Léna Van Eyck

Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 17:31

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 13 – Sidonie et sa mère

Batgirl

Marie-France revient dans sa chambre avec des grands gestes :Elle me découvre, se demande qui je suis…

 

– Le personnel domestique de nos jours, c’est n’importe quoi ! Rouspète-t-elle

– Bon écoute… m’apprêtais-je à répondre quand Sidonie me tendit un petit papier.

 

« Demande-lui d’arrêter de boire »

 

Touchante attention !.

 

– Je disais donc qu’on a plusieurs choses à te demander : La première c’est que tu vas arrêter te de saouler…

– Vous me tutoyez, là ?

– Oui et maintenant ce sera comme ça ! Donc tu vas me mettre toutes tes bouteilles à la poubelle après les avoir vidées . On dit « Oui, maîtresse ».

– Oui maitresse, mais c’est un peu bizarre tout ça ! Vous pourriez au moins vous présenter !

– Je m’appelle Clara.

– Comme Clara Bruni ?

– Connais pas ! Ensuite…

– J’ai soif et je me sens tout excitée, c’est normal ? M’interrompt-elle

– Pour la soif on va s’en occuper, pour l’excitation, c’est une autre paire de manches, mais on peut gérer aussi. Je reviens.

 

Je descends à la cuisine, j’ouvre un meuble qui fait du froid et trouve une bouteille de jus d’orange, ça devrait calmer la soif de la dame.

 

Quand je reviens, je trouve Sidonie et sa mère dans les bras l’une de l’autre en pleine effusion, c’est touchant !

 

– Bon voilà, ça c’est l’adresse d’une maison près de Blois. Tu vas y aller, te mettre d’accord avec la propriétaire et l’acheter, tu te débrouilleras avec le notaire pour que ce soit fait rapidement.

– Faut que j’achète une maison ?

– Ben oui, faut que t’achète une maison.

– Remarquez c’est une bonne idée, parce qu’ici plus personne ne m’adresse la parole, je suis pestiférée. Mais que va dire Philippe ?

– Qui c’est Philippe ?

– C’est papa ! Précise Sidonie.

– Il a son mot à dire ?

– Non, mais je tiens à rester courtoise…

– Bon tu sauras nous arranger ça ? T’as des arguments, non ?

– Certes.

– Alors occupe-toi de ça cet après-midi. Sinon tu prendras ta voiture ce soir à 10 heures, on se rejoindra sur place.

– On ne part pas ensemble ?

– Non, et si quelqu’un t’interroge sur nous, tu ne nous as jamais vu et tu n’as toujours pas de nouvelle de ta fille, d’accord ?

– Oui, oui bien sûr, mais le chien ?

– Le chien tu l’emmènes !

– Ah, bon ! Je voulais vous dire : Vous savez que vous êtes très belle, très attirante.

– Tu n’es pas mal non plus ! Répondis-je sans aucune hypocrisie puisque c’était la vérité.

– Je peux vous poser une question indiscrète ?

 

C’est dingue je sais ce qu’elle va me demander, mais comment gérer ça sans gêner Sidonie ?

 

– Allez-y !

– Est-ce que cela vous est déjà arrivée d’être attirée par une femme au point d’envisager de faire l’amour avec ?

– Mais enfin, Maman ! Intervient Sidonie.

– Bien sûr ! Répondis-je, je suis très libertine et je vais aussi bien avec les hommes qu’avec les femmes.

– Eventuellement, euh comment dire…

– Viens donc m’embrasser, ma grande au lieu de chercher des mots que tu n’arriveras pas à trouver !

 

Et hop me voilà en train de rouler une galoche avec la mère de Sidonie qui en profite pour me mettre ses mains partout.

 

– On se déshabille ? Me propose la bourgeoise.

– Je vais vous laisser, je serais dans ma chambre ! Annonce Sidonie.

– Tu vas peut-être rater un beau spectacle ! Lançais-je.

– Attends, c’est vachement gênant !

– Qu’est ce qui est gênant ? Où est le mal ?

– Ça ne se fait pas !

– Dis-moi Sidonie, tu n’es pas excitée, juste un petit peu ?

– Si et alors ?

– Tu n’as pas envie de franchir un tabou ?

– Je manque de motivation !

– Alors je me déshabille ou je ne me déshabille pas ! Rouspète Marie-France.

– Tu te déshabilles.

 

Sidonie se demande où elle s’embarque, certes, les deux femmes se sont déjà montrées nues mutuellement dans la salle de bain, mais là c’est autre chose, elle va regarder sa mère de faire gouiner. Bien sûr, elle pourrait sortir de la pièce mais une sorte de force invisible l’en empêche et je vous assure que je n’y suis pour rien.

 

Marie-France est maintenant devant moi, à poil, c’est une belle femme mature, ses cheveux, non encore peignés ce matin, lui tombent sur les épaules, sa belle poitrine me ravit les yeux, je la lui caresse, elle me caresse la mienne, on se tripote les tétons, on se roule une gamelle. Tout va bien.

 

Elle me prend par la main et m’attire sur le lit. C’est fou, ça, c’est elle qui même la barque ! Elle s’y allonge, les jambes écartées. J’ai compris le signal et la rejoins… entre ses cuisses.

 

Sidonie, pétrifiée, regarde sa mère se faire lécher la moule. Elle recule d’un pas comme si elle allait sortir, mais ne le fait pas.

 

Marie-France l’interpelle.

 

– Ben alors, Sidonie, ne fais pas cette tête-là, t’es une femme maintenant, faut peut-être arrêter de me voir comme la vierge Marie..

– Je, je sais pas… bredouille la fille

– Et puis qu’est-ce que je fais de mal ? Réponds-moi.

– La question n’est pas là…

– Répond moi !

– Rien, mais…

– Est-ce que je n’ai pas été toujours une bonne mère ?

– Si, mais…

– Mais quoi ? Viens donc m’embrasser.

– T’embrasser alors que tu es en train de…

– Parfaitement..

 

Je fais une petite pause pour ajouter mon grain de sel .

 

– Fais ce qu’elle te dit !

 

Sidonie se penche sur le lit et embrasse chastement sa mère sur les joues.

 

– Caresse-moi, Sidonie !

– C’est gênant, non ?

– Mais non !

 

Sidonie se met alors à caresser le doux bras de sa mère.

 

– Les seins, maintenant caresse-moi les seins.

– Non !

– Juste un peu.

 

La main frôle la peau des nichons de sa mère, elle en éprouve la douceur, se fait inexorablement plus insistante, les doigts jouent avec le téton. L’engrenage est lancé. Son regard croise celui de sa mère, Marie-France sourit, Sidonie lui répond, les visages se rapprochent, elles s’embrassent et cette fois le baiser n’a rien de chaste.

 

Les mains de la mère viennent à présent se poser sur les seins de sa fille, qui ne se dérobe pas, et qui se laisse caresser.

 

Sidonie, maintenant en plein trip, revient sur les tétons de Marie-France et cette fois les titille de sa langue.

 

Et soudain, la mère hurle de plaisir, je viens de la faire jouir de ma petite langue agile.

 

Je me redresse et l’embrasse.

 

– On va s’occuper de Sidonie toute les deux, lui indiquais-je ? Sidonie allonge-toi.

– Vous allez faire quoi ?

– Que des bonnes choses.

ClaraV13

Sidonie se couche sur le dos dans la même position que celle qui était celle de sa mère quelques instants plus tôt, je viens entre ses cuisses, tandis que sa mère vient lui lécher les tétons et couvrir son corps de caresses. Elle s’abandonne au plaisir en fermant les yeux.

 

Puis au bout d’un moment je fais signe à Marie-France de permuter. Sidonie a un bref moment d ‘appréhension quand elle réalise qu’elle est en train de se faire faire minette par sa propre mère, mais s’abandonne… jusqu’à la jouissance.

 

Tout le monde s’embrasse en pleine décontraction. Et quand Marie-France se met en levrette, exposant son joli cul à notre vue, puis demande à sa fille de venir lui lécher le trou, celle-ci jetant ses derniers tabous au panier vient lui prodiguer une feuille de rose avec application et délectation.

 

– J’ai un peu honte ! Nous dit Marie-France.

– Ça passera !

– Quand même, tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire, intervient Sidonie. Non seulement j’ai vampirisé ma mère, mais je lui ai léché le trou de balle !

 

Tiens, bizarre, elle ne me parle pas du chien…

 

– Premier point, on ne pouvait pas faire autrement, Deuxième point, tu as fait du mal à qui ?

– Tu m’énerves, tu as toujours réponse à tout.

– C’est quoi vampiriser ? Demande Marie-France.

– Rien, juste une expression comme ça !

– Ah bon ! Je m’habille comment pour y aller ?

– Ton tailleur pantalon vert bouteille, peut-être. ? Propose Sidonie en sortant la chose de l’armoire.

 

Quelle idée de s’attifer de la sorte.!

 

Avec Sidonie, nous sommes allés passer le reste de la journée dans la chambre calfeutrée de cette dernière. Nous repartirons à la nuit tombée.

 

Marie-France se sentait un peu bizarre, se demandant si elle avait rêvé ou pas. Pourtant la présence des débris du vase de Chine montrait que tout cela était bien réel.

 

– J’ai été vache avec cette fille ! Qu’est ce qui m’a pris ! D’autant que ce vase n’est qu’une imitation à quatre sous. Je vais essayer de la récupérer.

 

Elle lui envoya un message.

 

« Parfois la colère nous fait faire des choses regrettables. Je m’en veux de t’avoir traité comme je l’ai fait. Je te demande ton pardon ! ce soir je pars car je ne veux plus vivre ici, je vais visiter une maison, si tu veux me rejoindre, tu seras la bienvenue. »

 

La réponse d’Amina ne tarda pas

 

« J’arrive ! Il faudra que l’on s’explique mais ça ne devrait pas être insurmontable »

 

Marie-France joignit ensuite son mari qui était en déplacement de longue durée quelque part en Allemagne.

 

– Mais ma chérie, fait pour le mieux, si tu penses vraiment que la vie à Castelrouston va devenir invivable pour toi, tu as parfaitement raison de partir ailleurs. Encore une fois fait pour le mieux.

 

En fait il s’en foutait complètement.

 

Marie-France raccrocha en pestant :

 

– Ce connard ne m’a même pas demandé si j’avais des nouvelles de Sidonie.

 

Nous sommes arrivées au Clos pinette après un vol sans encombre sous un ciel clément.

 

J’ai rassuré Thomas et Quentin quant à la réussite du plan, sans leur donner de détails. Je suis un peu fatiguée, eh oui parfois les vampires se fatiguent aussi, et je remets au lendemain l’action psychologique que je dois entreprendre auprès de la mère Lonsec afin qu’elle accepte de vendre sa baraque.

 

Sidonie est toujours un petit peu contrariée, c’est une fille intelligente, elle finira par s’y faire mais elle était loin de s’imaginer sa mère comme elle l’a découvert. Je suppose qu’il faudra du temps ou alors un déclic.

 

Une voiture arrive, je regarde c’est Marie-France, mais elle n’est pas seule, elle s’est faite accompagnée par la bonne.

 

Oh, mais c’est que ça ne va pas du tout ça ! Comme est-ce possible ? J’étais pourtant bien là quand elle l’a renvoyé. Mes pouvoirs de possession auraient-ils des failles ? Je ne vais pas tarder à le savoir.

 

– Sidonie, vous êtes là ! S’étonne Amina.

– Oui, mais faut pas le dire !

– Je suis heureuse de vous voir et de vous trouver en forme.

– Moi aussi, je suis contente de vous revoir, Amina.

 

Elle est donc toute surprise de revoir Sidonie, ce qui veut dire que Marie-France ne lui a rien dit au sujet de notre intrusion de cet après-midi. C’est plutôt bon signe, mais je crains un possible incident, et dès que la cérémonie des présentations terminée, je prends possession de l’esprit d’Amina.

 

– Je croyais que Marie-France t’avais renvoyé ?

– Comment vous savez ça ?

– Je te le dirais plus tard, qu’est-ce qui s’est passé ?

– Elle a pété les plombs sous l’effet de la colère, elle s’en est voulu après, elle m’a rappelé. Elle croit toujours que c’est moi qui ait cassé son vase chinois, mais elle m’a avoué qu’il s’agissait d’une imitation pas chère.

– Tu as prévenu qui que tu venais ici ?

– Personne ?

– Tu n’as pas de famille !

– Si au bled !

– Où ça ?

– Très loin !

 

Pas de danger immédiat, donc ! Mais c’est un électron libre, on ne peut pas la laisser comme ça, il faudra que je lui fasse subir le même traitement que pour Helga et Marie-France. On verra ça cette nuit !

 

– J’ai préparé une chambre pour Madame, mais pour mademoiselle, il ne reste qu’une chambre de bonne ! Nous dit Quentin en désignant Amina.

– Pas grave, mais je n’ai pas apporté d’affaires ! Répond-elle.

– Moi non plus ! Intervient Marie-France, nous sommes partis si précipitamment, mais c’est vrai que j’avais l’esprit ailleurs. Il faudra qu’on fasse un voyage à Castelrouston pour prendre de quoi s’habiller.

 

Non mais c’est pas vrai, elles ne vont pas nous emmerder avec leur problème de fringues, ces deux-là !

 

Un petit peu d’emprise psychologique et j’envoie les deux nanas faire dodo.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 17:22

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 12 – Marie-France et sa bonne

Batgirl

Mercredi 18 mars

 

Clara

 

Il est presque 22 heures quand deux chiroptères se posent sur le jardin devançant la belle résidence des Grandvoisin.

 

Rien n’est ouvert, les deux chauves-souris y vont de leur battement d’ailes sur la porte d’entrée.

 

Amina Diouf, la soubrette, attirée par le bruit, vient ouvrir, constate qu’il n’y a personne, regarde aux alentours, ne comprend pas. Peu importe, les deux chiroptères sont entrés subrepticement. Ils se faufilent jusqu’à la chambre de Sidonie, se détransforment et enfilent à la hâte des robes qu’elles trouvent dans la penderie.

 

Calife le chien de la maison, recule, la queue entre les jambes et s’en va se cacher je ne sais où. Les chiens n’aiment pas les vampires.

 

– Une femme de ménage ? Ce n’était pas prévu ! On gère comment ? M’inquiétais-je.

– On la vampirise ?

– Non, pauvre folle, il ne faut laisser aucune trace, ne rien faire de suspect.

– On fait quoi ?

– Va voir où elles sont ! Cache-toi bien et revient me dire, on avisera ensuite.

 

Sidonie descend, se faufile tout doucement dans l’embrasure de la porte du salon, Amina est seule dans le salon occupée à regarder la télé. Elle monte ensuite dans la chambre conjugale de ses parents. La lumière en est restée allumée. Sa mère est couchée en travers du lit sans être déshabillée, une bouteille de vodka traine au pied du lit. Elle revient me voir.

 

– Catastrophe ! On ne pourra rien faire ce soir ! Me dit-elle.

– Et pourquoi ?

– Ma mère est beurrée comme un petit Lu !

– Elle est quoi ?

– Elle est ivre morte !

– On va attendre qu’elle désaoule !

– Mais la lumière…

– On va calfeutrer cette chambre, on l’attirera ici et voilà…

– Et la femme de chambre ?

– Elle finira bien par sortir, on va attendre.

– Et si elle ne sort pas ?

– On retourne au manoir, on réfléchira à un autre plan qui tiendra compte de la femme de chambre cette fois ci. Et d’abord pourquoi tu ne m’as pas parlé de cette femme de chambre ?

– Mais elle ne reste pas si tard d’habitude, ma mère a dû lui demander de coucher à la maison pour ne pas être seule.

– Ouai, n’empêche que j’ai bien envie de te punir !

– Mais attends, je n’ai rien fait !

– Je m’en fous, ça va me calmer. Je te signale que tu es mon esclave…

– Si tu me punis, ça va faire du bruit.

– Mais non on va sortir dans le jardin derrière, personne ne nous entendra.

 

Un observateur qui serait passé par là aurait pu voir à ce moment deux chiroptères sortir de la maison par la fenêtre et se poser un peu plus loin près des arbres, L’instant d’après les chauves-souris semblaient avoir disparues mais là où elles auraient dû être, deux femmes nues s’embrassaient passionnément.

 

– Tu m’embrasses trop bien, toi ! Mais si tu crois que c’est pour ça que tu vas échapper à ta punition !

– Si ça peut te faire plaisir !

– Bien sûr que ça me fait plaisir !

 

Je commençais par la gifler. Elle ne proteste même pas et ouvre la bouche attendant probablement que je lui crache dedans, ce que je ne fais pas, ce n’est quand même pas elle qui va me dicter ma conduite, non, mais dès fois !

 

Il y a un petit massif d’orties dans un coin de ce jardin qui pourrait être mieux entretenu. Je ramasse deux feuilles de cerisiers pour me protéger les doigts et ramasse quelques pousses urticantes

 

– Eh, mais c’est des orties ! S’écrie Sidonie.

– Bien sûr que ce sont des orties ! Et qui c’est qui va les recevoir sur ses petites fesses ?

– T’es malade !

 

Elle recule, mais se prend les pieds dans une racine et se retrouve le cul par terre… à ma merci.. je m’approche d’elle. Instinctivement elle se protège les seins.

 

– Non !

– Si !

 

Je lui frotte le ventre avec les orties, descend vers la pubis.

Clarav 12

– Non, non, arrête ! Aïe ! Ça pique !

– Ne te gratte pas !

– Pourquoi tu me fais ça ? Salope !

– Pace que je suis méchante !

 

Son pubis la démange, instinctivement elle y porte la main, déprotégeant ainsi sa poitrine.

 

– Je t’ai dit de ne pas te gratter.

 

Les orties balayent ses seins, elle gémit.

 

– Bon, ce sera tout pour aujourd’hui, les picotements vont revenir, surtout ne te gratte pas, essaie de transcender la douleur.

– Tu parles !

– Viens donc m’embrasser !

 

Elle le fait de bonne grâce.

 

– Et si c’était moi qui te punissais ? Me dit-elle le plus sérieusement du monde.

– Faut peut-être pas inverser les rôles, je n’ai pas fait de bêtises, moi !

– Moi non plus !

– Non, mais dis donc, c’est qui la maitresse ? C’est qui l’esclave ?

– La question n’est pas là, on pourrait jouer. Pendant un quart d’heure ce serait moi la maîtresse et toi l’esclave !

– T’es gonflée toi !

– C’était juste une idée !

– Pourquoi pas après tout… Je suis très joueuse.

– Un quart d’heure ?

– D’accord vas-y ! Mais fais gaffe, je me vengerais peut-être après !

– Oh là là, j’ai très peur !

 

Après tout, cela me rappellera des souvenirs, au 19ème siècle et avant, nous jouions avec mes amis vampires à des petits jeux au cours desquels je me faisais dominer, parfois assez durement, mais cela ne me déplaisait guère.

 

– D’abord, je vais te rendre tes gifles et tes crachats ! Me prévient Sidonie.

– Je n’ai pas craché !

– Oui, mais t’aurais bien aimé !

 

C’est de bonne guerre. Elle ne me gifle pas fort, heureusement parce que sinon j’aurais mis fin au jeu, mais je remarque une étrange lueur dans ses yeux, cette fille a assurément des petits côtés sadiques. Bof, j’en ai bien, moi…

 

Elle s’empare ensuite de mes tétons qu’elle me serre et me tortille en arborant un sourire carnassier. Puis, elle vient me les mordiller, elle fait attention à ne pas y aller trop fort, ça me rassure.

 

Elle s’éloigne de quelques pas pour aller couper une petite branche d’un arbuste, qu’elle débarrasse ensuite de ses feuilles. Voilà qui va constituer une petite badine improvisée. Je cambre mes fesses tandis qu’elle me les rougit. Voilà un long moment que je n’avais pas ressenti cette étrange sensation. Au début la douleur domine, puis la température de la peau augmente ce qui permet de sublimer la souffrance, à tel point que je commence à mouiller comme une soupe.

 

Elle finit par arrêter et jeter sa badine. Je ne peux pas voir mon cul, mais il doit être rouge comme une crevette cuite.

 

– Ça t’a plus, on dirait ? Salope ! Me dit-elle en me portant sa main à ma chatte.

– Oui, mais le quart d’heure est terminé. Tu es de nouveau mon esclave ! Dis-le-moi !

– Je suis ton esclave, Clara ! Je t’aurais bien pissé dessus, mais pour toi, ça n’a rien d’une punition.

– Tout à fait, mais tu peux le faire quand même.

 

Je m’allonge dans l’herbe, Sidonie s’accroupit au-dessus de ma bouche et me lâche son jet doré dans le gosier ! C’est délicieux.!

 

– Viens me lécher maintenant ! Lui ordonnais-je.

– On ne peut pas se lécher toutes les deux en même temps ? Suggère-t-elle

 

Bonne idée, léché et être léché, c’est un peu comme si on se léchait soi-même. Je suis restée couchée dans l’herbe, Sidonie vient donc au-dessus de moi.

 

– C’est quand que tu rases tes poils ? Me nargue-t-elle.

– Jamais !

 

Elle m’énerve avec ça !

 

On était tellement excitées toutes les deux que ce soixante-neuf saphique n’a pas duré très longtemps.

 

On a joui, on s’est embrassée, je l’aime bien la petite Sidonie, peut-être même que j’en deviens amoureuse. Ce n’est pas raisonnable !

 

Mais voilà le chien qui déboule, il semble empreint d’une grande confusion et agite sa queue comme un moulinet.

 

Normal d’un côté, le fait que nous soyons des vampires lui est désagréable, mais il reconnait néanmoins l’odeur de Sidonie. Quel dilemme pour ce gros toutou !

 

Il avance, il recule, mais comme ses avancées sont plus importantes que ses reculades, il s’approche indubitablement.

 

Il finit par s’approcher de Sidonie et se laisse caresser. Il a rarement eu l’occasion de la voir nue. Or ici, non seulement elle est nue, mais après nos excentricités, elle dégage une odeur de stupre.

 

Et le voilà qui vient renifler la foufoune de Sidonie.

 

– Mais, Calife, tu vas arrêter, oui ! Proteste-t-elle.

– Laisse toi faire, il ne fait rien de mal !

– Je ne vais pas me laisser lécher par le chien, tout de même !

– Pourquoi pas, c’est amusant !

– T’as qu’à le faire, toi !

 

Je ne vois pas pourquoi je me déroberais, je me mets un peu de mouille sur la main et j’essaie d’attirer le chien. Rien à faire, il a peur de moi !

 

Je ne suis pas le genre à rester sur un échec d’autant que Sidonie m’a quasiment mise au défi. Alors je change de tactique, Je me rapproche de la fille, la serre de près et lui passe mon bras sur l’épaule. Le chien grogne. Par reflexe, Sidonie le rassure.

 

– C’est rien Calife, Clara est ma copine.

 

Le chien a reculé d’un mètre, mais revient tout doucement. De nouveau je tends ma main. Il consent à la renifler et même à la lécher. Je n’ai plus qu’à la rapprocher lentement de ma chatte, et l’instant d’après il me la léchait.

 

– J’ignorais que les vampires étaient zoophiles ! Me dit-elle sur ton péremptoire.

– Les vampires n’ont aucun tabou, ma chère ! Répondis-je sur le même ton.

– T’as fait ça souvent !

– Tu sais, j’ai un grand âge, alors j’en ai fait des choses !

 

Et l’air de rien, le chien décide de changer de chatte, et avant que Sidonie ai pu réagir, sa langue est déjà en action.

 

– Mais ça va pas, non !

– Laisse toi faire, tu n’en mourras pas !

 

Elle a fermé les yeux et s’est laissé lécher. Puis le chien est reparti. Dommage j’aurais bien fait des choses encore plus cochonnes.

 

Jeudi 19 mars

 

A 10 heures du matin, j’entends le bruit de la porte d’entrée, c’est Amina qui sort de la maison des Grandvoisin. Je peux, moi, supporter la lumière solaire jusqu’à un certain point, j’écarte délicatement les double-rideaux afin de m’assurer que la nana ne nous fait pas une fausse sortie. Non, elle sort dans la rue, et monte dans une voiture qui semblait l’attendre. La voie est libre.

 

– Rien de neuf ? Demande le capitaine Blanchard.

– Non, sinon que la patronne picole de plus en plus, et qu’elle ne veut plus sortir de chez elle, dimanche, elle n’a même pas été à la messe.

– Il ne se passera plus rien ici, on perd notre temps. T’allais où, là ?

– Faire, deux ou trois courses.

– Je t’enculerais bien comme l’autre fois !

– Avec plaisir !

– Même tarif ?

– Ben oui, je n’ai pas encore augmenté mes prix.

 

Il se rendirent à la même clairière que la fois précédente. Pourquoi changer ?

 

Cette fois-ci, on est en terrain de connaissance, Amina sait exactement ce que désire le capitaine et après qu’ils se sont déshabillés de conserve, elle lui offre spontanément ses pieds à lécher.

 

– C’est ça que tu veux, hein mon cochon ?

 

Ben oui, c’est son truc à Blanchard, alors comme la fois précédente, il prend le pied droit dans sa main, le couvre de baisers, puis lèche le dessus avant de jeter son dévolu sur les orteils et tout spécialement le gros qu’il se met à sucer comme un gros bonbon.

 

Evidemment tout cela fait bander notre gendarme qui après avoir échangé le pied droit contre le pied gauche demande à la jolie blackette de se mettre en levrette, ce qu’elle fait bien volontiers en dodelinant du croupion.

 

– A quel cul ! Mais quel cul ! S’enthousiasme le représentant de la loi.

– Faut t’en remettre, mon grand !

 

Il ne peut s’empêcher d’aller lécher tout ça, puis ne pouvant plus se contenir, il s’encapote prestement et encule la soubrette à la hussarde en poussant de « hi » et des « han ».

 

Ça ne dure pas bien longtemps, l’excitation retenue ne demandant qu’à se libérer.

 

Il jouit en hurlant, décule en soufflant.

 

– Ça fait du bien ! Commente-t-il bêtement.

 

Puis il offre ses lèvres à Amina, car Blanchard est un grand romantique, ensuite il se rhabille.

 

– Tu ne t’essuies pas le kiki ? Lui demande la fille.

– Ah, si bien sûr, je perds un peu la tête.

 

Amina lui aurait bien proposé de faire oralement ce petit nettoyage, mais elle ne le connait pas assez pour faire ça.

 

Il fait un ciel tout bleu ce matin, impossible d’envoyer Sidonie en reconnaissance, j’y vais moi-même, et trouve sa mère dans le salon occupée à regarder un magazine. Je remonte, le plan peut fonctionner.

– On y va ! Dis-je à Sidonie à toi de jouer.

– Pourvu que ça marche !

– Allez grouille !

 

Je peux comprendre que ce n’est pas évident pour Sidonie, mais bon, quand faut y aller, faut y aller. Elle respire un bon coup puis…

 

– Maman je suis là ! Viens vite !

 

C’est qu’elle n’en croit pas ses oreilles, la mama ! Mais c’est pratiquement sans réfléchir qu’elle monte les escaliers et entre dans la chambre de sa fille.

 

– Sidonie ! Tu es vivante !

– Ben oui tu vois.

 

Je décide de mettre immédiatement un terme aux grandes effusions et saute au cou de la dame laquelle après avoir gigoté et hurlé quelques secondes tombe raide dans les pommes.

 

– Bon tu fais comme je t’ai appris, il y en a bien pour 20 minutes, pendant ce temps-là je vais surveiller voir si la boniche ne revient pas trop vite, si c’est le cas, j’improviserais. Oh ! Pourquoi tu chiales ?

– Tu te rends compte que je suis en train de vampiriser ma mère.

– Tu t’en remettras !

 

Vingt minutes pour transformer la dame en pré-vampire, une heure de récupération et après il faut qu’on se tape la discut. Sans la femme de chambre c’était un jeu d’enfant

 

Au bout de 20 minutes, la mama était au point, sans que nous ayons été dérangé. Ouf.

 

Je calfeutre la chambre de la mère, puis avec Sidonie, on l’y emmène et on la couche. Je descends ensuite dans le salon, j’avise un super vase de Chine, un truc qui doit avoir de la valeur, je le culbute et hop, en morceaux le vase chinois. Pourquoi ce geste ? Patience !

 

A 11 heures j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, c’est Amina, c’est un peu trop tôt, j’aurais préféré qu’elle ne revienne qu’un quart d’heure plus tard.. Mais ça reste gérable.

 

Amina cherche sa patronne, elle remarque dans le salon, le vase brisée.

 

– Qu’est-ce qu’elle a encore fait comme connerie ? Elle n’est pas déjà bourrée dès le matin ?

 

Elle va voir dans sa chambre, s’aperçoit qu’elle ronfle et redescend sans se poser de questions.

 

A 11 h 20 Marie France se réveille, on est près d’elle.

 

– Sidonie ! Mais explique-moi…

 

Bon, ben les explications, ce sera plus tard, je prends possession de son esprit, et de cette façon l’emprise sera permanente même à distance. Je lui explique ce qu’elle doit faire dans l’immédiat.

 

– La salope, elle va voir ! Déclare-t-elle en se levant de son lit.

 

La suite, on n’a pas vu mais on a entendu.

 

– Amina !

– Ah madame, j’étais inquiète !

– C’est quoi ça ! Hurle Marie-France en désignant les débris du vase.

– Ben justement je voulais vous en parler…

– Me parler de quoi ! Vous savez combien ça coûte ?

 

« Oh là là, si elle me vouvoie, ça va aller mal ! »

 

– Ça peut peut-être se recoller !

– Vous ne l’auriez pas fait tomber, je n’aurais pas eu besoin de la faire recoller…

– Mais Madame ,je n’y suis pour rien !

– Et vous mentez en plus ! Quel culot ! Vous êtes renvoyée, et vous allez quitter cette maison immédiatement, je vais vous donner vos indemnités de licenciement et ce que je vous dois pour ce mois. Et ne vous plaignez, pas je pourrais vous révoquer pour faute grave sans vous donner un rond.

– Mais Madame…

 

Marie-France ouvre son coffre et en sort quelques billets qu’elle compte, puis elle griffonne un reçu qu’elle demande à Amina de signer et dater.

 

– Ne vous plaignez pas, j’ai arrondi ! Mais disparaissez, je ne veux plus entendre parler de vous.

– Et si je ne signe pas ?

– Vous n’aurez pas un rond.

– Vous pourrez me faire un certificat ?

– Je vous l’enverrais par la poste, donnez-moi votre adresse.

– Je vous donne aussi mon numéro de téléphone si Madame revenait sur sa décision.

 

Et un quart d’heure plus tard Amina quittait les lieux. Elle téléphona à Blanchard pour lui annoncer ce qui venait de se passer, ça n’eut pas l’air de l’intéresser outre mesure.

 

– On se reverra plus, alors ? Dit-il simplement.

– Ben non, c’est la vie !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 17:16

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 11 – Les émois d’Helga

soubrette stamp

Quentin s’approche d’Helga et lui pelote les nichons par-dessus son chemisier

 

– Pas devant tout le monde, espèce de cochon. Rouspète la soubrette.

– Arrête de faire ta jeune fille, personne ne va te faire de mal.

– Mais qu’est qui te prends, Quentin ?

– Ben quoi, t’as jamais partouzé ?

– Non, monsieur, je n’ai jamais partouzé.

– Eh bien, il n’est jamais trop tard… Commence par nous montrer tes gros nénés.

– Je ne suis pas une catin.

 

Qu’est-ce qu’elle a contre les catins, d’abord ?

 

– Tu ne serais pas mignonne on te demanderait pas ça !

– Je ne suis pas mignonne. Je suis trop grosse.

– Moi, je vous trouve charmante ! Intervient Thomas.

Vous dites ça pour me faire plaisir ! Vous voyez bien que j’ai des rondeurs !

– Mais ces rondeurs vous vont très bien, et d’ailleurs vous me faites bander !

 

Et tout en tenant ce propos élégants, l’homme sort son sexe déjà presque raide.

 

– Vous voyez, je en mentais pas !

– Voulez-vous me ranger ça, espèce de pervers !

– Bon, si ça ne vous intéresse pas, je remballe. Mais c’est dommage.

 

Cette réaction inattendue déstabilise quelque peu Helga qui se dit qu’après tout cet homme a du tact.

 

– Je vois que vous êtes un gentleman ! C’est rare ! Dit-elle.

– Gentlemen, mais coquin !

– Ça j’avais compris !

– Bon on fait quoi, Helga ? S’impatiente Quentin

– J’en sais rien, je suis tout excitée quand même, qu’est-ce que ces gens vont penser de moi ?

– Si tu te sauves ils vont penser que tu es pudibonde

– Et si je reste ?

– Ce sera mieux.

– Bon, je veux bien vous montrer mes seins, mais personne ne touche.

ClaraV 11

On acquiesce, ça ne coute rien ! Elle retire son chemisier, la voilà en soutien-gorge, encore une invention moderne, au 19ème siècle on portait des corsets. Elle l’enlève en rougissant, dévoilant une grosse poitrine qui tombe très légèrement.

 

J’ai une envie folle d’aller caresser ces deux globes laiteux aux larges aréoles et aux tétons érigés par l’excitation, mais je ne suis pas folle, toutes les femmes ne sont pas sensibles aux charmes des personnes de leur sexe, certaines font même de rejets quasi viscéral. Donc, « wait and see » comme on dit de l’autre côté de la Manche. Les vampires ne sont pas pressés, n’ont-ils pas l’éternité devant eux ?

 

Quentin lui demande d’achever son déshabillage, mais Helga temporise, alors il se met à lui caresser les seins, d’abord de façon délicate avec les paumes de sa main, puis les approchant des tétons, il les serre et les pince, faisant se pâmer d’aise la soubrette blonde.

 

Se sentant encouragé, ses lèvres remplacent les doigts et il se met à téter ces jolis fruits. Et cette fois quand il lui demande d’enlever le bas, elle s’exécute, révélant une chatte non rasée dont la vue accroit mon excitation.

 

Quentin lui demande discrètement quelque chose que je ne n’entends pas, mais l’instant d’après, Helga est à genoux, regardant bizarrement autour d’elle avec comme une impression de se jeter à l’eau.

 

Quentin a sorti sa queue bandée et Helga l’embouche et commence à sucer. Thomas s’approche du couple et sort de nouveau sa bite qui se retrouve à quelques centimètres de celle du régisseur.

 

Ça chuchote de nouveau, les mains d’Helga s’emparent de ce nouveau chibre offert, puis sa bouche va de l’une à l’autre et de l’autre à l’une.

 

Je ne tiens plus en place, enlève mes vêtements et m’approche à mon tour, je me mets à genoux à côté d’Helga et nous voici toutes les deux en train de sucer.

 

Il manque Sidonie, elle s’est déshabillée elle aussi mais ne sait trop comment intégrer notre étrange quartet, alors elle se paluche en attendant.

 

Un moment Helga se relève, c’est peut-être le moment de tenter quelque chose. Je me relève à mon tour. Mon visage est à quelques centimètres de celui de la soubrette.

 

– On s’embrasse ? Lui proposais-je.

 

Je ne lui ai pas trop laissé le temps de réfléchir, nos museaux se collent l’un contre l’autre. Je fais exprès de ne pas faire durer, je me recule avec un grand sourire.

 

– Un baiser au goût de bite, c’est délicieux, non ?

– Oui, mais tu sais : je ne suis pas gouine ! Tient-t-elle à me faire savoir.

– Ça tombe bien, moi non plus ! Rétorquais-je en lui caressant le sein.

– Un peu quand même, non ?

– Non, disons que j’aime bien varier les plaisirs. Touche mes seins.

 

Elle le fait sans doute davantage pour ne pas passer pour une cruche que par appétence mais l’important c’est qu’elle le fasse.

 

– C’est doux ! Dit-elle, histoire de dire quelque chose.

– Bien sûr que c’est doux.

– Embrasse-les !

 

Elle n’hésite pas, mais c’est juste un baiser du bord des lèvres qu’elle ne prolonge pas.

 

– Tu me fais faire de ces choses !

– Embrasse-les mieux ! Sers-toi de ta langue.

 

Elle se lance et cette fois elle prend son temps. Je jette un coup d’œil à côté, Sidonie est entrée dans la danse, suçant la bite de Quentin de conserve avec Thomas.

 

Helga est surprise de voir le régisseur se faire prodiguer cette double turlutte bisexuelle.

 

– Ton copain est pédé ?

– Juste un peu !

– Et Quentin aussi ? Il m’avait caché ça !

– Quelle importance !

– Ça fait drôle quand même !

– Viens t’assoir sur le fauteuil, on sera mieux !

– Tu vas me faire quoi ?

– Je vais te lécher la chatte !

– Oh là là !

– Tu veux bien ?

– Je ne sais plus trop où j’en suis !

– Ça va te revenir, viens !

 

Ça y est, elle sur le fauteuil, les cuisses écartées, j’approche mon visage. Sa chatte fleure bon, un mélange de liqueur intime et de quelques gouttes d’urine. Autant dire que je me régale. Je m’attendais à une logue minette, mais déjà sa respiration devient haletante, j’ai l’impression qu’elle est prête à partir au quart de tour. Ma langue trouve son clito. Elle était prête à exploser, elle explose.

 

Je me précipite vers ses lèvres (celles d’en haut, cette fois !) Elle ne refuse pas mon baiser, elle est toute chamboulée mais contente.

 

A côté, Quentin à éjaculé dans la bouche de Sidonie, elle ne cherche plus de partenaire et va se tripoter toute seule dans un fauteuil. Je fais signe à Thomas qu’il peut venir m’enculer, ce qu’il accepte de faire, le contraire eut été étonnant.

 

Voilà, voilà ! Rien de tel qu’une bonne partie de sexe pour créer des liens.

 

François René

 

A 18 heures, trois chiroptères volent au-dessus de la rue Philibert Gamotte, près des Buttes Chaumont. Au 24 ils repèrent une fenêtre ouverte d’où pend une écharpe jaune. Ils entrent et se détransforment.

 

– Vous êtes ponctuels. Ça va, Cynthia tu t’habitues ?

– Wha, c’est génial ! J’ai appris à mordre, c’était géant.

– T’as mordu quelqu’un ?

– Ben oui, les vampires, ça boit du sang, c’est la loi de la jungle, l’immortalité ça a un prix, mais le type n’a pas souffert… Je ne suis pas une méchante !

– Euh, ça va peut-être trop loin ! Se désole Aurélien.

– L’immortalité ça a une contrepartie, cher monsieur. Mais cela dit il convient de raisonner autrement : Quand les vampires historiques sévissaient, vous vous rendez bien compte que même en étant un groupe restreint, on va dire une dizaine, d’individus, et qu’ils se mettent à mordre une personne par jour, ça nous fait 4 000 victimes par ans. Ça ne s’est jamais passé comme ça, si cela avait été le cas aucun vampire n’aurait survécu, ils auraient été décimés par l’armée, la maréchaussée et la population. Il y a donc une autre solution pour nous nourrir sans faire trop de vagues. Je ne la connais pas mais vous allez nous aider à la trouver. Vous voyez nous ne sommes pas des monstres.

 

François-René n’avait pas trouvé tout cela tout seul, mais avait bénéficié de quelques bons souvenir de lecture de Bertrand.

 

– Bon admettons, mais vous voulez qu’on vous aide de quelle façon ?

– Bertrand va vous donner le titre de trois bouquins, il sont peut-être sur Internet, on va regarder, sinon, je vous demanderais de nous les acheter et on les bouquinera ensemble.

 

Ils ne trouvèrent rien sur Internet mais l’un des bouquins était disponible à la FNAC.

 

– J’irais le chercher demain ! Proposa Aurélien.

– Tu m’achèteras les journaux en même temps.

 

Lundi 16 mars

 

L’inspecteur Chevrolet n’a aucune piste, il vient d’apprendre la découverte de deux nouvelles victimes boulevard Saint-Germain, juste au-dessus du café où devait se tenir la réunion privative gothique, ainsi que de trois autres dans deux appartements différents du boulevard de la Madeleine. Toujours les mêmes empreintes sauf pour le dernier meurtre où les enquêteurs relèvent une empreinte féminine inconnue da service de police.

 

« C’est pas vrai, voilà qu’ils recrutent ! »

 

Sur place le mode opératoire est toujours le même, les écrans de télésurveillance ne détectent rien, la police suppose donc que les vampires sont entrés et sortis par les fenêtres sauf dans le cas du boulevard Saint-Germain où ils sont sortis à pied. De fort méchante humeur, Chevrolet réunit ses collaborateurs.

 

– Avant de me faire virer on va essayer un truc, nos deux suspects n’ont pas cherché des adresses de librairies ésotériques pour rien. Ils cherchent quelque chose. Donc je veux une surveillance constante de toutes, je dis bien toutes les librairies ésotériques de Paris, vous me surveillerez aussi les rayons ésotériques des grands magasins et de la FNAC s’ils existent.

 

Evidemment le fin limier en planque à la FNAC n’avait aucun moyen de faire le rapprochement entre Aurélien et les personnes recherchées.

 

Clara

 

Bon j’ai deux problèmes sur les bras, le premier c’est d’assurer la pérennité de notre refuge, le second c’est d’accroitre notre communauté, Helga ne pouvant à elle seule assurer la totalité de nos besoins en sang sur le moyen terme.

 

J’en parlais avec Sidonie et Thomas qui séchaient encore davantage que moi sur la question.

 

Grace à ce qu’ils appellent la télévision, nous avions des nouvelles des gens qui nous recherchaient. Plusieurs éléments se dégageaient : D’abord il semblait que toutes les polices du royaume se mobilisaient pour nous rechercher, de notre côté, nous étions tranquilles, mais il fallait rester prudent et vigilent. Pour ce qui concerne François René c’était plus compliqué, Déjà il semblait que cet abruti ai ressuscité…

 

Cela paraissait impossible, pourtant ses méfaits étaient signalés un peu partout et maintenant à Paris.

 

J’ai cru d’abord à une usurpation d’identité mais ce n’était pas ça, Sidonie m’a expliqué ce qu’étaient les « empreintes digitales ».

 

– Il sont deux ! François René s’est dégoté un complice…

 

Seul un autre vampire ou un sorcier peut ressusciter un vampire. S’il s’agissait d’un vampire j’aurais dû sentir sa présence, ce qui n’était pas le cas, donc un sorcier, un grand sorcier très puissant ! Ça devenait compliqué !.

 

– J’ai envie de faire un truc ! Me dit Sidonie.

 

Je m’attends au pire !

 

– Je voudrais aller voir, ma mère, à tous les coups, elle doit me croire morte, je voudrais juste la rassurer.

– N’importe quoi !

– J’y vais en chauve-souris, je la rassure et je reviens, personne ne me verra.

– Je ne dis pas non, laisse-moi réfléchir ! Temporisais-je.

 

Et soudain le déclic :

 

– Elle est riche ta mère ?

– Aux as !

– Parfait, il faut que tu m’expliques comment se passe les transferts de propriétés aujourd’hui. Ce sont toujours les notaires qui s’occupent de ça ?

– Oui !

– Explique moi en détail !

– Attends, c’est quoi l’idée ?

 

Je lui expliquais.

 

– Il ne faut pas commettre d’impair, on va attendre une journée, bien préparer le coup et demain à la tombée de la nuit je t’accompagne chez ta mère, en moins de deux heures on sera sur place.

 

François-René

 

A midi Aurélien revint chez lui, Na Ying avait pris soin de calfeutrer l’appartement.

 

– Voilà, j’ai trouvé !

 

François-René commença par prendre connaissance de la presse. Le Parisien titrait sur cinq colonne à la une. « Le vampire défie la police, encore de nouvelles victimes » et sa photo s’étalait en gros plan.

 

« Ça va j’ai l’habitude, mais on sera plus malin qu’eux ! »

 

– Mais c’est vous, tous ces crimes ? Balbutia Aurélien, peu rassuré.

– Bien sûr que non ! Improvisa François-René, on a fait quelque bêtises, il a bien fallu qu’on se nourrisse, mais on ne fait pas de massacre, ce n’est pas notre genre.

– Mais c’est qui, alors ?

– J’ai fait une connerie au début, je n’ai pas mordu correctement un type, du coup il est devenu vampire, ça ne peut être que lui.

– Mais la police dit que c’est la même personne…

– Ce n’est pas la police, c’est la presse, et la presse dit n’importe quoi, comme d’habitude.

 

Pendant ce temps Bertrand feuilletait avec passion le « Précis de Vampirologie » du professeur Fritz Schwanzstuck de l’université de Leipzig.

 

– Eureka ! Cria-t-il en imitant le cri d’Archimède retrouvant sa savonnette.

– T’as trouvé quoi !

– Ecoutez ça : les vampires ont la possibilité de réduire en esclavage des humains en en faisant des semi-vampires, ces derniers soumis aux volontés de leur maîtres, n’ont pas de réactions allergiques aux rayons du soleil et peuvent se nourrir normalement, en revanche ils constituent une réserve de sang renouvelable jusqu’à un certain point. Quand le sujet est épuisé, il peut être transformé en véritable vampire, mais dans la plupart des cas, le vampire s’en débarrasse sans scrupule.

– Super ! Mais on fait comment.?

– Je cherche, je cherche, pourvu que ce soit indiqué. Voyons voir, c’est marrant, il dit que les vampires ont peur des chats, moi je n’ai pas peur des chats…

– On s’en fout !

– Ah ! Les différentes sortes de morsure… Oh là là, il y en a des trucs, voyons, la morsure lente, c’est quoi ça ? Permet de réduire un individu en esclavage afin de s’assurer une réserve de sang. Le vampire après avoir mordu sa victime et blablaba… tout est expliqué !

– O.K. il y a un volontaire ?

– Je veux bien devenir vampire, mais pas esclave ! Intervient Na Ying.

-Tu ne sera pas esclave, juste une donneuse de sang !

– Quel intérêt, alors, on n’a qu’à prendre des gens de l’extérieur…

– Ce n’est pas si simple, on va mordre des gens, les faire disparaître de chez eux, en faisant cela on multiplie les chances de la police de remonter jusqu’à nous. Et puis, je ne sais pas si la soumission de l’individu est vraiment complète, on ne peut pas être toujours derrière lui non plus. De plus il va falloir loger et nourrir tout ce petit monde, que de complications ! Alors que vous vous êtes motivés, vous croyez aux vampires.

– Et si on ne fait rien ? Demande Aurélien.

– Alors, il faudra que je continue à mordre et à tuer. C’est vraiment ça que vous voulez ?

– Faut qu’on réfléchisse ! Reprend l’homme.

– C’est quoi les risques ? Demande Na Ying

– Je n’en vois pas ! On va lire le bouquin entier pour voir s’il n’y pas des effets secondaires.

– D’accord lis le bouquin, et on fait comme ça, mais c’est donc une situation provisoire après je serais une vraie vampire ?

– Oui !

– Et à moyen terme ? Intervient Aurélien une fois de plus.

– Il nous faut une ou deux semaines pour qu’on prenne bien nos marques, ensuite on passera à l’étape suivante. Je serais le prince des vampires et vous vous serez mes proches… mais il faut que je réfléchisse pour voir comment on peut concrétiser tout ça.

 

Trois heures plus tard, François-René avait assimilé le bouquin et appris un tas de choses. Alors Na Ying se laissa mordre, une morsure si lente et si sensuelle qu’elle en mouilla sa culotte..

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 17:04

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 10 – La punition de Na Ying

Batgirll

Mais le bruit de son orgasme a attiré ses amis, trois types, et une nana, plus ou moins enveloppés dans des capes noires et tenant à la main des torches électriques se radinent. L’un des types tient un gros chien noir en laisse.

 

– Cynthia, mais qu’est-ce qui se passe ? Qui sont ces messieurs ? Et t’as vu ta tronche ?

– Ben, c’était le gage, non ?

– Mais, non ce n’était pas le gage ! Mais vous êtes qui, messieurs ?

– François-René, vampire, décline-t-il de façon théâtrale, et voici Bertrand, vampire également !

– Non, mais sérieusement !

– Je suis sérieux, et d’ailleurs pour vous le prouver je vais me transformer en chauve-souris.

– Faut arrêter de fumer la moquette… Oh, mais ce n’est pas possible !

 

Les importuns regardent incrédules le chiroptère tournoyer au-dessus de leurs têtes avant de se poser et se détransformer.

 

– C’est quoi ce prodige ?

– Puisqu’on vous dit qu’on est des vampires !

– Tu te rends compte, Aurélien, je me suis fait baiser par des vampires ! C’est géant non ? Intervient Cynthia.

– Ça existe en vrai alors, les vampires ? Ce que vous avez fait ce n’est pas de la prestidigitation ?

– Je peux aussi vous vampiriser, vous verrez si c’est de la prestidigitation ?

– Et si vous me vampirisez, je pourrais aussi me transformer en chauve-souris ? Demande Cynthia.

– Mais absolument.

– Oh là là, ça doit être formidable, Vampirisez-moi, bel inconnu !

– Tu es folle, Cynthia, ça peut être dangereux !

– Mais non ces messieurs auraient voulu me faire du mal , ce seraient déjà fait !

 

François-René jubilait, lui qui voulait recruter des adeptes, il avait déjà une volontaire, et il était probable que les autres lui emboiterait le pas.

 

– Je ne veux pas te prendre en traitre, tu vas rester inconsciente pendant une heure, ensuite tu auras soif, mais il faudra peut-être attendre avant de te rassasier. Mais être vampire c’est être immortel.

– Vrai ? Jure !

– Puisque je te le dis !

– Mord-moi !

– Ne soyez pas inquiet, il y a deux façons de mordre, on peut mordre pour apaiser notre soif de sang et dans ce cas la victime meurt si elle n’est pas secourue rapidement, ou alors on mord pour créer un vampire, c’est donc ce que je vais faire.

– Mords-moi !

 

Cynthia offrit son cou à la morsure du vampire et tomba dans l’inconscience.

 

– Vous êtes sûr que ça va bien se passer ! Redemanda le type qui semblait le leader du groupe.

– Mais bien sûr, on va attendre ensemble, répondit François-René, mais vous qui êtes- vous.

– Je suis Aurélien, voici Maxence et Gino, cette jeune fille se nomme Sylvana, il manque Na-Ying, mais elle ne doit pas être loin, elle va arriver.

– Oui, mais vous faites quoi ici ?

– Nous sommes un petit groupe d’étudiants, nous sommes tous passionnés d’ésotérisme, les vampires, les loups garous, tout ça…

– Mais c’est très bien, ça, nous sommes faits pour nous rencontrer, mais vous n’avez pas répondu à la question.!

– C’est un jeu de piste, on distribue un petit papier à chaque participant avec une énigme, avec ça ils doivent trouver un autre indice qui les conduisent à un autre indice et ainsi de suite, celui qui trouve a droit à une récompense, mais attention il y a des fausses pistes, des surprises, et dans ce cas, celui qui tombe dans le piège est puni.

– Et les punitions…

– Des petits jeux sexuels, sur les tombes, bien entendu. Ah, voici Na Ying.

– J’ai merdé, j’ai rien trouvé ! Annonce cette dernière passablement essoufflée.

– Tu vas être punie !

– Je sais, mais qui sont ces messieurs et qu’est-ce qu’elle nous fait Cynthia ?

 

Aurélien lui explique en deux mots, elle a un peu de mal à avaler tout ça, mais ces gens-là ne sont pas du tout rationalistes, alors ça passe.

 

– Voulez-vous assistez à la punition de Na Ying?

– Ma foi, pourquoi pas, cela nous passera le temps ! Qu’allez-vous lui faire à cette jeune fille.

– Oh, rien de bien méchant, on s’en voudrait d’abimer une aussi jolie personne.

 

– On va faire ça sur cette tombe ! Décrète Aurélien en désignant la pierre tombale où les deux vampires ont doublement pénétré Cynthia.

 

Il déchiffre à son tour le nom de « l’occupant » puis se met à déclamer : « ! Emile nous allons punir Na Ying sur ta tombe, ce n’est pas pour la profaner, mais pour t’offrir un spectacle qui je l’espère te plaira. Amen. »

 

« Si l’Emile en question nous voit quelque part il va être gâté ! » Se dit Bertrand.

 

Na Ying est invitée à se positionner en levrette sur la tombe du macchabé, et parait toute contente d’exhiber ainsi son joli petit cul d’eurasienne.

 

Aurélien s’empare d’un bouquet de fleurs séchées et commence à fouetter le derrière de la fille.

 

– Tiens, salope !

– Aïe !

– Dis le que tu es une salope !

– Je suis une salope !

– Plus fort !

– Je suis une grosse salope !

– Qui veut enculer cette chienne ? Questionne Aurélien. Messieurs ça vous tente ? Demande-t-il aux vampires.

 

Mais nos deux vampires sont un peu fatigués de la queue après leur petit trio avec Cynthia.

 

C’est donc Gino qui s’y colle et qui l’encule sans ménagement tandis que Sylvana vient devant elle, lui fait se redresser la tête en la tirant par les cheveux et lui crache plusieurs fois au visage.

 

Quand Gino se retire après avoir craché son foutre, il vient présenter sa bite gluante et merdeuse aux lèvres de Na Ying qui nettoie tout ça sans rechigner.

 

C’est ensuite au tour de Maxence de sodomiser la belle, puis Aurélien assurera le final. A chaque fois la jeune fille nettoyait les bites qui ressortaient de plus en plus sales.

 

– Et maintenant le chien ! Décide Aurélien

– Attend je finis de le préparer ! Indique Sylvana qui après avoir branlé la bite du chien se mit à lui sucer dès qu’elle sortit de son fourreau. Humm, c’est bon !

– Bon, ça y est ? s’impatiente Aurélien.

– Je le suce encore un petit peu et c’est bon.

 

Sylvana se releva et alla déposer un peu de sa mouille entre les fesses de Na Ying, puis elle fit venir le chien qui attiré par l’odeur couvrit immédiatement l’eurasienne.

 

– Oh, c’est géant, je me fais baiser par un chien ! C’est trop bon !

 

Et pendant ce temps-là, Aurélien offrit sa bite bandée et son trou du cul à ses deux assesseurs, Gino vint lui lécher la rondelle et lui introduit un doigt tandis que Maxence engloutissait son phallus.

ClaraV 10

 

Le chien lima l’eurasienne pendant une bonne dizaine de minutes avant de se retirer, tandis qu’Aurélien lâchait son foutre dans la bouche de son camarade.

 

– J’aurais bien voulu être à sa place ! Commenta Sylvana.

– Ta gueule, sale vicieuse ! Lui répondit Aurélien en la giflant.

– Bouh ! Méchant !

 

La petite eurasienne en a terminée avec sa punition, elle est dans un drôle d’état, derrière son anus qui vient d’être sollicité quatre fois de suite semble ne plus vouloir se refermer, quant à son visage, son maquillage gothique a disparu, les larmes de douleur ont fait couler le rimmel, et les passages en bouche des bites ont destroyé le rouge à lèvres noir.

 

Mais la demoiselle à l’air ravie.

 

– C’était vraiment ma fête, vous avez assumé les mecs, mais j’ai le cul en chou-fleur.

– T’as vu ta tronche ! Lui dit Aurélien, tu ne vas pas rester comme ça ! On va te laver le visage, allez, en position pour la douche !

– Ah, non vous exagérez ! Fait mine de protester la fille tout en s’accroupissant.

 

Alors les trois gothiques se mettent à lui pisser dessus en prenant soin de bien lui viser le visage. Elle en avale un peu au passage, il n’y a pas de raison… Et quand elle se redressa, Sylvana vint lui rouler un patin.

 

Quand Cynthia se réveilla, François-René, lui apprit à se transformer en chiroptère. La leçon fut assez vite apprise et Cynthia put s’amuser à faire la zouave au-dessus des têtes de ses petits camarades.

 

– Moi aussi je veux devenir vampire ! Dit alors Na Ying.

– C’est pas dangereux au moins ? S’inquiéta Sylvana.

– Au contraire ! Les vampires sont immortels. Ecoutez-moi, je vampiriserai tout ceux qui le souhaitent, mais pas tout de suite, vous avez besoin de moi pour ça, et moi j’ai besoin de vous pour autre chose, donc à partir de maintenant on est allié et solidaire, on est bien d’accord.

– Bien sûr qu’on est d’accord, c’est une chance inouï de vous avoir rencontré.

– Alors il faut que je vous dise, je suis un jeune vampire, je manque un peu d’expérience et pour l’instant moi et mon compagnon, on ne supporte pas la lumière du soleil. Donc je vais avoir besoin de vous. Est-ce que l’un d’entre vous vis seul. Je veux dire autre part que chez ses parents ?

– J’ai un studio que je partage avec Na Ying ! Explique Aurélien.

– Parfait t’as un ordinateur ?

– Oui.

– O.K, alors on file chez toi !

– Attendez, on ne peut pas sortir d’ici avant la réouverture du cimetière.

– A quelle heure ?

– 8 heures.

– O.K, alors on va faire autrement, on se retrouvera demain à la tombée de la nuit, disons 18 heures. Ton appartement est accessible par la rue ?

– Oui !

– Alors tu laisseras la fenêtre ouverte, tu mettras un chiffon rouge pour qu’on ne se trompe pas d’appart, donne-nous l’adresse.

– Une écharpe jaune, ça peut le faire ?

– O.K. on garde Cynthia avec nous, faut bien qu’on lui fasse son apprentissage.

 

Et n’ayant plus rien à faire dans ce cimetière, trois chauves-souris gagnèrent la rue de Rivoli. Ces gens-là ont beau être vampires, ils tiennent à leur petit confort !

 

Clara

 

Un peu avant 6 heures du matin, j’ai réveillé Quentin, lui ai fait répéter son rôle et je suis montée avec lui dans la chambre de bonne dans laquelle Helga roupillait encore.

 

– Helga ! On se réveille ! Lui dit-il.

– Qu’est-ce que tu fous dans ma chambre, laisse-moi dormir… Qui c’est cette personne ?

– C’est Clara ! Il faut qu’on t’explique un truc, tu as eu une crise cette nuit, on t’as soigné…

– Une crise ? Quelle crise ? Je n’ai pas eu de crise.

– Parce que tu ne t’en rappelles plus.

– Mais c’est quoi cette histoire ?

– Pour faire simple, Des militaires se sont livrés à des expériences biochimiques dangereuses au camp de la Braconne. Ils travaillaient sur des cobayes qu’on a embobinés. Cette nuit il y a eu une évasion.

– Mais c’est quoi cette salade ?

– Attends, quatre personnes sont arrivées ici pour se réfugier, dont Clara. Le problème c’est que l’une de ces personnes a pété les plombs, Le gars m’a d’abord mordu profondément, puis il est monté dans ta chambre et t’as mordu, mais il n’a pas pu le faire à fond…

– Il m’a mordu ?

– Oui, touche ton cou !

– Putain c’est vrai !

. Tu aurais pu y rester, mais Clara et ses amis t’ont soigné, Il va y avoir des petits effets secondaires, mais rien de catastrophique.

– Ben ça alors, ? Et toi…

– Pour moi les effets secondaires sont plus contraignants, je ne peux plus supporter la lumière du soleil, et il me faut du sang pour me nourrir.

– Ben, v’là autre chose ! Et le sang tu vas le trouver où ?

– Ce sera toi la donneuse, ne t’inquiètes pas, ça se passera bien, et puis on va être obligé de t’en retirer, tu vas fabriquer trop de sang

– Faut peut-être qu’on appelle un toubib !

– Surement pas, cet affaire est un secret d’état, si ça s’ébruitait on serait mal.

– Les toubibs sont tenus au secret médical !

– Ce n’est pas si simple, le toubib ne va rien comprendre et il va forcément se renseigner auprès de ses collègues, Comment veut-tu que l’affaire ne s’ébruite pas ?

– Evidemment vu comme ça ! Et la patronne ?

– Elle va bien !

– Bon vous pouvez me laisser cinq minutes, j’ai envie de pisser, et après faut que je descende préparer le petit dej’ de la vieille

– En bas, laisse les rideaux et les volets fermés à cause du soleil…

 

On l’a laissé vaquer à ses occupations, on lui a présenté Sidonie et Thomas.

 

Ça n’a pas l’air de la traumatiser plus que ça… mais j’ai l’impression qu’elle ne réalise pas complètement.

 

Pour l’instant on squatte dans le salon, je ne sais pas encore comment nous allons nous organiser.

 

Helga s’approche de Quentin.

 

– Viens dans la cuisine, je vais te montrer quelque chose.

– Pas possible à cause de la lumière

– Ben dans ta chambre ou dans la mienne.

 

Elle a beau avoir chuchoté, j’ai compris, l’excitation sexuelle est un des effets secondaire de l’état vampirique

 

– Faites donc ça ici ! Ça ne nous dérangera pas, bien au contraire ! Déclarais-je.

– Faire quoi ? Se défend-elle.

– T’es excité, c’est normal c’est un des petites effet secondaires…

– Non, mais ça va pas, je ne suis pas celle que vous croyez.

– On ne croit rien du tout, on est tous excités, n’est-ce pas Quentin ?

– Ça c’est vrai, je bande comme un taureau.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 11 septembre 2021 6 11 /09 /Sep /2021 16:59

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 9 – La nuit, au Père Lachaise

Batgirl

A Poignet-les-Tours, le commandant de gendarmerie Lopez pris enfin le soin de lire attentivement la note reçue de la DCPJ. Un passage attira particulièrement son attention :

 

« Il conviendra de faire remonter sans délais tout cas de décès non élucidés provoqué par une ou plusieurs morsures au cou ou à la nuque. Et éventuellement de rouvrir certains dossiers. »

 

– T’as vu ça, Martin ?

– Ben je le découvre en même temps que toi !

– Les SDF mordus par les chiens, si ça trouve, c’était pas des chiens.

– On a peut-être été un peu léger sur ce coup-là ?

– Hum.

 

La gendarmerie locale avait en effet retrouvé un premier puis deux autres cadavres de SDF, on avait bien évidemment constaté les morsures au cou.

 

– Un règlement de compte entre SDF, ils devaient être bourrés et il y en a un qui a lâché son chien, il lui a sauté à la gorge, et paf, le SDF. On ne va pas s’emmerder avec ça, pas besoin d’autopsie, on l’emmène à la morgue, on fait une enquête minimum pour l’identifier et prévenir la famille puis basta.

 

Quand on découvrit les deux autres cadavres à quelques heures d’intervalles, Lopez se crut encore très malin.

 

– Bon on a affaire à un fou qui a un chien dangereux, comme ils sont tous à moitié fous, on va faire simple…

 

Et il envoya une patrouille ramasser tous les chiens de SDF qu’elle pourrait trouver, puis direction le vétérinaire pour euthanasier les pauvres bestioles.

 

On ne trouva pas les autres cadavres, du moins pas si tôt, le commandant Lopez fut alors très fier de son initiative.

 

– C’est embêtant, quand même ! Concéda Martin, en relisant la note de la DCPJ.

– Sont où les corps ?

– Il en reste deux à la morgue, le troisième a été réclamé par la famille…

– Normalement il faudrait qu’on fasse faire une autopsie…

– Je préviens le médecin légiste ?

– Peut-être pas, ça va nous retomber sur la gueule, on va nous reprocher d’avoir bâclé le boulot. C’est si facile de critiquer après….

– Alors ?

– Alors quand on a lu la note, ça ne nous a pas parlé du tout. D’accord ?

– Et si l’un de nos hommes se met à réfléchir de trop.

– On continuera d’affirmer que les mecs sont morts d’une morsure de chien. Parfois la mauvaise foi, ça sauve !

– Bien, chef !

 

Et c’est ainsi que nos activités vampiriques en ces lieux ne remontèrent jamais jusqu’à Paris.

 

Paris

 

François-René et Bertrand sont revenus dans leur appartement vide.

 

– Bon, on peut se nourrir, on est peinard, mais si nous voulons avancer, il faut nous servir des adresses que j’ai trouvé sur l’ordi. Le souci c’est comment faire pour ne pas se faire repérer ? La police nous recherche, mais pour l’instant ils ignorent que nous sommes des vampires, s’ils découvraient qu’on est capable de se transformer en chauve-souris, je suppose qu’il feraient appel à des spécialistes, et à ce moment-là je ne donnerais plus cher de nos peaux. Alors dis-moi, on fait comment ?

– Ben ma foi, je ne sais pas ! Répondit Bertrand !

– Tu m’es décidément d’un grand secours ! Pour les librairies on ne peut y aller que la nuit, mais la nuit elles sont fermées, il faut donc qu’on force l’entrée et qu’on soit discret, on fait comment ?

– On a qu’à faire une reconnaissance ce soir, on aura peut-être une idée.

– Non, ce soir on va essayer d’intégrer le club gothique…

– On fait comment ?

– Tu te répètes ! J’ai un plan, j’espère qu’il est bon, écoute…

 

A 21 heures 30, après avoir traversé la Seine en chauve-souris, nos deux apprentis vampires repère le café « La polenta », et se posent juste au-dessus sur un balcon dont la fenêtre est ouverte. Ils pénètrent les lieux qui ressemblent à un cabinet de quelque chose, deux types y sont en train de discuter en sirotant un whisky.

 

En moins de 20 secondes les deux malheureux sont mordus. Les vampires les dépouillent de leur vêtements qu’ils revêtent. Puis ils attendent qu’il soit presque 22 heures et sortent tranquillement sur le boulevard… et se font repérer.

 

– Attention, ça bouge ! Putain c’est eux, mais qu’est-ce qu’ils foutaient dans cet immeuble.?

– On interpelle !

– Interpellation !

 

Et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nos deux vampires sont cernés par une cohorte de policiers armés jusqu’aux dents.

 

– Vous êtes en garde à vue pour assassinat en bande organisés. S’entendent-ils déclarer.

– On va gérer, fais-moi confiance ! Chuchote François René à son complice

 

On les menotte, et on les fait entrer à l’arrière d’une voiture qui démarre dans la foulée.

 

Et là les choses allèrent très vite. Nos deux vampires deviennent chauve-souris, se libérant ainsi des menottes, se désempêtrent de leurs vêtements, puis mordent le conducteur et le policier l’accompagnant. La voiture est en ligne droite et ne dévie pas de sa trajectoire, François-René, se détransforme, prend possession des commandes. Dans le convoi personne ne s’est aperçu de rien. Tout d’un coup François René tourne à droite et s’engouffre dans une rue adjacente, devant un café. Ils sortent précipitamment, pénètrent dans l’établissement, descendent jusqu’aux toilettes et se transforment de nouveau en chiroptère en se cachant sous une table. Très vite la confusion se fait entendre, la police cherche à savoir ce qui s’est passé, les consommateurs confirment que deux personnes sont sorties en courant d’une voiture de police et se sont engouffrés dans l’estaminet.

 

La police cerne l’établissement, les deux chiroptères se faufilent jusqu’au paravent de la terrasse, puis s’élèvent dans les airs bien tranquillement.

 

Chevrolet éructe ! Il venait de téléphoner au préfet pour lui annoncer la réussite de l’opération, le voilà obligé de le rappeler pour se déjuger.

 

– Mais c’est quoi ce bordel ? Ils sont passés où ? Et comment ont-ils pu s’échapper ? Qu’est-ce que vous avez foutu ?

– Nous avons affaire à quelque chose d’inconnu.

– Pas de victimes au moins !

– Si monsieur le préfet, deux nouvelles victimes. Des gars à nous !

 

L’assassinat des deux bourgeois du deuxième étage n’avait pas encore été découvert.

 

– Pas de déclaration à la presse, n’est-ce pas ?

– Ça ne les empêchera pas de broder…

– Chevrolet, je vous donne 48 heures pour nous sortir de ce merdier. Passé ce délai je me verrais dans l’obligation de demander votre remplacement.

– Comptez sur moi, monsieur le préfet ! Répondit-il sans absolument aucune conviction.

 

Les deux vampires rejoignent leur cachette. Inutile de dire qu’ils sont dépités.

 

– Ils nous attendaient ! Constate Bertrand. Mais comment ils pouvaient savoir.?

– L’historique de l’ordi, j’aurais dû l’effacer, je ne pensais pas que la police serait aussi forte !

– C’est quoi l’historique de l’ordi ?

– Laisse tomber ! On est coincé, on peut toujours se nourrir en rentrant dans les appartements, mais sinon, on ne peut rien faire, on ne peut pas visiter les libraires, on ne peut pas échanger avec des gens qui auraient des choses à nous apprendre.

– On pourrait changer de ville, aller à Lyon par exemple ?

– Pff, il y a autant de caméras qu’à Paris.

– Alors investir un endroit sans caméra, si on allait au château de Versailles ?

– Putain c’est ça l’idée, pas besoin d’aller à Versailles, il y a les bois de Boulogne, le bois de Vincennes et même les Tuileries. Et le jardin du Luxembourg et les buttes Chaumont…

– Et les cimetières aussi !

– Oh, oui ! Super les cimetières.…

– Bon, on se repose un peu et on file au Père Lachaise.

 

Dimanche 15 mars

 

Il est minuit passé de quelques minutes, François-René et Bertrand se posent en plein milieu d’une allée du cimetière du Père Lachaise, ils avisent plusieurs monuments funéraires monumentaux. L’un deux, très délabré où gît un inconnu célèbre est protégé par une grille verrouillée.

 

– Faut peut-être que j’aille chercher une fourchette ! Persifla Bertrand

– Il faudrait un objet pointu…

 

Un bout de fil de fer enserrant un bouquet de fleurs artificielles fit l’affaire. Ils entrèrent dans l’antichambre de la tombe, une autre porte en protégeait l’entrée proprement dite, mais ne résista pas au fil de fer.

 

– Super, ici on peut se planquer toute la journée

– Ya pas beaucoup de place, on était bien mieux dans l’appart…

– Oui, mais tu vas bientôt voir les avantages, bon, je vais fermer la grille.

 

Et soudain une voix derrière lui, une voix de femme.

 

– Aurélien, tu es là ?

 

François-René est interloqué, la femme est maintenant devant lui, très brune, les cheveux longs et lisses, complètement nue sous une cape noire ouverte.

 

– Oh, mais vous êtes qui, vous ? Je ne vous connais pas, ce n’était pas prévu dans le « parcours ».

– Hi, hi ! Ricana bêtement le vampire.

– J’ai gagné ou j’ai perdu alors, je crois bien que j’ai perdu, non ? Oh, vous êtes deux ! C’est vraiment la soirée de toutes les surprises.

 

Bien sûr le vampire pourrait la mordre, mais avant il aimerait bien comprendre ce que fabrique une nana à moitié nue dans un cimetière en plein milieu de la nuit !

 

– Vous allez pouvoir me baiser tous les deux, mais faut que j’appelle mes amis, ils doivent me chercher…

 

« Une cinglée ! » Se dit François-René.

 

– Ils vont arriver, ne vous inquiétez pas ! Reprend la fille

– Ah bon, c’est prévu comme ça ? Il y a une tombe bien plate là-bas au coin, on va faire ça là-bas ?

– Hum ! Vous avez des belles bites qui bandent bien tous les deux, je peux toucher ! J’adore les bites.

 

Eh, oui les vampires ça s’excite et ça bande et il faut dire que cette jeune personne possédait des arguments.

 

– Je vous suce un peu et après on fait une double-péné ?

 

Les deux vampires se concertent du regard, ils n’échangent pas une seule parole mais semblent vouloir signifier quelque chose du genre : »On ne va tout de même pas laisser passer une telle occasion ! »

 

– Viens nous sucer, belle enfant !

 

Cynthia puisque c’est le nom de cette jeune personne s’approche et se demande par qui commencer. La bite de Bertrand est plus jolie, ce sera donc celle-là, au grand dam de François-René.

 

La belle brune est experte et pratique avec beaucoup de savoir-faire, après avoir décalotté l’engin comme il se doit et titillé le gland du bout de sa langue, elle se livre à des allers et retour en bouche digne d’une avaleuse de sabre, tout en jouant avec les roupettes de sa main gauche.

 

Et quand elle estime avoir suffisamment sucé Bertrand elle change de bite. C’est ce qu’on appelle l’alternance.

 

Puis les deux hommes étant proches l’un de l’autre, elle passe de l’un à l’autre et de l’autre à l’un en tenant chaque bite par le bas de la verge.

 

A un moment, les deux bites sont si proches l’une de l’autre que les glands se touchent. Situation qui a l’air d’amuser Bertrand, mais qui agace François-René qui se recule d’un pas. C’est qu’il n’a pas de tendances gay, notre freluquet ou alors il refoule bien !

 

– Pas comme ça ! Indique-t-il

– J’ai fait quelque chose de mal ? Demande la brunette.

– On peut te prendre ? Demande-t-il, ce qui lui évite de répondre à la question embarrassante.

 

Le trio se dirige vers la pierre tombale plate indiquée par Cynthia au début de la rencontre.

 

La fille se penche pour déchiffrer le nom de celui qui a été enterré-là, il y a fort longtemps.

 

– Tu fais quoi ? Demande François-René.

– Il faut toujours invoquer le prénom du macchabé quand on fait ces choses, on ne vous a pas dit ?

– Si, si ! Bluffe le vampire.

– Ah voilà, ce doit être Emile ! Emile nous allons baiser sur ta tombe, ce n’est pas pour la profaner, mais pour t’offrir un spectacle qui je l’espère te plaira. Amen.

ClaraV 09

« Complétement givrée cette fille ! » se dit François-René.

 

– Il faut que l’un de vous se couche sur le dos ! Explique la fille.

 

C’est Bertrand qui s’y colle, Cynthia vient s’empaler dessus et se baisse de façon à offrir son cul à François-René.

 

Et c’est parti pour une « double péné » en plein cimetière. Excité comme des puces, nos trois étranges libertins s’activent frénétiquement. La fille braille de plus en plus, François-René ne contrôle plus rien et éjacule dans son foncement avant de se retirer. La fille continue de faire du dada sur la bite de Bertrand qui jouit avant elle, mais elle continue son chevauchement jusqu’à sa propre jouissance.

 

Elle se livre ensuite aux nettoyage des bites et tant pis si celle de François-René n’est pas sortie très nette.

 

– Putain ! On peut dire que vous avez assuré, les mecs ! Si vous voulez pissez, ne vous gênez pas ! Dit la fille en laissant sa bouche ouverte.

 

Les deux garçons n’ont jamais fait ce genre de choses, François-René se dégonfle, mais Bertrand ose et remplit copieusement le gosier de la belle Cynthia qui manifestement se régale.

 

– Si vous avez envie de faire caca, vous pouvez faire sur moi ! Reprend la fille.

– Elle vraiment cinglée ! Commente François-René.

– Ça peut être rigolo ! Rétorque Bertrand.

– Tu ne vas pas faire ça ?

– Ben si, j’ai justement envie de chier, et si ça te gêne t’es pas obligé de regarder.

– Oh c’est vrai, tu vas le faire ! S’exclame Cynthia, toute joyeuse.

 

Bertrand s’accroupit au-dessus de la poitrine de la fille.

 

– Recule un peu, j’aime bien sur le visage !

 

Bertrand avait effectivement envie et il ne tarde pas à chier un long boudin qui dégringole sur le nez et la bouche entrouverte de la fille.

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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