Elle sonnait à la porte des pratiques dont elle avait la clientèle, en général des familles aisées.
On lui ouvrait, elle entrait et, tout de go, on la foutait à poil. Elle-même retirait de bonne grâce sa petite culotte pendant que les dames présentes montraient qui leurs seins, qui leurs dos.
La partouze achevée, la couturière s’absorbait dans ses travaux d’aiguille. On lui donnait cent sous. C’était la belle époque.
Cette image et le texte qui l’accompagne ont été créés pour le magazine Hara-Kiri (merci à eux) et nous ont été envoyés par Ursulin.
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