Chanette

Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 18:02

Chanette 33 – L’escroc de Bourges 2 – Les ardeurs de Max le dur

L’avocat arrivé, je peux m’entretenir avec lui après qu’il ait consulté le maigre dossier. Je n’apprends pas grand-chose de plus, sauf qu’un voisin intrigué par l’activité de l’entreprise de débarras a cru bon de relever le numéro de plaque minéralogique de mon véhicule. Ce qui explique, je pense le mystérieux coup de fil de cette personne se réclamant du cadastre…

– Donc, nous résume la fliquette, cet acte notarié est un faux grossier, la clerc de notaire était en fait complice de Paturel. Nous allons vous présenter devant le juge d’instruction. Selon toute vraisemblance vous allez être inculpée de vandalisme, de violation de domicile et j’en passe…
– Mais enfin, ma cliente est de bonne foi ! Rétorque l’avocat !
– Bien sûr que non ! Il y a trop d’éléments farfelus dans cette affaire, vous auriez posé les bonnes questions, vous vous seriez aperçue qu’on était en pleine escroquerie… mais je suppose que ça vous arrangeait de jouer les autruches. Vous avez plus ou moins senti l’arnaque mais pas le fait qu’elle était dirigée contre vous !

Je rêve !

– Remettez moi cette pute en cellule, je vais demander au juge d’instruction à quelle heure il sera libre.

Le juge est un vieux binoclard aux joues creuses, mal peigné et puant la sueur.

– On voit de tout dans ce métier ! Soupire-t-il ! Je viens de parcourir le dossier ! Est-ce que vous vous rendez compte du préjudice que vous avez causé à cette modeste famille ?
– On m’avait affirmé que la petite famille était décédée dans un accident de voiture.
– Et vous avez gobé ça ?
– J’ai eu cette faiblesse !
– Et où êtes-vous allé chercher que l’on pouvait faire du nettoyage par le vide dans une maison dont vous n’étiez pas encore propriétaire ?
– Je n’ai pas fait d’étude de droit, monsieur le juge !.
– Pff ! Qu’est-ce que je vais bien faire de vous ? Si je comprends bien, vous avez d’ores et déjà perdu 32 500 euros, vous ne les récupérez jamais, c’est déjà pas mal comme punition. Par ailleurs il me paraît évident que la famille va vous attaquer au civil et demander des dommages et intérêts… vous n’y couperez pas ! Donc on ne va pas charger la barque, elle est déjà assez lourde comme ça ! Vous allez donc sortir libre mais vous serez témoin assistée dans le dossier Paturel. Allez affaire suivante… aurevoir madame !

Et chères lectrices, chers lecteurs, pensez-vous que je sois du genre à m’assoir sur 32 500 euros et sur un paquet de dommages et intérêt ?

Dès ma sortie de chez le juge d’instruction, je m’asseyais à la terrasse d’un bistrot, commandait un bon chocolat chaud et deux tartines beurrées et sollicitait par téléphone le concours de Max le dur, l’homme de main d’une vieille connaissance (voir les épisodes précédents)

Et le soir, il était chez moi ! Et je lui expliquais toute l’affaire.

– T’as vraiment le chic pour te foutre dans des pétrins pas possible !
– Je ne le fais pas exprès !
– Je sais bien !
– La police va enquêter, ce que je peux faire, la police le fera aussi, la différence c’est qu’ils ont beaucoup de moyens, moi je suis tout seul ! L’autre différence c’est que si la police coince ce Paturel avant moi, tu pourras dire adieu à ton fric. Donc comme ça, sur le papier, le chalenge parait impossible.
– On laisse tomber, alors ?
– Non, faut que je réfléchisse ! J’ai pas bouffé, je te paye le restau ou on se fait un bouffe ici ?
– Je peux commander des pizzas ?
– Super ! Mais l’huile de pizza, ça a tendance à m’exciter !
– On fera avec.

Et comme prévu, une fois les pizzas avalées et la bouteille de rosée descendue, Max devint entreprenant… Je me laissais faire, faire l’amour avec Max n’a jamais été une corvée.

– Bon, Max, je vous en prie arrêtez donc de jouer au Don Juan ! Vous avez envie de me baiser ! Je ne suis pas contre !
– Je ne voulais pas être aussi direct !
– Et bien tant pis, on va dans ma chambre, vous connaissez le chemin.

On se déshabille chacun de notre côté. Il flashe sur mes seins. Il les connait par cœur depuis le temps qu’on s’envoie en l’air tous le deux, mais non, il ne s’en lasse pas.

– Quelle belle poitrine !
– Tu me dis ça à chaque fois (Ben oui Max parfois je le tutoie, parfois je le vouvoie)
– Je ne peux pas m’en empêcher !

Elle n’est pas mal ma poitrine, (95 D) je ne m’en plains pas, il y a mieux, il y a pire.

– Et bien caresse-là, tu en meurs d’envie.

Ce n’était pas la peine de lui proposer, il l’aurait fait de toute façon, il me titille mes tétons avant de les gober ou plutôt de les envelopper de sa langue. Ils dardent sous la caresse…

Mais on ne va pas rester debout alors que mon plumard est si confortable, je l’entraîne et m’y étale les jambes écartées, la chatte offerte.

Il aurait sans doute préféré un autre préliminaire, mais il ne souffle mot. Max est un gentlemen et puis d’abord, il n’est pas chez lui.

Le voilà donc en train de me lécher l’abricot, et comme je mouille déjà, il se régale ce cochon !

J’ai envie de jouir, je me demande ce qu’il attend pour s’attaquer à mon clito qui n’en peut plus…

Ah, ça y est, mes mains s’accrochent au dessus-de-lit, mon plaisir monte inexorablement, je me cambre, essaie de me retenir de gueuler, mais impossible, je jouis comme une damnée.

– Eh ben dis donc, tu es partie au quart de tour ! M’indique Max.
– Il y a des jours comme ça ! Allez, amène ta bite que je la fourre dans ma bouche.

Ben oui ! Vous en connaissez des hommes qui refuseraient une telle invitation ?

Elle est belle sa bite, de taille et d’allure « normale », elle n’a rien de particulier, mais je la trouve attendrissante. Pourtant des bites j’en vois tous les jours de la semaine, mais ce n’est pas pareil, j’arrive à faire le distinguo entre les bites de mes clients et celles de ma vie privée (du moins j’essaie !)

Il bande bien, j’esquisse quelques mouvements de masturbation afin de bien dégager le gland que je balaie d’un coup de langue avant de le serrer entre mes lèvres, puis je fais tout pénétrer dans ma bouche et commence une série de va-et-vient.

– Oh, t’es une bonne suceuse ! Me félicite Max.

On me l’a souvent dit, mais un compliment ça fait toujours plaisir. « Être une bonne suceuse de bites », n’est-ce pas l’un des plus beau compliment que l’on puisse faire à une femme ? (si des féministes me lisent, elles vont me maudire !)

Je sors la bite de ma bouche, mais c’est pour mieux la pourlécher de haut en bas et de bas en haut. Je lui gobe un peu les couilles. Tandis que mon doigt passe derrière et s’introduit dans son anus.

– T’aimes ça ? Mon doigt dans ton cul ?
– Eh oui !
– T’es un petit enculé !
– Oui mais j’assume !

Eh oui, depuis quelques temps, Max est comme on dit « à voile et à vapeur »

Mon intention n’est pas de le faire jouir en le suçant. Je sais qu’il adore me sodomiser. Je m’en voudrais de le priver de ce plaisir.

Aussi, je lâche sa bite et me positionne en levrette; le croupion relevé, les cuisses légèrement écartées, tous mes trésors exhibés…Chanette3302


– Vas-y Max, encule-moi ! Les capotes et le gel sont dans le tiroir de droite.

Il me flatte les fesses, me lèche le trou de balle avec gourmandise, s’amuse à y fourrer un doigt et même un deuxième. J’aime bien…

Et maintenant c’est parti ! J’ai la bite de Max dans mon cul, elle va, elle vient. Comme souvent chez moi le plaisir ne vient pas tout de suite, il faut que l’anus « accepte » cette présence imprévue… puis viennent les premiers spasmes. Je vais jouir du cul. Je sens que ça vient, je gueule. Max ne s’arrête pas, non au contraire il accélère. Je n’en peux plus, je vais défaillir, je ne sais plus où j’en suis. Max finit par jouir, il décule, retire la capote, sa bite est gluante de sperme. Il cherche un kleenex.

– Viens là,, je vais m’occuper du nettoyage !

Ben oui quand ou veut se la jouer « salope » autant le faire jusqu’au bout !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:59

Chanette 33 – L’escroc de Bourges 1 – William Paturel, soumis et marchand de biens
Chanette2

Celles et ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 35 et 40 ans, suis mariée avec un homme que je ne vois plus.. Taille moyenne, peau légèrement mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques incluant éventuellement des passages de domination. Allez, c’est parti…

Surréaliste ! Cette matinée a battu tous les records d’absurdité…

Il était environ 10 heures, et j’étais occupée dans mon studio de travail de la rue des Saulniers avec Patrice, un soumis qui me rend visite de temps à autres.

Attaché nu sur une croix de Saint-André, les tétons et les testicules pris dans des pinces, je m’amusais à lui infliger des coups de martinets qui manifestement le ravissait puisqu’il était venu pour ça…

Moi, j’étais en tenue de dominatrice, bustier noir, cuissardes…

Et voilà que l’on frappe à la porte… et peu discrètement… (alors qu’il y a une sonnette !)

– On arrive, on arrive…

J’enfile un kimono et me dirige vers la porte d’entrée.

– Ouvrez, police ! Hurle une voix de marchande de poisson.

La police ? Qu’est-ce qu’elle me veut, la police ?

J’ouvre ! Il y a là une fliquette en civil avec un visage à faire s’enfuir en courant les 12 apôtres et leurs femmes, elle est accompagnée par trois poulets en uniforme.

– Madame D’Esde ?
– Ben oui c’est moi !
– Nous avons un mandat…Vous êtes en garde à vue, vous avez le droit de garder le silence et blablabla…
– Non, mais attendez… Qu’est-ce qu’on me reproche ?
– On vous dira tout ça au poste, habillez-vous s’il vous plait.

Deux des flics font le tour du studio en me répétant qu’ils ont un mandat…

– Il y a un mec à poil attaché contre une croix ! Revient confier à sa chef l’un des deux poulets.
– On va aller voir ça ! Répond la mémère

Elle s’approche de mon soumis qui ne comprend rien !

– Ne vous inquiétez pas monsieur, on est là pour vous aider… Je suppose que vous désirez porter plainte ?
– Un plainte pour quoi ?
– Mais c’est à vous de nous le dire, monsieur, coups et blessures, viol…
– Mais enfin, je vais très bien, tout cela n’était qu’un jeu !
– Vous avez peur de porter plainte ? Vous n’avez pas confiance dans la police ?
– La question n’est pas là, nous sommes en pleine confusion.
– Dans ce cas je vais vous demander de nous suivre en tant que témoin.
– Je suis désolé, j’ai un déjeuner de travail à midi…
– Vous vous ferez excuser !
– Certainement pas, c’est trop important.
– Dois-je vous rappeler que le refus de témoigner constitue un délit puni de 3 750 euros d’amende ?
– Si vous me promettez de me relâcher avant midi, je veux bien vous suivre.
– Je ne peux rien vous promettre, mais on va essayer, on va vous détacher, rhabillez-vous, monsieur. Bon madame D’Esde vous êtes prête ? On n’a pas que ça à faire.
– Presque !
– Pensez à vous munir de vos papiers d’identité, et de l’acte notarié concernant le bien immobilier que vous vous apprêtiez à acquérir.

Oh ! Je sens venir l’embrouille !

– C’est donc ça ? Mais je ne l’ai pas ici ?
– Ce serait où ?
– Chez moi !
– Ce n’est pas chez vous ici ?
– Non, ici c’est mon studio de travail !
– Quelle salade,! Eh bien on va faire un détour chez vous, c’est loin ?
– Au métro Place d’Italie.

On m’a menotté (pourquoi faire, je vous le demande un peu ?) Dans le fourgon, je n’ose croiser le regard de Patrice. Je suis mal et (au risque de me répéter) je ne comprends rien de ce qui se passe.

Arrivée en bas de mon domicile, je pique ma crise.

– Il n’est pas question que je monte chez moi en étant menottée.
– C’est juste une mesure de sécurité.
– Sécurité de quoi ? Vous êtes quatre, je suis seule ! Vous m’enlevez ça, vous me les remettrez en redescendant si ça vous amuse.
– On applique la procédure, madame !
– Alors je refuse de sortir du fourgon !
– Ce qui nous obligera à vous inculper pour rébellion !
– On ne peut pas dire que vous êtes arrangeants !
– Ce n’est pas notre rôle !
– Alors, je ne bouge pas ! J’ai un ami à l’IGPN, je lui donnerai de vos nouvelles.
– Bon, on ne va pas s’en sortir, vous deux, défaite-lui ses menottes et montez avec elle, récupérez ce qu’il y a récupérer et redescendez aussi sec.

Arrivé au commissariat on m’envoie direct en cellule. Ils interrogent Patrice.

Je n’ai appris que beaucoup plus tard que les policiers se sont satisfaits de son témoignage, ce qui ne les a pas empêché de le traiter de pervers et de l’inviter à aller se faire soigner avant de le laisser partir.

Je n’ai pourtant rien contre la police mais parfois, il y en a, faut se les farcir…

Allez, c’est mon tour.

– Je peux appeler mon avocat ?
– C’est votre droit.

J’appelle donc Maître Doubise qui évidemment est occupé, mais sa charmante secrétaire m’informe qu’elle m’envoie l’un de ses collaborateurs.

– Bon, commence la fliquette, Monsieur Patrice Dumaillet n’a pas souhaité porter plainte contre vous…

(Il n’aurait plus manqué que ça ! Non mais dès fois !)

– Donc, reprend la mégère, revenons à ce qui nous intéresse. Un aigrefin dénommé William Paturel, vous a selon toute vraisemblance confié abusivement l’usufruit d’une propriété située 15 avenue des hirondelles à Chamblis-les-Gonades.
– Hein ?
– Reconnaissez-vous ces faits ?
– J’ignorais que ce monsieur dont je ne connaissais que le prénom serait comme vous dites, un aigrefin. Mais si c’est le cas je suis sa victime. Depuis quand menotte-t-on les victimes ?
– Paturel est connu de nos services et utilise presque toujours le même mode opératoire, nous l’avons identifié grâce à ses empreintes laissées sur les interrupteurs électriques de cette propriété.
– Ah ?
– Dans quelles circonstances avez-vous rencontré ce monsieur Paturel ?
– Je vous répondrais quand vous aurez répondu à ma propre question, en attendant j’ai le droit au silence, non ?
– Bien, remettez-moi cette pétasse en cellule en attendant que son avocat se pointe.

Je vais m’énerver, je vais m’énerver…

Flashback

Je ne connaissais pas ce William, la quarantaine, brun, bel homme pour qui aime ce genre, jovial et volubile. Il a une grosse verrue sur la joue droite, un peu comme Robert De Niro, j’aime pas trop ça.

– Ça va je te plais ? Lui demandais-je en exhibant mon plus beau sourire.
– Vous êtes une belle femme !
– Parfait ! Alors qu’est-ce que tu aimerais que je te fasse ?
– J’aime bien qu’on me domine, mais j’aime pas trop la douleur…
– De la domination psychologique, en somme ?
– C’est cela !

Ce n’est pas trop ce que je préfère, mais business is business. Je demande au type de se mettre à poil après qu’il m’eut payé d’avance comme le veut la coutume.

– Je suis entièrement rasé ! Commente-t-il.

Ben oui, j’avais remarqué et à vrai dire je n’en ai rien à foutre. Je lui passe un collier de chien autour du cou, (faut toujours respecter les traditions) puis me saisissant d’un bâton de rouge à lèvres bon marché, j’écris « sous-merde » sur son torse.

– Et maintenant tu ouvres la bouche !
– Aaaah !

Il n’est pas idiot, il a parfaitement compris ce que j’allais faire, et le voilà qui bande alors que je n’ai même pas encore procédé !

Chanette3301Je lui crache plusieurs fois dans la bouche ! Il fait une tête bizarre, je ne saurais dire si c’est de la honte ou de l’extase ? Peut-être un mélange des deux, allez savoir ?

– Maintenant allonge-toi, toujours bouche ouverte, je vais te pisser dans la gueule !

J’ignore comment il va réagir, pour certains soumis le pipi est une humiliation, pour d’autre un cadeau ! Le petit monde de la soumission n’est pas si simple !

Je n’avais pas une grosse envie, mais il a tout avalé.

– Alors elle est bonne ma pisse ?
– Oui, maîtresse !
– Dommage que je n’ai pas une autre envie, je t’aurais volontiers chié dessus
– Ah ! Si vous pouviez le faire, maîtresse, ce serait la pire des humiliations.

Oui mais, la scato n’a jamais été trop mon truc, je n’ai rien contre mais bon… Et puis pour ce qui est du pipi, je peux en fournir pratiquement à volonté (je bois beaucoup d’eau), alors que le caca… bref je ne vais pas vous faire un dessin.

– Relève-toi, mets-toi à genoux et viens me lécher le cul, ça te donnera un avant-gout de ce que tu perds.

Je ne suis pas devant le miroir, je ne peux voir ce qu’il fabrique, mais je sens bien ses coups de langue qui ne tardent pas à me faire frétiller l’anus. J’ai toujours été très sensible du trou du cul !

– Ça te plait de me sucer mon trou qui pue la merde ?
– Oui, maîtresse ! Je ne suis bon qu’à ça, à lécher les culs bien sales.

Il n’est pas sale mon cul, (du moins, je ne pense pas) mais il faut toujours laisser les soumis fantasmer !

– Ne bouge pas, je vais chercher ma bite ! L’informais-je.

Il doit être un peu dur à la détente parce que son visage reflète alors l’incompréhension la plus totale ! Et quand il me voit m’harnacher de mon gode ceinture, il me fait son cinéma.

– Non pas ça, maîtresse, j’ai trop honte !
– Je m’en fous de ta honte ! Suce ! Suce cette bonne bite.

Bien sûr que c’était du cinéma, il prend le gode en bouche, le suce, le lèche l’engloutit

– Tu vois ce que tu es : un suceur de bite !
– Oui, maîtresse je suis un misérable !

C’est pas possible, il a dû lire les aventures de Tintin !

Et quand un soumis apprécie le gode, je lui pose la question qui le fait bien :

– C’est dommage que je n’aie pas un autre soumis sous la main, je t’aurais obligé à lui sucer la bite, c’est quand même plus agréable que du plastique, non ?

Pas de réponse !

– Eh ! Je t’ai posé une question ? Tu me réponds ou je te fous dehors !
– Je ne suis pas pédé, maîtresse !
– On ne dit pas pédé, on dit gay ou homo, cela dit ce n’est pas parce qu’on suce une bite qu’on est pédé !

Pas de réponse.

– Donc, ça ne te branche pas ? Repris-je.
– Non !
– Et admettons que je t’ordonne de le faire ?
– Oh ! ce serait trop la honte pour moi, mais si vous me l’ordonnez je le ferais avec humilité.
– Bon maintenant en levrette ! Je vais t’enculer !
– Oh, j’ai trop honte !

On commence à le savoir !

– Je t’ai déjà dit que j’en avait rien à cirer de ta honte ! Allez en position !

Je ne sais pas s’il s’attendait à ça, mais comme monsieur est un délicat et qu’il a la trouille que je lui fasse bobo, je lui tartine le cul avec du gel. Puis d’un bon coup de rein je fais pénétrer le gode dans son postérieur.

– Oh !
– Y’a un problème ?
– Non !

J’augmente la cadence et je le pilonne pendant cinq bonnes minutes, il se dissimule le visage sous ses avant-bras, dommage j’aime bien voir la tronche de mes soumis quand je les encule..

Il pousse un cri quand je le lui retire. J’aurais dû lui demander de se branler pendant que je lui bourrai le cul, on ne peut pas penser à tout.

– Et la prochaine fois, c’est une vraie bite que tu auras dans le cul…
– Non !
– Ta gueule, c’est pas toi qui commande ! Et si tu savais le nombre de mecs qui se sont fait enculer pour la première fois dans mon studio, donc tu ne seras pas le premier. Allez, on va finir en beauté, je vais m’installer dans le fauteuil, et toi tu vas te mettre à mes pieds.
– Oui maîtresse.

Je retire mes bottines et libère mes petits pieds.

– Maintenant tu vas me lécher les pieds, je pense qu’à cette heure-là ils ont bien transpiré et qu’ils puent la sueur, et en même temps tu vas te branler… et n’en fous pas partout, il y a des kleenex sur la petite table. Allez, exécution !

Ça n’a pas l’air de le motiver beaucoup. Tant pis ! Il lèche comme un manche, plus occupé à se branler qu’à s’occuper de mes petits pétons, il ne sait pas ce qu’il perd, cette andouille.

Il ne me lèche plus, il jute dans un kleenex que je lui jette ! Fin de la séance !

– Ah, vous m’avez bien déstressé ! Me confie-t-il en se rhabillant sans trop se presser.
– C’est ton boulot qui te stresses ?
– Un peu, oui…
– T’es dans quoi !
– Marchand de biens !
– Ah ?

En réalité je m’en fous complétement.

– En fait j’ai un créneau un peu particulier, j’achète en dessous du prix du marché des biens immobiliers… Il y a toujours des gens qui sont archi pressés de vendre suite à des circonstances particulières. Et quand je les revends j’empoche mon bénéfice au passage mais il me reste assez de marge pour vendre en-dessous du prix du marché. Comme ça tout le monde est content.
– Ah ?
– Vous savez, tous les produits que vous proposent les banques pour faire fructifier de l’argent, ça vaut ce que ça vaut, mais rien ne vaut la pierre ! C’est le meilleur des investissements, c’est du solide. Si vous avez de l’argent à placer, je vous le conseille.

Et là ça a fait tilt dans ma tête, voilà un moment que je voulais placer mes économies dont une grande partie dort bêtement dans un coffre à la banque, j’avais déjà pensé à l’immobilier mais faute de m’y connaitre je n’avais jamais creusé l’affaire.

– Si tu reviens me voir, tu pourrais m’apporter de la doc sur ce que tu as en vente en ce moment ?
– Mais avec grand plaisir !

Ça n’a pas traîné, huit jours plus tard il était de retour et me montrait quelques-uns de ces biens…

– Regardez celui-ci, à dix minutes du périph, il vaut 350 000 euros. Toute la famille est décédée dans un accident de voiture, ça revient à un vieux cousin qui n’en veux pas… je l’ai estimé à 300 000 et le revends 325 000. Une affaire, non ?
– On peut visiter ?
– Dites-moi quand, et on y va.

Nous y sommes allés le lendemain matin, c’est joli, bien entretenu, C’est un petit pavillon au milieu d’un joli petit terrain, il y a une table en bois pour manger dehors, un barbecue, un tobogan et une balançoire pour les gosses (je pourrais les ferais retirer) A l’intérieur rien n’a été enlevé, hormis le contenu du frigo…

– Pour débarrasser, je vous donnerais une adresse….
– Sinon on fait comment ?
– Vous avez les fonds ou vous avez besoin d’un prêt ?
– Non j’ai ! J’ai un gros coup de cœur pour cette baraque, je crois que je vais la prendre, je réfléchis quand même un tout petit peu et je vous appelle demain.
– Demain je vais être très occupé, c’est moi qui vous appellerais en fin d’après-midi.

Et donc vers 18 heures, je donnais mon accord.

– Je passe demain matin avec le notaire vers 11 h 30 et nous signerons la promesse de vente contre 10% du prix total. D’ici là vous aurez le temps de demander un chèque de banque de 32 500 euros.
– Avec le notaire ! Déjà ?
– C’est un ami, il me fait toujours passer en priorité.
– D’accord mais on ne va pas signer ça au studio, c’est un peu gênant, non ?
– Chez vous alors ?
– Je préfère, je vous donne l’adresse…

Tout un cirque pour verser des espèces sur mon compte. Il me faut remplir un papelard par lequel je certifie sur l’honneur que je ne suis pas en train de blanchir de l’argent et blablabla… tout cela est risible et agaçant.

Le notaire a délégué son premier clerc, une dénommée Sylvana Gambetti, fausse blonde à lunettes, la quarantaine sinon plus, belle prestance. On me fait lire l’acte, je ne m’attarde pas sur le fait que c’est l’adresse de mon studio qui y est indiquée et non celle de mon domicile estimant que cela ne doit pas être important.

J’hésite quand même un petit peu au moment de signer, ne souhaitant pas m’emballer. Ces messieurs-dames me proposent alors de me faire bénéficier de l’usufruit de mon acquisition avant la signature définitive, et de m’ont confié les clés.

Du coup, j’ai signé !

Puis, désireuse de prendre le plus vite possible possession des lieux, je diligentais l’entreprise de débarras dont ce William m’avait communiqué les références.

– Vous me virez tous les bibelots, les bouquins, les fringues, les godasses et tout ça, je ne garde que les meubles, la literie, les plantes vertes et la vaisselle. Dans la cave, il y a du pinard et des tableaux, je garde tout ça ! Pour l’extérieur vous me virez le toboggan et la balançoire.

Et le lendemain, je recevais un étrange coup de fil émanant d’une personne se réclamant des services du cadastre, me demandant si j’étais locataire ou propriétaire de ce fameux pavillon.

– Je serais bientôt propriétaire, je viens de signer la promesse de vente…
– Je suppose que vous possédez donc un acte notarié pouvant le certifier ?
– Evidement ! (elle m’énerve cette bonne femme)
– Pouvez-vous me communiquer le nom du vendeur et celui du notaire.?
– Je ne suis pas chez moi, je peux vous rappeler.
– Non, c’est moi qui vous rapperais, à quelle heure ce sera possible ?
– Ben demain, je photographierais l’acte sur mon téléphone…

Ce n’est qu’à postériori que cet appel m’a paru suspect… Et tout ça c’était il y a quinze jours.

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:19

Chanette 32 – Drogue en stock – 10 – Partouze à sept chez Anna.
StampFFH

– Je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt ! Précisais-je à ma copine Anna. J’ai donné rendez-vous à Gigi et aux nanas de Remiremont chez toi à 20 heures…
– Rendez-vous pourquoi ? Pour faire la fête ?
– On va au restau d’abord…
– Et moi pendant ce temps-là ?
– Ben tu viens avec nous.

Le soir tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). On fait les présentations, le courant passe tout de suite entre Gigi et Anna, ce n’est même pas du courant c’est du coup de foudre à ce point que les deux nanas s’embrassent sur la bouche comme de vrais cochonnes. Karine et Tanya ont fait venir Remiremont, leur boss (il n’y a pas de raison, plus on est de fous, plus on rigole). Cinq femmes et deux hommes ! Drôle de conception de la parité.

Comme il a deux invités imprévus, je propose à Gigi que nous nous partagions l’addition, puis retour chez Anna pour le fameux « dernier verre ».

– Alors on partouze ? S’exclame Max, égrillard,
– Ben, non pas forcément, répond Anna.

Un peu hypocrite, Anna je trouve, sur ce coup-là !.

– Alors on fait quoi ? Un scrabble ? Reprend Max.
– Un scrabble érotique ? Se gausse Gigi.
– Pourquoi pas ? Ça se joue comment ?
– Ça se joue à poil.
– Avec des gages ? Demande Karine.
– Tant qu’à faire !
– Ben, Max, si tu te mets à poil, je fais pareil.

Vous pensez bien que Max n’hésite pas un seconde et se déshabille en vitesse. Prise à son propre piège, Karine se sent obligée d’en faire autant, mais à mon humble avis, elle est plus amusée qu’autre chose par ce chalenge idiot .

– Et maintenant ? Demande-t-elle.
– Je te pose une question, si tu réponds mal t’as un gage, si tu réponds bien, c’est moi qui me tape le gage
– N’importe quoi, mais allons-y gaiement.
– Alors question . Qui est-ce qui croque Odile ?
– La ligue !
– Hein ?
– Oui parce que la ligue a tort.

C’est débile mais tout le monde se marre

– Un gage pour Max ! S’écrie Tanya,

Et c’est repris par toute l’assistance .

– Bon d’accord, je serais beau joueur, c’est quoi le gage ?
– Le gage c’est d’aller sucer mon boss !
– Mais enfin, Tanya ! proteste Didier Remiremont puisque c’est évidemment de lui qu’il s’agit.
– Ben quoi, c’est pas une bonne idée ? Fait mine de s’étonner Tanya.
– Mais que va penser Madame Gigi ? Demande Didier.
– Oh, j’en ai vu d’autres ! Répond cette dernière.
– Racontez-nous on veut savoir ! Intervient Karine.
– J’ai plusieurs clients amateurs de godes dans le cul. Fatalement je finis par leur demander si au lieu du gode il ne préférerais pas une bonne queue bien vivante… certains sont intéressés, « pour essaye » qu’ils disent, ils disent tous ça ! Je n’ai plus qu’à organiser le rendez-vous. Bien sûr il y en a qui se défilent, mais pas tant que ça. Alors je leur demande de se sucer, et même parfois de s’enculer, moi je suis à poil et je me fais du bien avec un gode en les regardant, je trouve ça très érotique. En fait il y a plein de variantes, une fois il y avait trois mecs en même temps…
– Hum, intéressant ! Répond Didier, du coup je crois que je vais accepter d’être l’objet du gage… Viens me sucer la bite, Max !

Ces deux-là ont déjà eu l’occasion de pratiquer ce genre de choses (voir plus avant), ce ne sera donc pas une nouveauté !

Didier se débraguette, suscitant la protestation d’Anna.

– Non, monsieur Didier, pas comme ça, Mettez-vous à poil comme Monsieur Max, ce sera plus cool !.

Pas contrariant, Didier se déshabille, Max vient vers lui, lui tripote un peu la quéquette avant de la mettre en bouche.

– Faut que je fasse ça combien de temps ? demande-t-il.
– Comme tu veux, mais ne le fait pas jouir, on voudrait bien profiter de sa bite nous aussi ! Répond Anna.

Didier s’est rassit, Max s’agenouille devant lui et lui reprend la bite en bouche… et il prend son temps Max, le Didier apprécie et se pâme d’aise. Tanya passe derrière son patron et lui pinsouille les tétons afin de l’exciter davantage.

Anna excitée comme une puce propose qu’on se mettent toutes à poil et donne l’exemple,

L’effet d’entrainement fonctionne à fond et nous voici toutes dans le plus simple appareil.

Je n’irais pas jusqu’à dire que la position de nos deux males m’excite, Gigi et moi, nous en avons tellement vus, alors on se caresse, on se bécote. Les baisers devient vite brulants et les caresses osées. On s’amuse à se lécher les bouts de seins à tour de rôle, j’adore ça !

La main de Gigi vient me tripoter ma chatte humide, ça fait floc-floc là-dedans, une sonorité pas vraiment érotique. Je lui rends bien évidemment la pareille, c’est la moindre des choses, non ?

Quand à Anna elle sympathise avec Karine, une sympathie très poussée puisque les deux coquines ont roulé sous la table, je ne vois pas bien ce qu’elles fabriquent mais elles ne sont sûrement pas en train de jouer à cache-cache.

Max a tenu sa promesse de ne pas faire jouir prématurément Didier, il se relève donc.

– C’est à moi de jouer ! Dit-il, mais tout le monde est occupé, personne ne l’écoute.

Du coup, il se rassoit en maugréant, mais Tanya vient le rejoindre.

– Tu veux que je te suce, mon gros biquet ?
– Je te trouve bien coquine, toi ?
– Eh oui, je suis coquine ! C’est pas bien ?
– Moi les coquines je leur flanque la fessée !
– Eh bien vas-y, flanque-moi une fessée, il paraît que c’est bon pour la circulation.
– Alors couche-toi sur mes genoux, je vais t’en flanquer une bonne.
– Oh là là, j’ai peur ! S’amuse-t-elle en accédant à la position demandée.
– Tais-toi, vilaine bavarde ! Oh quel joli cul ! On en mangerais !

Et il se met à taper !

Je ne sais pas si les voisins entendent, mais entre les chattes qui font floc-floc, les coups sur les fesses de Tanya, et les gloussements d’Anna et Karine sous la table, ça finit par faire une drôle de cacophonie !

Didier bien chauffé par la turlute de Max se retrouve tout seul.

– On s’occupe un peu de lui ? Me propose Gigi.

On s’approche lui, Gigi lui grimpe dessus en position de lap dance et lui colle carrément ses seins sur le visage. Didier accueille l’offrande comme il se doit en suçant cet importun téton tandis que je me place derrière lui afin de lui tortiller ses bouts de seins.

Après quelques minutes de ce traitement, Gigi redescend et lui gobe la bite. Je la rejoins. Didier est en extase. Se faire sucer la bite par deux jolies femmes, n’est-ce pas le rêve de beaucoup d’hommes ?

De temps à autre, nous interrompons notre fellation pour s’embrasser à pleine bouche. Ces baisers au goût de bite m’excitent considérablement.

Je mouille, j’ai envie de baiser.

– Encule-moi, Didier !
– T’as des capotes ?
– Je vais en chercher.

J’espère qu’il m’en reste, je n’en ai pas si souvent besoin à la maison, mais je réalise que justement je ne suis pas chez moi. Mais je sais où Anna les range.

Je file dans sa chambre, ouvre le tiroir de son chevet… pas de capotes.

Il va donc falloir sortir, trouver une pharmacie de garde… la galère d’autant que pour faire tomber l’excitation, il n’y a rien de mieux

– Quelqu’un aurait des capotes ? Lançais-je à la cantonade.
– Dans mon blouson, poche intérieure. Répond Max de sa chaise, toujours occupé avec les fesses de Tanya.

Mon sauveur !

Chanette3210Je me mets à la retourne sur une chaise et offre mon fessier aux assauts lubriques de Didier

Sa bite bien raide me pénètre le cul sans problème d’autant que Gigi le stimule en lui doigtant le trou du cul

Ce fut assez bref, Damme, monsieur avait les couilles au bord de l’explosion, mais il m’a tout de même fait jouir

Ça fait du bien, Gigi elle aussi bien excitée me demande de lui faire minette. Alors je lui ai fait minette avec un doigt dans son cul en supplément.

Karine et Anna sortent de dessous la table, épuisées mais repues et se dirigent ensemble vers les toilettes, tandis que Max sodomise Tanya en soufflant comme un bœuf.

Et alors que la blackette gueule son plaisir de façon fort peu discrète, Max sort de son cul, retourne sa partenaire, enlève sa capote et lui asperge son visage de son sperme.

J’irais bien pisser mais impossible d’entrer, les nanas occupent trop de place.

Pas grave, je pisse dans une coupe à Champagne, deux coupes même, parce que j’avais une grosse envie.

– Je vais faire comme toi, me dit Gigi qui elle non plus, n’a pu pénétrer dans les toilettes.

Elle aussi avait une grosse envie.

– Tu veux goûter ? Me propose-t-elle avec un œil coquin.
– Pourquoi pas ?

Alors on a trinqué, chacune dégustant l’urine de l’autre… Et c’est qu’il est gouteux son pipi à Gigi !

Anna, enfin revenue des toilettes a rapporté de derrière les fagots une autre bouteille de champagne et on a trinqué au sexe, à la joie de vivre et à l’amitié.

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:16

Chanette 32 – Drogue en stock – 9 – Le retour d’Anna-Gaëlle
StampFFH

Max a dormi et ronflé sur le canapé d’Anna-Gaëlle, on a pris notre petit déjeuner ensemble.

– Reste le flic… Me dit-il.
– On peut peut-être le laisser tranquille, s’il n’a plus de fournisseurs, il va rester peinard… et si jamais il me demandait un nouveau service, je pourrais toujours refuser… commençais-je.
– Oui, bien sûr, mais si on pouvait lui foutre la trouille. J’ai une petite idée…
– Tu me raconteras, moi je vais aller bosser !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison ! Nous informe Gigi, mais j’aimerais vous remercier et vous payer le restau. On peut faire ça ce soir ?
– Avec plaisir ! Répondis-je. On se retrouve où ?
– Ben ici à 20 heures ?

Max chemine dans la rue, il a toujours considéré que la marche à pied facilitait la réflexion ! Quand il estime son petit scénario au point il s’installe à la terrasse d’un café et après avoir commandé une bonne bière, il sort son téléphone.

– Allo, je voudrais parler au capitaine de police Julien Bernardin.
– Ah je crois qu’il n’est pas arrivé, je peux vous aider ?
– Non, je rappellerais.!

Il rappelle à 10 heures, toujours pas de Bernardin… à 11 heures non plus.

– Il est en vacances, il est malade ?
– Je ne peux pas vous répondre, monsieur désolé.

Max remet donc ce qu’il voulait faire au lendemain.

N’empêche qu’au commissariat on s’inquiète de l’absence de Julien, d’autant que son téléphone ne répond pas et que son épouse a indiqué qu’il était ressorti à 20 h 30 mais ne l’avait pas vu rentrer de la nuit.

Que se passe-t-il donc ?

Un petit flash-back pour comprendre :

L’un des indics de Bernardin l’a mis en contact avec un dealer, ce qui lui a permis de fourguer le tiers de la came contenue dans la valise.

Il n’est pas trop pressé d’écouler le reste, il sait qu’il y a de la demande, il lui suffit d’attendre….

Un message téléphonique d’un dénommé Moussa avec un simple mot « allo ». C’est son indic.

Bernardin sort dans la rue afin de lui téléphoner.

– J’ai un acheteur, au café « La rivière » rue de Charenton à 21 heures. Tu demandes Kamel.
– Il en veut combien ?
– Tout ce qui te reste !
– OK !

Bernardin a entassé la camelote dans un sac à dos il se dirige vers le comptoir et demande au patron.

– J’ai rendez-vous avec Kamel.
– Le mec avec l’échappe verte et blanche au fond là-bas !

Les deux hommes se serrent la main

– T’es en voiture ? lui demande Kamel.
– Non à pied !
– On va prendre la mienne, je ne suis qu’un intermédiaire, l’acheteur nous attends à Bastille.

Le fait que la transaction va se passer à Bastille, endroit très fréquenté est de nature à rassurer le policier, qui monte dans le véhicule de Kamel en toute confiance. Une fois la voiture démarrée, il se rend compte qu’il y a un type à l’arrière… et qu’il est armé.

– Tu sais ce que c’est la concurrence déloyale ? Lui dit le type.
– Pardon ?
– T’as très bien compris, t’es en train de casser les prix !
– Bon les gars on se calme on va en discuter entre gens raisonnables.
– D’accord on va en discuter un peu plus loin.

L’automobile ne se dirige pas vers Bastille mais dans une rue sombre et déserte. Elle s’arrête au niveau d’un terrain vague mal clôturé.

– Tout le monde descend ! Averti Kamel.
– Ecoutez les gars je vous propose un arrangement… Tente d’improviser Bernardin.

Il n’a pas le temps d’en dire plus, le couteau de Kamel le transperce plusieurs fois. Bernardin s’écroule raide mort, (non pas encore raide, mais bien mort)

Les deux assassins ne font rien pour masquer l’identité de la victime, ils prélèvent le peu d’argent contenu dans le portefeuille et s’empare du sac à dos (évidemment)

Avant de traîner le corps au bord du terrain vague, ils écrivent au feutre sur son front « la concuransse des loyales » (orthographe d’origine) et lui glisse un sachet de drogue (juste un !) dans sa poche.

Voilà donc pourquoi Bernardin n’était pas présent au commissariat ce matin-là !

Et ce n’est que le surlendemain Samedi que le journal « Le Parisien » résumait l’affaire :

« Le corps de Julien Bernardin, capitaine de police, bien noté, intègre et estimé de sa hiérarchie et de ses collègues, a été retrouvé, poignardé de plusieurs coups de couteau. La mort remonterait à mardi. Que faisait ce policier à cet endroit loin de chez lui à une heure avancé de la nuit alors qu’il n’était pas en service ? Le procureur de la république s’est refusé à tout commentaire… »

L’article ne mentionnait ni le marquage au feutre, ni le sachet de drogue. Ces éléments n’ont fuité que plus tard (tout finit par fuiter, c’est étrange, non ?)

– Voilà, cette fois c’est vraiment terminé. Me dit Max en me commentant l’article.
– T’as été génial !
– Tu sais bien que ça m’amuse !
– Quand même, ce pauvre flic, je n’aurais jamais cru…
– Il y a des engrenages dans lesquels il faut mieux pas foutre sa bite, personne n’est à l’abris…
– Comme j’ai pas de bite, je ne risque rien.
– Non mais j’ai peut-être droit à un petit câlin ?

Il est insatiable ce mec !

– Bien sûr, viens sur le canapé !
– On ne va pas dans la chambre ?
– Si tu préfères, pas de problème !

Mais voilà que l’on entend un bruit de serrure.

Serait-ce Anna ? c’est Anna !

Bisous, bisous.

– T’es encore dans les embrouilles ? Demande-t-elle.
– Max m’a arrangé ça, comme d’habitude..
– Super !
– Je vais pouvoir rentrer à la maison.
– Tu me racontes.
– C’est-à-dire qu’on allait…
– Mais si, on va lui raconter intervient Max, on n’est pas à cinq minutes

Alors on lui a raconté, Max a toujours été un excellent narrateur.

– Et bien quelle histoire ! Je suppose que vous alliez faire une pause plumard avant que Max reparte ?
– Très perspicace !
– Mais quand il y en a pour deux, il y en a pour trois ! intervient Max.

Je l’aurais parié !

– Allez dans la chambre, commencez sans moi, je vais me faire un petit café et je vous rejoins ! Déclare Anna.

Avec Max, je sais pertinemment comment ça va se passer. Son truc c’est la sodo et il fait ça très bien, (encore heureux !).

Mais avant, préalable obligatoire, une bonne petite pipe

Je n’en fait pas si souvent, pourtant j’aime bien. Faut dire que la bite de Max est, comment dire ? Attrayante, attrayante voilà le bon mot.

On se déshabille, son machin et déjà en érection, je le penche afin de commencer à sucer, mais voilà Anna qui entre, déjà à poil

Chanette3209Alors on s’est partagé cette bite arrogante, la léchant, l’engloutissant, lui imprimant des mouvements de va-et-vient, toute la gamme, quoi

Tout d’un coup Anna décide d’aller voir derrière, elle écarte les fesses de l’homme et lui lèche la rosette.

– Hum, j’adore lécher un bon petit cul.
– Enfonce un doigt. Suggère le Max..
– J’allais le faire !

Et elle le fait

– T’aimes ça, hein ?
– J’adore !
– T’es vraiment un enculé.
– Oui, et j’ai même pas honte .

On s’amuse ainsi quelques minutes avant que Max excité à bloc, déclare.

– Bon, j’encule qui ?
– Les deux, mon capitaine. Répond fièrement Anna.

Ben oui, pourquoi pas ?
On se met en position toutes les deux côte à côte, troufion relevé.

C’est Anna qui a le privilège de subir le premier assaut et pendant que Max la sodomise, je lui paluche la minouche comme une grosse cochonne.

Au bout de quelques minutes, Anna commence à réagir en miaulant comme une chatte en chaleur puis finit par jouir en gueulant son plaisir.

Changement de capote et changement de partenaire, ça va être ma fête !

J’aime cet étrange sensation de remplissage dans mon conduit anal. J’aime jouir du cul, je me laisse aller, je le sens chienne, c’est bon. J’ai joui, Max aussi. C’était bien !

Mas retire sa capote dévoilant sa bite gluante de sperme. Anna ne peut résister au plaisir de lui nettoyer tout ça de sa petite langue agile.

– Vas-y mollo, j’ai envie de pisser ! Proteste mollement Max.
– Eh bien pisse, mon grand, je t’offre ma bouche !
– Salope !
– Non, mais dis donc…
– Ne le prend pas mal !
– Alors tu pisses ou pas ?

Et le gosier d’Anna s’emplit de l’urine de Max. Elle en avala une bonne gorgée mais en laissa un pue dans sa bouche.

Pourquoi faire ? Demanderez-vous ! Eh bien pour pouvoir m’embrasser avec !

La belle coquine !

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 14:14

Chanette 32 – Drogue en stock – 8 – Après l’effort, les saucisses de Frankfort
Trio2

Il est 19 heures et des brouettes. Max fait connaissance avec Tanya Carnot et Karine Levillain, (Tanya est une jolie blackette, Karine une grande brune, voir Chanette 27 l’affaire Manet Carrier). Max sonne au domicile de Louis Lesec alias Bosse-dur

– C’est à quel sujet ? Demande ce dernier en entrouvrant sa porte
– Police, répond Max en exhibant une très jolie fausse carte.
– Z’avez un mandat ?
– Non mais j’ai un flingue et si tu ne me laisses pas entrer je te tire dans les couilles !

Livide, le malfrat le laisse rentrer, réfléchissant à une improbable riposte.

– Mais qu’est-ce qui se passe ? Hurle une voix féminine
– Calmez-vous Madame, tout va bien se passer asseyez-vous tous les deux, les mains sur la tête. On veut juste l’adresse de Poivrevert.
– 14 boulevard Voltaire ! Répond spontanément la petite dame

« Trop facile ! »

– Ton téléphone, il est où ?
– Je l’ai laissé dans la cuisine.
– Et celui de madame ?
– Pareil !

Tanya va les récupérer tandis que Karine menotte le bandit et sa compagne

Max analyse les téléphones, a priori peu de choses intéressantes sauf que dans l’historique des derniers numéros appelés par Bosse-dur, il tombe sur le mien !

– Tiens, tiens, c’est donc toi qui a téléphoné à Chanette ?
– Chanette ?
– Je veux dire Madame d’Esde.
– C’est mon patron qui m’a demandé….
– Poivrevert ?
– Ben oui.

Et pendant ce temps-là, sa bourgeoise ne cesse de geindre et de pleurnicher

– Tu vas la fermer, toi ou on te bâillonne !
– On a rien fait, laissez-nous, c’est une erreur…

Karine la gifle puis avisant une boîte de kleenex, elle prend plusieurs feuilles, en fait une boule et l’introduit dans la bouche de la malheureuse.

Puis Max fait signe aux filles de le rejoindre en cuisine.

– Je vais vous faire faire des heures sup. Mais il faut absolument qu’on se pointe chez Poivrevert avant qu’il ne soit prévenu.
– Pas grave, on récupérera, on a l’habitude…, répond Tanya.
– On fait comment pour les empêcher de le prévenir ? Demande Karine.
– On les laisse ici, bien ligotés.
– Ils vont crier.
– Pas si on les bâillonne.
– Non, c’est dangereux intervient Max, on va les trimbaler avec nous en bagnole… Karine tu montes avec moi et tu vas surveiller ces deux abrutis, Tanya tu nous suis avec ta bagnole. Bon on descend, ne tentez rien dans l’escalier, ça vaudrait mieux !

Arrivé au 14 du boulevard Voltaire, Max fait signe à Tanya de venir avec lui, Karine restant pour surveiller le couple.

La boîte aux lettres indique « Poivrevert, 3eme droite ». Ils y vont., Derrière la porte on entend des voix d’enfants…

– Manquait plus que ça ! Mais ce n’est pas cela qui va nous arrêter.

Max écoute attentivement, il perçoit une conversation entre deux adultes, un homme et une femme.

Il sonne.

– Qu’est-ce que c’est ? Demande une voix féminine.
– Police ouvrez, on a un mandat.
– Une seconde…

Madame met un temps fou à ouvrir…

– Alors, ça vient ou on force la porte.
– Voilà, voilà ! Annonce la dame.

Ces braves gens étaient en train de dîner, trois couverts, deux gosses, un garçon et une fille.

– On voudrait parler à Monsieur Poivrevert.
– Il est en déplacement en province.
– Comme c’est dommage ! On a des trucs à vous raconter, mais ce n’est pas pour les enfants, si vous pouviez les éloigner ?
– Venez les enfants…
– J’ai pas fini mon dessert, proteste le garçon.
– Emporte le.
– Mais pourquoi ?
– Parce que c’est comme ça.

Elle finit par se débarrasser des gamins et revient en faisant une drôle de tronche. Faut la comprendre…

Et de façon complètement inattendu, Max gifle la femme

– Vous n’avez pas le droit.
– T’en veux une autre ?
– Eh bien allez-y puisque battre une femme doit être l’expression de votre courage !
– Ton mec n’est pas en province, il est ici, on l’a entendu derrière la porte…
– N’importe quoi !
– Poivrevert, sort de ta cachette ! On n’est pas des flics et si tu ne te radines pas, madame va passer un sale quart d’heure .

Pas de réponse

– Super, ce monsieur vous adore à ce que je vois. Déshabillez-vous !
– Ça ne va pas non ?
– Et plus vite que ça sinon on va devenir méchant !
– Raphaël, au secours !

Pas de réponse.

– Il est où ?
– Dans les chiottes, mais ne lui faites pas de mal.
– Et c’est où ?
– Deuxième porte dans le couloir.

Max et Tanya y vont.

– Bon tu ouvres, si tu es armé, nous aussi, alors maintenant tu sors de là-dedans sinon on défonce la porte !

Pas de réponse. Max donne un grand coup de pied dans la porte qui craque mais ne rompt pas

– C’est bon je sors, je ne suis pas armé.

Max fait signe à Tanya de se mettre hors de portée

On entend l’homme déverrouiller la porte, il ouvre, flingue en main et avant qu’il ait le temps de réagir reçoit une manchette qui lui fait lâcher son arme, suivi d’une mandale qui l’envoie au sol. Tanya le menotte.

– Putain la trouille que je me suis tapée ! Confesse-t-elle en tremblant.

Max téléphone à Karine .

– Opération réussie, éloigne-toi sur 500 mètres, relâche les deux abrutis puis reviens vite..’
– Je les relâche ?
– Oui ce qu’on voulait, c’est le gros poisson, si les flics veulent traquer les complices ils sauront faire. On ne peut pas surveiller trois personnes à la fois dans la bagnole…

Poivrevert est embarqué sous la surveillance de Tanya.

Max connaît du monde à la brigade des stups, son contact n’est pas présent, mais qu’importe.

– On est tombé par hasard sur un baron de la drogue, on l’a neutralisé et on a l’adresse de l’endroit où il entrepose ses merdes, je fais quoi ?
– Ben venez ! Je vais vous faire signer une déposition.
– Obligé ?
– C’est la procédure.
– Alors procédons.

Passons sur les formalités administratives surréalistes… ces gens-là veulent savoir dans quelles circonstances et pourquoi et comment… Mais Max a suffisamment de bagout pour assaisonner à sa sauce tous ces événements

– Z’êtes pressées les filles ?
– Pas tant que ça, répond Tanya, pourquoi ?
– On pourrait aller chez Chanette trinquer à nos exploits, du moins chez sa copine; mais avant on va se chercher un épicier d’ouvert, je vais acheter un peu de Champagne.
– C’est que, Intervient Karine, j’aurais bien mangé un petit truc.
– OK, on va se prendre des pizzas et des saucisses de Frankfort… ah et s’il y a une pharmacie d’ouverte en va prendre des capotes.
– Auriez-vous des intentions salaces, Monsieur Max, l’interpelle Tanya avec une grand sourire complice.
– Pas du tout, mais on ne sait jamais…

J’étais en train de papoter avec Gigi quand la joyeuse bande se manifesta à la porte d’entrée.

– On ne vous dérange pas, les filles ?
– Mais non, mais non !
– On a apporté le Champagne pour fêter nos exploits…
– Raconte, raconte…
– On va vous raconter mais avant, comme on a petit creux on va se bouffer une pizza, vous avez mangé les filles ?.
– Ben oui

Pas trop gêné le père Max, mais vu les circonstances, je serais mal placée pour lui reprocher quoi que ce soit.

On fait les présentations

– Karine, détective et collaboratrice de Monsieur Remiremont que vous connaissez je crois, et voici Tanya, détective également…
– Gigi, travailleuse du sexe, mais vous pouvez dire « pute », j’assume ce que je fais !

On s’est attablé, Max nous a raconté ses exploits tout en se baffrant avec sa pizza. C’est qu’ils avaient faim, ces trois-là… l’émotion sans doute.

Et maintenant : Champagne !

Je vais sortir des coupes, on les remplit, on trinque, on boit, on rigole, l’ambiance est bonne.

– Les saucisses c’est pourquoi faire ? Demande Tanya
– Pour manger, je suppose… Mais on peut aussi s’amuser avec !

– Ça m’a excité tout ça, c’est bizarre comme phénomène, non ?
– Ah vous croyez, Monsieur Max ? lui répond innocemment Tanya.
– Imaginez ! Je suis comme qui dirait « en rut » et j’ai quatre ravissantes femmes autour de moi, C’est une situation embarrassante, mais rassurez-vous je sais me tenir.
– Laissez-vous aller, Monsieur Max, si ça peut vous détendre, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Reprend Tanya qui m’a l’air, elle aussi bien excitée. J’ai comme une envie de m’assoir sur vos genoux, ça ne vous dérange pas ?

Mais il n’a même pas le temps de répondre, Tanya est déjà sur ses cuisses.

– Oh, monsieur Max, vous devez avoir trop chaud avec cette chemise, je vais vous la déboutonnez !

Et elle le fait, lui caresse la poitrine et lui pince les tétons.

– Mais tu fais quoi là ?
– Je t’excite, tu n’aimes pas ?
– Si, si mais la situation va devenir incontrôlable !
– Mais non ! Voyons voir l’état des lieux !

La main de Tanya est sur la braguette de Max, elle peut ainsi constater que l’homme bande comme un cerf !

– Hum, c’est tout raide, là-dedans ! J’espère ne choquer personne si je la sors de sa cachette

Moi je m’en fous et connaissant Karine, elle n’est pas du genre à se choquer non plus. Reste la réaction de Gigi.

– Monsieur Max, vous nous avez sorti d’une situation compliquée, cela mérite récompense, je réclame donc le privilège de vous faire un bonne pipe !
– Mais je vous l’accorde, chère madame !

Et on ne perd pas une minute, Tanya sort la bite de Max et la propose à Gigi qui lui met la main dessus et la branlotte quelques instants

– Euh, intervient Max, si vous vous mettiez à l’aise ce serait cool, non ?
– Ah, vous voulez voir mes nichons ? C’est ça ?
– Tant qu’à faire…
– Alors allons-y ! Mademoiselle Tanya ne me laissez pas me déshabillez seule, ça me gêne un peu… Ensuite nous le sucerons à deux.

Tanya n’est pas une fille compliquée et se débarrasse de ses vêtements, tandis que Max enlève carrément son pantalon.

Et nos deux coquines agenouillées devant l’homme le suce à tour de rôle se repassant sa bite alternativement.

Et moi, pendant ce temps-là ?

– Regarde-moi ces deux cochonnes ! Me dit Karine. Moi aussi j’aurais bien sucé Max !
– Sois patiente, la soirée est à peine commencée.
– Hum; il y a longtemps que je ne t’ai pas brouté le minou,
– Depuis la Suisse, je crois (voir Chanette 24, tribulations helvétiques)
– Et maintenant tu voudrais ?
– Pourquoi pas ?
– Alors on se dessape !
– Dessapons-nous !

Un fois nue comme une grenouille, je me rassois sur ma chaise en écartant bien les cuisses, je me tortille le bout des seins et j’attends la langue de ma partenaire.

– Ne te tripote pas les nichons, je vais m’en occuper ! M’indique-t-elle.! Oh, personne n’a touché aux saucisses, c’est dommage ! T’en veux une ?
– Ça dépend ce que tu veux faire avec ?
– T’as pas envie de t’en foutre une dans la chatte ?
– T’as de ces idées, toi !
– C’était juste une suggestion.
– Tu m’en crois incapable ? lui répondis-je avec un air de défi.Chanette3208

Et saisi d’une pulsion soudaine, je m’empare de l’une des saucisses et me la fourre dans la minette, la faisant aller et venir. Elle n’en revient pas la Karine qui pour faire bonne mesure se met à faire la même chose.

Et contre toute attente cette introduction insolite me conduisit à la jouissance, Je sors la saucisse, trempée de ma mouille, et la fait lécher par Karine qui ne la refuse pas. Complétement partie, je prends une autre saucisse et me l’introduit dans le cul, je fais deux trois mouvements de va-et-vient et la ressors dans trop regarder son état. Karine l’a toute sucé.

Mais elle en veut plus, sa langue me lèche mes lèvres vaginales encore bien humides tandis que ses mains projetées vers l’avant agace mes tétons

De l’autre côté de la pièce, les choses ont évolué, Max a carrément renversé Gigi qui est maintenant le buste couché sur la table, les jambes pendantes et qui se fait peloter virilement le joufflu.

Max est derrière elle, à tous les coups, il va l’enculer… Je sais pour l’avoir pratiqué plusieurs fois qu’il fait ça très bien avec tact, rien à voir avec son physique de macho.

Et ça y est, il la sodomise en cadence, la faisant gémir de plaisir. Joli spectacle bien excitant dont je me régale pendant que Karine me gratifie d’une langue diabolique.

Je vais bientôt exploser, je mouille, je coule, je dégouline, je suis une éponge, Elle attaque mon clitoris, je n’en puis plus, je joui en braillant comme une damnée de l’enfer.

Elle est contente d’elle, la Karine, elle me nargue :

– Alors ? Je ne suis pas une bonne brouteuse !
– Tu m’as tué !
– Ben alors tu vas me ressusciter, on va invertir les rôles !

Je suis bien obligée d’accepter et de toutes façons ce ne sera pas une corvée.

Gigi gueule comme une baleine tellement la bite de Max lui donne du plaisir. Tout en continuant à limer il fait signe à Tanya de se positionner à côté de Gigi, ce qu’elle fait donc.

Il se dégage du cul de Gigi, change de capote et s’en va limer la jolie blackette qui n’attendais que ça.

Bon c’est bien beau tout ça mais j’ai promis à Karine de la faire jouir et je tiens à respecter cette promesse.

Je me positionne donc entre ses cuisses, mais avant un dernier regard vers le trio, c’est très beau, pendant que Max encule Tanya, celle-ci s’échange un baiser profond avec Gigi !

La chatte de Karine comme vous vous en doutez bien est dégoulinante de mouille, mais ce n’est pas pour me déplaire, au contraire, j’adore lécher ce jus et je fais durer le plaisir.

Karine halète, geint de plaisir, je porte l’estocade, la fait crier dans un geyser de mouille. On s’étreint, on s’embrasse, on est bien.

Max a un nouvelle fois changé de partenaire et c’est dans l’anus de Gigi qu’il conclut ses assauts. Il enlève sa capote et offre sa bite poisseuse de sperme aux bons soins de la bouche de Karine qui n’attendais que ça

Restée en plan, Tanya s’est retournée, jambes écartées, chatte humide… et c’est Gigi qui vient calmer ses désirs

Une belle orgie qui nous a donné soif mais pas que…

– J’ai une de ces envies de pisser, ça intéresse quelqu’un ? Demande Max à la cantonade.

Karine lui attrape la main et l’emmène aux toilettes… mais c’est que moi aussi je ferais bien un petit pipi.

Les toilettes chez Anna sont plutôt exiguës et Max et Karine prennent toute la place. Alors je ne me gêne pas et pisse allègrement sur Karine qui m’offre sa bouche grande ouverte.

Ah, ça fait du bien !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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