Chanette

Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:35

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 12 – Trio de coquines par Chanette

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N’empêche que pendant la discussion Estelle et Amandine se sont respectivement trouvées sympathiques.et en sont déjà à se tutoyer.

– Mais tes fonctions à bord, ça consistait en quoi ? demande Estelle à Amandine.

– Officiellement, j’étais directrice adjointe de la croisière, en fait je devais assurer l’encadrement des filles, ça n’avait rien de compliqué, avec ce qu’elles se mettaient dans la poche, les problèmes étaient rares.
– Et en ce qui te concernes, tu as eu droit à des sollicitations de passagers ?
– Je m’efforçais de garder mes distances mais j’ai eu quelques sollicitations…
– T’as donné suite ?
– Dis donc, toi t’es bien curieuse… Mais comme la philosophie de la croisière était de contenter le client, ben oui, j’ai donné suite, j’ai payé de ma personne !
– Et tu t’es barrée comme ça ? Quand tu as deviné que Chanette était en danger ?
– Non c’est plus compliqué que ça…

C’est vrai que lorsqu’on raconte une histoire fut-elle vécue, on oublie toujours des passages, et parfois des passages importants…

Alors Amandine raconte l’épisode de l’escort russe (voir plus avant)

– Quand j’ai compris que Chanette allait connaître le même sort, j’ai trouvé ça dégueulasse, mais que les choses soient claires, je ne suis pas une sainte non plus, j’ai été lâche avec la russe, j’ai fermé ma gueule, j’ai laissé faire, je n’en suis pas fière mais c’est comme ça ! Alors bon quand on est lâche une fois, on peut l’être une seconde fois, sauf que ça devient super dangereux, en cas d’enquête, en tant que sous-directrice de la croisière je suis complice de tout ce qu’y s’y passe, je n’avais aucune envie de me retrouver accusée de complicité de trafic d’êtres humains.
– Donc tu ne l’as pas fait que pour les beaux yeux de Chanette ?
– Qu’est-ce que ça peut de foutre ? Et confidence pour confidence, Chanette, je l’adore, n’est-ce pas ma biche que je t’adore ?
– Mais moi aussi je t’adore, mais on s’écarte un peu du sujet, là ? Répondis-je.
– Je voulais juste montrer à Mademoiselle qu’on s’adorait ! Réplique Amandine en trouvant mes lèvres.

Elle commence à déconner Amandine, avec sa petite provocation, Estelle va finir par faire la gueule.

A moi de remettre tout ça sur les bons rails.

– Mais avec Estelle, aussi, on s’adore, n’est-ce pas Estelle.
– Ben bien sûr qu’on s’adore.

Elle m’enlace, me roule un patin et me pelote les nichons.

– Oh les beaux nénés que je suis en train de toucher !

Je dois la faire arrêter, craignant que ça tourne mal…

– Je vais peut-être vous laisser ! Nous dit Amandine en se levant de son siège.
– C’est moi qui te fais fuir ? lui demande Estelle.
– Ce n’est pas une fuite, mais comme vous m’avez l’air très intimes toutes les deux, autant que je respecte votre intimité.
– Mais on n’est pas intime, on se connait à peine, on s’est vu deux ou trois fois et on a bien aimé faire des trucs ensemble.
– Ah ?
– Je peux te raconter si tu veux, c’est assez marrant. Propose Estelle
– Vas-y, je t’écoute…
– Figure-toi que mon patron avait besoin de détails sur une partouze qui avait été organisée chez Chanette (voir Chanette 28 – Magazines littéraires) Il fallait donc que je la rencontre et je ne savais pas du tout comment m’y prendre, alors j’y suis allé au culot et je lui ai dit que je voulais apprendre le métier.
– Comme ça ?
– Non je résume ! Mais toujours est-il que du coup je suis tombée sous son charme !
– T’as donc raté la mission que t’avais confié ton patron ?
– Même pas ! Mais dis donc toi, je te regarde depuis tout à l’heure, t’es vraiment canon !
– On me le dit souvent, mais parfois j’aimerais me faire toute petite, qu’on ne me remarque pas…
– Ben ce soir c’est raté ! Dis-moi je peux t’embrasser ? Tu veux bien ?
– Tu m’as l’air bien excitée !
– Ce sont des choses qui arrivent… Tu ne veux pas me monter comment tu embrasses ? Minauda Estelle.

La demande est faite d’une voix tellement suave qu’Amandine se demande s’il faut en rire ou accepter le défi. Elle approcha ses lèvres, les deux femmes se lancent alors dans un patin d’enfer, tandis que leurs mains loin de rester inactive jouent à « Vas-y que je te pelote ! »

Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ?

– Eh, les filles, si vous voulez vous amusez, on serait mieux dans ma chambre !

Je m’y suis dirigée la première, Estelle m’a suivi entrainant Amandine par la main.

Une fois en chambre, il y a un petit moment de flottement, personne ne prend l’initiative de se déshabiller la première.

– T’es lesbienne ou bi ? Demande Amandine à Estelle.
– Je ne sais pas trop ce que je suis, j’ai rarement été avec les femmes, mais disons que la petite aventure que j’ai eu avec Chanette m’a réveillé de vieux souvenirs… et puis ça change… Mais dis-moi, tu nous le montres ton corps de déesse ?
– Faut peut-être pas exagérer !
– On se déshabille toutes alors ? Proposais-je

C’est donc ce que nous avons fait.

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Estelle a entrainé Amandine sur le plumard et se jette littéralement sur elle, mais de travers, lui bouffant les seins avec une fougue de sauvage.

Etant donnée la position d’Amandine, sa chatte reste offerte, elle sera donc pour moi et je m’en délecte d’autant que la coquine mouille déjà.

Estelle complétement barrée dans son trip ne tarde pas à vouloir sa part de chatte, elle change de position, descend et vient me rejoindre m’invitant à partager mon cuni !

Elle est gonflée, celle-ci ! Mais je ne suis pas mauvaise fille et lui cède la place

Je me recule, le spectacle d’Estelle en train de brouter le gazon d’Amandine a quelque chose de fascinant d’autant qu’elle accomplit sa tâche en relevant le croupion de façon obscène.

Je me précipite vers ces chairs offertes, je caresse, j’embrasse, je malaxe, j’écarte les globes, lèche le trou étoilé avant d’y introduire un doigt inquisiteur que je fais aller et venir en bonne cadence.

Un cri fulgurant…

Amandine vient de jouir sous les coups de langue d’Estelle… Et après celle-ci viendra nous raconter qu’elle n’a aucune expérience des amours lesbiens. Ou bien c’est une sacrée menteuse, ou alors elle a été touchée subitement par la grâce de Sainte Cunégonde, patronne des cunis !

Toujours est-il que le trio se disloque…

Mais vous vous doutez bien que nous n’en avons pas terminé pour autant.

C’est au tour d’Estelle de se coucher sur le lit, les jambes écartées, nous invitant à continuer à lui procurer du plaisir. Amandine est la plus rapide est plonge son visage entre ses cuisses. Quant à moi, je m’accroupis au-dessus de son visage afin qu’elle s’occupe de ma propre chatte.

La position n’est pas des plus pratiques pour Estelle qui est obligée de me lécher, menton relevé. Elle finit par laisser tomber s’abandonnant à la langue d’Amandine tandis que je lui caresse ses gros bouts de sein.

Après qu’Amandine l’ai fait jouir, elle revient vers moi et dans une position cette fois plus pratique parvient à me faire jouir à mon tour.

Nous sommes toutes les trois un peu épuisées par ce quart d’heure de folie (eh, oui, ça n’a pas duré plus longtemps !)

– Si on allait manger le gâteau ? Propose Estelle.
– Volontiers, mais je vais pisser avant ! Tu veux me regarder ! Lui lance Amandine.
– Te regarder pisser ? En voilà une idée ?
– Je te proposais ça comme ça, je m’étais dit que ça te plairait peut-être…
– Me prendrais tu pour une oie blanche ?
– Vu la façon dont tu m’as léché, ça m’étonnerait. Alors tu viens ?
– J’arrive !

Amandine s’accroupit sur la lunette de la cuvette et se mit à pisser d’abondance.

– Alors c’est beau ? La nargua-t-elle
– Bien sûr que c’est beau, je crois que je vais pisser aussi.

Amandine eu le tact de ne pas aller plus loin dans ce qui n’était même pas une provocation.

J’appris beaucoup plus tard, que les rapports à l’uro d’Estelle étaient en fait assez compliqués. Quand son patron, Maître Doubise entreprenait de la baiser il n’était pas rare qu’à la fin, il lui pisse dessus et même dans la bouche. La pratique n’incommodait pas Estelle, elle trouvait même la chose relativement amusante, mais ça restait dans son jardin secret.

On s’est placé autour de la table, j’ai débouché une bouteille de rosé bien frais et on s’est partagé le gâteau.

– Tu veux bien que je tartine ? Demande alors Estelle à Amandine
– Me tartiner quoi ?
– Tes seins ?
– Hein ?
– Lisse-moi faire.

Estelle a pris alors du gâteau et en a écrasé des morceaux sur les seins d’Amandine qui s’est mise à rigoler comme une bossue.

Evidemment Estelle et moi, avons dégusté tout cela en léchant chacun un sein, tandis qu’Amandine se laissait gagner par l’extase.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:32

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 11 – La vengeance, ce n’est pas si simple ! par Chanette

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Chanette

Bingo, j’ai la facture (la fausse facture donc) devant les yeux, Elle est à l’en-tête d’une société Van Halen International à La Haye.

Est-ce que j’ai tout ce qu’il faut ? Si la société hollandaise n’existe pas, ça va être facile, sinon on verra, Je compose le numéro de téléphone indiqué sur le document

– Allo, Van Halen International ?
– Ja !
– Merci !

Donc la société n’est pas bidon, reste deux hypothèses. Si Van Halen n’a rien à voir là-dedans cela prouvera de suite que la facture est fausse, S’ils sont complices ça risque d’être plus compliqué, mais je suppose que la police saura faire, après tout c’est leur métier.

Par politesse, j’ai remercié au téléphone Grace Hernandez, il me reste maintenant à recontacter Amandine Cantal pour lui expliquer où j’en suis. Mademoiselle ne répond pas, je lui envoie un message en la priant de me rappeler. Je vais donc passer à la case Gollier sans m’être concerté avec elle. Tant pis, le temps presse… J’entends déjà le savon que va me passer le policier quand je vais lui narrer mes aventures, mais je suis bien obligée d’en passer par là !

Il peut se libérer à midi et me donne rendez-vous dans une brasserie du Palais Royal.

– Tu es comme la Sainte vierge ! Me dit-il en guise de bienvenue, tu apparais, tu disparais, tu réapparais…
– Sauf que je suis pas vierge !
– Non sans blague ! Persifle-t-il.
– J’ai un truc à te faire écouter, c’est pas bien long, voilà… La voix c’est celle de Chauvière.

Il écoute l’enregistrement, paraît embarrassé.

– Mais encore ?

Alors je lui raconte l’invitation sur le yacht pour rupins, les prestations avec les passagers, l’incident avec l’attacheur fou, le rôle de Patrick Schultz, le vol de mes papiers et de mon téléphone et le rôle providentiel d’Amandine Cantal.

– Excuse-moi, mais sur ce coup-là tu as vraiment été la reine des connes !
– Je l’admets volontiers !
– Pourquoi tu ne m’as pas appelé avant de t’embarquer comme une idiote.
– Tu m’aurais dissuadé de le faire !
– Bien sûr que je t’aurais dissuadé !
– Ça n’aurait pas changé grand-chose, ils m’auraient traqué autrement…
– Hummm… Et en fait, tu viens me voir pourquoi ?
– J’aimerais me venger…
– Je ne suis pas Zorro…
– Moi non plus…

Et sans dévoiler mes sources, je lui explique que je suis en possession d’une fausse facture…

– Je vais te décevoir, je ne peux plus rien faire, j’ai été dessaisi de l’affaire…
– Quand il y a des éléments nouveaux, une enquête, ça peut se relancer, non ?
– Je vais te dire un truc que tu interpréteras comme bon te semble : les fonctionnaires de police seraient mieux payés, la corruption fonctionnerait moins.

J’ai compris le message, il ne m’en dira évidemment pas davantage.

– Donc résumons-nous, tu ne peux pas m’aider ?
– Moi non ?
– Parce que quelqu’un d’autre pourrait le faire ?
– Moi je suis la police judiciaire, pour ta facture, il y a la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes… et même la police hollandaise. Tu connais un avocat ?
– J’en ai croisé quelques-uns, mais je les ai un peu perdus de vue, j’en ai surement parmi mes clients mais je ne suis pas assez intime avec eux… sinon j’ai eu récemment de bonnes relations avec la secrétaire d’un avocat…
– Suis cette filière, fais-toi conseiller.
– Ça ne va pas être gratuit !
– Je ne penses pas, non mais tu peux bien t’offrir ça, non ?

Petite allusion vacharde à mes activités réénumérées. Ça ne m’a pas plu.

– Certes !
– Sinon, tu trouveras bien le moyen de t’arranger, non ?
– Je vais voir !
– Christine ?
– Oui, je suis là !
– Il serait préférable qu’on ne se voie plus… cela pour des tas de raisons…
– C’est comme tu veux !

Ça tombe très bien ! Pourquoi le reverrais-je ?

– Mais autant se quitter bons amis.
– Je ne suis pas fâchée.
– On pourrait se faire une petite prestation comme l’autre fois, je ne te demande plus de demi-tarif, je paie plein pot.

J’ai accepté, pensant naïvement que cela pourrait le faire revenir à de meilleures dispositions.

Bizarre quand même qu’il m’ait avoué, sans me le dire vraiment qu’il s’était fait graisser la patte pour ne pas approfondir l’affaire de l’attentat contre Chauvière. Une façon de se libérer d’un poids, sans doute. En fait il est péteux !

– J’ai quelqu’un à 14 heures, un mec qui n’est pas partageux, mais je peux te recevoir à 15 heures.
– On ne sera que tous les deux alors ?
– Oui, sinon, je te téléphonerais quand j’aurais une opportunité…
– Non, non, je t’ai dit il faut mettre un point final à notre relation, je serais à ton studio à 15 heures.

A l’heure dite, il m’a apporté des fleurs, un très joli bouquet, j’ai apprécié. Je l’embrasse sur les joues.

– L’autre fois, on a pas fait de domination, c’est pourtant ce que tu voulais, non ?
– C’est-à-dire, quand j’ai vu comment tu traitais l’autre client, ça m’a refroidi.
– Je ne traite pas tous mes soumis de la même façon, il y a les gros masos et les petits masos.
– Ben, moi je suis un petit maso.
– Maso physique, ou tu aimes bien aussi les insultes.
– Les insultes, je ne sais pas trop, limitons-nous aux trucs physiques.
– O.K. déshabille-toi, je vais te gâter !

Pendant qu’il le fait je me débarrasse de mon kimono sous lequel je suis en bustier noir. J’arrive devant lui, lui passe un collier chien muni d’une laisse autour du cou et le mène au donjon.

Chanette2911Je me pose devant lui en le regardant droit dans les yeux, je lui attrape ses tétons que je serre bien fort entre mes petits doigts coquins.

– Ça, tu aimes, on dirait bien !
– Oui, c’est bon !
– C’est bon et ça fait bander ! T’as vu ta bite elle est devenue raide come un bout de bois. Bouges pas, je vais chercher les petits outils.

Je reviens avec deux pinces que je lui fixe sur les tétons. Oh la vilaine grimace qu’il me fait, mais il supporte ! Puis avec une petite cordelette, je lui ligature les couilles. Je joue un peu avec les pinces, celle-ci offrent plein de possibilités, on peut les tirer vers soi, les tortiller comme des papillotes ou tout simplement augmenter la pression en posant les doigts où il convient

Je le fais ensuite se retourner et s’arcbouter contre le chevalet et m’empare d’un martinet. En principe le martinet est l’instrument de flagellation le moins agressif (je dis bien en principe, parce qu’il y en a.. passons) .

– Je vais t’en donner vingt coups, tu vas compter avec moi !
– Pas trop fort !
– Ta gueule !
– Ben dis donc comment tu me causes ? Fait-il mine de s’offusquer.
– Oh pardon ! J’aurais dû dire « Ta gueule mon petit soumis »

Ça le fait marrer, cette andouille ! Allez, on y va, Gollier compte, arrivé près de la vingtaine, je vois bien qu’il a hâte que ça se termine.

– 19 , 20.

Il souffle ! Pas moi un vingt et unième lui tombe sur les fesses.

– On avait dit 20 ! Proteste-t-il
– Non on avait dit 22 !

Et je lui en envoie encore un.

– Maintenant tu te mets à plat ventre sur le chevalet, les jambes bien écartées, je vais t’enculer ave le gode !

Il n’hésite pas une seconde, à mon avis ce ne sera pas une punition, je parierais même qu’il doit avoir un gode chez lui qu’il s’enfonce dans le cul les nuits de grande solitude.

Je l’ai pilonné un bon quart d’heure avant qu’il ne me demande d’arrêter.

Instinct fatidique, il va vouloir jouir, or la dernière fois, me trouvant complètement hors contrôle je lui ai sucé la bite ! Je peux difficilement faire moins aujourd’hui.

Je ne lui ai pas demandé son avis.

– Tu restes debout et tu ne bouges pas.

Je l’ai pompé en lui caressant les couilles et en lui doigtant l’anus, cela jusqu’à ce qu’il jouisse, ce fut assez rapide. Je n’ai pas avalé, faut pas déconner non plus !

– Bon on fait comme on a dit, téléphone-moi quand tu auras vu ton avocat, je pourrais éventuellement te pistonner auprès d’un collègue, mais c’est tout ce que je pourrais faire pour toi.
– Ce sera déjà pas mal !
– Mais après on ne se connait plus…
– J’avais compris.

Bon, je n’ai plus personne cet après-midi, avec toutes ces péripéties, il faut que mon carnet de rendez-vous se refasse une santé.

Et Miss Amandine qui ne répond toujours pas ! J’espère qu’il ne lui a rien arrivé. J’envoie un nouveau message.

« J’ai avancé, j’ai des éléments, mais j’aimerais bien qu’on en parle J’espère que tu vas bien, bisous ! »

Je téléphone donc à Estelle Morin, la secrétaire de Maître Soubise (voir l’épisode précèdent)

– Chanette ! Je parie que tu viens nous voir suite à ton arrestation… Maître Doubise était désolé de ne pouvoir se déplacer lui-même…

Tu parles !

– On a rien retenu contre moi, mais je téléphone pour tout à fait autre chose…
– Tu ne m’as donc pas oublié ?
– Comment pourrais-je ? Répondis-je un peu hypocritement.
– C’est pour un rendez-vous coquin ?
– Disons que ça peut être compris dans le packaging !
– Parce que sinon ?
– Parce que je me suis foutue dans une belle merde et que j’ai besoin des conseils d’un avocat…
– T’as fait des bêtises ?
– Pas du tout, disons que j’ai été victime de quelques salopards.
– Bon OK, on se voit où ça et à quelle heure ?
– Chez moi à 19 heures, on bouffera sur place.

Je fais quelques courses avant de gagner mon appartement, et voilà que mon téléphone m’annonce la réception d’un message.

C’est Amandine ! Enfin !

« Je passe chez toi vers 19 heures ! O. K. »

J’ai failli répondre qu’à cette heure-là je serais prise, mais le temps presse de trop. On sera donc trois je saurais gérer, et je réponds à Amandine que c’est d’accord.

A 19 heures pile, Estelle Morin arrive la première avec un gros gâteau glacé (ma ligne !). Cette fausse blonde MILF un peu dodue est toujours aussi craquante.

– Salut ma biche, contente de te revoir, il y a un petit changement de programme, j’attends une nana qui est impliquée dans l’affaire que je vais t’exposer, mais soit rassurée, elle très sympa et elle ne s’éternisera pas, on pourra donc se faire des coquineries quand elle sera partie.
– Alors tout va bien !
– Tu veux boire quoi ?
– Je suppose qu’il va falloir que je reste l’esprit lucide, alors un jus de fruit ou un coca, on se boira des trucs qui décoiffent plus tard !

Je lui raconte donc toute l’histoire, le client aux diamants, la réception de Chauvière à La Tour Montparnasse qui se fait descendre, les conditions de mon arrestation et de ma libération, le rôle de la police, la proposition d’embarquement formulée par Amandine, puis je m’interromps pour lui faire écouter le message de Chauvière.
– Eh bin quelle salade ! Commente-t-elle.
– J’allais poursuivre quand la sonnette d’entrée retentit, c’est Amandine Cantal.

Présentation et bisous

– Voici donc Estelle Morin, la secrétaire de Maître Doubise, avocat à la cour. Et donc Amandine dont j’allais justement te parler. Excuse-moi Amandine, je vais continuer à raconter pour Estelle et ensuite je t’expliquerai où j’en suis dans mes démarches.

J’explique donc tout ça à mes deux interlocutrices. Manifestement Estelle a un peu de mal à suivre, Amandine est, elle plus préoccupée.

– Manifestement ton flic ne veut pas se mouiller !
– Il me dit que ce n’est pas plus un problème de police judiciaire !

Je ne vais quand même pas leur raconter qu’il s’est laissé corrompre !

– Alors le problème c’est : je m’adresse à qui ? Le flic m’a suggéré plusieurs services, la répression des fraudes, la brigade financière, les douanes et même la police hollandaise, mais quelles chances on a que des plaintes puissent aboutir rapidement ?
– Alors là, je ne sais pas dire, il va falloir que je voie avec Maître Soubise ! Nous répond Estelle.
– Il saura ?
– Bien sûr qu’il saura, il peut aussi faire accélérer les choses, du moins je suppose, mais tu vas le payer comment ? T’as de l’argent ?
– Oui, ce n’est pas un problème, mais si tu pouvais t’arranger pour qu’il nous fasse ça à l’œil, ce serait aussi bien !
– Tu sais Doubise, ce n’est pas le mauvais bougre, loin de là, mais il est très près de ses sous !
– En fait ce n’est pas une question de sous, je me disais simplement que si on pouvait l’avoir au charme, ça faciliterait les choses… ça le motiverait davantage… Mais sinon, c’est pas grave, je paierais !
– A moins que, à moins que… Murmure Estelle
– A moins que quoi ?
– Ça me paraît jouable. Il aime bien les sous, mais il aime bien les câlins aussi !
– C’est quel genre ?
– Ben pas vraiment playboy, ce serait plutôt « gros lard ».
– Je pourrais avoir un rendez-vous demain ?
– Je vais arranger le coup.
– Est-ce qu’il faut que je vienne aussi ? Demande Amandine.
– Il ne faudrait pas que cela constitue un obstacle si Chanette veut lui faire une opération charme…
– Pourquoi les plans à trois, il a quelque chose contre ?
– Dans ce cas…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:30

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 10 -Petit déjeuner spécial par Chanette

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bisou1719

Mercredi 21 avril

Je n’ai pas l’habitude me lever si tôt, mais bon, c’est pour la bonne cause !

Je sonne chez Tommy, c’est Nadège qui m’ouvre… en nuisette quasi transparente. Bisous, bisous.

Euh… faudrait peut-être pas se tromper de programme, je ne suis pas venu pour partouzer !

Tommy nous rejoint, déjà en costume cravate, nouveaux bisous.

– Vous avez déjeuné ? Me demande Nadège.
– Juste un café !
– Installez-vous, il y a tout ce qu’il faut, des tartines, du beurre, de la confiture…
– O. K. merci ! Bon Tommy tu as une idée ?
– Oui mais elle ne vaut pas grand-chose, on pourrait accuser Chauvière de proxénétisme…
– Et qui va témoigner ?
– Toi !
– On ne va pas aller loin avec ça ! Je n’ai pas de témoin, on va dire que je peux raconter ce que je veux…
– Et Amandine Cantal, elle ne pourrait pas témoigner ?
– Je lui dois une fière chandelle, mais dans cette affaire, au départ, elle est davantage complice qu’autre chose. Je préfère donc qu’on la laisse en dehors de tout ça. Par contre, moi j’ai peut-être quelque chose, mais est-ce que tu peux avoir accès aux factures ou aux bons de livraison archivées de la société ?
– Je ne me suis jamais posé la question, mais je présume que ça doit être possible ! Parce que ?
– Pace que je cherche un faux bon de livraison de diamants, voilà je t’ai noté la fourchette de dates et le contenu, je ne connais pas le nom du fournisseur, qui doit être bidon, ni le montant. Mais en fait ce document est un faux, il n’y pas eu d’achat, L’entrée en stock des diamants a fait suite à un casse organisé par Chauvière.
– Ola ! Où tu nous embarques ? On sait tous que Chauvière n’est pas toujours très clean avec ses transactions diamantaires mais de là à l’accuser de vol…
– Je tiens l’information d’une personne qui a participé à la préparation d’un vol à Rotterdam, j’ai tout un dossier dans cette enveloppe…
– Fais voir !

Je lui montre, il est dubitatif !

– Ça ne prouve rien, ça peut être de la mise en scène

Il se contente de feuilleter rapidement…

– Si on retrouve la facture et qu’on prouve qu’elle est bidon, ce ne sera plus de la mise en scène !
– Oui évidement… Bon je vais regarder, si je la trouve et que c’est numérisé je te l’envoie sur ton téléphone… et si ce n’est pas numérisé, ben je prendrais une photo.
– T’es un amour !
– Je ne te promets rien ! Bon, il va falloir que j’y aille !

Il se lève, je m’apprête à prendre congé également mais Nadège me retient.

– Restez encore un peu, juste cinq minutes.

N’étant pas vraiment née de la dernière pluie, je comprends parfaitement ce qu’elle souhaite. Bah, ce ne sera pas une corvée !

– Ça vous dérange si je loue vos services pendant une heure ?
– Maintenant ?
– C’est juste une idée comme ça… en fait j’ai très envie.
– Ça peut se faire
– Super, tu veux combien ?
– Ecoute, ton mari est en train de me rendre service, j’aurais mauvaise grâce à te faire payer, on va faire ça en copines.
– Ça marche.

Et elle se débarrasse de sa nuisette. m’exhibant fièrement sa jolie nudité. On s’embrasse…

Et pendant que je me déshabille elle me confie :

– Tu sais, j’ai adoré quand on a joué avec le pipi, l’autre fois.
– Pas de problème, je suis une bonne pisseuse, tu veux qu’on commence par ça ?
– Oui, pourquoi pas ?

Chanette2910Elle m’entraine vers la salle de bain.

– Je veux en boire plein ! Me dit-elle.
– Allonge-toi par terre et ouvre la bouche, je vais essayer de te gâter.

Je m’accroupis de façon à ce que ma chatte soit à quelques centimètres de sa bouche et j’ouvre les vannes. Evidemment elle en fout plein à côté, mais se régale visiblement avec le reste.

– Hum, c’est bon, j’y prends vraiment goût à ce truc là !

On se relève, je lui fais comprendre que j’ai envie de l’embrasser… Les yeux qu’elle me fait… Ben oui sa bouche a le gout de mon urine…

– Ne t’inquiétés pas !
– On est cochonnes, hein ? Commentera-t-elle après ce baiser spécial.

Elle m’entraîne maintenant dans la chambre conjugale, ouvre de suite le tiroir de sa table de chevet et en extrait une gode de facture fort classique.

– Tommy avait acheté ça pour agrémenter nos petits jeux érotiques, on s’en est servi pas mal au début, maintenant on l’a un peu oublié.

Du coup elle actionne le vibreur… qui ne démarre pas.

– Je vais chercher des piles, je reviens !

Ben oui, il faut toujours avoir des piles de rechange !

– Tu me le mets ! Me demande-t-elle
– Devant ? Derrière ?
– Derrière, je préfère ! Je veux que tu m’encules comme une chienne !
– D’accord je vais te préparer un peu avant !
– Me préparer?!
– Fais-moi confiance !
– Mais je te fais confiance !
– Alors tout va bien !

J’ai commencé par lui lécher le trou du cul, il a bon goût malgré le fait que l’odeur du gel douche matinal persiste, et il est très joli, on dirait un étrange fruit couleur de châtaigne et dissimulant son entrée secrète.

Mais cette entrée secrète à une clé et cette clé c’est ma langue qui à force de venir y frétiller, finit par faire bailler de trou charmant.

Du coup, je mouille mon doigt et l’enfonce, le faisant aller et venir et provoquant des petits jappements significatifs de la part de ma complice du moment.

– Mets-moi le gode ! Me supplie-t-elle

C’est comme elle veut, allons-y pour le gode que je recouvre d’un préservatif et fail bouger comme il se doit.

Elle jouit du cul comme une damnée. Elle souffle quelques instants, me caresse, me plote les nénés (c’est une manie)

Bref, on se caresse, on s’embrasse et puis…

– Tu le voudrais, toi, le gode ? Me demande-t-elle.

En fait je n’y tiens pas particulièrement. Certes Nadège est une belle femme mais elle n’a ni le charme particulier de Grace Hernandez, ni l’éclat de la beauté de Amandine Cantal. Les gouts et les couleurs ne se discutent guère.

Mais d’un autre côté je n’ai pas envie de la décevoir en refusant, alors, j’accepte :

– Vas-y encule-moi !

Et la voilà qui me ramone le conduit avec son gode à piles neuves ! Ce n’est pas désagréable mais je sais que je ne jouirais pas ainsi.

Elle s’arrête au bout d’un moment, retire le gode, enlève la capote avec un kleenex, madame est délicate !

– On se clitoune ? Propose-t-elle.

Voilà une formule que je ne connaissais pas, je la trouve jolie, c’est quand même plus classe que de se brouter le gazon !

On s’est mises en soixante-neuf, son abricot est juteux comme un fruit mur, de mon côté ce serait plutôt sec. Je ne peux renouveler l’astuce de l’autre fois, ayant pissé il n’y a pas si longtemps.

Alors je m’évade dans mes fantasmes, Amandine et son corps de déesse, Grace et son clébard, son clébard et sa bite que je n’ai pas osée sucer, alors je la suce dans mes pensées. Et l’impensable se produit, voilà que je mouille…

Et tandis que ma langue s’activait sur le clitoris de ma complice de jeu, cette dernière attaquait le mien, me faisant jouir dans un geyser de mouille.

Je n’en suis pas encore revenue !

C’est en sortant de l’appartement de Tommy et Nadège que mon téléphone portable me signala la réception d’un message. J’ouvris, fébrile, me demandant si Tommy avait réussi ?

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:28

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 9 – Le chien de Madame Hernandez par Chanette

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Mardi 20 avril

J’ai établi une petite liste de gens qui sont susceptibles de m’aider, je me réserve la grosse artillerie si je ne peux pas faire autrement, mais il me faut d’abord voir si je peux glaner des informations auprès des personnes ayant des contacts présents ou passés avec la nébuleuse Chauvière.

J’ai donc commencé par Tommy dont le rôle dans cette affaire me paraît peu clair. Dans son message Chauvière l’a présenté comme quelqu’un non prévu par le scénario initial. Je verrais bien, consciente malgré tout que je prenais un risque.

Il est content de m’avoir au téléphone, mais joue les débordés…

– Tommy il faut absolument que je vous voie, j’ai des choses graves à vous dire…
– Je suis en entretien, là, je ne peux pas trop parler…
– Est-ce qu’on peut se rencontrer, je n’abuserais pas de votre temps
– Ce soir je finis tard, ensuite je suis de sortie avec mon épouse… ça ne peut pas attendre la fin de la semaine.
– Je crains que non …
– Ecoutez je peux vous consacrer un quart d’heure pendant mon heure de déjeuner. Vous pourriez être à midi 30 au café « Le croissant chaud », c’est juste devant la Tour…

Et à l’heure indiquée, après avoir fait un chaste bisou au monsieur, je lui tendis mon téléphone.

– Ecoutez-ça, ça dure à peine 5 minutes…
– Vous m’intriguez…

Au fur et à mesure qu’il prend connaissance du message son visage reflète l’incrédulité.

– On dirait bien la voix de Chauvière, vous êtes sûre que c’est lui ?
– Oui, c’est lui, j’ai eu la faiblesse de tomber dans le panneau, et sans l’intervention de sa secrétaire, je serais aujourd’hui en train de faire des pipes dans un bordel de Tanger !
– Sa secrétaire ? Laquelle ?
– Amandine Cantal !
– Amandine Cantal vous a aidé à vous en sortir ?
– Ben oui ! Vous ne me croyez pas ? Et vous savez qui était le directeur de la croisière, je vous le donne en mille ?
– Dites-moi ?
– Votre ami Patrick Schultz !
– Mais ce n’est pas mon ami !
– J’aurais cru pourtant !
– Ben non, c’est comme on dit un collègue de machine à café, on se retrouve tous les jours à 10 heures, je le trouve plutôt marrant, mais je n’en sais pas plus. Tiens, c’est vrai que je ne l’ai pas vu de la semaine…
– Il est tellement marrant qu’il m’a foutu une baffe parce j’ai refusé qu’un client m’attache.
– Pardon ?
– Ben oui, en un quart d’heure, je n’ai pas le temps de tout vous expliquer…
– Comment faire ? On pourrait peut-être se voir demain matin de bonne heure, à 7 heures…
– Si vous voulez !
– Mais qu’attendez-vous de moi exactement !
– Je cherche à me venger de Chauvière et de Schultz et je manque d’idées !
– Je ne demande pas mieux que de vous aider, mais là je sèche ! Il faut que j’y aille, j’ai un rendez-vous… D’accord pour demain matin ?
– O. K.

Sans doute un coup pour rien ! Carte suivante !

Le temps presse, je prends un taxi pour rentrer à la maison, je récupère les coordonnées de Grace Hernandez et lui téléphone.

– Ah Christine, qu’est-ce qui vous amène (Christine c’est moi, c’est mon vrai prénom !)
– Je dois vous faire part d’évènements assez graves me concernant…
– Vous avez besoin d’argent ?
– Mais pas du tout, en deux mots j’ai été piégé par Chauvière qui a cherché à se débarrasser de moi.
– Faudrait m’en dire davantage.
– Je ne demande pas mieux ! Mais j’aurais aimé que l’on se voie.
– Mais vous désirez quoi au juste ?
– Qu’on discute de tout ça, en fait je cherche à me venger !
– Ah ! Je ne peux pas me déplacer aujourd’hui, j’attends une livraison et c’est le jour de congé de ma bonne, mais venez donc chez moi, je vais vous appeler un taxi…

Et une demi-heure plus tard, j’étais à Montmartre au pied d’un immeuble cossu.

Je sonne à l’interphone, la porte de l’immeuble s’ouvre, je prends l’ascenseur, je ne trouve pas de sonnettes et frappe à la porte ce qui provoque les aboiements peu aimables d’un clébard.

Grace Hernandez m’accueille chaleureusement en m’embrassant sur les joues. Elle me propose un thé, je n’aime pas trop ça mais j’accepte par politesse.

L’intérieur fait très nouveau riche, meubles Regency, reproductions assez lugubres de toiles de Bernard Buffet, armoire vitrée avec une incroyable collection de chats miniatures… Deux gros matous blancs (des vrais cette fois) roupillent sur le canapé. Le chien, un gros labrador noir vient me renifler du bout de son museau avant d’aller s’affaler sur ce qui doit être son tapis attitré.

– Je vous écoute !

Je m’efforce de tout lui raconter par ordre chronologique, elle a le tact (ou l’intelligence) de me laisser parler, ne m’interrompant que pour me faire préciser certains points…

– Ben, n’en voilà une histoire ! Mais vous aviez évoquez une clé d’ordinateur…

Bravo, elle a suivi !

– J’allais y venir, tenez écoutez donc, c’est édifiant !

Elle écoute avec attention, je guette sa réaction.

– Bien, bien, bien ! Eh bien il ne s’arrange pas Chauvière, il est en train de jouer avec le feu !
– Pour le moment il ne risque rien ! Quel genre de plainte je pourrais déposer ? il ne s’est rien passé.
– C’est un malin Chauvière, il s’est toujours sorti des plaintes déposées contre lui. Il a des alibis, des faux témoins et des livres de comptes parfaitement maquillés… quoique vous savez parfois il suffit d’un grain de sable et tout s’écroule !

Un peu de mal à la suivre !

– Donc si j’ai bien compris vous désirez vous venger ? Reprend-elle
– Ben oui !
– Et vous avez pensé que je pourrais vous aider ?
– Ben oui, mais si vous ne pouvez pas, je ne serais pas fâchée !
– Bon dites-moi, vous voulez juste vous venger ou vous garder d’un danger ?
– Les deux options ne sont pas incompatibles, Quand Chauvière va apprendre que je me suis enfuie, il ne va pas rester les bras croisés.
– Alors voilà, on va mettre votre désir de vengeance de côté, la vengeance est toujours contre productrice…
– Je…
– Laissez-moi finir, chère amie ! En revanche, agir afin que Chauvière cesse de vous importunez, je peux peut-être savoir-faire.
– Ah !
– Il faut que je vous explique : avant ma liaison, j’étais l’une des putes attitrées de Chauvière, non seulement il y avait les prestations sexuelles, mais il nous proposait des petits boulots qui n’avaient rien à voir avec la prostitution mais qui avaient à voir avec des trafics douteux. Chauvière n’a jamais touché à la drogue, ni aux armes, ce sont des milieux trop dangereux. Non son truc à lui c’est les diamants. Alors il nous demandait de faire du repérage, de noter des emplacements de véhicules, des identités de convoyeurs, des horaires, et la plupart de ces renseignements s’obtenaient de façon horizontales…
– Horizontales ?
– Oui, en couchant si vous préférez. Pourquoi je vous raconte tout ça ? Ben voilà, il commençait à y avoir de l’eau dans le gaz en ce qui concerne ma liaison avec Chauvière, je passe les détails, ce sont des histoires de bonnes femmes ! On s’est engueulé et il m’a fait une vacherie, en fait il a cessé de me payer en me demandant de me calmer et en me disant que je ne serais payée qu’après la prochaine opération. Donc j’ai effectué cette dernière opération, c’était à Rotterdam, chez Kuipper and son. J’ai tout noté dans un dossier, les immatriculations des véhicules, les noms de convoyeurs, le dates et les heures, et bien sûr le contenu du camion. Et j’ai pris des tas de photos. C’est dans un dossier dans mon coffre, je ne m’en suis jamais servi, je me suis réconciliée avec Chauvière avant qu’on se quitte à l’amiable, mais j’ai gardé le dossier… Encore un peu de thé ?
– Non merci !
– Le souci c’est qu’avec ça, on ne peut pas faire grand-chose ! Par contre… Par contre sa comptabilité est truquée, il faudrait retrouver le faux bon de livraison ou la fausse facture d’achat correspondant à la date du casse du camion. A ce moment-là prouver qu’elle est fausse serait un jeu d’enfant, le fournisseur indiqué sur la facture pourra prouver qu’il n’a rien fourni du tout… Maintenant pour trouver la facture en question, il faudrait quelqu’un dans la place ! En plus j’ignore si la facture est conservée en papier ou si elle a été numérisée, mais enfin bref, elle est quelque part.
– J’ai peut-être une idée, je vois quelqu’un demain matin, vous avez la date de la facture.
– Mais je vais vous la donner ! Et je vais vous faire une copie de l’ensemble du dossier que j’ai constitué. Bien sûr vous m’obligeriez en m’accordant la même faveur que lors de notre dernière rencontre.
– Ce sera avec grand plaisir.

Et trois minutes après nous étions à poil toutes les deux. On commence à se caresser debout l’une devant l’autre. Je lui lèche ses jolis seins dont les bouts sont déjà érigés, tandis que ses doigts viennent explorer ma chatte.

Le chien vient alors tourner autour de nous.

– Couché, Kellog ! Lui ordonne sa maîtresse.

Il s’affale sur le plancher, au moins il est obéissant. Nous on s’assoit côte à côte sur le canapé, elle ne m’a pas encore dit ce qu’elle souhaitait que nous fassions.

Et voilà le chien qui revient, c’est obéissant ces bestiaux-là mais ça n’a pas beaucoup de mémoire, il tente d’immiscer son museau entre mes cuisses, du coup je serre mes jambes instinctivement

– Kellog, t’es pas sage ! Lui dit Grace Hernandez.

Mais comme la phrase prononcée n’est pas un ordre, le chien ne réagit pas, il me regarde avec de grands yeux étonnés et la langue pendante.

– T’as déjà fait des trucs avec un chien ? Me demande mon hôtesse.
– Non, mais j’ai déjà vu le faire. (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier)

Pourquoi cette réponse qui ouvre une véritable brèche, le subconscient sans doute)

– Et ça te tente pas d’essayer ?
– Ben non !
– C’est vrai que c’est très tabou, mais tout dépend ce qu’on fait, par exemple si tu écartes les cuisses, le chien va te lécher la chatte et je t’assure que ça n’a rien de désagréable… bien au contraire.
– Je n’en doute pas un seul instant…

Bon on parle d’autre chose ou quoi ?

– Tu veux me regarder ?
– Oui, juste regarder, je veux bien, ça ne me détrange pas.

Grace ouvre alors ses cuisses, et le chien s’y précipite lui lapant la chatte comme à l’abreuvoir.

– Putain, quelle langue ! Commente-t-elle.

Sa respiration devient haletante, ma parole, elle est capable de jouir comme ça, sous la langue du clébard…

Et puis, allez savoir si c’est un acte manqué ou autre chose, mais j’ai fini par desserrer mes jambes. En même temps Grace commençait à piailler, faisant se reculer le chien. Celui-ci apercevant mon entrecuisse disponible est venu le gouter. Tétanisé je n’ai pas réagi, me laissant lécher en fermant les yeux.

Après tout, elle a raison, il n’y a pas de quoi fouetter un chat (ou un chien) c’est même assez troublant, mais pas question que cette bonne femme m’entraine plus loin ! Ah, mais !

– Je te propose un petit jeu… commence-t-elle

Je m’attends au pire…

– Je vais continuer à jouer un peu avec le chien, toi tu vas me regarder, puis quand j’aurais terminé tu vas me punir sévèrement pour t’avoir infligé un tel spectacle ! Ça te convient ?
– Ça me convient très bien ! Répondis-je.

Grace récupère le chien et après lui avoir caressé le dos passe sa main sous son ventre afin d’atteindre son fourreau. C’est spectaculaire, en quelques secondes la bite rougeâtre sort de sa cachette et finit par présenter un bel aspect. Elle fait ensuite passer la bite baveuse derrière son arrière-train et se met à la sucer goulument.

C’est la seconde fois que je vois ce genre de scène en réel (voir Chanette 27- L’affaire Manet Carrier). J’avais été la dernière fois tellement fascinée par le spectacle que j’avais été à deux doigts de participer.

Et là je suis en plein atermoiement, il suffirait d’un petit déclic… Mais il faut croire que le moment n’était pas encore venu. Ivre d’excitation Grace lâche sa proie et s’agenouille sur le canapé offrant ses fesses au chien qui ne tarde pas à comprendre ce qu’on attend de lui. Grace écarte les fesses, le chien monte sur sa maîtresse, trouve l’orifice et se met à baiser en cadence.

En plein trip Grace pousse des cris de plaisir.

– Arrange-toi pour qu’il m’encule ! Me dit Grace au bout de quelques minutes.

Allons-bon ! Voilà qui va m’obliger à toucher à la bite du chien ce sera une première, il y a toujours une première fois, Plus facile à dire qu’à faire, ce qu’elle me demande, Le chien ne comprend pas pourquoi je l’empêche de continuer son labeur, mais quand son sexe se retrouve à proximité de l’anus de la mature, il reprend ses va-et-vient avec une telle frénésie que Grace finit par jouir du cul (et peu silencieusement)

Elle s’est déboitée et elle a repris sa fellation ça ne dure pas longtemps, la bite du chien éjectant en continue un liquide visqueux.

Le chien rejoint son coin et s’assoupit dans l’instant.

– Voilà, maintenant, je suis à ta disposition, Me dit Grace Hernandez. Dans le premier grand tiroir là-bas il y a tout ce qu’il faut, cravaches, toys, menottes…

Je suis encore tellement troublée par le spectacle qu’il m’a été donné de voir que je n’ai aucune idée de la façon dont j’envisage la suite. Bah, j’improviserai ! Elle aime les mots crus et les humiliations, je vais li en servir.

Je prends la cravache dans le tiroir.

– Mets toit en levrette, grosse salope, je vais te rougir le cul

J’arme la cravache, je vise, le coup tombe laissant une trainée rougeâtre sur son gros cul.

– Whaf !

Hé ? Qu’est-ce que c’est ? C’est le clébard qui a décidément le sommeil léger et qui n’a pas l’air d’apprécier du tout que je flagelle sa maîtresse.

– Couché, Kellog, Chanette ne me fait pas de mal, on joue !

Comment voulez-vous qu’il comprenne…

– Continue Chanette !

Pas très rassurée, j’arme mon coup, le chien me grogne après ! Ce n’est plus possible de continuer.

– Bon on va laisser tomber, me dit Grace, je pourrais l’enfermer, mais ça va le traumatiser. On aura l’occasion de se revoir ailleurs.
– Comme tu veux, ma biche !
– Allez on s’embrasse !

On s’est embrassées, pelotées, on s’est léché réciproquement le gazon et l’anus comme deux vieilles goudous, on s’est fourré les doigts dans le cul d’une de l’autre.

Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Et c’est dans un souffle que je prononce l’incroyable à ma partenaire

– Je vais le faire, j’ai envie de le faire !
– Tu as envie de faire quoi ?
– De sucer la bite du chien.
– Tu ne le regretteras pas, c’est trop génial.

J’ai peut-être parlé un peu vite, l’excitation parfois fait dire de ces choses… Mais comment me dégonfler à présent.

Grace a rappelé le chien, l’a fait bander et s’est mise à le sucer de nouveau.

– Viens, Chanette, viens.

Je suis tétanisée, elle s’en rend compte.

– Viens tu en as envie, ne réfléchis pas, laisse toi-aller, hum, elle trop bonne cette bite !

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J’ai respiré un bon coup et me suis approchée, ça y est j’ai la bite du chien dans la bouche, c’est visqueux, c’est pervers, je suis une vraie salope et je mouille comme une éponge.

– Alors ? Demande Grace.
– C’est fou , je n’en reviens pas de faire ça !
– Ça te plait !
– Oh, oui !

On s’est embrassé, avec le gout de la bite du chien dans la bouche, puis on s’est remis en soixante-neuf et cette fois j’ai joui pour de vrai.

– La prochaine fois tu aimerais qu’il te prenne ?
– Pourquoi pas ?

A suivre

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Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:25

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 8 – Echappées du bateau par Chanette

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Dimanche 18 avril

Et le lendemain, nous accostions à Barcelone, je prends l’air le plus décontracté possible et me dirige vers la passerelle.

Un marin patibulaire me barre la route, un autre vient à ses côtés.

– Vous n’étés pas autoriser à quitter le bateau, ordre de Monsieur Patrick !

Je commence à baliser, mais voici qu’Amandine se pointe.

– C’est quoi ce délire, je ne peux pas descendre ! M’énervais-je !
– Y’a contre-ordre, cette personne est sous ma responsabilité ! Indique-t-elle aux marins.
– Ah bon ?

On descend du bateau.

– Fais-moi confiance, on va marcher un peu vite, mais en restant détendue, d’accord ?
– Mais…
– Tu te tais, dans cinq minutes, je t’expliquerais, allez en route.

Je la suis. Que faire d’autre ? On atteint l’entrée du métro, on descend. Amandine achète des tickets et on se dirige vers les Ramblas.

– Bon, j’explique, me dit-elle, on a déjà eu un incident de ce genre il y a six mois, là ça recommence, je ne veux pas me retrouver en prison pour complicité de ce genre de pratiques…
– Attends, je ne comprends pas
– Tu ne comprends pas qu’on veut te priver de ton identité ?
– Tout cela pour avoir rembarré un client débile… je rêve !
– Mais ça n’a rien à voir !
– Comment ça ?
– Bon je vais t’expliquer mieux, il y a six mois, le patron s’est servi d’une escort russe pour influencer certains membres du conseil d’administration d’une boite concurrente… je passe c’est assez compliqué… Toujours est-il que pour la remercier on l’a embarqué en croisière, à l’arrivée à l’escale de Tanger, elle s’est retrouvée sans papier, sans téléphone, sans rien et elle a disparu de la circulation.
– Mais pourquoi ?
– Le pourquoi, je l’ai su bien après, la fille bouffait à tous les râteliers et faisait double jeu. Donc le patron s’en est débarrassé, je suppose qu’elle a été vendue dans un bordel de Tanger, ces gens-là n’ont pas pris le risque de la supprimer.
– Brrr…
– Comme tu dis ! J’ai trouvé ça dégueulasse, mais bon je n’ai rien dit, j’ai une bonne situation ça aide parfois quand on a mauvaise conscience. Et puis je me suis dit que ce n’était après tout qu’un incident de parcours, que la fille l’avait bien cherché, on se donne toujours des bonnes raisons à la con. Seulement voilà que ça recommence avec toi ! Alors là je dis non ! Trop c’est trop d’autant qu’en cas d’enquête je serais fatalement accusée de complicité.
– On va où, là ?
– On va t’acheter une tenue plus discrète, ensuite on va se poser dans un bistrot et se renseigner sur les horaires d’avions pour la France. Quoi que non, t’as pas de papiers d’identité, donc on va prendre le train ou faire du stop…

On s’est donc posé dans un bistrot des Ramblas

– Tiens je t’ai récupéré le fric de tes enveloppes, le reste ce doit être au fond de la Méditerranée. Maintenant il faut que tu m’expliques ce que tu lui as fait à Chauvière pour qu’il décide de te vendre à Tanger ?
– Mais je n’en sais rien, dans l’affaire de son agression, je n’étais qu’un rouage…
– Tu peux m’expliquer tout ça par le détail, mais viens on file à la gare, les Ramblas c’est trop fréquenté. Merde, mon téléphone…

J’ai compris que c’était Patrick.

– De quoi ? Oui, on arrive dans vingt minutes… Bien sûr que je suis avec elle, c’était débile de l’empêcher de descendre, elle nous aurait fait un scandale et additionné les témoins, là je l’ai embobiné en douceur. La diplomatie il n’y a rien de tel, mon vieux !

Elle a raccroché, apparemment satisfaite de sa sortie.

Un train partait pour Toulouse dans 20 minutes, on est monté dedans.

Je lui ai donc expliqué en long et en large mon rôle (si on peut appeler ça un rôle) dans l’affaire de l’agression de Chauvière.

– Je ne comprends pas ce qu’il te reproche, quelque chose nous échappe. Tu vas faire quoi en entrant ? Pas possible de porter plainte, tu vas raconter quoi ? Pas de délit, pas de preuves, pas de témoins.
– Je vais voir, il faut déjà que fasse refaire mes papiers, que je me rachète un téléphone… sinon j’ai des amis bien placés, je ne vais pas laisser Chauvière et Patrick Schultz continuer à m’emmerder.

On a roupillé dans le train nous menant à Toulouse. Une fois arrivées on a loué une chambre d’hôtel, un très bel hôtel (tant qu’à faire…)

– Une chambre avec deux lits ?
– Non une chambre avec un grand lit ! Répondit Amandine sans solliciter mon avis.

– Je vais prendre une douche, j’ai attrapé un coup de chaud dans le train ! M’informe Amandine.
– O. K. J’irais après toi !
– On peut la prendre ensemble ! Me suggère-t-elle en minaudant.

Pas difficile de deviner que la demoiselle mijote quelques intentions salaces… Mais je ne suis pas contre… bien au contraire.

Nous nous sommes déshabillées de conserve (comme disent les sardines)

Elle m’attire vers elle, on s’embrasse bien profondément.

– Attends, j’ai envie de pisser ! Lui dis-je en me libérant de son étreinte.
– Moi aussi, viens.

Et nous voilà dans la salle de bain. Elle est immense, large baignoire, carré à douche, bidet.

– Y’a pas de chiottes ? M’étonnais-je
– Ce doit être la porte à côté, mais on s’en fout, on n’a qu’à pisser sous la douche.

On est dans le carré à douche, on ne fait pas couler l’eau pour l’instant, Amandine se lâche et un filet d’urine dégouline de ses cuisses. Je tente un coup de bluff :

– Oh, le joli pipi ! M’exclamais-je, ça donne envie d’y gouter !
– Ah tu aimes ça ? Fallait le dire, ! Approche ta bouche de ma chatte, je vais en faire encore un peu.

Hum délicieux son pipi !

– Tu veux le mien ?
– Bien sûr que je veux le tien, pisse-moi bien dans la bouche, ma jolie cochonne.

Après cette préface dorée, nous avons fait couler l’eau. Avez-vous remarqué que caresser un corps mouillé n’avait pas grand intérêt puisque la douceur de la peau disparait. Mais heureusement il y a une solution et cette solution, c’est la mousse. Solution toute partielle puisque si la mousse permet les caresses, elle ne permet pas les embrassades à moins d’être savonophile !

Donc après s’être bien peloté mutuellement, et introduit nos doigts dans nos trous d’amour, nous sommes passées au rinçage, puis à l’essuyage.

Amandine se jette sur le lit, écarte ses jambes, porte sa main à sa chatte :

– Et maintenant ? Dodo ou câlin ?
– Tu crois que tu vas t’endormi dans cette position ?
– Je peux changer ! Dit-elle alors en se couchant sur le ventre.
– Quel beau cul tu as ! La complimentais-je.
– Eh bien occupe-toi en !
– Tu veux quoi, mon doigt, ma langue ,
– Une fessée !
– Ah bon ?
– Oui, j’aime bien de temps en temps ! Mais attention, pas trop fort, hein ?
– A mains nues ?
– C’est comme tu veux, sinon il y a des mules …

Pourquoi pas, ça change, j’ai donc pris l’une de ces mules blanches généreusement fournies par l’hôtel et me suis mise à taper le joufflu de ma poupée Barbie préférée.

– Tu me diras quand tu en aura marre…
– Ça commence à chauffer ! Il est de quelle couleur ?
– Il est rouge.

Elle m’a demandé d’arrêter et de lui doigter le cul. Alors évidement avant de faire pénétrer mon doigt, j’ai tenue à lui embrasser l’endroit. Ce que je n’ai pas fait bien longtemps, son cul sentait le gel douche, vous allez sans doute me trouver cochonne, mais je préfère les odeurs naturelles.

Je lui ai ensuite doigté vigoureusement le cul, ça l’a fait jouir. On s’est embrassé tendrement et ensuite je lui ai offert ma chatte. Elle m’a sucé divinement me provoquant un orgasme violent et salutaire.

Chanette2808Ça fait du bien tout ça, nous voici apaisées, l’une contre l’autre nues sur ce grand lit douillet. Nous ne sommes pas restées sages très longtemps. Quand un corps aussi beau me ravit les yeux, mes mains ne peuvent rester insensibles, alors je lui caresse les seins, lui tripote les tétons.. Amandine reste passive un moment, puis se jette sur moi, m’embrasse avec fougue en me collant sa main sur ma chatte.

Quelques secondes plus tard nous étions en soixante-neuf nous donnant de nouveau du plaisir.

Patrick Schultz

N’étant toujours pas remontée à bord, et Amandine non plus, Schultz téléphone à cette dernière qui ne répond pas !

« Qu’est-ce qu’elles sont en train de nous faire, ces deux-là ? Je parie que cette gouine d’Amandine s’est amourachée de l’autre pétasse et qu’elles sont partie se brouter le gazon dans les Ramblas. »

Sans trop y croire, il envoie deux gros bras patrouiller dans les rues de Barcelone… on ne sait jamais… et prévient les passagers que suite à un petit problème technique le départ sera retardé d’une heure.

Evidemment les deux marins reviennent bredouilles. Schultz fulmine.

« Le patron va me passer un de ses savons, il est capable de me faire muter à Pétaouchnock ! Quoique non, j’en sais trop, du coup je risque de me retrouver dans une situation super dangereuse… »

Et après avoir avalé un grand verre de vodka orange avec des glaçons, il se calme :

« Je suis con, je vais faire simple et Chauvière n’y verra que du feu ! »

Il inscrit alors sur le journal de bord.

« Amandine Cantal semble de plus en plus déprimée sans qu’elle m’en laisse deviner la raison. Ce matin elle m’a fait part de son intention de quitter le bateau, je ne l’ai pas retenue, mais croyant à une comédie temporaire j’ai néanmoins retardé le départ d’une heure. Elle n’est pas revenue. Pas moyen de la joindre par téléphone. »

Et quand le yacht repartira de l’escale de Tanger, il écrira simplement la phrase convenue : « Beau temps, mer calme, tout se passe comme convenu ». Aucune allusion à ma modeste personne.

« Chauvière n’ira pas contrôler ! »

Il s’essuie le front.

« Et si des clients demandent après elle ? »

« Elle est un peu souffrante, rien de grave, elle va nous quitter à Tanger, elle va aller voir sa Maman… » Indiquera-t-il

Pourquoi inventer des grosses salades quand des petites suffisent !

Lundi 19 avril

Dans le train qui nous ramenait à Paris, j’échafaudas vainement des hypothèses afin de me venger de Chauvière et de Patrick Schultz.

– Si je m’arrangeais pour faire sauter son yacht quand il est à quai ? Proposais-je.
– Tu pourrais faire ça ?
– Je n’en sais rien, c’est juste une idée comme ça ! J’ai quelques relations…
– Sauf que ce n’est pas très pertinent, tu penses bien qu’il a une bonne assurance.
– T’as une idée, toi ? Demandais-je à Amandine.
– Porte plainte pour viol, c’est la grande mode en ce moment, n’importe quelle bonne femme peut raconter qu’elle a été violée et tout le monde la crois !
– J’aimerais quand même plus subtil !
– Au fait il te racontait quoi, Chauvière sur la clé USB ?
– Je n’en sais rien, je ne l’ai pas écouté !
– Mais pourquoi ?
– Je n’en sais rien ça m’est sorti de l’esprit, et puis je me suis dit « ce ne doit être que du blablabla sans importance ».
– Faut qu’on l’écoute, ça va peut-être nous donner des idées ! Tu permets que je vienne avec toi ?
– Mais bien sûr ma biche ! Au fait tu vas faire quoi maintenant ?
– Je vais envoyer ma démission dans les formes, puis après je me débrouillerais, je reprendrais probablement mon activité d’escorte de luxe, d’ici deux ou trois mois, je dégoterais bien un gros plein de fric prêt à m’entretenir.

J’ai donc récupéré mon chat, j’ai également récupéré mon téléphone professionnel que j’avais laissé à la maison. Je sors le fameuse clé USB de son tiroir.

– Va falloir prendre des notes…. Parce que si vraiment le fichier s’auto-détruit et que ça contient des trucs importants…
– On peut faire mieux que ça ! Me propose Amandine, on va faire ça à l’ancienne, on va enregistrer tout ça en analogique sur nos téléphones. Aucune technologie ne peut empêcher ça !

Pas folle, la nana ! Allez, on écoute et on enregistre…

« Bonjour Madame d’Esde. Je comprends parfaitement que vous n’ayez pas de temps à perdre avec un vieux débris comme moi, pourtant ce que j’ai à vous dire est important, écoutez bien, parce qu’ensuite ce fichier se détruira…

Flash-back : le récit de Chauvière.

J’ai beau être débordé, quand Jampeau a demandé à me rencontrer, subodorant un quelconque coup fourré, je l’ai reçu dès que possible.

– Vous m’aviez bien dit que s’il se tramait quelque chose contre vous et qu’on m’y associe, vous me tripleriez la prime…
– Absolument !
– Cette proposition est-elle toujours d’actualité ?
– Evidemment ! Dites-moi ce qui se passe, on vous a demandé de me supprimer, c’est ça ?
– C’est exactement ça !
– Et quel est le cerveau de cette opération ?
– Hubert Vargas !
– Le salaud ! Et le mode opératoire.
– Un tueur sera présent à La Tour Montparnasse lors du pot pour votre « Dollar d’or ». A l’aide d’une sarbacane, il vous enverra une fléchette imbibée d’un poison mortel
– A bon, ce n’était pas plus simple de me tuer dans la rue ?
– L’idée de Vargas c’est de désigner un coupable. Il y aura une nana dans la salle, Celle-ci a été grugé par un de vos collaborateurs qui lui a vendu un lot de pierres en zircon en guise de diamants. Deux faux témoins affirmeront avoir entendu cette personne proférer des menaces explicites à votre encontre, et on retrouvera l’arme du crime dans son sac à main.
– Quelle imagination ! Je suppose que vous allez donc me proposer un contre plan.
– J’y viens ! Le contre plan tient en deux actions. Au dernier moment le tueur sera contacté et contre une belle enveloppe, il recevra instruction de ne pas empoisonner sa fléchette et de ne pas viser le visage… Vous devrez porter un gilet pare-balles. Par ailleurs, un autre témoin sera présent constamment auprès de la fausse coupable et pourra ainsi témoigner qu’elle n’a pas attenté à votre vie. Je vous apprendrais comment faire le mort pendant quelques minutes… une technique orientale…
– Et ensuite !
– On laissera la presse vous dire mort, cela pendant 24 heures. Pendant ce temps les deux faux témoins seront en garde à vue et finiront par craquer ce qui inculpera Vargas.
– Mais c’est parfait, ça.
– N’est-ce pas !

Fin du flash-back et reprise de la lecture de la clé USB

… les choses se sont passés légèrement différemment, un autre de mes collaborateurs est venu vous tenir compagnie en compagnie de Patrick Schultz, ce n’était pas prévu, mais vous aviez ainsi deux témoins au lieu d’un, ce n’était pas plus mal ! L’arme du crime devait n’être déposée dans votre sac que pour démonter la conspiration. Il suffisait de comparer l’empreinte des lèvres. On a retrouvé la sarbacane ailleurs, cela a retardé un peu les opérations, pas bien grave.

Comme escompté les deux faux témoins ont craqué, mais plus tard que prévu, ce qui fait que Vargas s’est enfui au Pérou, pas de chance pour lui, je connais très bien le directeur de la Banca Libertad qui lui-même connait très bien la mafia locale, autant vous dire que Vargas n’a pas fait long feu !

Alors voilà, chère madame, j’ai appris que vous vous étiez octroyé les services d’un détective privé, j’ai appris également que vos rapports avec la police ont dépassé le cadre du dossier de l’enquête. C’est un peu gênant, comprenez que je ne souhaite ni que l’on découvre le côté caché de mon activité de diamantaires, ni que l’on m’implique dans la disparition fâcheuse de Vargas. Mais je sais aussi que je peux compter sur vous, je n’ai rien contre vous et vous n’avez rien contre moi, votre ennemi dans cette affaire c’est Vargas et je vous en ai débarrassé, quant aux diamants ma collaboratrice vous proposera un arrangement avantageux.

Je vous invite donc à ne rien faire qui pourrait par mégarde relancer une enquête qui n’a plus rien à dévoiler. Je veux malgré tout vous dédommager du préjudice que vous avez subi bien malgré moi dans cette affaire et laisser ma collaboratrice vous en fournir les détails.

Peut-être pourriez-vous, à votre retour, me contacter afin que nous puissions enfin trinquer au verre de l’amitié. »

Fin de l’enregistrement

– Eh bien c’est édifiant ! Commente Amandine.
– Comme tu dis !

J’essaie de relancer la lecture, ça ne fonctionne pas.

– Ne jette pas la clé, un informaticien balèze pourrait peut-être récupérer le fichier, mais à la limite on s’en fout, voyons si nos téléphones ont bien enregistré tout ça ! Me dit Amandine.

On vérifie, c’est O.K.

– Donc c’est clair, Chauvière a eu la trouille que tu fasses relancer l’enquête d’une manière ou d’une autre, donc pour lui la seule solution c’était de t’éliminer…
– Et comme c’est pas fait, on n’est pas sorti de l’auberge ! Ajoutais-je.
– Bon le temps presse, la première qui a une idée téléphone à l’autre, moi je vais me mettre au vert, mais je ne serais pas loin, chez ma tante dans les Yvelines.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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