Dimanche 23 février 2025 7 23 /02 /Fév /2025 10:14

La fille de la Lune
par Frédérique Wagner

 

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O ma petite brune, que ta pâleur m’émeut,
Je sens sous mes deux mains frémir ta poitrine
Comme deux petits pigeons qui frémissent et s’ébrouent
Sous ma caresse douce. Leurs pointes sont très brunes
Et appellent ma bouche qui viendra vite y boire
Ton désir innocent. Et quand je me recule
Pour mieux voir ton corps et sa couleur de lune
Dont seule une touffe noire dissimule le sexe
Je sens venir de loin dans mon ventre stérile
Une chaleur ardente qui monte et s’épanouit.
Ma langue libertine se glisse et se faufile
Entre les deux rondeurs de ton cul voluptueux
Pour se glisser, coquine, dans ton œillet marron.
Ah ! Que j’aime t’enculer tant en te dégustant
Car ton goût un peu âcre ne me rebute point
Il m’excite au contraire et ma cyprine sourd
De mes cuisses disjointes où ta main me caresse.
Oui ma petite amante, oui ma divine gouine
Je t’aime et je te baise et quand j’atteins enfin
Ton petit con soyeux, o ma divine amie
C’est l’amour que je bois et c’est toi qui me prends.
Nos têtes entre nos cuisses s’agitent en cadence
Et le doux clapotis de nos langues enfiévrées
Qui s’activent, inlassables, entre nos lèvres ouvertes,
Résonne comme un ruisseau dont la source est exquise.
Tes doigts sont dans mon cul et font un va-et-vient
Et élargissent le trou où ton godemiché
Viendra bientôt entrer. Tu me chevaucheras,
Moderne walkyrie, et tu seras mon homme.
Et je serai hurlante de désir assouvi
Quand mes orgasmes fous auront tous éclatés.
Et puis, penchée sur moi, tu me regarderas
Jouir et jouir encore jusqu’à l’épuisement.
Et puis nous dormirons, allongées, tête-bêche,
Mon visage et le tien sur nos ventres apaisés.
Ma bouche cependant restera entr’ouverte
Pour revenir encore sur ton con délicieux
Pour boire la liqueur d’or que tu me donneras
Et qui m’inondera de sa brûlante ondée.
Et c’est encore ma langue qui ira nettoyer
Ton petit trou merdeux quand tu soulageras
Tes entrailles chargées. Tu en feras de même
Et nous rirons ensemble de nos fausses audaces,
Et finirons toutes deux dans un bain voluptueux
Que nous prendrons ensuite, et étant face à face
Dans la baignoire blanche, ton pied entre mes cuisses
Et tes mains sur mes seins, me donneront encore
Tout le plaisir du monde que seule toi me donne.

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A mon amour…

Frédérique Wagner – 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Lundi 10 février 2025 1 10 /02 /Fév /2025 20:09

Saint Guignolet par Honoré Letellier
stamp saint

En la chapelle des douces voluptés
Loin des regards de la maréchaussée
Saint Guignolet donne l’eucharistie
Sans le moindre habit, et avec son vit
En satisfaisant la Sœur Sainte Ursule
Qui dévotement prie pour qu’il l’encule

StGuignolet

Honoré Letellier dit Telius (1733-1793)
Cet horloger et astrologue fut un précurseur puisque 237 ans avant l’affaire du calendrier maya, il associait déjà l’alignement des planètes à la fin du monde. Réalisant ses démonstrations à l’aide d’un automate truqué, il tenait baraque sur le Pont Neuf à Paris et vendait fort chers des réservations d’abris qu’il était impossible de visiter puisque prétendument situés dans le domaine royal de Satory. Il fut aussi chansonnier et auteur de quelques poésies grivoises.

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Mercredi 15 janvier 2025 3 15 /01 /Jan /2025 11:08

Les deux nonnes et l’ânon par Jacques Hiers
cheval stamp

Elles se déshabillèrent.
Elles étaient enfin
Libres et complices
Et s’étreignirent.
Luana, l’italienne
Glissa sa cuisse
Entre celles d’Elisabeth
Et elles s’envulvèrent
Frénétiquement.
Il faisait encor jour.
Leurs frétillements
Et leurs odeurs
Sans doute émoustillèrent
Les sens de l’ânon
Qui se mit à bander ; La belle dimension
Du beau sexe exposé
Fit que les yeux d’Elisabeth
Soudain s’écarquillèrent
Et elles n’eurent là de cesse
De se vouloir saisir
Du gros et long bourdon…
Haletantes, toutes excitées
Les deux Nonnes empoignèrent
Le beau brandon de chair
Et se mirent à le masturber,
Lui donnant de la langue,
Le frottant sur leurs seins
Et pulpant ce prépuce
Paraissant surhumain !
Et là, toutes deux nues,
Frottèrent ici leurs fentes
Et même leur anus
En gloussant de plaisir,
Deux furies en moiteurs…
Elles murmuraient des mots
Entrecoupés de plaintes,
L’ânon bandait plus fort
Se cabrant joliment
Sous bouches, fesses et cons ;
Elles le branlaient toujours,
Appliquées, haletantes,
Quelle belle foutrerie
Pour ces deux Officiantes
Aux poses excitantes
Qui cajolaient ce vit !anon

Et puis, nos deux Amantes
Se firent soudain plus chiennes,
Luana ici fit mettre
Sur un banc Elisabeth
Allongée sur le dos,
Impatiente, celle-ci
S’empara là du vit
Et cuisses bien ouvertes
Se frotta le pubis
De façon bien experte,
Elle eut un petit cri
De femme énamourée,
Frotta son clitoris,
Se prit à écarter
Ses lèvres bien rosies
Pour y venir glisser
Dans la fente épanouie,
Ce long braquemardin
La venant exciter…
Le membrin glissa bien,
Le sexe dilaté
Avala le prépuce
Qui surdimensionné
Fit gémir notre Nonne
Qui paraissait aux Anges…
Ainsi donc, les échanges
Furent rondement menés
Et la douce branlée
D’une pénétration
Bien ici assortie
Firent que bientôt l’ânon
Voulut se mettre à braire
Dans son excitation…
Mais Luana le fit taire
Frottant ses boursaillons,
Les palpant, les pinçant
De façon singulière,
Ce qui pressa l’ânon
Tout au fond de la chair
De Nonne Elisabeth
Disant tout bas des mots
Qui n’étaient point prières,
Mais belles injonctions
A se vouloir faire mettre
Même encor plus profond !
Luana se caressait,
Contemplant son Amie
En belle position
Et bientôt, elle jouit
Sans moindre retenue,
Se grattant bien le cul
A la paille d’une botte,
Elle masturbait sa motte,
Et jeta des mots crus,
Puis en spasmes partit,
Un doigt au fond du cul,
S’agitant bien des fesses,
On ne l’eût reconnue,
Tant la belle Diablesse
Ne se contenait plus,
Toute folle en ivresses !
L’ânon, bien enfourné
Forniquait tant et plus
Dans le con éclaté
D’Elisabeth aux nues,
Ne semblant pouvoir s’arrêter…
La Nonne fort soufflait,
Les seins tout tressautants
Et ses beaux yeux cernés
S’ouvraient sur le néant
Du toit de l’écurie ;
En cris, elle partit,
Quand subitement l’ânon
Vida là en son con
Une lave en furie
La chauffant tout au fond…
Alors, elle retomba
Et comme anéantie,
Un long moment garda
En elle la saillie,
Jusqu’à ce que la bite
Lisse, belle et humide
Se retira d’icelle
Finissant de vider
Au sol son trop-plein
De semence bien épaisse…
Plus tard, ce fut en fesses
Qu’Elisabeth reçut
Au cœur de son beau cul
Cet immense vitin,
Mais cela, mes Amis
Fera l’objet ici
D’un autre parchemin…

A votre bon plaisir,
Si vous le voulez bien…

Jacques Hiers

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Poèmes divers
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Samedi 14 décembre 2024 6 14 /12 /Déc /2024 07:51

Une soirée à gages par Emeline
(Rewrité par Marie-France Vivier)

zyzybande

J’ai joué hier soir avec une amie et deux de ses copains à un jeu qui n’était pas du tout prévu au programme initial de notre soirée… L’idée en est venue quasi spontanément après que nous ayons pas mal trinqué ensemble ! Je ne sais pas exactement pourquoi, mais l’idée d’un « jeu érotique » a recueilli l’enthousiasme général, question d’atmosphère, bien sûr, ou parce que nous avions tous assez envie de mieux nous connaître… D’emblée, il fut décidé que le (ou la) première entièrement dénudée aurait pour gage ultime d’écrire en détail son expérience… M’y voici donc ! D’abord, je me présente : Emeline, 35 ans, divorcée. aucune expérience antérieure de l’exhibition ni de la soumission, mais assez attirée par le jeu et l’insolite… j’ai été abondamment servie, de ce côté-là, hier soir, comme vous allez le lire…

D’un commun accord, nous nous sommes tous attribués chacun un chiffre entre 1 et 6. jetant le dé chacun notre tour, celui ou celle qui tirait son numéro devenait la « victime ». il fallait alors relancer le dé qui devait décider du « bourreau » (désigné par le numéro tiré) ou de la relaxe, si aucun des trois autres n’était tiré, si le bourreau était désigné, la victime s’en remettait alors à ses exigences pour 10 minutes, violence exclue, et yeux bandés par un foulard. (si vous trouvez que les règles sont mal expliquées, cela n’a aucune conséquence pour la suite, rassurez-vous !)

D’entrée, j’ai tire mon numéro (le 3). ça commençait mal pour moi, d’autant qu’en rejouant, Laurent s’est vu aussitôt offrir mon obéissance pour 10 minutes. je n’en menais franchement pas large en enfilant le bandeau… Il m’a fait agenouiller entre ses jambes. J’étais en jupe (sage, aux genoux), et en sweat, avec des dessous très classiques; rien de sexy ni de provocant à priori ! Il m’a demandé de retirer les bras des manches de mon sweat, et de retourner les bonnets de mon soutien-gorge sous mon sweat, de façon à en faire ressortir mes seins. Ça m’a a fait tout drôle de me toucher la poitrine comme ça, sous mon sweat, les yeux fermés ! Mais ils ne pouvaient encore rien voir… sauf que Laurent m’a ensuite demandé de poser mes mains au-dessus de ma tête… vous imaginez ma honte ! En levant mes bras, j’ai moi-même relevé complètement le devant de mon sweat et exhibé mes seins présentés de façon ostentatoire par mon soutien-gorge réduit au rôle de petits balconnets. Il m’a alors caressé les pointes, et les a pincé doucement jusqu’à ce qu’ils deviennent tout durs. Je tremblais, j’avais la chair de poule et je les ai senti durcir très vite, alors que je rougissais, le souffle presque coupé. je me sentais complètement exhibée et docile, et ça me troublait énormément… Au bout de 5 minutes, il m’a fait remettre mes bras sous mon sweat et demandé de les retirer des bretelles de mon soutien-gorge avant de les remettre à nouveau à la verticale. Cette fois-ci, je ne sentais même plus le support des « balconnets », ceux-ci s’étant laissé glisser sur mon ventre, ma poitrine était entièrement offerte ! Il me l’a alors définitivement dégrafé lui-même avant de les caresser vigoureusement. je croyais manquer d’air en pensant aux autres qui regardaient ce spectacle de mon offrande silencieuse. Finalement, il m’a fait retirer mon sweat complètement avant de me retirer le bandeau pour reprendre la partie..

J’étais donc la seule à être partiellement déshabillée, les yeux rougis et le fard aux joues. L’ambiance était électrique ! Je passe sur les nombreux tours pendant lesquels aucun n’a tiré son propre numéro ou alors sans designer de « bourreau »… J’ai encore été la « victime » suivante, livrée aux caprices de Simon, cette fois-ci… il m’a fait agenouiller à côté de lui, qui était assis sur une chaise. il m’a demandé de me pencher jusqu’à ce que mon ventre repose en travers de ses genoux. J’étais ainsi livrée comme une gamine qui va recevoir la fessée, avec le « raffinement » supplémentaire de Simon qui me palpait librement la poitrine tout en me donnant ses ordres :

– Relève complètement ta jupe sur ton dos !

J’étais un peu effrayée, là ! Mais je l’ai fait…

– Fais lentement rouler ta culotte sur elle-même jusqu’à tes cuisses !

C’était fou, parce que j’entendais les autres se rapprocher pour mieux m’inspecter. Simon m’a alors caressé les fesses pendant toute la durée de mon gage, laissant parfois un de ses doigts se glisser entre mes fesses, jusqu’à l’entrée de mon anus, et deux fois même vers mes lèvres. Ce salaud a alors lâché à la cantonade :

– Mais ça lui fait de l’effet, de perdre, à Emeline ! Regardez comme elle mouille ! Ça promet pour la suite !

J’en étais rouge de honte !

Après le gage que m’avait fait subir Simon, j’étais donc, de plus en plus rouge, dépoitraillée complètement avec, de surcroît, ma culotte roulée sur elle-même sous mes fesses, heureusement cachée sous ma jupe. car il avait été précisé qu’aucun déplacement de vêtement subi lors d’un gage ne pouvait être modifie par la suite ! Seule, ma jupe était retombée naturellement sur mes jambes en me relevant. J’étais cependant très émue de sentir ce bourrelet de tissu sous le gras de mes cuisses en me rasseyant, au lieu du contact rassurant de ma culotte sur la surface de mes fesses ! Après ce gage, Laurent a été la victime expiatoire de Simon pendant dix minutes, à devoir se masturber doucement devant nous. spectacle intéressant, en vérité, car Simon n’a pu résister dix minutes à ses pulsions érectiles. Cela aussi m’a troublée je l’avoue, ce fut ensuite au tour de Nadège d’être la victime de Simon… N’ayant pas été touché lui-même précédemment par les autres joueurs, il rassura aussitôt Nadège en lui disant que personne ne la toucherait. une fois ses yeux bandés, il lui demanda simplement de dégrafer son soutien-gorge sous le large tee-shirt qu’elle portait ce soir-là. Elle obtempéra sans aucune difficulté ! En revanche, elle hésita et rougit énormément avant de réaliser la seconde requête :

– Rentre bien nettement ta culotte dans ta raie et dans ta fente !

Obligée par notre stupide règlement, elle s’y résolut finalement, mais en le faisant de façon « relativement » pudique, sa jupe toujours baissée .elle se rassit alors en demandant d’un air mi-rassuré, mi-inquiet à Simon :

– Et maintenant ?

Et lui, bref et goguenard de répliquer sèchement :

– Le poirier au milieu du tapis pendant 8 minutes, ma belle !

Imaginez alors Nadège, avec ses dessous à présent inutiles devoir redresser ses jambes à la verticale, entièrement dégager sa jupe ainsi de l’exhibition de sa culotte réduite à l’état de string impudique, et dégager en même temps son tee-shirt de la vision de sa poitrine dénudée par la chute sur ses yeux de son soutien- gorge ! Après deux minutes d’un silence glacial, Simon insista lourdement :

– Jambes à l’équerre !

L’exhibition de son sexe et de ses fesses était alors à son paroxysme, et elle dut le supporter pendant 5 redoutables minutes après lesquelles elle se releva enfin, cramoisie et suffocante…

– On continue ? demanda Laurent.
– Comme prévu ! répliqua Simon.

La victime suivante fut encore moi… et c’est Nadège, fausse-amie qui s’amusa à me martyriser devant les deux voyeurs attentifs ! Elle me demanda simplement de m’allonger à mon tour sur le tapis (je n’avais plus sur moi que ma jupe, mon slip roulé au ras des fesses, et mes sandales !) et de retirer ma culotte sans user de mes mains, en ne me servant que du frottement offert par le tapis. il m’a donc fallu tout d’abord faire glisser totalement ma jupe pour que mon slip puisse adhérer au tapis, et commencer une série de contorsions obscènes qui m’ont paru interminables, avant de me débarrasser enfin de mon gage… et de me sentir encore plus nue que nue… Brave fille malgré tout, Nadège considéra alors que mon gage était terminé, bien qu’il n’ait duré que 5 minutes ! Mais la partie n’était pas terminée.

Je restais donc vêtue de mes seules sandales et de ma jupe… Pour le reste, mes seins s’affichaient de façon arrogante aux yeux de mes partenaires qui en outre, avaient pu juste auparavant bien profiter de mes trémoussements visant à me débarrasser de ma culotte. Heureusement, ma jupe était retombée sur mes genoux. je n’en menais pas large cependant, étant la plus déshabillée de nous quatre, et devant un sort contraire d’être plus souvent victime que bourreau dans ce jeu idiot que nous venions d’inventer et que nous étions en train de vivre a 100 a l’heure jusqu’à… ?

Dieu soit louée, ma bonne étoile s’est remise à briller l’espace du gage suivant, quand Laurent, victime auto-désignée, m’a choisie malgré lui comme ordonnatrice de mes caprices sur sa personne. une joyeuse occasion de me venger de mes tourmenteurs… N’hésitant pas, j’ai exigé qu’il se déshabille sur le champ, après avoir bandé ses yeux, et qu’il ne garde que son slip pour toute parure. Laurent étant assez mignon, le spectacle n’était pas désagréable du tout, d’autant que j’en étais la scénariste ! Une fois ainsi mis de sa personne, je lui ai demandé de me prendre dans ses bras et de m’allonger sur le tapis, lui pesant de tout son corps nu sur mon buste, nu également. J’adore la chaleur d’un tel contact. je lui ai alors intimé l’ordre de se trémousser sur moi, de façon à caresser mon corps de toute la douceur de sa peau. passive et alanguie, j’ai pris un immense plaisir à me faire caresser ainsi, sur commande. Laurent n’a pas été non plus indiffèrent non plus, puisque son slip était ridiculement tendu (et même légèrement humidifié) lorsqu’il fut libéré à l’issue de son gage. Rouge à son tour, il paraissait très gêné en se débâillonnant. La pauvre Nadège dut ensuite retirer son tee-shirt, à la demande de Simon, ainsi que sa jupe.(je rappelle aux lecteurs que son soutien-gorge avait été déjà dégrafé précédemment, et que sa culotte était réduite au filet d’un string après avoir été roulée entre ses fesses. pour savourer davantage le spectacle). Il la fit alors marcher à quatre pattes autour de nous dans cette tenue, les yeux bandés. A chaque fois que Nadège se cognait, Simon la remettait sur sa trajectoire en la guidant par la seule pression de ses mains sur ses seins, celles-ci étant alors glissées (et agrippées) sous le pauvre tissu qui ne lui servait même plus de soutien-gorge !

EmelinePuis ce fut à nouveau mon tour. et Nadège de se venger de cette dernière humiliation dans laquelle je n’avais été pour rien ! Elle exigea aussitôt que je retire ma jupe. c’en fut fait, donc, de mon dernier rempart, mes seules sandales ne protégeant guère ma pudeur ! Je dus en outre m’allonger sur la table rectangulaire du salon, recouverte d’une couverture, (merci Nadège ! ) et agripper mes mains à deux des pieds de table. les yeux bandés, évidemment, comme pour tous les gages, très difficile d’imaginer ce qui vous attend alors. Mon cœur battait la chamade pour toutes sortes de raison. Nadège avait dû distribuer aux deux autres quelques-unes des plumes de paon qui ornaient un vase du salon, car je fus alors parcourue de frissons sur tout mon corps, sous l’effet d’un nombre incroyable de caresses légères et simultanées. c’était terriblement excitant. mes seins, mon cou, mes pieds, mes cuisses, mon ventre, étaient l’objet de mille frôlements… Nadège, perverse en diable, et sans doute un peu excitée par le spectacle, m’a demandé, sous le feu de mes mouvements incontrôlés de plier mes genoux, ramener mes pieds à plat sur la table, puis d’écarter mes jambes au maximum… Je me suis senti la dernière des salopes à accepter de prendre cette position quasi-gynécologique, les yeux fermés, devant des mecs qui ne m’avaient jamais vu nue une heure auparavant. De surcroît, mon excitation était telle que j’étais morte de honte en pensant que je devais leur présenter un coquillage béant et sûrement dégoulinant de miel ! Toutes les plumes de paon ont alors convergé sur mon sexe, le frôlant, glissant entre mes lèvres, appuyant sur mon clitoris hypertendu. Mes cuisses me faisaient mal à être autant écartées, et je sentais la jouissance commencer à venir…

Après cela, ce fut Simon qui dut subir les caprices de Laurent. intégralement nu, il lui fit évidemment se bander les yeux avant de le faire allonger à son tour sur le tapis.

– Ouvre la bouche, tu vas me sucer la bite !

Je n’en croyais pas mes yeux car c’est sans aucune réticence que Simon se mit à effectuer une fellation en règle sur le sexe tendu de son camarade de jeu. Profitant d’une pause dans cette action, Nadège n’hésita pas à lui caresser délibérément le gland qui dominait telle une vigie le sommet de son sexe érigé. elle y mit tant de cœur à l’ouvrage que Simon fut persuadé que seul Laurent pouvait lui prodiguer une telle caresse ! Et ce qui devait arriver arriva… il s’aspergea abondamment le ventre sous nos regards hilares mais excités par le spectacle ! Je passe sur ses tentatives d’arrêter son gage qui lui furent naturellement refusées. Evidemment, Simon fut ensuite moins chaud pour continuer la partie, n’acceptant de continuer que pour la durée d’un seul gage. et cet ultime gage me fut réservée par le sort contraire et acharné de mon lancer de dés ! Simon fut aussi désigné pour se transformer de victime en bourreau…

* Ah s’exclama-t-il… On m’a fait jouir en public ! Eh bien, Emeline, ça va être à ton tour, à présent !

J’étais à la fois extrêmement angoissée, mais aussi terriblement excitée par tout ce que nous venions de vivre, et quitte à monter au paroxysme de l’exhibitionnisme et de la honte en jouissant devant des spectateurs, j’étais aussi soulagée de penser qu’enfin ce plaisir qui ne demandait qu’à monter de mon ventre allait bientôt pouvoir s’exprimer…

– Je dois aussi m’allonger sur le tapis, je présume ? Dis-je en me nouant le bandeau sur les yeux.
– Mais non, ce serait bien trop facile ! Répliqua ce salaud de Simon ! Tu peux d’ailleurs retirer ce bandeau, tu n’en auras pas besoin !

Simon m’enjamba, sa bite à présent demi-molle était à quelques centimètres de mon visage…

– Ouvre la bouche, je vais te pisser dedans !
– Non, non ! Protestais-je.
– Et pourquoi « non » ? Tu voulais de l’humiliation, tu vas être servie ! Et cesse de geindre c’est une fantaisie très apprécié.

Je me résignais donc à accepter cette offrande insolite, je savais que ce genre de chose se pratiquait mais ne l’avait pour ma part jamais expérimenté. J’avalais les première gouttes trouvant le breuvage « particulier », mais en aucune façon repoussant. Je ne pouvais tout avaler et de l’urine coulait sur mes joues, mon cou, mes seins. Je me sentais humiliée mais proche de l’extase. Quand Simon eut terminé sa miction, j’allais pour me relever, mais Il m’ordonna de conserver ma position. Et c’est cette salope de Nadège qui prenant la place de Simon vint à son tour déverser sa pisse dans ma bouche. Le goût en était légèrement diffèrent, plus subtil.

– Et maintenant lèche, nettoie-moi la chatte !

Rien ne m’aura été épargné et j’acceptais de me livrer à cet acte saphique avec résignation, je devrais dire dans le plaisir de la résignation). Je me pris au jeu et ma langue caressant le clitoris érigé de Nadège, je la fis jouir dans un geyser de mouille.

Je me relevais, pantelante et c’est là que j’aperçu Laurent en train d’enculer Simon. Acte sans doute gratuit car à ce stade aucun gage n’avait été décidé.

Le jeu semblait terminé, je m’assis sur une chaise en regardant les garçons s’enfiler et entrepris de me soulager de la main. Bonne fille, Nadège vint entre mes cuisses m’aider à faire venir mon plaisir.

Et voilà, je viens de rédiger tout ça, je suis nue et seule dans ma chambre, j’ai un gode dans le tiroir de mon chevet, il va m’aider à conclure cette séance d’écriture.

Fin

Rewriting d’un texte truffé de fautes diverses et trouvable sur Internet (il s’agissait probablement d’un texte en langue étrangère traduit par un robot)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:19

Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.
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– Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ! Précisais-je à ma copine Anna. J’ai donné rendez-vous à Gigi et aux nanas de Remiremont chez toi à 20 heures…
– Rendez-vous pourquoi ? Pour faire la fête ?
– On va au restau d’abord…
– Et moi pendant ce temps-là ?
– Ben tu viens avec nous.

Le soir tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). On fait les présentations, le courant passe tout de suite entre Gigi et Anna, ce n’est même pas du courant c’est du coup de foudre à ce point que les deux nanas s’embrassent sur la bouche comme de vrais cochonnes. Karine et Tanya ont fait venir Remiremont, leur boss (il n’y a pas de raison, plus on est de fous, plus on rigole). Cinq femmes et deux hommes ! Drôle de conception de la parité.

Comme il a deux invités imprévus, je propose à Gigi que nous nous partagions l’addition, puis retour chez Anna pour le fameux « dernier verre ».

– Alors on partouze ? S’exclame Max, égrillard,
– Ben, non pas forcément, répond Anna.

Un peu hypocrite, Anna je trouve, sur ce coup-là !.

– Alors on fait quoi ? Un scrabble ? Reprend Max.
– Un scrabble érotique ? Se gausse Gigi.
– Pourquoi pas ? Ça se joue comment ?
– Ça se joue à poil.
– Avec des gages ? Demande Karine.
– Tant qu’à faire !
– Ben, Max, si tu te mets à poil, je fais pareil.

Vous pensez bien que Max n’hésite pas un seconde et se déshabille en vitesse. Prise à son propre piège, Karine se sent obligée d’en faire autant, mais à mon humble avis, elle est plus amusée qu’autre chose par ce chalenge idiot .

– Et maintenant ? Demande-t-elle.
– Je te pose une question, si tu réponds mal t’as un gage, si tu réponds bien, c’est moi qui me tape le gage
– N’importe quoi, mais allons-y gaiement.
– Alors question . Qui est-ce qui croque Odile ?
– La ligue !
– Hein ?
– Oui parce que la ligue a tort.

C’est débile mais tout le monde se marre

– Un gage pour Max ! S’écrie Tanya,

Et c’est repris par toute l’assistance .

– Bon d’accord, je serais beau joueur, c’est quoi le gage ?
– Le gage c’est d’aller sucer mon boss !
– Mais enfin, Tanya ! proteste Didier Remiremont puisque c’est évidemment de lui qu’il s’agit.
– Ben quoi, c’est pas une bonne idée ? Fait mine de s’étonner Tanya.
– Mais que va penser Madame Gigi ? Demande Didier.
– Oh, j’en ai vu d’autres ! Répond cette dernière.
– Racontez-nous on veut savoir ! Intervient Karine.
– J’ai plusieurs clients amateurs de godes dans le cul. Fatalement je finis par leur demander si au lieu du gode il ne préférerais pas une bonne queue bien vivante… certains sont intéressés, « pour essaye » qu’ils disent, ils disent tous ça ! Je n’ai plus qu’à organiser le rendez-vous. Bien sûr il y en a qui se défilent, mais pas tant que ça. Alors je leur demande de se sucer, et même parfois de s’enculer, moi je suis à poil et je me fais du bien avec un gode en les regardant, je trouve ça très érotique. En fait il y a plein de variantes, une fois il y avait trois mecs en même temps…
– Hum, intéressant ! Répond Didier, du coup je crois que je vais accepter d’être l’objet du gage… Viens me sucer la bite, Max !

Ces deux-là ont déjà eu l’occasion de pratiquer ce genre de choses (voir plus avant), ce ne sera donc pas une nouveauté !

Didier se débraguette, suscitant la protestation d’Anna.

– Non, monsieur Didier, pas comme ça, Mettez-vous à poil comme Monsieur Max, ce sera plus cool !.

Pas contrariant, Didier se déshabille, Max vient vers lui, lui tripote un peu la quéquette avant de la mettre en bouche.

– Faut que je fasse ça combien de temps ? demande-t-il.
– Comme tu veux, mais ne le fait pas jouir, on voudrait bien profiter de sa bite nous aussi ! Répond Anna.

Didier s’est rassit, Max s’agenouille devant lui et lui reprend la bite en bouche… et il prend son temps Max, le Didier apprécie et se pâme d’aise. Tanya passe derrière son patron et lui pinsouille les tétons afin de l’exciter davantage.

Anna excitée comme une puce propose qu’on se mettent toutes à poil et donne l’exemple,

L’effet d’entrainement fonctionne à fond et nous voici toutes dans le plus simple appareil.

Je n’irais pas jusqu’à dire que la position de nos deux males m’excite, Gigi et moi, nous en avons tellement vus, alors on se caresse, on se bécote. Les baisers devient vite brulants et les caresses osées. On s’amuse à se lécher les bouts de seins à tour de rôle, j’adore ça !

La main de Gigi vient me tripoter ma chatte humide, ça fait floc-floc là-dedans, une sonorité pas vraiment érotique. Je lui rends bien évidemment la pareille, c’est la moindre des choses, non ?

Quand à Anna elle sympathise avec Karine, une sympathie très poussée puisque les deux coquines ont roulé sous la table, je ne vois pas bien ce qu’elles fabriquent mais elles ne sont sûrement pas en train de jouer à cache-cache.

Max a tenu sa promesse de ne pas faire jouir prématurément Didier, il se relève donc.

– C’est à moi de jouer ! Dit-il, mais tout le monde est occupé, personne ne l’écoute.

Du coup, il se rassoit en maugréant, mais Tanya vient le rejoindre.

– Tu veux que je te suce, mon gros biquet ?
– Je te trouve bien coquine, toi ?
– Eh oui, je suis coquine ! C’est pas bien ?
– Moi les coquines je leur flanque la fessée !
– Eh bien vas-y, flanque-moi une fessée, il paraît que c’est bon pour la circulation.
– Alors couche-toi sur mes genoux, je vais t’en flanquer une bonne.
– Oh là là, j’ai peur ! S’amuse-t-elle en accédant à la position demandée.
– Tais-toi, vilaine bavarde ! Oh quel joli cul ! On en mangerais !

Et il se met à taper !

Je ne sais pas si les voisins entendent, mais entre les chattes qui font floc-floc, les coups sur les fesses de Tanya, et les gloussements d’Anna et Karine sous la table, ça finit par faire une drôle de cacophonie !

Didier bien chauffé par la turlute de Max se retrouve tout seul.

– On s’occupe un peu de lui ? Me propose Gigi.

On s’approche lui, Gigi lui grimpe dessus en position de lap dance et lui colle carrément ses seins sur le visage. Didier accueille l’offrande comme il se doit en suçant cet importun téton tandis que je me place derrière lui afin de lui tortiller ses bouts de seins.

Après quelques minutes de ce traitement, Gigi redescend et lui gobe la bite. Je la rejoins. Didier est en extase. Se faire sucer la bite par deux jolies femmes, n’est-ce pas le rêve de beaucoup d’hommes ?

De temps à autre, nous interrompons notre fellation pour s’embrasser à pleine bouche. Ces baisers au goût de bite m’excitent considérablement.

Je mouille, j’ai envie de baiser.

– Encule-moi, Didier !
– T’as des capotes ?
– Je vais en chercher.

J’espère qu’il m’en reste, je n’en ai pas si souvent besoin à la maison, mais je réalise que justement je ne suis pas chez moi. Mais je sais où Anna les range.

Je file dans sa chambre, ouvre le tiroir de son chevet… pas de capotes.

Il va donc falloir sortir, trouver une pharmacie de garde… la galère d’autant que pour faire tomber l’excitation, il n’y a rien de mieux

– Quelqu’un aurait des capotes ? Lançais-je à la cantonade.
– Dans mon blouson, poche intérieure. Répond Max de sa chaise, toujours occupé avec les fesses de Tanya.

Mon sauveur !

Chanette3210Je me mets à la retourne sur une chaise et offre mon fessier aux assauts lubriques de Didier

Sa bite bien raide me pénètre le cul sans problème d’autant que Gigi le stimule en lui doigtant le trou du cul

Ce fut assez bref, Damme, monsieur avait les couilles au bord de l’explosion, mais il m’a tout de même fait jouir

Ça fait du bien, Gigi elle aussi bien excitée me demande de lui faire minette. Alors je lui ai fait minette avec un doigt dans son cul en supplément.

Karine et Anna sortent de dessous la table, épuisées mais repues et se dirigent ensemble vers les toilettes, tandis que Max sodomise Tanya en soufflant comme un bœuf.

Et alors que la blackette gueule son plaisir de façon fort peu discrète, Max sort de son cul, retourne sa partenaire, enlève sa capote et lui asperge son visage de son sperme.

J’irais bien pisser mais impossible d’entrer, les nanas occupent trop de place.

Pas grave, je pisse dans une coupe à Champagne, deux coupes même, parce que j’avais une grosse envie.

– Je vais faire comme toi, me dit Gigi qui elle non plus, n’a pu pénétrer dans les toilettes.

Elle aussi avait une grosse envie.

– Tu veux goûter ? Me propose-t-elle avec un œil coquin.
– Pourquoi pas ?

Alors on a trinqué, chacune dégustant l’urine de l’autre… Et c’est qu’il est gouteux son pipi à Gigi !

Anna, enfin revenue des toilettes a rapporté de derrière les fagots une autre bouteille de champagne et on a trinqué au sexe, à la joie de vivre et à l’amitié.

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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