Chanette

Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:16

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 8 – La soumission d’Honoré par Chanette

Chanette

Ce même vendredi 22 mars

 

Le matin, à l’ouverture du magasin de cycles « La petite reine », Max le dur se rendit sur place sans s’encombrer de procédure :

 

– Francis Larive ?

– C’est bien moi !

– Ecoute pépère, tu es en possession d’une cassette qui ne t’appartient pas, alors tu me la rends gentiment, sinon, je m’énerve !

– Mais attendez, vous vous vous trompez de personne…

– Bon, c’est le denier avertissement, après je cogne !

– On peut peut-être s’expliquer… improvisa Larive sans trop savoir ce qu’il allait raconter.

 

Le poing de Max lui atterrit dans le ventre et le fit se plier en deux.

 

– Salaud !

– Alors cette cassette ?

– Elle ne vaut rien, le bijou est faux !

– Je continue de taper ou quoi ?

– Elle est chez moi !

– Alors on va aller la chercher !

– C’est que j’attends mon employé !

– On s’en fout, amène-toi !

 

Francis Larive ferma le rideau de fer du magasin et sortit avec Max, peu rassuré sur la suite des événements.

 

« Je lui dis ou je ne lui dis pas ? »

 

Prévoyant des complications, il préféra parler.

 

– Il y avait des trucs dedans que j’ai déjà vendu ?

– V’la autre chose ! A qui ?

– Un bijoutier et un libraire !

– Et bien, on va aller leur dire bonjour, ça nous fera une balade !

 

La récupération du bijou s’effectua sans problème, Max apprit cependant que celui-ci était en zirconium. En revanche chez le libraire :

 

– Ces manuscrits ont été repris par la personne qui me les avait confiés. Je commence en avoir marre de ces machins qui vont et qui viennent…

– Pardon ?

– Je suis en règle, si vous soupçonnez quoi que ce soit, voyez avec la police, moi je n’ai rien à me reprocher. Ça provient d’une vente aux enchères mais j’ignore si…

– Oui, bon, t’as l’identité de la personne !

– C’est confidentiel !

– Tu veux que je m’énerve ?

 

Et muni de l’identité de Marie-Josèphe, ils quittèrent le libraire et partirent récupérer la cassette quasiment vide.

– Et que je ne te retrouve pas dans mes pattes, connard !

 

« Ça se complique ! » se dit Max une fois seul.

 

En guise de coordonnées, Lamboley lui a uniquement communiqué le nom et le numéro de carte bancaire de sa cliente.

 

Un coup de fil à son patron et il obtient l’adresse de cette Marie-Josèphe de la Villandière à Gouley-le-Château, dans les Yvelines.

 

« Evidemment ça ne prouve rien, il peut y avoir usurpation d’identité, fausse carte… Et de toute façon il faut que je sache le fin mot de l’histoire, on va y aller au flan ! »

 

Samedi 23 mars

 

Max possède une petite collection de fausses cartes dont une d’inspecteur de la police judiciaire.

 

Il l’exhibe à l’entrée du château et demande à voir Marie-Josèphe.

 

– C’est à quel sujet ? Demande Honoré en voyant débarquer Max dans son salon.

– Police ! Je viens juste recueillir le témoignage de Madame, ne vous inquiétez pas, elle n’a rien fait de mal. Néanmoins il s’agit d’un entretien privé.

– Autrement dit, il faut que je dégage, vous avez un mandat je suppose ?

– Il n’est pas nécessaire d’avoir un mandat pour un simple témoignage…

– Certes, mais m’ordonner de quitter les lieux, n’est-ce pas un peu cavalier ?

– Je peux faire autrement, je demande au juge d’instruction un mandat d’amener et j’embarque Madame ! Vous préférez ?

– Pfff ! Proféra le marquis en quittant les lieux.

 

Et sur ce la marquise descendit peu rassurée par cette visite inattendue.

 

– Que se passe-t-il ?

– Ne craignez rien, simple enquête de routine…

– C’est mon mari ?

– Mais non…

– Les domestiques ?

– Laissez-moi en placer une, vous serez gentille. Il y en a juste pour cinq minutes, nous allons sortir et bavarder dans le jardin, cela évitera les oreilles indiscrètes.

 

Dans la grande allée bordée de rosiers méticuleusement entretenus, Max aborda le sujet :

 

– Vous avez acquit une collection de manuscrits écrits de la main de Sacha Guitry.

– Ils appartiennent à mon mari !

– Laissez-moi terminer, je vous en prie, il est possible que ces lettres soient le produit d’un recel…

– Mais c’est quoi cette histoire ? C’est le libraire qui se prend pour un redresseur de tort ?

– Calmez-vous madame, s’il vous plaît !

– Non, je ne me calme pas, mon mari les a achetés aux enchères à Drouot.

– Et vous avez le certificat de vente ?

– Vous lui demanderez, je ne fouille pas dans ses affaires !

– D’accord ! Le libraire m’a affirmé que vous les lui aviez vendus dans un premier temps pour les racheter ensuite, est-ce exact ?

– Et il est où le problème ? Ces trucs sont à moi, j’en fais ce que je veux !

– Vous êtes sûre qu’ils ne sont pas à votre mari plutôt ?

– Oui ! Bon ! Si c’est lui qui a porté plainte, je veux bien continuer à vous répondre sinon je me tais.

– Alors restons-en là !

 

Max ne demanda pas le certificat de vente, mais demanda à son patron de vérifier auprès de Drouot l’authenticité de la transaction.

 

Nous avons assez peu parlé de moi jusqu’ici, cela va venir à présent.

 

Petits flashbacks

 

Pendant toute cette période pendant laquelle le marquis soupçonnait ses domestiques, il cessa toute activité sexuelle avec eux. On ne baise pas avec ses voleurs, que diable ! Il fut longtemps client, avons-nous dit, d’une Karita, une domina qui lui donnait toute satisfaction et qui lui permettait d’assouvir ses fantasmes préférés et secrets.

 

Oui mais voilà, Karita avait quitté le job. Honoré chercha donc une autre dominatrice et le lecteur devinera aisément qu’il tomba sur ma modeste personne !

 

Il est amusant ce type, pas timide, ni honteux comme certains, un peu hautain sans qu’il soit désagréable, il me regarde sans aucune gêne.

 

– Comme tu t’appelles ?

– Honoré !

– Et qu’est ce qui te ferais plaisir ?

 

J’aurais pu lui faire renseigner mon petit questionnaire mais j’ai oublié d’en imprimer.

 

– Une domination sans exagération, un peu de martinet, des pinces, j’aime bien les godes aussi.

– T’aimes bien faire l’esclave ? T’aimes qu’on insulte ?

– Modérément !

 

Chanette26HUn esclave modéré ! Ce doit être un nouveau concept !

 

– C’est la première fois que tu viens voir une maîtresse ?

– Non, j’avais une maîtresse régulière, mais apparemment, elle n’exerce plus.

– Tu veux me dire qui c’est, je la connais peut-être.

– Karita, près de l’Opéra.

 

Il me raconte que depuis il a essayé plusieurs dominas, mais qu’il a été déçu… Autrement dit, si je veux le fidéliser, il faut que je me surpasse, mais j’ai confiance, la façon dont il me regarde me semble un bon présage.

 

– Bon, passons aux choses sérieuses, tu me donnes un peu de sous et tu te fous à poil.

 

Il me tend une enveloppe.

 

– Excuse-moi de vérifier, mais on ne se connait pas.

 

Il me fait un sourire idiot, ça va, il est généreux ! Je vais le gâter pépère !

 

A poil il est quelconque, avec une bite quelconque, il a cependant des tétons assez développés.

 

Je commence par lui mettre un collier de chien autour du cou, un joli collier tout rose, marqué « Médor » auquel est attachée une laisse et l’emmène dans le donjon.

 

Je me place devant lui, me passe vicieusement la langue sur mes lèvres, puis lui attrape ses bouts de seins que je pince et que je tortille. L’effet est immédiat, le mec bande comme un sapeur.

 

– T’aimes ça, hein, salope ?

– Oui, je suis une salope !

 

O.K. s’il aime les noms d’oiseaux, il va être servi

 

– Je vais te mettre des pinces, ça va te faire encore plus mal !

– Oui, maîtresse !

 

J’accroche une pince à droite, une autre à gauche, il serre les dents mais supporte.

 

– Je ne t’ai pas autorisé à faire la grimace !

– Pardon, maîtresse !

 

Je le gifle, pas trop fort, mais c’est quand même une gifle, pas une caresse, je n’aurais peut-être pas dû, tout le monde n’aime pas ça !

 

– Merci maîtresse !

 

– Ouvre ta bouche ! Tu sais ce qui va t’arriver, poufiasse ?

– Vous allez me cracher dessus, maîtresse !

– Bonne réponse !

 

Je le fis, et en même temps je tirais sur les pinces, lui provoquant des soupirs où la douleur se mélangeait au plaisir. Après quelques minutes de torture des seins, je décidais de passer à autre chose, à l’aide d’un long lacet je lui attachais ses grosses couilles et lui demandais de se tourner afin qu’il me présente son cul.

 

– On t’a déjà dit que tu avais un cul de pédale ?

 

Phrase bateau, je dis ça à tout le monde !

 

– Oui, maîtresse ?

– Et c’était qui ?

– Maîtresse Karita.

 

Je n’ai pas pris le martinet, mais une badine, il ne faut pas toujours faire la même chose, et je commence à lui rougir les fesses Premier coup modéré comme je le fais habituellement, le second un plus fort, le troisième encore plus fort. J’augmente encore l’intensité pour le quatrième. Petit cri du soumis, j’ai trouvé la bonne frappe et continue ainsi sans compter, mais il s’est bien ramassé une bonne vingtaine de coups.

 

Je le fais de nouveau se retourner, il bande décidemment très bien, je rejoue un petit peu avec les pinces, il affiche un sourire ravi.

 

Avec la laisse, je le tire vers le cheval d’arçon et fais s’arcbouter dessus.

 

– Tu sais ce qu’il va t’arriver, esclave ?

– Heuh ?

 

Il manque d’imagination, pépère, mais quand il me voit m’harnacher avec le gode ceinture, il comprend mieux.

 

– Vous aller m’enculer, maîtresse !

– T’es très perspicace, toi ! Mais avant, tu vas me sucer ce gode.

 

Il ne se fait pas prier et prend manifestement grand plaisir à sucer cette bite en plastique.

 

– Dis donc, toi, on dirait que t’aimes ça, sucer de la bite ?

– Oui, maîtresse !

– Tu en as déjà sucé des vraies ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu t’es déjà fait enculer, aussi ?

– Oui, maîtresse !

– Tu aimes ça ?

– Oui, maîtresse !

– Et tu n’as pas honte ?

– Non, maîtresse !

– Tu sais parfois, je garde dans mon donjon des mecs qui aiment la bite, je les fais se sucer, s’enculer…

– Ça doit être génial !

– On en reparle après, pour le moment je vais t’enculer avec le gode.

 

J’en possède de plusieurs tailles, j’avais choisi un moyen, je le recouvre d’une capote, je le tartine d’un peu de gel, lui écarte les fesses. Et, hop, ça s’enfonce dans le trou du cul ! J’active le vibrateur et le pilonne en cadence. Et c’est qu’il apprécie. Après quelques minutes de ce traitement, je me retire lui laissant le trou du cul béant.

 

Je vais pour ranger mon joujou, mais Honoré le regarde d’un air bizarre. Je crois deviner ce qu’il veut, sans en être trop sûr. Je tente le coup.

 

– Suce moi encore ce gode !

– Je ne sais pas !

– Arrête de faire ta jeune fille, tu en meurs d’envie.

– Je ne sais pas, maîtresse !

– Tu es une petite salope ?

– Oui !

– Non dis-le !

– Je suis une petite salope !

– Et les petites salopes, elles lèchent les godes et les doigts qui sortent de leur cul, alors tu vas faire pareil.

 

Le gode n’est pas trop pollué, mais bon, il sort d’un cul tout de même, il y a quelques traces douteuses et il y a l’odeur. Qu’à cela ne tienne, le bonhomme suce et il a l’air de se régaler.

 

– T’aime ça lécher un gode plein de merde, hein, esclave ?

– Oui, mais j’ai peu honte, je ne dois pas être tout à fait normal.

– Comment ça, t’es pas normal ? Ça ne fait de mal à personne ! Si tu veux un jour on pourra aller plus loin, tu aimerais me regarder en train de chier ?

– Oui, maîtresse.

– Et tu me serviras de papier à cul !

– Pourquoi pas, maîtresse !

 

Le mec est à fond dans ses fantasmes et il bande comme un cerf. N’empêche que je viens peut-être de faire une connerie en lui promettant des choses que je ne pourrais peut-être pas tenir. Je m’explique, j’ai assez peu de clients scatos, même si certains manifestent des tendances. Le souci c’est que contrairement à l’uro qui ne me pose aucun problème parce que je suis une bonne pisseuse, le caca sur commande, je ne sais pas faire.

 

– Bon allonge-toi, je vais te donner à boire !

– Oh merci, maîtresse.

 

Je me suis accroupie, chatte contre bouche et j’ai ouvert les vannes du pipi, il a fait comme les autres il en a bu pas mal, le reste dégoulinant à côté. Du coup il va me demander une douche, je ne vais pas lui refuser, si je veux le fidéliser…

 

Mais avant, je vais lui ne foutre plein la vue, le mec il va repartir avec une belle image !

 

– Maintenant il faut finir, je vais te montrer mes seins, tu vas te branler en les regardant et en guise de cadeau de bienvenue tu as même le droit de m’asperger.

 

Je lui montre mes nénés, il a l’air d’apprécier, je suis sûre qu’il aimerait les caresser, mais faut peut-être pas charrier non plus, ce n’est pas Noël !

 

Il s’est astiqué la bite avec une frénésie qui faisait plaisir à voir. Je me suis essuyée avec du Sopalin, merci monsieur Sopalin

 

En revenant de sa mini douche, le client était tellement content de ma prestation qu’il me demanda si je pouvais organiser un petit trio bisex la fois suivante. Opération fidélisation, réussie !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:13

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 7 – Les chaleurs de madame la marquise par Chanette

Stamp Mature Sodo

 

Au château

 

Mais avant de voir Max à l’œuvre, retournons au château du marquis de la Villandière, parce qu’on ne vous a pas encore tout dit.

 

Cela fut d’abord rare, mais ça arrivait ! Parfois la marquise Marie-Josèphe de la Villandière ressentait d’étranges et agréables frétillements au niveau de son entrejambe. Une réaction purement physiologique puisque portée par aucun fantasme. Elle comprit, mais un peu tard, car Madame était dure à la détente que sa main pouvait la calmer.

 

Alors, elle avait honte, mais honte, à ce point qu’elle n’osait même pas en parler à son confesseur. C’est dire !

 

L’arrivée au château des deux jeunes domestiques changea étonnamment la donne. Si Marie-Josèphe ne pouvait pas encadrer Elodie et ne se privait pas de le lui faire sentir, avec Julien, ce fut tout différent : Elle le trouvait beau, très beau et même bien plus beau que son époux. A ce point que les traits de son visage se mirent à hanter ses nuits.

 

Et ce qui devait arriver arriva, bientôt ses excitations se lièrent à l’image de Julien.

 

La situation devenait compliquée et la marquise se dit d’abord que ce jeune homme devait être l’envoyé d’un démon tentateur et que la bonne solution serait d’intercéder auprès de son époux afin qu’il le renvoie.

 

Seulement, voilà, Julien était un modèle de gentillesse, un peu rustre parfois, mais vraiment gentil, leurs rapports étaient empreints de grande courtoisie et ne souffrait d’aucune ambiguïté.

 

Et le soir Marie-Josèphe fantasmait à fond les manettes.

 

Cette obsession devint au fil des jours de plus en plus envahissante, à ce point que la marquise envisageait désormais de coucher avec Julien !

 

Carrément !

 

Il y avait cependant deux obstacles :

 

Le premier était d’ordre religieux mais elle le balaya :

 

« J’ai, toujours eu une vie de dévotion, Dieu peut bien me pardonner un écart ! D’ailleurs si on a inventé la confession et l’absolution, ce n’est pas pour les chiens ! »

 

Il lui apparaissait d’ailleurs que le péché de fornication hors mariage était moins honteux à confesser que ses turpitudes masturbatoires.

 

Le deuxième obstacle était physique. Il n’était pas évident que Julien soit tenté de coucher avec une femme aux allures de dame patronnesse. Il lui fallait donc changer de look. Elle acheta par correspondance une nuisette quasi-transparente.

 

Quand elle la reçut, elle s’empressa de l’essayer et fut satisfaite du résultat :

 

– Ma poitrine n’est pas si mal ! Qu’est-ce que je pourrais faire d’autre ? Ah, mes cheveux !

 

– Elle défit son chignon de punaise de sacristie et laissa retomber sa chevelure sur ses frères épaules.

 

– Bon, je ne suis pas Miss Monde, mais je ne peux pas faire mieux. Une perruque peut-être , une perruque blonde. Elle en acheta une par correspondance. C’est trop pratique Internet !

 

Restait à franchir le pas. De temps en temps Marie-Josèphe buvait un petit coup, un acte qui n’est pas condamné par les saintes écritures, loin de là, puisque Jésus a même changé de l’eau en vin, c’est pas Mahomet qui aurait fait ça ! !

 

Elle but un petit coup afin de se donner du courage, retira sa culotte et sonna Julien :

 

– Voulez-vous m’attraper ce carton en haut de l’armoire, je ne sais plus ce qu’il y a dedans et je n’arrive pas à le prendre !

– Bien, madame la marquise ! Répond Julien complètement ahuri de voir sa patronne dans cet accoutrement.

– Vous n’avez pas l’habitude de me trouver dans cette tenue ! Je cache bien mon jeu, n’est-ce pas ?

– Madame la marquise est…

 

Julien bafouille et ne trouve pas ses mots.

 

– Qu’alliez-vous dire, Julien ?

– Excusez-moi, vous êtes très troublante madame !

– Si je vous fais envie, ne vous gênez surtout pas, je suis à votre disposition et cela restera entre nous !

 

Cette phrase, elle l’avait répété, dix, vingt fois, se demandant si elle oserait la prononcer devant Julien. Elle s’étonne qu’en l’instant, ce fut si facile.

 

Je peux toucher vos seins, Madame la Marquise ?

 

Marie-Josèphe qui n’avait pas envisagé les choses de cette façon dans son fantasme, fit mine de ne pas avoir entendue la question et s’allongea de tout son long sur le lit, puis écarta les cuisses en disant :

 

– Viens me prendre, viens me baiser !

 

Il n’entre pas dans les intentions de Julien de pratiquer de la sorte, d’une part il aime bien les préliminaires et d’autre part, il n’a pas de capotes et ignore si la femme en possède à portée de mains. N’empêche qu’en se couchant à ses côtés, il peut avoir accès à ses seins… Il les dégage de la nuisette et vient les embrasser

 

Marie-Josèphe considère ce que fait Julien comme un contre temps, Mais elle ne dit rien. Après tout elle ne connaît rien aux choses de l’amour, alors que le jeune homme semble avoir de l’expérience, elle le laisse donc prendre la direction des opérations.

 

Elle ne tarde pas à ressentir des ondes agréables et s’abandonne aux caresses de son partenaire dont la main est maintenant descendue vers sa chatte qui commence à s’humidifier.

 

Il la doigte quelques instants, mais ce n’est pas trop son truc à Julien. Le voilà qui opère un mouvement de reptation afin d’amener sa bite à la hauteur du visage de la bourgeoise.

 

Celle-ci ne comprend pas, et Julien ne comprend pas qu’elle ne comprenne pas.

 

– Vous ne sucez peut-être pas ?

 

Marie-Josèphe est complètement larguée, rien ne se passe comme prévu.

 

– Je ne comprends pas ! Finit-elle par bredouiller.

– Si vous ne sucez pas, ce n’est pas grave ! Vous voulez que je vous baise tout de suite ?

– Oui ! Répond timidement la femme.

– Vous avez des capotes ?

– Non ! Laissez tomber, j’ai eu un coup de folie.

 

Julien fait semblant de ne pas avoir entendu la réplique et s’en va chercher des préservatifs qu’il sait trouver dans l’armoire à pharmacie de monsieur le marquis.

 

Quand il revient, Marie-Josèphe s’est passé une robe de chambre. Julien analyse brièvement la situation, la femme s’est vite fait dépasser par les évènements, c’est à lui maintenant d’essayer de rattraper le coup. Non pas par bonté d’âme, mais d’une part la perspective de baiser la marquise lui plait bien, et puis, il se rend compte que s’il devenait son amant régulier, il pourrait en retirer des avantages substantiels

 

– Il ne s’est rien passé, je compte sur votre discrétion. Proclame la femme drapée dans sa dignité.

– Je saurais être discret, mais si je peux me permettre, il ne faut jamais rester sur un échec, pourquoi ne me feriez-vous pas confiance ?

– On n’en parle plus ! Conclut-elle d’un ton ferme.

 

Julien n’insista pas, mais le lendemain, Marie-Josèphe de nouveau en nuisette lui tint un tout autre discours.

 

– J’ai réfléchi, je crois que vous avez raison. Mais il vous faut savoir une chose : Pendant très longtemps, les choses du sexe m’ont indifférées, et mon mari ne m’a couvert qu’une seule fois. Et puis ça m’a pris un jour sans que je sache pourquoi, des images se formaient dans ma tête, je me suis un peu caressée, et puis je me suis dit : pourquoi pas ? Mais vous avez bien vu que je n’y connaissais rien ! Donc vous allez me déniaiser, vous êtes d’accord ?

– Oui, madame la marquise ! Oserais-je vous proposez de visionner un petit film un peu porno afin de voir comment ça se passe ?

– Me faire regarder du porno, mais vous n’y pensez pas, jeune homme ! Le porno c’est dégradant.

– Non pas forcément, mais je suggérais ça, juste comme ça ! Sinon il doit exister des vidéos d’éducation sexuelle…

– Je n’aime pas le cinéma, l’éducateur ce sera vous.

 

Julien suggéra alors à sa partenaire de se mettre nue et il en fit autant.

 

– On va commencer par se caresser ! Lui dit-il.

 

Alors évidemment il lui caressa les seins, tandis que Marie-Josèphe ne sachant que faire de ces mains lui caressait le torse sans y trouver de l’intérêt.

 

– Touchez moi la bite ! Lui suggéra Julien.

– Les mots vulgaires ne sont peut-être pas, nécessaires !

 

Julien fut à deux doigts de l’envoyer promener.

 

– Ecoutez, je parle comme tout le monde, dans ces moments-là. On ne parle pas de la même façon quand on baise et quand on va chez le gynéco !

– Admettons ! Concéda la femme se voulant conciliante

– Allez, touchez !

 

Et c’est ainsi que la Marquise de la Villandière toucha sa première bite à l’aube de la cinquantaine.

 

– C’est comment ?

– C’est doux !

– Branlez-moi un peu !

– Pardon ?

– Vous faites comme ça ! Répond Julien en joignant le geste à la parole.

– Je ne comprends pas.

– Les hommes aiment ça ! il y a des choses que les hommes aiment qu’on leur fasse et il y a des choses que les femmes aiment qu’on leur fasse, et puis il y a des choses que les hommes et les femmes aiment bien faire ensemble !

 

« Mais où est-ce que je vais chercher tout ça, moi ? »

 

– Comme ceci ?

– C’est presque ça, posez mieux vos doigts, voilà, vous voyez ce n’est pas bien difficile. Et maintenant posez vos lèvres sur le gland.

– Le gland ?

– Oui le bout de la bite, ça s’appelle un gland.

– Comme si je faisais un bisou ?

– C’est ça !

– Comme ceci ?

– Oui, maintenant recommencez, restez plus longtemps et sortez votre langue pour lécher un peu.

– Mon dieu !

– Respirez un bon coup et faites-le !

 

Elle le fait, puis quand Julien lui demande d’ouvrir la bouche et d’y faire pénétrer son membre, elle ne cherche plus à comprendre et fait ce qu’on lui dit.

 

– Léchez bien et attention de ne pas vous servir de vos dents !

 

Pas terrible la pipe, normal, c’était sa première et elle était donc perfectible.

 

Julien voulu ensuite finaliser cette petite séance et s’en alla chercher la capote qu’il avait pris soin de glisser dans la poche de son pantalon. Mais au dernier moment il se ravisa, s’il voulait qu’une liaison naisse de cette aventure il fallait que Madame jouisse, or il n’était pas certain qu’elle le fasse en se faisant pénétrer.

 

Alors, Julien, lui qui n’était pas un fanatique du cunnilingus, se dit qu’il lui faudrait passer par là !

 

– Mais… protesta mollement la marquise quand Julien vint prendre position entre ses cuisses.

– Continuez de me faire confiance, tout ira bien.

 

L’endroit était mouillé, pas d’abondance mais il n’était pas sec et cela rassura Julien qui après avoir léché ses sucs intimes, s’attaqua au clitoris qui ne tarda pas à pointer malicieusement. Quelques coups de langues en eurent raison. Et voilà que Madame la marquise est soudain saisie de spasmes, elle crie, le plaisir l’envahit, elle se raidit, puis retombe comme une chiffe molle, se demandant ce qui lui arrive.

 

Alors Julien s’encapote et la pénètre avec une frénésie bestiale et finit par jouir à son tour assez rapidement.

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Il se retire rapidement, la marquise à les yeux vitreux, réalisant que son caprice est fini. Alors Julien pris d’un grand élan de tendresse vient lui quémander ses lèvres.

 

Elle se laisse faire avec une maladresse presque risible.

 

– Madame la marquise a-t-elle encore besoin de mes services ?

– Non, merci Julien, ou plutôt si allez me chercher un jus d’orange.

 

Elle se demanda alors si ce qu’elle venait de faire était bien raisonnable. Elle se dit que la réponse ne pouvait être que non, elle était devenue une truie, se vautrant dans le stupre. Puis les heures passant, son jugement devint plus modéré. Elle n’avait fait de mal à personne et ce Julien s’était montré très correct, mais c’était néanmoins de l’adultère et donc un péché. Un peu plus tard, son attitude évolua encore :

 

« Je ne suis pas une sainte, dans ma vie j’ai fait de bonnes actions, pourquoi irait-on me condamner pour ça ? Et si on me condamne je m’en tirerais avec quelques semaines de purgatoire ! Non mais dès fois ! »

 

Et le lendemain, elle sonna Julien et le pria de la baiser comme la veille.

 

Le domestique s’attendait à cette requête, se prenant pour un Pygmalion, il se donna pour mission de parfaire l’éducation sexuelle de la marquise. Après tout c’est un challenge comme un autre !

 

Marie-Josèphe disait ne pas aimer le porno, mais elle n’en avait jamais vu, il allait donc lui en montrer. Il avait repéré dans la bibliothèque du marquis, tout en haut, mais vraiment tout en haut quelques revues pornos danoises comme on en trouvait en sex-shop dans les années 70-80, bien avant qu’Internet prenne le relais. Il en choisit une, très classique, où l’on voyait évoluer un trio, deux femmes et un homme, évidemment les deux femmes se gouinaient, et le monsieur terminait le trip dans l’anus de l’une des deux filles.

 

Marie-Josèphe attendait son amant en nuisette

 

– J’ai trouvé ça, ça peut être instructif ! Lui dit ce dernier en lui tendant la revue.

– Mais vous êtes malade, je n’ai pas besoin de ces horreurs.

– Ce ne sont pas des horreurs, ce sont des gens qui se donnent du plaisir ! Tenta d’argumenter Julien.

– Remballez-moi ça ! Vous me décevez Julien, laissez-moi, s’il vous plaît.

 

Péteux d’avoir apparemment gaffé, Julien s’en alla sans demander son reste, mais oublia de reprendre sa revue.

 

Marie-Josèphe vit bien qu’il n’avait pas repris le magazine, mais sans doute guidée par son inconscient, n’en dit rien, et attendit que la porte soit refermé pour y jeter un timide coup d’œil.

 

« Des femmes entre-elles ! N’importe quoi ! Quelle décadence ! » S’emporta-t-elle retrouvant ses accents de dame patronnesse.

 

Elle feuilleta nerveusement les pages et tomba sur une photo où l’une des filles se faisait sodomiser

 

« Ce n’est pas possible, comment peut-on faire des choses pareilles ? »

 

Elle balança la revue dans une corbeille à papier et se dirigea vers le dressing d’où elle sortit quelques vêtements afin de s’habiller.

 

Inexplicablement, elle se sentait excitée, elle mit sa main à sa chatte qui mouillait.

 

« Bon, faut que je me calme ! »

 

Renonçant à s’habiller pour le moment, elle se coucha sur le lit, et commença à se tripoter, elle s’apprêta à rappeler Julien mais l’image de la fille se faisant sodomiser sur la revue persistait lourdement dans son esprit sans qu’elle ne puisse la chasser.

 

Elle se leva et ressortit la revue de la corbeille, elle retrouva la page qui l’obsédait.

 

« Mais enfin, c’est quoi ça ? Et le pire c’est que la fille à l’air de trouver ça très bien ! quelle salope ! Ce n’est pourtant pas un endroit fait pour le plaisir, faut pas tout mélanger. »

 

En pleine confusion mentale, elle essaya de se mettre un doigt dans l’anus, comme ça, pour voir, évidemment ça ne rentrait pas, alors elle le mouilla et cette fois il entra.

 

« Oui, bon et maintenant ? Quelque chose m’échappe ! »

 

Elle abandonna cette petite expérience mais se palucha en regardant l’image.

 

Quand le lendemain matin, Julien apporta le petit déjeuner de madame la marquise, il se demanda comment il serait reçu.

 

Il le fut avec le sourire.

 

– Vous avez oublié de reprendre votre revue, hier, du coup je l’ai un peu regardé. Ces gens-là sont vraiment des porcs, se faire photographier en pleine orgie ! Vous feriez ça, vous ?

– Puis-je faire remarquer à madame la marquise qu’ils ne font de mal à personne ?

– Parce que la sodomie, ça ne fait pas mal ?

– Ça ne fait mal que si la personne qui le fait est une brute.

– Vous l’avez déjà fait ?

– Oui !

– Vous êtes un cochon, Julien !

– Madame la marquise souhaite-t-elle que je la caresse ?

– Oui bien sûr, mais si je vous demandais d’essayer de me sodomiser ?

 

Il n’en revient pas, Julien !

 

– On peut essayer, je m’en vais chercher du gel !

– Du gel !

– Ben, oui, faut lubrifier !

– Eh bien allez chercher, mon vieux, ne restez pas planté là !

 

– Si vous pouviez me sucer un peu la bite avant… c’est pour qu’elle soit bien raide !

– Bite, bite, vous n’avez pas un autre mot ?

– Il y en a d’autre, mais c’est celui que j’emploie, et que la plupart des gens emploient.

– Bon alors je vais vous sucer la bite, vous êtes content de m’entendre parler comme ça ?

– Content, je ne sais pas, mais autant être décontracté.

 

La fellation de la marquise restait encore très perfectible mais permit néanmoins à Julien d’avoir une bonne trique.

 

L’introduction anale ne fut pas une mince affaire, madame la marquise avait vraiment le cul serré, il lui écarta les fesses et lui titilla l’anus de sa langue. Marie-Josèphe trouva la caresse agréable.

 

Julien s’encapota et barbouilla l’endroit de gel intime.

 

– Attention au début, ça risque de vous faire drôle, vous allez sentir comme une gêne et vous aurez peut-être mal, il faut faire avec, ça ne durera pas longtemps, et après ça deviendra agréable.

– On verra bien !

– On y va, ouvrez votre anus, poussez comme si vous étiez aux toilettes.

– Quel romantisme !

 

Il fallut plusieurs essais, le gland ripant contre l’anus.

 

– Poussez plus fort, ça va finir par rentrer !

 

Et ça entra !

 

– Oh là ! Arrêtez ça, c’est très désagréable !

– Je vous avais prévenu ! Attendez un petit peu.

– Je n’attends rien du tout, enlevez-moi votre machin.

 

Julien n’en fit rien et commença de légers va-et-vient.

 

– Ça va ?

– C’est mieux, mais bon… Ah, oui, continuez… Oh là !

 

En fait Marie-Josèphe était en train de jouir du cul à une vitesse fulgurante, Julien lui n’était pas encore prêt et continuait son pilonnage, ce qui faisait redoubler d’intensité les cris de jouissance de la marquise.

 

Et soudain la porte s’ouvre ! C’est Elodie.

 

– Oh pardon, j’ai entendu des cris et…

 

Elle referme la porte discrètement tandis que Julien finit par prendre son pied.

 

– C’était fabuleux ! Commente Marie-Josèphe.

 

Julien retire la capote, dévoilant une bite toute spermeuse.

 

– Madame la marquise désire-t-elle me nettoyer ?

– Et puis quoi encore ? Il y a des kleenex là-bas, servez-vous !

– Je pensais plutôt à un nettoyage avec votre bouche !

– Vous vous égarez jeune homme ! Et d’abord ça a quel goût ce machin ?

– Pour le savoir il faut goûter !

– Oui, ben on verra ça une autre fois, allez me chercher un jus d’orange !

 

Ben oui, pas tout le même jour !

 

Et à partir de ce moment les relations entre Julien et la marquise devinrent à la fois très suivies et très intimes.

 

Reprenons à présent l’ordre chronologique des faits

 

Vendredi 22 mars

 

Le détective privé engagé par Honoré se perdait en conjectures.

 

– Si ce n’est pas l’un de vos domestiques, il ne reste que votre épouse !

– Ça n’a aucun sens, mon épouse n’a jamais mis le nez dans mes affaires…

– On ne connait jamais les gens…

– Cessons là ! Bon si votre enquête ne mène nulle part, on va en restez là, vous m’enverrez votre note !

– Bien monsieur !

– Sinon, entre-nous d’homme à homme, vous me conseillerez quoi ?

– De vous séparer de vos domestiques, l’un des deux, ou éventuellement les deux, prépare sans doute un gros coup et dans ce cas la disparition de la cassette, n’était peut-être qu’une sorte de test….

 

Le salon du château était autrefois la salle à manger, depuis, la destination des deux pièces a été inversée. Il existait alors une trappe passe-plat communiquant directement avec la cuisine. La trappe avait été condamnée de façon fort rudimentaire en y fixant un tableau par-dessus.

 

Alors évidemment le son passait et comme Elodie était en cuisine pendant que le détective livrait ses étranges conclusions, elle entendit tout !

 

S’en suivit une explication orageuse entre les deux domestiques :

 

– Le marquis va nous virer tous les deux, à cause d’un détective qui n’est qu’un gros nul. Or moi je n’ai rien fait, je n’ai pas envie de me retrouver dans la merde à cause de tes conneries !

– Quelles conneries ? Ce n’est pas moi qui ai piqué ces trucs !

– Ben c’est qui ? Le pape ?

– Tu es sûre que ce n’est pas toi ?

– Si c’était moi je ne viendrais pas t’accuser ! Réfléchis cinq minutes, pauvre banane ! S’énerve Elodie.

– Si ça se trouve c’est le patron qui ne se rappelle plus où il les a rangés !

– On fait quoi ? On va être licencié pour vol, et on aura aucun certificat, pour retrouver du boulot après, je te dis pas la galère !

– J’ai peut-être une idée !

– Et c’est quoi l’idée ?

– La vieille m’a à la bonne, je vais aller lui parler !

– N’importe quoi !

– J’y vais, le temps presse.

 

Marie-Josèphe fut fort contrariée d’apprendre que les deux domestiques, enfin disons surtout Julien, parce que le sort d’Elodie lui importait assez peu, risquaient la porte à cause d’elle et décida d’arranger les choses.

 

Depuis quelque temps, la marquise s’amusait à déplacer les affaires du marquis, comme ça par pure provocation, parce que ce dernier l’énervait avec ses collections futiles. Evidemment Honoré finissait par retrouver tout ça, mettant tout ça sous le compte des domestiques ou sous les défaillances de sa mémoire. Mais l’autre jour, allez savoir pourquoi, Marie-Josèphe avait voulu aller plus loin, alors qu’elle s’apprêtait à partir pour Paris, elle vit la cassette au milieu de la table, l’embarqua et décida de la vendre.

 

Elle descendit donc voir Honoré :

 

– Il faut que je vous parle et c’est grave !

– Je m’attends au pire ! Se gaussa Honoré.

– Cette cassette qui a disparu ! Les domestiques n’y sont pour rien, c’est moi qui l’ai emprunté !

– De quoi ? Et pour quoi faire ?

– Ça ne vous regarde pas !

– Et je peux la récupérer ?

– Je vais essayer, laissez-moi un peu de temps ! Si je ne la récupère pas, je vous dédommagerais, mais laissez les domestiques tranquilles !

– Mais elle est où la cassette ?

– Vous avez vos secrets, laissez-moi les miens.

 

Honoré renonça à comprendre mais ne congédia pas les domestiques !

 

Sans tarder davantage, Marie-Josèphe sortit sa voiture et prit la direction de Paris afin de se rendre chez le libraire :

 

– La cassette avec les manuscrits de Sacha Guitry que je vous avais vendu il y quelques semaines, vous l’avez toujours ?

 

La tronche de Lamboley !

 

– Les manuscrits, oui, mais le reste est en dépôt chez un confrère.

– Je peux récupérer les manuscrits ?

– Si je comprends bien, vous avez changé d’avis !

– Sans doute, mais je ne vous dois aucune explication, mon mari les acquis aux enchères, j’ai d’abord souhaité m’en débarrasser et… mais bon, ça ne vous regarde pas, je peux les récupérer ?

– Euh, oui ! Mais ce sera un peu plus cher que le prix d’achat, vous comprenez, j’ai une comptabilité, la TVA, tout ça

– Peu importe le prix, je souhaite les récupérer, ça ne fera que la troisième fois que je vous le dis.

 

Lamboley complètement largué lui rendit les manuscrits qu’elle régla le plus simplement du monde à l’aide de sa carte gold.

 

– Pour le reste, je vous laisse mes coordonnées, tenez-moi au courant !

– Pas de problème, chère madame !

 

Quand Marie-Josèphe lui restitua les manuscrits, Honoré n’en cru pas ses yeux.

 

– Et le reste ?

– Pour l’instant je n’ai que ça !

– Pas grave, la pierre était en toc, mais la cassette était jolie !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:09

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 6 – Avec Max en trio par Chanette

 

StampFFH

Samedi 16 mars

 

Donc : 15 jours plus tard…

 

Yolande n’est restée à la maison que trois jours, elle n’a pas été trop chiante et elle a partagé mon lit sans ronfler. Drôle de fille quand même ! Avec l’aide d’Anna qui lui a avancé la caution immobilière, servi de garantie et fourni de fausses fiches de paye, elle s’est dégotté un petit studio pas loin de la butte Montmartre.

 

Francis, son jules, est sorti de l’hôpital avec deux obsessions : retrouver Yolande qui est restée l’amour de sa vie malgré ce qu’il lui a fait subir, et récupérer le diamant volé dont il ignore qu’il est en zirconium.

 

En ce qui concerne Yolande, il a fait le tour de ses proches sans grands résultats, elle a téléphoné deux fois à sa mère et lui a indiqué qu’elle était en province sans plus de précisions. Mensonge ou pas, il n’en sait rien, mais le fait est qu’elle reste introuvable.

 

Pour ce qui est du diamant, il est branché sur l’hypothèse qu’il est resté dans le coffre de la galerie. Une chance sur deux, estime-t-il.

 

Francis n’y connaît rien en coffre-fort, c’est Yolande qui faisait tout le boulot, lui, se contentant de servir de « logistique » une fois le butin dérobé.

 

Mais on peut toujours opérer autrement !

 

Mardi 19 mars

 

Francis repère la galerie, attend qu’il n’y ait plus de visiteurs, entre et fait semblant de s’intéresser aux œuvres exposées. Anna reste assise derrière son petit bureau.

 

« Elle doit avoir un bouton d’alarme à ses pieds, il faut qu’elle bouge ! »

 

Parfois les tactiques les plus primaires sont les plus efficaces.

 

– S’il vous plaît, vous pourriez venir voir ? Lui demande-t-il.

 

Anna ne se méfie pas, se lève par réflexe et s’approche de l’homme qui sort son flingue !

 

– Maintenant t’es sage et tu me conduis à ton coffre que tu vas ouvrir bien gentiment !

– Et sinon, tu me flingues ? Ose-t-elle

– Non, je te casse les jambes !

– Monsieur est charmant !

– Bon on y va ?

 

Et c’est ainsi que Francis Larive récupéra la cassette en marqueterie avec son contenu.

 

Anna désemparée, me téléphone, me raconte…

 

– T’es sûre que c’est lui ?

– Evidemment, qui veut-tu que ce soit d’autre ? Il a tout de suite embarqué la cassette, il n’a même pas regardé s’il y avait autre chose.

– Hum…

– J’ai son identité et il ignore qu’on la connaît, je suppose qu’il a dû déménager, mais Yolande peut me fournir l’adresse de son magasin de vélos. Mais après, je fais quoi ?

– Fais appel à Max, Gauthier-Normand se fera un plaisir de le mettre à ta disposition. (voir quelques épisodes précédents, notamment Chanette 7 – Pho, la cambodgienne)

– Et il va falloir que je passe à la casserole ?

– Ça gêne tant que ça ?

– Gauthier-Normand, non ! Mais Max j’ai du mal.

– Tu as tort, au plumard il est très doux !

– Bon j’appelle !

 

Gauthier-Normand est enchanté, ravi d’avoir Anna au bout du fil, et il écoute son récit avec attention.

 

– Max est en province, mais je peux lui demander de remonter plus tôt, je le mets à votre disposition à partir d’après-demain. D’après ce que vous me dites, ça devrait être assez facile, mais s’il y avait des complications, il restera avec vous jusqu’au dénouement de l’affaire. Redonnez-moi votre adresse…

– Je ne sais comment vous remercier.

– Vous me remercierez quand Max aura fait son boulot. Au fait comment va Chanette ?

– Très bien, elle vous embrasse.

 

Mercredi 20 mars

 

Francis Larive est à sec, il vient de déménager, il a fallu qu’il paye une caution immobilière alors qu’il n’a pas encore récupéré celle du précèdent appartement. Bref il a besoin de liquidité et décide de négocier au plus vite les éléments de son larcin. En ce qui concerne le diamant, il connaît deux receleurs, il ira voir les deux et les mettra en concurrence, mais pour commencer, il souhaite se débarrasser des lettres manuscrites tout en n’ayant aucune idée de leurs valeurs.

 

Une recherche rapide sur Internet lui apprend qu’un certain Daniel Lamboley, négociant en livres anciens fait également le négoce de manuscrits. Un petit coup de métro et le voilà parti.

 

– J’ai retrouvé ça en déménageant, je ne sais pas ce que ça peut valoir.

 

La tête de Lamboley quand il reconnaît les lettres de Sacha Guitry qu’il a confié à son frère il y a plusieurs semaines !

 

« C’est quoi ce cirque ? »

 

Le libraire est obligé de réfléchir à toute vitesse. Il n’a que deux options, l’envoyer promener poliment, ou alors le bluffer ? Mais une chose l’intrigue : pourquoi son frère ne l’a-t-il pas prévenu de ce vol ? Parce que c’est un vol, ça ne peut être autre chose, l’hypothèse d’une copie lui paressant farfelue. Et puis ça veut peut-être dire que d’autres objets en dépôt chez lui ont pu être également dérobés !

 

« Oh ! Mais ça ne va pas du tout ! »

 

– Hum ! Vous savez, dit-il à son interlocuteur, en matière de manuscrits, ce qui fait le prix, c’est l’offre et la demande. Or aujourd’hui avec les délires féministes, Sacha Guitry n’a plus trop la côte.

– Ça ne vaut rien alors ?

– Pas grand-chose, mais je peux vous en débarrasser ! Vous en voudriez combien ?

– Je ne sais pas, moi, 500 balles le lot !

 

« Il est vraiment trop con ce type ! »

 

– 400 et vous faites une affaire ! Je suis obligé de vous demander une pièce d’identité.

 

Bref, l’affaire fut conclue. La carte d’identité était fausse, ça se devinait mais il fallait bien donner le change.

 

Dès que Larive quitte les lieux, Lamboley enfile un blouson, ferme boutique, dépose le traditionnel panneau « je reviens de suite » et le suivit.

 

« Faut que je sache qui c’est ! »

 

Larive commence par s’arrêter dans un bistrot.

 

« Putain, il ne peut pas rentrer directement chez lui, ce con ? »

 

Il en profite pour appeler son frère :

 

– Dis-moi, il faudrait que je récupère la petite cassette en marqueterie que je t’ai confié il y a un mois ou deux.

– Pas de problème, je te l’apporte demain au plus tard en rentrant, je ne suis pas chez moi, en ce moment, je suis en province !

– Ah bon d’accord !

 

Lamboley raccroche, n’y comprenant plus rien du tout.

 

« Il ne s’est pas encore aperçu qu’on l’avait volé, il va me rappeler dès qu’il le découvrira ! »

 

Larive prend le métro jusqu’à la porte de Montreuil .

 

– J’ai ça ! Annonce-t-il fièrement en dégageant le bijou de la peau de chamois qui l’entourait.

– Hum ! Voyons voir, dit l’homme en examinant l’objet à la loupe et à la lumière. Vous savez ce que c’est ?

– Je ne comprends pas bien la question ! Répondit Larive soudain envahi d’inquiétude.

– Vous ne pensiez quand même pas qu’il s’agit d’un vrai diamant ?

– Parce que ?

– Parce que votre truc, c’est de l’oxyde de zirconium !

– Zirco quoi ?

– Zirconium, avec ça on fait des belles imitations, mais ce ne sont que des imitations.

– Et ça vaut combien ?

– Pas grand-chose, et en tous les cas, moi, je n’achète pas ça !

 

Bernard Lamboley voit l’homme sortir de chez le bijoutier en tirant une gueule longue de dix pieds.

 

« Hi, il a dû essayer de négocier son bijou en toc ! Il a dû tomber de haut ! »

 

Larive réfléchit, il n’a pas besoin d’un second avis, le receleur aurait voulu le bluffer, cela aurait été pour acquérir le bijou, ce qui n’a pas été le cas…

 

Il chemina à pied jusqu’à la place de la Nation, au grand dam de Lamboley qui se demandait quand le zigue se déciderait à rentrer chez lui.

 

Larive aperçut une bijouterie qui faisait dans l’achat vente, il entra !

 

– C’était dans les bijoux de ma grand-mère, vous m’en donnez combien ?

– C’est du zirco, je peux vous le reprendre pour 50 euros !

– C’est tout ?

– Ce n’est pas un mauvais prix, vous pouvez vous renseigner ailleurs, mais ce sera toujours dans ces prix-là.

– Bon allons-y !

– Je suppose que vous n’avez pas de facture, je vais vous demander une pièce d’identité et une signature.

 

Larive ressort complètement abattu : bilan de la journée : 450 euros ! Tout ça pour ça !

 

Il emprunte le boulevard Voltaire toujours suivi de Lamboley qui commence à fatiguer.

 

Arrivé à la hauteur du magasin de cycles, « la petite reine’, il y entre.

 

« Ce n’est pas vrai, qu’est-ce qu’il nous fait à présent, il ne va tout de même pas s’acheter un vélo ? »

 

Il fallut un certain temps à Lamboley pour réaliser que l’homme travaillait dans ce magasin et qu’il en était probablement le patron ou le gérant.

 

« Bon, avec l’adresse du magasin, je devrais trouver l’identité du type, mais qu’est-ce que je vais en faire ?

 

Jean-Paul Lamboley, son antiquaire de frère avait menti, il n’était pas en province mais à Paris dans sa boutique du Marais. Il n’avait décelé aucune malice dans la requête de son frère. Récupérer la cassette en marqueterie ne lui posait aucun problème, il lui suffirait de se rendre chez Anne-Gaëlle de la Souderie de Breteuil, la galeriste de la rue de Seine. Et comme il n’avait pas encore rassemblé l’intégralité de l’argent qu’il lui devait, il lui confierait autre chose en gage, par exemple cette jolie collection d’estampes originales du 17ème !

 

Evidemment Anna ne s’attendait pas du tout à le voir débarquer.

 

– Ah ! Figurez-vous que par sécurité j’ai déposé ça chez une amie qui est en déplacement. Vous pouvez attendre trois ou quatre jours, je vous appellerai ! Improvise-t-elle.

– Pas de soucis !

 

Jean-Paul téléphone à son frère Bernard en lui expliquant qu’il est obligé de retarder son retour d’un jour ou deux…

 

Finalement tout le monde fait avec ce contretemps.

 

Jeudi 21 mars

 

Le surlendemain, en fin d’après-midi, .Max Minet, dit Max le dur, était là, chez moi et je le reçu en présence d’Anna

 

Max est déjà apparu dans quelques épisodes de mes aventures. C’est donc un ancien malfrat reconverti au service d’un grand bourgeois brasseur d’affaires peu claires et érotomane distingué.

 

Max est plutôt bel homme, toujours impeccable sur lui, mais quelque chose dans le regard et dans l’attitude laisse transparaître le « voyou endimanché ».

 

Il est pourtant loin d’être un rustre, aussi obsédé que son patron, il aime aussi les longues promenades en forêt et connais le nom de tous les arbres et tous les oiseaux.

 

– Anna… vous permettez que je vous appelle Anna..

– Bien sûr !

– Je suis donc à votre service, racontez-moi tout ça par le détail.

 

Il est tout ouïe, il prend quelques notes sur un calepin, pendant que je vais chercher à boire.

 

– J’ai trouvé un hôtel dans le coin, ce sera plus pratique que de rentrer chez mon patron, si vous acceptez, je vous paie le restau ce soir. Nous dit-il.

– Gardons plutôt le restaurant pour plus tard, j’espère que nous pourrons trinquer à la réussite de ce petit travail que nous vous confions ! Répond Anna.

– Dommage j’avais un petit creux et je n’aime pas trop manger tout seul !

 

Qu’est-ce qu’il nous fait, Max, un caprice ?

 

– Et si on se faisait une soirée pizza ? Proposais-je.

– Bonne idée ! Répond Max

– Alors une petite pour moi ! Répond Anna.

 

On vous fait grâce de l’interminable discussion au sujet de qu’il fallait commander, et on finit par téléphoner. On nous livre, on mange, Max nous raconte des tas de trucs, je demande si ces braves gens veulent du dessert et m’en vais préparer des coupes de glaces.

 

Je m’étonnais que Max ne se soit pas livré jusqu’ici à des allusions sexuelles, sans doute que la présence d’Anna le bloquait.

 

Non ce n’était pas ça, il voulait manger d’abord… Il y a des gens qui aiment bien faire les choses dans l’ordre !

 

– Savez-vous, chère Anna, que quand je vois Chanette, il me vient des frétillements très particuliers.

– Ça arrive, se sont les hormones ! Répond ma copine.

– Certes, mais ce genre de pulsion n’est pas toujours facile à contrôler !

– Vous n’allez pas me violer, Max ? Plaisantais-je.

– Non, je suis un gentleman, je préfère demander gentiment.

– Faites-le pour voir ! Le défie Anna.

– Madame Chanette, puis-je caresser l’espoir de vous sodomiser en tout bien tout honneur, bien évidemment.

– Monsieur Max, mon petit trou sera heureux d’accueillir vos assauts.

– Prenons date ?

– Pourquoi pas maintenant ? Laissez-moi simplement terminer ma glace.

– Eh ben Chanette ? Rouspète Anna.

– Je te choque ?

– Non, mais qu’est-ce que je deviens, moi dans tout ça ?

– Tu mates, tu participes ou tu t’en vas regarder la télé !

– Non pas la télé !

 

Et excitée comme une puce, j’entreprends de me déshabiller. Anna me regarde comme si j’avais pété un câble.

 

– Ben Max, vous n’allez pas rester habillé !

– Je vous admire, ma chère !

– N’exagérons rien, il y a bien mieux, allez, à poil, j’ai l’air de quoi, moi, toute seule avec les nichons à l’air ?

 

Du coup Max se déshabille en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il bande comme un jeune taureau.

 

Pourtant j’en ai vu, des bites, j’en vois tous les jours de la semaine, et puis celle de Max je la connais l’ayant déjà pratiqué, n’empêche que ça m’excite.

 

Je suis en face de Max, et je lui attrape carrément le paquet pendant qu’il me pelote les seins, j’ai ses grosses couilles poilues dans la main. L’homme s’est enhardi et me suce les tétons, il me fait ça très bien et ça me fait un bien fou.

 

J’attends qu’il fasse une pause pour m’accroupir devant sa bite.

 

Ça y est j’ai sa bite dans la bouche, elle a un arrière-goût de pipi, et ce n’est pas pour me déplaire, d’ailleurs je lui demanderais bien de me pisser dans la bouche, mais chaque chose en son temps, Monsieur bande et je sais que ce n’est pas évident…

 

Je décide de provoquer Anna :

 

– Reste pas comme ça, comme une andouille, viens sucer cette bonne bite avec moi !

– Pour l’instant, je regarde.

– Fous-toi à poil au moins !

– Y’a pas le feu.

 

Anna a déjà eu l’occasion de se montrer nue devant Max (voir l’épisode Pho, la cambodgienne) mais ils n’ont jamais rien fait ensemble.

 

Elle a dû finir par réaliser qu’il n’était peut-être pas très opportun de faire sa mijaurée devant l’homme qui venait essayer de résoudre son problème, et se débarrassa de ses vêtements.

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La chose étant faite, elle ne se rassoit pas et vient à mes côtés.

 

– Tu me fais une petite place ?

 

Et c’est parti pour une pipe à deux bouches.

 

– On ne va pas le faire jouir, je veux qu’il m’encule ! Tiens-je à préciser avant de reprendre toute la bite de Max dans ma bouche.

– Cochonne ! Se moque ma copine.

 

Je ne fais pas exprès, mais je la gêne, lui laissant peu de place alors Anna ne fait ni une ni deux, s’en va derrière Max et lui caresse les fesses.

 

C’est tout Anna, ça, elle est capable de faire sa jeune fille timide et puis tout d’un coup de se déchaîner.

 

Max me fait signe de freiner mes ardeurs, qu’à cela ne tienne, je me redresse et lui excite les tétons, pendant qu’Anna lui écarte les globes, lui lèche le cul.

 

– Mets-lui un doigt ! Lui dis-je

 

Elle le fait, enfonce son index dans le trou du cul de Max et le fait gigoter.

 

– Oh ! Que c’est bon tout ça ! Commente le bonhomme. Si j’osais je vous demanderais bien une petite fantaisie.

– Demandez, demandez !

– Si vous aviez un petit gode ?

– Mais bien sûr mon cher ami ! Anna va donc nous cherchez l’objet dans ma table de chevet… Ou plutôt non, on va tous aller dans la chambre; on sera plus à l’aise.

– D’accord ! répond Max, mais faut que je fasse un petit pipi avant.

– Humm ! Vous me l’offrez votre pipi ?

– Coquine !

– C’est oui ?

– Bien sûr !

– Et moi ? Proteste Anna.

– Quand il y en a pour une, il y en a pour deux !

 

On pénètre tous les trois dans la salle de bain, Anna et moi, nous nous accroupissons tandis que Max ferme les yeux et invoque je ne sais quelle image (son percepteur, sa belle-mère ?) afin de bander moins dur.

 

Et soudain le voilà qui nous asperge, on en a partout, sur les seins, sur le ventre, sur les cuisses, on en boit un peu, on rigole. Elle est trop bonne sa pisse ! Ce n’est pas si souvent que je me fais pisser dessus par un homme, et en ce qui concerne Anna ce doit être encore plus rare.

 

Du coup ma copine reprend la bite en bouche, et la nettoie bien comme il faut.

 

On ne s’est pas rincées, juste essuyées, et retour au plumard.

 

On se caresse, on se pelote un peu tous les trois, puis Max se met en levrette, le croupion cambré, je lui lèche un peu la rosette, faisant virevolter ma langue, puis je sors le gode, l’encapote et le lubrifie d’une noix de gel, puis je l’enfonce dans son cul.

 

Je le fais bouger à vitesse moyenne après avoir actionné le vibrateur. Max se pâme d’aise en poussant de « Oh » et des « Ah » !

 

– C’est bon ?

– Oh, là, là ! Quand je pense que je me suis privé de ce plaisir durant des années… Oh, C’est trop bon !

 

En même temps, Anna s’est positionnée devant le visage de l’homme, et lui donne son cul à lécher ce qu’il accomplit avec beaucoup de conviction, ce qui n’est, convenons-en, qu’un juste retour de choses !

 

Tout cela est bien joli, mais je commence à fatiguer du poignet, je retire le gode, et cette fois, c’est moi qui m’offre en levrette. Je tends une capote à Max qui n’a pas besoin d’explications complémentaires et qui vient m’enculer.

 

Je me fais relativement peu souvent, sodomiser, ma sexualité s’étant au fil des temps orientée vers ces dames, mais j’avoue ne pas détester la pratique lorsqu’elle est bien faite, et en l’occurrence, Max est un délicieux enculeur.

 

– T’aimes ça, ma cochonne ! Commente Anna.

– Ben quoi !

– Je me demandais si… Non rien.

– Comment ça, rien ? Toi aussi t’aimerais l’avoir dans le cul ?

– Juste un peu !

– Qu’est-ce que t’en penses, Max ?

– Après une petite pause, parce que là, je sens que ça vient !

 

Il accélère légèrement sa cadence, des ondes de plaisir commencent à m’envahir, je sens que je vais jouir par le cul, Max se rend compte de mon excitation, du coup c’est contagieux, il accélère davantage, je gueule comme une baleine en inondant mes cuisses tandis que l’homme s’enfonçant au plus profond de mon être éjacule en soufflant comme un bœuf.

 

Il décule, retire sa capote, dévoilant une bite poisseuse de sperme.

 

– Je vais me faire une rincette ! Déclare-t-il

– Laissez-nous ce plaisir ! Répliquais-je ne lui gobant la bite.

– Il est délicieux son foutre Commentais-je en me léchant les babines.

– T’aurais pi m’en laisser un peu.

– Viens m’embrasser, il doit en rester dans ma bouche.

 

Proposition qui n’est pas resté sans suite, vous vous en doutez bien !

 

– Je boirais bien un jus de fruit ! Nous dit Max.

 

J’aurais préféré des propos plus tendres, mais ça ne fait rien, il n’est pas méchant Max, je me lève et vais chercher à boire.

 

Je reviens dans la chambre sans me presser, Anna est en train de se faire des tripoter les seins par Max. C’est bien les bonhommes, ça, les seins, toujours les seins. Il lui tripote les tétons, les pinçouille.

 

Dans trente secondes, à tous les coups, il va les sucer.

 

– Je croyais que t’avais soif ?

– Il y a des moments où on oublie sa soif ! Répondit Max dans un grand élan romantique.

 

J’ai l’air d’une cloche, moi avec ma bouteille de jus d’ananas et mes trois verres.

 

Mon portable que j’ai laissé à côté sonne, j’aurais très bien pu ne pas répondre, mais bon, c’est une copine qui me demande des trucs, et comme mes copines sont toujours bavardes, ça dure bien un quart d’heure et quand je reviens dans la chambre, Max et Anna se pelotent et se bécotent comme des amoureux…

 

Anna se rendant compte de ma présence se met en levrette, en fait elle m’attendait pour se faire sodomiser devant moi. Max se remet une capote et lui pénètre le cul avec beaucoup de douceur. Elle est trop belle Anna quand elle se fait enculer… De toutes façons, elle est toujours belle ! Cinq minutes après nos deux tourtereaux se désemboîtaient après avoir jouis peu discrètement.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:06

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 5 – Yolande en galère par Chanette

 

Ninotchka

Tout se passait bien avec cet étrange couple de domestiques, Elodie progressait rapidement dans l’art de la cuisine et Julien tenait compte des observations d’Honoré afin de parfaire sa fonction d’homme de ménage.

 

D’un naturel méfiant et soupçonneux, Honoré avait testé l’honnêteté de ses domestiques, aussi laissait-il ostensiblement traîner parfois, un billet de 50, une gourmette en or ou n’importe quel objet pouvant exciter la convoitise.

 

Mais il lui fallut se rendre à l’évidence. Tout se passait bien ! Et puis comment ne pas craquer quand Elodie de sa douce voix lui susurrait :

 

– Ou dois-je ranger la gourmette de monsieur que j’ai retrouvé, par terre, dans les toilettes ?

 

A croire que le personnel de maison honnête ça existe !

 

Lundi 4 février

 

Ce lundi-là, en salle des ventes, le commissaire-priseur annonça :

 

– Lot 305 : une boite en marqueterie en l’état contenant six lettres de Sacha Guitry adressés à une certaine Marguerite Goumelle, avec certificat d’authentification. Elle contient également un faux diamant en zirconium d’un bel aspect, une broche fantaisie et un petit carnet garni de pétales de fleurs séchées. Mise à prix 5 000 euros !

 

Un péquin fut intéressé, Honoré renchérit à 5 500 et embarqua le lot ! Une bonne affaire !

 

Rentré en son château, c’est sans arrière-pensée qu’Honoré laissa traîner son lot sur le bureau de sa bibliothèque avant d’aller barboter dans sa piscine, puis de faire une petite sieste.

 

Seulement, voilà : quand il revint dans la bibliothèque, le lot 305 n’y était plus !

 

Après s’être demandé s’il perdait la boule, il interrogea ses domestiques : Julien affirma qu’il avait bien vu un coffret sur le bureau mais qu’il n’y n’avait pas touché, Elodie pour sa part n’était au courant de rien.

 

« Faut pas me prendre pour une bille ! » se dit Honoré, l’un de ces deux zèbres me l’a forcément piqué ! Mais pourquoi ? Puisqu’ils s’étaient montrés d’une honnêteté sans faille jusqu’à présent ? »

 

Puis, il crut comprendre :

 

« Le faux diamant en zirconium ! Ils l’ont pris pour un vrai ! Ils vont bien déchanter quand ils vont essayer de le refourguer. »

 

– C’est moi qui ai dû le ranger je ne sais où ? Dit-il à l’adresse des domestiques, parfois j’ai des absences, j’espère que je ne vais pas me taper la maladie d’Alzheimer ! Pour le diamant c’est un faux, je m’en fous, mais les lettres de Sacha Guitry j’aimerais bien les mettre en bonne place dans ma collection.

 

Son petit spitch ne provoqua aucune réaction particulière chez le couple de domestiques.

 

C’est incompréhensible, se dit-il ! Il y a des tas de choses à voler ici, et ils n’y ont jamais touchées, alors pourquoi précisément ce lot ?

 

Peut-être l’un des deux domestiques veut-il faire une crasse à l’autre ? Allez savoir ?

 

Honoré n’était pas spécialement traumatisé, mais il voulait savoir !

 

Les domestiques avaient leur week-end de libre, Honoré mandata un détective privé afin de contrôler si leur activité ne révèlerait rien de suspect.

 

Non, il n’y avait rien de suspect !

 

Mardi 12 février

 

Daniel Lamboley est libraire en livres anciens rue de Vaugirard, il achète et il vend. Il fait aussi dans les manuscrits, les autographes…

 

Il possède aussi une collection personnelle dont il n’est pas peu fier.

 

Toujours à la pointe de l’actualité, il se tient régulièrement au courant des ventes aux enchères à l’hôtel Drouot et de leurs résultats.

 

Aussi est-il très surpris lorsqu’une dame vient lui proposer un lot vendu aux enchères l’avant-veille.

 

– J’ai trouvé ça en faisant du rangement dans mon grenier…

– Euh, vous ne gardez pas la pierre ?

– C’est du zirconium ! Ça ne vaut rien !

– Sûr ?

– Oui, il y avait un descriptif dans la boite, je l’ai jeté.

– O.K. Vous en voulez combien ?

 

Après une rapide négociation, la transaction se fit. Lamboley persuadé qu’il s’agissant d’un recel fit pour la forme signer la personne non pas sur son cahier d’achats mais sur un registre parallèle où il enregistrait les transactions douteuses.

 

Lamboley est un malin, ce n’est pas la première fois qu’il traite avec des receleurs, quand cela lui arrive, il dépose l’objet chez son frère Jean-Paul Lamboley pendant un an. Au bout de ce temps, l’objet revient et est enregistré sur le vrai cahier des achats avec une identité bidon.

 

Il nous faut donc à présent parler de ce frère. Celui-ci est antiquaire rue de Turenne, dans le marais, à l’enseigne de « La Balustrade », du moins c’est sa couverture car son activité principale consiste à spéculer sur les œuvres d’art, il mise beaucoup, se trompe rarement, et retombe toujours sur ces pieds, même lorsqu’il engage de l’argent qu’il n’a pas, dans ce cas-là, il confie à son créancier l’un des objets déposés par son frère à titre de gage.

 

C’est donc de cette façon qu’Anna-Gaëlle est entrée en possession toute provisoire du coffret en marqueterie contenant les lettres manuscrites de Sacha Guitry ainsi que de la pierre et comme Daniel n’a jamais confié à son frère qu’elle était en zirconium, Anna l’ignorait également.

 

Retour au présent, samedi 2 mars

 

L’explication entre Yolande et Francis, son compagnon ne se passa pas bien ! Pas bien du tout :

 

– Comment ça, une détective privée ?

– La fille du coffre avait des caméras chez elle…

– Mais comment, ils ont trouvé notre adresse ? C’est impossible ! T’as forcement fait une connerie !

– Non j’ai pas fait de connerie !

– Ben si, forcement !

– Je te dis que non !

– Et tu ne pouvais pas répondre qu’on avait plus la marchandise ? C’était vraiment trop compliqué pour ton petit cerveau ?

– J’ai voulu la virer, mais la nana du coffre est arrivée en renfort, elles ont trouvé le sac…

– Tu n’ouvrerais pas à n’importe qui, ce serait pas arrivé, grosse conasse !

 

Et Yolande se reçut une paire de gifles dont la violence est telle qu’elle se retrouve le cul par terre.

 

– Salaud ! Sanglote-t-elle.

– Ça aurait dû être notre dernier coup, on négociait tout ça et on s’installait peinards sur la côte.

– Bouh bouh !

– Arrête de chialer ! Ou je t’en fous une autre !

– Salaud tu m’as battu ! Après tout ce que j’ai fait pour toi !

– T’avais qu’à être moins conne !

– Bouh bouh !

– Fait qu’on le retrouve, ce diamant, et en vitesse et c’est toi qui vas t’y coller !

– Certainement pas !

– Si ! Il y a le feu ! Elle ne va certainement pas le remettre dans son coffre. A tous les coups, elle va le déposer dans un coffre en banque ! Faut qu’on aille plus vite qu’elle !

– J’ai dit non !

– Je vais m’énerver !

– C’est déjà fait !

– Conasse !

– On ne pourra pas récupérer la camelote ! La fille l’a enfermé dans un coffre qu’elle a dans sa galerie de peinture, la boutique est sous alarme !

– Mais attends, comment tu peux savoir ça ?

– Ben, elle me l’a dit !

– C’est du bluff !

– C’est pas du bluff, elle a mis tout ça devant moi dans son coffre au sous-sol !

– Hein ?

– Une galerie que t’as inventé ?

– Non ça s’appelle « la feuille à l’envers », c’est rue de Seine dans le sixième.

 

Yolande regretta aussitôt cet aveu malheureux.

 

– Tu ne vas pas me faire croire que tu l’as accompagné jusqu’à son coffre ! Tu me prends pour un con !

– Merde !

 

Et voilà que Yolande reçoit une nouvelle paire de baffes.

 

– Tu sais ce que je crois, la fille t’a proposé une espèce d’arrangement bidon, et toi pauvre conne, t’es en train de tomber dans le panneau !

– Si c’était ça, je ne serais pas revenue, connard !

– Bien sûr que si, puisque tu m’as dans la peau ! Bon t’as quarante-huit heures pour arranger le coup !

– Et sinon ?

– Sinon, je vais te montrer de quoi je suis capable !

– J’en tremble d’avance ! Bon je vais pisser.

 

Yolande ne se rendit pas aux toilettes, mais dans la cuisine où elle s’empara d’un large couteau à découper qu’elle coinça dans sa ceinture, puis elle revint vers Francis.

 

– Bon, je veux bien passer l’éponge sur ta crise, mais si tu me touches encore une fois, tu ne me reverras plus.

– Bon ça va ! Pour l’instant tu enfiles tes godasses et tu te débrouilles pour nous récupérer tout ça !

– Mais puisque je te dis que c’est impossible !

– Yolande, tu vas faire ce que je te dis !

– Non !

 

Francis lève sa main, Yolande esquive sort son couteau devant l’homme incrédule qui a le temps de s’écarter un peu mais pas suffisamment, le couteau reste planté dans son épaule.

 

Paniquée, Yolande rassemble quelques affaires, enfile ses chaussures et s’échappe de l’appartement pendant que Francis tente d’appeler les pompiers.

 

Elle est dans la rue, elle ne sait pas où aller, sa mère ? Sa sœur ? Une copine ? Non, dès que Francis sera en état de le faire il partira à sa recherche, donc aller chez un proche n’est pas une bonne idée. Evidemment, il y a l’hôtel, mais Yolande a envie de parler, de se confier, c’est tout de même pas un portier d’hôtel qui va recueillir ses confidences !

 

Alors elle file chez Anna ! Elle entre en pleurs dans la galerie qui à cette heure est vide de tous visiteurs.

 

– Aide-moi, aide-moi, je t’en supplie !

– Oh ! On se calme ! Qu’est ce qui se passe ?

– J’ai merdé, Francis n’a pas cru mes explications, il m’a battu, je me suis défendue avec un couteau, je lui ai planté l’épaule, s’il me retrouve il va me tuer !

– Mais non, mais non, !

– Tu peux m’aider ou pas ?

– Ça dépend ce que tu veux !

– J’ai besoin de parler, et il faut que je me planque.

– Bon pour te planquer, je ne sais pas, mais pour t’écouter, ça peut se faire, viens je t’emmène au bistrot sur les quais….

 

Je reçois un coup de fil d’Anna, elle me demande à quelle heure je termine aujourd’hui et me donne rendez-vous dans un bistrot Place de la Trinité ! Qu’est-ce qu’elle va nous faire encore ?

 

– C’est Yolande, elle a poignardé son mec, elle est aux abois, il faut qu’elle se planque !

– Qui c’est Yolande ?

– Ma voleuse !

– Ah ! Et en quoi ça nous concerne ?

– Elle est en danger, j’ai envie de la protéger !

– Et t’attends quoi de moi ? Un conseil ?

– Non un service !

 

Je m’attends au pire

 

– Il ne faut pas que son mec la retrouve, elle ne peut pas aller ni dans sa famille, ni chez ses amis, ni chez moi non plus, alors j’ai pensé à toi !

– Tu voudrais que j’héberge une voleuse qui en plus vient de poignarder quelqu’un ? Mais t’es complètement malade ! Tu ne la connais même pas cette fille !

– Alors tu refuses ?

– Bien sûr que je refuse !

– Tu me déçois !

– Tu t’en remettras !

 

Le garçon arrive, Anna commande un Perrier citron

 

– Et pour madame ?

– La même chose !

– Attends-moi, je vais pisser ! M’indique Anna.

 

Tactique vieille comme le monde qui consiste à laisser seule la personne à qui on a fait une proposition et qui du coup ne va plus penser qu’à ça !

 

Sauf qu’avec moi, ça ne marchera pas, quand je dis « non » c’est « non » !

 

N’empêche que j’ai peut-être une solution de secours ! Etonnant qu’Anne n’y ait pas pensé !

 

– Et prendre une chambre d’hôtel, elle n’y a pas pensé ta nana ?

– Bien sûr que si ! La journée ça va elle peut se distraire, aller au ciné, se balader, mais le soir, tu te rends compte, en plein stress dans une chambre d’hôtel, c’est l’horreur !

– Eh bien, le soir tu la rejoins à son hôtel et tu lui tiens compagnie !

– Mais je ne peux pas, j’ai un boulot de dingue avec mon prochain vernissage à préparer, et en plus il va falloir que je fasse un saut à Francfort !

– Donc ce que tu me demandes ce n’est pas seulement de l’héberger, mais de faire la nounou !

– Ce n’est pas un petit service que je te demande, c’est un grand, un très grand service ! J’en suis parfaitement consciente !

– Et en admettant, ça serait pour combien de temps ?

 

Je n’aurais pas dû dire ça, je suis en train d’ouvrir une brèche dans mon refus !

 

– Le temps qu’elle se trouve une piaule, les proprios et les agences exigent maintenant des feuilles de paye. On fera comme si je l’avais employé à la galerie. Ça n’excédera pas une semaine !

– Humm !

– Chanette !

– Oui !

– Je t’en prie, rends-moi ce service !

– Bon, ça fait chier, mais on va le faire quand même, mais dans une semaine je la vire !

– Oh, merci Chanette ! T’es un amour !

 

Et de façon très peu discrète, Anna-Gaëlle me roule carrément un patin baveux !

 

– Elle t’attend au « Café Lucien » en bas de chez toi !

 

En bas de chez moi ! Anna était donc certaine de ma réponse ! Je suis trop bonne parfois ! Trop bonne ou trop conne ? Non, pas trop conne !

 

Je récupère la nana, elle se confond en remerciements, je l’emmène à la maison.

 

– Je saurais vous remercier ! Insiste-t-elle lourdement.

– Bon deux choses ! Un : Tu me remercieras quand l’hébergement sera terminé et deux : on se tutoie ! D’accord ? Tu peux m’appeler Chanette !

– Moi c’est Yolande !

– Je sais ! T’as soif ?

– Non, j’ai bu un truc au bistrot !

– O.K. Je regarde si j’ai à bouffer pour deux personnes dans le frigo, sinon, je t’envoie en courses.

– Pas de problème !

– Tu dormiras dans le canapé, je n’ai pas de chambre d’amis !

– Pas de problème !

 

Au moins elle n’est pas compliquée !

 

Je la regarde, elle est belle et bien roulée. J’ai comme une envie immarcescible de me l’envoyer ! Ça ne devrait pas être trop difficile ! Mais il faut y mettre les formes ! Improvisons !

 

– Tu veux prendre une douche ?

– Pourquoi pas ?

– On la prend ensemble ?

– Pas de problème !

 

Ce doit être son « mot » !

 

– T’aimes bien les situations un peu coquines ?

– J’adore !

– Et si je te demandais de me lécher la chatte ?

– Pas de problème !

 

Qu’est-ce que je disais !

 

– Eh bien on prendra la douche après ! Fous-toi à poil, et je vais en faire autant.

 

Et nous voilà nues toutes les deux, face à face. Elle est vraiment canon, cette nana, moi à côté je ne joue pas dans la même division ! Elle a une de ces paires de seins, des merveilles, la Vénus de Milo, à côté elle peut aller se rhabiller. Bien que sans ses bras ça doit pas être évident.

 

Alors évidemment je caresse, je tripote, elle se laisse faire, passive, m’adressant un magnifique sourire complice.

 

Je lui titille les tétons, approche ma bouche et les suçote, j’adore sucer des beaux tétons !

 

Je commence à mouiller sévère, j’approche ma bouche de ses lèvres, on s’embrasse longuement, on se pelote. Enfin, c’est plutôt moi qui la pelote, elle a l’air bien moins motivée que moi et se contente de me caresser légèrement. Je ne lui plais peut-être pas de trop. Je lui demande :

 

– T’aimes pas ?

– Si !

– Je ne suis pas trop convaincue !

– Je suis un peu passive, mais j’aime bien !

– Ah bon ? Et si je te donne des ordres, tu acceptes ?

– Oui !

– Alors viens sur le plumard !

 

Elle me prévient qu’il faut qu’elle accomplisse un petit besoin naturel en préalable.

 

– Vas-y je te regarde !

– Tu serais pas un peu vicieuse, toi ? M’apostrophe-t-elle.

– Vicieuse, un peu gouine et pas mal pute ! Ça te convient comme catalogue ?

– T’es pute pour de vrai ?

– Absolument, ma chère !

 

Je m’attendais à un commentaire à la con ou à une question idiote, non, voyant mon sourire, elle dit simplement :

 

– T’as l’air d’assumer !

– J’assume !

– Et jamais d’incident ?

– Bof, des bricoles…

 

Je ne vais pas lui raconter ma vie, non plus !

 

– Tu tapines ou ça ?

– Je ne tapine pas, je passe des annonces et je reçois en studio !

– Whah, la classe !

– Si tu veux je te le ferais visiter !

– Pourquoi pas ? Tu sais je vais te confier un secret, l’un de mes fantasmes c’est de me faire payer pour faire l’amour, comme ça juste une fois.

– Et je parie que tu aimerais que je t’aide à le réaliser ?

– Je n’osais pas demander, mais pourquoi pas ?

– Sauf que dans mon studio, on ne baise pas !

 

Elle me regarde comme si j’étais un zombie.

 

– Je fais de la domination, les mecs, je les fouette, je les attache, je les sodomise…

– Ah ! C’est marrant je ne te vois pas du tout en train de faire ça !

– Je cache bien mon jeu, alors ?

– Jamais de baise, jamais, jamais ?

– Faut jamais dire jamais ! Bon dis-moi, tu n’avais pas envie de pisser ?

– Ah ! Ben si !

 

Elle s’installa sur la cuvette, je devrais dire : elle s’affala.

 

– Pas comme ça, je ne vais rien voir !

– O.K, je rectifie la position, tu vas pouvoir t’en mettre plein la vue ! Dit-elle en posant cette fois ses pieds sur le bord de la cuvette.

 

Je m’accroupis devant elle et plaçais mes mains en corole.

 

– Tu vas vouloir goûter ? Me dit-elle.

 

Quelle perspicacité !

 

– C’est mon petit péché mignon !

 

Elle se concentra quelques instants avant de libérer son jet, Je m’en remplis les paumes et portait à ma bouche ce nectar que j’apprécie tant. Putain, qu’elle était bonne sa pisse !

 

– Y’en a plus ?

– Non mais je peux faire autre chose, si tu veux ?

 

Et là, j’avoue avoir été troublée. Je m’explique, je n’ai pas la scato au registre de mes pratiques courantes, mais l’idée ne me rebute pas pourvu que l’on reste dans le raisonnable. Mais là, l’idée de voir une si belle femme chier devant mes yeux… j’ai failli dire « oui », je me suis dégonflée.

 

– C’est dommage je crois que je t’aurais montré un joli boudin !

 

Mais c’est qu’elle insiste !

 

– Allez, je sais que t’as envie de me voir faire un gros caca, et après tu me lécheras le cul.

– Non ! M’entendis-je répondre ! Pas envie de ça aujourd’hui !

 

A deux doigts d’accepter, j’ai refusé à cause de sa surenchère, mais surtout parce que je me rendis compte qu’elle était en train de m’imposer ses trucs. Sans doute est-ce mon fond de dominatrice qui m’a empêché cette inversion des rôles.

 

Elle eut l’intelligence de ne plus insister. Elle quitta sa position acrobatique pour s’assoir « normalement » sur la cuvette.

 

– Mes petits petons sont plein de pisse, tu veux les lécher ?

 

Ben oui, ça je veux bien !

 

Je ne suis pas spécialement fétichiste du pied, mais la chose ne me déplait pas, c’est vrai qu’un pied peut être magnifique et là en plus ils sont tout mouillés de son pipi… alors je lèche, le dessus, les orteils en m’attardant lourdement sur le gros que le lèche comme je le ferais d’une petite bite.

 

– Je te rejoins dans la chambre ! M’informe-t-elle.

 

Je comprends alors qu’elle veut finir ses besoins dans l’intimité, et là je ne sais ce qui m’a pris, je me suis planquée dans l’encoignure de la porte et j’ai regardé. Evidemment bien calée sur son siège comme elle était je n’ai rien vu du tout, en revanche j’ai remarqué que mademoiselle ne s’essuyait pas le cul.

 

A quoi joue-t-elle ? Elle croit me piéger ou quoi ? A ce petit jeu, elle ne gagnera pas, je me connais !

 

En chambre, je vais pour ouvrir les doubles rideaux, mais mademoiselle me dit préférer la pénombre. Qu’à ce ne tienne, nous voilà sur le plumard, caresses, pelotage, bisous et doigts coquins. J’aime la douceur de sa peau, j’aime ses gestes délicats, je suis aux anges et quand elle se décide à me lécher la chatte, je me donne toute entière dans l’attente du plaisir, je ne bouge plus, je ne fais rien, je m’occuperais d’elle ensuite, je ruisselle, elle me lape, elle me boit, mon clito n’en peut plus, elle le titille, je pars, je sais pas où, mais très loin d’ici, merveilleuse sensation.

Chanette26E

Le plumard est tout mouillé, à chaque fois j’oublie de mettre une serviette, il faudra que je me mette des post-it genre : « Les serviettes sont dans l’armoire en cas de… » en cas de quoi d’abord ? C’est dingue de penser à des choses aussi triviales en de pareils moments !

 

Je me jette au cou de ma partenaire du moment, on s’embrasse, bavant comme des chiennes, on se tortille les tétons, on est déchaînées.

 

– Fais-moi jouir ! Dit-elle.

 

Evidemment que je vais la faire jouir… Et la voilà qui se met en levrette, ce n’est pas spécialement dans cette position que je l’attendais.

 

– Lèche-moi le cul ! Demande-t-elle.

 

Horreur ! Je viens à l’instant de me rappeler qu’elle a « oublié » de s’essuyer.

 

Alors, je fais quoi ? J’aurais pu, lui dire simplement « non je ne te lèche pas le cul », et l’affaire était réglée. Mais non je suis là subjuguée par la beauté de ses fesses, rondes, lisses, accueillantes et de son petit trou brun qui semble me narguer, qui semble me dire « donne-moi ta langue ». Je vérifie l’état des lieux, et la pénombre ambiante ne m’aide pas, mais à priori, pas de quoi s’affoler.

 

Alors je respire un grand coup et je me lance, je ne fais pas dans le détail et positionne ma langue d’emblée sur le trou de son cul, ça sent un peu la merde, c’est âcre, mais ça n’a rien de repoussant, je lèche, je relèche et je m’enivre de ce plaisir interdit.

 

– C’est bon ce que tu me fais ! Minaude-t-elle. Mets un doigt !

 

Je le fais, je le fais bouger, ça lui fait des choses.

 

La fenêtre claque. Un courant d’air ! Je reviens sur terre ! Cette salope m’a fait lécher son cul mal essuyé. Je vais lui faire payer ça.

 

Et sans transition, je commence à lui gifler les fesses.

 

– Vas-y rougis moi bien le cul ! J’adore ça ! Réplique-t-elle.

 

Désespérante !

 

Je continue ma fessée quelques instants en ayant bien conscience que je ne suis pas en train de la punir.

 

Je ne sais pas comment va finir cette séance mais je mouille comme une chienne, il va falloir que je me calme. En attendant j’attrape mon gode dans le tiroir de mon chevet, je lubrifie le machin avec ma propre mouille et l’introduit dans le cul de la belle.

 

– Hé, doucement ! Proteste-t-elle.

– Ma pauvre bibiche, je t’ai fait mal ?

– Non, mais vas-y plus doucement !

– C’est pour t’apprendre à m’avoir fait lécher ton cul plein de merde !

– Hi ! Hi !

– Et ça te fais rire en plus ?

– Je ne vais pas pleurer ! Et d’ailleurs tu as eu l’air d’apprécier.

 

Elle m’énerve, elle m’énerve !

 

Alors je retire le gode, m’affale de tout mon long sur le plumard, cuisses écartées et lui demande de venir me lécher la chatte.

 

Moins d’une minute après, je jouissais comme une dingue. On s’est embrassé comme deux vieilles goudous et on s’est allumé une cigarette en parlant d’autre chose.

 

A suivre

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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 17:02

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 4 – Julien, homme à tout faire par Chanette

 

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Tout en tirant sur sa clope, le marquis se demandant s’il n’avait pas été trop loin dans ses délires, tint à préciser :

 

– Je t’ai raconté un peu n’importe quoi tout à l’heure, tu vas me prendre pour le roi de pervers…

– Mais pas du tout, si un jour Monsieur me demande des choses que je ne souhaite pas faire, et bien je lui dirais, mais pour l’instant ce n’est pas le cas.

– Ah ! Dans ce cas tout va bien !

– Est-ce que je peux me permettre de poser une question à Monsieur ?

– Pose toujours, tu verras bien si je répondrais.

– J’ai vu que Monsieur avait pris beaucoup de plaisir avec cette bite en plastique, je me demandais si…

 

Elodie ne put finir sa phrase, devenant rouge comme une tomate

 

 

t ado dans un univers sans fille, les relations avec les garçons n’était qu’un substitut, il estimait avoir dépassé ce stade ! Et puis il y avait autre chose, jamais la vue d’un homme ne l’avait excité, il n’était donc pas bisexuel.

 

Un jour il voulut s’expliquer :

 

– Je ne suis pas bi, je ne peux pas faire ça !

– Attends, on ne te demande pas de faire l’amour avec un mec, on te demande juste de jouer avec sa bite.

– Oui évidemment, vu comme ça ! Concéda-t-il sans trop de conviction.

– Tu voudrais que je t’arrange un petit trio avec un autre client ? Ça va te plaire, tu vas voir !

– Quand je serais prêt.

 

Le temps passa, d’abord il déclara ne pas être prêt et quand il le fut plusieurs impondérables empêchèrent la chose de se faire, le jour où cela aurait été enfin possible, il se fit voler son portefeuille dans la rue. Obligé d’aller au commissariat… il s’excusa auprès de Karita qui sans doute de mauvaise humeur ce jour-là le prit plutôt mal.

 

– T’as trouvé un prétexte pour te dégonfler !

– Mais non, je t’assure !

 

Bref ils s’engueulèrent et Honoré décida de la bouder quelque temps, quand il revint la voir, elle était absente, il alla donc voir ailleurs, mais ce n’était pas la même chose et la réalisation de son fantasme s’éloignait.

 

– Et voilà ! conclu Honoré

– Et maintenant, vous le feriez ?

– Je pense, oui !

– Alors j’ai peut-être une proposition à vous faire, j’ai un ami, pas vraiment un ami, disons une relation, il était jardinier, mais sa boite a déposé le bilan, il vit de petits boulots, il est bisexuel et très gentil, pourquoi ne l’embaucheriez-vous pas, puisque Nicole va prendre sa retraite.

– Je ne veux pas gérer de personnel.

– Mais il n’y aurait rien à gérer, si vous êtes d’accord je lui dirais de s’inscrire comme moi chez « Maison-service », vous le réclamerez et le tour est joué.

– Et il est comment physiquement ?

– 35 ans, assez fin, lunettes…

– Il a une belle bite ?

– Oui, Monsieur le marquis !

– Tu as baisé avec lui !

– Non mais je l’ai sucé !

– T’es un grosse cochonne !

– Oui, Monsieur le marquis !

– Et tu pourras lui expliquer ce que j’attends de lui ?

– Parfaitement, Monsieur le marquis.

– Tarifs standard ?

– Je vous dirais, mais ça ne devrait pas poser de problème

 

Bref, Honoré fut tenté par l’expérience, il réclama cependant une photo de l’intéressé, voulant savoir à quoi ressemblait ce type qui le sodomiserait peut-être. Le type envoya sa photo sur le téléphone portable d’Elodie. Le marquis fut rassuré, il n’aurait pas supporté un look trop macho.

 

Le lendemain il se présentait au château. Le marquis avait demandé à Elodie de rester avec eux. :

 

– Bonjour, je suis Julien, vous voulez voir mon CV ?

– Non, on va faire les choses dans l’ordre, enfin dans l’ordre qui me convient, on va d’abord faire ce qu’Elodie vous a rapporté, je ne sais d’ailleurs pas trop dans quoi je me lance, ensuite nous procéderons à l’examen d’embauche, je vous ai préparé une enveloppe, la voici ! Si vous voulez bien vous déshabiller ?

 

Julien prit l’enveloppe sans l’ouvrir et se déshabilla.

 

Honoré jaugea son interlocuteur à présent nu comme un ver, il était ni trop musclé, ni trop chétif et modérément poilu. Quant à sa bite, elle était moyenne, autant que le marquis pouvait en juger, n’en ayant pas vu tant que ça dans sa vie. Moyenne mais plaisante.

 

– Vous avez déjà travaillé dans le sexe ? Demanda le marquis.

– Oui, je me suis un peu prostitué pendant plusieurs mois.

– Est-il indiscret de vous demander pourquoi vous avez arrêté ?

– Je répondrais à toutes vos questions pendant l’entretien d’embauche, mais nous n’en sommes pas là !

 

Le marquis est surpris, il n’a pas l’habitude de se faire rembarrer et est à deux doigts d’envoyer le type se rhabiller (c’est le cas de le dire), mais c’est sans doute la vision de cette belle bite qui le nargue qui l’empêche de mettre son projet à exécution.

 

Honoré s’apprête alors à demander à Julien de s’approcher, mais il en est soudain incapable, comme paralysé..

 

– On laisse tomber ! Elodie, raccompagne ce monsieur ! Dit-il en quittant la pièce

 

La soubrette n’en fait rien, laisse passer quelques courtes minutes, demande à Julien de se rhabiller et rejoint son patron dans la bibliothèque. Elle espère redresser la situation mais ne sait pas trop comment..

 

– Il est parti ?

– Il va le faire, il m’a demandé un café…

– Ah ?

– Elodie, je coince, pouvez-vous faire quelque chose pour moi ?

 

Mais bien sûr qu’elle peut faire quelque chose et elle le lui suggère :

 

– J’ai une idée, je vais prendre la direction des opérations, je vous donne des ordres à tous les deux et vous m’obéissez… On fait ça juste le temps de démarrer ensuite je n’interviendrais que si ça bloque !

– Mais c’est parfait ça ! Empêchez-le de partir, on va faire comme ça !

 

– Bien désolé de ce contretemps, on recommence à zéro ! Commença Honoré.

– C’est moi qui vais vous lancer ! Précise Elodie, déshabillez-vous tous les deux, voilà… Rapprochez-vous l’un de l’autre. Voilà comme ça, et maintenant Monsieur le marquis va s’accroupir devant Julien et lui prendre sa bite dans ses mains

 

Ça y est le contact est établi, Honoré caresse la queue de l’homme et se met instinctivement à la branloter quelque peu.

 

– Et maintenant, dans la bouche !

– Slurp !

– Sucez la bien, monsieur le marquis ! C’est bon n’est-ce pas une bonne bite dans la bouche ?

– Foui !

 

Et c’est qu’il se régalait, Monsieur le marquis, cette situation lui rappelait sa première bite, celle de…. Impossible de se rappeler le prénom du gars. Pourquoi n’avait-il pas fait ça plus tôt, il allait maintenant rattraper le temps perdu, sa bite bandait comme un arc, il résista à l’envie de se la toucher, mais il ne fallait pas qu’il jouisse déjà !

 

Mais le spectacle fascinait et excitait également Elodie qui failli en oublier son rôle « d’animatrice »…

 

– Puis-je suggérer à ces messieurs de se rendre sur le canapé, Monsieur le marquis pourrait ainsi se mettre en levrette afin que Julien l’enculasse.

– Non, Elodie, j’admire vos efforts de langage, mais enculasse c’est de l’imparfait !

– Il faut dire comment, alors ?

– Afin que Julien l’encule… si ce dernier est d’accord, bien évidemment.

– Je suis là pour ça, monsieur !

– Eh, bien allons-y.

 

Elodie, prévenante, lui tend un préservatif qu’il enfile, et enduit le troufignon du marquis de gel intime.

 

Honoré n’a plus qu’à attendre l’assaut.

Chanette26d

– Elodie, mettez-vous devant moi et montrez-moi vos nichons pendant que ce monsieur va tenter de m’enculer.

– Mais avec grand plaisir, monsieur le marquis !

 

Honoré s’écarte les fesses et ouvre son anus afin de faciliter l’introduction, Ça ne passe pas du premier coup, mais ça finit par passer et ça entre.

 

Bizarrement, la sensation est un peu différente qu’avec les godes, évidemment une bite, c’est vivant, c’est chaud et ça bouge.

 

Quelques moments de désarroi puis les premiers frissons de plaisir l’envahissent. Elodie s’en aperçoit !

 

– C’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas, Monsieur le marquis ?.

– Oh ! Oui !

– T’aime ça que je t’encule, hein pédale ! Croit intelligent d’ajouter Julien.

 

Une réflexion qui provoque le courroux de la soubrette.

 

– Tu n’as pas à lui parler comme ça ! Pour l’instant c’est ton client tu lui doit le respect !

– Je croyais qu’il aimait ça !

– Tais-toi et continue à lui donner du plaisir, on ne te demande rien d’autre.

 

Et pendant que Monsieur le marquis frétillait du cul, Julien termina son œuvre en silence se contentant d’un gros soupir à moitié étouffé au moment de sa jouissance.

 

Honoré dans un état second, s’épongea le front et éprouva le besoin de se toucher sa queue bien raide. Bonne fille, Elodie vint alors le turluter. Elle aimait sucer… surtout quand il y avait un petit pourboire à la clé !

 

Et c’est ainsi qu’à presque 50 ans, Honoré concrétisa sa bissexualité restée jusqu’ici latente et fantasmée.

 

Julien expliqua ensuite qu’il était chômeur et que les travaux ménagers et de jardinage ne lui faisaient point peur… bref il voulait se faire embaucher.

 

Le marquis tint alors à mettre les choses au point, certains propos de l’homme, proférés sur le canapé alors qu’ils s’enfilaient n’étant pas de son goût.

 

– Si je vous embauche, il faut que les choses soient claires, vous me devez le respect et pendant les périodes de service normal, aucune allusion à nos activités sexuelles ne devra être prononcée.

– Pas de soucis

– Je n’ai pas terminé, pour le sexe vous serez rétribué dans les mêmes conditions qu’Elodie, mais là encore je vous demanderais de me respecter, dans ces moments-là, je ne serais pas votre copain mais votre client. Et comme le client est roi, je préfère que les choses se passent en silence.

– Bien Monsieur, j’ai bien compris le message.

 

Bref après une période d’essai, il embaucha le Julien.

 

En fait le marquis n’était que légèrement bisexuel, et faire des choses uniquement avec Julien ne lui venait même pas à l’esprit… Mais entrons plutôt dans son intimité afin de regarder comment ça se passe :

 

– Elodie, j’ai envie !

– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis.

– Montrez-moi vos nichons, Elodie !

– Avec plaisir, monsieur.

 

Il commence à les connaître par cœur, mais ne s’en lasse pas, alors, il caresse, il malaxe, il tripote, il agace les tétons et les suce comme une friandise. Et évidemment il bande.

 

– Sortez ma bite de sa braguette, Elodie !

– Tout de suite, monsieur le marquis.

 

Les petites mains d’Elodie ont tôt fait d’aller farfouiller dans l’intimité du marquis et d’en extraire une jolie queue bien bandée.

 

– Oh ! Monsieur le marquis est en pleine forme ! Dois-je caresser, branler, sucer ?

– Et bien tu vas faire tout ça dans l’ordre !

– Je m’en réjouis d’avance ! Répond-elle en venant caresser la douce peau de la verge tendue.

 

Mais voilà que la main de la soubrette s’enfonce plus avant dans la braguette.

 

– Aurais-tu perdu quelque chose, charmante soubrette.

– Je cherche à dégager les couilles de monsieur !

– Ah ?

– Puis-je suggérer à monsieur de baisser son futal afin de m’en faciliter l’aspect ?

– Que je baisse quoi donc ?

– Votre pantalon, Monsieur le marquis !

 

Le pantalon dégringole sur les chevilles du chatelain, le caleçon le rejoint dans la foulée.

 

Le bas étant dégagé, Elodie peut maintenant mettre la pine d’Honoré dans sa bouche tout en lui malaxant ses boules.

 

– Allons sur le canapé, nous y seront plus à l’aise.

 

Elodie s’en va alors dans la salle de bain et revient avec une grande serviette, mais ne l’étale pas sur le canapé.

 

– Un problème, Elodie ?

– Pas du tout, mais puis-je suggérer à Monsieur le marquis de continuer dans sa chambre, nous y serons mieux installés et puis il y a tout ce qu’il faut dans votre petit tiroir.

– Allons-y.

 

Une fois en chambre, le marquis ordonna à sa soubrette de se déshabiller entièrement et il en fit autant.

 

– Viens me montrer ton cul, Elodie.

– Le voici, Monsieur le marquis, il est à vous !

– Et si je te donnais une fessée ?

– Pas trop fort, alors ?

– Non, ce ne sera pas fort, mais il faut bien que je te punisse, après toutes les bêtises que tu as faites !

– Je dois avoir quelques problèmes de mémoire, car je ne me souviens pas quelles bêtises j’ai pu faire, Monsieur le Marquis !

– Et me sucer la bite, moi, un homme marié et respectable, ce n’est pas une bêtise peut-être ?

– Hompf !

– Ne rigole pas, et me faire baisser mon pantalon pour me tripoter les couilles, ce n’est pas une bêtise non plus ?!

– Monsieur à raison, je suis une vraie trainée et pour ça je mérite une bonne fessée ! Répondit Elodie entrant dans son jeu.

 

Le marquis arma sa main et la fit retomber sur le cul de la belle qui se contenta de sursauter car elle ne l’attendait pas si tôt.

 

– Tiens, vilaine !

– Oh, oui, j’ai été vilaine ! Très vilaine même !

– Tiens, morue, tiens salope !

– Monsieur le marquis est un poète !

– Impertinente en plus !

– Tous les défauts ! Aïe !

 

Moment d’hésitation.

 

– Je t’ai fait mal ? Demande le marquis.

– Non, ça va mais pas plus fort !

 

Honoré distribua encore quelques fessées puis écarta les fesses de la soubrette et fit pénétrer son doigt préalablement humecté de salive dans son conduit anal.

 

– Oh ! Monsieur le marquis me met un doigt dans le cul !

– Ce n’est pas moi, c’est mon doigt, parfois il fait ce qu’il veut !

– Mais pour l’instant il me fait du bien !

– Alors tout va bien !

 

Quand le doigt ressorti, il n’était pas très net et le marquis en mauvais comédien fit semblant de s’en offusquer.

 

– Tu es une cochonne, Elodie, j’ai maintenant le doigt tout cacateux !

– Ciel ! Que monsieur le marquis m’attende une minute, je vais chercher de quoi essuyer ce doigt.

– Veut tu rester là, il n’y a pas le feu.

 

Le marquis porta le doigt a ses narines, l’odeur l’enivra et sans réfléchir davantage il le porta à sa bouche et le suça.

 

– Hum, c’est délicieux, je crois que je vais en reprendre un peu ! Dit-il en faisant replonger son doigt.

 

Evidemment le marquis bandait comme un sapeur, mais il ne rentrait pas dans ses intentions de jouir de suite, il voulait s’amuser encore, aussi se positionnât-t-il en levrette en demandant à sa soubrette de s’occuper de son cul.

 

Celle-ci fit alors frétiller sa petite langue sur l’œillet brun d’Honoré, puis elle le ramona de son index. Au bout d’un moment elle ouvre le tiroir et en extrait le gode.

 

– Monsieur le marquis désire-t-il le gode dans son cul, ou préfère-t-il que j’appelle Julien.

– Appelle Julien ! Je veux qu’il soit nu avant de pénétrer dans la chambre, il ne devra pas prononcer un mot, je le sucerais un peu, après il m’enculera et après… zou… on reste tous les deux pour le final.

 

Elodie actionna l’interphone et donna ses instructions à son collègue.

 

– … Et surtout pas un mot, tu ne parles que si on te poses une question, grouille-toi, on t’attend.

 

Julien arriva et comme convenu présenta sa bite au marquis, celle- était demi-molle mais Honoré eut tôt fait de la rendre bien dure et de s’en régaler ! Comment avait-il pu se priver de se plaisir pervers pendant des années et des années. Une petite goutte de liqueur séminale finit par darder au sommet du gland, rendant la chose encore plus délicieuse.

 

– Tu veux goûter, Elodie ?

– Juste un peu, je ne voudrais pas gâcher le plaisir de Monsieur

 

Ils se partagèrent ainsi la bite de Julien pendant quelques instants, léchant et suçant partout, jusqu’à ce que le marquis ordonne :

 

– Mets-toi une capote et sodomise-moi !

 

Julien faillit dire « Bien Monsieur le marquis » , mais se souvint qu’on lui avait intimé l’ordre de rester silencieux. Il se présenta donc à l’entrée brune, écarta comme il convient les fesses d’Honoré et le pénétra.

 

– Vas-y encule le bien ! Commenta Elodie qui elle, avait le droit de parler.

 

Sodomiser un quinquagénaire au physique moyen n’était pas dans les fantasmes de Julien, aussi œuvrait-il en fermant les yeux s’imaginant besogner une belle femme mature au trou du cul accueillant ou un bel éphèbe au corps glabre.

 

Mais c’est qu’il enculait bien, l’animal, et Honoré en miaulait de plaisir. Au bout de dix minutes, peut-être moins, peut-être plus, allez savoir puisque la baise dilue la notion du temps, Julien accéléra sentant sa jouissance proche, il s’écroula sur son patron en éjaculant, puis comme il en avait été convenu, il quitta la pièce sans un mot.

 

– J’espère que Monsieur le marquis a apprécié ? lui demande Elodie.

– Super ! Et puis cette fois il n’a pas parlé !

– Hi ! Hi !

– Allez Elodie, c’est à mon tour de t’enculer.

– Avec grand plaisir, Monsieur le marquis, mon trou du cul est à vous !.

– J’espère bien !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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