Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 3 – Du sexe dans la crypte
– Si quelqu’un se coucher dans le cercueil, moi je préfère dormir à même le sol ! Déclarais-je.
Pas envie qu’ils m’y enferment !
– S’il vous prenait l’envie saugrenue de vous débarrasser de moi, autant vous prévenir que l’idée n’est pas bonne. Vous ne connaissez rien au monde des vampires et vous allez avoir besoin de moi pour vous débrouiller. Il se trouve que moi aussi j’ai besoin de vous parce que je comprends pas grand-chose à cette époque. Alors c’est donnant-donnant. D’accord.?
Ils acquiescent sans que je puisse dire s’ils sont sincères ou non.
Sinon, j’ai l’entrejambe qui frétille.
– J’ai oublié de vous dire quand on plus faim, on est parfois très excité, c’est une réaction normale, on peut faire avec en attendant que sa passe, mais c’est tellement mieux si on assume !
Les yeux de Sidonie deviennent très expressifs, elle recommencerait bien le trip de tout à l’heure mais n’ose sans doute pas devant son boutonneux de copain ! Je vais donc m’occuper du copain… dans un premier temps.
Mais avant faut que je me renseigne sur quelque chose.
– C’est quoi « des capotes » ?
– Pourquoi cette question ?
– Ben tout à l’heure, j’ai sucé ton copain et quand j’ai voulu qu’il m’encule, il a refusé parce que j’avais pas de capotes, j’ai rien compris.
– Heins ? T’as sucé François René ?
– Ben oui, elle m’a pratiquement violé ! Intervient l’intéressé !
– Je rêve ! Et bien sûr tu t’es laissé faire ? S’énerve Sidonie.
– Puisque je te dis qu’elle m’a pratiquement violé !
– E tu t’es laissé faire ?
– Alors c’est quoi des capotes ? Redemandais-je, coupant court à leur chamaillerie
Sidonie m’a expliqué.
– Mais les vampires n’attrapent de maladies, voyons ! Puisque nous sommes immortels. Dis-moi Sidonie, je trouve que tu as l’œil lubrique !
– J’ai l’œil lubrique, moi ?
– Mais oui, viens donc m’embrasser, tu en meurs d’envie.
On se roule une galoche bien baveuse devant le boutonneux qui fait semblant d’être choqué, alors que sa braguette affirme le contraire.
– Je ne savais pas t’étais goudou ! Grommelle-t-il
– Et alors, je fais ce que je veux, et d’abord je ne suis pas goudou.
– Déshabille-toi ! Dis-je au garçon tu seras plus à l’aise pour nous regarder, et peut-être même qu’on t’autorisera à nous rejoindre.
– Non, mais on est tombé où là ? Fait-il mine de se désespérer.
On le laisse grogner, et Sidonie et moi nous nous sommes débarrassées de nos vêtements, nous sommes face à face et nous nous caressons mutuellement la poitrine avec volupté. Elle ne tarde pas à me lécher les tétons, j’étais loin de penser qu’elle évoluerait aussi rapidement.
– On devrait l’entreprendre à deux ! Proposais-je à Sidonie, en chuchotant, sinon il va nous emmerder.
– Non, je préfère rester avec toi.
– Force-toi un peu.
– Je n’ai vraiment pas envie !
– Tu as déjà fait des choses avec lui ?
– Non, lui il voudrait bien, mais pour moi c’est juste un bon copain, rien de plus.
C’est compliqué les humains !
– Tu vas juste rester à côté de moi, sans y toucher, c’est moi qui va faire tout le boulot, ça marche comme ça !
– Ben… ouais
J’avance vers lui en faisant ballotter mes gros nichons. Il me fait des yeux de poisson mort d’amour.
– Allez, déshabille-toi ! L’invectivais-je
– Vous êtes une sorcière !
– C’est pas grave, ça !
– Une sorcière lubrique !
Je lui met la main au paquet, c’est tout dur-là dedans. Il hésite un moment ou plutôt il fait semblant d’hésiter, puis obtempère.
Je ne perds pas une minute et introduit sa bite dans ma bouche. Déjà il se pâme de plaisir. Sidonie est à côté de moi mais ne fais aucun geste. Manifestement il espère qu’elle va participer.
Je continue mon travail de suceuse de bite en variant les positions de ma bouche et de ma langue, puis saisie d’une impulsion subite, je mouille un doigt que je lui introduis subrepticement
– Mais ça va pas, non ? Proteste le garçon.
– Tais-toi, je sais ce que je fais, tous les hommes adorent ça !
Il avait envie de nous dire quelque chose depuis quelques minutes, Cette fois il se lance.
– Si vous me suciez à deux ?
Je croise le regard de Sidonie qui ne sais que faire.
– C’est demandé si gentiment, tu ne peux pas refuser !
Elle esquisse un geste de dénégation.
– Juste un peu ! Insistais-je. Ça ne va pas te tuer !
Je lui tends la bite de son copain. Sidonie ferme les yeux, souffle un bon coup, ouvre la bouche, et hop c’est parti. On se passe et on se repasse la bite, chacune son tour, on lèche la verge de concert, un vrai ballet de langues. Je sais gré à Sidonie de s’être lancé, mais je comprendrais parfaitement qu’elle ne souhaite pas que la chose dure trop longtemps.
Et puis, j’ai vraiment envie de me faire enculer !
Je me mets en levrette et invite le garçon à venir me pénétrer le derrière de son dard bandé comme un arc.
Il n’hésite pas, il s’approche, ça rentre tout seul et c’est trop bon. Et pendant qu’il me bourre je fais signe à Sidonie d’approcher sa chatte de mon visage afin que la lui lèche. L’autre me pilonne comme s’il était à l’exercice, me déclenchant des ondes de plaisir de plus en plus rapprochées, de plus en plus intense.
J’ai joui, et un vampire qui jouit ça fait du bruit.
Sans doute affolé par le vacarme, François-René est sorti précipitamment de mon cul et m’a déchargé sur mes jolies petites fesses. Je lui ai ensuite nettoyé la bite comme il se doit.
J’entraine Sidonie dans le coin, pour lui faire un câlin.
– T’as été très bien ! Bravo !
– C’était bien pour te faire plaisir.
– T’avais déjà sucé des bites ?
– Pas souvent, mais pas la sienne en tous cas.
– On a oublié de téléphoner aux parents, dit François-René après qu’il eut récupéré.
Il sort un truc de sa poche qui ressemble à un miroir de poche et qui fait de la lumière, décidément c’est le siècle des lumières ! Mais ce ne doit pas être un miroir. Il me semble que Sidonie avait aussi un objet similaire. Il tapote dessus.
– Y’a pas de réseau !
– Pas étonnant, répond la fille, t’as vu où on est ?
– Faut téléphoner d’en haut, tu viens ?
– Non, ce n’est pas une bonne idée. On a tué des gens…
– Pas moi… Proteste le jeune homme.
– Peut-être mais t’es complice et t’as laissé des empreintes sur le distributeur automatique, à mon avis on ne risque pas grand-chose, mais on ne sait jamais, tu sais, les gendarmes sont malins, avec le téléphone, on peut nous tracer.
– Alors ?
– Alors on casse nos téléphones.
– Mais les parents ?
– On trouvera un moyen, un cybercafé peut-être ?
– Un cybercafé où ça ?
– A Poitiers.
– Et on y va comment à Poitiers ?
– Ben en car ! Ça existe les autocars.
Il est bien évident que je n’ai strictement rien compris à ce dialogue de fous furieux. On a essayé de m’expliquer, je ne suis pas certaine d’avoir tout compris.
Evidemment la première voiture qui s’arrêta à la station-service constata le massacre et prévint la gendarmerie. On réveilla le capitaine Blanchard qui de très mauvais poil se déplaça sur les lieux.
– Ça m’a tout l’air d’un meurtre rituel, genre secte satanique. Effectuez les relevés habituels, on fera établir des tests d’ADN sur les prélèvements autour des morsures. Puis faites emporter les cadavres à la morgue.
Dimanche 2 mars
Le matin a toujours été propice aux idées lumineuses. Et Sidonie essaie de m’expliquer la sienne :
– Puisqu’il nous faut du sang, au lieu d’aller mordre les gens, pourquoi ne pas aller en piquer dans une banque de sang à l’hôpital ou en clinique ?
– C’est une bonne idée. Répond le freluquet, mais concrètement ?
– Concrètement faut aller à Poitiers, et pour le reste faut demander à Clara.
– J’aimerais bien comprendre déjà !
On m’explique, cette fois je pense avoir compris, ce n’était pas si compliqué. Ils stockent donc du sang en cave comme les taverniers entreposent du pinard. Ça me paraît intéressant, ça évitera surtout de terroriser la population. Cela dit je me demande si ça va complètement remplacer le plaisir de mordre dans la chair pendant que l’on sent sa victime défaillir. Cruelle allez-vous dire ? Non, ce n’est pas de ma faute si je suis une vampire, je sais, je l’ai dit mais parfois faut répéter les choses.
– Bon on va essayer de faire comme ça…
– On prend le car alors et on en profitera pour aller dans un cybercafé…
– C’est quoi un car ?
– C’est une grande voiture qui peut prendre plusieurs personnes.
– Comme une diligence ?
– Une grosse diligence.
– On ira cette nuit.
– Non, ça ne va pas, le dernier car est vers 18 heures.
– 18 heures ? Il y a des heures en plus ?
– 6 heures du soir si tu préfères.
– Ah ! Vous n’allez pas voyager de jour, vous allez être malade comme des bêtes moi je pourrais mais pas vous. On va donc faire autrement, je vais vous montrer quelque chose mais l’un après l’autre parce que ce n’est pas de la dernière évidence.
Je fais venir la fille devant moi et lui demande de se déshabiller, pour ce que j’ai à lui apprendre ça n’a rien d’obligatoire mais c’est bien plus pratique
– Regarde bien ce que je fais !
Et je mets à battre des abattis à la façon d’une poule apeurée.
– Fais comme moi !
– C’est une plaisanterie !
– Pas du tout, allez !
Ce n’est pourtant pas bien compliqué mais il a fallu plusieurs essais avant qu’elle me fasse ça correctement. Le freluquet pendant ce temps à l’air de se demander si je ne suis pas en pleine crise de folie. Pas grave, je commence à avoir l’habitude.
– Maintenant tu penses très fort dans ta tête ‘je suis une chauve-souris »
– Non mais…
– Allez et mets-y de la conviction !
Fastidieux, elle n’y arrive pas, mais je m’obstine :
– Essaie encore !
– Je suis une chauve-souris, je suis une chauve-souris.
François-René pousse un cri de terreur. Sa copine s’est transformée en chiroptère et virevolte dans la pièce, ne sait où se poser, pendant que son grand benêt claque des dents.
– Maintenant pose-toi au sol, essaie de mettre une patte devant l’autre, c’est pas évident à cause les ailes, mais tu vas y arriver et tu penses très fort : « je ne suis pas une chauve-souris ».’
Evidemment elle s’emberlificote les pattes, je me marre, ce n’est pourtant pas drôle mais que voulez-vous, c’est nerveux. C’est vrai aussi qu’on ne s’improvise pas chauve-souris, l’instinct fait son boulot mais ça n’empêche pas les bêtises !
Au deuxième essai elle redevient humaine, non pas humaine, mais vampire !
– C’est fou ce truc, t’es une sorcière !
– Non, une vampire !
– Tout à l’heure tu t’entraîneras mais avant c’est ton copain qui va essayer.
– Non !
– Si !
Je leur fit faire ensuite des essais de transformation coordonnées
– Il faut que ça devienne un réflexe, quand je deviens chauve-souris vous faites pareil, quand je reprends forme humaine, vous faites pareil et tout ça sans discuter, c’est moi qui commande et je ne veux aucune initiative personnelle, sinon je vous laisse choir. On est bien d’accord ?
Ils approuvent, mais ce n’est pas le grand enthousiasme. Alors j’en remet une couche :
– Ecoutez moi bien. Dans l’état actuel des choses, vous ne pourrez jamais vous en sortir seuls, Quelques jours peut-être mais pas plus. Être vampire ça s’apprend, et je vous apprendrais ce que je sais, mais progressivement. Donc considérez que je suis votre maîtresse et que vous êtes mes esclaves, que je demande une obéissance aveugle et que j’ai tous les droits sur vous y compris de vous punir. Mais si vous êtes sages, tout se passera bien. Ça va comme ça ?
Je ne m’attendais pas à ce que Sidonie ait le cran de répliquer :
– Je te signale que toi aussi tu as besoin de nous, tu ne connais rien à notre époque…
– Petite peste ! Tu te crois irremplaçable ? Je n’ai qu’un geste à faire et tu n’existeras plus. Trouver une autre personne qui me servira de guide dans cette époque n’est qu’un jeu d’enfant, une morsure bien placée, et hop ! Alors tu vois, on n’est pas vraiment à égalité.
– Et pourquoi me garder si c’est si facile de me remplacer ?
– Parce que j’aime bien ton petit cul !
– Evidemment, c’est un argument !
– Pardi ! Viens donc m’embrasser !
Elle me roule un pelle, mais au bout de quelques instants , je la repousse. Elle ne comprend pas.
– Sais-tu que quand on me tient tête, ça mérite une punition.
– Je n’aime pas les punitions.
– Tu n’as jamais joué à la soumise ?
– Non ce n’est pas mon truc !
– Tu n’en sais rien si tu n’as jamais essayé.
– Oui, ben, je ne suis pas pressée.
Je ne suis pas folle, je comprends très bien que je ne vais pas la convertir au plaisir de la domination rien qu’en faisant la parlotte. Alors, j’use un peu de mes pouvoirs pour la rendre plus docile, un tout petit peu, inutile de forcer la dose.
Mais voilà le François-René qui s’agite dans son coin et qui baragouine je ne sais quoi. Alors lui c’est bien simple, je l’endors.
Voyons voir maintenant si la poulette est à point.
– A genoux devant moi, ma petite chérie..
Elle n’hésite même pas, normal elle est encore sous mon emprise.
– Tu sais que tu es mon esclave ?
– Oui, Clara !
– Tu sais que j’ai le droit de te punir quand j’en ai envie !
– Oui, Clara !
Je la gifle, plusieurs fois, pas très fort, je ne suis pas une brute, mais ce sont des gifles quand même, pas des caresses. Je suis un peu sadique, j’aime dominer, humilier, faire souffrir, mais tout cela est tellement mieux quand la personne soumise est consentante.
– Ouvre la bouche, je vais te cracher dedans.
Je lui envoi des jets de salive, elle avale sans broncher.
– Je te pisserais bien dans la bouche, mais depuis mon réveil, je n’ai bu que du sang, mais nous aurons d’autres occasions, n’est-ce pas Sidonie ?
– Oui Clara !
– Je pourrais même quelque chose de plus consistant t’offrir mais faudrait que je mange un peu…
– T’es dégueulasse, Clara.
Comme quoi mon emprise n’est pas totale…
Je me tourne, je lui présente mes fesses que j’écarte de façon à exhiber mon anus.
– Viens m’honorer l’anus, je veux y sentir ta langue
– Oui Clara
– Renifle d’abord ! Tu aimes l’odeur !
– Oui Clara.
Elle fait ce qu’elle peut avec sa petite langue, apparemment ce doit être la première fois qu’elle se livre à cette fantaisie.
– Maintenant, tourne-toi, baisse-toi légèrement et cambre bien tes fesses
Je lui gifle le cul à mains nu, elle piaille, mais ne se rebelle pas. L’endroit devient tout rouge et mes petites mains de vampires commencent à me faire mal, je cherche un objet contondant et j’ai l’idée d’aller décrocher la ceinture du pantalon du grand benêt.
Je cingle ses jolies petites fesses sans trop forcer, mais les impacts laissent néanmoins de jolies zébrures sur son derrière. En même temps je sens ma chatte qui dégouline, je ne vais pas pouvoir rester comme ça.
– Aïe ! Crie-t-elle
– Non, ça ne fait pas mal, pense que ça te fait du bien, transforme la douleur en plaisir.
– Aïe !
Ben, oui, ce n’est pas évident ! Doucement je libère mon emprise.
– Qu’est-ce que tu me fais ? Demande ma soumise.
– Ben, je te punis un petit peu !
– J’ai les fesses en feu, tu peux peut-être arrêter, maintenant.
Elle se retourne, se redresse et me fait face. Nos visages se rapprochent, on s’embrasse goulument en bavant comme des cochonnes.
– T’as aimé les petites misères que je t’ai fait ?
– Disons que je n’ai pas détesté.
– On recommencera ?
– Oui, mais pas tout le temps.
– Tu vas venir t’occuper de ma chatte ?
– Oui, bien sûr.
Elle y prend goût, c’est certain !
– Mon dieu, ces poils, tu ne veux pas que je te fasse un petit rasage ?
– Ça ne va pas, non ? Lèche-moi ma poulette, donne-moi du plaisir.
Ce matin Marie-France Grandvoisin de la Clitoune, après avoir émergé d’une nuit difficile s’en fut vérifier dans la chambre de sa fille si celle-ci était revenue.
– La salope, elle a découché avec l’autre merdeux ! Et elle répond pas à mes messages. J’espère au moins qu’elle s’est protégée. Bon je vais me préparer, faut que je me montre à la messe, quelle corvée !
A midi, elle commença à s’inquiéter. Elle dû se motiver pour téléphoner chez les Couillard. Elle avait en horreur ces parvenus bouffis de suffisance qui travaillaient tous les deux à la télévision.
– Ah, ils étaient ensemble ! S’étonna Madame Couillard, vous êtes sûre qu’ils étaient ensemblea ?
– Ma fille me l’a dit !
– Elle ne dit peut-être pas la vérité.
– La question n’est pas là, avez-vous eu des nouvelles de votre fils ?
– Mais ça ne vous regarde pas !
– Il s’est peut-être passé quelque chose de grave, je ne vous demande pas la lune…
– Eh bien, non, je ne sais pas où il est allé, son téléphone a l’air coupé, ce n’est pas vraiment dans ses habitudes, voyez-vous ?
– Ma fille m’a dit qu’ils allaient en boite, en moto à Poitiers, je vais me renseigner pour savoir s’ils n’ont pas eu un accident…
– Nous aurions été prévenus, chère madame, quant à sa moto… permettez-moi un instant que je regarde par la fenêtre. Elle est là sa moto ! Elle n’a pas bougé.
– Pourquoi ce mensonge ?
– Vous me traitez de menteuse ?
– Pas vous, ma fille ! Bon, je vous propose une chose, si à 16 heures nous n’avons pas de nouvelles, je vous propose de m’accompagner à la gendarmerie pour signaler cette double disparition.
– Vous vous inquiétez pour rien, mais d’accord, si on n’a rien à 16 heures, nous ferons comme ça !
– Sinon on se téléphone !
– Bien sûr. Bon dimanche madame !
« Conasse ! »
A 17 heures, le brigadier Poliveau enregistrait la disparition des deux jeunes gens. Les deux dames lui confièrent les photos de leurs progénitures. Il les laissa trainer négligemment sur le bureau. Il posa les quelques questions d’usages : « Etaient-il dépressifs, influençables, addict à quelque choses, fréquentaient-ils des personnes « peu recommandables » puis il se montra rassurant.
– C’est une fugue amoureuse, il vont revenir, 80% des disparitions ne sont pas préoccupantes.
– Vous allez faire quoi ?
– Notre devoir, madame ! Baratina-t-il. Dès que nous aurons du nouveau vous serez informés.
A suivre
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