Chanette

Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:38

Chanette 30 – La disparition de Carole – 3 – Réunion orgiaque par Chanette
StampBea

La réunion n’a pas lieu dans une salle publique ni dans l’arrière-salle d’un bistrot mais carrément chez l’habitant. Et il doit avoir du fric, l’habitant, faut voir la baraque et le terrain !

Un type est à l’entrée avec un chien peu aimable en laisse.

– On vient pour la réunion. Croit devoir indiquer Anna vêtue très décontractée, short en jeans et débardeur bleu ciel sans soutif.

Ben oui, on ne vient pas pour repeindre le plafond !

– Vous montez les marches et c’est la grande salle sur la gauche. Nous indique le cerbère.

Pas grand monde dans la salle, environ une vingtaine de personnes. Ces gens-là semblent surpris de voir arriver quatre personnes supplémentaires, mais nous ne serons pas les derniers

J’aperçois Jérémy, il me fait un sourire niais, j’en fais autant.

– Soyez les bienvenus ! Nous accueille un grand échalas. Prenez place, je vous en prie.

On attend un quart d’heure. Un couple entre deux âges rejoint l’assistance, et ça commence.

Un playboy sur le retour aux dents écarlates mais qui est autant orateur que moi nonne carmélite commence un speech d’une voix monocorde. Il explique que le sexe c’est bien, que l’hypocrisie c’est mal… Je ne peux être que d’accord mais pourquoi organiser une réunion pour nous raconter ça d’autant que la salle semble d’ores et déjà acquise à ce discours.

Je laisse mon esprit vagabonder, je ne l’écoute même plus.

Il conclut je ne sais plus comment mais recueille les applaudissements du public y compris ceux d’Anna et de Carole.

Le bonhomme reprend la parole :

– Merci mes amis pour ces applaudissements qui me vont droit au cœur, mais je vais vous dire un truc : la théorie c’est super, mais rien ne vaut la pratique…
– Clap, clap, clap (applaudissements frénétiques de l’assistance)
– Alors pour la pratique, on a disposé quelques matelas confortables sur les côtés, mais si vous préférez vous isoler, des chambres sont à votre disposition au premier étage. Et maintenant faisons comme au bal des pompiers : choisissez votre partenaire.. Et youppie, ce soir c’est la fête !

Ça applaudit, puis ça gesticule en tous sens, chacun cherche sa chacune…

Dingue, un type m’aborde, il ne me dit rien du tout, je l’éconduis poliment, se pointe un second, même punition, me voilà tranquille, du moins je l’espère.

Je décide de me barrer, mais où sont les autres ?

Valentin me fait signe qu’il doit se rendre aux toilettes, je ne l’ai pas revu de suite… mais il m’a raconté… Il va donc falloir que je prenne mon mal en patience…

Anna s’est branchée avec une dame mature assez imposante quant à Carole, j’ignore où elle est passée.

La femme qui drague Anna se prénomme Jackie, ce que nous n’apprendrons que plus tard. Très élégante vêtue d’une robe jaune citron décolletée jusqu’au nombril.

D’où je suis, je peux tout voir et presque tout entendre.

– Tu me plais, toi ! Lui dis la dame.
– Alors je te laisse faire.
– Ouvre moi ce short que je passe ma main.

Anna déboutonne le vêtement.

– Mais t’es une petite cochonne, tu n’as pas mis de culotte.
– Tu ne vas pas t’en plaindre.

Jackie ne répond pas, ses doigts le faisant à sa place pénétrant dans les chairs humides de l’intimité de ma copine.

– Mais t’es toute mouillée, ma cocotte,
– Je mouille souvent.
– On se prend un matelas ?

Le matelas en question n’est pas très loin de ma place, Je vais pouvoir mater, ça m’occupera (et comme ça, je peux vous raconter…)

Anna dégage la poitrine de sa partenaire, (elle est superbe la dame dans le genre grand cheval) et se jette sur ses gros tétons qu’elle tète avec avidité.

Chanette3003
Les deux femmes se retrouvent rapidement à poil, d’ailleurs tout le monde ou presque est à poil sur les matelas. C’est vraiment l’orgie romaine ici.

Au milieu de la salle il n’y a pratiquement plus personne. Un mec s’approche de moi, bite en étendard. Il sort d’où celui-là ?

– Vous restez seule ? Me demande-t-il.
– Oui et oubliez moi, vous serez gentil.
– C’est dommage, j’en ai une grosse.
– Je n’aime pas les grosses.

Il s’en va, dépité et je peux continuer à mater. Anna est en train de lécher le cul de Jackie, et quand je dis « lécher le cul », c’est vraiment lécher le cul. Je peux voir l’extrémité de la langue de la copine entrer dans le trou du cul de sa partenaire.

– Ben dis-donc, on voit que tu aimes bien lécher les culs, toi, tu ne fais pas semblant
– J’adore ça !
– Il y a pas comme une petite odeur ?
– C’est très léger, mais ça ne me gêne pas, au contraire.
– T’aimes bien les trucs un peu crades ?
– Non, ce n’est pas ça, mais disons que je n’ai pas de tabous.
– Fous-moi un doigt dans le cul !

Anna ne se fait pas prier et entreprend de doigter vigoureusement l’anus de sa complice du moment., laquelle semble apprécier si l’on en croit les petits cris qu’elle ne peut s’empêcher d’emmètre.

Elle finit par sortir son doigt en regarde l’état et s’en amuse.

– Dis donc, t’as pas vraiment le cul très propre, t’as vu comment tu m’as sali mon doigt !
– Oh, désolée, je vais te le nettoyer… répond Jackie en balayant le doigt d’Anna d’un coup de langue.
– Ça va, c’est bon ?
– J’aime bien ! Je suis un peu spéciale.
– Ne t’inquiètes pas, moi aussi il m’arrive de faire des trucs un peu trash.
– Des trucs un peu extrêmes ?
– Eh, oui ! Mais c’est quand je suis super excitée.
– Tourne toi, j’ai envie de te lécher le cul à mon tour.

Et la Jackie, non plus ne fait pas semblant. Faut voir les grands coups de langue qu’elle prodigue à ma copine !

Les deux femmes s’agitent de plus en plus, ça se caresse, ça se pelote, ça s’embrasse, ça se lèche et ça se termine dans un soixante-neuf complétement débridé au terme duquel les deux femmes jouissent comme des malades.

Et pendant ce temps-là Valentin…

Le récit de Valentin.

Je me rends aux toilettes afin de satisfaire une petite envie de pipi… Elles sont assez grandes, plusieurs urinoirs, plusieurs cabines, plusieurs lavabos…normal puisque le site avait été réaménagé pour recevoir des colonies de vacances !

Il y a un monsieur, genre très distingué, cheveux et barbe blanche. Il est à poil et occupe l’un des urinoirs.

A mon arrivé, il se recule, bite à la main et se masturbe. J’hésite un peu et me dirige vers l’urinoir contiguë tout en étant troublé par l’attitude de ce type.

Il m’adresse un sourire qui se voudrait complice, je le lui rends volontiers.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je
– Si vous voulez la toucher, ne vous gênez surtout pas.

Alors je la prends en main, la caresse et la branle un petit peu.

– Tu suces ? Me demande le vieux.
– Oui !

Et je me baisse afin de mettre en bouche ce joli sexe bien bandé. Inutile de dire que je me régale et que ma propre bite devient à l’étroit dans mon pantalon.

Un mec entre et s’approche de nous, il sort sa queue et nous regarde faire.

– Joli spectacle ! Commente-t-il.
– Il me suce trop bien ! Répond le vieux.
– Vous allez l’enculer ?
– Pourquoi pas ? Qu’est-ce que tu en penses ? Me demande-t-il.
– Moi je veux bien !

Je baisse mon pantalon et offre mes petites fesses au vieux qui vient alors me lécher le troufignon. J’adore cette caresse !

Il s’encapote et me pénètre d’un grand coup de rein. Il m’a fait un peu mal et je pense même à stopper l’affaire, mais la suite est agréable, il m’encule comme un chef ! Je sens ses grosses couilles qui me claquent derrière. Le troisième larron vient au-devant de moi et me propose sa bite à sucer ! Pourquoi pas, une bite dans la bouche, une bite dans le cul, c’est la fête !

Le mec de devant est parti, sans avoir joui, sans doute réserve-t-il sa jouissance à d’autres plaisirs.

Le vieux derrière n’en peut plus, il souffle comme un bœuf et s’agite de plus en plus. Je le sens décharger, il se retire.

– Ça fait du bien ! Commente-t-il sans me regarder.

Et il s’en va sans un mot de plus, moi je n’ai pas joui. J’ai failli me branler et puis je me suis dit que la soirée n’était pas finie… J’ai quand même pissé, c’était pour ça que j’étais venu.

Fin du récit de Valentin

Anna et Valentin ont fini par me rejoindre.

– Alors, on fait banquette ?
– Ben oui, pas trop motivée…
– Je suis tombée sur une de ces brouteuses, elle avait une de ces langues ! Elle m’a emmené au plafond. Croit devoir me préciser Anna.
– Je sais, j’ai vu et entendu, bon, où est Carole ? J’aimerai bien ne pas m’éterniser ici.

Personne ne sait où est Carole, alors on attend.

La frénésie sexuelle semble se calmer, des gens quittent les lieux.

Bientôt il ne reste plus que nous.

– Mais enfin, qu’est-ce ce qu’elle fout ?

Je lui téléphone, mademoiselle est en répondeur. Elle se fout de notre gueule.

Le grand échalas de tout à l’heure s’approche de nous :

– Nous allons fermer, messieurs dames, j’espère que vous vous êtes bien amusés.
– On attend notre copine, elle doit être en haut.
– Il n’y a plus personne en haut, je viens de faire le tour.
– Ah ?
– Votre amie a dû aller ailleurs avec son partenaire pour finir la soirée…

Gonflée quand même, elle aurait pu nous prévenir.

On est rentré manger un morceau et on est allé se coucher.

Le lendemain nous étions toujours sans nouvelles de Carole.

Nous avons attendu toute la journée, l’angoisse à la gorge.

Vingt-quatre heures ont passé, on est allé voir les flics. Ils s’en foutent nous expliquent que la personne est majeure, qu’on n’est pas de la famille et que les plaintes pour disparition ne sont recevables qu’au bout de 48 heures. Bref ils ne vont pas se bouger.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:35

Chanette 30 – La disparition de Carole – 2 – Talents de conteuse par Chanette
Anna

J’ai donc indiqué au type que j’étais d’accord et il m’a communiqué l’adresse de sa location de vacances.

J’arrive chez lui, il me demande si je veux boire quelque chose, je décline. Pas envie qu’il me mette un truc douteux dans mon verre. Mais il n’insiste pas.

– Je m’appelle Jérémy ! Me dit-il
– Enchantée, moi c’est Marguerite ! Improvisais-je
– Non, vous plaisantez ?
– Peut-être que oui, peut-être que non… Mais je pense que vous pouvez comprendre que je ne vais pas vous donner mon vrai nom…
– Oui, bien sûr. Asseyez-vous. On se donne une heure ? Me confirme-t-il.

Il s’assoit en face de moi.

– Je vous écoute.
– Payez-moi et nous pourrons commencer.
– Ne vous inquiétez pas, je vous paierai tout à l’heure.
– Non, l’usage est de payer d’avance.
– Et si votre prestation ne me convient pas ?
– Bon écoutez, on ne va pas jouer aux marchands de tapis, vous me payez ou je m’en vais.

Je regrette déjà d’avoir accepté ce rendez-vous, ce mec devient déjà chiant. S’il continue à m’emmerder, je vais me casser.

Il sort quelques billets de son portefeuille et les pose sur la table. Ça l’aurait dérangé de me les donner de la main à la main ?

– Bon alors, vous voulez que je vous raconte quoi ?
– Vous devez avoir plein d’anecdotes croustillantes à raconter ?
– Vous voulez du croustillant ?
– Oui ! Tant qu’à faire…
– Avec des détails bien explicites.
– Oui des trucs bien excitants. Des trucs pour me faire bander.

C’est vrai que j’ai plein d’anecdotes en stock, mais je ne vais pas non plus lui raconter ma vie, je choisi donc de lui raconter mon aventure alpestre aux sources bleues (voir : Chanette – 10 – les sources bleues) en l’arrangeant à ma sauce.

Au bout de dix minutes il m’interrompt.

– Hum, c’est super excitant votre truc, si vous permettez on va faire une pause, je vais me mettre en tenue.
– En tenue ?
– Oui, on a convenu qu’on ne baiserait pas et que je ne vous toucherai pas, mais j’ai le droit de me branler devant vous, je suppose ?
– Ah ? si vous voulez !

Il s’en va à côté, j’espère qu’il ne va pas revenir avec un revolver, je fouille dans mon sac et avise ma bombe au poivre au cas où…

Et le voilà qui revient, il est à poil, des pinces aux seins et aux couilles avec des poids, il s’est ligaturé les testicules, il aussi un plug anal dans le cul que je ne l’ai pas vu tout de suite.

– C’est ma tenue de lopette ! Croit-il devoir préciser.

Ben oui j’avais compris.

– A Paris, j’ai aussi une perruque et du maquillage, mais je n’ai pas emporté tout ça ici…
– Tu te travestis ?
– Oui, mais je fais ça chez moi, je serais plus jeune je m’exhiberais mais là j’ai un peu passé l’âge.
– T’as des copains, des amis, avec qui tu fais ça ?
– Ben non je suis prof de math, si mes collègues me voyaient… Vous pouvez continuer à raconter pendant que je me caresse ?
– Bien sûr !

Ne connaissant évidemment pas les fantasmes de ce type, mais devinant à ses gadgets qu’il cultive des tendances un peu masos, je module mon récit en conséquence.

Et ça marche, il bande comme un puceau. Il m’interrompt parfois pour me demander des précisions.

– Et vous l’avez fouetté longtemps ?
– Oui, elle avait le cul tout rouge. Mais la punition n’était pas finie, je me suis emparée du bouquet d’orties que j’avais cueilli lors de notre promenade et je l’ai flagellé avec…
– Sur le cul ?
– Non, elle avait déjà bien souffert, je lui ai piqué les cuisses, le ventre, les seins…
– Ça doit faire vachement mal !
– Oui mais quand on est maso, le mal ça fait du bien !
– Et ensuite ?
– Ensuite, j’ai demandé à mon copain de l’enculer.
– Le copain ? Quel copain ?

Chanette3002
Voilà que je l’embrouille dans mon histoire, mais je me rattrape aux branches.

– Oui, il venait d’arriver, je ne lui ai même pas laissé le temps de monter ses bagages.
– Il l’a fait jouir ?
– Tu m’étonnes, elle hurlait comme une truie, cette salope !
– Il faut que je jouisse, je n’en peux plus. Je peux vous demander une faveur ?
– Dis toujours .
– Je pourrais voir vos seins ?
– Tu ne les as pas assez vu à la plage ?
– C’est-à-dire que… si j’osais… contre un petit billet, j’aurais bien joui sur vos seins.
– Désolé mais on fait un deal, alors on en reste là.
– Tant pis. Je vais me branler mais si vous pouviez m’insulter pendant que je le fais…

Oui, ça je peux le faire, ça ne va pas me tuer…

– Branle toi espèce de minable !
– Oui, maîtresse !
– Oh, mais tu fais quoi avec ta main gauche ? Ah tu t’es foutu un gode dans le cul t’es vraiment un enculé !
– Oui, maîtresse !
– Et tu t’es déjà ais enculer ?
– Oui, maîtresse, j’adore ça !-Et tu suces des bites?
– Oh, oui, des bonnes bites !
– T’es qu’un sale cochon vicieux ! J’aurais dû venir avec notre copain tu l’aurais sucé bien comme il faut !
– Ph, oui, ça aurait été bien !
– Imagine… tu es en train de sucer une bonne bite pendant qu’un autre mec t’encule bien.

Le mec n’en peut plus, il ferme les yeux, appelant ses fantasmes secrets à la rescousse et finit par jouir dans un kleenex.

– C’était bien, vous en avez d’autres ?
– D’autres histoires ? Sans doute, mais on a fait ça une fois, je l’ai fait pour te faire plaisir, mais maintenant c’est fini, on ne se connait plus.
– C’est dommage !

Le mec n’insiste pas mais me tend une petite brochure, en fait un flyer de quatre pages

– Ça devrait vous intéresser.

Je le prends par politesse et jette un coup d’œil sur le titre. « la paix par le sexe ». Sans doute encore une secte à la con…

Quand je suis rentrée, mes amis m’ont chambré et posé un tas de questions

– Alors tu t’es éclaté ?
– Non, pas vraiment, disons que c’était une expérience.
– Tu recommenceras ?
– Je ne crois pas, non.
– Il était comment, le mec ?
– Bof pas très intéressant. Il m’a filé une brochure, je ne l’ai même pas lu.
– Fais voir ? Me demande Anna.

Elle m’arrache pratiquement la brochure des mains.

– La paix par le sexe ! Waouh ! C’est quoi ce truc ?

Elle feuillette l’intérieur, apparemment il n’y a pas grand-chose à lire.

– Oh ! Mais c’est loin d’être con ce qu’ils racontent ! Tiens Carole, jette un coup d’œil.

Cette dernière lit à son tour.

– Oui évidemment, mais c’est qui ces mecs, une secte ?
– C’est pas parce que c’est une secte que c’est forcément nul. Réplique Anna. T’as vu ils font une réunion publique le 18, j’ai bien envie d’y pointer le bout de mon nez. C’est quand le 18 ?
– C’est aujourd’hui.

Je n’avais vraiment pas trop envie d’aller à ce truc, mais puisque j’étais en minorité…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:33

Chanette 30 – La disparition de Carole – 1 – Sur la plage à Lacanau par Chanette
stamp partouz

Il me faut parler un petit peu de Valentin Marchicour, il est apparu pour la première fois dans le récit « La partouze de Monsieur le ministre », puis nous l’avons revu dans les épisodes 18, 20, 28 et 29.

Valentin est un beau gosse, blond, fin, il plait aux femmes, mais aux hommes aussi, sa bisexualité latente est devenue au fil des ans de moins en moins latente.

Il est très lié avec Carole, une nana rencontrée dans des circonstances rocambolesques (voir chapitre 15 – la Bergerie), ils baisent ensemble mais ne sont pas en ménage.

Carole est une jolie fausse blonde frisée et très légèrement potelée. Son visage finement découpé est magnifique, les lèvres sont superbement ourlées et le nez joliment dessiné. Elle est grande, de belles formes sont là où il faut, quelques kilos de moins en aurait fait un top-modèle.

Valentin taquine la plume et son dernier bouquin a été un succès de librairie inattendu à ce point qu’un producteur de cinéma bien connu lui a proposé d’en acheter les droits et de co-écrire un scénario de film. Evidement tout cela signifiait une rentrée d’argent substantielle. Du coup Valentin acheta à bas prix une baraque assez délabrée à Lacanau, sur la côte Atlantique.

– Il y a des tas de travaux à faire ! Nous précisa-t-il, je les ferais faire petit à petit, mais en attendant on peut y loger pour les vacances.

Et il nous a invité, Anna-Gaëlle et moi à y passer quelques jours de farniente.

Pourquoi pas ? Ça me fera du bien !

La plage est sympa, et il y des coins où on peut se foutre à poil sans que cela ne cause des problèmes.

Nous étions bien étalées, Carole, Anna et moi sur nos serviettes en train de profiter des rayons du soleil quand nous avons vu un type, la cinquantaine, visage en pain de sucre, cheveux rares et pas sexy pour un sou déambuler vers nous.

– C’est qui celui-là ? il ne va tout de même pas nous draguer ! Me chuchote Anna.
– Il a le droit de se promener, s’il nous emmerde, on le vire ! Répondis-je.

Le mec pose sa serviette à moins de 10 mètres de notre emplacement.

– Il n’a qu’à venir encore plus près ! Tempête Anna. Merde, il y a plein de places ailleurs.
– Il a peut-être une idée derrière la tête, on va bien voir.

Le mec retire son slip de bain et s’enduit scrupuleusement le corps de crème solaire, ça dure un certain temps puis il s’en étale sur le dos, avant de s’occuper de l’intérieur des cuisses… et c’est à ce moment que les choses devinrent étranges.

Parce que figurez-vous que le type se tripotait la bite ! Davantage du tripotage que de la branlette, mais n’empêche que bientôt sa bite devint toute raide.

– Un malade d’exhibitionniste ! Me dit Anna.
– Je ne suis pas sûre, il ne nous regarde même pas. Objectais-je.
– Elle n’est pas mal sa bite ! Fais remarquer Carole, je la sucerais bien !
– Cochonne !
– Ben quoi ?

On a fini par ne plus le regarder… Et puis nous avons vu un blondinet à poil s’approcher de lui, manifestement les deux hommes ne se connaissaient pas.

Le blondinet esquisse quelques mouvements de masturbation devant « pain de sucre » qui lui répond par un signe de bienvenue.

Du coup blondinet s’accroupit saisit la bite de « pain de sucre » et se met à la sucer.

Gloup, gloup

– Non mais regarde un peu ces deux cochons, ça m’excite de voir ça ! Me dit Carole, pas toi ?
– Tu sais moi des mecs qui se sucent, je vois ça toutes les semaines.

De quoi, de quoi ? s’étonnera le lecteur qui n’a jamais lu mes aventures (quel dommage !), il me faut donc ouvrir une légère parenthèse.

Je suis donc Chanette (c’est mon nom de guerre). Celles et ceux qui m’ont déjà lu savent que j’exerce le métier (ben oui c’est un métier) de dominatrice professionnelle. Mes récits ne sont pas des histoires de domination mais des récits d’aventures incluant de l’érotisme (et bien sûr aussi de la domination). Je suis de celles que l’on qualifie de MILF, fausse blonde et je plais.

Dans mon studio il est fort courant que j’aie deux, voire davantage de soumis en simultané. Alors je les « oblige » à avoir des relations entre eux. Pour certains c’est humiliant, et comme ils viennent pour être humiliés tout le monde est content. D’autres y prennent manifestement un grand plaisir, je leur permets ainsi d’extérioriser une bisexualité souvent refoulée.

On peut maintenant reprendre le cours du récit

Carole et Anna matent la scène comme des cochonnes.

Blondinet stoppe un moment sa fellation pour offrir ses lèvres à « pain de sucre ». Curieux spectacle, je ne suis pas choquée, je serais mal placée pour l’être mais je me demande commence « beau gosse » peut être attiré physiquement par ce bonhomme qui n’a pas grand-chose pour lui.

Et puis ce n’est pas un bisou de politesse. On peut voir leurs langues se croiser et se rencontrer sans relâche.

Blondinet tortille ensuite les tétons de son partenaire afin de la faire bien bander. L’autre à l’air d’apprécier et se pâme comme un canard devant un nénuphar. Le résultat est spectaculaire, sa bite montre le ciel.

De nouveau, le blondinet prend le pénis de l’autre dans sa bouche et le suce vigoureusement. Je crois que « pain de sucre » adore ça parce qu’il pousse des gémissements assez rigolos. Et ça continue… Il le prend à pleine bouche jusqu’au fond de sa gorge, il suce de ses lèvres le gland bien dodu et violacé. Il prend ses testicules dans sa main et les caresse, puis il insère ensuite son index dans l’anus, qu’il fait aller et venir.

Pain de sucre gémit fortement sous l’effet de ce traitement, et soudain il pousse un jappement, il vient de jouir, le sperme lui gicle au visage, dans sa bouche et sur son cou.

Mes copines sont figées sur place, excitées comme des puces, à ce point qu’elles se tripotent la chatte réciproquement.

C’est au tour de « pain de sucre » de sucer la bite bandée comme celle d’un cheval, de son partenaire occasionnel.

Ça ne dure pas très longtemps, après quelques va-et-vient, Blondinet éjacule. « Pain de sucre » en reçoit plein sur le visage, il s’essuie avec les mains et se lèche les doigts en soupirant de plaisir. Quel cochon !

Anna chuchote quelque chose à Carole et je les vois s’avancer vers « pain de sucre ». Qu’est-ce qu’elles vont nous faire comme bêtises ?

– Alors Papy, c’était bien ?
– Laissez-moi tranquille ! Répond l’homme, méfiant.
– C’est que ça nous a bien plus, ça nous a même pas mal excité ! Reprend Anna.
– Tant mieux pour vous.
– C’est juste dommage que vous ne soyez pas allé plus loin !
– Plus loin que quoi ?
– Je ne sais pas, il aurait pu t’enculer…
– Il ne me l’a pas proposé.
– T’aimes ça te faire enculer ?
– Mais enfin, qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– C’est parce que on est vicieuse, très vicieuses !
– Ah ?
– J’ai envie de pipi ! Lui dit Anna, ça te plairait si je te pissais dessus.

Le mec n’en revient pas d’une telle proposition. Mais il n’est pas choqué, il y a peu de monde et personne à proximité immédiate.

– Je veux bien ! Finit-il par dire.
– C’est 20 balles lui répond Anna.
– Vous êtes des putes ?
– Ça nous arrive, oui. Et si tu veux que ma copine pisse aussi ça fera 30 euros en tout. Avoue que c’est donné, c’est du tarif vacances.

Alors j’ai vu « pain de sucre » sortir un peu d’argent de sa sacoche, Anna l’a enjambé au niveau de la bite et a commencé à pisser. Mais l’homme lui a fait signe de viser sa bouche. Pas de problème il a reçu une bonne giclée, puis Carole a pris le relais.

Je vous dis, elles sont fadas mes copines !

Le type a ensuite quitté les lieux en se dirigeant vers les douches publiques.

Et voici Valentin qui revient de sa balade, il a l’air ravi.

– Te voilà, toi, t’as raté…

Et Carole en entreprend de lui raconter ce qui vient de se passer?

– Et toi t’as fait quoi ?
– Je suis allé jusqu’au bout là-bas, moi aussi j’ai vu des choses intéressantes
– Raconte

Le récit de Valentin

Il y a une espèce de crique un peu plus loin, avec la marée on est obligé d’entrer dans l’eau pour l’atteindre mais ça vaut le coup de se mouiller.

Chanette3001Je vois d’abord un couple, la femme est sublime, la trentaine, toute bronzée, des seins magnifiques, une belle frimousse, bref, tout pour plaire ! Elle est en train de sucer la bite de son copain en faisant des gloup-gloups bien bruyants.

Le mec m’interpelle :

– Tu veux baiser ma femme ?

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas répondu, en fait j’avais envie d’aller voir plus loin…

– Tu ne sais pas ce que tu perds ! Me dit le mec pendant que je m’éloigne.

Je me dis qu’éventuellement j’aurais toujours l’occasion de revenir et je continue à avancer, je croise un couple, en fait une dame pas toute jeune qui se fait prendre en levrette par un bel étalon noir.

J’aperçois plus loin comme un attroupement d’une quinzaine de personnes, je m’approche, je me faufile. Au milieu du cercle deux belles nanas d’origine asiatiques se déchainent. La première est en train de chevaucher un type tandis que sa copine suce deux bites alternativement.

Mais le spectacle est aussi parmi les voyeurs, le type sur ma droite se branle frénétiquement, une bien belle bite bien droite et bien bandée, le gland luisant. Je n’arrive pas à détacher mon regard de ce bel organe tout en louchant vers les deux asiatiques.

– Elle te plait ma bite, on dirait ? Me dit le branleur.
– Elle est belle !
– T’aimes les bites ?
– J’aime bien ce qui est beau.
– Touche-la si tu veux !

Il y a des choses qu’il ne faut pas me dire deux fois, ma main s’avance et caresse ce joli membre. Je le sucerais volontiers, mais sera-t-il d’accord ? Il suffit de demander.

– Je peux te sucer ?
– T’entends ça, Jasmine, monsieur veut me sucer la bite.

Ben, oui, je n’avais pas réalisé que sa copine lui tenait compagnie, du coup j’ai peur qu’elle le prenne mal.

– Laisse tomber, je demandais ça comme ça ! Balbutiai-je en esquissant un mouvement de repli.
– Non, non, reste, on va faire ça là-bas…

Là-bas, c’est dix mètres plus loin à l’ombre d’un gros rocher biscornu.

– Ça m’excite de voir mon mec faire des trucs de pédé ! Me dit Jasmine.

Elle est mignonne Jasmine, le type méditerranéen, cheveux longs et bouclés, regard d’ange. J’espère que je pourrais au moins la caresser.

Le type s’adosse contre le rocher, je me baisse et après quelques caresses manuelles, j’embouche sa jolie bite. Je me régale, essayant de tout mettre dans la bouche, puis léchant la verge et les couilles.

– Ne me fais pas jouir ! Me dit-il.
– On arrête, alors ? Dis-je.
– T’aimes bien qu’on t’encule ? Me demande Jasmine.
– Ma foi, quand c’est bien fait…
– Tu veux ? Demande le mec.
– Pourquoi pas, t’as de capotes ?

Ils en ont ! J’adore ces gens qui se rendent à la plage naturiste avec des capotes dans leur bazar !

Je pivote donc, offrant mon cul à la vue de ce couple atypique.

– Oh quelles belles fesses ! Me dit Jasmine. T’as dû en pendre des bites, non ?
– Pas tant que ça, faut trouver l’occasion…
– Qu’est-ce que tu nous racontes ? Les occasions ça se provoque, il y a des boites, des clubs, des saunas…

Pas envie de la contrarier, je devine qu’elle a envie de détails salaces alors allons-y.

– Oui c’est vrai, le sauna j’en ai de bons souvenirs.
– Tu as dû t’y faire enculer à la chaine…
– Oui, c’était grandiose, j’ai pris trois bites dans le cul les unes après les autres et pendant ce temps-là je suçais.
– Hum, ça m’excite tout ça ! Tu sais ce qu’on va faire, tu vas me lécher la chatte pendant que mon copain va t’enculer.

Pourquoi pas, je me demande seulement de quelle façon nous allons procéder ? Mais Jasmine a de l’imagination, elle grimpe sur le rocher et écarte ses jambes de façon à ce que sa chatte soit devant mon visage.

Et c’est parti ! Le type me lèche un peu le cul afin de lubrifier l’endroit, puis d’un vigoureux coup de rein fait pénétrer sa bite dans mon fondement avant d’entamer une série d’allers et retours. Pendant ce temps ma langue s’approche de la chatte de Jasmine. Elle a beaucoup de poils, elle n’est pas hirsute mais disons que sa toison est davantage fournie que la moyenne.

Ça sent un peu le pipi, mais ça ne me dérange pas, j’écarte tout ce fouillis pour laisser passer ma langue et je lèche, c’est tout mouillé là-dedans. En même temps je lance mes mains en avant pour lui caresser les seins, Jasmine ne proteste pas, mais réagit au quart de tour à mes coups de langues et commence à gémir. C’est une rapide la dame. Ma langue vise le clito, elle hurle comme une damnée, elle va réveiller toutes les mouettes…

Elle descend de son perchoir et son copain qui n’avait pas l’intention de jouir sort de mon cul. Je me retrouve un peu con parce que pour ma part j’aurais bien joui.

– Allez, bonne fin de journée ! Me dit l’homme tandis que Jasmine m’adresse un sourire muet.

Je retourne vers le groupe entourant les deux asiatiques qui baisent avec tout le monde. Et vas-y que je suce, et vas-y que j’offre ma chatte et mon cul. Mais à ce rythme-là il ne va plus rester personne de disponible…

Ben si, il y a moi, l’une des deux m’attrape la main et m’entraine au milieu du cercle. Elle ne me demande rien et d’autorité elle me suce, elle n’a pas grands efforts à effectuer pour me faire bander, c’était déjà fait. Elle sort une capote de je ne sais où, me l’enfile tandis que sa collègue s’est positionnée en levrette.

– Fuck ! Fuck my sister !

Pas besoin d’avoir été à Oxford pour comprendre. Je m’approche tandis que la fille s’écarte les fesses.

– In my ass !

Elle veut donc que je l’encule, alors allons-y ! Le seul souci c’est qu’étant super excité j’ai peur d’être trop rapide.

Mais j’ai réussi à tenir plus de cinq minutes, c’est déjà ça, et j’ai aussi réussi à faire miauler la fille, ce qui a satisfait mon petit égo.

Je décule, la fille ne fait plus attention à moi, et se jette dans les bras de sa frangine et les voilà parti pour un soixante-neuf final. Elles sont adorables.

Fin du récit de Valentin.

– Et après, t’as fait quoi ? demande Carole
– Ben après je suis rentré.
– Faudra qu’on aille y faire un tour tous ensemble demain ? Propose Anna
– Oh oui, oh oui ! Approuve Carole

Nous avons quitté la plage vers 17 heures. Anna a voulu déguster un sorbet. Alors allons-y pour le sorbet et nous nous sommes attablées en terrasse

On papote, on fait passer le temps et voilà que soudain juste devant nous se pointe, devinez qui ? L’homme à la tête en pain de sucre.

– Euh, bonjour ! Nous dit-il.
– C’est à quel sujet ? Répond Anna d’un air dédaigneux.
– Je peux vous déranger cinq petites minutes ?
– Non !
– Juste cinq minutes !
– J’ai dit non ! Faut vous le dire en quelle langue ?
– Tout à l’heure vous avez évoquez, comment dire… vos petit extras…
– Bon écoute pépère tu vas dégager ou j’appelle les renforts ! S’énerve Anna.
– Attends, vous avez entendu quoi ? Intervins-je.
– Vous évoquiez vos activités occasionnelles.
– Et alors ?
– Alors ça m’intéresse.
– Bon, écoute mon vieux, on est en vacances, alors tu nous les lâches et tu vas voir ailleurs !
– C’était pas pour baiser ! Murmure-t-il en se reculant très légèrement.
– C’était pour quoi, alors, pour repeindre ton plafond ?
– Non, pour briser ma solitude.

Gloups

Et soudain j’ai eu pitié de ce pauvre type, genre refoulé, méprisé par les femmes, homosexuel par substitution

– Ce serait quoi le deal ? Demandais-je.
– Mais enfin Chanette, tu fais quoi, là ? Proteste Anna.
– Je ne fais rien, je me renseigne.
– 200 euros pour une heure ! Dit-il. Sans baise, je ne vous toucherais même pas.
– Chacune ?
– Non quand même pas !
– Ce sera sans moi ! Tiens à préciser Anna.
– Et on ferait quoi ? Demandais-je.
– Rien, vous me tiendrez compagnie, vous me parlerez, je suis sûr que vous avez des choses super intéressantes à raconter.
– Bon, allez faire un tour et revenez dans un quart d’heure, je vous dirais.

Anna et Carole me regardent avec des yeux tout ronds, elles ne me comprennent pas.

– Tu joues à quoi ? Me demande Carole
– Je ne joue pas, si je peux lui apporter un peu de chaleur humaine, ben ce sera ma B.A !
– Si tu le fais, ce sera sans moi, Chanette. Me répète Anna.
– Je sais tu me l’as déjà dit. Mais je ne t’oblige à rien, tu fais ce que tu veux et moi aussi. Et toi Carole ?
– Ça ne m’intéresse pas !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:40

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 14 – Shultz démasqué par Chanette

bisex fémininebisex masculinepartouzesodomie fémininesodomie masculine

bi stamp

Vendredi 23 avril

Je n’en reviens pas que les choses soient allées aussi vite.

A 19 heures regardant les informations sur mon téléphone je tombe là-dessus.

« Remy Chauvière appréhendé par la police pour attaque de fourgon blindé et falsification de documents comptables. Son avocat parle de machination dérisoire… »

En fait Chauvière était depuis longtemps dans le collimateur de la police, mais jusqu’ici, les alibis en béton et, les faux témoignages l’avaient protégé… il suffisait d’un simple grain de sable pour le faire tomber. Je fus donc ce grain de sable, non ce n’est pas tout à fait juste, sans la documentation qu’avait rassemblé Grace Hernandez, je n’aurais pu rien faire, il faudra que j’aille la remercier, celle-ci !

Reste Patrick Shultz, sans son patron, je ne le crois plus dangereux, n’empêche qu’il ne me déplairait pas de l’humilier de belle façon pour sa conduite inadmissible…

Et mon téléphone sonna, c’était Max

Pour mémoire Max, dit Max le dur, est l’homme de mains de Jean-Luc Gauthier-Normand, un brasseur d’affaires pas trop clair mais néanmoins correct et sympathique. Max m’a aidé plusieurs fois à me dépatouiller dans de sombres histoires (voir les chapitres 7 16, 22, 26)

– Ah Chanette, je passe à Paris demain, je suis invité par Carole et Valentin…

Depuis que Max a découvert sa bisexualité il est amoureux de Valentin, ce sont des choses qui ne se commandent pas.

– Et je suis persuadée que vous avez envie de venir me faire un petit coucou ! Le taquinais-je
– C’est la moindre des choses !
– Vous resterez longtemps à Paris ?
– Mon patron est en déplacement, alors j’ai une dizaine de jours, si vous avez besoin de mes services, c’est toujours avec plaisir…
– Justement, j’aimerais que vous flanquiez la frousse de sa vie à un connard… mais c’est très long à raconter… on peut se voir chez moi lundi soir ! ?
– Avec plaisir !

Lundi 26 avril

– Eh bien quelle histoire ! Vous ne faites pas dans la dentelle, vous ?
– Je n’ai pas fait grand-chose, j’ai surtout subi !
– J’entends bien !
– Bon, demain je récupère l’adresse du bonhomme, et je fonce, ça m’embête de faire ça tout seul je vais demander à Valentin de jouer l’adjoint ! Tu pourrais m’obtenir l’identité de cette escort russe ?.
– Oui !

Mardi 27 avril

Il est 19 h 30. Max et Valentin monte au troisième étage de ce bel immeuble de la rue Daumesnil, près de la Gare de Lyon.

Patrick Shultz regarde par l’œilleton, se demande qui sont ces inconnus qui ne connait pas.

– C’est pourquoi ?
– L’assurance, pour le dégât des eaux au-dessus.
– Je n’ai pas eu de dégât…
– On prend juste une photo pour le dossier…
– A cette heure-ci ?
– On a été retardé à cause de la manif, si vous voulez on repasse demain, mais enfin puisque nous sommes là…

Patrick ouvre, il n’aurait pas dû…

– Ah ! Toute la famille est là, vous êtes à table ?
– Ben oui !
– Donc la voisine du dessus, attendez je sors mon papier… Svetlana Bourova, c’est bien ça ?
– Je ne crois pas, non ?

Mais à l’évocation de ce nom Patrick devient rouge comme une tomate, sa femme ne comprend pas pourquoi.

– Ah oui, vous avez raison, mademoiselle Bourova a été mutée à Tanger…
– Bon je ne sais pas ce que vous cherchez, mais je vais vous demander de sortir ! Réplique crânement Patrick qui ne veut pas perdre la face devant sa petite famille.
– Ta gueule, connard ! Répond Max en sortant son révolver. Je vous préviens au moindre cri je vais faire un massacre. Silence ! Et maintenant vous sortez vos téléphones portables et vous les donnez à mon collègue, Ah je ne vous l’ai pas présenté mon collègue, Boris Valentinov des services secrets russes.
– Dépêchez-vous de faire ce qu’il demande ! Renchérit Valentin en prenant un impossible accent russe.
– Et le téléphone fixe, il est où ?

Madame Shultz lui indique en tremblant.

– Bon écoutez, restons calme ! Vous êtes en train de vous tromper de personne… Tente Patrick.
– On fait comment pour récupérer Svetlana Bourova ?
– Je ne connais pas cette personne !
– Cette personne a pris place comme hôtesse à bord de l’Espadon d’or, en octobre dernier. Vous étiez directeur de croisière sur ce bateau. Après la courte escale de Tanger, elle n’est pas remontée à bord. Explications ?
– Elle ne souhaitait pas continuer ce voyage, c’est aussi simple que ça !
– Elle n’en a averti personne et elle a laissé des objets personnels dans sa cabine, nous avons des témoignages. ! Bluffe Max.
– Bon, voulez quoi ?
– Que vous alliez la rechercher.
– Mais c’est quoi cette histoire ? Intervient Madame Shultz.
– Vous, on ne vous a pas sonné
– Les enfants peuvent quitter la table ?
– Non !
– Alors Monsieur Shultz, on vous a posé une question !
– Mais c’est impossible, voyons !
– Nous allons donc être obligé de supprimer monsieur ! Indique Max à l’attention de Valentin et le plus sérieusement du monde..
– Mais ça ne va pas, non ?
– Mais rassurez-vous, on ne va pas faire ici, ça va faire des saletés. Ah, déshabillez-vous Monsieur Shultz on va vérifier quelque chose.
– Me déshabiller ?
– Oui et magne toi on n’a pas que ça à faire.
– Mais vous n’avez pas le droit…
– Valentinov, fous lui une baffe !
– Bon ça va !

Shultz se déshabille mais garde son caleçon et ses chaussettes.

– Le caleçon aussi !
– Mais les gosses ?,
– Ils n’en perdront pas la vue, du moins j’espère !

Shultz tente de cacher sa nudité.

– C’est bien ce que je craignais, on va être obligé de te tuer, on va t’emmener dans la forêt, on fera ça en douceur, tu ne souffriras pas.
– Je ne pourrais pas m’amuser un peu ? Suggère Valentin.
– Juste un peu alors ! Tu vois Shultz, on a un dossier en béton, il n’y a pas que la russe, il y en a d’autres…
– Non ! C’est faux…
– Donc pour la russe, c’est vrai ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Si tu viens de le dire. Donc on avait une alternative, celle de nous signer un papier que nous avions préparé et par lequel tu reconnais avoir participé à des trafics d’êtres humains notamment celui de Svetlana Bourova. C’est très puni en France ces trucs là, ce sera des années de prison, et tu ne tiendras pas le coup, je voulais voir comment tu étais bâti, tu ne feras jamais le poids, Alors à force de te faire enculer à la chaine tu auras vite le trou du cul comme le gouffre de Padirac. Donc autant qu’on te supprime, ce sera plus simple.
– C’est pas possible, c’est un cauchemar ! Bougonne Schultz

Les gosses pleurnichent, la femme retient ses larmes. Ambiance !

– Bon alors tu choisis ?
– Je vais signer leur papelard, c’est n’importe quoi, mais il faut bien qu’on s’en sorte ! Se justifie Schultz envers sa femme.

La rage au cœur Shultz signe le papier en double exemplaire.

– Eh bien voilà, vous allez pouvoir finir votre cassoulet, il risque d’être froid.

Valentin et Max quittent les lieux et s’installent dans la voiture de ce dernier mais sans démarrer.

– C’est moche pour la femme et les gosses… Commente Valentin
– Oui c’est pas terrible, mais je ne sais pas si on pouvait faire autrement.
– Qu’est-ce qu’il va faire ?
– Prendre le maquis, qu’est-ce que tu veux qu’il fasse d’autre ? Et il va faire ça rapidement, sinon comment il peut prétendre s’expliquer avec sa famille. Tiens, regarde, le voilà qui sort !
– Déjà ? Il est à pied .il va où ?
– Vers la gare de Lyon, on dirait !
– Il va faire quoi ?
– Pour le moment il ne doit avoir aucun plan, sa priorité c’est de disparaitre, après il a du fric, il pourra essayer de se démerder
– Et la plainte, on la dépose ou pas ?
– C’est Chanette qui décidera !

Vendredi 30 avril

J’ai souhaité prévenir Gollier par politesse, ces derniers événements l’on fait rire. Il m’a informé que Madame Schulz avait attendu 48 heures (c’est le délai légal) pour signaler la disparition de son mari et que grâce aux téléphones et à ses cartes bancaires il avait été repéré à Nice.

Lundi 3 mai

Je n’arrivais pas à me décider si je devais donner suite aux aveux écrits de Patrick Shultz, Amandine, elle me conseillait de le faire. Mais dans la matinée je recevais un message sibyllin de Gollier m’indiquant que Shultz s’était constitué prisonnier.

A midi : coup de fil :

– Je repars demain matin, qu’est-ce que tu dirais d’une petite boum ce soir ? Me propose Max par téléphone.

Nul besoin d’être sortie de polytechnique pour comprendre ce que Max entendait pas « petite boum ». Je ne pouvais lui refuser ça après le service qu’il m’avait rendu… et puis c’est un homme charmant.

– Avec plaisir, tu verrais ça comment ? Tu veux que je fasse livrer des pizzas…
– O.K pour les pizzas, je pensais venir avec Valentin. Si tu pouvais inviter la copine dont tu m’as parlé ?
– Amandine ?
– C’est ça !
– D’accord.
– On passera vers 19 h 30.

Allons-y pour la boum ! Max, Valentin, Amandine et moi, ça sera une petite boum.

Amandine ne répond pas au téléphone, je lui envoie un message, et elle accepte l’invitation, mais je me suis gardé de lui confier que cette petite sauterie se terminerait très probablement en partouze.

C’est ce qui s’appelle faire une connerie, Amandine m’a confié aller rarement avec les hommes (la petite sauterie cher Maître Doubise n’était que du business) et je ne pense pas que ceux-là soient dans ses goûts Elle ne sera pas à l’aise ni avec Valentin et ses manies de playboy ambiguë, ni avec Max et son physique de déménageur.

Comment m’en sortir ? Inviter une autre nana ? Je ne me vois quand même pas faire venir Grace Hernandez, reste Estelle, allons-y pour Estelle. Elle est d’accord…

Il me faut décommander Amandine, pas moyen de la joindre au téléphone. Il y a des gens comme ça, on se demande pourquoi ils sont un téléphone portable. Après plusieurs essais je lui envoie un message sibyllin :

« Boum annulée, téléphone-moi, bisous ! »

Il est 19 heures, on sonne.

Déjà, je regarde par l’œilleton, c’est Amandine ! C’est quoi ce cirque, elle n’aurait pas reçu mon message ?

Je lui ouvre, elle a un petit paquet provenant de la pâtisserie du coin, il n’est pas bien grand son paquet, il ne doit y avoir que deux gâteaux, Je comprends de moins en moins.

– Bisous ma grande ! j’en ai profité pour faire un saut puisque ta boum est annulée…
– Attends…
– Non je ne voulais pas partir sans te dire au revoir. Figure-toi que je me suis fait draguer par un vieux chanteur. Il est plein de fric et il m’emmène quinze jours en Italie tous frais payés !
– Super, je suis contente pour toi !Le soucis c’est que la boum n’est pas vraiment annulée

Alors je lui ai expliqué…. Bien obligée…

– .Nous voilà en plein vaudeville, ce n’est pas grave, mets les gâteaux au frigo, tu les mangeras demain en pensant à moi. On se reverra quand je reviendrais d’Italie. Quoi que j’aurais bien aimé entendre tes amis raconter comment ils ont piégé Shultz… Je partirais après si ça tourne en partouze…

Et voilà qu’arrivent Max et Valentin, ils ont apporté du Champagne et des fleurs.

Petites présentations. Fallait voir les yeux concupiscent des deux bonhommes en découvrant Amandine, Le loup de Tex Avery battu à son propre jeu.

– Estelle devrait arriver d’un moment à l’autre, commencez à choisir vos pizzas.
– Estelle ? Demande Max
– Oui c’est la secrétaire de Maitre Doubise, l’avocat dont je t’ai parlé.

Et justement, la voilà qui arrive avec un gâteau glacé, (c’est la spécialiste du gâteau glacé)

Nouvelles présentations, Amandine semble ravie de cette arrivée que je n’avais pas eu le temps de lui annoncer, puis elle prend les devants.

– Monsieur Max, Chanette m’a conté vos exploits, je veux parler de votre visite chez Patrick Shultz, mais j’aimerais tellement l’entendre raconter de votre bouche.
– Rassurez-vous, la soirée ne fait que commencer, et je vous promets de vous raconter tout ça…
– C’est que je ne pensais pas m’attarder, je dois sacrifier à quelques obligations…
– Oh, comme c’est dommage ! Ne peux s’empêcher de s’écrier Estelle.
– Et vous ne pouvez pas vous arranger… ou gagner un peu de temps ? Demande Max.
– Non, cher monsieur et croyez bien que je m’en trouve désolée.
– C’est d’autant plus dommage que je ne sais si nous aurons un jour l’occasion de nous rencontrer à nouveau ! Se désole Max. Enfin bref, je vais donc vous raconter mes « exploits ».

Il a une façon de raconter, Max, c’en est un vrai plaisir de l’écouter, évidemment il en ajoute, il enjolive, se donne le bon rôle, mais c’est délicieux.

– Bravo, messieurs, bravo pour ce que vous avez fait et bravo, monsieur Max pour ce récit passionnant. Allez, je vous fais la bise à tous et je me sauve.

Les bisous sont chastes, Max, Valentin, moi-même, mais il faut croire qu’Estelle ne l’entendait pas de cette façon, cherchant les lèvres d’Amandine le baiser devient vite un roulement de galoche laissant Max et Valentin sans voix.

Et elle disparut… Un ange passe, Estelle choisit sa pizza, on verse le champagne et on trinque en attendant le livreur.

Estelle a un ticket avec Valentin, je me demande comment elle va réagir si les deux hommes se mettent à faire des trucs ensemble, encore un détail auquel je n’avais pas pensé.

On a mangé nos pizzas en parlant de choses et d’autres, puis Max a donné le signal des opérations.

– Valentin, je crois qu’Estelle te regarde d’une drôle de façon !
– C’est un bel homme ! Intervient cette dernière.
– il ne vous décevra pas, mais il est un peu à voile et à vapeur, autant le savoir ! Ajoute Max.
– Comment ça ?
– Ben il est un peu comme moi, on adore les jolies femmes, mais de temps en temps quelques contacts entre hommes ça ne nous fait pas peur !
– Ben vous alors, vous êtes drôlement cochon, dites-donc !
– Des gentils cochons !
– Oui, mais des cochons quand même !
– Je ne vous ai pas choqué, j’espère ?
– Disons que je ne m’attendais pas à ça. Mais sinon, vous savez, il n’y a pas grand-chose qui me choque. Vous faites quoi ensemble, vous vous sucez la bite ?
– Oui !
– J’aimerais bien voir ça !
– Ce n’est pas un problème !
– Viens, Valentin, je vais te sucer la bite…
– Vous allez faire ça maintenant ?
– Vous préférez qu’on finisse nos pizzas !
– Non, non allez-y !

Bravo à Max qui a très bien désamorcé la situation.

– D’accord, on va le faire ! Intervient Valentin qu’on avait guère entendu jusqu’ici, mais j’ai une requête à formuler.
– Allons bon ! Soupire Max.
– Ce serait plus fun si ces dames nous montraient leurs nénés

Voilà qui n’est pas un problème Estelle retire tee-shirt et soutien-gorge à la vitesse grand V.

– Ils ont encore pas mal, non ? Dit-elle en les exposant fièrement.

Evidemment j’en fais autant !

– Ah ! Chanette la vision de votre poitrine est un moment de grâce ! Me complimente Max

Faut peut-être pas charrier, non plus !

Valentin entreprend de se déshabiller complètement (à l’exception de ses chaussettes)

– Max va me sucer la bite, mais vous pourrez en profiter tout à l’heure ! Dit-il à Estelle qui en frétille d’avance.

Après s’être mis à l’aise à son tour Max effectua une flexion des genoux devant Valentin et lui goba la bite, léchant, pourléchant, se régalant.

– Me fait pas jouir le prévint son partenaire.
– Ne t’inquiète pas, tiens, on va inverser les rôles

Et cette fois c’est Valentin qui suce la bite de Max. Estelle complètement scotchée ne rate pas une miette du spectacle, une main dans la culotte, tandis que de l’autre elle se tripote les seins.

Bonne fille, je viens lui prêter mains fortes et lui asticote ses tétons érigés.

– Ça te plait de voir ça ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.
– Dame ! on ne voit pas ça tous les jours.
– Il me suce bien, j’ai bien envie de l’enculer !
– Oh !
– Un problème ?
– Vous allez vraiment faire ça ?
– Je crois oui !
– Eh bin !

chanette2914

Sans attendre davantage de discours, Valentin s’est mis en levrette sur mon tapis, attendant l’assaut. J’avais prévu les capotes et le gel. C’est rentré comme dans du beurre, mais c’est vrai aussi que ce n’est pas la première fois que ces deux-là s’enculent.

A la limite, il s’agissait juste d’une sorte de démonstration les deux compères s’étaient en effet chuchoté un petit plan qu’ils allaient maintenant mettre en œuvre.

– Si la petite dame veut de nos bites, c’est maintenant ! Lance Max à l’adresse d’Estelle.

Estelle s’approche des deux gaillards, pensant le sucer alternativement, mais seul Valentin reste devant elle, elle s’empare du membre viril, le caresse un peu avant de le porter en bouche. Pendant ce temps Max passe derrière, elle lui flatte le joufflu, se protège d’une nouvelle capote et la pénètre sans aucun préliminaire.

Joli tableau qui voit bientôt Estelle jouir comme une damnée. Max se retire sans avoir joui, il me fait un petit signe complice, je sais ce qui va se passer, Max ne peux pas s’en empêcher, alors je me mets sen levrette et offre mon anus aux assauts de Max le dur ! Tandis que Valentin gratifie Estelle d’un :

– Ne bouge pas, j’arrive !

Avant de venir la sodomiser à son tour.

Il est 23 heures, le temps passe vite quand on baise, on finit le champagne, on a mangé le gâteau glacé qu’avait apporté Estelle. Celle-ci épuisé a commandé un taxi qui vient d’arriver. On se dit aurevoir et Max et Valentin s’apprêtent à prendre congé à leurs tours.

Le téléphone sonne ! Qui cela peut être à cette heure-là ? Je regarde : Amandine ! Que me veut-elle en pareil moment ?

Je m’éloigne !

– Allo ? Ils sont partis ?
– Ils sont en train de partir, pourquoi ?
– Je peux passer te faire un bisou !
– Bien sûr, attends 10 minutes et c’est bon ! Mais tes obligations ?
– Du pipeau !

Et c’est ainsi qu’avec Amandine nous nous sommes aimées toute la nuit.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 mai 2023 7 21 /05 /Mai /2023 15:38

Chanette 29 – Le croisière de l’Espadon – 13 – L’avocat lubrique par Chanette

bisex fémininedomination hardsodomie fémininetrio

StampFFH

Mercredi 21 avril

Et donc ce matin-là nous étions, Amandine et moi dans la salle d’attente de Maître Doubise.

« Jupes courtes et décolletés » nous avait conseillé Estelle.

Après un bon petit moment d’attente, celle-ci nous fait entrer et s’efface.

Effectivement il n’est pas beau, le Doubise, gras, rouge de peau, calvitie avancée. J’espère qu’il aura la bite propre, j’aurais dû me renseigner auprès d’Estelle.

– Entrez, mesdames et asseyez-vous, je n’ai pas beaucoup de temps et je n’ai consenti à vous recevoir que parce que ma secrétaire m’a assuré que vous étiez des canons ! Que voulez-vous, je ne suis pourtant pas militariste, mais les canons, j’adore. Bon je vous écoute, laquelle de vous deux est la plaignante ?
– Nous ne sommes pas plaignantes ! Répondis-je.
– Et vous êtes donc là à quel titre ?
– Un individu bien placé, directeur de société pour tout vous dire, m’a fait une vacherie. Je cherchais à me venger et je suis tombée sur une fausse facture.
– Ah ! Ce n’est que ça ?

Il a l’air déçu, l’avocat…

– Sauf que la fausse facture couvrait un vol de bijoux réalisé à Rotterdam et au sujet duquel, j’ai tous les renseignements nécessaires.
– Ah, ça commence à devenir intéressant, vous me donnerez des détails plus tard, mais dites-moi déjà ce que vous attendez de moi !
– Nous voulons savoir à qui nous adresser afin que l’affaire soit instruite rapidement.
– Et pourquoi « rapidement » ?
– Parce que nous sommes probablement en danger !
– Oh, lala, mais c’est vrai roman feuilleton que vous m’apportez. Vous comptez me payer comment, je prends 150 euros la demi-heure et nous allons sans doute être amené à nous revoir plusieurs fois.

C’est dans mes prix d’autant que je ne vois pas bien pourquoi nous serions amenés à le revoir après avoir eu notre renseignement, l’opération charme devient donc inutile, mais il faut croire qu’Amandine était d’un avis différent.

– Espèces, chèques, carte bleue ? Demande-t-elle.
– Non pas de chèques !
– Alors espèces, carte bleue, câlins ?
– Vous êtes amusante, vous ? Comment voulez-vous faire entrer des câlins dans ma comptabilité ?
– Ce n’était qu’une proposition ! Je ne suis pas toujours très sérieuse… Rétropédale Amandine.
– Et si je vous prenais au mot ? Réplique l’avocat.
– Si vous n’avez rien contre et nous non plus, peut-être pourrions-nous procéder ainsi !
– Vous aviez raison, la vie est courte, et les occasions perdues ne se rattrapent jamais. On peut donc s’accorder une demi-heure de folie.

Maître Doubise prend alors l’interphone :

– Estelle, soyez gentille, décalez tous mes rendez-vous d’une demi-heure… Et je vous interdis de ricaner.

Il raccroche, le regard lubrique…

– Quelle impertinence, cette secrétaire, je vais encore être obligé de la punir… D’ailleurs j’ai envie de le faire de suite, vous verrez ça va vous plaire…

Il prend le téléphone et demande à Estelle de venir.

– Estelle, vous m’avez ricané au nez pendant le travail, cela mérite une punition.
– Tous les prétextes sont bons !
– Taisez-vous, penchez-vous, jupe relevée, fesses à l’aire…
– Comme d’habitude, quoi !

Soubise s’empare d’une réglé plate transparente et colle une vingtaine de coups sur le popotin d’Estelle qui s’accommode fort bien de cette petite séance récréative.

– Voilà, tu peux retourner bosser… attends ! Dit-il en lui glissant un doigt dans la chatte Mais ça t’a fait mouiller, t’es vraiment une salope !
– Comme d’habitude maître Soubise !

Il sort ensuite deux feuilles blanches qu’il nous tend à chacune d’entre-nous…

– Voilà vous allez me signer une décharge… commence-t-il
– Une décharge de quoi ? M’étonnais-je.
– Un simple document précisant que nous nous sommes livrés à des ébats de nature sexuelle de façon consentante.

Mais il est complétement givré ce mec !

– Bon, ça devient n’importe quoi ! Dis-je à Amandine en me levant de mon siège, des avocats il y en a partout, on en trouvera un autre.
– Laissez-moi juste vous expliquer, asseyez-vous, vous n’êtes pas à cinq minutes…

Je me rassois, me demandant ce que va encore nous sortir ce type.

– C’était il y a deux trois mois, j’avais pour cliente une belle dame, très élégante, et aux formes parfaites. Son dossier était indéfendable et je le lui ai expliqué. Elle m’a alors demandé si une partie de jambes en l’air me permettrait d’être plus efficace. J’ai eu la faiblesse de lui dire que ça ne coutait rien d’essayer… On a donc baisé, un sacré tempérament, la dame ! Mais j’ai perdu l’affaire. La dame m’a copieusement engueulé. Pas grave, ça fait partie des risques du métier. Mais là où ça a dégénéré, c’est que cette furie a porté plainte pour viol. Mon nom a été jetée en pâture à la presse, et les féministes ont expliqué que dans ce genre d’affaire, la parole de la femme était forcément la bonne. Bon, je m’en suis sorti, peu importe comment, mais j’ai vécu trois semaines d’enfer et j’ai perdu des bons clients.
– Donc et maintenant vous demandez une décharge ? Demandais-je.
– Ben oui !
– Une décharge pour baiser ! Mais dans quel monde vivons-nous ?
– Je ne vous le fais pas dire !
– Bon je vais vous la signer !
– Comme vous pouvez le constater, j’ai équipé mon bureau d’un petit canapé, autant avoir son petit confort n’est-ce pas ? Je vais m’y installer au milieu et vous voua aller venir me rejoindre, chacune d’un côté….Non, non, restez habillées pour l’instant. Ah, je n’ai pas retenue vos prénoms…
– Moi c’est Christine et mon amie c’est Amandine.

On s’assied comme indiqué, et d’emblée Soubise se met à peloter Amandine. Normal elle est plus jeune et mieux foutue que moi…

– Voyons voir les merveilles que vous cachez-là, chère Capucine.
– Amandine, pas Capucine !
– Bien sûr, où ais-je la tête ? Ah Christine pendant que vais à la découverte des trésors de votre amie, occupez-vous donc de ma braguette.

Je palpe donc l’endroit et me rend compte que ça bandouille, et quand ma main se met à bouger, ça bandouille encore mieux.

– J’ouvre ? Demandais-je.
– Ouvrez, ma chère, ouvrez, mon oiseau a besoin d’air !

Un coup d’œil sur ma droite, Amandine et maintenant complètement dépoitraillée, et Maître Doubise joue avec ses nénés comme le ferait un nourrisson avec sa nounou.

J’ouvre sa braguette et là ou je pensais trouver une fermeture éclair je trouve des boutons… étrange conception du progrès vestimentaire. Cette étape franchie il faut aller piocher dans le caleçon et sortir l’engin, il est moite et bandé, il est aussi assez conséquent. Je le masturbe à la paresseuse, s’il veut que je le suce, il n’aura qu’à demander.

Et hop, le Doubise pivote très légèrement, en fait ce qu’il veut faire, c’est une inversion des rôles ! Autrement dit, mais vous l’aviez compris, j’ai droit au pelotage de nénés, tandis qu’Amandine se farcit le tripotage de bite.

Ces petites fantaisies durent plusieurs minutes avant que l’avocat se relève en déclarant d’un ton solennel :

– Embrassez-vous les filles et ne faites pas semblant, j’adore voir de belles salopes se gouiner, voilà comme ça, toi Amandine bouffe le sein de ta copine ! Oh que c’est beau ! Inversez les rôles maintenant…

Faut voir l’effet que ça lui fait au type, sa bite est raide comme un bout de bois.

Chanette2913– Sucez-moi ensemble, je veux une double langue sur ma bite…

Il devient exigeant pépère mais nous lui accordons néanmoins cette privauté avec amusement.

Et maintenant les filles on baise ! Permettez que je retire mon pantalon, je ne voudrais pas le tacher, j’en ai pas de rechange ici .

Qu’est-ce qu’il est drôle !

– Je vais vous prendre en levrette toutes les deux mettez-vous l’une à côté de l’autre et dégagez-moi votre cul, pendant ce temps-là je vais chercher les petites capotes dans mon tiroir.

C’est moi qui l’honneur et l’avantage de passer en première, Doubise me baise à la hussarde à coups de « Hi » et de « Han ».

– Vous avez le trou du cul charmant ! Une petite sodo, ça ne vous dérange pas ?
– Elle est un peu grosse !
– J’essaie, si ça ne le fait pas, je n’insisterais pas !

S’il nous fait ça à la gentilhomme, je n’ai plus rien à dire, il m’a tartiné de gel, il est passé, s’est contenté d’une dizaine d’aller et retour avant de déculer et de changer de capote pour aller enfiler Amandine.

Et là il n’a pas pu tenir la distance, excité comme il était, il a pris son pied en gueulant comme un veau qu’on égorge.

– Ne vous inquiétez pas, c’est insonorisé ! Commente-t-il

Après que nous fûmes rhabillées, Maître Doubise entra dans le vif du sujet.

– Deux services peuvent s’occuper de l’affaire, la répression des fraudes et la brigade financière, mais ce sera plutôt les fraudes. Encore faut-il que ça les intéresse et qu’ils n’essaient pas de s’arranger avec Chauvière. Tout dépendra de l’interlocuteur. Mais on peut faire autrement, Il faut, documents à l’appui, obtenir une plainte urgente de la partie hollandaise. Celle-ci va donc transmettre le dossier aux autorités françaises qui dans ce cas de figure vont se trouver obligés de faire diligence.
– Donc dans la pratique, on fait quoi ?
– Vous prenez le TGV ou l’avion pour Rotterdam, je vais vous rédiger une lettre d’introduction à l’adresse de la société spoliée pour éviter qu’on vous fasse poireauter.

Par téléphone, j’ai fait part à Gollier de l’avancée de nos démarches.

– O.K. il faut que les hollandais se bougent, téléphone-moi dès que tu as leur accord et je te donnerai un nom.

Jeudi 22 avril

Nous voilà donc à Rotterdam, ni moi ni Amandine ne parlons le néerlandais, l’entretien chez Kuipper and Son se fera donc en anglais.

Le responsable de la sécurité de la boite fait très militaire de carrière en retraite, ce qu’il est peut-être d’ailleurs. Il feuillette le dossier et ne sachant pas lire le français, nous pose des tas de questions

– Vous avez trouvé ça comment ?
– Une complice de Chauvière se méfiait de lui, elle s’est mise à table… anonymement… elle pensait que ces documents pourraient la protéger.
– Et ça ne sort que maintenant ?
– Oui !
– Et votre rôle dans cette affaire ?
– Nous avons un contentieux avec Chauvière, alors on a fouiné un peu.
– Hum, vous savez, on est assuré pour les vols, le souci c’est qu’à chaque fois la prime augmente, alors évidemment s’il y avait un procès… Mais vous croyez que les bijoux sont encore en possession de Chauvière ?
– J’en suis persuadée ! Répondis-je avec force malgré le fait que je n’en sache rien du tout.
– Je vais voir avec ma hiérarchie ! Finit par nous dire le bonhomme, restez assises, je reviens. Ah, prêtez-moi la fausse facture…

Une demi-heure qu’il nous a laissé poireauter !

Enfin le revoilà !

– Nous allons porter plainte, je peux faire un double de tous ces documents ?
– Bien sûr !
– Ah, la fausse facture est au nom de Van Halen International à La Haye, on vient de les appeler ils feront une plainte conjointe pour faux et usage de faux.
– Super ! Vous permettez que je passe un coup de fil à mon conseiller juridique ?
– Je vous en prie.

Dans le couloir, je téléphone à Gollier, lui annonce que les hollandais vont déposer plainte…

– OK, dis leur d’envoyer tout ça à la répression de fraudes à l’attention de Mathieu Morani, je vais le prévenir.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Leiris06b
  • Sarah7
  • Lilly04
  • chanette15d
  • Plan Vargala
  • Bellyvuo24 03

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés