Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:30

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 9 – Les sept furies par Nicolas Solovionni
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Et pendant ce temps-là sur Vargala station…

Le docteur Nuru interpelle Gundula Miller.

– Je suis passé voir le patient de la chambre 12, il a quoi au juste ?
– Des hallucinations !
– Et vous le soignez à coup de Loubliom ?
– Ça le soulage !
– Si vous le dites ! Mais on ne va pas le garder cent sept ans. Arrêtez le traitement et s’il n’hallucine plus vous l’autorisez à partir.

Gundula ne voit pas bien comment désobéir à son patron… et sans Loubliom; Schmidt retrouva la raison.

– Qu’est-ce que je fous là ? Demanda-t-il
– Vous vous être tapé une infection qui vous faisait délirer…
– Et c’est fini ?
– On dirait !
– Je peux m’en aller alors ?
– Oui, mais après avoir passé à la caisse.
– Je peux récupérer mes affaires ?
– C’est dans le placard, voulez-vous que je vous aide ?
– Ça devrait aller, je n’ai pas grand-chose… Ah mon spacephone ? Il est où ?.
– Ça monsieur, je ne peux pas vous dire !
– Il a dû rester à l’hôtel…

A la caisse c’est l’embrouille….

– Mais comment voulez-vous que je vous règle ? Je ne sais pas où j’ai laissé mon spacephone…
– Laissez-moi un objet en gage…
– Quel objet ?
– Ce bracelet n’a pas l’air mal du tout !
– J’y tiens, c’est ma grand-mère qui me l’a offert.
– On vous le rendra quand vous aurez de quoi nous payer !
– Vous n’avez donc aucun scrupule !
– Non, monsieur, aucun !

Il se rendit donc à l’Hôtel du cygne.

– J’ai dû oublier mon portable dans ma chambre.
– On ne nous a rien signalé de tel, monsieur ! Répondit le préposé à l’accueil.
– Le Capitaine Béchima est-il toujours là ?
– Oh, non monsieur, il est parti…
– Il aurait pu m’attendre !
– Il n’a sans doute pas pu, monsieur !

Le fait de perdre son spacephone n’est pas catastrophique en soi, on peut en acheter un autre et un code secret permet de rapatrier les données. Mais pour acheter un spacephone, il faut des sous, et on règle soit avec… un spacephone, soit avec du fiduciaire… encore faut-il en avoir !

Ce n’est pas toujours simple la vie en ces temps futurs !

Il a l’idée de se renseigner à l’astroport (sans trop savoir pourquoi d’ailleurs) Et là il apprend que le Tamanoir a explosé et que Béchima, son capitaine a pris l’espace avec un autre vaisseau.

Autre idée, retrouver Sambariz, son homme de main, ici… Il ne risque pas de le retrouver, les lecteurs le savent bien… mais Schmidt ne le sait pas. Il écume les endroits où il pourrait se retrouver, mais finit par se faire remarquer. Il ignore bien sûr que la Mafia a lancé un avis de recherche le concernant.

Et c’est ainsi qu’après que deux mafieux bien costauds l’aient exfiltré d’un bistrot où il posait trop de questions, il se retrouve ligoté sur une chaise à la Madrague devant le bourgmestre et parrain de la mafia locale, Roger Montesinos et son inévitable âme damnée, Bret Quinto.

– Mais c’est une erreur ! Laissez-moi tranquille !
– On sait que tu as commandité trois meurtres…
– Mais pas du tout !
– Je vais te raconter un truc, ton tueur à gages, le dénommé Sambariz était là l’autre jour sur la même chaise, à chaque fois qu’il nous racontait un mensonge on lui coupait un doigt. On lui en a coupé combien, monsieur Quinto ?
– Oh, je ne me souviens plus !

Il devient blême, Schmidt !

– Alors reconnais-tu avoir commandité les meurtres de … (il sort un papier de sa poche) Zubin Riddick, Stal Salim et Xiao Wang.
– Je n’ai fait qu’obéir aux ordres !
– De qui ?
– De mon capitaine, Rutger Béchima !
– Et il est où en ce moment ?
– Il a quitté la planète ! Non, non qu’est-ce que vous faites ? Arrêtez !

L’un des mafieux lui coupe l’index de la main droite. Schmidt hurle et pisse le sang.

– Une compresse s’il vous plait ! Ton capitaine n’a pas pu quitter la planète puisque son vaisseau a explosé sans crier gare !
– Mais il a décollé avec un autre vaisseau ! Renseignez-vous à la capitainerie, vous verrez que je ne mens pas.

Et c’est exactement ce que fait Quinto…

– Il a raison ! Finit par dire ce dernier
– On n’a rien pour recoller ton doigt, faudra faire avec ! Et pourquoi avoir éliminé ces trois personnes ?
– Disons qu’on a accompli une mission pas très régulière et que si elle s’ébruitait on risquait gros. Ces trois personnes en savaient trop.
– Et on peut savoir ce qu’est cette mission pas très régulière?

Schmidt hésite puis se dit qu’il n’a plus rien à perdre.

– Il s’agissait de ravitailler une planète esclavagiste.
– Hum ! Conduisez-moi ce connard à la presqu’ile il va retrouver son tueur à gages, ça lui fera de la compagnie.

Eh non il ne risque pas de retrouver Sambariz dont le cadavre pourrit dans un ravin de la jungle, mais ça, la Mafia l’ignore.

N’étant pas un familier de Vargala, Schmidt ne sait rien de cette presqu’ile des exclus. Une barge l’a déposé en lisière de l’épaisse forêt et il est là tel une poule devant un couteau, désemparé et un doigt en moins.

Il se demande comment survivre en un tel endroit et faute d’autre idée, il pénètre sous les arbres. Mais plus il avance, plus l’exubérance de la végétation et l’impossibilité de s’orienter finissent de lui saper le moral. Il veut rebrousser chemin, mais n’y parvient pas se rendant compte qu’il s’est bel et bien perdu. Le constat est terrible : il est prisonnier de cette maudite forêt.

Il s’assoit sur une souche, en proie à un profond désespoir. Tous ses sens sont en éveil et il lui semble entendre un bruit de jaillissement.

– De l’eau ? Une source ? Au moins je ne mourrais pas de soif…

Il avance difficilement vers l’origine du bruit…

Une clairière, Une source. Une petite mare… Des femmes s’y baignent… quatre femmes… à poil !

– Oh ! T’es qui, toi ? Demande Zorah.
– Schmidt ! Je suis perdu.

Kali est sortie discrètement de l’eau et se saisissant de son arc tient l’homme en joue.

– Jette ton arme !
– Mais je n’ai pas d’armes.
– J’ai pas confiance, fous toi à poil !
– Mais…
– Dépêche-toi ou je te balance une flèche dans les cuisses.

Tel un zombi, Schmidt s’exécute.

– T’as pas d’armes, t’es un exclu alors ?
– Mais j’en sais rien, j’y connais rien, je ne suis pas de cette planète.
– Je suppose que tu as fait une connerie ?
– C’est une erreur judicaire…
– Mais oui, c’est ça. A vrai dire on s’en fout, on va t’indiquer le chemin pour rejoindre le camp principal, mais on ne veut plus te voir dans nos pattes, t’as compris ?
– C’est quoi le camp principal ?²
– C’est là où sont tous ceux qui ont été bannis de la cité. Allez rhabille-toi, on va t’indiquer la bonne direction.
– Vous n’avez rien à manger ?
– Et puis quoi encore ? Bon allez, on va te filer un truc, on est pas méchantes.
– Mais vous, vous êtes qui ?
– Peu importe.

Et Schmidt se dirigea vers le camp principal et plus personne n’entendit parler de lui.

Tout le monde a repris ses activités. Ozawa a eu de la chance et a trouvé un poste de navigateur sur un gros cargo de transport régulier.

Il me fallait maintenant que j’étais de retour sur Vargala tenir la promesse que j’avais faite aux filles de la forêt.

On a fait simple on s’est réparti les quatre filles restantes dans les établissements tenus par Dyane, Dilos et Nadget.

– Voilà, on va vous fournir des fringues et un peu de monnaie pour vous acheter des spacephones et pouvoir vous retourner. Vous allez devoir rester tranquille pendant disons deux semaines, le temps de voir si la mafia va réagir, ensuite vous ferez ce que vous voudrez.

Et le lendemain Shella vint me voir.

– J’ai discuté avec les filles, on voudrait te remercier pour ce que tu as fait pour nous et organiser une petite fête… On peut faire ça où ?
– Euh, c’est gentil… Chez moi, il y a de la place…
– Invite qui tu veux, plus on est de fous… On fait ça demain soir ?
– Pourquoi pas ?

Alors on fait le compte, elles sont sept, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Antinéa, Vidia mais aussi Minerva et Honney que l’on a pas encore croisé. Dans l’hypothèse (fort vraisemblable) où la fête tourne à l’orgie, comment voulez-vous que j’assure ? Je ne suis pas super biroute ! J’ai donc demandé à Nerren et à Dilos de se joindre à nous.

On fait les présentations. A l’exception de Sheila les filles ne connaissaient ni Nerren ni Dilos.

Ces charmantes demoiselles se sont cotisées pour m’acheter un petit cadeau souvenir, un ceinturon en cuir de boujnik avec leur sept prénoms gravés. Ça m’a touché !

J’ai acheté des petits fours (eh oui on sait faire ça aussi sur Vargala !) du watchibole et du Champagne, que l’on le débouche, on remplit les coupes, on trinque, on picole… (mais raisonnablement)

« Bon ! S’impatiente le lecteur, on est sur un site d’histoires érotique, non ? Alors l’érotisme c’est pour quand ? »

C’est pour maintenant…

– Cette fête, si on la faisait un peu coquine ? Suggère Sheila d’un air égrillard.
– Vous êtes d’accord, messieurs ? Ajoute Vidia qui s’approche de Dilos en se tortillant de façon très suggestive.
– Bien sûr qu’on est d’accord ! Répond ce dernier.

Encouragée, Vidia débraguette Dilos qui se laisse faire comme un nounours.

– Les filles j’ai trouvé une bite ! S’exclame-t-elle, rigolarde, en prenant soin de masturber la chose afin qu’elle bande bien comme il faut.
– Garde la pas pour toi toute seule ! Intervient Antinéa qui rejoint sa collègue afin de tripoter, elle aussi cette jolie biroute.
– Mais elles sont déchaînées ! Ne peut s’empêcher de faire remarquer à haute voix, Nerren.
– Encore plus que tu ne le crois ! Répondent en chœur Kali et Sheila qui s’approchent subrepticement de lui et faisant fi de ses fausses protestations, envoient son pantalon et son caleçon sur ses chevilles.

Le voilà cul nu et bite à l’air ! Et il est immédiatement entouré, sa bite dans la bouche pulpeuse de la belle Sheila, tandis que Kali lui prodigue une feuille de rose très humectée préalable à l’intromission d’un doigt dans son cul. Voilà qui tombe bien pour Nerren qui adore le plaisir anal.

Il y a quand même quelque chose qui cloche. Toutes ces joyeuses turpitudes se déroulent alors que les filles sont encore parées de leurs nouvelles fringues. C’est Zorah qui doit les remettre dans le « droit chemin »

– Mais enfin les filles, si on veut faire la fête ils faut le faire décontracté ! Voulez-vous vous mettre toutes à poil… et plus vite que ça… et je suis certaine que ça plaire à ces messieurs…

Zorah donne l’exemple en dévoilant son corps de belle mature, les autres filles répondent à la suggestion de leur ainée en faisant voltiger leurs fringues. Et bientôt c’est une véritable pluie de soutien-gorge et de petites culottes qui s’abat dans mon appartement. Quant à nous les mecs, on ne va pas rester habillés non plus, il n’y a pas de raison…

C’est vrai que c’est bien mieux comme ça. Tout le monde est maintenant à poil y compris Minerva et Honney qui semblent d’indécrottables lesbiennes et qui se bécotent en se caressant les nichons. Elles n’aiment peut-être pas les bites, ce sont des choses qui arrivent et c’est parfaitement leur droit !

Il ne reste donc que Zorah de disponible, on se rapprochent et on s’embrasse. Elle a toujours eu un faible pour moi et pour ma part j’adore lui lécher ses jolis nénés.

On se caresse, on se tripote, je lui lèche la chatte, elle me suce la bite… Puisqu’on vous dit que c’est la fête…

Dilos a fort à faire avec ses deux partenaires qui réclament tout deux d’être baisées. C’est donc ce qu’il fait alternativement. C’est qu’il est endurant Dilos ! Et pendant qu’il en baise une l’autre vient taquiner de sa bouche les seins de sa copine. C’est beau la solidarité féminine !

Stoffer609– Je veux que tu m’encules ! Me dit Zorah.

On ne saurait refuser de sodomiser une femme qui en fait la demande ! N’est-ce pas ?

Elle se retourne et m’exhibe son magnifique postérieur dont j’écarte les globes afin de redécouvrir son bel anus brun en forme d’étoile de mer. (en forçant un peu l’imagination tout de même !).

Bien évidemment je ne peux m’empêcher de lécher ce petit coin de paradis au petit goût si particulier. Je m’amuse ensuite à lui planter un doigt et à le faire gigotter.

– Le doigt c’est bien, mais j’aimerais bien ta bite ! Proteste-t-elle mollement.

Si on peut plus s’amuser… Mais bon si elle veut qu’on l’encule, on va l’enculer… J’avance mon gland à la hauteur de son trou du cul… Un coup de rein ! Et hop j’ai ma bite dans son fion et je la pilonne en cadence.

Pas très loin de nous, Sheila a fait coucher Nerren sur le sol et s’est empalée sur sa bite qu’elle chevauche telle une écuyère de cirque.

Du coup, Kali rendue libre vient narguer sa mère..

– Dis donc, maman tu n’en a pas marre de te faire enculer comme la dernière des salopes !
– Oh, non, c’est trop bon ! Viens me lécher mes bouts de seins pendant qu’il me défonce. le cul
– Mais bien sûr, ma maman chérie.

Et pendant que Zorah hurlait de plaisir, j’ai joui dans son fion et c’est sa propre fille qui a eu le privilège de me nettoyer la bite. Pas vache la maman s’occupa ensuite de la petite chatte de sa fille pour lui rendre le plaisir auquel elle avait droit !

Nerren n’a pas pu résister longtemps à la chevauchée fantastique de Sheila et à joui à son tour, laissant sa partenaire à moitié groggy.

Quant à Dilos, après avoir fait jouir ses deux donzelles, il éclata à son tour avant de s’avachir dans un de mes fauteuils en soufflant comme un bœuf.

Tour le monde a donc joui y compris les deux goudous qui sont tellement collées l’une contre l’autre que l’on dirait des sœurs siamoises.

Fin de la partouze ? Je n’ai pas l’impression, on va dire alors fin de la première mi-temps, on récupère tant bien que mal en buvant des coupes, en blaguant et en se caressant en mode soft.

Un bon quart d’heure plus tard, la forme semblait revenir et je décidais de faire un peu de provocation en m’approchant des deux goudous.

– Alors, les filles, tout va bien ?
– Mais bien sûr capitaine, on aime bien faire la fête !
– Oui, mais vous restez à l’écart !
– On ne reste pas à l’écart on profite du champagne, du watchibole et des petits gâteaux !
– Allons ,allons, vous voyez très bien ce que je veux dire !
– Certes ! Mais on ne voudrais pas vous choquer, vous avez été si gentil avec nous.
– Je ne comprends pas…
– Mais si ! C’était notre métier de sucer des bites et ça va probablement le redevenir… On n’a rien contre mais dans le privé, je préfère la chatte de ma copine ! M’explique Minerva.
– Mais, intervient Honney, si vous souhaitez qu’on fasse des choses avec vous, ce ne sera pas une corvée, mais ça nous embêterait que ce soit une obligation.
– Personne ne vous oblige à quoi que ce soit !
– Dans ce cas on peut faire un effort, qu’en penses-tu Minerva ?
– Allons-y !

Et l’instant suivant, Honney avait ma bite dans sa bouche, tandis que Minerva me gobait les couilles.

De son côté Dilos était sollicité par trois femmes, Zorah et sa fille Kali ainsi que Sheila.. Comment va-t-il s’en sortir avec ses trois diablesses ?

C’est tout d’abord très soft, caresses, baisers, puis la chose s’enhardit, mains sur la bite et sur les fesses. Dilos n’est pas véritablement amateur de choses anales mais il est assez gentlemen pour ne pas refuser ce que veulent lui offrir ces demoiselles, Le voilà donc avec un doigt dans le cul, tandis qu’une bouche s’est emparée de sa bite et qu’une main fort coquine vient lui presser les tétons afin de maintenir son excitation à un bon niveau.

Mais pour la suite, on fait comment ? Apparemment elles ont toutes trois envie de se faire baiser

– Prends-moi ! lui dit Kali

Puisque c’est la première à demander…

Il la couche sur le bord de la table, les jambes pendantes et la pénètre vaillamment. Tandis que pour faire bonne figure, sa mère d’un côté, Sheila de l’autre, lui lèchent les seins.

– Vidia et Antinéa ont accaparé Nerren et comme il leur a fait comprendre qu’il n’était pas avare de doigts dans le cul, elles s’en donnent à cœur joie en rigolant comme des bossues. L’une le doigte, l’autre le suce et on alterne…

Bref, c’est l’orgie et je ne voudrais pas que le récit devienne ni trop confus (il l’est déjà pas mal avec tout ce monde) ni répétitif. Donc on abrège un peu… Et vous allez vous dire que c’est fini ! Ben non parce qu’après les rafraichissements, le champagne, le watchibole et les petits fours, il y a encore du temps pour une troisième mi-temps !

Parce que si on est un peu exténué, du moins je parle pour les hommes, nous n’avons pas envie de nous séparer, pas encore…

Alors pendant ce second entracte ponctuée de plaisanteries diverses, et de gentils câlins tout en faisant honneur au buffet et à ses boissons, j’aperçois Sheila et Zorah se marrer comme des clés à molette qui descendent des escaliers après s’être chuchotées des trucs inaudibles

Et voici Zorah qui m’attrape par la main, me fait lever de mon siège et m’entraine dans une folle farandole à laquelle tout le monde participe.

Ça devient n’importe quoi, on fait plusieurs fois le tour de la pièce en chantant des trucs graveleux datant de mes années étudiantes

Et voilà que Sheila qui était en tête de farandole stoppe sa marche en criant :

– Un gage pour le capitaine ! Un gage pour le capitaine !

Un gage ? Mais pourquoi un gag ? Quelque chose m’aurait échappé ?

– Au milieu pour le gage ! Me dit Zorah !

Je n’y comprends rien mais comme vous le savez, je suis très joueur, c’est mon côté gamin, donc je m’exécute.

– Le gage, m’annonce Sheila, c’est que tu dois sucer la bite de Nerren.
– Et si tu le fais correctement, Nerren aura le droit de t’enculer ! Ajoute Zorah.

Si elles s’imaginent que ça va être une corvée… Mais je crois comprendre. Sheila m’a regardé accomplir ce genre de choses lors des deux dernières partouzes… et elle veut que ses copines profitent elles aussi du spectacle ! Soit !

Nerren hésite (à mon avis il fait semblant d’hésiter) puis me rejoint au milieu du petit cercle formée par ces demoiselles et se plante devant moi, la bite demi-molle.

Il va donc falloir en préambule remédier à cet état de fait..

Quelques mouvements de branle, tandis que mon index gauche vient lui ramoner le trou de balle ont tôt fait de remettre sa biroute en situation optimale.

Y’a plus qu’à sucer ! Comme disait une ancienne star du porno.

Et c’est ce que je fais; j’adore faire ça ! D’autant que sa bite est douce et bonne, je le lèche, je fais des va-et-vient intempestifs, je donne des petits coups de langues sur les couilles, Bref toutes les figures de circonstances.

Ces dames y vont de leur réflexions salaces :

– Qu’est-ce qu’il suce bien, ce cochon !
– Pas tant que ça, il ne la met pas entière dans sa bouche !

Ben non, je suis désolé mais je n’ai pas pris des cours d’avaleur de sabre !

– Tends ton cul, maintenant, il va te prendre ! Me dit l’une des filles.

Déjà ! Moi j’aurais bien sucer encore un peu ! Mais comme j’ai l’impression que je ne suis plus maître du jeu…

Je me met en levrette et attend l’assaut.

Nerren fait durer le plaisir et commence par m’honorer d’une savante feuille rose qui me fait frétiller l’anus.

Puis je sens le gland qui quémande le passage, je l’aide en m’efforçant de m’ouvrir au maximum. Ça passe qu’un seul coup d’un seul et les allers et venues commencent, me procurant des sensations inouïes.

Le chœur des filles se met alors à entonner une antienne antique.

– Il est des nôtres, il se fait enculer comme les autres.

C’est malin !

Ça dure un moment, forcément mon enculeur a déjà joui deux fois… mais qu’importe, en la matière la durée n’est pas un inconvénient… au contraire. Et moi je me sens bien.

Nerren finit par jouir, ce n’est pas la super jouissance, mais bon, il a fait ce qu’il pouvait.

Sa bite ressort gluante de sperme et tachée de traces de matière fécale, c’est Sheila qui vient lui nettoyer tout ça en se léchant les babines.

Moi, je me redresse avec le cul légèrement douloureux.

– Bon les filles, maintenant je pourrais peut-être savoir pourquoi j’ai eu un gage ?
– Parce que c’était mon bon vouloir ! Me répond doctement Zorah.

Evidement vu comme ça…

On se rassoit, on finit ce qu’il y a boire et à manger.

Nerren proteste de plus pouvoir se resservir du champagne.

– Elle est où ta réserve ! Me demande-t-il
– Pas la peine je vais t’offrir le mien de Champagne, propose alors Vidia qui joignant le geste à la parole, attrape une coupe vide et pisse allégrement dedans.

Il a tout bu, le coquin…

Puis je prends la parole, j’ai décidé de faire ma B.A.

– Les filles, j’ai une idée, il y a un petit bistrot qui est en vente. Je peux vous prêter de l’argent pour l’acheter, l’avocate s’occupera de la paperasse.

Elle viennent toutes me faire la bise, c’en est émouvant.

– Et comment on va l’appeler ce bistrot ? Demande Kali.
– Pourquoi pas la Farandole ? Lui répond Sheila.

Maître Maude Hansson est passée me faire une petite visite.

– Bonjour, tu m’offres un café ?
– Avec plaisir !
– J’ai rencontré la cheffe de la police, je lui ai fait part de mes intentions, elle a trouvé que c’était une bonne idée mais elle m’a conseillé d’étendre mon activité, la demande en assistanat juridique lui semblant faible ici. Je ne sais pas trop quoi faire ! T’as une idée toi ?
– J’aimerais que tu t’occupes de la paperasse pour le bistrot des filles (je lui explique…). C’est moi qui te rétribuerai.
– D’accord ,et pour la suite ?
– Là tout de suite j’ai pas trop d’idées, mais faudrait que je réfléchisse…
– Et si je te mets la main là, ça va t’aider à réfléchir.
– Mais veux-tu laisser ma bite tranquille !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:27

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 8 – La reine de la partouze par Nicolas Solovionni
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Avec Dyane, nous sommes repassés comme convenu devant le juge d’instruction lequel parait embarrassé.

– J’ai sollicité auprès du commandant Sangor des investigations complémentaires. Il maintient sa version…
– Quelles investigations ? Je ne l’ai pas revu…
– Ne me coupez pas la parole je vous prie ! Sangor maintient sa version et vous accuse de tentative d’assassinat, mais est incapable de fournir la moindre preuve. Donc dans le doute je prends les décisions suivantes ! Primo : je fais lever le verrou magnétique de votre vaisseau et vous donne 24 heures locales pour quitter la planète. Secundo : vous serez définitivement interdit de séjour ici, cela est également valable individuellement pour tout le staff de votre vaisseau.
– C’est gentil, merci ! Me gaussais-je.
– Si c’est du sarcasme, je peux vous infliger une amende pour outrage à magistrat !
– Non, non je voulais juste vous remercier…
– Foutez-moi le camp.

En sortant Maître Maude Hansson m’entreprend :

– Quel con ce type ! Il n’est pas complétement corrompu mais un peu quand même !
– C’est ce que je me disais aussi…
– Vous savez j’en ai un peu marre d’exercer ici, la corruption est partout, ce n’est pas évident de travailler de façon sereine, un jour je vais craquer…
– Changez de coin !
– C’est plus ou moins mon intention, vous allez où en décollant ?
– Je vais rentrer sur Vargala.
– Il y aurait du travail pour moi là-bas ?

Je lui explique la situation…

– En fait il n’y a que des petites affaires de police, les affaires graves sont gérées par la mafia locale et elle ne s’encombre pas de la présence d’un avocat.
– Tant pis !
– Mais pourquoi n’ouvriez-vous pas un cabinet de conseillère juridique.
– Ah, oui, c’est une idée, ça ! Vous m’embarqueriez ?
– Mais avec plaisir.
– Vous êtes un amour ! Au fait j’ai eu des nouvelles du capitaine Béchima !
– Ah oui ? Dites-moi !
– On a retrouvé son cadavre dans une benne, avant-hier.
– Ciel ! Et son vaisseau !
– Il est reparti, je n’en sais pas davantage.
– Quelle planète pourrie !

Et nous voilà prêts à partir pour le voyage retour en compagnie de l’avocate et d’Ozawa.

Ozawa connait les traditions de la marine spatiale, (voir l’épisode précédent) au contraire de Maitre Maude Hansson. Je la mets donc au courant.

– Et on serait combien ?
– Mon staff plus Sheila et Ozawa… donc on devrait être huit…
– Hum ! Etre à la merci d’un groupe entier d’hommes et de femmes, ce doit être fabuleux !
– On fera les présentations dans le mess quand on sera passé en hyperespace, et on se boira un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent.
– Et vous croyez que les circonstances s’y prêteront ?
– J’y veillerai, ma chère !

Trois heures plus tard nous sautions dans l’hyperespace. Les présentations se font de façon un peu bordélique mais Maude Hansson tient à mettre les pieds dans le plat.

– Bonjour tout le monde ! Je suis contente d’être parmi vous ! Je suis une avocate un peu libertine et je ne suis pas contre le fait d’être un peu bousculée, je suis un peu soumise, j’aime aussi bien les hommes que les femmes, alors messieurs dames si ça vous intéresse, je suis à votre disposition. En attendant je lève mon verre à notre santé ! Tchin tchin !
– Doit-t-on comprendre que vous acceptez que l’on vous fasse subir les derniers outrages ? Lui demande Dilos.
– Les derniers outrages ? Pourquoi les derniers ? J’espère bien que ce ne seront pas les derniers !

Dyane amusée s’avance gaillardement vers elle..

– Et si tu nous montrais tes nichons, ça mettrait de l’ambiance.
– Alors allons-y pour l’ambiance ! Répond Maude en se débarrassant de son top, puis de son soutien-gorge.
– Wha ! C’est pas mal tout ça !
– Eh bien, embrasse-les, ma grande, ils adorent ça qu’on les embrasse.

Stoffer608Dyane n’est pas du genre à se faire prier et elle embrasse gloutonnement les seins de la belle avocate, faisant durcir sous sa langue ses jolis tétons bruns.

– S’il y en a d’autres qui veulent en profiter, aujourd’hui je m’offre à tout le monde ! Croit devoir préciser Maude.

Dilos et Ozawa s’approchent. Deux sur une poitrine c’est possible, trois c’est moins évident.

– Ce serait peut-être mieux si je me déshabillais complétement ! Suggère l’avocate en joignant le geste à la parole.

Dilos passe derrière elle et lui flatte les fesses.

– Pendant que tu y es, enfonce-moi ton doigt dans le cul !
– Mais bien sûr, princesse !
– Princesse mon cul !
– Si tu veux, tu le sens, là, mon doigt ?
– Pas trop, enfonce un deuxième, ça le fera mieux !

Et pendant que l’avocate se fait ploter par ces messieurs dames, Nadget s’est approché de moi et a dégagé ma bite de sa braguette afin de la porter en bouche. C’est qu’elle suce divinement bien la petite blackette… cependant je lui indique que la situation serait plus fun si nous nous mettions à l’aise… Alors elle s’interrompt, on se met à poil et elle reprend sa pipe.

Quant à Sheila et Nerren, ils commencent par se bécoter gentiment avant de se tripoter allégrement.

Et en ce qui concerne le chat, Yoyo, il se ballade de ci-de là la queue en l’air en proie à une grande perplexité, se demandant sans doute pourquoi les humains baisent si différemment des matous.

Maude décide de prendre ses aises et profitant que la banquette soir libre, s’y affale, obligeant Dilos à retirer ses doigts qui pourtant s’y trouvaient bien là où ils s’étaient nichés.

L’avantage de la position, c’est qu’il y a davantage d’espace pour les caresses, aussi Sheila et Nerren rejoignent le groupe des peloteurs

L’avocate est maintenant sollicitée de partout ! On l’embrasse, on lui suce les tétons, Nerren lui doigte la chatte. Un vrai festival ! Ses cuisses se mouillent du jus de son plaisir…

Et puis d’un coup Nerren la pénètre au grand dam d’Ozawa qui aurait volontiers pris sa place.

Mais Ozawa est un cochon et sachant les tendances bisex de Nerren s’en prend aux fesses de ce dernier et l’encule assurément. formant donc un joli petit train. Tchouf Tchouf !

Quant à Dilos il s’est placé au niveau du visage de l’avocate afin qu’elle puisse lui sucer la bite.

– On les rejoint ? Me propose Nadget.
– Je voudrais bien, mais il n’y a plus de place !
– Alors tant pis, je vais te jouer la chevauché des Walkyries.

Elle s’empale sur ma bite en position de lap-dance et la voilà qui monte et qui descend, me provoquant des douces sensations

Je la connais suffisamment pour deviner la suite… Et ça ne rate pas, elle se désempale, mais c’est pour changer de trou. Et la voilà qui reprend ses montées et ses descentes. Quelle sensation d’enculer quelqu’un sans rien avoir à faire (comment ça, je suis un gros feignant ?)

Toujours est-il qu’on s’est fait jouir tous les deux, on se relaxe un peu en se prodiguant de douces caresses et de tendre baisers. Ben oui un peu de romantisme, ce n’est pas mal non plus !

On ne voit plus rien de ce qui se passe sur la banquette, mais on entend des gémissements ininterrompus, c’est que tout doit bien se passer !

Dilos a éjaculé dans la bouche de l’avocate qui se fit un plaisir d’avaler son sperme. Du coup, Ozawa abandonne le cul de Nerren pour se faire sucer à son tour.

Deuxième décharge et deuxième dégustation de sperme pour Maude. Quant à Nerren il a changé de trou et sodomise maintenant l’avocate à grands coups de queue; la faisant miauler de plaisir et cela jusqu’à sa propre jouissance. Nerren finit par jouir en poussant un cri incongru. Il sort sa bite et se la fait nettoyer… Quand on aime le sperme, pourquoi s’en priver ?

Les hommes ont besoin de souffler un peu, mais Maude n’est pas rassasiée, Dyane et Sheila sont encore près d’elle, et c’est bientôt un trio lesbien de folie qui s’offre à mes yeux.

On se plote, on se lèche partout, les doigts explorent tout, les langues deviennent insatiables, et ça mouille, ça rigole, ça gémit, c’est la fête au gazon… et ça jouit !

Moment calme simplement interrompu par le miaulement de Yoyo. Je lui offre un petit four salé, il la bien mérité, il a été sage et il n’a griffé personne !

Maude se fait soudain provocatrice et vient défier Nadget !

– Dis donc toi ! T’es pas venu me caresser, Je ne te plais donc pas ?
– Et si je te dis que tu ne plais pas, tu vas me répondre quoi ?
– Qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.
– Viens donc m’embrasser, andouille !

Attention, ça va repartir !

Et hop, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, les deux coquines se retrouvent sur la banquette en positon de soixante-neuf.

Nerren s’approche de moi ! Attention à mon cul !

– Alors tu ne bandes plus ! Me nargue-t-il.
– Je suis en pose !
– Tu veux que je t’arrange ça ?

Il n’attend pas ma réponse et commence à me masturber, je me laisse faire sachant pertinemment comment cela risque de se terminer, mais ça ne me dérange pas ! Pas du tout même !

Alors, je prends les devants, à moi de m’occuper de sa belle bite que j’ai tôt fait de faire rebander correctement.. Je la mets en bouche ! C’est mon péché mignon, j’adore sucer des belles bites et la sienne est particulièrement attractive. Je m’en régale et m’applique à lui prodiguer tout ce je sais de l’art de la fellation. On m’a déjà dit que j’étais un bon suceur de bites ! Et ne croyez pas que j’ai honte ! J’assume complétement !

Alors bien sûr quand deux mecs un peu bitophiles s’amusent, la conclusion va de soi et j’offre mes fesses à mon navigateur qui m’encule sans hésiter.

Les deux filles se sont calmées après s’être fait jouir réciproquement et nous regardent.

– Mais t’es un gros cochon, capitaine ! Me nargue Maude.
– On est tous des cochons et toi la première !
– Cochonne, moi ! Je ne le fais pas exprès, je ne peux pas m’en empêcher !
– Et t’as pas honte ?
– Oh si ! Me répond-t-elle sur le ton de la comédie. Je crois même que je devrais être punie pour ça…

Et elle se retourne et demande à la cantonade :

– Il paraît que je suis cochonne et que je devrais être punie. Il y a un volontaire pour me flanquer une correction.

Je me demandais lequel des trois hommes serait volontaire pour ce genre de choses, mais à ma grande surprise, c’est Dyane qui se propose et qui récupère son ceinturon.

– Amène-toi ma grande, je vais te rougir ton gros cul !
– Il n’est pas gros !
– Amène-toi quand même !

L’avocate rejoint de nouveau la banquette où elle se positionne en levrette, le cul bien en évidence. Le premier coup lui cingle le joufflu !

– Comme ça ?
– Même un peu plus fort ! Répond Maude.

Manifestement Dyane prend un plaisir quasiment sadique à flageller sa victime consentante. Cette dernière a bientôt le cul rouge comme une pivoine.

– Bon, j’arrête ! Lui dit Dyane, mais maintenant tu m’as fait mouiller comme une éponge, je ne vais pas rester comme ça, tu vas me lécher la chatte !
– Mais bien sûr !

Et Maude se mit à laper la moule de Dyane avec avidité jusqu’à sa jouissance ! Elle est insatiable cette fille !

– Et maintenant j’ai envie de pisser ! Je te pisserais bien dans la bouche !
– Oh oui !
– Et t’as intérêt à tout boire !
– Oui, oui !

Et tandis que l’avocate se régale du jet dorée de ma seconde de vaisseau, Nerren jouit dans mon fondement et décule me laissant le trou du cul béant et légèrement douloureux… mais ça va passer…

Cette fois l’orgie semble bien terminée, on remplit les coupes de champagne et on rigole. Maude est satisfaite elle a été la reine de la partouze !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:25

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 7 – Les chaleurs de Maître Maude Hansson par Nicolas Solovionni
StampCravate

Il fallait maintenant dénicher cet Akira Egushi.

Les informations locales m’indiquent que le port local baptisé Louzia-Port comprend un hôpital et deux cliniques.

Je fais donc le tour de ces établissements en compagnie de Dyane

A l’hôpital il fallut graisser la patte d’un agent d’accueil bourru afin qu’il consulte ses fichiers, lequel finit par nous dire que personne de ce nom n’y avait été hospitalisé.

Alors allons-y pour la première clinique !

– Vous êtes de la famille ? Nous demande l’accorte personne préposée à l’accueil.
– Non !
– Un petit billet, alors !

Ça marche à fond la corruption sur cette planète !

– Monsieur Egushi a quitté la clinique il y a 8 jours…
– Et il est parti chez lui ?
– Ça je n’en sais rien ! Vous voulez son adresse ?
– Oui !
– Un autre petit billet, alors !

La monnaie fiduciaire a quasiment disparu mais sert encore pour ce genre de choses… (et heureusement qu’elle n’a pas disparu complétement, sinon comment donnerait-on l’aumône aux clochards ?)

– 107, 25ème rue ! Mais je ne vous ai rien dit.

On y va, on sonne, il n’y a personne… je commence à la sentir mal cette affaire !

On essaie d’interroger le voisinage qui ne sait rien.

– Il est peut-être mort à l’intérieur ! Me suggère Dyane.
– Alors faut essayer d’entrer !
– Et déclencher une alarme, on va avoir tous les flics du coin sur le dos !
– Bien vu ! Dans ce cas on va aller voir les poulets et essayer d’obtenir leur aide.

Sangor, le responsable de la police locale nous reçoit avec agacement. Manifestement on le dérange.

– Vous êtes de la famille ?
– Nous sommes ses amis…
– Voyons voir, vous n’êtes pas d’ici ?
– Je suis basé sur Vargala Station, mais…
– Et vous êtes venu exprès de Vargala pour lui faire une petite visite ?
– Ben oui, j’avais un service à lui demander… mais pourquoi cette question ?
– Les questions c’est moi qui les pose ! Et c’est quoi ce service que vous vouliez lui demander ?

Il commence à m’agacer, ce condé !

– Non écoutez, c’est personnel ! Mais nous sommes inquiets, il lui est peut-être arrivé quelque chose ?
– Bon, ça suffit, vous êtes en train de nous prendre pour des imbéciles. Mais on ne me la fait pas à moi, Gardes, menottez-moi ces deux idiots.
– Mais…

Et nous voilà menottés tous les deux comme de vulgaires cambrioleurs du samedi soir.

– Vous êtes en garde à vue, vous avez le droit de faire appel à un avocat, et vous avez le droit à un coup de fil pour prévenir votre maman.
– Mais qu’est-ce qu’on nous reproche ?
– C’est ça, continuez à vous foutre de ma gueule. Foutez-moi ces deux connards en cellule.!

Deux poulets nous fouillent, nous enlèvent ceintures, lacets, bracelets et le contenu de nos poches y compris les spacephones. Ils regardent aussi si nous n’avons pas quelque chose de suspect logé dans le trou du cul.

– Hé ! Je croyais qu’on avait droit à un coup de fil ?
– D’accord, magnez-vous.

Je téléphone à Nerren et lui indique qu’on a une embrouille avec la police locale et qu’ils ne faut pas qu’ils s’inquiètent…

On nous a foutu dans deux cellules différentes, donc on ne peut même pas dialoguer. Et je ne vous parle même pas de l’hygiène.

Je n’ai aucune notion du temps qui passe, plusieurs heures de toutes façons…

Finalement on vient me chercher et on me conduit dans une petite salle où Dyane vient me rejoindre.

La porte s’ouvre, une femme entre, une belle femme brune.

– Maude Hansson, avocate ! Se présente-t-elle. Bon, je viens de lire le dossier… drôle d’affaire… quelle est votre version ?
– J’ai l’impression que nous sommes en plein quiproquo. Je suis capitaine de vaisseau en retraite sur Vargala station et le hasard m’a mis sur la piste d’une grosse affaire criminelle. Cela m’a amusé de m’en occuper…
– Et cette affaire c’est quoi ?
– Euh, on nous écoute ?
– En principe non, mais vous savez les principes…
– Alors je vous répondrais plus tard.
– Comme vous voulez, je vais donc vous expliquer ce qu’il y a dans le dossier. Monsieur Egushi a tenté de négocier un deal avec la police, en fait il proposait de fournir des informations au sujet d’une organisation soupçonnée de trafics humains. Il souhaitait en échange une grosse somme d’argent. Le deal a échoué, j’ignore pourquoi mais Egushi a écopé d’une plainte pour tentative de corruption de fonctionnaire, mais laissé libre !
– N’importe quoi !
– Comme vous dites ! Toujours est-il que quelques jours plus tard Egushi a été passé à tabac par des inconnus qui l’ont laissé pour mort. En fait il s’en est sorti, la police l’a pris en filature à sa sortie de l’hôpital, mais il les a semé et a disparu dans la nature. Personne ne sait où il est, s’il est mort ou vivant. La seule chose dont on est pratiquement sûr c’est qu’il n’a pas quitté la planète.
– D’accord, mais de quoi nous accuse-t-on ?
– Sangor est persuadé que vous recherchiez Egushi afin de l’éliminer. Et comme il n’a aucune preuve, l’affaire devrait théoriquement en rester là. Sauf que ce mec est borné, il n’en démord pas et je suis au regret de vous informer qu’il a placé votre vaisseau sous verrouillage magnétique.
– Le salaud !
– Vous allez être présenté au juge d’instruction, il faudra lui révéler la nature de la grosse affaire criminelle que vous évoquiez tout à l’heure… Je crois d’ailleurs deviner de quoi il s’agit. Des questions ?
– Pfff ! Ben non pas de question !

Même pas pu échanger quelques impressions avec Dyane, les poulets nous ayant précipitamment reconduits dans nos cellules respectives.

J’en ai marre, mais marre ! Je me dis que j’aurais mieux fait de m’occuper de mes oignons…

Le lendemain nous étions devant le juge, un petit bonhomme fatigué, Après avoir lu le rapport de police nous accusant de tentative d’homicide (en toute simplicité) Maitre Maude Hansson put exposer la réalité des faits que nous lui avions décrite.

– Et c’est quoi cette grosse affaire criminelle ?
– Un vaisseau s’est posé sur Vargala, ce vaisseau venait de ravitailler une planète négrière sur laquelle serait détenu Martin Bonifacio, un magnat de la finance, disparu suite au piratage du vaisseau de luxe « La licorne ».
– Ciel ! Et ce n’est pas une fake new ?
– Non, j’ai copié une vidéo sur mon smartphone. Mais ce qui est plus grave c’est que le gars qui a filmé la vidéo s’est fait assassiner. Le navigateur remplaçant s’est aussi fait éliminer.
– Le navigateur remplaçant ?
– Ben, oui, puisque Egushi était hospitalisé.
– Mais pourquoi avez-vous ressenti le besoin de vous occuper de ça, il suffisait de prévenir la police fédérale !
– L’affaire me passionnait ! Disons que j’ai voulu faire le malin !
– Etes-vous conscient qu’il s’agit là d’un énorme point faible de votre défense ?
– Certes.
– Bon je vous libère, mais il vous est interdit de quitter la planète pour le moment. Je ne fais pas lever le blocus magnétique de votre vaisseau, il y a quelques points que je vais demander au commandant Sangor d’éclaircir. On se revoit dans 10 jours à 10 heures locale pour faire le point.

C’est d’un gai. Mais on est libres et la première chose que l’on va faire c’est de se restaurer convenablement, parce que les casse-croutes du poste de police, merci !.

Et en attendant la suite de cette passionnante histoire, revenons quelques temps sur Vargala où le capitaine Bechima est fou de rage après l’explosion de son vaisseau.

Il se renseigne à la capitainerie.

– Il n’y aurait pas un vaisseau à vendre ? Je peux payer comptant.
– Y’a le Merlot, là-bas, ça va faire six mois qu’il est là. Le contrôle technique a été effectué. Il est positif.
– Très bien donnez-moi les coordonnées du vendeur …

Bref l’affaire fut rapidement conclue, il restait à Bechima à réunir son équipage. Pour cela un petit coup de spacephone et tout le monde répondit présent … à l’exception de Schmidt ! (évidemment…)

– Il est où ce con ?

Les lecteurs le savent… Béchima promut alors son ingénieur de bord comme second, et en ce qui concerne le navigateur absent lui aussi (et pour cause) il fut obligé de consulter les demandes d’emploi du cosmoport.

Il embauche alors un navigateur au chômage, il s’agit d’Ozawa que nous avons déjà rencontré dans l’épisode précédent (Stoffer 5 – le collier de Marcia)

Retour sur Louzia-Port quelques jours plus tard…

On s’est un peu dispersé et ce soir je suis dans un restaurant local en compagnie de Sheila.

On nous propose une variété culinaire, de la viande d’une sorte de gros batracien, c’est ma foi plutôt bon, mais je n’en dirais pas autant du pinard qui l’accompagne et qui ressemble davantage à de la piquette qu’à autre chose.

Un type entre et j’en crois pas yeux !

– Ozawa !
– Capitaine Stoffer ! Mais qu’est-ce qui vous amène ici ?
– Je pourrais vous poser la même question.
– Je me suis fait engager comme navigateur sur un vieux rafiot.
– C’est qui le capitaine ? Je le connais peut-être.
– Bechima !
– Quoi ?
– J’ai dit une bêtise ?
– Non mais assis toi, je vais te raconter des trucs ! Mais attends, tu sais ce qu’il vient faire ici ?
– Non, on s’est embarqué sans fret, je suppose qu’il va en prendre ici, pas facile de communiquer avec ce capitaine, j’ai rarement vu quelqu’un aussi mutique

Alors je lui ai raconté toute l’histoire, y compris bien sûr ce qui était arrivé au navigateur en titre et à son remplaçant.

Je lui ai foutu une sacré trouille.

– J’ai peut-être intérêt à ne pas repartir avec lui, alors ? Me dit-il.
– Ne t’inquiètes pas je te prendrais à mon bord !
– T’as l’air soucieux ! Me dit-il.
– Oui, je ne m’attendais pas à voir débarquer Béchima, et je ne sais pas comment gérer ça. Je vais réfléchir. Ce que je te propose c’est de te mettre à l’abri sans tarder, monte à bord du « Rosamunda », je vais prévenir mon staff que tu arrives… Sheila va t’accompagner.

Le situation devient de plus en plus confuse. Je décide de demander conseil à l’avocate et sollicite un rendez-vous.

– Je ne travaille pas aujourd’hui, mais qu’est-ce qui se passe, il y a du nouveau ?
– Oui du nouveau ! Et du lourd !
– Passez me voir chez moi, je vous accorderais un quart d’heure !

Un quart d’heure pour y voir plus clair, elle ne doute de rien, l’avocate !

Maître Maude Hansson me reçoit en nuisette transparente enfin pas vraiment transparente, mais un peu quand même. Pour me déconcentrer c’est pas mal !

– Vous avez l’air déboussolé, je vous fais un café ?
– Volontiers !

J’attends qu’elle me serve avant de commencer puis je lâche le morceau.

– Béchima vient d’arriver sur la planète !
– C’est qui Béchima ?

Merde, elle ne se souvient plus du dossier, il ne manquait plus que ça !

Je lui rafraichis la mémoire…

– Ah, oui ! Attendez : J’ai le dossier sur mon spacephone !

Elle prend son temps pour le relire. Je regarde l’heure, si vraiment elle n’a qu’un quart d’heure à me consacrer, elle va bientôt me foutre à la porte…

Ça y est, elle a fini de lire, mais elle ne dit rien elle a les yeux au ciel et semble perdue dans ses pensées. Et puis…

– J’ai compris.
– Ah ?
– Reprenons le fil de l’histoire, Egushi propose un deal à la police qui refuse. Dans la foulée il se fait agresser. Donc ici nous avons deux hypothèses. La première c’est de dire que son agression n’a rien à voir avec ce qui précède, ça reste possible, mais on va éliminer cette hypothèse qui ne mène nulle part. Seconde hypothèse l’agression a un rapport avec le deal, or qui était au courant ?
– La police ?
– Ben oui ! Et personne d’autre, Egushi est célibataire et je ne le vois pas raconter à n’importe qui qu’il a proposé un deal avec les flics ! Donc la police avons-nous dit ! On le tabasse, on maquille ça en accident de barge et on le laisse pour mort. Cela laisse donc supposer que la police locale est en cheville d’une façon ou d’une autre avec les trafiquants dont vous me parliez.
– Eh bien, on n’est pas sorti de l’auberge !
– Je ne vous le fait pas dire. Actuellement Egushi est introuvable, on ne sait pas s’il est mort ou vivant, mais on peut supposer que la police a souhaité finir le travail puisque son agression ne lui a pas été fatale.
– Et Béchima ?
– Mais c’est tout simple, on pourrait penser qu’il est à la recherche d’Egushi ? Peut-être ! Mais que va-t-il faire quand il va constater qu’il a disparu de la circulation ? Il va s’adresser à sa hiérarchie. Et elle est où cette hiérarchie ? Forcément ici puisque les flics sont payés pour couvrir ses agissements !
– Euh…
– Qu’est-ce que vous comprenez pas ? Pour son voyage précédent, Béchima ne pouvait pas compter sur Egushi, mais qu’importe, les coordonnées de navigation étaient dans la mémoire du vaisseau et n’importe quel navigateur pouvait s’en accommoder. Là il n’a plus rien et donc comme Egushi est introuvable, il faut qu’il contacte ses chefs. Quant à vous, Sangor vous a pris pour une sorte de détective et s’efforce de vous empêcher d’enquêter.
– Vous avez une capacité d’analyse impressionnante !
– Eh, c’est que c’est un métier !
– Et donc qu’est-ce qu’on peut faire ?
– Je vais faire un rapport détaillé à la police fédérale, j’aurais besoin de votre aide ! Et sinon ma nuisette, elle vous plait ?
– Pardon ?
– Ne faites pas l’innocent, vous n’arrêtez pas de la reluquer .
– Je suis désolé…
– Ne le soyez pas, mais si vous avez des intentions coquines, sachez que je ne suis pas contre.
– Au moins c’est clair !
– La vie est si courte, pourquoi s’encombrer de frustrations, si on a envie, on fait ! A moins que quelque chose vous retienne ?
– Mais pas du tout ! Je peux donc me permettre de vous retirer cette nuisette ?
– Vous ne l’aimez plus ?
– Si mais je préfère encore ce qu’il y a en dessous !
– Vous êtes un coquin, vous !
– Oui !
– Alors retirez-là !

Je le fais, dévoilant une jolie poitrine en forme de poire dotée de très gros tétons.

– Oh ! Que c’est beau !
– N’exagérons rien !
– Je n’ai pas le droit de dire que c’est beau ?
– Mais si ! Et vous avez même le droit de me les ploter.

Si madame aime qu’on la plote, je ne vais pas me gêner ! Je lui caresse les seins du bout des doigts.

– Allez-y carrément j’aime parfois être un peu bousculée ! Ça ne vous gêne pas ?
– Non, je suis très joueur !
– Alors jouons, je suis votre soumise et j’ai été très méchante, alors vous allez me punir, m’humilier, m’insulter…
– Tout ça ?
– Ça ne vous plait pas comme jeu ?
– Disons que c’est inattendu, mais puisque je suppose que vous y trouvez votre plaisir, je me ferais un devoir de vous satisfaire.
– Vous êtes un gentlemen !
– J’essaie !
– Alors on y va, pincez-moi les tétons et traitez-moi de tous les noms, ça va m’exciter.

Puisque c’est un jeu, jouons… je lui tortille ses bouts de seins.

– C’est ça qui t’excite, hein, grosse vache ?
– Plus fort !

Il me faut m’efforcer d’entrer correctement dans ce jeu en sachant que si je n’ai rien contre les petits jeux sado-maso, je suis dans ce domaine davantage porté sur le côté soumis que sur le côté dominant… mais je crois pouvoir m’adapter…

– J’ai quelques pinces, je vais aller les chercher ! M’informe-t-elle.

Elle en apporte quatre reliées deux par deux par une petite chainette. Je fixe la première paire sur ses bouts de seins.

– Euh, l’autre paire ? L’interrogeais-je

(je crois savoir mais j’attends confirmation)

– En bas ! Connard !

En voilà une façon très malpolie de parler à son « maître »… Mais je réalise que c’est tout simplement de la provocation. Si elle continue à ce régime, je ne vais pas la louper.

Je lui fixe la seconde paire sur ses grandes lèvres, puis je tire sur les chaînes. Elle geint de douleur.

– C’est ça que tu voulais, conasse ?
– Oui, oui, vas-y fais-moi mal.
– Tu vas la fermer, poufiasse !

Et en disant cela je la gifle deux fois de suite.

– Ah ! Oui, c’est tout ce que je mérite.

Et pour faire bonne mesure je lui crache au visage.

– Il y a des badines et des cravaches dans le porte parapluie ! A-t-elle la bonté de m’informer.

Je m’empare donc de la badine…

– Tourne-toi, je vais te rougir ton gros cul de pute en chaleur !

Qu’est-ce qu’il est beau son cul, c’est vraiment dommage de lui faire de telles misères… Mais bon, puisque c’est ce qu’elle désire….

Je tape et je bande comme un dingue. Je me dis alors que je serais plus à l’aise en étant à poil et je me déshabille.

– T’as vu comme tu me fais bander, salope !
– Hi ! Hi !

La voilà qui rigole à présent ! Elle est imprévisible. A moins que ce soit encore de la provocation.

– Tu rigoleras moins quand je vais t’enculer ! Morue !
– Devant !
– Quoi « devant » ?
– Frappe moi devant !
– Oui, mais où ça ?
– Partout ! Les seins, le ventre, les cuisses… Et prend la cravache ce sera mieux.

Vraiment maso, la madame !

Je commence avec quelques coups sur les cuisses et le ventre. Je n’ose pas viser les seins me disant que si la cravache décroche les pinces qui sont sur ses tétons, elle va hurler !

Stoffer607B– Attends, on va faire autrement, j’ai de la corde à bondage dans le petit placard derrière, tu vas me bondager les seins.

Je prends la corde en question, mais je ne sais pas quoi en faire..

– J’ai jamais fait ça, je crains de ne pas savoir faire.
– Je vais te guider, connard !

Elle m’énerve à me traiter de connard !

Elle m’explique, je fais comme elle me dit entourant fermement ses seins avec la cordelette. Ainsi compressés ils prennent une couleur rouge violacée.

– J’enlève les pinces ?
– Non et tu vas rajouter des poids et ensuite tu vas taper jusqu’à ce que les pinces dégringolent.

Que faire ? Je ne me vois pas lui dire que trop c’est trop… Ce que femme veut… autant lui donner.

J’essaie tout de même d’ajuster savamment mon coup de façon à ne pas faire durer le supplice trop ;longtemps

Je vise le sein droit ! Raté ! Elle crie. Je marque un temps d’arrêt.

– Continue, connard !

Nouveau coup et cette fois la pince s’en va valdinguer. Maître Maude Hansson hurle et des larmes lui coulent du coin des yeux embarquant le maquillage au passage.

Elle ne me demande pas d’arrêter, je vise donc maintenant le sein gauche. Nouveau hurlement, nouvelles larmes.

Je laisse passer l’orage. J’ai la bite toute raide, presque douloureuse.

– Tu m’as bien corrigé, maintenant on fait une pause. Regarde comme je mouille !

C’est vrai que ses cuisses dégoulinent comme pas possible.

Je libère la cordelette et lui retire les pinces d’en bas.

– Et maintenant encule-moi comme une chienne.

Je ne me fais pas prier, elle est là devant moi me présentant son cul telle une offrande. Je crains simplement de partir trop vite. Je temporise en lui léchant son fion étoilé qui fleure bon.

Puis je la pénètre à la hussarde. Je vais, je viens, l’avocate gémit de plaisir et moi redoublant de vigueur, je me vide les couilles dans son conduit serré.

Je sors ma bite gluante de sperme et pollué de traces fécales. Maître Maude Hansson se fait un plaisir de me nettoyer tout cela de sa petite langue vicieuse.

– Si t’as envie de pisser, ne te gêne pas, autant finir en beauté !

Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! disait Tonton Rabelais. Alors je lui indique qu’effectivement j’ai comme une grosse envie. L’avocat se couche alors sur le sol, bouche ouverte et je lui pisse abondamment dans le gosier. Glouglou !

Fin du délire… et à la douche…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:22

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 6 – Sheila en partouze par Nicolas Solovionni
Trio2

Et nous voilà partis.

J’avais préalablement briefé Sheila sur l’une des joyeuses traditions du voyage interstellaire, celle consistant après le passage en hyperespace à fêter ça dignement et de façon très décontractée entre officiers autour d’un pot.

– Et alors, je ne suis pas officier à ce que je sache ! Me rétorque-t-elle
– Non, mais comme tu es sous ma protection, ça revient au même.
– Et tu es en train de me faire passer un message ? Si c’est ça je ne comprends pas bien…
– Parce que souvent ce genre de petites réunions tourne en orgie.
– Je vois ! Je faisais un métier où je pouvais refuser un partenaire ou une pratique. Et j’étais payée ! Est-ce que ce sera le cas ici ?
– Oui, sauf que tu ne seras pas payée !
– Donc personne ne me violera ?!
– Nous sommes des gens corrects, le sexe est une fête, pas un défouloir où les gens font n’importe quoi.
– Et si ça ne me convient pas ?
– Si ça ne te convient pas tu rejoindras ta cabine, personne ne t’en voudra.
– De toute façon ce ne sera pas ma première partouze, je verrais bien comment ça se passe !

Et ça, pour voir, elle a vu… On vous raconte.

On a commencé par le Champagne (on commence toujours par le Champagne !) et puis c’est toujours pareil, chacun attend le petit geste qui fera tout démarrer… et chacun veut que ça ne soit pas lui. On est bizarre parfois.

Mais voici que Yoyo, le chat du bord se prend d’affection pour Sheila et frotte son dos contre ses jambes, celle-ci se laisse faire.

– Tu aimes les chats, on dirait ! Lui lance Nerren.
– Oui, mais là c’est lui qui m’aime !
– Moi aussi j’aime bien les chats, mais je préfère les chattes ! Intervient Dilos.
– Ah, oui, et laquelle tu préfères ? Demande Dyane.
– La tienne bien sûr !
– Et qu’est-ce que tu voudrais lui faire ? La caresser ? La mienne adore les caresses.
– Les caresses ou les léchouilles ?
– Les deux ! Mais maintenant que tu m’as allumé avec tes bêtises, te voilà obligée d’aller jusqu’au bout.
– Comme si j’étais du genre à me dégonfler ?

Et Dyane retire son pantalon sous les encouragements de la petite assemblée.

– Et celui qui attrape ma petite culotte aura le droit de me taquiner la chatte.

Elle fait un geste de moulinet avec la culotte et soudain la lance en l’air provoquant la fuite du matou. Tout le monde lève les mains en haut et c’est Sheila qui l’attrape. En en étant la première étonnée.

– Viens ma grande, ça tombe bien… j’avais très envie que tu me lèches.

Sheila hésite quelques secondes avant de se lancer, elle s’approche de Dyane, se baisse entre ses cuisses et vient lui lécher l’abricot.

Avec cette petite coquinerie, si la partouze n’est pas lancée, c’est à désespérer du genre humain !

Nerren qui est comme qui dirait « à voile et à vapeur » s’approche de moi avec des intentions peu catholiques et plaque sa main sur ma braguette.

– Ça te fait bander, hein capitaine ? Me nargue-t-il gentiment.
– Tu sais bien que je bande souvent.
– On peut voir ?
– Ça doit être possible, oui ! Répondis-je en libérant la bête !

Je n’ai même pas le temps de la sortir complétement que déjà Nerren la prend en bouche et commence à me la sucer avec gourmandise.

Je ne sais pas si je suis réellement bisexuel, me foutant complétement des étiquettes, mais ce qui est vrai c’est que j’aime bien les bites. Et que dans ce genre de rapport je suis plutôt intéressé par le côté passif de la chose.

J’attends donc l’occasion de lui demander la réciprocité, mais je dois dire que pour le moment il me suce fort bien.

Un coup d’œil aux environs, Dyane allongée sur la petite banquette continue à se faire allégrement lécher la moule par la belle Sheila. Nadget que je n’ai pas vu se déshabiller se fait lécher les seins par Dilos lequel se tape une érection du tonnerre de Dieu ! Yoyo est revenu. Tout va bien !Stoffer607

Nerren continue à me fellationner (quel vilain mot !) mais en homme courtois il a tenu à me baisser mon pantalon et ma culotte, ce qui lui permet d’avoir accès à mes roubignoles.

Et voilà que je sens sa main s’aventurer en dessous de mes couilles. Nul besoin d’être grand clerc pour deviner ses intentions salaces… Et effectivement quelques instants plus tard j’avais son doigt dans le cul et il le gigottai joyeusement. Je ne vais pas me plaindre, j’adore ça…

N’empêche que j’aimerai bien le sucer à mon tour. Je lui demande, il est d’accord, il n’est pas si compliqué Nerren !

Et j’ai enfin sa belle bite dans ma bouche, inutile de préciser que je m’en régale ! Je suce avec gourmandise me régalant de ce gland au gout salé, de cette belle verge bien droite et ornée d’une impertinente veine bleue. Je suce, je suce et je bande.

– Tu veux que je t’encule ? Me demande-t-il (alors qu’il connait pertinemment ma réponse).

Je me mets en position et après m’avoir humecté le fion de sa langue, il me pénètre d’un coup sec. J’adore cette sensation de rempli qui me procure des frissons de plaisir .

Quant à Dilos il encule Nadget, la belle blackette. Je vous dis : tout va bien !

Nerren a fini par jouir dans mon cul en beuglant comme un cochon. Il ressort sa bite de mon cul, une bite pas très propre polluée de sperme et d’un peu d’autre chose aussi.

Il regarde autour de lui qui pourrait bien la lui nettoyer, mais tout le monde est occupé : Sheila et Dyane se sont mises en soixante-neuf et se sont lancées dans une partie de broute minette respectifs. Elles sont peu discrètes et leurs gémissements envahissent la pièce.

Du coup Nerren sort de la pièce suivi par Yoyo qui doit se figurer qu’on va lui servir du pâté.

C’est au tour de Dilos de jouir comme un malade et de quitter la pièce (on va finir par se croire au théâtre de boulevard si les entrées et sorties continuent à cette cadence !)

Du coup Nadget vient me voir et sans hésiter une seconde me gobe la bite. Mais quelle partouze mes amis ! Quelle partouze de folie !

Sheila et Dyane se sont fait jouir (peu discrètement) et après s’être échangé un gros bisou bien baveux, se dirigent vers la table et se resservent du champagne.

Nadget s’apercevant que Sheila est maintenant libre, me lâche la bite pour aller l’entreprendre…

– Je reviens ! A-t-elle le culot de me dire !

Mais enfin, ça ne se fait pas !

Je reste comme un con sur mon siège. Je vais finir par me branler tout seul si personne ne se décide à me rejoindre.

Dilos et Nerren reviennent avec la bite toute propre.

Dilos tente de s’immiscer dans le couple lesbien formé par Sheila et Nadget oubliant par là qu’on ne dérange pas deux femmes prenant leur plaisir ensemble. Il se fait donc rembarrer gentiment mais fermement et s’en va s’assoir auprès de Dyane après s’être versé un jus de fruit.

Il me faut préciser que Dilos a longtemps été le petit copain attitré de Dyane. Ce n’est plus le cas, il ne sont pas fâchés mais bon, les rapports ne sont plus les mêmes

Du coup Dyane qui s’était assoupie quelques instants se réveille et vient me voir !

– Alors Capitaine, on fait banquette ?
– Ce sont des choses qui arrive !
– Ne bouge pas, je vais faire un truc.!

Elle me branlotte quelques instants afin de me rendre la bite bien raide, puis vient s’empaler dessus. Super position pour moi puisque c’est la femme qui fait tout le boulot (ben quoi, j’ai bien le droit d’être feignant de temps en temps, non !)

Elle me chevauche ainsi plusieurs minutes avant de vouloir changer de trou ! Pas de souci, la voilà qui s’encule toute seule comme une grande fille ! Et histoire de maintenir ma bandaison elle me pinsouille mes tétons ! Quelle coquine !

Dyane se met à haleter rapidement tandis que le sang afflue sur son visage et au-dessus de ses seins. Elle va jouir, elle jouit ! Du coup moi qui ne bougeais quasiment pas, je me mets à donner quelques coups de rein pour libérer ma propre jouissance.

C’était bien ! On s’embrasse ! Et elle n’hésite pas à me nettoyer la bite. Chic, pas besoin de faire un arrêt-lavabo ! Par contre Dyane m’informe de son envie pressante.

– Ça te branche ? demande-t-elle
– Bien sûr !

Je m’allonge sur le sol, Dyane vient coller sa chatte sur ma bouche ouverte, puis ouvre les vannes. Elle procède en petits jets successifs afin que je m’étouffe pas et qu’on en mette pas partout.

Elle avait le pipi gouteux !

Sheila après avoir joui une nouvelle fois sous les coups de langue de Nadget, s’approche de Dilos et sans lui dire un mot lui tripote la queue… et deux minutes plus tard il la baisait.

– Allez on trinque !

On se remplit nos verres, on se rhabille, je passe un coup de serpillère.

Il faut bien savoir terminer une partouze, si on veut recommencer… Disait Lao Tseu. (à moins que ce soit un autre…)

Louzia3 n’est pas si loin et après un voyage de quinze jours sans histoire nous y atterrissions.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:20

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 5 – Retour dans la jungle par Nicolas Solovionni
Ninotchka

Quant au lieutenant Schmidt, il est alité dans la clinique du docteur Nuru aux « bons soins » de Gundula Miller. La Mafia malgré ses ramifications n’est pas partout !

L’air de rien cette histoire a fini par me passionner. Pour avancer, il me fallait d’autres indices, d’autres renseignements. Je retournais à la clinique et tentais de dialoguer avec Schmidt.

– Tu sais que ton navigateur a été tué ?
– Normal, il en savait trop !
– Quoi ?
– On n’allait pas prendre de risques avec ce gars-là, il n’était pas fiable.
– Tu ne vas pas me dire que vous faites assassiner votre navigateur à chaque voyage ?
– C’est pas ça, le navigateur titulaire a eu un accident avec sa barge, il en a pour un petit bout de temps à l’hôpital.
– Et il est dans quel hôpital ?
– Je ne sais pas trop, c’est sur Louzia3
– Et il s’appelle comment ce mec ?
– Akira Egushi.

Autrement dit si je veux avancer, il me faut aller sur place. Après tout pourquoi pas, ça me fera une balade !

Je réuni mon staff…

On va refaire les présentations

Dyane Makaya, dont on a déjà parlé et qui est ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, aujourd’hui patronne d’un institut de massage de standing.

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement. propriétaire d’un restaurant.

Nadget est une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord. Elle aussi est propriétaire d’un restaurant (et d’une jolie piscine en prime)

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant. Aujourd’hui propriétaire d’un bel hôtel.

Eh oui, on a tous fait fortune (voir les détails dans Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza)

Je fais donc l’article, je pensais qu’il s’agirait d’une formalité mais ça pinaille.

– Pourquoi s’occuper de ça nous-même ? On n’a qu’à refiler le tuyau à la police fédérale ! Objecte Nerren.
– Je voudrais d’abord voir si mon tuyau est fiable, et ensuite au passera la main aux fédéraux. Rétorquais-je tout content de ma réplique.
– Et qu’est-ce que tu vas faire de Sheila ! Me demande Dyane.

Saperlipopette ! Je n’y avait plus pensé à celle-ci !

– C’est qui Sheila ? Demandent les autres.

Je leur explique…

– Soit l’un d’entre nous ne part pas et reste avec elle, soit on l’emmène ! Propose Dilos.

Finalement on décide de l’emmener avec nous…

– Oui, mais la promesse que tu as faite aux filles dans la presqu’ile ?

Ah, oui, il y a ça aussi…

– Je m’en occuperai en rentrant ! On part demain ?

Et tout le monde est partant… quand on a la folie de l’espace dans la peau, c’est pour longtemps.

Je branche donc la Sheila et lui explique mon projet.

– Et c’est en allant te balader dans les étoiles que tu vas tenir ta promesse ?
– Je vais de ce pas en caser deux dans mon cabaret, je m’occuperai des autres à mon retour. Viens avec moi on va prendre une barge…

Je pose la barge à la lisière de la jungle. Heureusement que Sheila est avec moi parce que pour se retrouver dans ce fouillis, c’est la croix et la galère.

Zorah nous accueille avec un grand sourire.

– Alors tu viens tenir ta promesse ? Me demande-t-elle
– Je dois m’absenter de la planète plusieurs semaines… Pour le moment je peux rapatrier deux filles, les autres ce sera à mon retour.
– O.K. l’essentiel c’est que tu sois de parole. Vidia et Antinéa, êtes-vous d’accord pour partir les premières ?.

Bien sûr qu’elles sont d’accord !

– Nous n’avons pas grand-chose à t’offrir pour te remercier, mais nous serions ravies de nous amuser avec toi !

Je l’aurais parié !

Et c’est la belle Zorah qui ouvre les « hostilités » en me portant ostensiblement sa main sur ma braguette.

Je me laisse faire… En fait j’ai toujours adoré me laisser faire ! Elle m’extrait ma bite de mes fringues et après quelques mouvements de branlette, elle se l’engouffre dans sa bouche gourmande.

Kali, sa fille, passe derrière moi et me fait glisser mon pantalon sur mes chevilles, la coquine me pelote les fesses, les écarte et sans crier gare m’enfonce un doigt dans le cul.

Franchement ça ne se fait pas ! Elle aurait pu demander ! Mais n’empêche que j’apprécie, sollicité par devant et par derrière c’est super, non ?

On me demande de me déshabiller… Ben oui, le sexe, c’est toujours mieux à poil !

Et les deux sauvageonnes me tripotent partout, la bite, les couilles, les fesses, les tétons… De vraies furies.

C’est Zorah qui me lâche la première… Mais c’est pour se positionner devant moi en levrette, croupion relevé, cuisses écartée, la rosette en évidence !

Si ce n’est pas une invitation à la sodomie, qu’est-ce cela peut-être d’autre ?

Subrepticement je m’approche, ce trou du cul m’attire de trop, il faut que je le lèche ! Putain quel parfum subtil, ça me rend fou !

Sous l’action de ma langue, le petit trou se met à béer. J’avance le bout de ma langue comme je le peux, mais ce n’est pas ma langue qu’elle veut, la bougresse !

– Encule-moi, encule-moi !

On y va ! on y va !

Ma bite glisse là-dedans comme une luge sur une pente de ski. Je m’y enfonce avec bonheur et commence une série de va-et-vient rapides pendant que sa fille Kali vient devant elle pour l’embrasser et lui titiller les seins. C’est beau l’esprit de famille !

Stofer605Et pendant que je ramone la belle mature, je sens un doigt me pénétrer le fondement. Cette fois c’est la jolie Vidia qui s’autorise cette privauté culière, tandis qu’à quelques pas, Sheila se fait bouffer la chatte par Antinéa.

Zorah ne tarde pas à jouir du cul, du coup j’accélère ma cadence et lui éjacule dans le fondement.

Je ressors ma bite maintenant gluante de sperme et tachée de matière fécale… Je cherche de quoi m’essuyer, mais Kali accoure et me nettoie tout cela de sa jolie bouche ! La coquine ! La salope ! (ce n’est pas incompatible)

De retour en ville, je leur explique :

– Nous allons nous rendre au Diable rose. C’est un cabaret dont je suis le patron, il y a surtout des transsexuelles, l’ambiance est assez bonne si j’en crois ce que l’on me raconte. Je vais vous confier aux bons soins de Riquita. Ce sera un placement provisoire, on refera le point à mon retour.
– Mais je ne comprends pas ! Intervient Sheila. Tu cases deux des filles, c’est très bien, mais moi pourquoi tu ne me cases pas avec elles.

Bonne question qui me prend quelques secondes au dépourvu.

– Euh gérer deux personnes supplémentaires ou en gérer trois, ce n’est pas la même chose, mais on peut toujours se débrouiller. On va dire que je te laisse le choix : ou tu embarques avec nous, ou je te laisse avec tes copines.
– Hi ! Hi ! Et toi tu préférerais que je vienne avec toi ? J’ai bon ?
– Ben oui, t’as bon !
– Ne tombes pas amoureux de moi, je ne suis pas le genre à m’attacher.
– Je ne suis pas amoureux, j’aime bien ta compagnie, c’est différent.
– Ma compagnie ou ma poitrine ?
– Ce n’est pas incompatible !
– Alors d’accord, je pars avec toi !

Brave fille !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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