller les deux aventuriers de tous leurs effets personnels.

Le « Petit Mont »

Il s’agissait d’une baraque, une sorte de refuge que la première papesse Artémise avait fait construire pour s’y retirer seule et y jouer les ermites, il y en avait plusieurs de semblable sur le territoire. Si le confort restait rudimentaire, on pouvait néanmoins y vivre si on n’était pas trop exigeant sur certaines commodités. Par contre la vue était splendide puisqu’elle dominait une grande vallée au fond de laquelle s’étalait un paisible lac.

- Pour l’eau, c’est construit au-dessus d’une source. Pour la bouffe on vous ravitaillera. On ne vous enferme pas, mais je vous conseille de ne pas vous éloigner, il y des bestioles carnassières et d’autres très venimeuses, vous ne survivriez pas plus d’un quart d’heure. D’ailleurs, je vais vous confisquer vos chaussures, ça vous évitera des tentations. Faites de beaux rêves et ne dormez pas la fenêtre ouverte !

- Nous voilà dans de beaux draps ! Se lamenta Gertrud.
- Ne t’inquiètes pas, ils vont nous relâcher, ils auraient voulu nous tuer, ils l’auraient déjà fait.

Gertrud fit le tour des placards à la recherche de quelque chose de consommable mais il ne restait plus grand chose à part quelques gâteaux secs infâmes.

- Qu’est-ce qu’on va foutre ? On n’a rien pour s’occuper, ils nous ont tout pris !
- On peut toujours baiser !
- C’est ça, je suis super motivée ! Se moqua-t-elle.
- Tu veux que je te motive ?
- Laisse tomber !
- Viens me faire un bisou !
- Mais t’es chiant, ce n’est pas le moment de batifoler.
- J’ai lu dans un bouquin de survie que lorsqu’un couple était isolé comme nous le sommes, le fait de faire l’amour décuplait les capacités intellectuelles et permettait de trouver des solutions.
- T’es givré, grave !
- Bon, alors on fait quoi, il y a peut-être un jeu de société dans les tiroirs, des cartes, des dès ?
- Tu crois que c’est le moment de jouer !
- Demain on sera peut-être morts, autant profiter de nos derniers instants.
- Tu vas te calmer, oui ! Je n’ai pas envie, tu peux comprendre ça oui ou non ?
- Evidemment je suis moins beau que ton lieutenant de vaisseau…
- Et alors, c’est ton problème ?
- Bon ben puisque c’est ça je vais me branler !
- Bonne idée !
- Tu veux regarder !
- Non, et j’espère que tu auras la pudeur de te retourner.
- Faut que je pisse, on fait ça où ?
- Le coin là-bas, c’est marqué, tu ne sais pas lire, et d’ailleurs faut que j’y aille en premier.
- Je peux regarder ?
- Non !
- Pourquoi t’es méchante avec moi ?
- Ce n’est pas de la méchanceté, si tu me regardes, je vais bloquer.
- Alors on fait comme ça, je me tourne, et j’attends que tu commences pour regarder.
- T’es complétement malade !
- Alors d’accord ?

De guerre lasse, et ce disant qu’après cela elle aurait peut-être la paix, Gertrud accepta.

Le coin – comment appeler ça autrement ? – était rudimentaire, un simple siège dont les conduits devaient déboucher sur un bac de récupération.

Elle s’assit sur la cuvette après avoir baissé pantalon et culotte et écarta les jambes. Mark était le dos tourné et faisait de curieux gestes au niveau de sa braguette.

« Il a sorti sa bite, ce con, il va se branler en me regardant pisser. »

Elle tenta se de concentrer, mais que nenni, la chose ne venait pas.

- Donne-moi un verre d’eau, je n’y arrive pas !

Du coup Mark se retourne, la bite à l’air et aperçoit sa compagne d’infortune la chatte au vent.

- Oh ! Que c’est beau !
- Faut t’en remettre !

Il va lui chercher un verre d’eau qu’il lui tend. A ce moment-là la bite de l’homme est tout près d’elle et il bande comme une bête en rut. Elle n’est malgré l’insolite de la situation pas insensible à l’image érotique qu’elle dégage. Elle prend le sexe dans sa main le manipule un peu, l’homme se laisse faire, évidemment satisfait de cette tournure à laquelle il ne croyait plus.

- Je veux bien te sucer, mais c’est tout, et après tu me fous la paix ?
- Vas-y suce !

Elle introduit le membre turgescent dans sa bouche et le pompe de façon classique. Pendant ce temps sa vessie se décontracte et elle se met à pisser d’abondance. Mark aurait aimé profiter du spectacle mais il est mal placé, on ne peut pas tout faire, alors il se console en écoutant le pipi gazouiller sur les rebords de la cuvette.

Gertrud pensait que l’affaire serait vite pliée, mais Mark n’avait rien d’un éjaculateur précoce, et quand il lui posa les mains sur sa poitrine pardessus son blouson ouvert sur son tee-shirt elle ne protesta pas. Elle ne dit rien non plus quand il souleva le vêtement et se libéra les seins du soutien-gorge qui les maintenait.

L’excitation était latente, elle se transforma en évidence quand l’homme se mit à lui tripoter ses tétons.

- Mets-moi un doigt dans le cul ! Demanda-t-il
- Ah ? T’aimes ça ? Lui demanda-t-elle bêtement en interrompant sa fellation.
- Ben oui, c’est marrant !
- Juste le doigt pas autre chose ?
- Tu pensais à quoi ?
- Je ne sais pas, moi, un gode par exemple.
- On n’a pas ça ici !
- Oui, mais on en aurait un sous la main, ça t’aurait intéressé ?
- Je suis un peu ouvert à tout !
- C’est le cas de le dire !
- Hein ?
- Laisse tomber. Bon tourne-toi, je vais voir ce que je peux faire !
- Tu peux le faire en continuant à me sucer !
- C’est pas pratique !
- Mais si tu passes ta main entre mes cuisses et…
- Oui bon ! Tu ne vas pas me faire un cours d’anatomie. Je suis déjà assez gentille de te céder, alors tourne-toi.

Surpris par la réaction de sa compagne d’infortune, il ne protesta plus, se retourna et lui offrit son postérieur en se courbant légèrement et en écartant ses fesses.

- Ah ben, t’es mignon comme ça, surtout ne bouge pas, je vais regarder si je ne trouve pas un truc.

Elle regarda dans le coin cuisine, mais ne trouva aucun objet susceptible de remplacer un godemiché. Elle revint donc auprès de l’homme.

- Il est pas mal ton cul, pour un homme ! Le flatta-t-elle en lui administrant une claque sur les fesses.
- Hé ? Oh ?
- Ben quoi t’aimes pas ça ? Et d’abord je ne t’ai même pas fait mal. Je peux taper plus fort si tu veux !
- Tu m’as l’air bien excitée depuis cinq minutes ?
- Et alors ?
- Rien, c’est bien que tu sois excitée, ça permet de nous amuser mieux !
- Et ça, ça t’amuse, demanda-t-elle en lui assenant une nouvelle claque sur les fesses.
- Si c’est pas trop fort !
- Bouge pas !

Une nouvelle fois, elle fit le tour de la baraque à la recherche d’un objet frappeur, sans rien trouver d’adéquat.

- Mais merde, pas de gode, pas de badine, ils faisaient comment les hommes préhistoriques ?
- Ils en fabriquaient.
- Je vais voir dehors si je peux trouver une badine.

Elle se reculotta sommairement, il y avait bien du bois sec mais rien qu’i ne puisse se transformer en badine.

« Quelle planète de merde ! »

Elle revint et se dirigea de suite vers Mark, resté en stand bye. Elle s’accroupit.

- Continue de bien écarter tes fesses, je vais t’humecter la rondelle.

Gertrud ne détestait pas gouter de sa langue la texture un peu particulière de cet endroit très intime et à force de sollicitations l’anus s’entrouvrit. L’index préalablement mouillé de sa salive remplaça la langue et entama une série d’allers et retours dans l’étroit conduit, où il fut rejoint bientôt par un deuxième puis un troisième doigt.

- T’aimes ça ma salope qu’on te ramone le cul !
- Oui, c’est agréable !
- Et avec une vraie bite tu as essayé ?
- Essayé quoi ?
- Ben de te faire enculer !
- Ça ne te regarde pas !
- Si tu n’avais jamais essayé tu m’aurais répondu « non », donc, c’est « oui » !
- Mais non !
- Je t’imagine bien dans une partouze avec un mec qui t’encule pendant que tu suce la grosse bite d’un deuxième !
- Quelle imagination !
- N’empêche que ça te fait bander, ce que je raconte.
- Mais non ! Protesta Mark
- Ben, je le vois bien !
- C’est pas à cause de ça !
- Ah, oui ! Dis-le que tu es un suceur de bites, sinon j’arrête tout.
- T’es un peu givrée, j’ai l’impression !

Gertrud retira ses doigts et s’éloigna de quelques mètres.

- Tu arrêtes ? Sérieux ?
- Sérieux !
- Allez viens !
- Dis-moi la vérité et j’accoure !
- Ben, oui ça m’est arrivé de sucer des bites !
- Et de te faire enculer ?
- Une fois ou deux !
- Tu ne sais pas si c’est une fois ou deux fois ?
- C’est une expression, ça veut dire « quelque fois ».
- Et tu as aimé ?
- Je n’ai pas détesté, mais je préfère les trucs avec les femmes.
- Bon tu as le droit de revenir !

Ce tout petit intermède ayant fait légèrement débander Mark, Gertrud se fit un devoir de lui reprendre le sexe en bouche, et quand il fut bien dur, elle se dirigea vers l’une des couchettes.

- Maintenant j’ai envie que tu me prennes.

Mark ne se le fit pas dire deux fois et pénétra d’autant plus facilement sa compagne d’infortune que celle-ci excitée par tous ces petits jeux préliminaires était mouillée comme une soupe.

Elle le surprit quand elle cria sa jouissance.

- Pas si fort, tu vas attirer les bestioles !

Sa jouissance à lui fut violente mais peu sonore. Il ne comprenait pas pourquoi certaines femmes criaient dans ses moments-là. Le mystère de la nature féminine sans doute !

à suivre

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Eros Cosmos
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