Chanette

Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 16:08

Chanette 31 – La clairière secrète – 6 – Massage à quatre mains
Massage3

Il devait être minuit lorsqu’on frappa à la porte de ma chambre, je me réveille en sursaut me souvenant que j’avais commandé un massage à quatre mains Je ne suis plus très motivée mais j’aurais mauvaise grâce à me défiler.

– C’est pour le massage ! Croit devoir préciser Marjorie.

Ben oui ce n’est pas pour changer l’eau du poisson rouge.

J’enlève mon pyjama et m’allonge sur le ventre. Les deux masseuses se déshabillent en silence, se reventent d’une blouse blanche qu’elle oublie (volontairement) de boutonner, puis Clotilde vient devant moi me masser les épaules tandis que Marjorie s’occupe de mes fesses.

Je ferme les yeux, me laisse aller, pour l’instant ce qu’elles me font est fort agréable, quand ces dames se décideront à être coquines, j’aviserai.

Je n’ai pas accès à la pendule mais je trouve que ça commence à être long. le massage traditionnel ça va bien cinq minutes. Je me dis alors que la fille et la mère n’osent peut-être pas faire des coquineries l’une devant l’autre…

Je me décide à précipiter les choses, on verra bien.

– Bon les filles si on passait à la suite ?
– On allait y venir, tu aimes les claques sur les fesses ? Me demande Marjorie.
– Pas trop fort !

Elle me tapote le cul, j’ai demandé pas trop fort, mais là c’est pas fort du tout.

– Un peu plus fort quand même !
– Pourquoi ? Tu as été vilaine ?
– Oui, très vilaine ! Répondis-je entrant dans le jeu.

Et cette fois elle tape correctement, ce n’est pas désagréable.

– Clotilde, donne-lui ta chatte à lécher pendant que je le lui donne la fessée. Suggère Marjorie

Voilà un programme qui me plait bien. Ce ne sera jamais que la deuxième fois que je lui broute son minou, mais que voulez-vous on ne se lasse jamais de bonnes choses.

C’est tout mouillé là-dedans, je lèche à qui mieux mieux, je la sens déjà prête à partir. Je redouble d’efforts et la voilà qui braille sa jouissance pendant que la mère continue de me rougir le cul.

– Oh, qu’est-ce qu’elle lèche bien ! Tient à indiquer Clotilde à sa maman.
– Mieux que moi ? Répond cette dernière.
– Disons que c’est différent.

Et voilà que ces dames permutent, non sans s’être échangé un baiser torride au passage.

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Je me retrouve donc cette fois avec la chatte de Marjorie devant mon visage, son goût est différent de celui de sa fille, plus musqué mais tout aussi agréable. Pendant ce temps Clotilde a entrepris de me balayer mon trou de balle avec sa petite langue agile. J’adore que l’on s’occupe de mon cul.

Je suppose qu’après la langue ce sera le doigt. Bingo et allons-y pour les « ça va, ça vient » intempestifs… Et ensuite ? Le gode sans doute. Non pas de gode ! Ce n’est pas gentil d’oublier ses outils !.

Je ne parviens pas à faire jouir Marjorie. Un blocage ? Ce sont des choses qui arrivent. Elle me demande de me retourner et se met en retrait.

J’offre ainsi mon intimité aux caresses linguales de Clotilde qui réussit à me faire jouir an moins de trois minutes.

Affaire terminée ? Non pas tout à fait.

– Vous allez vous occupez de moi, toutes les deux ! Propose Marjorie, je vais prendre ta place.

Elle s’affale sur le lit, cuisses écartées, j’ignore comment elle souhaite que nous pratiquions, mais j’ai comme une envie de lui lécher ses bouts de seins, c’est donc ce que je fais tandis que sa fille lui broute la chatte. De sacrés coquines ces deux-là !

Vendredi

Le taxi que j’ai commandé ne sera là qu’à midi, je descends dans la salle vers 9 h 30. Frédérique et William n’y sont pas, tant mieux, cela aurait été embarrassant après ce qui s’est passé hier. Sinon il y a l’inamovible Jacques et le couple de pieds nickelés.

Un type arrive, son visage me dit quelque chose, il s’adresse à Marjorie, je comprends alors qu’il s’agît d’un commissionnaire du camp des fadas, ce n’est pas le même que d’habitude… aucune importance. Mais pourquoi il me regarde comme ça ?

Bontempi (c’est son nom) ne comprend pas, il a en tête le descriptif de l’agent de liaison. « Fausse blonde, jolie, entre 30 et 40… »

– Ça ne peut être qu’elle… mais c’est la fille qu’on avait kidnappée, quelque chose m’échappe…

Le type prend possession de sa livraison puis revient, il se dirige vers ma table et me tend un papelard plié en quatre

– Ne le dépliez pas ici !

Il s’en va prestement. C’est quoi ce cirque ?

Je déplie le papelard.

Bélanger 145 bd de l’amiral Hautfleur. Paris.
J 245 LH D 21

C’est quoi, ça ? A tous les coups ce type s’est trompé de personne. Je m’apprête à me lever pour le montrer à Marjorie, mais voilà que les deux fins limiers m’entourent .

– Montre nous ça ! Me dit Adrien sur un ton qui a oublié d’être aimable.
– De quoi ?
– Il se passe des choses très graves, on veut voir ce papier !
– Mais vous m’emmerdez… et je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer.
– Alors s’il vous plait, madame, montrez-nous ce papier, on ne vous demande pas la lune !
– Pff.

J’ai fini par leur montrer. Après tout qu’est-ce que j’en ai à cirer ? Adrien Roquevert le met dans sa poche après l’avoir consulté..

– Ne bougez pas, je reviens !
– J’attends un taxi, lui précisais-je.

Moment de flottement, il échange un regard avec sa collègue.

– A quelle heure ? Me demande-t-il
– A quelle heure quoi ?
– Le taxi
– Midi !
– Alors tout va bien…

Les deux agents secrets sortent à l’extérieur, Adrien s’empare de son portable et compose le numéro d’urgence du général Tauvron.

– Agent Roquevert au rapport. L’adresse de livraison vient d’être récupérée, je vous la communique… l’agent de liaison est démasqué, c’était l’une des deux suspectes…
– Ok, laissez la libre mais ne la quittez pas d’une semelle..
– C’est qu’elle rentre à Paris ce midi.
– En train ?
– Oui elle attend un taxi pour l’emmener à la gare.
– Je gère. Rentrez à Paris immédiatement et attendez mes instructions.

Voici des nouvelles qui ont rendu le général Tauvron d’excellente humeur. Il compose le numéro de son aide de camp.

– Romer, contactez le responsable de la sécurité de la SNCF. Débrouillez-vous pour obtenir le numéro de place et l’horaire de la fille pour un Rodez-Paris aujourd’hui. Je veux qu’on la suive dès sa descente de train, je vous envoie sa photo…

Adrien prend le papelard en photo et revient vers moi.

– Je vous rends votre truc, c’est un malentendu.
– Ce n’était pas pour moi…
– Eh bien, jetez-le. Donc vous rentrez à Paris, c’est ça ?
– Ouai.
– Vous avez fait un bon séjour ?
– Un peu mouvementé, dirais-je, bonne journée, monsieur
– De même et bon retour.

Faux cul !

J’ai jeté le papelard sans m’apercevoir que Jacques l’avait aussitôt récupéré dans la corbeille.

Et le soir après un voyage ennuyeux (j’avais pris un polar dont la lecture s’est avéré décevante), je rentrais à la maison et récupérais mon matou chez ma voisine.

Evidemment j’ignorais qu’un fin limier m’avait filoché.

– La cible est rentrée chez elle, je fais quoi ?
– Vous nous attendez, on va prendre le relais. Répond Adrien Roquevert.

Je me préparais un petit en-cas quand la sonnette de l’entrée retentit

Qui cela peut bien être à cette heure ?

Un coup d’œil dans l’œilleton… Je n’en crois pas mes yeux… c’est Jacques ! Par quel prodige est-il arrivé jusqu’ici ?

– Qu’est ce vous foutez là ? Criais-je à travers la porte.
– C’est un peu compliqué, mais ouvrez-moi, je vais vous expliquer.

(Evidemment l’agent secret parisien ne le connaissant pas n’y a pas fait attention, je suppose que si Adrien et Anne-Marie étaient arrivés, l’histoire aurait pu prendre une tournure différente.)

Alors je fais quoi, si je n’ouvre pas, il est capable de rester scotché derrière la porte, il faut absolument que je me débarrasse de ce boulet, mais pour cela je dois d’abord le faire entrer.

J’ai un flingue à maison, acheté aux puces un jour, mais non chargé

Je le prends ainsi qu’une bombe au poivre et enfouis tout ça dans la poche de mon peignoir. Et j’ouvre.

– Comment vous m’avez retrouvé ?
– Il y avait votre adresse sur votre fiche de réservation.
– Je vois. Je vous préviens je suis ceinture noire de karaté (oh la menteuse !) et j’ai un flingue dans ma poche.
– Mais je n’ai aucune intention de vous nuire, bien au contraire, je suis là pour vous sauver la vie…
– Pauvre mytho !
– Ecoutez moi, je vous ai dit qu’il se passait des choses étranges avec cette secte dans les bois…
– Vous n’allez pas recommencer…
– Mais laissez-moi parler cinq minutes, dans cette affaire vous êtes un pion, et si le pion n’agit pas comme prévu, il se met en grand danger.
– Bon, j’en ai assez entendu, foutez-moi le camp.
– Je vous en conjure, il faut absolument vous rendre à cette adresse.
– Quelle adresse ?
– Celle écrite sur le papier…
– Le papier je l’ai jeté.
– Je sais mais j’ai recopié l’adresse, la voici.
– Rien à cirer. Maintenant dehors !
– Réfléchissez quand même, je ne voudrais pas avoir fait tout ce voyage pour rien.

Et il s’en va.

(Roquevert et Anne Marie, coincés dans les embouteillages ne sont toujours pas arrivés.)

Complétement cinglé ce type, il faut que je trouve le moyen de l’écarter de ma route. Je laisse un message à Max le dur, l’homme de main de Gauthier-Normand, qui m’a déjà sorti de maintes situations fâcheuses. (voir mes aventures antérieures)

Il me répond qu’il passera me voir demain matin

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:59

Chanette 31 – La clairière secrete – 5 – On s’agite au gite

bisou1719

Jeudi

Le lendemain matin, je retrouvais les mêmes tronches dans la salle commune. Un type entre, je l’ai déjà vu celui-ci. une fois ici, mais aussi à la baraque de la secte. Clotilde l’appelle par son prénom, Pierre. Elle lui livre de la bouffe, du poulet et des patates, dans des Tupperware, devinais-je. L’homme passe une feuille à Clotilde qui l’enfouit dans la poche de son tablier.

L’homme reparti avec sa mule, Anne Marie suit Clotilde dans la cuisine.

– Montrez-moi ce papelard !
– Mais vous n’avez rien à faire ici, sortez de cette cuisine. Proteste Clotilde
– J’ai tous les droits, rétorque-t-elle en exhibant son insigne. Allez, montrez-moi ça !
– Mais enfin, c’est juste une liste de courses.

Anne Marie découvre la liste avec stupéfaction, il est question de sparadrap, de sérum physiologique et de Doliprane.

– Désolé, je pensais qu’il s’agissait d’autre chose… vous leur faites leurs courses alors ?
– Et alors, c’est défendu ?
– Non, non, mais vous savez à qui vous avez affaire, au moins ?
– Je suis commerçante, et la qualité première d’une commerçante c’est la discrétion.
– Et sinon, vous livrez quoi ?
– Essentiellement des paniers repas. Bon c’est fini l’interrogatoire, parce que j’ai du travail.

Et on va maintenant parler d’autres choses pour comprendre la suite de cette ténébreuse affaire.

Communiqué de presse. AFP.

Spectaculaire explosion d’un convoi militaire sur l’axe Béziers Aurillac.

Cette nuit un convoi militaire de trois véhicules lourds, transportant des explosifs dangereux a explosé accidentellement. Selon le responsable du convoi, l’explosion se serait produite dans le camion numéro 2, se propageant ensuite sur les camions 1 et 3, le command-car roulant cent mètres en avant n’a pas été touché. Les trois conducteurs et leurs copilotes ont été tués par l’explosion. La sécurité militaire est intervenue pour boucler le périmètre interdisant l’accès aux journalistes…

Rapport du lieutenant-colonel Bourget. Classé secret défense.

Cette nuit à 3 heures du matin, notre convoi a été victime d’un guet-apens. L’effet de surprise a été total, nous avons eu affaire à des professionnels aguerris, j’ai été maîtrisé, et menotté ainsi que mes compagnons. Les conducteurs des camions et leurs copilotes ont été invités à descendre sous la menace et obligé d’actionner les systèmes d’ouverture. Les caisses d’armes ont ensuite été transféré dans des camions banalisés. Le transfert effectué, les assaillants ont fait exploser nos camions et ont pris la direction de Rodez avec leur camion. J’ai pu ensuite prévenir la sécurité militaire. On ne déplore aucun blessé.

Annexe 1. Secret défense. Général Tauvron.

Analyse des menottes :
Aucune empreinte exploitable.
Compte rendu du traçage de la cargaison :

Les armes sont stockées dans une clairière près du village de Mombillac accessible par le lieu-dit, le chemin de la fouine.

Analyse des émissions de radio provenant de la clairière et de leur décodage :
La destination des armes sera communiquée à un élément extérieur non identifié, sa description n’ayant pu être décodée correctement.

Annexe 2 secret défense général Tauvron
Les dix militaires témoins du guet-apens doivent être briefés d’urgence, il leur est interdit de communiquer à qui que ce soit au sujet de cet événement.

Annexe 3 secret défense, général Tauvron
En collaboration secrète avec la sécurité du territoire deux agents sont missionnés afin de déterminer la destination des armes. L’affaire devra se faire avec discrétion et l’agent de liaison devra être identifié.

Bien évidemment je ne fus au courant de tout cela que bien plus tard… comme vous vous en doutez bien.

Reprenons le fil du récit.

Avec Frédérique, nous avions envie aussi bien l’une que l’autre de nous rejouer la petite scène goudou de l’autre jour. Nous sommes donc allées près de l’étang, nous avons choisi un endroit où l’on ne pourrait (en principe) nous observer.

– Tu veux mon pipi, comme l’autre jour ? Me propose-t-elle.
– S’il est aussi bon que l’autre fois, je vais me régaler.

Je me couche dans l’herbe, Frédérique dégage son pantalon et son string et vise ma bouche. C’est délicieux et je me régale. Et miracle elle n’en met pas à côté.

Sa miction terminée, elle s’accroupit de telle façon que sa chatte soit en contact avec la bouche.

J’ai compris, la coquine souhaite que je la débarrasse des dernières gouttes d’urine. Ce n’est pas un problème, je lèche volontiers, j’adore le goût de sa chatte, elle commence à gémir, j’attaque son clito, madame jouit en hurlant dans un geyser de mouille.

Complètement excitée je retire mon pantalon à l’arrache. Pas besoin de lui faire un dessin, elle a compris, elle le demande de retirer mon haut, pas de problème.

Elle s’empare de mes nénés et les tripote ostensiblement le faisant durcir les tétons qu’elle suçote avec gourmandise.

Chanette3105Sa bouche redescend, la voilà qui me lèche la figue tandis que son doigt a trouvé mon trou du cul et s’y enfonce vicieusement.

Je suis aux anges, je sens mon plaisir monter inexorablement, je me lâche et jouis dans un spasme.

Un gris bisou pour conclure ces quelques minutes de douce folie.

On fait une petite pause, il me semble alors voir les branchages environnants bouger alors qu’il n’y a aucun vent. Une bestiole ? Drôle de bestiole, oui…

– William, sort de ton trou, tu es repéré.

Il se dévoile, tout penaud.

– Alors, c’était un coup monté ? Tançais-je Frédérique.
– Un peu, j’avoue.
– Et tu es fière de toi ?
– Non, mais est-ce si grave ?
– Non, ce n’est pas grave mais je n’aime pas qu’on se foute de ma gueule. Salut, rentre bien !

Et je m’éloignais consciente d’avoir été un peu vache.

J’en ai marre de ce gîte et de tous ces personnages bizarres, demain je me barre, mais je voudrais néanmoins m’en aller avec un bon souvenir, alors j’indique à Marjorie que j’aimerais bien un massage à quatre mains à la fin de leur service.

Sinon seul l’inévitable Jacques et les deux soi-disant agents secrets sont présents dans la salle commune. Mais qu’est-ce qu’il fout ce Jacques ? Et le voilà qui s’avance vers moi… au secours…

– J’ai une proposition à vous faire.
– Ça ne m’intéresse pas.
– Attendez au moins que je vous dise, c’est une proposition rémunérée..
– Je vous remercie mais je n’ai pas de problème de trésorerie.
– En voilà une repartie originale, on me l’avait encore jamais fait.
– Vous vous en remettrez, maintenant fichez-moi la paix.
– Trois minutes, accordez-moi juste trois minutes…
– Pfff

J’ignore pourquoi je l’ai laissé parler, la curiosité sans doute, on ne se refait pas !.

– Je vais vous faire une confidence : je suis journaliste d’investigation, j’ai la présomption qu’il se passe ici quelque chose de pas très clair, impliquant sans doute des complicités au plus haut niveau de l’état…
– Vous êtes mythomane à plein temps ou quoi ?
– Ces complicités, il faut les dévoiler…
– Abrégez, mon vieux, abrégez, vous me soulez…
– J’aurais besoin de votre témoignage.

Alors là j’éclate :

– Vous ne manquez décidément pas d’air, vous vous dégonflez comme une baudruche quand on vous demande de nous secourir, mais vous vous octroyer le droit d’écrire des trucs en pantouflant et en écoutant les autres…
– Mais…
– Casse toi, tu me donnes envie de dégueuler et je t’interdis de m’adresser de nouveau la parole.
– Pétasse !
– Connard !

Les deux agents secrets ont été formés à écouter les conversations distantes en faisant abstraction des éventuels bruits de fonds, ils savent aussi lire sur les lèvres, ils ont donc entendu une partie de la conversation, surtout la fin. Ils ne comprennent que dalle, les pauvres chéris !.

– Mais qu’est-ce qu’il essaie de nous faire ?
– Il risque de devenir gênant !
– On le neutralise ?
– Faudra peut-être mais donnons-nous du temps.

Jacques est reparti bouder à sa table. Quel con, mais quel con !

Et sur ce je suis montée dans ma chambre et j’ai commandé un taxi pour le lendemain

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:56

Chanette 31 – La clairière secrète – 4 – D’une clairière à l’autre
Stamp Mature Sodo

– Ce mec ne me dit rien du tout ! Chuchotais-je à l’oreille de Frédérique.
– Ben, quoi, il est mignon, non ? Et il a une belle bite ! Me répondit-elle
– Pas mon genre !
– Alors on se casse ! C’est dommage, j’aurais bien brouté la Rachel.
– T’auras d’autres occasions !
– Peut-être, mais je me demande bien pourquoi elle nous a proposé ça ?
– Arrête, c’est toi qui l’a branché en lui parlant de sa chatte.
– Je l’ai provoqué, mais j’ai l’impression qu’elle nous aurait sollicité de toute façon.
– T’es sûre de ça ?
– Evidemment, pour elle c’est la meilleure façon de protéger son petit secret.
– Tu parles d’un secret, ils n’ont pas été discrets.
– Elle ne s’est pas rendu compte qu’on pouvait les voir…
– On fait quoi alors ?
– Pour l’instant on roupille, ensuite on va se brancher la Rachel à deux et je m’arrangerais pour que son fiston te foute la paix.

Et une demi-heure plus tard…

– Alors Frédérique, tu la veux toujours, ma chatte ?
– Bien sûr que je la veut !
– On est tous les deux à votre disposition ! Nous indique-t-elle, tout en branlant la bite de son fils, regardez-moi cette bite, ce serait dommage de ne pas la sucer, n’est-ce pas ?
– Je vais te lécher la chatte et pendant ce temps-là, Christine (c’est moi) va te lécher le troufignon.
– Allons-y !
– Et moi je fais quoi ? Demande Bertrand.
– Patience, on est pas pressée ! lui dit sa mère.
– Je veux bien qu’il s’occupe de mon cul pendant que je te lèche ! intervient Frédérique.

Et le quadrille se met en place. Me voilà donc derrière Rachel en train de lui lécher le fion. De l’autre côté Frédérique se régale (du moins je suppose qu’elle se régale) de la chatte charnue de Rachel. Quant à Bertrand, je n’ai pas beaucoup de visibilité mais il me semble bien qu’il s’active accroupie derrière Frédérique.

Au bout de cinq minutes, Rachel se dégage, elle devait avoir des crampes, et s’assoie par terre.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il sont jolis, tes pieds ! me dit-elle.

Ah bon ?

Je ne suis pas moi-même fétichiste du pied, mais j’en ai croisé pas mal. Mais c’est vrai qu’un pied ce peut être très joli surtout s’il est entretenue et les ongles vernis.

– Tu veux les lécher ?
– Oh oui ! Oh oui !

Je lui tend mon panard.

– Me chatouille pas s’il te plait !

Elle me lèche les orteils, mais la position est intenable je suis debout sur un pied et suis à deux doigts de me casser la gueule.

– Attends !

Je m’assoie par terre et lance mes pieds en avant, dans cette position, elle peut me lécher tant qu’elle veut, je ne risque pas la chute.

Chanette3104A côté de nous, Frédérique a engloutit la bite de Bertrand. Donc pour l’instant tout va bien.

Rachel me fait signe qu’elle aimerait bien m’embrasser, ce n’est pas un problème, on se roule un gamelle, elle embrasse bien la filoute !

– Tu m’as l’air d’une sacré coquine ! Me complimente-t-elle.
– Et toi donc !
– On va dire que je suis libertine.
– T’es venu ici par hasard !
– Non, j’ai trouvé les coordonnées sur Internet. Dans un site qui listait des endroit coquins, il disaient qu’il y venait des couples échangistes.

Intéressant ! Je comprends mieux pourquoi ma copine Anna a voulu m’emmener ici. Elle va m’entendre celle-là !

Des gémissements intempestifs proviennent d’à côté. Frédérique en position de levrette se fait proprement enculer par Bertrand. J’espère qu’il va jouir en elle, comme ça il me foutra la paix.

Je lèche la belle poitrine de Rachel, faut voir les gros tétons qu’elle se paye, c’est un vrai délice sous ma langue.

Mais j’en veux davantage et descends vers sa chatte charnue qui mouille comme une éponge.

Je me régale de ses sucs et quand elle commence à haleter de façon intempestive, je porte le bout de ma langue sur son clito et la fait partir au septième ciel. Il faut dire que dans ce genre de rapport, j’ai ma petite expérience..

– A toi de me faire jouir ! Lui indiquais-je.

Elle n’a pas refusé (heureusement encore !) et s’est montrée très douée.

Un peu de repos maintenant ? Bertrand sort du troufignon de Frédérique qui a jouit du cul comme une malade. Il retire sa capote (elle sort d’où sa capote ?) Manifestement il n’a pas joui.

Je me relève pour l’éviter, mais il n’est pas si bête que ça et à du deviner qu’il ne me branchait pas.

– Maman, je peux encore t’enculer ?
– Mais bien sûr mon chéri.

Rachel se positionne et écarte des globes fessiers pour recevoir la bite de son fils, il la pénètre à la hussard. L’affaire fut rapide, il devait avoir les couilles pleines.

– Faut que je pisse ! Vous voulez une petite douche, les filles ? Propose Rachel décidemment déchaînée.
– Oui, oui, pisse-moi dessus ! Répond Frédérique. Je veux ton pipi dans ma bouche !

Elle se fait donc arroser et comme c’est le genre de délire que j’apprécie tout particulièrement, je me pose à côté d’elle pour recevoir ma part.

Petit flashback

Anne-Marie chemine, elle a beau être désormais équipée pour se garder des vipères, elle n’est pas si rassurée que ça !.

– J’ai horreur de ces bestioles, c’est viscéral.

Et la voilà qui entend du bruit, des drôles de bruits.

– C’est pas possible, y’en a qui s’envoient en l’air dans le coin ?

Elle se rapproche. Elle n’en croit pas ses yeux.

– Des gouines ! Quelles salopes ! Elle a un de ces culs la rousse ! Hum elle m’excite, elle m’excite. Mais, mais ce sont les deux nanas que je file. Trop la chance de les avoir retrouvées. Mais bon, si elles sont parties en balade uniquement pour s’envoyer en l’air, je vais avoir l’air de quoi ? Et on dirait un couple plus loin… c’est la clairière des nymphos ici ou quoi ?

Anne-Marie assiste à la partouze, la main dans la culotte et attend patiemment que nous relevions et que nous reprenions notre marche. Puis elle reprend sa filature…

Reprise

Nous marchons encore un quart d’heure avant de découvrir une clairière beaucoup plus grande au milieu de laquelle trône une bâtisse en rondins apparemment récemment rafistolée.

Des gens s’activent sur une grande table devant cette cabane, on ne voit pas bien, mais Frédérique a emporté ses jumelles.

– C’est quoi ces pitres ? Regarde, ils sont tous en aube blanche.
– Une secte ?
– Mais qu’est-ce qu’il fabrique sur cette table ? Tiens regarde !

Deux types sont en train de trifouiller ce qui ressemble bien à une arme de guerre, je ne peux l’identifier, je n’y connais rien, Frédérique non plus.

– On n’en saura pas plus, on va rentrer. Me suggère cette dernière.
– Ok on y va !
– Ne bougez plus, levez les mains en l’air ! Nous gueule un type derrière nous.

Manquais plus que ça ! Bien obligées d’obéir.

On nous maitrise, on nous emmène derrière la cabane où règne une odeur nauséabonde. On nous fait assoir par terre après nous avoir ligotées et bâillonnées. J’ai connu des situations plus confortables.

Anne-Marie a tout vu, elle a des jumelles et elle est armée et entraînée. Mais elle se refuse à prendre une initiative sans instruction claire. Elle tente de contacter Adrien. Pas de réseau…

Il va donc lui falloir se décider, soit ne rien faire pour le moment et revenir avec Adrien, soit intervenir immédiatement…

Elle sent une imperceptible présence derrière elle. Elle se retourne d’un bond et vise à cinquante centimètres du sol. Le type blessé à la jambe hurle comme un malade.

Tout ce vacarme a rameuté les gens en aube.

– Personne ne bouge ! Hurle Anne Marie en pointant son flingue contre cette bande de dangereux excités.

Mouvement de flottement.

– Maintenant libérez les deux femmes.

Un gros caillou venu d’on ne sait où lui atterri sur le front. Anne Marie s’écroule, elle est maitrisée et vient nous rejoindre derrière la cabane, comme nous, ligotée et bâillonnée.

Evidemment je suis d’abord surprise de la voir. Je comprends néanmoins qu’elle nous a suivi. Elle me prend pour qui cette pétasse ?

Pas facile de dialoguer quand on est bâillonnée, Anne Marie essaie de nous dire quelque chose, je n’y comprends rien

Anne Marie approche son visage de ma nuque et à l’aide de ses dents parvint à dégager mon bâillon. Elle me tend sa propre nuque, je comprends qu’elle souhaite que je la dégage à mon tour, mais je n’y arrive pas. Frédérique vient à la rescousse et cette fois ça fonctionne.

Nous ne sommes plus bâillonnées. Je pose des tas de questions, Frédérique aussi.

– On parlera de tout ça tout à l’heure, nous interromps Frédérique, pour l’instant il faut qu’on se détache !

Les liens ont été confectionnés avec des torchons serrés. Anne Marie avise un petit bout de bois un peu large, l’attrape avec les dents. Elle s’approche de Frédérique.

– Toi tu vas m’aider, il fait essayer d’introduire le bout de bois dans le nœud.

On fait ça pratiquement en aveugle avec nos mains liées dans le dos . Pas pratique mais on y arrive. Une fois le bâton dans le nœud, il suffit de faire pression dessus afin de le desserrer. (Toute une technique !)

Nous voilà libérées de nos liens.

– Maintenant on se barre ! Nous dit Anne Marie, ne faites pas de bruit, je vais voir si la voie est libre.

Elle revient très vite.

– Pas moyen, ils sont toute une flopée !
– Et par là ? Proposais-je
– Je vais voir…

Quand elle revint, ce fut pour nous dire que cette issue débouchait sur un ravin impraticable.

– Je vais réfléchir, la solution c’est sans doute de prendre l’un de ces abrutis en otage, mais ça risque d’être un peu compliqué.

A l’intérieur, Graziello, le gourou de la bande tient conciliabule avec Lyrta, sa groupie préférée.

– On en fait quoi de ces connes ? Demande-t-elle.
– Faudra bien qu’on les relâche.
– On pourrait aussi bien les faire disparaitre, on les fait dégringoler dans le ravin, et bing, ça s’appelle un accident de montagne…
– T’es pas un peu malade, leur disparition sera signalée et le coin va être envahi par la gendarmerie, les gardes chasses, les chiens renifleurs…
– Oui, bon … mais si on les torturait un peu avant de les relâcher ?
– Pour qu’elles portent plainte, tu devrais arrêter de fumer n’importe quoi. Par contre on peut leur faire peur et les énerver un peu. Qu’on aille me les chercher.

Ils sont venus nous chercher à je ne sais combien, ils ont l’air complètement abrutis ne s’étonnant même pas que nous soyons libérées de nos entraves.

– Ils vont nous interroger ! Laissez-moi parler, je sais faire face à ce genre de situation. Nous confie Anne Marie en catimini.

Le gourou est plutôt beau gosse pour qui apprécient le genre brun ténébreux avec des sourcils de compétition, auprès de lui trône une blondasse qu’on dirait sortie d’un épisode d’Alerte à Malibu

– Je me demande de ce que je vais faire de vous, commence le gourou, mais dites-moi donc ce que vous veniez faire ici ?
– On se baladait ! C’est interdit ? Répond Anne Marie.
– Avec un revolver et dans un coin infesté de vipères ?
– Le revolver c’est pour les mauvaises rencontres, et les vipères ne me font pas peur
– On tient à notre tranquillité, nous ne faisons de mal à personne. Vous pouvez comprendre ça ? Nous dit le gourou.
– Mais parfaitement. Nous ne pensions pas rencontrer du monde mais nous n’avons rien contre vous !
– Encore heureux, nous sommes les adorateurs d’Odilon.
– Je crains de ne pas connaître…
– Evidemment, il faut être initié. Je vais réfléchir à votre sort, rien ne presse.
– Etes-vous conscient que nos amis vont vouloir nous rechercher ?
– Bien sûr, pour qui nous prenez-vous ? Mais nous savons gérer ce genre de situation. Gardes donnez-leur à boire et reconduisez-les derrière la baraque.

Retour donc à la case départ.

– Ils vont nous libérer, ils ne peuvent faire autrement . Nous dît Anne Marie se voulant rassurante.
– Et pourquoi ils ne le font pas tout de suite.
– Pour nous emmerder.

Au gîte on commence à s’inquiéter. Oh pas pour moi, tout le monde s’en fout de moi, mais William s’inquiète pour Frédérique et Adrien pour Anne Marie, d’autant que les portables restent désespérément muets.

William pâle comme un linge s’approche de Jacques.

– Excusez-moi, vous connaissez bien la région ?
– J’y suis né.
– Parce que ma copine est partie ce matin vers le chemin de la fouine, elle n’est pas rentrée et son portable ne répond pas.
– Normal, il n’y a pas de réseau par-là !.
– Oui mais je suis inquiet quand même, ça vous dirait de m’accompagner…
– Mais elle va revenir votre copine, arrêtez de baliser. Vous me faites rire les Parisiens, toujours en train de vous inquiéter pour rien

Adrien qui n’était pas très loin s’approche.

– Laissez ce pleutre ! Moi, je vais venir avec vous, dit-il à William.
– Comment vous m’avez appelé ? Réplique Jacques jouant les offusqués.
– Fallait écouter mieux, venez William, ne perdons pas de temps.

Les deux hommes cheminent et… (vous vous en serez douter !) tombent sur l’ermite.

– C’est pas possible, c’est une invasion, il n’y a rien à voir par là. Foutez le camp !
– Bonjour monsieur. Répondit Adrien avec un calme olympien. Nous recherchons trois jeunes dames qui se sont sans doute aventurées dans le secteur
– Foutez le camp !
– Répondez-nous et on s’en ira.
– Je ne suis pas une agence de renseignements.
– Bien sûr, mais répondez moi quand même !
– Foutez le camp.
– Ecoute pépère, si la courtoisie ne te convient pas, on peut faire autrement.

Adrien attrape le bras de l’ermite et le tord violement.

– Maintenant tu me réponds ou je serre plus fort ?
– Vous n’avez pas le droit… aïe.
– Alors t’a retrouvé ta langue ?
– Il y a trois pétasses qui sont passées ce matin.
– Et elles sont revenues ?
– Bien sûr que non, elles ont dû crever, c’est trop dangereux par là.

Passant outre les vociférations de l’ermite les deux hommes poursuivent leur chemin… jusqu’au fameux panneau dissuasif.

– Merde, je n’avais pas pensé à ça, si on se fait piquer, c’est la cata… on retourne au gîte en vitesse, J’espère qu’ils ont encore des doses de sérum.

Ils rebroussent chemin, repassent devant l’ermite qui se contente de ricaner stupidement.

Le temps d’embarquer le sérum et de se protéger et c’est reparti.

Et soudain Adrien pousse un cri de douleur et s’écroule au sol ! Non ce n’est pas une vipère, il a buté sur on ne sait quoi, sa cheville gonfle à vue d’œil. C’est l’entorse.

– Putain, ça fait trop mal, Il va falloir que tu m’aides à revenir. On ne peut plus continuer comme ça. On va prévenir la gendarmerie, c’est eux qui feront le boulot.

La marche est pénible. Adrien a beau être un dur à cuire, quand ça fait mal, ça fait mal.

On a fini par nous libérer. Il commence à faire tard, on vérifie s’ils ne nous ont rien piqué, non tout est là à l’exception du flingue d’Anne-Marie, faut pas rêver non plus !

On est un peu choqué quand même par cet épisode sordide, on le serait à moins ! Aussi Frédérique et moi commentons en boucle l’événement. Anne-Marie pour sa part s’est enfermée dans le silence. Personne ne gère son stress de la même façon.

Après avoir dépassé le fameux panneau anti-vipère, Frédérique constate qu’elle a enfin du réseau

– On arrive, on sera là dans vingt minutes.
– Dieu soit loué ! répond William qui pourtant n’y crois guère.

Anne-Marie téléphone à son tour… pas moi, personne ne s’inquiète de moi.

On arrive, on a droit de la part de la patronne et de sa fille a une flopée de commentaires dont nous n’avons que faire, même si ça partait d’une bonne intention.

– On est tombé sur une bande de fous furieux, une secte d’abrutis. On va porter plainte pour séquestration.

Anne-Marie a continué à se taire mais ne perdait pas une miette des conversations.

William et Frédérique m’ont invité à leur table. Je me suis étonné de déguster une omelette aux champignons avec grand appétit.

Dans la salle, il n’y a personne d’autres hormis Jacques mettant un temps infini à dévorer sa part de clafoutis.

Adrien et Anne Marie sont montés dans leur chambre après avoir simplement avalé un verre de jus d’orange .

– Bon, faisons le point, commence Adrien.
– Attends, je téléphone d’abord aux gendarmes, il n’est pas question que ces conasses portent plainte… Allô la gendarmerie, ici l’agent 475689U, sécurité du territoire. Je vous donne mon code pour vérification…
– Allez-y… votre identité s’il vous plaît
– Anne Marie Ledoux
– Je vous écoute
– Deux personnes s’apprêtent à porter plainte au sujet d’individus suspects opérant dans une clairière accessible par le chemin de la fouine près du gîte de la Gloriette.
– Hum ..
– Il s’agit d’une affaire classée Défense, je suis missionnée pour la prendre en charge…
– Donc on enregistre la plainte mais on ne fait rien, c’est ça ?
– Vous avez tout compris ! Pas trop cons ceux-là, commente-t-elle en raccrochant .
– Tu parles, on leur évite une opération merdique. Bon alors fait moi un rapport sur tes aventures.
– J’ai suivi la pute qui s’est embarqué avec cette Frédérique. Elles ont rencontré l’ermite, c’était un peu chaud mais rien d’important, elles ont dépassé le panneau anti-vipère, je suis revenue m’équiper…
– Je sais tout ça, mais après ?
– Je ne savais pas si j’arriverais à les rattraper, l’ai j’ai eu du bol, figure-toi que, elles sont arrêtées pour se bouffer le gazon .
– Non ?
– Si ! Et ça a duré un certain temps parce qu’après elles ont partouzé avec un autre couple… Ensuite elles sont arrivées devant une baraque où s’activait une quinzaine de personnes en toge blanche…
– Ce serait donc une secte ?
– Ça y ressemble sauf que certains d’entre eux, dehors autour d’une table s’amusaient à bricoler des armes de guerre. Et là les nanas ont été capturées, j’ai voulu t’appeler mais pas de réseau. Obligé de prendre une décision, j’ai braqué tout ce petit monde mais j’ai reçu un caillou sur le crâne

Elle raconte la suite, la libération des liens, l’entretien devant le gourou ..

– Tout ça, ça change un peu la donne, je vais appeler le boss.

Adrien lui raconte tout ça, au bout du fil la réponse est très brève.

– Il a dit quoi ?
– Il a dit qu’il fallait qu’on se démerde et il t’a reproché d’avoir pris le risque de faire capoter la mission
– N’importe quoi ! Et concrètement on fait quoi maintenant ?
– La pute est de fait hors de cause, reste ce connard de Jacques et éventuellement les patronnes, on se partage le boulot, je prends Jacques, si je pouvais me le cogner, celui-ci !
– Qu’est-ce qu’il t’a fait ?
– Quand William lui a demandé de l’accompagner pour rechercher sa copine, il a carrément refusé…

A table après le dessert on a un peu traîné, William invoquant une grande fatigue nous a laissé, Frédérique et moi en tête à tête.

– Faut qu’on oublie tout ça, si tu veux demain on ira se balader ailleurs, peut-être que l’on trouvera une clairière accueillante ?
– Coquine !
– Ça ne te dis pas ?
– Bien sûr que si.
– Si j’osais je te demanderais bien un truc un peu chelou !
– Dis toujours.
– Mon copain a un fantasme, c’est de regarder deux femmes ensemble.
– Classique.
– Ça te gênerait ?
– Je ne sais pas trop, ce n’est pas que ça me gêne, c’est que ça fout la spontanéité en l’air.
– C’est non, alors ?
– Ça me dit rien .
– Pas grave. Sinon je ne comprends pas l’attitude de cette Anne Marie, on a quand même partagé des sales moments et maintenant elle nous snobe… et d’abord qu’est-ce qu’elle avait à nous suivre ?
– C’est une espèce de fliquette ou de détective, enfin quelque chose dans le genre. Je ne sais pas trop ce qu’elle cherche avec son copain ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:54

Chanette 31 – La clairière secrète – 3 – Sexe bucolique
bisou1719

Je suis redescendue à 19 h 30. Tout le monde sont là (comme disait le regretté Fernand Raynaud). Jacques, l’artiste peintre, Adrien, le flic qui m’a pris la tête et sa copine, ainsi que le couple de la voiture dont la femme rigole comme une bossue avec son compagnon, celle-ci m’adresse un sourire de bienvenue que je lui renvoie volontiers .

Ce n’est pas un hôtel restaurant et le choix des plats est restreint, mais c’est bon et je commande du chou farci… (excellent)

Deux personnes descendent de l’étage, des nouvelles têtes. La femme doit avoir dépassé la quarantaine, cheveux châtain bouclés, visage agréable. L’homme, je devrais dire le jeune homme doit avoir 20 ans de moins qu’elle. Je note une certaine ressemblance… C’est peut-être son fils. Quelle drôle d’idée de venir en vacances avec sa maman quand on a vingt ans !

Et voilà que la rousse du couple arrivé en voiture s’extirpe de son siège et vient à ma rencontre.

C’est une coutume locale ou quoi ?

– Frédérique ! Se présente-t-elle. Pardonnez mon audace, je vois que vous mangez seule. Si vous désirez un peu de compagnie nous serions heureux de vous avoir à notre table.

Je m’apprêtais à lui débiter mon petit couplet sur mon besoin de solitude, mais devant une telle apparition je restais dubitative et finissais par accepter cette singulière invitation.

Je me présente et elle me présente son compagnon, William.

Evidemment la conversation tourne autour des balades à faire dans le coin.

Je leur parle de ma petite virée à l’étang et de la magnifique vue qu’il y a. Mais aussi de ma première virée au Bois de la Fouine avec la rencontre de l’ermite et la découverte de ce panneau très dissuasif indiquant la présence de vipères.

– Des vipères ? Pourquoi y en aurait-il plus qu’ailleurs ?
– Ma foi je n’en sais rien.
– Ce doit être un vieux panneau !
– Non au contraire, il est tout neuf…

Et je leur montre la photo que j’ai prise.

– Si ça se trouve, c’est ton ermite qui a posé ça pour qu’on lui foute la paix.
– Ah, oui je n’y avais pas pensé.
– Ça me dirait bien d’aller faire un tour par-là ! Tu viendrais avec moi ? Oh désolée, voilà que je vous tutoie ..
– Ça ne me dérange pas du tout .
– Super. Tu viendrais avec moi ?
– Pourquoi pas ? Monsieur vient aussi ?
– Hélas non, il s’est blessé au pied le pauvre chéri, alors pour lui les grandes balades, faut attendre un peu.
– Demain 10 heures, ça te va ?

On a ensuite parlé de choses et d’autres, elle est vraiment agréable cette Frédérique, elle rigole tout le temps, et puis son visage me fascine, il faut que je fasse attention, elle va finir par s’en apercevoir. Et puis c’est bien beau de fantasmer mais il ne faut pas rêver non plus, toutes les femmes ne sont pas attirées par les femmes ! Et en plus elle est accompagnée alors calme toi, Chanette !

La nouvelle venue a terminé son repas et passe devant moi en me gratifiant d’un très joli sourire.

– Bonjour je suis Rachel, et voici mon fils Bertrand.
– Enchantée, moi c’est Christine.

C’est donc bien le fiston, mais au moins ils ne sont pas collants et remontent à l’étage.

N’empêche que je remontais dans la chambre excitée comme une puce. Et j’en arrivais à souhaiter que Marjorie et sa fille viennent me prodiguer un massage à quatre mains. Mais personne n’est venu, je me suis donc soulagée toute seule comme une grande.

Lendemain matin, Mercredi

Adrien et Anne Marie les deux agents (à peine) secrets tiennent conciliabule.

– Aucun coup de fil suspect, normal, ils ne sont pas complètements fous, rien à signaler du côté du peintre, en revanche la pute a cherché à se barrer, elle a passé un temps fou à écumer les agences de locations de vacances, elle a failli en trouver une à Antibes, j’ai fait ce qui fallait pour la bloquer. Je veux qu’on se la garde sous la main.
– Elle a eu la trouille ?
– Ça c’est sûr, et quand on a la trouille on fait des conneries. Donc à mon avis on tient le bon numéro. Il va falloir redoubler de vigilance.
– OK je descends. répond Anne Marie.

Je suis descendue de bonne heure, seule Anne Marie est dans la salle.

Clotilde, la fille de patronne me sert mon petit dej’. Un type se pointe, il a davantage le look d’un ouvrier agricole que celui d’un touriste. Il s’assoit et attend. Quelques minutes plus tard Clotilde réapparaît avec deux très grands sacs en papier, l’inconnu les prend, paye et disparaît.

Je ne sais quel démon m’a poussé alors à m’aventurer à l’extérieur, toujours est-il que j’ai pu voir le type charger une mule avec les sacs puis se diriger vers le Bois de la fouine.

Il se passe décidément d’étranges choses en cette contrée.

En revenant, Clotilde devança ma question.

– Ce sont des militaires en manœuvre, du moins c’est ce que j’ai compris .

Le type n’avait pourtant le look d’un militaire, mais parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre.

Et à 10 heures, Frédérique et moi partions à l’aventure.

– J’ai emporté du sérum anti venimeux, on ne sait jamais. m’informe-t-elle

Et ça n’a pas loupé, il a fallu que l’on rencontre l’ermite .

– T’es revenu, toi la salope et avec du renfort. Je ne peux pas vous empêcher de passer mais vous ne ressortirez pas vivantes de cette forêt.
– C’est ça, on lui dira..

On a continué à avancer, on a dépassé le fameux panneau. J’ai un peu la trouille quand-même.

50 mètres derrière nous, Anne Marie nous file le train en s’efforçant d’être la plus discrète possible.

– Ça n’a aucun sens, avait-elle confié à son collègue, hier elle voulait se barrer et aujourd’hui elle copine avec une parfaite inconnue et s’engage dans ce chemin pourri.
– Ben justement, on est là pour essayer de comprendre ce qui est incompréhensible.
– T’as trouvé ça tout seul.

Evidemment elle tombe à son tour sur l’inévitable ermite.

– Qu’est-ce que tu fous là, pétasse ? C’est pas le château de Versailles ici, retourne tapiner ailleurs !

Le sang de l’agent secret ne fait qu’un tour, l’ermite reçoit une baffe en pleine poire.

– Tu me parles autrement, abruti !

Elle continue sa filature, mais tombe en arrêt devant le panneau indiquant la présence de vipères.

Elle appelle Adrien.

– Je ne peux pas prendre un risque pareil…
– Bon, reviens.

A son retour, Adrien l’informe avoir déniché une dose de sérum dans la boîte à pharmacie de gîte.

– Voilà, change-toi, met toi un pantalon, des grosses chaussettes et couvre-toi les bras. Et essaie de les rattraper.
– Je n’ai pas de grosses chaussettes.
– Superpose deux paires.

Elle retourne donc au charbon.

– Si je les rattrape, c’est que j’aurais eu du bol…

Un peu avant…

– Oh, la jolie clairière ! S’exclame Frédérique. On se pose un cul cinq minutes ?

OK, ça fait du bien de souffler un petit peu .

– Quel calme !
– Juste les petits oiseaux.
– Dis-moi t’as choisi ce gîte par hasard, ou tu connaissais déjà ?
– C’est ma copine qui a trouvé ça, elle a toujours des idées originales.
– Elle va te rejoindre ?
– Non, elle a eu un empêchement professionnel de dernière minute.
– Ah ! T’es célibataire ?
– Divorcée .

Je n’arrive pas à trouver le petit truc qui lui ferait dévoiler sa sexualité. Pourtant elle n’est pas aveugle, elle doit bien voir comment je la regarde.

– Mais si tu me parlais un peu de toi ? Repris-je.
– Bof, on a trouvé ça par hasard, je pensais qu’il y aurait davantage d’animation. J’espère que je. ne vais pas m’emmerder. Nous on aime bien les rencontres
– Ouai, c’est vrai qu’il n’y a pas grand monde….

Je ne sais plus trop quoi dire…

– J’aime bien la façon dont tu me regardes.

Enfin !

– Tu es très belle !
– N’exagérons rien, tu aimes les belles femmes ?
– J’avoue.
– Tu aimerais m’embrasser ?
– Oui .

Un cataclysme, j’ai déclenché un cataclysme !

Elle ne m’embrasse pas, elle m’aspire et en même temps elle me débraille, elle passe ma main sous mon tee-shirt, puis sous le soutif, me caresse le sein…

– Doucement, doucement !

Je proteste mollement mais me laisse faire, ça l’encourage, du coup elle me dégage mes seins et se jette dessus bouche en avant. Elle me fait des guiliguilis avec sa langue sur mes tétons, mais au bout de quelques instants j’ai l’impression qu’elle s’agite bizarrement…

– Faut que je fasse pipi ! M’informe-t-elle.

Elle s’éloigne de deux ou trois mètres, baisse son pantalon et sa culotte et pisse devant moi avec un sourire désarmant.

– J’avais une de ses envies ! Me confie-t-elle en guise de commentaire.
– Je vois ça.
– Passe-moi un kleenex que j’essuie ma foufoune.
– Laisse-moi ce plaisir !
– Si tu veux, c’est dans mon sac !
– Tu ne veux pas que je fasse ça avec ma langue ?Minaudais-je
– Oh ! Tu ne serais pas un peu vicieuse, toi ? S’amuse-t-elle.
– Disons que j’aime bien les jeux de pipi., Mais je proposais ça comme ça…
– Alors viens ma biche, viens me rincer la foufoune.

Il est des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois. Frédérique s’étale sur le sol en écartant ses cuisses et je viens la butiner.

Vous vous doutez bien que dans cette situation, je ne vais pas lui lécher les quelques gouttes d’urine résiduelles puis repartir dans mon coin. Non, j’ai bien l’intention de lui brouter la chatte…

Mais c’est elle qui me surprend…

– Attends, ne bouge plus, laisse ta bouche ouverte, je crois que je peux encore faire quelques gouttes. Tu veux ?
– Mmmm

Effectivement quelques petites gouttes me dégringolent dans le gosier. Je m’en délecte

– Et toi, t’as envie ? Me demande-t-elle !
– Je veux bien essayer.

A mon tour de dégager pantalon et culotte. Frédérique s’allonge sous moi; je m’accroupis, me concentre et parvient à libérer un petit jet

L’autre à l’air d’apprécier, mais je ne la vois pas avaler. Qu’est-ce qu’elle fout ?

Alors par gestes, elle me fait signe de rapprocher mon visage du sien J’ai compris, mes lèvres rejoignent les siennes. Et cette salope me rend toute mon urine qu’elle avait conservé en bouche ! Un peu timbrée la fille, mais ça m’a amusé !

On se redresse et de nouveau elle m’attaque mes nénés, Je m’abandonne aux douces caresses de sa langue agile tout en m’efforçant de lui débrailler le haut.

Mais soudain…

– Merde v’la du monde !

On essaie de se recouvrir… Les deux importuns avancent vers nous, il s’agit de Rachel et de son grand fiston. Ils arrivent à notre hauteur. On ne leur a jamais appris à ces gens-là qu’il y a des circonstances où il faut savoir se montrer discret ?

– Ne vous gênez pas pour nous, on va se poser un peu plus loin ! Nous annonce Rachel.

On reste bouche bée ! Que répondre ?

Ils filent cinquante mètres plus loin et s’allongent, mais avant ils retirent leurs vêtements. Ils vont donc faire une petite partie de bronzette à poil. Complétement à poil !

– On fait quoi, on se barre ? Proposais-je à Frédérique.
– Dommage on était bien parties !
– Ben oui !
– Et puis on les emmerde, si on les choque, ils n’ont qu’à aller se faire bronzer le cul ailleurs.
– On fait quoi alors ?
– On va s’allonger cinq minutes.

Chanette3103
OK on s’allonge côte à côte, j’ai complétement dégagé la poitrine de Frédérique qui déjà me pelote la mienne, ce doit être une manie.

Par curiosité je jette un coup d’œil dans la direction de Rachel.

– Mais attends, regarde ce qui se passe !
– Il se passe quoi ?
– Ben regarde !

En effet la scène ne manque pas de sel, Rachel s’est emparée de la bite de son fils et la branle en cadence.

– Ils se font pas chier, ils pourraient être plus discrets !
– Ils doivent croire qu’on ne les voit pas.

Après la branlette, c’est la sucette ! Rachel est maintenant en train de sucer la bite du fiston.

– Putain, ça m’excite ! Me dit Frédérique.

Je lui fous mon doigt dans sa chatte, toute mouillée.

– Regarde, il va la baiser !

Effectivement, Rachel se met en levrette (quel beau cul !) Bertrand passe derrière et c’est parti mon kiki ! Le grand dadais parait tout content de sodomiser sa maman.

Ces excentricités n’ont pas duré longtemps, cinq, dix minutes, allez savoir. La mère et le fils se sont de nouveau allongés et offrent leur corps au soleil.

Encore plus excitées que tout à l’heure, on se pelote à qui mieux mieux, nos doigts vont partout et évidement le mien ne tarde pas à pénétrer le trou du cul de Frédérique.

– Hum, j’aime ça, mais tu risques d’avoir des surprises…

Je crois comprendre mais je fais l’âne.

– Ben oui, je ne vais peut-être pas tarder à faire caca ! Se croit-elle obligée de préciser.

Je ressorts mon doigt qui effectivement n’est pas trop propre. Ça fait rire ma partenaire qui n’attrape le doigt et se met à le lécher en toute décontraction.

– T’as déjà fait de la scato ? Me demande Frédérique.
– Un peu comme voyeuse et comme donneuse !
– Ben c’est déjà beaucoup ! Tu veux me regarder chier ?
– Pourquoi pas ?

Elle s’est retournée afin de m’offrir la vue de son joli fessier et elle s’est mise à pousser. Un long boudin marron finit par sortir et s’enrouler dans l’herbe.

– Ça t’a plu ?
– Oui ! Balbutias-je.

En fait j’étais considérablement troublée.

– Tu m’essuie ?
– Je ne sais pas…
– Essaie, je vois bien que tu es tout excitée.

Alors dans un état pour ainsi dire second, j’ai approché ma langue de son anus, j’ai inspiré profondément et j’ai léché les deux ou trois traces douteuses.

– Viens me lécher, je n’en peux plus ! Lui indiquais-je

Et c’est en soixante-neuf que nous sommes toutes deux envoyées en l’air.

On s’est reposé quelques minutes avant d’être réveillées par un raclement de gorge. Rachel et son fiston sont là, ils sont à poil, leurs vêtements sous le bras.

– Euh, je voulais vous demander… je compte sur votre discrétion ! Commence Rachel.
– Ne vous faites pas de soucis ! Répondis-je
– Ce doit être le climat qui nous pousse à faire des choses interdites…

Ben voyons.

– Mais c’était magique ! C’est formidable de se faire enculer par son fils, n’est-ce pas mon chéri ?
– Oui maman !

On ne sait trop quoi dire ! Mais c’est Frédérique qui mets les pieds dans le plat.

– Vous avez une jolie chatte, chère madame.
– Si elle vous intéresse, je suis à votre disposition.
– Pourquoi pas ?
– Un petit truc à quatre, ça vous dirait ?

Frédérique a vu ma tronche, en effet le Bertrand ne me branche guère.

– On vient de faire les folles, on est un peu crevées. On se repose une demi-heure et après on verra.

On s’attendait à ce qu’il aillent patienter un peu plus loin, ben non, ils s’allongent à 5 mètres de nous et Rachel tripote négligemment la bite de son fils qui se met à bander de fort belle façon.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Jeudi 3 octobre 2024 4 03 /10 /Oct /2024 15:51

Chanette 31 – La clairière secrète – 2 – La masseuse du gite

Massage3

Mardi

Je me suis levée tard le lendemain, je descends dans la salle commune. Il y a Jacques, il me salue, je le lui rends du bout des lèvres. Que fait ce mec à squatter sans arrêt dans cette salle ?

Je ne fais pas trop attention à ce couple insignifiant au fond de la salle, lui la quarantaine, cheveux courts, barbe de trois jours à la mode, elle, brune méchée, visage de fouine et queue de cheval . Par contre sans que je le soupçonne, eux, s’intéressent à moi…

– Ah, voilà la pute ! Indique le capitaine Roquevert à sa collègue.
– Elle me semble un peu frêle pour ce boulot, rétorque le lieutenant Anne-Marie Ledoux.
– Ça ne veut rien dire.
– A mon avis c’est l’autre, un artiste peintre qui vient se perdre ici sans ses pinceaux, c’est pas très normal .
– Et une pute de luxe qui peut se payer des vacances de star et qui vient s’échouer dans un gîte rural de seconde zone, c’est normal ?
– Admettons, mais quelle mission à la con !
– On fait comment ? Je me charge de la pute et tu t’occupes de ce Jacques Petit.
– Le peintre ?
– Ben oui le peintre !

Roquevert s’approche de moi.

– Adrien ! se présente-t-il en me tendant la main.

Qu’est-ce qu’ils ont tous à venir me faire chier ?

– Christine, enchantée, ne le prenez pas mal mais je ne recherche aucune compagnie, bonne journée, monsieur. Répondis-je en m’efforçant de garder le sourire.
– Je ne voulais pas vous importuner, j’essayais juste d’être convivial.
– Alors merci pour votre convivialité.

Piqué au vif Adrien change subitement de tactique sans que je n’y comprenne rien.

– Je vais vous parler franchement, vous n’auriez jamais dû accepter cette mission, vous risquez d’y laisser votre peau.
– Hein, mais de quoi parlez-vous ?
– On sait tout sur vous, mais si vous acceptez de collaborer on peut vous offrir notre protection.
– Bon, vous me les lâchez maintenant ? Allez jouer les mythos ailleurs !
– Vous exercez le plus vieux métier du monde et ça se passe à Paris, rue des Saulniers dans le 9eme.

Alors là je suis sur le cul, ce mec serait donc un type que j’aurais eu comme client ? Je ne peux pas me souvenir de tout le monde, mais pourquoi tout ce baratin ?

– Ecoutez, jeune homme, j’ignore à quoi vous jouez, mais je n’ai aucune envie de jouer avec vous et je vais vous demander de me foutre la paix !
– Voilà à quoi je joue ! Me répond-il en m’exhibant une carte de la Défense du territoire barrée de tricolore..

Evidemment sa carte il a pu la faire imprimer avant-hier chez un imprimeur peu scrupuleux, Mais quand même, être mytho à ce point j’ai des doutes.

– Et alors ? Vous me prenez pour qui ? Pour une espionne ?
– Je vous prends pour une personne qui a accepté contre rémunération une mission terriblement dangereuse .
– Sauf que vous vous foutez le doigt dans l’œil, personne ne m’a confié de mission.
– Je vous laisse réfléchir.
– C’est ça !

J’en ai marre, ils sont tous cinglés dans ce patelin, je vais m’en aller ailleurs… Je remonte dans ma chambre et à l’aide de mon téléphone je me cherche une location en bord de mer. Pas évident, tout est complet y compris dans les hôtels pour rupins..

J’enrage, je tape du poing sur la table, j’ai envie de casser quelque-chose, je suis au bord de la crise de nerfs. Je vais me passer de l’eau sur le visage pour me calmer.

Je souffle cinq minutes puis reprends mes recherches. Je vais bien finir par trouver quelque chose !

Eh oui, un beau studio à Antibes, vue sur la mer avec large balcon. C’est hors de prix mais bon, j’ai les moyens. Je réserve, paye avec ma carte gold. Tout va bien !

J’examine le parcours. Un vrai chemin de croix, le taxi jusqu’à Rodez, quatre heures pour faire Rodez-Marseille, deux heures et demie pour faire Marseille-Antibes. A ce compte-là J’aurais mieux fait d’aller au Maroc, mais mon passeport est resté à la maison.

Il faut que je me commande un taxi pour demain. Evidemment ça ne répond pas. J’insiste… en vain. Je laisse passer quelques minutes et voilà que mon téléphone se met à sonner. Numéro inconnu, je décroche quand même..

– Madame d’Esde ? (c’est moi)
– Ouai.
– C’est l’agence des Rives. Je suis réellement désolée, notre logiciel fait des siennes. En fait le studio que nous vous avons loué n’était plus libre et…
– De quoi ?
– Croyez bien que nous sommes vraiment désolés…
– Et vous n’avez rien d’autre ?
– Non malheureusement, nous allons vous recréditer.
– Conasse !
– Au revoir madame.

Je laisse tomber, j’en ai marre. Et je décide d’aller faire un tour jusqu’à ce fameux étang en espérant que ça me changera les idées.

Pendant ce temps.

C’est au tour d’Anne-Marie Ledoux d’entrer en scène et d’aller cuisiner Jacques Petit.

Adrien est sorti intentionnellement. Anne-Marie adresse un sourire à Jacques qui ne répond que par politesse.

« Celle-ci, elle est en couple, je la laisse tranquille ! » Se dit ce dernier.

Anne Marie s’approche de lui, tout sourire

– Bonjour, vous connaissez le coin ?
– Ben oui, j’y suis né
– On nous a distribué des brochures mais tout n’est pas clair, mon frère se demandait si on pouvait pêcher dans cet étang ?
– Oui il y a de la truite.

Mais Jacques n’est pas idiot, enfin pas complétement, les propos de la femme sont fertiles en informations étonnantes. Elle passerait donc ses vacances avec son frère, ils ne font pourtant pas frère et sœur ! Pour les renseignements qu’elle demande pourquoi ne s’adresse-t-elle pas à Marjorie ou à sa fille ? Et pourquoi ce n’est pas le frangin lui-même qui se renseigne pour la pêche ?

Il se dit alors que ça sent l’arnaque et que le mieux à faire en de telles circonstances est de couper court.

– Et sinon la ferme aux fromages…
– Ecoutez chère madame, vous êtes charmante mais je tiens à préserver ma solitude. Donc on en reste là. Bonne journée.

La tronche de la mère Ledoux !

– Vous avez tort de réagir comme ça. Je sais tout sur vous, vous êtes artiste peintre et vous habitez Toulouse.
– Je vous ai demandé de me foutre la paix !

Alors là nana abat sa dernière cartouche en exhibant sa carte de la DGSE.

– Voilà qui devrait changer la donne.
– Bon écoute mémère, ta carte tu peux te la foutre dans le cul, si elle est vraie, je n’ai rien à me reprocher et si elle est fausse tu ne vas pas la garder longtemps.
– Vous avez des colères intéressantes.
– Marjorie, tu peux dire à cette pétasse qu’elle arrête de me faire chier.
– Allons, allons, c’est un endroit convenable ici… commence Marjorie en s’approchant, c’est quoi le problème ?
– Ce monsieur me traite de pétasse ! Déclare d’emblée Anne-Marie empêchant Jacques de s’exprimer en premier.
– Ce monsieur est un client régulier du gîte et il a toujours été très correct, si des mots malheureux ont été prononcés c’est que vous l’avez énervé. Je vais donc vous demander de regagner votre place.

Et c’est ainsi qu’Anne-Marie, agent aguerrie de la DGSE s’est retrouvé humiliée comme une bleue.

Elle rejoint Adrien à l’extérieur

– Le fiasco complet, rien n’a fonctionné… Déplore-t-elle.
– Un pro ?
– Non, je dirais plutôt une tête de lard associable.
– Bon, on permute, je m’occupe du peintre et toi de la pute et tout ça en douceur et demain on analysera les téléphones à la fraîche.

Marjorie attend que le couple soit rentré et le convoque dans son petit bureau.

– Bon je ne sais pas ce que vous foutez mais vous êtes à l’origine d’au moins deux incidents, je vais donc vous rendre votre caution et vous demander de quitter les lieux sans délais.
– Je crains que ce ne soit pas possible, répond Adrien, nous sommes mandatés par le ministère de la défense, voici notre ordre de mission abrégé, il y a un téléphone, vous pouvez en prendre note et faire un contre appel si ça vous chante.
– Ah ! Et c’est parce que vous avez une mission que vous vous autorisez à faire chier le monde.
– Vous n’allez quand même pas prétendre nous expliquer comment pratiquer notre métier ?
– Pff…
– Evidemment il vous est interdit de divulguer à qui que ce soit ce que nous sommes réellement.
– Et vous êtes qui pour prétendre me l’interdire ?
– Vous n’allez tout de même saboter une mission ayant pour but la sécurité du territoire ?
– Pff…

Je suis donc allé découvrir ce fameux étang, c’est vrai que l’endroit est fabuleux, d’un calme serein uniquement troublé par le chant des oiseaux. Je me suis allongée près de l’eau en bikini offrant mon corps au soleil. Je me suis endormie pendant une bonne heure.

Cela m’a fait un bien fou, au réveil une partie de mon stress s’était évaporé.

Je rentrais au moment où un couple descendait de voiture et déchargeait ses bagages. Lui un grand black, elle une jolie rousse avec des cheveux partout, la quarantaine, visage intéressant, très souriante.

J’échange un sourire complice avec Marjorie, m’envoie un grand jus d’orange et monte directement dans ma chambre.

J’ouvre et m’aperçois qu’on m’emboite le pas, c’est Clotilde, la fille de la patronne.

– Bonjour ça va ?
– Ça va comme ça.
– Vous m’avez l’air nouée
– Ce sont des choses qui arrivent.
– Je ne sais pas si vous avez lu la brochure en entier, nous proposons des massages tantriques, c’est très relaxant.
– Ah ?
– C’est moi qui opère.

Je la regarde mieux, c’est une belle femme mais elle ne possède pas le charme particulier de sa mère, d’ailleurs elle ne lui ressemble pas trop, grande brune filiforme.

Je me laisserai bien tenter, mais une question me taraude : Marjorie lui a-t-elle confié ce que nous avons fait ensemble ? En principe une mère ne raconte pas à sa fille ses frasques sexuelles. J’ai envie de savoir, ça m’amuse

– On m’a déjà fait un massage tantrique dans un institut, c’était pas mal. C’était un massage à quatre mains .
– Ah oui ! Je peux faire ça avec ma mère, mais ce n’est possible qu’après le service, dès fois on termine assez tard. Voulez-vous qu’on fasse ça vers 23 heures. ?
– Je crois qu’à cette heure-là, je serais en train de roupiller, mais je veux bien que vous me massiez maintenant !
– Je vais chercher les huiles essentielles et je reviens.

La voilà qui revient avec un grand sac.

– Je vais me mettre en blouse ! M’indique-t-elle en la sortant de son sac.

Elle se débarrasse de ses fringues, garde uniquement ses sous-vêtements (de jolis sous-vêtements en dentelle blanche) et enfile la blouse sans la boutonner.

– Bon autant annoncer la couleur ! Me dit-elle. Je peux vous faire ça en « traditionnel », mais si vous préférez que je sois un petit peu coquine, ça peut se faire aussi !
– Alors soyez un peu coquine ! Répondis-je en me débarrassant à mon tour de mes vêtements, puis en me couchant entièrement nue sur le ventre en travers du lit.
– Dis donc, t’es drôlement gaulée, toi ! Me dit-elle, Oh ce cul !

Le lecteur remarquera que certaines circonstances sont propres à faciliter le tutoiement !

Elle me pelote les fesses, les embrasse, les écarte et je sens sa langue me chatouiller la pastille… c’est fort agréable mais ça n’a rien à voir avec un quelconque massage !

Et voilà que je sens un doigt qui l’air de rien s’amuse à me pénétrer mon trou intime ! C’est quoi ces manières, elle aurait pu demander !

– T’aimes ça ? Demande-t-elle !
– Oui, c’est bon !
– Tu ne serais pas un peu salope, toi ?

Même un peu pute, mais je ne vais pas lui dire !

Elle s’écarte un moment pour aller piocher dans son sac…

– J’ai apporté un joujou !

Le joujou, c’est un joli gode, très réaliste… pourquoi pas ?

– Ça te dit ?
– Oui, vas-y, encule-moi !
– T’aime ça, te faire enculer ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– T’es vraiment une salope ! Dis-le-moi que tu es une salope.!

D’ordinaire, c’est moi la dominatrice, on est en pleine inversion des rôles, mais qu’importe, je suis très joueuse.

– Oui, je suis une salope
– Une morue !
– Une salope et une morue
– Attention, ça va rentrer !

Et zlouf, j’ai son machin dans le cul, elle en actionne le vibrateur intégré (on arrête pas le progrès) et elle le fait aller et venir dans mon conduit d’évacuation ! J’adore ça, je commence à avoir la chatte en feu.

Après plusieurs minutes de ce régime, mademoiselle enlève sa blouse, puis retire son soutif m’offrant la vue de deux superbes globes, elle vire aussi sa culotte.

Chanette3102Complétement excitée, je me jette sur elle, on se pelote à qui mieux-mieux, on se caresse, on se bécote et on se contorsionne tant et si bien qu’on se retrouve en position de soixante-neuf.

La position magique comme disait je ne sais plus qui, celle qui donne l’impression que l’on se lèche soi-même !

C’est qu’elle mouille sévère, la Clotilde, je pensais qu’elle faisait ça juste pour le fric, non manifestement, la situation l’excite.

J’attaque son clito qui s’est dressé comme une mini bite. Miracle de la réciprocité, elle fait la même chose avec le mien.

On a joui quasiment en même temps, elle se relève, un peu pantelante, va se rincer la zézette et se rhabille en silence.

– C’est 50 euros, tu me les donnes tout de suite où on les met sur ta note ?
– Tu me les mets sur ma note !

Elle s’en va, elle devait avoir du travail, mais cinq minutes de chaleur humaine cela ne l’aurait pas tué…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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