Chanette

Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:59

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 3 – Elodie, soubrette coquine par Chanette

 

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Flashbacks

 

Rendons-nous à présent à Gouley-le-château, petite localité des Yvelines, là où habitent en leur château, le marquis et la marquise de la Villandière. Un château qui aurait sans doute besoin d’une petite restauration, mais qui a néanmoins fière allure. Le marquis de la Villandière est un excentrique, il a 50 ans, le cheveu rare et l’embonpoint visible, il n’a plus rien d’un play-boy. Il fut propulsé par ses parents dans les bras de Marie-Josèphe, une grenouille de bénitier assez grave qui aurait pu être jolie pourvu qu’elle s’arrangeât quelque peu. L’alliance des deux familles le mettant à l’abri des vicissitudes de la fortune, il accepta cette union peu sensuelle. Honoré, puisque tel est le prénom du marquis se faisait fort de faire évoluer la donzelle dans tous les domaines..

 

Mais rien n’y fit. Il n’était pas question de consommer avant le mariage, et le soir des noces Honoré qui était bourré comme un coing ne l’honora pas. Le lendemain, la Marie-Josèphe avait revêtue sa tenue de punaise de sacristie. Tailleur bleu marine infâme et chemisier à col Claudine. Il la déflora le soir, lumière éteinte en imaginant qu’il baisait Pénélope Cruz. Ainsi le mariage ne pouvait être annulé pour non-consommation et comme madame était une farouche opposante au divorce, il était tranquille de ce côté-là.

 

Il mit alors les choses au point :

 

– Nous ferons désormais chambre à part. Je reste à ta disposition le jour où tu te décideras à re montrer désirable.

– Mais enfin, mon mari !

– Enfin quoi ? Quand tu auras cinq minutes, tu téléphoneras à la vierge Marie pour lui demander pour quelle raison Dieu a doté les femmes d’un clitoris !

– Oh !

– Si tu ne sais pas ce que c’est, fait une recherche sur Internet, et maintenant laisse-moi, j’ai du travail !

 

Cette dernière affirmation était archi fausse, le marquis n’avait pas de travail pour la bonne raison que ses rentes viagères lui permettaient de vivre en ne faisant rien.

 

Le temps passa et les choses évoluèrent peu. Marie-Josèphe proposa ses services à ces messieurs dames de la paroisse, mais au bout d’un moment elle devint indésirable. On ne lui dit jamais, ces gens-là ne disent pas de telles choses, mais on le lui fit sentir à coup de petites allusions assassines.

 

Elle n’avait pourtant rien fait de mal, on lui reprochait simplement d’être la femme du marquis, lequel revenait parfois au château avec une, voire deux escorts de haut-vol. Que voulez-vous ? Les dames paroissiennes n’aiment pas ça.

 

Elle prit sur elle de vouloir discuter avec Honoré, qui la laissa parler longuement sans lui répondre, avant de lui dire que si elle n’était pas contente, elle n’avait qu’à demander le divorce.

 

Elle fondit en larmes, il ne chercha même pas à la consoler, alors Marie-Josèphe se réfugia dans la prière et les lectures pieuses.

 

Pour s’occuper elle s’acheta un violoncelle et s’acharna à jouer les sonates pour violoncelle seul de Jean-Sébastien Bach.

 

Voilà près de trente ans qu’elle joue ces sonates, Honoré les connaît maintenant par cœur !

 

Ne sachant que faire pour s’occuper, Honoré eut l’idée de faire de la politique, c’est ainsi que davantage par provocation que par conviction, il fonda avec quelques nobliaux décatis, « L’association des Chatelains de France » avec au programme : renaissance de la monarchie et des privilèges de la noblesse dont la restauration du droit de cuissage.

 

Une de ses relations fit en sorte que la presse parle un peu de cette association. Ce fut le tollé, l’humour et le second degré en politique n’ont rarement fonctionné, les rares personnes de sa caste qui le recevaient encore lui fermèrent leurs portes avec mépris, mais le pire fut la réaction de quelques groupuscules d’extrême-gauche qui prenant l’affaire au premier degré allèrent défiler sous les, fenêtres du château aux cris de « Villandière, facho, le peuple aura ta peau ! »

 

Ce jour-là le marquis se dit qu’il n’avait plus rien à attendre du genre humain. Avant il était misanthrope, il devint carrément asocial.

 

Ne sachant que faire de son temps, il se mit à collectionner des tas de trucs avant de se spécialiser dans les livres anciens et les manuscrits, il écume pour ce faire les librairies spécialisées et hante les salles de vente. Il est désormais à la tête d’une des plus belles collections de France.

 

Il nous faut bien évidemment parler sexe : Honoré pris très tôt une maîtresse, il s’aperçut à temps que la demoiselle lui coûtait une fortune en cadeaux divers et variés, et que c’était essentiellement cela qui l’intéressait dans cette relation. Il la largua et se mit à fréquenter les professionnelles. Au moins, avec elles les choses étaient simples.

 

L’entretien et les services du château furent longtemps assurés par les deux vieilles domestiques du lieu. Au départ en retraite de la cuisinière, il eut du mal à trouver quelqu’un, on lui suggéra alors de passer par l’intermédiaire d’une boite d’intérim. Très pratique, pas de personnel à gérer ! D’autant que la retraite de la femme de ménage approchait, elle aussi à grands pas.

 

Il y en eut de tous les âges, de toutes les corpulences et de toutes les couleurs, et un jour ce fut Elodie.

 

La trentaine, brune aux yeux bleus, joli minois, lèvres purpurines, et gros roploplos en devanture dans un décolleté avantageux. Ses sourires enjôleurs constituaient une véritable invitation à la débauche.

 

Bref il l’embaucha, c’était il y a deux ans de cela, et n’eut jamais à se plaindre de ses services, Une semaine après son arrivée il l’entreprit :

 

– Elodie, je voudrais vous dire deux choses :

– Je vous écoute, monsieur.

– Voyez-vous, vous êtes très attirante, vous me plaisez beaucoup, et je dois faire des efforts surhumains pour ne pas vous mettre la main aux fesses !

– Oh, Monsieur ! Répondit-elle avec un petit sourire narquois

– Mais maintenant, avec toutes ces histoires de harcèlements qui dégoulinent des médias, je m’en voudrais de passer pour un pervers, donc je n’en ferais rien… à moins bien sûr, que vous m’en accordiez la permission.

– Monsieur est amusant !

– N’est-ce pas ?

– Disons que je pourrais éventuellement me laisser faire contre un petit pourboire. Précisa-t-elle d’une voix mutine

– Et en admettant, vous seriez prête à aller jusqu’où ?

– Tout dépend du pourboire. Mais attention, je n’aime que la douceur.

– Et si je vous prenais au mot ?

– Je ne me défilerais pas !

– Alors ne bougez pas je vais chercher le pourboire !

 

Elodie vérifia si le pourboire était « correct », puis glissa mit les billets dans la poche de son tablier et illumina son visage d’un large sourire.

 

– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis !

– Elodie, j’aimerais que vous mettiez votre main dans ma braguette afin de vérifier l’état de ma chose !

– Mais certainement, Monsieur !

 

Et voici Elodie qui descend la tirette de la braguette, qui introduit la main et rencontre ce qu’elle devait rencontrer, elle se demande si Honoré aimerait qu’elle cause, alors elle essaie :

 

– Je sens quelque chose de dur, Monsieur !

– Allez la chercher, Elodie !

 

Et hop, voici une bite, déjà bandée qui apparaît sous les yeux coquins de la soubrette.

 

Elle la touche, la masturbe très légèrement.

 

– Monsieur désire-t-il que je le suce ?

– Assurément ! Suce-moi juste un petit peu pour me montrer ce que tu sais faire avec ta langue, parce que maintenant je voudrais te voir toute nue. Ça ne te dérange pas que je tutoie ?

– Non, non vous pouvez me dire « tu » ! Je veux bien me déshabiller, j’espère que Monsieur ne sera pas déçu.

 

La voilà qui commence à enlever son tablier.

 

– Non, suce un peu d’abord !

– Ah, oui, c’est vrai, pardon Monsieur. Humm, Monsieur bande joliment, je vais me régaler !

 

Elle embouche la bite du marquis, lequel peut alors constater que la coquine possède un bon savoir-faire :

 

– Tu suces bien ! Montre-moi tes trésors à présent !

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La fille se déshabille devant les yeux du marquis. Ce dernier en a vu des filles à poil dont pas mal de canons, mais il n’est pas blasé pour autant, et puis en ce moment ce n’est pas une professionnelle, c’est la bonne et cela constitue pour lui un petit plus fantasmatique.

 

– Quelle belle poitrine !

– Vous trouvez, moi je trouve qu’ils sont un peu trop gros !

– Mais non ! Je peux te les embrasser ?

– Oui ! C’est très délicat de me demander ! J’apprécie !

 

Et le marquis se jette sur les jolis globes comme la vérole sur le bas clergé breton. Il n’embrasse pas, il tète, il aspire, il gobe !

 

– Oh, qu’est-ce que vous faites à mes seins ? C’est trop bon !

 

D’un coup il s’arrête et se débarrasse de ces vêtements, puis l’entraîne vers le canapé.

 

– Mets-toi à quatre pattes que j’admire ton cul !

– J’ai les fesses un peu plates, il paraît !

– Mais non ! Ecarte un peu tes cuisses ! Wha ! Le mignon petit trou !

– Si Monsieur désire m’enculer, je veux bien, mais il faudra que Monsieur se mette une capote et y aille délicatement.

– Ah, oui bien sûr ! J’en ai dans le tiroir de mon chevet dans ma chambre, je vais aller en chercher… Ou plutôt, faisons plus simple, viens avec moi dans la chambre.

 

Après cette interruption technique, Honoré entreprit de lécher le troufignon de la belle. Monsieur le Marquis ne détestais pas que l’endroit sente autre chose que la savonnette. Quand l’anus fut bien lubrifié, il approcha sa bite encapuchonnée et sodomisa la belle en cadence en transpirant comme un bœuf.

 

Hé ! c’est que notre Marquis n’a plus vingt ans, qu’il ne se surveille pas trop et ne pratique aucun sport. Dans ces circonstances ça n’aide pas, et si l’excitation reste un excellent stimulant, la jouissance tarde à venir.

 

Et tandis qu’il continuait à s’escrimer à la bourrer, il fut surpris de l’entendre crier sa jouissance, une vraie jouissance, voilà qui le changeait des professionnelles qui croyaient malin de faire semblant.

 

Il en profita pour déculer et demander à Elodie de le terminer de la bouche et des mains.

 

La petite bonne trouvant que son patron devenait dur à la détente eut l’idée d’introduire un doigt préalablement humecté dans son trou du cul.

 

Le marquis ne protesta pas et poussa même un râle de satisfaction. Encouragée, la belle fit bouger son doigt, et miracle, le marquis se mis à juter son sperme en un joyeux petit geyser qui retomba sur son ventre.

 

Sans qu’on ne lui demande quoique ce soit, Elodie entreprit de nettoyer de sa langue les perles de sperme éparpillées, puis après s’être passé vicieusement la langue sur les lèvres, elle se redressa et s’éloigna du canapé.

 

– Tu fais quoi ?

– Je vais me rhabiller, à moins que Monsieur ait encore besoin de mes services, mais avant il faut que je fasse pipi.

– Je peux regarder !

– Me regarder faire pipi ? Ma foi, ça ne me gêne pas.

 

Le spectacle de cette splendide jeune femme nue sur la cuvette des chiottes en train de soulager sa vessie remplit notre marquis d’aise, il se tripota un peu la bite mais sans parvenir à rebander complètement.

 

– Si un jour, je te demande de me pisser dessus, tu le feras ?

– Voilà une chose que je n’ai jamais faite, mais je sais que ça se fait, je ne suis pas contre.

– Tu es une brave fille, tu m’apporteras un jus d’orange quand tu seras rhabillée, rien ne presse.

– A votre service, Monsieur le marquis !

 

Honoré était fort satisfait malgré le fait qu’il avait eu un peu de mal à jouir, cette Elodie avait tout pour le combler, peu farouche, belle et bien faîte et ouverte aux fantaisies. Plus besoin d’aller chez les professionnelles, il avait désormais ce qu’il lui fallait sous la main… enfin presque, mais une petite virée à Paris lui donna l’occasion d’acheter un joli gode très réaliste et un martinet.

 

Une semaine après cette petite séance de baise avec Elodie, l’envie de recommencer le prît. Il la sonna et lui demanda de la rejoindre dans la salle de bain du rez-de-chaussée.

 

– Monsieur m’a appelé ?

– Elodie, j’ai très envie que nous refassions quelques bêtises comme la semaine dernière. Ça te dit ?

– S’il y a un gentil petit pourboire, ça me dit !

– C’était prévu ! Répondit-il en lui payant le prix de ses charmes.

– Monsieur pense vraiment que la salle de bain soit le meilleur endroit pour faire ces choses ?

– Pour ce que je vais te demander d’abord, oui ! Rappelle-toi, tu m’avais dit que cela ne te dérangerait pas de me pisser dessus.

– Ah ! C’est vrai ! Je veux bien essayer, mais je ne suis pas sûr de pouvoir !

– Je ne t’en voudrais pas, si ça ne marche pas et nous recommencerons une autre fois. Déshabillons-nous.

 

Honoré, une fois nu pénétra dans la baignoire, s’y assit et demanda à Elodie de se mettre à califourchon au-dessus de lui.

 

– Je crains de bloquer ! Dit la belle après quelques minutes de concentration.

– Pense aux chutes du Niagara !

– Non décidemment, ça ne vient pas, la prochaine fois, que Monsieur le marquis me prévienne avant, je boirais beaucoup d’eau.

– Tu as raison, mais peut-être qu’en ouvrant le robinet…

 

C’est donc ce qu’il fit !

 

– Ça vient, ça vient, Monsieur le marquis, j’envoie mon pipi où ça ? Sur votre zizi ?

– Si tu veux, mais sur le visage, ça me plairait bien aussi !

– Sur le visage ?

– Ça te choque ?

– Je suis surprise, mais pas choquée, je vais le faire, mais je crains qu’il n’y ait que quelques gouttes.

 

Honoré ouvrit une large bouche et se régala du bon pipi de sa domestique, il avait juste un petit gout de trop peu.

 

Après s’être essuyés sommairement, ils gagnèrent la chambre et s’étendirent sur le lit. Monsieur le marquis eut alors envie d’explorer le minou d’Elodie, une jolie chatte épilée en maillot aux lèvres gonflées mais sèches.

 

« J’aurais dû lui dire ne pas s’essuyer ! » regretta-t-il

 

Il lui introduit deux doigts et les fit bouger, tandis que son autre main lancée vers l’avant triturait son joli téton.

 

– Oh ! C’est bon ce que vous me faites, Monsieur !

 

Quand les doigts ressortirent, il les porta à sa bouche, se régalant du jus du cul de sa soubrette.

 

Et comme la chatte d’Elodie commençait à mouiller, Honoré su qu’elle ne simulait pas, sa fierté de mâle et son ego en furent réconfortés… Et quand elle se mit à crier sa jouissance… je ne vous en parle même pas !

 

Une mini pause et Honoré sort du tiroir de sa table de chevet le gode qu’il a acheté à Paris.

 

– Regarde mon nouveau joujou !

– Oh, c’est joli ! Et Monsieur voudrait que je l’introduise !

– Ça fait effectivement partie des possibilités, mais j’aimerais bien que tu me l’enfiles !

– Ah ! Monsieur voudrait que je lui mette derrière.

– En quelque sorte !

– Vous n’avez pas peur d’avoir mal ?

– Mais non, l’autre jour tu m’as bien mis un doigt !

– Oui, mais là c’est plus gros !

– On va mettre une capote, un peu de gel, et ça devrait rentrer tout seul.

– Et bien allons-y, Monsieur le Marquis !

 

Honoré prépara le gode, puis se mit en levrette, offrant son cul à la jolie soubrette.

 

– Attention, j’y vais !

– Vas-y !

 

Et le gode entra facilement, le marquis demanda à Elodie d’actionner le petit vibreur incorporé, puis de faire aller et venir l’engin dans son cul.

 

– Oh ! Que c’est bon ! Vas-y bouge le bien ! Oh, que c’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas Elodie ?

– Mais parfaitement, Monsieur !

 

Après quelques minutes de ce traitement, Honoré éprouva le besoin de conclure et suggéra à sa partenaire de se mettre en levrette « comme l’autre fois » afin qu’il l’encule.

 

– Mais avec plaisir, Monsieur le marquis ! Enculez-moi !

– On y va, mais avant, je vais lécher un peu ce petit trou si mignon.

– Comme il vous plaira, Monsieur.

 

Sa langue se régalait de ce goût un peu acre et si particulier.

 

– Votre anus est délicieux; Elodie.

– Je suis content que mon anus plaise à Monsieur.

– J’aime les culs naturels, les culs qui sentent le cul.

– Hi ! hi !

– Cela vous fait rire, Elodie !

– Je ne voulais pas me moquer, Monsieur le marquis.

– Je ne l’ai pas mal pris, mais je me demandais si tu t’étais convenablement essuyé le cul.

 

Elodie ne comprend pas bien, ou plutôt se refuse à réagir tant qu’elle n’est pas certaine d’avoir bien compris.

 

– Mais bon, lécher un cul qui n’est pas propre à cent pour cent n’a rien de désagréable ! Insiste lourdement le marquis.

– Si Monsieur le dit…

– Oublie ce que je viens de dire, c’est juste un fantasme idiot.

– Cela ne me paraît pas méchant, si Monsieur préfère que la prochaine fois, mon cul soit mal essuyé, je peux essayer de vous faire plaisir, mais il faudrait mieux m’avertir à l’avance .

– Brave fille ! Et si un jour je te demande de chier devant moi ?

– Avec tout le respect que je vous dois, je dirais que Monsieur est un cochon, mais ça ne me tuera pas.

 

Elodie compris alors qu’en se rendant disponible afin de satisfaire tous les fantasmes de son employeur, elle pouvait facilement garnir son bas de laine, elle décida donc de l’aguicher :

 

– Puis-je suggérer à Monsieur que je le prévienne quand j’aurais envie de caca.

– Bonne idée !

– Je me réjouis à l’avance de faire un gros boudin devant monsieur.

– Petite cochonne !

– Dans ce cas, monsieur me donnera-t-il un pourboire supplémentaire ?

– Bien sûr, mais tu ne serais pas un peu vénale, toi ?

– Que voulez-vous toute peine mérite salaire !

 

Complètement excité par cet échange de propos, Honoré s’encapota et pénétra analement la soubrette avec une telle fougue et une telle énergie qu’il ne tarda pas à éjaculer. La fille, pour sa part avait commencé à miauler mais l’orgasme n’était pas venu, alors le marquis, voulant montrer qu’il avait du tact, continua à la limer jusqu’à ce quelle jouisse à son tour.

 

Elodie après avoir gratifié son patron d’un joli sourire complice, se leva du lit et s’approcha de la chaise où elle avait déposé ses vêtements.

 

– Mais où vas-tu ?

– Mais, reprendre mon service; monsieur

– Tu as bien cinq minutes, reste avec moi pendant que je fume une cigarette, tu en veux une ?

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:56

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 2 – La punition de Yolande par Chanette

 

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Le lendemain matin je me réveille, Yolande n’est plus dans le lit, je ne m’affole d’abord pas, mais je ne la trouve nulle part. Son sac de voyage n’est plus là non plus ! Pas un mot, rien, je lui téléphone, ça ne répond pas !

 

Je vérifie si elle ne m’a rien piqué, je ne constate d’abord rien, mais…

 

Je possède un coffre mural, mal dissimulé derrière un tableau dans la bibliothèque. Il y a là-dedans quelques papiers personnels, un peu de liquide, des bijoux de famille, et des trucs que je ne porte plus, mais aussi une petite cassette contenant un gros diamant et un petit paquet d’enveloppes renfermant de la correspondance privée entre Sacha Guitry et une dame qu’il courtisait. Ces lettres et le diamant coûtent une fortune, mais ils ne sont pas à moi, ils m’ont été confiés en garantie par un type qui me doit une grosse somme d’argent.

 

Je retire le tableau pour accéder au coffre et le découvre déverrouillé… et vide ! Il n’a pas été forcé, non il a été ouvert gentiment par des petites mains expertes.

 

Je me suis donc fait marron par une enculée de monte-en-l’air particulièrement douée !

 

La salope !

 

Réaction débile, je prends à nouveau mon portable et lui téléphone ! Qu’est-ce que je croyais ? Qu’elle allait me répondre ?

 

J’ai le sommeil un peu léger, mais là je n’ai rien entendu, elle a dû me foutre un somnifère dans mon verre ! Soit elle a agi seule pour ouvrir le coffre, ou elle a fait entrer un complice, mais évidemment ça revient au même !

 

Le gros souci c’est que je ne peux pas prévenir la police étant persuadée que le diamant et les correspondances de Sacha Guitry sont le produit d’un vol ! Je n’ai pas envie d’être en plus inculpée pour recel !

 

J’ai pu retrouver la date exacte de mon déplacement à Lisbonne et le nom de l’hôtel. Je vais essayer un truc.

 

Bref, j’ai fait jouer mes relations, j’ai téléphoné à Jean-Luc Gauthier-Normand (voir l’épisode Pho, la cambodgienne) qui ne refuse jamais de me rendre service et qui m’a proposé l’aide de Max son homme à tout faire, mais je voulais pas abuser de sa gentillesse. J’ai obtenu grâce à lui, l’identité de cette Yolande, elle s’appelle Yolande Soubise, j’ai aussi son adresse…

 

Les petits curieux vont se demander comment il a fait, c’est tout simple, Le Jean-Luc a des relations à Interpol, la relation téléphone à l’hôtel de Lisbonne qui consulte ses registres….

 

J’ai contacté deux détectives privés, ils m’ont demandé pourquoi je n’allais pas aux flics, je leur ai fait comprendre à demi-mot que je n’étais pas clean dans cette affaire, bref ils n’ont pas voulu se mouiller. Faudrait que je trouve un mec un peu en marge, mais c’est assez compliqué, ce n’est pas sans risque et ça peut être cher.

 

Fin de récit d’Anna

 

– Tu ne connais personne, toi ? Me demande-t-elle

– Tu aurais dû accepter l’aide de Max !

– Faudrait déjà voir si l’adresse est bonne, mais il s’agît d’être discret, si elle me voit, ça ne va pas le faire…

– Je peux toujours aller voir ! Proposais-je

– Oui, tu vérifies juste l’adresse et ensuite on avisera.

 

Je la sens mal son affaire !

 

– Et je fais ça quand ?

– Tout de suite ! On y va ensemble, j’appelle un taxi. Je t’ai préparé une grosse mallette avec une encyclopédie à la con, si tu as besoin de sonner chez elle, tu es censé faire du porte-à-porte. Si tu dois soudoyer quelqu’un je te laisse deux billets de 50.

– Ah, c’est donc ça, ta mallette ?

– Ben oui !

 

J’aurais tout fait dans ma vie !

 

On arrête le taxi devant un petit square rue de Bretagne, et tandis qu’Anna se pose sur un banc, je me rends un peu plus loin à l’adresse indiquée. Evidemment il y a un digicode, j’attends donc qu’un citoyen ou une citoyenne se décide à entrer ou à sortir. J’ai bien attendu une demi-heure. Et hop me voilà dans la place. Inspection des boites aux lettres : Pas plus de Yolande Machin que de beurre en broche !

 

Je fais quoi ? Je pense téléphoner à Anna, mais je peux à ce stade me débrouiller toute seule. Il y a un gardien, mais qu’est-ce que je vais lui raconter.

 

– Bonjour Monsieur ! Je cherche Mademoiselle Yolande Soubise…

– Y’a longtemps qu’elle n’est plus là !

– Vous savez où elle est maintenant !

– Vous n’avez pas son numéro de téléphone !

– Si mais ça ne répond pas, elle a dû changer de numéro.

– Elle m’avait laissé un numéro, je peux vous le communiquer, attendez une minute…

 

Et voilà que mémère apparaît !

 

– C’est quoi ?

– C’est quelqu’un qui demande après la Soubise.

– Faut rien donner !

– Donc vous avez l’adresse ?

– Non, on a rien du tout, au revoir mademoiselle !

 

Je sors mes deux billets.

 

– Même contre un petit billet ?

– Attendez…

 

Le bonhomme consulte un petit carnet.

 

– 114 rue du chemin vert, chez Monsieur Larive

– Montrez-moi ce qui est écrit et je vous laisse deux billets.

 

Je n’ai pas envie qu’il m’envoie dans la nature. Je note l’adresse et aussi le numéro de téléphone.

 

Je récupère Anna.

 

– Alors ?

– Elle n’est plus là, mais j’ai sa nouvelle adresse et un numéro de téléphone…

– Donne

– O.K. c’est un autre numéro.

– Elle vit avec un bonhomme…

– OK, j’avais pensé à un petit scénario, mais s’il y a un mec, ça va se compliquer

 

On prend un café vite fait au comptoir d’un bistrot.

 

Anna me demande de téléphoner au numéro que j’ai obtenu. Une voix féminine lui répond. On met l’ampli.

 

– Allo ?

– Bonjour ! Je désirerai parler à Monsieur Larive.

– Vous n’êtes pas sur son portable, là…

– Vous pouvez me le passer.

– Il n’est pas là et je ne suis pas autorisé à vous communiquer son numéro. Mais je peux lui faire une commission.

– C’est pour la conformité des installations électriques.

– Allez vous faire foutre !

– C’est bin sa voix ! Bon voilà le plan… M’explique-t-elle. Tu te sens capable de faire ça ?

– Oui, mais tu ne m’en voudras pas si je fais tout foirer !

– Tu ne vas rien faire foirer du tout.

 

On trouve un taxi, le chauffeur nous précise que ce n’est pas bien loin. Tant mieux.

 

Même protocole, Anna m’attend cent mètres en amont.

 

– Si j’ai pas de nouvelles de toi dans les 10 minutes chrono, je monte en renfort.

 

Sur place, pas de digicode mais un interphone multiple. J’attends que quelqu’un entre ou sorte, puis je vérifie les boites aux lettres.

 

Larive – Soubise – 2ème gauche

 

Bingo !

 

Le plan d’Anna me parait complètement tordu. Je n’ai pas osé lui demander pourquoi elle n’y allait pas elle-même, mais c’est vrai que la Yolande, la reconnaissant, aurait sans doute refusé de lui ouvrir !

 

Je sonne.

 

Je n’avais jamais vu la Yolande, une très jolie femme

 

– Bonjour ! Paula Mortier, détective privée, je peux entrer cinq minutes ?

– Attendez, c’est pourquoi ?

– Le casse du coffre-fort chez Madame Anna-Gaëlle de la Souderie de Breteuil

– Hein quoi ? Et qu’est-ce que j’ai à voir là-dedans ?

– Il y a des caméras chez la petite dame !

– Foutez-moi le camp !

 

J’ai mon pied à travers la porte, elle ne peut la fermer sans me l’écraser. La tronche qu’elle tire ! Elle regarde les autres portes sur le pallier, je comprends qu’elle craint qu’une voisine se mette à écouter. Tant mieux je hausse la voix.

 

– Je vous répète que vous avez été filmée, je viens vous proposer un arrangement à l’amiable !

– Entrez cinq minutes !

 

Elle me fait asseoir, je ne dis rien, j’attends qu’elle cause.

 

– Ben je vous écoute !

– Vous avez piqué des documents qui ne sont pas négociables, j’ai pour mission de les récupérer. Idem pour le diamant. En ce qui concerne le reste, je dirais que ça a déjà changé de main, en fait vous me rendez l’argent liquide ce sera ma prime, et les bijoux vous les gardez !

 

Un semi-bluff bien sûr puisque l’objectif est bien sûr de tout récupérer.

 

La nana parait en pleine confusion mentale et ne sait que dire.

 

– Ben alors ? M’impatientais-je

– Ben alors je réfléchis !

 

Et puis tout d’un coup, elle semble avoir trouvé quelque chose !

 

– C’est bizarre que ce soit un détective privé qui s’occupe de ça, pourquoi ce n’est pas la police ? Et d’abord qu’est-ce qui me prouve que vous êtes détective privé ?

 

Elle va me coincer cette salope !

 

– On s’en tape, on sait que c’est toi, alors soit tu acceptes l’arrangement, soit j’appelle les renforts ! Répondis-je en sortant mon téléphone portable.

 

Ça passe ou ça casse, mais si ça casse, j’appelle Anna ! Ensuite ça deviendra une simple affaire de rapport de force.

 

– Foutez-moi le camp !

 

Je vais pour appeler Anna, mais voilà que Yolande se jette sur moi comme une furie, me fout par terre et envoie valser mon téléphone.

 

– Et maintenant tu te casses ! Hurle-t-elle

 

Bon, rendons-nous à l’évidence, je ne suis pas faite pour ce genre de boulot. J’ai merdé !

 

Si je suppose bien, son plan à la nana est du genre minable, elle me fout dehors, puis va s’enfuir avec le magot en se doutant que je vais la filer, elle essaiera alors de me semer… Et même si je la rattrape, je fais quoi ? Autrement dit si pour elle la situation est désespérée, en ce qui me concerne c’est vraiment aléatoire.

 

Il faut donc que je gagne du temps, pour laisser le temps à Anna d’arriver. Je fonce dans le fond de l’appartement, les chiottes sont ouvertes, je rentre. Pourvu que ça se verrouille ! Oui, ça se verrouille, je m’enferme !

 

L’autre tambourine !

 

– Sors de là-dedans, pétasse !

 

Je la laisse s’exciter, au bout de quelques minutes elle s’en va, elle part chercher un outil pour forcer l’ouverture, Pas si simple, c’est un verrou à trois balles, mais ça tient bien, elle essaie quand même ! Mais qu’est-ce qu’elle fout Anna ?

 

Et tout d’un coup j’entends qu’on tambourine à la porte d’entrée. L’autre ne doit plus savoir quoi faire, j’en profite pour crier « au secours » ! Avec un tel barouf les voisins vont finir par s’interroger.

 

En désespoir de cause, Yolande finit par ouvrir.

 

– Qu’est-ce que t’as fait à ma copine, salope ?

 

Cette fois Yolande craque !

 

– Elle s’est enfermée dans les chiottes !

 

Je sors ! Yolande s’est affalée comme une chiffe molle dans un fauteuil et se met à chialer comme une madeleine

 

– Bon on en est où ? Demande Anna !

– Je sais pas, j’ai un peu merdé !

– Pas grave, on est deux maintenant ! Toi t’arrête de chialer et tu me rends ce que tu nous as piqué !

– Ouin, c’est pas de ma faute, c’est Francis qui m’a obligé à faire ça !

– On s’en fout ! Allez grouille !

 

Elle se lève, on la suit, en bas d’un dressing, elle prend un sac de supermarché et le tend à Anna.

 

– Il manque un peu de liquide, c’est Francis qui l’a pris.

– Il manque combien ?

– Je ne sais pas !

 

Anna vérifie le contenu du sac, il y a les lettres de Guitry, le diamant, les bijoux, elle compte le fric.

 

– Il doit manquer 500 balles ! Dit-elle au pif !

– J’ai pas d’argent sur moi ! Implore-t-elle !

– Ben ça fait rien on va passer au distributeur !

– Francis va me tuer quand il va savoir que j’ai ouvert.

– Bon tu mets ton manteau et tes godasses et tu viens avec nous tirer du fric.

– Vous ne comprenez pas, il va me tuer !

– Fallait y penser avant !

 

On est allé au distributeur, mademoiselle avait une carte Gold.

 

– Et maintenant on ne veut plus te voir. Viens Chanette, faut que je passe à la galerie, on va prendre un taxi.

 

Et voilà l’autre qui nous refait une crise de larmes !

 

– S’il vous plaît ? Implore-t-elle !

– Quoi ?

– Aidez-moi !

– Dégage !

– Ça ne vous est jamais arrivé de faire des bêtises ? Insiste Yolande

 

Anna ne répond pas et m’entraîne un peu plus loin.

 

– Le jour où vous avez fait des bêtises, vous auriez sans doute été bien contente qu’on vous tende la main, juste un petit peu ? Vocifère l’autre.

 

Du coup Anna pile. Je ne sais pas trop à quoi elle pense, mais elle cogite. Yolande a pilé aussi, vingt mètres plus loin.

 

– Bon, toi suis-nous, mais reste vingt mètres derrière !

 

Pardi, elle n’a pas envie qu’elle lui arrache son sac puis se sauve à grandes enjambées ! Mais pourquoi lui demander de nous suivre ?

 

Anna m’indique qu’elle va conduire Yolande à la Galerie d’art qu’elle possède rue de Seine.

 

– Ce n’est pas parce que c’est une salope, qu’il faut qu’on soit salope nous aussi J’ai envie de savoir ce qu’elle dans le ventre !

 

Du coup on renonce au taxi, Anna propose de prendre le métro mais j’ai peur que d’ici ce soit la galère. Je lui indique qu’il passe un bus pas très loin qui peut nous emmener jusqu’à l’Odéon.

 

– Toi, la Yolande, tu montes dans le bus, mais pas à côté de nous. A l’Odéon tu nous suis toujours vingt mètres derrière, rue de Seine, je vais ouvrir ma galerie, quand on sera entré, tu nous rejoindras.

 

On a donc fait comme ça. Une fois toutes les trois à l’intérieur, Anna pose un panneau « Fermé » derrière la vitre de la porte d’entrée qu’elle verrouille.

 

C’est quoi son plan ?

 

On descend au sous-sol, il y a ici aussi un coffre dans lequel Anna entrepose le sac contenant les objets restitués.

 

Et soudain, comme par réflexe, elle pose la question :

 

– T’as fait comment pour ouvrir le coffre chez nous. ?

– Ça s’apprend !

– Mais encore !

– Avec un stéthoscope !

– C’est si simple que ça ?

– Non, ce n’est pas simple, mais ça s’apprend. Et puis ce n’était pas un coffre si compliqué.

– Et tu fais ça souvent ?

– Non, juste quand on a besoin d’argent !

– Et le mode opératoire.

– Je drague dans les grands hôtels, les casinos, je ne me fais pas payer, je joue la nympho friquée, je fais comprendre au cave que ce n’était qu’un coup d’un soir, mais je conserve ses coordonnées, lui laissant entendre qu’à l’occasion je ne serais pas contre le fait qu’on se revoie.

– Et après ?

– Quand je téléphone au cave, il est tout content, le problème c’est qu’il faut qu’il soit seul chez lui, c’est pas évident, ça fait perdre beaucoup de temps. Mais si la personne est seule, c’est somnifère dans le verre et après je m’occupe du coffre. Je fonctionne avec des téléphones trafiqués, Je n’ai jamais eu de problème, je me demande encore comment vous avez pu me retrouver ?

– Mais ça, on ne te le dira pas !

– Dommage, j’aurais bien voulu savoir ! Sinon, vous êtes disposée à m’aider un peu ?

– Et tu voudrais qu’on t’aide comment ?

– Le souci c’est que Francis va croire que je me suis enfuie avec la camelote, que j’ai tout gardé pour moi !

– C’est ça ton problème ?

– Ben oui !

– Je suppose que tu ne veux pas quitter ton mec ?

– Ben non !

– Tu l’aimes ?

– Ce n’est plus l’amour fou, mais disons que je me sens bien avec lui.

– Il est violent ?

– Non, un peu colérique, mais pas méchant.

 

Anna réfléchit quelques instants.

 

– Il est où ton mec en ce moment ?

– Il bosse au magasin !

– Au magasin ?

– Oui, il vend des vélos…

– Il revient quand ?

– Ce soir !

– Bon je suppose que quand tu es à la maison, tu ne restes pas tout le temps enfermée ?

– Ben non ! Je fais des courses, je me balade !

– Il a un smartphone, ton copain ?

– Oui pourquoi ?

– Tu verras bien, je vais t’arranger ton problème, mais avant faut que tu sois gentille avec nous.

– Comment ça ?

– Fous-toi à poil !

– Vous ne seriez pas en train de profiter de la situation, là ?

– Non ! Tu n’es pas obligée, je peux aussi t’ouvrir la porte, tu te casses et tu te démerdes !

– Bon, bon ! Je dois faire quoi ?

– Commence par te foutre à poil, on t’a dit !

– Vous allez me faire quoi ?

– Tu le verras bien ! Encore une fois, on t’obliges pas, tu peux encore partir, mais si tu veux qu’on arrange ta situation tu ferais mieux de rester et nous obéir ! Tu vas être notre jouet !

– Votre jouet ?

– Ben oui !

 

Je prends Anna à part pour lui demander ce qu’elle veut faire exactement.

 

– On va lui faire une domination un peu poussée.

– Attends, je ne suis pas sadique…

– Elle est un peu maso, si ça trouve, elle va aimer ça !

– Ah bon !

 

Yolande se met à poil et je la découvre, joli corps avec une belle poitrine un peu lourde, le bronzage est intégral, mademoiselle doit fréquenter les plages naturistes, ses poils pubiens taillés en ticket de métro lui donne un air canaille.

 

J’ai laissé Anna parler et j’avais plus ou moins décidé de la laisser agir, après tout, c’est SA vengeance, pas la mienne !

 

Mais…

 

– Je te laisse opérer ! Me propose ma complice

– Et pourquoi moi ?

– C’est toi la spécialiste, non ?

 

Spécialiste ? En fait pas tant que ça ! Ce que je fais ce sont des séances pour sado-maso, c’est-à-dire que toutes les petites misères que j’inflige à mes soumis, ils sont d’accord pour les endurer. Ici nous ne sommes pas dans ce cas de figure.

 

Je chuchote tout ça dans l’oreille d’Anna qui me répond très simplement :

 

– T’as raison, mais la technique reste la même !

 

Oui, bien sûr, me revient en mémoire alors une séance assez surréaliste que j’avais fait subir à une bonne femme à Saint-Tropez (voir Chanette à Saint-Tropez) après qu’elle nous avait fait une belle vacherie… souvenirs, souvenirs… Et puis surtout la façon dont j’avais dompté Anna alors que nous ne nous connaissions qu’à peine (Voir Chanette et la journaliste)

 

Le problème c’est que je n’ai pas mes petits outils et que chez Anna, il n’y a pas grand-chose, mais les moyens du bord, ce n’est pas fait pour les chiens.

 

Je demande à ma copine de me trouver une ceinture, en cuir pour que ça cingle et je vais faire un tour en cuisine où je dégotte des pinces à torchons.

 

Je me pointe devant Yolande, toute fière de ma découverte.

 

– Je vais t’accrocher ça sur les tétons, si tu ne le laisses pas faire, on t’attache.

 

Je m’attendais à des cris, des protestations, des gesticulations, que nenni ! La Yolande me regarde droit dans les yeux !

 

– Vas-y salope ! Prends ton pied ! Me dit-elle.

 

Réaction instinctive, je la gifle, elle ne bronche qu’à peine mais ne la ramène plus.

 

J’attache les pinces sur ses tétons, elle se mord les lèvres, je joue un peu avec, je le tire vers moi, j’augmente la pression avec les doigts, mademoiselle se tortille.

 

– Allez demi-tour, je vais te rougir le cul !

– Salope !

– Non mais tu vas la fermer, oui ! Ouvre la bouche !

 

Je m’attendais à un refus, mais non, elle entre dans le jeu et nous fait la grenouille à grande bouche, du coup je lui crache dedans. Puis elle se tourne nous exhibant un fessier de compétition.

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J’arme la ceinture et je fouette sans compter, je ne m’arrête que quand l’endroit devient cramoisi.

 

Elle se retourne de nouveau, quelques larmes ont coulés sur son beau visage, c’est attendrissant.

 

– Alors, ça t’a fait du bien, grosse pouffe ? Lui demandais-je.

 

Elle me répond avec une sorte de mimique qui ne veut rien dire, mais voilà que j’aperçois son entre jambe qui dégouline, la flagellation a excité cette salope ! Ce n’était pas vraiment le but de l’opération.

 

– Et en plus ça te fait mouiller !

– C’est purement physiologique, tu n’y es pour rien ! Se croit-elle obligé de commenter

 

Ben voyons !

 

– A quatre pattes !

 

Elle s’exécute et je lui fais faire le tour de la pièce, elle est marrante comme ça avec son croupion rougi. Voilà ce que c’est d’être hors de mon contexte, j’aurais dû la faire se balader avant de la fouetter et la faire avancer à coup de ceinture, maintenant je n’ose plus frapper.

 

Un coup d’œil vers Anna qui s’est dégrafé son pantalon et qui se tripote la minette. Faut pas te gêner ma grande, fait comme chez toi, d’ailleurs elle chez elle…

 

Faut dire que toutes ces bêtises commencent à m’exciter moi aussi et je me demande comment tout cela va se terminer.

 

Je demande à Yolande de se coucher par terre, sur le dos mais avant, je vais chercher une grande serviette dans la salle de bain.

 

– Tu fais quoi ? me demande Anna !

– Je vais pisser !

– Non, fait pas ça, elle adore ça, ça lui ferait trop plaisir !

– Mais c’est que j’ai envie, moi !

– Eh bien, tu pisseras sur moi ! En attendant je vais faire autre chose…

 

Et là, je vois Anna s’accroupir au-dessus de la poitrine de Yolande.

 

– Tu fais quoi ?

– Je fais caca !

 

Anna s’est légèrement reculée et son fessier est désormais au-dessus du visage de sa victime. Et la voilà qui chie ! Cela me rappelle quelques souvenirs (voir Chanette à St Tropez). Yolande arbore juste une très légère mimique d’agacement. Ça devient n’importe quoi cette séance, mais est-ce si grave, après tout !

 

– Bon, tu te relèves, tu ramasses tes saletés, tu les jettes dans les chiottes, et tu reviens poser ton cul sur la chaise et tu ne bouges plus ! Ordonne Anna à la Yolande.

 

Et voilà qu’Anna se déshabille et s’étale sur la serviette. J’enlève le bas, je pose ma chatte sur la bouche de ma copine et j’ouvre les vannes. Elle se régale comme d’habitude. Nous avons joué si souvent à ce petit jeu mais nous ne nous en lassons pas.

 

Evidemment une fois ma miction terminée, Anna ne peut s’empêcher de farfouiller mon intimité, et c’est qu’elle se régale la coquine !

 

D’ordinaire elle me fait languir avant de me donner le coup de grâce, mais aujourd’hui, elle a déjà sa langue sur mon clito et son doigt dans mon trou du cul. Comment voulez-vous que je résiste, je finis par gueuler ma jouissance.

 

– A toi de jouer ! me dit ma complice.

 

O.K. mais je ne sais pas où me poser, certainement pas sur cette serviette sur laquelle ma pisse a débordé. J’avise le canapé et fait signe à Anna de me rejoindre.

 

– Enlève le haut ! Me demande-t-elle.

– Non, la Yolande, elle n’a pas besoin de les voir !

 

Anna s’est affalée horizontalement, je me glisse entre ses cuisses tandis que mes mains lui agrippent le bout de ses seins. C’est tout mouillé là-dedans, mais c’est délicieux.

 

Je lape, je tripote, je doigte sans oublier son petit trou du cul qu’elle a oublié de s’essuyer après ses bêtises de tout à l’heure, mais excitée comme je suis, je n’en n’ai cure. Mademoiselle se met à gémir, je porte l’estocade, elle jouit à son tour, on s’embrasse comme deux vieilles goudous.

 

On se relève en soufflant, Anna va chercher dans le frigo une bouteille d’eau gazeuse, on s’en boit une bonne rasade au goulot, mais on n’en offre pas à Yolande toujours posée sur sa chaise.

 

– On en fait quoi de ta nana ? Demandais-je.

– On s’est un peu amusé, on va la laisser filer, mais bon je lui ai fait une promesse…

 

Et soudain Anna est saisie d’une impulsion, elle aperçoit un gros feutre rouge sur sa bibliothèque, s’en empare et se dirige vers Yolande dont le corps se recouvre bientôt d’inscriptions très poétiques telles que « Salope », « Grosse pouffe », « Voleuse ».

 

– Maintenant tu peux te rhabiller !

– Je peux passer par la salle de bain ?

– C’est un galerie d’art ici, il n’y a pas de salle de bain, juste des chiottes avec un petit lavabo !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:53

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 1 – Yolande

 

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Bonjour, c’est moi Chanette qui va vous narrer une autre de mes joyeuses aventures. Pour ceux qui n’ont pas lu mes précédents récits, sachez que je suis dominatrice professionnelle, (ceux qui ont un problème avec ce genre d’activité ne sont pas obligés de continuer) la quarantaine, fausse blonde et avec tout ce qu’il faut où il le faut ! Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant parfois un peu de domination.

C’est parti !

 

1 – Yolande

 

Samedi 2 mars

 

C’est samedi, je ne travaille pas, et ce matin-là, je reçois la visite d’Anna-Gaëlle qui se pointe comme ça comme une fleur sans s’annoncer avec une grosse mallette à la main.

 

Anna-Gaëlle est mon amie intime depuis des années, ancienne journaliste dans un torchon people nous sommes rapidement devenues amantes. Eh oui madame est bisexuelle, très portée sur les femmes, mais ne négligeant pas systématiquement les hommes. Suite à un mariage avantageux et au décès inopiné du conjoint, (voir l’épisode Mariage d’argent, tourment) elle a hérité d’un bon paquet de fric lui permettant d’ouvrir une galerie d’art, rue de Seine à Paris. Anna a les cheveux blond clair, coupés courts et plaqués sur la tête. Elle a la peau très blanche. Je l’adore !

 

– J’ai besoin de tes services ! Me dit-elle

– Mais bien sûr, ma chérie, si c’est dans mes cordes

– Alors il faut que je te raconte, parce que c’est un peu compliqué…

 

Le fait est qu’avec elle, rien n’est jamais simple !

 

Le récit d’Anna :

 

J’étais ce jour-là en plein dans ma paperasse quand le téléphone fixe sonna :

 

– Allô, bonjour, vous êtes bien Anna-Gaëlle ?

– Oui, c’est de la part ?

– Yolande !

– Yolande ?

– Ben oui, quoi ! Yolande de Lisbonne.

– Euh ! Je ne peux pas trop parler pour le moment, Je vous rappelle dans la journée, donnez-moi votre numéro…

 

Je me souviens maintenant ! Yolande est une nana que j’ai rencontré à Lisbonne, une nympho d’hôtel, on s’est un peu amusé avec elle et un mec qui m’avait dragué, mais bon c’est l’occasion qui nous a fait faire des choses, il n’entre pas dans mes intentions de me lancer dans une relation suivie avec cette nana.

 

Ah ! Il aurait sans doute mieux valu que je commence par le début, alors allons-y :

 

J’étais pour affaires quelques jours à Lisbonne, je m’étais laissé draguer par un mec, il s’appellait Peter, il était beau comme un dieu, sympathique, cultivé, plutôt généreux, et avec qui j’avais rapidement accepté de partager ma chambre.

 

Nous étions dans le salon de notre hôtel en train de boire un rafraîchissement, quand une femme nous aborda pour nous demander un renseignement, prétexte en fait pour engager la conversation. Ni Peter, ni moi-même n’apprécions d’ordinaire ce genre de comportement, mais il faut dire que la dame était fort gironde, et c’est sans doute pour cela que Peter la laissa parler.

 

Yolande a une trentaine d’année, peut-être un peu moins, c’est une belle femme, fausse blonde avec quelques légères rondeurs qui lui vont très bien. Le visage est agréable avec un nez droit et des lèvres parfaitement ourlées encadrant un énigmatique sourire. Elle est habillée assez simplement : un jean en bas, un caraco très décolleté en haut, laissant deviner une jolie poitrine

 

Elle parle beaucoup : pour résumer, cette femme nous dit avoir vécu près de dix ans de vie monotone avec un homme qu’elle a fini par quitter suite à une liaison qui n’a pas eu de suite. Elle nous explique que désormais, elle rattrape le « temps perdu ». Du coup la curiosité naturelle de Peter reprend le dessus et il la branche :

 

– Vous rattrapez quoi ? Les sorties, les voyages, la bagatelle ?

– Un peu tout ça, oui !

– Vous avez raison, il faut en profiter, la vie et si courte, autant profiter des bonnes choses, la bouffe, le sexe.

 

C’est ce qui s’appelle « insister lourdement ».

 

– Nous, on essaie d’en profiter un maximum, continue-t-il, nous sommes un couple très libre mais aussi très complice.

 

Un peu gonflé le Peter de laisser croire que nous sommes un couple !

 

– C’est bien, vous avez beaucoup de chance ! Répond-elle avec une drôle de lueur dans les yeux, avant de changer de conversation.

 

Elle se croit obligée de nous offrir une coupe de champagne, et nous raconte ses derniers souvenirs de voyage, ce n’est pas très passionnant et Peter ne la relance plus.

 

– On va peut-être monter se coucher ? Finis-je par dire.

 

On prend l’ascenseur tous les trois, Peter a carrément le nez dans le décolleté de Yolande qui après nous avoir souhaité une bonne nuit gagne sa chambre assez proche de la nôtre.

 

– Quelle casse-couille ! Rouspète Peter, demain on va essayer de l’éviter.

– Elle nous a payé le champagne, normalement on devrait lui rendre la politesse

– Pff, on ne va pas se laisser emmerder.

 

On se déshabille, Peter m’étonnera toujours avec la vitesse à laquelle il se livre à cette opération. Monsieur a emporté un pyjama qu’il revêt. Il s’agit d’un modèle assez ancien avec la veste munie de petites poches et de boutons, tandis que le pantalon se resserre avec un cordon qu’il faut nouer. Il n’y a pas de braguette à proprement parler, mais une ouverture facilitant l’accès à la bite en cas d’urgence. Quel est le nom du malade qui a inventé ce machin ?

 

En ce qui me concerne, j’étais encore en sous-vêtements quand j’entendis qu’on toquait à la porte. J’enfile un peignoir et vais ouvrir :

 

– Excusez-moi, vous n’auriez pas une aspirine ou un truc dans le genre, j’ai un de ces mal de tête. Me dit Yolande.

– Maux de tête ! Corrigeais-je

– Pardon ?

– Non, je suis désolée, demandez-donc à la réception. Quoi que je peux vous calmer quand même, je connais un truc, entrez cinq minutes.

– C’est quoi ? Grogne Peter qui est en train de se brosser les dents

– Rien de grave je vais jouer les guérisseuses.

 

Je fais asseoir Yolande, et lui masse le front pendant deux ou trois minutes comme une copine me l’a appris.

 

– Ça fait du bien ?

– Vous êtes magicienne, je n’ai plus mal.

– Ça ne marche pas à tous les coups, mais ça marche souvent !

– Et, bien je vous remercie, je vais vous laisser, mais dites-moi, vous en avez d’autres, des dons cachés comme celui-ci ?

– Oui, je sais faire des massages très relaxants, aussi !

– Oh !

– Comme vous dites !

– Dommage qu’il se fait tard, sinon, je vous aurais peut-être sollicité.

 

Peter s’est assis dans un coin et rigole intérieurement.

 

– Sollicitez-moi, je n’ai pas sommeil ! Répondis-je.

– Je ne voudrais pas abuser !

– Mais non, puisque je vous le propose. Mais il vous faut savoir que pour je vous masse à ma façon, il faut que vous vous mettiez entièrement nue.

 

Je ne suis pas mécontente de ma provoc !

 

– Ah ! Ça m’embête un peu à cause de Monsieur. Répond-elle

– Ben tant pis !

 

Elle semble hésiter tout de même.

 

– De toute façon, je vais rester sur le ventre, je suppose ? Demande-t-elle.

– Oui !

– Et vous pourrez me mettre une serviette pour cacher mes fesses ?

– Ben non, ça va gêner.

– Bon, ce n’est pas grave, on y va, je pose mes affaires ici ?

 

Et là voilà à poil, pas mal du tout, les seins sont très lourds, bronzés sans doute aux U.V., la taille bien marquée. Ses poils pubiens sont taillés en ticket de métro. J’installe une grande serviette sur le plumard, elle s’affale dessus. Je fais un clin d’œil complice à Peter qui me le rend. Si tout se passe bien dans une demi-heure maximum, elle nous sucera tous les deux…

 

Peter fait semblant de lire le journal, moi je la masse de façon classique, les épaules, le dos, puis insiste lourdement sur les fesses, je les malaxe, les écarte. Puis je change de registre en lui parcourant le corps du bout de mes doigts.

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– C’est bizarre votre massage !

– Ça vous plaît ?

– Ce n’est pas désagréable.

– Ecartez un peu vos jambes, s’il vous plaît !

– Pourquoi donc ?

– Vous allez voir !

 

Je lui caresse les fesses, et de façon inopinée, je tente de glisser ma main en dessous, mais ça ne passe pas.

 

– Soulevez-vous un tout petit peu !

– Comme ça ?

– Ben oui, oh, mais c’est mouillé tout ça !

– Ça m’arrive parfois !

 

Je n’insiste pas, je décide de m’amuser et de continuer dans la provocation. J’écarte ses globes fessiers, me lèche un doigt, l’approche de son anus, attend sa réaction. Pas de protestation, pas de commentaires, je presse mon doigt, il s’enfonce très légèrement.

 

– Oh ! Vous faites quoi ? Minaude-t-elle.

– Je vous tripote le trou du cul, chère amie ! Tu aimes ça, hein ma petite salope ?

– Oh ! Oui, enfonce-moi bien ton doigt, je suis ta salope !

 

Je ne m’en prive pas, mais je finis par le ressortir. Il n’est pas très net, par réflexe je lui fous une tape sur les fesses.

 

– T’aime les petites fessées ?

– Oui, j’adore ça ! Je suis un petit peu maso.

 

Du coup je me lâche et je lui en flanque une vingtaine, elle a bientôt le cul tout rouge. Je fais signe à Peter de venir, il s’approche, laisse tomber son pantalon de pyjama et exhibe sa queue bien dressée.

 

– Regarde la belle bite de mon copain !

– Humm, elle est belle !

– Et bien suce-là !

– C’est bien, vous n’êtes pas jalouse, vous !

– Non, pas du tout !

 

Elle s’empare alors du sexe de Peter et le gobe avec avidité.

 

– Et ben dis donc, quand tu suces, tu ne fais pas semblant toi ! Commentais-je devant tant d’ardeur à la tâche !

– Hum, c’est vrai qu’elle a une bonne langue ! Dommage qu’on n’ait pas de capotes…

– J’en ai, moi ! Dit Yolande, interrompant sa pipe !

– Tu avais tout prévu, hein ?

– Non, c’était juste au cas où, je n’étais sûre de rien…

– Je te ferais bien une petite levrette, propose Peter.

 

Yolande se lève, va chercher ce qu’il faut dans la poche de son jeans, se met en position, et tandis que Peter la pénètre, je me positionne devant elle afin qu’elle puisse me lécher le sexe !

 

L’affaire dure une dizaine de minutes, elle a un peu de mal à me faire jouir, mais elle y parvient. Peter qui avait commencé en vaginal, termine dans son cul en grognant comme un hussard. Yolande crie aussi, épuisée, elle se couche sur le lit, porte la main à sa chatte ! Ce n’est pas vrai qu’elle en veut encore ! J’approche mon visage, elle enlève sa main, me laisse la lécher, elle possède un clito qui m’a l’air en pleine forme. Il ne résiste pas longtemps à mes assauts. La Yolande est complètement lessivée, en sueur, les cuisses trempées.

 

– Ça va mieux, le mal de tête ? Ironisais-je.

– Disparu, pour le mal de tête, le sexe c’est le meilleur de remèdes !

– Bon, nous on va se coucher !

– Dommage, j’aurais bien continué !

– Les meilleures choses ont une fin, ma chère.

– Vous savez, je peux être très soumise, si vous voulez que je sois votre esclave, ce n’est pas un problème. Les petites misères, les humiliations, tout ça, ça ne me fait pas peur.

 

J’allais lui dire qu’on avait fini de jouer pour aujourd’hui, mais Peter venait d’avoir une idée :

 

– Ah, t’aime qu’on te domine, viens dans la salle de bain, je vais te pisser dessus !

 

Elle ne discute même pas, suit Peter qui la fait mettre à genoux. Sans préambule, il lui arrose les seins, et sans qu’on le lui demande, elle ouvre la bouche pour recueillir ce qu’elle peut de la pluie d’or qui jaillit du sexe de mon complice. Sa miction terminée, j’essaie à mon tour, je reste debout et me débrouille tant bien que mal, pour diriger mon jet vers cette décidément très étrange personne.

 

– Qu’allez-vous me faire maintenant ?

– Ben, rien ! On se couche !

– Je ne peux pas rejoindre ma chambre comme ça, je suis pleine de pisse !

– Tu te rinces vite fait sous la douche, tu prends mon peignoir de bain, et tu me le reporteras demain.

 

Elle a fait comme on avait dit ! Heureux de s’en être débarrassé, même si on s’est bien amusé.

 

Le lendemain, on faisait nos valises, je n’avais pas encore pris ma douche, on sonne. C’est Yolande qui ramène mon peignoir !

 

– Ah ! Vous partez comme c’est dommage !

 

Et histoire de ne pas se laisser déborder, je lui donnais le numéro de téléphone de la maison, en principe les numéros de téléphone échangés pendant les vacances et les déplacements ne servent jamais.

 

Tout cela s’était déroulé, il a trois ou quatre mois !

 

Fin du récit d’Anna-Gaëlle

 

– Et alors, tu l’as rappelé ? demandais-je

– Oui par politesse, mais je lui ai fait comprendre que je n’avais pas le temps de la recevoir. Elle m’a alors fait tout un baratin, genre « je suis de passage à Paris, je serais bien passée en vitesse juste te dire bonjour… » Bref j’ai fini par accepter.

 

Le récit d’Anna (reprise)

 

Et la voilà qui se pointe !

 

– Ah ! Tu es toute seule, Peter n’est pas là ? Demande-t-elle.

– Peter n’était qu’un ami de rencontre, je suis veuve et célibataire !

– Ah, mais c’est très bien ça ?

– Et pourquoi, c’est très bien !

– Parce que je préfère les femmes aux hommes.

– En fait tu venais pour t’envoyer en l’air, c’est ça ?

– Non, je passais te faire un bisou, mais si tu veux qu’on s’amuse ensemble, j’en serais ravie.

 

Alors je l’ai laissé m’embrasser, sans trop de conviction malgré le fait qu’elle soit une très belle femme. Et puis ses mains se sont faites baladeuses, un vrai poulpe, elle me pelote les fesses, les seins, tout ce qu’elle peut.

 

J’ai essayé de résister, mais à quoi bon, je me suis dit qu’une heure de baise avec elle, ça ne pouvait pas me faire de mal et puis après elle me ficherait la paix.

 

On s’est donc rapidement retrouvée à poil toutes les deux. Je l’ai laissé mener la barque, comme ça par jeu.

 

Elle m’attrape les nichons, me les caresse, me les lèche, m’en mordille les tétons. J’ai du mal à lui rendre la pareille tellement elle m’accapare, je parviens quand même à lui peloter le cul.

 

Et je ne sais plus trop comment, nous avons atterri sur le canapé. On a continué à se peloter et se caresser et fatalement on a fini par se retrouver en soixante-neuf, elle m’a tout de suite attaquée la chatte, mais moi c’est son anus que j’avais devant la bouche, je le lui ai donc léché, il avait un petit goût très subtil. J’adore ! Et quand il s’est mis à bailler, j’ai enfoncé mon doigt et l’ai fait aller et venir.

 

Elle réagissait plutôt bien et commençait à haleter, je sentis soudain sa langue sur mon clitoris, je sus de suite que je ne tiendrais pas longtemps. Effectivement quelques secondes après je jouissais en mouillant mes cuisses.

 

L’affaire n’avait duré que cinq minutes environ.

 

Moment de tendresse, on s’embrasse, on se caresse, mais on ne pelote plus. Elle me demande une cigarette, on boit un verre de flotte.

 

– J’ai bien aimé ton doigt dans mon cul ! Me confie-t-elle.

– Coquine !

– T’as rien de plus gros ?

– Il suffit de demander, j’ai un gode mais je ne sais pas où je l’ai foutu, je ne m’en sers pas si souvent.

 

Pourquoi ce mensonge ? Peur de passer pour une perverse ? Qu’est-ce que j’en ai à foutre ?

 

En fait le gode est dans le tiroir de mon chevet, mais il m’est venu une autre idée, j’ouvre un placard, en ressort un carton et dans le carton, devinez quoi qu’il y a ? Un joli chapelet de boules de geisha ! Trois jolies boules mauves en chapelet !

 

– Tu connais, ça ? Annonçais-je fièrement.

– J’ai dû essayer une fois, c’est pas mal en effet !

– Alors donne ton cul, ma grande, je vais te rentrer tout ça !

– Humm ! Je sens que ça va me plaire.

 

Elle se met en levrette dans une position aussi provocante qu’obscène. J’avoue être fasciné par son trou du cul qui me nargue, tout à l’heure il était trop près pour que je distingue, mais à présent je l’ai plein la vue !

 

Du coup je ne peux me retenir de le lui lécher, les boules attendront bien quelques secondes.

 

Ça y est j’introduis la première boule ! C’est curieux comme impression, on dirait vraiment que le trou du cul avale la boule

 

La deuxième, la troisième.

 

– Ça fait drôle, ça fait comme si j’avais envie de faire caca ! Me dit-elle dans un grand élan de poésie.

 

Je tire sur la petite ficelle d’un coup sec ! Yolande hurle comme une damnée.

 

– Wha ! tu peux recommencer ?

 

Ben voyons, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. Mais, bon, j’ai recommencé… Deux fois et à chaque fois elle a hurlé de plaisir. Maintenant elle me semble épuisée, mais parvient à quémander :

 

– Tu peux me pisser dessus ?

 

Ah, bon, comme ça ? Est-ce qu’au moins j’ai envie ? Pas trop, mais ça devrait pouvoir se faire.

 

J’emmène la miss dans la salle de bain, la fait se coucher sur le carrelage, elle rouspète que c’est froid. Bon O.K., ça me fera une serviette à laver, j’en prends une pour le confort de mademoiselle.

 

Flexion des genoux, ma chatte rencontre sa bouche.

 

– Attention, ça vient !

 

Et hop , ça coule ! L’autre se régale et s’en lèche les babines, je me recule ayant terminé ma miction et vient lui rouler un patin, je retrouve mon urine dans sa bouche, c’est vrai qu’elle a plutôt bon goût !

 

– Domme moi-ton cul ! Me demande-t-elle.

 

Je ne lui donne pas, je lui prête ! Elle me le lèche avec gourmandise.

 

– Hum ! j’aime le goût de ton cul ! me précise-t-elle.

– Si tu aimes régale-toi, je ne me suis pas essuyée à fond tout à l’heure.

 

Gros mensonge, mais j’avais envie de la provoquer.

 

– Hum ! C’est pour ça qu’il est si bon !

 

Tant mieux pour elle ! Chacun son truc.

 

Elle m’introduit un doigt mouillé dans mon trou marron, sans m’en demander la permission, faut surtout pas se gêner, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! Mais je mentirais en disant que c’est désagréable, non c’est très bon et même que ça me provoque de ces frissons…

 

Elle retire son doigt, et se le fout dans la bouche, je vous dis, je suis tombée sur la reine des cochonnes.

 

– T’as pas honte de faire des cochonneries ? Plaisantais-je.

– Oh, si j’ai honte, j’ai beaucoup honte, me répond-t-elle sur le même ton. Tu vas me punir, dis ?

– Parfaitement, donne-moi ton cul que te le l’arranges.

 

J’adore son cul bien rebondi, je tape dessus avec la paume de mes mains, elle rougit vite et semble apprécier. Mais j’arrête assez vite, j’ai mal aux mains.

 

– Prend un objet !

 

O.K. je vais chercher une grande cuillère en bois dans la cuisine et je tape avec lui faisant pousser des « ho » et des « ha »

 

Je suis de nouveau excitée avec toutes ces bêtises, on a fini par se remettre en soixante-neuf, on se lèche la minouche, on s’enfonce les doigts dans le trou du cul. Nos langues et nos doigts se déchaînent, après cinq minutes à peine de ce petit manège, nous avons jouis presque ensemble.

 

Quand elle m’a confié qu’elle n’avait pas pris de chambre d’hôtel, mais qu’elle repartait je ne sais plus où dans la matinée, je lui ai évidemment proposé de dormir à la maison. C’est la moindre des politesses !

 

a suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:50

Chanette 25 – Football – 12 – Dépucelage anal par Chanette

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Le récit de Barelli.

Pour être tout à fait franc, je voulais lever toute ambiguïté au sujet de ce personnage, je craignais une sorte de traquenard que je n’arrivais pas bien à visualiser, les circonstances étant tout de même un peu bizarres.

 

J’ai consulté mon historique sur le net pour retrouver sa page Facebook. En fouillant j’ai réussi à dégoter son numéro de téléphone sur le net, je passe… Ensuite je me suis fait passer pour la sécurité sociale, le mec ne s’est même pas méfié, il n’est pas très malin, et m’a refilé son adresse.

 

J’arrive chez lui, je sonne !

 

– C’est qui ? Me crie-t-il à travers la porte.

– Police ! Bluffais-je.

 

Pour faire ouvrir une porte c’est radical !

 

– Une seconde, j’étais sous la douche !

 

Trois minutes après, il m’ouvrait ! Je m’attendais à tout sauf à ce que je découvrais devant mes yeux :

 

Le mec en robe de chambre blanche, était maquillé, du moins il avait essayé de se démaquiller vite fait sans y parvenir, je remarquais aussi ses ongles vernis en rouge cerise.

 

Il n’avait pas pensé aux ongles et devint rouge comme une tomate.

 

– Ne faites pas cette tête-là ! Balbutie-t-il. Je suis acteur de théâtre et je répétais mon rôle, c’est un rôle travesti, voyez-vous ?

– Je vois parfaitement, et vous jouez dans quelle pièce, dans quel théâtre ?

– Je pourrais vous répondre, mais je n’ai vu ni votre carte, ni votre mandat !

– Alors on joue cartes sur table, je ne suis pas flic, je suis collectionneur de culottes et il se trouve que j’ai eu en main la proposition que vous avez envoyé à Kévin Golfen.

 

Tout à l’heure il était rouge, mais là, le mec devient blanc comme une figurine de plâtre !

 

– Mais comment avez-vous trouvé mon adresse ?

– Trop facile, vous ne prenez aucune précaution, si on veut vous foutre en tôle, les flics vous dénichent en trois minutes.

– Vous voulez quoi ?

– Du point de vue légal, rien n’interdit de vendre une culotte qu’on vous a dédicacée, mais du point de vue des convenances, le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est indélicat.

– C’était un coup de folie ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Bredouille-t-il

– N’empêche que Chanette, elle n’est pas contente. Pas contente du tout même.

 

J’ai à ce moment-là acquis la certitude qu’il n’y avait pas de traquenard, ce mec étant vraiment trop zarbi !

 

Et puis l’autre certitude, c’est qu’il était probablement persuadé que j’étais missionné pour lui casser la gueule.

 

A ce moment-là, je pense que j’aurais pu lui demander n’importe quoi, par exemple de l’argent, il me l’aurait donné. L’idée de m’amuser un petit peu m’a effleuré l’esprit..

 

– T’as besoin de te faire les ongles pour répéter ton personnage ?

– Ben…

– Je sais ce que tu vas me répondre : c’est pour te sentir dans la peau du personnage, c’est ça ?

– Oui

– T’as raison, au théâtre, il faut toujours se mettre dans la peau du personnage, moi j’en a fait aussi, je jouais le rôle d’un tueur en série, donc avant d’entrer en scène je tuais deux ou trois personnes.

 

Je décidais alors d’arrêter de jouer dans ce registre ayant peur qu’il me tombe dans les pommes.

 

Je m’approche de lui, il est tétanisé et ne bouge pas d’un poil. Je tire sur la ceinture de sa robe de chambre, il est à poil en dessous, simplement vêtu d’une culotte de femme.

 

A ce moment-là, j’avais décidé de mettre un terme à ma visite, j’avais la réponse à mes questions et il n’entrait pas dans mes intentions de le traumatiser davantage.

 

Un dernier petit truc idiot avant de partir :

 

– Ta culotte tu me la donnes et après je m’en vais.

 

Le mec se tourne.

 

– Je ne t’ai pas demandé de te tourner !

 

Il me file sa culotte, et cache sa bite avec sa main.

 

– Enlève-moi cette main ! Oh ! T’en a une belle queue !

– Mais…

– Je vais te dire un truc, je n’ai rien contre les travelos, à la limite ça m’excite, c’est simplement dommage que ton maquillage soit un peu destroy !

– Vous ne partez pas ? Parvint-il à dire.

– J’aurais bien aimé te voir maquillé correctement !

– Ben…

– Tu ne veux pas me faire plaisir ? On ne va pas se quitter fâchés, non ?

– Et après vous allez me laisser tranquille ?

– Evidemment, je ne vais pas te violer.

 

Et là, incroyable mais vrai le mec est allé se refaire une beauté ! Je le surveille discrètement, on ne sait jamais dès fois qu’il prenne un couteau ou un autre objet contondant !

 

Cinq minutes après il se pointe devant moi !

 

– Voilà, ça y est vous êtes content ?

– T’as pas une perruque, ça serait plus cool !

 

Le gars se perruque, ça n’a rien d’une beauté fatale, mais c’est néanmoins assez troublant !

 

– Retire-moi cette robe de chambre !

– Ça devient pénible ! Ose-t-il me répondre.

– De quoi tu te plains, t’as un admirateur ! T’es pas content d’avoir un admirateur ?

– Vous n’admirez rien du tout, vous vous foutez de ma gueule.

– Retire-moi cette robe de chambre ! Sinon c’est moi qui vais le faire !

– Vous n’êtes qu’un vieux pervers !

– C’est une opinion et je respecte toutes les opinions. Bon tu veux que je parte ou pas ?

– Ça n’a pas de cesse votre petit jeu !

– Ben si ça aura une cesse, je ne vais pas rester jusqu’à demain ! J’ai juste envie de te voir à poil !

 

Le mec enlève sa robe de chambre avec un soupir d’agacement.

 

– Voilà, vous êtes content ? Vous savez comment ça s’appelle ce que vous êtes en train de faire ? C’est du harcèlement sexuel ! il y a des lois maintenant…

– Tu ne serais pas légèrement mal placé pour me faire la morale !

– Parce que c’est immoral de se travestir ?

– Non, ce qui est immoral c’est revendre une culotte qu’on t’a dédicacé.

– Je vais commencer à le savoir, j’ai fait une grosse bêtise, je le regrette, vous n’en faites jamais de conneries, vous ?

– Tourne-toi !

– Quoi ?

– Je t’ai demandé de te tourner !

– Et pourquoi donc ?

– Parce que j’ai envie de voir ton cul !

– Bon on arrête ! J’en ai marre de vos conneries, je vois demande maintenant de foutre le camp !

– Ben dis-moi tu en as mis du temps à te rebeller, tu sais que tu es beau quand t’es en colère.

– Sortez !

 

Paradoxalement ce mec commençait à me troubler grave… Sa bite, son torse intégralement rasé, ses gros tétons bruns. J’enrageais de ne pas pouvoir voir son cul. Bizarre non ?

 

– Bon, je m’en vais ! Tu ne sauras jamais pourquoi je suis venu, mais ça occupera tes nuits quand tu n’arriveras pas à dormir. C’est dommage parce que tu aurais été gentil, je te l’aurais dit !

– Mais…

– J’ai pas fini ! Dis-moi : il y a longtemps que tu te travestis ?

– Ça ne vous regarde pas ! Maintenant sortez !

 

Il dit ça, mais il sait très bien que je ne vais pas le faire. En plus je suis persuadé qu’il voudrait bien savoir pourquoi je suis venu. A ce propos je ne peux quand même pas lui dire la vérité, il faut que j’invente un gros mensonge, mais là tout de suite, je n’ai rien de prêt !

 

– Tu ne réponds pas, mais moi, je sais, tu débutes, et le fait de te travestir, ça t’excite grave, alors tu fantasmes, tu t’imagines baiser avec un homme qui te considère comme une vraie femme, c’est ça ?

– Sortez ou j’appelle au secours !

– C’est ça, ils vont dire quoi les voisins quand ils vont découvrir que tu fais le travelo ?

 

Touché !

 

Et puis je décide de faire dans la grosse provoc :

 

– Je t’aurais bien enculé, mais puisque tu ne veux pas me montrer ton cul…

 

Il ne répond pas, ne sachant manifestement comment s’en sortir ! Je me dirige vers la porte d’entrée. Krupz me regarde, semble persuadé que je vais faire une fausse sortie. Il n’a pas tout à fait tort.

 

– Un dernier truc, pour concrétiser ton fantasme, tu risques de devoir attendre longtemps, parce que, comment tu vas faire ? Les clubs, faut déjà avoir le courage d’y aller, ensuite, il y a la concurrence, t’es pas trop mal en travelo, mais tu ne feras jamais partie des canons. Sinon il te reste quoi ? Les petites annonces, c’est jamais complètement discret et puis ce n’est pas sans risque. Alors je te souhaite bien du courage. C’est dommage parce que l’occasion tu l’avais devant toi ! Je sais : tu n’es pas prêt, tout ça… on se donne toujours de bonnes raisons ! Et quand je serais parti tu te diras : merde j’avais une opportunité et comme un con, je ne l’ai pas saisie ! Une occasion qui ne se représentera pas de sitôt ! Allez ciao ma poule !

 

Et là le mec m’a bluffé :

 

– Vous voulez un verre d’eau ? Me demande-t-il

– Pardon ?

– Oui, parce qu’après une tirade pareille, vous devez avoir soif !

– Allons-y pour le verre d’eau !

 

Alors évidemment, pour aller le chercher, il se tourne et me montre son cul. Je bande comme un malade.

 

– Alors, t’es décidé ?

– Je sais pas !

– Si tu dis pas non, c’est que c’est presque oui !

– Vous ne me ferez pas mal ?

– Moi ? Je suis doux comme un agneau !

 

Et sans autre transition, je me suis déshabillé. Le mec me regardait complètement dépassé par la situation, et la bite molle.

 

Je craignais un retour en arrière, et c’est exactement ce qui s’est passé.

 

– Restons-en là, je ne suis pas prêt… Balbutie-t-il

– Faudrait savoir !

 

Je me plante devant lui, je lui attrape les tétons et je serre, très fort. C’est magique : le mec soupire d’aise et se met à bander.

 

Il a une belle bite, standard, mais belle ! Du coup je me penche pour la lui sucer ! Ce n’est sans doute pas ce qu’il souhaitait, mais moi j’aime bien m’en sucer une de temps en temps.

 

Je m’oblige à m’arrêter parce que je ne voudrais pas qu’il me fasse une éjaculation précoce.

 

– A toi, suce-moi la bite !

– Je… je…

 

Le revoilà en train de bafouiller.

 

– Bon écoute Marie-Jeanne, tu ne vas pas nous casser les pieds, on est là tous les deux pour baiser un quart d’heure, alors tu assumes et arrête de faire ta jeune fille.

– Vous m’avez appelé Marie-Jeanne ?

– Ben oui, Jean-Marie au féminin, ça fait Marie-Jeanne, non ?

– C’est une super idée, ça, je n’y avais pensé !

– Ben tu vois, je ne serais pas venu pour rien, bon tu me suces ou tu attends la révolution prolétarienne.

 

Bon alors soyons franc, sa pipe était nulle, nulle de chez nulle, mais bon, je n’étais pas là pour lui donner des cours, alors je lui ai fait arrêter les frais.

 

– Tu sais ce que tu vas faire quand je serais parti, tu vas aller acheter un godemichet, un bien réaliste, qui ressemble à une bite, puis tu iras sur internet et tu fais une recherche Google « Comment bien sucer une bite » et tu t’exerces, tu verras c’est pas si compliqué…

– Mais…

– En attendant tourne toi, je vais m’occuper de ton cul !

– Vous n’allez tout de même pas !

– Si !

– Bon, je me laisse faire alors ?

– C’est ça, laisse-toi faire !

 

Je réalise alors que ce mec devait être puceau du cul. Un dépucelage anal c’est pas évident d’autant que je n’ai jamais fait ça, moi !

 

Je lui écarte les globes afin de dégager le trou du cul, je lèche un peu, je ne suis pas bégueule, mais je n’insiste pas trop et je remplace ma langue par mon doigt que j’humecte correctement. Et vas-y ! J’entre, je sors, je vais et je viens.

 

– Arrêtez !

– Ferme les yeux et respire fort, dans deux minutes tu en redemanderas !

– Non, non !

– Je vais faire moins vite. Ça va mieux ?

– Peut-être !

 

Je continue, il ne rouspète plus et quand je lui ai ajouté un deuxième puis un troisième doigt, je ne sais même pas s’il s’en est aperçu !

 

Après cinq minutes de ce traitement, son anus ballait pas mal, mais peut-être pas assez, j’aurais eu un gode je lui aurais fait une introduction intermédiaire, mais faute de gode il aura ma bite !

 

En homme prévenant j’ai toujours une capote sur moi, en revanche, je n’ai pas de gel. Lui non plus.

 

– De la vaseline ?

– Non !

– De l’huile ?

– D’olives ?

 

Allons-y pour l’huile d’olives, je t’imbibe tout ça bien comme il faut, et j’essaie de rentrer. Horreur, ça ripe, deuxième tentative : raté, troisième tentative on y était presque mais c’est pas encore ça… Bref alors que je commençais à m’énerver, la quatrième tentative fut le bonne, le gland et passé, j’attends la réaction de mon partenaire. Pas de réaction ! Alors un grand coup de rein et j’entre tout.

 

– Whouf ! Me dit-il

– Ça va !

– Sais pas !

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Mais comme tout bon enculeur devrait se faire enculer, je sais comment ça se passe au début, un sentiment de gêne devant ce machin qui nous est rentré dans le cul et dont on voudrait se débarrasser. Il faut attendre peut-être deux minutes avant que l’on ressente du plaisir.

 

Alors en attendant il faut comme dit l’autre « être doux », bouger lentement. Je repose la question :

 

– Ça va !

– Euh, oui !

 

Il n’est pas sûr ! Mais j’ai confiance, et cette fois je m’active, je l’encule pour de vrai en le pilonnant avec de longs mouvements de bites. Il râle et ce sont des râles de plaisir.

 

La situation m’a tellement excité que je sais que je ne vais pas tenir longtemps, je finis par lui jouir dans le cul et je ressors avec ma capote toute pleine de sperme.

 

– Et bien te voilà dépucelé du cul ! J’espère t’avoir rendu service.

 

Il me fait un sourire idiot que je n’ai pas su interpréter. Il n’a pas joui, ce n’est pas mon problème, il est assez grand pour se branler si ça lui dit.

 

Fin du récit de Barelli

 

– Et vous vous êtes quittés comment ?

– Très vite ! Il m’a demandé si je voulais boire un truc, je lui ai taxé une bière et je suis parti. Il m’a demandé si on allait se revoir, je n’ai pas répondu, mais je ne vois vraiment pas pourquoi j’y retournerais.

– Il ne t’a pas demandé ce que tu cherchais ?

– En fait je lui ai dit une partie de la vérité, que je craignais qu’il y ait un traquenard derrière tout ça, et que je venais voir.

– T’as parlé de moi !

– Hum !

– Ben oui, puisque tu lui as dit que je n’étais pas contente !

– J’ai sorti ça comme ça sans réfléchir et après je me suis dit que ce n’était pas à moi de régler le compte qu’il avait avec toi !

– On n’est pas en compte ! Je crois l’avoir fait évoluer, mais il a déconné. C’est un instable, je ne le connais plus et point barre.

 

Une semaine plus tard, je recevais un message de Barelli avec ces simples mots « merci pour tout », il y était joint le scan d’une coupure de presse relatant que Kévin Golfen avait retrouvé la forme et avait marqué quatre buts à lui tout seul contre je ne sais plus quelle équipe.

 

– Qu’est-ce que j’en ai à foutre ! Dis-je à Ingrid avant de lui rouler un patin.

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 22 juillet 2021 4 22 /07 /Juil /2021 16:46

Chanette 25 – Football – 11 – Partouze au donjon par Chanette

 

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Décidément, les gens sont imprévisibles ! Qu’est-ce qui lui a pris à Krupz d’aller mettre ma culotte en vente ? Je vais attendre qu’il se manifeste et à ce moment-là, je l’enverrai promener vertement, je n’aime pas qu’on se foute de ma gueule !

 

Bon, je décide quoi pour Golfen ? La somme offerte est coquette, mais il n’y a pas que le fric dans la vie. En fait tout dépend du risque que je ne parviens pas bien à évaluer.

 

J’ai téléphoné à Ingrid pour lui demander conseils.

 

– En fait, Golfen, je ne le connais pas, la seule fois où je l’ai vu c’est quand il a failli… Bref t’as compris. Bon maintenant, si tu as besoin d’un garde du corps, je suis ceinture noire de karaté. S’il déconne je t’en débarrasse en trente secondes.

– Et s’il a une arme ?

– On le fait se déshabiller devant nous, complètement, chaussettes comprises et on éloigne ses vêtements.

– Je prends le risque, alors !

– A mon avis, avec moi tu es bordée, mais tu peux toujours prendre un deuxième garde du corps.

 

J’ai fait un rêve idiot ! J’étais dans la chambre d’hôtel, Golfen me violait et Ingrid au lieu de me défendre me maintenait les mains plaquées au sol pour m’empêcher de bouger, elle me narguait en me disant d’une voix caverneuse : « J’ai tout manigancé, t’es vraiment une conne, tu tombes dans tous les pièges ! »

 

Je me réveillais en sueur, me demandant si après tout cette hypothèse était possible.

 

Bien sûr que non, certes les machinations ça existe et il y en a de fort complexes, mais pas au point d’y inclure la démission de la patronne d’un groupe de féministes cinglées. Et puis la part de l’aléatoire est trop énorme : rien ne m’obligeait à accepter la proposition de Borelli, rien ne m’obligeait à choisir Ingrid comme unique garde du corps, Et puis il y a Krupz et son petit négoce de culottes, il ferait aussi partie d’une machination ? C’est trop con, les rêves !

 

Le jour convenu, je téléphone à Borelli à 10 heures et lui indique le nom de l’hôtel. Ingrid me rejoint rapidement, elle est en tenue de motard, tout de noir vêtue, ses cheveux blonds étant ramassés en un chignon sévère. A 11 heures tapantes, le type me rappelle m’informant qu’il est dans le hall avec Golfen.

 

– O.K. Chambre 206, il monte seul, bien entendu ?

– Pas de soucis !

 

Ingrid sort dans le couloir afin de vérifier que l’individu est effectivement seul.

 

Golfen entre dans notre chambre, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a l’air bizarre, il murmure un vague bonjour…

 

– Euh, madame ? Demande-t-il en désignant Ingrid

– Ma garde du corps.

 

L’explication semble lui convenir. Il sort un papelard de sa poche qu’il se met à me lire maladroitement avec des trémolos dans la voix…

 

Je ne transcrirais pas ce qu’il m’a lu, j’en suis incapable, en gros, usant d’un charabia de dernier de la classe en français, il s’excuse de sa conduite, s’en veut de m’avoir « fait du mal » et me demande de lui pardonner.

 

Je lui ai alors simplement répondu que je lui pardonnais, mais qu’après cette séance nous ne nous reverrions plus.

 

– L’important c’est que vous m’ayez pardonné ! Répond-il en déposant une enveloppe sur la commode.

– On se déshabille ! Proposais-je ?

 

Il se laissa tranquillement poser une capote

 

– Tu veux que je te suce un peu avant ?

– Non, on va faire l’amour !

– D’accord, je me mets comment ?

– Allongée !

 

Le mec m’a un peu embrassé mes nénés, puis m’a pénétré et s’est mis à me limer en cadence dans la position du missionnaire.

 

Le type est endurant, Dame c’est que c’est un sportif et de haut niveau en plus. Cela dit ça va faire 20 minutes qu’il me baise, heureusement que j’ai pris la précaution de m’enduire la chattoune de gel, parce que je ne mouille pas du tout, même pas une petite goutte.

 

Je me demandais si ça allait encore durer longtemps, quand je me rendis compte qu’en fait il était en train de ne pas y arriver. Voilà une situation qui risquait d’avoir des conséquences catastrophiques. Alors je simule, mais apparemment, ça ne suffit pas.

 

Ingrid est à un mètre de moi, j’essaie de lui faire comprendra la situation en mimant les mots de mes lèvres.

 

Elle a compris ! Et s’approche du bonhomme :

 

– Continue à baiser ma copine, ferme les yeux, pense à tes fantasmes, penses-y très fort mais surtout laisse les dans ton cerveau.

 

Il le fait, il accélère son rythme, et voilà que je me mets à mouiller, réaction purement mécanique puisque liée à aucun plaisir physique, au bout de quelques instants il jouissait comme un malade.

 

Il se retire d’en moi, il enlève sa capote et va se rincer au lavabo de la salle de bain.

 

Pendant ce temps je vérifie le contenu de l’enveloppe, le compte y est et les billets sont bons

 

Il revient, me regarde à peine en se rhabillant.

 

– Merci, merci pour tout !

 

Et il disparaît sans dire aurevoir.

 

Ingrid le suit discrètement, le voit dans le hall rejoindre Barelli qu’elle ne connait pas, puis les deux hommes quittent l’hôtel et s’engouffrent dans une voiture.

 

– Tout va bien ! Me confirme Ingrid en revenant.

– Ouf ! Je vais te donner la moitié du « cadeau »

– T’es folle j’ai pas fait ça pour du fric !

– Moi, si ! M’amusais-je. Je crois quand même que tu n’es pas venue pour rien !

– OK, alors donne-moi juste 100 balles pour le service.

– T’es sûre que….

– Mais oui, et le papelard qu’il t’a laissé, t’en fais quoi ?

– Poubelle ! J’aime bien les souvenirs, mais celui-là je préfère m’en passer.

– Tu fais quoi, maintenant ? Me demande-t-elle en minaudant.

 

Je la vois venir ! Après tout après cette passe stressante, ça ne pourra que me faire du bien.

 

– Maintenant, on s’envoie en l’air ! Viens me caresser, j’ai besoin de tendresse.

 

Ingrid se déshabille à la vitesse grand V et vient m’enlacer. On s’embrasse, on se pelote et elle ne tarde pas à me lécher mes nichons.

 

– Attends, lui dis-je après m’être un peu dégagée, il faut que je fasse pipi.

– Tu vas me pisser dans la bouche ?

– Si tu veux !

 

Ça lui fait plaisir, on aime ça tous les deux, alors pourquoi se gêner ?

 

On s’en va dans la salle de bain, Ingrid, s’installe, les fesses par terre, le visage penché en arrière et la bouche ouverte, attendant mon offrande.

 

J’ouvre les vannes ! Eh, c’est que j’avais une grosse envie, Ingrid en avale de bonnes rasades mais elle s’en fout plein partout à côté, même sur les cheveux. Pas bien grave, il y a du shampoing et un sèche-cheveux ici.

 

Ses seins sont tout mouillés aussi, mais de ceux-ci je m’en occupe, je lèche, je tète et me régale de ma propre urine sur la peau d’Ingrid. Parfois comme ça, j’ai envie d’être cochonne, cochonne ou coquine, je ne sais pas trop, mais ça ne doit pas être incompatible !

 

Et puis évidement on s’est embrassé, un baiser tiède et salé comme vous pouvez le deviner.

 

– T’as envie, toi ? Lui demandais-je

– Justement j’y pensais. On fait comment ?

 

Je me couche sur le tapis de bain et lui demande de venir s’accroupir au-dessus de moi, la chatte collée à ma bouche. En principe de cette façon on n’en met pas partout à condition que la donneuse parvienne à contrôler son débit. Or Ingrid ne contrôle rien du tout et pisse comme un robinet ! Pas bien grave, on rigole !

 

On s’essuie, Ingrid qui a les cheveux mouillés se met une serviette en turban sur la tête. Ça me fait rire ! Ça va être la première fois de ma vie que je vais faire l’amour avec une nana enturbannée ! Il y a toujours une première fois !

 

Je la regarde, elle est vraiment belle, il n’en faudrait pas beaucoup pour que je m’en amourache, mais je sais rester raisonnable !

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Elle me regarde aussi, on se rapproche, alors forcément on s’embrasse, profondément et goulument et forcement on se pelote les fesses.

 

Et comme on est juste à côté du plumard, Ingrid me fait perdre l’équilibre, je ne la lâche pas, et c’est encore enlacées qu’on y dégringole à l’unisson.

 

Moi je suis sur le dos, elle est sur moi, elle se dégage très légèrement c’est pour venir me lécher mes nichons, elle fait véritablement une fixette sur mes nénés, ils ne sont pas mal, je ne m’en plains pas, mais ils ne sont pas exceptionnels non plus. Non pour elle ce n’est même plus une passion, c’est une obsession.

 

Je la laisse faire d’autant que c’est loin d’être désagréable et que je commence à mouiller sévère. J’ai envie qu’elle me tripote la chatte, si elle ne le comprend pas, je vais devoir lui dire.

 

– Tu me fais mouiller !

 

Voilà, je lui ai dit !

 

– Sans blague, voyons, voir !

 

La voilà qui descend et qui commence à me lécher l’abricot avec voracité. Puis tout d’un coup :

 

– Tourne-toi ?

 

J’ignore ce qu’elle veut faire, mais qu’importe, j’adore les surprises surtout au plumard, et me met en levrette puisque je suppose que c’est cette position qu’elle souhaitait me voir prendre.

 

– J’aime ton gros cul !

– Dis, donc ! Je n’ai pas un gros cul !

– Il est plus gros que le mien !

– Ah, bon ?

 

Et la voilà qui m’embrasse les fesses, je sens que dans quinze seconde, elle va me foutre sa langue dans le trou de balle. Ben non, elle prend son temps et me gratifie d’un tas de petits bisous sur mes fesses, c’est ma foi bien agréable.

 

Et ce qui devait arriver arriva, son petit bout de langue vient me titiller le petit trou, j’en suis toute chose, d’autant qu’avec sa main elle se livre à une sorte de frotti-frotta sur ma chatte.

 

A ce rythme je ne vais pas tenir longtemps, d’autant que madame en remet une couche en m’enfonçant carrément son index dans le cul et en le faisant bouger comme un piston.

 

Je mouille, je gémis, je gesticule, je respire bizarre, elle continue de plus belle ! Je jouis dans un râle la tête dans le couvre lit.

 

Putain le plumard ! On aurait dû défaire le couvre lit, ou au moins mettre une serviette. Bof ! pour le prix qu’on paie, ils peuvent faire nettoyer !

 

Le temps que je reprenne mes esprits je m’aperçois qu’Ingrid est maintenant à mes côtés, elle me fait un signe avec ses deux mains qui doit signifier dans ce genre de langage : « Viens un peu par ici, toi ! ».

 

J’y vais, je l’embrasse ! Autre signe avec l’index cette fois qui m’indique la direction de sa chatte. Elle me prend pour une débile ! Bien sûr que je vais lui lécher la chatte, mais ça n’empêche pas les bisous, non mais dès fois…

 

Elle aussi elle mouille comme une soupe. mais je m’en fous, les chattes on les préfère mouillées, et puis comme me disais je ne sais plus qui « Une chatte sèche, c’est difficile à prononcer ! »

 

Elle a joui assez vite, on s’est de nouveau embrassées et câlinées, on a fumé une clope, on a fait venir le service d’étage avec des Pina Colada, et on s’est fait une petite sieste l’une contre l’autre comme dans le dortoir des grandes.

 

Et voilà ! Est-ce que cette affaire est maintenant terminée ?

 

Oui ! Enfin presque parce que je devais encore apprendre certains détails :

 

8 jours plus tard

 

Il est presque midi et je reçois un coup de fil de Barelli qui voudrait bien me voir, si possible aujourd’hui parce que m’informe-t-il, demain il repart en Italie.

 

– Si c’est pour une séance, vous êtes le bienvenu. Si c’est pour me proposer autre chose, ce n’est même pas la peine d’essayer.

– Juste une séance !

– 14 heures ?

– Non, j’ai un rendez-vous, je ne serais libre qu’en fin d’après-midi

– En fin d’après-midi, j’ai deux messieurs ensemble, ils ne sont pas contre les mélanges, mais je suppose que ce n’est pas votre cas ?

– Si, si au contraire, ça peut m’intéresser.

 

Ah, bon ? Etonnant comme attitude ! Mais en y réfléchissant bien, je pense comprendre, la première fois, il était probablement obnubilé par ce qu’il devait me demander après, son esprit préoccupé devait donc l’empêcher de se lâcher complètement y compris quand il me décrivait ses fantasmes. Aujourd’hui c’est différent, c’est détente intégrale et pas d’arrière-pensées, du moins je l’espère

 

A l’heure dite, Marcel alias Nœud-pap, mon fidèle habitué, toujours très ponctuel arrive en premier. C’est un petit bonhomme, la cinquantaine, correct et bien propre sur lui, depuis quelques temps, nous avons développé ensemble une complicité qui dépasse un peu le stade de la relation client/pute (voir les chapitres précédents). Il a l’habitude de la maison et se déshabille sans attendre ses camarades de jeu.

 

Patrice arrive tout de suite après, c’est un client qui vient depuis environ un an, un black friqué, qui m’a confié être attaché d’ambassade, je l’ai fait deux fois avec Nœud-pap et ça s’est bien passé. Poigné de main de politesse entre les deux hommes et je fais signe à Patrice de se dévêtir à son tour.

 

On attend cinq minutes, pas plus, pas de Barelli, tant pis, j’emmène mes deux esclaves dans le donjon quand mon téléphone portable me rappelle qu’il sait très bien sonner.

 

Serait-ce Barelli ? Tout à fait, le monsieur est pris dans les embouteillages et ne sera là que dans quelques minutes, il me dit de commencer sans lui. Correct le gars !

 

– J’attends un troisième petit cochon, il arrivera dans cinq ou dix minutes, annonçais-je à ces messieurs.

 

Comme souvent je réserve les relations entre mes clients pour la seconde partie de la séance et commence donc de façon presque classique.

 

C’est Patrice qui a l’honneur et l’avantage d’être ma première victime consentante. Après avoir retiré mon kimono sous lequel je suis en bustier décolleté et le cul à l’air, je m’approche de lui et lui pince les seins assez fort de façon à ce qu’il me fasse une jolie grimace !

 

– T’aimes ça, hein pédé ?

– Oui maîtresse !

 

Parfois à ce stade, je crache sur mes soumis, je ne le fais pas aujourd’hui, j’ai un petit rhume ! Je continue de lui serrer ses tétés, ça le fait grimacer, mais ça le fait aussi bander, et c’en est même impressionnant.

 

J’interpelle Nœud-pap :

 

– T’as vu un peu cette bite ! C’est pas de la rigolade, tu vas te régaler tout à l’heure.

 

Il me fait un petit signe approbateur.

 

– T’es vraiment qu’un suceur de bites !

 

Ça n’a vraiment pas l’air de le traumatiser !

 

J’accroche des pinces sur les bouts de seins de Patrice qui supporte la chose crânement. Il crane un peu moins quand j’ajoute des poids, et il ne crane plus du tout quand j’accroche d’autres pinces sur ses testicules.

 

Je prends ma cravache et fait bouger un peu tout ça, il supporte, du coup de m’occupe un peu de Nœud-pap lequel commence à connaitre tout mon catalogue de petites misères par cœur, mais ça fait rien les pinces aux seins, lui aussi ça le fait toujours bander.

 

Je m’aperçois que Patrice a vraiment mal aux couilles, bonne fille je le lui retire les pinces qui y sont attachées, je ne suis pas là pour démolir mes soumis.

 

On passe à la promenade des petits chiens : mes deux soumis à quatre pattes doivent se balader de long en large dans mon donjon et même que s’ils n’avancent pas assez vite, je leur fouette le cul, et pas forcément gentiment.

 

Et sur ces entrefaites, le dénommé Borelli se ramène. Je lui demande de se déshabiller en vitesse après m’avoir fait le petit cadeau d’usage et de nous rejoindre.

 

Il parait surpris de voir mes deux autres soumis à quatre pattes, le cul à l’air, il me regarde en se demandant ce qui va lui arriver. Je sais puisqu’il me l’a dit qu’il n’aime pas ce qui est convenu d’appeler les « petites misères ». Non il est là pour sucer de la bite et se faire enculer.

 

Ben oui le petit monde de la domination est loin d’être univoque, et heureusement d’ailleurs, sinon je ne vous dis pas la monotonie. Il y a ceux qui prennent plaisir à souffrir mais qui ne supporte pas l’humiliation, il y a ceux qui aiment l’humiliation mais qui sont douillets comme des jeunes filles, il y en a qui veulent tout, ce sont les polymorphes, et puis il y a les transgressifs assistés, ceux-là peuvent surprendre, parce que jamais au grand jamais ils n’oseraient se faire pisser dessus ou aller sucer une bite alors que c’est dans leurs fantasmes. Et c’est là qu’intervient la dominatrice, et ça change tout, parce que si c’est elle qui ordonne de faire ce genre de choses… et bien ils vont le faire… et sans discuter… C’est bien dans cette catégorie que se situe Barelli. Du moins c’est ce que je croyais…

 

Il aurait été à l’heure, je l’aurais collé dans un coin avec un gode dans le cul pendant que je faisais souffrir ses collègues. Mais là ce n’est pas la peine, on va entrer de suite dans le vif du sujet..

 

Je demande à Nœud-pap et à Patrice de se relever, ce qu’ils font, exhibant des bites bien dressées. Celle de Patrice est impressionante

 

– Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Elles sont comment ces bites ? Le narguais-je.

– Elles sont belles.

– T’aimerais bien les sucer ?

– Oui, oui !

– Eux aussi, ce sont des suceurs de bites !

– Hé !

– Alors pour l’instant tu vas les regarder ! Tu t’assois là, et je t’interdis de te branler.

 

Il s’installe comme demandé et se tripote le sexe, ce doit être un réflexe.

 

– Qu’est-ce que je viens de te dire ? Mets-toi les mains sur ta tête et ne bouge plus ! Chenapan !

 

Il est rigolo, on dirait un petit garçon pris en faute.

 

– Bon, honneur aux anciens, Nœud-pap tu vas sucer la grosse bite de Patrice. Non, venez un peu plus près que notre petit nouveau puisse s’en foutre plein la vue !

 

Nœud-pap est devenu un bon suceur, tous ceux qui ont bénéficié de sa bouche gourmande en ont été d’accord. Et Patrice à l’air d’apprécier.

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Un autre souci avec ces séances bisexuelles, c’est que pratiquement tous ces messieurs sont passifs. Il faut donc faire jouer la réciprocité, celui qui veut sucer devra aussi se faire sucer, jusque-là ce n’est pas trop difficile à gérer, mais celui qui veut de faire sodomiser devra aussi sodomiser l’autre, c’est moins évident, mais en principe ça se gère aussi !

 

– Bon, on inverse les rôles ! A Patrice de te sucer ! Vas-y suce sa bonne bite.

 

Je les laisse opérer pendant plusieurs minutes avant des faire stopper.

 

Pas facile de gérer trois personnes, une fois j’ai voulu leur faire faire le petit train, l’enculeur du milieu se faisant lui-même sodomiser. Ça n’a jamais fonctionné, deux d’entre eux ont pris ça à la rigolade, pas le troisième que je n’ai jamais revu.

 

Pour l’instant, dilemme : lequel va enculer l’autre ? Je pourrais tirer à pile ou face, mais uniquement par caprice, je décide que ce sera Patrice qui va sauter Nœud-pap. J’aime bien le regarder se faire prendre, il aime ça et n’en éprouve aucune honte, il est bien dans sa peau, il assume.

 

J’interpelle Borelli :

 

– Alors, ça te plait ? Deux mecs qui s’enculent, on ne voit pas ça tous les jours. Regarde-moi-ça cette bonne bite comme elle lui rentre bien dans le cul !

– C’est très troublant ! Concède-t-il en me montrant sa bite comme témoin de son excitation..

– Tu voudrais bien être à la place de Nœud-pap, c’est ça !

– Eh, c’est que je suis venu pour ça ! Mais pour moi, ça va peut-être être un peu gros, non ?

– Ne t’inquiètes pas, je gère ! Et tu ne perds rien pour attendre, tu vas te le faire défoncer ton petit cul ! Mais en attendant, lève-toi, et mets-toi devant Nœud-pap, il va te sucer pendant que l’autre l’encule.

 

Pas forcément évident de sucer quelqu’un quand on vous encule ! Du moins de le faire correctement ! Croyez en mon expérience ! Mais si celui qui est derrière n’est pas un sauvage, ça peut très bien se passer.

 

Et effectivement, pour l’instant ça se passe bien, et je sais pourquoi : si Patrice veut passer à la casserole, il est préférable qu’il ne jouisse pas, donc il se ménage.

 

Le trio est joli, et ce qui est super, c’est que je n’ai rien à faire, juste à diriger et à surveiller.

 

– Bon changement de camp, Thierry (c’est le prénom de Barelli) tu vas enculer Patrice, et Nœud-pap va lui sucer la bite. Allez en piste.

 

Comme tout à l’heure le trio fonctionne bien, Barelli ne force pas ses coups de boutoirs mais remplit d’aise de Patrice qui miaule de plaisir tout en suçant la queue de Nœud-pap !

 

Tout le monde suit ?

 

Il ne reste plus qu’une figure afin que tout le monde reparte avec ce qu’il est venu chercher ! Cette fois c’est donc Barelli qui se fait mettre par Nœud-pap tout en suçant la bite de Patrice.

 

Heureusement qu’ils ne sont pas quatre, j’aurais été obligée de prendre des notes !

 

– Laissez-vous allez, les mecs, c’est le final !

 

Je ne sais pas trop comment ils vont se laisser aller, je sais que Nœud-pap n’aime pas trop jouir de cette façon.

 

Je passe derrière Patrice qui est en train de se faire sucer et lui pince fortement les tétons. C’est radical, sa bite se raidit au maximum dans la bouche de Barelli, il prévient son partenaire qu’il va jouir, mais l’autre le garde en bouche et se régale de son sperme, quel cochon !

 

Je passe ensuite derrière Nœud-pap et lui fait subir le même traitement ! Sa bite réagit bien mais ce n’est pas ce qu’il souhaitait.

 

– Je préfère jouir autrement, maitresse !

– On n’a plus le temps, mon petit bonhomme… jouis dans son cul. La prochaine fois tu auras ton petit champagne.

 

Il n’est pas contrariant, Nœud-pap, alors j’ai comme un remords, je m’approche de lui et lui susurre à l’oreille :

 

– Fais semblant de jouir, on va s’arranger !

 

C’est ce qu’il fait ! Il pousse un cri de sauvage, décule, puis cache sa bite encapotée dans ses mains pour aller dans la salle de bain.

 

Patrice m’indique qu’il va se rhabiller, et me dit que tout était très bien. Il serre la main de Barelli et la mienne aussi.

 

– Vous remerciez l’autre monsieur de sa participation ! Il faut que j’y aille…

– Je n’y manquerai pas.

 

Je demande à Barelli de m’attendre, puis je me précipite dans la salle de bain ou Nœud-pap m’attend !

 

– Allez en piste !

 

Il s’étale sur le tapis de bain, la bouche ouverte, je m’accroupis au-dessus de lui, chatte contre bouche et j’ouvre les vannes. Je n’avais pas une très grosse envie de pipi, mais cela semble suffire à son plaisir.

 

Retour au donjon, Barelli n’a pas joui. J’ai certains clients que je ne finis pas, le fait d’être empêché de jouir est pour eux une sorte de plaisir masochiste que j’ai du mal à comprendre, mais si ça leur convient, tant mieux pour eux. Mais Barelli n’est pas dans ce genre d’état d’esprit. Je lui propose une pipe, prestation qui n’est pas dans mes habitudes de dominatrice, mais bon… Ça lui convient et la chose fut rapide.

 

Nœud-pap a pris congé, Barelli me fait la conversation en se rhabillant :

 

– J’ai eu l’occasion de rencontrer Krupz ! C’était assez surréaliste, vous voulez que je vous raconte ?

 

Que voulez-vous ? On est curieuse ou on ne l’est pas !

 

– Racontez-moi ça pendant que je me remets en « civil » !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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