Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 12 – Trio de coquines par Chanette
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N’empêche que pendant la discussion Estelle et Amandine se sont respectivement trouvées sympathiques.et en sont déjà à se tutoyer.
– Mais tes fonctions à bord, ça consistait en quoi ? demande Estelle à Amandine.
– Officiellement, j’étais directrice adjointe de la croisière, en fait je devais assurer l’encadrement des filles, ça n’avait rien de compliqué, avec ce qu’elles se mettaient dans la poche, les
problèmes étaient rares.
– Et en ce qui te concernes, tu as eu droit à des sollicitations de passagers ?
– Je m’efforçais de garder mes distances mais j’ai eu quelques sollicitations…
– T’as donné suite ?
– Dis donc, toi t’es bien curieuse… Mais comme la philosophie de la croisière était de contenter le client, ben oui, j’ai donné suite, j’ai payé de ma personne !
– Et tu t’es barrée comme ça ? Quand tu as deviné que Chanette était en danger ?
– Non c’est plus compliqué que ça…
C’est vrai que lorsqu’on raconte une histoire fut-elle vécue, on oublie toujours des passages, et parfois des passages importants…
Alors Amandine raconte l’épisode de l’escort russe (voir plus avant)
– Quand j’ai compris que Chanette allait connaître le même sort, j’ai trouvé ça dégueulasse, mais que les choses soient claires, je ne suis pas une sainte non plus, j’ai été lâche avec la russe,
j’ai fermé ma gueule, j’ai laissé faire, je n’en suis pas fière mais c’est comme ça ! Alors bon quand on est lâche une fois, on peut l’être une seconde fois, sauf que ça devient super dangereux,
en cas d’enquête, en tant que sous-directrice de la croisière je suis complice de tout ce qu’y s’y passe, je n’avais aucune envie de me retrouver accusée de complicité de trafic d’êtres
humains.
– Donc tu ne l’as pas fait que pour les beaux yeux de Chanette ?
– Qu’est-ce que ça peut de foutre ? Et confidence pour confidence, Chanette, je l’adore, n’est-ce pas ma biche que je t’adore ?
– Mais moi aussi je t’adore, mais on s’écarte un peu du sujet, là ? Répondis-je.
– Je voulais juste montrer à Mademoiselle qu’on s’adorait ! Réplique Amandine en trouvant mes lèvres.
Elle commence à déconner Amandine, avec sa petite provocation, Estelle va finir par faire la gueule.
A moi de remettre tout ça sur les bons rails.
– Mais avec Estelle, aussi, on s’adore, n’est-ce pas Estelle.
– Ben bien sûr qu’on s’adore.
Elle m’enlace, me roule un patin et me pelote les nichons.
– Oh les beaux nénés que je suis en train de toucher !
Je dois la faire arrêter, craignant que ça tourne mal…
– Je vais peut-être vous laisser ! Nous dit Amandine en se levant de son siège.
– C’est moi qui te fais fuir ? lui demande Estelle.
– Ce n’est pas une fuite, mais comme vous m’avez l’air très intimes toutes les deux, autant que je respecte votre intimité.
– Mais on n’est pas intime, on se connait à peine, on s’est vu deux ou trois fois et on a bien aimé faire des trucs ensemble.
– Ah ?
– Je peux te raconter si tu veux, c’est assez marrant. Propose Estelle
– Vas-y, je t’écoute…
– Figure-toi que mon patron avait besoin de détails sur une partouze qui avait été organisée chez Chanette (voir Chanette 28 – Magazines littéraires) Il fallait donc que je la rencontre et je ne
savais pas du tout comment m’y prendre, alors j’y suis allé au culot et je lui ai dit que je voulais apprendre le métier.
– Comme ça ?
– Non je résume ! Mais toujours est-il que du coup je suis tombée sous son charme !
– T’as donc raté la mission que t’avais confié ton patron ?
– Même pas ! Mais dis donc toi, je te regarde depuis tout à l’heure, t’es vraiment canon !
– On me le dit souvent, mais parfois j’aimerais me faire toute petite, qu’on ne me remarque pas…
– Ben ce soir c’est raté ! Dis-moi je peux t’embrasser ? Tu veux bien ?
– Tu m’as l’air bien excitée !
– Ce sont des choses qui arrivent… Tu ne veux pas me monter comment tu embrasses ? Minauda Estelle.
La demande est faite d’une voix tellement suave qu’Amandine se demande s’il faut en rire ou accepter le défi. Elle approcha ses lèvres, les deux femmes se lancent alors dans un patin d’enfer, tandis que leurs mains loin de rester inactive jouent à « Vas-y que je te pelote ! »
Et moi, je fais quoi ? Je fais banquette ?
– Eh, les filles, si vous voulez vous amusez, on serait mieux dans ma chambre !
Je m’y suis dirigée la première, Estelle m’a suivi entrainant Amandine par la main.
Une fois en chambre, il y a un petit moment de flottement, personne ne prend l’initiative de se déshabiller la première.
– T’es lesbienne ou bi ? Demande Amandine à Estelle.
– Je ne sais pas trop ce que je suis, j’ai rarement été avec les femmes, mais disons que la petite aventure que j’ai eu avec Chanette m’a réveillé de vieux souvenirs… et puis ça change… Mais
dis-moi, tu nous le montres ton corps de déesse ?
– Faut peut-être pas exagérer !
– On se déshabille toutes alors ? Proposais-je
C’est donc ce que nous avons fait.
Estelle a entrainé Amandine sur le plumard et se jette littéralement sur elle, mais de travers, lui bouffant les seins avec une fougue de sauvage.
Etant donnée la position d’Amandine, sa chatte reste offerte, elle sera donc pour moi et je m’en délecte d’autant que la coquine mouille déjà.
Estelle complétement barrée dans son trip ne tarde pas à vouloir sa part de chatte, elle change de position, descend et vient me rejoindre m’invitant à partager mon cuni !
Elle est gonflée, celle-ci ! Mais je ne suis pas mauvaise fille et lui cède la place
Je me recule, le spectacle d’Estelle en train de brouter le gazon d’Amandine a quelque chose de fascinant d’autant qu’elle accomplit sa tâche en relevant le croupion de façon obscène.
Je me précipite vers ces chairs offertes, je caresse, j’embrasse, je malaxe, j’écarte les globes, lèche le trou étoilé avant d’y introduire un doigt inquisiteur que je fais aller et venir en bonne cadence.
Un cri fulgurant…
Amandine vient de jouir sous les coups de langue d’Estelle… Et après celle-ci viendra nous raconter qu’elle n’a aucune expérience des amours lesbiens. Ou bien c’est une sacrée menteuse, ou alors elle a été touchée subitement par la grâce de Sainte Cunégonde, patronne des cunis !
Toujours est-il que le trio se disloque…
Mais vous vous doutez bien que nous n’en avons pas terminé pour autant.
C’est au tour d’Estelle de se coucher sur le lit, les jambes écartées, nous invitant à continuer à lui procurer du plaisir. Amandine est la plus rapide est plonge son visage entre ses cuisses. Quant à moi, je m’accroupis au-dessus de son visage afin qu’elle s’occupe de ma propre chatte.
La position n’est pas des plus pratiques pour Estelle qui est obligée de me lécher, menton relevé. Elle finit par laisser tomber s’abandonnant à la langue d’Amandine tandis que je lui caresse ses gros bouts de sein.
Après qu’Amandine l’ai fait jouir, elle revient vers moi et dans une position cette fois plus pratique parvient à me faire jouir à mon tour.
Nous sommes toutes les trois un peu épuisées par ce quart d’heure de folie (eh, oui, ça n’a pas duré plus longtemps !)
– Si on allait manger le gâteau ? Propose Estelle.
– Volontiers, mais je vais pisser avant ! Tu veux me regarder ! Lui lance Amandine.
– Te regarder pisser ? En voilà une idée ?
– Je te proposais ça comme ça, je m’étais dit que ça te plairait peut-être…
– Me prendrais tu pour une oie blanche ?
– Vu la façon dont tu m’as léché, ça m’étonnerait. Alors tu viens ?
– J’arrive !
Amandine s’accroupit sur la lunette de la cuvette et se mit à pisser d’abondance.
– Alors c’est beau ? La nargua-t-elle
– Bien sûr que c’est beau, je crois que je vais pisser aussi.
Amandine eu le tact de ne pas aller plus loin dans ce qui n’était même pas une provocation.
J’appris beaucoup plus tard, que les rapports à l’uro d’Estelle étaient en fait assez compliqués. Quand son patron, Maître Doubise entreprenait de la baiser il n’était pas rare qu’à la fin, il lui pisse dessus et même dans la bouche. La pratique n’incommodait pas Estelle, elle trouvait même la chose relativement amusante, mais ça restait dans son jardin secret.
On s’est placé autour de la table, j’ai débouché une bouteille de rosé bien frais et on s’est partagé le gâteau.
– Tu veux bien que je tartine ? Demande alors Estelle à Amandine
– Me tartiner quoi ?
– Tes seins ?
– Hein ?
– Lisse-moi faire.
Estelle a pris alors du gâteau et en a écrasé des morceaux sur les seins d’Amandine qui s’est mise à rigoler comme une bossue.
Evidemment Estelle et moi, avons dégusté tout cela en léchant chacun un sein, tandis qu’Amandine se laissait gagner par l’extase.
A suivre
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