Partager l'article ! Chanette 31 – La clairière secrète – 4: Chanette 31 – La clairière secrète – 4 – D’une clairière à l’autre – C ...
– Ce mec ne me dit rien du tout ! Chuchotais-je à l’oreille de Frédérique.
– Ben, quoi, il est mignon, non ? Et il a une belle bite ! Me répondit-elle
– Pas mon genre !
– Alors on se casse ! C’est dommage, j’aurais bien brouté la Rachel.
– T’auras d’autres occasions !
– Peut-être, mais je me demande bien pourquoi elle nous a proposé ça ?
– Arrête, c’est toi qui l’a branché en lui parlant de sa chatte.
– Je l’ai provoqué, mais j’ai l’impression qu’elle nous aurait sollicité de toute façon.
– T’es sûre de ça ?
– Evidemment, pour elle c’est la meilleure façon de protéger son petit secret.
– Tu parles d’un secret, ils n’ont pas été discrets.
– Elle ne s’est pas rendu compte qu’on pouvait les voir…
– On fait quoi alors ?
– Pour l’instant on roupille, ensuite on va se brancher la Rachel à deux et je m’arrangerais pour que son fiston te foute la paix.
Et une demi-heure plus tard…
– Alors Frédérique, tu la veux toujours, ma chatte ?
– Bien sûr que je la veut !
– On est tous les deux à votre disposition ! Nous indique-t-elle, tout en branlant la bite de son fils, regardez-moi cette bite, ce serait dommage de ne pas la sucer, n’est-ce pas ?
– Je vais te lécher la chatte et pendant ce temps-là, Christine (c’est moi) va te lécher le troufignon.
– Allons-y !
– Et moi je fais quoi ? Demande Bertrand.
– Patience, on est pas pressée ! lui dit sa mère.
– Je veux bien qu’il s’occupe de mon cul pendant que je te lèche ! intervient Frédérique.
Et le quadrille se met en place. Me voilà donc derrière Rachel en train de lui lécher le fion. De l’autre côté Frédérique se régale (du moins je suppose qu’elle se régale) de la chatte charnue de Rachel. Quant à Bertrand, je n’ai pas beaucoup de visibilité mais il me semble bien qu’il s’active accroupie derrière Frédérique.
Au bout de cinq minutes, Rachel se dégage, elle devait avoir des crampes, et s’assoie par terre.
– Oh, mais qu’est-ce qu’il sont jolis, tes pieds ! me dit-elle.
Ah bon ?
Je ne suis pas moi-même fétichiste du pied, mais j’en ai croisé pas mal. Mais c’est vrai qu’un pied ce peut être très joli surtout s’il est entretenue et les ongles vernis.
– Tu veux les lécher ?
– Oh oui ! Oh oui !
Je lui tend mon panard.
– Me chatouille pas s’il te plait !
Elle me lèche les orteils, mais la position est intenable je suis debout sur un pied et suis à deux doigts de me casser la gueule.
– Attends !
Je m’assoie par terre et lance mes pieds en avant, dans cette position, elle peut me lécher tant qu’elle veut, je ne risque pas la chute.
A côté de nous, Frédérique a engloutit la bite de Bertrand. Donc pour l’instant tout va bien.
Rachel me fait signe qu’elle aimerait bien m’embrasser, ce n’est pas un problème, on se roule un gamelle, elle embrasse bien la filoute !
– Tu m’as l’air d’une sacré coquine ! Me complimente-t-elle.
– Et toi donc !
– On va dire que je suis libertine.
– T’es venu ici par hasard !
– Non, j’ai trouvé les coordonnées sur Internet. Dans un site qui listait des endroit coquins, il disaient qu’il y venait des couples échangistes.
Intéressant ! Je comprends mieux pourquoi ma copine Anna a voulu m’emmener ici. Elle va m’entendre celle-là !
Des gémissements intempestifs proviennent d’à côté. Frédérique en position de levrette se fait proprement enculer par Bertrand. J’espère qu’il va jouir en elle, comme ça il me foutra la paix.
Je lèche la belle poitrine de Rachel, faut voir les gros tétons qu’elle se paye, c’est un vrai délice sous ma langue.
Mais j’en veux davantage et descends vers sa chatte charnue qui mouille comme une éponge.
Je me régale de ses sucs et quand elle commence à haleter de façon intempestive, je porte le bout de ma langue sur son clito et la fait partir au septième ciel. Il faut dire que dans ce genre de rapport, j’ai ma petite expérience..
– A toi de me faire jouir ! Lui indiquais-je.
Elle n’a pas refusé (heureusement encore !) et s’est montrée très douée.
Un peu de repos maintenant ? Bertrand sort du troufignon de Frédérique qui a jouit du cul comme une malade. Il retire sa capote (elle sort d’où sa capote ?) Manifestement il n’a pas joui.
Je me relève pour l’éviter, mais il n’est pas si bête que ça et à du deviner qu’il ne me branchait pas.
– Maman, je peux encore t’enculer ?
– Mais bien sûr mon chéri.
Rachel se positionne et écarte des globes fessiers pour recevoir la bite de son fils, il la pénètre à la hussard. L’affaire fut rapide, il devait avoir les couilles pleines.
– Faut que je pisse ! Vous voulez une petite douche, les filles ? Propose Rachel décidemment déchaînée.
– Oui, oui, pisse-moi dessus ! Répond Frédérique. Je veux ton pipi dans ma bouche !
Elle se fait donc arroser et comme c’est le genre de délire que j’apprécie tout particulièrement, je me pose à côté d’elle pour recevoir ma part.
Petit flashback
Anne-Marie chemine, elle a beau être désormais équipée pour se garder des vipères, elle n’est pas si rassurée que ça !.
– J’ai horreur de ces bestioles, c’est viscéral.
Et la voilà qui entend du bruit, des drôles de bruits.
– C’est pas possible, y’en a qui s’envoient en l’air dans le coin ?
Elle se rapproche. Elle n’en croit pas ses yeux.
– Des gouines ! Quelles salopes ! Elle a un de ces culs la rousse ! Hum elle m’excite, elle m’excite. Mais, mais ce sont les deux nanas que je file. Trop la chance de les avoir retrouvées. Mais bon, si elles sont parties en balade uniquement pour s’envoyer en l’air, je vais avoir l’air de quoi ? Et on dirait un couple plus loin… c’est la clairière des nymphos ici ou quoi ?
Anne-Marie assiste à la partouze, la main dans la culotte et attend patiemment que nous relevions et que nous reprenions notre marche. Puis elle reprend sa filature…
Reprise
Nous marchons encore un quart d’heure avant de découvrir une clairière beaucoup plus grande au milieu de laquelle trône une bâtisse en rondins apparemment récemment rafistolée.
Des gens s’activent sur une grande table devant cette cabane, on ne voit pas bien, mais Frédérique a emporté ses jumelles.
– C’est quoi ces pitres ? Regarde, ils sont tous en aube blanche.
– Une secte ?
– Mais qu’est-ce qu’il fabrique sur cette table ? Tiens regarde !
Deux types sont en train de trifouiller ce qui ressemble bien à une arme de guerre, je ne peux l’identifier, je n’y connais rien, Frédérique non plus.
– On n’en saura pas plus, on va rentrer. Me suggère cette dernière.
– Ok on y va !
– Ne bougez plus, levez les mains en l’air ! Nous gueule un type derrière nous.
Manquais plus que ça ! Bien obligées d’obéir.
On nous maitrise, on nous emmène derrière la cabane où règne une odeur nauséabonde. On nous fait assoir par terre après nous avoir ligotées et bâillonnées. J’ai connu des situations plus confortables.
Anne-Marie a tout vu, elle a des jumelles et elle est armée et entraînée. Mais elle se refuse à prendre une initiative sans instruction claire. Elle tente de contacter Adrien. Pas de réseau…
Il va donc lui falloir se décider, soit ne rien faire pour le moment et revenir avec Adrien, soit intervenir immédiatement…
Elle sent une imperceptible présence derrière elle. Elle se retourne d’un bond et vise à cinquante centimètres du sol. Le type blessé à la jambe hurle comme un malade.
Tout ce vacarme a rameuté les gens en aube.
– Personne ne bouge ! Hurle Anne Marie en pointant son flingue contre cette bande de dangereux excités.
Mouvement de flottement.
– Maintenant libérez les deux femmes.
Un gros caillou venu d’on ne sait où lui atterri sur le front. Anne Marie s’écroule, elle est maitrisée et vient nous rejoindre derrière la cabane, comme nous, ligotée et bâillonnée.
Evidemment je suis d’abord surprise de la voir. Je comprends néanmoins qu’elle nous a suivi. Elle me prend pour qui cette pétasse ?
Pas facile de dialoguer quand on est bâillonnée, Anne Marie essaie de nous dire quelque chose, je n’y comprends rien
Anne Marie approche son visage de ma nuque et à l’aide de ses dents parvint à dégager mon bâillon. Elle me tend sa propre nuque, je comprends qu’elle souhaite que je la dégage à mon tour, mais je n’y arrive pas. Frédérique vient à la rescousse et cette fois ça fonctionne.
Nous ne sommes plus bâillonnées. Je pose des tas de questions, Frédérique aussi.
– On parlera de tout ça tout à l’heure, nous interromps Frédérique, pour l’instant il faut qu’on se détache !
Les liens ont été confectionnés avec des torchons serrés. Anne Marie avise un petit bout de bois un peu large, l’attrape avec les dents. Elle s’approche de Frédérique.
– Toi tu vas m’aider, il fait essayer d’introduire le bout de bois dans le nœud.
On fait ça pratiquement en aveugle avec nos mains liées dans le dos . Pas pratique mais on y arrive. Une fois le bâton dans le nœud, il suffit de faire pression dessus afin de le desserrer. (Toute une technique !)
Nous voilà libérées de nos liens.
– Maintenant on se barre ! Nous dit Anne Marie, ne faites pas de bruit, je vais voir si la voie est libre.
Elle revient très vite.
– Pas moyen, ils sont toute une flopée !
– Et par là ? Proposais-je
– Je vais voir…
Quand elle revint, ce fut pour nous dire que cette issue débouchait sur un ravin impraticable.
– Je vais réfléchir, la solution c’est sans doute de prendre l’un de ces abrutis en otage, mais ça risque d’être un peu compliqué.
A l’intérieur, Graziello, le gourou de la bande tient conciliabule avec Lyrta, sa groupie préférée.
– On en fait quoi de ces connes ? Demande-t-elle.
– Faudra bien qu’on les relâche.
– On pourrait aussi bien les faire disparaitre, on les fait dégringoler dans le ravin, et bing, ça s’appelle un accident de montagne…
– T’es pas un peu malade, leur disparition sera signalée et le coin va être envahi par la gendarmerie, les gardes chasses, les chiens renifleurs…
– Oui, bon … mais si on les torturait un peu avant de les relâcher ?
– Pour qu’elles portent plainte, tu devrais arrêter de fumer n’importe quoi. Par contre on peut leur faire peur et les énerver un peu. Qu’on aille me les chercher.
Ils sont venus nous chercher à je ne sais combien, ils ont l’air complètement abrutis ne s’étonnant même pas que nous soyons libérées de nos entraves.
– Ils vont nous interroger ! Laissez-moi parler, je sais faire face à ce genre de situation. Nous confie Anne Marie en catimini.
Le gourou est plutôt beau gosse pour qui apprécient le genre brun ténébreux avec des sourcils de compétition, auprès de lui trône une blondasse qu’on dirait sortie d’un épisode d’Alerte à Malibu
– Je me demande de ce que je vais faire de vous, commence le gourou, mais dites-moi donc ce que vous veniez faire ici ?
– On se baladait ! C’est interdit ? Répond Anne Marie.
– Avec un revolver et dans un coin infesté de vipères ?
– Le revolver c’est pour les mauvaises rencontres, et les vipères ne me font pas peur
– On tient à notre tranquillité, nous ne faisons de mal à personne. Vous pouvez comprendre ça ? Nous dit le gourou.
– Mais parfaitement. Nous ne pensions pas rencontrer du monde mais nous n’avons rien contre vous !
– Encore heureux, nous sommes les adorateurs d’Odilon.
– Je crains de ne pas connaître…
– Evidemment, il faut être initié. Je vais réfléchir à votre sort, rien ne presse.
– Etes-vous conscient que nos amis vont vouloir nous rechercher ?
– Bien sûr, pour qui nous prenez-vous ? Mais nous savons gérer ce genre de situation. Gardes donnez-leur à boire et reconduisez-les derrière la baraque.
Retour donc à la case départ.
– Ils vont nous libérer, ils ne peuvent faire autrement . Nous dît Anne Marie se voulant rassurante.
– Et pourquoi ils ne le font pas tout de suite.
– Pour nous emmerder.
Au gîte on commence à s’inquiéter. Oh pas pour moi, tout le monde s’en fout de moi, mais William s’inquiète pour Frédérique et Adrien pour Anne Marie, d’autant que les portables restent désespérément muets.
William pâle comme un linge s’approche de Jacques.
– Excusez-moi, vous connaissez bien la région ?
– J’y suis né.
– Parce que ma copine est partie ce matin vers le chemin de la fouine, elle n’est pas rentrée et son portable ne répond pas.
– Normal, il n’y a pas de réseau par-là !.
– Oui mais je suis inquiet quand même, ça vous dirait de m’accompagner…
– Mais elle va revenir votre copine, arrêtez de baliser. Vous me faites rire les Parisiens, toujours en train de vous inquiéter pour rien
Adrien qui n’était pas très loin s’approche.
– Laissez ce pleutre ! Moi, je vais venir avec vous, dit-il à William.
– Comment vous m’avez appelé ? Réplique Jacques jouant les offusqués.
– Fallait écouter mieux, venez William, ne perdons pas de temps.
Les deux hommes cheminent et… (vous vous en serez douter !) tombent sur l’ermite.
– C’est pas possible, c’est une invasion, il n’y a rien à voir par là. Foutez le camp !
– Bonjour monsieur. Répondit Adrien avec un calme olympien. Nous recherchons trois jeunes dames qui se sont sans doute aventurées dans le secteur
– Foutez le camp !
– Répondez-nous et on s’en ira.
– Je ne suis pas une agence de renseignements.
– Bien sûr, mais répondez moi quand même !
– Foutez le camp.
– Ecoute pépère, si la courtoisie ne te convient pas, on peut faire autrement.
Adrien attrape le bras de l’ermite et le tord violement.
– Maintenant tu me réponds ou je serre plus fort ?
– Vous n’avez pas le droit… aïe.
– Alors t’a retrouvé ta langue ?
– Il y a trois pétasses qui sont passées ce matin.
– Et elles sont revenues ?
– Bien sûr que non, elles ont dû crever, c’est trop dangereux par là.
Passant outre les vociférations de l’ermite les deux hommes poursuivent leur chemin… jusqu’au fameux panneau dissuasif.
– Merde, je n’avais pas pensé à ça, si on se fait piquer, c’est la cata… on retourne au gîte en vitesse, J’espère qu’ils ont encore des doses de sérum.
Ils rebroussent chemin, repassent devant l’ermite qui se contente de ricaner stupidement.
Le temps d’embarquer le sérum et de se protéger et c’est reparti.
Et soudain Adrien pousse un cri de douleur et s’écroule au sol ! Non ce n’est pas une vipère, il a buté sur on ne sait quoi, sa cheville gonfle à vue d’œil. C’est l’entorse.
– Putain, ça fait trop mal, Il va falloir que tu m’aides à revenir. On ne peut plus continuer comme ça. On va prévenir la gendarmerie, c’est eux qui feront le boulot.
La marche est pénible. Adrien a beau être un dur à cuire, quand ça fait mal, ça fait mal.
On a fini par nous libérer. Il commence à faire tard, on vérifie s’ils ne nous ont rien piqué, non tout est là à l’exception du flingue d’Anne-Marie, faut pas rêver non plus !
On est un peu choqué quand même par cet épisode sordide, on le serait à moins ! Aussi Frédérique et moi commentons en boucle l’événement. Anne-Marie pour sa part s’est enfermée dans le silence. Personne ne gère son stress de la même façon.
Après avoir dépassé le fameux panneau anti-vipère, Frédérique constate qu’elle a enfin du réseau
– On arrive, on sera là dans vingt minutes.
– Dieu soit loué ! répond William qui pourtant n’y crois guère.
Anne-Marie téléphone à son tour… pas moi, personne ne s’inquiète de moi.
On arrive, on a droit de la part de la patronne et de sa fille a une flopée de commentaires dont nous n’avons que faire, même si ça partait d’une bonne intention.
– On est tombé sur une bande de fous furieux, une secte d’abrutis. On va porter plainte pour séquestration.
Anne-Marie a continué à se taire mais ne perdait pas une miette des conversations.
William et Frédérique m’ont invité à leur table. Je me suis étonné de déguster une omelette aux champignons avec grand appétit.
Dans la salle, il n’y a personne d’autres hormis Jacques mettant un temps infini à dévorer sa part de clafoutis.
Adrien et Anne Marie sont montés dans leur chambre après avoir simplement avalé un verre de jus d’orange .
– Bon, faisons le point, commence Adrien.
– Attends, je téléphone d’abord aux gendarmes, il n’est pas question que ces conasses portent plainte… Allô la gendarmerie, ici l’agent 475689U, sécurité du territoire. Je vous donne mon code
pour vérification…
– Allez-y… votre identité s’il vous plaît
– Anne Marie Ledoux
– Je vous écoute
– Deux personnes s’apprêtent à porter plainte au sujet d’individus suspects opérant dans une clairière accessible par le chemin de la fouine près du gîte de la Gloriette.
– Hum ..
– Il s’agit d’une affaire classée Défense, je suis missionnée pour la prendre en charge…
– Donc on enregistre la plainte mais on ne fait rien, c’est ça ?
– Vous avez tout compris ! Pas trop cons ceux-là, commente-t-elle en raccrochant .
– Tu parles, on leur évite une opération merdique. Bon alors fait moi un rapport sur tes aventures.
– J’ai suivi la pute qui s’est embarqué avec cette Frédérique. Elles ont rencontré l’ermite, c’était un peu chaud mais rien d’important, elles ont dépassé le panneau anti-vipère, je suis revenue
m’équiper…
– Je sais tout ça, mais après ?
– Je ne savais pas si j’arriverais à les rattraper, l’ai j’ai eu du bol, figure-toi que, elles sont arrêtées pour se bouffer le gazon .
– Non ?
– Si ! Et ça a duré un certain temps parce qu’après elles ont partouzé avec un autre couple… Ensuite elles sont arrivées devant une baraque où s’activait une quinzaine de personnes en toge
blanche…
– Ce serait donc une secte ?
– Ça y ressemble sauf que certains d’entre eux, dehors autour d’une table s’amusaient à bricoler des armes de guerre. Et là les nanas ont été capturées, j’ai voulu t’appeler mais pas de réseau.
Obligé de prendre une décision, j’ai braqué tout ce petit monde mais j’ai reçu un caillou sur le crâne
Elle raconte la suite, la libération des liens, l’entretien devant le gourou ..
– Tout ça, ça change un peu la donne, je vais appeler le boss.
Adrien lui raconte tout ça, au bout du fil la réponse est très brève.
– Il a dit quoi ?
– Il a dit qu’il fallait qu’on se démerde et il t’a reproché d’avoir pris le risque de faire capoter la mission
– N’importe quoi ! Et concrètement on fait quoi maintenant ?
– La pute est de fait hors de cause, reste ce connard de Jacques et éventuellement les patronnes, on se partage le boulot, je prends Jacques, si je pouvais me le cogner, celui-ci !
– Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
– Quand William lui a demandé de l’accompagner pour rechercher sa copine, il a carrément refusé…
A table après le dessert on a un peu traîné, William invoquant une grande fatigue nous a laissé, Frédérique et moi en tête à tête.
– Faut qu’on oublie tout ça, si tu veux demain on ira se balader ailleurs, peut-être que l’on trouvera une clairière accueillante ?
– Coquine !
– Ça ne te dis pas ?
– Bien sûr que si.
– Si j’osais je te demanderais bien un truc un peu chelou !
– Dis toujours.
– Mon copain a un fantasme, c’est de regarder deux femmes ensemble.
– Classique.
– Ça te gênerait ?
– Je ne sais pas trop, ce n’est pas que ça me gêne, c’est que ça fout la spontanéité en l’air.
– C’est non, alors ?
– Ça me dit rien .
– Pas grave. Sinon je ne comprends pas l’attitude de cette Anne Marie, on a quand même partagé des sales moments et maintenant elle nous snobe… et d’abord qu’est-ce qu’elle avait à nous suivre
?
– C’est une espèce de fliquette ou de détective, enfin quelque chose dans le genre. Je ne sais pas trop ce qu’elle cherche avec son copain ?
A suivre
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