Samedi 7 juin 2025 6 07 /06 /Juin /2025 08:05

Partouze savoyarde par Sylvain Zerberg
double stamp

Bonjour, je suis Vincent, 34 ans. Sorti d’une procédure de divorce pénible, je voulais profiter de mes vacances d’été pour me reconstruire.

J’avais choisi de louer dans un gite rural de Haute Savoie. Le site internet précisait que de très nombreuses randonnées s’y offraient pourvu que l’on soit amoureux de la nature.

Je suis arrivé le soir et après une bonne nuit réparatrice et un copieux petit déjeuner, je choisissais complétement au hasard l’un des chemins de randonnées. Je m’étais habillé léger, short et polo, mais bonnes chaussures de marche. Mon sac à dos renfermait un en-cas pour le midi et un sérum anti venimeux (j’ai toujours eu la trouille des serpents)

On m’avait indiqué que je croiserais problèmes des chamois. Tant mieux, j’adore les bêtes ! Après une heure de marche dans les pentes escarpées, je parvins à un petit faux-plat.

Mais ce faux-plat était occupé, non pas par des chamois mais par une étrange petite compagnie à l’arrêt. Quatre hommes et une femme, tous entre trente et quarante ans, et plutôt décontractée puisque la dame avait les seins à l’air et que l’un des types était complétement nu. Il y a aussi un gros chien de race interminée.

Bon je ne voudrais pas déranger, je vais pour croiser le groupe, on se salue comme c’est la tradition en montagne.

– Je m’appelle Sonia ! Me dit la fille.

Elle est vraiment très belle, brune, frisée, yeux bleus, sourire ravageur et des seins qu’on dirait des obus.

– Moi c’est Vincent ! Bonne journée.
– Me regarde pas comme ça, tu vas avoir une attaque !
– Que voulez-vous, je ne suis pas de bois.
– On s’apprêtait à faire une petite sauterie, si tu veux regarder ou participer tu es le bienvenu.
– Une sauterie ? Demandais-je n’étant pas certain d’avoir compris.
– Une partouze, quoi !
– Ben…

Je ne sais ni quoi dire, ni quoi faire ! Sonia, elle le sait, et me fout carrément sa main sur la braguette de mon short.

– Mais ça bande, ça !

Ce qui n’était pas tout à fait exact, disons que ma bite était demi-molle avant qu’elle ne me tripote et qu’elle s’est mise à bander quand elle m’a touché.

N’empêche que j’hésite toujours ! On est un peu con parfois…

– Allez, reste avec nous, j’aime bien quand il y a des nouvelles queues !

Je fais un petit signe de tête marquant mon acquiescement

Sonia retire sa petite culotte et invite la petite compagnie à se dénuder, puis en véritable maitresse de cérémonie se met à distribuer les rôles.

– Roland, tu étends une serviette et tu t’allonges dessus, Cédric tu passeras derrière, et Serge tu passeras devant. Les autres vous attendez votre tour.

Et c’est la mise en place.

Roland s’allonge, Sonia après s’être assurée de la rigidité de sa bite par quelques mouvements de branle s’empale dessus et remue doucement en position penchée. Cédric se pointe, bite en avant et l’encule tandis que Serge offre son sexe aux lèvres gourmandes de la belle brunette.

Evidemment je ne suis pas insensible au spectacle de cette fantaisie érotique et je bande comme un cerf. Gilles qui n’a pas eu l’honneur de faire partie de ce savant quatuor est à mes côtés et se branle nonchalamment.

Il a une très belle bite, ce citoyen, et du coup me reviennent en mémoire quelques séances de touche-bites de ma période étudiante. Un jour, Michael, un de mes camarades de fac m’avait montré en coup de vent des photos pornos vintage très explicites.

– Hé, je n’ai pas bien vu, pourquoi tu les ranges ?
– On peut les regarder dans un endroit tranquille si tu veux, t’as une idée ?
– Il n’y a personne à la maison cet après-midi, on peut y aller.

C’est ce que nous avons fait, sur place on a regardé les photos et on s’est mis la bite à l’air. Quand Michael m’a suggéré que je le suce, je n’ai même pas hésité, je l’ai sucé, et des années plus tard je me souviens encore de cette impression dans ma bouche, je faisais quelque chose de pervers et je me régalais. il m’a sucé à son tour, et quand il m’a proposé de m’enculer, j’étais tellement excité que j’ai accepté spontanément. L’introduction a été un peu déplaisante au point que j’ai voulu arrêter la chose, mais rapidement la douleur a fait place à un étrange trouble et finalement j’étais ravi de cette première sodomie.

Cette petite fantaisie fut ma seule expérience gay pendant des années, jusqu’au jour où trainant dans le quartier des sex-shop à Paris, j’entrais et par curiosité descendais au sous-sol de l’établissement qui était équipé de cabines vidéo projetant des films qui n’avaient rien à voir avec les journées mondiales de la jeunesse catholique. Il y avait aussi une petite salle « collective » d’une douzaine de places. Certaines cabines étaient entrouvertes. Je passais devant l’une d’elle où un senior se régalait de la bite d’un jeune homme. Bien sûr je bandais très fort, Dans une autre cabine un monsieur en costard cravate se branlait ostenssiblement en se plaçant de façon à ce qu’on voit bien sa bite. Je restais en arrêt devant l’entrée de sa cabine. Il me fit signe d’entrer, tel un zombie je rentrai et lui touchai le sexe, il me demanda si je suçai. Je répondis « oui » d’un signe de tête et j’embouchai ce membre magnifique.

– Tu veux que je t’encule ? Me demande le type.
– Si t’as une capote, je veux bien !
– D’accord, on va faire ça devant tout le monde.

On est allé dans la petite salle et il m’a pris comme une chienne devant les quelques spectateurs présents qui bien sûr s’astiquaient le manche…

Je me suis branlé jusqu’à la jouissance pendant qu’il m’enculait et j’ai quitté l’établissement en proie à des pensées contradictoires. D’un côté je suis toujours amoureux fou des jolies femmes et de l’autre je me demandais si je n’étais pas en train de vire ma cuti (quelle expression débile !)

J’ai donc décidé de rester tranquille et de ne plus tenter le diable. Et comme toutes les bonnes résolutions, j’ai tenu… trois semaines. Avant de retourner sucer des bites et de me faire prendre dans le même établissement.

J’ai ensuite bénéficié d’une belle promotion malheureusement assortie d’une mutation dans une ville moyenne de province. Là-bas peu d’endroits de drague et puis dans ces patelins où tout le monde se connait je ne désirais pas me faire remarquer. Je suis donc resté bien sage.

Et après ces petites réminiscences, revenons à la montagne.

– Elle te plait ma bite ? Me demande Gilles
– Elle est belle !
– Ça t’intéresse ?
– Pourquoi pas ?
– Tu veux me sucer ?

Vous pensez bien que je n’ai pas hésité, et l’instant d’après j’avais sa bite dans ma bouche ! Quelle sensation de sentir de joli cylindre de chair coulisser entre mes lèvres, de le taquiner de ma langue.

Et tandis que je le suce, on entend les jappements de plaisir de Sonia. Elle vient de faire juter la bite de Serge dans sa bouche et d’avaler son sperme. Elle s’apprêtait probablement à faire appel à Gille ou à moi pour le remplacer, mais se rendant compte que nous étions fort occupés l’un et l’autre, y renonça et accentua la cadence des ses mouvements.

Du coup Cédric pris son pied à son tour et décula, il passa devant Sonia afin que celle-ci lui nettoie sa bite gluante de sperme. Puis ce fut le tour de Roland tandis que la belle brune gueulait son orgasme si fort que l’écho de la montagne lui répondit..

– Non mais regardez-moi ces deux pédés ! Indiqua-t-elle après quelques minutes de récupération. Encule-le, je suis sûre qu’il aime ça !

J’abandonnais ma fellation et voulant montrer ma disponibilité, je me plaçais en levrette, cuisses écartées. Gilles habilla sa bite d’une capote, puis vint me lubrifier le trou de balle de sa langue avant de me pénétrer à la hussarde. Il a joui un peu vite… Dommage…

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises.

Sonia se mis à genoux et fit venir les garçons autour d’elle. Je vins aussi.

– Et maintenant pause pipi !

Je ne sais plus qui a commencé le premier mais un jet de pisse suivit d’autres fusa sur le visage de Sonia qui en avala maintes rasades

– A mon tour de pisser ! Annonça la belle en se relevant. Un volontaire ?
– Moi ! Se proposa Serge.
– Je ne ferais peut-être pas que pipi ! Ajouta-t-elle.
– Je prends le risque !

Serge s’allongea sur la serviette. Sonia s’accroupit au-dessus de sa bouche et ouvrit les vannes libérant un joli filet doré que le coquin ingurgita comme il se doit.

– Bouge pas, je sens que je vais faire un beau boudin !
– Je ne bouge pas.

Sonia pousse, son anus s’ouvre, un petit étron demande à sortir, elle pousse encore et cette fois c’est un long boudin marron qui dégringole sur le visage de l’homme. La femme plonge son doigt dans le caca puis le lèche avec un air de défi.

– Hum ! pas mauvais ! Maintenant tu vas me servir de papier à cul, lèche mon cul !

Ce qu’il fit sans problème, je supposais alors qu’ils n’en étaient pas à leur coup d’essai.

Après ces joyeuses turpitudes, la petite assemblée me proposa de partager leur casse-croute du midi. J’acceptais et j’appris alors qu’à l’exception de l’un d’entre eux, ils se connaissaient tous, étant internes, infirmiers ou aides-soignants à l’hôpital de Clermont-Ferrand.

Certains s’étaient plus ou moins rhabillés, pas Sonia qui après avoir dévoré son sandwich manifesta le désir de se faire bronzer. Elle s’étendit sur la serviette, cuisses écartées, sa chatte charnue en évidence.

EstelleC’est alors que le chien que l’on n’avait pas entendu jusqu’alors vint renifler sa maîtresse et par l’odeur alléchée entreprit de lui lécher le minou.

– Qu’est ce que veux mon chien ? Oh quelle langue !

Au bout d’un moment le chien se mit à trépigner sans raison. Sonia lui attrapa la bite entre ses pattes arrière et l’introduisit dans sa bouche afin de la sucer..

Puis au bout d’un moment, excitée comme une puce, elle se mit en levrette offrant sa chatte aux assauts du chien qui tel un métronome la couvrit en cadence.

Apprès tout cela je suis redescendu. Je n’ai pas croisé les chamois, mais me suis dit que mes vacances commençaient bien.

fin du délire !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 31 mai 2025 6 31 /05 /Mai /2025 09:30

Prise par deux chasseurs par Claire N
Voy

Bonjour je m’appelle Iris. Je suis brune et j’ai 25 ans. On dit que je suis plutôt bien foutue, et je suis de nature plutôt soumise.

Comme tous les lundis je me rend dans une petite salle de gym pour maintenir ma forme. Arrivée dans les lieux, j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires des femmes pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements afin de savoir ce qui se passe. Les bruits viennent du vestiaire d’à côté (évidemment). Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes y batifolent allégrement. Curieuse de nature (et un peu voyeuse, on va dire) je m’assois par terre et sort de mon sac mon téléphone portable que je branche en position photos. Je peux ainsi constater que cette femme est en très bonne compagnie. Un homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents. Et une des mains de son partenaire est sur la bouche de la femme pour étouffer ses gémissements. Le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit la bite et la dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre.

Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas. De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus masquer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence finit sur le visage la femme. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et fini par enfouir le sexe entier entre ses lèvres afin de le nettoyer.

Ils s’épongent et sortent. Je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduit ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied.

Remise de mes émotions je termine de me changer et me rend dans la salle. Je passe devant les deux amants. Je ne peux m’empêcher de les regarder. Ils s’en rendent compte. Ils ne me quittent plus des yeux. Ils ont dû deviner que je les ai regardé. Je rougi d’abord. Je leur tourne le dos et me livre à quelques exercices mais mes pensées deviennent très vite érotiques voir porno.

Au bout d’un quart d’heure, n’ayant vraiment pas la tête à la gym, je décide de partir. Je repasse donc devant le couple en ne les quittant pas des yeux. Je me change et sort de la salle. Comme je le pensais les deux tourtereaux sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portes et monte derrière. Ils sont près de moi ! J’ai mis les clefs sur le contact. L’homme a compris et s’installe au volant, la femme à ses côtés.

– Tu veux jouer les salopes ! Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme.

On est encore en plein centre-ville et il y a beaucoup de monde dans les rues, mais j’obéis et me dénude. Le type fait le tour de la ville et à tous les feux rouges je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur déréglé je sens le regard de l’homme se poser sur moi. La femme est restée silencieuse et je pense pensive. Il gare la voiture au bord d’un petit bois.

– Descends ! Me dit le type !
– A poil ?
– Ben oui !

Je sors du véhicule et il me fais signe de m’installer sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de Klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux chasseur arriver. Petit conciliabule entre le couple et les nouveaux arrivants. Puis le quatuor se dirige vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux chasseurs tombent leurs pantalons exhibant des bites déjà bien bandées.

IrisToujours sur le capot; l’un des chasseurs rectifie ma position. Je suis sur le ventre, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les lèche l’une après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux chasseurs se bousculent légèrement pour profiter ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait pivoter sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il n’est pas très doux et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bucheron. Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours sans délicatesse m’encule. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, commence par poser son gland devant mon clitos et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêver d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses mouvements et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Le deuxième chasseur éjacule sur mon ventre.

Est-ce terminé ? Non les deux chasseurs ont envie de pisser.

– Ouvre ta bouche, salope !

La salope fait de qu’ils demandent et je reçois tout leur pipi dans ma mignonne petite bouche. Puis les chasseurs repartent comme ils sont venus, sans ajouter un mot.

La femme se dirige vers moi et me roule une pelle tout en me caressant partout, elle m’entraine sur la banquette arrière de la voiture où elle me demande de lui brouter la chatte et de lui enfoncer un doigt dans le cul.

Pas de problème ! Cinq minutes plus tard, madame hurlait son plaisir.

– On te ramène en ville ! Me propose l’homme.
– Oui !
– T’aimerais qu’on te paye le restau ?
– Pourquoi pas ?

Fin

Rewriting d’un brouillon intitulé « Le vestiaire » trouvé sur le Net

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Samedi 24 mai 2025 6 24 /05 /Mai /2025 08:48

Danse avec Linda
(une histoire proposée par Dumigron)

Stamp Mature Sodo

Ma compagne, Caroline, est une ravissante petite brune sensuelle et coquine, court vêtue, joliment décolletée, très exhibitionniste, chaude, sensuelle et très nature. La base de notre entente est de conserver chacun une certaine liberté, mais de ne rien cacher à l’autre.

L’hiver dernier, nous nous sommes rendus à une soirée donnée par un ami qui souhaitait fêter une promotion professionnelle.

Marié tardivement, bon vivant, il vit dans une grande maison à la campagne, héritée de ses parents, et avait réservé l’hôtel du village afin que nous puissions tous – une trentaine de couples – passer tout le week-end ensemble et digérer un lendemain de fête peut être un peu difficile.

Je voulais que ma compagne, Caroline soit plus jolie et sexy que jamais, si cela était possible. Nous avions acheté un corset de résille noir, bas et mini-slip assortis, une petite jupe à damier noir et blanc et un gilet de cachemire blanc, assez largement ouvert sur ses superbes seins légèrement comprimés par la guêpière ! Un véritable appel au viol, presque un peu pute mais si joliment porté. Avec son sourire charmeur et son visage innocent qui contraste tant avec ses décolletés et déroute ses admirateurs, égale à elle-même, elle était une fois de plus à croquer.

Dans l’ensemble les femmes invitées étaient plutôt sexy, mais Caroline avait à son habitude ce petit plus indescriptible qui rend tous mes copains un peu amoureux d’elle. Seuls six ou sept couples nous étaient inconnus, et grâce à un punch maison, l’ambiance avait démarré très vite.

Je reconnaissais bien là le talent de notre hôte, c’est une technique dont nous usions pour mettre dans le bain nos amies lors de nos soirées de célibataires et les débarrasser de leurs inhibitions. Bien qu’habituée à la formule, Caroline avait commencé très fort et me semblait un peu gaie, ne cessant de passer en riant des bras d’un cavalier à ceux d’un autre. Ses amis qui la connaissaient bien, ne se privaient pas, sans insistance ni vulgarité, de lui caresser furtivement, et comme malencontreusement, les fesses et les seins, voire même d’écarter discrètement un pan de son gilet qu’elle refermait avec un air faussement réprobateur.

Elle est sans doute une des seules qui accepte, et provoque ce genre de privautés, et tous, m’enviant d’être l’élu, savent qu’ils peuvent pousser un peu ce jeu, mais que jamais elle n’accepte d’attouchements autres que sur ses seins et ses fesses, et ne tolérerait en aucun cas de se laisser entraîner au lit. Quant à moi il est de notoriété publique que ces situations m’amusent (savent ils même qu’elles me procurent beaucoup de plaisir) que je ne suis pas jaloux et profiterais de l’état d’excitation dans laquelle ils me la rendront. J’ai parfois laissé entendre à certains, sans qu’ils sachent si je plaisantais ou non, que je ne pourrais que les féliciter d’arriver à attirer Caroline dans leur lit !

Tout cela fait de nous un couple considéré comme très libéré, et aussi très énigmatique, car aucun ne peut se vanter d’avoir pu entrer dans notre véritable intimité, et Caroline qui ne cache pas notre entente, son appétit et le mien, joue le jeu en laissant planer le doute quant à d’éventuelles aventures. Elle est en un mot considérée comme chaude, sensuelle et libérée, sans tabous et très nature, mais désespérément fidèle et satisfaite (au goût de mes copains?) et chacun d’essayer de la faire craquer.

Ce soir ils ne s’en privaient pas. Après avoir fait danser ma compagne, je fleurtais gentiment avec Linda, une jolie brune, dont je venais de faire la connaissance, et dont le mari semblait essayer d’être celui qui ferai le plus danser Caroline. Je sentais ma jolie cavalière un peu gaie et je m’appliquais à la faire rire, quand soudain elle me demanda :

– Ça ne te gêne pas que mon mari drague ta femme avec autant de discrétion ?
– Pas du tout ! Cela me permet de danser avec toi. Mais si tu veux, je demande à Caroline de l’envoyer promener ?
– Non ! Moi ça ne me gêne pas ! Me répond Linda. Vous êtes assez libres tous les deux ?
– Je ne suis pas jaloux et j’aime la voir s’amuser ! Ça te choque ?
Je ne sais pas ! Mais est-ce qu’elle te trompe ?
– Je ne crois pas ! Et de ce côté-là nous sommes plutôt complices.
-Tu veux dire que vous faites des échanges ou des partouses ? Me demanda-t-elle d’une voix hésitante

Je la serrais un peu plus fort, et sentant qu’elle ne se dérobait pas, lui murmurais :

– La vie est courte, autant se donner quelques petits plaisirs comme celui de danser avec toi, par exemple ?
– Tu ne m’as pas répondu !
– Peut être que je n’ai pas trop envie de parler de ça pour l’instant.
– Je ne suis pas une oie blanche, et je ne suis pas si prude que tu as l’air de le penser ! Me répondit elle en se raidissant légèrement.

Je la ramenais contre moi et sentis ses seins s’écraser sur mon torse. Ce contact me troublait.

– Je suis capable de garder un secret ! Murmura-t-elle.

Elle semblait un peu hésitante et troublée. Je décidais de pousser un peu plus avant.

– Il nous arrive parfois d’admettre un partenaire dans nos jeux, mais très discrètement et toujours éloigné de nos amis ou relations.

Je la sentis frémir légèrement et ajoutais :

– Je n’aurai pas du t’en parler ! J’ai peur de t’avoir choqué et je serai désolé que tu me considères comme infréquentable !
– Je t’ai promis de garder le secret et je ne suis pas choquée, ou plutôt beaucoup moins que je ne l’aurai imaginé ! Je trouve que vous avez de la chance de vous entendre aussi bien ! Ma vie à moi me semble moins excitante !

Je saisis la perche. La brèche me semblait bien ouverte. Il fallait vraiment que le punch aie fait tomber nos inhibitions pour que nous puissions tenir une telle conversation.

– Tu n’as jamais trompé ton mari ?
– Je n’ai jamais osé ! Pourtant je sais qu’à lui, c’est déjà arrivé !
– Eh bien tente une fois ! Ce sera une expérience.
– Et toi, tu l’as déjà trompée ?
– Rarement, mais c’est arrivé ! Je préfère quand ça se passe avec elle. J’aime bien la voir comblée, la voir se donner devant moi à un homme qui lui plaît. Je dois te paraître totalement dévoyé ?
– Non ! Je ne sais pas pourquoi, mais je t’ai dit que ce soir ça ne me choquait pas, et c’est vrai ! C’est plutôt moi qui dois te sembler anormale en te posant ces questions ? Ça doit être le punch, mais j’ai envie que tu me parles encore…Si tu veux bien ? Me dit-elle en pesant un peu plus dans mes bras, tandis qu’une musique lente nous berçait et que nous dansions pratiquement sur place. Tu n’as pas envie de m’embrasser ?
– Ce que j’ai très envie de faire ! Lui murmurais je en déposant un discret baiser derrière son oreille.
– Mieux que ça !

Je collais ma bouche contre la sienne. Je l’ai senti se cambrer contre moi, son pubis est venu s’écraser contre ma cuisse. Elle devait sentir contre la sienne qu’elle ne m’était pas indifférente du tout. Heureusement que nous étions dans une relative obscurité, mais le morceau de musique finissant, j’ai choisi de me séparer – provisoirement- d’elle et l’ai entraînée prendre un verre. Caroline et Gilbert étaient invisibles, mais il y avait quatre pièces au rez-de-chaussée, en plus du jardin d’hiver et de la cuisine. La plupart de nos amis présents fleurtaient, en couples légitimes ou pas, et tout le monde semblait assez heureux et détendu.

– Tu crois qu’ils sont partis faire l’amour ? Me glissa Linda.
– Je ne sais pas ! Peut-être mais je ne crois pas !
– Pourquoi ?
– Parce qu’à ma connaissance elle ne m’a jamais trompé, mais après tout, je n’en suis pas sûr et cela m’est un peu égal? Ça t’ennuierai que ton mari…
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Fais-moi danser encore !

J’avais très envie d’elle mais décidais de ne pas brusquer les choses. Cette situation était très excitante. A nouveau je l’ai prise dans mes bras, et j’ai senti ses seins et son pubis s’appuyer contre moi. Elle était ferme, chaude, douce et son parfum m’enivrait. Elle ne pouvait plus ignorer qu’elle me faisait bander et je ne faisais rien pour cacher mon état. Je voulais faire durer cet instant. D’une toute petite voix, elle me demanda :

– Vous avez déjà fait ça avec un autre couple ?
– Peu de fois, mais ça nous est arrivé.
– Et avec une autre femme ?
– Non parce qu’elle préfère les hommes. Dommage d’ailleurs ! Et toi, tu n’aimerais pas avoir deux hommes dans ton lit pour s’occuper de toi ? Te faire jouir sans interruptions ?

Elle a frémi, et j’ai repris d’une voix douce, glissant une main entre nos deux corps pour empaumer délicatement un sein rond et ferme :

– Ce n’est pas un de tes fantasmes ?
– Peut-être, mais ce n’est pas celui auquel je pense le plus souvent.
– Racontes moi ! Murmurais-je en accentuant la pression de ma main sur son sein, dont je sentais saillir le bout, sans qu’elle se dérobe.
– Il m’arrive de rêver qu’un de mes supérieurs plus âgé, qui m’impressionne, m’ordonne de me déshabiller devant lui, debout dans son bureau, et me caresse, me demande lui sucer la bite et pour finir m’encule devant sa secrétaire.

Sa voix était rauque, son corps pesait dans mes bras, sa bouche contre mon oreille, et sans cesser de lui caresser la poitrine, j’ai glissé mon autre main sur ses fesses, et tenté avec elle ce jeu que j’aime, celui des mots.

– Je voudrais être celui qui te demande de te déshabiller ! J’ai très envie de te retirer ta robe et de continuer à danser en te caressant !

Je la sentais réagir à mes mots et elle me semblait prendre le même plaisir que moi. Je continuais

– Mon plus grand bonheur serait de découvrir ton corps, de sentir monter ton plaisir. J’ai très envie de te faire l’amour et je voudrai te faire jouir !
– Continues ! Me dit-elle la tête sur mon épaule.
– Je voudrai faire glisser ta robe et sucer tes seins… Sentir sous mes lèvres ta jolie petite chatte mouillée et boire ta liqueur d’amour.

A l’abri de la pénombre, nous étions totalement imbriqués l’un dans l’autre, son sexe collé à ma jambe, ma queue écrasée sur sa cuisse, et je la sentais parcourue de frissons. Dans la paume de ma main, la pointe de son sein crevait le tissu.

– J’aimerai ouvrir tes jambes et passer la langue dans ton sillon…Sucer tes lèvres et ton clito… Caresser l’entrée de ton vagin et sentir ta mouille couler dans ma bouche.
– Continue…
– Je te retournerais, te lécherais ton petit trou avant d’y mettre un doigt, puis ma bite.

Ses fesses se contractaient sous ma main et elle se frottait imperceptiblement contre ma cuisse.

– J’aime quand tu te caresses sur moi… Reprit-elle
– Je voudrai te faire mouiller !
– C’est déjà fait ! Me dit-elle d’une voix rauque.
– Si nous étions seuls, je ne te laisserai que ta culotte jusqu’à ce qu’elle soit complètement trempé !
– Elle est trempé !
– Non ?
– Si ! Tu m’excites… Si tu me parles encore je vais jouir !

Je la sentais se branler franchement contre moi et je commençais à perdre les pédales.

– Tu me fais bander, jolie petite salope. J’ai envie de passer la main sous ta robe pour doigter ta petite chatte.
– Encore !
– Je veux ta mouille sur mes doigts et sur ma langue avant de m’enfoncer dans ton ventre.

Elle était comme parcourue par un courant électrique. Heureusement que l’obscurité nous enveloppait, car elle se frottait sur moi, les fesses contractées sous ma main, ondulant du bassin sans aucune retenue. Je la sentais au bord de l’orgasme, respirant par saccades. Moi-même au bord du plaisir, je repris :

– J’aime sentir ta chatte s’écraser sur ma cuisse… Ça m’excite d’imaginer ta petite cramouille ruisselante de foutre, tes jolies lèvres gonflées et ton clito dressé.
– Oh oui ! Je suis trempée et je n’en peux plus. Je vais jouir… Continue… Murmura-t-elle la voix chavirée.
– Je veux sentir ton odeur et boire ton jus? Enlève ta culotte et donne-le-moi !

Je l’ai sentie jouir alors que j’avais bien du mal à ne pas exploser, lorsque je lui ai dit :

– Je veux te respirer avant de te lécher… Je vais te montrer ce qu’on appelle se faire bouffer la chatte avant de te baiser !

Elle a jouit longuement, tremblante, tétanisée, la tête sur mon épaule, les cuisses serrées autour de ma jambe, tandis que je la soutenais, une main plaquée sur ses fesses. Je l’ai laissée se calmer, collée à moi, m’assurant d’un coup d’œil que personne ne nous prêtait attention. Mais les quelques couples présents étaient eux-mêmes plus occupés à se caresser en dansant. Toujours au bord du plaisir, je lui ai dit :

– J’aime te sentir jouir dans mes bras, mais maintenant j’ai envie de gouter à ta liqueur d’amour… Viens !
– Oh oui, mais pas ici… Mon mari et ta copine peuvent nous surprendre… Ils sont où ?
– Peut être en train de se tripoter là-haut ?
– Attends-moi ! Murmura-t-elle à mon oreille. Je reviens.

Je suis allé prendre un verre. Elle a réapparu une dizaine de minutes plus tard, me disant :

– Je ne les ai pas vus, mais pourtant toutes les chambres sont occupées ! Une véritable orgie ! Et dans le noir, je ne suis pas sûre que j’aurai pu les distinguer.
– Ça t’ennuie de savoir qu’ils sont peut-être en train de faire l’amour ?
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Je suis bien avec toi… Mais j’aurai bien aimé être sûre que lui aussi…Tu m’as demandé quelque chose tout à l’heure.

Elle m’a glissé dans la main une petite boule de tissu noire et douce que j’ai aussitôt porté à mon visage. Sa culotte, minuscule et humide, sentait la noisette, la mouille, l’urine, la fille chaude.

– Tu sens bon ma petite salope, j’ai de plus en plus envie de boire ton jus d’amour directement à sa source

Elle s’est à nouveau écrasé contre moi.

– Tu es toute nue maintenant sous ta jupe ?
– Oui !
– Tu mouilles encore ?
– Oh oui ! Tu me fais toujours autant d’effet
– Je t’ai vraiment fait jouir ?
– Oui beaucoup ! Mais ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte ?
– J’aime te l’entendre dire !
– Salaud ! Tu m’as fait jouir très fort, et je crois que je n’avais pas joui comme ça, debout, dans les bras d’un homme, depuis bien longtemps. Maintenant je veux que tu décharges dans ma bouche….
– Viens !

Je l’ai entraînée dehors, le long du jardin d’hiver, malgré la température un peu fraîche. Je l’ai plaquée le long du mur, l’embrassant pour la première fois à pleine bouche. Elle répondait à mon baiser avec fougue. J’ai glissé la main sous sa jupe pour découvrir son coquillage nu et humide qui s’est ouvert sous mes doigts lorsqu’elle a écarté une jambe. Je me suis accroupi devant elle, le visage à la hauteur de son ventre. J’ai relevé sa jupe pour découvrir ses cuisses, le haut de ses bas et son ventre nu, sa toison brune plutôt fournie. J’ai soulevé sa cuisse pour la poser sur mon épaule. N’importe qui pouvait nous surprendre et à la faible lumière que dispensait le jardin d’hiver, j’ai vu son coquillage s’ouvrir, sa fourrure s’écarter et me révéler un sillon clair et luisant. Des perles de mouille brillaient dans ses poils. Du bout de la langue, j’ai déniché son clito, tendu, long et fin et l’ai délicatement pris entre mes lèvres et aspiré. Elle s’est mise à feuler en s’arcboutant, tendant son pubis vers ma bouche. J’ai glissé la langue dans son sillon en embrassant ses lèvres gonflées, avant de l’enfoncer dans l’entrée de sa chatte déjà ouverte et ruisselante. Elle me coulait dans la bouche en agitant son bassin, les mains posées sur ma tête.

Elle avait un goût de miel chaud, et je me suis mis à la laper à grands coups de langue, alternant baisers, succions et aspirations. Elle gémissait, agitée de soubresauts, et je l’ai léchée longtemps, comme j’aime, buvant son jus qui coulait sur mon menton et le long de ses cuisses. Elle mouillait comme une gouttière.

– Oh oui, c’est bon ! Tu lèche bien ! Je vais jouir… Continue… Oui ! Je jouis… Je jouis…

Elle m’a déchargé une impressionnante quantité de mouille dans la bouche. N’y tenant plus, je me suis relevé, déboutonné, et l’ai embrochée d’une seule poussée, la soulevant sous les fesses. Elle a noué ses jambes dans mon dos et je me suis senti aspiré jusqu’au fond de son vagin brûlant. Je la sentais ouverte, distendue, chaude et gluante, agitée de contractions, et je suis resté un moment sans bouger, planté en elle, lui parlant à l’oreille :

– Oh putain ! Tu es chaude et profonde ma salope !
– Je te sens bien… Ne bouge plus… C’est bon !
– Tu aimes te faire remplir et en avoir plein ta jolie cramouille ?
– Oh oui ! Tu es un salaud et un dégueulasse, mais j’aime quand tu me parles comme ça ! J’aime que tu me parles comme à une pute? Ça m’excite !
– Oui tu es ma petite pute et je vais te défoncer ta jolie chatte et me vider les couilles dans ton petit minou baveux !

J’ai glissé le doigt dans sa raie trempée pour le poser à l’entrée de son petit trou dans lequel je me suis un peu enfoncé. Elle n’a manifesté aucune répulsion.

– Tu as déjà été prise par-là ? Lui ai-je demandé à l’oreille
– Oui… Quelques fois mais pas souvent.
– Tu as déjà été baisée en sandwich par deux hommes ?
– Non, jamais.
– Je suis sûr que tu aimerais ça !
– Avec toi, peut-être? Tu es vraiment un beau salaud et j’aime ça !
– Je veux que tu sois très obéissante avec moi !
– Oui !
– Si tu as envie de me revoir ce sera sans culotte ni soutien-gorge? Seulement des bas !
– Oh oui !
– Je t’obligerais à sortir comme ça et je te montrerai ce que c’est que de se faire baiser par deux mecs pendant toute une nuit !
– Oui, oui !
– Je t’obligerai à sucer la bite de parfaits inconnus !
– Salaud ! Tu veux faire de moi une pute ?
– Oui et si tu ne suce pas correctement ce sera la fessée… devant tout le monde !
– Oh oui… baise-moi fort… je vais jouir… Je ferais ce que tu veux… baise-moi comme une pute !

LindaJe ne savais si elle était véritablement sincère et prête à accepter mes délires ou seulement suffisamment excitée pour répondre n’importe quoi, mais je sentais la pression de ses jambes autour de ma taille et les contractions de sa chatte sur ma queue. Tout son bassin ondulait, et la soulevant littéralement par les fesses je me suis mis à la pistonner comme un fou, arrachant presque mon sexe de sa cramouille béante pour changer brutalement d’orifice Je me suis senti soudain immobilisé dans l’étau de ses jambes, avec l’impression de m’enfoncer plus encore dans son cul. Je sentais son souffle chaud et sa respiration saccadée contre mon oreille. Elle s’est mise à feuler, et nous avons joui ensemble. J’ai déchargé dans son anus par longues saccades, avec un extraordinaire sentiment de tomber dans le vide ! J’ai dû longtemps rester planté en elle, et lorsque nous nous sommes déboités, nous sommes restés enlacés, accrochés l’un à l’autre pour ne pas tomber, sa tête sur mon épaule.

– Salaud, tu m’as enculé !
– J’ai peut-être été un peu brutal !
– Non ça m’a bien plu !

Tout à fait dégrisé, j’ai pris son visage dans mes mains après m’être rajusté, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres en lui disant un peu brusquement :

– Cela fait partie des bonnes choses de la vie ! Rien ne nous empêche de nous revoir si tu le veux bien… Mais nous ne pouvons, ni toi ni moi, nous permettre de tomber amoureux… Et je suis sincère… tout ce que je t’ai dit est vrai.
– Tu aimerais que nous continuions à nous voir ?
– Oui… Mais seulement si ça ne te pose aucun problème !

Avant qu’elle ait pu répondre, je l’ai entraînée à l’intérieur. Nous avons pris un verre et à nouveau dansé, sans voir Caroline ni Gilbert. Linda se détendait et riait à mes bêtises, et ce n’est que plus tard que nous avons vu arriver son mari, l’air un peu perdu et hésitant. Il a tressailli en nous apercevant, et sans doute rassuré par mon sourire, s’est approché de nous. J’ai délicatement poussé ma cavalière dans les bras de son mari en leur disant : »à tout à l’heure » J’ai trouvé Caroline dans la pièce à coté au milieu d’un petit groupe et l’ai entraînée sur la piste dans un slow calme.

– Où étais tu passé ? M’a-t-elle doucereusement demandé.
– Et toi donc ? Il me semble ne pas t’avoir vue depuis un moment ! Ais-je répondu en riant.

Je l’ai sentie se troubler l’espace d’un instant, mais elle s’est reprise :

– Ce soir je n’ai pas eu une minute à moi… Gilbert m’a eu l’air de te trouver à son goût… Il m’a semblé que tu t’entendais bien avec sa femme !
– Tu as fait l’amour avec lui ?

Malgré cette question directe grâce à laquelle je pensais prendre l’avantage, elle m’a surpris en répondant sans hésiter et en riant :

– Pas vraiment l’amour, mais il a quand même réussi à me faire jouir ! Et toi tu as fait l’amour avec elle ?
– Oui !
– Si tu veux, on en reste là, me dit-elle doucement. Je crois qu’on est tous un peu pompette et qu’il vaut mieux ne pas essayer d’aller plus loin.
– N’empêche que j’aimerai bien savoir comment il t’a fait jouir ?

Gilbert et Linda sont arrivés à ce moment et se sont mis à danser comme nous, restant à l’autre bout de la pièce, semblant ne pas nous voir. Caroline, la tête nichée au creux de mon cou, m’a murmuré :

– Si tu veux tout savoir, il m’a emmenée dans une chambre, là-haut, et après m’avoir caressée, il m’a léché… Mais je n’ai pas voulu qu’il me baise, et il n’a pas insisté…et je l’ai sucé aussi pour le calmer?

Cet aveu m’a électrisé, elle a dû sentir mon sexe durcir et a écrasé son pubis sur ma cuisse en murmurant :

– J’ai envie que tu me prennes !
– Tu as remis ta culotte ?
– Non ! Je lui ao offert ! Il l’a gardé !

Nous sommes montés, mais toutes les chambres étaient occupées. Nous avons même aperçu dans la pénombre deux couples sur un lit… La soirée tournait à l’orgie, et faute d’un endroit pour nous isoler, nous sommes redescendus avec l’intention de regagner sagement l’hôtel. Gilbert et Linda dansaient encore, aux côtés de nos hôtes qui nous ont adressé un sourire complice et entendu. Nous avons parlé un peu avec eux et leur avons annoncé notre intention de nous retirer, ce que faisaient la plupart des couples encore présents. Gilbert nous a appris qu’ils logeaient eux aussi à l’hôtel, et nous avons décidé de rentrer ensemble, prenant rendez-vous avec nos amis pour le lendemain matin. Nous avons regagné notre base, et sagement, avec toutefois une certaine gêne et timidité, chacun a sagement regagné sa chambre. Aucun de nous ne savait que cette soirée n’était en réalité pas terminée, mais ceci est une autre histoire…

Fin

Léger rewriting, correction et reformatage d’un texte anonyme intitulé « Un couple libertin »

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mercredi 21 mai 2025 3 21 /05 /Mai /2025 10:35

L’autre jour, j’ai fait la pute ! par Isaducul

 

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A la recherche d’un emploi depuis quelques semaines, je sortais d’un énième entretiens d’embauche. J’avais essayé de mettre tous les atouts de mon côté, Jupe courte et corsage avec décolleté plongeant pour travailler dans un magasin de vêtements. Mais pour eux j’étais trop vieille (46 ans) pour ce poste. J’ai repris ma voiture et après quelques kilomètres alors que je traversai un bois, ma voiture s’est mise à brouter. Je me suis arrêtée, je n’avais plus de gazole.

Je suis sortie de ma voiture et j’ai essayé d’appeler avec mon portable, pas de connexion, trop perdu ce coin. Après cinq minutes, une voiture s’est arrêtée, le carreau s’est entrouvert, c’était un sexagénaire qui me dit :

– Combien tu prends ?

J’étais surprise, en colère je lui criai :

– Je suis pas une pute !

La voiture est repartie aussitôt. Je me rendis compte alors de ma tenue pour le moins suggestive ; mon décolleté était grand ouvert et ma jupe était remontée si bien que l’on voyais le haut de mes Dim-up.

Les voitures n’étaient pas nombreuses à passer et il me fallut attendre un quart d’heure avant qu’une autre voiture s’arrête. Je rajustai ma tenue et m’approchai du carreau entrouvert. C’était deux hommes habillés en chasseurs, le chauffeur dit :

– Combien tu prends pour une pipe ?

Son copain dit aussitôt :

– Mario t’es con elle est en panne, c’est pas une pute !
– Je suis en panne de gazole ».

Mario rigola :

– Alors tu nous sucerais pour un bidon de gazole ? Dommage on a pas de bidon
– Emmenez-moi à la première station
– D’accord mais tu nous suce avant ! Dit Mario sur un air sérieux.
– Surement pas, barrez-vous bande d’obsédés

La voiture repartit, les gars rigolaient.

Il devait être cinq heures passées et aucune autre voiture s’est arrêtée, en plus d’êtres rares, elles roulaient vite. Le froid commençait à tomber et je me mis un plaid sur le dos. Je me suis dit : »ma vieille le prochain tu le suces et t’en fait pas toute une histoire. » Une dizaine de minutes après un petit camion c’est arrêté plus loin, puis a reculé. Je suis montée sur le marchepied, la vitre était ouverte. L’homme à l’intérieur devait avoir à peine trente ans il avait les cheveux rasés, un piercing au nez et des boucles d’oreilles ; il ne me plaisait pas. Je lui dis :

– Monsieur je suis…
– Combien vous prenez madame ?

Il était poli, je n’aurais pas pensé à ça en voyant son look. Je me précipitais de répondre :

– Si tu m’emmène à la prochaine station-service, je te suce
– Et tu reviens à pieds ? Si je te ramène ici après je pourrais te baiser ?

J’avais un peu honte de ce que j’avais proposé, mais il me proposait ce que je n’avais pas envisagée. Je lui répondu par un signe de la tête, mes mots restaient au fond de ma gorge. Il me dit :

– C’est d’accord on fait l’aller et retour.

Je pris mon sac, fermait ma Clio et montais dans le camion. Il m’a fait la conversation, j’essayais de l’amadouer en lui racontant ma journée, mais il m’a dit qu’on avait un accord, alors je me suis résignée. On a bien fait quinze bornes avant de trouver une station. J’achetais un bidon, le remplis et pris des capotes. J’étais un peu honteuse devant la jeune caissière. Ça m’a couté vingt-cinq euros.

Je retournais au camion, il m’attendait et je savais que je n’y échapperais pas. La route du retour s’est faite en silence, le jour était tombé.

A peine avait-il arrêté le camion qu’il se rapprocha de moi :

– Commence par me montrer ta chatte !

– Ça y est j’y étais et sa politesse avait disparue ; je relevais ma jupe et descendis mon slip, puis j’écartais les cuisses.

– Eh bah putain t’es poilue, j’vais t’la bouffer ta chatte ».

J’ai appuyé mon dos à la portière les cuisses grandes ouvertes et il est allé directement à ma moule et me l’a léché goulument. Ce cochon me léchait bien cela faisait quelques semaines qu’on ne m’avait pas fait ça, c’était agréable ; puis il s’est occupé de mon clito et là je n’ai pas pu cacher le plaisir qu’il me donnait. Il est retourné à ma fente.

– Tu mouilles ça te plait ?
– Oui, continue !
– Crois pas que je vais pas te faire jouir salope, suce-moi la queue !

Il baissa son pantalon et sorti son attirail du caleçon. Il bandait, sa bite n’était pas énorme, il avait rasé tous ses poils. Je me suis penchée sur sa petite queue, le cul en l’air. Je lui mis la capote pendant qu’il me tripotait le cul. Il me dit :

– T’es pas douée, c’est vrai que t’es pas une pute, allez ça va bien tu vas pas y mettre les couilles, suce !

Je pris sa bite dans la bouche, je n’aime pas les capotes, rien de tel qu’une bonne bite directement avec le goût. Je le fis grossir un peu plus et je sentais que je pourrais le faire éjaculer rapidement. Il continuait à me toucher le cul et il entra un de ses doigts dans mon trou puis il entreprit de me mettre des doigts dans la chatte.

La position n’était pas confortable il me dit :

– Allez, donne-moi ta moule

Je m’allongeais sur le dos un pied sur le tableau de bord et l’autre sur l’appui-tête. Il s’avança et me pénétra. J’étais très mouillée et cela me plut en fin de compte. Il fit quelques allés et retour avant de se coucher sur moi. Il m’embrassa dans le cou, ses coups de boutoir n’étaient pas assez précis et réguliers pour me donner du plaisir ; il était plus endurant que je ne l’avais pensé. Il me regarda dans les yeux, posa la bouche sur la mienne. Il força sa langue dans ma bouche. Il sentait la clope, je n’aime pas ça, mais il forçait trop alors j’ai mis la langue ; ça lui a plus et rapidement il a joui :

– Ah, salope t’es bonne pour une vieille

Je n’ai rien répondu, j’ai ramassé mes fringues, pris mon sac, le bidon et le paquet de capotes.

J’étais frustrée, il m’avait chauffée mais je n’avais pas pris mon pied. Le camion est reparti alors que je remettais mon slip, il faisait frisquet ; alors que je prenais le bidon pour mettre le gazole dans mon réservoir, les phares d’une voiture garée cinquante mètres avant se sont allumés. Le moteur a démarré et le véhicule s’est approché. La vitre était ouverte, dedans il y avait un jeune homme d’une vingtaine d’années.

– Combien vous prenez madame ?

J’étais estomaquée, je faisais autant pute que ça ? En même temps il m’avait vu sortir du camion à poil !

Le gamin était mignon et j’avais encore envie alors après un temps d’hésitation j’ai dit :
Isaducul
– Trente je te suce et cinquante tu me baise.
– D’accord, on va où ?
– A l’arrière de ta voiture, elle est grande.

Il s’est garé devant ma Clio. Je me suis déshabillée dehors, dans son break je n’avais plus que mes Dim-Up et mes chaussures. Il a sorti un billet de cinquante euros, il n’avait gardé que son t-shirt. Je lui ai mis une capote c’était facile ce coup-ci, il était très dur. Sa bite était beaucoup plus grosse que celle de l’autre, je l’ai mise dans ma bouche et malgré le préservatif je me suis régalée. Le gamin m’a laissé faire, je l’ai sucé longtemps en me branlant mon clito puis je l’ai guidé jusqu’à ma chatte toute trempée. Il a mis un temps à prendre un rythme satisfaisant, il devait être puceau, même pas vingt ans ; je le regardais, il était beau, je n’avais jamais eu de petit copain aussi beau. Il me plaisait alors j’ai commencé à gémir, il m’a prise un long moment comme ça avant de changer de position et de me soulever les jambes.

S’il avait continué comme ça, j’aurais eu un orgasme mais la position ne lui convenait pas, il se cognait la tête dans le plafond. Alors il se coucha sur moi et me besogna à nouveau, il n’osait pas me regarder, j’ai soulevé ma tête et lui ai donné un baisé sur les lèvres. Puis j’ai mis la langue, il mit un moment avant de me donner la sienne, il ne savait pas embrasser. Mon plaisir montait et son baisé m’excitait, j’ai senti partir mon orgasme, j’ai retiré ma bouche pour pousser mon cri. Il m’a embrassée à nouveau avec la langue puis il s’est retiré. J’ai pris son sexe dans la bouche, le préservatif avait le goût de ma mouille. J’ai retiré la capote et l’ai sucé tout en le branlant. Quand j’ai senti monter sa jouissance je ne me suis pas retirée et son sperme a jailli au fond de la gorge. Ma bouche était remplie de sa semence généreuse et épaisse, il me regardait ; j’ai tout avalé. Il m’a dit merci, je lui ai dit merci aussi. Je suis redescendue de sa voiture, on s’est regardés quand il est parti. Après avoir remis du gazole je suis rentrée chez moi.

Je suis surprise, ça a été facile en fin de compte et en plus j’avais pris beaucoup de plaisir et cinquante balles. Je me suis branlée les jours suivants en pensant au jeune homme et à sa belle queue, je revivais la situation, mais je ne connaissais pas son prénom.

Il faudrait que je pense quand même à faire le plein avant de faire des longs trajets.
Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:30

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 9 – Les sept furies par Nicolas Solovionni
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Et pendant ce temps-là sur Vargala station…

Le docteur Nuru interpelle Gundula Miller.

– Je suis passé voir le patient de la chambre 12, il a quoi au juste ?
– Des hallucinations !
– Et vous le soignez à coup de Loubliom ?
– Ça le soulage !
– Si vous le dites ! Mais on ne va pas le garder cent sept ans. Arrêtez le traitement et s’il n’hallucine plus vous l’autorisez à partir.

Gundula ne voit pas bien comment désobéir à son patron… et sans Loubliom; Schmidt retrouva la raison.

– Qu’est-ce que je fous là ? Demanda-t-il
– Vous vous être tapé une infection qui vous faisait délirer…
– Et c’est fini ?
– On dirait !
– Je peux m’en aller alors ?
– Oui, mais après avoir passé à la caisse.
– Je peux récupérer mes affaires ?
– C’est dans le placard, voulez-vous que je vous aide ?
– Ça devrait aller, je n’ai pas grand-chose… Ah mon spacephone ? Il est où ?.
– Ça monsieur, je ne peux pas vous dire !
– Il a dû rester à l’hôtel…

A la caisse c’est l’embrouille….

– Mais comment voulez-vous que je vous règle ? Je ne sais pas où j’ai laissé mon spacephone…
– Laissez-moi un objet en gage…
– Quel objet ?
– Ce bracelet n’a pas l’air mal du tout !
– J’y tiens, c’est ma grand-mère qui me l’a offert.
– On vous le rendra quand vous aurez de quoi nous payer !
– Vous n’avez donc aucun scrupule !
– Non, monsieur, aucun !

Il se rendit donc à l’Hôtel du cygne.

– J’ai dû oublier mon portable dans ma chambre.
– On ne nous a rien signalé de tel, monsieur ! Répondit le préposé à l’accueil.
– Le Capitaine Béchima est-il toujours là ?
– Oh, non monsieur, il est parti…
– Il aurait pu m’attendre !
– Il n’a sans doute pas pu, monsieur !

Le fait de perdre son spacephone n’est pas catastrophique en soi, on peut en acheter un autre et un code secret permet de rapatrier les données. Mais pour acheter un spacephone, il faut des sous, et on règle soit avec… un spacephone, soit avec du fiduciaire… encore faut-il en avoir !

Ce n’est pas toujours simple la vie en ces temps futurs !

Il a l’idée de se renseigner à l’astroport (sans trop savoir pourquoi d’ailleurs) Et là il apprend que le Tamanoir a explosé et que Béchima, son capitaine a pris l’espace avec un autre vaisseau.

Autre idée, retrouver Sambariz, son homme de main, ici… Il ne risque pas de le retrouver, les lecteurs le savent bien… mais Schmidt ne le sait pas. Il écume les endroits où il pourrait se retrouver, mais finit par se faire remarquer. Il ignore bien sûr que la Mafia a lancé un avis de recherche le concernant.

Et c’est ainsi qu’après que deux mafieux bien costauds l’aient exfiltré d’un bistrot où il posait trop de questions, il se retrouve ligoté sur une chaise à la Madrague devant le bourgmestre et parrain de la mafia locale, Roger Montesinos et son inévitable âme damnée, Bret Quinto.

– Mais c’est une erreur ! Laissez-moi tranquille !
– On sait que tu as commandité trois meurtres…
– Mais pas du tout !
– Je vais te raconter un truc, ton tueur à gages, le dénommé Sambariz était là l’autre jour sur la même chaise, à chaque fois qu’il nous racontait un mensonge on lui coupait un doigt. On lui en a coupé combien, monsieur Quinto ?
– Oh, je ne me souviens plus !

Il devient blême, Schmidt !

– Alors reconnais-tu avoir commandité les meurtres de … (il sort un papier de sa poche) Zubin Riddick, Stal Salim et Xiao Wang.
– Je n’ai fait qu’obéir aux ordres !
– De qui ?
– De mon capitaine, Rutger Béchima !
– Et il est où en ce moment ?
– Il a quitté la planète ! Non, non qu’est-ce que vous faites ? Arrêtez !

L’un des mafieux lui coupe l’index de la main droite. Schmidt hurle et pisse le sang.

– Une compresse s’il vous plait ! Ton capitaine n’a pas pu quitter la planète puisque son vaisseau a explosé sans crier gare !
– Mais il a décollé avec un autre vaisseau ! Renseignez-vous à la capitainerie, vous verrez que je ne mens pas.

Et c’est exactement ce que fait Quinto…

– Il a raison ! Finit par dire ce dernier
– On n’a rien pour recoller ton doigt, faudra faire avec ! Et pourquoi avoir éliminé ces trois personnes ?
– Disons qu’on a accompli une mission pas très régulière et que si elle s’ébruitait on risquait gros. Ces trois personnes en savaient trop.
– Et on peut savoir ce qu’est cette mission pas très régulière?

Schmidt hésite puis se dit qu’il n’a plus rien à perdre.

– Il s’agissait de ravitailler une planète esclavagiste.
– Hum ! Conduisez-moi ce connard à la presqu’ile il va retrouver son tueur à gages, ça lui fera de la compagnie.

Eh non il ne risque pas de retrouver Sambariz dont le cadavre pourrit dans un ravin de la jungle, mais ça, la Mafia l’ignore.

N’étant pas un familier de Vargala, Schmidt ne sait rien de cette presqu’ile des exclus. Une barge l’a déposé en lisière de l’épaisse forêt et il est là tel une poule devant un couteau, désemparé et un doigt en moins.

Il se demande comment survivre en un tel endroit et faute d’autre idée, il pénètre sous les arbres. Mais plus il avance, plus l’exubérance de la végétation et l’impossibilité de s’orienter finissent de lui saper le moral. Il veut rebrousser chemin, mais n’y parvient pas se rendant compte qu’il s’est bel et bien perdu. Le constat est terrible : il est prisonnier de cette maudite forêt.

Il s’assoit sur une souche, en proie à un profond désespoir. Tous ses sens sont en éveil et il lui semble entendre un bruit de jaillissement.

– De l’eau ? Une source ? Au moins je ne mourrais pas de soif…

Il avance difficilement vers l’origine du bruit…

Une clairière, Une source. Une petite mare… Des femmes s’y baignent… quatre femmes… à poil !

– Oh ! T’es qui, toi ? Demande Zorah.
– Schmidt ! Je suis perdu.

Kali est sortie discrètement de l’eau et se saisissant de son arc tient l’homme en joue.

– Jette ton arme !
– Mais je n’ai pas d’armes.
– J’ai pas confiance, fous toi à poil !
– Mais…
– Dépêche-toi ou je te balance une flèche dans les cuisses.

Tel un zombi, Schmidt s’exécute.

– T’as pas d’armes, t’es un exclu alors ?
– Mais j’en sais rien, j’y connais rien, je ne suis pas de cette planète.
– Je suppose que tu as fait une connerie ?
– C’est une erreur judicaire…
– Mais oui, c’est ça. A vrai dire on s’en fout, on va t’indiquer le chemin pour rejoindre le camp principal, mais on ne veut plus te voir dans nos pattes, t’as compris ?
– C’est quoi le camp principal ?²
– C’est là où sont tous ceux qui ont été bannis de la cité. Allez rhabille-toi, on va t’indiquer la bonne direction.
– Vous n’avez rien à manger ?
– Et puis quoi encore ? Bon allez, on va te filer un truc, on est pas méchantes.
– Mais vous, vous êtes qui ?
– Peu importe.

Et Schmidt se dirigea vers le camp principal et plus personne n’entendit parler de lui.

Tout le monde a repris ses activités. Ozawa a eu de la chance et a trouvé un poste de navigateur sur un gros cargo de transport régulier.

Il me fallait maintenant que j’étais de retour sur Vargala tenir la promesse que j’avais faite aux filles de la forêt.

On a fait simple on s’est réparti les quatre filles restantes dans les établissements tenus par Dyane, Dilos et Nadget.

– Voilà, on va vous fournir des fringues et un peu de monnaie pour vous acheter des spacephones et pouvoir vous retourner. Vous allez devoir rester tranquille pendant disons deux semaines, le temps de voir si la mafia va réagir, ensuite vous ferez ce que vous voudrez.

Et le lendemain Shella vint me voir.

– J’ai discuté avec les filles, on voudrait te remercier pour ce que tu as fait pour nous et organiser une petite fête… On peut faire ça où ?
– Euh, c’est gentil… Chez moi, il y a de la place…
– Invite qui tu veux, plus on est de fous… On fait ça demain soir ?
– Pourquoi pas ?

Alors on fait le compte, elles sont sept, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Antinéa, Vidia mais aussi Minerva et Honney que l’on a pas encore croisé. Dans l’hypothèse (fort vraisemblable) où la fête tourne à l’orgie, comment voulez-vous que j’assure ? Je ne suis pas super biroute ! J’ai donc demandé à Nerren et à Dilos de se joindre à nous.

On fait les présentations. A l’exception de Sheila les filles ne connaissaient ni Nerren ni Dilos.

Ces charmantes demoiselles se sont cotisées pour m’acheter un petit cadeau souvenir, un ceinturon en cuir de boujnik avec leur sept prénoms gravés. Ça m’a touché !

J’ai acheté des petits fours (eh oui on sait faire ça aussi sur Vargala !) du watchibole et du Champagne, que l’on le débouche, on remplit les coupes, on trinque, on picole… (mais raisonnablement)

« Bon ! S’impatiente le lecteur, on est sur un site d’histoires érotique, non ? Alors l’érotisme c’est pour quand ? »

C’est pour maintenant…

– Cette fête, si on la faisait un peu coquine ? Suggère Sheila d’un air égrillard.
– Vous êtes d’accord, messieurs ? Ajoute Vidia qui s’approche de Dilos en se tortillant de façon très suggestive.
– Bien sûr qu’on est d’accord ! Répond ce dernier.

Encouragée, Vidia débraguette Dilos qui se laisse faire comme un nounours.

– Les filles j’ai trouvé une bite ! S’exclame-t-elle, rigolarde, en prenant soin de masturber la chose afin qu’elle bande bien comme il faut.
– Garde la pas pour toi toute seule ! Intervient Antinéa qui rejoint sa collègue afin de tripoter, elle aussi cette jolie biroute.
– Mais elles sont déchaînées ! Ne peut s’empêcher de faire remarquer à haute voix, Nerren.
– Encore plus que tu ne le crois ! Répondent en chœur Kali et Sheila qui s’approchent subrepticement de lui et faisant fi de ses fausses protestations, envoient son pantalon et son caleçon sur ses chevilles.

Le voilà cul nu et bite à l’air ! Et il est immédiatement entouré, sa bite dans la bouche pulpeuse de la belle Sheila, tandis que Kali lui prodigue une feuille de rose très humectée préalable à l’intromission d’un doigt dans son cul. Voilà qui tombe bien pour Nerren qui adore le plaisir anal.

Il y a quand même quelque chose qui cloche. Toutes ces joyeuses turpitudes se déroulent alors que les filles sont encore parées de leurs nouvelles fringues. C’est Zorah qui doit les remettre dans le « droit chemin »

– Mais enfin les filles, si on veut faire la fête ils faut le faire décontracté ! Voulez-vous vous mettre toutes à poil… et plus vite que ça… et je suis certaine que ça plaire à ces messieurs…

Zorah donne l’exemple en dévoilant son corps de belle mature, les autres filles répondent à la suggestion de leur ainée en faisant voltiger leurs fringues. Et bientôt c’est une véritable pluie de soutien-gorge et de petites culottes qui s’abat dans mon appartement. Quant à nous les mecs, on ne va pas rester habillés non plus, il n’y a pas de raison…

C’est vrai que c’est bien mieux comme ça. Tout le monde est maintenant à poil y compris Minerva et Honney qui semblent d’indécrottables lesbiennes et qui se bécotent en se caressant les nichons. Elles n’aiment peut-être pas les bites, ce sont des choses qui arrivent et c’est parfaitement leur droit !

Il ne reste donc que Zorah de disponible, on se rapprochent et on s’embrasse. Elle a toujours eu un faible pour moi et pour ma part j’adore lui lécher ses jolis nénés.

On se caresse, on se tripote, je lui lèche la chatte, elle me suce la bite… Puisqu’on vous dit que c’est la fête…

Dilos a fort à faire avec ses deux partenaires qui réclament tout deux d’être baisées. C’est donc ce qu’il fait alternativement. C’est qu’il est endurant Dilos ! Et pendant qu’il en baise une l’autre vient taquiner de sa bouche les seins de sa copine. C’est beau la solidarité féminine !

Stoffer609– Je veux que tu m’encules ! Me dit Zorah.

On ne saurait refuser de sodomiser une femme qui en fait la demande ! N’est-ce pas ?

Elle se retourne et m’exhibe son magnifique postérieur dont j’écarte les globes afin de redécouvrir son bel anus brun en forme d’étoile de mer. (en forçant un peu l’imagination tout de même !).

Bien évidemment je ne peux m’empêcher de lécher ce petit coin de paradis au petit goût si particulier. Je m’amuse ensuite à lui planter un doigt et à le faire gigotter.

– Le doigt c’est bien, mais j’aimerais bien ta bite ! Proteste-t-elle mollement.

Si on peut plus s’amuser… Mais bon si elle veut qu’on l’encule, on va l’enculer… J’avance mon gland à la hauteur de son trou du cul… Un coup de rein ! Et hop j’ai ma bite dans son fion et je la pilonne en cadence.

Pas très loin de nous, Sheila a fait coucher Nerren sur le sol et s’est empalée sur sa bite qu’elle chevauche telle une écuyère de cirque.

Du coup, Kali rendue libre vient narguer sa mère..

– Dis donc, maman tu n’en a pas marre de te faire enculer comme la dernière des salopes !
– Oh, non, c’est trop bon ! Viens me lécher mes bouts de seins pendant qu’il me défonce. le cul
– Mais bien sûr, ma maman chérie.

Et pendant que Zorah hurlait de plaisir, j’ai joui dans son fion et c’est sa propre fille qui a eu le privilège de me nettoyer la bite. Pas vache la maman s’occupa ensuite de la petite chatte de sa fille pour lui rendre le plaisir auquel elle avait droit !

Nerren n’a pas pu résister longtemps à la chevauchée fantastique de Sheila et à joui à son tour, laissant sa partenaire à moitié groggy.

Quant à Dilos, après avoir fait jouir ses deux donzelles, il éclata à son tour avant de s’avachir dans un de mes fauteuils en soufflant comme un bœuf.

Tour le monde a donc joui y compris les deux goudous qui sont tellement collées l’une contre l’autre que l’on dirait des sœurs siamoises.

Fin de la partouze ? Je n’ai pas l’impression, on va dire alors fin de la première mi-temps, on récupère tant bien que mal en buvant des coupes, en blaguant et en se caressant en mode soft.

Un bon quart d’heure plus tard, la forme semblait revenir et je décidais de faire un peu de provocation en m’approchant des deux goudous.

– Alors, les filles, tout va bien ?
– Mais bien sûr capitaine, on aime bien faire la fête !
– Oui, mais vous restez à l’écart !
– On ne reste pas à l’écart on profite du champagne, du watchibole et des petits gâteaux !
– Allons ,allons, vous voyez très bien ce que je veux dire !
– Certes ! Mais on ne voudrais pas vous choquer, vous avez été si gentil avec nous.
– Je ne comprends pas…
– Mais si ! C’était notre métier de sucer des bites et ça va probablement le redevenir… On n’a rien contre mais dans le privé, je préfère la chatte de ma copine ! M’explique Minerva.
– Mais, intervient Honney, si vous souhaitez qu’on fasse des choses avec vous, ce ne sera pas une corvée, mais ça nous embêterait que ce soit une obligation.
– Personne ne vous oblige à quoi que ce soit !
– Dans ce cas on peut faire un effort, qu’en penses-tu Minerva ?
– Allons-y !

Et l’instant suivant, Honney avait ma bite dans sa bouche, tandis que Minerva me gobait les couilles.

De son côté Dilos était sollicité par trois femmes, Zorah et sa fille Kali ainsi que Sheila.. Comment va-t-il s’en sortir avec ses trois diablesses ?

C’est tout d’abord très soft, caresses, baisers, puis la chose s’enhardit, mains sur la bite et sur les fesses. Dilos n’est pas véritablement amateur de choses anales mais il est assez gentlemen pour ne pas refuser ce que veulent lui offrir ces demoiselles, Le voilà donc avec un doigt dans le cul, tandis qu’une bouche s’est emparée de sa bite et qu’une main fort coquine vient lui presser les tétons afin de maintenir son excitation à un bon niveau.

Mais pour la suite, on fait comment ? Apparemment elles ont toutes trois envie de se faire baiser

– Prends-moi ! lui dit Kali

Puisque c’est la première à demander…

Il la couche sur le bord de la table, les jambes pendantes et la pénètre vaillamment. Tandis que pour faire bonne figure, sa mère d’un côté, Sheila de l’autre, lui lèchent les seins.

– Vidia et Antinéa ont accaparé Nerren et comme il leur a fait comprendre qu’il n’était pas avare de doigts dans le cul, elles s’en donnent à cœur joie en rigolant comme des bossues. L’une le doigte, l’autre le suce et on alterne…

Bref, c’est l’orgie et je ne voudrais pas que le récit devienne ni trop confus (il l’est déjà pas mal avec tout ce monde) ni répétitif. Donc on abrège un peu… Et vous allez vous dire que c’est fini ! Ben non parce qu’après les rafraichissements, le champagne, le watchibole et les petits fours, il y a encore du temps pour une troisième mi-temps !

Parce que si on est un peu exténué, du moins je parle pour les hommes, nous n’avons pas envie de nous séparer, pas encore…

Alors pendant ce second entracte ponctuée de plaisanteries diverses, et de gentils câlins tout en faisant honneur au buffet et à ses boissons, j’aperçois Sheila et Zorah se marrer comme des clés à molette qui descendent des escaliers après s’être chuchotées des trucs inaudibles

Et voici Zorah qui m’attrape par la main, me fait lever de mon siège et m’entraine dans une folle farandole à laquelle tout le monde participe.

Ça devient n’importe quoi, on fait plusieurs fois le tour de la pièce en chantant des trucs graveleux datant de mes années étudiantes

Et voilà que Sheila qui était en tête de farandole stoppe sa marche en criant :

– Un gage pour le capitaine ! Un gage pour le capitaine !

Un gage ? Mais pourquoi un gag ? Quelque chose m’aurait échappé ?

– Au milieu pour le gage ! Me dit Zorah !

Je n’y comprends rien mais comme vous le savez, je suis très joueur, c’est mon côté gamin, donc je m’exécute.

– Le gage, m’annonce Sheila, c’est que tu dois sucer la bite de Nerren.
– Et si tu le fais correctement, Nerren aura le droit de t’enculer ! Ajoute Zorah.

Si elles s’imaginent que ça va être une corvée… Mais je crois comprendre. Sheila m’a regardé accomplir ce genre de choses lors des deux dernières partouzes… et elle veut que ses copines profitent elles aussi du spectacle ! Soit !

Nerren hésite (à mon avis il fait semblant d’hésiter) puis me rejoint au milieu du petit cercle formée par ces demoiselles et se plante devant moi, la bite demi-molle.

Il va donc falloir en préambule remédier à cet état de fait..

Quelques mouvements de branle, tandis que mon index gauche vient lui ramoner le trou de balle ont tôt fait de remettre sa biroute en situation optimale.

Y’a plus qu’à sucer ! Comme disait une ancienne star du porno.

Et c’est ce que je fais; j’adore faire ça ! D’autant que sa bite est douce et bonne, je le lèche, je fais des va-et-vient intempestifs, je donne des petits coups de langues sur les couilles, Bref toutes les figures de circonstances.

Ces dames y vont de leur réflexions salaces :

– Qu’est-ce qu’il suce bien, ce cochon !
– Pas tant que ça, il ne la met pas entière dans sa bouche !

Ben non, je suis désolé mais je n’ai pas pris des cours d’avaleur de sabre !

– Tends ton cul, maintenant, il va te prendre ! Me dit l’une des filles.

Déjà ! Moi j’aurais bien sucer encore un peu ! Mais comme j’ai l’impression que je ne suis plus maître du jeu…

Je me met en levrette et attend l’assaut.

Nerren fait durer le plaisir et commence par m’honorer d’une savante feuille rose qui me fait frétiller l’anus.

Puis je sens le gland qui quémande le passage, je l’aide en m’efforçant de m’ouvrir au maximum. Ça passe qu’un seul coup d’un seul et les allers et venues commencent, me procurant des sensations inouïes.

Le chœur des filles se met alors à entonner une antienne antique.

– Il est des nôtres, il se fait enculer comme les autres.

C’est malin !

Ça dure un moment, forcément mon enculeur a déjà joui deux fois… mais qu’importe, en la matière la durée n’est pas un inconvénient… au contraire. Et moi je me sens bien.

Nerren finit par jouir, ce n’est pas la super jouissance, mais bon, il a fait ce qu’il pouvait.

Sa bite ressort gluante de sperme et tachée de traces de matière fécale, c’est Sheila qui vient lui nettoyer tout ça en se léchant les babines.

Moi, je me redresse avec le cul légèrement douloureux.

– Bon les filles, maintenant je pourrais peut-être savoir pourquoi j’ai eu un gage ?
– Parce que c’était mon bon vouloir ! Me répond doctement Zorah.

Evidement vu comme ça…

On se rassoit, on finit ce qu’il y a boire et à manger.

Nerren proteste de plus pouvoir se resservir du champagne.

– Elle est où ta réserve ! Me demande-t-il
– Pas la peine je vais t’offrir le mien de Champagne, propose alors Vidia qui joignant le geste à la parole, attrape une coupe vide et pisse allégrement dedans.

Il a tout bu, le coquin…

Puis je prends la parole, j’ai décidé de faire ma B.A.

– Les filles, j’ai une idée, il y a un petit bistrot qui est en vente. Je peux vous prêter de l’argent pour l’acheter, l’avocate s’occupera de la paperasse.

Elle viennent toutes me faire la bise, c’en est émouvant.

– Et comment on va l’appeler ce bistrot ? Demande Kali.
– Pourquoi pas la Farandole ? Lui répond Sheila.

Maître Maude Hansson est passée me faire une petite visite.

– Bonjour, tu m’offres un café ?
– Avec plaisir !
– J’ai rencontré la cheffe de la police, je lui ai fait part de mes intentions, elle a trouvé que c’était une bonne idée mais elle m’a conseillé d’étendre mon activité, la demande en assistanat juridique lui semblant faible ici. Je ne sais pas trop quoi faire ! T’as une idée toi ?
– J’aimerais que tu t’occupes de la paperasse pour le bistrot des filles (je lui explique…). C’est moi qui te rétribuerai.
– D’accord ,et pour la suite ?
– Là tout de suite j’ai pas trop d’idées, mais faudrait que je réfléchisse…
– Et si je te mets la main là, ça va t’aider à réfléchir.
– Mais veux-tu laisser ma bite tranquille !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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